#déraciné
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s-yasuhira · 1 year ago
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betwixtyiff · 1 year ago
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caede9 · 1 year ago
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"They claim he is the all mighty prophet. One who forgives and forgets. A god who turns a blind eye regardless of the sins you burden yourself with. And for this, I had been told to believe he is my guide and my closest friend at the same time."
drawing for @lean111111111111 ‘s character, déraciné (or del). will he ever find this post, considering he’s inactive on tumblr? the world may never know
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zeldoa · 1 year ago
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. . .
sono entrata in questa bolla affascinata dai toni tenui , dai contenuti culturali , letterari , introspettivi .. ho spostato delicatamente con la mano il portone socchiuso , piena di meraviglia , ho sbirciato; curiosa, un po' intimorita , non sono avvezza ai social , non ho profili fb nè altri simili e/o derivativi .
E mi chiedo .. mi serve ? se si , a che pro ? non credo di aver nulla di minimamente interessante da dire o da condividere .Mi interessa condividere ? si , ma con i miei cari più strettamente connessi con me , non in un palco virtuale di libero accesso . E allora che ci sto a fare qui ?
Forse voglio concretizzare il dialogo con me stessa , tratteggiare per iscritto quel che galleggia nella mia testolina . per rileggermi si , per risentirmi si . E contemporaneamente per arricchirmi , perché molti pensieri , sfoghi , stupori , entusiasmi e dolori che leggo tra i posts mi sorprendono magnificamente . Mi piace avere la conferma che oltre all'orrido che da sempre esiste ma che si propaga ora più che mai con l'impeto e la velocità di una mareggiata , oltre a questo nauseante orrore sordo , esiste un sottobosco silenzioso e profumato ; di animi gentili , nobili , lettori e creatori; di parolieri a cappella di creatori di opulente composizioni che si srotolano come spartiti e mi accompagnano in un mondo di favola, melodia e pace.
E mi lascio trasportare, fluttuo , e sorrido . E mi commuovo .
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hmstrlv8 · 2 years ago
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fatherentropy · 2 years ago
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been listening to the Ender Lilies soundtrack which is why uuuh Lily is a thing™ tbqh but also Bulbel straight up would be good song for Autumn
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hcdahlem · 26 days ago
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Almah, une jeunesse viennoise
Comme cela arrive pour les franchises à succès au cinéma, Catherine Bardon nous propose un préquel à sa saga des Déracinés en imaginant les jeunes années d'Almah. L'occasion de plonger dans la Vienne de l'entre-deux-guerres.
En deux mots Almah voit le jour dans la banlieue chic de Vienne en 1911. Son père Julius est médecin, puis dirigera un hôpital, sa mère est pianiste. Elle soigne sa dépression chez Sigmund Freud jusqu’à l’arrivée de sa fille qui va mettre du soleil dans leur vie. On va suivre de la Première Guerre mondiale jusqu’aux prémices de la Seconde. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique Les jeunes années…
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tetedenoeuds · 7 months ago
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🕯️Il y a dix ans, on m’a dit que je devais arrêter avec la forêt, que cela appartenait à de vieilles références, que ça ne pouvait pas faire partie de l’art contemporain. J’ai essayé - je crois - d’en sortir, de me perdre dans les aplats gris de bitume et la ligne claire des immeubles, mais à travers ma cage thoracique, l’appel est trop fort.
🌿Je remets sur mes épaules ma peau de bête et disparais à travers le feuillage. On ne se perd pas dans la forêt quand on lui appartient.
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fantomemangeurdelivres · 1 year ago
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"how does corruption start, and how deep into the forest can we wander before we become unredeemable and can’t find our way out?"
J'ai lu Uprooted en avril et en le finissant, j'ai eu la forte impression que tout était une grande métaphore (comme toujours j'ai envie de dire :p). J'ai creusé ma petite tête et j'ai trouvé une piste assez évidente et qui se confirmait merveilleusement au fur et à mesure que j'en apprenais plus sur l'autrice. Comme je n'ai trouvé aucun avis/article qui se penchait dessus, j'ai eu envie de partager mes théories !
