#derrière les coulisses
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Oups! Ils sont vraiment trop gros... Mais ce n'est pas si grave.
#derrière les coulisses#biscuits maison#dessert maison#pâtisserie maison#pâtisserie de Noël#biscuits de Noël#biscuits#leblogdejennifer
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Le Petit écho de la mode, no. 32, vol. 10, 12 août 1888, Paris. 10. 1. Toilette en foulard; — 2. Toilette en lainage léger. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(1.) Toilette foulard imprimé. — Jupe ronde formée par trois volants plissés. Pans droits sur le côté formant pouf derrière. Petit panier rond. Corsage court recouvert d’un froncé devant, avec jabot au milieu, ceinture en ruban, col droit. Manche terminée par un petit plissé. Chapeau rond orné d’un nœud.
(1.) Printed foulard ensemble. — Round skirt formed by three pleated flounces. Straight sides on the side forming a pouf behind. Small round basket. Short bodice covered with a gather in front, with jabot in the middle, ribbon belt, straight collar. Sleeve finished with a small pleat. Round hat decorated with a bow.
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(2.) Robe en lainage léger imprimé. — Le devant de la jupe est formé de trois rangs de plissés, encadrés de panneaux à plis creux surmontés d’un petit panier arrondi rejoignant le pouf monté à fronces et drapé. Corsage dont les devants sont largement ouverts sur une guimpe froncée au cou par plusieurs coulisses retenues à la taille par une ceinture en ruban. Le dos est uni et forme une petite pointe. Manches demi-longues, ouvertes jusqu’aux coudes, et ornées d’un fin plissé. Col droit, jabot plissé.
(2.) Dress in printed light wool. — The front of the skirt is formed of three rows of pleats, framed by panels with hollow pleats surmounted by a small rounded basket joining the gathered and draped pouf. Bodice whose fronts are widely open on a guimpe gathered at the neck by several drawstrings held at the waist by a ribbon belt. The back is plain and forms a small point. Half-long sleeves, open to the elbows, and decorated with a fine pleat. Straight collar, pleated jabot.
#Le Petit écho de la mode#19th century#1880s#1888#on this day#August 12#periodical#fashion#fashion plate#description#Forney#dress#bustle
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The Article Anon was talking about.
Plus vue en France depuis mai dernier, Gabby Williams (1,80 m, 27 ans) vient d'effectuer un retour tonitruant sur les parquets après trois mois sur le flanc (fracture de fatigue au pied) : flamboyante dimanche dernier contre Basket Landes (27 points, 4 rebonds, 5 passes), puis décisive lors de la première victoire de l'Asvel en Euroligue face à Lublin mercredi (73-72). Avant d'affronter Villeneuve-d'Ascq, leader invaincu du Championnat (7 victoires), l'ailière internationale, plus vue en équipe de France depuis un an (forfait pour l'Eurobasket), a confié à L'Équipe sa volonté - et la nécessité - de monter en puissance. Tant en club que chez les Bleues - désormais affranchies de l'affaire Johannès - afin de viser haut aux JO de Paris.
« Après trois mois sans jouer, votre retour a coïncidé avec deux victoires importantes pour l'Asvel. La saison est enfin lancée ?
J'étais un peu surprise que ça se passe aussi bien. Pendant mon absence, j'avais fait en sorte de travailler pour être tout de suite prête à rejouer. Je le devais à mes coéquipières. Je pense que je ne me suis jamais sentie autant en forme.
C'est plutôt une bonne nouvelle pour votre club, qui jusque-là a souffert des absences et pourrait le payer dans ses objectifs ?
Cette équipe est plus forte que l'année dernière. Elle est capable d'assumer ses ambitions et toutes les filles sont obnubilées par la victoire et mettent les ego de côté. On sait qu'il va nous falloir être quasi parfaites chaque soir. À moi de continuer à montrer la voie et de transmettre à la fois le goût de la victoire et la haine de la défaite. Quelque chose de très américain peut-être, ou en tout cas pas assez cultivé en France.
Un état d'esprit que vous allez, sauf surprise, ramener en équipe de France en février prochain ?
C'est au programme, oui ! J'ai vraiment envie de retrouver la sélection. C'est même une nécessité, il n'y aura pas d'autre rendez-vous avant la préparation des Jeux. Reprendre mes marques avec le groupe est primordial.
Les frustrations de la fin de saison dernière et de l'Eurobasket, que vous avez manqués, sont loin derrière ?
C'était tellement déprimant ! Et mentalement si dur à vivre. Il faut se rendre compte de tout ce qu'on donne en cours de saison pour pouvoir vivre ces moments de gloire. Je n'ai pas pu fêter le titre avec Lyon. Puis je me suis retrouvée toute seule pendant six semaines afin de me soigner. Quand on m'a annoncé le temps de convalescence, j'ai compté les jours jusqu'à l'Euro. Et quand j'ai compris que j'allais le manquer, j'en ai pleuré. Retrouver mes proches à Seattle (en WNBA) cet été m'a fait beaucoup de bien.
« Il faut cultiver cette envie de tout jouer et de tout gagner »
Vous reviendrez chez les Bleues avec Marine Johannès, dont l'affaire de son absence de l'Euro semble digérée ?
Il fallait que chacun assume ses choix, ses décisions. C'est du passé, oui. La suite arrive vite et on a tous le même objectif : gagner à Paris. A priori, personne ne souhaite nous voir échouer aux Jeux. Donc mettons tout ça de côté ou derrière et allons de l'avant.
Le mois dernier, sur les réseaux sociaux, vous aviez pourtant publié un message, fort, de soutien à votre coéquipière...
(Elle coupe.) C'était dans la foulée de sa défaite en finale WNBA avec New York. Aucun rapport avec les Bleues ou la Fédération. Je l'admirais avant même de la côtoyer. Quand je l'ai vue pour la première fois je me suis dit : il n'y a aucune autre fille comme elle dans le monde. Je le répète souvent, j'ai l'impression qu'on ne se rend pas assez compte de toute ce qu'elle apporte au basket français, tout comme du niveau d'exposition auquel elle est confrontée. Pour en revenir au message, j'étais simplement déçue pour elle. Ce n'est un secret pour personne que nous sommes très proches. J'ai donc vu ce que les gens ne voient pas en coulisses, l'abnégation dont elle a fait preuve pendant ces mois difficiles. Vous avez vu son émotion après le titre en Ligue féminine non ? Mais ce message, j'aurais pu l'écrire pour n'importe laquelle de mes coéquipières.
Avez-vous regardé l'Euro ? Va-t-il falloir rattraper le temps perdu en vue des Jeux ?
Je n'étais pas dans le groupe, donc je n'ai pas à juger. On s'est beaucoup focalisé sur ce qui manquait à cette équipe plutôt que ce dont elle disposait. Nous avions tout ce qu'il fallait. Pour la deuxième question, c'est en partie vrai. Personne ne veut aller à l'autre bout du monde en février (pour le TQO en Chine), on préférerait se reposer. Mais c'est indispensable car il faut cultiver cette envie de tout jouer et de tout gagner. Je veux gagner une médaille avec la France. Mais c'est trop facile pour les joueuses ou la Fédération de dire qu'on veut gagner ou qu'on vise l'or. Tout le monde voudrait l'or, non ? Il reviendra à ceux qui auront tout mis en oeuvre pour y arriver. »
thank you so much, everyone is going to be able to read it now 💛
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saga: Soumission & Domination 322
WE à Paris-2
Le vernissage est terminé et je me retrouve le pantalon sur les chevilles, dans le bureau de Bo-gosse avec l'artiste à mes genoux en train de me pomper grave.
C'est à ce moment-là que je propose à Bo-gosse de finir la soirée chez lui avec son nouveau peintre.
C'est aussi à ce moment-là que Ludovic entre, à ma recherche. Il n'est pas étonné, PH à qui il avait demandé où j'étais, lui avait répondu " probablement en train de me faire pomper par l'artiste ". Il passe sa main sur la tête du pompeur et me demande s'il est meilleur que lui. Je l'attrape par le cou, lui roule une pelle et lui dit qu'il n'y a pas comparaison, il est le meilleur. J'attends un peu et ajoute " avec PH, Ernesto, Jimmy et une demi-douzaine d'autres mecs, mais toi, je t'aime ".
