#besoins dehors
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chienapoil · 2 years ago
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Mon chiot ne fait pas ses besoins dehors
Avoir un bébé chiot chez soi est un véritable bonheur, mais lorsqu’il ne fait pas ses besoins dehors dans le jardin ou en promenade, en général pour les nouveaux maîtres et propriétaires c’est un véritable cauchemar ! Mais pas de panique, puisqu’heureusement pour vous, il existe des méthodes et des astuces pour résoudre tous vos problèmes. Dans cet article, nous sommes prêts à vous donner 5…
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bleu-sang · 1 year ago
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C'est quand même marrant comme je suis queer au-delà de mes (non-)attirances et de mon (non-)genre : on me diag un TCA "non-spécifié" parce que je n'entre dans aucune autre catégorie.
Même côté troubles, je suis en dehors du système "binaire" pour être des trucs dont personne n'a jamais entendu parler.
C'est fou.
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captain-jale · 6 months ago
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Mauvaise nouvelle à tout les islamo-gauchiasses qui se réjouissaient de cette cérémonie en pied de nez au gouvernement et au RN/LR :
La cavalière de métal est une gendarme
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jawnressources · 1 month ago
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Message d'intérêt général -
Quand vous achetez mes skins, je vous en remercie profondément mais ça ne vous donne en rien le droit de demander des services gratuits par derrière. Juste au cas où ça échappe à certains, il y a un être humain derrière l'écran qui a donné de son temps pour réunir quelques skins à vendre pour arrondir ses fins de mois. Quand vous me demandez de modifier un skin en y ENLEVANT des choses pour ensuite vous plaindre de ne pas utiliser l'entiéreté du skin, vous ne pouvez pas demander des choses gratuites par derrière. Quand je prend une soirée entière pour modifier GRATUITEMENT les codes pour que ça colle à votre vision, ça ne vous donne pas le droit de profiter encore plus. Venir par la suite me culpabiliser de ne pas avoir utilisé entièrement le skin pour que je vous offre des choses gratuites, c'est non. Me culpabiliser d'avoir un jour dit "oui" pour installer quelque chose pour me forcer à le faire quand je dis ensuite non... le consentement ça vous dit quelque chose ?
Donc là je me retrouve face à un cas d'une personne qui n'a pas utilisé tout le skin, m'a demandé de retirer des éléments du dit skin, m'a fait installé toutes les catégories différentes parce que "je ne savais pas que le code serait si compliqué", puis se sert de cette excuse pour me demander de lui offrir le pack de fiches. Puis cette personne me demande ensuite de lui installer autre chose, screens à l'appui, bien que j'ai finalement dit plus tard ne pas savoir comment totalement faire.
Donc on va être clair. Oui, merci d'avoir acheté mes skins et si vous avez besoin d'aide, il n'y a aucun souci. Oui, j'ai aidé à peu près tous ceux qui ont acheté les skins et les fiches à les installer correctement parce que oui, on est pas tous calés en code. Non, je ne suis pas à votre disposition. Non, je ne vous doit rien, si ça n'est un merci. Non, quand je taff gratuitement à littéralement vous installer la moindre catégorie jusque dans le panneau d'administration, la moindre fiche, la moindre couleur, ça ne vous donne ni le droit de venir me demander de l'aide pour la moindre petite chose en MP tous les jours sur Discord, et encore moins de me demander des choses gratuites par derrière.
Je commence à être fatiguée de rappeler à certains que j'ai une vie en dehors de mon écran et que reçevoir tous les jours des demandes à l'aide est franchement épuisant alors qu'il existe je ne sais trop combien de forums d'entraide qui pourraient le faire tout aussi vite.
Je vends mes codes non seulement pour aider ceux qui le veulent à installer entièrement un forum entier sans se prendre la tête, et aussi pour pouvoir mettre un peu d'argent de côté. Je vous demande de me respecter en tant que personne, et c'est bien triste d'en arriver à demander ne serait-ce qu'un peu de respect. Soyons clairs, non je n'offre plus rien gratuitement depuis très longtemps, les raisons sont diverses et variées et peut-être qu'un jour je vous ferais ici un joli long post pour vous expliquer chaque situation qui m'a poussé un peu plus à m'isoler de la commu' RP.
En attendant, merde pour certains, merci pour les autres.
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jeanchrisosme · 5 months ago
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Oui je m'isole, non pas parce que je n'aime pas les gens mais parce que je m'épuise au contact du monde, le bruit, la foule, les discussions trop longues, aussi parce que je préfère être seule qu'entourée de personnes qui ne vibrent pas sur les mêmes fréquences que moi. Non, je ne dis pas qu'elles sont moins intéressantes, je n'ai nullement cette prétention. Je dis simplement que nous sommes différents. Nos sensibilités et ressentis n'atteignent pas les mêmes sommets. Je dis aussi que plus je vieillis et plus je sais qui je suis, où je vais et ce que je veux et ce qui ne me correspond plus du tout. Je n'ai pas besoin d'avoir de la compagnie. Je ne me sens jamais seule, je me sens merveilleusement bien dans le silence. Et si je reçois du monde, c'est que l'envie est là et le plaisir aussi ! Bien souvent, mon calme, ma paix intérieure, mes ressources, mon lâcher prise, ma sérénité, je les puise dans ma bulle "chez moi" seule, ou dehors "en pleine nature" seule encore et toujours. Je ne suis pas associale, je suis une empathe sélective. Une empathe qui respecte ses ressentis et écoute son corps, son mental, son âme. J'aime profondément les gens, les écouter, les conseiller et les aider...Mais après cela, mon "Moi" réclame une pause. Alors si quelques personnes se reconnaissent, elles sauront que si l'on passe du temps avec quelqu'un, ce n'est nullement pour combler un vide, mais c'est que l'on en a envie... Vraiment !
Eden Cara
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hannahbarberra162 · 2 months ago
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Sir Crocodile et cette terrible, horrible, mauvaise, très mauvaise journée
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On Ao3
18+ MDNI
Translated into French by the incredible @amandine-rustal
The original in English
Couple : Crocodile x Lectrice
Avertissements : Lemon sur la dernière partie.
Résumé : Crocodile redoute le seul jour de l'année où tu ne travailles pas : ton anniversaire. En tant qu'assistante personnelle incroyable, il dépend de toi pour presque tout. Comme chaque année, cette journée sans toi est un désastre complet. Mais peut-être qu'il peut sauver quelque chose des décombres. Quelque chose ou quelqu'un qu'il désire depuis très longtemps.
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Sir Crocodile tapota du plat de son crochet la date entourée sur son calendrier de bureau. Demain était son jour le moins préféré de toute l'année. Tu ne prenais qu'un seul jour de congé par an, ton anniversaire. Bien sûr, tu avais aussi théoriquement des week-ends de libres. Mais il y avait toujours un imprévu et tu passais au moins une demi-journée à gérer ses affaires ou ses problèmes personnels chaque week-end.
Il ne t'en voulait pas d'avoir ton anniversaire pour toi, tu étais incroyablement assidue et tu le méritais. Mais sans toi à ses côtés, tout semblait s'écrouler en quelques minutes. Tu étais de loin la meilleure assistante personnelle qu'il ait jamais eue. Peut-être même la meilleure employée qu'il ait jamais eue, surpassant même sa cohorte d'hommes de mains, dotée de fruit du démon, qui tuait pour lui sans discernement.
Bien sûr, il savait que s'il t'appelait sur ton baby den den mushi, tu répondrais et ferais tout ce qu'il voulait. Mais il se sentirait coupable de te déranger. Et la culpabilité était une émotion que Crocodile avait ressentie qu'une seule fois et qu'il ne voulait plus jamais ressentir. Non, il se débrouillerait sans toi demain et te laisserait profiter de ton jour de congé. 
Bien qu'il n'ait pas été avenant avec ses hommes du Baroque Works, Crocodile était considéré comme un employeur de premier plan à Rainbase. Une fois qu'il avait trouvé quelqu'un qui était bon dans sa profession, il faisait de son mieux pour le garder à son service. Il traitait son personnel avec respect, le payait très bien et avait établi des directives à suivre pour les employés. Les hommes de mains pouvaient être remplacés, les pirates sanguinaires étaient monnaie courante. Des femmes de ménage, des chefs et des assistants fiables et de haute qualité ? Inestimable. 
Et tu étais l'employée la plus fiable, la plus organisée, la plus équilibrée, la plus méticuleuse et la plus travailleuse qu'il n’avait jamais eu.
