#chroniques de ténébreuse
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prosedumonde · 1 month ago
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Elle souffre, de manière chronique, d’inquiétudes qui la ravagent et provoquent chez elle toutes sortes de maux, migraines et douleurs d’estomac, montées de bile, accès d’agressivité ou de mauvaise humeur. Tantôt tempétueuse, agacée, tantôt glaciale ou ironique, parfois ténébreuse, ravagée. Sa mère en perd patience. La peinture est, pour elle, une conquête. Rien ni personne ne saura l’en détourner. « Puissance de l’idée fixe, se répète-t-elle après Baudelaire, puissance de l’espérance.
Dominique Bona, Berthe Morisot
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lesparaversdemillina · 2 years ago
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poesiecritique · 5 years ago
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Aux Amazones Libres de Ténébreuse et de Terre
Quelle joie ! Mais quelle joie de lire Les amazones libres, ces Chroniques de Ténébreuse, présentées par Marion Zimmer Bradley ! 
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La joie réside dans l’idée de La Guilde. La Guilde c’est le nom de l’association des ces femmes qui décident de déserter la prétendue protection que leur offrent les hommes, de renoncer, elles s’appellent aussi renonçantes, aux privilèges de leurs héritages, féminisme et communisme croisé, pas l’un sans l’autre ici. La Guilde c’est l’organisation par le travail de femmes entre elles, de lieux ressources, de liens entre elles, soeurs et mères réinventées. C’est presque un modèle de béguinage, si ce n’est que leur sexualité est libre. Ces Amazones sont libres d’aimer hommes, femmes, hommes et femmes. Libres d’entretenir des liens avec des hommes si jamais celle qui l’entretient ne s’inféode, n’accepte de s’inféoder. Libres d’enfanter, et de faire grandir leurs enfants au sein des maisons que les Amazones libres tiennent dans les différentes villes du royaume. La Guilde c’est aussi un compromis avec le pouvoir : toute forme de prosélytisme est interdit. Ne sont accueillies que celles qui déjà franchissent l’idée de rupture avec leur monde, l’idée d’être marginales car ne sont accueillies que celles qui se présentent aux portes des maisons de la Guilde. C’est le premier geste, un geste qui finalement, au fil des différentes histoires, se révèle nécessaire mais si, parfois, terriblement frustrant.   
Je n’ai pas lu les livres précédents de Bradley. Et je ne savais pas le lisant ce que j’avais entre les mains. Dans les premières pages, sous de ce qui ressemble à un chapitre, par exemple, III. Recrues, sur-titré, Comment se fonde une Maison de la Guilde, apparait un nom, ici Maureen Shannon. Ma première lecture a été de me dire que chacun de ces chapitres étaient prétenduemment écrit par différentes femmes de la Guilde, que chacune était une Amazone Libre. La joie a été immense à comprendre que les autrices, le nom des autrices n’était pas sorti de l’imagniation de Marion Zimmer Bradley (je pensais aussi, alors, aux noms dont pare ses Guérillères, Monique Wittig), compréhension surgie à la lecture,du nom de Marion Zimmer Bradley, elle-même : cette mise en abîme semblait, par rapport à la science-fantasy, ce déploiement, un univers moyen-âgeux sur une planète nommée Ténébreuse, où la science ressemble plutôt à une ma��trise para-psychique, trop. Ca semblait trop. Trop énorme. Les autrices étaient belles et bien autrices, pas personnages. Elles formaient, parmi d’autres, la Guilde. La Guilde est réelle - elle existe dans notre monde. Dans une post-face, ou une préface, Marion Zimmer Bradley déclare avoir découvert et non inventé, découvert et offert Ténébreuse aux femmes. Et ainsi, face à l’enthousiasme des femmes la lisant, MZB les a invité à leur proposer d’autres histoires de Ténébreuse et de la Guilde. Ainsi, ce qui se forme, c’est des liens de femmes en femmes, avec récurrence de personnages pafois, parfois pas, à différents âges de leurs vies, et plus important encore est la description de la complexité des liens qui peuvent entre ces femmes s’établir, hors la présence des hommes. Ni pires, ni meilleures : elles-mêmes face à elles-mêmes, dans des relations qui ne sont plus inféodées mais qui tentent justice et égalité, avec seul bémol, car il est impossible de ne pas considérer la description sociale depuis l’image miroir de la terre : l’absence du questionnement de la discrimation raciale (sur Ténébreuse, apparement, tout le monde est de la même couleur (si ce n’est ce léger renversement selon lequel les roux appartiendraient davantage à la classe dirigeante). C’est un receuil, un véritable recueil de différents textes, de différentes autrices, de différents imaginaires, cohérents entre eux, en même temps que jamais redondant, explorant des questions précises que soulèvent une telle organisation, celle de ces lois, de ces limites, de ces capacités, de ses perspectives - apaisantes, réjouissantes, vivaces : ça donne envie de se retrousser les manches et d’y aller.  Faire oeuvre commune, réellement commune, et pas seulement de papier. Ca se branche directe sur différentes expériences, récentes, de workshops d’écriture, orale ou écrite, qui sont moins des workshops pour apprendre à écrire formellement, qu’écrire et penser ensemble : rêver ensemble, et que ces rêves permettent, ouvrent des moyens d’agir, concrètement - noter, par exemple ceux faisant suite à ce qui a permis au collectif de l’Antémonde d’écrire Bâtir aussi (paru dans la collection Sorcière des éditions Cambourakis). 
Les rêves de ces femmes, Ténébreuses, Humaines, Amazones Libres, et Renonçantes, ont été écrit entre 1980 et 1991. Ce sont les premières années de ma vie. Trente ans après, il y a joie a découvrir ce livre, sans doute car j’en constate son absolue nécessité, et malgré le fait que j’en constate son absolue nécessité, preuve s’il en est que les changements sont lents, ou trop rapides mais dans un sens opposé à celui qui pourrait convenir à un ordre social que je pressens plus juste. En même temps, je suis heureuse d’avoir rencontré ces nouvelles amies, par delà le temps, et aussi l’espace, heureuse qu’elles puissent peupler mon imaginaire, autrices et personnages côtes à côtes, Kindra, Roxana Pierson, Janna, Patricia Mathews, Maureen Shannon, Margaret L. Carter, Lora, Linda Mac Kendrick, Rhoanna, Camilla, Marion Zimmer Bradley, Joan Maria Verba, Annette Rodriguez, Kelly B. Jagger, Rafaella...
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merryane-the-red-cat · 4 years ago
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Moonlit Bear -First Episode- L’Ourse du Clair de Lune
暗い クライ 森の片隅 Dans un recoin sombre très sombre de la forêt 赤い アカイ 果実を拾った J’ai trouvé des fruits rouges très rouges.
これは キット 神様からの Ces magnifiques oui splendide présents 素敵なステキナプレゼント Proviennent sûrement des Dieux.
持って帰れば喜ぶかしら? Si je les ramène avec moi connaîtrions-nous le bonheur ? 嬉しすぎて泣いちゃうかもね Je suis si heureuse que je pourrais en pleurer.
今日は 月がとてもきれいね Aujourd’hui la Lune est magnifique n’est-ce pas ? 早く ハヤク お家へ帰ろ Dépêchons dépêchons je dois rentrer à la maison.
こんな暗い夜には コワイ熊が出るから Mais en cette ténébreuse nuit une ourse effrayante est de sorti.
