#chef de famille
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ayanna-tired · 2 years ago
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Akito Sôma ~ Furuba
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hcdahlem · 3 months ago
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Tarentule
Autour de ses thèmes de prédilection, l'identité et la religion, Eduardo Halfon exhume un douloureux souvenir d'enfance, le camp d'été au Guatemala auquel il a participé avec son frère. Des décennies plus tard, il va partager ses souvenirs.
  En lice pour le Prix Médicis étranger 2024 En deux mots Sous l’injonction de leur père, deux frères guatémaltèques, exilés aux États-Unis, rentrent au pays natal pour un camp de vacances en forêt pour les enfants juifs. Une expérience traumatisante dont l’auteur va se souvenir bien des années plus tard en retrouvant deux participants. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique Un camp d’été très…
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empiredesimparte · 1 year ago
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"Freedom" The book that shakes the Simparte imperial family!
As Francesim prepares to celebrate the coronation of Emperor Napoléon V, Louis Simparte decides to overshadow his grandson. In a work that blends his personal story as a fallen prince with the history that is written in books, Napoléon V's grandfather recounts his shocking life as an exile from the Simparte family for his modern views.
Summary: His first political act? Changing his first name. Formerly Louis Napoléon Simparte, he decided to remove Napoléon from his life. Now simply "Louis Simparte", the scandals continued: involved in socialist revolts, he stood up to the head of the House of Simparte on numerous occasions, culminating in a divorce with his entire family. Stripped of his inheritance by his father, Louis Simparte the exile has now decided to shed light on his family's shadowy past and present his reflections for the Francesim. Rejecting the conservatism of his ruling family, Louis Simparte wishes to readopt Liberty and the Republic.
⚜ Traduction française
"Liberté" Le livre qui fait trembler la famille impériale Simparte !
Alors que la Francesim s’apprête à célébrer le sacre de l’empereur Napoléon V, Louis Simparte décide de faire de l'ombre à son petit-fils. Dans un ouvrage qui mêle son histoire personnelle de prince déchu et l’Histoire qui s’écrit dans les livres, le grand-père de Napoléon V raconte sa vie bouleversante d'exilé de la famille Simparte pour ses prises de positions modernes.
Résumé : Son premier acte politique ? Changer de prénom. Autrefois prénommé Louis Napoléon Simparte, il décide de retirer Napoléon de sa vie. Devenu simplement "Louis Simparte", les scandales se poursuivent : révolté auprès des mouvements socialistes, il se dresse face au chef de la Maison Simparte à de multiples reprises, jusqu'au divorce avec toute sa famille. Déchu de son héritage par son père, Louis Simparte l'exilé décide aujourd'hui d'éclairer les zones d'ombres de sa famille et de présenter ses réflexions pour la Francesim. Rejetant le conservatisme de sa famille dirigeante, Louis Simparte souhaite réadopter la Liberté et la République.
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kilfeur · 1 year ago
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Clara qui travaille dans un cirque fait assez sens, j'avoue que je me sens bête de pas y avoir penser. Clara travaille dur sur ses performances pour donner le sourire aux spectateurs. En revanche, elle a été séparée de sa famille et croit que le chef de cirque va les retrouver. Vu la photo, je me demande si en fait la famille de Clara est en fait une troupe de magiciens mais qui se sont séparés à cause du trafic d'humains dont Ifrit en parle. D'ailleurs j'ai remarqué qu'Azz réagit à certains dialogues. Lorsque le chef du cirque parle du fait que jusqu'à ce qu'ils se brisent, ils ne s'arrêteront jamais ainsi que de la collaboration avec des robots d'expériences échoués. Faisant référence à sa collaboration avec la police. Ou bien quand Clara parle du nombre de jours où elle est en cage, ça doit probablement faire référence au nombres de jours où il était incarcéré.
Clara working in a circus makes a lot of sense, and I have to admit I feel a bit dumb for not having thought of it. Clara works hard on her performances to put a smile on the audience's face. On the other hand, she's been separated from her family and believes that the circus owner will find them. Given the photo, I wonder if Clara's family is in fact a troupe of magicians who got separated because of the human trafficking that Ifrit talks about. Incidentally, I've noticed that Azz reacts to certain dialogues. When the head of the circus talks about the fact that until they break up, they'll never stop, and about collaborating with robots from failed experiments. Referring to his collaboration with the police. Or when Clara talks about the number of days she's in a cage, she's probably referring to the number of days he was incarcerated.
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les-annees-vingt · 8 months ago
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Nancy Cunard par Cecil Beaton, 1920.
Nancy Clare Cunard, née le 10 mars 1896 à Nevill Holt (Leicestershire) et morte le 16 mars 1965 à Paris, est une écrivaine, rédactrice en chef, éditrice, militante politique, anarchiste et poètesse anglaise.
Née en Grande-Bretagne dans une famille aisée, elle rejette résolument les valeurs familiales et consacre la plus grande partie de sa vie à lutter contre le racisme et le fascisme. Grande collectionneuse d'art africain, elle devient la muse de nombreux écrivains et artistes des années 1920 et 1930, parmi lesquels Wyndham Lewis, Aldous Huxley, Tristan Tzara, Ezra Pound, et Louis Aragon, qui comptent parmi ses amants, ainsi qu'Ernest Hemingway, James Joyce, Constantin Brancusi, Eugene McCown, Langston Hughes, Man Ray et William Carlos Williams.
Dans les dernières années de sa vie, elle souffre de problèmes mentaux et sa santé physique se détériore. Elle meurt à l'hôpital Cochin à l'âge de 69 ans.
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selidren · 6 months ago
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Automne 1921 - Champs-les-Sims
8/10
Et vous avez également raison, c'est une femme d'un certain âge et il sera bien trop compliqué de lui faire changer de point de vue sur la société. Il est déjà très improbable qu'une femme de son âge soit si enthousiaste à l'idée que ce soit une autre femme qui devienne un jour chef d'entreprise comme cela attend ma Noé. En cela, et en cela uniquement, cela fait de Madame Eugénie une centenaire d'une incroyable modernité. Pour répondre à votre question d'ailleurs, chez nous également ce congé existe depuis plus de dix ans, et si j'avais travaillé, j'aurai pu en bénéficier quand j'attendais Jean-François. Figurez vous même que les institutrices sont rémunérées durant ce congés ? Si au début cela me paraissait étrange que l'on rémunère quelqu'un qui ne travaille pas, je me suis morigénée. Vous et moi savons parfaitement que porter un enfant, le mettre au monde puis l'éduquer est une occupation largement assimilable au travail.
Transcription :
Eugénie « J’ai ordonné à Adelphe de te laisser les rênes de l’entreprise dès ta majorité. Il n’a pas fallu beaucoup batailler, car selon lui tu seras plus que capable le moment venu. Ainsi, peu importe que je sois encore là ou pas, tu devras t’imposer à la tête de la famille. »
Arsinoé « Mais… »
Eugénie « Tu n’as rien à craindre. Marc-Antoine sera là pour t’épauler. C’est un garçon intelligent qui aura pour lui un diplôme et de solides relations à Paris. Il m’a aussi confié dans sa dernière lettre s’intéresser à la politique, ce qui est très bien pour toi. En tant que femme, tu rencontreras des hostilités, alors t’appuyer sur un politicien te simplifiera la tâche. Je le prépare à tout cela depuis sa naissance. »
Arsinoé « Mais… comment ? »
Eugénie « Il sera pour toi ce qu’Adelphe est à ton père, une main secourable et totalement dévouée. Ne te préoccupe pas des moyens, je ne pouvais pas te faire de meilleurs cadeaux. Laisse donc tes sœurs à leurs activités de jeunes filles, assure toi simplement que le jour venu, elles fassent un bon mariage, si je ne m’en suis pas déjà occupée. Elles son adorables mais elles ont la tête pleine d’eau... »
Arsinoé « Mais enfin arrêtez ! »
Arsinoé « Pourquoi vous parlez comme ça ? J’ai l’impression que vous complotez contre moi depuis ma naissance… »
Eugénie « Oh ma chérie… Sèche tes larmes. Ce n’est pas un complot contre toi, bien au contraire. Depuis que ta mère t’a présenté à moi, je n’ai pensé qu’à ton bien. J’ai méticuleusement préparé ton avenir afin qu’il soit le plus facile possible. »
Arsinoé « Mais… la façon dont vous parlez de Sélène et Cléo… Vous les détestez c’est ça ? Et Marc-Antoine, pourquoi vous voulez que sa vie tourne autour de la mienne ? C’est horrible. »
Eugénie « Non bien sur que non, je ne déteste pas tes sœurs, ni ton frère d’ailleurs. Ils sont de mon sang, et je les aime. J’ai à coeur leurs meilleurs intérêts. Mais ils ne sont pas comme les tiens. Tu es différente. »
Arsinoé « Vous me répétez cela depuis aussi longtemps que je me souvienne. Mais je ne suis pas différente. »
Eugénie « Ne joue pas les écervelées, bien sur que tu es différente ! Et bien plus que tu ne le crois. Tu seras la première femme à prendre la tête de cette famille, et tu ne te rends pas compte à quel point cela me rend fière. »
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lilias42 · 25 days ago
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22 : en train de manger son repas préféré
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Pomme en train de manger ce qu'elle préfère, une pomme (point de vue de Glenn).
Pour reprendre, un petit dessin tout tranquille et simple de Pomme, une agarthan qui vient de mon UA où Lambert survit à Duscur, à la base sous les ordres de la "Grande Esprit" Dia, dite la "Meneuse Erudite" et en charge de s'assurer de la survie des "cobayes".
