#La petite danseuse de quatorze ans
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Paris, musée d'Orsay, 8 décembre 2023.
#bizarre au havre#photography#black and white photography#paris#musée d'orsay#edgar degas#la petite danseuse de quatorze ans#exhibition#photographie#photographie noir et blanc#exposition
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quick 5-min study of La Petite Danseuse de quatorze ans (mixed media, 2023)
#sketch art#sketches#art#artists on tumblr#ballpointsketch#pen drawing#mixed media#mixed medium#from the desk#la petite danseuse de quatorze ans#first sketch in months. need to flex this muscle more ive missed it
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She’s done! When I was in Copenhagen in November I went to the Ny Carlsberg Glyptotek for a day (thanks to Søs and family for planning the day and including me). It was a good opportunity for me to photograph some of the sculptures. I’ve been using sculptures more and more frequently as subjects for my paintings. This is my painting of Degas’ Little Dancer of Fourteen Years (La Petite Danseuse de quatorze ans).
This is a seven level stencil on wood board using MTN 94 paints.
#art#painting#stencil painting#stencil art#degas#little dancer#la petite danseuse de quatorze ans#glyptoteket#copenhagen#denmark
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Edgar Degas - "La Petite Danseuse de Quatorze Ans" "La Petite Danseuse
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Edgar Degas
La Petite Danseuse de quatorze ans (aussi intitulée Grande Danseuse habillée) réalisée en cire entre 1875 et 1880
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Illustrations et dessins satiriques #72
Début, dessin d’Henry Mirande
LÉGENDE : "- Voyons, tu peux te montrer, monsieur est peintre. - J’ sais bien... Y disent tous ça ! "
Un peu de contexte ne fait pas de mal face à cette image, que nos sensibilités contemporaines iraient un peu vite à classer comme une évocation de la pédophilie. En ces temps lointains, les modèles démarraient souvent l’activité à un jeune âge car, malgré la montée en puissance de la photographie, les artistes demeuraient demandeurs de modèles de tous âges. Ainsi les enfants apprenaient le métier, s’habituaient à se montrer dans le plus simple appareil si demandé, et devenaient ainsi des modèles très professionnels à l’âge adulte. A priori, le personnage de la petite fille permet d’exprimer, avec cette dénonciation franche et émotive qui est celle des enfants, que le regard et les attentes des artistes, honnêtes au début tant que les modèles féminines étaient dans l’enfance, pouvaient se charger de concupiscence quand la modèle acquérait ses formes.
La présence de la mère et son attitude n’ont rien de caricatural. Dans les foyers sans argent, les mères elles-mêmes tentaient de placer leurs filles comme modèles d’artistes. Elles pouvaient même les inciter à bien plus. Semble-t-il que la pauvre adolescente qui servit de modèle à Degas pour sa Petite Danseuse se prostitua dès ses treize-quatorze ans (pas avec Degas, précisons) tant sa mère attendait d’elle qu’elle rapporte de l’argent à son foyer miséreux.
Rappelons à cet effet que la majorité sexuelle était à treize ans...
#beaux-arts#life models#arts plastiques#modèle vivant#modèles d’arts plastiques#histoire des modèles vivants#histoire de l’art#Henry Mirande#artists’ models#humour#dessin satirique#illustration#vintage illustrations
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La Petite Danseuse de quatorze ans de Degas, remoulée après la mort de l'artiste entre 1921 et 1931, Musée d'Orsay.
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The Little Fourteen-Year-Old Dancer (French: La Petite Danseuse de Quatorze Ans)
Made by artist Edgar Degas in 1880 finished in 1881
Upward to the sky, where most find hope her head is held
Dressed the same for her time
Perhaps false and hopeless
Yet persistence
Woe to those who do so
For what purpose does one have to hope
For what reason does one wear the same as such
Do they yet know what they do and what they do not
Woe to those who aren’t ignorant
Do they dare try to escape the common fate
Do they dare to aspire for more
Woe to those who attempt to defy the common order
Analysis of my ekphrasis
My ekphrasis, was primarily based on my idea of what the artist had for the sculptures purpose and I tried to capture the average viewers various ideas about the purpose of the sculpture. The question lies in why this young girl of her era aspires to be a ballerina, is it for the fame, to escape poverty via the income from her talents, or merely for pleasure. I also wanted to highlight her stance and the way her head is held implies looking upward, as if she is looking for hope or praying. Overall, while I am not very creative, I hope I was able to capture the purpose set out by the author of the sculpture as well as correctly identify the way the average person would view the sculpture and its purpose.
