#bridgerton aussies au
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Weekend famille, avec depuis jeudi soir l'arrivée de mon "p'tit' 3 em à la maison. Je ne l'avais pas vu depuis 1 mois. De longues discussions, des promenades avec le chien, et hier on a même regarder la 2em partie de la saison de Bridgerton ensemble (on est fans tout les 2 ! ) . Ce soir nous serons tous réunis (mes 4 enfants et moi) chez mon fils ainé pour son anniversaire. Même mon ex mari sera là ! Le seul bémol, c'est le temps normand qui va nous empêcher une fois de plus de faire un BBQ dans le jardin mais aussi très probablement d'assister au concert gratuit dans ma ville pour lequel nous avions avancé la soirée de quelques heures, histoire d'avoir fini de manger avec qu'il ne commence.
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Choix - Benedict Bridgerton
Masterlist
Speak Now TV Masterlist
Résumé : Tu es amoureuse de Benedict, mais tu dois épouser un autre homme.
Warning : angst, fin heureuse, sentiment d'être emprisonnée, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 4.5k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Speak Now (Taylor's Version) par Taylor Swift
Tes yeux grands ouverts posés sur la bague face à toi, tu restes bouche bée. Tu savais que ce jour arriverait. Ce terrible jour où le Duc William Edmonstone mettrait un genou à terre et te poserait la question qui ressemble à une condamnation. Tu relèves les yeux et regardes autour de toi dans la salle de bal. Tous les invités de la famille du Duc attendent ta réponse avec impatience. Tu as l'impression que tout le monde savait que ce bal était spécifiquement pour cette occasion.
En posant tes yeux sur ta droite, tu vois ta mère. Elle hoche la tête avec vigueur. Tu baisses la tête à nouveau sur l’homme en face de toi avant de forcer un sourire.
-Je serais honorée d’être votre femme.
À ta phrase, tout le monde vous applaudit. Content, William se lève et te passe la bague au doigt. Il embrasse ta main gauche, sachant que c’est le seul contact approprié qu’il peut te donner. Ton fiancé t’abandonne pour aller parler avec ses amis pendant que tu restes sur place, paralysée. Tu n’arrives pas à croire que tu viens de prononcer ta propre sentence. Tu n’as qu’une envie : fuir les lieux le plus rapidement possible. Cependant, l’arrivée des jeunes femmes de la société t’en empêchent. Elles commencent à te parler de mariage, décoration, vœux de mariage et même bébés ! Tu les écoutes d’une oreille distraite et réponds une fois de temps en temps pour être polie. La bague sur ton annulaire pèse de plus en plus lourd au fil des secondes.
Tout le reste de la soirée, tu restes dans ce sentiment d’indifférence, ignorant comment réagir. Tu devrais être heureuse d’avoir enfin eu une demande en mariage, mais tu ne peux t’empêcher de ressentir de la tristesse. Tu aurais aimé qu’au bout de la bague, il y ait un autre homme.
En rentrant du bal, tu continues à agir comme une marionnette jusqu’à ce que tu arrives dans ta chambre. À peine ta porte fermée, tu lâches un soupir. Tu t’approches de ta coiffeuse quand ta servante entre dans ta chambre. Elle t’invite à t'asseoir en face de ton miroir pour commencer à défaire ta coiffure. Elle enlève les deux premières pinces quand ta mère fait son apparition. Elle invite ta servante à vous laisser seules. Ta mère prend place derrière toi et continue à défaire tes cheveux. Tu ignores la raison pour laquelle ta mère est venue te voir, mais tu sais qu’elle va te le faire savoir dans peu de temps. Quand tes cheveux sont enfin lâchés, ta mère met ses mains sur tes épaules et te regarde à travers le miroir.
-Tu n’as pas l’air ravie, mon enfant.
-Je le suis, mère. C’est juste que je n’arrive pas à croire que je vais enfin me marier, dis-tu sur un faux ton joyeux.
-Vous avez des doutes. Nul besoin de le nier. J’ai été à votre place autrefois. Dites-moi ce qui vous tracasse, t’invite ta mère d’une voix douce.
-Je ne suis pas sûre d’être faite pour le Duc, avoues-tu en évitant son regard.
-Que voulez-vous dire ? Vous avez été élévée toute votre vie pour épouser un homme de son rang.
-Son rang est-il si important ?
-Bien sûr que oui ! répond ta mère comme si c’était une évidence. Vous ne pouvez pas vous permettre d’épouser un homme dont le rang est inférieur au nôtre. Le Duc est parfait. De plus, il est un homme gentil et il saura vous donner une vie décente.
-Mais, je ne l’aime pas, mère.
-L’amour ! s’exclame-t-elle en levant les yeux au ciel. L’amour n’est pas important dans un mariage. Vous devez choisir votre survie avant de penser à quelque chose aussi futile que l’amour.
-J’aurais aimé avoir une union faite dans l’amour, insistes-tu en baissant le regard.
Ta mère pose un doigt sous ton menton et t’invite à relever la tête vers elle.
-Ne vous inquiétez pas pour l’amour, vous le découvrirez quand vous aurez vos enfants.
-N’aimez-vous donc pas père ?
-Je tiens beaucoup à votre père. Et vous tiendrez beaucoup au Duc un jour également. Y/N, trouver l’amour dans un mariage est quelque chose de rare. Le peu de personnes qui le trouvent sont chanceux.
-Les Bridgertons semblent être une famille très chanceuse alors, murmures-tu.
-Tous ces doutes sont à cause du second fils Bridgerton, n’est-ce pas ? questionne ta mère en arquant un sourcil. Peu importe s’il est d’une bonne famille, il est le second fils et même s’il était l’ainé, il ne serait qu’un Vicomte. Vous ne pouvez pas continuer ce qu’il y a entre vous deux.
-Je ne sais pas de quoi vous voulez parler, nies-tu en éclaircissant ta gorge.
-Mon enfant, je vois les regards que vous vous lancez.
-Mère, je vous promets que…
-Je sais que rien de grave ne s’est passé, t’interrompt-elle avec un sourire. Je n’ai rien dit, car j’ai confiance en vous. Je savais que le moment venu, vous feriez le bon choix, autrement dit : épouser le Duc. Cependant, vous devez cesser de lui parler, ordonne-t-elle d’une voix plus ferme. Je l’ai remarqué rapidement et vous devriez vous réjouir que j’ai été la seule à le voir. Si Lady Whistledown venait à en parler, cela pourrait ruiner votre mariage. Est-ce clair, Y/N ?
-Oui, mère, soupires-tu.
Satisfaite de ta réaction, ta mère embrasse ta joue et quitte la pièce. Tes yeux se remplissent de larmes que tu te dépêches de faire disparaître quand ta servante revient pour t’aider à enlever ta robe de bal.
Depuis la demande, tu n’arrives pas à dormir. Tes nuits sont occupées par tes pensées. Tes peurs sont en train de prendre le dessus, malgré les tentatives de ta mère pour te rassurer. Comme elle te l’a confirmé bon nombres de fois, tu as bien fait d’accepter la demande, le Duc Edmonstone est un bon parti et seulement trois ans plus âgé que toi. Il est également bel homme et cultivé. Tu devrais te sentir chanceuse. Tu aurais pu te retrouver avec un homme plus vieux et irrespectueux. Oui, le Duc saura te donner une vie décente. Cependant, le Duc n’est pas le seul souci en tête ; tu ne veux pas que ta vie change. Tu ne veux pas avoir à quitter ta maison d’enfance pour un lieu inconnu avec un homme qui ne s’intéresse pas à ton esprit. Enfin, tu ne veux pas avoir à dire adieu à Benedict.
Vous vous êtes rencontrés il y a quelques mois en arrière et vous avez tout de suite accrochés. Tu n’as jamais ressenti ça auparavant. Tu as l’impression que l’on te comprend enfin. Votre passion pour l’art a beaucoup aidé à développer votre relation. Il n’est pas rare qu’à quelque événement social, tu t’échappes pour le retrouver dans un lieu plus discret. Il ne s’est jamais rien passé de scandaleux, comme promis à ta mère, sauf si on considère tomber amoureux comme tel. Benedict ne t’a jamais fait la cour officiellement car ton père a toujours répété que sa fille n’épouserait jamais un homme qui n’est pas, au minimum, un Comte et encore moins si ce n’est pas un aîné. Autant dire que votre relation était condamnée avant de commencer, mais ça ne vous a pas empêché de vous rapprocher.
Maintenant que tu dois te marier, tu dois laisser Benedict derrière toi. Ta mère ne cesse de te rappeler que tu dois le faire le plus rapidement possible. Tu as beaucoup réfléchi à la façon dont tu allais lui dire. Tu as fini par décider que c’est mieux d’aller droit au but. Tu ne veux pas te faire plus souffrir alors c’est inutile de faire un discours tragique pour annoncer tes adieux.
Le prochain vernissage te semble être le moment parfait pour le faire. Tu es sûre qu’il sera là. Généralement, Benedict évite les bals. Il fait parfois une apparition, mais seulement pour pouvoir te voir dans une belle robe et sortir discrètement avec toi pour discuter de vos ambitions dans la vie. Par conséquent, les événements liés à l’art sont les seules occasions où tu es sûre de le retrouver.
Arrivée à la galerie, tu marches doucement, admirant les tableaux avec attention. Ta mère n’est pas très loin de toi, même si elle reste à une certaine distance pour permettre à Benedict de venir te parler.
Tu arrives dans la deuxième salle où peu de personnes se trouvent. Tu regardes la peinture représentant une forêt en pleine journée d’été quand Benedict apparaît à tes côtés. En le voyant, tu joues avec tes gants, ayant besoin d’évacuer ton stress. À tes côtés, Benedict a un sourire alors qu’il regarde l'œuvre d’art. Tu tournes la tête et au loin, ta mère te fait signe de te dépêcher. Tu soupires avant d’éclaircir ta gorge et d’éviter le regard de Benedict.
-Benedict, nous devons arrêter de nous voir.
-A cause de votre mariage ? demande Benedict après une longue seconde de silence.
-Je ne peux pas risquer qu’un scandale éclate maintenant.
-Bien sûr. Félicitations pour vos fiançailles, déclare-t-il sans émotion.
Sans épiloguer, Benedict ne jette un coup d'œil aux autres tableaux et part dans une autre salle. Tu sens tes yeux te piquent, mais tu n’y prêtes pas attention. Tu as fait le plus compliqué. Tu ne peux pas pleurer maintenant ou les gens se demanderont pourquoi tu es dans cet état après avoir échangé quelques mots avec Benedict. Tu clignes rapidement des yeux et quand tu es sûre que tu ne vas pas pleurer, tu vas retrouver ta mère. Elle passe son bras dans le tien pour te réconforter.