せっかく見つけたのよ ようやく見つけたのよ Malgré tout je les ai trouvés Après tant de peine je les ai trouvés. 誰にも ダレニモ 決して渡したりしたくない Et à personne oui à personne je ne les céderai pour quoique ce soit.
花咲く森の道 私は駆け抜ける Je cours à travers les sentiers de la forêt pavés de fleurs   赤い果実を抱えながら Serrant dans mes bras les fruits rouges. このまま帰れば 私もあの人も Si je rentre avec eux, je suis sûr que lui comme moi きっと幸せになれるはず Nous serons enfin heureux.
ところが後から 怖い顔をした Seulement je vis un effroyable visage : 熊が私を追いかける Une ourse qui me pourchassait. お願い 許してください Je t’en supplie, pardonne-moi. 見逃してください Juste laisse moi m’enfuir.
わかっていたの 本当はこの果実が Je connaissais la vérité de ces fruits ; あの熊の宝物だと Qu’ils étaient le trésor de cette ourse.
私は走る さまよい走る Mais je cours, errante je cours, この幸せは渡さない Je ne lui rendrai mon bonheur. 熊の姿は 月に照らされ La Lune éclaire la silhouette de l’ourse. 黒い影が私に迫る Une ombre noire me pourchassant.
正しい道は すでに失い J’ai d’ores et déjà perdu le bon chemin それでも走る ただただ走る Pourtant je continue de courir. Continuant juste de courir. 私は泣いて 熊も泣いてた Je pleure et l’ourse se met aussi à pleurer. 二つの果実も泣いていた Les deux fruits dans mes bras se mirent aussi à pleurer.
やっとたどり着いた 愛しの我が家 Après avoir tant couru j’ai finalement retrouvé ma chère maison 彼は優しく微笑んだけど Et lui qui me souriait gentiment ; seulement 私の抱えた 果実を見て Lorsqu’il vit ce que je serrais contre moi とても悲しい顔をしたのです Il me fit un visage si affligé.
「いいかい 僕たちの子供はもうすでに [Écoute, nous enfants ne sont hélas この世にはいないんだよ Déjà plus de ce monde. この子たちは本当の Ramène donc ces petits お母さんの元へ返してあげなさい」 Auprès de leur mère.]
いつか真実が その牙と爪で Je sentis alors les crocs et les griffes de la vérité 私自身を引き裂いても Qui me déchirèrent de toutes parts. その暖かい やさしい果実を Ces tendres et affectueux fruits どうしても欲しかったの Comment aurais-je pu ne pas les désirer ?
神様私は 許されぬ罪を Dieu ne me pardonnera jamais pour ce péché この手で犯してしまいました Que j’ai commis de mes propres mains. 「今ならやり直せる」と [Si tu le fais maintenant tout rentrera en ordre.] あの人は言うけど Il me dit mais…
「無理よ だってもう…」 [C’est inutile ! Parce que elle est… ]
家の外で横たわるは 一匹の熊(一人の女)の亡骸 Allongée en dehors de la maison n’était que le cadavre d’une ourse (corps d’une femme) 傍らには ミルクの満ちた小さなガラスの小瓶… Et tout près d’elle, était remplie de lait, une petite bouteille de verre…
https://les-chroniques-devillious.fandom.com/fr/wiki/Moonlit_Bear
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lapassiondeslivres · 3 years ago
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« À tous ceux qui rêvent d’être enlevés par le diable. Parce que nous sommes dérangés, voilà tout. Embrassez votre part d’ombre. » 
 Jaymin Eve commence son roman ainsi et J’ADORE! Dès le début, j’ai été accrochée par son histoire. Une romance paranormale surprenante, attachante, drôle et ADDICTIVE. Serez-vous comme moi, à vouloir tenter d’appeler le Diable afin de le voir en chair et en os?! Bonne lecture! 
 « -Je combattrai les ténèbres pour te garder, murmura-t-il contre ma peau. »
 Une romance paranormale PÉTILLANTE, pleine de péripéties, d’intensité et d’action. Une histoire plus qu’entraînante, elle est totalement ADDICTIVE. Un premier tome qui vous en fera voir et ressentir de toutes les couleurs. MAGNIFIQUE. 16/10
J’ai très hâte de lire la suite… Découvrirons-nous ce qu’est réellement Mera? Notre Ombre ténébreuse, où devrai-je dire Darkor…, saura-t-il la retrouver rapidement avant qu’elle ne soit (encore une fois) kidnappée ou en danger?
#Rejetée #NetGalleyFrance #Romance #ScienceFiction #Fantasy #paria #sunny #BêtedelOmbre #RayonDeSoleil #NoirdEncre #Ange #UrbanFantasy #Sexy #LoupsGarous #Dieu #RomanceParanormale #Humour #suggestiondelecture #lecturedumoment #servicepresse #chronique 
Ma chronique complète: https://www.facebook.com/LaPassionDesLivres/photos/a.1607175575976689/5576644469029760/
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lecturesdefemmes · 7 years ago
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JOUR 63 - Le Maître des illusions, Donna Tartt // Chronique de Claire Porcher
Avertissement amical : Donna Tartt ne sait pas faire un roman en moins de 700 pages. J’en connais qui vont partir en courant mais franchement, on avale ces pages à une vitesse… Et la longueur de l’ouvrage est vraiment nécessaire pour comprendre les personnages, s’y attacher, les voir évoluer. Dans Le Maître des illusions, comme dans Le Chardonneret, son dernier roman, Donna Tartt propose des personnages si fascinants et complexes qu’au bout de quelques heures de lecture, ils apparaissent dans mes rêves systématiquement… Et leur dire au revoir à la fin du roman est un déchirement.
Le narrateur, Richard, débarque de sa Californie natale pour découvrir une université du Vermont, où il intègre le cercle très fermé des étudiants en grec ancien : seulement six élèves pour un professeur. Ici, j’ai eu une pensée émue pour certains de mes camarades de khâgne, dont j’ai reconnu le goût pour l’entre-soi et aussi un peu l’arrogance… On s’attend à lire des pages entières sur le professeur charismatique, Julian, qui serait le Maître des illusions du titre et qui manipulerait ses étudiants. En fait pas du tout. Julian est un personnage finalement très secondaire, et les cinq camarades de Richard forment un ensemble dépareillé si étonnant qu’il retient toute notre attention. C’est logiquement leur mode de vie toujours ensemble, leurs relations mutuelles, entre admiration, trahison, amour et amitié qui vont être le nid du drame, voire des drames qui s’annoncent.
« J’étais désorienté par l’éclat subit de toute cette attention ; c’était comme si les personnages d’un tableau favori, absorbés par leurs propres préoccupations, s’étaient penchés hors de la toile et m’avaient parlé. La veille encore, Francis m’avait dépassé dans un couloir. L’instant où son bras avait frôlé le mien, il était devenu un être de chair et de sang, mais l’instant suivant il était redevenu une hallucination, une invention de mon imagination qui s’éloignait à grand pas sans plus faire cas de moi que les fantômes, dit-on, au cours de leurs rondes ténébreuses, ne font cas des vivants. »
Je ne veux pas en dévoiler trop mais sachez qu’il est question de mythologies oubliées, de fêtes étudiantes, de week-ends passés ivres à la campagne et de rites anciens. Donna Tartt (et on retrouve cela dans Le Chardonneret) maîtrise brillamment la description de la jeunesse : un moment de découvertes, d’acquisition de savoirs passionnants et à la fois le début de l’entreprise de destruction de son propre cerveau par l’alcool et la fête. En ressort un mélange des genres absolument délirant, entre une histoire de débauche étudiante classique et une plongée dans des mystères païens puissants et dangereux. On oscille en permanence entre la lumière, la joie du savoir, et l’obscurité des pulsions humaines : on rejoue l’opposition entre Apollon et Dionysos, la recherche de l’équilibre entre ordre et chaos… Et au passage on cherche ce qu’il y a à voir derrière la vérité, l’apparence, la réalité. Mais en se bourrant la gueule un jour sur deux quand même.