Dans ma version, les agarthans ont une société extrêmement hiérarchisé avec tout un culte des chefs, en particulier Thalès qui est considéré comme l'être le plus puissant existant, même plus fort que les dieux. C'est vraiment un gourou de secte mais, dont la secte est un peuple entier élevé pour lui être dévoué corps et âme même s'il les mène tous à la catastrophe. Ils n'ont aucun respect pour la vie des humains qu'ils considèrent comme des animaux (ils chassaient même le peuple de Métahéta qui a eu le malheur d'être leur voisin direct pour leur propre amusement et pour récupérer des cobayes pour leurs expériences tordues, c'est d'ailleurs pour les protéger d'eux qu'elle est devenue une sorcière) et ont tellement détruits tout Fodlan que Sothis a provoqué un déluge afin de les arrêter pour de bon et de recommencer à zéro. Cependant, même si une grosse partie des agarthans sont morts, une partie a pu trouver refuge à Shambhala et depuis, Thalès prépare sa revanche, tout en resserrant son étau sur son peuple afin qu'il lui soit complètement soumis et que personne ne le remette en cause, ce qui le conduit à déshumaniser le plus possible son peuple en dehors de ses alliés et conseillers qui ont le droit d'avoir une personnalité et une identité qui leur est propre, tous les autres ne sont que des "matricules" juste bon à obéir.
Pomme nait quelques siècles après le déluge mais, elle ne connait pas ses parents, et elle n'a pas non plus de nom étant donné qu'elle est un matricule. Comme tous les agarthans de sa génération, elle n'est pas né par "reproduction primitive" qui, selon Thalès évidemment, rendrait les femmes inutiles trop longtemps et feraient trop réfléchir les parents pour leurs enfants plutôt que de sacrifier leur existence entière à l'Agastya alors, il essaye même de détruire le concept même de famille et de lien affectif ou sociaux. C'est même une méthode de reproduction qui est complètement interdite à Shambhala. Dans son idée, plus les individus sont isolés et dépendent de son régime tout en étant complètement endoctriné par son régime, mieux c'est car, ils ne se rebelleront pas, et on ne fait monter que les gens qui lui sont le plus fidèle et doué à ses yeux. Pour se faire, dans le nouveau processus reproductif, même si le taux d'échec est relativement élevé, on récupère les gamètes des individus considérés comme normaux et de bonne qualité (oui, qualité, il parle de son peuple comme du bétail et c'est le but, avoir une masse informe incapable de réfléchir), puis ils les sélectionnent tenter d'en avoir un nouveau avec certaines caractéristiques et en évitant autant que possible la consanguinité, avant de faire incuber les embryons considérés comme viable (donc, dès qu'il y a un soupçon d'handicap physique ou mental, même très faible, il les élimine, c'est vraiment une société complètement eugénique et qui l'assume) dans des éprouvettes le temps nécessaire à la gestation, ce qui donne une "larve" qui est ensuite élevé par des éleveuses en groupe mais, les éleveuses en question ont interdiction de créer des liens avec les larves dont elle s'occupe. Plus tard, quand Pomme racontera comment les enfants naissent à Shambhala, Glenn fera remarquer que c'est un processus qui pourrait aider beaucoup de famille qui voudrait avoir des enfants mais, ne le peuvent pas pour diverses raisons (infertilité, santé trop fragile, précédent accouchement qui s'est trop mal passé...) mais, que Thalès a réussi à en faire une véritable horreur et un instrument de contrôle.
Quand Pomme nait, on lui donne le matricule 456 (c'est le premier matricule de la liste, son dernier propriétaire doit être mort pas longtemps avant), qui sera également tatoué sur son bras quand elle sera considérée mature, comme pour le bétail, et elle recevra également l'éducation la plus basique possible pour juste qu'elle soit utile comme assistant, petite main... mais pas plus, on lui apprend surtout à vénérer l'Agastya et à le craindre sans se poser de question. Quand elle sera adulte, elle aura également toujours la même routine, les mêmes tâches, les mêmes habits qui sont les mêmes que tous ses camarades de services, le tout en étant rythmé par des sonneries à rythme très soutenu pour qu'ils n'aient juste pas le temps de réfléchir, de se poser pour discuter ou créer des liens avec les autres. Les repas (le même tous les jours et pour tout le monde) sont collectifs mais, ils se font en silence et même au travail, personne ne doit parler en-dehors des cadres de leurs tâches, et ils ont même un vocabulaire très limité dans leur propre langue histoire d'encore plus leur mettre des batons dans les roues de la réflexion. Si tu ne peux pas nommer ce qui t'arrive ou décrire ce que tu ressens, c'est bien plus difficile de le combattre. Vraiment, tout est fait pour éliminer l'humanité et l'esprit critique des matricules pour que Thalès ait juste une armée incapable de réfléchir par eux-mêmes.
Cependant, malgré tout, malgré tous les efforts de Thalès, des petites traces de liberté arrivent à survivre malgré tout. Chez les éleveuses par exemple, elles racontent en cachette les histoires et les contes de leur peuple d'avant le Déluge aux "larves" avant de s'endormir, et prennent soin d'eux car juste, c'est humain, ils ont des sentiments humains et des besoins humains, même s'ils sont bridés le plus possible par Thalès et l'organisation de sa secte. Par exemple, sa première éleveuse appelait parfois les larves "enfants" car elle était née avant le Déluge et avait appris ce mot qu'elle utilisait avant, même si elle a disparu pendant l'enfance de Pomme car, elle était devenue trop vieille alors, elle a été euthanasiée, Thalès considère les personnes âgées ou malades comme des poids dont il faut débarrasser la société (et encore une fois, volonté eugéniste en action... oui, j'insiste bien sur ce point vu que dans ce fandom, trop de gens parlent d'eugénisme sans forcément savoir ce que c'est, surtout pour défendre un personnage et ses alliés monstrueux en particulier). C'est notamment comme ça qu'elle en apprend plus sur le Traitre dont il ne faut même pas nommé le matricule et dont plus personne ne le porte à cause de l'infâmie qui a frappé son numéro lorsqu'il a trahi l'Agastya, le Matricule 4 (plus connu à la surface comme Pan Hange, celui de l'histoire de Loog mais ça, c'est une autre histoire). Au travail, même si c'est dur, c'est parfois possible de discuter avec ses collègues, juste pour pouvoir parler à quelqu'un et tenir.
Et Pomme arrive tant bien que mal à non pas à développer un esprit critique affuté mais, elle arrive à développer son empathie et son esprit. C'est un embryon, elle est encore très matrixé par la secte et le régime très autoritaire et même totalitaire de Thalès mais, c'est déjà énorme qu'elle soit capable de ressentir de l'empathie envers les autres alors que c'est considéré comme une tare et qu'on fait tout pour arriver à lui retirer le peu de libre-arbitre et de personnalité qu'elle a réussi à développer malgré tout.
Elle hésite par exemple à euthanasier des embryons qui ont des risques d'handicap très faible quand elle travaillait au secteur reproductif, et elle a aussi chercher dans les archives qui étaient les donneurs de ses gamètes, même si elle n'a pas pu trouver leur matricule, juste qu'ils avaient été choisis car, ils étaient très endurants et que l'Agastya voulait de nouveaux matricules résistants. Elle est donc transféré du service de reproduction à celui des cobayes, où ils conservent tous les humains capturés pour leurs expériences, le tout avec l'espoir de finir de la briser afin d'en faire une bonne matricule obéissante et qui ne fouine pas. Il est même prévu de complètement la stériliser afin d'être sûr qu'elle ne transmette pas ses "mauvais gènes" à d'autres agarthans car, elle est trop empathique et arrive tant bien que mal à garder une toute petite part de libre-arbitre, et si vraiment, elle "empirait", elle aurait été assassiné... pardon, "euthanasier pour assurer que Shambhala reste saine sans dissident risquant de créer le chaos et d'entraver le Grand Plan de leur vénérée Agastya" (car encore une fois, c'est une société - tous en choeur - eugéniste alors, on élimine tout ceux qui ne rentre pas dans le moule et réfléchisse un peu trop). Juste vouloir connaitre ses origines et refuser d'euthanasier un embryon car il a 30% de chance d'avoir un handicap, c'était trop.
Enfin, entre temps, on l'envoie en mission à la surface avec Bias au moment où le complot pour provoquer la Tragédie de Duscur se met en place, et que les agarthans commencent à tenter d'infiltrer Faerghus pour le rendre plus instable et avoir un autre pays sous leur contrôle après Adrestia. Faerghus dans mon univers, c'est pas le pays le plus stable : si le grand-père de Dimitri, le roi Ludovic, a été un excellent roi qui a remis son pays à flot après le règne tyrannique de son père, Clovis dit le Sanglant, et il voulait même remettre en place la monarchie élective comme du temps de Loog car, il considérait que c'était trop dangereux de laisser autant de pouvoir à une seule famille et que ça revenait à choisir le souverain sur un coup de dé selon qui naissait dans la famille, chose qui s'est beaucoup vérifié dans l'histoire récente faerghienne où sa dynastie devenait de plus en plus autoritaire et concentrait de plus en plus de pouvoir en devenant intouchable au point que les faerghiens comparaient la succession à un jeu de dé : tu tire un six, tu as un bon roi, tu tires 5 ou 4, ça va passer en serrant les dents, et pour le reste, tu pries pour qu'il meure vite (et pour Clovis, les dés ont carrément explosé quand on les a lancé tellement ce type était une horreur absolu). Ludovic a toujours été convaincu que c'était la bonne chose à faire pour éviter d'avoir un nouveau Clovis le Sanglant et malheureusement pour lui, pour retirer à tout prix le pouvoir à son fils Lambert qui n'avait juste pas les épaules pour le poste, il est bien trop naïf, indécis et pas assez fin pour être roi mais hélas, il est mort de la tuberculose assez jeune et Rufus a volé son testament alors, il n'a pas pu mettre en place cette monarchie élective et, toutes ses craintes se sont réalisés. Lambert est un roi pitoyable, qui met son pays en danger par sa trop grande confiance en lui et les autres, son incompétence et sa naïveté en pensant pouvoir satisfaire tout le monde mais au final, il ne satisfait personne et si ça n'a pas explosé, c'est parce que les jumeaux de Fraldarius et la grande sororie Charon était derrière pour assurer en rattrapant la moindre de ses gaffes autant qu'ils pouvaient.
