#chasseur au
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emily-nightray · 4 months ago
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Olivier: I mean no offense, but I'm not sure if you'll make a good chasseur if you only have one arm. Gilbert: *Immediately punches and knocks over Roland.* Olivier: You're in.
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carbone14 · 6 months ago
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Chance Vought AU-1 Corsair de l'US Marine Corps – 1952
©United States Navy National Museum of Naval Aviation - 1986.145.002
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ishytori · 8 months ago
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Просто один старий скетч кольоровим олівцем.
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Just some old color pencil sketch.
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 344
João-1
Depuis qu'il a intégré la colocation, c'est un autre mec. Là où il restait une attitude compassée, s'est développé une aisance, je dirais même une normalité de comportement. L'association qui l'a fait venir continue à regarder par-dessus son épaule. Même s'il est majeur maintenant, il est toujours en France avec un visa étudiant.
Au contact de mes deux " commerciaux " 1ère année, il rentre enfin dans le monde étudiant français. Il faut dire qu'avec ces deux-là je ne m'étais pas trompé non plus ! Ils sont bosseurs mais aussi de bons fêtards. Ils l'ont même fait venir à quelques-unes des soirées de notre école où son exotisme a fait quelques ravages et pas seulement auprès des filles.
Ça + son nouveau logement + une nouvelle garde-robe + ses entrainements avec ma bande + son nouveau travail = un João tout neuf. Le timide et timoré, bénéficiaire des oeuvres sociales d'une association de bienfaisance a cédé la place à un jeune homme ouvert au naturel gai (aussi). Son directeur du dojo de capoeira est aussi très content de lui. Déjà qu'il passait bien avec les jeunes, il est maintenant aussi à l'aise avec les 16-18.
A la montagne, il s'est bien dérouillé même si c'était pour lui la première fois qu'il montait sur des planches. Avec l'enseignement des Chasseurs Alpins, il a fini la semaine capable de dévaler les pistes bleues rapidement et les rouges avec aisance à défaut de rapidité. Par contre il a su glisser sa grosse queue avec maestria entre leurs fesses en remerciement de leurs bons conseils sur les pistes. Et les militaires ne se sont pas privés non plus de lui donner la réciproque.
Coté Client, il fait toujours un tabac. Son accent Brésilien si spécifique les enchante et je ne reçois que des louanges.
J'ai dû prendre en compte les services que me rend André pour le faire passer dans les premiers. En effet chacun y va de sa surenchère pour faire avancer son nom sur la liste des réservations. Bon j'ai attendu quand même qu'il se fasse trois autres clients ttbm avant. André est parmi ceux qui sont montés les plus larges avec ses 7 cm de diamètre.
Je prends le temps d'accompagner João dans ses premiers " services ". Il m'intéresse et en plus il ne conduit pas encore ! Il donne satisfaction aussi à mes clients blacks. Quand je les vois enfoncer leurs matraques noires entre ses petites fesses dorées, ça me fait bander dur !
Et je peux dire que les leurs sont au maxi de leurs extensions possibles après qu'il se soit mis nu et que sa bouche se soit occupée de leurs glands. Si sa gorge profonde ne l'est pas encore suffisamment plus des sexes de plus de 24 cm, il compense par une science de l'excitation de l'extrémité la plus sensible de l'homme, le gland. Chacun de mes clients l'ont supplié de cesser sous peine de tout recevoir sur le visage. Il a le bonheur de disposer d'une langue plus râpeuse que la normale, limite une langue de chat. Et son mentor brésilien lui a parfaitement appris à l'utiliser pour donner du plaisir. Il arrive à faire monter les clients à quelques secondes de l'éjaculation puis à les maitriser pour qu'ils ne se vident pas trop tôt. En plus quand je le regarde faire, je vois que lui aussi se fait plaisir. Et ça, les clients le ressentent aussi. Avec sa pratique de la capoeira, il est très souple quasiment du niveau des gymnastes professionnels.
C'est assez troublant de le voir esquisser une passe de capoeira (pour ceux qui connaissent) et en fin de mouvement se planter sur la mat tendu vertical. Je l'ai vu faire plusieurs fois. C'est magique !
Ça me fait penser que si j'en avais quelques-uns de gymnastes ça étofferait mon offre. A réfléchir...
Si sa gorge manque parfois un peu de profondeur encore, ce n'est pas le cas de sa rondelle. Je le vois sans problème se prendre les bites de 25 à 27 par 6 à 7. Je sais qu'il se prépare avant car sa rondelle reste bien serrée quand même. Il module selon l'attente qu'il perçoit chez le client. Je l'ai vu se planter brutalement sur leurs pieux comme descendre mm par mm les absorbants jusqu'à poser ses fesses dorées sur leurs cuisses.    
Il n'a pas encore fait de cheval mais sait parfaitement trotter et galoper sur de telles montures. Plus je le mate et plus je vois le travail de son mentor. Il retrouve ses marques et les pratiques qu'il avait apprises. On en discute en rentrant à la colocation. Il me raconte un peu ses années de favela. La vie qui pouvait être aussi belle qu'elle était moche pour d'autre. Les revenus procurés par le trafic de la drogue permettaient à son gang de vivre dans l'aisance. Son chef a veillé à ce qu'il soit instruit. Il l'a protégé même des autres membres qui en auraient bien fait un réceptacle à sperme. Il admire mon tatouage qu'il trouve esthétique contrairement à tous ceux qui ornaient la peau des membres de son clan, le chef compris. De ceux-là, il a une aversion.
Il se rappelle les bons moments passés sur les plages quand, pour lui faire plaisir, son mentor prenait le temps de le sortir de sa favela. Il comprend maintenant qu'il prenait des risques rien que pour lui faire plaisir, pour lui offrir des glaces et qu'il vive comme un enfant normal.
Il me dit que reviennent en mémoire les gestes qu'il faisait afin de lui donner du plaisir. Tout ce qu'il lui avait appris remontait à la surface. Je lui dis que je m'en doutais vu la maitrise qu'il montrait lors de ses prestations.
La première fois où nous en avons parlé j'ai dû m'arrêter sur le bord du trottoir pour le prendre dans mes bras.  Puis nous sommes revenus au blockhaus. Pas question de le laisser seul (malgré ses colocs).
Il me remercie. Mais c'est normal. Entouré de nous trois (PH et Ludovic aussi), il trouve la chaleur humaine qui lui avait tant manquée depuis le décès de son mentor.
Il reste aussi toute la nuit, je n'avais pas envie de ressortir.
Sans acte sexuel (il avait déjà donné avec le client), il passe la nuit entre nous. Plusieurs fois je me réveille serré par ses bras. La colocation n'est peut-être pas ce qui lui faut finalement.
J'en discute le lendemain avec PH et Ludovic. Ils ont la même analyse que moi. La colocation c'est mieux que sa chambre en cité U mais encore loin de ce qu'il avait perdu. C'est Ludovic qui propose une solution : le prendre avec nous.
Ce n'est pas que je n'y avais pas pensé mais je l'aime plus comme un petit frère et, pour une fois, j'hésitais à imposer ce choix à mes amours.
Ludovic argumente son option. Il ajoute qu'il serait peut-être temps que la chance se penche sur lui. PH est d'accord. On appelle donc Marc pour le prévenir/avoir son accord. Il connait déjà notre nouveau protégé. Quand je lui fais part de notre analyse et de ce que nous projetions de faire, il m'assure de son complet accord.