Benedict fait officiellement parti de ton passé de jeune fille. Tu dois, à présent, te concentrer sur ton futur de jeune mariée.
Les deux mois suivants sont rythmés par les préparatifs de ton mariage. Le Duc a insisté pour faire un mariage rapidement. On t’a souvent demandé ton avis pour la cérémonie, mais tu as fini par laisser ta mère s’occuper de tout. Tu ne veux pas de ce mariage alors quelle importance si la cérémonie est à ton goût ?
Tu n’as pas revu Benedict depuis et ceci n’aide pas ta morosité. Tu aimerais tout abandonner et le retrouver, mais tu ne peux pas faire ce choix alors tu continues à te préparer à ta nouvelle vie. Toute ta vie, on t’a préparé pour être l’épouse parfaite, mais maintenant, ta mère passe à la vitesse au-dessus. Etant donné que tu es une future Duchesse, elle s’assure que tu ne feras pas une erreur. Elle veut que tu sois parfaite. Si elle te laisse avoir un défaut, elle a peur que ton futur époux décide de t’abandonner. Ces derniers temps, la pression te sert plus que ton corset. Tu n’arrives plus à respirer et tu as l’impression de t’être évanouie depuis un moment, mais que personne ne fait attention.
Ton dernier jour en tant que fiancée passe à la vitesse de la lumière. En un clin d'œil, la nuit est tombée et tu es dans ton lit à fixer ta robe de mariée. Tu lui lances un regard noir, sachant tout ce qu’elle représente. C’est une prison décorée de tissu blanc. Objectivement, la robe est magnifique, Madame Delacroix s’est surpassée, mais tu la détestes.
Tu continues à fixer l’objet de ta peur quand tu entends quelque chose cogner contre ta fenêtre. Tu fronces les sourcils, mais ne te lèves pas. Quand le bruit recommence, tu quittes ton lit, lances un dernier regard noir à ta robe et tu ouvres ta fenêtre. En bas, dans ton jardin, tu découvres Benedict. Sa cravate est défaite, les premiers boutons de sa chemise sont ouverts et ses cheveux sont décoiffés à cause du nombre de fois où il a passé sa main dedans.
-Benedict, que fais-tu ici ? Tu dois partir, ordonnes-tu en tentant de ne pas parler trop fort.
-S’il te plaît, je dois te parler.
-On ne peut pas te voir ici. Si Lady Whistledown…
-Accorde-moi cinq minutes, te coupe-t-il avec un regard suppliant.
Tu le scrutes, pesant le pour et le contre. Il t’a énormément manqué, mais lui parler serait une erreur. Toutefois, tes sentiments pour Benedict sont plus forts que ta morale.
-Ne bouge pas.
Tu refermes la fenêtre et te saisis de ta robe de chambre. Avant de sortir de ta chambre, tu te regardes dans le miroir. Tu replaces quelques petites mèches de tes cheveux et ouvres ta porte. Tu regardes à droite et à gauche avant de quitter les lieux sur la pointe des pieds. La lumière de la lune te donne assez de visibilité pour descendre les escaliers sans tomber.
Tu arrives dans ton jardin où tu retrouves Benedict en train de faire les cent pas. Quand il te voit, il s’avance pour te prendre dans ses bras et tout de suite, tu fais un pas en arrière. En remarquant ton geste, Benedict garde ses distances et ses bras retombent le long de ses jambes.
-Tu ne peux pas rester ici, Benedict. Je me marie demain, rappelles-tu en croisant tes bras sur ta poitrine.
-Je sais, mais demain, je n’y serai pas et j’avais besoin de te voir.
-Pourquoi ne viens-tu pas ? Ta famille a été invitée, questionnes-tu, les sourcils froncés.
-Ta chère mère m’a rendu une petite visite de courtoisie et m’a fait comprendre que je devais rester loin de toi.
En entendant cette information, tu aimerais ressentir de la colère pour ta mère, mais tu es reconnaissante. Tu sais que si Benedict était là, tu ne serais pas capable d’épouser le Duc. Toutefois, avoir Benedict dans ton jardin la veille de ton mariage n’est sûrement pas mieux.
-Cependant, je ne pouvais pas te laisser épouser le Duc sans te parler une dernière fois, ajoute-t-il.
-De quoi veux-tu parler ?
-Y/N, ne l’épouse pas, annonce-t-il de but en blanc. Demain, ne dis pas “oui” et n’échange pas un vœu. Tu mérites d’épouser un autre homme que lui.
-De quel droit oses-tu dire ça ? Le Duc est un gentleman. Il saura me traiter comme il faut, te vexes-tu.
-Mais l’aimes-tu ?
-Je tiens à lui, réponds-tu après un silence.
-Donc, tu ne l’aimes pas, précise Benedict, connaissant la vérité. Tu ne peux pas épouser un homme que tu n’aimes pas. Tu mérites d’être avec quelqu’un que tu aimes et qui t’aime en retour.
-L’amour n’est pas important. Je dois penser à ce qui est le mieux pour moi et le Duc est la meilleure option, argumentes-tu, les mots de ta mère tournant dans ta tête.
-La meilleure option selon qui ?
-Je n’ai pas d’autre choix, Benedict. Je ne peux pas me permettre d’être compliquée. Je n’ai pas le luxe de dire à ma mère que je veux attendre avant de me marier ou de me concentrer sur mon art. Je ne peux pas me permettre de faire ce choix, contrairement à toi.
-Il n’est pas encore trop tard pour que tu en fasses un autre.
-Tu fais preuve d’aucun égard. Tu ne peux pas venir ici, la veille de mon mariage, et me dire de ne pas épouser le Duc, rétorques-tu les larmes aux yeux.
-Si tu l’aimais, je me serais tu, mais ce n’est pas le cas.
-Et que proposes-tu à la place ? Parce que si j’abandonne le Duc à l’autel, je me retrouve sans option.
-Je serai là pour toi, t’assure-t-il, comme si c’était une solution miracle.
-Cela ne changera rien. Mon père n’acceptera jamais qu’on se marie.
-On pourrait fuir ensemble ?
-Tu ne peux pas être sérieux, soupires-tu en levant les yeux au ciel. As-tu pensé au scandale que ça causerait ? La réputation de ta famille serait détruite et tes sœurs doivent se marier également.
-Cela en vaudrait la peine. Je t’aime, Y/N et je sais que tu m’aimes aussi.
-Ces faits ne changent rien à ma situation. Demain, je me marierai et je serai enfin ce pour quoi on m’a toujours élevé : une épouse fidèle.
-Fidèle ! rit jaune Benedict. Et tu crois que ton cher futur mari a eu la même éducation ? Le Duc semble être un gentleman, mais il continue à voir d’autres femmes et il continuera après votre mariage. Il n’a aucune considération pour toi. Il veut juste une épouse. Il ne peut pas te donner ce que tu souhaites réellement
-Et tu crois que je ne le sais pas ? Je suis au courant de ce fait sauf que le monde est ainsi et je ne peux rien y changer, affirmes-tu, désespérée.
-N’y a-t-il donc rien que je puisse dire pour te convaincre ?
-Mon destin est tracé depuis longtemps. Tu dois me laisser tranquille.
-Très bien, mais avant, commence-t-il en se rapprochant de toi et tu le laisses faire, est-ce que tu m’autoriserais à t’embrasser ? J’ai envie de le faire depuis notre première discussion, ajoute-t-il en posant sa main sur ta joue, et j’aimerais le faire avant que tu ne sois à un autre homme.
-Benedict, c’est inapproprié, objectes-tu sans bouger.
-Si ton futur mari a le droit d’être avec une autre femme actuellement, je pense que tu as le droit de faire le choix d’embrasser quelqu’un que tu aimes réellement avant que ça ne soit trop tard, murmure Benedict, mais tu restes sceptique. Peu importe si tu acceptes de me faire cet honneur, saches que tu n’entendras plus parler de moi après, je te le promets.
Tu regardes Benedict ses yeux bleus, essayant de resister à la tentation de goûter à ses lèvres. Les mots de ta mère et la peur de te retrouver en première page de la prochaine édition de Lady Whistledown sont les seules choses qui te retiennent. Toutefois, quand la deuxième main de Benedict touche la tienne, ton esprit ne pense plus qu’à une chose alors tu lui prends sa main avant de chuchoter :
-J’accepte.
Avec un sourire, Benedict se penche et pose ses lèvres délicatement sur les tiennes. Tu réponds instantanément à son baiser. Tu souhaites l’embrasser depuis le moment où tu as posé tes yeux sur lui. Comme tu t’y attendais, ses lèvres sont douces et se moulent parfaitement aux tiennes. Vous vous embrassez tendrement pendant quelques minutes. Quand tu brises le baiser, tu gardes tes yeux fermés pendant une seconde, appréciant ce moment, ce dernier choix que tu as fait.
Sans ajouter autre chose, tu abandonnes Benedict et retournes chez toi alors qu’il fait chemin inverse. La culpabilité devrait te ronger de l’intérieur, seule la joie explose dans ton ventre. Tu garderas toujours ce moment en tête et tu sais qu’il nourira beaucoup de tes nuits quand tu seras aux côtés de ton mari. Tu ne regrettes pas d’avoir embrassé Benedict, car, pour une fois dans ta vie, tu as pensé à toi. En arrivant dans ta chambre, ta robe de mariée semble te juger, mais tu ne la considères pas et t’allonges sur ton lit. Au même moment, la joie quitte ton corps, non pas pour des remords, mais pour de la tristesse ; tu ne revivras plus jamais ce moment. Tu ne ressentiras plus jamais ce sentiment.
Quand le soleil se lève le lendemain, ton ventre se tord en un instant. Pendant toute ta préparation, tu vis une expérience hors du corps. Ton corps est présent et pomponné, mais ton esprit est perdu dans le souvenir de la nuit d’avant. Ce souvenir est plus agréable que ta réalité.
Quand tu arrives face aux portes de la chapelle, tu retrouves enfin conscience. Tu sais que ce moment est ton dernier moment en tant que Y/N Y/L/N. Tu prends de profondes inspirations alors que ton père arrive à tes côtés. Il te fait un sourire réconfortant en voyant ton état.
-N’ayez pas peur, ma chère. Vous êtes prête. Toute votre vie a été faite pour ce moment.
