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#david baille
graphicpolicy · 24 days
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Get a look at Luciano Saracino and Ariel Olivetti's Black, White & Bloodshot story
Get a look at Luciano Saracino and Ariel Olivetti's Black, White & Bloodshot story #comics #comicbooks
Enter the world of Bloodshot in this brand-new Black, White, and Blood anthology! Meet Bloodshot, the world’s deadliest assassin! A super soldier engineered with Nanites, a versatile nanotechnology that allows Bloodshot to repair the damage inflicted on his body, change his appearance, and control machines. Black, White & Bloodshot comes from the creative minds of some of the world’s most…
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marie-swriting · 1 year
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Pâtisserie Thérapie - Emily Prentiss
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Masterlist
Résumé : Emily a beaucoup de choses en tête mais elle sait qu'elle peut compter sur toi pour le remarquer et l'aider à se sentir mieux.
Warnings : se passe pendant la saison 12 donc mention de Reid en prison, hurt/comfort, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 1.9k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Sweet Nothing par Taylor Swift
Encore dans son bureau au BAU, Emily finit son dossier sur l’enquête que l’équipe vient de résoudre, les yeux fatigués. Elle lutte du mieux qu’elle peut pour avoir la force de reprendre le dossier de Reid quand elle aura fini. Cependant la fatigue continue à prendre le dessus quand elle se met à bailler fortement. Emily arrête d’écrire et ferme les yeux tout en s’étirant, espérant faire partir l’épuisement. Quand elle pense avoir récupéré assez de force, Emily reprend son stylo et continue sa phrase. Quand elle la termine, quelqu’un frappe à son bureau. Sans relever la tête, elle invite la personne à entrer. En entendant la voix de Rossi, elle porte son attention sur son collègue.
-Tu as bientôt fini ?
-Presque. Je dois finaliser quelques passages, informe-t-elle en pointant le dossier.
-Tu pourras vite rentrer te reposer, alors.
-Non, je veux regarder le dossier de Reid.
En entendant l’information d’Emily, Rossi soupire avant de se rapprocher de son bureau. 
-Emily il est vingt-et-une heure passée. Je croyais que tu devais passer la soirée avec Y/N.
-Je lui ai dit que je rentrerais plus tard, précise Emily et Rossi lui lance un regard appuyé. Quoi ? 
-Tu devrais rentrer. 
-Et je vais le faire. Je veux essayer de trouver une piste pour aider Reid.
-Ecoute, je veux Reid en dehors de cette prison autant que toi, mais tu ne lui seras d’aucune aide si tu t’endors sur son dossier. Va retrouver ta femme chez toi et repose toi. Ainsi, tu pourras mieux travailler, ordonne David en posant sa main sur son épaule. 
-Certes mais…
-Pas de “mais”. Crois-en mon expérience. Finis ce dossier et rentre, insiste-t-il. 
-Je le ferai, finit par céder Emily en soupirant.
-Passe une bonne nuit, Prentiss.
-Toi aussi, Rossi.
Quand Rossi est parti, Emily ne perd pas une seconde et reprend son rapport. Le point final posé sur le papier, elle jette un coup d'œil au dossier de Reid sur son bureau puis à la photo de vous deux. Elle veut écouter le conseil de Rossi, mais elle veut profiter de chaque seconde pour aider son ami. Toutefois, quand elle baille à s’en décrocher la machoire, elle doit admettre qu’elle a besoin de se reposer. À contrecoeur, elle éteint sa lampe de bureau, prend ses sacs et quitte le bâtiment. 
Sur le chemin, elle fait attention en conduisant, consciente de son niveau de fatigue. En arrivant enfin chez vous, Emily soupire de soulagement. Dans l’ascenseur, elle s’étire la nuque tout en regardant son téléphone. Quand elle ouvre la porte de votre appartement, un sourire prend place sur son visage pendant qu’Emily pose ses sacs au sol. Tu es dans la cuisine fredonnant le refrain de Eternal Flame par The Bangles, Emily te rejoint et en se rapprochant de toi, elle te trouve en train de finir de préparer des pâtes fraîches. Emily passe ses mains autour de ta taille et pose son menton sur ton épaule. En la sentant, tu sursautes légèrement avant de tourner la tête vers elle. Tu l’embrasses chastement et te concentres à nouveau sur tes pâtes.
-Tu es à la maison plus tôt que prévu. 
-Rossi m’a convaincu de quitter le bureau.
-Rappelle-moi de lui envoyer un message pour le remercier et en même temps le réprimander. Je voulais que tout soit prêt quand tu arrives, expliques-tu en souriant.
-Ce n’est pas grave. Qu'est-ce que tu cuisines de bon ? 
-Pasta alla carbonara alla Rossi, t'exclames-tu en tentant un accent italien. Je sais, j'ai mal prononcé, ajoutes-tu alors qu'Emily se retient de rire. 
-C'était adorable, affirme-t-elle en t'embrassant la joue. Tu as besoin d'aide ? 