Il ne reste plus qu'à avoir l'accord de João. Finalement c'est le plus dur à obtenir. Il trouve que j'en fais déjà suffisamment pour lui. Pour clore le débat, j'arrive avec Samir à la coloc et embarque tout ce qu'il a à lui. Les deux autres comprennent mais je les préviens qu'ils auront bientôt un autre résident.
Nous l'installons dans la chambre à côté de la nôtre au 3ème. Samir et Ammed implantent un bureau et on pose dessus son portable et on ajoute une imprimante. Le soir même je vais le chercher à la sortie de ses cours. Il est étonné, c'est la première fois. S'il est gêné par ma voiture, cela ne se voit pas. Il monte surpris de me voir l'attendre. Retour au blockhaus, jusque-là rien que de presque normal puisqu'on est un soir de sport. Par contre l'arrêt au 3ème et l'entrée dans sa nouvelle chambre, lui coupe les jambes. Il reconnaît son ordinateur et les quelques affiches dont il avait commencé à orner ses murs à la coloc. Je lui dis que nous avions tranché pour lui et qu'à partir de ce soir il était chez lui ici. Sur le bureau j'avais mis un post-it avec ses codes personnels d'entrée sur la rue et celui du monte-charge.
Il essaye encore ce me dire que c'est trop, pour lui que la coloc c'était déjà bien. Je lui dis de se taire et de nous rejoindre en tenue au 2ème, il a des conseils à donner en capoeira.
Je descends et j'ai le temps de me mettre en jock avant qu'il n'arrive. Il y a déjà la moitié des escorts d'arrivés. Il arrive porteur de son large pantalon blanc sans rien en dessous comme il aime le porter pour être plus à l'aise. Nous nous entrainons tous une bonne paire d'heures avec ceux qui nous ont rejoints. Puis comme c'est en début de semaine c'est souvent sans touze à la sortie, il remonte avec nous après nos douches prises tous ensemble.
Je le sens plus gêné avec Samir et Ammed que les fois où il était invité. Je me vois donc dans l'obligation de préciser les choses. Ammed et Samir sont nos hommes de service mais pas des larbins pour autant. Ils ont la charge du blockhaus dans son ensemble bouffe et lingerie comprise. Ils font tout pour prendre en charge les contraintes matérielles afin que nous n'ayons que nos cours et nos " vies personnelles " à gérer. S'il a besoin de quoi que ce soit, il leur demande en premier. Mes deux hommes confirment. S'il a besoin de quoi que ce soit, d'un bloc de feuilles à l'encre pour son stylo plume, d'un boxer à une boite de kpotes ou un tube de gel, il n'aura qu'à leur demander. Pour les déplacements, les bus ne passent pas loin et quand les horaires seront raccords, un de nous trois pourront l'emmener aussi.
Il finit par accepter l'état de fait. Il se lève de table et fait le tour pour nous embrasser un par un. Quel émotif ! Je sens ses joues humides alors qu'il presse son visage contre le mien.
Avant de nous endormir, je mets notre TV sur le circuit interne pour veiller sur sa première nuit chez nous. Une heure plus tard je me réveille alors que João tourne et vire dans son lit. Je le regarde. Il est troublé, pas habitué à son nouvel environnement. Après une demi-heure, je me lève et vais le rejoindre. Je me glisse dans son lit et le prend dans mes bras. Il se calme et s'endort aussitôt. Nous finissons la nuit collés, lui protégé de l'extérieur par mes bras.
Je me réveille avant lui. Je le regarde son visage est détendu, ses long cils noirs caressent ses joues. Ses lèvres pulpeuses légèrement entrouvertes, laissent passer son souffle. Il me fait bander ce petit con.
Le développement de ma bite fait s'enfoncer mon gland entre ses fesses. Evidemment puisqu'il est dos à moi au creux de mes bras !
Je sens qu'à son tour il est réveillé quand ses fesses ondulent et que, ce faisant, il se frotte la rondelle sur mon gland luisant de mouille. Je ne bouge pas. Il donne un petit coup de rein et absorbe mon gland, juste lui. C'est trop bon. Sa rondelle se resserre juste derrière la couronne et colle ma hampe. Il ne bouge plus. Puis il tourne sa tête pose ses lèvres sur les miennes, me souffle un bonjour avant de m'enfoncer sa langue à la recherche de la mienne.
Je n'y tiens plus. J'écrase ma bouche contre la sienne et en même temps enfonce le reste de ma queue dans son cul. On se décolle sous l'effet de nos grimaces respectives. Quasiment à sec, ce n'est pas notre meilleur enculage ni pour l'un ni pour l'autre. Je me retire doucement, bascule vers la table de chevet le temps d'attraper une kpote et du gel et reprend ma position. C'est nettement meilleur ! Lentement je lui laboure la rondelle. Je ressens la compression de son intérieur à chaque pénétration et il gémit doucement, surtout quand mon gland vient frotter sa prostate. Il me tend à nouveau ses lèvres. Sa langue cherche la mienne, l'entoure et tente de l'aspirer. Sans se presser mon bassin bascule régulièrement pour lui enfiler puis retirer mes 20cm. Couchés sur nos côtés gauches, j'utilise ma main droite pour branler ses 22cm dont ma main peine à faire le tour. Ça nous achève rapidement. Il me jute dans la main et ses contractions anales me font à mon tour juter mais dans ma kpote.
Nous n'avons pas le temps de nous décoller que mes deux amours nous sautent dessus. Chahut sur le lit, nos spermes se dispersent sur les peaux et les draps. Quand João s'en rends compte, il veut nous calmer mais c'est peine perdue !
Vu l'heure, nous filons tous sous les douches de la salle de bain commune.
Quand Samir demande plus tard à João comment s'est passée sa première nuit chez nous, il lui répond trop bonne. Je lui dis qu'il devra quand même s'habituer à dormir seul. Enfin tant qu'il n'a pas de petit copain.
Jardinier
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??
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oooohhh
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~~
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nerdraging4point0 · 1 year ago
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Blood of Eden // Part One // Noah Sebastian Urban Fantasy AU Fic
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Tropes and Tags: MM, MF, MFM, MFM, instalove, too much sex, tattooed men, polyverse, shapeshifters.
CW: 18+ only minors DNI. Urban Fantasy romance, Smut. Angst. Fluff (ish), Story includes D/S themes, mentions of blood and gore, mentions of drug use and distribution, mentions of prostitution, unprotected sex, male receiving oral sex, female receiving oral sex, cuckolding, P/A sex, P/V sex.
This work below is fictionalized ideas and stories involving real people but does not directly reflect their thoughts, feelings, or behaviors. Please keep in mind that this is a work of fiction.
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"You should be-sss-at the ceremony." Jolly hissed, his body sinking deeper into the leather couch. He dropped his head back, resting on the cushions, eyes rolling to the back of his skull. Black slacks pushed down just above his knees, no shirt, his long ash blonde hair pulled into a high bun keeping the strands off his face. Noah hummed, the only sound capable of being made with his mouth as full as it was. 
Fuck the ceremony. 
It was an hour or so of pledges and vows, all things Noah could do without. He hadn't even been excited for his own ceremony. He hated people watching him and judging him; he felt like an intimate thing like that should have been for him and him alone. 
But that wasn't tradition. 
Dragging his lips off Jolly's shaft, leaving a glossy sheen behind, he barely let the swollen head fall from his lips as he spoke. 
"Would you rather I be there than here?" 
Noah's teeth grazed the tip of Jolly's prized appendage, teasing him. His master let out a low moan, gritting his teeth; watching his jaw tighten only made Noah's smile broaden with pride. He was pushing his limits, testing forces he had no business testing. Noah's knees were sore; he'd been kneeling on the linoleum for a while now. He could have had Jolly off in a few minutes if he'd wanted, dragging it out on purpose; if he had kept his master busy before the hunt tonight, he'd have avoided the ceremony altogether.  