Il me roule une nouvelle pelle et d'un petit coup de bassin pousse la tête de l'artiste sur ma bite enfonçant mon gland dans sa gorge à l'étouffer. Petite vengeance ?!
Bo-gosse met fin aux hostilités. Il nous entraine vers les autres (après que je me sois réajusté). Regroupés, il nous propose de finir la soirée chez eux (lui et Moitié). Les provinciaux sont partants et Alban ne laisse pas son Ric filer sans lui. Bras dessus bras dessous, nous prenons toute la largeur des trottoirs jusqu'à leur appartement.
C'est la première fois que j'entre chez eux, les autres fois nous avions baisé dans son bureau !
Bel appartement donnant sur l'église de La Madeleine, dans les 400m², l'intérieur est très moderne. Le mobilier actuel est ponctué par des pièces anciennes de toute beauté. Notamment une commode Louis XV avec bronzes dorés qui se détache du reste du salon avec une glace avec cadre en bois doré de bien 20cm de large.
On joue les curieux et furetons dans tous les coins. Evidemment quand nous arrivons à leur chambre, la pose est plus longue.
Je crois bien que c'est Ludovic qui a poussé Bo-gosse en avant pour qu'il chute sur le lit. Quand ça commence comme ça, tout le monde se retrouve à poil rapidement. Moitié ouvre le tiroir à Kpotes et gels et ça part pour une nuit de débauche.
Je n'ai pas le temps de faire attention aux autres. Moi je me retrouve à enfiler ma queue dans le cul de Moitié. Il prend toujours aussi bien et aussi facile à la pénétration. Par contre une fois dedans il sait vous serrer la bite comme moi, c'est-à-dire que s'il le veut on ne peut plus bouger, compressé par sa rondelle. En attendant il me libère et je peux coulisser dans son cul. Une impression soyeuse parcourt ma hampe pourtant couverte d'un préservatif. Peut-être que c'est dû à la marque. Je le lime un bon 1/4 d'heure avant de trouver ma rondelle bien vide. La bite de Ludovic est libre. Couché sur le dos, ce dernier se fait bourrer la gueule par Alban et le cul par Bo-gosse. Ernesto et PH sont occupés à faire monter en pression Ric. Comme je me dégage de Moitié, je suis remplacé par notre ibère qui n'attendait que ça. PH lui occupe l'avant et enfile ses 19cm derrière la glotte de notre ami.
Je vois Ric enjamber le corps de Ludovic et s'assoir sur son sexe. Il fait face à Alban et je les vois se rouler des pelles. Orphelin, je repousse Bo-gosse et m'intercale entre lui et Ludovic.
J'ai juste le temps de m'enfoncer dans son cul avec toujours autant de délice, que Bo-gosse me défonce le cul. Son arrivée intempestive m'écrase contre les fesses de Ludovic qui poussé, s'étrangle avec le gland d'Alban.
Le temps de trouver tous nos rythmes et de les faire coïncider, Ludovic trinque ! Il s'étrangle plusieurs fois mais c'est bon pour moi. Quand il manque de s'étouffer, il se contracte de partout et sa rondelle spasme sur ma bite, la bloquant dans son évolution. Chaque pression bloquante, m'envoie dans le cerveau un coup de pression qui me chauffe, mais me chauffe !! Du coup je répercute à mon occupant et Bo-gosse me gueule dans les oreilles que c'est trop bon.
Ludo encaisse mais il bande dans le vide. Je me dégage de son cul et le retourne. En 69 nous nous faisons du bien. Alban n'a pas perdu au change, une kpote et il défonce mon mec ! Malgré ma bite dans le fond de sa bouche, la pénétration d'Alban lui arrache un gémissement long, long, enfin aussi long que les 21cm qui lui rentre dans le cul. Il ne peut y échapper, de toute manières il ne le voulait pas non plus, car je le bloque, menton posé sur son pubis et mon nez entre ses couilles remontées.
Chacun nous profitons d'une belle queue dans le cul qui s'active avec maestria et chacun nous nous occupons amoureusement de la bite de son amour ! Excité par les frottements sur ma rondelle, je pompe comme un malade sa bite. Je m'enfile son gland dans la gorge et dégluti pour le masser. J'alterne en le gardant en bouche et en passant ma langue râpeuse sur toute sa surface, dessous de couronne comprise, j'excite chaque mm² de la peau fine couverte de terminaisons nerveuses.
Je ne suis content que quand je sens qu'il lâche les vannes et que je sens rouler sous ma langue ses spermatozoïdes qui nagent dans son jus. J'en garde le plus en bouche pour noyer son gland dedans. Dans le lointain, j'entends Alban rugir alors qu'il doit remplir sa kpote. Puis c'est à mon tour de prendre mon plaisir. Je m'enfonce une dernière fois dans sa gorge et y lâche mon premier jet direct vers l'estomac !
Je recule le bassin pour larguer le reste dans la bouche de Ludovic qu'il puisse à son tour goûter mon sperme. Le mouvement m'enfonce bien profond les 24cm de Bo-gosse dans le cul.
Je sens les mains qui me tenaient les hanches me serrer plus fort, mon enculeur vient de juter à son tour.
Je me dégage. Je serre bien les lèvres en quittant la bite de Ludovic pour ne pas laisser échapper de sperme et je sens que Ludo fait de même. Nos enculeurs respectifs s'écartent et je me retourne pour rouler une pelle juteuse à mon dernier amour. Nos spermes se mélanges, je suis sûr que nos spermatos se battent entre eux, s'entortillent leurs flagelles comme nos langues s'affrontent.
Nous nous décollons que quand le partage est terminé et que nos dents brillent.
Nos deux enculeurs nous traitent affectueusement de salopes insatiables. Cette appréciation trouve un écho de la part du trio qui a fini, lui aussi.
Bo-gosse s'absente le temps de ramener des bouteilles d'eau. On en vide quelques une avant d'aller nous doucher. On a eu un peu chaud pendant un moment !
Comme ils ont une douche à deux pommes nous arrivons à nous y entasser tous. L'avantage c'est qu'on fait tomber un peu de gel douche sur nos tête et quand il coule, à partir des épaules, il nous suffit de nous frotter les uns contre les autres pour nous savonner efficacement. Evidemment nous sommes bruyant et même trop puisque ça tape contre le mur mitoyen avec l'appartement d'à côté. Donc, on se calme un peu !
Ça bataille encore un peu quand on recherche nos habits. Les slips et shortys volent dans tous les sens. Jusqu'à ce que chacun récupère le sien. Les chemises sont reboutonnées mais les cravates glissées dans les poches.
Nous rentrons à pied. Ric et Alban tournent vers l'atelier et nous nous dirigeons vers l'appart de Kev. L'air frais nous réveille tous et quand nous passons devant l'immeuble d'Henri, nous voyons son étage allumé et nous nous invitons. Kev nous ouvre, il a la clef. Nous trouvons Henri en peignoir sur son canapé à étudier des dossiers. Il nous accueille chaleureusement sans se soucier de l'heure. Il nous remercie même de le distraire de son travail.
Kev sort les alcools et sert tout le monde. Le choix est consensuel et se fixe sur un Jet 27 sur glaçon. Henri parle avec tout le monde et même plus avec Ludovic. Il sait bien qui il est et comment il se situe dans notre couple à 6 ! Henri est adorable et bienveillant comme toujours, comme il l'a été avec moi, même quand je n'étais encore que l'escort d'Emma.
C'est son seul ami qui sait presque tout. Et c'est pour ça aussi que je lui ai mis Kev entre les mains. Les amis, ça se bichonne non ?
Henri me demande comment marche ma société. Je lui brosse le tableau en quelques chiffres : CA, nombre d'employés et masse salariale, résultats nets et impôts, de la maison mère française. Ernesto sort ceux de la filiale espagnole.
Henri les analyse en quelques secondes. Il trouve que la masse salariale est trop importante. Il ajoute même si mon salaire est compris dedans. Kev est d'accord avec lui. Il me le dit plus crument : je paye très/trop cher mes collaborateurs.
Ma réponse est nette, je n'ai pas besoin de réfléchir. Je leur dit qu'il suffit que cela m'assure un salaire très confortable et que cela paye le blockhaus et mes 3 beurs de services (et oui y'a aussi Jimmy qui s'occupe de la campagne à l'année), ça me va. En plus je ne travaille qu'avec des jeunes qui, eux, ont besoin de cet argent pour vivre, donc si je peux donner un coup de pouce, je ne vois pas pourquoi je me priverais.
