#des histoires à raconter
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06h16 - Des Histoires à raconter
#casseurs flowters#orelsan#gringe#des histoires à raconter#orelsan et gringe sont les casseurs flowters#Orel et gringe#fanart#j adore l esthétique de ce clip#je crois que j ai commencé ce dessin y a a peu près 3 ans j ai du mal à croire que je l ai enfin finit
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Pour une pote qui m'a fait comprendre que c'est pas l'évidence même pour les gens ;;; si votre partenaire rp vous sort sur une convo privé qu'il ne faut plus parler à machin ou machin, voire vous l'interdit même en disant que si vous parlez à machin et ben iel ne vous parlera plus..
c'estl'histoire d'un partenariat rp ultra toxique, je m'en fous si vous connaissez bien la personne ou que vous faites de méga rp avec depuis dix ans, c'est ultra toxique de vouloir contrôler les fréquentations des autres en encore plus sur des forums rpg ; ça veut dire entre autre qu'iel ne vous pense pas capable d'avoir un peu de discernement, parce qu'ok qu'on dise de se méfier de quelqu'un, mais c'est pas ok de d'interdire de parler à machin parce qu'on l'aime pas et donc les autres non plus peuvent pas aimer la personne. WTAF.
#forum rp français#forum rpg#cdg forums rpg#les rôlistes chelous ou toxiques#oui on va en faire un tag parce que des histoires j'en ai dix milles à raconter sur des gens pareils vu depuis quand je rp#I'm getting OLD
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Quand ça fait un petit moment qu’à défaut de rp tu reprends la relecture et réécriture de ton roman et que tu tombes sur un petit passage tout doux dont tu te souvenais plus et qui t’apporte du bonheur dans ta journée
#fallait je partage cette émotion#big up à tous.tes celleux qui ont le plaisir d'écrire par l'envie de se raconter une histoire#des années je suis sur cette histoire qui me prend aux tripes#je sors de mois de pages blanches et ça me fait un bien fou d'y replonger
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L’âge n’est pas une perte, c’est un gain. Un gain de sagesse, un gain de souvenirs, un gain de leçons de vie. On parle souvent de la jeunesse comme d’un trésor, mais pour moi, la vraie richesse, c’est ce que l’on apprend en grandissant. Chaque ride sur mon visage raconte une histoire, chaque pas plus lent que je fais est le reflet d’un chemin parcouru. Alors, à vous tous qui avez peur de vieillir, sachez ceci : il y a une beauté unique à chaque âge. La jeunesse est belle, mais la maturité a une profondeur que rien ne peut remplacer. Et si je devais vous donner un conseil, ce serait celui-ci : ne cherchez pas à éviter le passage des années, vivez- les avec fierté. Car chaque jour de plus est un chapitre de plus à votre histoire.
Jean Pierre Folko
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Quand le dimanche Minette prépare le café à son Minou, il est édulcoré de caresses et de tendresse, mais surtout, il a le goût de l'amour et de l'humour ! Et, entre deux miaulements sous la couette, ils se racontent des histoires très chouettes ! Miaou par ci, miaou par là, moi je vous le dis, la vie des chats, c'est la dolce vita ! 😺😻
Bonne dégustation à toutes et tous ! ☕️
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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People around the world are translating Refaat's "If I must die" poem so it'd have a wider reach. Against Israel's wishes, Refaat will never die, his soul will live on in the words he shared and the way he touched people's hearts. Israel did nothing but cement his legacy. Remember Refaat, let his martyrdom be a symbol of hope for a Free Palestine, just like he wanted.