[résumé du livre]
/!\ cet article est rempli de spoilers /!\
/!\ aussi, cet article ne reflète pas mon avis, seulement mon interprétation du message de l'autrice /!\
la famille
Le livre est très centré sur l'amour non romantique (même si en soi il y a une romance). En fait, c'est même ce qui dirige l'intrigue puisque les décisions importantes que prend Agnieszka sont toutes guidées par le bien qu'elle veut à son amie. Aussi, Niechka se languis énormément de sa famille lorsqu'elle est dans la tour.
Il y a aussi évidemment le thème des racines ("Déracinée" !). Non seulement les racines de Niechka (son attachement -enracinement- à sa terre natale lui donne de fantastiques pouvoirs), mais aussi les racines du peuple-arbre. Pour ce dernier, l'enracinement n'est pas positif, il conduit au renfermement sur soi ("We began to forget how to be people.").
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le patrimoine
Je parle ici de patrimoine culturel attaché à la terre natale. En plus des instances citées plus haut, le livre révèle aussi ce thème du patrimoine lié à la terre natale dans le personnage du Dragon. Il ne connaît pas son histoire familiale (il fut adopté jeune), il ne connaît que sa ville de naissance, et il s'y accroche car c'est son identité, sa seule véritable. Mais à la fin il accepte de créer de nouveaux liens, une nouvelle histoire / identité, avec celle qu'il aime. Il était futile de se forcer à s'attacher artificiellement à un patrimoine dont on ne sait presque rien.
Mais, le détachement final du Dragon de sa terre natale ne veut pas dire que l'autrice n'accorde pas d'importance au patrimoine lié à la terre natale. Au contraire, tout au long du livre le patrimoine est extrêmement important (avec l'histoire de la magie très forte des personnes étant attachées à leur terre). Cela fait écho au fait que Naomi Novik, même si elle vit aux États-Unis, a des parents polonais (père) et lituanienne (mère). En fait cela fait écho à tous les enfants d'immigrés qui veulent garder un lien avec leur culture, leur patrimoine, liés à la terre de leurs ancêtres.
En cela ça me fait aussi penser au livre The Royal Abduls de Ramiza Shamoun Koya qui traite aussi de ce thème, avec un enfant de seconde (ou troisième?) génération d'immigrés qui essaie de s'attacher à la culture indienne de son grand père, allant jusqu'à embrasser les clichés sur les personnes indiennes (il parle avec un fort accent indien en public alors que chez lui il n'en a pas, il s'habille comme s'il était en Inde etc. jusqu'à même paraître absurde à sa propre famille).
Seulement le livre montre aussi les limites de l'importance du patrimoine lié à la terre natale, comme avec le peuple-arbre ou le Dragon. Je pense que dans le cas du Dragon, il ne savait tellement rien de sa terre natale qu'il était ridicule de se forcer à s'y attacher.
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les traumatismes
un cercle vicieux
L'antagoniste, dans le livre, est la "corruption", une sorte de poison qui change les personnes entrant en contact avec la Forêt. La Forêt elle-même n'a pas toujours été empoisonnée et surtout empoisonnante ! C'est la douleur, la colère, le besoin de vengeance de la reine du peuple-arbre qui l'a rendue ainsi. Vous voyez l'analogie ? D'ailleurs, la plupart des arbres de la Forêt sont des personnes "empoisonnées", dont on a mangé les rêves (c'est dit dans le texte !) et qui se sont transformées en arbres "moisis" qui corrompent les autres. La Forêt est "quelque chose qui fabrique des monstres". Pour moi c'est une analogie claire aux personnes qui, ayant subit un traumatisme qu'elles n'ont pas "digéré", causent souvent des traumatismes à d'autres personnes, qui perpétueront le cycle.
