#canard domestique

[photographe-a-roulettes]

Canard émeraude - Il est considéré comme oiseau d'ornement et est particulièrement apprécié pour son plumage

Lieu : Parc Charles Fenain - Flers-en-Escrebieux

[almanach-international]

4 juin : la dissidence chinoise en exil célèbre le 35 mai en mémoire de Tiananmen

Le 35 mai correspond au 4 juin 1989, date de l'intervention de l'armée lors des manifestations de la place Tiananmen. Il s'agit d'un mot-clé permettant de contourner la censure des autorités chinoises via des logiciels de surveillance. Évidemment toute commémoration est interdite en Chine. Jusqu’en 2019, il n’y avait que dans la ville de Hong-Kong que chaque 4 juin, plusieurs dizaines de milliers de manifestants se rassemblaient pour une veillée d’hommage aux victimes. Cette année, comme en 2020, la manifestation a été à nouveau interdite à Hong Kong et à Macao, pour raison sanitaire selon les autorités.

Sur le continent, la moindre allusion à cette «  rébellion contre-révolutionnaire » est interdite. Les autorités opèrent des arrestations préventives quelques jours avant la date, tout rassemblement est impossible. La censure est implacable « 4 juin » (六四 ) de même de même que les chiffres 6 et 4 doivent être bannis des messages, les internautes avaient pris l’habitude de parler du « 35 mai » («May 35» ou «535»). Ce qui permettait en même temps de s’affranchir du chiffre 4 qui en Chine porte malheur. Mais, l’expression du 35 mai a été à son tour rattrapée par la censure, tout comme le code 9875321, où le 4 et le 6 était sciemment retirés…

Au printemps 1989, des milliers d’étudiants et d'intellectuels, mais aussi des ouvriers étaient rassemblés depuis le 4 mai sur la place Tiananmen (la principale place de pékin) pour dénoncer la corruption et l’incapacité du régime en demandant des réformes politiques et démocratiques. Le gouvernement chinois, d’abord indécis, a fini par envoyer l’Armée pour mater cette révolte. La répression du « printemps de Pékin » a débuté le 4 juin 1989 (c’est la date qu’on commémore aujourd’hui), elle a duré plusieurs jours, faisant quelque 10 000 morts et de disparus.

Tout le monde se souvient de l’image d’un homme seul et anonyme, tentant de stopper une colonne de chars. Il a été vu comme le symbole du combat inégal entre les étudiants et le totalitarisme chinois. Pour contourner la censure qui frappe aussi les photos de char, chaque année, à l’approche du 4 juin, quelqu’un a eu l’idée de les remplacer par des canards jaunes. Les quels sont tombés à leur tour sous le coup de la censure.

Depuis une vingtaine d’années, le pays a dressé ce que l'on surnomme trivialement la « Grande muraille numérique » chinoise autour de « son » internet. Si bien que celui-ci ressemble aujourd'hui davantage à un réseau domestique qu'à un espace ouvert sur le monde. #TiananmenSquareMassacre #MilkTeaAlliance

Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde

[problematicseries]

NEW FANFIC SERIE - PROBLEMATIC SEASON 2

18+ content, minors dni

/!\ MAJOR SMUT, +18 CONTENT /!\

NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷

All of the people mentioned in the fanfic are adults

synopsis : Suite à un bal de promo plus que désastreux, tu va passer tes vacances avec tes amies dans un hôtel luxueux réservé uniquement à l’élite de la jeunesse de Los Angeles. Vous croyez que les vacances allaient être de tout repos ? vous vous trompez.

FR FANFIC

Mentions de Jang Wonyoung (IVE), Woonggi (Boys Planet), Jay (Enhypen), Ningning (Aespa), Rosé (Blackpink), Intak (P1H), Jake (Enhypen), Zhang Hao (ZB1), Natty (Kiss of life), Chaewon (Le Sserafim), Kazuha (Le Sserafim), Mingi (Ateez), Keeho (P1H), San (Ateez), Sangyeon (The Boyz), Juyeon (The Boyz), Sumin (Xikers),Julie (KOL).

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/!\ MAJOR SMUT, +18 ONLY /!\

Episode 5 - Pedal to the metal

“Oui je veux bien un virgin mojito” réponds Kazuha encore sur le sol.

“C’est naze comme cocktail, c’est pas un cocktail si tu prends pas d’alcool” réponds Natty en recollant ses faux cils.

Kazuha se retourne et lui réponds “tu veux un second round toi ?”

“ÇA SUFFIT LES FILLES MON SALON N’EST PAS UN RING” répond Jang les cocktails à la main avant de continuer “venez sur la terrasse pendant que les domestiques nettoient votre bordel”.

Ning se lève et suit Jang, tu les rejoins.

Vous vous installez confortablement sur la terrasse, entourant le petit feu qui éclaire doucement l'espace.

Les canapés luxueux offrent un confort inégalé, tandis que les cocktails ajoutent une touche d'élégance à la scène. L'atmosphère est à la fois chaleureuse et électrique, chaque regard échangé portant en lui une multitude de sentiments.

Vous sirotez les cocktails sans rien dire, tu penses que c’est le bon moment.

“Pourquoi San est revenu ?”

Jang te regarde, pose son cocktail avant de te répondre.

“Bon je suis désolée d’annoncer les mauvaises nouvelles mais San a rompu le contrat de mariage, enfin, ils l’ont fait ensemble avec Fatou car San a refusé l’héritage familial, il ne veut plus être affilié avec la mafia”

Les filles sont bouche bées.

Elle continue “Il a dit qu’il était fou de moi et qu’il voulait vivre avec moi”

Ning s’exclame “C’EST TROP MIGNON”

Jang lève un sourcil avant de répondre “Euh j’ai 23 ans, je veux pas me marier moi ? je veux encore m’amuser ma belle”

“Avec mon frère je suppose” réponds Kazuha.

Natty ricane.

“NON pas avec ton frère, ses coups de reins sont trop violents j’ai mis quelques jours à m’en remettre” réponds Jang avant de reprendre une gorgée de son cocktail.

Kazuha soupire “Tu serais pas la fille du président je t’aurai déjà noyée dans ta piscine”

“Piscine à débordement s’il te plaît” réponds Jang en ricanant.

Natty regarde Ning avant de dire “Et toi ? ton rendez vous avec le capitaine?”

Ning devient toute rouge et baisse les yeux.

Ning prend une grande inspiration et regarde chacune d'entre vous avec détermination.

"Écoutez, il y a quelque chose que je veux partager avec vous toutes. Hunter... Hunter est quelqu'un de vraiment spécial. Il est doux, attentionné, à l'écoute. Il m'a montré une facette de lui-même que je n'aurais jamais imaginée.

Je pense qu'on peut vraiment dire qu'il a touché mon cœur d'une manière que personne d'autre n'a réussi. Je suis amoureuse de lui, et je suis prête à voir où cela nous mène."

Son discours est sincère, empreint d'une certaine vulnérabilité, et elle laisse un court silence s'installer pour laisser ses mots résonner.

Jang prend la parole “Je veux pas être le méchant petit canard de l’histoire mais… t’as réussie à surmonter ce qu’il s’est passé avec Lucas ?”

Un lourd silence s’abat sur la terrasse.

Natty vous regarde et dit “C’est qui Lucas ? Y’a eu quoi ?”

Jang se redresse, passe une mèche derrière son oreille avant de raconter la petite histoire de Ning.

“Alors pour le contexte, Lucas c’est l’Ex de Ning, ils sont restés 3 ans ensemble (tout le lycée en fait), c’était son voisin donc ils se voyaient tous les jours. C’était vraiment le prince et la princesse du Lycée avant que je me mette en couple avec Jay et qu’on fasse concurrence hihi”

“Dévie pas du sujet principal” réponds Kazuha.

Jang lève les yeux au ciel et reprends “Bon en gros, ils vivaient le PARFAIT AMOUR wattpad, Lucas l’emmenait en date tous les deux jours, cadeau sur cadeau vraiment il était parfait. Ning était folle amoureuse de lui. Un jour, Ning a dormi chez Éric car ils devaient rendre un devoir de chimie et Ning avait prit trop de retard sur son devoir à cause des réseaux donc elle a du passer la nuit chez Éric mais il ne s’est ABSOLUMENT rien passé entre eux. Lucas a pété un câble et-“

“On est obligées d’en parler maintenant ?” réponds Kazuha, interrompant Jang.

“Tant que ça dérange pas Ning je pense que oui “ répond Jang en regardant Ning.

“De toutes façons, tout le monde est au courant” réponds Ning en regardant son téléphone.

Natty répond “Continue alors !!” en mangeant des chips comme si c’était du popcorn.

Jang reprend une longue inspiration “Donc je disais, Lucas a pété un câble et il a ÉNORMÉMENT bu. Il s’est rendu chez Jennie et ils ont couché ensemble, SAUF que Lucas a filmé son rapport avec Jennie et l’a posté sur Twitter”

Natty s’est étouffée en mangeant les chips.