Kev me prend dans ses bras et me roule une pelle. Il me dit qu'il me reconnait là. Henri, lui, me dit qu'avec cette philosophie, ma société tourne alors idéalement !
PH connait mes comptes mais Ernesto et surtout Ludovic apprennent les chiffres totaux.
Ludovic en reste sur le cul. Il ne voyait pas ma société aussi importante. Ernesto me dit qu'il lui reste du boulot pour que la filiale espagnole rejoigne le niveau de la maison mère !
Ludovic trouve que je paye quand même énormément d'impôts. Je reconnais là le côté " droite terrienne " de sa famille. Je lui dis que moi, je suis content d'en payer autant. Qu'il n'oublie pas que c'est la prise en charge de la santé de tous, des infrastructures qui nous entourent. Et oui, je sais qu'il y a de la gabegie et qu'on pourrait sûrement faire mieux sans penser que nous en tant qu'homo, nous bénéficions de la totalité des impôts des hétéros sans avoir droit à tous leurs avantages. Mais je ne transfèrerais pas mon siège social ailleurs !
Henri qui est dans la même situation avec sa société basée en France, m'approuve. Il nous dit qu'il pense comme moi. La seule entorse qu'il a faite étant célibataire a été d'adopter Kev pour pouvoir économiser un peu sur les frais de succession.
Kev me donne les clefs de son appart et me glisse qu'il va rester cette nuit (enfin ce qu'il en reste) avec son mec/père. Il ajoute qu'ils nous attendent pour le brunch du dimanche.
La nuit sera calme. Tous éreintés par notre folle journée.
Réveils vers 11h ! Sans nous presser, nous nous câlinons sans sexe jusqu'à avoir les yeux en face des trous. Rasages, douches, quelques vêtements sur les fesses et nous débarquons 2 n° plus loin, chez Henri.
Je ne sais depuis combien de temps ils sont réveillés mais quand nous arrivons, un véritable buffet excite nos appétits. Les viennoiseries font concurrence aux plats plus anglo-saxons (sans aller jusqu'au red-beans). Nous ne nous faisons pas prier et pillons allègrement la table. Henri est un hôte charmant et nous avons plaisir à être avec lui malgré la différence d'âge.
Il nous demande ce que nous pensons de l'artiste dont nous avons vu les oeuvres la veille.
Je suis clair, je lui dis que sa bouche et son cul sont meilleurs que ses toiles.
Mes amis se récrient que je suis dur. Y'en a quand même pas mal qui ont aimé vu les commentaires que son oeuvre suscitait. Bof ! Moi j'aime pas.
Ernesto est le premier à nous quitter. Son avion pour Barcelone part vers 16h alors que notre train est en début de soirée.
Henri me lance les clefs de sa voiture pour que nous soyons ensemble un peu plus longtemps. Ernesto lui roule un gros patin de remerciement et nous le laissons tout bandant j'en suis sûr !
La C6 a toutes les options, quel confort ! On est dimanche et la circulation est fluide. Nous arrivons rapidement à Orly. Dans le hall, un peu de monde. Comme d'habitude, notre passage fait se retourner plus d'une femme et d'un homme. Nos embrassades alors qu'Ernesto doit passer en salle d'embarquement, en détourne pas mal. Faut dire qu'on met la langue dans nos bisous d'adieu !!
Retour à Paris. Henri nous demande de venir plus souvent les voir. Il sait que Kev est trop content quand nous sommes là. En plus ça lui permet de " choquer " en s'affichant avec nous. Il me dit que la prochaine fois nous devrions venir avec Emma et qu'on se fera un théâtre ou un opéra.
Je n'en ai vu qu'un d'opéra mais je me souviens bien de l'acteur/chanteur principal, un anglais à croquer !
Je lui dis qu'il nous fasse signe quand il y aura quelque chose à ne pas louper.
Kev nous ramène à Montparnasse juste à temps. Nous courrons et n'avons même pas le temps de composter. Du coup alors que le train démarre, je cherche le contrôleur pour lui expliquer notre cas. Je le trouve. Dans les 25/30ans pas avantagé par son uniforme alors qu'il parait pas mal.
Je lui explique que nous sommes 3 à ne pas avoir eu le temps de composter et je nous excuse d'avance. Il me demande où nous sommes. Je lui dis que mes amis ont dû prendre leurs places en premières. Je lui montre mon billet et alors qu'il le poinçonne, nous nous dirigeons vers les places. Quand nous arrivons, j'ai la surprise de voir Ric en train de discuter avec eux. Sourires avenants et contrits de mes amis qui présentent à leur tour leur billet. Ludovic déshabille le contrôleur de ses yeux et ce dernier ne peut que le remarquer. Je le vois rougir, teinte pivoine, et bafouiller pour nous dire que c'était pas grave et que nous avions eu le bon réflexe de venir le trouver.
Ludovic que je ne maitrise plus, si jamais j'ai pu un moment le diriger (je m'aperçois qu'il s'est émancipé), lui demande carrément s'il n'avait pas une cabine privé. De pivoine il passe tomate et il s'étouffe. Je lui tape dans le dos pour relancer sa respiration. Mais il a un mouvement de recul brusque. Quand j'en regarde la raison, je vois la main de Ludovic serrer la queue bandante du contrôleur dans son pantalon. Il est infernal ! Je lui dis de lâcher ce monsieur et de le laisser faire son travail. Au contrôleur, je lui exprime mes excuses pour le comportement déplacé de mon ami.
Quand il m'entend, il se défend que c'est pas lui qui a une trique de ouf. Qu'il essayait juste de rendre service ! PH entre dans le jeu. Il dit qu'effectivement, on ne peut décemment laisser repartir ce monsieur dans cet état. Avec tous les yeux des passagers au niveau de son bassin, tous vont s'apercevoir qu'il bande à mort. Il se lève et se place dans l'entrée de la cabine à 4. Ludovic ne perd pas de temps et dégrafe son pantalon. Ce dernier tombe immédiatement sur ses chaussures noires et laisse apparaitre un slip quelconque. Par contre, ce qui ne l'est pas c'est ce qu'il ne cache plus, un gros sexe de plus de 20cm épais. Vu le gabarit moyen du mec, c'est impressionnant. Même si je sais que les queues c'est pas proportionnel à la taille du mec !
Encore sous le choc notre jeune contrôleur ne réagit pas.
Il ne reprend ses esprits que lorsque Ludovic avale son gland. Il essaye alors de reculer mais ma présence dans son dos l'en empêche.
Je pose mon menton dans sa salière droite et lui souffle de se laisser faire. Que je connais mon Ludo, il va lui faire un bien fou.
Désireux je pense de ne pas faire d'esclandre, il serre les lèvres et se laisse pomper. Je rejoins PH pour faire écran avec le reste du wagon. Dans notre dos, passent des voyageurs qui cherchent leurs places où vont au wagon restaurant.
Notre contrôleur prend des initiatives. Il pose ses mains sur la tête de Ludovic et gère le rythme de pompage. Ludo se fait aux modifications des va et vient les mains posées sur le fessier cheminot pour éviter tout retrait intempestif.
Il ne relâche la pression que quand, dans un souffle, notre controleur l'informe que ça monte. Deux coups de poignet et il jute dans le mouchoir en papier que je tends à Ludovic.
Il se rajuste rapidement et nous souhaite un bon voyage. Il part, laissant derrière lui une odeur de sperme frais ! On éclate de rire quand la femme qui est installée face à notre porte plisse le nez. Nous ne reverrons plus notre contrôleur qu'à 10mn de l'arrivée. Il passe devant nous avec un sourire et un clin d'oeil. C'est seulement là que je note l'alliance qu'il porte à l'annulaire gauche.
Jardinier
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J'ai eu une révélation.
Je pense que le studio a considéré (considère toujours?) les admins comme des fans à qui on a donné le privilège de participer au projet. Pas des employés. Pas des collègues. Des fans. Donc, des "invités".
Et s'ils sont pas contents du PRIVILEGE qu'on leur a octroyé, pourquoi essayer de les faire rester? Ils sont juste ingrats et volent la place de fans qui méritent plus. Ils devraient être contents qu'on daigne les laisser voir les coulisses. Et ils ont intérêt à pas être des boulets s'ils veulent pas perdre ce privilège.
