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Booste ta forme grâce à ton profil psychologique
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Abonnés TikTok : Techniques infaillibles pour attirer une audience massive
Abonnés TikTok : Techniques infaillibles pour attirer une audience massive
TikTok est devenu un endroit très important pour les créateurs, les marques et les influenceurs. Avec plus de 1 milliard d'utilisateurs actifs dans le monde, il est essentiel d'apprendre à attirer des abonnés sur cette plateforme populaire. Plus vous avez d'abonnés, plus vous pouvez gagner de l'argent grâce à votre contenu, augmenter votre visibilité et créer une communauté fidèle. Voici quelques techniques efficaces pour vous aider à attirer une grande audience sur TikTok.
Cliquez ici pour en savoir plus
Comprendre son Audience
Identifier sa niche
Avant de commencer à publier sur TikTok, il est important de trouver votre niche. Cela signifie choisir un thème spécifique qui vous passionne. Par exemple, vous pourriez parler de cuisine, de mode, de sport ou même d'astuces de vie. Certaines niches comme les astuces culinaires ou les vidéos d'animaux de compagnie sont très populaires. En vous concentrant sur un sujet qui vous intéresse vraiment, vous pourrez attirer des personnes qui partagent les mêmes passions que vous.
Analyser le public cible
Pour attirer des abonnés, il est crucial de savoir qui vous ciblez. Quels sont les intérêts de votre audience ? Que cherchent-ils à voir ? Des outils comme TikTok Analytics peuvent vous aider à voir les résultats de vos vidéos et à mieux comprendre votre public. En examinant ces informations, vous pourrez ajuster votre contenu pour mieux répondre aux attentes de votre audience.
Créer un Contenu de Qualité
Importance de la créativité et de l'originalité
Être créatif est extrêmement important sur TikTok. Ce qui attire vraiment l’attention des utilisateurs, c'est non seulement le contenu, mais aussi la façon dont vous le présentez. Pensez à des idées uniques qui montrent votre personnalité. Que ce soit pour faire rire ou inspirer, laissez parler votre imagination pour créer quelque chose de mémorable qui donnera envie aux gens de vous suivre.
Utiliser des formats de contenu engageants
Sur TikTok, certains types de vidéos sont plus engageants que d’autres. Les danses, les défis et les tutoriels fonctionnent très bien. Par exemple, si vous aimez cuisiner, pensez à créer des vidéos de recettes rapides où vous expliquez bien chaque étape. Établir une connexion émotionnelle avec votre audience est également important pour développer une communauté fidèle.
Aller plus loin en cliquant ici
Optimiser la qualité visuelle et sonore
La qualité de vos vidéos est essentielle pour attirer des abonnés. Des vidéos bien éclairées, utilisant des filtres attrayants et de la musique tendance peuvent vraiment améliorer vos vidéos. Si vos vidéos ont l'air professionnelles, elles auront plus de chances d'attirer un grand nombre de personnes.
Exploiter les Tendances et les Hashtags
Suivre les tendances TikTok
Pour vous faire connaître sur TikTok, il est important de rester au courant des tendances. Participer à des défis ou à des thèmes populaires peut vraiment booster votre visibilité. Prenez le temps d'explorer les tendances sur TikTok et adaptez votre contenu pour qu'il soit pertinent et récent.
Utiliser des hashtags efficaces
Les hashtags sont très importants pour que vos vidéos soient vues par plus de personnes. Choisissez des hashtags populaires qui correspondent à votre niche, mais n'oubliez pas d’en ajouter des plus spécifiques pour toucher votre audience. Par exemple, si vous créez du contenu sur la beauté, utilisez des hashtags comme #MakeupTok ou #SkincareRoutine pour attirer plus de spectateurs. Un bon mélange de hashtags populaires et spécifiques vous aidera à atteindre différents types de personnes.
Interagir avec son Audience
Répondre aux commentaires et aux messages
Interagir avec votre audience est essentiel pour bâtir une communauté engagée. Prenez le temps de répondre aux commentaires et aux messages de vos abonnés. Cela montre que vous les appréciez et cela renforce l’engagement. Une interaction régulière aide à créer des relations plus solides avec vos abonnés.
Collaborer avec d'autres créateurs
Travailler avec d'autres créateurs peut être un excellent moyen d'élargir votre portée. En participant à des duos ou à des vidéos ensemble, vous pourrez profiter de l’audience de l’autre créateur. Cela peut non seulement accroître votre visibilité, mais aussi apporter une touche nouvelle à votre contenu.
Publier Régulièrement
Établir un calendrier de contenu
Pour garder votre audience engagée, il est important de publier régulièrement. Créer un calendrier de contenu vous aidera à rester organisé et à maintenir votre rythme de publication. Vous pouvez utiliser des outils de planification pour vous aider à gérer votre contenu.
Expérimenter différents horaires de publication
Essayer différentes heures pour publier vos vidéos peut également vous aider à toucher plus de personnes. Regardez les statistiques de vos vidéos pour voir à quel moment les gens interagissent le plus avec votre contenu. Cela vous permettra d’optimiser votre stratégie de publication.
Utiliser les Outils de TikTok
Tirer parti des fonctions de promotion de TikTok
TikTok propose des options de promotion payantes pour vous aider à atteindre plus d'utilisateurs. Si vous pouvez vous le permettre, pensez à booster certaines de vos vidéos pour attirer de nouveaux abonnés. N'oubliez pas non plus d'utiliser les outils d’analyse disponibles pour suivre vos performances. Ces données vous aideront à ajuster vos futures stratégies de contenu.
Participer à des défis et concours TikTok
Engager votre audience en participant à des défis ou des concours sur TikTok est un excellent moyen d’attirer de nouveaux abonnés. Ces événements peuvent vous donner une visibilité instantanée et vous permettre de vous connecter avec d'autres utilisateurs et créateurs de contenu.
En utilisant ces techniques, vous pouvez grandement augmenter votre nombre d'abonnés sur TikTok. Comprenez votre audience, créez un contenu original et engageant, exploitez les tendances et les hashtags, interagissez avec votre communauté, publiez régulièrement et utilisez les outils offerts par TikTok. En appliquant ces conseils, vous serez sur la bonne voie pour construire une audience massive sur cette plateforme. Alors n'hésitez pas à commencer votre aventure sur TikTok dès aujourd'hui et à voir votre communauté grandir !
Les mots clés pour se positionner :
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Contenu engageant
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N'hésitez pas à essayer ces conseils et à partager vos expériences dans les commentaires !
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Lundi 28 octobre : s’adapter
Il est encore minuit, mais la j’ai une excuse, le lundi je finis a 21h, la soirée est donc courte, je rentre a 22h et je me lève a 8h le lendemain.
C’est un mal pour un bien, parce que, comme le vendredi je finis à 15h ça me fait quasiment trois jours de week-end vu que je commence à 14h le lundi. Et vu que les autres jours je fais 10/18 il y a bien un moment où il faut s’adapter.
En semaine, j’ai hâte d’être le week-end pour me reposer et faire ce que je veux, développer des projets, pour avoir du temps de faire les choses mais le week-end j’ai hâte d’être en semaine pour quitter cette solitude qui pèse.
J’aime bien être seul mais aussi longtemps, c’est pas dingue. Je discute beaucoup peut-être par message mais ça suffit pas, il faut du reel.
Je compense par le fait de jouer au PC le soir avec mes potes, ça me fait oublier tout ça, l’histoire de quelques heures mais c’est vrai que la solitude, ça pese, c’est pour ça que j’adore aller au cinéma comme ça, quand je sors après le film, je me sens bien, et j’ai oublié tous ces problèmes pendant quelques heures et ça fait du bien.
J’aimerais vraiment avoir beaucoup plus de temps pour moi mais en même temps si j’en ai trop je vais me sentir trop seul donc il faut trouver un entre-deux.
C’est difficile de faire de nouvelle rencontre, quand la base pour faire de nouvelles rencontres, c’est d’aller dans un bar.
La musique est très forte donc les gens parlent très fort sauf que maintenant il faut que toi aussi tu parles fort et que tu sortes bien l’oreille pour bien comprendre, ça demande beaucoup d’efforts pour un timide.
Il faut aussi beaucoup de courage pour aller seul dans un bar.
Mes semaines se ressemblent toutes. C’est un cauchemar, mais dans le même temps j’ai besoin de stabilité, de point de repère pour me sentir bien mais vu que là mes semaines se ressemblent, ça devient un poids plus qu’autre chose.
La seule bonne nouvelle de cette semaine c’est que dimanche soir je vois LINKIN PARK et ça c’était pas prévu au programme, c’est la meilleure chose qui pouvait m’arriver.
Est-ce que vous aussi le fait d’avoir trop de choses à regarder parfois ça vous étouffe ?
Le soir quand j’ai la possibilité de regarder un film, je perds au moins 10 minutes pour trouver celui que j’ai lancé et quand je regarde toutes mes watchlists, je me dis, comment je vais avoir le temps de regarder tout ça ?
Sachant que j’ai aussi des séries à regarder qui traînent depuis des lustres et que je n’arrive jamais à lancer, c’est pour ça que je suis très sélectif sur les nouvelles séries, et les nouveaux films qui sortent enfin moins sur les films, je suis toujours très ouvert, mais je me limite quand même.
Toute façon, je vais arrêter d’avoir des watchlists sur les plates-formes de vidéos, je vais essayer de regarder tout ce que j’ai dessus actuellement et une fois fini je n’irai plus dessus.
Si c’est sur, Netflix, Disney+ ou Amazon Prime on a la publicité même si on paye donc je vais arrêter de les utiliser parce qu’ils se foutent de notre gueule, je vais revenir au bon vieux téléchargement pas très très égaux que je vais mettre après sur Plex pour ensuite les regarder sur ma télé.
Pour tout vous dire, j’aimerais bien faire comme Léo Duff l’avait présenté dans sa vidéo d’il y a quelques années c’est-à-dire que dès que je mets un film dans mes favoris, ça va chercher un lien pour le trouver, le télécharger pour qu’il soit directement ajouté dans mon Plex, comme ça t’as rien à faire, mais ça demande une certaine organisation en amont.
J’ai toujours cette impression de faire plus pour les autres, par exemple sur Twitter est-ce que le fait d’ajouter la date de naissance des mutuals dans mon calendrier c’est trop ou pas ?
J’ai toujours eu envie de faire plein de projets qui pourraient me plaire et me rendre heureux, mais du fait de ma personnalité, timide et anxieuse, ça me ferme ses portes-là.
J’ai toujours rêvé d’être un Rivenzi ou un Serious Charly pour parler de sport sur Twitch faire des débats, mais surtout discuter de tout ça ou comme Domingo présenter une émission comme Popcorn, faire des mini jeux comme à la fin, parler des sujets qui intéressent, parler d’actualité, faire un podcast, faire de belles photos, de belles vidéos, un beau montage, un montage drôle, avoir un très bon niveau sur quelque chose et pas être médiocre sur beaucoup de choses.
J’ai fait 15 ans de tennis mais j’ai jamais su servir et j’ai toujours été complexée par ça, ça me faisait sentir nul et je faisais beaucoup de mauvais service, de double faute ou de vieux services pourris.
En fait je faisais des services pourris et ça me gênait parce que je trouvais ça honteux. J’avais honte. J’ai jamais été bon quelque part d’une forte manière, j’ai toujours été médiocre, curieux sur plein de choses, mais médiocre partout.
Hier soir j’ai vu le robot sauvage je crois que c’est le meilleur film d’animation que j’ai jamais vu, tout était parfait c’était beau. La musique était dingue et la VF exceptionnelle. J’ai déjà envie de le revoir plein de fois c’est pour ça que j’aime le cinéma, ça adoucit ma vie.
A la prochaine,
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Les meilleurs matériaux pour les bonnets d'hiver !
Bienvenue dans notre guide complet sur les meilleurs matériaux pour les bonnets d'hiver. Que vous recherchiez un bonnet pour le ski ou simplement pour vous protéger du froid hivernal, choisir le bon matériau est essentiel pour rester au chaud et stylé. Dans cet article, nous explorerons les tendances actuelles en matière de bonnets de ski, en mettant en lumière les options les plus populaires sur le marché.
Ensuite, nous plongerons dans le monde des matériaux, en examinant les caractéristiques de la laine, du cachemire, de l'acrylique et des mélanges synthétiques. Chacun de ces matériaux a ses propres avantages et inconvénients, et nous vous aiderons à comprendre lequel convient le mieux à vos besoins.
Après avoir exploré les différentes options, nous aborderons la question cruciale de comment choisir le bon matériau selon les conditions climatiques. Que vous affrontiez des températures glaciales ou simplement un vent frais d'automne, nous vous donnerons des conseils pratiques pour vous assurer de rester confortablement au chaud.
Suivez notre guide pour découvrir les secrets des bonnets d'hiver et faire le choix parfait pour affronter les éléments avec style.
Les tendances actuelles en matière de bonnets de ski
Dans le monde de la mode hivernale, les bonnets de ski sont à la fois fonctionnels et stylés. Pour rester au chaud sur les pistes tout en affichant votre sens du style, il est essentiel de suivre les tendances actuelles.
Les bonnets de ski sont devenus bien plus qu'un simple accessoire de protection contre le froid. Ils sont maintenant un élément essentiel de la garde-robe hivernale, offrant une touche de personnalité à chaque tenue.
Cette saison, les tendances en matière de bonnets de ski se concentrent sur une combinaison de fonctionnalité et de style. Les matériaux techniques et les designs innovants sont à l'honneur, offrant une protection optimale contre les intempéries tout en ajoutant une touche de modernité à votre look sur les pistes.
Les couleurs vives et les motifs audacieux sont également populaires cette saison. Des teintes éclatantes comme le rouge vif, le bleu électrique et le vert émeraude apportent une touche de dynamisme à votre tenue de ski.
Les marques de sport de renom proposent une gamme de bonnets de ski qui allient style et performance. Des designs épurés et des matériaux de haute qualité sont au rendez-vous, offrant aux skieurs et aux snowboarders un choix varié pour compléter leur tenue.
Restez à l'affût des dernières tendances en matière de bonnets de ski pour être sûr d'être à la pointe de la mode cet hiver sur les pistes.