Mais on peut "guérir" la plupart de ces personnes (ce que fait Agnieszka à la fin), même si certaines sont insauvables, trop "pourries" (Agnieszka brûle les arbres trop corrompus). C'est pessimiste mais certains meurtriers par exemple sont irréparables. La métaphore s'arrête là, je ne pense pas que l'autrice dise qu'il faut brûler ces personnes ! Dans le livre il fallait bien qu'on s'occupe de ces arbres. Il faut juste les mettre hors d'état d'empoisonner d'autres gens.
Donc l'empoisonné essaie d'empoisonner le plus de gens possible : cercle vicieux. Mais il existe aussi un cercle vertueux avec les gens qui sont guéris : ils veulent partager leur grâce.
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se remettre d'un traumatisme
"she remembered the wrong things and forgot too much"
Quand on ressasse le mauvais côté des situations, les moments traumatisants, on oublie les bons côtés qui peuvent nous faire grandir de cette situation, nous apprendre. Et puis on oublie carrément les bons moments puisque plus on pense à un évènement, plus on s'en souvient.
Il faut se demander : qu'est-ce que je peux apprendre de cette situation ? Mais avant de se poser cette question, il nous faut le soutien émotionnel des bons moments. En gros, se souvenir des bons moments permet d'être dans une bonne disposition mentale pour faire de l'introspection afin de se guérir, ça nous donne les armes nécessaires pour travailler sur les mauvais souvenirs. C'est une étape du processus de guérison.
Il y a des limites à cette métaphore, le livre n'est pas un guide pour surmonter un traumatisme, c'est plutôt un message pour dire qu'il ne vaut mieux pas ressasser le mauvais mais chercher à grandir de toute situation, aller de l'avant en cherchant à être une meilleure personne. Ça se fait en ayant un regard positif.
Le processus de guérison peut être très long, Agniezska met du temps à guérir tous les arbres de la Forêt. Mais les personnes qui sortent de la corruption sont plus forts, dans le livre ils deviennent littéralement très forts et très beaux. Mais on perd tout de même quelque chose, dans le livre ces personnes perdent leur aspect humain (elles ressemblent à des statues de bois et n'ont pas besoin de dormir etc.).
Un autre aspect de la guérison est The Summoning, un grimoire qui montre la vérité aux personnes autour, qui met les personnes à nu, ce qui a pour effet de retirer la corruption. Les gens jouent cartes sur table, donc ils se comprennent et se pardonnent. La métaphore se rapporte peut-être ici aux personnes de l'entourage de la personne traumatisée, qui n'ont rien fait ?? Et ça ne fonctionne pas sur la reine car elle était trop pourrie, il ne restait plus rien de la personne qu'elle était, juste de la haine.
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les traumatismes coloniaux
Ok, là est mon coup de génie. La reine du peuple-arbre laisse entrer un groupe étranger (les humains) dans leur territoire afin qu'il leur rappelle comment être des personnes à nouveau, en échange de connaissances. Or ce groupe ne voulait que coloniser le territoire, changer (les habitants) sans changer en retour. C'est le noeud du conflit du livre puisque c'est cet évènement qui traumatise la reine et l'emplit de colère, de tristesse et de vengeance, ce qui lui fait empoisonner la Forêt, lui fait créer un monstre qui créer des monstres.
J'ai déjà évoqué le lien au patrimoine (la terre natale) très présent dans le livre, mais aussi, tout au long du livre, il y a un lien avec la Pologne et la Lituanie (pays d'origine des parents de Naomi Novik. Non seulement par l'inspiration tirée de leurs contes, ou par les noms, mais aussi par leur histoire. Ces deux pays ont un dur passé colonial - ayant été tous deux annexés par la Russie jusqu'en 1918 - tellement présent dans leur culture que leur deux hymnes nationaux parlent de la libération du peuple face à l'envahisseur. J'ai aussi noté que dans le livre, le nom du pays avec lequel le pays de notre héroïne a de constantes tensions est Rosya - très proche de la prononciation du mot "Russie" en polonais !
Je tiens à préciser que je ne connais presque rien de ces pays et de leur histoire, seulement ce que j'ai pu trouver rapidement sur Wikipédia ! Mais j'ai été étonné des rapprochements que j'ai pu faire.