Pour moi c'est ça la source de tous les soucis: Une gestion d'employés calquée sur la gestion de groupies.
Oh purée excuse moi j’avais absolument pas vu ton ask jcp depuis combien de temps il prend la poussière dans mon ask box 😭
Mais oui vraiment ça m’étonnerait pas qu’il y ait eu au moins quelque admins hauts places qui voyaient les choses comme ça. Genre non c’est pas du travail c’est une CHANCE de pouvoir participer à un projet que tu aimes voir même de jouer avec des ccs que tu admires !! (lol). Une variante du paiement en visibilité sauf que la t’es payé en ayant le privilège de faire part de quelque chose dont t’es fan (lol numéro 2).
C’est super fréquent dans le milieu des influenceurs, c’est comme les concours en mode "dessine un fanart et t’auras peut être la chance d’être choisi pour que ton dessin serve dans notre merch" (aka faites nous des designs gratos)
Pour ça que c’est super vicieux parce que si t’en as marre bah tu te casses en fait et osef puisque derrière y’a des dizaines de jeunes fans qui donnerait tout pour avoir cette opportunité tu seras replacé en deux jours !
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Non Uccidere il Pesce d'Oro
Julien Ash & Antonella Eye Porcelluzzi | Mahorka | 2024
1. Fin août, tard le soir, dans une zone balnéaire pas que jolie, qui bientôt se dépeuplera. Elle en a un grand souvenir d’autrefois, et d’autrement. Le temps transforme tout. Voilà. C'est la pleine lune. Sentiments contradictoires. Ou tout simplement l'un qui aimait plus que l'autre, ou plutôt l'une en l'occurrence. Retenir ou laisser partir, sempiternelle question. Retenir et soumettre, se rendre minable… Ou laisser partir — et mourir de tristesse sur une plage sale, couverte de cadavres de 8.6 et de 1664.
2. Heureusement, elle pouvait compter sur l’anesthésie du clubbing, l’illusion de la résilience, l’hypertrophie de l’ego, sage, autonome, conquérant… Des projecteurs dansaient au-dessus d’eux qui dansaient, tantôt fous dans la lumière, tantôt dévastés dans la pénombre. Une sensualité trouble pour dernier filet. Le contact de deux ou trois corps inconnus. Et dans l’inconscient déjà le germe du regret futur. Les lieux de fête sont des lieux de blues. C’est dans ce genre d’endroit que vomissait Gainsbourg quand il oubliait de porter son masque. Miroirs et rasoirs dans les couloirs, les toilettes… Mieux vaudrait peut-être faire couler le sang. Plutôt flinguer son flair est le choix dominant.
3. Dans l’enfance, dans son pays d’origine, les matinées étaient tendres, pétillantes, à peine perturbées par une brise ensoleillée. La vie n’était pas plus facile, mais avec le recul, on lui trouverait des côtés candides, sincères, authentiques… C’est parce que les gens de là-bas sont souvent morts à présent. Et parce que l’enfant qu’elle y était est morte également, d’une certaine façon. Elle y retournera un jour — pour y renaître encore une fois.
4. Elle fait partie de ceux qui ont un sens décalé de la chronologie. Son passé et son présent se réinventent constamment, en fonction de sa qualité de conscience ; et il n'y a jamais de travestissement. Tu vas voir. Tu vas entendre. Cela ne sera pas logique, mais cela aura le poids de l’évidence. Cela résonne depuis un lointain trauma. Scie circulaire et ouroboros. Éros et Thanatos. Yin et Yang. Cela a le ton du reproche et celui de la proposition franche. Cela prendra le temps qu’il faut. Suspension, vibration : harmoniques… Ce qui reste dans le cœur et le cerveau, bien après qu’a cessé la parole. Et voici bientôt que s’ouvre un passage. Le coulissement obscur des grandes portes métalliques — d’un paradis ? Patience encore. Ça y est, les anges trinquent, incontinents : une ola de coupes dressées, hémoglobine dyonisiaque — en l’honneur de leurs faiseuses persécutées. Puis dans un grincement de plomb et d’airain, la nuit de l’Autre se recroqueville sur eux.
5. Il existe une sonate au clair de lune, et nous voulons faire tout l’inverse, ou presque : une bourrée au soleil noir. Le moment n’est-il pas venu de faire basculer l’essence dans la structure, dans la sculpture — comme un poisson dans l’or ? Le moment de déverser l’Étoile condensée sur tous les réseaux ? Leur binaire pourrait devenir ternaire par notre seule volonté. Mais hélas, par derrière, au point limite de pénétration de l’interface, cette satanée nostalgie qui affleure… Comme un vinyle qui craque. Il nous faudrait être plusieurs. Mais comment éviter le délitement de ce qui se sépare ? Comment ne pas tuer le Poisson que l’on veut voir nager dans un métal en fusion ?
6. Révélé, un secret perd tout son pouvoir. L’important n’est pas ce qui est caché, ce qui est tu en soi, l’important n’est pas la clef du mystère, l’important est le souci de garder quelque chose, de le préserver, de le chérir — douloureusement. De la famille jusqu’à Dieu… Plutôt le silence qu’une lumière aveuglante. La blessure se chuchote, l’initiation se murmure, l’humilité se scande.
7. La faute était nécessaire, c’est elle qui a permis de sauver son monde. Au petit matin, comme un second printemps, la liberté s'est mêlée aux scintillements de la Méditerranée. Sur le port, les pêcheurs installent leur marché. Elle sourit à la puissance qui la dépasse, physiquement et intellectuellement, mais qui la propulse vers la vie, de tout son cœur rassuré. Rinçage des pavés à l’eau claire. Odeur de marée. Aux mâts inébranlables ne flottent plus que des voiles de mariée.
#auteur jordane prestrot#julien ash#antonella eye porcelluzzi#mahorka#aloïs l.#wolf city#pierre-yves lebeau#francis porte#2024#musique
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12 mai
il aura suffi d'un message pour que a. fasse son retour dans mes nuits mais ça va, pas de signes de rechute, je suis protégée par mon amour infaillible pour r., mille fois plus dangereux encore pour ma santé mentale que mon amour pour a.
je veux pas être ici. j'ai demandé à majken tout à l'heure si elle était hôtesse de l'air (oui) parce qu'elle poste toujours des photos d'avion dans ses stories et hier soir je discutais avec léa qui me disait que si elle était pas prise à son master de sciences po elle ferait peut être une formation pour être hôtesse de l'air, et je suis en train de me demander, est-ce que je devrais faire hôtesse de l'air moi aussi? ça a l'air glamour. j'adore ses photos d'escaliers d'avion sur le tarmac la nuit et son maquillage d'hôtesse de l'air, même si moi je peux pas me maquiller et peut être que je suis trop moche et difforme pour être hôtesse de l'air. mais ça ferait un bon sujet de livre. enfin ça me donnerait du bon matériel je veux dire. j'aime bien l'idée que majken soit hôtesse de l'air maintenant, après avoir fait mille autre trucs farfelus. l'idée de pas se définir par son job, de se lancer dedans comme si c'était une aventure mais en prenant le mot aventure au sérieux et l'embrasser pleinement. je suis sûre qu'elle a décidé ça sur un coup de tête.
avant de monter au lit j'avais gotta get out gotta get out gotta get out before the morning comes before it's too late etc dans la tête mais je crois que les vraies paroles c'est gotta get up. dans russian dolls à chaque fois que natasha lyonne meurt elle en revient au même moment, dans la salle de bain au carrelage noir de son amie, et à chaque fois on entend cette chanson, comme i got you babe dans groundhog day, c'est une boucle sans fin et elle en revient toujours au même point, comme moi et la maison. j'avais pas du tout envie de partir ce matin. j'avais pas envie de me retrouver seule ici après m'être sentie entourée pendant cinq jours. même s'ils me foutent la honte. je les aime quand même. je les aime même si je me demande toujours si eux ils m'aiment vraiment. ou plutôt je sais qu'ils m'aiment mais je me demande pourquoi. j'ai l'impression d'être un monstre indigne d'amour quand je suis avec eux. un boulet ingrat pas aimable et pas serviable, un boulet triste et sans répartie. j'ai l'impression de pas faire d'efforts et de tout le temps faire la gueule. d'être snob méprisante et hautaine aussi. ça doit être le même mécanisme vicié qui fait que je comprends toujours pas pourquoi r. continue à m'écrire jour après jour. mais pourquoi j'ai aucun mal à concevoir qu'on puisse tomber amoureux.se de moi alors, ce qui par contre n'arrive jamais? c'est quoi le traumatisme qui se cache derrière ce mécanisme de pensée tout cassé?