Laine, cachemire, acrylique, mélanges synthétiques
Lorsqu'il s'agit de choisir un bonnet de ski, le choix du matériau est crucial pour assurer à la fois chaleur et confort sur les pistes. Parmi les options disponibles, la laine, le cachemire, l'acrylique et les mélanges synthétiques sont parmi les plus courants.
La laine est un choix classique pour les bonnets de ski. Ce matériau naturel offre une excellente isolation thermique, en retenant la chaleur corporelle tout en évacuant l'humidité. Les bonnets en laine sont donc idéaux pour les journées froides sur les pistes, offrant chaleur et confort même par temps venteux ou humide.
Le cachemire, bien que plus luxueux, est également très apprécié pour sa douceur et sa chaleur. Les bonnets en cachemire offrent un confort exceptionnel et une sensation de douceur sur la peau, mais ils peuvent être moins résistants à l'usure que d'autres matériaux et nécessitent souvent un entretien plus délicat.
Pour ceux qui recherchent une option plus abordable, l'acrylique est un choix populaire. Ce matériau synthétique offre une chaleur similaire à celle de la laine, tout en étant souvent plus résistant à l'eau et plus facile à entretenir. Les bonnets en acrylique sont disponibles dans une large gamme de couleurs et de motifs, ce qui en fait un choix polyvalent pour les skieurs de tous âges.
Enfin, les mélanges synthétiques, tels que le polyester ou le nylon, sont souvent utilisés pour fabriquer des bonnets de ski. Ces matériaux offrent une combinaison de chaleur, de légèreté et de durabilité, ce qui en fait un excellent choix pour les skieurs actifs qui recherchent un bonnet résistant à l'abrasion et aux intempéries.
En résumé, le choix du matériau pour votre bonnet de ski dépendra de vos préférences personnelles, de votre budget et des conditions météorologiques auxquelles vous serez confronté sur les pistes. Prenez le temps d'examiner les avantages et les inconvénients de chaque option afin de choisir le bon bonnet pour vos besoins spécifiques.
Avantages et inconvénients de chaque matériau
Laine : La laine est appréciée pour sa chaleur naturelle et sa capacité à réguler la température corporelle, ce qui en fait un excellent choix pour les bonnets de ski. Elle est également résistante à l'humidité et à l'odeur, ce qui en fait une option idéale pour les longues journées sur les pistes. Cependant, la laine peut être sujette au feutrage et nécessiter un entretien plus délicat que d'autres matériaux.
Cachemire : Le cachemire est réputé pour sa douceur luxueuse et sa chaleur exceptionnelle. Les bonnets en cachemire offrent un confort incomparable, mais ils sont souvent plus fragiles et nécessitent un entretien plus minutieux. De plus, le cachemire peut être plus coûteux que d'autres matériaux.
Acrylique : L'acrylique est un matériau synthétique abordable et polyvalent. Les bonnets en acrylique sont souvent résistants à l'eau et faciles à entretenir. Ils offrent une chaleur similaire à celle de la laine, mais peuvent être moins respirants et moins doux au toucher.
Mélanges synthétiques : Les mélanges synthétiques, tels que le polyester ou le nylon, combinent souvent les avantages de plusieurs matériaux. Ils sont généralement légers, durables et résistants à l'eau, ce qui en fait un excellent choix pour les activités de plein air. Cependant, les bonnets en mélanges synthétiques peuvent parfois manquer de respirabilité et de douceur.
En résumé, le choix du matériau pour votre bonnet de ski dépendra de vos préférences personnelles, de votre budget et des conditions climatiques auxquelles vous serez confronté sur les pistes. Prenez le temps d'examiner les avantages et les inconvénients de chaque option afin de choisir le bon bonnet pour vos besoins spécifiques.
Comment choisir selon les conditions climatiques
Lorsque vous choisissez un bonnet de ski, il est essentiel de prendre en compte les conditions climatiques auxquelles vous serez confronté sur les pistes. Voici quelques conseils pour vous aider à choisir le bon bonnet en fonction du temps :
Conditions froides et humides : Dans des conditions froides et humides, privilégiez les matériaux chauds et résistants à l'eau tels que la laine ou les mélanges synthétiques. Ces matériaux vous garderont au chaud même en cas d'exposition prolongée à l'humidité.
Conditions froides et sèches : En cas de froid sec, optez pour des matériaux isolants et respirants comme la laine ou le cachemire. Ces matériaux vous protégeront du froid tout en permettant à votre peau de respirer, ce qui est essentiel pour éviter la surchauffe et la transpiration excessive.
Conditions douces et ensoleillées : Par temps doux et ensoleillé, vous pouvez choisir des bonnets en acrylique ou d'autres matériaux légers et respirants. Assurez-vous que le bonnet offre une protection solaire adéquate pour protéger votre peau contre les rayons UV nocifs.
Conditions variables : Si vous prévoyez de skier dans des conditions climatiques changeantes, optez pour un bonnet en mélange de matériaux. Ces bonnets offrent souvent une combinaison de chaleur, de résistance à l'eau et de respirabilité pour s'adapter à différentes situations.
En résumé, le choix du bonnet de ski idéal dépendra largement des conditions climatiques auxquelles vous serez exposé. Assurez-vous de choisir un bonnet qui vous gardera confortable et protégé, quel que soit le temps sur les pistes.
Conclusion
En conclusion, choisir le bon bonnet de ski est essentiel pour profiter pleinement de votre expérience sur les pistes. Nous avons exploré les tendances actuelles en matière de bonnets de ski, ainsi que les avantages et inconvénients des principaux matériaux tels que la laine, le cachemire, l'acrylique et les mélanges synthétiques.
Il est important de prendre en considération les conditions climatiques auxquelles vous serez confronté lors de votre activité de ski. Optez pour des matériaux qui offrent une combinaison de chaleur, de résistance à l'eau et de respirabilité en fonction du temps prévu sur les pistes.
Que vous recherchiez un bonnet pour affronter les températures glaciales de l'hiver ou pour vous protéger du soleil lors de journées ensoleillées, il existe un bonnet adapté à chaque besoin.
Enfin, n'oubliez pas de tenir compte de vos préférences personnelles en termes de style et de confort lors du choix de votre bonnet de ski. Avec les bonnes informations et une compréhension claire de vos besoins, vous êtes prêt à faire un choix éclairé pour profiter pleinement de votre prochaine aventure sur les pistes.
Article suivant : Les tendances actuelles en matière de bonnets de ski ?
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clairement ma vie
Ce matin je me suis rendue à la salle de sport, j'ai faits des squats pendant 1h. Puis j'ai déjeuné avec chez mon amie Nadia. Je n'aime pas cuisiner, je n'aime pas manger et je fais des crises d'hyperphagie la nuit parfois quand je suis trop angoissée.
Bien sur, je n'utiliserais jamais ce terme pour parler de ça car j'ai conscience que ma consommation de cannabis est en grande partie à l'origine de ces crises. C'est juste que quand je me sens bien, j'ai trouve la force de ne pas faire subir ça à mon corps.
Evidemment, la cuisine et moi ce n'est pas ni même une petite histoire d'amitié. Je dirais que j'entretiens avec la cuisine un rapport cordial comme ceux que j'entretenais aux lycée avec les camarades qui n'étaient pas mes amis.
Nadia m'a demandé de nettoyer la salle avec "l'essoreuse" ? J'ai cru bon d'immerger la salade dans l'eau avant de l'essorer afin de bien la nettoyer. Entre nous, lorsque je nettoierais la salade la prochaine fois, je l'immergerais comme j'immerge tout les légumes que je cuisine car je me sens mal à l'aise à l'idée de manger des micros organismes pathogenes. Enfin bref, j'ai un sérieux problème avec la nourriture.
Est-ce que ces détails sont suffisants pour comprendre qui je suis à travers des pavés égoïstes que personne ne lira ?
J'ai besoin de parler de ce que j'ai ressenti aujourd'hui car après plusieurs années de relation amoureuse, je ne sais plus comment gérer les sentiments lorsqu'il s'agit des garçons.
Pendant que j'essayais de nettoyer salade pour préparer des burgers avec ces steaks qui périmaient le lendemain, Nadia invita en last minute notre amie Olivier qui resta 20 min avant de rentrer chez lui. Pendant ces 20 minutes, Nadia me fit part des "échos" qu'elle avait entendus à propos d'Achille qui me gosthait depuis une semaine.
J'ai trouvé assez indélicat le fait de m'exposer ça au seul moment ou nous n'étions plus seuls elle et moi. Mais bon, je ne le prends pas personnellement, car ce n'est pas la première fois qu'elle fait ce genre de phases a ces copines.
Il aurait dit "qu'il m'aimait bien mais que je suis trop défoncé pour lui" lol. Je ne parlerais pas trop de ça car ça me rend triste. Mais il y'a quelque chose qui me tourmente quand même. Il aurait parlé de "blancs". Je trouve ça un peu étrange de notifie ce genre de situation qui me semble tout à fait normal et apaisante lorsque l'on se retrouve à deux pour une session câlin.
Enfin bref, pour plusieurs raisons, j'en viens à me questionner à propos de la vision que les autres ont sur moi.
Je me demande comment est-ce que, Marco, Ibrahim, Louisa, Jeanne... peuvent me percevoir d'une manière tellement différente. J'en viens à me demander si je suis vraiment moi même lorsque je suis avec mes copines. Si les filles que je trouverais le plus cool, celles qui m'impressionnent de me brideraient pas dans ma maniere d'être et m'imposerait une personnalité qui n'est pas vraiment mienne ?
Je ne sais pas,
quelqu'un peu relate ?
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FREE! (Sport/Lycée) 2013-2018 – 37 épisodes (3 saisons)
Note : 10/10
Si comme Haru, vous êtes né dans le mauvais corps et êtes en faites une sirène tout au fond de vous, vous allez adorer Free ! Passant certainement plus de temps dans sa baignoire que sur la terre ferme, Haru ne jure que par deux choses : l’eau, et la liberté. La compétition, ce n’est pas son truc, bien qu’il soit parmi les meilleurs. Chose que son ami Rin ne parvient pas à accepter. Frustré par sa propre ambition qui le mène au-devant de difficultés importantes qu’il ne parvient pas toujours à surmonter, le sulfureux Rin accepte difficilement que son ami ne s’intéresse pas le moins du monde à la compétition. Pourtant, ce que Haru veut plus que tout, c’est nager avec Rin… Il a donc beaucoup de mal à comprendre pourquoi ce dernier le rejette autant alors qu’il met tout en œuvre pour avoir une relation apaisée avec lui. Mais les sentiments humains sont plus difficiles qu’ils n’en ont l’air, surtout concernant un jeune adolescent très émotif. La compétition qui les oppose et les réunit en même temps ne vient pas faciliter les choses.
Anime de natation au premier abord, Free ! est en réalité une belle histoire d’amitié entre 5 adolescents. Apprenant la difficile réalité du monde du sport parfois à leur dépends, ce sont également leurs parcours de vie que l’on suit à travers cet animé. Développant une très belle complicité marquée par des sentiment profond envers la natation qui les réunit tous ensemble, Free ! est une belle aventure à vivre entre amis.
Vous passerez ainsi un très beau moment en vous remémorant vos souvenirs ensembles. Redécouvrez l’importance de l’amitié dans votre parcours de vie, et ressentez la gratitude d’avoir des amis qui vous entourent pour prendre soin de vous. Entre douce chaleur et effusion d’émotions, vous ne regretterez pas d’avoir commencé Free ! Alors prenez vos palmes, plongez, et observer les sirènes avec Haru et Rin. N’oubliez pas d’ouvrir bien grand les yeux derrière vos lunettes…
YURI !!! ON ICE (Sport) 2016 – 12 épisodes
Sayo Yamamoto/Mitsuro Kubo
Note : 10/10
Vous ne craignez pas le froid et admirez ces danseurs féériques qui virevoltent sur la glace en faisant des acrobaties incroyables ? Dans ce cas Yuri !!! on ICE est fait pour vous ! Yuri Katsuki veut quitter le patinage artistique quand Victor, un grand patineur de renom, tombe amoureux de son style en regardant une vidéo du jeune homme devenue virale. Consacrant toute son énergie à la remise à niveau de son nouvel élève, le duo s’envole vers les sommets dans cette très belle histoire de sport et d’amour.
Vous faisant découvrir les arcanes du patinage artistique, cet anime est aussi une belle vision du sport et de l’ouverture d’horizon que le haut niveau apporte. A la rencontre de cultures et de personnalités différentes, Yurii !!! on ICE vous donnera envie de patiner à leurs côtés. Aussi sentimental que sportif, vous aimerez l’excentricité joyeuse de Victor et la persévérance de Yuri. Bel équilibre entre compétition et sentimentalité, vous apprécierez par-dessus tout la magnifique relation de Victor et Yuri qui se développe tout au long des épisodes, au grés des différentes compétitions sportives. Si ce dernier apprend à peaufiner son art, Victor, lui, apprend à devenir un coach digne de ce nom pour son élève.
Condensé de belles histoires combiné à un art raffiné, Yuri !!! on ICE est une superbe découverte pour tous les amateurs de patin, de danse et d’art. Appréciez ces moments d’émotions forte sur votre canapé, et ne craignez pas de vivre d’intenses moments de sport avec Yuri et Victor. Laissez-vous entrainer, et vivre votre rêve des étoiles plein les yeux, car sur la glace, nous sommes tous des stars !
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titre.
Parfois, j’ai l’impression que j’étais foutue dès le début de ma vie. Mon corps a voulu mourir, mon coeur s’est décidé de cesser de battre, celui de ma mère a presque suivi. Je n’avais pas encore vu l’extérieur de ma mère, je sentais son corps se contracter pour m’expulser, enfin, accoucher de moi... et j’ai dû voir ce qui allait arriver et j’ai décidé de lâcher prise.
Pour une raison complètement inconnue, mon coeur est reparti. Not your time yet.
Fast forward. Je suis née. Césarienne d’urgence pour me sauver la vie qui serait (au moins entre 6 et 30 ans at least) hard as fuck.
Quand je fais l’inventaire des événements difficiles de ma vie, je ne comprends pas pourquoi je suis toujours ici. Pourquoi je suis encore dans ce monde qui définitivement ne veut pas de moi? Ou est-ce moi qui ne veux pas du monde? Je ne sais pas, je ne sais plus.