"You're stalling." Jolly's calloused hand ran through Noah's soft brown locks gripping at the crown of his head to push him back down on the man's stiff cock.
There was no more conversation as Noah's head bobbed back and forth, stroking his master's legs before cupping his knees and pulling him further down on the cushions, his thumbs stroking Jolly's surprisingly soft skin. Their relationship was one of understanding, loyalty, friendship, and ownership. Noah was a Chasseur, shifting creatures bred to serve their Mage masters; and serving his master was something Noah did well. 
When Noah was just a pup, he was gangly and awkward, but he had a bright smile and an eagerness to learn; Jolly picked him out of the large selection of new recruits, and Noah had never been happier. During his collaring ceremony, the very ceremony he was missing now, he'd been presented to his master with his peers and their masters watching as Jolly clasped the black choker on his then dainty neck. It hung loose on his neck back then. "You'll grow into it." Jolly had whispered to him. They shared a passionate kiss with all eyes on them, which made Noah elated at the time. Puppy love, they called it. Now, with his hair chopped short, muscles rounded out and more defined, his choker was clasped so tight his adam's apple sometimes struggled against the leather strap. 
Jolly bucked his hips as his warm release coated Noah's throat. The hunter leaned back onto his ass, rubbing his sore knees while his master tucked himself away. Crossing the floor in silence, Jolly extended his hand to run his fingers through Noah's hair. The hunter leaned into the touch, feeling the way his master's nails scratched into his scalp; he hummed the sound, turning into a rumble in his chest as Jolly tugged at the strands.
"Such a good boy, you are."
Their tender moment was interrupted as Jolly's phone buzzed against the oak wood of his desk. When he walked away, Noah pouted, letting out a whine. A stern look and a raised eyebrow had Noah storing away his pout.
His master slid a thumb across his phone screen, putting the device to his ear. No doubt it was the head-magi calling with the hunter's positions. Guarding the Mage's investments was a hunter's job, three banks, two laboratories, and the Skytower, a forty-five-story building where all the Mage lived with their hunters, needed to have round-the-clock guards. Noah silently prayed to whatever universal power or deity existed to let him guard the Skytower tonight; it would mean he'd have another forty-five minutes to spend being a good boy for his master. 
"Where?" Jolly growled into the receiver, his bare chest rising and falling, listening to orders from the other end of the line. Noah's ears pricked up. Standing from the floor, he squared his shoulders, bouncing on his feet, ready to move. Jolly hung up the phone, letting out an exasperated sigh. 
"Take, Oli. South side."
Noah felt his ears fall back; tail cast down. The south side was the central laboratory, with heavy traffic suitable for a busy night but far away from his master, much to Noah's disappointment.
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Her feet met the concrete in hard strides; even through the heels of her boots, she could feel the force of her momentum as she pushed off the cement down the streets away from the lab. 
They were so close this time.
Her frustration drove her adrenaline as she bolted away. Rick and Chavez were the brains behind their operation; Chavez was their leader on the ground, and he'd been eager to show his worth. He had the blueprints of the lab and knew how to get in and out of places quickly. Rick was tech; he was supposed to disable the alarm system, blackout the security cameras, and redirect the radio traffic to keep the hunters away long enough for them to sneak in. A secondary alarm system had been triggered the minute they walked in. While the inexperienced ones panicked and tried to still get in, hoping to score their goods, she knew what she was coming for would be heavily guarded. Futile to proceed, she turned on her heel and bolted from the lab. 
Snarls broke through the silence of the streets, echoing on the brick and steel buildings around her, and she knew the hunters were on her trail. Continuing to weave through side streets and neighborhoods, she hoped she could shake them; hunters rarely pursued after a few weaves and dodges; that was what she was counting on. Somehow, she'd gotten herself turned around and found her way down a dimly lit street she'd never been before. She slowed her pace; no way she'd been followed, dropping her hands to her knees she took deep slow breaths grounding herself by feeling the dark, scratchy denim in her palms. Her lungs were burning, the sting on her cheeks from running for so long. Cardinal red hair falling over her shoulder, cascading down in long waves, cursing under her breath. Somewhere during her weaving and bobbing she’d lost her scrunchy, her hair now free and loose in a frizzy mess. 
A short bark, then a snarl, sounded from the block over.
Fuck. 
She spun around looking for her next best option. She couldn't keep running down the street; they'd catch her eventually. An alley was a few feet away; turning down its dark, narrow cavern she could see the ladder leading to the roof. Perfect.
The silver rungs to freedom were too high up for her to reach. She jumped, trying to catch the lowest one; as she rose in the air, her fingertips barely grazed the cool metal, which was no good. She was still too short. A dumpster sat full just a foot or two away. Wasting no time, she climbed up the box, trying not to slip on the slanted lid, last night's rain still lingering on its top, making the task difficult. The barks sounded out again; she could hear the tinkling of metal and claws on the asphalt.
Shit.
If she didn't make this, she'd crash to the ground and barely be able to climb back up before they found her and possibly killed her there in the alley. She could just imagine their teeth digging into the flesh of her throat, warm blood flowing out of her veins, and limbs being ripped from her body. 
One shot, she had one shot. 
Sitting perched on her feet, taking a deep breath, it was now or never. 
Leaping from the dumpster, she reached out for the suspended ladder, catching the bar with her right hand, and could only barely hang on. Her left made contact with the metal, feeling the bruise already forming on her upper bicep; she cried out but held her grip. Forgetting her pain and remembering what was hunting her, she climbed, pulling herself up till her feet rocked back and forth, steading on the bar before helping her ascend up the wall. Cracked concrete bleached from the sun and covered in dry bird shit was not what you think of for safety. But if it meant she was up off the ground and away from the four-legged hunters below, she could be satisfied with it. Still feeling her heart racing from adrenaline, she looked for another way down in case the hunters camped out or sent their masters for her. 
Her way up seemed to be the only way down; a leap between the adjoined buildings was her only option; a foot or two shorter than where she stood with a solid eight-foot wide gap between them was just enough that if she had a running start, she could leap across. 
"I could try it," she said aloud. 
A deep snort from behind her made her blood run cold. 
"Fuck." she mumbled under her breath. Knowing it was a bad idea, she slowly turned anyway, facing the beast head-on. Short-haired with long legs and large paws, it was a beast from hell. Dark brown orbs stared back at her from over its muzzle. The leather straps caged the long snout, the huffs of its breath hot on her skin even from this distance. When it snarled at her, the leather stretched, resisting the creature's open jaws, the straps snuggly secured behind tall pointed ears, whiplike tail swatting at the air. 
Stalking slowly out of the shadows from the direction of her only means of exit was another version of this deadly beast, its fur brown and shaggy snout also clasped by a muzzle. The shaggy beast turned to his comrade, snorting, and the demon dog gave a low growl in response.
"You fuckers can climb walls?" Her voice cracked as it escaped her throat. "Why am I not surprised?"
She turned, looking over the gap in the buildings. If she leaped across at this distance, she'd hit the wall, maybe even fall a good fourteen feet if she tried to cold jump it. Her escape route was looking pretty dim. Her eyes darted back to the beasts behind her; the shaggy one dropped his head, stalking toward her with determination. The hellhound barked assertively, the shaggy partner stepping back and giving him a quizzical look. 