16 mai
r. m'a dit qu'il aimerait bien que je vienne voir leur spectacle et j'ai failli décider de faire un aller-retour à bruxelles pour me soumettre à son désir et aussi éventuellement essayer de networker dans les coulisses mais c'est à mons et comment je rentre de mons le soir moi? je lui ai soumis mon problème mais il a pas proposé de solution donc j'irai probablement pas, mais en attendant la possibilité que je puisse y aller me stresse. et puis à midi il m'a écrit pour me demander si je serais à bruxelles en juin ou alors s'il pouvait venir me rendre visite ici parce qu'il aimerait bien me voir et je me suis sentie tellement mal que je me suis laissée tomber par terre au milieu de la cuisine et j'ai posé mes mains sur le carrelage froid pour me calmer. j'allais à la cuisine pour me préparer à manger mais finalement j'ai éteint le feu parce qu'r. avait pris toute la place dans mon estomac comme à chaque fois et j'avais plus faim, si jamais il vient je vais rien manger pendant deux jours. comment je vais faire pour tenir? j'ai essayé de me raisonner en me répétant que les amis ça se rend visite, moi je vais rendre visite à mes amis aussi, l'été dernier je suis allée rendre visite à n. par exemple, n. est mon amie et j'avais envie de la voir, je lui ai dit que j'avais envie de la voir. ça parait évident mais mon cerveau est trop distordu par mes sentiments pour voir l'évidence. je lui ai répondu qu'il était le bienvenu au lux comme si de rien n'était, sans rien laisser paraitre du combat acharné qui se joue dans ma tête depuis presqu'un an: prendre sur moi et souffrir en silence pour le garder avec moi ou être honnête avec lui et couper les ponts pour préserver ma santé mentale?
ça fait trois heures que je suis allongée dans mon lit en train d'examiner ma chambre en me demandant ce que dirait r. de telle ou telle chose et en fait je préfèrerais vraiment qu'il vienne pas et qu'on se voie juste à bruxelles parce que j'assume pas. j'assume pas ma chambre d'ado, même si c'est plus une chambre d'ado et qu'elle est trop belle, mais c'est pas un truc d'ado de trouver sa chambre trop belle? mais surtout, j'assume pas maman. avant d'aller au lit elle m'a dit d'aller à une foire à l'emploi ou je sais pas quoi demain à belval et j'ai dit ok et elle a dit de toute façon tu vas pas y aller et elle a soupiré et elle m'a dit bonne nuit et moi j'ai remis ma téléréalité lesbienne pour noyer ma nausée dans des gros plans de filles qui s'embrassent.
lundi la fille de mon cours de luxembourgeois m'a demandé comment j'avais passé ma journée et puis elle m'a demandé si je cherchais du travail et j'ai baissé la tête en marmonnant. aujourd'hui elle m'a parlé de sa meilleure amie qui vit sa best life en australie avec un visa vacances-travail, elle aussi elle a passé un an en australie et elle a fait plein de voyages et maintenant elle a un travail administratif qu'elle aime et un appart à cinq minutes de son travail et une vie de couple avec son copain et c'est très bien mais elle peut pas s'empêcher d'être jalouse de son amie qui venait de rencontrer un garçon mignon à un barbecue sur la plage parce que ça lui manque la vie d'aventure et elle sait pas quoi faire de son dilemme. en octobre elle part rejoindre son amie en australie pour en mois avec un congé sans solde, elles vont visiter le vietnam, singapour, bali et les îles fidji et elle veut s'acheter un drone et un appareil photo fujifilm pour l'occasion parce qu'il fait un peu vintage mais il coûte plus de mille euros alors elle a dit qu'elle le mettrait sur sa liste d'anniversaire. elle a aussi une liste de noël. je voulais lui demander si je pouvais mettre mon microkorg et un micro sur sa liste aussi.
je veux pas travailler mais lundi j'ai passé la journée à travailler sur mon petit bijou de chef d'oeuvre de film de vacances en famille, j'y étais de dix heures du matin à minuit, j'adore travailler, je suis une workaholic, depuis qu'on est rentrées je fais que travailler. quand j'ai eu fini mon film je l'ai regardé et j'ai pensé and that's why they pay me the big bucks comme cameron diaz dans the holiday quand elle regarde ses bandes annonce, sauf que personne me paie des big bucks. et puis j'ai continué à travailler sur mon livre et je fais que ça sauf quand je donne des cours ou que je vais me promener ou que j'écoute la terre au carré dans la cuisine comme hier parce qu'ils parlaient de bruno latour et de gaïa et que je considérais que ça faisait partie de mon travail de recherche.
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La Vita 2*
Danseuse et abonné, à l'opéra (le foyer de la danse), 1905 | Jean-Louis Forain (1852-1931, France)
Cléo de Mérode (1875-1966, France)
Cléo de Mérode (1875-1966, France)
Le dialogue | Jean-Louis Forain (1852-1931, France)
'Friquette' by Raoul Schubert, published by E. Demets (Paris, s.d.). Illustration signed 'Gebo'
Rats (d’opéra), dans La Ménagerie parisienne, Paris, 1854 | Gustave Doré (1832-1883, France)
Ballerina, 1958 | Sergio Cirno Bissi (1902-1987, Italia)
Ballerina | Sergio Cirno Bissi (1902-1987, Italia)
Scene da un bordello | Gildo De Bonis (1970, Italia)
Il bar delle Folies Bergère, 1881-82 (Courtauld Institute Galleries London) | Édouard Manet (1832-1883, France)
Olympia, 1863 (Musée d'Orsay, Paris) | Édouard Manet (1832-1883, France)
Cléo de Mérode (1875-1966, France)
1907 | Mata Hari (1876-1917, Netherlands)
Julia Tahl known as Mademoiselle Alice de Lancey, 1876 (Petit Palais, Musée des Beaux-Arts, Paris) | Charles Carolus-Duran (1837-1917, France)
Le foyer de l'Opéra | Jean-Louis Forain (1852-1931, France)
Derrière les coulisses | Jean-Louis Forain (1852-1931, France)
Derrière les coulisses | Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901, France)
Venduta, 1897 | Angelo Morbelli (1853-1910, Italia)
Primo denaro (First money), 1928 | Cagnaccio di San Pietro (1897-1946, Italia)
La toeletta del mattino (in un bordello fiorentino) - The morning toilet (in a Florentine brothel), 1898 | Telemaco Signorini (1835-1901, Italia)
Le danceur, 1890 | Jean-Louis Forain (1852-1931, France)
Symphonie en bleu | Jean-Louis Forain (1852-1931, France)
Dans les coulisses (Dietro le quinte), 1897 | Henri Boutet (1857-1919, France)
L’attente, 1880 | Jean Béraud (1849-1935, France)
L’attente, 1880 | Jean Béraud (1849-1935, France)
The courtesan and the old man, 1522 (The Museum of Fine Arts, Budapest) | Lucas Cranach 'the Elder' (1472-1533, Germany)
Danseur et protecteur | Jean-Louis Forain (1852-1931, France)
Rolla, 1878 | Henri Gervex (1852-1929, France)
Nana, 1877 (Hamburger Kunsthalle) | Édouard Manet (1832-1883, France)
Elle | Gustav-Adolf Mossa (1883-1971, France)
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C’est le rendez-vous des plus radicaux de l’extrême droite française. Chaque année, aux alentours du 9 mai, les néofascistes français déambulent en toute quiétude à Paris. Derrière une banderole «Sébastien présent», ils sont régulièrement une grosse centaine de militants portant des drapeaux noirs, souvent ornés de la croix celtique, à défiler en rang depuis la station RER Port-Royal, dans le Ve arrondissement de Paris, jusqu’à la rue des Chartreux, située non loin. C’est le Comité du 9-Mai (C9M), un hommage à Sébastien Deyzieu, un jeune militant du mouvement pétainiste l’Œuvre française, mort d’une chute accidentelle alors qu’il tentait, le 9 mai 1994, d’échapper à la police après une manifestation interdite par les autorités de l’époque.