En bref, le pays est mûr pour se faire infiltrer par les agarthans qui ont déjà remplacé Cornélia quelques années auparavant pour avoir déjà un bon agent infiltré auprès du roi de Faerghus à qui il ferait confiance, elle a Patricia dans sa poche et quand elle lui avoue que Lambert compte aller à Duscur sans prendre le temps de bien préparer le voyage (vu qu'au lieu des un an nécessaire pour la préparation d'un tel voyage, tout devra se faire en 2 mois), les agarthans sautent sur l'occasion, surtout qu'ils ont déjà fait alliance avec le très ambitieux Kleiman qui pense que cela l'aidera à gravir les échelons et à devenir plus puissant.
Pomme (enfin, Matricule 456) se retrouve donc affecter en Kleiman sous les ordres de Bias comme petite main. Sa principale tâche est de maintenir en vie les "cobayes" capturés par les autres agarthans et les hommes de Kleiman, afin qu'ils aient toujours des sujets de test pour leurs expériences tordus. D'abord, ce sont des duscuriens étant donné que Kleiman les attaque afin de leur voler leurs terres, puis ce sera les personnes disparus après la Tragédie de Duscur, n'importe qui qui a la mauvaise idée de se balader seul dans les rues de la ville de Kleiman puis, de nouveau quelques duscuriens récupérés lorsque des seigneurs de l'Ouest et du Sud lancent des offensives contre eux, même si c'est bien plus limité que dans le jeu. Lambert étant encore en vie, c'est le seul qui peut autoriser une guerre à avoir lieu, Rufus ne peut pas le décider à sa place alors, les seigneurs ne peuvent pas trop partir en guerre et faire un génocide comme il l'espérait pour ensuite voler les terres et les mines des duscuriens (et ce type sert à quelque chose pour une fois dans sa vie). Pomme obéit mais, elle se sent très mal, elle déteste ce qu'elle est en train de faire car, elle sent que c'est mal, c'est dur de ne pas s'en rendre compte quand elle entend les hurlements de douleurs des cobayes sous le scalpel des scientifiques alors, même si elle ne peut rien faire pour libérer les "cobayes" (et la plupart n'est pas en état pour s'échapper ou survivre seul avec ça), Pomme fait tout pour réduire un maximum leurs souffrances et bien les traiter. Elle fait vraiment tout pour qu'ils ne souffrent pas, même si elle se fait taper sur les doigts pour gaspiller des produits assez difficiles à avoir et cher pour de simples "cobayes", même si elle arrive à s'en tirer en disant que si elle ne le fait pas, il risque de mourir de douleur.
Elle s'occupe notamment de Glenn qui fait partie des disparus de Duscur (et a survécu dans cette version de l'histoire, là où dans l'histoire de base, il est est mort pendant la bataille), Bias et les autres "scientifiques" agarthans voulaient lui mettre la main dessus et sur toute sa famille pour pouvoir comparer les effets de l'emblème plus généraux sur le corps humain vu qu'il n'a pas d'emblème, Félix l'a majeur, et les jumeaux ont un emblème mineur. En plus, les jumeaux sont de vrais jumeaux monozigotes tout en ayant un magicien et un autre autre qui ne l'est pas, alors, ils sont des "sujets d'expérience" de choix pour eux pour savoir ce qui est inné ou acquis pendant la vie ainsi que l'influence de la magie humaine sur le corps et comment ça pourrait leur être utile.
Pendant ce poste, elle se lie également d'amitié (même si elle n'est pas encore en mesure de nommer ce sentiment) avec un autre matricule qui est en charge de se débarrasser des corps des morts, matricule 951 (qui s'appellera Vivian une fois libre pour reprendre le nom d'Ivy - je vous parlerai d'elle le 27 - car, il est très impressionné par sa force de caractère, il voulait même s'appeler Ivy de base, même si elle a modifié un peu le nom pour en faire un qui sonne plus masculin), qui est également un "taré" comme elle car, il a également réussi à développer de l'empathie envers les autres, notamment les humains dont il s'occupe. Même si lui aussi a une marge de manoeuvre très limité, il ferme par exemple les yeux des corps dont il s'occupe et ne les traite pas juste comme des déchets, il essaye d'y faire attention.
Tout ça dure jusqu'à la chute de Kleiman, quand une alliance de marins faerghiens, de plusieurs navigateurs duscuriens, de quelques srengs qui se sont mêlés à tout ça pour les soutenir (même si ce serait bien trop long de tout raconter ici), et la délégation de Leicester à Faerghus mené par Oswald von Riegan et la capitaine corsaire Ivy Drake prennent d'assaut la ville de Kleiman pour l'arrêter car, le type a attaqué les duscuriens de manière illégale (même s'il avait le soutien de Rufus qui voulait juste éliminer les duscuriens pour avoir fait du mal à son frère sans chercher plus loin alors que ce n'était pas eux les responsables de la Tragédie) et était tellement à l'aise avec ça qu'il a apporté un sac rempli de tête de duscurien de tout âge (homme, femme, enfant, vieillard, bébé...) à Fhirdiad pour lui montrer ce qu'il avait accompli.
La ville est prise par les assaillants, et Pomme et Vivian font partie des agarthans capturés après qu'Oswald et Ivy ait réussi à tuer Bias ensemble. Elle est évidemment morte de peur, surtout quand elle sait qu'un des chefs de cette coalition, Oswald von Riegan, a un emblème majeur. En effet, Thalès leur a toujours dit que si un agarthan ordinaire (soit tout le monde sauf lui et ses fidèles les plus proches) touchait une personne avec un emblème mineur, il serait brûlé comme s'il touchait du salpêtre, et si c'était un emblème majeur, cela les brûlerait comme le soleil (les agarthans vivant sous terre, ils sont très sensibles à la lumière, même une chandelle peut leur faire mal aux yeux). Cependant, Oswald les traite très bien et au bout d'un moment, il arrive à convaincre Pomme et Vivian de coopérer avec eux en échange de sa protection, qu'il n'aurait plus jamais à retourner à Shambhala et que plus personne ne leur ferait de mal, promesse renforcée par le fait qu'il a bien réussi à vaincre Bias qui était pourtant une Grande Esprit très puissante (même s'ils sont les seuls de leurs groupes, tous les autres étant encore trop endoctriné et terrifié par Thalès et Shambhala pour suivre). C'est d'ailleurs à ce moment qu'elle choisit son nom avec son ami quand Oswald et Ivy leur expliquent que ça ne se fait pas d'appeler quelqu'un par un numéro à part les criminels. Elle a pris le nom de Pomme car, elle venait d'en manger une pour la première fois et qu'elle avait adoré ça, même si elle a hésité avec "Soupe" car celle qu'elle venait de manger était meilleure que tout ce qu'elle avait mangé de sa vie entière (surtout avec des morceaux de pain sur les conseils d'Oswald) mais, le duc lui a dit que Pomme était un très joli prénom alors, elle a pris ce nom-là.
C'est à ce moment-là qu'elle et Vivian leur montre le laboratoire des agarthans et qu'ils apprennent, bah déjà que les agarthans existent, mais aussi l'ampleur du complot autour de la Tragédie de Duscur et que ça faisait surement partie d'un plan bien plus grand mais là aussi, je vous conseille plutôt de lire cette UA pour avoir tous les détails vu que ce serait trop long de tout expliquer ici ("l'auto-promo c'est génial !") Enfin bref, le plus important pour le moment, c'est que Glenn et les autres sont sauvés, et qu'ils vont pouvoir tous rentrer chez eux ! Ivy embarque tout le monde qu'elle peut sur son navire et ramène les survivants chez eux alors qu'elle fait route jusqu'à Fhirdiad. Vivian la suit vu qu'il a énormément de respect pour elle, tout comme Pomme qui veut continuer à s'occuper des blessés pour se racheter auprès d'eux et qu'ils ne meurent pas. Même si elle ne faisait que suivre les ordres, elle les a quand même suivi et a aidé à ce massacre générale. Elle a juste empêché les prisonniers de souffrir mais, elle ne les a pas tiré des griffes de Bias et ses scientifiques, tout en les laissant dans ce calvaire alors, elle s'en veut énormément et veut se racheter, même si Glenn lui fait remarquer qu'elle a déjà fait beaucoup en faisant tout ce qu'elle pouvait pour qu'ils souffrent moins, les empêcher de mourir malgré tout et qu'elle n'avait pas beaucoup de marche de manoeuvre elle-même pour agir, surtout qu'elle a été elle aussi endoctriné par tout ça, c'est déjà beaucoup qu'elle soit capable de juste capable d'éprouver de l'empathie pour un groupe que Shambhala considère comme des "insectes".