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Les 5 œuvres choisies pour l'oral du 03/04
- Degas :"La Petite Danseuse de quatorze ans"
-Le Caravage:"David avec la tête de Goliath"
-Gustave Doré:"Le Chat Botté"
-Ousmane Sow:"Guerrier debout"
-Kim Jung Gi:"Tiger is Coming"
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Marilyn Monroe and 'La Petite Danseuse de Quatorze Ans' by Edgar Degas in Beverly Hills, March 1956. Photo by Joshua Logan.
#marilyn monroe#vintage#edgar degas#art#old hollywood#joshua logan#1956#1950s#classic art#retro#50s#beauty#history#photography#La Petite Danseuse de Quatorze Ans
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La Petite Danseuse de Quatorze Ans by Edgar Degas on display at the Musée d'Orsay
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La Petite Danseuse de Quatorze Ans (The Little Fourteen-Year-Old Dancer)
Edgar Degas, 1880.
#unexpressionism#art#Edgar Degas#La Petite Danseuse de Quatorze Ans#The Little Fourteen-Year-Old Dancer#sculpture#ballet#photo#photography
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L’opéra à Paris, créé par Louis XIV, va fêter ses 350 ans d’existence en 2020. Le Musée d’Orsay et l’Orangerie se sont associés au National Gallery of Art de Washington pour présenter à Paris cet automne une ode à cette institution. Et, qui convoquer pour nous en parler le mieux ? Degas, bien sûr ! L’éternel abonné de l’opéra Pelletier qui à partir du milieu des danseuses a fait un champ d’étude presque exclusif de sa technique picturale. C’est du moins ainsi que Henri Loyette, commissaire général, présente la naissance de cette exposition.
La collaboration avec le musée de Washington permet la venue d’œuvres nombreuses jamais exposées. Et, c’est une des richesse de cette exposition.
Danseuse à mi-corps les bras croisés derrière la tête – Vers 1890 –
La famille Degas est passionnée de musique, notamment le père qui entraine rapidement Edgar dans les coulisses. Celui-ci se passionne pour les spectacles en général et tous les aspects de la vie de ce théâtre si particulier.
Pendant presque cinquante ans, ce monde sera le prétexte à le décrire sous tous ces aspects en renouvelant son art. Il est le laboratoire de toutes ses expérimentations et le cœur de sa création. A partir de son approche presque photographique, il l’utilise pour dresser une critique sociale de son temps. A contre-courant des impressionnistes, il rapporte dans son atelier ses dessins, études diverses pour les “coloriser” de façon si audacieuse que son art en ait transcender.
L’Opéra qu’aime fréquenter Degas est l’Opéra Pelletier adossé à l’hôtel de Choiseul dans l’actuel 9è arrondissement, à proximité de l’actuel Hôtel Drouot. Il remplace la salle Richelieu dès 1821. Détruit par un incendie en 1873, l’Opéra Garnier tarde à être construit à cause de la guerre de 70 et la Commune de Paris. Sa façade est présentée à l’Exposition universelle de 1867. L’incendie de l’opéra Pelletier précipitent les travaux et l’inauguration a lieu en 1875.
L’impératrice Eugénie commenta ainsi les plans : « Qu’est-ce que c’est que ce style-là ? Ce n’est pas un style !… Ce n’est ni du grec, ni du Louis XV, pas même du Louis XVI. » et Charles Garnier de répondre : « Non, ces styles-là ont fait leur temps… C’est du Napoléon III ! Et vous vous plaignez ! »
Maquette Opéra Garnier 1
Maquette de l’Opéra Garnier 2
Maquette de l’Opéra Garnier 3
Maquette de l’Opéra Garnier 3
Maquette de l’Opéra Garnier 4
Maquette de l’Opéra Garnier 5
La coupe longitudinale présentée à l’exposition est très impressionnante bien que manquante un peu d’explications.
Maquette de la scène de l’opéra Garnier
A 34 ans, Degas cherche encore son style. Il répond à des commandes de portraits tout en rendant compte de l’univers de la personne. Son père l’encourage à persister.
Spectateur assidu de l’opéra, son attention est attirée par les danseuses. De plus, l’Opéra est un lieu très couru à l’époque. Degas veut aller plus loin que de peindre comme un spectateur. Il regarde là où le public n’est pas autorisé à aller et il s’attache à entrer dans ces lieux pour en révéler tous les aspects.
La répétition au foyer de danse – 1873 / 1875
La classe de danse – 1873
Coulisses – 1874 / 1876
L’Opéra Pelletier prend feu. Degas continue à peindre à partir de ses carnets avec sa mémoire visuelle phénoménale dans ses ateliers toujours situés à proximité.
