#danseuse au repos
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edgar degas and his ballet dancers
dancers, pink and green (c. 1890) \\ ballet at the paris opera (1877) \\ le foyer de la danse à l’opéra de la rue le peletier (1872) \\ three dancers at a dance class (c. 1888-1890) \\ danseuse au repos \\ the star (1879-1881) \\ two dancers (1893-1898)
kofi
#edgar degas#art#art compilation#degas#le foyer de la danse à l’opéra de la rue le peletier#dancers pink and green#ballet at the paris opera#three dancers at a dance class#the star#danseuse au repos#two dancers
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Danza 1*
from serie Art Deco, 2007: Tantsovschitsa, 1920 | ph., Aleksey Galushkov (Ukraine)
Alicia Markova (1910-2004, England) as Giselle, 1948 | ph., Stirling Henry Nahum aka Baron (1910-1956, Italy-England)
Flapper Girls, 1920's
Anita Berber (1899-1928, Germany), 1920 | ph., Alexander Binder (1888-1929, Germany)
Doris Dupont (USA), 1930's | Archives of the Embassy Theatre Foundation, Ft. Wayne, Indiana
Untitled (dancer I), 1910-20 | František Drtikol (1883-1961, Czechia)
Dance of the Wind, 1927-28 | Bolesław Biegas (1877-1954, Poland)
Ballerina; a view from the loge | Everett Lloyd Bryant (1864-1945, USA)
Dancer, 1946 | František Drtikol (1883-1961, Czechia)
La Dance, 1910 (Hermitage St. Petersburg) | Henri Matisse (1869-1954, France)
Danseurs, 1939 | Maurice Brianchon (1899-1979, France)
Danseuse satirique, Paris, 1926 | ph., André Kertész (1894-1985, Hungary)
ph., Mark Olich (1983, Russia)
Hazel as Pavlova, 1913 | John Lavery (1856-1941, Ireland)
Ziegfeld Girls, 1920's | Ziegfeld Follies, 1907-31
Mary Pickford (1892-1979, Canada-USA), 1910's | ph., Edward S. Curtis (1868-1952, USA), 1910s Ziegfeld Girl, 1907-31
Spanish Dancer, 1971 | ph., Ruth Bernhard (1905-2006, Germany)
La guedra (moroccan dance) | Jean Gaston Mantel (1914-1995, France)
Dancers from 'Zigman Hall', New York, 1920
La scarpetta (the ballet slipper) | Lino Selvatico (1872-1924, Italia)
Helen Schjerfbeck (1862-1946, Finland)
Costumes de cigarières pour Carmen de Bizet, 1959 (scenografia dipinta) | Lila De Nobili (1916-2002, Italia)
Colombine, 1920 | Norman Lindsay (1879-1969, Australia)
Danseur | Jean-Louis Forain (1852-1931, France)
Le cours de danse, 1874 | Edgar Degas (1834-1917, France)
Danseuse au repos | Edgar Degas (1834-1917, France)
In camerino | Zinaida Serebryakova (1884-1967, Ucraina)
The ballet dancers (the dressing room), 1885 | Willard Leroy Metcalf (1858-1925, USA)
Dancer, early 1900s | Sergei Arsenyevich Vinogradov (1869-1938, Russia)
Ballerina at the Paris Opera in front of a Degas backdrop, 1949 | ph., Walter Sanders (1897-1985, Germany)
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Dans à la ville/Danse à la campagne (1883) | Pierre Auguste Renoir
I rather have the impression the the country couple enjoys their dance more!
Danseuses Bleues (1893) | Edgar Degas
I, however, find the most pleasure in pirouettes!
Chasse aux papillons (1874) | Berthe Morisot
I haven't thought about chasing butterflies in decades! What a lovely invitation for nostalgia!
Le Repos au bord du ruisseau. Lisière de bois (1878) | Alfred Sisley
I wish I could be reading peacefully, shaded by the trees along a river!
Paysage au Valhermeil, Auvers-sur-Oise (1880); Femme dans un clos (1887); Paysage au Éragny (1870) | Camille Pissarro
This trio of paintings offered such relief from the crowds pushing me through the exhibits! They were like open windows, letting a fresh breeze pass through an uncomfortable room!