Au début, il te soupçonnait d'être une utilisatrice de fruit du démon. Cela aurait expliqué comment tu parvenais à tout faire correctement, à temps et si facilement.
Cependant, il s'est vite rendu compte que tu étais juste excellente.
Tu ne suivais pas ses ordres à la lettre, comme certains de ses complices. Tu n'attendais pas qu'il te dise ce dont il avait besoin ou les tâches qu'il voulait faire, tu pensais par toi-même et tu anticipais ses besoins.
Tu n'étais pas une personne qui disait oui à tout, tu exprimais ton opinion s'il te le demandait. Il appréciait ta perspicacité et ton esprit vif. En fait, pendant les années où tu avais travaillé pour Crocodile, tu ne t'étais disputée qu'une seule fois. Et ce n'était même pas une dispute, en fait. Crocodile avait commencé à se laisser pousser une moustache, il pensait que cela ajoutait un peu de royauté à son visage. Tu la détestais et tu lui as dit que cela ne convenait pas à ses traits. Tu avais raison, bien sûr. Il t'avait permis de la raser toi-même, pour ton plus grand plaisir.
Même si ce n'était pas ton jour de congé, Crocodile se souvenait toujours de ton anniversaire. Le tien était le seul, en dehors du sien, dont il avait pris la peine de se souvenir.
Il avait beaucoup d'amantes qui pensaient que les cadeaux attentionnés et romantiques qu'elles recevaient pour leurs anniversaires, leurs anniversaires de mariages ou « juste comme ça » venaient de lui. Mais la vérité était que toutes ses amantes étaient « en couple » avec toi. Tu te souvenais de tous les détails et tu arrangeais tout selon les goûts de ses amantes.
Crocodile n'essayait même pas de se souvenir de leurs noms, les appelant toutes « Poupée » pour s'épargner des ennuis. Il les considérait même comme des jouets interchangeables, facilement remplaçables, stupides, puis finalement sans valeur.
Cependant, tu pouvais lui dire leurs fleurs préférées, leurs pierres précieuses préférées, leurs styles vestimentaires, leurs pointures et toutes autres informations dont il avait besoin. Tu leurs avais envoyé des centaines de cadeaux, sans aucune faute de goût.
En conséquence, Crocodile avait la réputation d'être un vrai romantique, quelqu'un qui écoutait quand ses amantes leurs racontaient des détails personnels. Or, il s'en fichait complètement. 
Il s'est arrêté à ton bureau alors que tu terminais ta journée, apportant avec lui un petit sac cadeau accroché à son crochet. 
- Joyeux anniversaire, dit-il à voix basse en te tendant son cadeau.
- Quelle agréable surprise Monsieur, dis-tu en le retirant et en l’ouvrant immédiatement.
C’était une succulente agave White Rhino en pot qu’il avait achetée sans ton aide. Elle était chère et rare, mais tu valais chaque centime qu’il avait dépensé pour toi.
- Oh quelle délicate attention ! Merci beaucoup Monsieur !
Tu lui as souri.
Pour certains, cela aurait pu ressembler à un cadeau de piètre qualité, mais Crocodile te connaissait bien. Tu n'aimais pas les fleurs coupées, ni la plupart des bibelots.
Tu étais passionnée par les cactus et les plantes grasses, et tu passais une partie de ton temps, loin de lui, à t'occuper des plantes. Tu avais une collection impressionnante, que Crocodile complétait au fur et à mesure que l'occasion se présentait. Tu t'es levée de derrière ton bureau, l’a contourné et tu t'es mise sur la pointe des pieds. Crocodile s'est mis à ta hauteur et tu l'as embrassé sur la joue en signe de gratitude. 
- Quelle merveille avant mon départ Monsieur. Je vous verrai après-demain. S’il y a une urgence, n’hésitez pas à m’appeler.
Crocodile te sourit et s’appuya contre ton bureau. Crocodile savait que tu n’avais aucune intention malveillante en l’embrassant, c’était de l’affection platonique. Mais il appréciait néanmoins cette sensation. Il attendait ce moment avec impatience chaque année.
- Profitez de votre jour de congé.
Il ne le pensait pas, mais il n'allait pas te le dire.
- Merci Monsieur.
Sur ce, tu as soigneusement porté ta plante et tu as quitté le bureau. Crocodile t'a regardé sortir puis a fait la grimace une fois que tu es partie. Ce seraient de longues 24 heures sans toi.
~~~
Le lendemain matin commença mal dès le début.
Crocodile se réveilla tard, son réveil n'avait pas sonné. Il le jeta avec du sable, le détruisant complètement. Il était déjà agacé. Normalement, tu le réveillais doucement avant que son réveil ne le fasse, mais tu n'étais pas là aujourd'hui. Il trouvait que se réveiller au son de ta voix douce et de ton visage calme était une façon apaisante de commencer sa journée.
Crocodile se leva de son lit et se dirigea vers son valet de chambre, pour le trouver vide. Il voulait aussi le détruire, mais il décida qu'il ne devait pas démolir tout ce qui l'irritait aujourd'hui. Il n'aurait plus rien et de plus, ce serait plus de travail pour toi de tout remplacer.
Tu accrochais généralement ses vêtements pour lui après les avoir repassés toi-même, et il voyait rarement la nécessité d'ajuster tes choix. Tu savais ce qu'il aimait et comment il aimait se présenter jusqu'aux boutons de manchette de ses chemise. Crocodile se dirigea vers son grand dressing et regarda les étagères bien organisées de vêtements. Cela faisait un an qu'il n'avait pas eu à le faire lui-même et cette corvée ne lui avait pas manqué. 
Il choisit une tenue et se regarda dans le miroir. La tenue manquait d'une certaine élégance que tu pouvais assembler sans effort.
Il ajusta son crochet, il avait l'air terne. Tu le polissais toujours pour lui jusqu'à ce qu'il brille. Il fallait s'en contenter, il était déjà en retard pour une réunion qu'il avait convoquée. Il quitta sa chambre pour la salle à manger, à la recherche de son café corto. Il y avait une carafe de café filtre qui l'attendait sur la table, mais pas d'espresso. Il y avait aussi un impressionnant plateau de pâtisseries sucrées. Tu savais que Crocodile voulait d'abord un café corto, puis du café filtre, un cigare et pas de nourriture.
Était-ce si difficile de reproduire tout ce que tu faisais en une seule journée ? Aucun membre du personnel ne pouvait rivaliser face à cette petite femme ?
Crocodile sonna un domestique et demanda l'espresso. On lui apporta un americano. Il soupira et se frotta les tempes avec sa main. 
La journée s'est ensuite dégradée.
Tu avais préparé ton absence la veille, en laissant des notes et en organisant ce que tu pouvais anticiper. Crocodile avait un autre membre du personnel sur place, qui répondait aux appels que tu aurais normalement pris. Mais même sans ton aide, ce fut un désastre complet. Crocodile était habitué à ce que tu prennes des notes pour lui pendant les réunions et il avait oublié d'apporter un stylo et du papier. À la fin de la réunion, il avait oublié la moitié des chiffres de la présentation trimestrielle. Tout semblait avoir besoin de ta touche, de ton aide, de ta prévoyance pour se dérouler sans problème. 
Les choses allèrent de mal en pis.
Les réunions dévièrent du sujet, les rapports contenaient des données incorrectes, les ennemis n'étaient pas torturés et il avait oublié de nourrir les bananawanis à temps.
La nouvelle se répandit rapidement que Crocodile était de mauvaise humeur. Tout le monde connaissait la raison, mais personne n'osait en souffler mot. Malgré ses vœux pieux, la table de la salle de réunion avait maintenant plusieurs trous de la taille de son crochet et son bureau était recouvert de sable. Il se pencha en arrière sur sa chaise et tira une longue bouffée de son cigare. Tu aurais déjà tout arrangé pour apaiser sa colère.
Ce n'était même pas toutes les petites choses de la journée de travail que tu organisais. Tu étais experte dans l'art d'anticiper ses besoins avant même qu'il ne se rende compte qu'il voulait quelque chose, et d'organiser sa vie de manière à ce qu'elle convienne à quelqu'un de sa condition. Tu le comprenais mieux que quiconque. Oui, Miss All Sunday s'occupait de Rain Dinners, mais tu gérais Crocodile. 
