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Des métiers, un réseau.
Entretenir et développer son réseau. A mon sens, l’entretien d’un réseau est essentiel pour se construire professionnellement. Cela passe tout d’abord par des contacts réguliers, sans intention particulière, simplement pour prendre des nouvelles de ses anciens collègues et supérieurs hiérarchiques. La prise de contact peut se faire via différents canaux et de différentes manières : envoyer un message personnel, réagir à un post LinkedIn, ou simplement rendre visite physiquement, en entreprise, lorsque cela est possible. L’entretien de ce réseau peut notamment permettre d’en développer un nouveau. Un réseau peut se former par plusieurs méthodes. Pour ma part, je l’ai enrichi grâce à mes connaissances, aux connaissances de collègues avec qui je continue d’entretenir une relation (d’où l’importance de l’entretien du réseau), au réseau alumnis de l’École, mais aussi via les associations. En plus de compétences solides, les associations m’ont apporté un réseau, des personnes sur qui je peux compter et qui contribuent à mon avenir professionnel. Enfin, je parlerais de LinkedIn qui, selon moi, représente une réelle plateforme de rencontres professionnelles, pouvant aboutir à des opportunités que l’on ne soupçonnaient pas. Ce réseau vient compléter les autres méthodes citées précédemment, plus anciennes mais tout aussi efficace.
Côté presse professionnelle, quels outils à privilégier ? J’accorde un intérêt particulier aux magazines tels que “Management”, “Challenges” ou encore “Forbes”, qui permettent, en plus de s’informer sur l’actualité business, de découvrir de nouveaux métiers. Par exemple, j’ai récemment découvert le métier de Change Manager par le biais du célèbre magazine Forbes. Il s’est avéré que ce métier, très récent en France, conjugue de nombreuses facettes qui m’intéressent dans le large métier de manager : la gestion du changement et son acceptation par les membres y participant, la gestion très humaine du personnel, le transfert de compétences, la mise en place de stratégies de formation etc. Au-delà de la veille autour d’un métier, ces magazines permettent d’avoir une vision globale de l’environnement professionnel des secteurs en lien avec mes intérêts et aspirations.
Des choix de métiers. Tout d’abord, je citerais LinkedIn. Ce réseau, riche en offres d’emploi souvent pertinentes, propose parmi elles des métiers peu connus ou trop récents pour l’être. Cette mine d’informations permet d’entrevoir de nouvelles possibilités professionnelles qui conduisent à des recherches plus poussées pour bien comprendre les missions et objectifs du métier en question. Ces recherches peuvent tout à fait rejoindre les sites de magazines cités précédemment, mais peuvent également permettre de découvrir de nouvelles sources pertinentes. Enfin, la méthode que j’utilise le plus en termes de veille métier est assez classique. Je fais une recherche globale sur les métiers du management entre les différents pays, en ayant une attention particulière sur la fiabilité de mes sources bien sûr. Je prends les informations qui me paraissent pertinentes et importantes selon moi de différentes sources, différents médias et magazines. J’attache une importance particulière aux différences de management selon les pays. Comment les métiers s’adaptent-ils à la culture locale ? En reprenant l’exemple du “Change Manager”, on se rend compte, par le biais de différentes sources françaises et anglophones, que ce métier n’est pas perçu de la même manière. Cet écart est fonction des cultures, les “sources” ne décrivent pas le métier de façon similaire, simplement parce qu’il n’est pas le même de par la différence culturelle. Je tiens compte de cet aspect lors de mes recherches car il prend une place importante dans mon projet professionnel à venir. En effet, comme j’ai pu le souligner dans un article dédié à mes aspirations futures, je souhaite évoluer professionnellement dans un autre pays que la France afin de comprendre et d’adapter mon métier en fonction de mon environnement. Cette ouverture d’esprit que ce projet m’apportera me permettra d’affiner mes envies d’évolution de carrière.
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L'audace réussit à ceux qui savent profiter des occasions.
Marcel Proust
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En résumé...
Quoi de mieux que mon CV pour comprendre en un coup d’oeil mon parcours professionnel ?
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Et la suite ?
Dans cet article, je vais essayer de mettre en lumière mes ambitions futures et mes intentions d’avenir. Comment j’imagine la finalisation de mes études ? Dans quelle direction je souhaite orienter mes projets professionnels ? Et personnels ? Au-delà d’un métier, quelle sont mes aspirations ? Autant de questions que je vais tenter d’éclaircir tout au long de cet article. Mais d’abord, établissons une rapide rétrospective de mon parcours académique et professionnel.
Mes expériences professionnelles réalisées jusqu’à présent sont marquées par la gestion de projets et le management d’équipe. J’ai eu la chance d’obtenir des postes à responsabilités qui m’ont beaucoup appris sur moi-même d’abord, mais surtout sur la voie que je souhaite suivre. De par les postes occupés et les différents secteurs découverts, je cible aujourd’hui ce qui me plaît. Attirée par la gestion d’équipe, j’ai développé une réelle appétence pour le management. Celle-ci s’est révélée lors de mon stage au sein des Admissibles à l’ESC Clermont Business School, mais aussi en parallèle au BDE. Elle s’est confirmée un peu plus à chacune de mes expériences par la suite. Mise à part l’aspect managérial, j’ai également développé des compétences plus techniques liées au domaine de la communication, observant de près les codes et l’organisation que ce domaine exige.
En mêlant mes acquis découlant de mes expériences ainsi que mes désirs d’avenir, j’oriente mes recherches d’alternance vers des postes de management, de gestion de projets, tout en ouvrant mes horizons sur des aspects tels que les Ressources Humaines ou encore l’Événementiel. Par ailleurs, j’ai choisi d’évoluer au sein de la spécialisation Digital Design Manager qui, je pense, pourra me permettre d’acquérir de nouvelles compétences liées au monde du design pour lequel j’ai développé une attirance lors de mon stage chez Hungry and Foolish. Cette spécialisation, qui s’écarte de ma ligne conductrice, me permettrait de compléter ma formation grâce à ces nouvelles compétences plus techniques. De plus, l’Atelier/Concours proposé dans ce cadre m’attire tout particulièrement. Il me semble formateur quant à la réalisation d’un projet d’équipe mêlant toutes les notions indispensables que doit gérer un manager, de la conception à la commercialisation d’un produit, en passant par le design et la stratégie.