Tu ne lui réponds pas, craignant de vomir à cause du stress. Tu ne comptes plus le nombre de fois où tu as attendu cette phrase depuis que tu fais partie de la société. C'est censé te faire te sentir mieux et pourtant, ça te donne plus l'impression d'être prise au piège.
Tu ne réponds pas à ton père, trop effrayée de lui vomir dessus à cause du stress. Ton père s'assure que ton voile soit mis correctement sur ta tête puis il prend ton bras et t’invite à entrer dans la chapelle. La musique commence et pour toi, elle ne sonne pas comme une chanson de mariage, mais comme une marche funèbre. Tu descends doucement l’allée, ton cœur battant fort dans tes oreilles et tes fleurs pratiquement étranglés par ton emprise. En marchant, tu regardes les invités, voulant à tout prix éviter de poser ton regard sur ton futur mari. En jetant un coup d'œil sur le côté droit de l’allée, tu découvres la famille Bridgerton. Le yeux remplis de tendresse de Violet Bridgerton t’aident à te sentir un peu plus sereine, même si tu préférais toujours fuir. En examinant avec plus d’attention la famille Bridgerton, tes yeux trouvent Benedict. Tu te retiens de montrer ton trouble en le voyant. Il n’était pas censé être là. Tu ne comprends pas ce qu’il fait ici. Il ne peut pas être là. Tu dois te marier. Ne voulant pas être plus perturbée, tu oses enfin regarder ton futur mari. Il est beau dans son costume, mais tu ne peux t’empêcher de penser que Benedict est plus élégant.
Quand tu arrives à l’autel, ton père t’embrasse le front avant de te laisser retrouver le Duc. Dès que ton père abandonne ton bras, tu veux le rattraper et le supplier de ne pas t’abandonner. Tu n’en fais rien. Resserant ton emprise sur ton bouquet, tu lances un sourire forcé au Duc. La musique s’arrête et l’archevêque annonce aux invités qu’ils peuvent s’asseoir. Quand ils sont enfin assis et que la cérémonie va enfin commencer, les larmes commencent doucement à te monter aux yeux.
-Mes biens chèrs frères, nous voici réunis aujourd’hui, devant Dieu et en présence de cette assemblée, pour unir cet homme et cette femme par les liens sacrés du mariage, déclare-t-il solennellement.
Le mot “mariage” résonne dans ta tête et tu n’arrives plus à écouter la voix de l’archevêque. Tu peux seulement regarder l’action se dérouler jusqu’à ce que tu presses un doigt contre une épine de ton bouquet pour te ramener à la réalité. Tu ne peux rester dans ton monde, tu dois faire face à ta réalité. Malgré toi, tu regardes furtivement Benedict avant de poser tes yeux sur l'homme en face de toi à nouveau. Au même moment où tu es de nouveau présente dans la chapelle, tu entends l’archevêque s'exclamer :
-Si quelqu’un veut s’opposer à cette union, qu’il parle maintenant ou se taise à jamais.
Après la phrase de l’archevêque, un silence prend place pendant une seconde et tu as peur qu’on puisse entendre les battements rapides de ton cœur. Tu ne serais pas surprise de le retrouver hors de ta poitrine.
Aucune protestation ne venant, l’archevêque ouvre la bouche pour reprendre la cérémonie quand ton prénom retentit dans la chapelle. Tous les regards perdus, le tien inclus, se posent au même endroit, sur Benedict, debout avec un regard brisé, mais déterminé.
-Y/N, je sais que je t’ai dit que je te laisserais tranquille, mais je ne peux pas, commence Benedict avec des mains tremblantes. Tu dois m’écouter, ne l’épouse pas ! Tu ne devrais pas te sentir obligée de te marier avec un homme que tu n’aimes pas… Je t’aime trop pour te laisser faire cette erreur, ajoute-t-il et à ces mots, Anthony tente de le faire rasseoir, en vain. Si tu deviens sa femme, tu ne seras pas heureuse, tu seras misérable. Nous le savons tous les deux. Tu ne devrais pas épouser le mauvais homme. Tu m’as toujours dit que tu voulais marier un homme que tu aimes sincèrement et qui te soutient dans tout ce que souhaite entreprendre. Et cet homme n’est pas le Duc, poursuit Benedict et tu sens tes joues chauffer. Je ne dis pas que tu devrais m’épouser, si ce n’est pas ce que tu souhaites, même si je serais honorée d’être ton mari. S’il te plaît, ne deviens pas sa femme.
Suite à sa tirade, Benedict prend une profonde inspiration. Tout le monde le regarde horrifié, surtout son frère Anthony et tes parents, sans réagir, personne ne s’attendant à cette interruption. Benedict ne prête pas attention aux yeux posés sur lui, son regard est seulement fixé sur toi comme si vous étiez seuls dans la chapelle. Tu peux voir toute la tendresse et l’amour qu’il a pour toi.
De ton côté, tu le regardes choquée. L’intervention de Benedict a coupé court à ton anxiété grandissante et tu restes droite, sans bouger ne serait-ce qu'un cil. Tu n’oses pas dire un mot, ignorant ce qu’il pourrait se passer. Le moment reste suspendu pendant une minute avant qu’Anthony se lève et sorte son frère de la chapelle. Tes yeux suivent les deux frères Bridgerton jusqu’à ce qu’ils soient hors de ta vue.
Quand le calme est revenu, le Duc te prend la main pour ramener ton attention sur lui. Il te demande s’ils peuvent reprendre et pour simple réponse, tu laisses tomber ton bouquet de fleurs à tes pieds. Tu murmures une excuse rapide et remontes l’allée alors que ton père t’ordonne de revenir.
Une fois dehors, tu retrouves Anthony réprimandant Benedict. Sans t’en préoccuper, tu sautes dans les bras de l’homme que tu aimes. Surpris du geste, Anthony recule d’un pas. En comprenant la situation, l’aîné Bridgerton sait qu’il doit gérer une affaire délicate alors il retourne dans la chapelle. Tu continues à serrer Benedict dans tes bras pendant quelques secondes avant de poser tes mains sur ses joues et de l’embrasser avec passion. Benedict fait un pas en arrière, ne s’attendant pas à ton action, avant d’approfondir le baiser. Vous vous embrassez jusqu’à manquer d’air. Quand vous vous séparez, tu gardes tes mains de part et d’autre de son visage, des larmes de joie aux yeux.
-Tu as raison. Je ne peux pas l'épouser. Je sais que ce que je viens de faire aura des répercursions, mais peu m’importe. Je veux être avec toi. Je veux pouvoir choisir et je te choisis, toi. C’est toi que je veux à mes côtés. Je t’aime, Benedict, confesses-tu avec un sourire sincère pour la première fois depuis deux mois.
-Je t’aime tellement, répond-il en embrassant chastement tes lèvres.
-Je suis si contente que tu aies été là quand ils ont dit de parler maintenant. Je n’aurais pas eu la force de partir si tu n’étais pas intervenu.
-Je te l’avais dit que je serais là pour toi, rappelle Benedict en caressant ta joue. On devrait partir pendant qu’ils sont encore sous le choc.
Tu acquieces et Benedict te prend la main. Vous vous regardez avec amour et sans attendre plus longtemps, vous courrez hors des lieux alors que tu défais ton voile, le laissant tomber au sol. Vous savez que vous êtes dans une situation compliquée, mais vous vous en fichez. Vous vous aimez et vous allez vous marier et ce même si vous allez devoir le faire en allant dans une autre ville et subir les foudres de tes parents à votre retour. Vous vous êtes choisi, c’est tout ce qui compte.
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{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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Que vous rêviez d'une robe Regencycore ou que vous préfériez quelque
Aussi excitante que cette esthétique puisse être à explorer pour les mariées, elles promettent également parmi les mariés. En règle générale robes cocktail lyon, les mariés ont des options limitées disponibles pour exprimer leur personnalité et leur sens du style. Regencycore jette la prudence au vent, encourageant les hommes à adopter des conceptions complexes qui rivalisent avec des robes de mariée en termes de créativité. Pour un look audacieux robe de soirée noire, essayez une chemise à volants. Des conceptions subtiles sont disponibles, mais n'ayez pas peur de tout faire pour correspondre au niveau d'embellissement de la mariée. Les accessoires peuvent également faire une différence, même si vous vous en tenez à un smoking ou à un costume plus conventionnel. Les bottes, par exemple, font fureur de la mode inspirée de Bridgerton. Idées de décoration de mariage Regencycore Que vous rêviez d'une robe Regencycore ou que vous préfériez quelque chose d'un peu plus contemporain, vous pouvez facilement intégrer des éléments de cette tendance dans votre décoration de mariage. Ce style est plus polyvalent que vous ne le supposiez, en particulier pour les lieux d'intérieur qui ne se prêtent pas bien aux idéaux de CottageCore.
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Ses propres parents sont morts. Bien que Kate soit la fille de son père issue de son premier mariage, Lady Mary, sa deuxième épouse, a traité Kate comme si elle était la sienne. Elle avait vécu toute sa vie en Inde avant de venir en Angleterre pour marier sa sœur. Kate et Lady Mary ont élevé Edwina ensemble pour devenir une femme exquise. Quand ils ont commencé à manquer de fonds, ils ont utilisé le reste de leur argent lors de leur voyage en Angleterre. En Angleterre, Lady Danbury les a parrainés afin qu'Edwina puisse trouver un mari convenable. Kate est allée à cheval dans les bois, croisant un gentleman et échangeant des plaisanteries pleines d'esprit avec lui jusqu'à ce qu'elle parte et retourne chez Lady Danbury. Lady Danbury a posé des questions sur les perspectives de Kate, mais Kate lui a dit qu'elle n'avait pas l'intention de se marier et qu'elle se concentrait sur le mariage d'Edwina. Elle a ensuite aidé Edwina à rassembler la confiance pour le bal ce soir-là, malgré la controverse sur le mariage de ses parents, et lui a rappelé ses objectifs et ce qu'elle voulait chez un mari. Lady Danbury et les Sharmas sont arrivés au bal, où ils ont rencontré la reine, qui a froidement fait remarquer à Lady Mary qu'elle s'était enfuie des années auparavant. Kate a reconnu le monsieur qu'elle a rencontré à cheval et Lady Danbury a révélé qui était Anthony Bridgerton. Kate sortit et entendit Anthony parler avec d'autres fils nobles, et l'entendit dire qu'il prévoyait d'épouser une dame de souche noble et de beauté par commodité, pas par amour. Elle a essayé de s'enfuir, mais a été rattrapée par Anthony, qu'elle a réprimandé pour avoir cherché une femme uniquement pour son élevage et son apparence. Elle lui a dit que son caractère lui manquait et lui a souhaité bonne nuit. Dans les jours suivants, Kate a chaperonné Edwina alors qu'elle recevait des appelants, qui la voyaient comme un obstacle. Voulant éloigner Edwina d'Anthony, Kate a compilé une liste de candidats potentiels au mariage d'Edwina. Elle a partagé la liste avec Edwina, Mary et Lady Danbury. Mary et Lady Danbury ont remis en question la liste, mais Edwina a dit qu'elle y croyait si Kate le faisait. Lady Danbury a remarqué qu'Anthony n'était pas sur la liste et Kate a dit que c'était parce qu'il voulait se marier uniquement pour remplir son devoir. Nouvellement arrivée à Londres, Kate est une jeune femme intelligente et entêtée qui ne souffre pas d'imbéciles - Anthony Bridgerton y compris. Kate est à la fois entêtée et intelligente. Son esprit vif et sa nature indépendante font d'elle une force singulière sur le marché du mariage de 1814, où elle espère obtenir un match d'amour pour sa sœur cadette, Edwina. Elle est mise au défi non seulement par sa nouvelle vie à Londres, mais aussi par les parties égales exaspérantes et séduisantes d'Anthony Bridgerton, qui a les yeux rivés sur sa sœur.