Il s'assit et se rappela l'une des fois où il t'avait appelé au milieu de la nuit. Il essayait de ne pas perturber ton sommeil, mais parfois il fallait le faire. Une de ces occasions s'était produite lorsqu'il avait invité Dracule Mihawk chez lui. Ils avaient discuté et bu, jusqu’à tard dans la nuit. Aux premières heures du matin, il t'avait appelé pour te demander de la nourriture pour accompagner leur vin. 
- Bonjour Monsieur, comment puis-je vous aider ?
Ta voix était endormie, il vit son escargot répondre les yeux embrumés mais toujours avec un sourire.
- Je m'excuse pour cet appel tardif. J'aimerais avoir des rafraîchissements.
- Bien sûr Monsieur, l'escargot regarda quelque chose. Il est 2 h 50. J'avais prévu que vos rafraîchissements préférés soient livrés à 3 h. Préférez-vous attendre dix minutes ou préférez-vous que je vous apporte quelque chose immédiatement ?
Tu n'étais pas facétieuse, Crocodile savait que s'il te le demandait, tu aurais de la nourriture pour lui à 2 h 59, quoi qu'il arrive. 
- 3 h, c'est bien, merci.
- J'espère que vous pourrez pardonner mon impertinence Monsieur. J'ai également inclus quelques rafraîchissements qui pourraient être plus au goût de votre invité.
Mihawk haussa un sourcil. 
- Très attentionnée. Bonne nuit.
- Bonne nuit Monsieur.
Et bien sûr, à 3 heures du matin pile, un plateau de plats préférés de Crocodile, accompagnée d'une importante quantité d'alcool, lui a été livré par un serveur à l'air fatigué. Crocodile s'est servi des raviolis frais et a offert le plateau à Mihawk. Mihawk a refusé, car il dégustait les gambas à l'ail et du jambon.
- Tu as une assistante formidable, dit Mihawk une lueur d’intrigue sur le visage. Les plats sont excellents, transmets-lui mes remerciements.
Mihawk inclina la tête vers Crocodile. Crocodile sourit, tu l’avais rendu fier. 
En interrompant son voyage dans le passé, il entendit le téléphone sonner pour ce qui lui sembla être la millionième fois ce jour-là. Miss Merry Christmas décrocha le combiné. Il pouvait entendre la moitié de la conversation.
- Allo ? Non, elle n'est pas là aujourd'hui, c'est son anniversaire. Je ne pense pas que vous vouliez… êtes-vous sûr… laissez-moi voir.
Miss Merry Christmas regarda Crocodile dans son bureau et cria à travers la porte ouverte :
- C'est Doflamingo, voulez-vous le prendre ?
Crocodile voulait la tuer sur le champ. Son sable tourbillonnait déjà derrière lui. Elle avait dit à Doflamingo que c'était ton anniversaire.
Après que Crocodile avait eu commencé à t'emmener aux réunions des grands corsaires, l'idiot tape-à-l'œil avait essayé de te faire déménager à Dressrosa et de travailler pour lui.
Crocodile ne s'inquiétait pas de te voir le quitter pour un autre employeur. Par contre, cette pensée pesait lourdement sur son esprit et lui causait une immense colère lorsqu'il t'imaginait passer du temps avec Doflamingo. Mais ce n’était pas de la jalousie, Crocodile ne serait jamais jaloux d'un employeur qui recruterait une personne aussi intelligente et lucide que toi.
De plus, « Mademoiselle Sur Le Point D'Être Empalée » lui avait demandé s'il voulait prendre l'appel. Maintenant, Doflamingo savait qu'il était là et il devait prendre l'appel sinon il risquait une crise de colère de la part de ce roi gâté. Il se dirigea vers le den den mushi, qui avait l'air plutôt satisfait.
- Quoi ?
- Alors c'est son anniversaire aujourd'hui, hum ? Je vais devoir lui envoyer quelque chose de sympa, peut-être de la lingerie... tu en veux aussi ? Fufufufufufufu.
Crocodile espérait que Vegapunk inventerait bientôt un moyen de tuer quelqu'un grâce à un den den mushi. Il s'occuperait de Doflamingo plus tard, il n'était pas d'humeur à accepter les quêtes amoureuses idiotes du roi de Dressrosa. Il raccrocha délicatement, tapotant doucement l'escargot dans le dos avec sa main. L'escargot avait survécu parce qu'il en avait tué un, une fois par colère, après un appel similaire et cela t'avait bouleversé. Crocodile n'aimait pas quand tu étais bouleversé. Tu avais même pleuré à cause de l'escargot et Crocodile s'était senti coupable. Il avait encore moins aimé ça. 
Il avait besoin d'un verre.
~~~
Crocodile quitta son bureau pour se rendre au restaurant de Rain Dinners. Il avait un mal de tête épouvantable et il a failli crier ton nom pour te demander de l'aide. Chaque année, ton anniversaire lui faisait réaliser à quel point il dépendait de toi, alors chaque année, il augmentait ton salaire le lendemain. Il se fit une note mentale pour faire la même chose demain. 
Crocodile était assis à sa place préférée, fumait son cigare et buvait son whisky pur. Les barmans étaient compétents et n'avaient pas besoin qu'on leur dise ce qu'il voulait boire. Il réfléchissait à certains des rapports que lui avaient communiqués ses sbires lorsqu'il t’aperçut, seule, en train de boire un verre de vin au bar. Crocodile fut surpris, boire seule, en ce grand jour ?
Crocodile savait que tu avais une relation amoureuse antérieure à ton embauche. Crocodile n'avait jamais aimé ton partenaire, mais tu semblais assez heureuse. Il ne comprenait pas pourquoi quelqu'un de ton calibre, de ton intelligence et de ta beauté était avec un tel perdant, mais pour ton bien, il ne l'avait pas tué. 
Crocodile se ressaisit et se dirigea droit vers toi au bar. La foule s'écarta facilement pour lui, beaucoup essayant d'attirer son attention. Certaines de ses poupées essayèrent de lui toucher le bras ou de lui parler, mais il ne leur accorda même pas un regard. En venant à tes côtés, tu levas les yeux vers lui et lui souris faiblement. 
- Bonsoir Monsieur.
Tu étais absolument ravissante, aussi belle que le jour où il t’avait rencontrée. Normalement, tu portais des vêtements simples, mais bien coupés au travail. Cela n’avait pas empêché son imagination de s’emballer lorsque tu portais tes jupes crayons ou tes hauts légèrement décolletés.
Il ne comptait plus le nombre de fois où il avait voulu détacher tes cheveux de leur coiffure et y passer ses doigts. Ou le nombre de fois où il avait voulu déchirer ta jupe et de te posséder lorsque tu te penchais sur son bureau.
Il avait envisagé à maintes reprises de te séduire, mais au final, il te respectait trop pour le faire. Il ne voulait pas interférer si tu étais déjà en couple, aussi pathétique que soit ton choix. De plus, il ne savait pas ce qu’il ferait sans toi si son intérêt n’était pas réciproque et que tu partais. Il ne voulait même pas envisager cette possibilité.
Aujourd'hui, tu étais habillée de façon plus chic que d'habitude, ta silhouette saisissante se parait d’une élégante robe noire qui dévoilait ton dos de manière provocante. Il réprima son envie de passer son crochet le long de ta colonne vertébrale pour voir si cela te faisait frissonner. En repensant à toi, il remarqua que tes yeux étaient légèrement rouges et gonflés. Il posa sa grande main sur ton épaule.
- Qu'est-il arrivé à cette… personne … avec qui vous passez habituellement du temps ?
Il ne pouvait pas appeler ce garçon un homme, encore moins un petit ami. Il avait de la chance que Crocodile se souvienne de son existence. Et qu'il continue à le lui permettre.
- Nous ne sommes plus ensemble Monsieur.
Tes yeux se remplirent de larmes. Crocodile était assis sur le siège à côté du tien.
- Vous avez rompu aujourd’hui ? Demanda doucement Crocodile ne voulant pas t’embarrasser ou te contrarier davantage.
- Oui Monsieur.
Tu as regardé ton verre de vin, faisant tournoyer doucement la boisson.
- Voulez-vous qu’il soit mort ?
Crocodile aurait juré que son crochet tremblait. Il ne pouvait imaginer de meilleure fin pour la soirée. Peut-être que cela sauverait cette terrible journée.
- Non merci Monsieur.
Tu n’avais pas le même penchant pour la violence et la soif de sang que lui. Crocodile ne s’en souciait pas. Il n’aimait pas tellement les plantes grasses. Vous pouviez tous les deux avoir des passe-temps différents et arriver à bien travailler ensemble.
