#brique noire
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lawlietisawesome · 1 year ago
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Living Room Lille Living room library - large contemporary open concept light wood floor living room library idea with gray walls, a standard fireplace and no tv
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ericmortensen · 2 years ago
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Contemporary Exterior - Metal Example of a trendy brown three-story metal exterior home design
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mariophotographies · 9 months ago
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France by Mario. H. ”Le beau coin”
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lemaquillage · 1 year ago
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An example of a huge contemporary backyard water fountain landscape. This is an illustration of a sizable modern backyard water feature landscape.
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brainfatigue · 2 years ago
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Industrial Family Room - Music Room Family room: mid-sized industrial open concept room with light wood floor and a music area but no fireplace.
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rinann · 2 years ago
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Industrial Entry Lyon Mid-sized industrial entryway idea with black walls, a brick wall, and a dark wood floor.
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demasiadasmalasideas · 2 years ago
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Medium - Transitional Sunroom
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chic-a-gigot · 1 year ago
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La Mode nationale, no. 5, 5 février 1898, Paris. No. 8. — Groupe de toilettes. Modèles de la Mson Balmain sœurs, 46, rue Ste Anne. Modèles de Mme Collet, 10 rue Taitbout. Bibliothèque nationale de France
(1) Toilette de jeune fille, en drap bleu électrique. Jupe entièrement plate, garnie d'une légère soutache formant tablier, et tournant jusque derrière. Corsage boléro en drap de la même teinte également soutaché et laissant voir une chemisette de taffetas bleu électrique.
(1) Young girl's ensemble, in electric blue cloth. Completely flat skirt, trimmed with a light soutache forming an apron, and turning all the way to the back. Bolero bodice in cloth of the same shade also attached and revealing an electric blue taffeta shirt.
Matériaux: 6 mètres drap, 4 mètres taffetas.
(2) Toilette de promenade en drap mordoré. Jupe toute plate et unie. Corsage blouse en drap mordoré garni d'un empiècement de velours miroir mordoré se continuant en pointe sur les manches et entouré d'un galon brodé de perles de toute nuances. Ceinture de velours garnie du même galon remontant sur le corsage en corselet et de boutons miniatures entourant la taille.
(2) Walking ensemble in bronze cloth. Very flat and plain skirt. Blouse bodice in bronze cloth trimmed with a yoke of bronze mirror velvet continuing in a point on the sleeves and surrounded by a braid embroidered with pearls of all shades. Velvet belt trimmed with the same braid going up the corselet bodice and miniature buttons surrounding the waist.
Matériaux: 7 mètres drap.
(3) Toilette de dîner en crêpe de Chine mauve. Jupe sans couture et toute plate. Corsage en crêpe de Chine mauve recouvert de mousseline de soie crème et de Chantilly noir. Corselet découpé, formant crevés, en broderie Louis XV multicolore. Encolure en dentelle noire, paquet de violettes au pied du col.
(3) Purple crepe de chine dinner ensemble. Seamless and flat skirt. Mauve crepe de chine bodice covered with cream silk chiffon and black Chantilly. Cut-out corselet, forming crevés, in multi-colored Louis XV embroidery. Black lace neckline, bunch of violets at the base of the collar.
Matériaux: 15 mètres crêpe de Chine; 4 mètres mousseline soie en 120.
(4) Toilette de réception en satin noir. Jupe entièrement recouverte de petits volants de mousseline de soie noire, froncés. Corsage blouse en tulle pailleté de perles et de paillettes bleues, ouvrant sur un grand empiècement de mousseline de soie noire plissée, encadré ainsi que le col de grosses perles bleues. Manches toutes plissées en mousseline de soie.
(4) Black satin reception ensemble. Skirt entirely covered with small gathered black silk chiffon ruffles. Blouse bodice in tulle sequined with pearls and blue sequins, opening onto a large panel of pleated black chiffon, framed as well as the collar with large blue pearls. Sleeves all pleated in silk chiffon.