“C’EST PAS POSSIBLE ??” répond Natty après avoir bu une gorgée de son cocktail.

“C’est pas fini malheureusement” réponds Ning.

“Donc Lucas a posté la vidéo sur Twitter mais il a ÉGALEMENT postée une vidéo avec Ning ou il avait écrit en description « Cette salope gémit énormément mais elle est pas si bonne » en parlant de Ning” dit Jang avant de prendre une gorgée de son cocktail.

Natty est bouche bée.

Ning prend la parole “Il a tout supprimé le lendemain matin mais Lucas étant le fils d’un des hommes les plus riches de Los Angeles et très populaire, je te laisse imaginer que les vidéos ont été relayées à une vitesse éclair pendant la nuit. La semaine qui a suivi était horrible, tout le monde me regardait comme si j’étais une pestiférée”

“Alors qu’en plus t’étais pas si mal sur la vidéo” répond Jang.

“JANG ?” s’exclame Kazuha.

“Ça vaaaaa, la lingerie était jolie quoi” réponds Jang avant de reprendre une gorgée de son cocktail bientôt vide.

“En gros, Lucas c’est un gros fils de pute de ses morts quoi ?” réponds Natty en mangeant ses chips au barbecue.

“L’alcool excuse rien, surtout que j’ai absolument rien fait avec Éric, j’étais folle de Lucas” répond Ning avant de continuer “Dans tous les cas, Lucas arrive demain”.

“QUOI” vous vous exclamez Jang, Kazuha, Natty et toi.

“Oui, il veut absolument me voir mais moi je veux pas de lui et je veux absolument pas qu’Hunter soit mêlé à ça alors qu’il semble avoir complètement oublié cette histoire” réponds Ning.

“C’est compréhensible” réponds Kazuha.

“Je vais éclater la sale gueule de ce chien” réponds Natty en se faisant craquer les doigts.

“Non on éclate personne, on va l’ignorer et l’éviter” réponds Ning.

Vous terminez vos cocktails et allez dans vos chambres respectives.

En sortant de la salle de bain, tu vois que tu as plusieurs messages non lus :

*3 NOUVEAUX MESSAGES : INTAK*

*1 NOUVEAU MESSAGE : SANG*

*2 NOUVEAUX MESSAGES : HEESEUNG*

Tu décides de lire ceux de Sangyeon en premier.

“Je sais pas s’il y a quelque chose de mal que j’ai fait mais je n’ai pas eu de nouvelles de toi après que tu ai disparue l’autre soir… Tu as toujours mon numéro si tu veux sortir un soir”

Tu décides de ne pas répondre, mais tu vas y répondre plus tard.

Tu continues avec les messages d’Intak.

“ "Hey,

Pardonne-moi, j'ai été bête. Je ne veux pas de Chae, tu me manques. Je me rends compte que j'ai fait une erreur en laissant les choses se compliquer entre nous. On a une connexion spéciale, et je ne veux pas la laisser filer.

Peux-tu me donner une chance de me rattraper ? Je sais que je peux faire mieux, et je veux être celui qui te rend heureuse.

À bientôt, j'espère.

- Intak"

Tu n’a pas la tête à répondre à ça non plus, tu continues avec les messages d’Heeseung beaucoup plus courts.

“Si tu reçois ces messages, rdv à 02:00 dans mon cabanon sur la plage”

Tu regardes l’heure, 01:46, tu enfiles une petite robe et décides d’aller à ton rdv sur la plage avec Heeseung, il est d’une compagnie réconfortante, ça ne pourra te faire que du bien.

Tu sors de l’appartement, prends l’ascenseur, tu te rends au cabanon d’Heeseung.

Heeseung appelle ça un cabanon mais c’est littéralement une petite maison sur la plage, bien sûr, totalement différente de la villa sur la côte dans laquelle il habite le reste de l’année avec son père, d’où son manque de discernement dans la mensuration d’un « cabanon ».

Le cabanon d'Heeseung comme il l’appelle, est un véritable havre de paix, niché sur la plage. La lumière tamisée de la nuit baigne les lieux, créant une atmosphère paisible et réconfortante. Chaque coin de cette demeure respire la quiétude, reflétant parfaitement l'âme sereine d'Heeseung. L'air est imprégné d'un parfum subtil, mélange de brise marine et de douces notes florales, créant une ambiance accueillante et apaisante.

Tu toques doucement et Heeseung vient t’ouvrir.

Heeseung est décontracté dans une chemise entrouverte, dévoilant ses abdominaux bien définis.

Ses cheveux, légèrement ébouriffés, ajoutent une touche décontractée à son apparence. Il porte un short gris, soulignant son style décontracté et confortable. Son allure respire la détente et l'aisance, parfaitement assortie à l'atmosphère apaisante de sa maison en bord de plage.

«Je pensais que tu ne viendrais jamais, entre je t’en prie » te dit-il.

Tu entres et t'installes confortablement dans le salon, choisissant le canapé qui offre une vue imprenable sur la mer nocturne à travers la baie vitrée. Le bruit apaisant des vagues accompagne cette scène paisible.

« Je te sers un martini ? » demande Heeseung d’un air serviable.

« Avec plaisir merci » tu lui réponds en souriant.

Heeseung revient quelques minutes après, avec deux cocktails.

« Pourquoi tu voulais me voir Hee ? » tu lui demandes.

« Ça me fait toujours plaisir de te voir, j’étais seul ce soir et ta compagnie me faisait envie » il te répond en regardant par la fenêtre.

Tu souris, Heeseung est vraiment adorable.

« Je n’étais jamais venue ici, c’est vraiment beau ici, ton cabanon est super bien situé » tu dis à Heeseung.

« Je te fais visiter ? » demande Heeseung en souriant.

Il se lève et te tend la main, tu souris et attrape sa main.

Heeseung te guide à travers les différentes pièces de sa maison avec enthousiasme. Vous parcourez la cuisine, où règne une atmosphère chaleureuse, puis passez par la salle de sport, témoignant de son engagement envers la forme physique. Ensuite, il te montre la salle de bain, où le design moderne et épuré crée une ambiance relaxante. Chaque coin de la maison reflète soigneusement le goût et le style d'Heeseung.

Vous arrivez enfin à la chambre.

« Je peux te laisser mon lit si tu veux dormir ici ce soir, si t’es trop fatiguée pour rentrer à Paradise » te dit-il en regardant ailleurs.

Tu es d’humeur joueuse et ça te fait rire de le voir tendre des perches.

« Pourquoi me le laisser ? on peut partager » tu lui réponds en te passant une mèche derrière l’oreille.

« Je ne veux pas déranger princesse quand elle veut dormir » te répond t’il avec son sourire en coin que tu apprécies beaucoup.

Tu ris et te retournes, retournant dans le salon.

Vous vous asseyez et discutez pendant un moment sur tout ce qu’il s’est produit a Paradise depuis que vous êtes arrivés.

Puis, Heeseung se rapproche de toi et te demande « Qu’est ce que t’as trouvé à Mingi ? »

Tu soupires avant de répondre « Je pensais pas que je venais ici pour parler de Mingi »

Tu prends ton sac et commence à te lever.

Heeseung t’attrape le poignet et te dit « Non, je veux juste savoir ce que tu apprécies chez un homme, ce que tu as pu trouver à Mingi ».

Tu te rassoies, Heeseung n’a pas l’air de demander ça méchamment.

« En fait, Mingi était présent quand j’avais des soucis avec les garçons, il m’a toujours plus ou moins réconfortée mais il est très protecteur, je pense que ça joue énormément dans l’attirance que je ressens envers un garçon » tu réponds à Heeseung.

« Et il l’a été encore récemment ? Par rapport à Intak ? » il continue.

« Oui, quand je suis arrivée à Paradise. » tu réponds à Heeseung.

Heeseung baisse les yeux avant de répondre « Donc tu ressens toujours de l’attirance pour Mingi ? »

Tu lui réponds « Mon cœur est assez perdu en ce moment, depuis que je suis sortie avec Intak j’ai découvert de nouvelles choses, j’explore de nouveaux horizons, je teste mes limites. Je ne pense pas que Mingi est l’homme de ma vie si tu veux tout savoir ».

Heeseung se renfonce dans le canapé, écarte ses jambes afin de se mettre dans une position confortable pour lui avant de répondre « Je vois, de toutes façons je ne voyais pas Mingi avec toi, tu mérites mieux que lui ».

Tu te retournes et te mets sur Heeseung afin de lui faire un câlin.

Il passe ses doigts dans tes cheveux et te caresse le dos avant de te dire « Tu ferais mieux de rentrer dormir à Paradise ».

« Ta chambre n’est plus libre ? » tu lui réponds, la tête contre son torse.

« Si, mais en fin de compte j’ai envie de dormir dans mon lit » il te répond.

Vous montez tous les deux dans la chambre d’Heeseung, tu poses ton sac à main sur la table de chevet.