- Vous n’avez pas besoin de perdre votre temps à me consoler Monsieur. J’aimerais que vous profitiez de votre soirée. Quelques-unes de vos amantes sont ici, si vous voulez que je vous rappelle leurs noms.
Crocodile s’en moqua.
- Comme vous le savez, je fais toujours exactement ce que je veux.
Tu hochas la tête. Comme s’il allait renoncer à passer du temps avec toi pour une femme sans nom.
- Où travaillait-il déjà ?
Crocodile allait le faire traquer, juste pour… s’amuser. 
- C'est le directeur général de Fantasia, répondis-tu les sourcils froncés.
C'était un casino concurrent, il n’était même pas dans le top trois de Rainbase.
- Il a dit que je suis trop impliquée dans ma carrière, que je ne passe pas assez de temps loin du travail. Que ma vie tourne autour de la vôtre.
Tu levas les yeux, déjà repentante :
- Je m'excuse Monsieur. Vous n'avez pas demandé de détails.
Crocodile balaya tes inquiétudes d'un geste de la main. Il aimait que tu lui fasses part de tes sentiments et de tes opinions. Crocodile prit le plat de son crochet et le plaça sous ton menton, levant ton visage pour regarder le sien. Une larme coula sur ton visage.
- Certaines personnes ne comprennent pas le dévouement. La loyauté. Le devoir. La passion.
- Passion Monsieur ?
Ton visage rougit légèrement à cause du vin… ou peut-être du contact intime. Crocodile réalisa tardivement son faux pas. Il n'avait pas eu l'intention de révéler son désir, surtout quand tu étais déjà si bouleversée. Il retira à contrecœur son crochet de dessous ton joli visage. 
- Voulez-vous que je vous raccompagne chez vous ?
Crocodile changea de conversation au cas où tu te sentirais mal à l'aise. 
- Oui, merci Monsieur, tu sembles surprise de son offre et de l’avoir acceptée.
Naturellement, il voulait s’assurer que son employée préférée était chez elle en toute sécurité. Il n’avait jamais fait ça pour quelqu’un d’autre, mais cela ne voulait rien dire. Cela n’avait certainement rien à voir avec ta tristesse et ta vulnérabilité. Il t’a tendu la main et tu as descendu avec précaution de ton tabouret de bar. Crocodile t’a guidé jusqu’à la porte avec son crochet sur ton dos nu. Il a regardé attentivement et s’est rendu compte qu’il avait raison, tu avais la chair de poule.
Vous avez tous les deux traversé la ville plongée dans l'obscurité en silence, profitant du beau temps. C'était une autre chose que Crocodile appréciait chez toi : tu ne ressentais pas le besoin de remplir le silence avec des bavardages insignifiants.
Plus la promenade durait, moins Crocodile était content. Il te payait très bien, pourquoi ne vivais-tu pas dans la partie luxueuse de la ville ?
Tu avais tourné au coin des rues de bas quartiers, jusqu'à ce que vous arriviez à un immeuble d'appartements à l'aspect miteux et vous vous êtes arrêtés sur le pas de la porte. Crocodile aurait préféré le brûler que d'y mettre les pieds. 
- C'est ici que j'habite Monsieur, merci de m’avoir raccompagné.
Crocodile regarda une fois de plus le bâtiment en briques qui s'effondrait. 
- Pourquoi ? S’exclama Crocodile.
Il avait presque coupé son cigare en deux.
- Je vous demande pardon Monsieur ? Confuse face à sa question.
- Pourquoi vivez-vous ici ? Je vous paie bien, je sais que vous pouvez vous permettre de meilleures conditions de vie.
Ton visage rougit. 
- Ne vous inquiétez pas Monsieur. La situation s'est résolue d'elle-même.
Crocodile plissa les yeux. Cela avait donc un rapport avec ce garçon. Avais-tu remboursé une partie de ses dettes de jeu ? Il allait garder un œil sur lui. Crocodile le savait bien, il possédait un casino et avait vu ce genre d'idiot des milliers de fois. Cela ne marcherait pas et ta situation de vie actuelle non plus. 
- En effet. Vous allez emménager dans mon manoir.
Crocodile était ravi de ce résultat. Il n'avait pas aimé que tu vives si loin de lui. Il avait toujours un service de sécurité qui te suivait quand tu n'étais pas avec lui, mais ça ne lui semblait jamais suffisant. Avec le niveau de connaissance intime que tu avais de lui et de ses affaires, il était toujours inquiet que tu sois kidnappée ou torturée.
Honnêtement, s'il l'admettait à lui-même, il s'inquiétait. Un autre sentiment qu'il n'aimait pas.
Non, cela fonctionnerait parfaitement. Il n'aurait pas à être distrait par des pensées concernant ton bien-être et tu serais plus proche de lui à tout moment. 
- Monsieur, ce n'est pas… approprié, as-tu rétorqué.
Il n'avait pas pensé aux implications de te faire venir, mais dans ce cas précis il ne pensait pas avec son entrejambe.
- N'importe quoi. Vous aurez toute l'aile Est pour vous. Décorez-la comme vous le souhaitez, je vous fournirai une allocation logement. Je vous attendrai ici cinq minutes. Rassemblez ce dont vous aurez besoin pour la nuit. Daz viendra chercher le reste de vos affaires demain.
- Monsieur, est-ce vraiment…
Tu avais croisé les bras sur ta jolie poitrine.
- Le compte à rebours a commencé.
Sa volonté était gravée dans la pierre, même ton agacement ne pouvait l’en dissuader. Tu as soupiré, levé les yeux au ciel et tu es entrée rapidement dans le bâtiment. Peut-être qu’une bonne chose était ressortie de cette terrible, horrible, mauvaise, très mauvaise journée.
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Crocodile était extrêmement heureux du résultat de sa décision. Il se sentait en paix en sachant qu'il pouvait te protéger et te garder à l'abri de ceux qui chercheraient à prendre le pouvoir sur lui. Ou pire encore, d'autres magnats essayant de recruter tes services pour les leurs. Il avait surpris Mihawk en train de te parler tranquillement après la dernière réunion des grands corsaires, et tu avais ri de quelque chose qu'il avait dit.
Il ne t'empêcherait pas d'avoir une conversation avec l'épéiste, mais il n'aimait pas ça. Il savait que même Sengoku avait essayé de te recruter comme Marine. Tu as refusé toutes les offres et tu es restée avec Crocodile. Il ne s'inquiétait pas de ta loyauté, mais Crocodile n'aimait pas l'attention que tu recevais des autres. Tu étais son assistante personnelle et Crocodile n’aimait pas partager. 
Il a essayé de te donner ton espace et de te permettre d'avoir ta propre vie personnelle au sein du manoir. Il ne voulait pas te contrôler, il savait que tu étais indépendante. Mais comme vous partagiez désormais le même manoir (gigantesque), il te voyait parfois en dehors de tes heures de travail. Il te voyait flâner dans les jardins, à t'occuper de tes plantes, regarder les étoiles depuis le balcon.
Quand tu ne travaillais pas, tu t'habillais de manière plus décontractée, permettant à Crocodile de voir davantage ton corps. Le fait que tu ne l'appelais que « Monsieur », même en dehors du travail n'aidait pas. Il avait longtemps fantasmé sur ta voix sensuelle disant « Oui Monsieur » et « Non Monsieur » dans un cadre plus intime. Il avait essayé avec plusieurs de ses poupées, mais aucune d'entre elles n'y parvenait. Seul ton « Oui Monsieur » faisait battre son cœur. 
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Plus tu vivais dans son manoir, plus Crocodile devenait méfiant quant à la nature de tes sentiments à son égard. Crocodile n'était pas du genre à demander directement, mais tu semblais avoir des sentiments qui surgissaient de temps en temps.
Une fois, il t'avait demandé d'aider une poupée à partir le lendemain matin, après une nuit dans sa chambre et tu avais catégoriquement refusé.
C'était la première fois que tu refusais une tâche qu'il te demandait. Et tu n'avais pas reculé. Tu as dit que cela dépassait le cadre de tes fonctions, mais que tu enverrais une femme de ménage.
Si Crocodile avait dû mettre une émotion dans ton ton, cela aurait été de la jalousie.
D'autres fois, il t'avait surprise en train de le fixer, de rougir et de détourner le regard quand il l'avait surpris. Vous travailliez ensemble depuis des années, mais avec la proximité et ton nouveau statut de célibataire, peut-être que tes sentiments étaient en train de changer.