«  Et si tu n’avais jamais vu la mer de ta vie ? Et si la seule chose que tu en connaisses était un dessin d’enfant – avec des vagues au crayon bleu ? Reconnaîtrais-tu la mer si tu n’avais vu que cette image ? Serais-tu capable de reconnaître la réalité même en l’ayant sous les yeux ? Tu ne sais pas à quoi ressemble Dionysos. Nous sommes en train de parler de Dieu. Dieu, c’est sérieux. »
Mention spéciale au personnage d’Henry (qui énonce la citation ci-dessus), jeune homme particulièrement opaque, qui cherchera tout au long du roman cet équilibre instable et terminera le roman en accomplissant les règles essentielles de la tradition antique : « devoir, piété, loyauté, sacrifice ».
C’est une lecture très prenante, vraiment amusante, brillante mais nul besoin d’avoir lu tout Euripide et tout Nietzsche pour comprendre de quoi on parle et rire aux éclats de certaines scènes.
Un dernier mot à l'intention de l'éditeur : j’ai entre les mains un retirage de 2012… Et la traduction n’a manifestement pas été révisée depuis 1993. Sérieusement, Donna Tartt n’a sorti que trois romans en vingt ans et vous gardez une traduction si vieillotte que j’ai cru longtemps que l’intrigue se déroulait dans les années 1970… En plus il y a plein d’erreurs : Richard va chez Charles et Camilla, y trouve Charles et Camilla, leur demande « où est Camilla ? » et c’est Francis qui lui répond... Je vois que vous avez réédité une « édition collector » en 2014, je n’ai pas le courage d’aller vérifier la traduction mais si vous ne l’avez toujours pas révisée, appelez-moi. Je veux bien vous le faire (je prends pas cher).
Claire Porcher
Le Maître des illusions, Donna Tartt. Traduit de l'anglais par Pierre Alien. Éditions Plon, 2014. Publication originale : 1992.
Née à Greenwood, dans le Mississippi, Donna Tartt a fait ses études au Bennington College, dans le Vermont. Elle est l’auteur du Maître des illusions et du Petit Copain, qui ont été traduits dans plus de trente pays. Son dernier roman, Le Chardonneret, a reçu le Prix Pulitzer de la fiction en 2014.
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lailleursetici · 4 years ago
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https://madame.lefigaro.fr/celebrites/cinema-interview-actrice-eva-green-les-castings-sont-monstrueux-pour-les-actrices-200720-181820
Eva Green : "Les castings sont monstrueux pour les actrices"Par Richard Gianorio  •  Le 23 juillet 2020
Star paradoxale, elle véhicule malgré elle un mystère très cinématographique. À l’affiche d’une mini-série britannique, The Luminaries, l’actrice aspire également à une vie écologique dans une ferme irlandaise.
Pendant le confinement, Eva Green était à Londres, chez elle, puis en Normandie, chez sa mère. Nous la joignons par téléphone dans les Alpes, où elle se ressource, «marche et médite» («dieu habite les montagnes», assure-t-elle) avant de rallier la Toscane, où l’attend sa sœur, Joy, l’autre élément des célèbres jumelles de Marlène Jobert. Eva Green est toujours en cavale quelque part dans le monde, en Tanzanie ou au Bhoutan, où elle part seule en randonnée, ou en Nouvelle-Zélande, où elle a tourné The Luminaries, mini-série britannique sur la ruée vers l’or (bientôt diffusée en France). Fuit-elle son anxiété chronique ? Ou a-t-elle tout simplement besoin de se confronter à des émotions fortes, elle qui se dit «trop timide et réservée, excepté au cinéma» ?
Une muse discrète
Personne n’est plus discret et mystérieux que cette actrice remarquable qui tourne au compte-gouttes dans des films américains et disparaît des radars de la célébrité entre deux projets. Paradoxale, elle fait le grand écart entre des petits films indépendants et des blockbusters de Tim Burton, dont elle est la muse gothique supposée (trois films ensemble). Eva Green ne squatte pas les red carpets, n’encombre pas les front rows des défilés de mode et ne se brade sur aucun compte Instagram. Personne ne sait si elle a un boyfriend, et personne n’a envie de troubler l’apparente quiétude de sa vie privée.
C’est une actrice au physique de femme fatale à l’ancienne - courbes de pin-up et voix grave impériale -, une travailleuse obsessionnelle - elle est notoirement très douée pour les accents - et une jeune femme attendrissante, facilement effarouchée, qui vient juste d’avoir 40 ans, ce qui ne l’enchante guère. Pour Madame Figaro, elle s’est prêtée à une séance photo bucolique, à l’extrême opposé de son image de créature ténébreuse aux cheveux de jais et aux lèvres rouges. Le hasard faisant bien les choses, Eva la «green» fervente rêve désormais d’une ferme en Irlande, qui comblerait sa passion pour la nature et les animaux et qui l’éloignerait un peu des basses-cours de cinéma.
Madame Figaro. - Ces photos montrent un autre aspect de vous, lumineuse, solaire et... green... Eva Green. - Mon implication va croissant. Le réchauffement climatique et la dégradation de la planète se sont accélérés depuis mon enfance. Par ailleurs, la période de confinement a été un révélateur : de nombreuses personnes ont enfin pris conscience de la gravité de la situation. Je recommande à tous de s’informer, de lire, de se responsabiliser : diminuer les effets de serre, se concentrer sur les énergies renouvelables. Tout démarre à une petite échelle : faire de petits gestes quotidiens, renoncer à certains produits, à certains aliments, et apprendre à recycler.
À titre personnel, la nature a sur moi un effet très particulier, apaisant, salvateur même : elle m’ancre à la terre, me rend plus active, plus réaliste. Mon projet de vie à court terme : une ferme, probablement en Irlande. Ce n’est pas un caprice d’actrice, c’est une aspiration très profonde à laquelle je réfléchis depuis pas mal d’années. La permaculture est un sujet qui m’intéresse, et j’ai même dans l’idée d’élever des alpagas, car j’aime passionnément les animaux. Je réfléchis sérieusement à une entreprise qui serait à la fois écologique et rentable.
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Est ce bien compatible avec le métier d’actrice ? Avec la crise du Covid-19, on s’est bien rendu compte que tout était fragile et vulnérable, en particulier mon métier. Tout s’est arrêté, et je ne retravaillerai plus avant 2021. Le monde de demain ? J’espère me tromper, mais il me semble déjà bien chaotique. Comment rester positif quand tout semble vaciller ? Pour ma part, j’essaie de nager dans les eaux troubles et de ne pas me laisser submerger par le spleen ou la colère.
Toujours sujette a l’anxiété ? Cette fois-ci, il y a des raisons objectives d’être préoccupés. Nous sommes tous passés par une période de sidération, de paralysie, puis il a fallu relativiser. La méditation m’a beaucoup aidée. Mais, indépendamment de ces circonstances extraordinaires, je suis d’une nature inquiète, et rien ne me rassure vraiment.