-Non, je tiens trop à ma cuisine pour ça. 
-Hey, je suis pas si mauvaise que ça ! s’offusque Emily en te chatouillant.
-Tu t’es améliorée, je dois l’admettre, dis-tu en continuant à couper les pâtes. Tu as le temps d’aller prendre un bain et de te mettre dans des vêtements plus confortables. Allez, va ! ordonnes-tu en la poussant dans la direction de la salle de bain.
Quand elle réapparaît dans la cuisine, tu viens juste de finir de cuisiner. Les cheveux d’Emily sont mis dans un chignon et elle est vêtue d’un legging avec un de tes tee-shirts. Elle s’installe à table pendant que tu mets les pâtes à la carbonara dans les assiettes. Au même moment où tu poses le plat sur la table, Emily te sert un verre de vin avant de s’en servir un également. 
Pendant votre repas, Emily te pose des questions sur ta journée. Tu lui parles de ta classe et des phrases que tes élèves de six ans ont pu te dire, Emily rigole à certaines d’entre elles. En continuant de discuter, tu remarques qu’elle fait tout pour éviter de parler de sa journée, mais tu ne dis rien. Tu sais qu’Emily a besoin d’un peu de temps avant d’expliquer les horreurs dont elle a été témoin sur le terrain. Imaginant que cette affaire n’a pas été facile, tu la distrais jusqu’à la fin de votre repas.
Quand vous avez débarrassé la table, tu devines au visage d’Emily qu’elle n’est pas près de s’endormir, malgré sa fatigue. Son cerveau est trop actif pour lui permettre de se reposer. Tu lui fais un sourire compatissant avant de prendre sa main dans la tienne. Emily sourit à ce contact.
-Tu veux qu’on fasse des muffins ? 
Avec ta phrase, Emily comprend ce que tu sous-entends : “tu veux qu’on patisse pendant que tu dis ce que tu as en tête ?” 
C’est une habitude que vous avez naturellement mise en place. La première fois que vous avez fait de la “pâtisserie-thérapie”, comme dit Emily, c’était au début de votre relation. Cela faisait un mois que vous étiez ensemble et comme ce soir, l’affaire avait été dure émotionnellement. En rentrant, elle t’avait retrouvée en train de faire une charlotte aux fraises. Elle t’avait aidé avec le peu de connaissance en pâtisserie qu’elle avait tout en te disant ce qu’elle ressentait. La séance de pâtisserie avait fini dans les larmes, mais Emily s’était sentie mieux. Par conséquent, c’est vite devenu votre tradition et actuellement, Emily a besoin de beaucoup de “pâtisserie-thérapie”.
Après avoir sorti les ingrédients, tu commences à préparer les muffins alors qu’Emily commence à peser les ingrédients avant de te les tendre quand tu en as besoin. Au début, Emily reste silencieuse, elle est perdue dans ses pensées. Tu le remarques tout de suite, car elle ne t’entend pas la première fois que tu lui demandes de te passer la farine. Tu lui laisses encore quelques minutes avant de poser la question fatidique. 
-Tu veux parler de ce que tu as en tête ? 
-Il faudrait plus que quelques muffins pour déballer tout ce qui me tracasse. 
-Heureusement qu’on a une journée de repos en commun demain. Pour une fois. C’est ta dernière affaire c’est ça ?
-Elle a été dure, oui. À chaque fois que je pense avoir tout vu, un nouvel UnSub me prouve le contraire. On pourrait croire que je suis habituée maintenant, mais ce n’est pas le cas. J’ai beau tout faire pour garder une distance émotionnelle, parfois, c’est vraiment compliqué, avoue-t-elle, le regard triste en te tendant le sucre et la levure.
-Il n’y pas que ça, ajoutes-tu et Emily évite ton regard pendant une seconde. 
-Je n’arrête pas de penser à Reid. On a beau chercher, on n’arrive pas à trouver une piste qui pourrait prouver que c’est l'œuvre de Scratch. Si Spencer arrivait à se rappeler ce qui s’était passé dans ce motel, ça pourrait sûrement nous aider. Et puis, j’imagine Spencer en prison et à quel point ça doit être compliqué et ça me fend le cœur. Il doit sortir de cette prison et je dois t’avouer que je me demande si on arrivera à le faire sortir cette année. 
-Vous trouverez ce dont vous avez besoin pour l’aider, Emily, affirmes-tu en posant ta main sur la sienne.
-Je l’espère. En tout cas, je ne vais pas me reposer jusqu’à ce qu’il soit parmi nous à nouveau. 
-Em’, n’oublie pas de te ménager.
-Il a besoin de mon aide, contredit-elle fermement. Je devrais faire plus pour l’aider, j’ai l’impression de ne pas faire assez.