Crocodile voulait tester sa théorie. Un jour, alors que ta jupe crayon était particulièrement serrée, il t'a appelée dans son bureau à domicile. Il était adossé à sa chaise, fumant un cigare comme d'habitude, des papiers sur son bureau. 
- Oui Monsieur ?
Tu te tenais à l’entrée du bureau.
- Entres, je ne mords pas.
Tu t’es immédiatement rapprochée de son bureau, une légère confusion sur le visage. Normalement, il essayait de te parler de la manière la plus professionnelle possible, et tu avais immédiatement remarqué le changement dans son langage.
- Jettes un œil aux derniers chiffres de Rain Dinners. Je sais que les calculs sont corrects, mais il manque quelque chose.
Tu t’es approchée à côté de lui et tu t’es penchée pour lire, comme tu l'avais fait tant de fois auparavant. Mais cette fois, il a posé sa main sur le bas de ton dos. Tu n'as rien dit, mais il t’a entendu inspirer. Intéressant. 
Tu as passé un moment à feuilleter les pages.
- Je vois le problème Monsieur, dis-tu toujours penchée.
Crocodile se leva et se pencha à côté de toi, t’emprisonnant d’un bras.
- Je m’excuse. Il vous manque une page du rapport.
Tu rougissais furieusement, mais tu continuas :
- Je vais vous en procurer une copie.
Tu étais énervée. 
- Merci, c’était tout, souffla Crocodile dans le creux de ton oreille.
Tu frissonnas sous le contact rapproché. Crocodile se rassit dans son fauteuil, te libérant. Tu courus pratiquement hors de la pièce, le visage aussi rouge que si tu avais passé toute ta vie dans le désert d'Alabasta. Très intéressant.
~~~
Crocodile voulait fixer des limites claires et obtenir ton consentement avant de faire quoi que ce soit. Il te respectait en tant que personne et si tu devais refuser, il voudrait quand même te garder comme employée.
Il t’a appelé un soir.
Tu es arrivée rapidement, mais dans des vêtements plus décontractés car c'était en dehors de tes heures de travail. Tu portais une robe d'été mi-longue avec un motif à fleurs bleues. Elle accentuait tout ce que Crocodile aimait dans ta silhouette : la perfection.
- Comment puis-je vous aider Monsieur ?
Polie comme toujours. 
- Viens ici.
Crocodile t’a fait signe d’un doigt tendu. Tu t’es placée devant lui comme attendu. Il a soigneusement enroulé son crochet autour de ta taille et t’a tirée plus près, juste devant sa silhouette assise.
- C’est mieux.
Il a retiré son crochet. 
- Est-ce que ça te plaît de travailler pour moi ?
Tes sourcils se sont levés de surprise.
- Bien sûr Monsieur. C'est le meilleur travail que j'ai jamais eu. 
- Te souviens-tu du jour où je t’ai embauché ?
Crocodile tirait sur son cigare, laissant la fumée s’échapper de sa bouche. En même temps, il polissait son hameçon avec un chiffon. Il savait qu’il avait une silhouette imposante.
- Oui Monsieur.
Tu étais fascinée par la vue du crochet doré, brillant dans la lumière tamisée. 
- Tu te souviens de notre conversation à propos des bananawanis ?
Tu détournas les yeux de son crochet.
- Oui Monsieur. L’une des conditions d’embauche était d’être à l’aise avec les bananawanis. Vous m’avez demandé si j’avais des inquiétudes quant à la façon de m’occuper d’eux.
Tu devenais nerveuse, incertaine du but de la conversation.
- Tu te souviens de ce que tu m'as dit ? Sourit Crocodile d'un air troublant.
- Oui Monsieur. Ce sont des prédateurs de premier plan, il faut les traiter avec soin et respect. Si vous acceptez votre place sous eux, ils peuvent être affectueux et doux. En cela…
Tu l’as regardé dans les yeux :
- … je doutais qu’ils soient les créatures les plus dangereuses de la propriété.
- Tu crois toujours que c'est vrai ?
Crocodile se redressa de toute sa hauteur, te dominant. Tu levas les yeux vers lui. Tu semblais nerveuse mais pas effrayée.
- Oui Monsieur.
- Et que dirais-tu d'une créature plus dangereuse ?
Il parla à voix basse, regardant ton visage rougir. Il enroula lentement son crochet autour de ta nuque, te laissant le temps de t'éloigner. Tu ne bougeas pas, sauf pour frissonner.
-  Ah, probablement la même chose Monsieur. Si j'acceptais ma position de subordonnée, je pense que la plupart des créatures fortes… euh… seraient réceptives.
Crocodile tira doucement sur son crochet, dévoilant ton cou à lui. Il se pencha à ta hauteur, caressant de ses lèvres la partie exposée de ton cou.
- Parles maintenant de tes objections.
Il disait la vérité, la moindre hésitation de ta part et il s’arrêterait immédiatement. Il s’intéressait à la soumission volontaire, rien d’autre.
- Monsieur, je… j'avoue que j'en ai envie, mais je crains de mélanger affaires et passion.
Crocodile sourit à ta déclaration, faisant écho à ses paroles prononcées le jour de ton anniversaire. Tu avais donc été affectée également.
- Si quelque chose de désagréable se produit entre nous, maintenant ou plus tard, je t’assure que nous reviendrons à notre arrangement précédent. Tu ne seras pas renvoyée et ne subiras aucune sanction. Trouves-tu cela acceptable ?
Il préférait perdre son autre main que toi. Tu as hoché la tête. 
- Oui Monsieur.
Tu le regardas avec des étoiles dans les yeux.
- Si je fais quelque chose et que tu souhaites mettre un terme à l’expérience, dis « non ». Si tu dis « arrêtez », je ne le ferai pas. Si tu dis « je vous en supplie », cela ne m’émeut pas, pas plus que les larmes. Si tu dis « non », je cesserai immédiatement mes actions. Tu comprends ?
Tu déglutis.
- Oui Monsieur.
- Quel mot mettra fin à quelque chose que tu ne souhaites pas voir arriver ?
- Je vous dis non, Monsieur.
- Très bien. Enlève ta robe.
Tu avais l’air nerveuse, mais tes lèvres se relevèrent aux coins sous son léger compliment. Il savait que tu faisais de ton mieux quand on t’approuvait.
Il se rassit sur sa chaise et admira ton élégance. Tu abaissas lentement les bretelles de ta robe, puis tu en retiras tes bras. Tu ne portais pas de soutien-gorge, tu avais jugé que la robe suffisait. Il avait vu de nombreux strip-teases de ses poupées, tous parfaitement conçus et pratiqués pour enflammer le désir d’un homme. Le tien n’avait aucun artifice, aucune ruse, rien de calculé. Et pourtant, il trouvait ta performance bien plus sensuelle et séduisante.
Il sentit sa verge se raidir davantage à chaque seconde qui passait. Lorsque tes bras furent libres, tu laissas ta robe s’accumuler à tes pieds et tu en sortis. Tu restas immobile, attendant son jugement.
- Absolument magnifique.
Il se releva, tourna lentement autour de toi, laissant le métal de son crochet glisser sur ta peau nue. Il le fit glisser sur ton dos, sur l’arrière de tes bras, sur tes clavicules en faisant le tour de toi. Partout où il le faisait glisser, ta chair se colorait de chair de poule.
- Tu es encore plus belle que je ne l’aurais jamais imaginé.
Tu te figes à ses mots. Il continua à te taquiner avec son crochet.
- Est-ce que ça te rend nerveuse quand je contemple ta beauté ?
- Non Monsieur.
Il finit de te boire et se rassit, écartant les jambes.
- Viens t’asseoir, dit-il d’une voix douce comme de la soie.
Tu t’approchas de lui sans hésiter, tes seins rebondissant doucement tandis que tu marchais. Tu te perchas gracieusement sur le côté de sa cuisse puissante, attendant son prochain ordre. Tu suivais toujours si bien ses ordres, après tout. Il posa son cigare et posa sa main sur ton flanc, te rapprochant de lui.
- Exquise au-delà de toute comparaison.
Rapprochant son visage du tien, il enroula sa main dans tes cheveux, à l’arrière de ta tête. Il tira, inclinant ton visage vers le haut. Tu haletais doucement. Il chercha sur ton visage le moindre soupçon de doute persistant, mais il ne vit que du désir brut.