Croquis dans carnet
En peignant les coulisses de l’Opéra Pelletier, il révolutionne le regard du spectateur en montrant l’importance des sols, indispensables points d’appuis pour la danse, des sujets présentés coupés ou de dos et en libérant le centre du tableau.
La classe de danse début 1873 – Fin 1876
Le rideau – Vers 1881
Derrière le spectacle et sa recherche sur le mouvement, Degas témoigne d’une réalité plus difficile. Les messieurs fortunés sont les seuls à passer dans le foyer de l’Opéra. Du coup, celui-ci devient un écrin pour des rencontres à l’abri du public où les jeunes danseuses sont offertes comme proies faciles aux hommes qui passent.
Au salon – 1879
Pour fuir la misère et avoir un petit salaire, les mères acceptent le pire. Dans ce contexte, la recherche d’un “protecteur” devient presque une nécessité.
Conversations – Vers 1876
Le foyer de l’Opéra – Vers 1876 /1877
A 45 ans, Degas s’essaye à la sculpture en présentant sa petite danseuse de 14 ans, Marie van Goethem, quinze jours après l’ouverture du Salon des Indépendants. Elle révolutionne tellement qu’elle est de suite rejetée, décriée…Première et unique sortie ! Ce n’est qu’à la mort de Degas que son fidèle ami en fera fondre 22 exemplaires. Voir l’autofiction de Camille Laurens.
La petite danseuse de 14 ans
Cette sculpture rompt complétement avec ce qui s’est fait avant. Présenté une jeune fille au visage effronté pas très joli en associant cire et tissu est magnifique de réalisme où le corps et son mouvement sont représentés justement.
Le père de Degas décède. Ses deux frères font faillies. Degas peint pour purger les dettes. La série Eventails nait.
Danseuse de profil et études de pieds – 1878
A 55 ans, Degas ne va plus à l’Opéra. Il se contente de reprendre ses études et de les travailler en peinture. La cécité le guette. Il utilise le pastel et plus tard la cire pour garder le mouvement. Une”orgie de couleurs” éclate.
Après 50 ans, il est devenu un Maître dira Renoir des années après.
Degas ouvre la voie à l’Art moderne. Picasso et Braque sauront s’en inspirer.
Deux danseuses au repos- 1910
Photographies de @vagabondageautourdesoi.com
Sources
Arte Degas à l’opéra
La petite danseuse de quatorze ans – Camille Laurens
Degas Danse Dessins – Musée d’Orsay
Questions pratiques
Degas à l’opéra
Du 24 septembre 2019 au 19 janvier 2020
Commissaire général: Henri Loyrette
Commissaires: Leïla Jarbouai, conservatrice arts graphiques au musée d’Orsay Marine Kisiel, conservatrice peintures au musée d’Orsay Kimberly Jones, conservatrice des peintures françaises du XIXe siècle à la National Gallery of Art de Washington
Exposition organisée par les musées d’Orsay et de l’Orangerie, Paris et la National Gallery of Art, Washington où elle sera présentée du 1er mars au 5 juillet 2020, à l’occasion du trois cent cinquantième anniversaire de l’Opéra de Paris.
Superbe exposition "Degas à l'opéra" qui célèbre les 350 ans de l'Opéra de Paris en présentant les peintures de Edgar Degas et son univers pictural au Musée d'Orsay cet hiver 2019/2020 L'opéra à Paris, créé par Louis XIV, va fêter ses 350 ans d'existence en 2020. Le Musée d'Orsay et l'Orangerie se sont associés au National Gallery of Art de Washington pour présenter à Paris cet automne une ode à cette institution.
#Danse#Danseuses#Degas#Edgar Degas#Exposition#Exposition 2019#Impressionniste#La petite danseuse de quatorze ans#Musée Orsay#Opéra#Opéra de Paris#Opéra Garnier#Opéras Pelletier#Orsay#Peintre#Peinture
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Que l’artiste se rassure : l’oeuvre incomprise aujourd’hui sera peut-être un jour dans un musée, regardée respectueusement comme la première formule d’un art nouveau. Nina de Villard
Quelle singulière destinée que celle de ces pauvres filles, frêles créatures offertes en sacrifice au Minotaure parisien, ce monstre bien autrement redoutable que le Minotaure antique, et qui dévore chaque année les vierges par centaines sans que jamais aucun Thésée vienne à leur secours ! Théophile Gautier
La vérité n’est jamais laide quand on y trouve ce dont on a besoin. Edgar Degas
J’ai enfermé mon cœur dans un soulier de satin rose. Edgar Degas.