Joue avec : Anthony Bridgerton
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La Reine Charlotte, Une lueur d'espoir, Silo, Liaison fatale : on regarde quoi comme séries en mai ?
See on Scoop.it - JamesO
Loisirs : sélection de séries à découvrir sur les plateformes de streaming au mois de mai. Au programme, le très attendu La Reine Charlotte dès le jeudi 04/05/23 sur Netflix, pour les fans de la famille Bridgerton, mais aussi Une lueur d'espoir, dès le mardi 02/05/23, une mini-série signée Disney+ sur l'histoire vraie de Miep Gies, qui a caché Anne Franck et sa famille pendant la Seconde Guerre mondiale. Enfin Silo, qui raconte la vie des derniers habitants sur terre, arrive sur Apple TV+ dès le vendredi 05/05/23.
Mais aussi Funny Woman, saison 1, plongée dans les Swinging Sixties, disponible sur OCS. High Desert, Patricia Arquette mène l'enquête dès le mercredi 17/05/23 sur Apple TV+. Américain de Chine, Michelle Yeoh et Ke Huy Quan sont de nouveau réunis dès le mercredi 24/05/23 sur Disney+. Platonic, Seth Rogers et Rose Byrne, amis pour la vie dès le mercredi 24/05/23 sur Apple TV+. Et Fubar, la première série d'Arnold Schwarzenegger dès le jeudi 25/05/23 sur Netflix.
Ce n’est pas suffisant ? Liaison fatale dès le lundi 01/05/23 sur Paramount+, Terrain sensible, dès le mardi 09/05/23 sur Arte TV, Black Knight, dès le vendredi 12/05/23 sur Netflix, City on Fire, dès le vendredi 12/05/23 sur Apple TV+, Yellow Jacket, saison 2, dès le jeudi 25/05/23 sur Canal+ et The Gryphon, dès le vendredi 26/05/23 sur Prime Vidéo.
Bonnes séries et bon mois de mai.
JamesO's insight:
Via l’agence JamesO Média❗️N.D.L.R. : article de presse (avec vidéo) publié par Franceinfo (France Télévisions) le vendredi 28/04/23.
😃 Avec des si on mettrait 😄
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😁 Annecy en bouteille 😆
#culture #séries
#streaming #SVOD
#plateformes #télévisions
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La culture, le divertissement et les loisirs.
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A l'assaut du froid norvégien
Chers lecteurs, (j'ai l'impression d'être Lady Bridgerton quand je commence mes articles comme ça...) aujourd'hui, comme souvent, je suis partie à l'aventure.
Entendons par là que d'une situation plutôt catastrophique peut se présenter une opportunité de sortir de sa zone de confort.
Ici une erreur d'aéroport qui m'a fait rater mon vol de retour en France depuis Oslo.
Tous les autres vols étant complets, une petite voix intérieure s'est mise à susurrer à mon oreille: "c'est l'occasion d'être un peu dingue et de partir faire un truc de fou".
Moi: "Ok la voix, mais quoi?"
La Voix: "Y'avait pas un truc que tu voulais faire, pour lequel il fallait passer par Oslo et dont tout le Monde parle...?"
Moi: "Bon sang mais oui! Tu crois qu'on peut? C'est pas super raisonnable..."
La Voix: "On peut tout ce qu'on veut, et entre nous je crois que tu l'as bien mérité. Tu voulais redevenir toi-même à travers ce voyage non? C'est le moment de le prouver. Vis"
Moi: "Tu sais clairement me parler... En même-temps tu es moi, ou la version de moi "en Fuego" H24 qui se mettrait à danser du Shakira au milieu de l'aéroport et qui n'hésite pas à dire ce qu'elle pense, je ne sais pas pourquoi j'avais cessé de t'écouter ces derniers mois, j'avais peur je crois"
La Voix: "Peur de quoi darling?"
Moi: "D'être trop je pense, d'être trop pour lui, de le consummer, de l'écraser sous le poids de sa jalousie, de le noyer avec sa soif de contrôle, de le brûler avec mon feu sacré"
La Voix: "Bref, tu avais peur de lui faire mal avec ses propres insécurités et tu t'es perdue en chemin"
Moi: "Je suppose"
La Voix: "Tu supposes? Pour quelles autres raisons aurais-tu cesser de te manifester?"
Moi: "La croyance qu'un cadre sociétal bien défini pouvait me convenir. Que si je me forçais assez fort, je pourrais accepter un job qui me rend dingue et un mec qui ne croit ni en lui ni en moi"
La Voix: "Je vois... Et qu'est-ce que tu crois à présent?"
Moi: "Je crois que la vie ce n'est pas ça. Qu'on est tous différents, mais qu'on veut tous aimer et être aimés à sa juste valeur et pour qui nous sommes entièrement, sans compromis."
La Voix: "Et qui es-tu?"
Moi: "Grande question... Quelqu'un de bienveillant, d'authentique, de sincère (je me répète non?), d'impulsif aussi (c'est ta partie ça), de vivant, de passionné, d'emphatique. J'aimerais savoir que je fais une différence à mon échelle, pour mes amis, mais pour tous ceux qui auront besoin d'un coup de pouce pour se sentir bien dans leurs baskets. Parce que je sais ce que ça fait d'être le vilain petit canard, des brutes du lycée qui te martyrisent parce que t'es l'intello de la classe aux parents qui t'ont confondu avec un punching-ball émotionnel. Je sais ce que ça fait de ne pas se sentir vu/e, respecté/e, traité/e avec décence et humanité. De se réfugier dans les livres et des univers où tout paraît toujours plus simple. De ne pas avoir confiance en soi, en son capital, en son potentiel."
La Voix: " Et tu lui dirais quoi aujourd'hui au toi qui a vécu tout ça? A tous ces gens qui pleurent en silence, qui se réfugient chacun à leur manière, ou qui ont peur d'être jugés tout simplement."
Moi: "Je leur dirais à tous, moi incluse, que la roue tourne. Saisissez votre chance, apprenez à vous connaître, à vous aimer, peu importe ce que pensent les gens. Ils ne se réveillent pas avec vous le matin, ils ne se couchent pas avec vous le soir. Vous oui. Et si vous ne vous aimez pas tel que vous êtes, comment pourriez-vous être sincère avec les autres? Peu importe l'état dans lequel vous êtes aujourd'hui, posez-vous la question, qui vous voulez être demain? Fermez les yeux, visualisez cette personne, tendez-lui la main. Ca peut être vous demain, et vous êtes votre seul obstacle."
La Voix: "Wow. Merci pour ça"
Moi: "Merci à toi, de ne pas m'avoir abandonné quand je détournais le regard sur ce que tu essayais de me faire comprendre en t'enfermant dans un puit sans bruits. A présent je sais, tu es sortie, et je suis prête à marcher avec toi en égaux."
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jeDans la première scène du thriller percutant de Sundance Fair Play, un couple new-yorkais, Luke (Alden Ehrenreich) et Emily (l'évasion de Bridgerton Phoebe Dynevor), sont couverts de sang. Ils sont au mariage de son frère et sont si désespérément en chaleur l'un pour l'autre qu'ils se retrouvent bientôt dans la salle de bain, lui faisant une fellation avant que les photos de groupe ne soient prises. Mais Emily a ses règles et entre se nettoyer et rire du moment malheureux, une bague tombe de la poche de Luke et tout à coup ils sont fiancés. Un mariage forgé dans le sang.Parfois, je pense à la critique de mourir – Daisy Ridley sauve presque un drame frustrantLire la suiteCe n'est pas vraiment un spoiler de dire que c'est un mauvais présage de ce qui va arriver, le premier long métrage impitoyable et impitoyablement divertissant de la scénariste-réalisatrice Chloe Domont prenant un jeune couple heureux et le jetant dans le chaos. Il y a quelque chose de sombrement gratifiant dans cette formule, une que nous n'avons pas vue autant récemment mais qui a dominé les années 80 et 90. Bien qu'il y ait une certaine ambiance de retour au fair-play, Domont n'est pas intéressé à simplement répéter ce qui a précédé.Luke et Emily ne se contentent pas de vivre ensemble - ils travaillent également ensemble en tant qu'analystes dans le monde de la finance aux enjeux et à la pression élevés, contraints de respecter la politique de l'entreprise et de garder leur relation secrète. Lorsqu'un emploi s'ouvre au-dessus d'eux, Emily est ravie d'entendre des murmures selon lesquels il pourrait aller à Luke. Mais quand cela finit par être le sien, le couple est contraint à une situation difficile. Avec les tables tournées, Luke a plus de mal à soutenir son succès et la paire commence à se désagréger.Avec une délicatesse que davantage de films de genre visant à aborder des sujets plus importants pourraient se permettre d'imiter, Domont construit froidement une histoire contemporaine sur la façon dont une disparité entre les sexes dans les finances et le pouvoir peut détruire une relation apparemment réussie. La nouvelle position d'Emily est une menace pour Luke, pour son estime de soi et pour sa masculinité, et cela les déchire tous les deux, les suivant du bureau à la chambre. En 1994, le thriller d'entreprise Disclosure postulait que la seule chose plus effrayante qu'une femme méprisée était une femme méprisée qui était aussi votre patron, peignant un portrait ridiculement daté des maux d'avoir des femmes à gravir les échelons de l'entreprise. Fair Play, tout en rappelant de nombreux thrillers de Michael Douglas, de Fatal Attraction à A Perfect Murder, est une réprimande intelligente à une telle misogynie. La plus grande menace ici finit par être l'ego d'un homme.Mais Domont évite également d'émousser ou de surempiler son histoire, permettant aux deux personnages de faire de faux pas en cours de route, certaines des décisions d'Emily étant loin d'être irréprochables. La tension hérissée provient des petites choses qui commencent à devenir inévitablement grandes, plutôt que d'une dépendance excessive à l'égard de développements d'intrigue farfelus, un équilibre élégamment modulé de sensations fortes domestiques et d'entreprise qui se sentent pour la plupart crédibles. C'est un film avec beaucoup, beaucoup d'arguments à haut volume, mais Dynevor et Ehrenreich évitent remarquablement le moindre signe d'excès histrionique, reportant habilement leur chimie sexuelle aux moments les plus horribles du couple – une paire que vous achetez dans des moments d'amour autant que vous faire dans les moments de haine. Les deux performances sont exceptionnellement efficaces, avec Ehrenreich revenant de sa crise post-Solo pour nous rappeler pourquoi il était considéré comme la prochaine meilleure chose à l'époque et Dynevor, un nouveau venu relatif au cinéma, au moins, possédant le genre de commande confiante qui devrait l'élever à la liste A en un rien de temps.