Matériaux: 15 mètres satin, pour les volants de mousseline de soie sur 5 centimètres de hauteur compter 3 fois le tour de la jupe par volant.
(5) Jaquette blouse en drap brique, entièrement recouverte de galons de mohair formant damiers. Revers semblables, bordés ainsi que le col, la basque et le tour de la jaquette, d'un dépassant d'astrakan.
(5) Blouse jacket in brick cloth, entirely covered with mohair braid forming a checkerboard pattern. Similar lapels, bordered as well as the collar, the basque and the edge of the jacket, with an excess of astrakhan.
Matériaux: 3 mètres drap.
(6) Toilette de jeune femme, en velours vert gris. Jupe plate et unie. Corsage également en velours avec petits crevés laissant voir une chemisette en mousseline de soie crème garnie de dentelle. Le devant du corsage et les crevés sont garnis d'un étroit galon d'acier. Col et ceinture en satin vert avec barrettes d'acier.
(6) Young woman's ensemble, in gray green velvet. Flat, plain skirt. Bodice also in velvet with small slits revealing a cream silk chiffon blouse trimmed with lace. The front of the bodice and the slits are trimmed with narrow steel braid. Green satin collar and belt with steel barrettes.
Matériaux: 16 mètres velours; mousseline de soie, 1 m. 50.
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outlying-hyppocrate · 2 years ago
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une maison sur la colline - luc blaque
une maison sur la colline
que tout le monde voit
ça effraie chaque personne
alors personne n’y entre
dans le noir de la lune pleine
nous serons liés
et nous partons explorer
brique par brique
ça semble facile
quand on regarde d'en haut
tous les secrets d’la ville
dansant aux étoiles
une maison sur la colline
où t’as dit tu m’aimais
une maison sur la colline
où tu m’as laissé saigner
pan pan
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logogreffe · 1 year ago
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La Morte Émile VERHAEREN, Recueil : "Les Flambeaux Noirs"
En sa robe, couleur de feu et de poison, Le cadavre de ma raison Traîne sur la Tamise.
Des ponts de bronze, où les wagons Entrechoquent d’interminables bruits de gonds Et des voiles de bâteaux sombres Laissent sur elle, choir leurs ombres.
Sans qu’une aiguille, à son cadran, ne bouge, Un grand beffroi masqué de rouge, La regarde, comme quelqu’un Immensément de triste et de défunt.
Elle est morte de trop savoir, De trop vouloir sculpter la cause, Dans le socle de granit noir, De chaque être et de chaque chose. Elle est morte, atrocement, D’un savant empoisonnement, Elle est morte aussi d’un délire Vers un absurde et rouge empire.
Ses nerfs ont éclaté, Tel soir illuminé de fête, Qu’elle sentait déjà le triomphe flotter Comme des aigles, sur sa tête. Elle est morte n’en pouvant plus, L’ardeur et les vouloirs moulus, Et c’est elle qui s’est tuée, Infiniment exténuée.
Au long des funèbres murailles, Au long des usines de fer Dont les marteaux tannent l’éclair, Elle se traîne aux funérailles.
Ce sont des quais et des casernes, Des quais toujours et leurs lanternes, Immobiles et lentes filandières Des ors obscurs de leurs lumières ; Ce sont des tristesses de pierres, Maisons de briques, donjons en noir Dont les vitres, mornes paupières, S’ouvrent dans le brouillard du soir ; Ce sont de grands chantiers d’affolement, Pleins de barques démantelées Et de vergues écartelées Sur un ciel de crucifiement.
En sa robe de joyaux morts, que solennise L’heure de pourpre à l’horizon, Le cadavre de ma raison Traîne sur la Tamise.
Elle s’en va vers les hasards Au fond de l’ombre et des brouillards, Au long bruit sourd des tocsins lourds, Cassant leur aile, au coin des tours. Derrière elle, laissant inassouvie La ville immense de la vie ; Elle s’en va vers l’inconnu noir Dormir en des tombeaux de soir, Là-bas, où les vagues lentes et fortes, Ouvrant leurs trous illimités, Engloutissent à toute éternité : Les mortes.