Quel avenir après le Master Grande École ? Au-delà d’un métier, quelles sont mes aspirations personnelles ? Comme j’ai pu l’évoquer à plusieurs reprises dans des articles précédents, mes choix de métiers ou de secteurs ne sont pas encore tout à fait définis et restent incertains. En effet, je ne cible pas un secteur particulier et les postes qui m’attirent sont larges. Cependant, je souhaite axer ma carrière sur des métiers en lien avec le management d’équipe et la gestion de projets, tout en restant à l’écoute des opportunités. Aussi, il est évident pour moi de choisir un métier et un secteur qui correspondent à mes valeurs tournées vers l’Humain. Le choix d’une entreprise affirmant une conscience environnementale et écologique apparait comme évident. Ces enjeux sont devenus majeurs dans notre société actuelle et me tiennent particulièrement à coeur.
En plus de mes valeurs et convictions personnelles, je souhaiterais incorporer la mobilité à mon parcours professionnel. Mon échange universitaire m’a beaucoup marqué et m’a laissé un goût d’inachevé. Aujourd’hui, j’ai pour projet de partir vivre dans ce beau pays qu’est le Canada, ma terre d’accueil. Mon objectif est de (re) découvrir cette culture et cette population où les valeurs correspondent aux miennes : l’Humain bien sûr, mais aussi l’ambition. En effet, le système canadien basé sur la méritocratie permet aux plus travailleurs d’évoluer rapidement dans une entreprise. Ce système favorise donc l’effort et la rigueur, qualités qui retiennent mon attention et que je souhaite partager aujourd’hui. Comme je l’ai déjà évoqué dans l’article s’y référent, je souhaite réaliser ce rêve de conjuguer découverte professionnelle et personnelle grâce au PVT (Programme Vacances-Travail). Ce visa me permettra d’atteindre plusieurs de mes objectifs. D’abord, ajouter le côté international à ma carrière professionnelle, qui pourra m’ouvrir à de belles opportunités en plus de la création d’un réseau important. Ensuite, l’amélioration de mon niveau d’anglais grâce aux avantages qu’offre un pays bilingue tel que le Canada. Enfin, je parlerais d’épanouissement personnel que procurent les voyages et les découvertes culturelles. A mon sens, ce sont elles qui nous enrichissent et qui nous façonnent à devenir ce que l’on est. Là est mon objectif principal : m’imprégner des valeurs positives insufflées par ce pays qui pourront par la suite m’aider à grandir dans le monde du travail.
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Hungry and Foolish.
Comme précisé dans l’article précédent, je cherchais un stage en gestion de projet, ouverte à des secteurs différents. J’ai trouvé l’offre de l’entreprise Hungry and Foolish sur JobTeaser qui correspondait à mes attentes quant aux contenus des missions présentées. Plusieurs aspects m’ont attiré dans leur proposition de stage, notamment la promesse d’un travail formateur et diversifié, conjuguant organisation et rigueur.
J’ai intégré l’équipe Hungry and Foolish le 9 septembre 2019. Située boulevard Haussmann à Paris, cette agence de communication indépendante a été créée en 2006. Avec une identité graphique très marquée, elle prône des valeurs tranchées et assumées : l’humain d’abord et la préférence du story-doing au story-telling. Comptant quelques dizaines de collaborateurs, cette PME dégage une croissance forte au fil des années.
Durant mes six mois de stage, plusieurs missions m’ont été confiées: - La participation au suivi des projets (on et off line) pour différents clients de l’agence. - La coordination des équipes en interne et en externe (prestataires). - Le suivi de production et la garantie de la qualité des livrables, du respect des délais et du budget. - La rédaction des documents nécessaires à la bonne conduite des projets : briefs, cahiers de charges, rétro plannings, compte-rendu etc. - La veille sectorielle sur les tendances de communication et les nouveaux usages.
La complémentarité de ces missions m’a permis de renforcer des compétences techniques comme la maîtrise complète du Pack Office, mais pas seulement. En effet, j’ai pu découvrir et comprendre les outils utilisés par l’équipe créative (suite Adobe), auxquels je m’intéresse aujourd’hui. Également (et surtout), j’ai perfectionné mes capacités rédactionnelles grâce aux divers documents réalisés et aux conseils prodigués par des collègues bienveillants. Quant aux qualités, j’ai pu développer mon sens de l’organisation, de la planification, et surtout de l’anticipation, aptitudes indispensables dans ce métier. J’ajouterais à cela la prise d’initiatives et l’autonomie, caractéristiques valorisantes et valorisées dans le cadre d’un stage.
Néanmoins, j’ai rencontré quelques difficultés (très peu) durant ces six mois. Je parlerais d’abord du secteur nouveau pour moi qui requiert certaines connaissances liées au design que je ne maîtrisais pas. J’ai dû me familiariser avec les termes techniques utilisés par l’équipe créative et m’adapter à ce nouveau langage, que j’ai apprécié avec le temps. Ensuite, il n’était pas toujours évident de savoir jusqu’à quel point pouvait aller mes prises d’initiatives, notamment sur des projets sur lesquels je n’étais pas totalement à l’aise. Cependant, ma manager a su me guider et sa confiance qu’elle a placé en moi m’a permis de travailler en autonomie au cours des projets qui m’étaient affectés.
Les difficultés n’étaient que minimes comparées à tous les aspects positifs que m’a apporté ce stage. De façon globale, le poste de gestion de projet a répondu à mes attentes. En effet, les missions présentées concordaient avec la réalité et m’ont conforté dans mon choix initial. De cette fonction, je retiens notamment la notion d’organisation qui a été le fil conducteur de chaque mission réalisée. Cette organisation résulte notamment de la priorisation des tâches mais aussi de la gestion : gestion du temps, gestion du stress, gestion des plannings, gestion des délais de livraison des supports.
Pour finir, je dirais que cette expérience a été très formatrice et m’a beaucoup apporté en termes de compétences et ce notamment grâce à l’accompagnement de ma manager. Elle a été de bon conseil tout au long de mon stage et a su m’expliquer avec clarté les objectifs de mes missions ainsi que les éléments techniques indispensables permettant de les atteindre. Sa façon de manager son équipe m’a beaucoup inspiré. Son calme, ses discours toujours clairs et précis ainsi que l’engagement personnel qu’elle consacre aux nombreux projets m’ont donné une motivation sans faille même face aux obstacles. Elle est, selon moi, juste dans ses partis-pris et confie sa confiance de façon équilibrée ce qui m’a permis de mener à bien toutes mes missions. Cela s’est notamment vérifié par le biais de mon évaluation de fin de stage où ma manger n’a pas lésiné sur les éloges à mon égard, ce qui a nourrit ma motivation quant à la suite de mon parcours professionnel.