Je n’ai aucun souvenir de mes parents ensemble. Actually, j’en ai un : mon père donne des coups de balai dans le plafond parce que les voisins d’en haut font trop de bruit. Ma mère n’est pas d’accord avec sa technique qui, probablement selon elle à l’époque, ne fera qu’empirer les choses. Probablement vrai, mom.
»
J’ai 5 ans, on décide de me faire passer des tests d’intelligence. Tu es vraiment très supérieure à la moyenne. Wow, bravo. Super intelligence. Pas de maternelle, on va te faire passer en première. OK. Je sais lire, je sais écrire, je m’ennuie. Ma prof me donne des livres, me fait découvrir des univers incroyables, je capote (positivement).
Ma mère est célibataire, elle en arrache financièrement, mais moi, je ne vois que le positif. Ma mère m’aime, m’aide, elle est là pour moi. Mes grands-parents sont là aussi, déménagent, changent de province pour se rapprocher. Aller à Toronto de Montréal, c’est long et maintenant qu’ils sont à côté, on se voit encore plus. Mon grand-père s’enferme dans la salle de bain pour jouer du xylophone Fisher Price de toute force parce que ma grand-mère trouve que c’est trop bruyant.
Ma mère rencontre un homme. Il semble gentil, il joue avec moi, me prête son toutou ourson blanc que j’aime bien. Il me garde parfois et j’apporte mon jouet préféré : une réplique miniature de Notre-Dame qui est jaune. Une Esmeralda et un Bossu en figurines.
Je passe beaucoup de temps avec ma grand-mère maternelle aussi. J’aime aller chez elle, je m’endors à ses côtés pendant qu’elle me raconte l’histoire du petit chaperon rouge. Elle a tellement de souliers, un chat que je ne voit jamais. La voisine a une fille de mon âge, on joue ensemble souvent. Ma grand-maman adore le rouge et elle est coiffeuse. Coiffeuse veut dire qu’elle a des têtes de mannequins à la maison et je peux parfois couper leurs cheveux quand ils sont assez courts. C’est le paradis. Partout où je vais, je suis aimée, appréciée et je ne doute pas que la vie deviendra tellement tough que je voudrai me l’enlever à plusieurs reprises, en manquant toujours un peu de gut pour.
Je vois mon papa parfois. On va camper l’été et il pleut TOUJOURS. Aucune idée pourquoi, mais Mère Nature sait pertinemment quand je suis en train de camper avec mon père et ça la fait pleurer for some reason. J’ai assez peu de contact avec mon père, j’y vais environ une fois toutes les deux semaines, mais il m’oublie parfois. Ça fait mal, mais c’est pas la fin du monde non plus.
»
J’ai 6 ans. Ma mère est toujours en couple avec cette personne que je crois bonne et gentille à ce moment. Monsieur décide d’acheter une maison, ça veut dire au revoir ami.e.s et quartier, au revoir bien des choses. La maison est grande, neuve, un peu vide. Elle manque de personnalité, c’est peut-être pour ça que ma mère décide de thèmes pour chaque pièce... ou peut-être parce qu’elle a de l’argent pour la première fois de sa vie.
Graduellement, monsieur commence à devenir un asshole et je pèse mes mots. Mes amis le voit, il est violent avec moi, je suis obligé de l’embrasser sur la bouche chaque soir même si je dis que je n’ai pas envie de le faire. Pour me parler de sexualité, ma mère me fait toucher sa dick et puisque ma mère fait du sport du compétition, elle est souvent partie.
Évidemment, lors de ses absences, A. devient beaucoup plus violent. Pas seulement physiquement, mais psychologiquement. À un certain moment, je m’enferme dans la salle de bain d’en bas pendant de nombreuses heures parce que je crois littéralement qu’il va me tuer. Il fait exploser une bouteille de ketchup dans la cuisine, ce qui chie la belle peinture... et il fait passer ça sur mon dos. À 8 ans, ça m’a fait chier comme peu d’autres choses.
C’est un menteur, un manipulateur, il traite ma mère vraiment pas très bien. Il ne la frappe pas, mais il est méchant avec elle, ne lui donne pas d’attention, mais en même temps, dès qu’elle est sortie, il l’appelle de manière excessive. Il est contrôlant sans la frapper. Pas de bleus, pas de problème selon mom.
Moi, mes bleus, ils sont cachés donc meh.
J’écris une lettre à ma mère, car je ne sais pas comment lui en parler, elle vient me voir dans ma chambre, me dit que ce n’est pas vrai qu’il est violent (envers moi, envers elle aussi), ce n’est pas vrai qu’il fait passer des choses sur mon dos.
»
Elle le marie, le crisse.
»
Je passe beaucoup de temps chez mon père, car sa conjointe a une fille que j’adore. Je la connais maintenant depuis quelques années. Je la considère comme ma soeur, mon amie. On s’appelle des fausses-demi-soeurs. Excusez mon orthographe, je n’irai pas vérifier comment on écrit ça.
»
J’ai à peine 12 ans. Je vais dans un party de fête chez ma cousine qui a un an de moins? de plus? je ne me souviens plus. Les amis de ses grands frères décident que ce serait probablement drôle ou fun ou je sais pas quoi de gang rape une fille qui vient de finir son secondaire un. 5 contre une, moi.
Je n’ai personne à qui parler. Je raconte une histoire ridicule pour expliquer mes bleus, ma difficulté à marcher. Je ne parle pas de mon incapacité à aller à la toilette, c’est humiliant. Je me sens dégoûtante, sale, finie. Jamais je ne pourrai me marier. C’est vraiment ça qui me vient en tête. Ridicule, mais j’allais à l’Église à l’époque et la virginité était un concept tellement important. J’ai l’impression (avec raison) qu’on m’a volé mon âme, mon identité, ma vie, mon corps.
»
Accident d’auto tragique. Mon père conduit, ma belle-mère est passagère, ses enfants sont en arrière. Ma belle-mère décède, mon père s’en tire avec des blessures physiques et psychologiques profondes. Ma demie-soeur est dans le coma, ensuite en réadaptation pendant plusieurs, plusieurs mois. Mon demi-frère est tout beau, une petite coupure et c’est tout. Je dois annoncer aux amies de ma demi-soeur avec qui j’allais à l’école ce qui s’est passé. Elles rient en croyant que je blague. Je pleure.
»
J’essaie de continuer ma vie après le viol, après l’accident. Je tombe amoureuse sans jamais être capable de le laisser trop près de moi, car, dans ma tête, je ne mérite pas que quelqu’un m’aime. J’ai 12 ans, 13 ans. Je suis amoureuse comme je l’ai été une seule fois dans ma vie. On dit qu’un premier amour est intense, c’était le cas pour moi. Il passe à autre chose (après 2 ans, who wouldn’t?), j’ai le coeur brisé, life goes on.
»
15 ans. Je suis vers la fin de mon secondaire. Après plus d’un an avec la même personne que j’aime (je crois à l’époque que je l’aime beaucoup plus que je ne l’aimais finalement), on décide d’avoir des relations sexuelles. Je ne comprends pas parce que j’ai du mal à comprendre que j’ai été violée, j’ai été détruite. Quand on s’aime vraiment, ça ne fait pas mal. C’est actually beau.
»
17 ans. Je suis au Cégep. Je perds connaissance pendant environ 6 heures. Pendant ce temps, ma job s’inquiète, car je suis rentrée pour dîner parce que je me sentais bizarre et que je ne suis jamais revenue. Ma mère est appelée, mon chum est appelé (un autre). Finalement, ma mère conduit jusqu’à chez moi, mon chum quitte son travail chez Omer DeSerres pour venir me voir... on m’amène à l’hôpital.
»
Deux ans plus tard, alors que je suis pas mal à la moitié de mon bac. pour devenir prof, on me trouve une tumeur cérébrale après avoir pensé que j’avais un «foyer épileptique». Anticonvulsants arrêtés. On doit m’opérer. J’ai de bonnes chances de mourir. Je n’en parle à personne. Je décide d’écrire des lettres. C’est tough parler, t’sais. C’est vraiment fucking tough.
I survived. I have no idea how or why, but I fucking did.
»
J’abandonne l’université, je commence un certificat en comm. J’ai des effets secondaires à cause de la tumeur, des douleurs atroces. La vie est dure. Je commence à prendre des médicaments pour gérer la douleur dans le but de retourner étudier et devenir enseignante, rêve un peu poche pour le commun des mortels, mais qui est donc important et précieux pour moi.
Incapable de compléter mes stages parce que j’ai peu d’énergie, beaucoup de douleurs et que je commence à avoir des problèmes d’addiction à mon insu, je suis mise à la porte de mon université. Yay. J’ai manqué une journée de stage et on m’a dit «Bye!».
»
Lors d’une soirée avec une amie, je marche pour entrer chez moi et je rencontre quelqu’un que je connais. Je décide d’aller prendre un verre avec lui chez lui. Il me viole et mon corps n’est aucunement capable de se défendre. Je reste complètement immobile, des larmes coulent sur mes joues pendant qu’il me sodomise violemment. Évidemment, je n’en parle pas.
»
Je reprends le même programme quelques années plus tard, il y a 5 ans, dans une autre université de Montréal. Tout va bien aller, right? Right.... J’ai des problèmes de douleur, des problèmes de gestion de ma douleur, je dois refaire mes 2 premiers stages que j’ai déjà réussis en plus... C’est la galère. J’ai l’impression que je ne serai jamais en santé à nouveau. On me donne un DX de fibromyalgie, ce qui ne veut pas dire grand chose. J’ai mal partout et c’est ça.
Au début, ma famille est compréhensive, mais avec le temps, elle l’est moins.
»
Ma grand-maman maternelle, la personne qui ne m’avait jamais déçue et en qui j’avais tellement confiance m’insulte profondément et j’ai du mal à me refaire. Elle ne sait pas que j’ai eu une tumeur au cerveau.
»
Pour avancer et pour que ma famille m’accepte à nouveau, je leur parle de ma tumeur, de mes viols. Ma mère me fait sentir coupable de ne jamais avoir dit quoi que ce soit. Elle me dit «Bon, là, tu vas faire quoi?» en parlant de poursuites criminelles. Je me sens encore plus comme une marde. J’ai l’impression de m’être laissée violée, j’ai l’impression que j’aurais pu m’enfuir, j’aurais pu partir, me débattre, quelque chose. Je me sens complice et incomprise de tous.
»
Ma grand-mère a plusieurs cancers. Sa mort tue une grosse partie de moi-même. Sa mort tue aussi les réunions de famille à Noël, à Pâques... c’est la fin d’une ère. C’est un moment tellement difficile à vivre. Je l’apprends parce que ma mère a écrit un courriel et elle le termine en écrivant «Je t’aime». Tout de suite, je le sais. Je l’appelle pour confirmer et j’explose en larmes devant les élèves de mon stage.
»
J’ai une dépendance affective intense envers mon chum (avec qui je suis encore). On décide de déménager ensemble, car j’habitais chez ses parents at that point. Il a du mal à quitter le nid familial, je suis incapable de dormir sans lui, je lâche l’école et retourne chez mes beaux-parents.
»
Je sens une bosse dans mon sein droit. Bin oui toé, une autre tumeur. Ça affecte mon humeur, j’ai des nausées constantes, j’ai mal... j’essaie de diminuer mes médicaments, les antidépresseurs comme les antidouleurs et anxiolytiques. Je suis tannée. J’ai un corps défectueux. J’attends mon opération.... et la COVID frappe, ce qui retarde tout.
»
J’apprends (par deux photos Facebook) que ma soeur est enceinte. Genre, vraiment enceinte. Je ne parle à personne, je n’ai pas d’amis, je suis seule. Je le mérite probablement. Je revois ma vie et je n’ai jamais été quelqu’un qui s’ouvre facilement aux autres. On aime ma personnalité habituellement, mais j’ai du mal à garder mes amitiés parce que when shit hits the fan ... and it does constantly, I disappear. Sometimes for months at one time. Qui voudrait être ami.e avec quelqu’un comme ça? Pas toi.
»
J’aurai 30 ans dans un mois. Je capote.
Il manque tellement de points et j’ai écrit ça en 40-45 minutes. Pas de relecture, pas de fioriture, on ne se vérifie pas. J’écris parce que ça fait du bien des fois. Je pense que j’avais besoin de me comprendre. De comprendre pourquoi je n’ai plus de résilience en banque, pourquoi je suis à terre... depuis des années. Pourquoi je ne veux plus de relation avec personne parce que je n’ai que des mauvaises nouvelles à donner.
Toute ma vie, je voulais être maman, aimer ma job de prof. Pas être célèbre, pas être chanteuse ou whatever, juste faire «ce que tout le monde fait».
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Moi, en quelques mots...
Moi c’est Eloïse Fongarnand, j’ai 24 ans et je suis actuellement étudiante à l’ESC Clermont Business School. Je suis originaire de Clermont-Ferrand, belle ville du Puy-de-Dôme où j’ai vécu de nombreuses années.
D’abord, quelques mots sur ma personnalité. Dynamique, j’ai soif de découvrir et d’apprendre de nouvelles choses qui me permettent d’évoluer, que ce soit au gré de mes voyages, de mes expériences personnelles et professionnelles, ou encore lors de mes études. Le second point qui me caractérise est l’optimisme. Ce trait de ma personnalité pourrait s’apparenter à de la naïveté pour certains, mais m’a pourtant permis de dépasser des obstacles, des difficultés autant sur le plan personnel que professionnel, notamment lors de certains stages où il n’a pas toujours été évident de prendre du recul à l’instant T.
Si je devais résumer les autres traits de ma personnalité... Pour sélectionner trois points forts, je dirais que je suis quelqu’un d’organisé. Cette organisation se ressent beaucoup dans ma vie quotidienne, ce qui me permet de mener plusieurs projets en même temps ainsi qu’un gain de temps non négligeable. Cette qualité m’aide énormément lors de mes différentes expériences professionnelles. J’ai également un grand sens de l’observation qui s’avère très utile dans de nombreuses missions qui demandent de la mémorisation. Pour finir, mes proches me décrivent comme quelqu’un de sociable ce qui me permet de m’engager dans différentes organisations. Cette qualité m’a beaucoup aidé dans le cadre du BDE notamment.