Can they climb walls and communicate with each other? What the fuck did these bastards create? Suddenly, a torn-out throat or a fourteen-foot fall seemed to pale compared to the more dangerous things these creatures could do; all teeth and claws with what seemed like the intelligence of the average human did not mix well. 
Well, I'm gonna die either way, aren't I?
Reality creeping up, she turned back to the gap, thinking a fourteen-foot fall would be quick; teeth in her skin might take a while as she bleeds out slowly. She shuddered at the thought. Then again, they couldn't tear out her throat with muzzles, could they? 
They couldn't climb walls with paws, but here they were. Anything was possible. 
She turned back to ensure the muzzles were still secured to their faces, staggering from the sight. 
No longer four-legged beasts, the two men were squatting on their heels shoulder to shoulder. The one on her left was adorned in black leather boots and pants, the hem of his long sleeves hooking securely to his middle finger. Shaggy brown curls to his shoulders, rounding up by his eyebrows and flipping upwards. The muzzle covering the lower half of his face couldn't hide the smile playing on his lips. 
But the one to her right.
Black tank, leather pants, and boots, his own muzzle covering his face, the measly leather mask unable to hide his obvious beauty. Tattooed on every inch of his exposed skin, soft brown strands of hair licking his forehead short and clean, those intense brown orbs still locked onto her with a glint in them like he would enjoy tearing her apart. He bore a strap round his neck, a silver ring glinting in the dim light moving in time with the rise and fall of his chest. 
Goddamn it. They were back.
Her hallucinations played tricks with her vision, plaguing her with thoughts and images that were so disturbing it was driving her insane. Her Nightshade injections weren't lasting as long as they used to. Desperate to correct the world again, she violently shook her head, hitting her temple with the heel of her hand. 
Get it together. My life is on the line. 
It's just a hallucination, a hot one, but a hallucination.
Opening her eyes, there stood the animals; the devil dog took a step forward, curiosity burning in his eyes. His partner drooling next to him, the saliva dripping out of the leather on his snout. 
Done. Decision made. 
She leaped off the ledge, her body folding in half over the concrete lip, the air leaving her lungs on impact. It was too wide, and she was barely holding on, the toes of her boots scraping at the brick, seeking traction to get herself back on somewhat solid ground. She could hear whining over the beat of her heart and the scrape of her shoes. They hadn't jumped after her, but she wouldn't wait to let them try. She got herself almost over the hump before sliding back down, narrowly managing to grip the ledge again. She struggled some more before a sharp pain in her right shoulder split open her skin, and the heat of fresh blood ran over the open wounds. She was hurled from her suspension onto the opposite roof, rolling into the gravel, her left hand reaching for the wounded arm. Puncture wounds on her shoulder blade and collarbone dripped with fresh blood and a wet, watery substance that was not hers. Vision clouding from the pain and her heart racing in her ribcage, she turned to see the same tank top-wearing man from before. Crouched down on all four limbs, shaking and panting, his muzzle was gone, dark dribbles of what was unmistakably her own blood dripping from the corners of his mouth. 
Her body went numb, starting at her toes before rushing to her head, eyes fluttering closed and her vision going dark. 
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ghostwarriorrrr · 1 year ago
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Chasseurs Curtiss P-40 Warhawk des Tigres Volants (1st American Volunteer Group) en formation au-dessus de la rivière Salouen (Salween River) à la frontière sino-birmane – Campagne de Birmanie – Guerre du Pacifique – 28 mai 1942 Photographe : R. T. Smith ©San Diego Air & Space Museum
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transparentgentlemenmarker · 7 months ago
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Never forget.
En ce jour le plus long, plus de 200'000 hommes se trouvaient face à face, sur les plages de Normandie.
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Les forces alliées débarquaient sur les plages de Normandie, le 6 juin 1944
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Au nom de code Neptune, a été le plus important de l’histoire en termes de navires engagés.
Alliés
Effectifs: 156'177 hommes 5 divisions d’infanterie et 3 divisions aéroportées sont débarqués le jour J, dont 10'470 seront tués, blessés ou disparus, selon les chiffres du Mémorial de Caen, dans l’ouest de la France. Par mer, environ 133'000 hommes: soit 58'000 Américains sur les plages Utah et Omaha, 54'000 Britanniques sur Gold et Sword et 21'000 Canadiens sur Juno 177 Français débarquent aussi sur Sword.
Par air, 23'000 hommes: 13'000 parachutistes américains sont largués sur l’ouest de la France, dans le Cotentin et 10'000 Britanniques entre l’Orne et la Dives.
Aviation: pendant la seule journée du 6 juin, 11'500 appareils dont 3500 planeurs de transport, 5000 chasseurs et 3000 bombardiers survolent les plages normandes et déversent 11'912 tonnes de bombes sur les défenses côtières allemandes. Les pertes seront faibles: 127 avions perdus et 63 endommagés.
Marine: l’opération Neptune engage 6939 navires et la force de débarquement proprement dite comprend 4126 navires et barges constitués en 47 convois. Une partie des transports les LCA, Landing craft assault accompliront la traversée à bord de bateaux plus puissants pour n’être mis à la mer qu’au large de l’une de leurs cinq plages de débarquement. Les autres types de péniches traverseront la Manche par leurs propres moyens, notamment: les LCI (Landing craft infantry), petits transports de troupes, les LCT (Landing craft tanks) qui transportent des chars et des véhicules, les LCVP (Landing craft vehicle personal), les LST (Landing ship tanks), ainsi que les fameux «ducks» (canards), engins amphibies propulsés par une hélice. 20'000 véhicules et un millier de chars ont ainsi été transportés. La flotte logistique compte 736 navires auxiliaires et 864 navires marchands pour le transport de vivres, munitions et les hôpitaux flottants. Parmi les navires marchands, 54 blockships seront coulés pour former des rades artificielles.
L’escadre de combat totalise 137 navires de guerre dont sept cuirassés, une vingtaine de croiseurs, 221 destroyers, frégates, corvettes, 495 vedettes, 58 chasseurs de sous-marins, 287 dragueurs de mines, quatre poseurs de mines, deux sous-marins.
Forces allemandes
Effectifs: ~ 148'000 hommes de la 7ème armée sont stationnés en Normandie et environ 50'000 dans la zone de débarquement. A proximité des plages, une seule division blindée, la 21ème, au sud-est de Caen, et six divisions d’infanterie. Deux autres divisions blindées, la 12e SS (Hitler-Jugend) et la division Panzer-Lehr, sont respectivement près d’Evreux et vers Alençon-Le Mans. Trois autres divisions 1ère SS, 2ème et 16ème se tiennent au nord de la Seine, aux environs de Mons, Péronne et Senlis.
Aviation: une bonne partie des appareils vient d’être envoyée sur le front est. Restent quelques dizaines de bombardiers et chasseurs.
Marine: 30 vedettes, quatre destroyers, neuf torpilleurs, 35 sous-marins.
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valardynasty · 8 months ago
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Partie 1/2
Ma version des Maïar sous forme humaine.
Maïa Eönwë, héraut et porte-bannière du Vala Manwë, considéré comme le chef des Maïar.
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Maïa Ilmarë, la servante de la Vala Varda Elentàri, gardienne des étoiles, chef des Maïar.
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Maïa Olorin, le plus sage des Maïa, au service de Varda et Manwë, ami de la Vala Nienna.
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Maïa Ossë, ancien Úmaiar devenu vassal d'Ulmo, serviteur de Mandos et amis de tous les marins.
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Maïa Arien, l'esprit du feu Maïa de Vána et Estë, la guide du bateau qui fut appelée Soleil.