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Mon stage de fin de Master 1 : retour chez Superdry.
Suite à mon retour du Canada, je devais réaliser un stage de trois mois pour conclure mon année de Master 1. Les difficultés liées aux recherches de stage à l’étranger ainsi que mes doutes quant à mon avenir professionnel m’ont conduit à réaliser mon stage chez Superdry. Pour rappel, j’ai évolué dans cette entreprise depuis mon premier stage en 2015. J’ai volontairement décidé d’effectuer mon stage dans cette enseigne pour plusieurs raisons. D’abord (et surtout) pour des raisons financières. Ensuite, je savais que mes responsabilités seraient encore plus élevées et conduisaient à un poste polyvalent, incorporant des missions managériales.
Ayant déjà expliquées mes missions ainsi que les compétences et qualités qu’elles m’ont apporté dans un article dédié, je ne vais pas re-détailler cette partie-là. Cependant, cette dernière intervention chez Superdry m’a permis de prendre du recul quant à la suite de mes études. Elle a engendré une réflexion et m’a permis de peaufiner mes projets futurs. J’ai donc décidé de réaliser une année de césure qui me permettrait de gagner en expériences professionnelles grâce à des stages formateurs tournés sur la gestion de projet dans un premier temps.
Pour résumer, mon stage de fin de Master 1 ne m’a pas apporté de nouvelles compétences, mais m’a permis de mieux définir mon projet professionnel et m’a aidé à construire des projets d’avenir plus clairs. L’année de césure sera la continuité de cette voie.
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Mon échange universitaire à Moncton (Canada).
L’ESC Clermont Business School offre la possibilité d’effectuer un semestre dans une université partenaire, et ce dans de nombreux pays. J’ai souhaité saisir cette opportunité pour plusieurs raisons : pour la découverte d’une nouvelle culture, pour le dépaysement, pour améliorer mon niveau d’anglais et pour mon épanouissement personnel. Mon choix s’est naturellement porté sur le Canada. En effet, j’affectionne ce pays et sa culture depuis mon plus jeune âge. De plus, mon niveau d’anglais ne me permettait pas d’accéder à des universités anglophones, mais seulement à l’Université de Moncton (New-Brunswick) qui est la seule université francophone partenaire avec l’ESC Clermont BS. J’ai donc réalisé mon semestre 2 de mon Master 1 à l’Université de Moncton entre janvier et mai 2019.
D’abord, je parlerai du choix des enseignements. Le système canadien diffère du nôtre sur ce point-là. En effet, nous n’avons que cinq modules par semestre que nous devons choisir. J’ai ciblé mes cours sur les aspects marketing, communication et management. Durant ceux-ci, j’ai beaucoup apprécié le modèle pédagogique basé sur la participation active des étudiants. Les thèmes des dossiers restent relativement libres afin de laisser les élèves choisir des sujets qui les intéressent pleinement. Des ateliers sont également prévus pendant les heures de cours ce qui nous implique davantage et nous aide à lier la théorie à la pratique. J’ai jugé ce système pertinent de par ses aspects concrets qui nous permettent d’avoir une vision plus claire de ce que la théorie peut apporter au monde du travail. De plus, le fait de n’avoir que cinq modules durant le semestre permet de se concentrer pleinement dessus, sans mettre de côté certains cours par manque de temps. Les objectifs pédagogiques sont ainsi plus faciles à atteindre en plus de l’acquisition des compétences. Celles-ci sont en effet moins ancrées lorsque l’étudiant doit mener de front une dizaine de modules. J’ajouterais que la proximité et l’investissement des professeurs sont très appréciables et permettent aux étudiants de se sentir soutenus et écoutés. Cette relation presque familiale, d’égal à égal, n’enlève en rien le respect envers les enseignants, bien au contraire. En plus de la qualité des cours, j’ai beaucoup apprécié le rythme canadien. Le volume horaire de quinze heures par semaine condensé du lundi au jeudi permet à l’étudiant de se concentrer sur les cinq modules et laisse plus de temps pour la réalisation du travail personnel. Le système canadien décrit ci-dessus combine de nombreux avantages déjà cités et est, selon moi, plus stimulant et valorisant que le système français. J’ai pu développer des compétences bien plus approfondies et une certaine expertise dans les domaines que j’ai choisis. Ce système m’a également permis d’éclaircir mes idées quant à mon avenir professionnel et m’oriente aujourd’hui vers des métiers où le management et la gestion d’équipe reste une priorité.
En plus de mes acquis académiques, mon échange universitaire m’a fait grandir et m’a beaucoup appris sur le plan personnel. Dans ce pays, j’ai pu apprécier de belles valeurs qui me correspondent et que je partage : le respect, la confiance et la solidarité. En effet, la gentillesse et la bienveillance des canadiens m’ont beaucoup touché et m’ont conduit à prendre la même direction. Grâce à eux, je pense avoir gagné en ouverture d’esprit.
J’ai également eu la chance de découvrir la diversité des paysages qu’offre le Canada (et les États-Unis) au cours de week-end prolongés et vacances scolaires. De l’immensité des canyons américains aux grandes villes canadiennes (et surtout québécoises), j’ai partagé des moments inoubliables qui auront marqué cette année 2019.
Au-delà de la découverte d’un nouveau système pédagogique, des valeurs et des paysages, j’ai rencontré des personnes extraordinaires qui m’ont accompagné tout au long de cet échange. Des rencontres devenues des amitiés fortes et durables, qui sont aujourd’hui des partenaires de voyages. Ces quelques mois passés à Moncton m’ont permis de comprendre ce que je souhaitais sur le long terme, à savoir vivre l’expérience du Grand Nord Canadien de façon durable. En effet, à la fin de mon Master 2, j’ai pour projet de réaliser un PVT (Programme Vacances-Travail) qui me permettrait de m’épanouir dans un pays dont les coutumes et valeurs me correspondent, tout en axant mon début de carrière sur l’aspect international. Cet accord entre la France et le Canada permet de lier travail et découverte (au sens large du terme), tout en constituant un réseau cosmopolite intéressant. Ce projet me tient à coeur et peut offrir des opportunités de carrière fascinantes.