Quelques points à améliorer cependant… Mon impatience ressort régulièrement lors de certains projets dans lesquels j’ai livré beaucoup d’investissement. Cependant, mes diverses expériences m’ont appris à garder une ligne conductrice, à ne pas brûler les étapes et à écouter davantage les membres de mon équipe. Ce dernier point nous amène à la difficulté suivante : la difficulté à déléguer. En effet, j’ai vécu plusieurs expériences où j’occupais des postes de management d’équipe qui m’ont conduite à déléguer des tâches, confier des missions qui demandaient parfois des responsabilités. Cette délégation n’a pas toujours été évidente, notamment à cause d’un manque de confiance et d’un sentiment de travail mal fait si ce dernier n’a pas été réalisé selon mes propres soins. Je tente donc d’apprendre des autres et d’écouter davantage les idées des différents membres de l’équipe. Pour finir sur les axes d’amélioration, je dirais que je suis susceptible. Cette faille se fait ressentir lors de désaccord au sein d’une équipe par exemple, ce qui peut freiner la prise de décision collective. Je tente également de palier ce défaut en écoutant les divers avis constructifs ce qui me permet de prendre de la hauteur sur la situation en question.
Focus sur mes valeurs. Comme mis en avant ci-dessus, le travail d’équipe compte beaucoup dans mes diverses expériences. Les relations humaines constituent selon moi les valeurs les plus importantes, et ce à tous les niveaux. Elles sont la base d’un travail d’équipe solide et durable, où la communication joue un rôle fondamental notamment dans la gestion de conflits, mais aussi pour assurer l’efficacité et la productivité d’un groupe. Liée aux relations humaines, l’empathie représente une valeur essentielle dans chaque organisation. Elle permet de mieux comprendre les comportements, mais aussi les choix de chaque individu. L’empathie engage une écoute active et permet de soulever des problématiques ou encore de déceler d’éventuels conflits encore sous-jacent. Pour finir, je parlerais d’ambition. Elle montre l’engagement, la rigueur et la volonté d’obtenir, voire de surpasser les objectifs fixés en amont, de façon individuelle ou collective. L’ambition nous permet d’aller plus loin et contribue fortement au succès d’une organisation.
Quelques mots maintenant sur mes motivations, mes centres d’intérêts. J’aborderais d’abord ma passion pour la danse. Pratiquant ce sport depuis mon plus jeune âge, il m’a permis de canaliser mon énergie, mais également de faire preuve de discipline et de rigueur. Pratiquée de façon individuelle, j’ai pu développer ma confiance en moi. Parallèlement, la danse en groupe a forgé mon esprit d’équipe, qualité indispensable pour mener à bien des projets collectifs. Au-delà de la danse, les voyages constituent l’une de mes motivations principales. Depuis peu, la découverte de nouvelles cultures me parait essentielle au développement personnel. Récemment, j’ai eu la chance de vivre quelques mois au Canada, m’immergeant ainsi dans une culture et une mentalité différentes de notre pays. Dans ce contexte, j’ai eu l’occasion de voyager encore plus, découvrant de nombreuses villes canadiennes et américaines. Pour la suite, j’aimerais obtenir des opportunités qui lie mon métier à la mobilité, pouvant ainsi concilier mes aspirations personnelles à mon avenir professionnel.
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Tout d’abord, laissez-moi me présenter.
Je m’appelle Samuel, j’ai 33 ans et je suis un ancien commercial reconverti en chef d’entreprise du magasin de jeux vidéo « So GAME ». Les jeux vidéo sont une passion depuis tout petit et j’ai réalisé à 24 ans l’un de mes plus grands rêves !
(J’ai investi plus de 120 000 €.)
À la suite de ça, je me suis tourné vers Internet afin de limiter les coûts, car les rêves c’est bien de les réaliser, mais avec de très faibles marges c’est tous les jours un combat pour faire manger sa famille…
Dans la foulée, ma fille est née et j’ai revendu mon magasin de façon à réaliser un second rêve : « être indépendant financièrement ». Car même en étant patron, j’étais bloqué tous les jours au magasin. Je me suis donc tourné vers le e-commerce, mais je ne me suis jamais lancé, car je sais vendre en direct, mais sur le Net j’y connais rien. Alors afin de faire différents tests sur mes publicités, j’ai besoin de trésorerie, et pour cela j’ai commencé MentorShow…
MentorShow et son programme d’affiliation est selon certains « l’opportunité la plus prometteuse du web ». Nouveau business MLM ou nouvelle chance de faire partie d’une aventure hors du commun et extrêmement lucrative ?
I - Qu’est donc MentorShow ?
MentorShow est une plateforme de formation en ligne qui accueillera des cours donnés par les plus grandes stars et réussites francophones dans tous les domaines (cuisine, magie, sport, théâtre, entrepreneuriat, poker, cinéma, musique, etc.) à partir de mars 2020.
Ce projet a été créé par Mathieu Moreno et son équipe dans le but de proposer une alternative francophone au site Masterclass.com. Mathieu a de grandes ambitions.
Il y aura sur MentorShow :
Des cours en ligne de 2 à 3 heures donnés par les meilleurs dans leurs domaines respectifs:
Une qualité audiovisuelle digne des meilleures séries NetFlix grâce à une équipe de tournage plusieurs fois primée pour leurs courts-métrages ;
Un programme d’affiliation unique au monde avec 12 sources de revenus potentielles (on en reparle ci-dessous) ;
Des millions de clients potentiels à toucher (et donc de commissions à gagner)
Des stars, des experts et des grandes réussites de renommée française interviendront dans leurs propres masterclass en ligne exclusivement sur MentorShow.
La plateforme accueillera également :
Un essayiste français qu’on ne présente plus ;
Un magicien de renommée mondiale ;
Un champion du monde de poker ;
Un chef deux étoiles au guide Michelin ;
Les coaches fitness numéro 1 en francophonie ;
La doctoresse qui soigne les stars et les présidents ;
Un humoriste connu dans toute la francophonie ;
Le fondateur d’une licorne française (entreprise valorisée à plus de 1 milliard d’euros) ;
Un vainqueur de 10 championnats du monde ;
La love coach préférée des Français.
Toutes les stars ont un contrat d’exclusivité avec MentorShow.
(Pour clauses de confidentialité, Mathieu ne souhaite pas que l’on divulgue les noms des célébrités et experts concernés, et c’est compréhensible. La seule manière de connaître les premiers noms (il y a du très très lourd) :
La présentation complète en 3 vidéos de MentorShow
L’équipe a pour le moment signé des contrats avec des personnalités publiques dans 12 domaines différents et est en négociation avec de nouvelles stars que vous avez vues partout à la TV.
Le but sera de proposer au moins 1 nouvelle formation par mois, en exclusivité pour MentorShow.
II - Quelle est la véritable différence de MentorShow vis-à-vis des autres plateformes de cours en ligne ?
Les cours en ligne comme Udemy, Coursera ou Skilleos par exemple, sont différents des cours en ligne qui seront proposés sur Mentorshow. Les cours en ligne seront donnés par les plus grandes stars francophones, en exclusivité pour les clients de MentorShow. Le but est de faire une plateforme de formation de prestige. Toute personne qui souhaitera apprendre auprès des meilleurs devra prendre un abonnement MentorShow.
III - Mathieu Moreno, le créateur de MentorShow?
Mathieu Moreno est un jeune entrepreneur français à l’origine de multiples formations en ligne. Je suis moi-même client de ses formations dédiées au e-commerce, comme « Vendre sans boutique » par exemple. Il est connu en France dans le milieu du e-commerce, il se lance aujourd’hui avec sa nouvelle start-up MentorShow et l’envie de créer le Netflix de la formation en ligne. Il s’entoure des meilleurs dans le monde de l’Internet et a personnellement investi plusieurs centaines de milliers d’euros dans Mentorshow et une demande de levée de fonds est en cours.
IV -Comment gagne-t-on de l’argent grâce à MentorShow ?
Startuper de talent, il a appris de ses erreurs, Mathieu est un entrepreneur du web qui connaît exactement les différentes façons d’acquérir du trafic. Il a déjà généré plus d’un million de chiffre d’affaires sur ces deux dernières années, il connaît donc exactement ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Afin de booster le lancement de MentorShow, il a pris la décision de créer un programme d’affiliation hors du commun. Sur MentorShow, il versera des commissions à hauteur de 45 % de son chiffre d’affaires à ses affiliés, et ce :
– chaque mois, c’est-à-dire tant que le client reste abonné ; – à vie, c’est-à-dire sans limite dans le temps.
C’est assez crazy, surtout quand on sait que Masterclass (l’équivalent anglophone) offre seulement 25 % de commission aux affiliés qui font des ventes, et ce juste en one shot (une seule fois). Forcément, l’affiliation MentorShow va faire beaucoup parler d’elle et toutes personnes qui auront compris cette OPPORTUNITÉ en profiteront pour devenir indépendantes et quitter la rat race simplement en parlant de ces cours autour d’elles et sur les réseaux. Et vous avez la possibilité de vous inscrire en avant-première en tant qu’Ambassadeur de MentorShow, avant le lancement OFFICIEL. La formation offerte avec une petite série de 3 vidéos va vous expliquer tout cela en détail. Il suffit de cliquer ici pour la visionner
V - Allosuccès c’est quoi ?
C’est le nom du programme d’affiliation et de rémunération de MentorShow.
AlloSuccès vous servira à faire la promotion de la plateforme Mentorshow auprès de personnes qui souhaitent être formés par les meilleurs, mais aussi de promouvoir l’opportunité AlloSuccès auprès d’autres affiliés.
Pour la toute première fois dans l’histoire du business en ligne, des personnes sans aucune expérience utiliseront la notoriété des stars et leur l’image afin d’avoir des sources de revenus sans rien avoir à créer et sans compétences particulières.
Mathieu et son équipe s’occupent de tout ! Vous aurez seulement à faire la promotion de MentorShow pour obtenir des revenus ponctuels mensuels et annuels et À VIE !
Mathieu a annoncé Mentorshow lors de sa dernière conférence et les réactions étaient INCROYABLES :
LUC : “Une révolution pour avoir des revenus récurrents sans rien créer ni gérer, je dis bravo, ce que vous proposez c’est du jamais vu”
Christelle : “Bravo et merci pour cette incroyable opportunité”
Patrick : “Cela parait incroyable”
On parle de TOUS les plus grands entrepreneurs du Web qui se sont complètement emballés pour cette opportunité inédite.
Et le PomPom ?!
Comme une équipe commerciale, vous gagnez 10 % des ventes générées par vos affiliés. Exemple : vous recrutez Thomas, il vend un abonnement, vous prenez 10 % sur ses ventes. Thomas recrute Julien qui lui-même vend des abonnements, vous prenez 5 % sur les ventes générées par Julien. Vous gagnez donc 10 % sur vos affiliés recrutés et 5 % par les affiliés de vos affilies, en plus des 30 % que vous générez vous-même. En gros, c’est un système d’affiliation sur 3 niveaux qui vous permettra : – d’accroître vos gains (vous pouvez compter sur moi pour développer de nouvelles stratégies) ; – de gagner de l’argent passivement (votre équipe travaille pour vous). Vous gagnez de l’argent sur le travail qu’effectuent vos affiliés et les affiliés de vos affiliés s’ils font la promotion de MentorShow et d’AlloSuccès. AlloSuccès sera une véritable plateforme de formation pour apprendre et comprendre l’affiliation et sera votre outil pour gérer votre affaire (comme Shopify). Avec le temps, l’équipe développera tout ce dont elle a besoin afin de mettre à notre disposition un outil performant, cependant AlloSuccès est déjà l’opportunité de 2020 !
VI - Mais est-ce légal ? Vous vous demandez si c’est du MLM ?
Ou encore AlloSuccès est-il un système pyramidal ? Entièrement légal, ce n’est pas du MLM, ni un système pyramidal. Un système pyramidal est une chaîne uniquement pécuniaire, où il n’y a aucun produit existant ou bien physique, ou encore un produit qui ne reflète pas du tout la réalité. Dans un système pyramidal, la première personne qui s’inscrit génère plus d’argent que les autres car elle se trouve tout en haut de la pyramide. Elle gagnera de l’argent sur plusieurs niveaux. Une personne qui arrive en dernier dans la pyramide ne pourra pas gagner plus que les personnes qui sont arrivées avant elle (comme dans le salariat #JDCJDR). Les systèmes pyramidaux sont illégaux et interdits en France. AlloSuccès est donc un programme d’affiliation du service MentorShow qui fournira à son terme des cours en ligne de qualité. Vous êtes payé dès que vous trouvez des clients qui achètent des produits et services proposés sur MentorShow et AlloSuccès. Pour le coup, on est très loin du MLM et du système pyramidal, et tout est complètement légal (validé par un avocat).
VII - Pourquoi AlloSuccès propose de faire de affiliation pour MentorShow ?
Les grands avantages de MyMentorShow : – Sans avoir besoin de site ou de tunnel de vente : utiliser les systèmes de MentorShow pour acquérir du trafic chaud/froid avec des taux de conversion extrêmement élevés ; – Sans avoir besoin d’être bon en marketing ou un expert de la vente : l’équipe s’occupe de tout et vous fournit tout ce dont vous aurez besoin (scripts à copier-coller, outils, etc.) ; – Sans avoir besoin de créer de produits : MentorShow lance chaque mois de nouveaux cours vidéo avec des nouvelles stars dans différents domaines ; – Sans avoir besoin d’argumenter à vos clients ou d’assurer le service clientèle : le SAV et l’équipe marketing de MentorShow s’en occupe ! Mais aussi… Vous utilisez la notoriété des stars et MentorShow s’occupe de convertir vos visiteurs en clients via son marketing extrêmement puissant. Vous allez pouvoir utiliser la notoriété et l’image des stars pour promouvoir les services de Mentorshow auprès de millions de personnes et toucher des revenus récurrents mensuels et annuels À VIE !
VIII - Peut-on vraiment obtenir des résultats ?
En tant qu’ambassadeur d’AlloSuccès sans aucune expérience, sans aucune connaissance marketing et en travaillant seulement quelques heures par jour, vous pourriez recevoir ce genre de commissions dès lors que vous passez à l’action…
Par exemple Isabelle, Viviane, Rémi et d’autres, comme vous pouvez le voir ici :
IX - Et vous me direz, mais comment promouvoir MentorShow ?