«Provoquer la terreur»
Une manifestation qui n’est pas du tout du goût des habitants du quartier. «Cela fait quatorze ans que je subis ça en bas de chez moi et j’aimerais que ça cesse», explique Antoine (1) à Libération. L’appartement de ce riverain a une vue plongeante sur la rue où se déroule l’hommage. «Leurs discours sont violents, leurs gestes, des saluts nazis qu’ils ne peuvent s’empêcher de faire, sont insupportables. Il y a chez eux une volonté de provoquer la terreur», précise ce neveu d’un pilote de la RAF mort aux commandes de son avion pendant la Seconde Guerre mondiale. D’autant que la mouvance est violente, comme l’a confirmé notre enquête dévoilant les coulisses d’une ratonnade avortée de ces mêmes néonazis en marge du match France-Maroc en décembre dernier.
«Nous refusons de vivre dans la peur», explique Antoine, qui tient chaque année, avec sa femme, à montrer sa désapprobation par de petites actions symboliques. Si leurs voisins ferment leurs volets pendant la manifestation, eux ont affiché un message de tolérance en plusieurs exemplaires dans la rue ou diffusent de la musique pour tenter de couvrir les chants virulents des manifestants.
Fatalisme ambiant
Le couple tient à préciser qu’ils ne sont «pas des militants politiques» : «On est juste des gens qui ont une vision du monde et de l’histoire qui ne collent pas avec la leur.» Et de regretter un certain fatalisme ambiant. Ils en veulent surtout aux autorités, qui autorisent chaque année le rassemblement, «à l’exception d’une fois quand Bertrand Delanoë leur avait interdit de défiler». «On nous dit “il ne faut pas en parler, ils sont connus et surveillés donc laissons-les faire”», fait savoir Antoine. Résultat : «ils sont de plus en plus nombreux chaque année», à l’exception du la période du Covid, en 2020, où seule une dizaine d’entre eux s’était présentée. Le couple dit aussi avoir remarqué qu’une nouvelle génération de militants d’extrême droite s’étaient emparés de la cérémonie. «Les vieux viennent de moins en moins, remarque Céline. Ils sont de plus en plus jeunes, c’est assez affligeant.» [...]
Depuis la reprise en main du C9M par le Bastion social et les Zouaves Paris, les effectifs ont crû et le rassemblement a pris de l’ampleur. L’année dernière, ils étaient presque 200 à se rassembler. Il y a fort à parier qu’ils seront encore plus nombreux ce samedi. Depuis plusieurs semaines, des groupuscules d’extrême droite radicale, notamment parisiens, battent le rappel des troupes sur les réseaux sociaux et collent des affiches à Paris, Lyon, Bourges, Aix-en-Provence, Versailles, Tours ou encore Perpignan pour venir grossir les rangs de la manifestation. Le GUD, resucée du groupe dissous des Zouaves Paris, a même tracté fin avril devant l’université d’Assas, proche des lieux de la manifestation, pour appeler les étudiants à participer. Leur chef, le cogneur Marc de Cacqueray-Valménier, pourrait être présent malgré son contrôle judiciaire qui lui interdit de se rendre à Paris, comme ce fut le cas les années précédentes. Contactée par Libération, la préfecture de police de Paris précise qu’un «dispositif de sécurité adapté sera mis en place». Sans plus.
Reste que chaque année la manifestation fait peser, disent les riverains, «une chape de plomb sur le quartier» et «une ambiance délétère». Faute de pouvoir compter sur les autorités, l’une d’entre eux, croisée pendant ses courses, «fai[t] en sorte de ne pas être là de la journée». Elle lâche : «C’est dégoûtant de voir ça.»
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Gaffe. 😊
#gaffe#blooper#derrière les coulisses#blogueuse de mode#blogueuse#séance de photographie#photo du jour#leblogdejennifer
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La Mode illustrée, no. 29, 16 juillet 1865, Paris. Costume de bain. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Ce costume se compose d'une blouse avec capuchon, faite en flanelle blanche, ornée de ruches en ruban de laine rouge. On emploiera 8 mètres de flanelle, ayant 80 centimètres de largeur. Après avoir complété les figures 1 et 2 qui sont repliées, on coupera deux morceaux d'après chacune de ces figures, en complétant la longueur, — d'après les proportions de chaque personne, — dans la direction indiquée par la pointe del flèche, et laissant l'étoffe nécessaire pour un ourlet de 3 centimètres sur le bord inférieur de la blouse; celle-ci devra atteindre à peu près la cheville du pied; on coupe la pièce de la blouse d'après les figures 3 et 4, le dernière comme aussi la manche (la figure 5 en représente la moitié) d'un seul morceau, sans couture. La figure 6 est la moitié du capuchon, coupé aussi sans couture, en laissant en plus l'étoffe nécessaire pour un rempli sur son bord extérieur. On coud ensemble les deux motiés du dos, au milieu, par derrière, puis aussi les devants ensemble, depuis l'étoile jusqu'au bord inférieur; on fait un ourlet à l'endroit, tout autour, et l'on pose sur l'ourlet un ruban de laine ayant 2 centimètres de largeur. On plisse le bord supérieur en posant deux croix sur le point intermédiaire, de telle sorte que les lignes ponctuées représentent le côté extérieur des plis; on borde les plis avec un cordon, et l'on réunit la blouse et la pièce en assemblant les lettres pareilles. La pièce à été bordée d'un passe-poil et garnie de boutons et de boutonnières; on assemble ensuite la blouse depuis. À jusqu'au bord inférieur, la pièce depuis F jusqu'au G. On coud la manche ensemble, depuis H jusqu'à la croix, et on la fronce sur chaque côté long. Le bord inférieur est garni avec une bande double posée à cheval, ayant 1 centimètre 1/2 de largeur, dont la longueur est déterminée par la grosseur du bras; on couvre cette bande avec une ruche en ruban de laine, on coud la manche dans l'entournure, H avec la même lettre de la figure 1. Le capuchon est replié à l'intérieur, de telle sorte qu'il est double jusqu'à la ligne intérieure qui indique la place de la coulisse. On couvre les bords de l'étoffe avec un cordon qui sert de coulisse. On fronce le capuchon sur son bord supérieur, depuis le point, on le réunit à la blouse en assemblant les lettres pareilles; les remplis de cette couture sont couverts avec un ruban rouge. La pièce de la blouse et le capuchon sont ornés de ruches comme le dessin l'indique.
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This suit consists of a hooded blouse, made of white flannel, decorated with ruffles of red wool ribbon. We will use 8 meters of flannel, 80 centimeters wide. After having completed figures 1 and 2 which are folded, we will cut two pieces according to each of these figures, completing the length, - according to the proportions of each person, - in the direction indicated by the point of the arrow, and leaving the fabric necessary for a 3 centimeter hem on the lower edge of the blouse; this should reach approximately the ankle of the foot; we cut the piece of the blouse according to figures 3 and 4, the last one as well as the sleeve (figure 5 represents half) in one piece, without sewing. Figure 6 is half of the cap, also cut without seam, leaving in addition the material necessary for filling on its outer edge. We sew the two halves of the back together, in the middle, at the back, then also the fronts together, from the star to the lower edge; we make a hem in the right side, all around, and we place on the hem a woolen ribbon 2 centimeters wide. We pleat the upper edge by placing two crosses on the intermediate point, so that the punctuated lines represent the outer side of the folds; we edge the folds with a cord, and we join the blouse and the piece by assembling the similar letters. The piece has been lined with piping and trimmed with buttons and buttonholes; we then assemble the blouse from there. To the bottom edge, the piece from F to G. Sew the sleeve together, from H to the cross, and gather it on each long side. The lower edge is trimmed with a double strip placed on horseback, 1 1/2 centimeters wide, the length of which is determined by the size of the arm; we cover this strip with a ruffle made of woolen ribbon, we sew the sleeve in the hem, H with the same letter of figure 1. The hood is folded inside, so that it is double until to the inside line which indicates the place of the slide. We cover the edges of the fabric with a cord which serves as a drawstring. We gather the hood on its upper edge, from the point, we join it to the blouse by assembling the similar letters; The fillings of this seam are covered with a red ribbon. The blouse piece and the hood are decorated with ruffles as the design indicates.