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Le BDE, une expérience enrichissante.
Le 5 mars 2018, la liste ESC’Squad était élue nouveau BDE de l’ESC Clermont Business School. Le président de notre BDE, Edgar FELLA, m’avait sollicité dès le début de l’année scolaire pour intégrer la liste. Après réflexion, j’ai accepté d’y participer en tant que support, ne souhaitant pas être active pendant les campagnes.
Suite à notre victoire, j’ai accepté le poste de responsable de la boutique qu’Edgar me proposait. Ce poste générait de nombreux avantages : l’autonomie dans le travail, la construction d’un plan d’action et de communication ainsi que le management d’une équipe que j’ai pu composer. La gestion de la boutique n’était pas facile, notamment à cause du manque d’effectif crucial. En effet, nous n’étions que quatre pour redonner vie à cette boutique et donc réaliser toutes les tâches nécessaires à la réussite de cette mission : - trouver un prestataire qui correspondait à nos attentes et à nos besoins ; - définir des gammes de produits (modèles, couleurs, tailles, quantité...) en tenant compte des éléments de charte de l’école ; - travailler le logo avec l’équipe communication/graphisme ; - négocier les éléments de production avec notre prestataire ; - réception des commandes et achats d’éléments nécessaires au bon fonctionnement de la boutique ; - organisation d’un shooting photo et autres supports de communication pour promouvoir la nouvelle collection ; - vente des produits ; - gestion de la trésorerie ; - mise en avant de la boutique durant les événements associatifs.
Toutes ces tâches devaient être anticipées et organisées entre les membres de l’équipe pour atteindre notre objectif principal de faire revivre la boutique. Nous pensons avoir relevé ce défi malgré le manque de temps et de moyens. Tout au long de cette mission, j’ai aimé le côté organisationnel tout en respectant les délais ainsi que le management d’équipe. Mais l’équipe boutique n’a pas été la seule que j’ai dû manager.
En effet, le président m’a confié la responsabilité de l’organisation du Gala de Noël. Ravie de cette confiance accordée, j’ai pris mon rôle très à coeur. D’abord, il a fallu définir l’équipe qui travaillerait sur cet événement. Je pense que cette étape relevant du domaine du recrutement est fondamentale car elle définit le bon (ou le mauvais) déroulement du projet, que ce soit avant, pendant et après l’événement. J’ai donc pris le soin de choisir les 14 personnes que j’estime les plus impliquées, rigoureuses et organisées dans cette équipe. Nous avons pris le temps de réaliser un rétro-planning ensemble où chacun avait connaissance des tâches bien distinctes, tenant compte des compétences individuelles et collectives, des délais et des priorités. Également, et dans le but d’avoir une meilleure visibilité du déroulement de l’événement, nous avons travaillé sur un fil rouge qui nous a aidé à n’oublier aucun élément durant l’organisation. Durant le Gala, les imprévus se sont enchaînés mais la cohésion d’équipe nous a permis d’y faire face et de trouver des solutions dans l’urgence. La soirée a finalement eu beaucoup de succès et nous avons reçu de nombreux compliments et remerciements de la part des étudiants mais aussi des professeurs et membres de l’administration présents.
En dehors de mes deux postes à responsabilité, j’apportais mon soutien sur les autres événements, notamment pendant le Week-End d’Intégration. En plus de ce soutien, j’avais également un rôle de conseil auprès d’Edgar, qui a porté ce projet à bout de bras. L’entraide et la complémentarité ont été des atouts majeurs dans la réussite de ce week-end fortement félicité par la suite.
Tout au long de mon mandat, j’ai apprécié la confiance mutuelle avec les membres du BDE, mais surtout avec le président que j’admire beaucoup dans son rôle de manager. En effet, il est juste dans ses décisions et sa manière de guider ses équipes. Il accorde sa confiance en définissant des responsables sur chaque projet et en les laissant gérer en pleine autonomie, tout en restant à l’écoute. Collaborer avec un manager qui prend soin de son équipe est un réel plaisir et a poussé chacun d’entre nous à se dépasser.
Pour finir, je parlerais des objectifs personnels et des valeurs que prônaient notre BDE. Des valeurs tournées vers l’Humain d’abord créant ainsi un esprit de famille qui restera ancrée. La solidarité également a été une qualité dominante durant ce mandat et nous a permis de nous améliorer en nous nourrissant des connaissances et compétences de chacun, créant ainsi une complémentarité. Enfin, je parlerais d’ambition, qui a été le vecteur de tous nos projets et qui a permis de laisser un souvenir positif dans l’esprit des étudiants grâce à la qualité de nos événements et à notre engagement d’amélioration de la vie étudiante envers chaque acteur de l’école. Le BDE m’a beaucoup apporté et m’a permis de développer des compétences professionnelles dans les domaines suivants : l’événementiel, la communication, la vente, les achats et surtout le management d’équipe. Ce dernier aspect m’a conforté dans mes choix d’études et me permet aujourd’hui de dessiner mon avenir avec plus de précision.
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Mon premier poste de manager : le stage des Admissibles.
Mon stage au sein des Admissibles à l’ESC Clermont Business School a eu lieu entre fin mai et début juillet 2018 (un mois et demi), mais nous avions commencé à effectuer toute la préparation en amont les jeudis après-midi depuis le mois de mars 2018, afin que tout soit en place pour le début de notre stage. Recruté par Alexandre Biesse, j’avais postulé pour une raison principale : l’accès à un poste de manager. Lors de l’entretien, j’avais donc montré ma volonté de devenir manager de l’équipe Admissibles en citant mes expériences passées dans ce domaine. La promesse d’un travail en autonomie m’a d’autant plus motivé à intégrer ce stage. L’accès à ce poste avec ce niveau de responsabilités n’aurait pas été possible dans une entreprise lambda. Suite à cet entretien, j’ai été sélectionnée pour occuper l’un des deux postes de manager.
Pour bien comprendre la suite, il est important de noter que notre équipe, composée de 19 personnes, était divisée en trois pôles : - le pôle logistique ; - le pôle commercial ; - le pôle communication.
Durant ce stage, j’avais deux casquettes : manager de l’équipe Admissibles et Admisseur.