Les Barques. Régates à Argenteuil (ca. 1874) | Claude Monet
Some very handsome sailboats, here!
Le Bassin aux nymphéas, harmonie verte (1899) | Claude Monet
Another peaceful scene!
Essai de figure en plein-air, vers la droite/Essai de figure en plein-air, vers la gauche (1886) | Claude Monet
Monet described how his intent was to paint the human form as part of the landscape! The movement captured in these pieces certainly helps integrate her into the land and sky; however, I think humans are too self-centered, to deemphasize themselves to the point of becoming scenery. (June 28)
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C'est avec une agréable surprise que l'acteur James Denton participe depuis le 16 février 2024 à la nouvelle saison 13 de l'émission télévisuelle française Danse Avec les Stars, diffusée sur la chaîne privée TF1 !
Comptes Twitter - Instagram - YouTube de l'émission
Programme TV
L'annonce a même été faite... en français ... par l'acteur lui-même ! ^^ Depuis, l'acteur a progresser dans la langue... et a même pris des cours particuliers d'argot...
Présentation Presse : 25 janvier 2024 - Jours Off. Partenaire de danse : Candice Pascal (candicepascal), qui va tourné avec l'acteur dans un film au Canada ! Durée des chorégraphies : 2 min 30 Numéro du candidat James Denton : 8 ! .... Les fans du Caméléon ont la réf ? ...
Emission : à 21h10 les vendredis Nb Episodes : 10 (pour 10 semaines, soit 2 mois et 2 semaines) Bande-annonce : Tournage - Sa présentation - Photos officielles Lieu d'entraînement : BBC Studios France
Episode 1 : vendredi 16 février 2024 (enregistré le 09 février 2024)
L'acteur était prévu à cette date, apparaît dans la présentation et le public pour encourager ses camarades de danse, mais annonce au micro son annulation en raison d'une blessure musculaire qui lui a imposé un repos forcé cette semaine-là.
Un reportage (17 fév. 2024) sur l'émission a été réalisé à cette occasion par le programme de la chaîne : 50 minutes Inside.
Episode 2 : vendredi 23 février 2024 (enregistré une semaine avant)
L'acteur étant toujours en convalescence, il n'a pas obtenu l'autorisation médicale pour reprendre les entraînements. L'acteur est de nouveau décalé sur l'épisode suivant. Théoriquement, sa blessure nécessite habituellement des soins pendant 1 mois.
Il n'y a pas d'émission le vendredi 01 mars 2024 en raison de la diffusion du concert caritatif des Enfoirés... concept que l'acteur connait bien avec Band From TV !
Episode 3 : vendredi 08 mars 2024 (enregistré le 24 février 2004) -> Anniversaire de l'actrice Andrea Parker ...
L'acteur a obtenu l'autorisation médicale de reprendre les répétitions mais avec des consignes strictes pour ne pas entraver les soins qui se poursuivent. Il ne peut pas effectuer la danse préparée en février et doit préparer une autre chorégraphie qui ménage sa jambe.
Les points obtenus pour cette danse sont doublés pour l'acteur.
Episode 4 : vendredi 15 mars 2024 (enregistré)
L'acteur était en concurrence/duel avec deux autres participants.
Episode 5 : vendredi 22 mars 2024 (en direct décalé)
Les danses étaient des spéciales Cinéma / Séries et Films, diffusées en direct mais décalées de 30 min en cas de problèmes techniques, rattrapées par une pause pub... Les spectateurs pouvaient voter pour la 1ère fois de la saison afin de sauver des candidats en balance vers l'élimination, dont l'acteur.
Episode 6 : vendredi 29 mars 2024 (en direct décalé)
Un(s) danseur.se mystère s'était glissé pour les danses des candidats, un proche 'surprise' pour partager une partie de la chorégraphie...que le candidat découvrait en même temps que le public. Il s'agissait alors de rester concentrer sur sa prestation...
Sa danse était un tango. A l'entraînement, s'est joint une autre danseuse, Emmanuelle Berne, pour simuler la chorégraphie à 3.