Les récits sur le lieu de travail adjacents à celui-ci ont été relégués à la télévision (il existe des comparaisons évidentes avec la tension travail-vie dans le monde tout aussi excitant et perfide de l'industrie), mais il est rafraîchissant de voir une histoire comme celle-ci autonome en deux heures. Il y a des poids morts étranges (l'obsession de Luke pour un gourou des affaires d'entraide s'avère un peu maladroite) et il y aura probablement une discussion passionnée sur une scène particulièrement troublante du dernier acte, mais Domont se termine par un fantastique drop-the -moment mic qui a fait applaudir le public ici à Sundance avec enthousiasme.Sundance est un festival de marché compétitif et avec le film toujours à la recherche d'un acheteur, on peut s'attendre à une guerre d'enchères féroce. Celui-ci est gagnant. Fair Play a été présenté en première au festival du film de Sundance et cherche à être distribué
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✨✨✨ Bonjour amis lecteurs, Ce n’est pas très original, mais Saint-Sylvestre oblige, l’heure est au bilan ! - En 2022, j’ai lu 20 livres. C’est peu, mais je me console en me disant que c’était l’année de la rédaction de ma thèse, et que c’est déjà pas mal d’avoir trouvé le temps de lire un peu au milieu de ce rythme effréné. De +, ce total ne compte pas les ouvrages lus pour ma thèse, et la plupart de ces 20 romans étaient de gros pavés. - En 2022, j’ai vu 66 films (sans compter les revisionnages). Je dois dire que ça a été une année assez pauvre pour moi en termes de qualité, j’ai regardé beaucoup de films très oubliables. Au moins, ça n’a pas été très dur de choisir le Top 3 😅 - En 2022, j’ai regardé 18 séries, dont 12 découvertes cette année (les 6 autres étaient des poursuites de séries déjà entamées : j’ai par ex beaucoup aimé la S2 de Barbares, la S5 de The Crown, ou encore la S2 des Bridgerton !). Globalement, mon bilan série est bien meilleur que mon bilan filmique, avec de très belles découvertes. - En 2022, j’ai écouté pas mal de musique « rétro », d’où la quasi absence du XXIe siècle dans mon top 😅 - Enfin, 2022 a été pour moi une très grosse année en termes d’accomplissement personnel. 2 de mes rêves se sont réalisés cette année : devenir docteur en égyptologie et voir l’un de mes romans publiés parmi les rayons de la FNAC. Je savais au début de l’année que 2022 serait le temps de tous les défis, mais j’ignorais encore à l’époque si je parviendrais à les mener à bien. Cette année aura donc été un vrai ascenseur émotionnel pour moi. J’y ai vécu des moments de grande joie et d’intense fierté, mais aussi de longues périodes de travail acharné et de stress (je n’ai d’ailleurs pas vu les 3/4 de l’année passer…). - Pour 2023, j’espère reprendre l’écriture à un rythme + soutenu, publier de futurs romans, obtenir le poste que je souhaite, et globalement, avoir + de temps pour moi ! Et vous, quel est votre bilan 2022, et quels espoirs placez-vous en 2023 ? Faites-moi partager tout cela 😊 ✨✨✨ #newyear #newyearseve #happynewyear #2022 #2023 #bilan #bonneannée #nouvelleannée #bookstagramfrance #bookstagram #livrestagram #intothedeep https://www.instagram.com/p/Cm1pq6wqZ4I/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Okay I was split on soft or sexy but then I realised we are all hoes here lets just go straight to the sexy (if that's okay, you can still do the first meet or soft courting if you want first).
Carriage rides through the country are long and dull, but thankfully you have two perfect husbands more than willing to fend off the boredom. Michael pulls you into his lap and lets Daniel distract you with kisses while he loosens his trousers and moves your skirts out of the way. What follows is halfway between cockwarming and riding as the natural bumps in the road do all the work for you. If you have to be carried when you arrive at your destination well that's no one's business but your own.
~Bridgerton Anon (btw W I love you thank you so much)
longgggg overdue, but it’s here!! thank you so much for your patience and for this wonderful idea!
Bridgerton Aussies!AU (Carriage) Riding
The soft light from the lantern hanging off the door of the carriage illuminates your face until your skin glows, the shadows around your collarbones enticing your men. All the while you stayed oblivious, gazing out in the dusk darkened forest around you, lost in your own little pretty head. You had been in the carriage for at least an hour now, returning from a dinner party. You were restless, tired, in desperate need of a bath to relax yourself and a nap.
You squirmed in your seat and Daniel could barely stand it, his fingertips twitched where they were laid over his knees. His vest felt too tight, the regal thickness of the deep purpled hued grey feeling heavier and heavier as his thoughts got louder and louder.
With the length that ached and grew between his legs.
When he looked beside himself to your shared husband, his mind was momentarily brought back to the present and he had to stop himself from laughing.
Michael was as bewitched as he was. His face was blank, his eyes so clearly locked on the expanse of your chest that was exposed. The chest that he had been licking Daniel’s sweetness off of at the start of the day that was quickly leaving them.
Daniel looked back at you, at the complete fantasy you were. Your long dress was a soft lavender, almost white looking if not for the shadows that accenuated the darker tones in it. It scooped down over the tops of your breasts, making you look full and delectable. The sweet chain that hung around your neck was dainty, thin, with a small pearl in the center of it. It glittered on your chest with every bump in the road.
His hungry gaze followed the skin of your chest to your shoulders, where he felt himself frown. Daniel would be lying if he said he didn’t prefer you in something that draped off your shoulders, something with a corset, something that showed off everything he loved to kiss, lick and bite. But he hadn’t been home when you dressed for the day, Michael had been.
So you had settled on something sweet, light, and flirty. Something that Michael either gifted you himself, or picked out that very morning, perhaps even helped dress you in. A shapeless dress that pooled out around you from the neckline. It made you a shapeless mirage, a mirage that he wanted to get lost in. After all, he knew all that was promised underneath all that fabric.
“Darling,” Michael’s voice has Daniel’s gaze snapping up to your face, “come.”
Daniel shivered at the simple tone in the low husk his husband spoke in. One of his warm, large hands held out to you. He watched your gaze, looking at Michael and him back and forth before putting your hand onto Michael’s. A soft gasp left your lips when you were hauled into his lap.
Daniel felt his chest rumble with the growl he let out at the sight of your lips parting. His hand rested heavy on your leg through the material of your dress as he waited to follow Michael’s lead.
“Are you tired, our love?” He asked gently, one arm wrapped around your waist while the other hand lifted to gently stroke your cheek.
You nodded meekly, placing one hand over Daniel’s as the other fisted into your silky dress.
“Then we’ll not let you do any work, will we?” Michael turned toward Daniel, giving him a wink.
Daniel had seen such a cue before.
You giggled as Daniel leaned toward you, his hand reaching behind your head to bring your lips to his. Your mouths met passionately as he brought you closer, sliding you on to one of Michael’s legs instead of his whole lap. You whimpered against Daniel’s lips as his fingers wove themselves through the base of your pony tail, tugging before nipping at your lip.
The sound of a button snapping caught everyone’s attention, and Daniel drew back, looking at you with a sly smirk as he knew exactly what was to happen. Your eyes widened so sweetly, so innocently as the look of realization settled in.
Michael grabbed her forearms, drawing her back while Daniel shoved up her skirts. For what looked like a lot of material, it was rather easy to pool over her and Michael’s knees. Daniel wished he could always hear a gasp such as the one you let out when your bare hip touched his bare pelvis. The thick hardness that pressed into the underside of your thigh with promise made you shiver. Your hip pressed into Michael’s stomach, your body sideways to face Daniel as you sat fully in Michael’s lap.
“Help me, won’t you?” Michael rasped in Daniel’s direction.
At a simple nod, both men lifted your lower half, and your eyes slipped shut in anticipation. Anticipation that soon left you as Michael filled you. So full you felt, stretched so tightly by his length. He burrowed deep into your core, sitting you fully on himself before wrapping his arms around your waist, humming as he gently kissed your shoulder. You opened your eyes to the sight of Daniel holding your hands, kissing across each and every knuckle as he stared deeply into your eyes.
You squeezed Daniel’s hands, and squeezed Michael inside you. You bit your lip and looked back and forth between the two men who seemed content as ever. The storm brewing inside of you raged on, and you waited for your men to drown in it, but they made no move towards you. When the carriage went over a bump, you were jostled in your lover’s lap and whimpered at the way you clenched around the thickness that was squeezed into you.
“Shhhh...” Daniel held his finger up to his full lips, distracting your emptying mind as your gaze traced the swollen curves of his Cupid’s Bow. “Enjoy the ride, dearest.”
You whimpered and jerked your hips, ready to throw a fit at which ever game the boys thought they could play. You were tired, restless, bored and trapped in a wooden box for the foreseeable time, and they chose to add to such torture. Your pout became heavier as Daniel swatted the tops of your hands.
“None of that, now.”
You whimpered, your lower lip jutting out past your top lip. You turned your head to look at Michael, but his cheek was rested to your shoulder, and from what you could see, his eyelashes weren’t fluttering. He had his eyes closed. You pushed yourself with your might, your pelvis baring down on his where you sat in his lap. You felt your quivering cunt swallow up his cock deeper as your juices seeped from you, wet and hot as you took him.