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Maïa Tilion, chasseur de la compagnie d'Orome, esprit guide du bateau qui fut appelé Lune.
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Création par Intelligence Artificielle.
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codumofr · 19 days ago
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Les photos d’archives. Une telle mine d’or de connaissance et de culture. Un savoir qui doit être mis en avant et maintenu en vie dans le cœur des femmes et hommes pour se rappeler de l’histoire. Ainsi, voici 3 photos d'archives de la Première Guerre mondiale. Conflit majeur se déroulant de 1914 à 1918, il sera le théâtre des premières utilisations de l’aviation militaire, mais aussi des chars d’assaut et de la motorisation en temps de guerre tout en donnant de grandes avancées technologiques à l’artillerie et aux armes légères. La 1re guerre mondiale est donc surtout connue pour avoir été la guerre qui a vu la naissance de la cavalerie blindée, mais aussi de l’aviation militaire. Mais elle peut être aussi rattachée à des inventions et des premières qui aujourd’hui se retrouve dans le civil : Chirurgie d’Urgence avec des personnes comme Samuel Pozzi, Harry Dakin, Alexis Carrel, mais aussi en termes de chirurgie plastique, d’hygiène et même des avancées dans la vaccination, les prothèses et les soins psychiatriques.
Ici, nous avons 3 Femmes du New York Women's Machine Gun Squad Police Reserves testant une mitrailleuse Lewis montée sur une moto de la firme Henderson Motorcycle en 1918. Les trois femmes sont Elise Reniger tenant l'arme, Helen M. Striffler sur le siège arrière et Ivane Farasoff à la conduite. l’Arme utilisé par ses femmes, la Lewis Mark I est une mitrailleuse légère ayant marqué la 1re Guerre mondiale due au fait qu'elle équipe non seulement l’infanterie, mais aussi les premiers chasseurs de l’histoire. Pouvant tirer 550 des cartouches de 7,7 mm à la minute pour un poids de 12,7 kg. Elle sera du coup un franc succès.
3 Soldats du 44e Régiment d’Infanterie en 1915. Il sera le régiment ayant le premier mort en 1914, le Caporal Jules-André Peugeot. Sa première bataille sera celle de Dornach le 19 août et connaîtra la fin de la guerre avec la Bataille de la Butte de Tahure. Ils connaîtront aussi la Première Bataille de la Marne en 1915, la seconde de Bataille de Champagne la même année et seront à Verdun en 1917 sur la côte 344 du 3 au 13 septembre. Dissoute en 1923, elle sera recréée de façon éphémère en 1939 lors du déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale et dissoute de nouveau en 1940 suite à la défaite de la France. Elle sera finalement de nouveau recréée en 1989 sous le nom de 89e Bataillon de Service, devenant ainsi un régiment administratif et de support pour la DGSE. Surnommée l’As de Pique, de nos jours, cette unité sert de support pour le personnel militaire se trouvant affecté à la DGSE.
Un canon BL 6-inch Mark VII du Royal Garrison Artillery en action près de Hédauville en Somme lors de la Bataille de Rosière le 26 mars 1918. Récupéré de la Navy et monté sur un affût pour devenir un canon lourd de campagne, le BL 6-Inch Mark VII aura ainsi son affût et son moyen de transport dessiné et mis au point par l’Amiral Percy Scott (1853-1924) et sera exclusivement opéré par la Royal Garrison Artillery durant la Seconde Guerre Boers et la 1re Guerre mondiale notamment durant la Bataille de la Somme.
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kamimammy · 2 months ago
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I need a Vanitas AU were Everything gets resolved,Vani ends full turned into a vampire and now has no idea what to do with himself,cause he was ready to die on the final battle.
Jeanne leave to live on a old house that was her parents cause she feels that now is finally the time to start questioning herself what SHE wants.
Domi and Noe see Vanitas slowly going into madness cause he has to much time and wants to talk with Jeanne but what use is him now and she is so wonderful and brave and now he is this weird vampire that is not even a normal vampire..and cue him over thinking everything.
Domi and Noe have enough and send him to Jeanne place to just talk to her.
Jeanne is happy been domestic and once Vani arrives gets slowly and unconsciously sucked into that domestic life,exploring the possibilities,exploring the sudden need to suck Jeanne blood,exploring his love for her...
Now they are alone in a house that they make them and he feels weirdly out of place but at the same time like this is exactly were he belong and it's scary.
He works with the dhamps,with the chasseurs sometimes,Domi and Noe visit often,they do a lot of stuff with them.
On this AU Luna will be cured(cause i like her/him) someday they will ask Vani if they plsn to have babies someday and that kinda breaks his brain and he is going insane again,hyper over thinking,eventually Jeanne gets him to stop and just let things go normally and naturally,the next year she is pregnant and he goes berserk with worry until again she gets him to just enjoy the moment,slowly he does and their daughter is born and he can't shut up about her.
Everyone will be arround them,happy to be aunts and uncles and grandmother(?) For Luna?? Luna is happy!
Headcanon the vanijeanne kids have deep blue eyes like old human vani and turns violet(not yellow like the dhamps,because red+blue is violet) they will be technically not dhamps but they kinda identify as them cause they feel closer to dhamps than pure vampires.
There totally can be dominoe kids arround too!
Another headcanon must be Vani jeanne exploring sex life,cause he feels like until now they didn't have the time and his very anxious cause look at Jeanne she is a goddess and he is like not (XD) and gets very very surprised that Jeanne is in fact vanisexual(XDXD) he has to totally overheard some conversation with Domi while Jeanne is all like "isn't Vanitas the most handsome man alive? I totally wanna jump his bones" (Domi IS NOT amused)
Also need to see Vanitas jealous,like some poor mailmen flitrs with Jeanne and he be all offended like "HOW DARE YOU?" and have a internal monologue complaining but then it turns to who is him to deman everything and hating on himself until Jranne answers the flirt with "oh how sweet but im taken" cue Vanitas full stopping his self hate party to be all puffy and proud
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emily-nightray · 8 months ago
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Gilbert and Break infiltrating the chasseurs is much funnier if it happens after Gilbert loses his arm. Being blind and with one arm, Break and Gilbert are still going to be the top fighters. Especially of the main people. So it makes sense to send them in because they can adapt to fighting the easiest. But how is anyone supposed to believe people like them would want to join? Obviously Break is good enough to fake it but Gilbert is still missing an arm. So this would mean Gilbert has to go in and be convincing enough that he can still fight without an arm (he can) and create a fake story about it (a vampire took it and I want vengeance upon them) or give in and get a fake arm.
I mean, they'd be the best yet absolutely worst spies in this situation.
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carbone14 · 1 year ago
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Douglas A-20C Havoc en cours de maintenance à la base aérienne de Langley – Virginie – Etats-Unis – Juillet 1942
Photographe : Alfred T. Palmer
©United States Library of Congress - LC-USW36-203
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flammine · 2 months ago
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Pleins de bons dramas en ce moment ! On poursuit avec celui ci:
Titre: Fangs of Fortune
Drama chinois de fin octobre 2024 de 34 épisodes x45 min
Genre: Fantastique (Dieux et Démons), Historique, Résolutions d'enquêtes, Amitié et Romance.
Acteurs:
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Histoire:
Durant l'ère Zhenyuan, la déesse Bai Ze gouvernait les royaumes des humains et des démons. À sa mort, les bêtes démoniaques ont proliférées et semées le chaos dans le monde des humains.
Le puissant chef démon "Zhu Yuan", déguisé en Zhao Yuan Zhou, se porte volontaire pour se rendre et propose son aide à la Cour Impériale pour former un bureau de chasse aux démons et mettre fin au chaos.