Episode 7 : vendredi 05 avril 2024 (en direct décalé)
Les Juges ont dansé en équipe, l'acteur étant dans celle de Fauve, avec le duo Keiona & Maxime Dereymez, sur un Paso Doble pour ces derniers, sur un American Smooth pour l'acteur.
Les notes des couples étaient additionnées, l’équipe vainqueur directement qualifiée pour l'épisode 8.
Episode 8 : vendredi 12 avril 2024 (en direct décalé)
L'acteur a dansé un tango sur une musique/chanson importante pour lui, et a interprété le personnage James ... Bond ! ... comme un certain .... George Lazenby ... et ... Patrick Bauchau !!
Deux candidats étaient éliminés sur cette session, dont l'acteur qui n'a pas obtenu de notes et de votes téléspectateurs assez importants pour lui permettre de rester.
A la fin de chaque épisode, tous les candidat·e·s en bas de classement se retrouvaient dans une zone dédiée du plateau télévisuel, la "zone rouge", pour attendre l'annonce des résultats obtenus sur les danses réalisées par les autres candidats, avec leurs partenaires professionnels. Une deuxième danse, le 'face-à-face', déterminait enfin le candidat qui devait quitter l'émission, à partir du 3ème épisode.
L'acteur a emmené sa sœur pour la première semaine, ses enfants ayant cours à l'Université jusqu'en avril.
L'acteur avait annulé sa venue à une convention de fans prévue sur Paris cette même année, en raison peut-être de conflits de calendrier, dans le cadre de son rôle dans la série Desperate Housewives ... et il est sympathiquement à remarquer que c'était sa co-star, l'actrice Teri Hatcher, qui avait participé sur la même chaîne à l'émission française Mask Singer... :)
Et pour l'occasion médiatique, l'acteur revient sur le réseau social Instagram ! #TeamJamesDenton (surement géré par la production de l'émission)... donnant lieu à des échanges sympathiques avec sa comparse de la série Good Witch :
sources : @LabVince, @DanseAvecLeMag, caromargeridon, candicepascal.fp, @fabien_fichaux, parismatch.com, tonywilhm, une_fan_de_dals et @DALS_TF1
A noter également que l'actrice Andrea Parker , qui a pratiqué la danse classique à haut niveau quand elle était jeune, était présente en 2013 puis 2017, dans le public, pour la version américaine Dancing With the Stars, afin de soutenir d'anciens partenaires de jeu.
Quant à Harve Presnell, il avait également un excellent niveau dans la comédie musicale La Reine du Colorado :)
Hasard ?^^ Le scénariste Javier Grillo-Marxuach a publié au même moment sur son compte Instagram un post qui parle... de danse !
Pour (re)voir Broots, interprété par l'acteur Jon Gries, danser : cf l'Episode épique 4.11. D'ailleurs... je le suggère comme prof de danse pour Danse Avec les Stars ...^^
L'acteur James Denton s'était déjà rendu à plusieurs reprises en France dans le cadre de son rôle d'égérie de la marque Daniel Hechter.
En mai 2024, c'est le scénariste Juan Carlos Coto qui s'est rendu vers Nice/Aix-en-Provence pour assister à un passage de la flamme olympique.
Alias Mr Lyle dans la série Le Caméléon
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"Danseuse au repos", Jean-Louis Forain (1852-1931). Nos reproductions rehaussées à la main apporteront à votre décoration d'intérieur un cachet unique. Elles feront également un cadeau de choix et original. D'abord imprimées sur du papier haute-qualité, nos reproductions sont ensuite rehaussées et colorisées à la main avec pastel, fusain, sanguine, pierre noire et même gouache selon les œuvres. Une déco sans pareil à un prix très abordable! 📐 Plusieurs formats 🖼 Possibilité d'encadrement 🚚 Livraison rapide dans le monde entier. 🇫🇷 Made in France Suivez-nous pour plus d'informations, promotions, offres spéciales, concours et plus encore. #homedecor #walldecor #oldmasters #decorationinterieur #drawing #dessin #art #cadre #artprint #interiordesign #decoration #oldmasterdrawings #wallart #classicaldrawing #dessinancien #decomurale #jeanlouisforain #masterdrawing #tableau #frame #decohome #artmoderne #faitmain #portait #affiche #ideedeco #danseuse #peinture #encadrement https://www.instagram.com/p/Cn4vj1zNljU/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Precision. Balance. Poise. Join us in fourth position as we recognize #WorldBalletDay with Edgar Degas’s study of a young dancer from the Paris Opéra.