Here are some of the translations, more can be found in the twitter thread
And here is my translation in French :
Si je devais mourir
Vous devez vivre pour raconter mon histoire
Pour vendre mes affaires
Pour acheter un bout de tissu
Et quelques fils
(faites qu'ils soient blanc et long)
Pour qu'un enfant, quelque part à Gaza
En regardant le Paradis dans les yeux
Attendant le retour de son père parti dans une explosion
Sans dire au revoir à personne
Même pas à sa chair
Même pas à lui-même-
Voit le cerf-volant, mon cerf-volant que tu as préparé, volant dans l'au-delà
Pour qu'il pense pour un instant qu'un ange est là
Ramenant avec lui l'amour
Si je devais mourir
Faites que ca insuffle de l'espoir
Faites que ca devienne une histoire
And Arabic, his mother tongue :
إذا كان لا بد لي أن أموت
يجب عليك العيش
لتحكي قصتي
لتبيع أغراضي
لتشتري قطعة من القماش
والقليل من الخيط،
(ليكن أبيضا وذا ذيل طويل)
لطفل في مكان ما بغزة
يرى الجنة امام عينيه
ينتظر أباه الذي ذهب في إنفجار
ولم يودع أحدا
ولا لحمه
ولا نفسه
لكي يرى الطائرة الورقية، طائرتي التي صنعتها، تحلق عاليا
ويظن لوهلة أن ملاكا ما قد أتى
ومعه الحب
إذا كان لا بد لي أن أموت
فليأتي ذلك الأمل
فليصبح ذلك قصة
#free palestine#palestine#free gaza#gaza#genocide#colonialism#stop genocide#stop israel#free west bank
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just picture this
arthur qui vient vivre dans le château de léodagan en carmélide le temps que celui de kaamelott se reconstruise, il se retrouve à devoir dormir dans la chambre de guenièvre. elle s'absente un moment, lui est tout seul dans la pièce et commence à regarder autour de lui : il voit des piles de vieux livres d'où pendouillent des marques-pages brodés, des boîtes remplies de bijoux sur sa coiffeuse, des dessins accrochés aux murs qui datent de quand elle était petite. la curiosité le pique et, le sourire aux lèvres, il continue de découvrir tout ce qui témoigne de l'adolescence de guenièvre. il se met à ouvrir quelques placards, quelques tiroirs, vérifie de temps en temps dans le couloir que sa femme n'arrive pas, et puis, une fois qu'il a fait le tour, il s'affale à plat ventre sur le lit. il ouvre les yeux vers l'oreiller de guenièvre et voit quelque chose dépasser. il se redresse, empoigne le coussin et le soulève : il y découvre un carnet en cuir rouge, avec des fleurs embossées et des enluminures dorées. arthur sait de quoi il s'agit. il s'en doute. il connaît sa femme et ce genre de trucs nunuches c'est totalement son style. il fixe longuement le carnet, lançant quelques regards furtifs vers la porte...puis finit par l'attraper et l'ouvrir. évidemment, il roule des yeux à la lecture des premières pages, remplies de gribouillis et de dessins d'ados. il ricane à la description de son premier coup de coeur, un jeune écuyer croisé au marché à qui elle n'avait vraisemblablement jamais adressé la parole. et puis, lentement, le sourire d'arthur s'estompe. il lit les lignes qui racontent son futur mariage, un mariage qu'elle n'a pas choisi et qui la terrorise. des écrits quotidiens qui relatent sa peur de ne pas être à la hauteur, ne pas être assez belle, assez aimante, assez digne de ce garçon dont elle ne connait rien. elle décrit son futur mari, ou du moins comme elle l'imagine du haut de ses seize ans, la grande histoire d'amour qui les attend, sa vie de reine, son quotidien au château, les prénoms de ses futurs enfants.
arthur sent un frisson lui parcourir le dos. il ferme le carnet et le replace sagement sous l'oreiller.
puis guenièvre réapparaît sur le pas de la porte toute souriante, sans se douter de rien. et en la voyant, arthur n'a qu'une certitude : il fera de son mieux pour lui offrir ce qu'elle a toujours attendu.
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Voici nos livres du mois d'octobre pour les deux groupes:
Groupe 1, lecteurs avancés:
Le Monstre, de Camille Bodin -
Résumé du livre:
"Albert aime Marie depuis l’enfance, mais tandis que son père l’a envoyé en ville faire des études, sa promise épouse un autre homme, le comte de Nulsen. Avant qu’Albert n’ait pu intervenir, les jeunes mariés partent pour la Sicile.