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disparate-gallery · 10 months ago
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Résonances de Brique Noire instagram.com/brique_noire/ https://briquenoire.limitedrun.com/ Édition réalisée dans le cadre d'une résidence d'une semaine au 102 à Grenoble. Format 17x25cm / 24 pages Impression risographie 200 exemplaires Prix : 6€
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lupitovi · 2 years ago
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    Les moineaux ont quitté Paris parce que dans la ville enrichie, sans cesse ravalée, il n'y avait plus de trous où nicher dans les creux des enduits, plus de pierres descellées, de souches de cheminées, plus de fissures. Le moineau parisien s'identifiait avec l'idée d'une capitale printanière et insouciante. Et avec celle de peuple. Tout particulièrement avec la figure du gamin. Déjà dans Les Misérables : Paris a un enfant et la forêt un oiseau; l'oiseau s'appelle le moineau l'enfant s'appelle le gamin. » Hugo se trompe, le moineau, ce passereau justement appelé Passer domesticus, n'est pas un habitant des forêts mais peu importe. Ensuite dans la chanson de Pellegrin (1924) : « J'suis I'moineau, j'suis l'titi/J'suis l'gamin d'Paris. » Puis chez les photographes humanistes : Doisneau, lui-même tête de piaf.     Les moineaux sont partis, en même temps que ce que l'on appelait donc le peuple de Paris. Les uns et les autres ont migré au cours du dernier demi-siècle, comme ils ont quitté Londres et quantité de villes, souvent pour se réfugier en banlieue. Ils ont, dans leur déplacement, abandonné les quartiers riches d'abord, ceux de l'ouest. comme s'ils fuyaient la hausse des loyers. Les moineaux ont quitté la ville quand tant d'autres l'évacuaient. Comme « nos frères gitans de Saint-Ouen », partis « sans crier gare » dans la chanson de Caussimon et Ferré. Et comme les hirondelles, « à tire d'aile et sans retour/Paris n'en avait plus besoin ». On connaît cette ritournelle. lI y a longtemps qu'est apparu, dans la conscience de l'Occident, ce paysage du mur mis à nu, porteur de fragments de décors délavés, de traces de vies humaines, qui nous bouleverse encore. Pas tant celui de la ruine, qui tient de l'antique et qui nous parle de l'Histoire, du destin des civilisations, mais celui du simple mur, le mur du fond, le mur-de-refend lorsque, suite à la destruction d un immeuble, il expose T'intimité des anciens occupants en même temps que l'anatomie du bâtiment, dans une sorte de dissection macabre. On imagine quelle longue période, quelle conjonction de facteurs il fallut pour que, vers le milieu du XIXe siècle cela devienne un thème de l'esthétique. (...)     C'est dans cette atmosphère que sont apparus il y a plus de quarante ans certains travaux anciens d'Ernest Pignon-Ernest. Ce couple de 1979, par exemple, ces deux figures debout, un homme, une femme, avec valise et matelas roulé sous le bras. Cela se passait à Montparnasse, ou bien autour de l'avenue d'Italie, des fronts de l'urbanisme de ces années-là. Sur une photographie de l'époque, on perçoit le chantier de l'hôtel Sheraton. Sur une autre, sous les affiches lacérées, un slogan à la bombe : « Halte à la rénovation». Ernest a depuis collé ses protestations sur tant de murs, les bossages baroques de Naples, les parois de brique, de parpaing, de plâtre éclaté, d'enduit de ciment, de peinture écaillée, les murs crépis et décrépis, les murs fanés, les ocres d'Italie, ou bien les soubassements de meulière, au ras du trottoir, du caniveau, les surfaces de tôle ondulée, rouillée, de Brest. En tel nombre qu'on a pu en oublier les diverses circonstances. Et puis les territoires de l'exil se sont à nouveau déplacés. Vers l'est encore, alors que la municipalité avait fait un mot d'ordre de la « conquête de l'Est ». Les gratteurs, les tagueurs, les fresquistes des années 1980 eurent affaire à Belleville, à Ménilmontant : ils y trouvèrent les mèmes moellons, les mêmes restes de papier peint, de carrelage de cuisine et de salle de bains, les mêmes boisseaux de cheminées en terre cuite ruisselants de goudron. Et leurs travaux sont devenus comme une sorte de chiendent, de végétation spontanée des lieux à l'abandon. Les figures inspirées des Shadocks, l'homme blanc, les pochoirs, les silhouettes à chapeau et manteau noir, les hippopotames et parapluies ouverts se sont mêlés aux arbres à papillons et aux ailantes, ces vieux compagnons des ruines.     