A - Inscrivez-vous à la conférence en ligne et choisissez la date et l’heure à laquelle vous souhaitez y assister afin de prendre l’info des termes et conditions en cliquant ici.
B - Après avoir rejoint AlloSuccès, inscrivez-vous à la plateforme d’affiliation pour recevoir vos accès
C - Puis accédez à votre plateforme d’affiliation où vous trouverez vos liens d’affiliés et démarrez la promotion du programme ambassadeur d’AlloSuccès. Pour le moment, vous pouvez utiliser deux méthodes et je vous recommande d’opter pour celle que Mathieu nous conseille, suite à leurs tests (meilleur taux de conversion).
D - Vous n’avez plus qu’à mettre en place les 3 stratégies accessibles dans l’espace de formation, ainsi que les stratégies supplémentaires données dans les lives de formation auxquels vous aurez accès chaque dimanche (un replay est également disponible). L’équipe a tout prévu en mettant à notre disposition les ressources dont vous avez besoin pour vous lancer à partir de zéro (scripts, outils, visuels, etc.).
X - Que comprend le Programme Ambassadeur d’AlloSuccès ?
Voici le détail de l’offre Initiateur AlloSuccès avec accès à vie :
MentorShow : Accès illimité et à vie sur les formations des stars
AlloSuccès : Accès offert et illimité au pack le plus complet à vie
Invitations à deux événements en présentiel à Lyon et Paris (et prochainement Marseille) pour nous aider à convertir nos invités en clients Accompagnement en live chaque dimanche avec un plan d’action à suivre pour la semaine Des vidéos et modèles à copier/coller pour faire la promotion de Mentorshow et d’AlloSuccès
BONUS 1 : Application Télégram avec accès au groupe d’entraide, avec des exclusivités sur les nouveaux tournages des stars
BONUS 2 : Accès aux concours hebdomadaires (bonus financiers)
BONUS 3 : Bonus de croissance si atteinte des 1000 € de commission : coaching privé avec Mathieu (pour les 10 premiers)
BONUS 4 : Bonus démarrage rapide de 500 €
BONUS 5 : « Ma ville, Mon Équipe »
BONUS 6 : Accès à un affiliate manager
Exclusivité Accès À VIE : Garantie de toucher toutes vos commissions de niveau 1 à 3 À VIE (même si vous arrêtez de promouvoir AlloSuccès et MentorShow).
CLIQUEZ ICI POUR DÉCOUVRIR CETTE NOUVELLE OPPORTUNITÉ POUR 2020
VI - JE VOUS COACH PERSONNELLEMENT
Même si vous n’avez pas forcement confiance en vous pour ce projet, je vous guiderai personnellement, comme je l’ai fait pour une de mes affiliés, Jessie, qui a perçu sa première commission en une semaine seulement !
On verra ensemble les stratégies à adopter selon votre profil et je vous ferai part de tous mes nombreux tests afin de vous guider au mieux.
Plus tard, je vais créer une formation pour tous les affiliés de mon équipe via des vidéos privées sur YouTube. Tous mes affiliés et leurs affiliés y auront accès.
De cette façon, vous aurez une série de stratégies à mettre en place. Il suffira seulement de passer à l’action !
Vous pouvez me contacter via mon Twitter si vous avez des questions en cliquant ici.
Et…
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3 juin 2019
Rendez-vous avec ma psychologue.
Je suis arrivée en pleurant à moitié. À cause de la vue d'une scène qui m'a choqué : un accident. Du sang, des pompiers, des couvertures de survie. Très peu agréable.
Au début de la séance, j'étais incapable de parler. Je n'arrivais pas à prononcer un seul mot, j'étais bloquée.
J'ai fini par lui expliquer que c'était difficile de parler de moi, de ce qui se passe pour moi indépendamment de la vie des uns et des autres.
Elle m'a regardé, mais n'a rien dit. Elle attendait que je me dévoile.
Alors j'ai fini par lui faire une tirade. Avec de longues pauses, mais elle ne rebondissait sur rien, alors je continuais à parler. Je pense qu'elle l'a fait exprès parce qu'elle le sent, quand j'ai besoin d'évacuer mais que je me "censure".
Je lui ai donc parlé un peu de l'opération, comment ça s'était passé, les quelques complications pendant l'opération mais également les quelques complications post-op.
Je lui ai parlé du retour des idées suicidaires, des crises d'angoisse très importantes la nuit, des problèmes alimentaires qui se sont accentués. Tout ça à cause de l'opération parce que trop de médicaments et d'anesthésie : j'ai l'impression que ce sont eux qui s'endorment et pas que je m'endors de moi-même donc je m'endors tendue et forcément ça entraîne les cauchemars et les crises ; et pour l'alimentation, trop de médicaments et substances sont entrées dans mon corps, j'ai l'impression que ça me rend sale alors je mange très peu pour compenser.
En premier lieu, elle s'est arrêtée sur l'alimentation. On aborde jamais ce sujet en détails, du moins jusqu'à présent. Je ne me sens pas légitime d'en parler. Et parfois j'ai l'impression qu'elle peut le prendre à la légère. Alors que ça m'est vraiment très handicapant au quotidien, autant sur le plan mental que physique.
Elle m'a posé beaucoup de questions. Ce que je mangeais, ou non, si je faisais des crises de boulimie, combien de temps je pouvais être en restriction, si je me faisais vomir, quand est-ce que s'est apparu, comment mes parents ont réagi quand ça a débuté à mes 8/9 ans, comment ils ont réagi par la suite quand ça s'est aggravé, etc etc.
Oui je fais des crises parfois, mais ça fait très longtemps que ça n'est pas arrivé, depuis début 2019 au minimum. Oui ça m'arrive de me faire vomir. Les périodes de restriction peuvent être de quelques jours comme de plusieurs mois. Mes parents, quand j'étais petite, se sont inquiétés car à ma naissance, les jours qui ont suivi j'avais perdu beaucoup de poids, je ne me nourrissais pas à cause de problèmes de santé, et forcément, étant leur premier enfant, ils avaient beaucoup angoissé. Par la suite, ils n'en ont plus rien eu à faire, à partir de mon entrée au collège. Juste des "tu as pris du poids" ou "tu as perdu du poids". Ils pensent que ce n'est qu'un caprice pour ne pas passer mes partiels, mon bac, ne pas aller en cours à l'époque du collège, etc. Ils ne veulent pas comprendre, ni voir l'ampleur du problème, comme pour tout le reste, sauf que pour ce sujet particulièrement leurs remarques sont extrêmement blessantes et s'enfoncent plus qu'autre chose alors je ne leur montre simplement plus rien, ne leur dis plus rien, leur mens, et malgré les transformations physiques ils ne réagissent pas.
"Vous trouverez votre équilibre quand vous aurez votre indépendance".
Je n'en suis pas sûre.
Il paraît que l'anorexie mentale est bien plus importante dans mon fonctionnement et mes comportements que la boulimie. Mais sur mon physique c'est l'inverse qui apparaît : je suis en surpoids. Alors que je fais même du sport et que j'ai beaucoup de comportements d'hyperactivité.
Il paraît que c'est le moyen que mon corps a de me protéger. Car si il avait perdu autant de poids qu'il aurait dû depuis ses 10/11 ans de troubles du comportements alimentaires, je serais déjà morte. Alors il stocke énormément, perds vite mais prends très vite aussi pour me protéger de la mort. Mais également pour me protéger du fait d'être attirante selon les codes de la société. Comme si je pensais qu'en étant grosse aucun homme ne pourrait me violer à nouveau. Or c'est faux, une femme en surpoids peut-être tout aussi attirante qu'une femme avec un imc normal. Mais probablement que j'ai essayé de me convaincre de ça pour trouver un moyen de défense. Et l'anorexie serait une volonté de pureté de mon corps mais également de disparaître, de devenir invisible.
Alors voilà, on a enclenché sur le fait que mon "anorexie" venait surtout du refus de faire entrer quelque chose dans mon corps pour ne pas me sentir à nouveau intrusée, violée. Et on a donc reparlé de l'anesthésie de l'opération, qui avait probablement redéclenché le mal-être et les idées suicidaires par le fait que je n'avais plus de contrôle sur mon corps, que quelque chose d'autre était à l'intérieur et le contrôlait et que ça m'a beaucoup perturbé.
D'ailleurs, peut-être que le fait que l'anesthésie n'ait pas marché au début puis "trop" par la suite était psychologique, comme si j'avais moi-même tout bloqué.
"Est-ce vous vous êtes sentie figée par la peur et toutes ces sensations, comme lors des agressions que vous avez subies ? Est-ce vous avez eu l'impression de revivre la même situation ?"
Oui et non. Oui car l'anesthésie provoque cette sensation que j'ai ressenti lors des agressions "je veux fuir mais je suis tellement paralysée que je ne peux pas bouger". Non parce que l'anesthésie ressentie à l'époque était liée à la peur de l'autre, de la violence ; celle de mon opération était juste due à la peur de perdre le contrôle sur mon corps, de ressentir des choses, je n'ai jamais imaginé à un moment que le chirurgien puisse tenter quoi que ce soit puisque c'était une anesthésie locale.
"Face à un trauma il y a trois réactions possibles : la fuite, l'attaque, ou la déconnexion. Vous ca a été la déconnexion et ça l'est encore à l'heure actuelle."
Avant les traumatismes comme elle dit, je n'avais jamais rien ressenti au niveau du corps. Enfin les blessures quand on tombe, etc, mais c'est très peu, car lorsque l'on est enfant on ne fait pas attention aux signaux que peut nous envoyer notre corps. On s'en fiche. Nous n'avons pas encore pleinement conscience de notre corps. J'étais trop jeune pour avoir ressentie quelque chose de vraiment concret.
Et après, inconsciemment j'ai directement déconnecté et tout bloqué. Alors je n'ai jamais rien ressenti au niveau de mon corps.
Pendant toutes les années où j'ai oublié ce que j'avais vécu, je n'ai rien ressenti dans mon corps.
Et quand c'est revenu, j'ai ressenti les douleurs de l'époque. J'ai été choqué. "Ah bon mon corps est capable de ressentir quelque chose ? Ah bon mon corps peut faire mal ?" Mais ça a été tellement violent et brutal que j'ai immédiatement tout rebloqué (ou le plus possible) car c'était le fonctionnement que je connaissais.
Elle m'a reparlé d'une activité physique pour renouer entre mon corps et mon esprit, quand je serais prête.
Elle a compris que je ne ressentais très peu les sensations de faim, de froid, de chaud, etc etc. Je les ressens, mais différemment. Je suis très souvent en pull même en été.
Ça me fait moins peur de tuer mon corps que d'affronter ce qu'ils peuvent ressentir.
"Mais vous ne pouvez pas être juste un esprit."
Puis, je ne sais plus trop comment on en est venues à cela, mais je lui ai exprimé que je ne me sentais pas moi-même, que j'avais l'impression que plusieurs personnalités se battaient en duel, et que j'étais constamment en train de switcher avec mes personnalités.
"On traverse tous des conflits internes mais chez vous il y a quelque chose de vraiment extrémiste, intense".
Elle me demande comment ça se manifeste. Je lui dis que ce sont pas forcément des personnalités à proprement parler mais que selon les personnes je ne vais pas avoir les mêmes réactions, les mêmes façons de m'exprimer, les mêmes attitudes générales.
On en a conclut que ça avait une fonction adaptative pour moi. Qu'à cause de mes traumas, de mon environnement familial, de mon propre fonctionnement à cause du fait que je sois précoce et donc hypersensible et bien je m'adapte à la personne en face pour me protéger 1) d'un potentiel danger, 2) des émotions de la personne pour ne pas me les prendre en plein face et qu'elles me submergent.
Puis on a parlé du fait que, par contre, quand il y a trop de personnes autour de moi je me coupe et devient totalement inexistante et effacée. Parce que c'est trop d'informations à traiter et parce que je ne me sens pas a l'aise d'exprimer des choses ou ma personnalité, j'ai l'impression d'une "surexposition" et j'ai tellement honte de ce que je suis que le montrer à une personne ça va, mais à plusieurs en même temps ça m'est littéralement impossible.
"Oui c'est typique de la précocité et de l'hypersensibilité. Il va falloir apprendre à vivre avec..."
Puis je lui ai dis que je me sentais vide. Que j'avais beau ressentir beaucoup de choses très intensément il y a toujours une part de moi qui se senti vide.
"Vous êtes tout sauf vide, je vous assure."
Je me sens en mille morceaux.
On a dû arrêter la séance là dessus, car elle m'avait déjà gardé 1h30 au lieu de 45 min, car elle n'avait pas de rendez-vous après moi, donc elle en a profité, mais par contre après elle en avait un.
Mais elle m'a dit qu'elle souhaitait qu'on reparle de ces mille morceaux. Alors probablement que ce sera le thème du prochain rendez-vous...
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2020
J’ai toujours été intelligent. Après avoir observé ma propre enfance à travers une introspection sans jugement, mon intelligence reste une des seules choses dont je ne peux douter. Brillamment, j’ai réussi à m’épargner de nombreuses cicatrices, autant à la maison qu’à l’école. Étant petit, j’ai vite réalisé que j’étais violenté psychologiquement par mon père et qu’il exerçait des châtiments corporels qui pouvaient être jaugés plus facilement par sa frustration que par la gravité de mes bêtises. Ces moments de terreurs furent nombreux et je pense qu’ils ont formé mon esprit de soumission face à l’injustice et l’humiliation. Quel parfait moyen de me formater avant mon arriver au collège en tant qu’enfant gay.
Un jour en 6ème, un camarade de classe, Killian, me poussa par terre alors que nous étions en rang dans la cour, et m’insulta de pédé. Je ne savais pas encore ce que signifiait ce mot et toute la haine qu’il renfermait, mais j’allais bientôt le découvrir, surtout dans les vestiaires de sport, qui deviendront après ça ma plus grande hantise jusqu’à ce jour et qui me pousseront à ne pratiquer aucun sport de toute mon adolescence alors que j’étais vraiment compétitif et plein d’énergie.