-Ce n’est pas le cas et au fond de toi, tu le sais. Tu as fait tout ce que tu as pu et toi et ton équipe continuez à l’aider. Mais Emily, tu dois te reposer. Tu ne pourras pas l'aider efficacement si tu es morte de fatigue. Je sais que durant la nuit, tu ressors son dossier quand tu n’arrives pas à dormir, confesses-tu et elle te regarde avec les sourcils froncés. Le parquet grince quand tu quittes le lit, ajoutes-tu en rigolant légèrement avant de mélanger ta préparation. Emily, je suis sûre que vous trouverez une solution pour Spencer. Vous êtes la meilleure équipe du BAU, peu importe si je suis objective ou non en disant ça, le fait est que vous allez réussir à prouver son innocence. J’ai confiance en vous. J’ai confiance en toi. Et ne doute pas de tes compétences, tu es une bonne chef de l’unité, déclares-tu en la regardant droit dans les yeux. 
-Tu me connais depuis trop longtemps, se plaint Emily faussement alors que tu bats les blancs en neige.
-Et côtoyer autant de Profilers est aussi très utile. Mais je suis sérieuse, Em’. C’est vrai que tu dois gérer pas mal de choses, les enquêtes, les nouvelles responsabilités en tant que chef, le dossier de Reid avec Scratch, c’est beaucoup de pression et c’est normal de se sentir submergée, mais ne pense pas que tu n’as pas les compétences pour gérer tout ça. Je te connais et s’il y a bien une personne qui peut s’en occuper, c’est bien toi. 
-Tu as toujours les bons mots. Heureusement que tu es là, sourit-elle en te tendant le chocolat en petits morceaux. Sans toi, je ne pourrais pas me nourrir comme il faut.
-Je sers qu’à ça ? questionnes-tu, faussement outrée en mélangeant à nouveau.
-Non, je n’aurais jamais pu rêver meilleure femme. Avec toi, j’arrive à être vulnérable sans me sentir mal donc merci, dit-elle doucement en t’embrassant.
Emily beurre les moules puis tu les remplis avec ta préparation. Tu mets les muffins dans le four pendant qu’Emily met le minuteur, non sans voler le fond de pâte qu’il reste dans le bol. Vous mettez les affaires dans le lave-vaisselle avant de vous asseoir sur le canapé. Le dos d’Emily se retrouve contre ta poitrine et tes bras sont autour de son corps. Vous restez dans le calme et profitez de la présence de l’autre. Parfois, tu lui murmures des mots doux, tu veux t’assurer que son esprit est libre de tout ce stress avant de s’endormir.
Quand le minuteur sonne, tu invites Emily à aller se coucher dans le lit pendant que tu sors les muffins du four. Tu les laisses refroidir et tu vas te mettre en pyjama. Quand tu es prête, tu vas dans votre chambre pour demander à Emily si elle souhaite un ou deux muffins et quand tu la vois profondément endormie, tu souris. Tu t’assures que toutes les lumières sont éteintes et que la porte est bien fermée avant de faire un détour dans la cuisine. Tu prends une petite assiette et tu y places un muffin puis tu vas retrouver ta femme dans votre lit. Tu poses l’assiette sur sa table de nuit et tu t’allonges de ton côté. A peine installée, les bras d’Emily trouvent le chemin autour de ta taille. Tu la rapproches de toi, embrasses le sommet de son crâne avant de fermer les yeux, la respiration régulière d’Emily t’endormant.
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{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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davidbonnin · 8 months
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Bal Jazz - Swingy Bang Band quartet
TEASER - Swingy Bang Band, Bal Jazz à St-Gervais. I'm just A Gigolo All of Me Oh When The Saints Hallelujah, I Just love Her So Route 66 L-O-V-E I Got a Woman Hit the Road Jack Miss Dee, chant; David Bonnin, piano; Eric Bailles, contrebasse; Josselin Perrier, batterie; avec Laure et Idrissa, danseurs de la compagnie "Shall we Swing" de Lyon; Merci à Afozic pour l'organisation. @josselinperrier4169 @ericbailles5847 @afozic1 @DavidBONNINpianiste @ShallWeSwing Merci pour vos commentaires, mettez un 👍🏿 si ça vous plaît. Abonnez-vous à ma chaîne. Thanks for your comments,  put a 👍🏿 if you like it. All the best. https://www.davidbonnin.fr
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boooklover · 2 years
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February Wrap-Up
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Circe, Madeline Miller
4/5
In the house of Helios, god of the sun and mightiest of the Titans, a daughter is born. But Circe is a strange child--neither powerful like her father nor viciously alluring like her mother. Turning to the world of mortals for companionship, she discovers that she does possess power: the power of witchcraft, which can transform rivals into monsters and menace the gods themselves.
Threatened, Zeus banishes her to a deserted island, where she hones her occult craft, tames wild beasts, and crosses paths with many of the most famous figures in all of mythology, including the Minotaur, Daedalus and his doomed son Icarus, the murderous Medea, and, of course, wily Odysseus.
But there is danger, too, for a woman who stands alone, and Circe unwittingly draws the wrath of both men and gods, ultimately finding herself pitted against one of the most terrifying and vengeful of the Olympians. To protect what she loves most, Circe must summon all her strength and choose, once and for all, whether she belongs with the gods she is born from or with the mortals she has come to love.