Small sculptures like this one helped Degas experiment with movement and poses in three dimensions. When his heirs found these sculptures—which he modeled in wax and other compounds—in his studio after his death, they selected seventy-four of them to cast in bronze in limited editions.
Take a closer study of this sculpture in Monet to Morisot: The Real and Imagined in European Art on the fifth floor, on view now.
📷 Edgar Degas (French, 1834-1917). Dancer at Rest, Hands Behind Her Back, Right Leg Forward (Danseuse au repos, les mains sur les hanches, jambe droite en avant, première étude), modeled 1882-1895, cast 1919-1932. Bronze. Brooklyn Museum, Gift of Mr. and Mrs. Richard Rodgers, 70.176.5. Creative Commons-BY
#Brooklyn Museum#brooklyn#museum#art#Edgar Degas#sculpture#bkmeuropeanart#ballet#dance#exhibition#painting#artist
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Dancer at Rest, Hands Behind Her Back, Right Leg Forward (Danseuse au repos, les mains sur les hanches, jambe droite en avant, première étude), Edgar Degas, modeled 1882-1895, cast 1919-1932, Brooklyn Museum: European Art
Size: 17 7/8 x 6 x 9 1/2 in. (45.4 x 15.2 x 24.1 cm) Medium: Bronze
https://www.brooklynmuseum.org/opencollection/objects/96912
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Dancer at Rest, Hands Behind Her Back, Right Leg Forward (Danseuse au repos, les mains sur les hanches, jambe droite en avant, première étude), Edgar Degas, modeled 1882-1895, cast 1919-1932, Brooklyn Museum: European Art
Size: 17 7/8 x 6 x 9 1/2 in. (45.4 x 15.2 x 24.1 cm) Medium: Bronze
https://www.brooklynmuseum.org/opencollection/objects/96912
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Elie Anatole Pavil, Petite Danseuse Mauresque au Repos
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Edgar Degas (Français, 1834 - 1917), Danseuse au repos, vers 1879 Pastel et gouache sur papier joint, 59 x 64 cm Collection privée
#edgar degas#français#french#danseuse#repos#1879#pastel#gouache sur papier#cm#collection privée#peintre#painter
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“Deux Danseuses au Repos" pastel d'Edgar Degas (circa 1898) à l'exposition "Degas à l'Opéra” au Musée d'Orsay, novembre 2019.
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L’opéra à Paris, créé par Louis XIV, va fêter ses 350 ans d’existence en 2020. Le Musée d’Orsay et l’Orangerie se sont associés au National Gallery of Art de Washington pour présenter à Paris cet automne une ode à cette institution. Et, qui convoquer pour nous en parler le mieux ? Degas, bien sûr ! L’éternel abonné de l’opéra Pelletier qui à partir du milieu des danseuses a fait un champ d’étude presque exclusif de sa technique picturale. C’est du moins ainsi que Henri Loyette, commissaire général, présente la naissance de cette exposition.
La collaboration avec le musée de Washington permet la venue d’œuvres nombreuses jamais exposées. Et, c’est une des richesse de cette exposition.
Danseuse à mi-corps les bras croisés derrière la tête – Vers 1890 –
La famille Degas est passionnée de musique, notamment le père qui entraine rapidement Edgar dans les coulisses. Celui-ci se passionne pour les spectacles en général et tous les aspects de la vie de ce théâtre si particulier.
Pendant presque cinquante ans, ce monde sera le prétexte à le décrire sous tous ces aspects en renouvelant son art. Il est le laboratoire de toutes ses expérimentations et le cœur de sa création. A partir de son approche presque photographique, il l’utilise pour dresser une critique sociale de son temps. A contre-courant des impressionnistes, il rapporte dans son atelier ses dessins, études diverses pour les “coloriser” de façon si audacieuse que son art en ait transcender.