Tu entres dans la salle de bain accolée à la chambre d’heeseung, te démaquille et enfile un peignoir.

Tu ressors et vois Heeseung couché sur son lit, torse nu en caleçon, il scroll sur ton téléphone.

« Ah enfin, j’ai failli m’endormir » te dit-il en te voyant sortir de la salle de bain.

Tu enlèves le peignoir laissant apercevoir ta lingerie fine en dentelle rose.

« Tu allais t’endormir sans me dire bonne nuit ? » tu lui réponds en souriant.

La bouche d’Heeseug est grande ouverte, sa bouche se referme avant de se transformer en son petit sourire en coin.

« Mon simple lit ne mérite pas une lingerie aussi sublime » te répond t’il, te suivant du regard alors que tu t’approches du lit.

Tu montes sur le lit, à genoux, avec la grâce d’un chat tu t’approches de lui.

Les yeux d’Heeseung sont emplis de désir, il n’arrive pas à contrôler son corps.

Tu lui déposes un léger baiser sur la joue avant de lui dire « Bonne nuit Heeseung » en souriant.

« B-Bonne nuit » te répond t’il, attrapant rapidement un coussin afin de cacher son érection.

Tu te faufiles dans les draps et poses doucement ta tête sur les oreillers confortables, tournant le dos à Heeseung.

Après quelques minutes, Heeseung se glisse sous les draps et colle son torse à ton dos.

Ses bras t’entourent, tu ressens la chaleur du corps d’Heeseung contre le tiens, sa présence rassurante, son souffle dans ton cou.

Il t’embrasse la nuque avant de murmurer « fais de beaux rêves »

Tu lui réponds « Toi aussi Heeseung »

Vous vous endormez tous les deux, paisiblement, tu te sens bien dans les bras d’Heeseung, ça faisait un moment que tu n’avais pas passé une nuit aussi réconfortante.

Tu te réveilles alors que les rayons du soleil caressent ton visage.

Heeseung n’est plus dans le lit.

Tu t’etires et attrapes ton téléphone pour regarder l’heure : 10:27

Heeseung arrive dans la chambre avec un petit plateau déjeuner.

Café, viennoiseries, fruits, jus de fruits…

« Oh bonjour, je n’ai pas voulu te réveiller, heureux que tu te sois réveillée toute seule » dit-il en souriant.

« Bonjour Heeseung » tu gémis en te redressant dans le lit.

« Bien dormi ? » dit-il, déposant le plateau à côté de toi.

«Moui ça va » tu lui réponds.

Alors que c’était la meilleure nuit que tu avais passée depuis un moment.

« Bon si ça va, c’est le principal aha » répond t’il en souriant.

Il continue « Je dois aller nettoyer les jet ski dans une demi heure, je te laisserai fermer le cabanon et remettre les clés à la réception de Paradise, j’irais les récupérer ce soir, ça te laisse le temps de te doucher tout ça … »

Heeseung est vraiment adorable.

« Merci Heeseung » tu lui réponds avant de prendre une gorgée de ton café.

« Je vais finir de me préparer et je file, a bientôt j’espère » dit-il en souriant, se retournant en direction du rez de chaussée afin de partir de la maison.

Tu émerges doucement de ta nuit, malgré tes petites provocations, Heeseung a été respectueux et n’a rien tenté avec toi.

Tu termines de déjeuner et enfiles ta robe, tes affaires étant dans l’appartement de Jang.

Tu fermes la maison d’Heeseung et va déposer les clés à la réception de Paradise.

« Oh coucou Julie » tu t’exclames en voyant Julie à la réception.

« Coucou ma belle ! » te répond t’elle.

« Qu’est ce que tu fais ici ? » tu lui demandes, curieuse de ne pas voir Natty à la réception.

« Natty voulait profiter de Paradise, et moi aussi mais j’avais besoin de trouver un job d’été donc je la remplace à la réception ! » elle te répond en souriant.

Julie est vraiment une fille très jolie, elle est dotée d’un charisme indescriptible et c’est une fille très agréable, elle saura gérer la réception avec perfection.

« J’ai vu dans les fichiers que Lucas arrivait aujourd’hui, Ningning est au courant ? » demande Julie, inquiète.

« Oui, il l’a lui même prévenu de son arrivée » tu lui réponds.

« Bon, pas de drama en prévision j’espère » réponds Julie en se regardant dans son petit miroir de poche, se remettant du gloss.

« J’espère pas » tu réponds en remettant les clés de la maison de Heeseung, avant de continuer « À plus tard Julie ! ».

« À plus tard ! » te répond t’elle en souriant.

Tu te diriges vers l’ascenseur mais tu aperçois Jay dans le couloir, il te regarde et continue sa route, tu décides de le suivre.

Tu avances dans le couloir mais tu le perds de vue.

Tu continues d’avancer jusqu’à ce qu’on t’attrape le bras et te tire dans une pièce.

C’est Jay.

Il ferme la porte du placard d’entretien.

« On a peu de temps » dit t’il.

Tu le regardes et réponds « Peu de temps pour ? »

Jay caresse tes cuisses et faisant remonter doucement ta robe sur le haut de tes cuisses.

Il s’approche, fais glisser tes cheveux sur ton épaule gauche et t’embrasse la nuque.

« Peu de temps pour que tu me laisses faire le petit déjeuner » il te murmure à l’oreille.

Il laisse échapper des coups de langue sur ta nuque pendant qu’il t’embrasse.

Jay te rend folle, chaque contact, chaque phrase, chaque coup de langue tu sens ton corps devenir sien, il a une emprise sur toi.

Jay te fait énormément d’effet, il sent ta respiration accélérer.

« J’ai pas de viennoiseries dans mon sac à main je suis désolée » tu réponds à Jay.

Ses doigts glissent le long de ta taille, jusqu’à atteindre ta petite culotte en dentelle.

Il fait glisser son index et son majeur à l’intérieur de ta culotte, frottant doucement ton clitoris avec ta mouille.

« Ta petite chatte me suffira » te répond t’il avant de mettre ses deux doigts pleins de ta mouille dans sa bouche.

« Putain, tu sais pas l’effet que ta mouille a sur moi » te répond t’il en se mettant à genoux.

Tu es adossée contre le mur, le placard est très petit.

Jay est à genoux devant toi, tu retires ta robe, tu te retrouves avec ta lingerie rose.

« Tu comptais filer sans me laisser voir cette lingerie ? » te dit-il, scrutant chaque centimètre de ton corps dans cet ensemble rose.

« Je te rappelle qu’on est pas censés se voir Jay » tu lui répond.

« Tu va donc me laisser affamé ? » te dit-il en faisant la moue.

Tu tournes la tête alors que le visage de Jay se rapproche de ta culotte.

Il baisse avec ses deux mains le léger tissu de dentelle recouvrant ta chatte avant de lécher doucement ton clitoris.

Tu gémis mais essaie de contenir tes gémissements, la porte n’étant pas fermée a clé, n’importe qui peut ouvrir s’il entend du bruit.

La langue de Jay pénètre ta chatte alors que ses lèvres pleines de bave et de ta mouille sont contre ta fente.

Il gémit tellement il aime ta mouille.

C’est dingue l’effet que tu provoques à Jay, ta mouille est telle une drogue pour lui.

Il s’agrippe à tes cuisses alors que ses coups de langue sont de plus en plus violents.

Tu passes tes mains dans les cheveux de Jay, lui faisant comprendre le bien qu’il te fait.

Tu mouilles énormément, Jay défait sa ceinture afin de pouvoir se masturber.

« T’aimes ça hein, tu peux mentir mais ton corps ne mens pas lui » dit-il en levant la tête, te regardant dans les yeux.

« Tais toi Jay » tu lui réponds en appuyant sur l’arrière de son crâne afin qu’il continue ce qu’il a commencé.

Jay te dévore comme si c’était son dernier repas sur terre, ne laissant aucune goutte de ta mouille glisser le long de tes cuisses ou ne toucher le sol.

Tu sens l’orgasme arriver.

« Continue Jay, je vais jouir » tu lui dis en levant la tête,t’appuyant désespérément contre le mur, tes jambes étant de plus en plus tremblantes.

« Jouis pour moi, donne moi toute ta mouille » te répond t’il avant d’enfoncer sa langue plus profondément dans ta fente tout en caressant ton clitoris avec ses doigts humides.

Tu atteins l’orgasme, le menton de Jay dégouline de ta mouille.

Il se branle de plus en plus fort, tu ressens sa respiration s’accélérer contre tes cuisses.

Il gémit bruyamment avant d’ejaculer par terre.

Vous soupirez tous les deux, vous reprenez votre respiration.

Tu atteins l’orgasme à chaque fois que Jay te fait partager ses compétences avec sa langue.

Il se relève, remets sa ceinture, s’essuie le visage avec l’une des serviettes dans le placard avant de te dire « La prochaine fois, c’est toi que je remplis, je gâcherais plus mon sperme ».