Sans nouvelles depuis des semaines, Albert décide de partir à la recherche de Marie. Alors qu’il passe la nuit dans un hôtel, Albert est réveillé par d'horribles cris. Le lendemain, la police lui apprend qu’on a tenté d’assassiner une femme dans son hôtel. Un temps soupçonné, Albert est innocenté par la victime qui a reconnu son agresseur : le comte de Nulsen. La jeune femme raconte son histoire à Albert et lui apprend que le comte est un monstre adepte du marquis de Sade, qu'il torture Marie et la retient prisonnière dans son château."
~~~~~~~~~
Groupe 2, lecteurs débutants:
Le Fantôme de l'Opéra, de Gaston Leroux -
Résumé du livre :
"L’Opéra est hanté. On ne peut pas expliquer autrement les événements étranges qui s’y produisent : la chute d’un lustre, le personnage au visage inhumain que des machinistes ont aperçu dans les coulisses, la voix que la jeune chanteuse Christine Daaé entend dans sa loge. D’ailleurs, un billet signé « Le Fantôme de l’Opéra » a exigé du directeur la réservation permanente d’une loge, et une pension mensuelle. Cette présence mystérieuse terrorise tout le personnel. Un jour Christine Daaé disparaît des coulisses. Son amoureux, Raoul de Chagny, devra échapper à bien des pièges terrifiants pour la tirer des griffes du «Fantôme»."
#french langblr#French books#Book club#french#le fantome de l'opera#Le Monstre#Gaston Leroux#Camille Bodin#Club lecture#French literature#Littérature francophone#Littérature française
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" Respirer, marcher, parler, regarder : toutes choses ordinaires, dont on ne s'aperçoit de la valeur que lorsqu'on a failli les perdre pour toujours. Les rescapés d'accident, de maladies ou d'événements de vie graves racontent tous la même histoire, et la même sensation, liée à cette prise de conscience .... vivre est une chance."
Christophe André
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Anaïs Nin par Guillermo Summers
« André Breton m'a rendu visite. Je me disais que l'atmosphère de ma vie, mes intuitions inarticulées correspondaient à sa sensibilité poétique. Il n'en fut rien. Il était intellectuel. Il parla idées, pas impressions ni sensations. Et il me raconta une histoire de ce qui était le contraire de ce que je m'étais figuré.
Il avait parlé du jeu surréaliste qui consiste à se retrouver à plusieurs pour s'engager dans une action non concertée. Ils prennent le train, descendent n'importe où, un endroit qu'il ne connaissent pas, et attendent que des surprises, des choses se produisent. Ou bien montent dans un autocar et décident tout à coup de rester dans une petite ville, et d'attendre l'inattendu. Il raconte cela avec solennité, davantage comme un roi s'adressant à un auditoire que comme un collègue artiste parlant à d'autres artistes. Il n'attendait pas de commentaires, seulement des auditeurs.
Puis il dit : « L'autre jour, j'ai reçu une lettre d'une femme. Elle avait écrit une lettre très belle. Elle commentait l'importance que j'attache à la « surprise », aux coïncidences, et disait qu'elle aimerait me rencontrer seul sous le pont Royal un soir à minuit. Elle ne voulait absolument pas révéler son identité. »
J'attendais le reste de l'histoire. Breton ajouta : « Je n'y allais pas. Bien entendu.
Pourquoi « bien entendu » ? demandais-je.
Parce que j'ai de nombreux ennemis et que ç'aurait pu être un piège ».
Lorsqu'il vit combien j'étais déçue de son manque d'esprit d'aventure, il ajouta : « J'y allais la deuxième fois, pourtant après qu'elle m'eut écrit. Mais je pris soin de poster deux amis loyaux sur le pont de manière à pouvoir les héler en cas de danger .»
Cette histoire, ajoutée à son manque de goût pour la musique, trahissait ce que je soupçonnais dans le surréalisme, la part qui en est consciente, préméditée et une technique intellectuelle ; elle trahissait l'homme de laboratoire. C'est ce qui m'empêcha d'épouser le surréalisme, de devenir un disciple totalement engagé.
