#Dominique Bona

[prosedumonde]

Elle préfère le silence, et saisir avec son pinceau la mélancolie des existences, dont rien ne reste ou presque, que le souvenir des instants, heureux ou malheureux, mais dont le caractère éphémère fait tout le prix.

Dominique Bona, Berthe Morisot

[coovieilledentelle]

Elle préfère le silence, et saisir avec son pinceau la mélancolie des existences, dont rien ne reste ou presque, que le souvenir des instants, heureux ou malheureux, mais dont le caractère éphémère fait tout le prix. Dominique Bona- (Berthe Morisot)

[cartermagazine]

Today In History

Diahann Carroll, an American television/stage actress, and singer — known for her show 'Julia' and films such as 'I Know Why the Caged Bird Sings,’ and ‘Claudine’ was born on this date July 17, 1935.

Carroll made a number of films during her career and was nominated for an Academy Award for Claudine in 1974. It wasn't until she was cast as the lead in Julia in 1968, however, that Diahann Carroll became a bona fide celebrity. The role made her the first African-American woman to star in her own TV series. She was nominated for an Emmy for Julia in 1969 and won the Golden Globe Award in 1968.

She was also well known for her role as jet setter Dominique Deveraux on Dynasty from the 1980s. She received her third Emmy nomination in 1989 for her role on A Different World.

Diahann Carroll has had a long, successful career that expanded through 5 decades.

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[objecteiespai]

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Què és un cartell reivindicatiu?

f. En manifestacions i altres actes públics, cartell amb consignes o diversos missatges, que s'exhibeix amb propòsits normalment reivindicatius .

pancarta | Definició | Diccionari de la llengua espanyola | RAE - ASALE

Tipus de cartell:

en relació

Disseny gràfic de l’exposició Màquina climàtica a l’hivernacle del parc de la Ciutadella. L’objectiu de la mostra és descobrir-nos el passat i el futur dels hivernacles, i molt especialment del de la Ciutadella. A més, la proposta també parla dels efectes del canvi climàtic. El nostre projecte parteix de la interpretació de les plantes que es troben en l’estructura d’aquest emblemàtic edifici tot donant-li protagonisme.

Curadora: @marionabene Disseny gràfic: @taller_torrents Muntatge: La central de projectes Imatges: @adriagoulaphoto

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per Oscar Guayabero

Mario Eskenazi, Andreu Balius, Twopoints.net, Raúl Goñi, Ladyssenyadora, David Ricart y David Torrents & Jacqueline Molnár.

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EINES

COLLAGE

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a la Biblioteca

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Seminari. Mestres del collage

 Dawn Ades: El collage, el fotomuntatge i l'avantguarda europea

 Diane Waldman: Joseph Cornell, un univers de somnis Anne Umland: Un desafiament a la pintura: Miró i el collage als anys vint  Dominique Dupuis-Labbé: El collage cubista: Picasso, Braque i la realitat

Carolyn Lanchner : La “bona noia ” de dadà : els fotomuntatges de Hannah Höch

 Matthew Gale: Germana pertorbació: de De Chirico a Ernst

Alícia Suárez: L'avantguarda russa Lourdes Cirlot : La influència del collage en l'art de la postguerra a Europa i als Estats Units.

 Fèlix Fanés: Avantguarda i cultura de masses. Tres exemples

Accés al Catàleg de la Biblioteca

Catàleg

Revistes accessibles a sala

Recursos de cerca

Accés al Servei de Biblioteques UAB

Biblioteques UAB, Serveis alumnes escoles adscrites

[mysteriis-moon666]

"Au fond de son cœur, tapie au plus profond, on n’a pas de mal à déceler une espèce de vertige. L’attraction du néant. L’envie de tout effacer, de se fondre dans le rien. Elle aimait le silence. La grande paix du silence." Dominique Bona

[holybridget]

Femme nue et rhabillée d'après Bronia Perlmutter dans Cinésketch

[fleuromanie]

• "Musidora, auréolée de boucles serrées […] hésite entre la gamine et l’ange noire”

• "Dans le film, elle se nomme Irma Vep - anagramme de Vampire. Mais très vite elle devient “la” Vampire. Puis comme c’est trop long à dire: la “vamp”. Son nom est trouvé. Sa légende commence”

Dominique Bona, Colette et les siennes.