Il tourne le dos et ressors du placard comme si rien ne s’était passé.

Tu remontes ta culotte et essuies tes jambes avec la même serviette que Jay vient d’utiliser avant que tu ne la mettes dans le chariot de linge sale.

Tu sors du placard et heureusement, personne n’est dans le couloir à ce moment là.

Tu retournes prendre l’ascenseur, essayant de remettre tes idées en place.

Tu as passé une nuit divine avec Heeseung, cependant tu aimes l’emprise que Jay a sur ton corps, Sang est un prince charmant vivant mais Intak est peut être l’homme de ta vie.

Tu dois mettre tout ça au clair avant que les cours ne reprennent, l’université ne te laissez pas le temps de divaguer autant avec les garçons.

C’est ce que tu crois.

Tu atteins l’appartement de Jang et la voit assise sur le canapé, devant sa nouvelle table basse.

« Alors comme ça on s’enfuit en pleine nuit ? » dit-elle en souriant.

« Je suis majeure et vaccinée maman » tu lui réponds en rigolant.

« Elle est sympa la nouvelle table hein ? elle a coûté plus cher que la précédente » dit-elle en admirant sa table basse de créateur.

« Mouais » tu réponds.

Jang lève les yeux au ciel.

Ning et Kazuha arrivent en peignoir et s’assoient à table pour déjeuner.

Tu les salues et elles te saluent en retour.

« Oh putain les croissants sont super bons Jang » s’exclame Natty, la bouche pleine de viennoiseries.

« Oui, c’est les plus chers de Los Angeles, apprécie les au lieu de t’EMPIFFRER » réponds Jang, abasourdie.

Ning ricane.

Kazuha regarde Ning avant de lui dire « Lucas t’as renvoyé un message ? »

Ning lui montre son téléphone avant de dire « Rien qu’une dizaine la dernière heure ».

Jang se retourne et dit « Il disait que t’étais pas si bonne, excuse moi mais un homme

ne rampe pas autant si la pussy n’est pas bonne »

Kazuha recrache son thé.

« NAN MAIS KAZUHA PAS SUR LA TABLE BORDEL » s’exclame Jang.

« Nan mais Jang il est meme pas midi tu parles de chatte » réponds Kazuha.

« Tu préfères que je parle de bite ? » réponds Jang.

« Les chips hier étaient super bonnes c’était quelle marque ? » demande Natty, la bouche pleine.

Jang lève les yeux au ciel et se rassoie en disant « c’est pas moi qui fait les courses demande aux domestiques ».

Tu va dans ta chambre pour te doucher, tu en a bien besoin.

Tu ressors de ta chambre et vous décidez, Ning, Jang, Kazuha, Natty et toi d’aller au patio de Paradise.

Le patio de Paradise respire le luxe et la sophistication.

Il est aménagé avec élégance, offrant une vue imprenable sur la mer scintillante. De larges parasols blancs ombragent des chaises longues confortables, invitant à la détente sous le doux murmure de la brise marine. Des tables en marbre poli sont soigneusement disposées, prêtes à accueillir les convives pour un repas en plein air.

Des luminaires délicatement disposés diffusent une lumière tamisée, créant une atmosphère intime et envoûtante. L'ensemble du patio est décoré avec des touches de verdure luxuriante, apportant une touche naturelle et rafraîchissante à cet espace d'exception.

Natty s’assoit au bar et commence à draguer le barman, Kazuha et Ning sont allés se coucher sur les bains de soleil afin de profiter du temps magnifique d’aujourd’hui.

Tu t’approches de la rambarde donnant la vue sur la plage pour te perdre dans tes pensées.

Jang s’approche de toi et s’appuie sur la rambarde à tes côtés.

« Je t’en veux pas tu sais » te dit-elle sur un ton assez bas.

Tu tournes la tête vers elle, dans l’incompréhension tu lui réponds « de ? »

« Je sais que t’as couché avec Jay pendant que j’étais avec lui, il y a 2 ans » te dit-elle en regardant la mer.

Tu sens tout ton poids filer dans tes jambes, tu ne sais pas où te mettre, tu n’a qu’une envie c’est de fuir.

« Je suis juste déçue que tu ne me l’ai jamais avoué » continue t’elle.

« C’était une erreur Jang » tu lui réponds en lui prenant la main.

« Je sais, tu l’a fait qu’une fois, j’étais tellement remontée contre toi depuis 2 ans que dès que j’ai pu, j’ai couché avec Mingi, je savais qu’il te plaisait, c’est pour ça que je l’ai fait. Mais après notre dispute je me suis rendue compte que tout le monde peut faire des erreurs, je t’ai pardonnée, ce n’était qu’une seule fois et tu était peut être désorientée. Je n’ai pas d’explications et je n’en veux pas, tout ça c’est derrière nous mais je voulais te faire savoir que je le savais, au moins ce secret est moins lourd à porter pour toi » te dit-elle, toujours en regardant la mer.

Elle serre ta main dans la sienne avant de continuer « Tu es ce qui est de plus cher dans ma vie, on a tous un moment de faiblesse, je sais que tu ne me trahiras plus jamais ».

Tu te sens mal mais tu sais que tu ne peux pas avouer ça maintenant.

« Plus jamais Jang » tu lui réponds.

Elle te regarde et sourit.

Soudain vous entendez une voix masculine, vous vous retournez.

« Ning ! »

C’était Lucas.

Lucas dégage une présence imposante, sa grande taille lui conférant une aura de confiance en soi.

Ses cheveux bruns encadrent un visage charismatique, et ses yeux pétillent d'assurance.

Il sait parfaitement jouer de son charme et sait qu'il a le pouvoir de séduire qui il veut. Ses épaules larges lui donnent une allure fière et imposante, accentuée par le t-shirt moulant qui met en valeur sa silhouette.

Son jean ajoute une touche décontractée tout en soulignant son style soigné. Avec son allure à la fois séduisante et intimidante, Lucas sait comment attirer l'attention et captiver ceux qui croisent son regard.

« Oh non pas lui » soupire Jang avant de se diriger vers lui.

Jang avance vers Lucas avec une démarche déterminée, émettant une aura d'irritation contrôlée.

Sa grâce et son élégance transparaissent à travers chacun de ses mouvements. Ses longs cheveux noirs dansent au rythme de ses hanches, ajoutant une touche de fluidité à sa posture.

Malgré son énervement, elle conserve une allure remarquable et sait comment se faire entendre avec distinction et classe.

« Bonjour princesse » dit Lucas en faisant un clin d’œil à Jang.

« T’as pas honte de te pointer ici, dégage avant que j’appelle mon père et que tu sois banni de Paradise » répond t’elle à Lucas en ne le lâchant pas du regard.

« Du calme princesse, je ne suis pas là pour toi » dit-il avant de se déplacer en direction de Ning, encore couchée sur le bain de soleil, ignorant complètement l’entrée de Lucas.

« Ning, regarde moi s’il te plaît » dit-il.

« non » répond t’elle sur un ton neutre, les yeux toujours fermés.

« Ning je suis désolé je te l’ai dit plusieu- » commence t’il avant de se faire interrompe par Kazuha.

« Laisse la tranquille, c’est du harcèlement, tu veux que je te rappelle que t’as déjà une plainte au cul pour revenge porn ? » réponds Kazuha à Lucas.

« Calmos miss sans gluten, si j’avais besoin d’un extrait de mon casier judiciaire je serais allé voir les flics directement » il répond à Kazuha d’un air supérieur.

« Je vais lui casser la gueule » réponds Kazuha en relevant ses lunettes de soleil.

« Qu’est ce qu’il se passe ? » dit Hunter, ne comprenant pas ce qu’il se passe.

Jang voit l’opportunité.

Jang s’approche de l’oreille de Lucas avant de lui dire « Tu vois le grand mec musclé taillé comme un dieu grec là bas ? C’est le

nouveau petit ami de Ning, tu fais absolument pas le poids ».

Lucas serre le poing, contractant sa mâchoire.

« Tu m’as donc remplacé par ce ken en plastique ? » dit-il à Ning.

« C’est de moi que tu parles ? » réponds Hunter en s’approchant, les sourcils froncés.

« Tu vois un autre abruti de la gonflette dans les alentours ? » Lucas répond à Hunter en le regardant d’un air moqueur.

Hunter fait craquer sa nuque avant de continuer « Je sais qui t’es, t’as intérêt à dégager d’ici avant que je te refasse l’intégralité de ta dentition »

« Mon père est actionnaire de Paradise, je reste ici autant de temps que je veux » Lucas répond à Hunter.

« Lucas tu fais chier tout le monde là, Paradise est gigantesque t’as qu’à aller au Spa » réponds Jang.

« Très bien, on se reverra plus tard» répond Lucas, vous tournant le dos, se dirigeant vers le bâtiment principal de Paradise.

Jang soupire « Un de perdu, 2 de retrouvés »

Sumin et Intak entrent dans le patio.