Night Road, Kristin Hannah
3,5/5
=> thanks @bigcottoncandyheart for the rec
ude Farraday is a happily married, stay-at-home mom who puts everyone’s needs above her own. Her twins, Mia and Zach, are bright and happy teenagers. When Lexi Baill enters their lives, no one is more supportive than Jude. A former foster child with a dark past, Lexi quickly becomes Mia’s best friend. Then Zach falls in love with Lexi and the three become inseparable. But senior year of high school brings unexpected dangers and one night, Jude’s worst fears are confirmed: there is an accident. In an instant, her idyllic life is shattered and her close-knit community is torn apart. People—and Jude—demand justice, and when the finger of blame is pointed, it lands solely on eighteen-year-old Lexi Baill. In a heartbeat, their love for each other will be shattered, the family broken. Lexi gives up everything that matters to her—the boy she loves, her place in the family, the best friend she ever had—while Jude loses even more.
When Lexi returns, older and wiser, she demands a reckoning. Long buried feelings will rise again, and Jude will finally have to face the woman she has become. She must decide whether to remain broken or try to forgive both Lexi…and herself.
The Folk of the Air #1: The Cruel Prince, Holly Black
3,5/5
Jude was seven when her parents were murdered and she and her two sisters were stolen away to live in the treacherous High Court of Faerie. Ten years later, Jude wants nothing more than to belong there, despite her mortality. But many of the fey despise humans. Especially Prince Cardan, the youngest and wickedest son of the High King.
To win a place at the Court, she must defy him–and face the consequences.
As Jude becomes more deeply embroiled in palace intrigues and deceptions, she discovers her own capacity for trickery and bloodshed. But as betrayal threatens to drown the Courts of Faerie in violence, Jude will need to risk her life in a dangerous alliance to save her sisters, and Faerie itself.
The Reckoners #2: Firefight, Brandon Sanderson
4,5/5
Babylon Restored, formerly Manhattan, may give David answers. Ruled by the mysterious High Epic, Regalia, David is sure Babylon Restored will lead him to what he needs to find. And while entering another city oppressed by a High Epic despot is a gamble, David's willing to risk it. Because killing Steelheart left a hole in David's heart. A hole where his thirst for vengeance once lived. Somehow, he filled that hole with another Epic—Firefight. And he's willing to go on a quest darker, and more dangerous even, than the fight against Steelheart to find her, and to get his answers.
Discworld #3: Equal Rites, Terry Pratchett
4,5/5
The last thing the wizard Drum Billet did, before Death laid a bony hand on his shoulder, was to pass on his staff of power to the eighth son of an eighth son. Unfortunately for his colleagues in the chauvinistic (not to say misogynistic) world of magic, he failed to check on the newborn baby's sex...
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nofatclips · 3 years
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Contretemps, a short film by Laurine Baille, Gabriel Gérard, Lise Légier, Chloé Maingé, Claire Sun
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Pierre Baille and Charles Beauvais de Préau, Jacques-Louis David, 1793, Harvard Art Museums: Drawings
Harvard Art Museums/Fogg Museum, Bequest of Grenville L. Winthrop Size: actual: 22.2 x 18.7 cm (8 3/4 x 7 3/8 in.) Medium: Black ink and gray wash over black chalk on white laid paper
https://www.harvardartmuseums.org/collections/object/298000
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tonin-terets · 3 years
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CONTRETEMPS - Animation Short Film 2021 - GOBELINS from GOBELINS pro on Vimeo.
Living with OCD, Anna has an organized routine. This balance breaks when her sister forgets a piece of instrument. To bring it back, Anna has to face a world out of her control in which her fears materialize. . Anna, atteinte de TOCs, tient un quotidien ordonné. Celui-ci est bouleversé lorsque sa sœur Maeve oublie une pièce de son instrument. Pour lui rapporter, Anna se confronte au monde extérieur où ses peurs se matérialisent.
*************************
Directors / Réalisateurs : Laurine BAILLE, Gabriel GÉRARD, Lise LÉGIER, Chloé MAINGÉ, Claire SUN Team contact / Contact de l’équipe : [email protected] . Soundtrack / Musique : Arthur DAIRAINE Sound editor / Montage sonore : Cédric DENOOZ Mix / Mixage : Vincent MAUDUIT, Nathan ROBERT Color Grading / Etalonnage : David CHANTOISEAU . Production : GOBELINS, l'école de l'image - Cécile BLONDEL : [email protected] Distribution : Miyu Distribution - Luce GROSJEAN : [email protected]
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juliettemanciniart · 3 years
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Au fond, ils se sentent le besoin d’hurler leurs existence à tout va. Et j’en ai assez de cette politique du moi je moi je. Je trouve ça fou, depuis le début de l’année aucun n’a été capable de me demander un simple ça va ? En s’adaptant à mon cerveau atrophié, sans rire dans une hysterie collective niveau 6eme. Ces anorexiques. Masochistes. Maso moi ? Conne, vaine, paresseuse oui. Certes. Alors on se fait remarquer. En vomissant dans les poubelles, en fumant, en baisant.