Les deux commencent d'ailleurs à beaucoup se rapprocher pendant le voyage, Glenn lui parlant beaucoup de sa famille et il arrive à accepter se montrer avec elle, même s'il a honte d'être devenu aussi faible à cause de ses blessures, et Pomme l'apprécie beaucoup pour sa gentillesse, il lui dit même qu'elle peut rester avec eux et sa famille. Elle a énormément de choses à apprendre et à rattraper vu qu'elle n'a jamais pu développé librement sa personnalité, elle doit tout apprendre alors qu'elle est déjà adulte et se construire elle-même tout en apprenant à penser et agir par elle-même, à se débarrasser de l'endoctrinement de Shambhala en fait et même si c'est très difficile, Glenn reste toujours là pour l'aider et la soutenir. Il l'apprécie vraiment et aime beaucoup la personne qu'elle devient, quelqu'un de vif, intelligent, altruiste et qui veut aider les autres, avec une passion pour tout ce qu'elle fait quand elle sait que cela aidera les gens. Elle aussi sera très attaché à lui pour sa personnalité franche, sa droiture, sa gentillesse et sa patience. L'intégration se fait un peu difficilement au début, surtout avec son aspect assez étrange vu que même si elle peut se faire passer pour une humaine, ses cheveux n'ont pas une couleur très fréquente (elle a les cheveux encore plus rose vif qu'Hilda, Glenn les compare à des azalées pour vous donner une idée), sa peau est particulièrement pale et ne bronze pas, et sa pupille n'est pas noire mais, d'une couleur un peu plus sombre que son iris, soit également rose, et il y a aussi son comportement assez étrange, très robotique au début vu que juste, elle ne sait pas se comporter en société et expérimente la vie autonome et libre pour la première fois, faut qu'elle apprenne mais, elle finit par s'intégrer, surtout que les gens respectent énormément ses compétences médicales qu'elle met au service de Fraldarius.
Si au début, c'est surtout de très bons amis avec Pomme qui découvre le monde et sa nouvelle autonomie, petit à petit, avec le temps, quand elle est devenu complètement autonome et s'est complètement tiré de l'influence toxique de Shambhala (surtout que Thalès est mort donc, ça fait une crainte en mois - toujours un peu d'auto-promo pour la fin ^^) Glenn et elle se rapprochent de plus en plus et finissent par tomber amoureux l'un de l'autre, puis ils se marieront ensemble (dans mon histoire, il n'a jamais été fiancé à Ingrid, leurs deux familles sont même ennemis jusqu'à ce que le père d'Ingrid remette sa famille sur le droit chemin, c'est surtout Ingrid qui a un gros béguin d'ado lui car, c'est le gars cool et le chevalier idéal, Glenn qui laisse faire sans l'encourager tout en se disant que ça finira par lui passer vu qu'il la voie que comme une petite soeur).
Elle vivra donc à Egua avec lui et toute sa famille, et ce sera surement de leur côté que la lignée des Fraldarius continuera vu que Félix sera le duc en titre mais, il n'aura jamais d'enfant (il est en couple avec Sylvain) et n'en veut pas, mais il aimera beaucoup ses neveux et nièces qu'il adore. Elle restera toujours aux côtés de Glenn et de Félix, même si étant une agarthan, elle vieillit beaucoup plus lentement et quand Glenn finit par mourir, elle, elle a à peine vieillit de quelques jours mais, ils se sont aimés de tout leur coeur jusqu'au bout. Elle restera pendant très longtemps à Fraldarius pour veiller sur les terres de sa famille d'adoption, ses enfants et ses descendants qu'elle aimera toujours plus que tout au monde, tout en chérissant le souvenir de quand elle s'est enfin libérée de l'emprise de Shambhala et Thalès où elle a enfin pu devenir elle-même et être libre.
Mais là, tout ça n'a pas encore eu lieu, et elle profite de sa vie libre en mangeant ce qu'elle préfère, une pomme fraichement ramassé dans le jardin de la forteresse qui a aussi été son premier repas libre, sous le regard de Glenn qui est heureux de la voir s'épanouir au soleil.
Petit point de conception :
Pour ses vêtements, je me suis inspirés de différents habits traditionnels grecques. Vivian suivant à présent Ivy, il navigue et explore le monde avec elle alors, il ramène très souvent des cadeaux à sa meilleure amie de ses voyages. J'ai mélangé plusieurs affluence vu que je verrais bien Pomme aimer s'habiller de manière un peu original maintenant qu'elle est libre. Elle a dû toujours porté la même robe pendant des décennies, maintenant qu'elle peut choisir ce qu'elle porte, elle en profite ! Il y a des éléments qui viennent d'un peu partout mais, elle met surtout ce qu'elle aime et ce qu'elle trouve joli ensemble.
Pour son bras gauche, elle est tatouée. C'est ici que son numéro de matricule a été tatouée quand elle était à Shambhala, afin d'avoir son numéro d'identification toujours visibles et leur enfoncer encore plus dans la tête que les matricules sont de simples numéros remplaçables. Quand Glenn l'a su, il lui a proposé de voir un tatoueur pour qu'elle puisse le recouvrir et reprendre le contrôle de son corps. Elle a accepté et a dessiner son tatouage avec pas mal d'éléments symboliques. Par exemple, la tête animal est une tête de loup car, les Fraldarius sont associé à des loups et agissent comme une meute qui se protège alors, cela marque son appartenance aux Fraldarius et qu'elle est l'une d'entre eux à présent (d'où le fait qu'elle a aussi mis leur emblème juste au-dessus). La pomme quant à elle symbolise son prénom, signe qu'elle est sa propre personne à présent et plus un numéro, et rappelle toujours son premier repas. Je la verrais bien s'en faire d'autre d'ailleurs pour encore plus marqué qu'à présent, elle a le contrôle de son corps.
Pour les fleurs de son tatouage, elles ont également un sens pour elle une fois qu'elle a appris le langage des fleurs : fleur de pommier (c'est sa plante et parce que c'est un symbole de connaissance, surtout qu'elle essaye de toujours en apprendre plus sur le monde maintenant qu'elle est libre), oeillets (audace, ardeur, liberté en référence à sa nouvelle liberté et pour avoir osé faire confiance à des humains malgré sa peur), coquelicot (apaisement, consolation, ardeur timide vu qu'elle était très timide au départ et qu'elle s'en voulait beaucoup avant d'arriver à trouver un moyen d'expier ce qu'elle a fait en aidant les autres), glycines (amitié partagée, tendresse pour son lien avec Glenn vu qu'à ce moment-là, leur amitié se transforme petit à petit en relation romantique), guimauve (douceur, bienveillance qu'elle a mis sur conseil de Glenn vu qu'il trouve que ça correspond à sa personnalité), hémérocalle bleue (persévérance vu qu'elle a toujours persévérer pour arriver à devenir autonome, et c'est également une des valeurs centrales de la famille Fraldarius étant donné que Pertinax est le Brave de la Détermination et de la Persévérance), crocus (joie vu qu'elle est heureuse d'être libre et d'avoir trouvé sa place, et aussi jeunesse mais, elle l'a surtout prise pour sa première signification, même si elle sait pertinemment qu'elle ne vieillira pas aussi vite que ses proches mais, à ce moment-là, elle évite d'y penser pour profiter du moment présent), olivier (paix, vu qu'elle voudrait que les humains et les agarthans vivent en paix), et gardénia (sincérité, vu que c'est quelqu'un aussi de très honnête, qui dit comment elle se sent après avoir dû cacher sa vraie personnalité pendant aussi longtemps, et aussi un peu amour caché vu qu'elle n'osait pas trop avouer à Glenn qu'elle l'aimait au départ vu qu'elle est agarthan)
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aurevoirmonty · 27 days ago
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Des «juifs ethniques sans foi» sont en train «d’exécuter» l’Eglise orthodoxe russe en Ukraine—Poutine
«L'église est mise en pièces devant le monde entier. C'est comme une exécution par un peloton d'exécution», a constaté le chef d'Etat lors de sa conférence de presse de fin d'année.
C'est une violation flagrante des droits de l'homme et des droits des croyants
Le problème selon lui, est que les dirigeants du régime «sont des gens sans aucune foi, des impies».
«Ce sont des personnes sans famille, sans tribu. Ils se moquent de tout. Rien ne leur est cher de ce qui nous est cher et ce qui est cher à l'écrasante majorité du peuple ukrainien.»
En début d'année, Zelensky a fait voter l’interdiction (https://t.me/kompromatmedia_2/1130) du christianisme de l’Eglise orthodoxe russe en Ukraine (UOC), poursuivant le schisme entre Eglises russe et ukrainienne déclenché en 2018 par Porochenko, sous l'impulsion de ses sponsors américains.
Depuis, les bandéristes ne se privent pas de mettre à sac (https://t.me/kompromatmedia_2/1473) les lieux de cultes affiliés à l'UOC.
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sofya-fanfics · 28 days ago
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Tes mains sont si froides
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Fandom : Fruits Basket
Relationship : Hatsuharu x Rin
Voici ma participation pour le 2024 12 Days of Christmas Challenge pour le prompt : « Tes main sont si froides. »
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Rin sortit de la maison et fit quelques pas dans le jardin. L’air à l’intérieur lui semblait de plus en plus oppressant. Tout le clan célébrait le nouvel an. C’était une tradition à laquelle les douze ne pouvaient pas échapper. Pourtant, elle donnerait tout ce qu’elle a pour ne pas y assister. Le poids de la malédiction et la présence d’Akito lui rendait les fêtes insupportables. Mais heureusement, Haru était là. Si elle arrivait à tenir le coup, c’était grâce à lui.
Disclaimer : Fruits Basket appartient à Natsuki Takaya.
@12daysofchristmas
AO3 / FF.NET
Rin sortit de la maison et fit quelques pas dans le jardin. L’air à l’intérieur lui semblait de plus en plus oppressant. Tout le clan célébrait le nouvel an. C’était une tradition à laquelle les douze ne pouvaient pas échapper. Pourtant, elle donnerait tout ce qu’elle a pour ne pas y assister. Le poids de la malédiction et la présence d’Akito lui rendait les fêtes insupportables.
Mais heureusement, Haru était là. Si elle arrivait à tenir le coup, c’était grâce à lui. Même s’ils étaient obligés de se cacher pour que personne n’apprenne leur relation et surtout pas Akito. Tout le monde savait de quoi leur chef de famille était capable. En particulier Hatori qui avait fait les frais de sa colère lors de sa relation avec Kana. Rin n’osait même pas imaginer ce qu’Akito pourrait faire à Haru.
Rin frissonna et passa ses bras autour d’elle. Elle n’avait pas pensé à prendre une veste avant de sortir. Il faisait froid, très froid, mais elle ne voulait pas encore retourner à l’intérieur. Tant pis, pensa-t-elle. Elle pouvait bien supporter le froid encore un peu.