Mon rôle en tant qu’Admisseur. Attirée par l’aspect organisationnel, j’ai souhaité intégrer le pôle logistique dont les missions principales étaient la gestion des stocks, des transports, des hébergements, des repas et des achats. De nombreuses modifications ont été effectuées au sein de l’école pour répondre au thème choisi. La difficulté était d’opérer à toutes ces modifications en quatre jours seulement. Cela nous a demandé beaucoup d’organisation passant surtout par le partage des tâches. A l’arrivée des premiers candidats, nous nous sommes vite aperçus que l’aspect logistique allait être déterminant quant au bon déroulement de la période Admissibles. J’ai contribué à toutes ces tâches mais ma mission principale durant ce stage était l’encadrement du pôle logistique en termes d’organisation et de management.
Mon rôle en tant que manager. Afin de gérer au mieux l’équipe, nous nous sommes partagé les pôles avec l’autre manager. Il chapeautait les pôles commercial et communication (celui-ci étant géré également en interne car particulier). De mon côté, j’encadrais le pôle logistique. Mes missions étaient donc l’encadrement, l’accompagnement de mon équipe, mais surtout l’écoute des difficultés, des problématiques et la mise en place de solutions. Selon moi, un manager doit savoir écouter son équipe, la rassurer mais surtout lui faire confiance dans la mise en oeuvre des missions. Cela permet de gagner du temps tout en faisait ressortir l’implication des membres de l’équipe qui se sentent ainsi considérés et qui s’investissent donc davantage. J’ai tenté d’être le plus clair possible en mettant en place des débriefs chaque matin pour orchestrer la journée du mieux possible tout en tenant compte des remarques individuelles afin d’améliorer le déroulement des tâches petit à petit.
Durant toute la période de stage, j’ai affronté plusieurs difficultés. D’abord, et très vite, le second manager s’est aperçu que ce rôle ne lui correspondait pas et ne l’a pas assumé jusqu’au bout. Je suis donc rapidement devenu le manager référent de l’équipe Admissibles. La gestion de l’intégralité de l’équipe a été très difficile notamment car certains membres n’ont pas compris et accepté leur changement de manager. J’ai donc eu beaucoup de mal à m’imposer en tant que tel, mais aussi à me sentir légitime auprès d’eux. De plus, il faut savoir que nous étions tous très proches (en grande majorité) en dehors du cadre professionnel. Le fait de manager mes amis a constitué une de mes difficultés principales. En effet, séparer l’aspect personnel de l’engagement professionnel n’est pas évident, ni pour moi, ni pour les membres de mon équipe. Aujourd’hui, je pense que cet obstacle est celui que j’ai le moins bien géré. Par ailleurs, la fatigue, la charge de travail très importante et le volume horaire presque indécent ont été le nerf de la guerre pour chacun d’entre nous. Cela nous a rendu irritable, plus susceptible et les tensions ont été de plus en plus fortes chaque jour. En parallèle, je devais également faire face à la gestion du sous-effectif important. Il a fallu ruser sur la répartition des tâches qui n’était pas toujours bien acceptée. Les difficultés ont donc été nombreuses mais nous avons réussi à les dépasser grâce à la cohésion d’équipe, à notre solidarité et à la dynamique que nous avions instaurée ensemble dès le début de notre collaboration. Selon moi, ces aspects sont un facteur clé de réussite d’un projet de cette envergure, et permettent d’aller au-delà des difficultés.
Avec du recul, je pense avoir pris les choses trop à coeur ce qui m’a empêché de trouver les solutions facilement. Également, je pense avoir été trop directive dans ma façon de manager les équipes ce qui a sans doute créé des blocages chez certains membres qui se sont désinvestis au fur et à mesure. Aujourd’hui, je pense avoir mieux compris quel sens je souhaiterais donner à mes tendances managériales. D’abord, l’adaptabilité en fonction des personnalités de chacun. Ensuite, laisser plus d’autonomie, réussir à déléguer plus facilement et donner ma confiance plus rapidement afin que celle-ci soit réciproque. Enfin, être encore plus à l’écoute des difficultés, et laisser l’équipe prendre la décision de la marche à suivre pour y palier.
Malgré les difficultés rencontrées, j’ai beaucoup aimé le rôle de manager d’équipe. Il m’a permis de faire preuve de leadership et m’a beaucoup appris sur moi-même. Ce stage m’a fait comprendre l’importance de la communication interne et de la confiance mutuelle. Également, j’ai pu développer mon sens de l’organisation grâce à la gestion du sous-effectif, l’élaboration de plannings précis et la répartition des tâches en fonction des compétences et appétences de chacun. J’ai tenté au mieux de transmettre mes valeurs qui conjuguent solidarité, esprit d’équipe et collaboration.
Grâce à toutes ces qualités acquises durant ce stage, je pense avoir beaucoup appris sur le style de management que je souhaite adopter. Cette expérience riche et formatrice a confirmé mon appétence pour le management qui devient une ligne essentielle pour mon développement professionnel.
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Retour sur mon parcours à l’ESC Clermont Business School...
Au début de ma formation en MGE1, je possédais des compétences plutôt formelles acquises durant mon DUT GEA. Pour rappel, ces dernières étaient ciblées sur la comptabilité, la fiscalité, le marketing, la communication et la gestion d’entreprise de manière générale. Au fur et à mesure de cette première année, j’ai pu consolider ces compétences et les approfondir grâce aux enseignements dispensés à l’ESC Clermont BS. J’ai notamment progressé sur les notions de Ressources Humaines et de techniques de vente. Également, notre promotion a organisé le TEDxESCClermont (seconde édition). Cette initiative m’a permis de travailler en équipe sur un projet à grande échelle et a développé en moi de nouvelles compétences comme la prise de parole en public notamment.
Durant cette année, j’ai également eu l’occasion d’intégrer une association, remplissant ainsi un de mes objectifs que je m’étais fixé. Cette association, c’est Go2C. D’abord, elle m’a permis de rencontrer de nouvelles personnes, aujourd’hui des amis, ayant l’envie de s’investir dans l’école. Grâce aux divers déplacements qu’impliquent les missions, j’ai eu l’occasion de découvrir certaines villes de France, mais surtout d’intégrer des appétences commerciales grâce à l’activité de promotion de l’ESC Clermont BS sur des forums et salons. Grâce à mon implication au sein de Go2C, j’ai pu accéder au poste de manager du staff Admissibles, premier stage de ma formation.