Soudain on s’arrete. On nous parle. Un nouveau discours sur l’art contemporain. C’est sûrement passionnant, puissant, prophétique, mais trop long. Trop compliqué pour mon cerveau embrumé. Je baille et m’éloigne de ce groupe de jeune épuisant. Il y a des jours où je réfléchis vraiment comme une gamine, mais mon cerveau n’a pas le temps de grandir.
Je pars dans le musée de Barbie et je la regarde. Et je lance des attaques gros yeux à ces amis pseudo hype de paris qui n’ont rien de mieux à faire que de venir la moquer, ma princesse de plastique.. sèche tes larmes papillons mascara. Moi je te trouve bien belle, jurant dans tout ce paysage aigris. Je vais vous dire une confidence, je me projette sous ce soleil blond platine. C’est cadeau. Quelle sont niaises, remplissez leur la tête d’histoire d’amours hypocrites et on écarte leurs jambes si facilement. Elles ouvrent leurs bras à qui en mettent le prix, sans distinction du genre ou de l’espèce. Puis vient le chien Medore, la maison qui va avec. Mais au fond, qui y a t’il de mal à ça ? Est ce mal, d’être une femme objet ? C’est émouvant, exaspérant, moitié moitié. Je crois que j’ai trouvé le nouvel objet de mon affection, je me sens prête à extrapoler dessus pendant des heures. Elle veut juste qu’on l’aime, quitte à faire la popote. Et puis qu’on la jette, qu’on la laisse pourrir dans un coin ! C’est tant mieux pour elle. Ma bouche forme une parenthèse inversée. J’ai presque envie de pleurer. Enfin quelqu’un a ma hauteur dans tout Paris. Pourquoi rient elles ces poupées Shelly ? Elle sont si laides, elles ne comprennent pas la beauté de l’humaine disproportionnalité. Je sors de la salle refregidaire et me façonne à son image. Je suis bien prête à tout pour vous plaire, douce, dure, facile, inaccessible. C’est de nul importe. M’apercevoir que je n’étais pas la seule jolie poupée fut si cataclysmique. Maintenant je veux être la pire, la mieux habillée, la plus cadavérique. Je veux bien être diablement belle ! Avant de passer dans le monde de ces salles adultes. Je plaque un sourire candide sur mon visage ingénue. Ne jamais se fier à un sourire pareil, avant gardiste, dangereux. Par delà les pays, j’entends qu’on clame le retour de la potentielle génialité féministe entre ces lignes ? Ouhla. On se calme. Cessez un peu de lécher mes repetto achetés sur internet et à + dans l’bus. C’est si voluptueux, ce ceintre, ces clavicules blafardes se soulevant qu’importe si le vent vient de l’est ou de l’ouest, suspendant des vêtements informes et larges aux yeux de tous. Mieux vaut aller de suite me suspendre à l’étage Delacroix. J’y vais sans plus de cérémonie.
En bas, les gens se pressent, ils grouillent. Je ne vois qu’une masse floue, secoué de ricanement. Sûrement à mon sujet. Sûrement peu glorieux. Qu’ils rient. J’ai l’habitude. Qu’ils me collent une balle dans la tête. Je veux mourir. Une collégienne me pointe du doigt. Elle porte des Stan smith. C’est mignon, ce marshmallow congelé. Je secoue la tête. Tachant de chasser mon délire. Mais je suis hypnotisée par son autre main. Elle a un effet plus purifiant sur moi que tout potentielle fond marin dYves Klein. Cette parisienne n’est pas belle, elle est mignonne. Et ses cheveux de paille trahissent la maladie. On est à paris, la concurrence est rude, ici c’est genre, normal d’être anorexique. Elle fouille dans son paquet de harribos rejetant naïvement les dragées noires. Me, rejetant naïvement. J’ai envie de faire un Spoerri de ce moment, mais je ne suis pas une artiste de talent. Voir le caprice des dieux couler de ses lèvres labellotees, et en faire un ready made d’éponge, l’imprégnant de sa baveuse gloire cheesy. Et je pense: un jour, tout ce sucre fondera alors qu’elle criera le nom du premier conard venue.