Elle entendit des pas arriver derrière elle. Elle n’avait pas besoin de se retourner pour savoir qu’il s’agissait d’Haru. Elle le connaissait par cœur. Chaque partie de lui, même le son de ses pas.
« C’est là que tu te caches, dit-il. Ça va faire une heure que je te cherche. »
Il exagérait, cela ne faisait pas une heure qu’elle était là.
« Tu vas attraper froid, dit-elle.
-Tu peux parler. »
Elle rougit jusqu’aux oreilles, gênée. Il était habillé chaudement et elle avait oublié de prendre sa veste.
« Je n’ai as envie de rentrer, dit-elle.
-Tu as tord, tu es en train de louper quelque chose. Yuki et Kyo ne sont pas venus. »
Rin écarquilla les yeux. Ils avaient eu le courage de désobéir à Akito ! Kyo avait toujours voulu faire parti des douze et Akito avait tout fait pour détruire Yuki psychologiquement afin de le garder à ses côtés.
«  Je suis sûr qu’ils ont voulu rester avec Tohru, continua Haru. Kagura a explosé de colère et Akito est en train de ruminer la sienne. »
Tohru. Rin fronça les sourcils. En peu de temps, Tohru était devenue le centre de conversation des douze. Ceux qui ne l’avait pas encore rencontrer voulaient le faire et ceux qui la connaissait s’étaient liés d’amitié avec elle. Même Haru. Il l’avait décrit comme quelqu’un de spéciale.
« Elle est en train de sauver Yuki, avait-il dit. Pour moi, c’est tout ce qui compte. »
Rin se demandait ce qui allait se passer. Peu importe que Tohru soit spéciale ou non, Akito ne resterait pas sans rien faire. Surtout si Yuki s’éloigne de leur clan. Tout ce que Rin espérait, c’était que Haru ne se retrouve pas au milieu en voulant protéger Yuki.
Elle sentit soudain quelque chose de froid et mouillé sur le bout de son nez. Elle leva les yeux. La neige commençait à tomber. La première neige de l’année. Est-ce que cela allait leur porter bonheur pour l’année à venir ? Haru encercla ses mains autour des siennes. Elle ne l’avait pas vu approcher. Elle posa son regard sur lui. Il n’était qu’à quelques centimètres d’elle et la regardait avec intensité. Peu importe le temps qui passait, qu’elle le connaissait par cœur et qu’il savait tout d’elle. Elle l’aimait comme elle n’avait jamais aimé personne. Elle l’aimait plus que sa vie. Elle serait prête à tout pour lui. Pour le protéger du monde cruel dans lequel vivait les douze. Pour que sa gentillesse et sa lumière ne disparaissent jamais.
« Tes mains sont si froides, dit-il. »
Il porta ses miens à ses lèvres. Rin sentit la chaleur de son souffle, ce qui la réchauffa un peu. Il la tira vers lui et la pris dans ses bras. Elle se blottit immédiatement contre lui. La chaleur d’Haru l’enveloppa. Il n’y avait que dans ses bras qu’elle était heureuse. Haru plaça deux doigts sous son menton et lui fit lever la tête. Ils s’embrassèrent, exprimant tout l’amour qu’ils ressentaient l’un pour l’autre. Il s’écarta légèrement et posa son front sur le sien.
« Il est temps qu’on rentre. »
Rin grogna de mécontentement. Haru ne put s’empêcher de rire. Il l’embrassa une dernière fois et l’emmena avec lui à l’intérieur. Elle le suivit sans protester. Elle savait qu’elle n’avait pas le choix. Même si elle voulait s’enfuir avec lui loin de tout. Loin du clan, de la malédiction et d’Akito. Haru lui lâcha la main une fois à l’intérieur. Il alla rejoindre Momiji, tandis qu’elle s’asseyait à côté de Kagura qui était toujours en colère car Kyo n’était pas là. Rin regarda vers Haru qui lui souriait.
Cette année sera différente, se dit-elle. Elle allait trouver un moyen de briser la malédiction et elle et Haru seront libres de s’aimer pour toujours.
Fin
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hcdahlem · 11 months ago
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Cartographie d'un feu
Autour d'un feu de forêt qui prend en plein hiver dans la forêt jurassienne et provoque de gros dégâts, Nathalie Démoulin a construit un roman à l'atmosphère lourde. Un drame qui va déchirer une famille et réveiller bien des fantômes.
  En deux mots Le feu a pris en plein hiver sur les contreforts du Jura. Un incendie inattendu qui va provoquer un vent de panique et mettre en danger la propriété et l’usine de Jason, mais aussi secouer toute sa famille, son père, son frère, son épouse. Réussira-t-il à sortir indemne de ce drame? Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique La forêt s’embrase en plein hiver Autour d’un feu de forêt qui…
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clubvideotapes · 30 days ago
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La Malédiction (The Omen), 1976
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Peu de malédictions possèdent une empreinte aussi marquante. L'empreinte visuelle est particulièrement remarquable, le film étant superbement réalisé et ses plans soigneusement composés. Nous sommes entraînés, presque par magie, des films sataniques aux œuvres gothiques de la Hammer. Les portraits et les miroirs sont omniprésents, mais demeurent discrets, ne suscitant une prise de conscience symbolique qu’au dernier moment. C’est alors que, dans le reflet, se manifeste la mort, la souffrance et un destin déjà tracé, annoncé par l’envers. À travers l'obscurité révélée par la chambre noire, s'esquisse une contre-religion, l’Antéchrist. Chaque protagoniste découvre un alter ego avec lequel il finira par fusionner.
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Une empreinte dramatique se dessine alors, car notre parcours nous conduit de l’Italie à l’Angleterre, puis de l’Angleterre à l’Italie ou à Jérusalem, suivant une trajectoire qui incarne la quête des origines du Mal. Le mouvement s'affirme principalement sous une perspective masculine, avec le père occupant le rôle d'ambassadeur – une fonction d'une ironie poignante, étant donné qu'il agira comme l'ambassadeur du Mal sur Terre – et devenant ainsi un nouveau pilier dans une famille déjà éprouvée par la stérilité. Nous observons ici le drame de la paternité contemporaine : devenu père tardivement, Robert Thorn éprouve des difficultés à établir une interaction saine avec son fils de substitution, qui, tel un Œdipe moderne, cherchera à se libérer des figures parentales pour affirmer pleinement son identité. La relation entre le fils et sa mère adoptive apparaît particulièrement dysfonctionnelle, comme en témoigne la scène avec les babouins et la chute du premier étage. Cette impression est accentuée par la présence de la nourrice, figure diabolique évoquant une version inversée de Mary Poppins, avec des inclinations satanistes. Enfin, l'empreinte sonore mérite d'être mentionnée, car il serait difficile de critiquer l'œuvre sans évoquer la composition musicale de Jerry Goldsmith. Celle-ci révolutionne véritablement la musique de film d'horreur, en intégrant une orchestration dynamique agrémentée de chœurs grégoriens aux tonalités maléfiques, créant ainsi une atmosphère de terreur sourde qui persiste dans l'esprit du spectateur bien après le visionnage. « The Omen représente une véritable malédiction divine, s'affirmant comme l'œuvre maîtresse de son réalisateur Richard Donner et l'un des films d'épouvante les plus emblématiques. Un chef-d'œuvre. »
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aisakalegacy · 8 months ago
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Printemps 1919, Al Simhara, Égypte (1/3)
Chers cousins,
Quelques nouvelles d’Egypte, probablement les dernières que vous aurez de moi avant quelques temps j’en ai peur. Je vous envoie cette lettre grâce à ma contact, qui ne pourra pas reproduire l’opération cent fois, et qui a consenti à le faire pour me laisser donner des nouvelles à ma famille. J’envoie donc deux lettres : à vous, et à ma femme (et je ne sais pas si elle le mérite, puisqu’elle ne m’a rien écrit du tout !).
J’espère que Constantin n’envisageait pas de rejoindre un chantier prochainement, car cela s’annonce impossible ces prochaines années. C’est la guerre ! Oui, encore, alors que l’autre, la Grande, vient à peine de finir. Je reviens du Soudan où j’étais retourné quelques semaines - et au passage, Constantin, ma théorie était bonne : Reisner du chantier d’El-Kourrou y reconnaît bien le style éthiopien, mais lui pense non pas à une tombe excentrée mais plutôt à la preuve d’une activité artistique et artisanale intense qui s’est diffusée le long du fleuve et dont on retrouve trace jusqu’à Memphis, et qui pourrait donc venir d’un autre type de ruine.
Bref, je devais rencontrer le chef d’une équipe britannique installée à Al-Simhara ces derniers mois pour y poursuivre les fouilles que laissées par M. Naville. Sauf qu’en revenant, j’ai trouvé le camp totalement désert.