Après cette altercation, ma bonne réputation “d’ami de tout le monde” s’est écroulée. Je dûs subir violence verbale et physique toutes les semaines dans les vestiaires de sport. Les garçons de ma classe en faisaient un jeu de qui allait frapper Maxime jeudi après-midi en sport, et je subis ainsi ce châtiment corporel et verbal sans broncher, comme il en était à la maison, car si Papa le faisait et qu’il avait raison, alors pourquoi pas eux? L’humiliation était toujours plus douloureuse que les coups de poings. En effet, à cette époque j’avais encore des amis garçons, qui devaient me regarder me faire tabasser toutes les semaines, et qui devaient donc s’éloigner de moi ou refuser de s’assoir à côté de moi dans les vestiaires pour leur éviter le même sort. Je vois encore leur regards rempli de pitié en me regardant de haut car j’étais au sol après m’être fait frapper. Je vois Théo, Tom, je vois les gros de la classe qui se taisaient car ils savaient aussi bien que moi qu’ils étaient les prochains sur la liste si j’arrêtais de me laisser faire. J’avais 11 ans, et j’ai vu mon innocence et ma joie lumineuse de vivre partir au premier coup de poing. J’ai ainsi perdu foi en les hommes, qui étaient responsables de tous mes maux, et aujourd’hui encore il m’arrive de trembler ou de vomir avant de rencontrer des hommes quand je n’ai pas le choix, surtout pendant ma première année au Canada, où les garçons de la résidence faisaient remonter des souvenirs putrides à chaque fois qu’ils rigolaient à l’unisson, comme dans les vestiaires. Cette année là j’ai aussi perdu foi avec les adultes, car les professeurs de sport savaient ce que je subissais et ont même surpris la scène humiliante plusieurs fois mais n’ont jamais agi, par peur de mal s’y prendre ou par fatigue professionnelle étant prof de sport de ZEP, mais ils m’ont fait comprendre sans un mot que ce que je subissais n’allait pas changer.
Le reste de mon collège et de mon lycée sont assez flous car la peur faisant partie de mon quotidien à cause de mes nombreux agresseurs réguliers, ma mémoire avait plus de mal à bien fonctionner dans les moments très stressants. Je me souviens donc de garçons s’approchant très près de moi, de me faire gifler dans les vestiaires (encore), et de gens qui m’insultent et me frappent la tête dans les couloirs du lycée. Mais je ne chercher pas non plus à me les rappeler, car je sais que si mon cerveau a fait envoler ses souvenirs, c’était sûrement pour me protéger.
On peut croire que cette histoire n’a pas de rapport avec l’intelligence, mais j’ai dû éviter des centaines d’altercations avec mes camarades durant mes années collège/lycée, en me dépêchant de me changer, en me changeant discrètement dans les douches, en trouvant des arguments pour éviter les claques, en changeant de chemin en rentrant des cours pour éviter de me faire tabasser quotidiennement. Avoir un cerveau qui réfléchit à 200% toute la journée car il est en mode survie, tout en ayant l’air serein autour de mes amis et de ma famille, ça demandait beaucoup d’intelligence. C’est ce stress écrasant qui me suivait dès que je fermais le portillon blanc de chez moi et qui m’a empêché de me créer toute identité par peur d’être different de la masse et d’être encore plus ciblé, ou encore d’avoir les mêmes goûts que tout le monde afin qu’on m’aime et de balancer ma réputation.
Je suis devenu un caméléon avec une personnalité et un humour interchangeable dépendamment de la personne avec qui j’étais, et cette “qualité” me poursuit encore aujourd’hui et me laisse me sentir creux et mort de l’intérieur à chaque fois que je me retrouve sans distraction.
J’espère donc qu’en 2020 j’arriverai à commencer à avoir une personnalité, et à me créer ma propre identité, sans me soucier de ce que les autres auront à en dire, car les autres m’ont déjà volé la majorité de ma vie, et que c’est donc mon droit, mon dû que de pouvoir vivre ma vie comme je le souhaite désormais. Donc bonne année à moi :)
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Les anges terrestres
Je ne me rappelle plus de l'époque exacte où j'ai découvert ce livre. J'aurai dit vers les années 2011, peut-être un peu plus tard. A l'époque, je ne connaissais ni les otherkins, ni les thérianthropes. Sans vous mentir, je cherchais désespérément des supports pour comprendre qui j'étais. J'avais vu, dans une petite boutique d’ésotérisme, un livre nommé "Les anges terrestres" de Doreen Virtue.
A l'époque, je ne connaissais de l'ésotérisme que le nom. Je ne savais pas ce que ce sujet impliquait.
Seulement voilà, la couverture m'avait tapé dans l’œil. D'autant plus le résumé de ce bouquin qui semblait répondre miraculeusement bien à mes réponses.
« L'auteur vous aide à comprendre comment votre mission de vie, votre personnalité, vos relations avec les autres, votre santé et même votre apparence physique sont influencées par vos origines spirituelles. Ses conseils vous aideront à vous sentir plus à l'aise avec vous-même, dans tous les domaines de votre vie. Un guide pratique pour les anges incarnés, les élémentaux, les êtres venus des étoiles, les walk-ins et les magiciens »
Des personnes qui, comme moi, auraient une probable âme non humaine ? Posséder l'esprit d'un animal ou d'une créature fantastique. Cela me semblait tellement logique et évident : je tenais le veau d'or entre mes mains. Je n'ai pas hésité, j'ai sorti 20€ de ma sacoche et j'ai même commencé la lecture dans le bus du retour.
Les premières pages racontent les « élémentals incarnés » (il n’y a pas de faute orthographe) qui seraient une poign��e d'individu sur Terre. Ils ressemblent à n'importe quel être humain mais sont, en réalité, des anges, des extra-terrestres, des gardiens, des animaux incarnés et des fées...Apparemment, toutes ces personnes auraient pour mission de "purifier la terre, l'eau et l'air et d'aider les animaux" sur notre planète. Par ailleurs, ils auraient également -parfois- des souvenirs de sorcières/sorciers mises au bûcher (car les « élémentals » incarnés seraient des êtres qui, dans le passé, étaient proches des magiciens).
Sympathique, n'est-ce pas ?
Après ces quelques pages, j'ai rapidement compris que quelque chose clochait. Vraiment beaucoup. Je veux dire, à l'époque, je croyais dur comme fer que mon âme n'était pas humaine. C'était le plus logique pour, la spiritualité, à mes petits yeux d'enfant. En fait, après réflexion et sans vous mentir, j'ai trouvé ce livre fade et remplis d'informations erronées. Ils pourraient que induire en erreur des jeunes thérianthropes et otherkins à la recherche d'eux même.
Même si les termes classiques de l'alter-humanité ne sont pas cités dedans (sauf « Walk-in » si je ne me trompe pas), on sent que ce livre est dédié aux thérians et otherkins. Car tout y est...puis ça part en cacahuète...
Prenons, par exemple, les caractéristiques dites « nécessaires » pour être considéré tel un élémental (Il y en a différentes sortes mais voici celles qui m'ont le plus marqués) :
Préférer les plantes et les animaux aux humains.
Détester profondément les humains.
Vouloir protéger la nature (et y vouer un culte).
...Mais ensuite....
Avoir des racines celtes.
Avoir les cheveux tirant sur le roux, des taches de rousseur ou un teint rougeaud.
Jouer constamment des tours
Être très espiègle et avoir les yeux pétillants de malice.
Être farouchement indépendant et n’aimer ni le règlement ni l’autorité.
Etre accroc ou dépendant à quelque chose (alcool, tabac...)
Financièrement, être soit riche soit pauvre, rien entre les deux. (Je ne vois pas le rapport également.)
Et encore beaucoup d'âneries dans le genre. Au final, il est très dommage de s'attacher à une apparence physique ou financière (ou autre) pour décréter si une personne est otherkin ou non. Ce qui, bien entendu, n'a aucun lien avec notre identité intime. Ce ne sont pas des informations aussi stéréotypées ou trop précises (avoir la peau pâle, aimer le sport...) qui font de nous une personne alter-humaine. Chaque individu est unique, unique dans son animalité, unique dans son non-humanité, c'est ça qui est merveilleux et très précieux. Lire que pour être un animal incarné, il faut adorer son animal (un exemple raconté dans le livre : avoir des posters de chevaux dans sa chambre si l'on est un équidé) et lui ressembler physiquement (dans ce cas, une certaine musculature et les cheveux longs qui volent au vent)... J'ose le dire : c'est du grand n'importe quoi. Une passion n'est pas toujours/forcément lié à ce que l'on est. Certaines personnes n'ont pas leur thériotype comme animal favori.
Au final, tout est mélangé, plus rien n'a de sens. On ne sait plus trier le vrai du faux. On est encore plus perdu qu'avant d'acheter l'ouvrage. Ah oui, pendant qu'on y est, voilà ce qu'une âme animale (ou de créature) incarnée dans un corps humain est censée faire comme professions et activités :
-de la musique, du théâtre, de la comédie, de l'écriture, de l'édition, de la danse et du yoga.
C'est bien joli tout ça. C'est rempli de fantasme, de romance, de métaphores. Mais rien de bien concret. Si pour être un loup il faut juste aimer la vie en famille, protéger les siens, jouer du ukulélé et avoir les yeux verts... alors je suis une louve (pour ce qui se poseraient la question, je suis un blaireau européen) !
Pour terminer, voilà quelques « créatures/animaux » représentés dans ce torchon (je dis ça mais la rédaction n'est pas catastrophique, juste le contenu) :
-un farfadet;
-un dauphin (qui sont, visiblement, une race à part...);
-une licorne;
-une sirène-ange-fée-venue des étoiles;
-un chat.
Suite à cette lecture, malgré mon jeune âge, j'ai vite compris que quelque chose ne collait pas. J'ai décidé de ne pas m'y référer. Ce n'est que bien plus tard que j'ai pu -enfin- découvrir les communautés alter-humaines.
La morale de cette histoire est de bien faire attention en découvrant de nouvelles informations sur l'alter-humanité. Faites les tri, virez les personnes qui vous promettent la transformation physique. Faites attention, écoutez votre instinct. Si on veut vous vendre des choses -comme des soins, des thérapies ou des potions- pour améliorer votre qualité de vie en tant qu'alter-humain : courez ! Car personne ne peut dire qui vous êtes à par vous même.
Même un bouquin...
Et si vous voulez en savoir plus sur « Les anges terrestres » et que vous voulez rire un peu, vous trouverez facilement des écrits de cette autrice. Bonne lecture !
#otherkin#therian#thérianthropie#therianthropy#identité#identity#fake#anges#terrestres#incarnés#livre#critique#élémentals#doreen virtue#ésoterisme#walk-in
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Je profite qu'il soit tard pour écrire ce post tranquillou. J'ai un peu l'impression d'être en boucle en ce moment sur le même thème mais c'est parce que je pense être arrivée à une période de ma vie où je suis suffisamment grande pour penser à peu près par moi-même, en tout cas avoir un minimum d'opinions personnelles, et où beaucoup de choses qui sont arrivées pendant mon enfance et mon adolescence reviennent.
Je ne sais pas si vous avez vu ça, ou si vous vous en rappelez, mais il y a une semaine ou deux, une agression antisémite a été commise dans la ligne 4 du métro. Je voudrais juste dire ça : je ne compte pas le nombre de réactions que j'ai vu disant "il n'y a pas de preuves, je n'y crois pas". Alors vous me direz, peut-être que les gens ne croient pas/sont sceptiques parce que 1. ces propos ont été rapportés par un journaliste, et qu'on est dans un climat de défiance vis-à-vis de ces derniers (que personnellement j'ai parfois du mal à comprendre), 2. selon ce même journaliste ils seraient le fait de gilets jaunes et beaucoup de gens pensent malheureusement (même si honnêtement on a vu plus marqué politiquement que 20 minutes) que les journalistes mentent et qu'ils travaillent pour le pouvoir en place (et d'ailleurs je vais le dire ici mais je ne suis pas d'accord avec le traitement réservé aux médias : on a accordé une place exceptionnelle aux gilets jaune dans l'actualité, et l'accueil était plutôt bienveillant et ouvert, alors oui, désolé mais ne pas parler des violences ça serait malhonnête et de plus poser des questions sur un mouvement, le remettre en cause, le critiquer quand il le faut, ça n'est pas le maltraiter mais peut-être que je suis une jeune réac après tout). Mais il y a aussi tout ces gens qui ne croient pas ce type, non pas pour des raisons de traitement médiatique (qui n'est pas irréprochable ok je n'ai pas dit ça) mais tout simplement parce qu'ils ne la croient pas en tant que juive. Et c'est bien là tout le problème. Ces gens-là ne sont pas, pour la grande majorité, d'affreux fascistes, ce sont juste des gens qui ont appris, qui ont intériorisé, le scepticisme vis-à-vis de l'antisémitisme. Et ces gens-là, c'est vous et c'est moi. Ce sont également ces gens, encore une fois vous et moi, qui ont appris à être distant par rapport à la parole des juifs, à s'en méfier sans s'en rendre compte, à toujours remettre les juifs à leur place de juifs. Je ne compte même pas le nombre de fois où j'ai vu des gens s'en prendre à des personnalités, que ça soit BHL, Gal Gadot, Raphaël Glucksmann, Natalie Portman ou Patrick Bruel non pas pour leurs actes mais pour leur identité, leurs origines juives.