Pourtant, vous n’avez pas choisi le métier le plus stabilisant... Oui, c’est la catastrophe. J’ai l’impression que lorsque je retravaillerai, j’aurai des cheveux blancs ! En ce moment, j’ai du mal à me concentrer sur mon métier. Je suis en mode «purgatoire». (Elle rit.) Et pourtant, j’ai viscéralement besoin du cinéma : le cinéma me rend vivante et me fait vaincre mes peurs. Dans la vie, je suis trouillarde et très réservée. Au cinéma, je m’active, je me prépare physiquement - comme pour Dumbo, où j’ai appris le trapèze -, je fais des recherches, je travaille les accents.
Le cinéma est-il plus intéressant que la vie, comme l’assurait Truffaut ? Oui... enfin... je me fais violence pour que ma vie soit plus intéressante. Enfant déjà, j’avais l’impression de vivre dans le rêve de quelqu’un d’autre. J’étais lunaire, j’avais la sensation de flotter. C’est la raison pour laquelle je suis si attachée à la nature : je dois absolument être reliée à la terre. C’est aussi pourquoi je fais beaucoup de sport : j’aime les efforts, transpirer. Et on ne peut pas être heureux si l’on n’est pas ancré.
Vous venez de fêter vos 40 ans... Je ne vous dirai pas que ça me fait plaisir. C’est un grand chiffre, et une grande pression pour une actrice. Les anniversaires, ce n’est pas mon truc. Je préfère célébrer ceux de ma mère.
Est-ce que vous recevez beaucoup de scripts ? Mon agent filtre : je n’ai plus envie de jouer tous ces personnages dark and beautiful, les femmes fatales, les séductrices. Hélas, il se monte de moins en moins de films intéressants, et les productions indépendantes battent de l’aile. Aujourd’hui, la créativité s’est reportée sur les séries télé.
Vous avez adhéré au mouvement MeToo. Où en est-il aujourd’hui ? Tout le monde se révolte, on entend les voix des minorités, et c’est très sain. Il faut sans cesse poursuivre les combats. J’ai l’impression que les femmes sont davantage écoutées, davantage crues, qu’il y a moins d’obstacles pour porter plainte, par exemple.
Vous-même avez été harcelée par Harvey Weinstein... Oui, mais j’ai peut-être manqué de courage, je ne fais pas partie des premières qui ont parlé. Mais on avait tellement peur ! Il était intouchable et son pouvoir était immense. Le moment venu, je me suis défendue, mais j’étais traumatisée et j’ai passé beaucoup de temps à le fuir : il fallait absolument l’éviter, et je partais en voyage dès qu’il me sollicitait. Mais c’était sans fin : plus vous lui résistiez, plus il était excité - un malade mental. Nos routes ne se sont plus croisées.
Avez-vous été victime de discrimination ? Comme femme ? Comme Française ? Je n’en ai pas l’impression, même si nous, les actrices, continuons d’être moins bien payées que les acteurs. En revanche, si l’on évoque les castings, c’est monstrueux. On est du bétail, on pleure beaucoup, c’est très violent. J’ai la chance de ne plus en faire. On me demande parfois des essais, mais dans ce cas je me filme à la maison et j’envoie un enregistrement. Dans ce métier, on est remis en question à chaque nouveau projet. Et quand on n’est pas désiré, alors on n’existe plus. C’est affreux de dépendre du désir des autres, et, franchement, on ne guérit jamais de cela. La seule solution, c’est de trouver d’autres pôles d’intérêt. D’où mon projet agricole...
Le nouveau James Bond, le dernier avec Daniel Craig, sort bientôt. La rumeur dit qu’il y est question de Vesper Lynd, la fameuse James Bond girl que vous avez jouée, grand amour de 007, morte noyée à la fin de Casino Royal ... Ah bon ? C’est mon film le plus connu. C’est un beau film, le personnage est complexe, et cela a été un tremplin important. Mais j’ai fait tellement d’autres choses depuis. Aux États-Unis, on continue de me dire «I love your movie», comme si je n’en avais tourné qu’un...
The Luminaries, de Claire McCarthy, sur BBC 2. La série bientôt diffusée en France.
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songedunenuitdete · 6 years ago
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Année de sortie : 5 avril 2019 Créée par : Roberto Aguirre-Sacasa Avec : Kiernan Shipka,  Miranda Otto, Lucy Davis, Chance Perdomo… Nationalité : Américain Genre : Fantastique, Horreur Format : 50 minutes environ Nombre de saisons : 1 saison pour l’instant Nombre d’épisodes : 9
De quoi ça parle ?
Sabrina Spellman est une adolescente presque comme les autres : Elle est née suite à la relation entre un sorcier et une mortelle, ce qui fait d’elle un hybride des deux.Elle vit dans la petite ville de Greendale, élevée par ses deux tantes paternelles, Hilda et Zelda, et fréquente le lycée de la ville avec des adolescents mortels. Un nouveau chapitre glaçant commence alors que Sabrina s’aventure un peu plus dans l’univers obscur et impitoyable de la sorcellerie.Elle va également devoir faire face à des forces maléfiques qui menacent sa famille et le monde des mortels car dans l’ombre, l’horrible Madam Satan est prête à tout pour aider Satan à recruter la jeune fille. [/box]
Notre avis
Après avoir visionné cette seconde partie de la première saison, nous avions hâte de vous donner nos impressions.
Orme : Je redoutais cette deuxième partie. En octobre, c’était bien avec l’ambiance qu’on a pendant ce mois-là. Alors voir une nouvelle partie en avril, ne m’a pas emballé. Mais les événements suivants commencent en début d’année et se finissent… on ne sait pas trop quand, en fait. Bon mes craintes ont été vite balayés, cette deuxième partie est aussi bien que la première.
Coleen : De mon côté, aucune peur, mais beaucoup d’attente de cette seconde partie ! Je voulais tellement connaître les tenants et aboutissants de Lilith, le Seigneur Obscur, le mariage de Zelda… Il y avait beaucoup à faire !
Artemissia : Pour ma part, j’attendais avec impatience et je n’avais aucune appréhension. J’avais adoré le final de la première partie et je savais que le début de la seconde allait commencer fort. Je ne suis pas déçue du tout ! quant au fait que le 31 octobre soit loin derrière moi pour visionner la série, cela m’est passé au-dessus de la tête !
Orme : La série revient avec la même idée de bousculer le patriarcat ! L’univers du coven est riche et je ne pouvais m’empêcher de sourire à chaque fois que des termes de culte chrétien étaient tournés en culte satanique. L’église de la nuit et ses pratiques se dévoilent encore.
Coleen : C’est vrai que c’est assez comique cette façon de faire ! Après j’ai du mal avec le concept de vénérer un dieu qui t’effraie autant ! Toutes les sorcières prient le Dark Lord, mais en même temps le craignent… C’est assez spécial ! Par contre j’ai beaucoup aimé la dimension apportée avec les chasseurs de sorcières… Même si à mon sens, elle a été trop peu exploitée… Dommage…
Artemissia : Mais l’Homme ne craint-il pas Dieu ? N’est-ce pas aussi pour cela que la religion sert autant de catalyseur au bas peuple tandis que ses serviteurs éclairés complotent et profitent ? C’est ce qu’il se passe dans Sabrina. J’ai aimé le fait que l’on pointe du doigt les failles de la religion.C’est grossièrement amené, certes, mais cela fait son effet. Tout comme le patriarcat qui, présenté ici, a des allures de caricature avec un Prêtre de la Nuit qui en devient risible. Tout comme tante Zelda (en passant, j’adore ce personnage joué magnifiquement par Miranda Otto) qui pensait pouvoir avoir le dessus sur son mari et qui va se retrouver sous sa coupe. La pauvre. Elle m’a fait de la peine. Sabrina également, car elle est confrontée à des choix et ces derniers sont loin d’être évident pour elle même si le spectateur ne le comprend pas au départ.