[donospl]

Literackie Biuro Podróży [sezon 1 odc.21]

Literackie Biuro Podróży [sezon 1 odc.21]

PODRÓŻ ARTYSTYCZNA: SZTUKA I ARTYŚCI W audycji: “Leonardo i Ostatnia wieczerza” Ross King – Oficyna Literacka Noir sur Blanc “Berthe Morisot” Dominique Bona – Oficyna Literackia Noir sur Blanc ” Le Corbusier – architekt jutra” Anthony Flint – Wydawnictwo W.A.B. “Biały szlak. Podróż przez świat porcelany” Edmund de Waal – Wydawnictwo…

[liredeslivreenligne]

Camille et Paul Dominique Bona lire en ligne

Camille et Paul

Dominique BonaDominique Bona

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Détails

Titre: Camille et Paul de Dominique Bona

ISBN: 978-2253121688

Nom de fichier: camille-et-paul.pdf

Date de sortie: 5 novembre 2008

Nombre de pages: 188 pages

éditeur: Dominique Bona

Le Titre Du Livre : Camille et Paul Moyenne des commentaires client : 41 sur 5 étoiles étoiles sur 5 34 commentaires client Nom de fichier : camille-et-paul.pdf La taille du fichier : 23.28 MB

Télécharger le PDF Camille et Paul de Dominique Bona gratuitement sur livre numérique gratuit en français. Normally this book cost you EUR . Ici vous pouvez télécharger ce livre en format de fichier PDF gratuitement et sans besoin de l'argent supplémentaire dépensé. Cliquez sur le lien de téléchargement ci-dessous pour télécharger le livre de Camille et Paul de Dominique Bona en format de fichier PDF gratuitement.

Camille et Paul Dominique Bona lire en ligne -

Catégories : Dominique Bona

Vous trouverez ci-dessous quelques critiques les plus utiles sur Camille et Paul. Vous pouvez considérer cela avant de décider d'acheter / lire ce livre.

Merveilleuse Camille ! A tous ceux qui veulent connaître le destin tragique de Camille n'hésitez pas d'entrer dans la vie de Camille et Paul Claudel.

[medialivresgratuits]

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Titre: Camille et Paul de Dominique Bona

ISBN: 978-2253121688

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Merveilleuse Camille ! A tous ceux qui veulent connaître le destin tragique de Camille n'hésitez pas d'entrer dans la vie de Camille et Paul Claudel.

[la-princesse-de-cleves]

Moi c’est mon corps qui pense. Il est plus intelligent que mon cerveau. Toute ma peau est une âme. Colette

Ce qu’il y a de meilleur dans l’amour, c’est l’amitié.

Ce que l’on écrit, arrive. Oscar Wilde

Colette les a fait venir chez elle toutes les trois, Musi, Annie et Marguerite. Ses amies, ses presque-sœurs. Elles habitent à deux pas de chez elle, toutes dans le XVIe arrondissement, mais elles ont préféré se regrouper. C’est plus facile pour faire face aux soucis du moment et l’ennui si terrible d’être seule.

Ce sont trois beautés brunes - quatre avec Colette -, qui forment une tribu aux traits caractéristiques. Aucune blonde n’a trouvé place au chalet.

Du même âge, à quelques mois près (sauf pour l’une d’elles), elles sont romancières, journalistes, comédiennes et, dans le cas de Colette, tout cela à la fois. Elle appartiennent au monde marginal, sulfureux, de la littérature et du spectacle.

Mariées, demariées, remariées ou en compagnonnage, leur existence a de quoi étonner, voire choquer une époque encore très bourgeoise. Elles ont souvent enfreint l’ordre moral et défié les bonnes mœurs. Elles les défient toujours.

Elles ont le goût du vagabondage : quand leurs contemporaines ne quittent jamais le domicile conjugal, elles ont bougé, bourlingué, voyagé et comme des chats auxquels elles vouent une passion commune, elles eu chacune plusieurs vies.

[...] On ne se retient pas. On ne se surveille pas. Loin, très loin de la société proustienne et du faubourg Saint-Germain, les mondanités, la bonne éducation n’ont ici aucune place. On est “nature”, entre soi, sans façons.