Wen Xiao rejoint le bureau de chasse aux démons avec son ami d'enfance, Zhuo Yi Chen, qui est à la fois doué pour le travail de détective et le maniement de l'épée. L'archère Pei Sijing et le jeune talentueux, mais timide médecin Bai Jiu, rejoignent également le bureau de chasse. Ensemble, ils forment une équipe de chasseurs de démons et affrontent les bêtes démoniaques.
Au fur et à mesure qu'ils résolvent des affaires, ils découvrent la vérité brutale qui se cache derrière les actes malveillants des démons.
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Confrontés à une grande responsabilité et à la perte d'êtres chers, leur amitié indestructible et l'amour entre le plus grand démon et la déesse pourront ils surmonter ce dilemme ?
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Avis perso: Un bon drama avec pleins de bons acteurs, une histoire prenante, de jolis costumes, effets spéciaux et une pointe d'humour, super !
Pour le voir:
Iqiyi ou Dramacool
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 342
Février le Ski-4
Jour 5
Réveil aux aurores. Mon chasseur été tout surpris de se réveiller dans mon lit. Il me surprend en me faisant un câlin avant de sauter sous la douche. Quand je me lève, j'aperçois Marc et Hervé qui rentrent de leur escapade à l'étage du dessous. On se fait des bisous et je leur demande si c'était bien les chaudasses que m'avaient dit les deux chasseurs qui les avaient levées. Ils confirment en coeur que c'était bien le cas. Nous nous pressons au petit déjeuner. Nous sommes tous là et cela s'entend dans le restaurant. Nous sommes devant les remontées mécaniques dès leurs ouvertures et nous nous dispersons dans la montagne. Les groupes sont restés les même alors que les niveaux ont tous progressé.
Aujourd'hui nous prenons vraiment plaisir à skier. Les descentes se succèdent assez facilement et nous apprécions même les noires. Nous terminons la journée en hors-piste avec un long passage dans les sapins pour voir si nous avons retenu les astuces pour ne pas s'enfoncer dans les fourrés recouverts de neige. Ce coup-ci nous ne perdons personne. Le retour se fait dès la fermeture des remontées mécaniques. A l'hôtel, avant de monter je vois le directeur pour notre denier soir (demain). Je veux un diner qui sorte de l'ordinaire pour notre petite troupe + 2 car je sens que d'ici là nous allons avoir adopté le duo de l'étage du dessous. Douche seul, ça faisait longtemps. J'en profite et détends mes muscles sous les jets brûlants. Vers 19h nous envahissons la piscine. Evidemment nous y retrouvons nos deux voisins du dessous qui nous attendaient avec impatience. A part quelques filles qui bronzent sous les lampes UV, l'espace aquatique est à nous. Dans la partie haute de la piscine nous organisons un combat en couple (un mec juché sur les épaules d'un autre) Escorts contre Chasseurs Alpins. Le couple gagnant est quand même militaire. C'est leur lutteur en portage du lieutenant responsable qui gagne le défi. Nous nous partageons entre le sauna et le spa. Retour à l'étage pour nous changer puis diner. Le groupe de chasseur est maintenant invisible. Fondu parmi nous, ils ne pensent plus à la caserne. Ça discute entre tous comme avec de vieux amis. Ils nous apprécient car on ne fait pas de différence entre eux et nous. Ils sont sous-officiers ou simples soldats et nous sommes tous en études supérieures. A côté de cela, ils ont des compétences que nous n'avons pas. Ça équilibre et comme mes escorts sont tout sauf snobs, ça se passe nickel. Les derniers arrivés ont aussi pioché dans nos valises de quoi s'habiller plus " neutre ". Je propose une virée à la boite de nuit de l'hôtel. Pas de réaction puis tous me disent qu'ils veulent se coucher tôt pour être en pleine forme demain. Et je vais les croire peut être ! Le retour se fait en ordre dispersé selon ceux qui étaient pressés, ceux qui voulaient un café et/ou un alcool.
Je prends juste un café. Je veux moi, aussi bien profiter de la fin de soirée. Avec PH, Ernesto et Ludovic, j'ai bien envie de profiter des deux " voisins ". J'aime me faire mon avis moi-même et voir s'ils sont aussi chaudasses que ça. Ils ne sont pas contre donc on monte dans leur chambre. Plus petite que les nôtres, elle fait quand même 4m x 5. Les deux lits jumeaux sont déjà collés, les pieds attachés entre eux par les premiers " visiteurs ". Nous sommes 4 et eux 2. Ils se trouvent propulsés sur leur lit et dévêtus en 30 secondes. Je les regarde de près. Ils sont pas mal tu tout et très baisables. A leur tour, ils nous mettent à poil et se mettent aussitôt à nous pomper en alternance. Et quand je les vois se mettre, en même temps qu'ils nous sucent, des doigts dans le cul, je comprends l'adjectif " chaudasse " qui leur a été attribués. Même pas besoin de les préparer, ils sont auto-chauffés ! Comme j'enfonce mon gland dans la gorge d l'un des deux, c'est Ernesto qui se colle à l'enculage. Il se kpote et défonce la " salope " qui me pompe. Ses doigts ont dû être efficaces car c'est un direct au fond qu'il lui octroi. Je vois sous mes yeux les 24cm de mon espagnol préféré s'enfoncer en une seule et puissante percussion jusqu'à ce que son bassin colle aux fesses de mon pompeur. Ça ne s'arrête pas là. Emporté par l'élan, Ernesto le pousse en avant et mon gland défonce encore plus loin sa gorge. Je sens ses dents s'enfoncer dans mon pubis. Jamais je n'avais défoncé une gorge aussi profonde ! Trop bon !
Quand je me retire il prend une respiration et pose ses mains sur mes fesses pour m'attirer à nouveau vers lui ! Son copain à coté, avec Ludovic et PH demande qu'ils lui fassent la même chose. Excité par notre trio, ils s'y mettent, Ludovic à mettre en sourdine les gémissements que PH tire du mec en l'enculant aussi fermement qu'Ernesto. On part dans un délire grave tous les 6 ! On s'échange les différents trous et les deux mecs pendant un bon moment, les deux amis se prennent de quoi les calmer un bon moment. J'aime particulièrement la voracité avec laquelle ils accueillent nos bites dans leurs gorges affamées que dans leurs culs de velours. Même après les passages répétés d'Ernesto, ils restent serrés et confortables à la sodo. Pendant tout ce temps ils bandent dur et ne veulent pas qu'on touche à leurs sexes de peur de partir trop tôt ! Nous arrivons à les baiser plus de deux heures avant d'être rattrapé nous-même par le plaisir d'exploser sur et /ou dans eux. Quand le dernier d'entre nous expulse sa dernière goutte de sperme, ils se collent en 69 et nous les voyons chacun déglutir la production de l'autre.