Orme : J’ai bien aimé le chapitre quatorze, notamment, j’y ai reconnu de belles lignes de violon. C’était The Phoenix de Lindsey Stirling.Cette partie dénonce plus profondément la misogynie. C’est notamment les personnages de Zelda Spellman et Miss Wardwell qui monte en puissance. Toutes deux sont prêtes à beaucoup de choses pour évoluer au sein de leur société, avoir le pouvoir et surtout ne pas le perdre !
Coleen : Cette saison, c’est le conflit de la position de la femme contre l’homme dans la société des sorcières ! La lutte des sexes dans toute sa splendeur ! J’ai beaucoup aimé les différentes figures féminines présentées ! Et j’aime particulièrement les tantines de Sabrina ! J’ai également beaucoup aimé la nouvelle Sabrina ! Plus sure d’elle (peut-être un peu trop), qui accepte les pratiques de sorcières qui ne sont pas contre sa moralité ! (on va pas aller jusqu’à manger de la chair humaine dans cette saison !)
Artemissia : Indéniablement, nous sommes dans une partie plus “féministe” avec une héroïne qui est poussée par sa féminité, mais pas que. Sabrina est le mélange de deux forces, deux cultures différentes, une sorte de Yin et de Yang assemblés en une seule âme. Elle possède les deux faces d’une même médaille. En plus de mettre les femmes en avant, elle souhaite plus que tout la tolérance et l’acceptation, que ce soit chez les sorciers, mais aussi chez les humains. Et autant dire que la partie n’est pas gagnée, car au final on se rend compte que les plus intolérants ne sont pas forcément ceux auxquelles nous pensions !
Orme :  Sabrina a changé -en outre sa nouvelle couleur de cheveux que je trouve atroce…- elle exploite davantage son potentiel de sorcière. Mais je ne la trouve pas attachante, je n’ai pas d’empathie pour elle…
Coleen : De mon côté j’ai beaucoup d’empathie pour Sabrina dans cette saison, mais également avec Miss Wardwell et mon petit cœur bas pour Nick ! Par contre, à l’inverse, je n’ai pas du tout apprécié les amis humains de Sabrina ! Je les ai trouvés trop facilement influençables, à douter constamment, non reconnaissants, voire inutiles… La couleur de cheveux de Sabrina ?! Mouais… un peu moins sympas que la première, mais j’aime beaucoup quand même 😛
Artemissia : Le problème des amis “humains ” de Sabrina c’est qu’ils ont peur et c’est bien connu, la peur rend méfiant et agressif. Étrangement, quand on se rappelle ce que Sabrina a fait à Harvey au début de la première partie, on comprend qu’elle avait raison de craindre de les perdre. Pourtant, ils étonneront et m’ont agréablement surprise à la fin de la saison. Quant à Nick, je l’aime beaucoup aussi ! C’est un personnage qui a plusieurs facettes. Tout comme Miss Wardwell/Lilith. Je l’ai adoré ici, tout comme Sabrina qui m’a fichu plus d’un frisson. Elle ose et n’a pas peur de l’ultime sacrifice pour sauver ceux qu’elle aime. Tout comme Nick.
Orme : Toutefois c’est une nouvelle vision de la sorcellerie et de la magie en général que nous proposent les réalisateurs. Il est clair que Netflix et Warner ont misé gros pour ce reboot. Le scénario est de qualité et le maquillage ainsi que les effets spéciaux sont très bien réalisés ! J’aime beaucoup la fin de la saison. S’il n’y avait pas plusieurs nouvelles intrigues, ça aurait pu être une bonne fin ouverte, mais il y a encore deux saisons avenir.
Coleen : J’aime beaucoup l’identité graphique de cette série ! Par contre, les effets spéciaux, je n’ai pas du tout adhéré ! Mais cela venait peut-être de ma télé… La fin est grandiose ! J’ai beaucoup aimé ! Même si je suis encore dans l’attente du rôle de Salem ! Alors oui, j’attends la suite avec impatience ! Même si j’ai trouvé l’annonce de la suite un peu trop facile !
Artemissia : Nous avons déjà eu ce genre de série par le passé. Pas forcément sur de la sorcellerie, mais si on compare, on pourrait dire que ce reboot de Sabrina entre dans la lignée de ce qui se faite aujourd’hui avec des comics adaptés en série à la trame sombre et ténébreuse. Elle entre dans une nouvelle ère. J’ai aimé les effets spéciaux, sauf sans doute cette impression floutée dès que l’on se retrouve devant la maison des Spellman. Dans l’ensemble, j’ai bien aimé cette deuxième partie même si certains épisodes m’ont semblé superflus (je pense notamment à celui se déroulant avec Miss Wardwell déguisée en voyante). Harvey m’a agacé durant tout le long sauf à la fin ou, enfin, je le trouve intéressant. Il était temps !
Je dois dire que j’ai eu un gros coup de cœur pour cette série et cette première saison. J’ai adoré le personnage de Sabrina et même si par moment elle était un peu “too much”, j’étais à fond derrière elle. Les nouvelles aventures de Sabrina est une série cool et sexy ! À voir si vous aimez les histoires qui font peur avec une héroïne badass et qui n’a pas sa langue dans sa poche, des personnages attachants et tout plein de rituels démoniaques !
[Chronique Série TV] Les Songeuses ont vu : Les Nouvelles Aventures de Sabrina - Saison 1 Partie 2 et elles vous donnent leurs impressions ! Année de sortie : 5 avril 2019 Créée par : Roberto Aguirre-Sacasa Avec : Kiernan Shipka,  Miranda Otto, Lucy Davis, Chance Perdomo...
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nadoubouquine · 6 years ago
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Les embruns du fleuve rouge - Elisabeth Larbre
[ CHRONIQUE ] Les embruns du fleuve rouge d' Elisabeth Larbre publié chez Carnets Nord. Sur fond de douleur et d'amitié, ce roman vous portera vers d'autres horizons qui ne sont pas que visuels, mais aussi et surtout psychologiques. Un très bon premier roman qui j’espère fera réfléchir sur l'importance que parfois certains secrets doivent être dévoilés afin d’éviter le pire. Sort aujourd'hui, le 28 septembre 2018.
Genre : Contemporain Editions : Carnets Nord Nombre de pages : 176
Résumé : Après avoir beaucoup bourlingué, Léon s’est retiré du monde à la pointe du Finistère. Un soir de tempête, on cogne à sa porte. Il ouvre en grognant – c’est une jeune Asiatique, presqu’inanimée, qui l’appelle par son prénom. Avec Yannie, venue de l’autre bout du monde, Léon découvre l’histoire ténébreuse d’un demi-frère…
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thescarlettherapy-blog · 7 years ago
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Salut à tous
Aujourd’hui, je voulais vous écrire un petit article rapide sur mes romans préférés de tout temps, ceux qui m’ont le plus transporté, le plus faire rêver. Il m’a été difficile d’en choisir que 10, et honnêtement, il en manque beaucoup, mais voici un petit extrait de ce qui a marqué mon univers littéraire depuis de nombreuses années.