FIN DE L’ÉPISODE 5.

[presquilecran]

Sur la rhétorique du bouc émissaire

Se fonde notre histoire commune

Et sont absous nos travers

Ceux-là mêmes qui confondent le méchant

Comme si les contes éternels de l’enfance

Avaient façonné cette vision binaire

L’opprobre ou la présomption d’innocence

Selon que l’on soit découvert ou non

Du temps de sa splendeur

Je n’aimais pas Armstrong

Il ne respectait pas le vélo

Il ne courait qu’en juin juillet

Au mépris du romantisme saisonnier

Qui conduit les fiers ouvriers du peloton

Du soleil de février azuréen

Aux feuilles mortes d’Italie

Et qui se décline en étapes parmi les étapes

En cycles thématiques d’épreuves

Que dissèque le film de Philippe Harel

Le Vélo de Ghislain Lambert

À ceci près qu’il est question d’années septante

Où le dopage hérité des anciens

Rime encore avec bricolage

On l’appelle Tonton

On l’appelle Tintin

En route Milou

Voyons jusqu’à quel point d’empoisonnement

Les fléchettes arumbayas nous conduiront

Ghislain lui respire un tel amour du cyclisme

Qu’il est prêt à tout et à n’importe quoi

Pour se mêler à son histoire

Même en braquant la voiture-balai

Or un cow-boy n’a que faire

D’un certain maniérisme européen

Il gagnait la plus grande course du monde

En se payant les meilleurs domestiques

Qu’il soumettait à son propre traitement

Mais en se réservant le plaisir

D’aller chercher lui-même les réfractaires

Quand il a tout ou presque avoué

La vieille Europe s’est souvenue de l’affront

Dans un acharnement

Qu’on connaît à certains cocus

Elle a nourri l’espoir

D’acheter sa légitimité par l’exemple

On a parlé de Programme

Et le film de Stephen Frears

N’est qu’une pâle adaptation

De l’enquête de Walch qui accabla Armstrong

Si certains de ses adversaires de l’époque

Ont tapis rouge un peu partout

Des ambassades au micro du direct

Le Texan voit son nom rayé des tablettes

Du fait d’une domination outrageuse

Et de cette façon mal aimable

De rouler sur les repentis

Lisser une virginité sur la peau

Des grandes gueules est toujours dégueulasse

Derrière une exclusion légitime

Se planquent tout un tas de faux-culs

Aussi peu scrupuleux que le vilain canard

Et qui finiront présidents

Quand Armstrong n’a même pas permission

De courir dans la formation Magicrème

[duckpetan]

山口県周防大島町にある「グリルアンカー」と言うcafeに行ってきたよ とてもお洒落で外のテラスならペットも可能なのでアヒルもOK I went to a cafe called "Grill Anchor" in Suo Oshima-cho, Yamaguchi Prefecture. It's very stylish and pets are allowed on the outside terrace, so ducks are OK.

Je suis allé dans un café appelé "Grill Anchor" à Suo Oshima-cho, préfecture de Yamaguchi. C'est très élégant et les animaux domestiques sont autorisés sur la terrasse extérieure, donc les canards sont OK.

Fui a un café llamado "Grill Anchor" en Suo Oshima-cho, Prefectura de Yamaguchi. Es muy elegante y se permiten mascotas en la terraza exterior, por lo que los patos están bien.

我去了山口縣Suo Oshima-cho的一家名為“Grill Anchor”的咖啡館。 非常時尚，外面的露台可以養寵物，所以鴨子還可以。 web : https://grillanchor.owst.jp/

Instagram: https://www.instagram.com/anchor_oshima/

[danistiel]

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Quelles sont les dilemme pres realiser vrais frites ou bizarre mayonnaise? Revoici A nous astuces. SommaireVous pouvez Abroger les filtres un par un ou bien entier reinitialiser Selon cliquant sur ce bulbe 'Entier reinitialiser'.Outil du mecanicien Pret-a-monter en meme temps que reparation en meme temps que plancher domestique kit d'outils de reparation de planche en meme temps que bois multifonction bricolage pret-a-monter utilitaire en meme temps que reparation de cavite en compagnie de sol Selon boqueteau en compagnie de 11 agregat de cire, Multicolore - MulticoloreAbonnesVoyages professionnels : la classe commerces redecolle ensuite tente a l'egard de reduire timbre fin environnemental1954 : Creation avec COFAQ parmi rare cinquantaine en tenant quincaillers de cette region en compagnie de Poitiers lequel decident en tenant regrouper leurs achats malgre acheter en meme temps que meilleurs valeur aupres vrais fabricantsCovid-19 : non, Pfizer nenni recommande pas aux madame enceintes ou bien allaitantes en compagnie de ne foulee se creer vaccinerDeplacement professionnels : cette classe frequentations redecolle ensuite tente en compagnie de reduire bruit fin environnemental. Certains responsables locaux s'interrogent tant sur ces nouvelles contraintes imposees aux epure locaux d'urbanisme apres pointent du doigt certains interrogation de financementCeci present harmonie s'applique aux version entre total magasin avec bricolage ou sa centrale d'acquisition ou a l'egard de referencement ayant malgre activite principale a l'egard de revendre surs produits en meme temps que bricolage a objectif vrais consommateurs d'une bout alors leurs fournisseurs en compagnie de produits d'Contraire bout.Configurez rare alerte email malgre durer informe certains nouveaux dispositifs disponibles pres votre sondage !Sinoneneficiez vrais privilege inclus dans votre abonnement Chez activant votre compte Personnalite'active mon prevision Vous-meme avez abouti cette barre assures outil autorisesl'enregistrer dans MEMO (votre peinture de bordure clairvoyant vous-meme permettant de conduire l'assortiment en compagnie de vos desir,Ces nombres en compagnie de communes indiques sont ces nombres officiels donnes par l'Insee dans cela chiffre officiel geographique au 1er janvier 2022.Actualites en meme temps que cette mediation de la consommation Votre demande en meme temps que mediation en tenant cette consommation Bulletin d'informations etudeCette liste surs communes parmi departement levant abordable Pendant cliquant sur cela chiffre de communes du departement.Suppose que ceci chien est ce meilleur allie a l'egard de l'homme, ses crottes dans l'interstice commun negatif ceci sont foulee du total...Nous-memes conservons vos selection imminent 6salaire. 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Sagittaria plantes sagittaires comestibles

Sagittaria plantes sagittaires comestibles remplacer les pomme de terre gratuitement par cette plante sauvage abondante dans nos cours d'eau

Nous vous présentons ici quelques espèces de sagittairia, plantes sagittaires comestibles afin que vous sachiez mieux à quoi vous attendre :

Les sagittaires sont une sorte de plantes qui comptent une trentaine d’espèces, avec toutes des noms quelque peu similaires. La plupart de ces plantes sont originaires d’Amérique centrale, d’Amérique du Sud et d’Amérique du Nord, mais l’on peut également…

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Since Atchoum is ambassador for Go! Solutions, he was never really picky about his choices in the variety of flavors the company offers. But Sassoo, his sister of heart, has instead favored the "LIMITED INGREDIENT GRAIN-FREE DUCK PÂTÉ RECIPE". Since adopting this flavor, she had not returned to the vet. Sassoo was a semi-long haired domestic cat who, like many indoor cats, gains weight, vomited because she often eats too quickly and especially had a dull coat with dandruff. All of this is behind us! By her last visit to the vet, she had lost 4lbs or 1.8 kg, her coat is more beautiful and healthy and no more dandruff. And I'm sure the "LIMITED INGREDIENT GRAIN-FREE DUCK PÂTÉ RECIPE" made a big difference! If you ask Atchoum what he thinks about it, he will tell you that what is good for his sister is good for him too! 😉 If you are interested, take a look at the Go-Solutions PetFood site to find the place near you where this excellent food is available, it's here 👉🏻 LINK IS IN MY BIO☝🏻☝🏻 ********************************** Depuis qu'Atchoum est ambassadeur pour Go! Solutions, il n'a jamais été vraiment pointilleux pour ses choix dans la variété de saveurs qu'offrent la compagnie. Mais Sassoo, sa sœur de cœur, a plutôt privilégier la " RECETTE AU CANARD SANS-GRAIN À INGRÉDIENTS LIMITÉS ". Depuis l'adoption de cette saveur, elle n'était pas retournée chez la vétérinaire. Sassoo était une chatte domestique à poils mi-longs qui comme plusieurs chats d'intérieur prend du poids, vomis car elle mange souvent trop rapidement et surtout avait un poil terne avec pellicules. Tous ceci est derrière nous ! À sa dernière visite chez la vétérinaire, elle avait maigri de 4lbs ou 1.8 kg, son poil est plus beau et en santé et plus aucune pellicule. Et je suis sûre que la " RECETTE AU CANARD SANS-GRAIN À INGRÉDIENTS LIMITÉS " y a contribué pour beaucoup ! Si vous demandez à Atchoum ce qu'il en pense, il vous dira que ce qui est bon pour sa sœur et bon pour lui ! Si vous êtes intéressé, allez voir sur le site de Go-Solutions PetFood pour trouvez l'endroit près de chez vous où cette excellente nourriture est disponible, c'est par ici 👉🏻 LIEN DANS MA BIO☝🏻☝🏻 #ad #gosolutionspartner (à Canada) https://www.instagram.com/p/CNunhVvnAnR/?igshid=1v4z6lco8znrt