Il approcha ses lèvres des tiennes très lentement, rampant centimètre par centimètre, sans encore t’embrasser, mais oh si près. Tu essayas de l’atteindre avec ta bouche, mais sa main t’en empêcha.
- Pas besoin de te précipiter, je ne vais nulle part, dit-il en mordant doucement le lobe de ton oreille.
Crocodile n’avait pas en lui la force d’attendre plus longtemps pour t’embrasser. Il approcha ses lèvres des tiennes, ouvrant la bouche. Tu le laissas entrer tandis que sa langue explorait la tienne. Il t’embrassa à son rythme tranquille, te montrant qui avait le contrôle. Il était exigeant et dominant et tu aimais chaque instant. 
- Dis-moi, si je te touchais entre tes jambes, est-ce que tu serais mouillée pour moi ? Demanda-t-il en embrassant ta mâchoire.
Tu devins rouge cramoisie, mais sa main dans tes cheveux t'empêcha d'éviter son regard.
- Oui Monsieur. 
- Montre-moi.
- Oui Monsieur.
Tu écartas tes cuisses tremblantes pour lui, révélant ta culotte trempée. Il dénoua sa main de tes cheveux et fit glisser un doigt le long de ton bras, de ton ventre, jusqu'à tes cuisses. Il passa la main autour de toi et déchira les côtés de ta culotte, la détruisant et révélant ton entrejambe luisante. Tu haletas mais ne bougeas pas. Il fit glisser un doigt le long de ta fente, sans séparer tes lèvres inférieures, mais les doigts revenant toujours brillants. 
- Est-ce que ça fait du bien quand je te touche comme ça ?
- Ou…oui Monsieur, as-tu répondu en retenant un gémissement. 
- Tu en veux plus ?
- Oui Monsieur. S'il vous plaît.
Oh, tu n'avais jamais ajouté cette petite supplication auparavant. Crocodile se sentit devenir encore plus dur. Peut-être qu'un jour il te ferait supplier. Mais pas aujourd'hui. 
- Monte sur ma cuisse, c'est comme ça que tu vas jouir ce soir.
Il voulait regarder ton visage et profiter du désordre que tu avais fait sur son pantalon. Il aurait tout le temps pour d’autres moments de plaisir. Il t'a déplacée pour que tu sois à califourchon sur sa cuisse.
- Oui Monsieur.
Il était content que tu n’aies pas hésité, que tu sois aussi intéressée à obéir, que lui l’était à commander. Tu as commencé à tournoyer sur son énorme cuisse, émettant de petits gémissements, tes mains sur ses épaules pour plus de stabilité.
Il en a profité pour prendre ta poitrine en coupe, pétrissant le monticule entre ses doigts. Parfois, il regrettait sa deuxième main. C’était l’un de ces moments où il aurait aimé pouvoir sentir tes deux seins en même temps.
Au lieu de cela, il a soulevé sa cuisse pour que tu sois plus près de lui et a penché sa tête pour lécher et taquiner tes mamelons. Tes gémissements n’ont fait qu’augmenter. Il a embrassé toute ta poitrine et ton cou, en s’assurant de laisser quelques marques. Ta tête était rejetée en arrière, tes yeux vitreux alors que tu cherchais ton plaisir. Tes gémissements augmentaient en rythme et en intensité, tu étais proche. 
- Demande-moi la permission de jouir, dit Crocodile d’une voix lente.
- S’il vous plaît Monsieur, puis-je jouir ? Répondis-tu rapidement sans arrêter tes mouvements.
Il voulait te récompenser ce soir. 
- Oui, tu peux.
Tu gémissais et tu te cabrais plus vite contre sa cuisse, balançant tes hanches en petits cercles. Il pouvait dire au moment où tu succombas, il sentit ton sexe spasmer à travers son pantalon. Il te regardait sortir de l'euphorie, le visage déformé par le plaisir. Il était proche lui aussi, mais ce soir n'était pas pour lui.
Après avoir fini, tu avais besoin d'un moment de repos. Tu appuyais ton front contre sa poitrine, respirant lourdement. Un instant plus tard, il te souleva et t'installa sur son autre cuisse.
- Bonne fille, comme tu as si bien obéi. Regarde le désordre que tu as fait sur moi, dit-il en désignant la tache humide sur son pantalon.
Tu rougis, mais tu lui souris toujours alors qu'il te ceinturait de ses bras. Il t'enveloppa dans une couverture à proximité de son canapé, te permettant de t'effondrer contre sa large poitrine. Il ralluma son cigare et s'assit paisiblement en fumant. Sa verge dure comme du roc attendrait plus tard.
- Merci Monsieur. Puis-je vous poser une question ?
- Bien sûr.
- Est-ce qu’on pourrait… refaire ça un jour ?
Tu avais l’air peu sûre de toi, mais Crocodile t’a souri gentiment.
- Ma chère, libère ton emploi du temps pour ce soir. Et pour le lendemain. Et pour l’avenir proche. Après tout, je ne suis rien d’autre qu’une créature affectueuse et douce.
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lisaalmeida · 7 months ago
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Ma nuit est comme un grand cœur qui bat.
Il est trois heures trente du matin.
Ma nuit est sans lune.
Ma nuit a de grands yeux qui regardent fixement une lumière grise filtrer par les fenêtres.
Ma nuit pleure et l’oreiller devient humide et froid.
Ma nuit est longue et longue et longue et semble toujours s’étirer vers une fin incertaine.
Ma nuit me précipite dans ton absence.
Je te cherche, je cherche ton corps immense à côté de moi, ton souffle, ton odeur.
Ma nuit me répond : vide ; ma nuit me donne froid et solitude.
Je cherche un point de contact : ta peau. Où es-tu ? Où es-tu ?
Je me tourne dans tous les sens, l’oreiller humide, ma joue s’y colle, mes cheveux mouillés contre mes tempes.
Ce n’est pas possible que tu ne sois pas là.
Ma tête erre, mes pensées vont, viennent et s’écrasent, mon corps ne peut pas comprendre.
Mon corps te voudrait.
Mon corps, cet aléa mutilé, voudrait un moment s’oublier dans ta chaleur, mon corps appelle quelques heures de sérénité.
Ma nuit est un cœur en serpillière.
Ma nuit sait que j’aimerais te regarder, chaque courbe de ton corps, reconnaître ton visage et le caresser.
Ma nuit m’étouffe du manque de toi.
Ma nuit palpite d’amour, celui que j’essaie d’endiguer mais qui palpite dans la pénombre, dans chacune de mes fibres.
Ma nuit voudrait bien t’appeler mais elle n’a pas de voix.
Elle voudrait t’appeler pourtant et te trouver et se serrer contre toi un moment et oublier ce temps qui massacre.
Mon corps ne peut pas comprendre.
Il a autant besoin de toi que moi, peut-être qu’après tout lui et moi ne formons qu’un.
Mon corps a besoin de toi, souvent tu m’as presque guérie.
Ma nuit se creuse jusqu’à ne plus sentir la chair et le sentiment devient plus fort, plus aigu, dénué de la substance matérielle.
Ma nuit me brûle d’amour.
Il est quatre heures du matin.
Ma nuit m’épuise.
Elle sait bien que tu me manques et toute son obscurité ne suffit pas pour cacher cette évidence.
Cette évidence brille comme une lame dans le noir.
Ma nuit voudrait avoir des ailes qui voleraient jusqu’à toi, t’envelopperaient dans ton sommeil et te ramèneraient à moi.
Dans ton sommeil, tu me sentirais près de toi et tes bras m’enlaceraient sans que tu te réveilles.
Ma nuit ne porte pas conseil.
Ma nuit pense à toi, rêve éveillé.
Ma nuit s’attriste et s’égare.
Ma nuit accentue ma solitude, toutes mes solitudes.
Son silence n’entend que mes voix intérieures.
Ma nuit est longue et longue et longue.
Ma nuit aurait peur que le jour n’apparaisse jamais plus mais à la fois ma nuit craint son apparition, parce que le jour est un jour artificiel où chaque heure compte double et sans toi n’est plus vraiment vécue.
Ma nuit se demande si mon jour ne ressemble pas à ma nuit. Ce qui expliquerait pourquoi je redoute le jour aussi.
Ma nuit a envie de m’habiller et de me pousser dehors pour aller cherche mon homme.
Mais ma nuit sait que ce que l’on nomme folie, de tout ordre, sème-désordre, est interdit.
Ma nuit se demande ce qui n’est pas interdit.