[Transcription] Jules LeBris : Excuse me, miss? Where is everyone? I can’t seem to find them. (Excusez-moi, mademoiselle ? Où sont passé les archéologues qui travaillaient ici ? Je ne peux en trouver aucun.) Nephty Hosni : Where have you been? Nationalist leader Saad Zaghlul has been arrested by the British and the entire country has been protesting. I was in a strike in front of Beit Ul-Umma this morning. We’ve been scattered and I had to flee. I don’t even know what has happened to my friends. (D’où est-ce que vous sortez ? Le chef nationaliste Saad Zaghlul a été arrêté par les Britanniques, et tout le pays manifeste. J’étais ce matin devant Beit Ul-Umma. Nous avons été éparpillées et j’ai dû fuir. Je ne sais même pas ce qui est advenu de mes amies.) Jules LeBris : I’m sorry, but I need to reach my friend myself, cheikh Fahad Madbouli. (J’en suis navré, mais j’ai moi-même besoin de contacter mon ami le cheikh Fahad Madbouli.) Nephty Hosni : The cheikh has been killed. I’m sorry. (Le cheikh est mort. Je suis désolée.) Jules LeBris : What? How? (Quoi ? Comment ?) Nephty Hosni : I told you. There are riots in town, and the British authorities don’t like it. (Je vous l’ai dit. Il y a des émeutes en ville, et les authorités britanniques n’aiment pas ça.) Nephty Hosni : You said you were a friend of the cheikh’s? (Vous avez dit que vous étiez un ami du cheikh ?) Jules LeBris : I am… was. Him and his wife hosted me for a little while back in 99. (Je le suis… l’étais. Lui et sa femme m’ont hébergé quelques temps en 99.) Nephty Hosni : Maybe my brother can help. He knows the archaeologists and he knew the cheikh. (Peut-être que mon frère pourra vous aider. Il connait les archéologues et il connaissait le cheikh.) Nephty Hosni : Hide, and meet me at nightfall near the old ruins. My house is nearby, so I can go home quick if patrols come. (Cachez-vous, et retrouvez-moi à la nuit tombée près des vieilles ruines. Ma maison est proche, ce qui veut dire que si les patrouilles passent, je pourrais rentrer rapidement chez moi.) Jules LeBris : Thank you, very much. (Merci, énormément.)
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stephaneparede · 25 days ago
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Abbas Laghrour, le Lion des Aurès
Celui que les Khenchelis avaient surnommé « Le lion des Aurès » était connu pour son grand patriotisme et son engagement sans faille dans le combat pour une Algérie libre et indépendante.
Né le 23 juin 1926, au Douar N’Sigha, dans la wilaya de Khenchela, au sein d’une famille pauvre, Abbes Laghrour est inscrit à l’école française où il suit son cursus scolaire, jusqu’à l’obtention de son certificat d’études primaires. Alors qu’il est un élève assidu, il est, en dehors des heures de cours, employé comme cuisinier par le gouverneur de la ville.
A cette époque, l’Algérie traversait une période d’effervescence politique qui allait amener un grand nombre d’Algériens à militer au sein de partis ou d’associations afin de tracer les premières voies devant mener à la lutte armée pour l’indépendance du pays. Abbès Laghrour qui est animé d’un grand esprit nationaliste, adhère, lui aussi, à partir de 1950, au Parti du peuple algérien (PPA), activant aux côtés du militant Brahim Hannachi, responsable régional pour les Aurès.
Suspecté d’activisme par son patron, il est renvoyé de son poste de travail. Mais cela est loin de le décourager. Au contraire, Abbès ne tarde pas à ouvrir une boutique de légumes au marché de la ville. Boutique qui servira à nourrir la famille mais aussi à abriter les réunions clandestines des militants du parti.
Militant actif, mû par de grandes valeurs et un engagement inconditionnel pour la cause nationale, Abbès Laghrour est désigné par ses responsables hiérarchiques au poste de responsable de la kasma du parti à Khenchela. Conscient de la tâche délicate qui lui est assignée, il s’investit totalement, n’hésitant pas à initier des actions courageuses au nom de l’Algérie libre et indépendante. Ainsi, il participe aux manifestations qui se déroulent entre le 1er et le 8 mai 1945 dans sa ville et où le drapeau algérien est hissé pour la première fois par un certain Athmani Tjani qui devient, par la suite, un de ses principaux adjoints.
En 1951, Abbès Laghrour organise une marche imposante pour laquelle il mobilise tous les jeunes de sa localité. Cette marche pour la dignité sera l’occasion pour les manifestants, à leur tête Abbès Laghrour, de dénoncer le chômage et la misère qui rongent la population. Les autorités coloniales ne tardent pas à l’arrêter. Voulant le faire parler, ils lui font subir les pires tortures. Il en ressortira avec une grave maladie pulmonaire qui le contraindra aux soins pendant de longs mois. Ses onéreux frais médicaux sont alors pris en charge par le Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD). Après une période de convalescence passée à Batna, il retourne à Khenchela une fois remis sur pieds pour reprendre ses activités militantes au sein du parti.
Abbès Laghrour prend part, en compagnie de Mustapha Benboulaïd, Adjel Adjoul et Belkacem Grine aux préparatifs pour la Révolution dans la région des Aurès. Il est même en charge des groupes installés pour le lancement des attaques au cours de la nuit du 1er novembre 1954. Après le déclenchement de la guerre de libération, Abbès Laghrour est engagé dans différentes batailles. « Le lion des Aurès » n’était pas seulement un décideur, c’était aussi un combattant qui n’a pas hésité à prendre les armes pour se retrouver au front aux côtés des autres moudjahiddine. Il sera notamment engagé dans les batailles d’El Djorf, le 22 septembre 1955, qui durera trois jours, de la zaouïa et Tefsour à Cherchar, d’El Bayadha qui a duré vingt-quatre heures, de Kentis Mrah El Baroud, en octobre 1956 et dans l’embuscade de Kentis Mrah El Baroud (octobre 1956).
Il meurt assassiné en Tunisie par les futurs pourfendeurs de la pensée des premiers chefs historiques, le 25 juillet 1957. Il repose au Carré des Martyrs du cimetière d’El Alia, à Alger.
Sans Larbi Ben M’hidi, Ramdane, Laghrour, la pensée révolutionnaire n'inspira plus ceux qui prirent le pouvoir...
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jpbjazz · 27 days ago
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LÉGENDES DU JAZZ
MARTIAL SOLAL, LE VISIONNAIRE
« Je n’écoutais jamais de disques. Je ne voulais ressembler à personne, même à ceux que j’admirais. Je me sentais isolé, mal-aimé, prétentieux, j’étais celui qui n’avait rien compris, celui qui ne jouait pas comme X ou Y, que je n’appréciais pas moins pour autant. J’avais des progrès à faire, c’est certain. J’estimais n’être qu’au début d’une longue route. Mais j’étais heureusement mon meilleur critique, conscient de mes faiblesses, mais confiant en ce que je comptais fermement devenir. »
- Martial Solal
Né le 23 août 1927 à Alger, en Algérie, Martial Solal était le fils de parents algériens d’origine juive. Issu d’une famille musicale, Solal était le fils d’un pianiste et d’une chanteuse d’opéra. Solal avait commencé à jouer du piano sur l’insistance de sa mère, qui se cherchait un accompagnateur pour pratiquer. C’est aussi à la recommandation de sa mère que Solal avait commencé à étudier la clarinette et le saxophone.
Mais il n’est pas toujours facile d’être juif à l’époque. En 1942, Solal avait même été expulsé de l’école en raison des origines juives de ses parents. À l’époque, l’Algérie était toujours une colonie française, et le régime de Vichy qui avait été mis en place après la conquête de la France par les Allemands, appliquait les politiques des Nazis. Après avoir étudié la musique classique à l’école, Solal avait poursuivi ses études en autodidacte en imitant les disques qu’il entendait à la radio.
Solal avait commencé à jouer du piano à l’âge de six ans. Même s’il était considéré comme très prometteur, Solal détestait déchiffrer les partitions, ce qui lui avait valu d’être rejeté par le conservatoire d’Alger, car il n’avait pu réussir la partie solfège de l’examen d’entrée. II  précisait: "J'étais faible en solfège, je regardais vaguement les partitions qu'elle me confiait en inventant un accompagnement adéquat. Ça m'a donné le goût de l'improvisation". 
C’est en se rendant dans une brasserie d’Alger avec ses parents que Solal découvre le jazz en écoutant  pour la première fois des pianistes comme Fats Waller et Art Tatum. Grand amateur du chef d’orchestre et tromboniste Glenn Miller, Solal apprend même tous ses thèmes par coeur. Avec l’aide d’une célébrité locale, le saxophoniste Lucky Starway (de son véritable nom Lucien Séror), qui lui fait connaître les disques de Louis Armstrong, Fats Waller, Teddy Wilson et Benny Goodman, Solal décide en 1945 de devenir musicien de jazz. Il expliquait: ‘’Ce qui me plaisait, c’était cette manière de prendre une mélodie, même sans intérêt, et de la modifier à sa guise. Ce fut une révélation.’’
Mais doté d’une forte personnalité, Solal n’a rien d’un imitateur et cherche d’abord et avant tout à bâtir son propre style. Commentant ses débuts dans la musique, Solal écrivait dans le premier volume de son autobiographie intitulée Mon siècle de Jazz, autobiographie de Martial Solal publiée en août 2024: ‘’Je n’écoutais jamais de disques. Je ne voulais ressembler à personne, même à ceux que j’admirais. Je me sentais isolé, mal-aimé, prétentieux, j’étais celui qui n’avait rien compris, celui qui ne jouait pas comme X ou Y, que je n’appréciais pas moins pour autant. J’avais des progrès à faire, c’est certain. J’estimais n’être qu’au début d’une longue route. Mais j’étais heureusement mon meilleur critique, conscient de mes faiblesses, mais confiant en ce que je comptais fermement devenir.’’
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Devenu musicien professionnel en 1945, Solal joue en Algérie et au Maroc avant de s’installer à Paris en 1950. Arrivé en plein hiver en France, Solal connaît des débuts difficiles. Mais il refuse d’abandonner et réussit à se faire engager dans un club de Pigalle. La reconnaissance aidant, Solal devient le pianiste attitré du célèbre Club Saint-Germain et du non moins légendaire club Blue Note.  Solal commence alors à travailler avec de grands noms du jazz comme Django Reinhardt et des musiciens américains en exil comme Kenny Clarke, Sidney Bechet et Don Byas ou simplement de passage comme Dizzy Gillespie et Sonny Rollins. 
À la fin des années 1950, Solal avait formé un premier quartet (il dirigeait aussi un big band à l’occasion), même s’il avait commencé à enregistrer comme leader en 1953. En 1958, Solal écrit sa première musique de film pour le long-métrage Manhattan de Jean-Pierre Melville. Mais il se rend surtout célèbre pour la la bande sonore du premier film de Jean-Luc Godard, À bout de souffle, mettant en vedette Jean-Paul Belmondo, en 1960.