A la fin de cette première année, j’ai donc renforcé mes compétences formelles en y ajoutant des notions supplémentaires qui ont complété mes acquis. J’ai également beaucoup appris sur le plan personnel et développé une appétence pour le management grâce à mon stage. Celui-ci m’a apporté l’expérience que j’attendais et sera détaillé dans un article dédié.
Ma seconde année au sein de l’ESC Clermont Business School aura été la plus riche pour moi en termes d’expériences, de difficultés mais aussi de moments inoubliables. En effet, je commencerais par évoquer mon mandat au sein du BDE ESC’Squad. Je juge cette expérience comme étant la plus formatrice jusqu’à présent. Là encore, cette dernière mérite un article dédié qui permettra de bien comprendre les compétences acquises mais surtout les apports personnels que j’en ai tiré. Cependant, la grande difficulté d’être actif dans une association telle que le BDE, c’est le manque de temps. En effet, l’équilibre entre enseignements académiques et vie associative est très difficile à gérer et demande beaucoup d’organisation, d’anticipation et demande parfois des sacrifices, d’un côté comme de l’autre. En parallèle, je devais également préparer mon départ pour Moncton, programmé début janvier. Le premier semestre de l’année MGE2 a donc été riche et intense. Encore une fois, je consacrerai un article complet sur mon échange universitaire.
Actuellement en année de césure, je profite de cette coupure pour réaliser des stages formateurs dans le but de développer des compétences plus formelles et ainsi compléter mon bagage universitaire. Comme je l’ai déjà évoqué, je profite aussi de mon temps personnel pour travailler mon niveau d’anglais et ainsi m’enrichir de nouvelles connaissances.
Pour finir, je dirais que l’acquisition de mes compétences formelles a plutôt eu lieu en MGE1 et année de césure. A l’inverse, mes expériences personnelles, le développement de certaines qualités et compétences informelles se sont révélés durant mon année de MGE2. Je compte sur ma dernière année (MGE3) pour faire le lien entre tous ces acquis grâce à un cursus en alternance.
Ne pouvant pas détailler en un seul article toute l’acquisition des compétences découlant directement de mes expériences professionnelles et personnelles, je vous invite à lire la suite de mes articles qui mettront en lumière ce que j’ai appris au cours de ces derniers mois.
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Mes objectifs.
J’ai intégré le programme “Master Grande École” de l’ESC Clermont Business School en septembre 2017. Les objectifs de cette formation sont multiples, mais on retient surtout leur diversité. L’accompagnement et la réussite des étudiants par la qualité des enseignements sont évidemment une priorité. Un des objectifs majeurs est également notre insertion professionnelle au meilleur niveau en France et à l’international. On note également l’importance de la vie associative qui contribue très largement à notre épanouissement, personnel bien sûr, mais aussi professionnel grâce aux qualités et valeurs qu’elle inculque.
Focus sur mes objectifs. J’ai fixé mes objectifs au fur et à mesure de mon parcours. Certains étaient déterminés avant de rejoindre le programme, comme l’intégration d’une association durant ma formation, une année an alternance, et surtout un dossier solide dont je pourrais être fière. Tous ces objectifs ont été remplis ou sont amenés à le devenir. En effet (et jusqu’ici), mon dossier correspond à ce que j’avais espéré. Mais surtout, j’ai pu intégrer deux associations, Go2c et le BDE qui m’ont apporté des expériences que je retiendrai, tant elles m’ont appris sur moi-même. Je reviendrai sur ce point important dans des articles dédiés. Concernant mon alternance, je suis actuellement concentrée sur les recherches afin de trouver une entreprise dont les valeurs correspondent aux miennes, ainsi qu’un poste qui pourrait m’offrir de belles opportunités par la suite.
Dès le premier semestre passé à l’ESC Clermont BS, j’ai décidé de partir en échange universitaire afin de perfectionner mon anglais, mais surtout de vivre une expérience unique. Cet échange amenait donc à un double objectif. En effet, la découverte d’une nouvelle culture, d’un système pédagogique différent du nôtre ainsi que l’adaptabilité à un nouveau pays m’ont particulièrement marqué dans le bon sens du terme. Cependant, mon objectif de progression en anglais n’a pas été atteint, dû notamment à des cours exclusivement francophones. J’ai tout de même noté une amélioration grâce à mes divers voyages durant mon échange (Canada anglophone et États-Unis) qui m’ont poussé à parler uniquement en anglais, mais cela n’a pas été suffisant pour atteindre le niveau que j’avais espéré.
Depuis mon retour du Canada, je me suis donc concentrée sur mon niveau d’anglais. Je n’ai malheureusement pas trouvé dans les enseignements dispensés à l’école une pédagogie qui me convenait. Cependant, je continue à travailler cette langue en prenant des cours particuliers qui me permettent de cibler et d’agir sur mes lacunes, mais cela reste insuffisant. A date, cet objectif de parler un anglais correct n’est toujours pas validé. J’espère cependant que mon travail payera, et que mon score TOEIC sera suffisant pour obtenir mon diplôme. Je vais redoubler d’efforts afin d’atteindre mon but final, c’est donc sur cet objectif que je suis particulièrement concentrée.
Depuis peu, je réfléchis également à la spécialisation vers laquelle je vais m’orienter pour mon Master 2. Afin de profiter un maximum des enseignements de l’école, j’aimerais combiner une spécialisation et un MSc. L’objectif ici est de réussir à mener de front ces deux spécialisations avec l’alternance, sans oublier mon projet de mémoire auquel j’attache beaucoup d’importance.
M’étant fixé de nombreux objectifs tout au long de mon parcours à l’ESC Clermont BS, j’espère atteindre des opportunités de carrière intéressantes qui me permettront d’accéder à des postes liés au management d’équipe, tout en intégrant la mobilité à mon parcours.
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Une expérience difficile, mais formatrice.
Lors de ma deuxième année en DUT GEA, j’ai effectué un stage de deux mois dans une Start-Up clermontoise, Coopaturage. Cette jeune entreprise, tout juste créée quand je l’ai intégré, avait pour objet de faciliter l’accès aux produits locaux de qualité grâce au développement des circuits courts. Finalement, l’entreprise n’a jamais vu le jour pour diverses raisons que je vais tenter d’expliquer dans cet article.