Nous sommes tellement cassés qu'il nous faut 1/2 heure pour émerger de l'état de mort cérébrale qui a suivi nos éjaculations. Nous arrivons quand même à regagner notre étage non sans avoir choqué les voisins direct (les deux vieux) alors qu'ils avaient passé la tête par leur porte pour voir qui faisait autant de bruit à côté de chez eux. Il faut dire que nous n'avions pas renfilé beaucoup de vêtement pour glisser jusqu'à l'ascenseur. Et qu'une ou deux fesses devaient encore déborder des slips censément chargés de les couvrir. A notre étage, les baises sont aussi dans leurs stades terminales. En passant devant toutes les chambres, nous atteignons celle d'où proviennent encore des gémissements. Il fallait s'y attendre, on y trouve Max et Enguerrand en train de se faire démonter par deux Chasseurs. Ils ont bien choisi, ce ne sont ni les plus moches ni les plus vieux non plus. Et d'après ce que l'on peut en voir, ils ont encore les batteries bien chargées. Enguerrand me voit et me fait signe d'approcher. Il est sur le dos, les jambes relevées et écartées pour laisser la place à son enculeur d'oeuvrer. J'approche ma tête de la sienne. Il me l'attrape et me roule un gros patin. Quand il me relâche il me dit qu'il est trop content que nous les (max et lui) ayons emmenés avec nous. Des deux militaires, nous arrivent les mêmes commentaires, comme quoi s'aurait été dommage si nous les avions laissés derrière nous. Tout ça bien sûr sans cesser de limer les deux petits culs de nos benjamins !
Nous restons avec eux participants à l'apothéose finale. Entre rouler des pelles ou bouffer des tétons, nous nous répartissons les acteurs. Puis, j'ai une idée lumineuse. Pourquoi ne pas enculer les deux chasseurs Alpins histoire d'accélérer leurs montées terminales. Un clin d'oeil à Ernesto qui me comprend et, une kpote plus tard, j'encule celui d'Enguerrand alors qu'Ernesto se charge, ou plutôt charge, le chasseur de Max. Le mien s'est bien adapté à la nouvelle situation alors que celui d'Ernesto s'est montré plus... surpris, on va dire ! Bon c'est vrai que 24x6 c'est plus hard à prendre que mes 20x5.  En attendant nos interventions ont précipité les choses et nos deux chasseurs tirent leurs cartouches au fond de nos amis. Eux prennent leurs pieds entre les sodos et les stimulations de PH et Ludovic respectivement sur Enguerrand et Max. Quand nous rejoignons notre suite, la grande chambre est occupée par Marc et Hervé... accompagnés de mes deux " russes ". Nous nous installons dans un autre des chambres de la suite.
Jour 6 Sur le même rythme, tout pareil !
Jour 7, dernier soir et dernière nuit ! Réveil sur les coups de 8h par nos militaires douchés et équipés. On se presse tous pour être au petit déjeuner à 8h30. Les groupes " faibles " qui le sont bien moins sont réunis, mais les deux autres groupes restent indépendants. Nos ainés ne veulent pas se faire chier à nous suivre sur notre rythme de fou et nous nous voulons rester avec Jona et François. On se fait plaisir sur toutes les noires maintenant. La godille n'a plus de secret pour nous et nous filons comme des flèches sur les pistes. Nos coaches ont content de nos progrès et c'est tant mieux puisqu'on est l'avant dernier jour !
Un dernier passage dans la forêt qui nous avait donné tant de mal la première fois, sauf pour Max qui s'y était fait son premier Chasseur Alpin. Comme sur des roulettes ! Et c'est notre dernier soir !! J'avais insisté pour que nous rentrions tous de bonne heure et c'est le cas. 16h30 tout le monde est à l'hôtel. Douches, rasages, épilations, hydratation, nous prenons soin de nous et de notre équipe de " profs ". Ils ont beau protester, au départ, ils finissent par succomber au nombre et à se faire bichonner. Nous leurs devons bien ça après tout le mal qu'ils se sont donnés à améliorer notre pratique du ski ! A presque 3 par mec, nous nous occupons de leurs bodies de fou. C'est bien pour ça que je voulais qu'on rentre tôt. Après un douchage entre nos mains, nous leurs octroyons un rafraîchissement de leurs pilosités mais dans leurs limite, pas question de les mettre en porte à faux avec leurs autres collègues. Cela ne nous empêche pas de les masser avec de l'hydratant et ils en sortent avec de vraies peaux de bébés. Un soin particulier est mis à leur choisir les vêtements les plus mode qui peuvent leur aller. Emportés par l'ambiance ils se laissent faire même le chef du détachement. Quand ils sont prêts, ils sont parfaits, au point que je leur dis que s'ils n'avaient déjà un travail, je les aurais embauchés sans problème dans ma boite d'escorts. Ils éclatent de rire avec tous mes amis. Nous descendons diner. La traversée du hall nous vaut des regards encore plus appuyés que les dernières fois. Je crois même avoir entendu plusieurs sifflets et ne provenant pas que de femmes. Nos deux invités qui nous attendaient devant la porte du salon particulier où nous allions, ont leurs mâchoires qui tombent en nous voyant, surtout nos militaires ! On les pousse à l'intérieur et nous sommes pris en charge par les serveurs. Apéritif, les bouchées sont délicieuse et légères (il n'est pas question qu'on ait plus faim après). Le diner est parfait. Les vins sont suffisamment bons pour que personne ne songe à en abuser. On prend tous un café, nous attendant à une fin de soirée plutôt chaude.
O remonte et pour cette dernière nuit nos deux invités sont autorisés à nous accompagner. Je passe sur leurs exclamations devant le luxe de l'étage et celui de voir tous les mecs se foutre à poil en 15 secondes. Comme ils sont un peu lent, ils sont aidés et se retrouvent dans le même " plus simple " appareil que les autres. Je les laisse à d'autres qui n'ont pas encore eu le plaisir de baiser leurs deux petits culs très gourmands et part à la recherche d'un bon coup avec Ludovic. On croise Jona et François en train de se payer les deux lieutenants. Je sais qu'ils avaient tenu tant que ces derniers étaient leurs " moniteurs ". Là, ils baisaient avec eux avec la fougue propre à ceux qui se sont retenus ! C'est amusant mais mes escorts en couple tendent à baiser avec d'autres mecs mais ensemble quand même. Mes deux escorts spéciaux et leurs deux lieutenants baissent côte à côte, et s'échangent de temps en temps. Je m'arrête 3 chambres plus loin. Dedans Max et Enguerrand se font défoncer par Sosthène et João. Ludovic hésite à venir avec moi, gêné par la présence de son frère. Je le pousse devant moi et il tombe sur Max qui se fait limer par João. De mon côté, je me glisse vers Enguerrand et Sosthène. Roulage de pelle à chacun. Ils ont l'air content de me voir. Enguerrand réclame ma bite. Je ne fais pas de cas pour la lui planter dans la gorge. A côté, Ludovic m'imite dans la bouche de Max.