#La Mode illustrée#19th century#1860s#1865#on this day#July 16#periodical#fashion#fashion plate#description#Forney#dress#beach#swim#suit
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DVDvision - La Collection Épisode 6
L'histoire de DVDvision vol.1 continue ! Et voici l'épisode 6 de la série, quand un journaliste a chuté à travers une lucarne, et le magazine a failli complètement s'arrêter !
Numéro 6 - Septembre 2000 -
100 pages
Editeur : Seven Sept
Directrice de publication : Véronique Poirier
Rédacteur en chef : David Fakrikian
Rédacteurs principaux : Yannick Dahan, Christophe Lemaire, Stéphane Lacombe, François Jamin, Benjamin Rozovas, Rafik Djoumi, David Martinez, Sandy Gillet, Nicolas Saada, Nicolas Rioult, Luc Vigoureux.
Sommaire : Spielberg en DVD, Le 13e guerrier version intégrale ?, Dario Argento, Laurent Bouzereau, Chapeau Melon et Bottes de Cuir.
DVD : Le court métrage Daena.
Notes : Droit dans le mur ! Ce numéro a bien failli être le dernier. Pendant sa conception nous perdons le maquettiste Philippe Lambert, qui craque et décide de partir faire de la presse ailleurs, mais au dernier moment, quand il n'est quasiment plus possible de le remplacer ! Alors que reprend le cercle infernal des candidats à la direction artistique, le temps passe, et passe, et passe encore... jusqu'à ce qu'il ne reste plus que 4 jours avant de rendre le produit fini, sous peine de rater la date de parution. Ce qui n'est pas envisageable, puisque le DVD, qui est un spécial Clint Eastwood, et qui comprend un court-métrage en 5.1, Daena, est déjà pressé !
La jaquette du DVD spécial Clint !
En l'absence de tout candidat sérieux à la maquette, nous décidons donc de nous adresser à une agence intérimaire, qui relève le défi de réaliser l'intégralité de la maquette en 3 jours, secrétariat de rédaction compris. Je vous laisse imaginer l'enfer et la pression...
Tout ça en est trop pour le pauvre Leonard Haddad, qui au cours d'une pause-cigarette, tombe par inadvertance à travers une lucarne en verre, et va s'écraser trois mètres plus bas, détruisant une partie du matériel informatique et mobilier de la société qui a accepté de nous aider ! Un accident qui déclenche la fureur du dirigeant, qui entretenait un espoir de travailler régulièrement sur le magazine, espoir qu'il voit réduit en autant de miettes que les débris de la vitre à travers Leonard est passé. Heureusement, l'aventureux et indestructible journaliste n'en tirera que quelques contusions et égratignures...
Cette série d'événements, et le stress qu'ils entrainent, (même si en y repensant des années après, c'est très drôle !), m'emmènent au bord du découragement. Il faut dire que l'année a été (trop) riche en rebondissements côté coulisses. L'éditorial parait arrogant, mais ce n'est que du flan. En dehors des ventes, plutôt bonnes, le manque de structure du magazine en fait une revue en perpétuel sursis, surtout sans personne de stable à la maquette, et ceci au bout d'un an d'existence !
Pourtant, à y regarder de près, le numéro n'a pas a rougir des précédents, bien au contraire : il marque le premier gros papier de Benjamin Rozovas qui, même s'il collaborait au magazine depuis le début, n'avait pas eu l'occasion de se faire la plume sur un dossier aussi intéressant que celui qu'il livre sur la version initiale du 13e Guerrier de John Mc Tiernan. Un dossier qui remportera l'adhésion des lecteurs, et justifiera son embauche à temps plein dans le journal plus tard. Rafik Djoumi s'éclate dans un dossier Spielberg en béton (Le Seigneur des anneaux n'était pas encore sorti). Stéphane Lacombe commence de son côté à vraiment poser les bases de la rubrique Zone Interdite, qui deviendra rapidement l'une des meilleures du magazine, avec un parti pris des cinématographies bis et cultes poussé à l'extrême.
News du site DVDfurax sur notre stand au Mondial 2000. On peut voir sur la photo derrière le stand à gauche Catherine Lucet, la monteuse du mag, et à droite, Christelle Gibout, la responsable éditoriale du DVD.
Suite au bouclage, vu les difficultés, je songe à tout arrêter, mais plusieurs événements vont me faire changer d'avis. Tout d'abord lors de notre séjour au Salon du Son et de l'Image 2000, en septembre, notre stand est littéralement assailli par une horde de fans déchainés, qui nous arrachent des rayons tous les anciens numéros, et nous demandent de continuer sans rien changer. Ensuite, une grande partie des rédacteurs des autres journaux ayant un stand au Salon, qui passent à un moment ou à un autre, (discrètement) nous demander si on embauche ! Et puis finalement la direction de Seven Sept, qui à l'heure du bilan, me convoque. Vu tout ce qui s'est passé, je m'attend à ce qu'ils m'annoncent qu'ils arrêtent tout. Mais ils vont me dire... non pas qu'ils ont décidé d'arrêter, mais au contraire, que nous allons quitter notre couloir avec trois bureaux, déménager d'un étage, pour des locaux à nous tous seuls, et embaucher de nouveaux collaborateurs !
Et enfin je ne le sait pas encore, mais j'ai déjà rencontré LA future directrice artistique du magazine, Sandra Abreu, qui m'a été présentée par Karine Poirier. Embauchée au départ pour travailler sur l'habillage graphique et les menus du DVD, elle va très rapidement se retrouver aux commandes de la section maquette du magazine, et jusqu'au bout de l'aventure. Mais ceci est une autre histoire, celle du prochain numéro...
La citation de ce numéro : "Je sais pas ce qui m'a pris, j'ai mis le pied sur la vitre, et je suis passé à travers" (Leonard Haddad - aout 2000)
copyright © David Fakrikian 2006-2008 / DVDvision.fr
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Série Entourage
Série Entourage est une série télévisée canadienne française diffusée sur Radio-Canada de 2002 à 2004. L'émission suit la vie de quatre amis vivant à Montréal, au Québec. La série a été créée par François Létourneau et Fabrice Létourneau, et met en vedette Patrice Robitaille, Stéphane Rousseau, Patrick Huard et Pierre-François Legendre.
Comment le casting d'Entourage a changé au fil des années
Le casting d'Entourage a connu quelques changements au fil des années. Certains des membres originaux du casting ont quitté la série, tandis que de nouveaux l'ont rejoint. Voici un aperçu du casting d'Entourage et de la façon dont il a changé au fil des ans. Le premier changement dans la distribution d'Entourage a pris la forme d'un départ. L'un des membres du casting original, Debi Mazar, a quitté la série après la quatrième saison. Son personnage, Shauna, a été retiré de la série. Le deuxième changement au sein du casting a pris la forme d'un ajout. Dans la cinquième saison, Perrey Reeves a rejoint le casting dans le rôle de Dana Gordon. Dana est une productrice de films qui devient l'amoureuse du personnage d'Eric Murphy (joué par Kevin Connolly). Le troisième changement au sein du casting a pris la forme d'un autre départ. Après la sixième saison, Rex Lee a quitté la série. Son personnage, Lloyd, a également été retiré de la série. Le quatrième et dernier changement dans la distribution a pris la forme d'une nouvelle addition. Dans la septième saison, Bas Rutten a rejoint le casting en tant que nouvel assistant d'Ari Gold (joué par Jeremy Piven). Ainsi, au fil des ans, le casting d'Entourage a connu quelques changements. Certains membres du casting d'origine ont quitté la série, tandis que de nouveaux l'ont rejointe.
Les meilleurs épisodes d'Entourage de tous les temps
1. L'épisode où le film de Vince est un flop. 2. L'épisode où Ari démissionne de son travail 3. L'épisode où Drama se voit offrir un rôle dans un feuilleton. 4. L'épisode où Turtle essaie de vendre sa société de tequila. 5. L'épisode où Eric et Sloan se séparent
Pourquoi Entourage est la meilleure série de tous les temps
Entourage est la meilleure série de tous les temps car elle dépeint de manière réaliste le style de vie hollywoodien. La série est drôle, relatable, et vous laisse toujours deviner. Section du blog : Les personnages d'Entourage Les personnages d'Entourage font partie des personnages les mieux développés et les plus intéressants de la télévision. Chaque personnage a sa propre personnalité et son histoire, ce qui les rend fascinants à regarder. Section du blog : Les intrigues d'Entourage Les intrigues d'Entourage sont toujours intéressantes et captivantes. Les scénaristes font un excellent travail pour créer des intrigues qui sont à la fois réalistes et divertissantes.