Il n’est pas interdit de faire corps avec elle, ça, elle le sait. Mais elle s’offusque de voir une chair faire corps avec elle au fil de la désespérance. Une chair n’est pas faite pour épouser le néant.
Ma nuit t’aime de toute sa profondeur, et de ma profondeur elle résonne aussi.
Ma nuit se nourrit d’échos imaginaires. Elle, elle le peut. Moi. j’échoue.
Ma nuit m’observe. Son regard est lisse et se coule dans chaque chose.
Ma nuit voudrait que tu sois là pour se couler en toi aussi avec tendresse.
Ma nuit t’espère. Mon corps t’attend.
Ma nuit voudrait que tu reposes au creux de mon épaule et que je me repose au creux de la tienne.
Ma nuit voudrait être voyeur de ta jouissance et de la mienne, te voir et me voir trembler de plaisir.
Ma nuit voudrait voir nos regards et avoir nos regards chargés de désir.
Ma nuit voudrait tenir entre ses mains chaque spasme.
Ma nuit se ferait douce.
Ma nuit gémit en silence sa solitude au souvenir de toi.
Ma nuit est longue et longue et longue.
Elle perd la tête mais ne peut éloigner ton image de moi, ne peut engloutir mon désir.
Elle se meurt de ne pas te savoir là et me tue.
Ma nuit te cherche sans cesse.
Mon corps ne parvient pas à concevoir que quelques rues ou une quelconque géographie nous séparent.
Mon corps devient flou de douleur de ne pouvoir reconnaître au milieu de ma nuit ta silhouette ou ton ombre.
Mon corps voudrait t’embrasser dans ton sommeil.
Mon corps voudrait en pleine nuit dormir et dans ces ténèbres être réveillé parce que tu l’embrasserais.
Ma nuit ne connaît pas de rêve plus beau que celui-là.
Ma nuit hurle et déchire ses voiles, ma nuit se cogne à son propre silence, mais ton corps reste introuvable. Tu me manques tant. Et tes mots. Et ta couleur.
Le jour va bientôt se lever.
- Frida Kahlo, Lettre à Diego Rivera (12 septembre 1939)
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camisoledadparis · 11 days ago
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saga: Soumission & Domination 363
L'effervescence règne à la villa. On se prépare pour la soirée. Epilation toute fraiche, massage respectifs de nos corps avec un hydratant qui nous laisse la peau soyeuse, rasage pour ceux qui en ont besoin, bref on se fait tous beaux.
Marc et Hervé nous regardent d'un oeil goguenard. Jusqu'à ce qu'on s'occupe de leurs cas !  Séparés en deux groupes, nous leur sautons dessus et les immobilisons. Là, ils ont droit à la même préparation que nous, pipe en plus (histoire de se faire pardonner). Au sortir du même régime, ils nous paraissent encore plus canon nos deux quadras. C'est tout juste s'ils font la 30aine dépassée.
Le plus dur, les vêtements. Paco qui connait bien la boite nous dit que nous serons en maillot de bain très vite surtout avec nos physiques de bogosses.
A lui aussi je demande de se préparer car y'a pas de raison qu'il ne nous accompagne pas lui aussi. Dans un premier temps il refuse, argumente qu'il aura plein de rangements à faire après le diner. J'envoie Jesus lui faire des yeux de chat malheureux pour avoir son acceptation. Donc retour au choix des maillots. Pour moi ce sera un Aussiebum un " Lowrider Flower Power ". L'élasthanne présent épouse bien la forme de mon paquet et il est très " court " sur les fesses ! PH et Ludovic optent pour  un ES " Barcelona marin " rouge pour l'un et bleu pour l'autre. Ernesto se prend un Addicted de la dernière collection un " sport sailor " pour être en accord avec mes deux autres amours, auquel il a enlevé le mécanisme pack up, ses 24x6 même au repos restent très " visibles " ! La triplette opte pour le même maillot Aussiebum le " League 15 " blanc. Les autres s'équipent aussi " cute ", même nos deux ainés qui enfilent un boxer.
Un jeans plus un marcel et nous descendons à pied. La station est plein de beaux mecs. Notre groupe se fait siffler plus d'une fois avant que nous arrivions à la boite. A la porte un des mecs qui nous avaient " racolés " sur la plage est au tri ! Il nous repère même si nous sommes plus nombreux. Il nous laisse entrer et fait un signe de tête à Paco quand ce dernier passe devant lui. Il me dira plus tard (le mec de la boite) que Paco était assez connu sur la place ! Nous laissons tomber très vite les t-shirt et torses nus, nous nous jetons dans la foule de mec en train de danser. La musique est forte, l'ambiance chaude. Je mate autour de moi. En dehors de la " villa ", il n'y a que du beau mec ! Physiquement pas plus de 30ans musclés bronzé, avec ou sans barbe mais tous baisables !! Les pantalons tombent des fesses même s'ils n'en cachaient pas grand-chose déjà. Les maillots sont pleins et certains ont du mal à tout retenir de ce que leurs propriétaires veulent cacher. Nos deux ibères sont dans cet état. Moi je me retiens encore malgré les nombreuses mains sur mes fesses qui essayent de baisser mon jeans ! Ludovic et Enguerrand sont quand même les plus canons et eux aussi sont collés et appréciés à leurs justes valeurs. Ernesto comme PH et nos deux ainés surveillent notre triplette. Pas question que leur " fraîcheur" ne soit exploitée.
Paco vient me voir alors que je suis en " surveillance " de mon petit monde pour me prévenir qu'il a fait ce qu'il fallait pour que nos jeunes soient en sécurité. Comme je ne comprends pas, il me dit qu'il a fait passer le mot aux mecs de la sécurité pour qu'ils ne leur arrivent rien de fâcheux. Il me désigne discrètement les types. A part les " officiels " reconnaissable, il m'en montre une demi-douzaine d'autre qu'on aurait pu prendre pour des usagers. Un qui me voit en train de parler avec Paco me fait un signe de tête.
Du coup je me lâche. Je rentre dans la mêlée joue des coudes pour m'installer et danse. Mes amours me rejoignent et dans l'ambiance nous n'hésitons pas à nous rouler des pelles. Quand je jette un coup d'oeil panoramique, je vois Marc coller un petit mec mimi tout comme Hervé. Les petits sont toujours ensemble et s'éclatent à l'autre bout de la piste. Alors que je vais pour repartir dans mon trip, j'aperçois un des " sécurités " en civil (càd en maillot de bain) choper un mec plus âgé qui collait un peu trop nos jeunes et le dégager.
En attendant moi je me fais draguer par un mec qu'on croirait sorti d'un film de BelAmi type Kris Evans. Grand, gueule carrée, musclé, imberbe avec un maillot déformé par un paquet volumineux et pesant. Tentant non ?! Ben oui, je suis humain et je me laisse tenter. Ernesto me voit partir avec le mec vers des fauteuils. Il tombe dessus et m'entraine avec lui. J'essaye de me retenir mais je glisse et lui tombe tout cru dans les bras. Pelle ! Langue encore fraîche, impérieuse dans sa façon de vouloir enrouler la mienne. Je ne me laisse pas faire, on est du même gabarit ! Mes mains palpent ses pecs qu'il contracte. Belles masses aux gros tétons sensibles. Comme je suis couché sur lui, mes abdos m'annoncent son érection et l'amplitude de cette dernière. A vue de " peau ", il doit faire dans les 21/22 bien larges au moins 6 ! Tout ce que j'aime chez un type avec qui baiser !! Mais c'est encore un peu tôt. On retourne sur la piste et nous dansons collés, très collés. De nos bouches grandes ouvertes afin de pouvoir gouter la langue de l'autre jusqu'à nos cuisses, on n'aurait pas pu glisser entre nous une feuille de papier à cigarette !! Caliente !! Il connait bien la boite et nous isole dans un recoin. Nos bites en profitent pour sortir de leurs écrins et c'est lui le premier à s'accroupir pour me la bouffer. Il devait être affamé, quoi qu'avec son physique je ne vois pas comment ça se pourrait, car il me l'avale jusqu'aux couilles. Il me donne l'effet d'un mort de faim tellement il met de l'entrain à me bouffer la queue. Mon gland ne sort de sa gorge que pour les respirations que je trouve très espacées ! Mes mains se posent naturellement sur ses épaules et massent ses trapèzes balèzes et descendent titiller ses tétons sûrement travaillé vu leurs tailles. En pinçant les deux " boutons ", je le tire vers le haut et on repart en pelle juste le temps que j'attrape sa bite et ses couilles. A la base ma main ne fait que la moitié du tour ! Et j'ai beau serrer, je ne progresse pas vu la raideur de l'engin.