En tant que “responsable communication digitale”, j’avais pour mission la promotion des activités de la Start-Up. N’ayant aucun cadre et détail sur cette mission et en l’absence de tuteur de stage, j’ai dû redoubler d’efforts pour trouver du contenu à mon stage. Durant ces deux mois, j’ai collaboré en binôme avec une autre stagiaire. Précisons que nous étions les deux seules personnes à travailler pour l’entreprise. Nous avons opéré à des activités de Community Management dans le but de faire connaître le concept de Coopaturage. Puis, nous avons organisé des événements pour fédérer une communauté.
Dans ce contexte particulier, j’ai pu développer l’esprit d’équipe et le travail en totale autonomie. Nous avons traversé de nombreuses difficultés auxquelles il a fallu faire face : l’absence de locaux, l’absence d’écoute et de missions. Malgré ces difficultés, je pense qu’il est important de vivre de mauvaises expériences qui me paraissent tout aussi formatrices, mais de façon différente. Elles permettent d’en apprendre davantage sur notre capacité à rebondir, à prendre des décisions, et surtout à prendre du recul à l’instant T, que j’estime difficile encore aujourd’hui.
Finalement, je tire de cette expérience du positif : j’ai su prendre assez de hauteur sur la situation en faisant preuve de relativisme, faire face au manque de motivation et faire preuve de créativité dans la constitution de mes missions. J’ai également pu consolider mes compétences en termes de communication et de création de contenus.
Malgré toutes les difficultés rencontrées, cette expérience m’aura appris à ne jamais baisser les bras.
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Superdry : un premier pas dans le monde de l’entreprise.
J’ai réalisé ma première expérience professionnelle en 2015 dans l’entreprise Superdry à Clermont-Ferrand. Depuis, je collabore avec l’équipe de l’enseigne chaque année durant les périodes estivales (pour compléter les périodes de stage) et les petites vacances scolaires, notamment les périodes de fêtes où l’activité atteint son plafond.
D’abord, quelques mots sur l’entreprise. Présente à l’international, Superdry est une entreprise franchisée de prêt-à-porter féminin et masculin. De son succès grandissant, le gérant de la boutique de Clermont-Ferrand a récemment ouvert deux magasins supplémentaires dans la région : le premier à Aubière, le second à Vichy. Côté culture d’entreprise, une ambiance positive et décontractée règne dans les différentes équipes, où les principales préoccupations restent les résultats et objectifs financiers.
Zoom sur mes missions. Ma mission principale, le conseil et la vente aux clients. Elle occupe la majorité de notre temps, mais est également une priorité sur les autres tâches, puisqu’elle représente notre coeur de métier. Cette mission fait appel à des qualités relationnelles indispensables pour mener à bien une vente. C’est d’ailleurs ce qui m’a beaucoup plu dès le début : le contact avec le client, le conseil et tout le processus de vente. Les premiers contacts ne sont pas évidents et demandent un effort, mais m’ont finalement appris à prendre confiance en moi et à aller plus facilement vers les autres.
Autre mission intéressante, le merchandising qui représente des techniques de présentation des produits, visant à inciter les consommateurs à acheter. Le merchandising fait appel à un grand sens de l’observation, d’organisation et de respect des codes de présentation de la marque. Il n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît. Les codes de présentation chez Superdry sont stricts, complexes et demandent réflexion. Cette mission fait partie de celles qui m’ont le plus intéressé, notamment grâce aux qualités qu’elle demande, mentionnées ci-dessus.
J’avais également d’autres missions indispensables au bon fonctionnement de l’entreprise : l’organisation des soldes pour l’arrivée de la nouvelle collection, la gestion et le traitement des livraisons, la réorganisation des réserves en fonction des arrivages ainsi que l’encaissement des clients. Toutes ces missions demandent simplement de l’organisation et du bon sens quant à la l’ordre de priorité des tâches. Outre la gestion des livraisons - qui nous permet de découvrir les collections en avant-première - toutes ces missions ne sont pas les plus intéressantes, notamment à cause de la répétition des actions.
Après plusieurs années passées dans l’entreprise et grâce à la confiance du gérant du magasin, j’ai pu accéder au poste de responsable en remplacement de mes propres responsables durant leurs congés. Ce poste impute plus de responsabilités, un travail complet en autonomie, mais également une nouvelle mission de formation de personnel. En effet, le turnover de stagiaires et d’apprentis est important. Toutes ces personnes doivent être formées et managées. En plus de la formation, j’avais donc une mission de management d’équipe, où chaque personne avait des tâches à réaliser en fonction des besoins. C’est d’ailleurs l’aspect qui m’a le plus intéressé en combinant toutes mes missions chez Superdry. J’ai donc découvert le management d’équipe pour la première fois au sein de cette entreprise. Ce domaine a piqué ma curiosité et a orienté mes recherches de stages suivants en ce sens. Je reviendrai donc sur mon appétence pour le management plus tard.
A noter que toutes les missions décrites ci-dessus ont été évolutives en fonction des années où j’ai dû faire mes preuves pour pouvoir accéder à plus de responsabilités.
En résumé, j’ai apprécié l’évolution de mes missions et l’autonomie confiée tout au long de ces années. J’ai pu cibler les aspects qui m’ont réellement plu, à savoir le management d’équipe mais aussi le côté gestion de l’entreprise, ce qui m’a incité à m’interroger sur l’entrepreneuriat, qui devient une option envisageable pour l’avenir.
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Avant d’intégrer l’ESC Clermont Business School...
D’abord, quelques mots sur mon parcours de formation. Après avoir passé un bac STMG option gestion et finance, je me suis orientée vers un DUT GEA (Gestion des Entreprises et des Administrations) où j’ai choisi l’option Management Des Organisations en deuxième année, avant d’intégrer l’ESC Clermont Business School.
Au cours de mon DUT (2014-2017), j’ai acquis de nombreuses compétences formelles. Formation très complète, elle offre une vision à 360 degrés du monde de l’entreprise et de sa gestion. Grâce à la multiplicité et à la qualité des modules, j’ai pu assimiler des compétences telles que la comptabilité, le marketing, la communication, la fiscalité, mais surtout la gestion d’entreprise de manière générale. En effet, ces modules sont tous liés par ce dénominateur commun et nous permettent donc de mieux comprendre les différentes problématiques, qu’elles soient globales ou rattachées à un domaine d’expertise particulier.