1. Les Chroniques de MacKayla Lane, t5 — Fièvre d’Ombre de Karen Marie Mooning
C’est peut-être un des premiers univers d’Urban-Fantasy qui m’a vraiment fait passer dans un genre un peu plus adulte. J’ai été prise très rapidement dans cet univers, bien loin de Twilight que j’ai lu sensiblement à la même époque. Pourtant, dans un cas comme dans l’autre, on plonge en plein cœur d’un univers sombre et plein de créatures mystérieuses. Et c’est ce que j’aime le plus.
2. Le prince des Ténèbres, t2 – À l’Article de la Mort de Darynda Jones
J’ai commencé par les Chasseuses de la Nuit, évidemment. Mais je suis tombée littéralement amoureuse de Vlad… Donc, je me suis forcément jetée sur le spin-off. Ce que j’aime dans cette série, outre la plume et forcément l’univers, c’est la manière dont elle parvient à faire ressortir la part sombre de Vlad tout en lui concédant cette aura magnétique. Sur tous les livres de “vampires” que j’ai pu lire, Vlad reste celui qui me fascine le plus.
3. Les larmes rouges, t3 — Quintessence de Georgia Caldera
De la série, c’est probablement le tome le plus palpitant et intense, le plus sombre aussi. Je suis tombée en adoration devant le style et l’univers de l’auteure en lisant cette série, et c’est toujours le cas, pour chacun de ses romans, enfin, je m’égare. J’ai particulièrement aimé cette version plus sombre du mythe vampirique. C’est une série qui mérite vraiment d’être découverte et qui change de ce que l’on a l’habitude de voir.
4. Les Aventures Improbables de Julie Dumont de Cassandra O’Donnell
Du rire en kilolitres, de l’action, de l’aventure et de la romance, un cocktail absolument parfait pour mettre de bonne humeur. J’ai du conseiller ce roman à tous mes amis à la recherche d’un roman léger sans pour autant aller jusqu’au cliché !
5. Chasseuse de Vampire, t1 – Le Sang des Anges de Nalini Singh
Une série dont la mythologie change de ce que l’on a l’habitude de voir, des personnages attachants que l’on apprécie suivre. J’ai choisi le premier tome parce qu’après quelques lignes seulement, j’ai acheté les tomes suivants. On les dévore et l’on en redemande ! Surtout que l’auteure développe vraiment son univers et ne néglige aucun de ses personnages. Maintenant, quand est-ce que j’aurai le droit à mon tome sur Illium !!!
6. Orgueil et Préjugés de Jane Austen
Un classique qui a été pendant très longtemps mon livre de chevet. Lizzy était tout à fait le type de personnage féminin que j’adore. Elle est forte, indépendante et refuse de se laisser marcher sur les pieds. Peut-être que cela explique aussi mon goût pour le Steampunk et la romance historique !
7. Lux, t2 — Onyx de Jennifer L. Armentrout
J’ai fini par craquer pour cette série et j’ai adoré. J’ai dévoré chacun des tomes, mais j’avoue que j’ai adoré la mise en place de la relation entre Katy et Daemon, avant que chaque tome se termine par un affreux cliffhanger. Mais honnêtement, c’est la mythologie qui m’a vraiment séduite, chacun des tomes offrant encore plus de détails sur ces peuples extraterrestres.
8. La Mécanique du Cœur de Matthias Malsieux
J’ai lu ce roman lorsque j’étais au collège, et il m’a bouleversé, profondément touché.
9. Londres la Ténébreuse, t1 – La Fugitive de Whitechapel de Bec McMaster
Dans ma période steampunk, j’ai découvert ce roman et j’ai été vraiment séduite. Dans un premier temps pour cette nouvelle version du mythe vampirique, toujours plus sombre et plus… moderne. Mais aussi par l’univers. On se trouve dans un monde victorien complètement remis au goût du jour. Bien sûr, les personnages et la relation entre-eux à fait toute la différence.
10. Rose Morte, t1 – La Floraison de Céline Landressie
Ce premier tome a été une véritable révélation. L’univers sombre, l’aspect historique, les personnages, enfin tout ce qui pour moi fait un roman captivant est réuni dans ce premier tome. Bien que cela se gâte un peu dans les tomes suivants (je n’arrive pas à comprendre les personnages), cette série reste pour moi absolument parfaite.
Bonus : All Souls, tome 3 – Le Nœud de la Sorcière de Deborah Harkness
Encore une fois, un très gros coup de cœur pour toute la série. J’ai adoré l’aspect scientifique et surtout universitaire de cette série. Elle referme tous les univers que j’aime, une romance à couper le souffle, une intrigue captivante et des personnages auxquels l’on s’attache énormément. Une des plus belles trilogies que j’ai pu lire.
  Et voilà, bon, ces livres sont en presque tous des romans fantastiques et/ou historiques. C’est un genre qui me transporte particulièrement, la magie donne à mon quotidien un aspect merveilleux qui me manque au quotidien, et c’est dans ces univers que je le retrouve !
  Et voilà, c’est tout pour aujourd’hui !  Et vous, quels sont vos romans préférés ?
Nouvel article : Top 10 de mes romans préférés ! Salut à tous Aujourd’hui, je voulais vous écrire un petit article rapide sur mes romans préférés de tout temps, ceux qui m’ont le plus transporté, le plus faire rêver.
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llyza · 8 years ago
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TTT 17 | Le top 10 des prénoms masculins
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Le Top Ten  Tuesday est un rendez-vous hebdomadaire dans lequel on liste notre top 10 selon le thème littéraire prédéfini. Ce rendez-vous a initialement été créé par The Broke and the Bookish et repris en français pour une 2ème éditions sur le blog de Frogzine.
Les 10 noms de personnages masculins que vous avez trouvé originaux
Curran dans Kate Daniels d’Ilona Andrews | Urban Fantasy [ Avis ]
Jericho dans Les Chroniques de MacKayla Lane de Karen Marie Moning | Urban Fantasy 
Tor(mod) dans Les Chevaliers des Higlands de Monica McCarty | Romance Historique [ Avis ]
Lucian dans Désenchantement de Lady Walsh | Steampunk [ Avis ]
Jarek dans L’Etoile du Matin de David Gemmel | Fantasy [ Avis ]
Rhys dans Iron Seas de Meijean Brook | Romance Steampuk [ Avis ]
Brody dans The Player de Vi Keeland | New Adult [ Avis ]
Slaren dans La Confrérie des Ombres de Belinda Bornsmith | Romance Paranormale [ Avis ]
Blade dans Londres la ténébreuse de Bec McMaster | Romance Steampunk [ Avis ]
Riker dans Vampire Nation de Larissa Ione | Romance Paranormale [ Avis ]
Alors évidemment si les noms masculins cités ci-dessus sont originaux et qu’il s’agit fortuitement de mâles très charismatiques... vraiment c’est à tout hasard ! 
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lesparaversdemillina · 2 years ago
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songedunenuitdete · 7 years ago
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Crimson Peak de Guillermo Del Toro
Création de : Guillermo Del Toro Année de sortie : 9 octobre 2015 (Espagne) Avec :  Mia Wasikowska, Tom Hiddleston et Jessica Chastain Nationalité : Américain Genre : Epouvante-horreur, Drame, Romance Durée : 119 minutes
Déconseillé aux moins de 12 ans
Synopsis :
Au début du siècle dernier, Edith Cushing, une jeune romancière en herbe, vit avec son père Carter Cushing à Buffalo, dans l’État de New York. La jeune femme est hantée, au sens propre, par la mort de sa mère. Elle possède le don de communiquer avec les âmes des défunts et reçoit un étrange message de l’au-delà : “Prends garde à Crimson Peak”. Une marginale dans la bonne société de la ville de par sa fâcheuse “imagination”, Edith est tiraillée entre deux prétendants: son ami d’enfance et le docteur Alan McMichael.