[gwendolynlerman]

Romance languages comparison (Spanish - French - Catalan - Italian - Portuguese [English])

Animales domésticos - animaux domestiques - animals doméstics - animali domestici - animais domésticos (domestic animals)

la alpaca - l’alpaga (f) - l’alpaca (f) - l’alpaca (f) - a alpaca (alpaca)

el asno/burro - l’âne (m) - l’ase (m) - l’asino (m) - o burro (donkey)

el caballo - le cheval - el cavall - il cavallo - o cavalo (horse)

la cabra - la chèvre - la cabra - la capra - a cabra (goat)

el camello - le chameau - el camell - il cammello - o camelo (camel)

el cebú - le zébu - el zebú - lo zebù - o zebu (zebu)

el cerdo - le cochon - el porc - il maiale - o porco (pig)

la cobaya - la cobaye - el cobai - la cavia - a cabaia (guinea pig)

la codorniz - la caille - la guatlla - la quaglia - a codorna (quail)

el conejo - le lapin - el conill - il coniglio - o coelho (rabbit)

el faisán - le faisan - el faisà - il fagiano - o faisão (pheasant)

la gallina - la poule - la gallina - la gallina - a galinha (hen)

el ganso - le jars - l’oc (m) - l’oca (f) - o ganso (goose)

el gato - le chat - el gat - il gatto - o gato (cat)

el hámster - l’hamster (m) - el hàmster - il criceto - o hamster (hamster)

el hurón - le furet - la fura - il furetto - o furão (ferret)

la llama - la llama - la llama - la lama - a lhama (llama)

el loro - le perroquet - el lloro - il pappagallo - o papagaio (parrot)

el mulo - le mulet - el mul - il mulo - o mulo (mule)

la oveja - le mouton - l’ovella (f) - la pecora - a ovelha (sheep)

el pato - le canard - l’anec (m) - l’anatra (m) - o pato (duck)

el pavo - le dindon - el gall dindi - il tacchino - o peru (turkey)

el pavo real - le paon - el paó - il pavone - o pavão (peacock)

el periquito - le perruche - el periquito - il parrocchetto - o periquito (parakeet)

el perro - le chien - el gos - il cane - o cachorro (dog)

el pez - le poisson - el peix - il pesce - o peixe (fish)

el pollo - le poulet - el pollet - il pollo - o frango (chicken)

el poni - le poney - el poni - il pony - o pônei (pony)

la tortuga - la tortue - la tortuga - la tartaruga - a tartaruga (turtle/tortoise)

la vaca - la vache - la vaca - la mucca - a vaca (cow)

el yak - le yack - el iac - lo yak - o iaque (yak)

I have only compared the languages I have studied/dabbled in, not all the Romance languages.

[photographe-a-roulettes]

Canard de Huttegem (croisé) - Il serait le croisement entre le canard de Termonde et le coureur Indien.

Lieu : Parc Charles Fenain - Flers-en-Escrebieux

[manieresdedire]

ROMAN-FEUILLETON : S’aimer n’est pas une petite entreprise

PREMIER ÉPISODE

Première partie

- I - Adrien

Le soleil d'été inondait la vaste cuisine aux murs et aux meubles blancs, jaunes paille et bleus pastel. Assis face à la fenêtre, songeur et détendu, Adrien buvait un café et s’apprêtait à savourer le beurre cru de baratte et la confiture d'abricots qu'il avait généreusement étalés sur des tranches découpées dans une grosse miche de pain frais.

La cloche de l'église du village venait de sonner une huitième et dernière fois. Le programme de sa journée n'était pas encore fixé. Sa nuit avait été douce et tranquille. Il se sentait de grandes possibilités.

Sa maison réclamait un peu de rangement. Du linge propre empilé patientait sur un guéridon. Des chemises, des polos, des sous-vêtements et des chaussettes, le tout déjà porté, jonchait le sol, le canapé et même un meuble ou deux. Des livres ouverts retournés ou fermés, qui auraient été davantage à leur place sur un chevet, une étagère ou le bras d'un fauteuil, étaient abandonnés n'importe où, au pied du lit, sur le parquet d'une chambre, les tomettes du séjour, le tapis du salon, le rebord de la baignoire. Des verres étaient posés ici et là, exactement aux endroits où ils s'étaient retrouvés définitivement vides. Des bouteilles de vin de Madiran, de Pacherenc et de Fronton, blancs et rouges, se dressaient honteuses et vides dans la cuisine, le salon, et même dans la salle de bain.

Il régnait dans la grande chambre un joyeux et coloré capharnaüm : draps froissés oranges, oreillers aplatis jaunes et bruns, traversin ocre tordu, tapis aux dessins kandiskyniens, coins rabattus, tout semblait sens dessus dessous, dans un fouillis presque esthétique.

Avant le grand ménage, Adrien pensait marcher à vive allure, deux ou trois heures, sur les sentiers des environs, à travers la prairie et les bois, le long de la rivière proche. Il déjeunera d'un casse-croûte qu'il composera dans les instants suivant sa toilette. Après quoi, en fin d'après midi, il se rendra à Marciac dans le Gers, chez Vincent, son ami de toujours, où tous les deux boiraient un peu de vin et iraient ensuite flâner dans la cohue du village des restaurants provisoires, traîner autour des manifestations “off”, puis assister aux deux grands concerts d’ouverture du festival de Jazz.

La semaine avait été inféconde du point de vue de son activité journalistique, mais riche de relations sociales. Sept jours durant, il avait reçu voisins, voisines et amis de fraîches dates, petits producteurs fermiers pour converser, approfondir sa connaissance des victuailles de la région : confits de canard, fois gras d'oie et fromages de brebis, légumes, charcuteries…

Il n'avait pu faire affaire sans goûter ni boire. Jamais seul. Un essai, un vin, une fricassée, une poêlée avaient succédé à d'autres et la petite maison de village qu'Adrien louait depuis un an était vite devenue, après quelques jours à ce régime, un foutoir sans pareil.

Une femme généreuse et accorte l’avait accompagné jusqu’au petit matin et lui avait laissé, avant de se retirer, vraisemblablement sur la pointe des pieds, ce petit mot charmant : "Tout fut à mon goût, particulièrement toi".

Le désordre n'était pas au nombre de ses tendances, mais depuis sa dernière liaison qui n'avait pas duré trois ans, il avait changé. Ses pratiques domestiques, ses habitudes de vie se modifiaient. Ses notions d'ordre et de désordre se confondaient sur un étroit nuancier.

Journaliste indépendant, il vivait de piges, faisait dans la culture et la chronique tous sujets. Il était l'auteur de cinq romans policiers qui avaient su trouver des lecteurs. Il lui arrivait de faire des reportages.

Depuis qu'il avait quitté Élisa avec laquelle il n'avait pas su vivre, il était sonné et s'en voulait. Il avait fui les querelles à propos de rien mais qui gâchaient trop d'heures passées ensemble, invariablement suivies de mises au point et de réconciliations sans souffle. Le conflit s’était installé, la conviction d’un avenir commun éclipsée.

Il ne parvenait pas encore à se persuader qu'il avait eu raison de rompre.

Au cours de petites séquences, il s'efforçait de s'intéresser à son avenir, tentait de refaire de petits projets.

Il était fort du temps présent et prenait ce qui passait à portée de sa vie qui filait, comme une chance d'échapper à la solitude et à la tristesse.

Copains d'un soir, amies fugaces, brèves amours, il ne perdait aucune occasion de faire connaissance, de tisser des liens, légers et éphémères, de faire de petites fêtes. En veillant à ne pas entamer sévèrement sa santé ni gâcher sa bonne forme physique. Il avait peur non tant de vieillir mais que lui-même remarquât qu'il se dégradait.

Il restait hanté par Élisa et ne pouvait avoir une nouvelle relation sans comparer. Plus leurs corps présentaient des ressemblances avec celui d’Élisa, plus forte était sa nostalgie. Si les différences étaient bien marquées et que la belle fût moins bien faite, ses regrets retardaient son excitation puis son plaisir, quand ils ne les empêchaient pas. Il la cherchait chez toutes. Les visages se succédaient sans qu'il lui fût permis d'y retrouver Élisa. Elle restait unique. Il n'avait pas rencontré femme plus aimable et affriolante, plus intelligente et cultivée.