Michael hummed, “Our pretty little wife said she was tired, didn’t she?”
His head lifted, but he did not spare you a glance before his eyes were locked with Daniel’s. Daniel nodded in agreement at his question, confirming what would most likely be nothing short of a drawn out tease. You could only hope that the reward at the end would be as equally excruciating in the best of ways.
“So, it stands to reason that we should allow her to rest?” Daniel nodded at Michael, “and not ravish her within the confines of this carriage for the rest of our shared time here, yes?”
You looked at Daniel, watched his thick throat swallow as he nodded slowly. The sweet honey brown of his eyes, sweet as him, were barely visible, the insatiable animal that ravaged you nightly was coming to the surface as the blacks of his eye expanded to the outer rims of the warm brown.
“So,” Michael’s breath hit your shoulder, making you turn towards him and catch his intense gaze, “she will sit snug and warm on my cock. For the rest of the ride.”
Your breath left you stunned. “The rest of this ride?” You mumbled out.
“Yes, darling, the rest of the ride. Just as you are.”
You whimpered, your bottom lip shaking as you looked at Daniel for solace. Surely, your impulsive and ravishing lover would not allow your pleasure to be drawn out to the thinnest of sensations in such a way. He would not allow you to be reduced to a cockwarmer when you could be so much more. When they’d used you for so much more.
“I believe there’s a happy medium in such an instance.” Daniel spoke thickly, licking his lips as he caught the gloss sheen in your eyes.
“You reckon?” Michael’s amusement draped his words.
The carriage shook as Daniel shifted to take up the padded bench you had been on across from your husbands.
“Yes, a very happy medium.”
You turned your head, wrapping your arms around Michael’s shoulders as his stretched around your waist. You looked inquisitively at him, wincing as another bump pressed Michael that much deeper into your depths.
“Let go of him, love.” Daniel spoke softly, his hands reaching for your dress.
Daniel watched as your eyes widened, watching his hands drag your skirts up until your union with Michael was on display. Daniel looked longingly at how tightly wrapped the rim of your pussy stretched around the girth of Michael, his balls drawn up, giving away how excited and devoted Michael was to the slow torture for you both.
“The windows-”
“Leave them.” Michael and Daniel spoke simultaneously, their hands waving yours away from where you tried to cover your indecent state.
You looked out into the woods as you passed trees, the darkness in the woods making it impossible to see what was beyond the first few feet outside the carriage. The thought of anyone being behind a stump and having the clearest of views of your husband having you as only the both of them could made a thrill rush down your spine. You knew Michael could feel how you gushed around him.
“Turn her, sweetness. Let you both get what you need.” Daniel’s voice was low as a whisper as he spoke to Michael.
You looked at the look your husbands exchanged before you were knocked breathless by the sudden manhandling you were contorted by. Michael’s grip ruthlessly turned you on his cock, so your back was pressed to his large chest. Your back arched as you whimpered, your thighs squeezing shut as your cunt held him in its grip. It was so snug, you were sure he could feel the steady heartbeat in the walls that held him.
You let out a screech as Daniels hands grabbed your knees, pushing them apart before Michael lifted his legs, trapping your knees on the outside of his as he ruthless spread them. You trembled in his lap as your cunt ached and the little pearl the men liked to suck on between your lips swelled. Daniel hummed as his hands dragged across the softness of your inner thighs, his eyes trained on the joining of his spouses.
The sound of the coachman announcing a rougher patch ahead had your husbands excited. Daniel grinned from ear to ear, Michael was chuckling against your shoulder, all the while you whimpered as you tried to settle and relax your body over his.
“Good timing.” Michael teased into your ear, taking the lobe into his mouth for a soft suckling.
You whimpered as the first few bumps came, the length inside you remaining hard as it moved inside you from the carriage moving. The thought that the road, the carriage, the fucking dirt, was fucking your husband’s cock into you made you all the more turned on.
And while you should have been mortified that you were spread and on display with the windows of the carriage wide open, you found yourself desperately looking into the darkness beyond the road. You hoped there was someone to watch how your lovers took you. The thought made your nipples tighten in your dress, heat upon your face, and you resisted the itching in your hands to pull your expensive silk dress over your head. You longed to be bared for and used by your husbands and your shared discretion.
“Please.” you moaned.
“So pretty, with such good manners.” Daniel praised you.
“Here, love, have it all.”
Michael leaned back, drawing you back with him as he slunk down in the seat, his hips lifted as whimpered and cried into the air above you. Your eyes rolled into the back of your head as the heavy skin beneath his cock pressed to the swollen nub that shined with your juices between your spread lips.
You both called out as a harsh bump had his hips bump into your behind, the blunt head that you loved to lick at stabbed at the deepest parts of you. The abrupt cushion at the end of your cunt’s tunnel singing in pleasure and pain as the head rubbed into it.
The bumps kept coming after that initial one, and you found Daniel biting on his fist as you whimpered in Michael’s lap. His length still plugged you and still knocked at your womb.
“This is where I’ll stay when you let us try for baby.” He mumbled into your ear, your orgasm washing over you like a heavy tide on shore.
As your wits came back around you, you wondered how many more you would have before you’d reach home.
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Hi molly! Do you have an AU where the bridgertons are Aussies? Would love to see Anthony sporting singlet, shorts, thongs and a snapback 😃👌🏼
I don’t but imagine Anthony and Kate meeting at a Hottest 100 BBQ and they argue the entire time they’re walking to the servo to get more ice 😂😂😂
Anthony’s fucking furious when he sees her votes
All Class
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Forum historique & racisme
Petit coup de gueule du soir.
Je trouve un forum assez sympathique. C'est un forum historique, 1815. Cool, j'adore les forums régence. Alors je me dis, pourquoi pas ? Pourquoi pas tenter ? Mais voilà, j'ai très envie de jouer Rege-Jean Page. Déjà je sens la couille arriver dans le potage parce que j'ai envie d'en faire un personnage noble. Et vous aussi vous sentez la couille arriver non ?
Je sais que historiquement parlant, ce ne serait pas EXACT, de faire un personnage noble noir, mais en vrai, pourquoi pas ? Il y a bien eu des enfants métisses dans la société anglaise, certes des bâtards (ou alors effectivement pas des nobles).
Je m'inscris donc, et commence à construire mon personnage en respectant au maximum à la fois le contexte logique de l’époque et les origines de l’acteur. Sa mère est une esclave américaine (je voulais la faire zimbabwéenne, mais à l’époque le Zimbabwe a viré les Portugais à coup d’arme de son territoire qu’ils occupaient depuis 100 ans, et les britanniques n’arriveront qu’en 1850 par là). Son père, un capitaine de navire blanc. Ce dernier vient d'une famille noble, mais il n'est que le second fils, raison pour laquelle il a rejoint l'armée (souvent les fils aînés étaient les héritiers donc ils apprenaient leur futur rôle, les seconds étaient souvent envoyés à l'armée pour se faire une situation, et les derniers se destinaient plus à l'église). J'ai hésité à faire du père de mon personnage un pasteur pour expliquer pourquoi il aurait pu potentiellement épouser une ancienne esclave de l'époque, mais non, capitaine de navire ça me semblait bien. Et puis les sentiments ça s'explique pas, il aurait épousé la femme qu'il aime, peu importe sa couleur, et ce en sachant très bien ce qui l'entendait en rentrant chez lui.
A cause du destin, mon personnage finit par hériter d'un titre de noblesse (parce que son oncle et ses cousins meurent, guerre napoléonienne tout ça). Et ça ne lui plaît pas. Ça ne lui plaît pas parce qu'il s'en prends déjà plein la tronche depuis son enfance. Mais j'étais prête à jouer tout ça, parce qu'après tout, c'est la réalité.
Certes ce n'est pas historique à 100%. Mais sur le forum (dans l'entête il y a marqué « Nous ne sommes en rien historiens et ne vous imposons, que ce qui touche en grande majorité à cette époque. »). Donc mon personnage tombe dans le on vous impose rien à part quelques trucs quand même. Et on me dit texto que bah non désolée, mon personne ne peut pas être noble parce qu'il est noir (il peut être que roturier, ou pourquoi pas esclave hein puisqu'il est noir -non ça c'est moi qui dit ça parce que je suis amère. Et puis en vrai non, tout esclave qui pose les pieds en Grande Bretagne est automatiquement libéré depuis 1772 mais dans les colonies l’esclavage ça gêne pas les anglais).
Alors sachez que ouais, à la vraie époque, ça aurait été chaud, il se serait fait bully comme tant d'autres mais, dans les lois anglaises, c'est pas la couleur de peau qui prime, c'est la naissance. Et si mon perso est légitime, bah il est légitime.
Bref, tout ça pour dire « ton perso peut pas être noble parce qu'il est noir sauf si tu es prêt à x x x » bah alors, oui je savais dans quoi je m'embarquais en créant ce perso (j’ai fait des études d’histoire, j’ai étudié la question du commerce triangulaire, de l’esclavage I KNOW) . Donc au final on me dit que je peux pas jouer un noir noble, ou alors que je peux mais que faut que je sache que mon personnage va se faire enfumer par tous les autres parce que la société de l'époque était pas assez ouverte et qu'il pourra jamais avoir de descendants ? J’étais prête à le jouer comme je l’avais dit (en espérant quand même au fond de moi que ça ne gêne pas grand monde que mon personnage soit métisse) mais bon s’entendre dire par le staff que oui je peux finalement le jouer mais qu’il va subir racisme, ignorance etc etc... CERISE SUR LE GÂTEAU.
Putain mais, où est la diversité ? Est-ce que c'est trop osé de rêver un petit peu ? (oui.)