[...] Les quatre amies ont les cheveux courts : une excentricité, en 1914, que très peu de femmes osent se permettre. Arborer les cheveux courts relève alors du défi et suppose du courage car l’ensemble de la société, tous milieux confondus, les désapprouve. L’époque les assimile à des mœurs émancipées, à un esprit de rébellion, voire de sédition. En coupant ses cheveux, la femme brise une image que de longs siècles ont forgée, elle s’affranchit du modèle ancestral. Ce faisant, elle passe outre aux lois de la séduction, puisque tous les hommes s’accordent à trouver de la sensualité à la chevelure.

[...] Elles commettent cependant un forfait plus grave que de danser demi_nue ou demi-habillée, sur une scène de cabaret. Il leur arrive assez souvent, à la maison, de porter des pantalons. Avec une cravate, une chemise à boutons de manchette et un veston, elles jouent à l’homme parfois et se promènent en habits de garçon, en s’appelant “mon vieux”. Le miracle, c’est qu’elles restent féminines dans cet accoutrement. Il leur manque, pour que l’illusion soit parfaite, le parfum unisexe : le couturier Jean Patou l’inventera, après la guerre. Ce sera Le Sien, destiné sans distinction aux hommes comme aux femmes. “For her, for him”, la publicité de Patou vantera un jour la confusion des genres. Mais, en 1914, le parfum des quatre amies est encore exclusivement féminin.

[...] A une époque où leurs concitoyennes n’ont ni le droit de vote ni celui de signer un chèque, et en sont à demander la permission à leur homme - père, époux, frère, fils ou tuteur - pour tous les actes de la vie, comme elles paraissent libres de leur destin, ces quatre femmes ! Et si sûres de la voie à suivre!

[...] Les liens entre les quatre femmes demeurent solides. Malgré l’éloignement physique, le dialogue se poursuit à travers un échange de lettres incessant. La vie commune au phalanstère a soudé entre elles quatre une complicité que ni le temps ni les multiples occupations de leurs vies ne peuvent altérer. Colette, “Macolette”, est celle vers laquelle convergent les nouvelles, celle qui rassemble et unit ses amies éparses. C’est par elle que le phalanstère se prolonge, au-delà du chalet accueillant, élargi maintenant aux souples frontières de leurs destins d’aventurières.

[...] En amour, Colette se montre paradoxale. D’un côté, elle tient à sa liberté et à conduire sa vie à sa guise. De l’autre, elle voudrait être la femme d’un seul homme, aimée de lui sans rivale, et le servir, dévouée à lui corps et âme jusqu’à la fin des temps. Elle rejette ses chaînes mais, au plus fort de l’entrave, les chérit. Son rêve, elle l’avoue, serait d’être enfin “amarrée” à un homme, retenue à lui comme un bateau à quai. Ce mot, “amarrée”, si important dans son univers de fantasmes, est le dernier de son roman L’Entrave, publié en 1913.

[...] Cette femme si peu conventionnelle qui tient tant à son autonomie et lutte pour se faire reconnaître comme écrivain, cette originale, cette intrépide, qui ne craint ni la rumeur ni la moquerie, se révèle une amoureuse docile. Semblable à la majorité des femmes, modelées par des siècles de tradition, elle est prête a se donner et consent à être dominée. Indomptable en tous domaines, Colette n’aspire en amour qu’à se laisser dominer.

[...] Tout est affaire de paysage. Tout s’écrit dans les maisons. En 1914, le chalet de la rue Cortambert rassemble quatre amies esseulées, dans un foyer sans hommes. Enfoui dans la verdure, à la lisière du bois de Boulogne, il évoque ces maisons en pain d’épices des contes de fées, surgies de la forêt hostile pour abriter des enfants perdus, des jeunes filles traquées, de pauvres hères persécutés. Cendrillon, Peau d’Ane ou le Petit Poucet. Il a été leur refuge, la première année de la guerre. Ensuite, leur port d’attache, un lieu où elles ont aimé se retrouver dans sa chaude atmosphère. Elles ont chanté, dansé, festoyé souvent de peu sous ce toit qui allait un jour s’écrouler. Leur amitié était un rempart contre la peur et la solitude. Jamais elles ne se sont laissé abattre par les circonstances. D’être réunies dans cette villa si particulière leur a permis de rassembler leurs énergies. Et de résister aux forces hostiles, venues frapper à la porte.