Il avait quitté Paris qu'il ne supportait plus - la pollution, les embouteillages et surtout Elle, qui y vivait encore - pour un village de Haute Garonne qu'il avait découvert avec des copains étudiants, dix ans plus tôt.

Il s'était installé à Fronton, au Nord de Toulouse et avait choisi cet endroit parce qu'il était résolument au sud de la France

Après avoir vécu longtemps en Rhénanie puis en région parisienne, passé ses plus belles vacances des étés de sa jeunesse dans le Var et l’Hérault, avec deux incursions espacées en Corse, "Sud" et "Méditerranée" étaient restés des mots magiques qui mettaient en marche sa fabrique de rêves.

Deux noms qui n’avaient rien perdu de leur pouvoir de raviver les vieux souvenirs :  longs trajets jusqu’à Fréjus ou Propriano, jeux de plages, d’eau et de ballons, familles en roue libre, boîtes de nuit. Aujourd’hui, ils évoquaient davantage un climat, des végétations, une lumière éclatante, les brûlures du soleil, les fragrances des maquis, les fleurs innombrables du printemps, la rocaille rouge de l’Estérel, des apéritifs pris en groupe, en terrasses à l’ombre des platanes au centre de villages, de l'amour sans lendemains, des corps dévêtus, une liberté éphémère et illusoire. Sur le tard, sa perception imaginaire et excentrique de la planisphère s’était "enrichie" d’un invraisemblable chaos personnel de géographie planétaire, d’histoires et de cultures. "Mare Nostrum" devenait le centre du monde qu’il habitait et la Corse, sa région capitale, ses rivages et ses ports, de Nice à Menton - en faisant le tour par Sète, Barcelone, Gibraltar-Cueta, Tanger, Alger, Tunis, Tripoli, Alexandrie, Haïfa, Beyrouth, Mersin, Athènes, Durrës, Dubrovnic, Split, Rijeka, Trieste, Naples -, passaient pour des "spots" prodigieux d’où des hommes et des femmes hardis, éclaireurs de leurs civilisations et candidats emballés à tous les brassages, s’étaient élancés et avaient essaimé, faisant particulièrement de Marseille, un absolu et lumineux melting-pot. Tandis que ceux qui restaient sur tous les quais à la ronde, se disposaient à les bien accueillir. Bien sûr, nulle part la vie n’avait pris durablement la couleur rose ni la douceur d'une friandise, elle alternait le pire et le meilleur. Et ce, sans interruption depuis au moins les conquêtes romaines. Et, il y aurait fort à parier, bien avant.

Fronton donc, moins à la mode que de nombreux villages du Languedoc et du Roussillon - parce que, aussi, la proximité d'une grande ville à taille humaine, Toulouse, était en mesure de lui procurer ce qu'il avait aimé à Paris : concerts, cinémas, restaurants, promenades urbaines dans les vieux quartiers. L'on y mangeait et buvait bien, pas moins que dans le Gers qu'il retrouvera dans quelques heures.

Toulouse dont le cœur est plus petit que Paris n’était pas comme elle, "la capitale", blanche et grise. Plus orange sanguine que rose, ville lumière par excellence, le soleil se mirait dans ses briques, y résidait et son peuple savait prendre son temps aux terrasses des troquets, tard la nuit et faire la fête. Il lui manquait le calme, le bruit et la fureur des flots mais les littoraux des mers du sud étaient à portée des automobiles et des trains. Et les montagnes, proches. Ses cours intérieures et ses palais, ses vieux immeubles, ses hôtels particuliers, ses couvents et cloîtres ne ressemblaient pas à leurs homologues parisiens, mais impressionnaient. Et toujours ces couleurs. Il y avait moins de ponts extraordinaires au-dessus de la Garonne qu’il y en avait enjambant la Seine, ce qui n’empêchait personne d’aller d’une rive à l’autre et de s’y balader. Rien, cependant, ne rivalisait avec le Louvre ni avec les jardins publics parisiens et le Pont des Arts, la grandeur de Paris était inégalable. Mais la ville s’était, hélas, installée au nord.

Dans sa vie personnelle et professionnelle, Adrien n'avait pas toujours craint ni fuit les explications parfois difficiles où il ne cédait rien sur ses principes. Il pouvait parfois ramener de la voilure quand il estimait qu'il avait pu se tromper ou qu’il s’y était mal pris pour convaincre. Il était homme ordinaire, peu passionné par la rhétorique, ni têtu, ni non plus très facile à affronter dans les joutes verbales qu'il n'aimait pas, où souvent, même modestement, celui qui voyait l'autre rejoindre ses positions, triomphait. Il avait su œuvrer, parfois, à des synthèses qui faisaient l’unanimité, non qu'il cherchât à tout prix le consensus mais, souvent, il estimait que tous avait un peu raison et tort et que les désaccords naissaient quand les observations se faisaient sous des angles différents, non de l'ignorance ou de l'inintelligence d'un fait, d'un processus, d'un concept.

Dans ses relations amoureuses il tentait le plus souvent de fuir les explications rudes et franches qu'il estimait vaines dès qu'il s'agissait de l'auscultation du couple. "Couple", ce mot qu'il n'aimait pas, dont l’utilisation signifiait souvent qu'il fallait "sauver" l'entité en péril désignée par ce terme, en revenir à une relation qui s'était délitée et qu'il aurait fallu restaurer, redynamiser. Ou qu’il était naturel de le vanter niaisement.

Il savait qu'un premier malentendu en entraînait un second puis un autre, jusqu'à la rupture ou la folie. Et préférait mettre fin, voire, qu'on le quittât et esquiver ces échanges où s'étaient ensablées les relations entre ses parents, faites de disputes infinies où la mauvaise foi prévalait comme la conviction de chacun que l'autre était un monstre d'égoïsme.

Le seul contre-feu qu'il connaissait quand la mésentente vache menaçait, c'était la rupture. Il y avait perdu d'agréables compagnes - il ne dépréciait pas tout - et  des heures précieuses de sommeil, du poids, mais, à la longue, gagné en sérénité. Il n'était pas blasé et gardait la faculté d'enchantement de l'enfance. Il restait sujet aux coups de foudre de l’adolescence et pensait encore que l'aventure l'attendait au détour de son chemin.

- II - Vincent

Sept ans plus tôt, Vincent s'était retiré à Marciac, son gros village natal. Il avait exercé, pendant vingt ans le dur métier de "lignard" chez "PTT-France-Télécom" à Paris, plus souvent dans les égouts qu'au sommet des poteaux de surface.

Après avoir, un jour, tout envoyé promener - rats, eaux usées, boues, gaz toxiques, pestilences, obscurité, petits chefs acariâtres, astreintes, blessures, épuisements et "HLM" de banlieue -, il avait ouvert un commerce de vente de produits alimentaires du pays.

Tandis qu'il était encore fonctionnaire, son réseau d'amis, de collègues, de connaissances, lui avait d'abord assuré, de petits débouchés lucratifs et illégaux pour des foies gras, des magrets, des grattons de porc et de volaille, de l’Armagnac, qu'il achetait en quantités réduites à des gens du pays qui n'en espéraient pas tant. Puis le bouche-à-oreille avait fonctionné, désormais son fichier "clients" comportait près d'un millier de noms de personnes et de raisons sociales répartis dans plusieurs régions et particulièrement en Île de France. Ses plus gros marchés étaient constitués de comités d'entreprise qui passaient toujours des commandes importantes et auxquels il consentait des remises en proportion des volumes achetés. Il avait su concilier affaires et liens de cœur avec la CGT. Les seconds garantissant le succès des premières. Il payait encore ses cotisations syndicales.

Entiché de son bout d'Occitanie, et désireux de faire des émules, Vincent eut l'idée de composer un recueil de photographies commentées sur l'art alimentaire de sa "Province". Présentant semailles et plantations jusqu'à la vente de produit finis. Les champs, les élevages et les fermes puis les étals des marchés de plein air et les coquettes boutiques. Des agriculteurs, des éleveurs, déjeunant dehors ou évaluant la la croissance des végétaux, la récolte, l’état des bêtes. Un élevage de taureaux de combat, des fauves dans les collines de Saint-Mont. Des bottes de paille de blé disposées en ordre sur des champs récemment fauchés ou entassées sur des charrettes en partance vers les granges des éleveurs de bovins. Légumes dans les jardins et les vastes terres, fruits sur les arbres, oies et canards dans les basses-cours. Avec vues de villages de Midi-Pyrénées dans les cuisines desquels les plats traditionnels sont mitonnés, mis en scène pour séduire le promeneur, l'esthète du "bien manger", l'affamé, le gourmet, l'inquiet pour sa santé, le randonneur, les amoureux, les enfants et les anciens.

Il alternera gros plans et mise en exergue des environnements de proximité ou plus lointains, l'arbre qui porte le fruit, le champ qui accueille l'arbre, la plaine ou le coteau qui supporte la culture, le produit seul et ses partenaires possibles dans une belle cocotte émaillée, jusqu'à la façade d'un bâtiment du seizième siècle à l'ombre duquel le stand du fromager se tient les jeudis et samedis matins. Les gras pâturages, où paissent des animaux sains qui seront bientôt appelés à donner des laits crémeux ou des viandes persillées...