Enfin bref, tout ça pour dire que je n'aime absolument pas ce genre de forum qui sous couvert d'être historique (je remet le « Nous ne sommes en rien historiens et ne vous imposons, que ce qui touche en grande majorité à cette époque. »), bah en fait c'est raciste. C'est raciste comme notre passé. Donc rien d'étonnant d'un côté étant donné que l’histoire est un dégueuli monstre d’horreur en tout genre envers les minorités mais je suis très très déçue qu'on me ressorte un commentaire de ce genre étant donné ce qui s'est passé sur les forums ces derniers temps. Prenez exemple sur Bridgerton, ok la série est pas bonne, mais au moins tout le monde dedans se fou de la couleur de peau des gens ET C’EST CA QU’ON VEUT SUR LES FORUMS MEME HISTORIQUE BORDEL. Ou alors la série Hollywood, oui les personnages racisés en chient plus que les autres (et ça c’est historique), et ce qui fait que la série est cool, c’est qu’ils réalisent quand même leurs rêves à la fin. C’est une révision de l’histoire, mais c’est ça la beauté de la chose. Parce que dans un monde idéal, la couleur de la peau ou la religion ne devrait avoir aucune importance. Mais dans le monde dans lequel on vit, dominé par les blancs (ou anciennement géographiquement -colonisation...-), et par le christianisme (merveilleuse religion -c’est ironique-) tout ce qu’on a su faire c’est réduire en esclavage et massacrer les “minorités” qui sont juste des peuples à la culture différente, à la langue différente, aux pratiques, aux mœurs différent. Des peuples considérés comme des sauvages parce qu’ils n’étaient pas “éduqués” mais c’est quoi l’éducation? Juste des idées qui diffèrent selon les pays, les peuples justement. Et ça ne justifiait en rien les atrocités commises. Mais bon c’est toujours facile de s’en prendre aux plus faibles physiquement et la technologie était plus élaborée chez les blancs. Et d'ailleurs aucun prétexte ne justifie ce qui a été fait. DONC. Nous avons notre merveilleuse histoire (non.) marquée par la violence, et la majorité des hommes au lieu d’apprendre des erreurs du passé ne fait que reproduire la même chose encore et encore.
Mon texte est pas construit, j'écris sous le coup de la colère un peu (et de la fatigue) donc désolée si je froisse des gens ou que j’ai des propos incorrects. Ce n’est pas le but.
En plus j’avais décidé de sortir de ma pause rpgique, et bah vous savez quoi, j’y retourne.
EDIT: on m’a fait remarquer que mon message aussi était problématique, je vous partage donc les reblogs/discussions parce que en fait, c’est vrai: https://atomic-m.tumblr.com/post/660868504454676480/victimes-de-racisme-par-procuration-cw
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Netflix
J'ai téléchargé mon historique netflix, et du coup petit récap de ce que j'ai vu, de ce que j'ai aimé ou pas.
PART 1
Reine du Sud ; sympa avec une vrai fin
Extraordinary Attorney Woo ; sympa, c'est léger ça fait plaisir
Les chroniques de Bridgerton ; saison 1 sympa, saison 2 très bof (la façon dont ils créaient du conflit à partir de RIEN m'énerve profondément.)
Izombie ; Très cool jusqu'à la saison 3, après j'ai décroché.
Chicago Med ; Bof... Série pour éteindre le cerveau mais même comme ça...
Lucifer ; sympa, j'aime vraiment beaucoup le perso principal
Criminal ; j'arrive pas à regarder un épisode en entier.
Mr. Iglesias ; Pas accroché, pourtant étant prof moi même je pensais que ça allait me parler.
Space force ; Pas du tout accroché, l'humour me fait pas rire.
Ginny & Georgia ; J'ai été hype par le côté "woke" de la série (je sais que le terme est employé péjorativement mais moi je le prends comme un point positif), mais l'intrigue amoureuse de l'ado m'a très vite soûlée.
Glee ; Ok tiers. Je regarde cette série avec beaucoup de retard, j'ai fais les trois premières saisons mais le côté harcèlement hardcore à l'école devient vite lassant et ridicule.
Brooklyn 99 ; Caviar, une de mes séries préférée et sûrement la meilleure série comique de la décennie.
Arcane ; Une très bonne surprise, je joue à LOL mais je n'en attendais pas grand chose, mais persos attachants, direction artistique exceptionnelle, elle m'a fait vibrée.
Murder ; Meh. Vraiment dommage que la série s'enferme dans son fils rouge, j'appréciais pour une fois de voir des avocats qui défendent aussi des gens coupables, j'aime le côté travaille d'enquête, mais tous le scénario principal m'a soulé j'ai arrêté millieu deuxième saison.
Emily in Paris ; Sympa. Je ne suis pas offensée par les clichés, petite série romantique qui se laisse regarder.
Blue période ; J'ai beaucoup aimé, mais je suis particulièrement touchée par la thématique principale (même si je ne dessine pas comme je suis dans la création artistique).
Modern family ; Pas accroché même comme série pour poser son cerveau.
Le virtuose du tablier ; J'ai beaucoup aimé, même si l'animation est chelou, je trouve ça très drôle!
Squid game ; Meh. Je comprends pas la hype.
New Amsterdam ; Belle surprise, je l'ai lancé en mode série pour poser le cerveau, mais chaque épisode était vraiment intéressant à suivre. J'espère qu'il y aura une prochaine saison !
Mr. Robot ; Pas du tout accroché, le rythme est vraiment lent, le perso principal pas du tout attachant j'ai arrêté au bout de quelques épisodes alors que l'informatique me branche beaucoup.
Luther le mal de soi ; pas accroché, drop après le premier épisode.
Scorpion ; Bonne série pour poser son cerveau (ils font toujours des trucs improbables), je suis déçue qu'il n'y ait jamais de vrai fin, surtout que ça se termine de façon pas cool.
Wakfu ; J'ai kiffé ! J'avais jamais regardé parce que quand j'étais tombée sur les épisodes à la télé j'avais trouvé ça vraiment gamin, mais en fait la série devient très vite mature.
Elite ; Meh j'ai regardé la première saison.
Self-made d'après la vie de Mme CJ Walker ; sympathique
Mindhunter ; sympa, moi qui avait aimé esprit criminel c'est un peu comme regarder l'origin story et ça pose des thématiques intéressantes même si des fois c'est glauque.
Avatar le dernier Maitre de l'air ; j'ai revu cette série avec un immense plaisir, toujours aussi incontournable.
Le jeu de la dame ; Ok tiers
Saiki Kusuo ; J'adore cet anime, il me fait complètement déliré.
The Bride of Habaek ; Ok tiers, j'ai pas finis, j'ai eu la sensation que j'aurais pas le happy ending dont j'avais besoin à l'époque.
Strong girl Bong-soon ; J'ai pas accroché
Cinderella and the 4 knight ; Pas du tout accroché. Je sais que c'est censé reprendre l'histoire de cendrillon et qu'elle en prend plein la tête mais là ça devenait ridicule et les "knight" m'ont soulé.
Triad princess ; J'avais bien aimé mais tous les épisodes étaient pas sorti et puis j'ai oublié et flemme de reprendre maintenant.
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Bridgerton ça se laisse regarder mais alors ça se sent vraiment que ça a été écrit par des Américains qui connaissent rien à l'époque, en particulier on sent bien la patte SJW de Shonda Rhimes de Grey's Anatomy avec le casting politiquement correct et le côté soap opera 😂
Oh le casting me gêne pas du tout pour le coup, ce qui me fait hurler c'est les costumes, les coiffures, les expressions anglaises qui n'existent pas (qui a écrit les dialogue seigneur dieu, on dirait le français médiéval des visiteurs), l'incompréhension totale de la culture de l'époque. Ça m'a faite penser au Bazar de la Charité, une autre production Netflix, mais française, qui était aussi un festival de n'importe quoi.
Pour revenir sur le casting, j'ai fait du théâtre et de la danse pendant des années et honnêtement, je pense que n'importe qui peut jouer n'importe quel rôle, et que ça doit pouvoir se faire sans commentaire. A la limite ce qui m'agace c'est plus la tentative d'explication qu'autre chose, parce que c'est souvent très maladroit (pour celle de Bridgerton c'est d'ailleurs le cas) et que ça brise l'illusion du réel. Je ne sais pas si tu as vu l'excellent Lady Macbeth avec Florence Pugh, mais c'est un très bon exemple de ce qu'il faudrait faire à chaque fois. Le casting est divers mais aucun commentaire en mode "mais Salomon vous êtes juif ?" n'est fait.
Le spectateur sait que le théâtre, le cinéma, le ballet, n'est pas la réalité, que l'acteur n'est pas le personnage. Quand une compagnie danse Giselle ou Roméo et Juliette, ça arrive que l'étoile ait largement plus de 30 ans alors que l'héroïne en a 14 ou 16! C'est la qualité de l'interprétation qui compte, ou qui devrait.
Je trouve ça réducteur de cantonner les acteurs d'autres origines qu'européenne à des rôles qui sont forcément liés à leurs origines. Bien souvent on critique les rôles "clichés" mais je trouve réducteur aussi le fait de les ramener systématiquement à leur histoire supposément collective. C'est un peu les coincer entre le marteau du cliché et l'enclume de la référence au racisme, alors qu'il est bien évident que tout acteur ou actrice veut pouvoir tout jouer, l'héroïne romantique, l'aventurière, la pilote de vaisseau spatial... Sans que ses origines doivent toujours être commentées.
Alors bien sûr il y a des débats sur la représentation qui sont parfois bas de plafond, mais il ne faut pas pour autant avoir un réflexe de rejet.
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I dream my life but I never realize anything...
Encore un réveil la boule au ventre, du mal a respirer... C’est incroyable je ne m’en sors pas...
Quel a été le déclic, comment je m’en suis retrouvé là? Vous n’allez pas me croire...Bridgerton et oui la série, normalement c’est une série qui fait du bien, qui fait rêver et bien moi cela m’a mis une claque et a réveiller en moi un profond mal être.
Pour la 1ere fois ( enfin d'après moi) c’est une série Color Blind, c’est a dire que qu’un rôle n’est pas assigné a un acteur en fonction de sa race ou couleur de peau. Enfin!
Cela m’a mis une telle claque. Tout ce qu’on m’avait interdit, tout ce que je m’était interdit, en j'aurais pu si seulement je m'était battue, ma rage n’a pas été suffisamment forte ou trop peur de l'échec, on m’a tellement mise en garde, je voulais chanter et danser, faire des comédies musicales, être journaliste, styliste, tous ces métiers qu’on m’a dit interdits pour moi car je n’aurai jamais eu de rôle, trop noire.. et en fait cela aurai pu être possible...
Quand je vois cet acteur Regé-Jean Page, lui c’est battu, a cru en ses rêves, il joue la comédie, il danse, il chante, il se bat pour ses convictions! Quand a Shonda Rhimes, quelle femme! Elle aussi c’est battue! Ils ont eu cette rage de tout surmonter, de croire en eux. Je suis tellement admirative.
Je leur suis reconnaissante de m’avoir ouvert les yeux, mais mon Dieu que c’est douloureux.
Alors bien sur il n’y a pas que ça...d’autres choses mon détruite, il va falloir que je me tende la main en me disant qu’il n’est pas trop tard, que peut-être je peux encore faire des choses de ma vie, mais quel gâchis.
Waking up again with a lump in my stomach, having trouble breathing ... It's incredible I can't get over it ...