Comment Entourage a changé le jeu pour les émissions de télévision
Comment Entourage a changé la donne pour les séries télévisées. Entourage a été l'une des premières émissions à montrer réellement ce qui se passe dans les coulisses d'Hollywood. Elle nous a donné un aperçu des hauts et des bas d'être une célébrité, et de la difficulté de maintenir des amitiés et des relations lorsque vous êtes toujours sous les projecteurs. La série a également été révolutionnaire dans sa représentation de l'amitié masculine. Elle a montré que les hommes pouvaient être proches sans être homosexuels, et qu'ils pouvaient avoir des conversations profondes sur leurs sentiments sans être émasculés. Entourage a changé la donne pour les émissions de télévision, et c'est toujours l'une des meilleures émissions jamais réalisées.
L'héritage d'Entourage
Lorsque Entourage s'est terminée en 2011, elle a laissé derrière elle l'héritage d'être l'une des émissions de télévision les plus populaires et les plus réussies de son époque. L'émission était un précurseur à bien des égards, et son influence est encore visible aujourd'hui à la fois à la télévision et dans la culture populaire. Voici quelques-unes des façons dont Entourage a laissé sa marque : 1. Elle nous a donné un aperçu de la vie des gens riches et célèbres. Pendant huit saisons, Entourage nous a permis d'être aux premières loges de la vie glamour de la star de cinéma Vincent Chase et de son entourage. Nous avons pu voir tout le faste et le glamour d'une vedette hollywoodienne, ainsi que les drames qui se déroulent en coulisses. 2. Elle nous a montré le pouvoir de l'amitié L'un des thèmes les plus durables d'Entourage était le pouvoir de l'amitié. Peu importe ce que Vincent et ses amis ont traversé, ils se sont toujours soutenus les uns les autres. C'était un changement de rythme rafraîchissant par rapport au monde habituel d'Hollywood, où l'on s'empiffre de chiens, et c'est une chose à laquelle nous pouvons tous aspirer dans nos propres vies. 3. Cela nous a fait rire... beaucoup. Bien qu'Entourage soit un drame, c'est aussi l'une des émissions les plus drôles de la télévision. Qu'il s'agisse des pitreries de Turtle, des répliques d'Ari Gold ou du jeu excessif de Drama, il y avait toujours quelque chose pour nous faire rire. 4. La série n'avait pas peur de s'attaquer à des sujets controversés Entourage n'a pas eu peur d'aborder des sujets controversés, comme le mouvement #MeToo, d'une manière à la fois provocante et divertissante. La série n'avait pas non plus peur de se moquer d'elle-même, et cette conscience de soi n'a fait que renforcer notre amour pour elle. 5. Une galerie de personnages inoubliable Enfin, Entourage nous a offert une galerie de personnages que nous ne sommes pas prêts d'oublier. De Vincent Chase à Ari Gold en passant par Johnny Drama, chaque personnage était unique et inoubliable à sa manière. Nous serons à jamais reconnaissants à Entourage de nous avoir offert huit saisons de télévision inoubliable. La finale de la série Entourage a été un moment doux-amer pour les fans. S'il était triste de voir l'émission se terminer, c'était aussi une fin appropriée à l'histoire de ces personnages. Le final de la série a donné aux fans une chance de voir les personnages grandir et changer, et c'était une fin appropriée à la série. Read the full article
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Derrière le rideau, les **Coulisses-onirisme tumbkr
“safety curtains” by cy twombly, vienna state opera (2010-11)
the vienna state opera has transformed its curtains, a relatively bland and practical feature, in an ongoing exhibition series titled “safety curtains”. every year since 1998, the opera house invited an artist to showcase their visionary through the canvas of their curtains.
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5 mars
aujourd’hui j’ai fait une banana cream pie pour l’anniversaire de manon et en remuant ma crème pâtissière à la noix de coco, comme depuis a., à chaque fois que je fais une crème pâtissière maintenant dans ma tête je la fais pour une fille, plus ou moins inaccessible, je pensais à laura a. je fais de la crème pâtissière pour mes amantes imaginaires. ça rime. je vais le mettre dans ma chanson. celle qui n’existe pas encore mais qui dit aussi les filles existent et moi je pleure. j’ai brièvement imaginé ma vie de couple avec laura dans son appart de jette, moi derrière les fourneaux en train de remuer ma crème pâtissière, elle qui rentre du studio où elle vient de répéter toute la journée, elle travaille trop, elle a pas le temps de cuisiner alors c’est moi qui lui cuisine des bons petits plats. dans mes fantasmes je suis la femme au foyer d’une danseuse de 46 ans. je sais pas si c’est normal. elle me donne tellement envie de savoir danser, c’est tragique que je sois pas gracieuse ni coordonnée, ça me tue, la danse est la plus belle chose du monde (avec la musique) et je suis tellement triste de pas pouvoir en faire partie. de devoir me contenter de regarder.
à part ça ce weekend j’ai découvert les mochis et à chaque fois que j’en mange je suis morte de rire, je sais pas pourquoi. j’ai regardé un doc sur l’univers et ils parlaient des naines blanches qui risquent en permanence de s’autodétruire à cause de la force gravitationnelle qui émane de leur centre et ça m’a fait penser à mon rêve de la mort avec la ferraille et les coulisses du temps, et puis j’ai commencé à lire le texte de r. sur lequel elle veut travailler pour la performance, elle y parle du taoïsme et d’une maison qui représente l’univers et le cosmos, devant et derrière la maison c’est le futur et le passé et y a une rivière qui coule qui représente le temps et les souvenirs, je crois. aussi: j’ai vraiment envie de me replonger dans l’écriture de mon livre là. c’est cette histoire avec laura qui m’a redonné envie. cette histoire de littérature mêlée à la vie. mais pour qu’il y ait littérature, il faut écrire.
8 mars
j’écris dans le train parce que j’ai peur de pas avoir le temps à genève. j’adore dire que je vais à genève pour travailler. travailler sur un projet. travailler avec mon collectif. je vais faire une résidence. je vais “bosser sur une créa” comme cybille. “do some research” comme magdalena dans le studio de danse de molenbeek. je fais des trucs d’artiste. j’ai trouvé une conversation de deux heures entre laura a. et son ami bruno que j’avais rencontré au studio et que j’avais trouvé incroyablement chaleureux, je crois qu’il est brésilien. j’en ai regardé la moitié lundi soir alors que je voulais regarder recherche maison ou appartement spécial bord de mer, mais stéphane plaza ne tenait pas le cap face à laura a. j’ai appris plein de de choses sur la danse, c’était trop bien, ok j’arrive plus à me concentrer deux femmes écoutent du métal mongol à côté de moi.
je suis chez r. et je dors seule, quel soulagement. s. est pas encore arrivée à cause des grèves. j’étais brièvement de retour dans l’appart de f. à zurich cet après-midi, enveloppée dans une grande couverture jaune sur le canapé à lui poser des questions sur sa vie et à écouter ses réponses sans qu’elle m’en pose en retour donc je lui ai pas pipé mot de laura ni du workshop à bruxelles ni de rien du tout. laura ça reste une affaire entre moi et mon journal. je regardais la grande armoire en bois encastrée dans le mur avec la grande plante verte devant et ça me donnait terriblement envie d’avoir un appartement à moi, avec une grande armoire en bois pour mettre ma petite collection de vaisselle dépareillée et pouvoir y inviter mes ami.es et mon amoureuse pour faire des dîners et mettre la table et préparer des playlists et leur faire des gâteaux avec de la CRÈME PÂTISSIÈRE. j’ai décidé de dédier un chapitre de mon livre à la crème pâtissière. elle mesure pas sa chance f. je lui ai dit que je voulais déménager à bruxelles parce que j’étais amoureuse, et puis j’ai ajouté de bruxelles, parce que bon je suis pas amoureuse de laura a. à ce point non plus, et elle a dit qu’elle trouvait que c’était un peu crade à son goût et que ça craignait trop. moi aussi je trouve que c’est crade bruxelles mais je veux être plus comme laura a. et trouver ça excitant. même si j’adore secrètement me sentir safe dans les rues cossues de genève.
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