Ces femmes libres, ou luttant pour l’être, qui n’hésitent pas à voyager et mènent leur existence avec fougue, ont chacune le désir de se rattacher à un paysage solide, à une maison fidèle, dont la porte reste ouverte sur le monde extérieur. Lorsque le petit chalet s’est écroulé à la fin des années de guerre, ce fut un chagrin pour toutes. Leur thébaïde disparue, elles n’ont plus eu de maison commune. Plus de foyer ou se regrouper... Désunies géographiquement, elles ne sont plus ensemble que par le cœur. Mais un cœur qui bat les mêmes pulsions, et qui reste fidèle à l’affection qu’elle se portent.

Colette et les siennes Dominique Bona

[prosedumonde]

« Je voudrais revivre ma vie, la noter, dire mes faiblesses ; non cela est inutile ; j’ai péché, j’ai souffert, j’ai expié ; je ne pourrai faire qu’un mauvais roman en racontant ce qui a été mille fois raconté. »

Journal intime de Berthe Morisot in Dominique Bona, Berthe Morisot

[365days365movies]

Horror October V: Poltergeist (1982) - Recap: Part One

The afterlife is an unsolvable mystery.

Since mankind’s been around, we’ve questioned what happens to us after death, and we’ve come up with every possible answer. What you believe is up to you. Personally, I’m open to most ideas. Maybe it’s a heaven or Hell, maybe it’s nothing, maybe it’s reincarnation, maybe it’s just one bench in the middle of an empty void while a dude named Wycliffe plays the mouth harp for eternity. Honestly, I don’t know, but I’m not gonna count Wycliffe out, just saying.

But because of these endless possibilities, our cultures have created unified and pervasive ideas about the hereafter. The Greeks had the Underworld ruled by Hades. Christians have Heaven and Hell, with different complexities depending on who you ask. Atheists have the inky blackness of the void. And media...oh God, media has all of those and FAR more.

The depictions of the other side are numerous in film, and it’s impossible to quantify them here. Personally, I immediately thought of the Underworld in Hercules. My girlfriend thought of Beetlejuice and the waiting room of souls. See how different those are, in and of themselves? It’s insane. What Dreams May Come, All Dogs Go to Heaven, Heaven Can Wait, Angels in the Outfield, Field of Dreams, the list goes on and on and ON.

But this is October. This is horror month. And so, we need to ask ourselves another question. What happens if the dead don’t move on to the other side? What happens if they linger in the land of the living, due to unfinished business or unfulfilled desire? And worse, what happens...if you wake them up?

That...is when ghosts are present.

This staple of popular culture is more than that: for some, it’s a bona fide fact. I’m sure that some of you reading are believers in ghosts and phantoms. I’m not, personally, but no worries if you are! After all, if the afterlife is a mystery, then who’s to say that ghosts aren’t part of the answer?

But, rather than parlay into belief, we’re talking straight fiction here. Similar to werewolves, I’ve always appreciated a good ghost story. I grew up in the hey day of nostalgia for the 1950s and ‘60s rearing its head, and part of that was the reappearance of a friendly ghost named Casper. And as an adult, watching that film again for the first time in about 20 years...Casper is a creepy-ass ghost.

FUCKING RUN CHRISTINA RICCI HE WANTS YOUR SOUL

Anyway, I’ve always been partial to ghosts in fiction, if not the concept in real life. So, it’s genuinely surprising to me that I haven’t seen some of the createst ghost stories of all time. I’ve seen Casper, Ghost, Beetlejuice, and the Ghostbusters movies...and that’s basically it.

Don’t get me wrong here, I’m not begrudging any of those stories. Some of them are extremely funny movies, and one of them brought to new prominence the pottery industry, and also that one song. It’s in your head RIGHT NOW, if you’ve seen Ghost. You know the one. YOU KNOOOOOOOH MYYYYYY LOOOOVE

So, yeah, how did tonight’s movie escape my notice? Well, let’s answer that question by watching it, huh? Time for Poltergeist!

SPOILERS AHEAD!!!

Recap: Part One

We start by reaching the end of our broadcast day, as the Star Spangled Banner plays over images of Americana on a television, late at night. As the TV fades to static, we meet out family of the evening: the Freelings. As their dog roams around the house grabbing as much food as humanly possible (as a dog do), he wakes up our first member of the family: Carol Anne Freeling (Heather O’Rourke).

Heather goes down to the television, and starts talking to it. Doing so wakes up the rest of the family: dad Steven (Craig T. Nelson), mom Diane (JoBeth Williams), son Robbie (Oliver Robins), and oldest daughter Dana (Dominique Dunne). They come downstairs to see Heather telling the static that she’s five years old, and answering various other questions. Which is...creepy, gotta admit.