J'ai l'impression de n'avoir jamais été aussi consciente que la France avait un problème d'antisémitisme que ces derniers temps. Je ne me souviens pas de l'affaire Ilan Halimi, mais Mohamed Merah a été tué la veille de mes 11 ans. Je ne sais pas si vous comprenez ce que ça m'a fait ? J'avais peur qu'il entre dans ma salle de classe pour me tuer, moi. Je comprends que pour ceux qui sont musulmans c'est difficile de grandir quand on tue au nom de votre religion. Mais imaginez aussi comment c'est quand des gens meurent parce qu'ils sont comme vous. Et là c'est l'antisémitisme le plus violent, et bien heureusement le plus rare. Mais je me rappelle en 4e, un cours de sport dans lequel les garçons parlaient du "coup du juif", un coup au coude, par derrière, assez douloureux. Un coup de traître quoi. Et en 3e peut-être, avoir dû lire une nouvelle en cours de français et d'entendre derrière moi "ils sont juifs quoi" (et les personnages l'étaient), me retourner, lui demander pourquoi il disait ça et lui qui me répond "bah ils sont riches quoi". Bien sûr qu'il y a des juifs riches. Mais les pauvres juifs d'Europe de l'Est qui ont fui en masse les pogroms, ils crevaient la dalle eux et considérer que tous les juifs sont des Rothschild, c'est antisémite. On vit dans un pays où Dieudonné fait salle comble et où des gilets jaunes entament "la quenelle", où des employés d'un grand restaurant parisien posent en faisant le signe de la quenelle tout sourire sans voir le problème manifestement, où les juifs subissent un tiers des actes haineux alors qu'ils représentent environ 1% de la population, où des gens vous disent qu'il y a trop de juifs dans les médias, où une femme qui refuse de reconnaître la responsabilité de l'État français dans la déportation des juifs français et qui est issue d'un parti dont le fondateur considère les chambres à gaz comme un détail de l'histoire arrivé au second tour de la présidentielle sans que ça choque grand monde, où on vous fait des blagues nazies, sur la Shoah, sur des clichés antisémites "pour rigoler". Moi ça ne me fait pas rire mais je suis peut-être parano. Et des fois j'ai l'impression que l'antisémitisme n'est pas pris au sérieux, en tout cas qu'il ne bénéficie pas de la considération dont bénéficient le sexisme, le racisme et l'homophobie, parce qu'on considère que c'est du passé, qu'après la Shoah, plus rien ne peut arriver. Interrogeons-nous un peu sur notre antisémitisme au quotidien. (Je pense que ce post ne va nulle part et qu'il ne veut rien dire mais j'ai besoin d'écrire à quel point ça peut être anxiogène pour moi de voir que l'antisémitisme remonte dans mon pays)
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Les flammes du destin
The Effigies, tome 1
Auteurice : Sarah Raughley
Maison d’édition : Lumen
Date de publication : 2016
Nombre de pages : 442
Genre : Fantastique, jeunesse
Ce qu’en pense Seli :
J’ai acheté ce roman il y a un moment déjà, et quand je l’ai tiré au hasard dans ma pal pour le lire (oui, comme je n’arrive jamais à me décider, je laisse faire le hasard), j’ai eu un peu peur de ne plus y trouver mon compte. Mes goûts évoluent très vite ces derniers temps, et ce qui me faisait autrefois hausser un sourcil ou me passait au dessus de la tête de façon stratosphérique me fait aujourd’hui bondir, hérissée et remontée avec une fugace envie de sortir torches et fourches.
Moi lisant Succubus Blues...
J’ai tout de même bien fait de me lancer, car du coup, j’ai été bien surprise !
Je ne m’apprête pas à vous présenter une perle incontournable du roman fantastique jeunesse, mais c’est un roman qui choisis d’aborder des thématiques tout en les traitant du mieux possible.
J’aimerai tout d’abord parler de Maia, l’héroïne du roman. Rien de très original : une adolescente au passé difficile qui s’est réfugiée dans les réseaux sociaux et dont la destinée lui tombe dessus sans prévenir, ce qui fait qu’on a droit à l’invariable séquence d’entrainement/découverte des pouvoirs. Je pensais que le premier tome s’articulerai essentiellement là-dessus, mais en fait non. La jeune fille est balancée dans cette histoire sans rien comprendre et en risquant sa vie à chaque instant, faute d’un entrainement approprié.
Bien que je n’ai rien en commun avec elle, je me suis sentie très proche de Maia, dans sa normalité. L’occasion de préciser qu’elle a priori métisse (sa grand-mère est jamaïcaine), et que même si elle a apparemment un important whitepassing, elle a la peau mâte et des cheveux frisés. Voilà enfin un peu de diversité dans ce roman qui en manque cruellement. J’ai été décontenancée de voir de nombreuses critiques pas très tendres avec elle : on lui reproche son attitude incompétente et geignarde, ainsi que son côté “fangirl” avec les autres effigies. En même temps, à quoi s’attendre ? Si elle s’était directement comportée comme une femme badass sans craintes, c’est moi qui aurait été surprise ! Justement, j’aime bien le choix de la laisser extrêmement vulnérable et dépassée durant ce tome, car en contrepartie, elle est loin de rester inactive. Il y a plusieurs façon d’être une femme forte, être incompétente et courageuse en fait partie ! Quel est l’intérêt d’une héroïne sans défauts ?
Sans compter que Maia évolue fortement d’un point de vue moral. Si vous êtes adeptes des personnages extrêmement complexes, je vous détrompe : rien de transcendant. Pour Maia, ce sera un apprentissage de l’empathie et une remise en question des jugements hâtifs vis-à-vis de la distance que peuvent provoquer les réseaux sociaux. Elle apprend également à prendre du recul sur elle-même, et bien sûr réaliser le poids de ses nouvelles responsabilités, écrasantes il faut le dire. Ce à quoi servent le miroir des autres Effigies : Belle, Chae Rin et Lake.
Alors oui, déjà, l’Effigie française se nomme Belle, est c’est une froide beauté blonde inaccessible. Difficile de savoir si je dois rire ou grincer des dents tant je me sentais dans une pub pour parfum dès qu’il était question d’elle.
Source : weheartit.com
L’Effigie “à la française” vous est présentée par Nina Ricci...
Mais au-delà de ce point de détail un peu chauvin, j’ai apprécié le traitement de ces trois filles, et surtout la façon dont elles ont géré leur titanesque mission et le fait d’être soudainement données en pâture aux médias du monde entier. Ce roman a le mérite de ne pas traiter de façon monolithique la thématique des sauveur.euses de l’humanité, à l’image d’un Superman qui s’acquitte de sa tâche avec un flegme et un sens du sacrifice ahurissant.
Belle est le pendant peut-être le plus déglingué de ce syndrome, celle qui s’est sacrifiée à sa mission au dépend de tout, au point de la rendre psychologiquement vulnérable et en proie à une colère et une méfiance qui deviennent un réel handicap. Elle s’est retranchée dans ses convictions et sa zone de confort à l’extrême, et l’automatisme auquel elle se livre en mission est flagrant. Et pourtant, ce caractère lui vaut énormément d’admiration... J’aime bien l’idée que les personnalités irréprochables que nous admirons tant sont en réalité broyées par le système, paralysées par la peur de commettre un faux pas. Belle, malgré son courage et son efficacité, est paralysée par la peur, la plus évidente étant la vérité de sa situation. Elle devient agressive avec quiconque tente de lui balancer cette vérité au visage, ce dont Maia, une fois les moments “fangirl” terminés, ne se prive pas.
Chae Rin et Lake ont vécu leur nouvelle nature d’une manière extrêmement différente, mais également assez réalistes. Elle ne sont pas comme Belle, elles préfèrent s’effacer et s’écarter de leur mission, afin de se protéger d’un monde qui n’a pas été tendre avec elles. Elles se sont prises de plein fouet la cruauté de la presse et ses jugements hâtifs. Chae Rin s’est éloignée, a cherché à se faire oublier. Lake s’est gargarisée de cette nouvelle popularité et en a profité pour lancer sa carrière d’artiste. Quand on entend parler de ces deux filles la première fois, c’est au prisme de Maia, qui les méprise et les juge pour leur lâcheté sans chercher plus loin. C’est en apprenant à les connaitre qu’on comprend que la situation est bien plus complexe, qu’être des Effigies a détruit leur vie et qu’elles essaient tant bien que mal d’en rebâtir une avec les morceaux de ce qu’il leur reste. Leur traitement est assez matûre, et ne tombe pas non plus dans l’écueil d’en faire de pauvres petites victimes trop lisses, au contraire. Elles sont pleines de défauts, d’insécurité, de peurs et ont connu leurs lots de passage à vide. Elles m’ont cependant semblé en retrait, car la psychologie de Belle est davantage mise en avant.
En comparaison, les autres personnages semblent un peu plats. Et ce, même pour le fameux méchant, Saul, encore bien trop nimbé de mystère pour que je puisse le juger. Sa personnalité est un imbroglio de caractères divers qui vont du gentil sauveur à l’atroce psychopathe qui décime des villes pour le sport. J’attends d’en savoir plus sur sa condition pour me faire un avis tranché sur lui.
Le récit reposant en grande partie sur les personnages, l’univers est encore assez peu creusé, tout cela pour découvrir que les protagonistes ont des connaissances plutôt vague sur les Effigies et leurs différentes réincarnations.
Le principe des pouvoirs des Effigies (maîtrise des éléments, c’est assez basique) est peu original, l’intérêt majeur étant que chaque Effigie ayant accès aux souvenirs de celles qui l’ont précédée par flashs au début puis de façon plus systématique par la suite laisse entendre que les différentes Effigies perdent peu à peu leur individualité et leur personnalité. Pour le coup, le sujet est bien traité et montre que ces anciennes vies ne sont pas forcément des alliées, mais parfois un ennemi infiltré qu’il faut combattre, la tentation de vivre à nouveau étant parfois si forte qu’elle corrompt. Cela rend le fardeau des “élues” d’autant plus dur à porter qu’on les prive non seulement de leur vie privée, de leur liberté, mais également de leur intimité mentale et émotionnelle. J’ai hâte de voir comment cette dimension va se traduire dans la suite du récit.
Autre arc introduit dans ce tome, l’idée que la Secte (franchement, c’est quoi ce nom ?) est gangrenée et peut ne pas servir les intérêts du monde. Vu le nom c’est largement grillé, et certains de ses membres sont tellement suspects et ont des comportements tellement en dehors du cadre de leur fonction qu’on se demande comment le commandement ne peut pas le voir venir. Je vois l’intérêt de garder du mystère pour la suite, mais dans ce cas, il faut sous-entendre la trahison de façon plus subtile sinon on fait passer le haut commandement pour une colonie de blaireaux.
Autre point pas très bien abouti : le peuplement de la Terre. Basiquement, dans un univers où à n’importe quel moment on peut se faire attaquer par des spectres qui ne nous laissent aucune chance et dont seule une Effigie peut venir à bout, il faut revoir entièrement la géographie humaine du monde, qui n’aura presque rien de commun avec ce que nous connaissons. Les Effigies étant seulement quatre (tout du moins officiellement), on nous explique que les grandes villes les plus développées ont des tours qui émettent un champs protecteur, avec divers degrés d’efficacité. Ce point sert à illustrer les différences de développement et de richesse selon les pays et les continents, mais rend le fonctionnement des tours complètement incohérent. Si l’on se fie à ce qu’on nous explique, les pays les moins développés auraient déjà dus être rayés de la carte il y a belle lurette.
De plus, si on nous explique que les grandes villes concentrent la majorité des habitants de la Terre, quid des zones rurales ? Il est sous-entendu que les petits villages sont rares car ils n’ont pas de quoi se protéger. D’accord, mais l’autrice omet un léger détail... Le monde qui nous est dépeint ressemble au notre en terme de développement : c’est a priori un système économique capitaliste basée sur de très importants réseaux internationaux. Les gens ont internet, vont dans des supermarchés, ont des loisirs etc... Sauf que ce système repose en grande partie sur les espaces ruraux, avec tout simplement, l’agriculture intensive qui nécessite de très grandes surfaces d’exploitation. Ces zones ne seraient donc pas suffisamment protégées ? Dans ce cas, comment une société de consommation pourrait-elle survivre ? En toute logique, les attaques régulières de spectres qui décimeraient les agriculteurices causeraient des famines conséquentes et régulières au minimum. De même, si les principales routes commerciales maritimes et aériennes ne sont pas protégées, comment expliquer que nous sommes dans une société où les biens sont essentiellement produits dans les pays en développement ? Dans un tel univers, le seul système économique viable serait un système autarcique de type cité-état où chaque ville possède sa propre industrie et où les liens commerciaux seraient assez rares du fait de la dangerosité des axes de transport. En tous cas, leur univers serait drastiquement différent du nôtre... Je sais que cela ne parait rien, mais ce genre d’incohérence peut compliquer l’établissement d’un univers crédible.
Source : popularmechanics.com
Je verrai plutôt des tas de petits états comme le Wakanda chez Marvel, eux aussi protégés et complètement indépendants du reste du monde.
Bref, une plutôt bonne lecture qui m’a surprise. Je suis assez curieuse de voir comment l’histoire va évoluer au vu des synopsis des tomes suivants. Si ce roman reprend les mêmes poncifs de l’élu.e qui se découvre des pouvoirs et qui doit sauver le monde, ce roman essaie d’aller au-delà et de traiter les thématiques rattachées de façon plus mature. Pour les déçu.e.s de la littérature jeunesse (comme moi), ce roman pourrait peut être entamer une phase de réconciliation.
Ma note : 15/20
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ÉLOGE D’UN FILM PARFAIT
“Rien ne sert de courir, il faut partir à point.”
Le Lièvre et la Tortue - Jean de La Fontaine
De temps en temps y’a un film – j’dirais pas un chef-d’œuvre, c’est quoi un chef-d’œuvre ? Mais de temps en temps y’a un film qui – et c’est de Big Lebowski que je parle. De temps en temps y’a un film, enfin… un film qui est exactement à sa place, qui colle parfaitement dans le tableau. Comme The Big Lebowski en 1998. Et même si c’était un petit film, et c’était le cas de Lebowski qui à sa sortie fut largement sous-estimé par la critique et manqué par le public. De temps en temps y’a un film… de temps en temps y’a un film… Bah, merde, j’ai perdu le fil, mais allez, je crois que ça suffit comme présentation.
Un petit film… de bowling, plus précisément. Un petit film vraiment bizarre à l’intrigue confuse et aux références multiples. Un petit film que même les critiques positives qualifièrent de réussite mineure dans la filmographie des frères Coen – pas facile d’arriver juste après Fargo. Un petit film qui dérouta plus d’un spectateur – y compris parmi les fans des deux frères. Et pourtant chacun – du moins parmi les millions de fans aujourd’hui acquis à la cause du Dude (ou Duc dans la sympathique vf) – se souvient de sa découverte de ce petit film. (Pour ma part, j’étais en seconde avec des condisciples à faire la queue pour la cantine lorsqu’un terminale très cool – comme tous les terminales, évidemment – nous parla d’un super film de défoncé (stoner movie en vo) dans lequel un type qui jouait tout le temps au bowling faisait des rêves de dingues où il volait au-dessus de Los Angeles avec sa boule de bowling. Big Lebowski, ça s’appelait. Le week-end venu je fonçai au vidéoclub louer la vhs dudit film qui se révéla encore mieux que le récit qu’en avait fait le terminale). Et c’est vrai qu’en premier on se souvient généralement des rêves : le vol au-dessus de L.A., donc, et le numéro de danse avec le passage sous les jupes des danseuses avec leur chapeau en forme de quilles de bowling. Et ensuite on se souvient de répliques, de tonnes de répliques. Et puis on regarde le film régulièrement, tous les mois ou tous les ans, seul ou avec des potes et/ou sa petite amie. Et à chaque fois on le trouve de mieux en mieux. À chaque fois on rit de plus belle. S’il fallait définir un film parfait – eh oui, bien sûr, The Big Lebowski en est un –, il n’y aurait pas besoin d’en dire beaucoup plus… Un film parfait peut se revoir à l’infini et chacune de ses répliques, chacun de ses figurants, chacune des chansons qui en composent la bande-son est exactement à sa place et fait parfaitement sens. Comme le Dude à Los Angeles en 1991.