Au-delà de ces acquis, j’ai pu découvrir la vie associative qui apporte de réelles compétences, plus informelles, mais tout aussi essentielles et formatrices. Responsable communication au sein du BDE GEA, j’ai pu mettre en pratique les conseils dispensés pendant les cours de communication, tout en les adaptant au contexte associatif. Mais cette notion n’est pas la seule que j’ai pu exercer. L’autonomie et la prise d’initiatives sont des qualités que j’ai pu très largement développer au sein de mon mandat (2015-2016). En effet, les étudiants investis au sein d’une association sont amenés à travailler sans encadrement, simplement en équipe, ce qui renforce les compétences de chacun dans ce contexte de (quasi) totale liberté.
De plus, j’ai pu mettre en corrélation mes compétences acquises dans le cadre des cours avec celles assimilées grâce à la vie associative. Je noterais notamment le travail en groupe, l’esprit d’équipe ainsi que l’organisation dans les différents projets. Ce dernier point m’a notamment amené à créer des rétro-plannings afin de réussir à concilier mes études avec ma vie associative, ce qui n’a pas toujours été évident compte tenu de la densité du programme de cette formation.
Pour finir, mes années passées en DUT m’ont permis de développer mes méthodes de travail, de pousser mes analyses plus loin pour coller aux exigences de ma formation. Aujourd’hui, j’utilise ces méthodes de travail au sein de l’ESC Clermont BS et je constate une réelle efficacité de ces dernières à la vue de mes résultats.
Toutes les qualités et compétences acquises, qu’elles soient formelles ou informelles, m’ont permis d’évoluer dans mes études mais aussi sur le plan personnel, notamment grâce à mon expérience au sein du BDE.
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Moi, en quelques mots...
Moi c’est Eloïse Fongarnand, j’ai 24 ans et je suis actuellement étudiante à l’ESC Clermont Business School. Je suis originaire de Clermont-Ferrand, belle ville du Puy-de-Dôme où j’ai vécu de nombreuses années.
D’abord, quelques mots sur ma personnalité. Dynamique, j’ai soif de découvrir et d’apprendre de nouvelles choses qui me permettent d’évoluer, que ce soit au gré de mes voyages, de mes expériences personnelles et professionnelles, ou encore lors de mes études. Le second point qui me caractérise est l’optimisme. Ce trait de ma personnalité pourrait s’apparenter à de la naïveté pour certains, mais m’a pourtant permis de dépasser des obstacles, des difficultés autant sur le plan personnel que professionnel, notamment lors de certains stages où il n’a pas toujours été évident de prendre du recul à l’instant T.
Si je devais résumer les autres traits de ma personnalité... Pour sélectionner trois points forts, je dirais que je suis quelqu’un d’organisé. Cette organisation se ressent beaucoup dans ma vie quotidienne, ce qui me permet de mener plusieurs projets en même temps ainsi qu’un gain de temps non négligeable. Cette qualité m’aide énormément lors de mes différentes expériences professionnelles. J’ai également un grand sens de l’observation qui s’avère très utile dans de nombreuses missions qui demandent de la mémorisation. Pour finir, mes proches me décrivent comme quelqu’un de sociable ce qui me permet de m’engager dans différentes organisations. Cette qualité m’a beaucoup aidé dans le cadre du BDE notamment.
Quelques points à améliorer cependant… Mon impatience ressort régulièrement lors de certains projets dans lesquels j’ai livré beaucoup d’investissement. Cependant, mes diverses expériences m’ont appris à garder une ligne conductrice, à ne pas brûler les étapes et à écouter davantage les membres de mon équipe. Ce dernier point nous amène à la difficulté suivante : la difficulté à déléguer. En effet, j’ai vécu plusieurs expériences où j’occupais des postes de management d’équipe qui m’ont conduite à déléguer des tâches, confier des missions qui demandaient parfois des responsabilités. Cette délégation n’a pas toujours été évidente, notamment à cause d’un manque de confiance et d’un sentiment de travail mal fait si ce dernier n’a pas été réalisé selon mes propres soins. Je tente donc d’apprendre des autres et d’écouter davantage les idées des différents membres de l’équipe. Pour finir sur les axes d’amélioration, je dirais que je suis susceptible. Cette faille se fait ressentir lors de désaccord au sein d’une équipe par exemple, ce qui peut freiner la prise de décision collective. Je tente également de palier ce défaut en écoutant les divers avis constructifs ce qui me permet de prendre de la hauteur sur la situation en question.
Focus sur mes valeurs. Comme mis en avant ci-dessus, le travail d’équipe compte beaucoup dans mes diverses expériences. Les relations humaines constituent selon moi les valeurs les plus importantes, et ce à tous les niveaux. Elles sont la base d’un travail d’équipe solide et durable, où la communication joue un rôle fondamental notamment dans la gestion de conflits, mais aussi pour assurer l’efficacité et la productivité d’un groupe. Liée aux relations humaines, l’empathie représente une valeur essentielle dans chaque organisation. Elle permet de mieux comprendre les comportements, mais aussi les choix de chaque individu. L’empathie engage une écoute active et permet de soulever des problématiques ou encore de déceler d’éventuels conflits encore sous-jacent. Pour finir, je parlerais d’ambition. Elle montre l’engagement, la rigueur et la volonté d’obtenir, voire de surpasser les objectifs fixés en amont, de façon individuelle ou collective. L’ambition nous permet d’aller plus loin et contribue fortement au succès d’une organisation.
Quelques mots maintenant sur mes motivations, mes centres d’intérêts. J’aborderais d’abord ma passion pour la danse. Pratiquant ce sport depuis mon plus jeune âge, il m’a permis de canaliser mon énergie, mais également de faire preuve de discipline et de rigueur. Pratiquée de façon individuelle, j’ai pu développer ma confiance en moi. Parallèlement, la danse en groupe a forgé mon esprit d’équipe, qualité indispensable pour mener à bien des projets collectifs. Au-delà de la danse, les voyages constituent l’une de mes motivations principales. Depuis peu, la découverte de nouvelles cultures me parait essentielle au développement personnel. Récemment, j’ai eu la chance de vivre quelques mois au Canada, m’immergeant ainsi dans une culture et une mentalité différentes de notre pays. Dans ce contexte, j’ai eu l’occasion de voyager encore plus, découvrant de nombreuses villes canadiennes et américaines. Pour la suite, j’aimerais obtenir des opportunités qui lie mon métier à la mobilité, pouvant ainsi concilier mes aspirations personnelles à mon avenir professionnel.
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