En 1960, sous le pseudonyme de Jo Jaguar, Solal aide son ami,  le saxophoniste Guy Lafitte, à terminer une de ses compositions. Intitulée ‘’Twist à Saint-Tropez’’, la chanson deviendra le premier ‘’tube’’ du chanteur Dick Rivers avec le groupe les Chats sauvages. Les droits d’auteur tirés de la chanson permettront éventuellement à Solal de boucler ses fins de mois lorsque les contrats commenceront à se faire plus rares.
Le début des années 1960 avait été une période très productive pour Solal. Invité à venir aux États-Unis pour jouer avec Teddy Kotick et Paul Motian,  il développe ses talents d’improvisateur et d’arrangeur et s’approprie les plus grands standards en y combinant son style très personnel. Pendant quelques mois, Solal se produit même à Hickory House, un club de New York. Il avait également fait des apparitions aux festivals de jazz de Newport, au Rhode Island, de Montréal, au Canada, et de Berlin, en Allemagne. Sa participation au Festival de jazz de Newport en 1963 avait été particulièrement remarquée, et avait donné lieu à la parution d’un album ‘’live’’ réalisé en studio sur lequel des applaudissements avaient été ajoutés. À l’époque, le trio de Solal comprenait le contrebassiste Guy Pedersen et le batteur Daniel Humair. Mais après avoir passé cinq mois aux États-Unis, Solal avait le mal du pays. Il avait donc décidé de rentrer en France, ce qui ne l’empêchera pas de retourner à de nombreuses reprises aux États-Unis par la suite.
Lorsqu’on avait demandé à Solal dans les années 1960 de prédire l’avenir du jazz, il avait expliqué: "I said that in order for jazz to survive it had to have a repertoire, jazz musicians had to write important works. Just after that stupid declaration everyone did exactly the opposite, playing totally improvised music. Presently there is a return to traditionalism, and I persist in believing that the future of jazz lies in written music, in longer and longer written sequences, which does not exclude improvisation, of course. I also believe that once one has a very definite style, the only way to evolve is through composing."
En 1965, Solal avait formé un nouveau trio avec  Gilbert Rovere à la contrebasse et Charles Bellonzi à la batterie.
À partir de 1968, Solal avait également joué et enregistré avec Lee Konitz en Europe et aux États-Unis. De 1974 à 1980, Solal avait aussi enregistré en duo avec Sidney Bechet, Lee Konitz et Stéphane Grappelli. Ces duos seront suivis par la suite de nombreux autres, avec de grandes pointures comme Jean-Louis Chautemps, Toots Thielemans (1992), Michel Portal (1992 et 1999), Didier Lockwood (1993), Eric Le Lann (1999), Johnny Griffin (1999) et Dave Douglas (2005). Solal avait même enregistré en duo avec d’autres pianistes comme Hampton Hawes (1968), John Lewis et Joachim Kühn (1991).
Déterminé à améliorer sa technique, Solal avait décidé de retourner à la musique classique et de se perfectionner. En pratiquant rigoureusement à chaque jour, Solal avait réussi à développer une véritable technique de virtuose qui lui avait permis d’exprimer tout ce qu’il cherchait à dire musicalement. Comme Solal l’avait expliqué plus tard dans son autobiographie: ‘’Le piano, ça se travaille physiquement, avec des exercices.’’
Lorsqu’il improvisait, Solal explorait souvent les mélodies dans une suite interminable de variations, plus particulièrement en solo, ce qui l’avait rapidement établi comme un grand maître de la technique. Décrivant sa technique impeccable, Solal avait déclaré:  "You have to make people believe that it's very easy, even when it's very difficult. If you look to have trouble with the technique, it is no good. You must play the most difficult thing like this."
Au début des années 1980, le gouvernement français avait commandé à Solal un concerto pour piano et orchestre qui avait été interprété par un big band qui avait éventuellement donné naissance à l’Orchestre National de Jazz.
DERNIÈRES ANNÉES
Après avoir créé son propre big band en 1980, Solal décide de former deux ans plus tard le Dodecaband, un ensemble de douze musiciens qui comprenait trois saxophones, trois trompettes, trois trombones et une section rythmique. Bien qu’il ait existé durant une décennie, le groupe avait publié un seul album: Martial Solal Dodecaband Plays Ellington, en 2000. Le groupe avait été suivi d’une seconde mouture en 2006, le Newdecaband.
À la fin de sa vie, Solal avait continué de jouer et d’enregistrer avec son trio. Il s’était aussi produit en solo à de nombreuses reprises. En 1993-94, Solal avait même présenté une série de trente concerts solo pour la radio française. Ses meilleures performances avaient par la suite été publiées sur étiquette JMS Records dans le cadre d’une série de deux CD intitulés Improvise Pour Musique France.
Dans les années 1990, Solal avait également animé une émission de radio hebdomadaire à l’antenne de France Musique dans laquelle il invitait de jeunes musiciens à improviser avec lui.
Par son travail de compositeur, d’arrangeur et de musicien, Solal avait contribué à assurer la crédibilité du jazz en Europe. Il expliquait: "Even if it doesn't sound modest, I think that one must listen to my music several times because of its density. If you are surprised by the technical aspect, then the musical content may escape you on the first listening. I have always had very high hopes for jazz. I want people who love classical music to find that same perfection in jazz, and 90 percent of jazz doesn't satisfy that demand."
Martial Solal est décédé le 12 décembre 2024 durant son transport à l’hôpital de Versailles, en France. Solal, qui était âgé de quatre-vingt-dix-sept ans, habitait avec sa famille à Chatou (Yvelines). Le décès de Solal avait été annoncé par son fils Éric. Au moment de sa mort, Solal travaillait sur le deuxième volume de son autobiographie qui était donc demeurée inachevée. Solal avait présenté son dernier concert à la Salle Gaveau le 23 janvier 2019. 
Même s’il était très malade, Solal avait continué de jouer du piano sur une base quotidienne. Il expliquait: "J'étais très fatigué, je me demandais si je pourrais donner ce concert. Mais quand on est responsable et qu'on sait qu'on doit y aller : au front ou sur un piano, on a une énergie insoupçonnable". Solal avait ajouté: ‘’Je suis content quand j’ai un concert parce que je me dis que je vais enfin entendre la musique que j’aime.’’ L’album publié à l’issue du concert, intitulé ‘’Coming Yesterday : Live at Salle Gaveau 2019’’, s’était d’ailleurs mérité le grand prix de l’Académie du jazz la même année. Commentant la mort de Solal sur le réseau social X, la ministre démissionnaire de la Culture, Rachida Dati, l’avait qualifié de ‘’pianiste et {...} compositeur de légende, dont le nom brille au firmament du jazz aux côtés des Oscar Peterson, des Bill Evans, des Ahmad Jamal.’’
Au cours de sa carrière, Solal avait enregistré plus d'une centaine de disques dans différents formats, allant du solo (il avait enregistré son premier album solo en 1956), au duo, au trio en passant par le big band. Parmi les membres successifs du trio de Solal, on remarquait notamment Pierre Michelot et Jean-Louis Viale, Guy Pedersen et Daniel Humair (1960-1964), Gilbert Rovère et Charles Bellonzi (1965-1968), Marc Johnson et Peter Erskine (1995), Gary Peacock et Paul Motian (1997) et François Moutin et Bill Stewart (2001).
Solal avait aussi décroché plusieurs commandes d’orchestres de musique classique et contemporaine. Parmi ses oeuvres symphoniques les plus importantes, on remarquait la Suite no 1 en ré bémol pour quartet de jazz (1959) et le Concerto pour trio et orchestre (1981). Solal avait aussi collaboré avec des interprètes de musique classique comme Marius Constant.
Constamment à la recherche de nouvelles sonorités, Solal expliquait ainsi son incessant désir de renouvellement:  "Je m'ennuie trop vite. Plus le thème qu'on emploie pour improviser est simple et ancien, et plus vous avez le mérite à jouer quelque chose d'intéressant. C'est un challenge." Véritable passionné de musique, Solal avait toujours détesté les étiquettes et les catégories et n’avait jamais cessé de dénoncer les frontières entre le jazz et la musique classique. Il précisait: "Je pensais que la musique, c'est la musique. Je voulais rompre ces barrages. Je pensais que le jazz méritait une meilleure destinée que celle qu'on lui réservait, et pour cela, il fallait de grandes oeuvres".
Décrivant sa passion pour l’improvisation, Solal avait déclaré au cours d’une entrevue accordée en 2019: "Ça a été un long chemin. On ne devient pas improvisateur de talent du jour au lendemain. On commence par improviser méchamment, gentiment ou timidement, puis on apprend, on se nourrit de toutes les musiques qui existent. Je crois que je suis assez doué pour l'éparpillement de mes idées, les choisir un peu partout et en faire une synthèse." Il avait ajouté:  "Je peux m'emparer d'une note qui m'arrive n'importe où dans le cerveau et à partir de là, je suis capable de la développer, de donner le change même si l'inspiration n'est pas là, j'ai toujours de la ressource. {...} Dans l'improvisation, tous les accidents sont prévisibles, permis, inévitables. Mais ils doivent être transformés en quelque chose de prévu. Prévoir l'imprévisible ou effacer le passé pour en faire un avenir meilleur !.’’ Solal avait ensuite conclu avec le sens de l’humour qui lui était caractéristique: ‘’Je fais un peu de poésie, mais je ne l'ai pas fait exprès !"
Solal avait également composé plus de trente musiques de film. Malheureusement, avec l’avènement de la musique pop et du free jazz à la fin des années 1960, les contrats de musiques de film étaient devenus beaucoup plus rares.