From there, we go right into a sprightly musical theme by the one and only Jerry Goldsmith, and view the sprawling California suburb that the Freelings live in. That next day, we get a look at a normal weekend for the Freelings. Steve’s watching the game while battling with his neighbor fot the remote signal. Diane unfortunately comes upon Carol Anne’s deceased canary, Tweety, and has to guide Carol Anne through the difficult process of grieving and burying him.

Robbie climbs a tree in the backyard, and looks out upon a definitely not ominous cloud bank rolling in. That night, after getting a brand new goldfish for Heather, the family lays down to rest as the storm builds outside. We fid out from Diane that she used to sleepwalk as a child, as she suspects Carol Anne is doing. They make light of it, though. However, Robbie’s not having the best time. The storm is unnerving him, and...well...clown.

Yeah, buddy, why the fuck do you have that in your room? It is...terrifying. And I’m not afraid of clowns, don’t misunderstand me, but if I had that thing as a child, I WOULD be. Robbie covers it with a jacket, then goes to his parents. Poor kid; I was scared of thunder and lightning, too. Dad goes to comfort him, and then tucks both Robbie and Carol Anne into bed. It’s sweet, all things considered.

So, one scene later, when the kids are in bed with the parents (which is a very cute cut, honestly), everyone is asleep as the TV once again ends it broadcast day, and cuts to static. And this time...we can hear whispers coming from the screen. So can Carol Anne, and she gets up to greet the television. And the television greets her as well.

They’re heee-re.

The spectral hand shoots out of the television, then goes into the wall above the family’s heads. The entire house shakes, and Carol Anne delivers her iconic line. The next morning, it’s time for school and work, while Steven is under the impression that an earthquake was responsible. However, Diane can’t let go of what Carol Anne said the night before about the “TV people”. Neither can Carol, as she continues to stare at the static. Even their dog, E. Buzz is acting up, barking at a scorch mark left on the wall by the ghosts.

In the backyard, construction begins on the pool, and the construction workers not only creepily hit on Dana, but they also steal the coffee and food from the house. Uh...fire them. Like, what the hell, man? Diane goes to investigate Buzz’s barking, then comes back to see that the post-breakfast kitchen is completely clean. She turns around, and

...Ah. So, interior decorator/artistic ghosts.

Refreshingly, Diane IMMEDIATELY believes Carol Anne about the “TV people”, and it’s hard to argue with spontaneous chairs on a table. As soon as Steven gets home, Diane drags him inside to show him what the fuck is going on. And also refreshingly, the phenomenon makes itself known to Steve, as a chair mysteriously moves across the floor right in front of him! Hell yeah, buck that tired-ass trope!

The two, shocked and intrigued, try to figure out who to whom to go about this. They talk to their neighbor Ben (Michael McManus), but he’s kind of a dick, and they keep trying to figure this whole thing out. But before they get the chance, the storm rages again. And this time, Robbie’s having an even WORSE time of things.

But then, while the family is trying to save Robbie from the Whomping Willow, Carol Anne’s closet opens with a ghostly light, and sucks her and all of the room’s interiors into it. Carol Anne is gone, and they’re STILL trying to save Robbie as a tornado comes and sucks up the tree, only to disappear entirely.

Um...holy shit. This got fucked real fast.

The family saves Robbie, and heads into the room to find Carol Anne. However, she’s nowhere to be found. While they search the swimming pool, an absolutely freaked out Robbie finds Carol...inside of the TV. And I’ll be honest with you guys: I already knew a little bit about the plot, so this doesn’t surprise me. But how this is executed...DAMN. That’s fuckin’ excellent. 

Completely and immediately lost as to what they can do, a distraught Steven goes to a local university and speaks with paranormal investigators Dr. Martha Lesh (Beatrice Straight), Dr. Ryan Mitchell (Richard Lawson), and Dr. Marty Casey (Martin Casella). They’re enthusiastic about seeing the house, and they go to help the family find Carol Anne. And when they see Carol Anne’s room, they realize how ABSOLUTELY FUCKED THEY ARE

This...is an EXCELLENT place to pause. See you in Part Two!

[cartermagazine]

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Today In History

Diahann Carroll, an American television/stage actress, and singer — known for her show ‘Julia’ and films such as ‘I Know Why the Caged Bird Sings,’ and ‘Claudine’ was born on this date July 17, 1935.