What was the trigger, how did I end up there? You are not going to believe me ... Bridgerton and yes the series, normally it's a series that feels good, that makes you dream and well me it slapped me and awoke in me a deep discomfort.
For the first time (well in my opinion) this is a Color Blind series, that is to say that an actor is not assigned a role based on his race or skin color. Finally! It gave me such a slap. Everything I was forbidden, everything I was forbidden, in I could have if only I had fought, my rage was not strong enough or too afraid of failure, we Warned me so much, I wanted to sing and dance, do musicals, be a journalist, stylist, all these jobs that I was told forbidden for me because I would never have had a role, too black. . and in fact it could have been possible ...
When I see this actor Regé-Jean Page, he's beaten, believed in his dreams, he plays comedy, he dances, he sings, he fights for his convictions! When has Shonda Rhimes, what a woman! She's beaten too! They had this rage to overcome everything, to believe in themselves. I am so in awe.
I am grateful to them for opening my eyes, but my God it hurts.
So of course it's not just that ... other things destroyed me, I will have to hold out my hand telling myself that it is not too late, that maybe I can still doing things with my life, but what a waste.
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SORTIES VOD DU 22/12
Pour cette semaine du réveillon, les plateformes de streaming vous proposent de découvrir leurs propres classiques de Noël. Ainsi, c’est ensemble que nous nous engageons dans un récit initiatique et spirituel avec Soul, dans des complots et des messes basses avec La chronique des Bridgerton et finalement dans l’intimité du personnage victorien de Charles Dickens avec The personal Life of David Copperfield.
LA CHRONIQUE DES BRIDGERTON - CHRIS VAN DUSEL ET SHONDA RHIMES
La Chronique des Bridgerton est l’adaptation en série du livre éponyme de Julia Quinn. Réalisée par Chris Van Dusen et produite par Shonda Rhimes, il s’agit de l’une des séries les plus attendues de l’année. En effet, plus qu’une productrice, Shonda Rhimes est la réalisatrice et scénariste derrière le studio « Shondaland », connue pour des séries telles que Scandal, How to Get a Way With a Murder ou encore Grey’s Anatomy. La Chronique de Bridgerton se déroule au 19e siècle et se propose d’analyser la société au travers du prisme de la noblesse, mais aussi d’un point de vue politique, juridique et même médical.
Résumé : À Londres, pendant la Régence, Daphne Bridgerton, fille aînée d’une puissante dynastie, est censée se trouver un mari, mais la concurrence est rude ! Esp��rant suivre l’exemple de ses parents et faire un mariage d’amour, Daphne semble au départ avoir toutes les chances de son côté. Pourtant, dès lors que son frère aîné se met à rejeter ses prétendants les uns après les autres, le journal à scandales de la haute société londonienne, dirigé par la mystérieuse Lady Whistledown, propage des calomnies sur la jeune femme.
THE PERSONAL LIFE OF DAVID COPPERFIELD - ARMANDO IANNUCI
The personnel life of David Copperfield est le troisième film du réalisateur. Sa carrière commence au festival de film de Sundance de 2009 avec son premier métrage In the Loop. Acclamé par la critique, le film dépeint de façon satirique les relations géopolitiques entre États-Unis et Moyen Orient. Cette volonté de proposer une relecture d’événements historiques majeurs se veut alors révélatrice du style du réalisateur. En effet, 8 ans plus tard, Iannucci crée de nouveau la surprise avec La mort de Staline. Satire politique, il capture avec humour l’incrédulité et la stupeur dans laquelle la disparition de Josef Staline plongea la Russie en 1953. Ainsi, c’est aux côtés d’Amazon Prime que le réalisateur écossais nous revient cette année. Producteur, réalisateur et scénariste, au travers de sa revisite du classique du romancier britannique Charles Dickens David Copperfield, il entend célébrer « la diversité, la générosité, la joie de vivre, l’humour et la créativité du peuple britannique »
Résumé : Le film retrace le parcours de David Copperfield, d’une enfance pauvre jusqu’au statut d’auteur à succès. C’est ainsi que David échappe à sa vie de corvée et retrouve sa riche tante Betsey Trotwood (Tilda Swinton) et son locataire, l’excentrique M. Dick (Hugh Laurie) grâce à la persévérance et malgré un manque de discipline personnelle…
SOUL - PETE DOCTER
Soul constitue la première sortie du studio Pixar exclusivement disponible sur la plateforme Disney +. Film d’animation le plus attendu de l’année, Soul est la dernière réalisation du génie Pete Docter. Passionné de dessin depuis son enfance, ce fils de docteurs, a toujours perçu ses créations comme « des êtres qui bougent et pensent ». C’est âgé de 21 ans, que pour la première fois Pete Docter a l’opportunité de faire bouger et penser ses personnages. En effet, en 1990, il rejoint la petite équipe d’un studio d’animation encore méconnu: Pixar. Alternant entre les tâches de scénariste, story-boarder et animateur, il écrit successivement les scénarios des films Toy Story, Monstres et Cie., Wall-E, Là-Haut , Vice Versa et cette année Soul. Au travers de Joe, un professeur de Jazz amené à découvrir ce qui constitue l’essence d’une personne, Docter pose la question de l’identité. Pour y répondre il s’entoure d’une équipe d’animateurs et de musiciens talentueux tels que Trent Reznor, Atticus Ross ou encore Jon Batiste, jazzman émérite, afin de nous entraîner dans un voyage enchanteur.
Résumé : Passionné de jazz et professeur de musique dans un collège, Joe Gardner a enfin l’opportunité de réaliser son rêve : jouer dans le meilleur club de jazz de New York. Mais un malencontreux faux-pas le précipite dans le « Grand Avant » un endroit fantastique où les nouvelles âmes acquièrent leur personnalité, leur caractère et leur spécificité avant d’être envoyées sur Terre. Bien décidé à retrouver sa vie, Joe fait équipe avec 22, une âme espiègle et pleine d’esprit, qui n’a jamais saisi l’intérêt de vivre une vie humaine. En essayant désespérément de montrer à 22 à quel point l’existence est formidable, Joe pourrait bien découvrir les réponses aux questions les plus importantes sur le sens de la vie…
Jesse Eko Ebongue
Pour ON’ : https://on-media.fr/2020/12/22/les-sorties-vod-du-22-12/
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Une tasse de thé, Miss Brigderton ?
La récente mise en ligne sur la plateforme Netflix de la série “Bridgerton” a permis de remettre en lumière la période Régence. Mais qu’est ce que la Régence ?
Pourquoi et pour qui ?
Dans la série de Netflix, le roi nous est présenté avec des problèmes sans expliquer clairement ce qu’il est en est, ni quelle maladie l’afflige. Le roi est George III, et sa femme est la reine Charlotte.
George III est couronné roi d’Angleterre en octobre 1760 et règne jusqu’en 1820. La vie et le règne de George III, qui sont alors plus long que ceux de ses prédécesseurs, sont marqués par plusieurs conflits militaires en Europe, en Asie et en Amérique. Au début de son règne, George III et son armée sortent vainqueur de la Guerre de Sept Ans (1756-1763) qui les opposent à la France. Suite à cette victoire, le roi anglais se trouve en position de force hélas cette position enviable ne dure pas : les colonies américaines se libèrent de l’emprise anglaise lors de la guerre d’indépendance (1775-1783) et une reprise de conflits armés contre la France napoléonienne va voir plusieurs défaites anglaises avant la victoire coalisée à Waterloo en 1815.
En 1810, alors que George III est au sommet de sa popularité auprès de son peuple, sa santé se détériore. Il a des problèmes de cataracte, ce qui le rend presque aveugle, ainsi que des rhumatismes. À cela s’ajoute une maladie mentale qui empêche le roi de gouverner. Plusieurs diagnostiques ont été suggérés pour expliquer la maladie du roi : bipolaire (état caractérisé par d’importante période de dépression, avec des changements d’humeur parfois violents), porphyrie (maladie sanguine), empoisonnement à l’arsenic via des médicaments et des cosmétiques. Certains historiens supposent que le déclencheur de la détérioration de son état est le décès tragique de sa fille la princesse Amelia en Novembre 1810. À ce jour, nous ne connaissons pas la cause de la maladie du roi, ni exactement ce qu’était cette maladie. Néanmoins l’état mental du roi est assez préoccupant pour que son fils, le prince George, gouverne en son nom à partir de 1810 sous le titre de “prince régent”, acte entériné en 1811. Il assume le rôle de régent jusqu’au décès de George III en 1820.
La Régence:
La Régence est caractérisée par son élégance et le développement des arts et de l’architecture, une sorte de mini-renaissance. C’est dans ce contexte que le Prince Régent, principal mécène de cette période, ordonne la constructions de palais et en fait redécorer d’autres. Mais le Prince Régent n’a pas les moyens financiers de ses ambitions. Alors pour payer ses extravagances royales, il se sert dans les fonds publics ce qui mécontente la population.
Le charme et la culture du Régent lui valent le titre de “premier gentleman d'Angleterre”, mais ses relations difficiles avec son père et son épouse ainsi que sa vie dissolue entraînent le mépris de son peuple et affaiblissent le prestige de la monarchie. Le peuple est irrité par ses fortes dépenses en temps de guerre. De fait, il ne représente pas une figure nationale en temps de crise, ni un modèle pour son peuple et ses ministres trouvent son comportement égoïste, peu fiable et irresponsable
C’est également une période d’importants changements sociaux, politiques et économiques. Les conflits opposant l’Angleterre aux armées de Napoléon et sur les autres fronts ont d’importants impacts sur les échanges commerciaux anglais ainsi que politiquement, ce qui crée un climat d’incertitude pour le peuple anglais. Les gouvernements successifs du Régent, sans le soutient de ce dernier, président à la victoire sur les armées napoléoniennes, négocient des traités de paix et tentent de gérer les malaises sociaux et économiques qui secouent l’Angleterre.
Lorsque le roi George III décède en 1820, le Prince Régent monte sur le trône sous le nom de George IV. Il reste dix ans sur le trône, et sans héritier pour lui succéder, son frère William IV lui succède en 1830. Mais lui aussi reste que très peu de temps sur le trône avant de céder sa place à sa nièce en 1837 : la reine Victoria, qui augure une ère de prospérité en Angleterre.
À bientôt pour une autre publication de l’Histoire sans faire d’histoire.
Dok Nina
PS : si vous êtes intéressés par la période Régence, voici un article publié par le Smithsonian sur les corsets. Pas vraiment ce qu’on nous montre. Bonne lecture
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