Peut-être sera-ce bientôt la fin d'un genre. Il n'y a plus guère de ruines aujourd’hui. Intra-muros, du moins. Plus de terrains vagues, plus d'interstices où loger moineaux, classes pauvres et sans-logis. Moins d'hospitalité. Voilà ce que nous dit le chant du mur, du mur-pignon, du mur-de-refend, du mur sans défense. François Chaslin - Ernest, les pignons de l'exil
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e642 · 1 year ago
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Je me suis chauffée à aller à la bu de ma fac. Il serait temps de la visiter à d'autres moments qu'en projet de groupe. J'ai pu constater qu'il n'y avait ni chauffage, ni prise. Est ce que c'est bon pour vous ?
J'ai tellement froid en étant statique que mes ongles sont violets noirs.
Moi je me demande, depuis des années, où ils foutent ma CVEC à 100€ que je dois gentiment léguer chaque année ? Vous vous payez des putes ? De la coke ? Que sais-je ?
J'ai moins froid dehors.
Oui on dirait une vieille conne à râler mais honnêtement ça va quoi, peuvent foutre des prises. Si t'en mets pas dans une bu t'en mets ou ? Jsuis sure ils construisent leur maison mais sans brique ces cons
Mdr sortez moi de toute cette aigreur
Jdois aller laver mon linge là en plus et vraiment j'ai pas envie mais eux ils ont DES PRISES ET DU CHAUFFAGE LA CON DE VOUS LÀ
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5sosfanfictioncatalogue · 1 year ago
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Fics in Other Languages - French Masterlist
Could you whisper in my ear the things you wanna feel? (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton NR, 3k
Summary: Retour en Australie pour une petite tournée de promo. Après 6 ans de relation cachée, Michael ne sait pas comment gérer le changement et l'évolution.
Luke ne voit rien venir et Michael sent tout se défaire.
Quelle force peut encore les sauver?!
Holding on for dear life. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton N/R, 51k
Summary: [Michael est en pleine dépression et lutte vaillamment. Luke s'attache à lui avant de découvrir qu'aimer Michael n'est pas aussi que ce qu'il y paraît.]
I don't know what it is but your heart feels like home. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke N/R, 4k
Summary: [Luke rentre seul en Australie et Michael le rejoint. Ils ont des choses à se dire, un amour à confesser.]
I hear your voice in my sleep at night. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Luke/OFC, Calum/Ashton G, 33k
Summary: Michael doit bien faire face aux choses maintenant : il est amoureux de Luke, son meilleur ami et colocataire.
Sauf que Luke est déjà en couple.
Est-ce que leur amitié pourrait suffire à Michael? Est-ce que Luke va se rendre compte de quelque chose avant que le coeur de Michael ne se brise? Tout reste encore à faire.
I'll build you a house from a broken home. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke N/R, 1k
Summary: « Oui, je sais. ». Il n'y avait rien d'autre à ajouter parce que c'était une vérité connue de tous : quand il s'agissait de Luke, Michael connaissait absolument tout. Le bien mais surtout le mal. Il était le seul à connaître les idées les plus noires et les plus sombres que Luke avait pu nourrir. Ils avaient été amis si longtemps qu'ils n'avaient aucun secret l'un pour l'autre.
[Michael se sent mélancolique et Luke a besoin de comprendre pourquoi.]