Carroll made a number of films during her career and was nominated for an Academy Award for Claudine in 1974. It wasn’t until she was cast as the lead in Julia in 1968, however, that Diahann Carroll became a bona fide celebrity. The role made her the first African-American woman to star in her own TV series. She was nominated for an Emmy for Julia in 1969 and won the Golden Globe Award in 1968.

She was also well known for her role as jet setter Dominique Deveraux on Dynasty from the 1980s. She received her third Emmy nomination in 1989 for her role on A Different World.

Diahann Carroll had a long, successful career that expanded through 5 decades.

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El collage (del francès, coller: enganxar) és una tècnica pictòrica consistent en la realització d'una pintura o dibuix amb un o més objectes superposats o no, enganxats a un suport. El collage es pot compondre per complet o solament en part de fotografies, fusta, pell, diaris, revistes, objectes d'ús quotidià, etc. Quan l'objecte resultant se separa de la paret, parlem d'assemblage. La tècnica oposada al collage és el décollage (en francès, literalment "desenganxament"), que consisteix a construir una imatge arrencant o esquinçant parts de l'original de manera que sol quedar al descobert la imatge de sota.

Història

Encara que es considera que va ser Picasso qui va inventar el collage el 1912 amb la seva pintura Naturalesa morta amb cadira de reixeta, està en discussi�� si va ser primer Picasso o Georges Braque. En tot cas, trobem un precedent amb l'art trobat del dadaista Marcel Duchamp. Amb aquest gènere artístic, l'artista tria un objecte, objecte trobat, el qual sacralitza com "art", des d'una pedra que crida la seva atenció en un camí a una imatge que li agrada en una revista. Dels objectes trobats al collage hi ha només un pas. El collage ha estat utilitzat, doncs, en les avantguardes històriques de principis del segle XX: Futurisme, Cubisme, Dadaisme, Surrealisme, Constructivisme… Així mateix és una tècnica habitualment emprada pels creadors del Mail art en la difusió dels seus treballs.

via: També és utilitzada en la il·lustració de llibres infantils...

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COLLAGE

Seminari. Mestres del collage

 Dawn Ades: El collage, el fotomuntatge i l'avantguarda europea

 Diane Waldman: Joseph Cornell, un univers de somnis Anne Umland: Un desafiament a la pintura: Miró i el collage als anys vint  Dominique Dupuis-Labbé: El collage cubista: Picasso, Braque i la realitat

Carolyn Lanchner : La “bona noia ” de dadà : els fotomuntatges de Hannah Höch

 Matthew Gale: Germana pertorbació: de De Chirico a Ernst

Alícia Suárez: L'avantguarda russa Lourdes Cirlot : La influència del collage en l'art de la postguerra a Europa i als Estats Units.

 Fèlix Fanés: Avantguarda i cultura de masses. Tres exemples

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La historia del collage.Del cubismo a la actualidad

Wescher, Herta

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a la Biblioteca:

Accés al Catàleg de la Biblioteca

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Le fantôme de l'opéra - Radio dramatisation

Gaston Leroux: Le Fantôme de l'Opéra (1964 / France Culture). Broadcast on France Culture on October 3, 1964. "Le Fantôme de l'Opéra" is a "radio film" by Jean-François Hauduroy adapted, in 1964, from the eponymous novel by Gaston Leroux written in 1910. This ghost, which haunts the basement of the Opéra Garnier, is not really a ghost. He frightens and terrifies us because he is a flesh-and-blood character. Erik, the "ghost" of the Opera, is an extraordinary character, whose role is played here by no less extraordinary an actor, Alain Cuny, Performed by: Danièle Ajoret (from the Comédie Française, Christine Daaé), Alain Cuny (Erik), René Farabet (Georges / Raoul de Chagny), Jean-Roger Caussimon (The Persian), Christian Lude (Firmin Richard, the new director), Hubert Deschamps (Armand Monchardin, the new director), Jeanne Frédérique (Madame Giry). With the assistance of René-Jacques Chauffard, Raymond Pélissier, Raymond Jourdan, Micheline Bona, Dominique Jayr, Pierre Decazes, and René Renot. Sound effects: Robert Maufras Directed by Claude Roland-Manuel LINK: https://mega.nz/#!Wxc3haRQ!lwFRDhtsaVJKpfB-e8XanhowvqBO87qn0AiWUWR5IYc