L’Opéra qu’aime fréquenter Degas est l’Opéra Pelletier adossé à l’hôtel de Choiseul dans l’actuel 9è arrondissement, à proximité de l’actuel Hôtel Drouot. Il remplace la salle Richelieu dès 1821. Détruit par un incendie en 1873, l’Opéra Garnier tarde à être construit à cause de la guerre de 70 et la Commune de Paris. Sa façade est présentée à l’Exposition universelle de 1867. L’incendie de l’opéra Pelletier précipitent les travaux et l’inauguration a lieu en 1875.
L’impératrice Eugénie commenta ainsi les plans : « Qu’est-ce que c’est que ce style-là ? Ce n’est pas un style !… Ce n’est ni du grec, ni du Louis XV, pas même du Louis XVI. » et Charles Garnier de répondre : « Non, ces styles-là ont fait leur temps… C’est du Napoléon III ! Et vous vous plaignez ! »
Maquette Opéra Garnier 1
Maquette de l’Opéra Garnier 2
Maquette de l’Opéra Garnier 3
Maquette de l’Opéra Garnier 3
Maquette de l’Opéra Garnier 4
Maquette de l’Opéra Garnier 5
La coupe longitudinale présentée à l’exposition est très impressionnante bien que manquante un peu d’explications.
Maquette de la scène de l’opéra Garnier
A 34 ans, Degas cherche encore son style. Il répond à des commandes de portraits tout en rendant compte de l’univers de la personne. Son père l’encourage à persister.
Spectateur assidu de l’opéra, son attention est attirée par les danseuses. De plus, l’Opéra est un lieu très couru à l’époque. Degas veut aller plus loin que de peindre comme un spectateur. Il regarde là où le public n’est pas autorisé à aller et il s’attache à entrer dans ces lieux pour en révéler tous les aspects.
La répétition au foyer de danse – 1873 / 1875
La classe de danse – 1873
Coulisses – 1874 / 1876
L’Opéra Pelletier prend feu. Degas continue à peindre à partir de ses carnets avec sa mémoire visuelle phénoménale dans ses ateliers toujours situés à proximité.
Croquis dans carnet
En peignant les coulisses de l’Opéra Pelletier, il révolutionne le regard du spectateur en montrant l’importance des sols, indispensables points d’appuis pour la danse, des sujets présentés coupés ou de dos et en libérant le centre du tableau.
La classe de danse début 1873 – Fin 1876
Le rideau – Vers 1881
Derrière le spectacle et sa recherche sur le mouvement, Degas témoigne d’une réalité plus difficile. Les messieurs fortunés sont les seuls à passer dans le foyer de l’Opéra. Du coup, celui-ci devient un écrin pour des rencontres à l’abri du public où les jeunes danseuses sont offertes comme proies faciles aux hommes qui passent.
Au salon – 1879
Pour fuir la misère et avoir un petit salaire, les mères acceptent le pire. Dans ce contexte, la recherche d’un “protecteur” devient presque une nécessité.
Conversations – Vers 1876
Le foyer de l’Opéra – Vers 1876 /1877
A 45 ans, Degas s’essaye à la sculpture en présentant sa petite danseuse de 14 ans, Marie van Goethem, quinze jours après l’ouverture du Salon des Indépendants. Elle révolutionne tellement qu’elle est de suite rejetée, décriée…Première et unique sortie ! Ce n’est qu’à la mort de Degas que son fidèle ami en fera fondre 22 exemplaires. Voir l’autofiction de Camille Laurens.
La petite danseuse de 14 ans
Cette sculpture rompt complétement avec ce qui s’est fait avant. Présenté une jeune fille au visage effronté pas très joli en associant cire et tissu est magnifique de réalisme où le corps et son mouvement sont représentés justement.
Le père de Degas décède. Ses deux frères font faillies. Degas peint pour purger les dettes. La série Eventails nait.