The Boy Who Fight (ao3) - Chagri OT4 N/R, 58k 
Summary: " S'éprend-on de ceux pour qui l'on a du goût ? Impensable. On tombe amoureux de ceux que l'on ne supporte pas, de ceux qui représentent un danger insoutenable." -Amélie Nothomb
Septembre 2013
Luke Hemmings remontait les voies 9 et 10 de la gare de King's Cross, les yeux rivés sur son smartphone qu'il tenait dans une main, poussant son chariot à bagages de l'autre. Il ne remarqua pas les quelques personnes qui se retournèrent sur son passage. Le jeune homme de 15 ans avait l'habitude qu'on regarde avec des yeux ronds, sa splendide chouette effraie.
Bien qu'apprendre qu'il était le premier sorcier d'une famille de moldues avait été un choc, Luke s'été assez vite adapté à son nouveau monde, grâce à une bande d'amis. Mais il ne reniait pas ses origines moldues, comme en témoignait l'iPhone qui avait toute son attention.
Alors qu'il arrivait près de l'entrée de la voie 9 ¾, il éteignit l'appareil, pour éviter qu'il ne se détraque à cause de la magie. Il s'appuya nonchalamment contre un pilier massif en brique et il fut instantanément propulsé sur le quai 9 ¾. Luke sourit à pleines dents : il allait enfin rejoindre son second foyer.
Those wounds you made are gone. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton G, 8k
Summary: Luke demande à Michael de partir et ne plus jamais revenir. Il lui dit qu'il ne veut plus jamais le revoir. Michael obéit.
Sauf que Luke a menti.
Il a simplement besoin de repos, besoin de souffler. Besoin de ressentir.
True Colours (ao3) - orphan_account Michael/Luke G, 5k
Summary: Trad Muke. Tout le monde sait bien qu'au moment où on tombe amoureux, nos cheveux font ce truc.
C'est à dire qu'ils commencent à changer de couleur, chaque couleur représentant des émotions différentes qu'on ressent. Tout le monde connait quelqu'un qui a déjà eu ses ''Couleurs'', et tout le monde sait comment ça marche.
Cependant, quand Michael se lève un matin avec des cheveux roses vif, il n'a vraiment aucune idée de ce qu'il se passe.
Vraiment, Michael n'avait pas compris qu'il était tombé amoureux.
We don't know why we feel how we feel inside. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton T, 40k 
Summary: Luke est étudiant à l'Académie Hamilton depuis trois ans. Il est en dernière année et pense avoir sa vie tracée devant lui.
Jusqu'à ce qu'il croise la route d'un artiste solitaire qui va changer sa vision du monde, de l'art et de la vie.
Wherever it goes I'm all in. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton G, 12k
Summary: Chaque fois que Michael repartait, une part de lui se brisait. C'était inéluctable. Il voulait plus, il voulait tout mais Michael ne voulait rien donner, ni rien recevoir. C'était à prendre ou à laisser.
Et Luke commençait à se demander s'il n'aurait pas mieux valu tout laisser tomber. Sauf qu'il aimait Michael. Peut-être que c'était pour cette raison qu'il aurait dû abandonner. Pour cette raison qu'il aurait dû s'éloigner : parce qu'il aimait Michael et que cet amour n'était plus un bienfait. Il était lourd, douloureux et malsain.
Will you stand by the phone while I take the long way home? (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton N/R, 23k
Summary: [Luke est surveillant au lycée et il rencontre Michael au salon de tatouage. Sauf que Michael est élève de ce lycée et qu'il est encore mineur...]
You chose the Rose Garden over Madison Square. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke G, 32k
Summary: Luke le savait, c'était le prix à payer quand on était un acteur gay à Hollywood. Si on voulait s'en sortir et voir son nom sur les grands écrans, il fallait oublier tout le reste. Son passé, ses envies, sa personnalité, sa moralité et surtout, sa sexualité.
You were mine for a night. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke N/R, 6k
Summary: Michael et Luke le savent : ils ne peuvent pas être ensemble.