Bande annonce
Mon avis
Guillermo Del Toro est le scénariste, qui a magnifiquement donné vie au Hobbit : Le voyage inattendue, mais il a également donné une fin décevante et loin de l’œuvre originale de cet auteur de génie qu’est Tolkien ! Le seul film, dont, il est le réalisateur, que j’ai vu, est Le Labyrinthe de Pan.
Tom Hiddleston et Mia Wasikowska sont deux acteurs qui ont déjà fait leur preuve.  Tom dans le rôle du sexy Loki de Marvel et bien que je ne regarde pas les Thor, je reconnais bien son talent. Et Mia, l’actrice qui a brillamment joué “Alice” de Tim Burton.
Guillermo Del Toro est un bon réalisateur et les deux acteurs principaux sont convaincants, cela annonce un bon film.
Il y a une chose que j’aime beaucoup, peu importe le support de l’œuvre, c’est le fait d’introduire le titre en l’occurrence “Crimson Peak”, dans l’œuvre elle-même. Au moins, on a un titre qui correspond au sujet traité.
Les décors sont magnifiques, les demeures sont superbes dans un style Victorien, parfaitement dosé. Même les extérieurs sont ancrés dans le début des années 1900.
Allerdale Hall, est un domaine sans fin, d’étage en étage de pièce en pièce, tout est immense et tout reste à découvrir, de jour comme de nuit. L’ambiance du manoir, repose sur son style gothique et littéralement sur un sol à la couleur sanglante.
Les dressing sont magnifiques. Des robes en soie, de couleurs intenses, d’un goût exquis… En harmonie parfaite avec l’ensemble de l’œuvre, entre lumières et ténèbres.
Les musiques du film nous plongent un peu plus dans cet univers créé par Guillermo.  
Le scénario est assez simpliste, pour ma part, la fin est prévisible dès les 20 premières minutes. L’histoire n’en n’est pas moins charmante. Un drame, romantique fantastique parfaitement romancé malgré la lenteur, qui nous laisse apprécier le jeu d’acteurs.
Ah ! Tom Hiddleston, je suis contente de pouvoir apprécier ses talents quand il n’incarne pas le dieu Nordique du mal. Il est captivant et séduisant dans le rôle de Sir Thomas Sharpe. Jessica Chastain est délicieuse dans ce rôle de Lady Lucille la belle ténébreuse ! Mia Wasikowska est toujours aussi convaincante, et sa façon de jouer Édith ressemble beaucoup à son interprétation d’Alice.
Crimson Peak est un chef d’œuvre visuel, on en prend plein les yeux du début à la fin. 
Ce n’est pas un film d'”Horreur” à proprement parler, il y a, certes, des choses qui peuvent créer la peur, mais pas l’épouvante. Ce n’est pas rassurant, mais de là, à parler de Terreur… Non. Toutefois, ça reste un film qu’on doit regarder après avoir couché les enfants.
C’est un film que j’aurai plaisir à revoir les 31 octobre, une fois le soleil couché. Bonne soirée et Happy Halloween !
[Chronique Blu-Ray - Orme Étoile] Mon avis sur Crimson Peak de Guillermo Del Toro. Après Le Labyrinthe de Pan, je retrouve ce réalisateur talentueux, avec optimisme ! Crimson Peak de Guillermo Del Toro Création de : Guillermo Del Toro Année de sortie :
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thescarlettherapy-blog · 8 years ago
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Bonjour à tous,
C’est le 1 avril, et c’est l’heure du bilan, certes très très court, de notre mois de mars. Je n’ai pas été très présente ce mois-ci encore, mais maintenant que j’ai expliqué pourquoi, je me sens vraiment beaucoup mieux. Du coup, voici le bilan du mois !
Côté perso
Beaucoup beaucoup de travail, recherches pour le master, quelques petits problèmes personnels, bref beaucoup de choses, qui font que, le blog, bien, passe à côté.
Côté lecture 
Ce mois-ci, j’ai sept jolies lectures à mon actif sur ces deux dernières semaines :
Les chroniques de Dani Mega O’Malley, t3 — Fièvre née de Karen Marie Moning
J’ai attendu ce livre toute l’année, comme à chaque fois qu’un nouveau tome de Fever s’apprête à sortir. Maintenant que les sorties sont beaucoup plus régulière, je n’ai qu’une envie, que le prochain tome sorte. C’est juste un pur bonheur de lecture, retrouver Barrons, Mac, Jada et toute la trique, il n’y a pas de mot. Vraiment, j’adore cette série !
Felicity Actock, t5 —Les Anges battent la Campagne de Sophie Jomain.
Comment dire ? BON SANG. Je pense avoir pleuré toutes les larmes de mon corps durant la lecture de ce tome. Je hurlai : ce n’est pas vrai, elle n’a pas fait ça… Je déteste Sophie Jomain. Ce tome est juste, bourré d’émotions et de révélations.
Alpha et Oméga, t3 — Terrain de Chasse de Patricia Briggs
Après une petite pause dans l’univers de Patricia Briggs, je m’y suis remise et comme toujours, j’ai adoré ce que j’y ai lu. Ce tome où le couple bat un peu de l’aile est émouvant et intéressant dans la mesure où l’auteure insiste de plus en plus sur Charles !
Alpha & Oméga, t4 — Entre chien et loup de Patricia Briggs
J’ai suivi avec le quatrième tome. Oui, j’adore ce couple, ça va… Ce tome est vraiment génial pour la relation entre Anna et Charles.  Et avec ce tome, on est servi à ce niveau-là.
Felicity Atcock, t6 —Les Anges voient Rouge de Sophie Jomain.
Je n’ai pas pu attendre la sortie du tome en poche. Nan, mais vous vous imaginez, avec la fin du tome 5 attendre jusqu’au 29 septembre ? HORS DE QUESTION. Je l’achèterai à ce moment-là, mais j’avais besoin de le lire, et bon sang… joie, rire, tristesse, larme, colère et bien plus encore, elle nous en a fait voir de toutes les couleurs. C’est la fin… Il n’y aura plus d’aventures de Felicity, de Stan, de Terrence, d’Adam, de Mehiel… Et ils vont vraiment me manquer.
Londres la Ténébreuse, t1.5 —De sang et de Glace de Bec MacMaster
J’ai été littéralement amoureuse du premier tome, j’ai donc voulu lire le 1.5 avant de dévorer les tomes suivants qui m’attendent bien sagement dans ma PAL. Bien sûr, j’ai adoré, cela va sans dire.
Arum, t1 — Obsession de Jennifer L. Armentrout
Petit dernier, un avant-goût pour la fin des aventures de Daemon et Katy pour la sortie du tome cinq de Lux. Cette part plus sombre de cet univers est vraiment très intéressante, on en apprend un peu plus sur cette guerre qui sépare les Luxen des Arums, et puis, sans mentir, Hunter est juste parfait.
Lecture en cours :
Rebecca Kean, tome 6 — Origines de Cassandra O’Donnell
Trois longues années d’attentes… On finit par ne plus y croire. Mais il est là, et je n’arrive toujours pas à l’ouvrir alors que j’en meurs d’envie. J’ai l’impression que cela va me vider tout autant que la lecture du 6e tome de Felicity Atcock, ce soit dire…
        Prochaine Lecture :
Victorien Fantasy, tome 2 —De Velours et d’Acier de Georgia Caldera
Enfin, s’il arrive un jour. Ahah.