Merci de m'avoir lu !
Réseaux de l’auteur.ice : https://www.naominovik.com/ ~ https://www.facebook.com/naominovik ~ https://twitter.com/naominovik ~ https://naominovik.tumblr.com/
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darthruaky · 2 years ago
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Oh, I never thought I'd see it - But you belonged to me
Like the shame to the retreat
Oh, I never thought I'd see it
But you fill yourself indeed
With what you destroyed in me
youtube
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raitrolling · 1 month ago
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i have once again failed to finish the locations masterpost because i got distracted by multiple hour-long videos again
locations masterpost is... getting there
i almost finished w. all the locations relevant to my mains but then i got distracted watching that minecraft parkour movie everyone's talking about so i guess ill finish that + hopefully write down the locations relevant to my side characters and npcs too tomorrow and it'll be ready to post
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logogreffe · 24 days ago
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"Quand je me sens déraciné je monte au sommet des arbres De là-haut j'vois la mort, faut être précis, elle approche La vie c'est apprécier la vue après scier la branche"
Tempête de Nekfeu
Say what you want about French rappers but this is poetry to me
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betwixtyiff · 1 year ago
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roachymochi · 3 months ago
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Got an idea impossible to coalesce about fingers and horns in the Land of Shadow.
finger ruins being properly ancients and the inhabitants of the land at the time, seeing the divine in them, trying to commune with them to become fingers themselves.
The way the finger mushroom grow in cluster like a seven fingered hand (like Rykards')
The fingercreepers being called "finger-grubs" in french version
Hornsents worshipping horns cluster as a true manifestation of the divine
The inquisitors of the ruling class having two clusters of horns on each side of the head
The way hornsents horns looks like fat grubs bursting out of flesh.
The duality imagery being both an hornsent and two fingers trademark
How the hornsent suffer from a bug transformation disease
The presence of Metyr, and her wound, and her hatred, and the formless mother craving wound and violence against the golden order, granting her blessing to the omens.
How there are so many aspects of the Crucible but the Hornsent are solely focused on horns as a blessing.
The existence of the wormface, and their codename being Déracinée. Like people who lost their land. and how their worm covered face look similar to the horns growing down on the hornsent grandma
The Hornsent (NPC) stone grub Mask being used in rituals and somehow having the highest focus stat of the game.
How worms are growing in the pots and make food for the prisonners, all that linked to an hallowing ritual
Like. Are divine horns just a manifestation of the fingers in human (and animal) flesh. How would that work. Horns as Worms as Fingers.
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freepalestinenews · 2 months ago
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Nul au monde ne mérite d'être privé de sa liberté. En Palestine, des milliers d'innocents sont déracinés de leurs terres natales, arrachés à leur histoire et à leur avenir. Chaque jour, la colonisation étend son emprise, détruisant des vies, des foyers, et des générations entières. C'est un massacre silencieux qui se joue sous nos yeux, où la violence et l'oppression asphyxient un peuple en quête de paix. Nous ne pouvons pas rester indifférents face à cette tragédie humaine. Arrêtons le massacre. Les Palestiniens ont le droit de vivre libres, sur leurs terres, en paix et en dignité. Le monde ne peut pas
#GazaGenocide#genocide#palestinewillbefree#SaveGaza#Genocide_of_Palestinians#FreeGaza#Gaza#GENOCIDEGAZA#FreePalestine#StopGenocideOfPalestinians
Free-Palestine.News
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aurevoirmonty · 5 months ago
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« […] les existentialistes philosophes se trouvent dans une situation analogue à celle de Nietzsche : eux aussi sont des hommes modernes, c’est-à-dire des hommes détachés du monde de la Tradition, dépourvus de toute connaissance et de toute intelligence de ce monde. Ils utilisent les catégories de la “pensée occidentale”, ce qui revient presque à dire profane, abstraite et déracinée ».
Julius Evola, Chevaucher le tigre (1961)
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