Danseuse de profil et études de pieds – 1878
A 55 ans, Degas ne va plus à l’Opéra. Il se contente de reprendre ses études et de les travailler en peinture. La cécité le guette. Il utilise le pastel et plus tard la cire pour garder le mouvement. Une”orgie de couleurs” éclate.
Après 50 ans, il est devenu un Maître dira Renoir des années après.
Degas ouvre la voie à l’Art moderne. Picasso et Braque sauront s’en inspirer.
Deux danseuses au repos- 1910
Photographies de @vagabondageautourdesoi.com
Sources
Arte Degas à l’opéra
La petite danseuse de quatorze ans – Camille Laurens
Degas Danse Dessins – Musée d’Orsay
Questions pratiques
Degas à l’opéra
Du 24 septembre 2019 au 19 janvier 2020
Commissaire général: Henri Loyrette
Commissaires: Leïla Jarbouai, conservatrice arts graphiques au musée d’Orsay Marine Kisiel, conservatrice peintures au musée d’Orsay Kimberly Jones, conservatrice des peintures françaises du XIXe siècle à la National Gallery of Art de Washington
Exposition organisée par les musées d’Orsay et de l’Orangerie, Paris et la National Gallery of Art, Washington où elle sera présentée du 1er mars au 5 juillet 2020, à l’occasion du trois cent cinquantième anniversaire de l’Opéra de Paris.
Superbe exposition "Degas à l'opéra" qui célèbre les 350 ans de l'Opéra de Paris en présentant les peintures de Edgar Degas et son univers pictural au Musée d'Orsay cet hiver 2019/2020 L'opéra à Paris, créé par Louis XIV, va fêter ses 350 ans d'existence en 2020. Le Musée d'Orsay et l'Orangerie se sont associés au National Gallery of Art de Washington pour présenter à Paris cet automne une ode à cette institution.
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Les Noirs ont toujours eu beaucoup d’action sur les Blancs, là où les deux races se sont rencontrées. La chose nouvelle, c’est l’abdication de la race blanche ; c’est de la voir aujourd’hui tout entière s’éprendre des Noirs, chercher en eux des professeurs et des guides, les appeler où ils ne sont point, et donner ce cœur d’onyx au diamant des capitales modernes. Cet engouement s’explique par plus d’une raison. D’abord, au moment où une sinistre uniformité s’étend sur le monde, la dernière variété qui subsiste, quand toutes celles des costumes se sont évanouies, c’est la couleur de leurs peaux. Le Noir nous plaît parce que lui seul est encore, ostensiblement, autre que nous-mêmes. Mais l’attrait qu’il exerce a des causes plus profondes. Las d’un verbiage incessant, excédés de vie sociale, accablés, alors même qu’ils sont personnellement incultes, du poids de civilisation qui pèse sur eux, les Blancs, aujourd’hui, aspirent à ne plus être des individus isolés, à retourner vers les origines, à se retremper dans une vie ingénue, où ils n’aient plus besoin de fabriquer leur bonheur. C’est alors que les Noirs les fascinent. Qu’il y ait beaucoup d’illusion dans l’idée qu’on se forme d’eux, cela ne fait pas de doute. Quoi que des savants, pour la commodité de leurs études, aient pu décréter, les Sauvages ne sont rien moins que des primitifs. Ils ont eu beau se cacher sous leurs épaisses forêts, le temps, pour eux non plus, n’a pas passé vainement. Ils ont leur histoire informe. Ils sont vieux, eux aussi, quoiqu’autrement que nous, et leurs usages où nous voulons retrouver un reste des premiers âges ne sont souvent qu’un ramassis de superstitions décrépites. Les obligations qui ligotent les habitants des petites villes ne sont pas plus gênantes que toutes celles auxquelles un Sauvage est assujetti. Cependant il est bien vrai que ces Noirs ont gardé avec la nature des liens que les Blancs n’ont plus, et, en ce sens, l’attrait qu’ils exercent sur l’homme des villes est justifié. Dans les rapports qui s’établissent entre eux et nous, on peut distinguer deux tendances contraires. D’une part, il se trouve encore des gens, chimériques ou intéressés, dont, par malheur pour nous, le plus grand nombre est en France, pour tirer des idées du XVIIIe siècle une dernière fanfare : "Approchez, frères noirs, tous les hommes se valent. C’est