            Côté exposition 
De la même manière que le mois dernier, j’ai passé mon temps au Louvre pour les cours.
Côté écriture
Eh bien là, il y a du changement. Voilà deux jours que je suis incapable de m’arrêter d’écrire. J’ai repris un ancien projet dont j’ai commencé le tome 2 et je suis prise de frénésie avec cette histoire. J’ignore pourquoi j’avais arrêté… Toujours est-il que je reprends de plus en plus à écrire, et cela faisait bien longtemps que ça ne m’était pas arrivé. Je recommence à écrire pour le plaisir.
Si les Héritiers recommencent leurs aventures, l’Alchimiste aussi et le chapitre 4 est quant à lui terminé enfin !
Côté films et séries 
Je suis devenue accro à Versailles. Oui, voilà, c’est dit. Vous allez m’entendre râler à causes des petites erreurs historiques… Je n’y peux rien, c’est plus fort que moi !
C’est tout pour aujourd’hui. Et vous ? Qu’avez-vous fait et lu de beau ? Des bisous ❤
[Bilan #20] Mars 2017 Bonjour à tous, C’est le 1 avril, et c’est l’heure du bilan, certes très très court, de notre mois de mars.
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thescarlettherapy-blog · 8 years ago
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2016 s’envole pour laisse la place à une nouvelle année, qui je l’espère sera un peu plus joyeuse que celle qui vient de s’écouler.
C’est l’occasion pour moi de vous souhaitez une bonne année, santé, réussite, amour… (tout ça, tout ça), mais aussi de belles découvertes littéraires et toujours autant de passion pour cet univers qui nous réuni tous aujourd’hui. 
C’est aussi l’occasion pour moi de vous faire un petit récapitulatif de mon année. Cette année a un peu été celle de tous les défis. J’ai dû essayer de concilier mes cours, mon travail, le blog, le webzine, l’écriture, la lecture, l’assos et toutes ses choses que j’ai décidé de commencer de front. J’avoue volontiers m’être parfois laissé complètement dépasser, y avoir sacrifier de nombreuses heures de sommeil et de bonnes prises de têtes avec mes 52 personnalités (et je peux vous dire que lorsqu’elles se mettent toutes à parler en même temps, ça devient folklorique). C’était Bagdad dans mon palais intérieur… Pourtant, je ressens une certaine fierté à me dire que j’ai réussi d’une certaine manière à garder la tête hors de l’eau.
Cette année est marquée par le premier anniversaire du blog, ce blog qui prend de plus en plus de place dans mon cœur, et sans lequel, je ne serai plus qu’une loque aujourd’hui. En l’espace d’un an et demi, tout cela a pris une place très importante dans ma vie. Je ne pensais pas être un jour autant accro au fait de vous dire ce que j’ai pu ressentir à la lecture d’un roman, il y a quelque temps, cela aurait été impensable. Cette année, c’est un peu, non pas celle de la consécration, mais une année d’essais, ou je me suis rendu-compte que mon blog pouvait plaire. J’ai d’ailleurs commencé à travailler avec certains auteurs et des maisons d’édition et j’en suis particulièrement heureuse (même si côté organisation, je me laisse complètement dépasser).
J’avais prévu d’être plus présente sur le blog, les réseaux, malheureusement, mon implication, bien que totale, a été mise à rude épreuve face aux aléas de ma vie personnelle. Je n’ai pas réussi à vous offrir autant de contenu que je l’aurai souhaité. Et j’ai pris un retard tellement considérable sur mes chroniques qu’à chaque fois que je vois la liste de brouillons, j’ai envie de pleurer, mais j’ai bon espoir de réussir un jour à tout rattraper.
Mon année a été marquée par des rencontres incroyables, d’auteurs comme Georgia Caldera ou Cassandra O’Donnell, mais aussi avec des blogueuses géniales qui m’ont confirmé que j’étais dans la bonne branche et que je n’avais qu’une envie, continuer dans cette voie. Donc merci à elles !
Mais surtout, il faut savoir que sans vous, mes chers petits rosiers, je ne serais pas où j’en suis aujourd’hui, j’aurais surement déjà abandonné. Je ne vous dirai jamais assez merci pour tout ce que vous faites pour moi, même sans vous en rendre compte. À chaque moment difficile, chaque coup de mou, je me rappelle que vous êtes là, et j’ai envie de me surpasser ! Merci du fond du cœur, mes amours. 
Bien, après ce petit moment émotion, passons aux chiffres !
63 romans lus cette année soit moitié plus que l’année dernière, une belle évolution
Une petite dizaine de manga, BD
COUP DE CŒUR 2016
La série Lux de Jennifer L. Armentrout
TOP 3 2016
Les Aventures Improbables de Julie Dumont de Cassandra O’Donnell
Londres la Ténébreuse, t1 —La Fugitive de Whitechapel de Bec McMasteer
Les Aventures d’Aliette Renoir, t2 —Dans l’Ombre du Roi de Cécilia Correia
FLOP 2016
La Fille du Soleil Noir, t1 — Esprits Impurs, M.L.N. Hanover
Les Messagers des Vents, tome 2 — Sanctuaires de Clélie Avit
Ce ne sont pas des flops au point d’en avoir abandonné la lecture, mais j’avoue avoir été déçue par ces lectures à chaque fois.
FILMS ET SÉRIES
Sherlock 
Les Animaux Fantastiques
Outlander
Dr Strange
Lucifer
  ÉCRITURE
Les Héritiers des Étoiles T1 : TERMINE !!!!!!!
L’Alchimiste, nouveau roman en cours
J’ai fini par terminé les Héritiers, après des années de boulot et l’avoir pensé perdu pendant des mois après mon déménagement. Maintenant, il ne me reste plus qu’à trouver le courage de le corriger (et le temps). J’ai commencé une fantasy historique dont l’histoire me passionne, il ne me reste plus qu’à trouver le temps d’écrire tout ce qui me passe par la tête.
LE BLOG 2016 EN QUELQUES CHIFFRES
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  PROGRAMME ET BONNES RÉSOLUTIONS POUR 2017
J’avoue que 2017 est encore une peu floue pour moi, je n’ai pas pris le temps de me poser !
Revoir la mise en forme de mes chroniques,
Plus d’écriture sur le blog,
Plus d’articles de fond, comme j’ai essayé de le faire en cette fin d’année,
Challenge littéraire et lectures communes ? C’est une idée qui pourrait être intéressante !
Mes bonnes résolutions
Apprendre à m’organiser (très important),
Être plus présente, sur mon blog, sur celui des autres, bref ne plus être une blogueuse fantômes,
Débloquer du temps pour les évènements littéraires,
Plus de lecture et d’écriture, eh oui, encore cette année,
Respecter mes timelines et ne plus vivre dans le rush, ça, c’est vraiment important !
Voilà, c’est tout pour cette année, en espérant que celle à venir sera tout aussi merveilleuse. Que dire ce plus, si ce n’est : merci, je vous aime et je vous souhaite autant de bonheur que vous avez pu m’en procurer cette année ! Et beaucoup de belles découvertes littéraires !
Une année se termine, une autre commence. C'est l'heure de la rétrospective 2016 ;) 2016 s’envole pour laisse la place à une nouvelle année, qui je l’espère sera un peu plus joyeuse que celle qui vient de s’écouler.
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