Sait-on qu’on touche ? Sait-on comment c’est fait ? C’est un mystère. Edgar Degas
Une femme, c’est-à-dire une question, une énigme pure. Julien Gracq
Elle est célèbre dans le monde entier mais combien connaissent son nom ? On peut admirer sa silhouette à Washington, Paris, Londres, New York, Dresde ou Copenhague, mais où est sa tombe ? On ne sait que son âge, quatorze ans, et le travail qu’elle faisait, car c’était déjà un travail, à cet âge ou nos enfants vont à l’école. Dans les années 1880, elle dansait comme petit rat à l’Opéra de Paris, et ce qui fait souvent rêver nos petites filles n’était pas un rêve pour elle, pas l’âge heureux de notre jeunesse.
La petite danseuse de 1880, elle, a été renvoyée après quelques années de labeur, le directeur en a eu assez de ses absences à répétition, onze rien qu’au premier trimestre. C’est qu’elle avait un autre métier, et même deux, parce que les quelques sous gagnés à l’Opéra ne suffisaient pas à la nourrie, elle ni sa famille. Elle était modèle, elle posait pour des peintres ou des sculpteurs. Parmi eux il y avait Edgar Degas. Savait-elle quand elle posait dans son atelier, que grâce à lui, elle mourrait moins que les autres petites filles ? Stupide question comme si l’oeuvre comptait plus que la vie. Ça lui aurait fait une belle jambe, c’est le cas de le dire, de savoir qu’un siècle après sa mort on tournerait encore autour d’elle dans les hautes salles des musées comme ces messieurs au foyer de l’Opéra, qu’on la considérerait de haut en bas et de bas en haut comme ses clients dans les bouges où elle vendait son corps sur l’ordre de sa mère - son corps frêle devenu bronze... Lorsqu’elle posait pour lui des heures durant, se fatiguant dans cette position dite de “repos”, une jambe en avant, les mains nouées dans le dos, silencieuse, a-t-elle songé que monsieur Degas avait assez de talent pour la rendre célèbre, elle aussi, et que sa petite silhouette de figurante serait un jour une étoile admirée ? A-t-elle imaginé pareil avenir - une gloire que la danse de lui donnerait jamais ? C’est possible, après tout, : les petites filles ont de ces rêves.
Depuis longtemps, son image m’accompagne, elle est posée sur mon bureau, sur mes étagères. Elle a le nez en l’air, elle ne me regarde pas, mais en même temps je me sens proche, elle me regarde en un autre sens. Chaque fois que j’entre dans la salle d’un musée où elle se trouve et où je suis venue la chercher, pour une raison dont je n’ai pas le secret, mon cœur se serre.
A peine âgé de quarante ans, Degas souffre donc d’une semi-cécité, il ne supporte pas la lumière, on le reconnaît dans Paris à ses lunettes bleues. Cruel destin pour un peintre. “La sculpture est un métier d’aveugle”explique-t-il au galeriste Vollard. Elle devient pour lui une nécessité autant qu’un désir. La main sera désormais un œil supplémentaire, la grâce du toucher palliera l’imprécision croissante de la vue. Mais cet engagement dans l’art de la statuaire n’est pas seulement circonstanciel. Il correspond aussi à la recherche d’une vérité plus grande :” Je me suis rendu compte que pour arriver à une exactitude si parfaite qu’elle donne la sensation de la vie, il faut recourir aux trois dimensions”, confie-t-il. La saisie du mouvement pur étant, comme en peinture, sa principale ambition, la cire constitue son matériau de prédilection parce qu’il peut la modeler facilement et indéfiniment, tandis que le marbre ou la pierre, cette “matière pour l’éternité”, ne permettent pas que “la main soit proche de l’idée”. C’est aussi la cire qui imite le mieux la chair.
Au fond, ce qui dérange le plus, c’est de ne pouvoir faire entrer cette Petite Danseuse dans aucune catégorie ferme. Elle est tout et son contraire : le modèle est une enfant, mais elle a l’air d’une criminelle; une danseuse, mais elle est sans élégance - à la fois “raffinée et barbare” note Huysmans, “faite de salauderie populacière et de grâce”. Trop grande pour être un jouet, trop petite pour figurer une fille de quatorze ans, elle hésite entre l’oeuvre d’art et l’objet courant, la statue et le mannequin, la poupée, la miniature, la figurine; elle avance un pied funambule sur le fil qui sépare les beaux-arts de la culture de masse, la poésie de la prose, elle est à la fois classique et moderne, réaliste et subjective, esthétique et populaire, vulgaire et belle.
La petite danseuse de quatorze ans - Camille Laurens
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