Sauf que ce soir, cette nuit, tout est possible et le monde est leur !
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falseandrealultravival · 1 year ago
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Gérard de Nerval's "Fantaisie": Poems of Déjà Vu (Essay)
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When I was a university student, I wanted to study French Literature, so I took French as my third foreign language. Then, I attended a seminar on deciphering French poetry, and learned modern and contemporary poetry. Among them, one of the poems that left an impression on me is the following poem by Gérard de Nerval.
fantasy
There is one melody, for which I don't care if I throw it away
Rossini's, Mozart's, Weber's all.
It is very old, languid, painful,
Only to me is a survey that has the power of secret enchantment.
Somehow every time I hear it
My soul is rejuvenated two hundred years ago.
It's the reign of Louis XIII... I think I can see it.
When the sun sets, it is dyed yellow, and the green hills spread out.
Next, a brick castle built with stones in the corners,
It has a glazed glass window that shines in a reddish color.
Surrounded by a huge garden, a single stream
At its feet, it flows among the flowers.
Then a lady stood by a high window,
She has black eyes, blond hair, and her old clothes...
maybe someday in another world
who I have already met! --And that's the person who still comes to my mind!
Fantaisie
Il est air, pour qui je donneraid
Tout Rossini, tiut Mozart et tout Weber;
Un air tres vieux, languissant et funebre,
Qui , pour moi seul a des charmers secrets.
Or, chaque fois que je viens a l'entendre,
De deux cents ans mom ame rajeunit;
C'est sous Louis treize...Et je crois s'etanbre
Un coteau vert que le couchant jaunit
Puis un chateau de brique a coin de Pierre,
Aux vitraux teints de rougeatres couleurs,
Ceint de grands parcs, avec une riviere
Baigrant ses pieds , qui entre des fleurs.
Puis une dame, a sa haute fenetre her,
Blonde aux yeux noirs, en ses habits anciens...
Que, dans une autre existence peut etre.
J'ai deja vue! ―et don't je me souvients!
Gérard de Nerval (22 May 1808 – 26 January 1855) was a French Romantic poet of the 19th century. His poetry has elements of symbolism and surrealism and has been reconsidered since the latter half of the 20th century.
I feel that he was a pioneer of symbolic poetry and surrealism, and that he lived a devastating life. In the case of the ``fantasy'' that I mentioned this time, ``the figure of a beloved woman is traced back to the dynasty era 200 years ago, and it is a deja vu.  I think most people have experienced this déjà vu more than once.
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malevolat · 2 years ago
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Elle était allongée sur le côté, les jambes repliées et épilées. Sa jupe à longueur de genoux recouvrait ses cuisses musclées sans faire le moindre pli comme si, malgré la chute sur la route, malgré la douleur de son ventre déchiré par le métal et la panique probable de ces instants d'agonie, elle avait tiré sur le tissu. Son sac de Skaï marron avait glissé sur un amas de détritus. Sa main distinguée portait une bague de perle de famille et une autre de pacotille. La plaie de son ventre se devinait sous la large tache couleur brique qui maculait son corsage blanc. Un fragment de fer était encore accroché au tissu de Nylon.
Il y avait une autre tache, violette, sur le gravier. Son sang avait séché, mais pas son mystère. Sa bouche légèrement ouverte, ses yeux enfouis dans le doux de son bras au niveau du coude, l'éternisaient en un songe. Elle avait la trentaine, n'en paraissait pas plus. Son visage démaquillé par la poussière conservait, malgré sa pâleur, la grâce d'une personne joyeuse. Elle portait d'élégantes chaussures en cuir véritable à talons plats, un ruban noir et bleu nuit pour retenir des boucles châtain. Elle faisait partie d'un groupe de trois ou quatre autres personnes surprises par l'explosion d'une roquette. On en avait parlé la veille. Elle avait été oubliée, paisiblement dissimulée par les décombres.
Jean Hatzfeld - L’air de la guerre Sur les routes de Croatie et de Bosnie-Herzégovine
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