en vain que la nature a pris le soin de vous badigeonner d’une autre couleur que la nôtre, qu’elle vous a fait d’autres traits, et que la façon même dont vous avez usé des siècles qui nous ont été donnés aux uns comme aux autres atteste encore cette différence ; nous méprisons ces faibles indices pour vous convier à l’égalité. Venez vous asseoir à notre festin, venez être nos pareils." Cependant une autre voix, sourde mais bien plus sincère, s’échappe en même temps de la race blanche : "Non, vous n’êtes pas comme nous, et bienheureux en cela, car vous avez part encore à des fêtes où nous ne sommes plus admis. Ne bougez pas d’où vous êtes. C’est nous qui redescendons vers vous, pour retrouver un bonheur qui ne soit plus gêné par la conscience". Ainsi, tandis que les Noirs montent vers les Blancs par le chemin des paroles, les Blancs descendent vers les Noirs par le chemin de la danse. Danser, en effet, c’est retrouver son corps, c’est se soustraire à la tyrannie de la tête, pour redescendre dans ses membres, c’est rendre à ces membres, que le cerveau a domestiqués, une vie libre, souple, dénouée, heureuse. Mais dans ces rapprochements des deux races, l’une et l’autre sont trompées. Tandis que les Noirs croient en vain qu’ils se sont emparés de nos idées parce qu’ils nous en ont pris le vocabulaire, les Blancs qui veulent échapper à leur esprit, pour se replonger dans quelque chose de frais et d’originel, ne font que se renier sans récompense. Il ne suffit pas de répudier la civilisation pour retrouver la sauvagerie. Il y a une sorte de désespoir dans l’effort que font tant de nos contemporains : pris et enfermés dans des villes dont les lumières hérissées repoussent le clair de lune, séparés par les machines du peuple des bêtes, traversés à chaque instant par des secousses électriques, disputés par mille besognes, sans jamais goûter la paix d’un travail réel, privés de repos, privés de silence, écrasés sous le poids des bibliothèques et les trésors des musées, ils rêvent à la hutte et à la caverne, aux premiers trépignements, aux jouissances lascives d’une vie informe. Mais ils fuient la conscience sans retrouver les instincts ; ils restent perdus et égarés entre la société et la nature ; ils errent hors des jardins et des parcs, sans rentrer dans la forêt primitive ; ils font la bête, enfin, sans redevenir l’animal. Ces candidats à la sauvagerie ne sont pas reçus. Ces danseurs et ces danseuses se trémoussent en vain, leur épilepsie mécanique ne veut plus rien dire. Tout finit dans une mystification où seul est certain l’abaissement de l’humanité. Les nègres ne nous volent pas ce que nous avons dans la tête, et nous ne leur dérobons point le secret de la vie du corps. Ils n’obtiennent pas ce que nous leur avons promis et nous ne leur prenons pas ce que nous leur avons envié. Le vrai triomphateur, ce n’est pas le Noir qui, dans une Sorbonne, obtient par son bavardage un diplôme fallacieux, c’est celui qui, béat, glorieux, au bruit de l’orchestre, au milieu des danses, pose, comme la marque d’un maître, sa large main sur le dos d’une blonde asservie.
Abel Bonnard (Océan et Brésil, 1929)
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Danseuse au Repos (c.1897-1900). Edgar Degas (French, 1834-1917). Counterproof with pastel on paper.
One dancer is diligently stretching backstage prior to a performance. Her body, graceful and lithe, is rendered with refined sensitivity, the curves of her body and the form of her limbs taking shape through Degas' adroit manipulation of color and line. Behind her, another dancer saunters behind a neoclassical column. With his choice of a warm palette, in particular the radiant yellows and greens of the dancer's tutu, Degas has imbued the entire composition with a sense of vitality.
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Diego Rivera - La danseuse au repos
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Edgar Degas (1834 - 1917) Danseuse Au Repos, 1879 (59 x 64 cm)
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