P.377,378
Anaïs Nin « Journal 2 - 1934-1939» Livre de poche
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OUR WILDS PLANETARY CHART - AFFICHE A3
► FICHIER PDF ICI
Depuis que je connais le jeu vidéo Outer Wilds, je suis véritablement obsédé par lui...
Parce que c'est un GRAND jeu, par son gameplay, basé sur l'exploration spatiale et le voyage, par ses musiques grandioses et mélancoliques, et par l'histoire qu'il raconte, une histoire magnifique, bouleversante et terrifiante à la fois. En gros, ce jeu est un condensé de nombreuses choses que j'adore ! Cela faisait longtemps que je souhaitais faire une création pour lui rendre hommage, et enfin me le sortir de la tête. (Même si, il ne sortira jamais de ma tête, pour être honnête.) J'ai eu de nombreuses idées, mais aucune ne me convenaient vraiment...
Quand enfin, m'est venue l'idée de parodier le journal de bord que l'on trouve dans le jeu, mais avec NOTRE Système Solaire et NOS Planètes.
Car notre Système Solaire a lui aussi son histoire magnifique, bouleversante et terrifiante à la fois. Sans parler des nombreux secrets qu'il recèle encore, et qui ne demandent qu'à être percés au grand jour ! Et je dois l'avouer, tout ceci me passionne et me fascine... Comme Outer Wilds !
40 notes
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Wig ha wag, Samain approche... comme chaque année, ce sera le moment de se raconter des histoires de fantômes auprès du feu. Et en Bretagne, aux légendes de l'Ankou, le passeur d'âmes, de sortir du Yeun Elez pour venir s'y faufiler... L'occasion de vous présenter l'illustration de couverture que j’ai eu le plaisir de réaliser pour le dernier livre d’Erik L’Homme « le Grand Voyage » aux éditions Gallimard Jeunesse :)
Résumé : "Une légende bretonne raconte qu'à la période d'Halloween le monde des vivants rencontre celui des morts, gardé par le terrible Ankou. Victor, 12 ans, est prêt à tout risquer pour retrouver sa mère disparue. Il entraîne ses amis Fanch et Léonie dans un grand voyage dont personne n'est encore jamais revenu..."
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Je termine à l'instant "Au prochain arrêt", de Hiro Arikawa. J'adore les histoires japonaises et celle-ci est très immersive. Elle raconte les différentes gares d'une ligne de train et les passagers qui s'y trouvent, se croisent, se parlent, se font remarquer, les couples qui se forment, ceux qui rompent, les réflexions d'une jeune femme battue par son conjoint, les préoccupations des lycéennes et les conseils d'une vieille dame.
C'est contemplatif, doux, et ça explore la culture japonaise, les relations humaines, ainsi que la manière unique de préserver la discrétion dans leurs émotions et leur vie quotidienne.
⭐⭐⭐⭐
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L’âge n’est pas une perte, c’est un gain. Un gain de sagesse, un gain de souvenirs, un gain de leçons de vie. On parle souvent de la jeunesse comme d’un trésor, mais pour moi, la vraie richesse, c’est ce que l’on apprend en grandissant. Chaque ride sur mon visage raconte une histoire, chaque pas plus lent que je fais est le reflet d’un chemin parcouru. Alors, à vous tous qui avez peur de vieillir, sachez ceci : il y a une beauté unique à chaque âge. La jeunesse est belle, mais la maturité a une profondeur que rien ne peut remplacer. Et si je devais vous donner un conseil, ce serait celui-ci : ne cherchez pas à éviter le passage des années, vivez-les avec fierté. Car chaque jour de plus est un chapitre de plus à votre histoire.
Jean Pierre Folko
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"Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
[...] Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?" Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament personnel de l'enfant avec la Tradition : la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons ? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille ?"
Lounès Darbois, août 2023.
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Il existe des endroits suspendus dans le temps, éloignés de la folie innovatrice des hommes et de la course au progrès. Des lieux qui ont conservé leur âme et qui nous racontent une histoire, à condition de prendre le temps de s'y attarder. Les gens comme moi s'y sentent à leur place, loin des villes et de la foule, du béton et de la circulation.
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