Contrairement à plusieurs musiciens de jazz qui avaient poursuivi parrallèlement une carrière dans l’enseignement, Solal n’avait jamais été professeur même si il avait servi de mentor à de nombreuses ‘’jeunes pousses’’ de la relève, comme Manuel Rocheman, Jean-Michel Pilc, Baptiste Trotignon et Franck Avitabile. Il expliquait: "Aujourd'hui, il y a des tas de musiciens grâce aux nombreuses écoles qui existent, mais ils ne vont pas dans la direction que j'aurais espéré pour le jazz. J'avais ambitionné que le jazz devienne beaucoup plus écrit, qu'on prépare des œuvres, qu'on innove, qu'on cherche dans la difficulté plutôt que dans la facilité." Lorsqu’on avait demandé à Solal quel conseil il donnerait aux jeunes pianistes, il avait répondu simplement: "Continuez à faire des gammes".
Travailleur infatigable, Solal continuait de pratiquer de deux à trois heures par jour, même à l’âge avancé de quatre-vingt-dix ans. Ce n’est donc peut-être par hasard si ce véritable marathonien était un passionné d’athlétisme et de courses de chevaux. Mais Solal savait aussi faire preuve d’humour, comme le démontrent le titre de ses compositions qui empruntaient souvent la forme de calembours.
Paradoxalement, Solal croyait que l’improvisation ne devait jamais être laissée au hasard et devait toujours être préparée à l’avance. Il précisait:
"Freedom, for me, means being able to go as far as possible in a certain direction, established and prepared in advance. But I don't like the idea of 'anything goes.' That's why I play jazz standards, which give the audience something they can follow more easily and which will perhaps entertain them while having to put up with my, shall we say, busy style. Even when playing my own pieces, a major part of my performance consists of humourous musical citations I'll throw in as they pop into my head. But this humorous aspect can only be appreciated if the audience knows the standards I'm quoting. I like music that can surprise you at any given moment, not to show off, but in order to produce something different each time."
Même s’il était très peu connu aux États-Unis, Solal avait travaillé avec les plus grands noms du jazz au cours de sa carrière: Sidney Bechet, Oscar Peterson, Sonny Rollins, Django Reinhardt (il avait même participé à l’enregistrement de son dernier album), Stan Getz, Paul Motian, Gary Peacock, Peter Erskine, Toots Thielemans, Michel Portal, Johnny Griffin, Dave Douglas, Hampton Hawes, John Lewis, Lee Konitz, Lucky Thompson, Kenny Clarke, Eric Dolphy, Dizzy Gillespie, ainsi qu’avec ses compatriotes français Pierre Michelot, Roger Guérin, Paul Rovère, Guy Pedersen, Daniel Humair, Stéphane Grappelli et Didier Lockwood.
Musicien français le plus important à être apparu sur la scène du jazz depuis Django Reinhardt (qui était belge de naissance mais issu de parents français) et Michel Petrucciani, Solal était à la fois vénéré par ses pairs musiciens et encensé par les critiques. Le critique Alain Gerber le considérait comme ‘’l’un des plus grands musiciens du monde, tous styles, tous genres et toutes cultures confondues’’. Quant au pianiste français Jean-Michel Pilc, il avait déclaré à son sujet: ‘’Il a complètement changé ma vision de la musique.’’
Lauréat de nombreux prix, Solal avait remporté en 1999 le prestigieux prix danois JazzPar Prize, considéré comme une sorte de prix Nobel du jazz. Solal s’était également mérité le Grand Prix de l’Académie du jazz en 2021. La Ville de Paris a rendu hommage à Solal en 1998 en créant un concours international de piano jazz à son nom.
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leblogdemarinaetjm · 1 month ago
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MARDI 10 DÉCEMBRE 2024 (Billet 2 / 4)
Samedi, nous étions invités chez une cousine, Catherine (W.B.), qui organise 2 fois par an un cocktail dînatoire : l’un, la veille du 14 juillet (le couple, Catherine et Jean-François, habite au dernier étage d’un grand immeuble à Courbevoie – ce jour-là, vers 22h 30, on voit de leur terrasse, à presque 360°, tous les feux d’artifice tirés autour de Paris, un superbe spectacle !) et l’autre, aux alentours du 1er décembre, pour son anniversaire.
Dans les invités, toujours nombreux, il n’y a pas que des membres de la famille, il y a aussi des amis, l’ambiance est des plus chaleureuses, des amuse-bouche variés et gourmands nous sont servis généreusement par Gildas, un très sympathique maître-d’hôtel, aussi efficace que discret et qui, connaissant depuis longtemps pratiquement tout le monde, sait remplir les verres de chacun avec leur boisson préférée.
Nous nous faisions une fête d’y aller, malheureusement, victime peut-être d’un refroidissement ou de quelque chose qu’elle a mal digéré la veille, Marina, en fin de matinée, a commencé à ne plus se sentir très bien. Ne rentrons pas dans les détails… vers 17h, il n’a plus du tout été question pour elle de bouger. Comme ils se sont mariés « pour le meilleur et pour le pire », JM a décidé de rester près d’elle et a téléphoné pour nous décommander.
Marina a réussi à dormir une bonne partie de l’après-midi et a fini, en début de soirée, par rejoindre JM, sur le canapé, devant la télé où était retransmise la cérémonie de réouverture de la Cathédrale Notre-Dame, suivie d’un Concert qui avait été pré-enregistré la veille.
Vous avez dû être nombreux à avoir fait comme nous, nous n’insisterons donc pas sur l’émotion que nous avons tous ressentie à plusieurs moments de la soirée, la plus forte peut-être étant l’arrivée sous des applaudissements nourris de tous les pompiers et artisans qui ont sauvé la Cathédrale et l’ont ensuite restaurée.
Dans la partie Concert, cités dans un ordre non-chronologique et surtout non-exhaustif, nous avons BEAUCOUP apprécié :
(surtout) le pianiste virtuose Lang Lang dans le dernier mouvement du Concerto N°2 de Camille Saint-Saens, avec l’orchestre philarmonique de Radio France, dirigé par le chef vénézuélien Gustavo Dudamel,
l’Ouverture de la 5e Symphonie de Beethoven,
la soprano Julie Fuchs, avec la Maîtrise de Notre-Dame, dans le « Laudate Dominum », un extrait des « Vêpres solennelles d’un confesseur » de Mozart ,
Eric Ruf, sociétaire de la Comédie-Francaise, récitant (brillamment) le « Paysan de Paris » de Louis Aragon
et le très jeune violoniste Daniel Lozakovicth interprétant l’Aria de la troisième Suite de Bach.
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La version revisitée « djembé/orchestration classique » du célèbre tube « Jerusalema » par la franco-béninoise Angélique Kidjo nous a amusés. Mais pour être tout à fait franc, la chorégraphie manquait cruellement. Imaginez juste une seconde ce que cela aurait pu donner avec toutes les personnalités qui étaient invitées…
Garou et Pharrell Williams, même accompagné de 70 chanteurs de gospel, nous ont laissés indifférents, ainsi que la partie sonore du set « son et lumières » conçu par le DJ français Michaël Canitrot. Jean-Michel Jarre, n’ayant pas la carte (eh oui !!!), n’a pas été pressenti, ni pour les JO, ni pour cette réouverture de Notre-Dame, et c’est bien dommage car il a pourtant, incontestablement, 1 million de fois plus de talent que Mr Canitrot !!!
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Nous terminons ce Billet par Vianney et sa version du célébrissime « Hallelujah » de Léonard Cohen. Il en a ré-écrit les paroles, adaptées pour l’occasion et dans la langue de Molière. Son message, aussi simple que profond, nous a beaucoup touchés.
Il se trouve aussi que c’est un des rares extraits du Concert disponibles sur YouTube.
Notre conseil : si la Vierge Marie représente quelque chose pour vous, imprimez le texte de la chanson (ci-dessous), puis cliquez sur la vidéo ci-dessus. Normalement, dès le 4e vers, vous devriez commencer à chanter avec lui. On parie ?
« Un jour, une dame a dit d’accord
Donnez vos larmes, j’en f’rai de l’or.
On raconte qu’elle sommeille en chacun de nous
Elle n’a pas d’âge et son visage
Importe moins que son message
Un jour viendra le temps de l’Hallelujah 
Hallelujah Hallelujah 
Hallelujah Hallelujah 
Un jour la dame a dit d’accord
Je prends les flammes mais pas la mort
On raconte qu’elle a fait son refuge en nous
Après l’effroi vint le soleil
Et la revoilà qui s’émerveille
Il est venu le temps de l'Hallelujah 
Hallelujah Hallelujah 
Hallelujah Hallelujah 
Un jour la dame dit vous les forts
Gardez la paix comme un trésor
On raconte qu’elle est belle et femme comme nous
Qui abandonne est déjà mort
Et qui espère respire encore
Et le monde attend le temps de l’Hallelujah 
Hallelujah Hallelujah Hallelujah Hallelujah… »
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gerardt10 · 1 month ago
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🇷🇺 🇺🇦 🇺🇲 🇪🇺 🇨🇵 🇬🇧 🇩🇪 𝑴𝒊𝒌𝒆 𝑱𝒐𝒉𝒏𝒔𝒐𝒏
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La Chambre des représentants ne votera pas sur une aide supplémentaire à l'Ukraine
Mike Johnson
Il s’agit de 24 milliards de dollars que Biden a secrètement demandé au Congrès.
Le président du Parlement a déclaré, répondant à une question des journalistes : Joe Biden n’est pas obligé de prendre cette décision. Nous avons un président nouvellement élu, nous attendrons et suivrons les instructions du nouveau commandant en chef sur tout cela.
Il a également noté : « La famille Biden a causé des dommages presque irréparables à notre système. »
Zelensky ne garnira plus ses comptes dans les paradis fiscaux. Bon, ils sont déjà en train de déborder
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