J’erre entre les tableaux de scènes de torture sans plus les voir. Comme dans une forêt narcotique, attentiste de l’éveil paradoxal de son baiser anémié. Je ne sais plus quel rôle jouer, pourtant s’imposer l’immobilisme devant une telle perspective me laisse pantoise. Lent... lent.. mon sweat bleu spectral laisse une traînée gris cendrée sur mon passage. Je veux qu’il me transfuse, mon ombre, de cette aiguille trotteuse de l’heure qui passe. Lui faisant un croche pied. Je veux qu’il me traine sous le bois endormie de la table à manger. J’y reviens tous les week end, mon cœur exsangue d’Happy end. Qu’on aille fuser en dragon délavé. Chercher le diamant oublié et tremblant. Une javelle. Dans les chiottes. Qu’on casse la vaisselle de ce musée. Qu’ils fourmille sous mon teint hyalin et me fasse traverser son toit boule à facette, en un tas de silhouettes étirantes et caoutchouteuses pour aller rejoindre un astre blanc et nu, à l’artiste inconnu, underground, trouvé sur Tumblr.com. Je veux me pâlir pour me faire renaître à l’encre de Chine. Imiter une signature au Crystal bic bleu. Et la tasse de café qui se fele tandis qu’on entoure mon bras maigre. Dans vos yeux je lis la rage, dans les miens dans les vôtre je lis la peur. Mais je veux la faire trembler cette lueur manichéenne. Comme sur un fil d’un doigté, mutin et effilé, pantin épileptique. Alors j’arrache de mon poignet ridiculement fin l’entonnoir de la porcelaine dédoublée, et je nous fais tomber dans un monde inverse, le diable et moi. Dans les chiottes. La, rallumer la joie dans ses yeux, me fait éclater d’un rire joyeux 😀 et je me jette d’une montagne de Caspar David Friedrich. Mais on nous arrache bientôt à notre transe, textuel. Qui donc vient trouble ce moment d’intimité? Paniquée, je sors la tête de l’eau de rose du Marcel Duchamp. J’ouvre la porte et lui éclate la tête à la volée. Une femme de ménage du musée. Elle part laver ailleurs. Bon. Je voulais simplement discuter. Quelle malédictions que la beauté. Je referme la porte lentement et retourne dans les ténèbres de la possession. Je vois mon reflet au fond Duchamp. L’eau perle à mon front de marbre et va tomber sur mon marcel borde de rayures de marin. Mais, le spectre de mufasa vient me visiter et déclare: Juliette, tu dois reprendre ta place dans le cycle de la vie. Mais je ne le peux, tout le temps, je pense à mon ex, tel est le cycle de la mort. J’hurle. Et fait trembler la lumière tel des papillons Nabokov. Et j’ai peur du noir, je retourne donc dans le couloir.
C’est l’heure de manger. J’attends que mes esclaves viennent me faire de l’ombre avec leurs palmes mais le métro leurs coûtent trop chère. Je marche donc vers mes camarades. Ça ira. Il faut juste que je trouve quelqu’un pour écourter ces moments de récré qui font engendrer mon estomac une œuvre satirique et contemporaine. Je vendrais mes charmes de Barbie pour cela. Je la bénirais, ferais des portraits classiques entourés de fleurs impressionnistes pour qu’il, ou elle, ne me laisse pas m’enfermer dans les toilettes pour me scarifier dans ces moments d’angoisse sociale. Je m’assois en tailleurs au milieu de ce cercle de cannibale et chante en hindou pour passer le rite d’initiation. Mais l’on ne veut pas, on me rejette aussi ici, moi le mouton noir des brebis égarées, quel échec cuisant pour une émission de télé-réalité. Leur regard lancent des infra rouges et leurs bouches s’affaissent en signe de désapprobation. Je recule sous l effet de la terreur, ma démarche compassé forme maintenant une équerre. Mes yeux exorbités de chihuahua se mouillent de déception. Les débris de mon cœur se fêlent de plus belle. Ils sembleraient qu’ils soient jaloux de mon aura de vampire cristal. Il faut dire qu’en dessous des 40 kilos je suis belle rires. Je comprends. Je leur tapotte l’épaule en riant. Dieu pardonne. Mais c’est que ces prolétaires sont têtus ! Ils me jettent leurs nourritures à ma baby face pour conjurer le mauvais sort et en remplacement de l’ail et du pieu dans le cœur. Ils veulent que je l’avale. Bande de pleutres amoraux ! Je vous exècre tous ! Toi toi et toi. Je lève mon verre à l’abandon, au diable qui m’emporte, et vous maudit, tous ! Je resterais la queen B. Allez pourrir dans votre lac de mc do Je m’abaisse à leurs niveau, plus bas que terre, et leur demande de signer la fiche de présence de mon dessin au crayon de couleur de Renaissance. Je l’agite à leur nez, des étoiles pleins les yeux. Je leur explique, patiente. Là c’est un chien à trois têtes, là c’est des pâquerettes, là un sceau magique, et des carcasses qui font des bébés embryons ! Il n’en ont rien à foutre. Préférant les saucisses aux sceaux 6. Ils allument un callumé de la paix qui m’est interdit. Je tousse et agite ma main devant mon nez. Ils rient. Je leur répond que j’ai une constitution fragile ! Ils m’arrachent à mon dessin, le froissent et le font tomber en slow motion dans un hambergeur ! Je joins mes mains délicates en inspirant sous toute cette violence. Je tente de le ramasser, j’ai le nez presque sur le ventre de mère nature. Elle me chuchote un faible merci. Je lui réponds que je compatis, mon corps fragile pourrait se briser si facilement. J’entends qu’ils disent des choses, à mon propos. Ils pensent que je suis:.. possédée ? Oh. Je calfeutre mon visage. Non... je ne veux pas qu’on voit... cette larme... je vais vous dire un secret, au fond de moi, je suis dépressive, et quand on dit des choses comme ça, ça fait mal à mon cœur, il saigne, il noircit. Jour après jours, toujours la même chose. Je pars sans plus de cérémonie. Soupirante. Les cèdres du parc artificiel m’ombrent de leurs sourcils. Je ne marche pas très bien sûr ce chemin d’exil, je chancelle, mais ça ira, ça ira, continuez sans moi.