Sauf que dire ça ne suffit pas aux fans vraiment dingues et autres cinéphiles obsessionnels. Pour ces gens-là, qui souvent se posent des questions existentielles au sujet de leurs films favoris du type « Qu’est-ce qui fait un film parfait ? », il existe un endroit magique niché au fin fond de n’importe quelle librairie indépendante ou même de l’espace livres d’un hypermarché culturel. Un rayon qui souvent se résume à quelques livres sur Hitchcock ou Truffaut – voire les deux en même temps –, un livre ou deux sur Kubrick, un numéro collector du tout premier Rockyrama – si vous avez de la chance ! – et puis les derniers gros volumes sortis sur les univers de La Guerre des Étoiles, Le Seigneur des Anneaux – ou Le Hobbit, maintenant, enfin c’est pareil, j’crois –, Harry Potter et Game of Thrones. Mais un jour, au milieu de tous ces bouquins, se pointe un livre sur… The Big Lebowski. Puis un deuxième débarque dans la foulée. Une fois la surprise passée on se dit qu’après tout on publie bien des livres sur à peu près tout et n’importe quoi alors pourquoi pas un livre – puis deux, donc – sur un petit film de bowling et sur cette satanée question de savoir ce qui fait un film parfait. Parce que dire que c’est un film sur le bowling c’est bien gentil mais peut-être que ça aurait été pareil avec un autre sport ? Le softball, par exemple. Sauf que les frères Coen ont bien sûr réfléchi à tout ça, ils ont pensé d’abord au softball avant de décider que c’était un sport cinématographiquement ennuyeux. Alors que le bowling, c’est génial, on peut faire des putains de travellings le long des pistes, des ralentis incroyables sur les chorégraphies de célébration les plus remarquables, et puis on peut jouer sur le hors-champ avec des personnages qui entrent et sortent du cadre au fur et à mesure de la partie. Et surtout, le bowling se pratique dans un environnement ultra classieux datant des 50’s avec ses parquets luisants et ses décors vintages. Eh oui, on n’atteint pas la perfection par hasard. De la même manière, si l’on peut pérorer à l’infini sur la question du genre auquel appartient Lebowski, comédie ou film noir, on peut aussi trancher en avançant que comme la plupart des films parfaits il embrasse une multitude de genres – à défaut de les embrasser tous, ce qui vous en conviendrez relèverait d’une perfection inatteignable par un cinéaste, quand bien même ce cinéaste serait en fait deux cinéastes comme c’est le cas, me semble-t-il, des frères Coen. Bien sûr, c’est une comédie, loufoque ou stoner – à vous de voir –, mais c’est aussi un film noir (qui marche sur les traces des romans de Raymond Chandler et de ses célèbres adaptations cinématographiques), un western, un film de guerre (la guerre du Viêt Nam et la première guerre en Irak ont leur importance), un buddy movie, une comédie musicale et même, si on pousse un peu le bouchon, un teen movie sur des ados de cinquante ans. Bref, Big Lebowski n’est certes pas un film d’horreur ni un space opera mais c’est déjà pas mal pour un petit film de bowling.
Cela dit, ce n’est pas tout, car pour comprendre ce qui fait un film parfait la meilleure chose à faire serait d’interroger directement ses auteurs. Sauf que ceux-ci sont réputés pour être assez mystérieux lorsqu’on les interroge sur leur méthode de travail, leurs influences, leur style, etc. C’est presque vrai mais en cherchant un peu on peut tout de même trouver beaucoup d’informations riches et variées sur l’origine du film comme dans l’entretien qu’ils accordèrent à Positif à la sortie du film. Par contre les auteurs des deux livres ont eu un peu moins de chance et ne sont pas parvenus à faire parler les deux frères. À la place, les auteurs du premier (Je suis un Lebowski, tu es un Lebowski), les quatre types déjà derrière le Lebowski Fest, la convention inénarrable consacrée au film et qui perdure depuis près de quinze ans, sont partis à la rencontre des fans, des acteurs et des personnages de la vie réelle ayant inspiré les rocambolesques aventures, les furieuses répliques et les étonnantes personnalités du Dude et de Walter. Cela donne un vibrant témoignage du culte païen – un gus a même fondé une religion en transformant les habitudes de vie du Dude en préceptes philosophiques pour une vie plus harmonieuse – dont le film est devenu l’objet à travers le monde ainsi que la première et plus complète source d’information sur la vraie histoire de Big Lebowski (on découvre ainsi que les ¾ du film sont tirés d’anecdotes récoltées par les frères Coen principalement lors de leurs premières années dans le business hollywoodien). Quant au second livre (plus sobrement intitulé The Big Lebowski), il prend le parti plus didactique de raconter les coulisses du film (sa fabrication, ses influences artistiques, sa place dans la filmographie des deux frères, son accueil critique et public, etc.). Le résultat est moins personnel mais tout aussi riche en anecdotes et permet, combiné au premier ouvrage, d’enfin trouver les réponses à nos questions existentielles. Ainsi le fan fébrile pourra trouver une justification à son sentiment, inexprimable jusque-là, d’une évidente proximité de Big Lebowski avec la série Seinfeld ou passer des heures à s’imaginer son film préféré avec dans le rôle du Dude le premier acteur approché par les frères : Mel Gibson. Malheureusement, certaines questions resteront sans réponses – car un film parfait conserve toujours quelques secrets obligeant ses adorateurs à le visionner encore et toujours –, comme par exemple de savoir si la présence commune au casting de messieurs Ben Gazzara (Jackie Treehorn) et Sam Elliott (L’Étranger) est véritablement un hasard ou s’il s’agit d’un hommage ému des Coen à Road House, le premier film au succès duquel les deux hommes avaient conjointement participé (bien que dans celui-ci, comme dans Big Lebowski, d’ailleurs, ils ne partagent aucune scène).
Mais finalement, les réponses – comme le fait de savoir si Bunny a vraiment été enlevée ou si la valise contenait véritablement un million de dollars – importent peu. Ce qui compte, c’est que près de vingt ans après, le Dude a trouvé son public et mérité sa réputation. Récemment, il a même été choisi par le National Film Registry pour figurer aux côtés des plus grands films américains de l’Histoire gagnant ainsi l’immense privilège d’être sauvegardé pour le bénéfice des générations futures. Une récompense tardive et sans doute saugrenue qui doit bien faire marrer les Coen qui à l’occasion s’amusent sûrement avec la marionnette de la jolie marmotte – en fait un furet – qui a failli bouffer la zézette d’un Dude fumant tranquillement un joint dans son bain en écoutant des chants de baleines, le seul objet relatif au film qu’ils ont accepté de prêter pour l’une des éditions du Lebowski Fest. Et si cela vous paraît un peu fou qu’on puisse se réunir à l’autre bout du monde pour jouer au bowling déguisé en cassette des Creedence avec un russe blanc à la main ou que l’on communie parmi des centaines d’autres « croyants » à l’écoute d’un « prêtre » citant des répliques du film, vous pouvez plus simplement, dans le cadre intime et rassurant de votre salon, engouffrer la galette dvd ou blu-ray – selon votre degré de technophilie ou l’étendue de vos revenus provenant d’une activité professionnelle ou non, peu importe – du film dans le lecteur et appuyer sur play. Vous entendrez alors le doux son des quilles qui s’entrechoquent et vous saurez que pour les deux prochaines heures tout ira parfaitement bien, que le Dude sera toujours là, pour des siècles et des siècles…
Je suis un Lebowski, tu es un Lebowski de Bill Green, Ben Peskoe, Will Russel et Scott Shuffitt. Ségulier.
The Big Lebowski de Jenny M. Jones. Huginn & Muninn.
The Big Lebowski - réalisé par Joel et Ethan Coen - (USA-1998)
[Cet article fut initialement publié sur la première version du site rockyrama.com en 2015]
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La créatrice de mode Mary Quant, les Lionnes et le guitariste de Queen Brian May font partie des personnes reconnues lors des premiers honneurs du nouvel an du règne du roi.Quant, 92 ans, qui, en tant que l'une des personnalités de la mode les plus influentes des années 60, a popularisé la minijupe et le pantalon chaud, devient un compagnon d'honneur, l'un des plus grands honneurs.May, 75 ans, astrophysicienne et militante du bien-être animal, est anoblie. Il a dit : « Je considère cela comme une sorte de charge, comme une sorte de commission pour faire les choses qu'on attendrait d'un chevalier : se battre pour la justice, se battre pour des gens qui n'ont pas de voix. Et, dans mon cas, pour toutes les créatures qui n'ont pas de voix, et je considère cela comme une sorte d'approbation de ce que je fais.Grayson Perry, 62 ans, l'artiste, écrivain et diffuseur, est également anobli.Virginia McKenna, 91 ans, actrice et cofondatrice de la Born Free Foundation, est nommée dame en reconnaissance de son travail de conservation de la faune. Elle a déclaré que le prix "appartient vraiment à tous ceux qui s'efforcent de mettre fin à la souffrance des animaux sauvages et de garder la faune sauvage".La médaillée d'or olympique de l'heptathlon Denise Lewis, 50 ans, aujourd'hui présidente des Jeux du Commonwealth en Angleterre, a déclaré à propos de devenir une dame : « C'est un honneur incroyable. J'essaie juste de le comprendre et son énormité.Le professeur Sir Michael Marmot, auteur de The Health Gap et directeur de l'Institut de la santé de l'UCL, qui s'est exprimé sur la façon dont des politiques telles que l'austérité ont affecté la santé publique, devient un compagnon d'honneur. Il s'est dit "étonné".L'idée que ce qu'il a fait devrait être reconnu de cette manière était merveilleuse, a-t-il dit. « Il y a des pays où je ne serais pas autorisé à dire ce que je dis. Je ne serais pas autorisé à dire la vérité.Léa Williamson. Photographie : David Price/Arsenal FC/Getty ImagesDans le sport, l'équipe féminine de football d'Angleterre a obtenu de bons résultats, la capitaine Leah Williamson recevant un OBE, et Lucy Bronze, Beth Mead et Ellen White - la meilleure buteuse de tous les temps des Lionnes - ont reçu des MBE. L'entraîneur-chef néerlandais de l'équipe, Sarina Wiegman, est nommé CBE honoraire par le ministère des Affaires étrangères. L'ancien gardien nord-irlandais Pat Jennings, 77 ans, a été nommé CBE.La première femme à diriger l'une des plus grandes banques britanniques, Alison Rose, directrice générale du groupe NatWest, est l'une des 15 femmes devenues dames, et a déclaré que cet honneur était « le reflet du travail fantastique de tous mes collègues du groupe NatWest ». Sur un total de 1 107 récipiendaires de tous les honneurs, 50 % sont des femmes. Au niveau CBE ou au-dessus, 45% sont des femmes.David Harwood. Photographie : David M Benett/Getty ImagesL'acteur et diffuseur David Harewood, 57 ans, qui a acquis une renommée internationale en tant que réalisateur de la CIA David Estes dans le drame américain Homeland, reçoit un OBE après être devenu un éminent défenseur d'un meilleur soutien en matière de santé mentale. Stephen Graham, 49 ans, la star de This is England et bien connu pour ses rôles très médiatisés dans plusieurs films et drames primés, devient également OBE.Frank Skinner, 65 ans, le diffuseur et comédien, devient MBE et a déclaré: «Je m'occupe principalement de rires et d'applaudissements et ils disparaissent assez rapidement dans les airs. Donc, obtenir une médaille appropriée que vous pouvez conserver et polir régulièrement se sent [as if it] a donné à ma carrière un sentiment de permanence que j'aime.La saxophoniste, animatrice et lauréate de deux prix Mobo, YolanDa Brown, 40 ans, s'est dite "excitée et honorée" d'avoir été nommée OBE. Janet Kay, 64 ans, connue sous le nom de "Queen of Lovers Rock", qui a atteint les palmarès dans les années 1970 avec Silly Games, est nommée MBE. Il en va de même
pour la mezzo-soprano d'opéra Christine Rice, qui a déclaré : « Recevoir un MBE est l'aboutissement de tant d'efforts joyeux et sérieux. Merci!"Le grand rabbin, Ephraim Mirvis, a déclaré qu'il était "énormément honoré et profondément honoré" d'avoir été fait chevalier, ajoutant : "Ce sera particulièrement émouvant pour moi de recevoir ce prix de sa majesté le roi au cours de sa première année en tant que notre monarque".Noreen Riols, 96 ans, la dernière femme membre survivante de la section française du Special Operations Executive - l'organisation britannique d'espionnage et de sabotage connue sous le nom d '"armée secrète de Churchill" - a dédié son MBE à la mémoire de ses défunts camarades.La liste reconnaît également les hauts diplomates à l'avant-garde de la réponse du Royaume-Uni à la guerre en Ukraine, avec des féminités pour Melinda Simmons, l'ambassadrice à Kyiv, et Deborah Bronnert, l'ambassadrice à Moscou.Rosamund Adoo-Kissi-Debrah, qui a fait campagne pour la loi sur la qualité de l'air connue sous le nom de loi d'Ella, du nom de sa fille décédée en 2013 des suites de la pollution de l'air, est nommée CBE. Elle a dit que sa fille serait fière de ce qu'elle avait accompli jusqu'à présent dans sa lutte pour un air plus pur.Inscrivez-vous pour Première éditionNewsletter quotidienne gratuiteArchie Bland et Nimo Omer vous guident à travers les meilleures histoires et ce qu'elles signifient, gratuitement tous les matins de la semaine
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