J'ai la bonne surprise de sentir une fraicheur sur ma rondelle. Quand je tourne la tête c'est pour voir celle de Sosthène plantée entre mes deux fesses. C'est donc bien sa langue qui me lèche l'oignon. Putain comme il fait ça bien ! Je me sens m'ouvrir et sa langue progresser dans mon trou. Je n'en raidis que plus et les amygdales d'Enguerrand en profitent un max. Je suis obligé de me calmer et pour cela me retire de la bouche chaude qui enveloppait mon sexe et glisse sur son corps dans le but de me mettre en position de lui rouler une pelle. C'est presque aussi bon que d'en faire une à Ludovic. Ok, c'est aussi bon ! J'entends un déchirement d'enveloppe de kpote et mon anus se fait envahir à son tour. C'est bien sûr les 23cm " café au lait " de Sosthène qui prennent leurs marques. Je jette un oeil à nos voisins. Ludovic a vu mon changement de position. Il m'imite et je le vois glisser sur le corps de Max pour proposer sa rondelle à João. Pour éviter que mon petit beau-frère pâtisse d'un coup de froid mal placé, je m'empresse de boucher le trou laissé vacant par ma bite. Il m'aide en relevant ses jambes et son bassin.je lui mange la langue en essayant d'amortir les coups de rein de Sosthène dans mon fondement. Sa rondelle se resserre sur ma bite plus fine. Il fait ça bien et me fait bander plus encore. Tout comme les coups de gland dans ma prostate, ça participe à m'envoyer des ondes de bien être dans tous mon corps. Après quelques minutes, placé ainsi, Enguerrand se tortille sous moi pour se tourner et se mettre en levrette, un peu écrasée sur ses pattes arrières la bestiole quand même ! Il s'écarte les fesses de ses deux mains pour que je le pénètre plus profondément encore.  J'aime trop son petit cul, étroit à souhait. Je ressens un contact total avec ses chairs intérieures comme avec la peau de tout son dos. Contre le miens je sens les pointes dures des tétons de Sosthène s'écraser sur mes omoplates. Je ne sens bien sûr pas que ça ! Ses 5,8 de diamètre m'écartent la rondelle avec une pression impérieuse. Le préservatif est si fin que j'ai comme l'impression que nos chairs sont collées. Puis ça se mélange avec le trio d'à côté. Je ne sais comment mais je me retrouve entre Max et João dans la même position, c'est-à-dire en jambon du sandwich. Quand j'en prends conscience je me demande où est parti Ludovic. Je mate à droite et c'est là que je le vois dans ma position !!! C'est-à-dire " occupé " par Sosthène et " dans " Enguerrand qui sur le dos, lui roule un patin d'enfer.  Ça me déconcentre un peu avant que mes deux amants m'envoient au 7ème ciel.
Je me dégage vite et vais retrouver mon Ludo et son frère. Ma langue rejoint les leurs et j'aime trop ça. Enguerrand se tourne un peu pour me serrer dans ses bras et me rouler une pelle tout seul. On se bat un peu de la langue avant que je me retourne et fasse de même avec Ludovic. Sans s'en apercevoir les trois autres nous ont quittés. J'ai occupé la place laissée vacante par Sosthène et c'est tous les trois en même temps que nous avons jouis comme des fous. Moi au fond de Ludovic, lui au fond d'Enguerrand et ce dernier entre leurs abdos compressés. Nous prenons une douche ensemble comme pour retarder le moment de nous séparer. Je les embrasse tous les deux les serrant fort contre moi, en premier mon amour et en second son " conard " de petit frère. Ils sont trop ces trois frères là !  Je repars à la chasse aux chasseurs lol ! Je tombe sur le mien (celui qui m'avait coaché toute la semaine) qui faisait de même. Je l'attrape par le cou, lui roule un patin et lui demande s'il est d'accord. Il ne demande pas pourquoi et me pousse dans une chambre. On tombe en réel sur Ernesto en train d'enfiler un de ses collègues (à mon chasseur). On est surpris tous les deux car c'était celui qui m'avait fait part de ses craintes quelques jours plus tôt de se faire emmancher. On s'installe à coté pour baiser nous aussi. Et c'est avec eux trois que j'ai fini la nuit. Quand je me suis réveillé j'étais encore emmêlé avec eux. A poil j'ai fait le tour de l'étage. Max et Enguerrand avaient retrouvé leurs deux " chasseurs " préférés et dormaient aux creux de leurs bras. Marc couvrait de son corps un des deux invités comme Hervé serrait l'autre dans ses propres bras. Ludo et PH dormaient encore dans les bras l'un de l'autre alors qu'Ernesto dormait entre les deux lieutenants. 
Jour 8 Pas de ski ce dernier matin !  Nous passons notre matinée entre douches, petit déjeuner et valises. Les militaires se préparent de leur côté. Ils repartent tous lestés de la tenue qu'ils portaient hier soir. Les adieux se font à l'étage. On se serre dans les bras, on échange les dernières pelles et alors qu'ils vont prendre l'ascenseur, je leur donne à chacun une enveloppe avec interdiction de l'ouvrir avant le soir et seuls ou entre eux. Dans chaque enveloppe se trouve une rétribution substantielle, en liquide, pour récompenser les efforts qu'ils avaient déployés, le temps passé avec nous et mes coordonnées pour le cas où ils aimeraient passer des vacances au bord de la mer pour les changer. Pour le cas même ou certains voudraient se revoir.
Jardinier
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logogreffe · 2 years ago
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French Podcast Recommendations
The following list contains podcasts in French that I, a native French speaker, listen to. So if you're a beginner in French, those might be too hard for you !
The rest of the post will be in French !
1) Chasseurs de Sciences : Chaque épisode dure une dizaine de minutes et porte sur des scientifiques/personnalités "méconnu(e)s". (Il y a plein d'épisodes sur des femmes qui ont eu un impact énorme sur leur discipline)
Super intéressant !
Mes épisodes préférés : Henrietta Lacks, morte il y a 70ans..et toujours vivante ; Ada Lovelace, autrice du premier programme informatique..en 1843 ; Rosalind Franklin, une femme à la conquête de l'ADN ; Nelly Bly, 10 jours dans un asile psychiatrique et 72 jours autour du monde ;
2) Vénus s'épilait-elle la chatte ?
C'est un podcast sur l'histoire de l'art et le féminisme !
Les épisodes sur Picasso et Frida Kahlo sont à écouter absolument ! Frida Kahlo, au delà du mythe ; Picasso, séparer l'homme de l'artiste ;
3) Thinkerview :
Séries d'interviews sur différents sujets (qui ne sont pas vraiment mentionnés dans les médias).
Super intéressant si vous vous intéressez un peu à la géopolitique/ réchauffement climatique
Mes épisodes préférés : L'effondrement, le point critique ? Aurore Stéphant (Elle parle de l'industrie minière et de ses impacts sur l'environnement. L'écoute de cet épisode devrait être obligatoire pour l'ensemble de la population)
Guillaume Pitron : L'enfumage de la transition écologique
4) Mythologie Grecque
Un podcast sur ... la mythologie grecque !
Remarque : Je crois qu'à la base c'est un podcast à écouter avant d'aller dormir donc les effets sonores sont un peu...particuliers.
Voilà voilà, après, je vous conseille, s'il y a des sujets particuliers qui vous intéressent, de juste les taper en français dans la barre de recherche de Spotify et de choisir au hasard des podcasts ! C'est comme ça que j'ai découvert un tas de podcasts en anglais/ allemand/ espagnol. Bonne écoute !
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octoberbluegates-fr · 8 months ago
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Les six contes du solstice d'été sont bientôt terminés!
Click here for the english poll
Nous y sommes enfin! Les contes sont écrits et seront publiés la semaine prochaine en autoédition ^^ Il ne reste plus qu'à décider de quelle histoire sera le bonus, et pour cela, je vous laisse choisir!
Un très rapide résumé des contes pour vous aider :
Pas de repos pour le soleil
Un jeune sorcier jette un sort au soleil pour que le jour dure tous les jours aussi longtemps qu'au solstice d'été
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La couronne de fleurs et les sept roussalki
L'histoire d'amour d'une princesse et des sept jeunes filles qui la comprenaient le mieux, inspirée du folklore d'Europe de l'Est
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Le vampire qui se languissait du soleil
Un malheureux vampire, guidé par une gentille sorcière, part à la recherche du soleil qui ne le brûlera pas
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Les gâteaux au miel
Une petite fille, en rentrant chez elle le soir du solstice, est très heureuse de découvrir le royaume des fées.
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Le soleil qui ne se levait pas
Trois sorcières partent à la recherche du coq magique capable de réveiller le Roi Chêne.
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Le chat d'Hélios
Comment Hélios reçut et perdit son chat bien-aimé qui était un peu trop bon chasseur.
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