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Pierre Baille and Charles Beauvais de Préau, Jacques-Louis David, 1793, Harvard Art Museums: Drawings
Harvard Art Museums/Fogg Museum, Bequest of Grenville L. Winthrop Size: actual: 22.2 x 18.7 cm (8 3/4 x 7 3/8 in.) Medium: Black ink and gray wash over black chalk on white laid paper
https://www.harvardartmuseums.org/collections/object/298000
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hallouis · 2 years
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Directors / Réalisateurs :  Laurine BAILLE, Gabriel GÉRARD, Lise LÉGIER, Chloé MAINGÉ, Claire SUN 
Team contact / Contact de l’équipe : [email protected]
Soundtrack / Musique : Arthur DAIRAINE 
Sound editor / Montage sonore : Cédric DENOOZ Mix / Mixage : Vincent MAUDUIT, Nathan ROBERT 
Color Grading / Etalonnage : David CHANTOISEAU . 
Production : GOBELINS, l'école de l'image - Cécile BLONDEL : [email protected] 
Distribution : Miyu 
Distribution - Luce GROSJEAN : [email protected]
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graphicpolicy · 8 years
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DC Weekly Graphic Novel Review: Future Quest, Red Thorn, and Action Comics
DC Weekly Graphic Novel Review: Future Quest, Red Thorn, and Action Comics #comics
It’s Wednesday which means new comic book day with new releases hitting shelves, both physical and digital, all across the world. We’ve got three more volumes from DC Comics covering a wide range of genres. Red Thorn Vol. 2: Mad Gods and Scotsmen collecting issues #8-13 by David Baille and Meghan Hetrick. Future Quest Vol. 1…
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jebloguemoinonplus · 2 years
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Après Paris : RENZEL DASHINGTON en résidence au Ausgang Plaza
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Il revient de Paris où il a donné 27 représentations en 14 jours. Renzel Dashington a balancé son humour acerbe et grinçant dans les plus grands clubs d’humour de la Ville-Lumière tels Le Fridge, les Barbes Comédie club et Le Paname. Il était en première partie de Reda Saoui, à la Petite Loge et de Certe Mathurin, un ancien du Djamel Comedy Club, à la salle Le Métropole. Dashington a fait de l’autre côté de l’océan Atlantique ce qu’il fait de mieux : faire rire et porter un regard critique sur la société.
Les 29 avril et 26 mai, il s’amène à Montréal, pour les premiers spectacles de sa résidence mensuelle sur la rue St-Hubert. Avec « Yo, Les Bailles sont f*cked Up, » Renzel Dashington persiste et signe au Ausgang Plaza. Ardent défenseur des siens, de la communauté noire, rien ne lui échappe et personne n’y échappe. 
L’histoire de Renzel Dashington est celle d’un homme qui a au moins deux vies. S’il est aujourd’hui reconnu pour ses coups de gueule et ses prises de positions, dans une époque pas si lointaine, il était derrière les projecteurs. Dashington a plus de 20 ans d’expérience dans le show-business d’ici et d’Europe. En 1997, il débute comme promoteur d’événements spéciaux dans de nombreux clubs. Il était même l’un des créateurs originaux du Beach Club, à Pointe-Calumet. Il a tout fait dans l’industrie de la musique. Tout ce qu’il a touché devient un succès. Il est gérant d’artiste, producteur et éditeur pour Corneille, Gage, Barnev Valsaint (Céline Dion) et Pierre Luc Rioux (David Guetta); producteur exécutif sur des collaborations avec des artistes tels Calogero, Bénabar, Matt Pokora, Yannick Noah, Tété, Diam’s, Anthony Kavanagh, Nathasha St-Pierre, Diane Tell; même à l’Eurovision en 2006. 
C’est en 2017, alors qu’il célèbre ses 40 ans que Dashington devient humoriste pour de vrai. Il délaisse l’industrie de la musique et décide de monter pour la première fois sur scène. Avec son équipe, il produit les Bad Boys du Rire. Une plateforme qui a pour objectif de pallier le manque criant d’espace pour les personnes de couleur dans 
l’humour et faire briller les talents qui s’y cachent. Trois ans plus tard, il remporte le Prix 
Impact au Gala Dynastie qui souligne les plus de 200 représentations, 20,000 billets et plus de 10, 000 minutes de temps sur scène pour des humoristes de la relève issus de la diversité. Renzel Dashington est en mission et il ne lâchera pas le morceau.