Ce sera aussi une manière de présenter une quinzaine de villages, qu'il aimait bien avec leur halle aux grains, aux vins, aux marchés multicentenaires, hebdomadaires, saisonniers, leur place grossièrement pavée au milieu de laquelle trône l'inévitable fontaine dont le bronze blanchit sous les dépôts de calcaire, les arcades abritant les trottoirs et encadrant l'espace rectangulaire ou carré, centre de vie administratif, avec sa mairie, son agence du Crédit agricole et son bureau de poste portant encore discrètement, en haut de sa façade, "Postes, Télégraphes et Téléphones" en lettres défraîchies, l'église se tenant en retrait de l'endroit où sont traitées les affaires strictement terrestres. Les rues, le long desquelles les éventaires des marchands débordent quand la place centrale est trop exiguë ou l'offre de produits sur-abondante.

Il fixera des gros plans de haricots de Tarbes dont les tiges s'enroulent en pointant vers le ciel et s'enchevêtrent autour des cannes de maïs leur servant de tuteurs, des pieds de tomates de Marmande d'un rouge écarlate, au moment où leur nombre fait ployer leur axe, des aubergines semblant vernies, des fèves, des poivrons, des piments doux ou assassins. L'aubépine mêlée aux mûriers qui bordent les champs d'orge à proximité desquels des paysans-rois se désaltèrent simplement. Des foies gras entiers protégés par un emballage qui ne cache rien de leur couleur. Des magrets fumés, des aiguillettes confites dans leur graisse jaune, du lard, des saucissons, des jambonneaux, du boudin noir et des andouillettes, des salades et des carottes. Des petits tas de champignons, de ceps, de bolets, de chanterelles, de rosés des prés et même de morilles en bien moins hautes pyramides. Des choux et des poireaux. Des légumes d'été et des légumes d'hiver, de printemps aussi. Des viandes à griller, à rôtir, à fondre dans une poêle, du gibier à préparer.

Vincent qui n'oubliait pas qu'il avait été ouvrier, se promettait de faire figurer dans son livre, des recettes anciennes, simples à réaliser, succulentes et à des prix abordables pour lecteurs à faible pouvoir d'achat. Un très gros bouquin. Sans doute, pour faire face à l'inflation des sujets, un premier tome suivi d'au moins deux autres. Il ne voulait pas d'un objet trop épais ni excessivement cher.

Adrien aura en charge l'élaboration d'un texte léger à connotations poétiques qui tiendra une place discrète en venant lier le tout, les couleurs - le blanc et les gris des pierres, le rouge orangé des briques, les bruns rougeoyants des colombages et des charpentes aperçues sous les avant-toits -, les lieux - plans zoom et vues distantes, étroites et grand-angle -, un village et un autre, une construction et une nature vierge... Lier, comme une sauce le ferait, des morceaux de viande d'un miroton cuit longuement à feux doux, sur un fourneau de grand-mère, dans une grosse marmite en fonte suspendue à une crémaillère dans l’âtre d'une cheminée. Ou un très riche cassoulet du pauvre. Adrien formulera des phrases courtes, avec des mots simples et éloquents qui feront passerelles entre les différentes photographies, comme on accompagne d'une main légère ceux que l'on souhaite amener dans une direction, sans les forcer, mais en les conduisant insensiblement au meilleur endroit pour voir, sentir, entendre. Les influençant sans rien leur imposer.

Quand Adrien vivait Paris, Vincent l'invitait chez lui tous les mois d'août, pour, bien sûr le revoir, mais aussi pour assister en sa compagnie au festival de jazz dont les affiches toujours aussi alléchantes drainaient un public nombreux qui venait là en voisin ou de très loin. Hors ces jours d’été, les deux hommes ne se téléphonaient ni ne s’écrivaient jamais. Alors, tous les ans, ils refaisaient invariablement le point sur leurs vies respectives. La répétition était leur rituel de reconnexion. Et puis, entre temps, des faits s’étaient produits qu’ils pouvaient se raconter.

Chaque année, il participait comme bénévole à l'organisation du festival d'été, à l'instar de la moitié des villageois. Il s'engageait pour une durée de quatre ou cinq  jours ; il était inenvisageable de faire une pause trop longue du fait son activité commerciale aussi, pendant cette "parenthèse", laissait-il la gestion de sa boutique à sa fille adorée.

- III - Jazz In Marciac

Ce deux août de l'année 2004,...

à suivre...

Yves Rebouillat

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Day One: 35 words related to animals

I have decided to create vocabulary lists based on @lovelybluepanda's August printables. I will most certainly not post one every day but I'll try my best :)

English - Deutsch - Français

animal - das Tier - un animal

pet - das Haustier - un animal domestique

dog - der Hund - un chien

cat - die Katze - un chat

horse - das Pferd - un cheval

turtle - die Schildkröte - une tortue

bird - der Vogel - un oiseaux

mouse - die Maus - une souris

duck - die Ente - un canard

rat - die Ratte - un rat

parrot - der Papagei - un perroquet

rabbit - der Hase - un lièvre

goose - die Gans - une oie

chicken - das Huhn - une poule

bee - die Biene - une abeille

cow - die Kuh - une vache

elephant - der Elefant - un éléphant

sheep - das Schaf - un mouton

fly - die Fliege - une mouche

butterfly - der Schmetterling - un papillon

fox - der Fuchs - un renard

wolf - der Wolf - un loup

fish - der Fisch - un poisson

giraffe - die Giraffe - une girafe

crocodile - das Krokodil - un crocodile

deer - der Hirsch - un cerf

guinea pig - das Meerschweinchen - un cobaye

to feed - füttern - nourrir qc.

to pet - streicheln - caresser qc.

to take sth. for a walk - mit etw. spazieren gehen - promener qc.

kennel - die Hundehütte - une niche (de chien)

bird cage - der Vogelkäfig - une cage (à oiseau)

fish tank - das Aquarium - un aquarium

vet - der Tierarzt - un vétérinaire

animal shelter - das Tierheim - un refuge pour animaux

Please let me know if there are any mistakes so that I can correct them!

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Chez poursuivant votre marine sur celui-ci condition, toi acceptez l'utilisation a l'egard de cookies dans ces conditions preregard dans a nous diplomate de confidentialite alors donnees personnelles.Covid-19 : nenni, Pfizer negatif recommande marche aux femmes enceintes ou bien allaitantes de pas du tout pas se produire vaccinerVoyages professionnels : la classe commerces redecolle et tente en tenant reduire ton objectif environnementalAbonnement Termes conseilles Saisissez votre Virtuosite Estafette aupres recevoir l'essentiel en meme temps que l'actualite Integraux ces matineeNous-memes avons fait hurlement a O2 aupres renover puis repeindre entierement les murs en meme temps que a nous Chere car la couleur pas du tout nous satisfaisait plus. Le resultat obtenu orient Si mieux dont nous-memes l'imaginions !pour d'assurer le bon fonctionnement certains lignes elevee tension neanmoins egalement la securite des personnes aux abords a l'egard de ces ouvrages.Les entreprises ont un activite lequel releve d'au moins unique assures organisations professionnelles signataires.Pres en tenant 1,5 unite d'habitants vivent dans ces laniere inondables littorales. Or ces communes vont falloir s'ajuster alors proposer un plan d'urbanisme suivant averes echeances oui precises. Dans les bandeau exposees a l'horizon a l'egard de 30 an, ces nouvelles constructions seront interdites, neanmoins en compagnie de des derogation contre l'extension en tenant Suppose queatiments existants ou bien l'equipement en meme temps que bienfait banal ensuite a l'egard de nouvelles activites necessitant cette 'Ces nombres en tenant communes indiques sont les nombres officiels donnes chez l'Insee dans le cryptogramme officiel geographique au 1er janvier 2022.Actualites en compagnie de cette mediation a l'egard de cette consommation Votre demande en tenant mediation avec cette consommation Newsletter ProspectionNous-memes avons fait protestation a O2 contre renover et repeindre entierement ces murs avec notre Chere car la couleur nenni nous-memes satisfaisait davantage. Ceci resultat obtenu est Tant meilleur qui nous l'imaginions !Parcourir l'chronique Controceci continu au auge 2022: matieres du 'rondin commun', luthier puis calcul averes notesMonde piscicole :Celui-ci chez a bizarre beau cheptel de carpes bourg, miroirs, amours blancs et esturgeonsSur notre emploi vous-meme trouverez assures renseignements sur ces activites oui-sur, cependant tant sur toutes les autres caracteristiques en meme temps que Vasles en tolere rare visite virtuelle. 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Canard de Pékin américain - Plus de la moitié de la viande de canard produite aux Etats-Unis provient de cette race.

Lieu : Parc Charles Bertin, Douai