Depuis l’an dernier, il se promène avec son One Man Show (YLBSF) et prouve qu’il n’a peur de rien ni de personne. Ici ou en France, il ne mâche pas ses mots pour décrire ce qu’il voit et entend. Ce printemps et cet été, Renzel Dashington s’empare du Ausgang Plaza pour dire tout haut ce que plusieurs pensent tout bas. 
http://www.renzeldashington.com
Renzel Dashington YLBSF
29 avril et 26 mai 20h
Autres dates à venir
Ausgang Plaza
6524 rue St-Hubert
Montréal
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davidbonnin · 8 months
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Besame Mucho Besame Mucho Swingy Bang Band, Alpi Hours, Saint-Gervais-les-Bains, juillet 2019. Miss Dee, chant; David Bonnin, piano; Eric Bailles, contrebasse; Josselin Perrier, batterie; avec Laure et Idrissa, danseurs de la compagnie "Shall we Swing" de Lyon; Merci pour vos commentaires, mettez un 👍🏿 si ça vous plaît. Abonnez-vous à ma chaîne. Thanks for your comments,  put a 👍🏿 if you like it. All the best. @delphinehocquet7840 @DavidBONNINpianiste @josselinperrier4169 @ericbailles5847 @ShallWeSwing https://www.davidbonnin.fr
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artwalktv · 3 years
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Living with OCD, Anna has an organized routine. This balance breaks when her sister forgets a piece of instrument. To bring it back, Anna has to face a world out of her control in which her fears materialize. . Anna, atteinte de TOCs, tient un quotidien ordonné. Celui-ci est bouleversé lorsque sa sœur Maeve oublie une pièce de son instrument. Pour lui rapporter, Anna se confronte au monde extérieur où ses peurs se matérialisent. ************************* Directors / Réalisateurs : Laurine BAILLE, Gabriel GÉRARD, Lise LÉGIER, Chloé MAINGÉ, Claire SUN Team contact / Contact de l’équipe : [email protected] . Soundtrack / Musique : Arthur DAIRAINE Sound editor / Montage sonore : Cédric DENOOZ Mix / Mixage : Vincent MAUDUIT, Nathan ROBERT Color Grading / Etalonnage : David CHANTOISEAU . Production : GOBELINS, l'école de l'image - Cécile BLONDEL : [email protected] Distribution : Miyu Distribution - Luce GROSJEAN : [email protected]
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Pierre Baille and Charles Beauvais de Préau, Jacques-Louis David, 1793, Harvard Art Museums: Drawings
Harvard Art Museums/Fogg Museum, Bequest of Grenville L. Winthrop Size: actual: 22.2 x 18.7 cm (8 3/4 x 7 3/8 in.) Medium: Black ink and gray wash over black chalk on white laid paper
https://www.harvardartmuseums.org/collections/object/298000
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atlanticcanada · 4 years
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N.S. residents take a breath of fresh air as COVID-19 restrictions ease on outdoor activities
Saturday marked the first full day that Nova Scotia’s outdoor public spaces were reopened following tight COVID-19-related restrictions.
Despite a soggy weather outlook in some areas, residents were out and about strolling through nature in spaces like Shubie Park in Dartmouth – taking in a literal breath of fresh air.
“I've been stuck in the house for two months,” says park visitor, Dylan Collins. “It's a good change."
 "It's beautiful fresh air and nice to see Mother Nature at its finest in Shubie Park,” says fellow park visitor, Michelle Collins. “We're happy to get out."
In Sydney, the Baille Ard Nature Trails team was busy prepping its paths for visitors after more than a month of closure. Despite the trail reopening, its narrow paths will likely require provisions to be made to maintain physical distance amongst visitors.
“Our trails are not as wide as some of the trails around Sydney,” says Baille Ard Recreation Association president, David Gabriel. “We have to be especially conscious of allowing people to have their distance."
In addition to parks reopening, on Friday, Premier Stephen McNeil announced the province would be easing restrictions for activities such as fishing and gardening.
"You wouldn't believe how much the anglers of the province missed it," says Port Morien Wildlife Association president, Jeff McNeil.
McNeil says he’s encountered hurdles when it comes to fishing licensing but notes it’s welcome news for the mental health of fishing enthusiasts during a difficult time.
 "They're physically distancing anyway, and a lot of them enjoy the outdoors,” says McNeil. “Being confined to the house is hard on mental health."
And while the loosening of some public health restrictions might seem like the first step towards post-pandemic life, Nova Scotia’s premier has warned that an increase in positive COVID-19 cases or failure to obey the rules will result in parks closing and prohibitions on outdoor activities.
"Adhere to the directives,” says McNeil of the Port Morien Wildlife Association. “Because if
from CTV News - Atlantic https://ift.tt/2YoQaxA
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