A mon tour de lui gober le gland. Je lui démontre qu'il n'est pas le seul à savoir faire des gorges profondes !! Ç'est lui qui me redresse avec la même technique que moi. On se roule des pelles pendant que nos deux bites s'apprivoisent.
Nous sommes interrompus par l'arrivée d'Enguerrand. Il me parait tout chafouin !
Sans trop me décoller de ma trouvaille, (faudrait pas qu'il prenne la tangente), je lui demande ce qui se passe. Il me dit qu'ils sont tellement surveillés qu'ils vont rentrer bredouille de la soirée.
Je ne réfléchis pas, je le glisse entre nous deux, dos contre mon torse. Il ne s'y trompe pas et entreprend ma " conquête ".
L'autre se laisse faire. Le roulage de pelle qu'ils se font ne le fait pas débander et je descends avec son short le maillot d'Enguerrand qui commençait à être trop petit.
Je glisse sur le côté et nous pouvons nous lécher le museau à trois. Je garde une main sur le cul d'Enguerrand afin de prévenir toute velléité d'envahissement sauvage, l'autre est occupée à tester la rondelle de l'indigène.
Pas de réticence à la progression de mes doigts de fée vers puis dans le cul de mon " BelAmi ". De l'autre côté, je sens sa main rejoindre la mienne et me demander le passage. Je vérifie que c'est bien la sienne avant de le laisser passer.
Le doigt qu'il enfile dans mon petit beau-frère fait bander encore plus fort ce dernier.
On est bien chauds. J'attrape 2 kpotes dans mon jeans et en tends une à l'inconnu. J'enfile l'autre.
Debout, Enguerrand plaqué contre le mur se prend les 21x6 dûment recouverts alors que j'enfile ma bite dans son enculeur. Trop bon ! Je suis hyper serré et le mec en rajoute en comprimant sa rondelle. Je vois qu'Enguerrand aussi prend du plaisir. La joue écrasée contre le mur, les yeux fermés, il halète sous le labourage en règle de son intimité. Je m'accroche à ses épaules et bascule mon bassin violemment en avant pour prendre et lui faire prendre son pied. C'est chose faite 10mn plus tard. Lui mordant l'épaule pour éviter que je hurle, je rempli ma kpote dans un dernier coup de rein qui l'écrase sur Enguerrand. Aux spasmes qui agitent sa rondelle je conclu qu'il fait de même bien au fond du trou d'Enguerrand. Je récupère au creux de ma main le sperme de ce dernier pour qu'il ne marque pas son territoire avec ses gènes. Sans que je lui dise, il vient lécher sa production pour me nettoyer les doigts.
Notre inconnu le regarde puis me remercie d'avoir partagé ma " salope " avec lui. Quand je lui dis que c'est mon " Ermanastro ", il s'interloque avant d'éclater de rire et de me dire que j'avais trouvé la famille idéale. Il comprend d'autant mieux que Ludovic nous a, à ce moment-là, retrouvé.
Il ne s'éloigne pas alors que je me fais gentiment remonter les bretelles par Ludo qui me dit, en reluquant l'ibère de la tête aux pieds, que je ne pense qu'à moi.
Je me défends que j'aie partagé avec Enguerrand. La confirmation de ce dernier me sauve quelques instants. On se réajuste et j'entraine mes deux partenaires sexuels et mon mec vers le bar nous rafraichir.
Malgré la musique, on en apprend un peu plus sur le mec. Il se nomme Felipe, il est madrilène et en congés. Avec une demi-douzaine de potes, ils ont loués une villa un peu en extérieur avec piscine. 5 mn plus tard il nous invitait tous les trois à passer les voir. Ses potes étant comme lui, homos et pas trop mal foutus.
Dos contre le bar, il les cherche du regard et nous les montre. Je lui dis que nous c'est pareil sauf qu'on est un peu plus nombreux. J'arrive à retrouver la bande sauf Marc qui doit se faire plaisir avec un petit mec dans un coin. A mon tour je les montrer du doigt (je sais, c'est pas poli mais difficile de faire autrement !).
Avec amusement nous voyons nos amis respectifs opérer un mouvement vers nous et nous finissons ensemble. Présentations, amusement de la similitude de nos situations, surtout quand nous leur donnons notre adresse et qu'elle se situe à une rue de la leur ! Ses amis sont du même type que lui, sportifs et musclés imberbes et bien montés (vu les maillots bien remplis).
Quand Marc nous rejoint enfin, on décide que la nuit est assez avancée pour que nous rentrions.
Comme leur villa est sur notre chemin, nous nous y arrêtons.
Plus petite que la nôtre elle aussi est tout confort avec piscine et jacuzzi. Felipe sort les bouteilles du frigo. Vodka, gin, whisky... le choix est vaste et les doses servies conséquentes. Auraient-ils comme des envies d'abuser de nous ?? En attendant ils sont sympathiques et les maillots volent au moment de nous jeter dans l'eau. Quand nous y sommes tous, impossible de nager !! Mais je crois que c'était pas trop le but non plus ! Les corps se frottent les muscles gonflent et les bites entrent toutes en érection. Je laisse Felipe que je connais déjà pour ses potes. Notamment le plus jeune et aussi le plus " développé " coté musculature. Quand j'empoigne ses bijoux de famille, de ce côté là aussi il n'a pas été laissé pour compte. Bonne queue raide accompagnée d'une paire de couilles glabres d'un beau volume aussi. Nos tétons se collent alors que je lui roule un patin. Sa langue goûte encore la vodka qu'il s'est enfilée tout comme moi. Ouf ! On ne va pas faire de mélange d'alcool qui nous donnerait mal à la tête au réveil (lol) ! Sa bite passe sous mes couilles et dans l'eau je m'assois dessus. Elle me tente et j'ai envie de connaitre sa dextérité à s'en servir. Je sors de l'eau et d'un coup de rein, le tire du bassin. Il m'entraine dans la villa. Je n'avais pas fait attention mais plusieurs mecs étaient déjà partis sur des plans " particuliers ". Du coup, on a un peu de mal à trouver où nous poser. On finit par revenir sur la terrasse et on se met au " travail ". On doit avoir le même âge et son physique est nickel. Brun de poil mais totalement imberbe ou épilé sauf la touffe, il est bronzé avec marque de maillot. Ce qui me fait kiffer grave. Sa belle queue rose pâle arbore un gland bien violet et découvert. On passe un bon moment à se caresser, se lécher, s'embrasser (avec la langue évidemment), à se travailler les tétons aux doigts puis avec les dents. Nos bites et couilles ne sont pas de reste puisque souvent nous alternons le reste avec de bons pompages en profondeur. J'aime qu'il prenne mes 20cm sans haut-le-coeur lui non plus. J'aime sa langue inquisitrice. Elle se coule sous mon prépuce pour aller titiller mon gland, elle s'enfonce dans ma rondelle, poussant sa salive dans mes profondeurs pour préparer l'assaut prochain. De mon côté je pompe en fond de gorge ce gland qui va bientôt tester l'autre extrémité de mon tube digestif. Quand je me sens prêt, je lui enfile une kpote, le plaque dos sur la terrasse et enjambe son bassin pour venir m'assoir sur son mat.
Rhh ! Le bien que ça fait !! Il a l'air étonné que je m'enfonce en une seule fois la totalité de ses 21cm mais quand mes fesses touchent ses cuisses, il en ferme les yeux de plaisir ! Je savoure cet envahissement de mon corps avant de chevaucher mon nouvel ami. Ses mains venues se poser sur mes hanches modère ma fougue. Il en libère une pour venir la poser sur mon cou et attirer ma tête vers la sienne. Je lui roule un patin mais c'était pour me dire quelque que chose qu'il m'avait penché.
Il voulait juste me dire que j'avais un cul divin et une rondelle parfaite ! Pour ça il n'était pas obligé de chuchoter ! Je me redresse et fort, je crie à ceux qui veulent l'entendre que sa bite est une merveille et qu'elle me rend fou. Il me rattrape et me dis qu'ils ont des voisins !!
Je lui réponds que jusque-là c'était flatteur pour lui ! Il rit et me fait taire avec sa langue. Pour me laisser moins de choix, il se redresse me bascule sur le dos et tenant par les chevilles mes jambes écartées, s'ingénie à me limer la rondelle avec science. Il me fait décoller grave !
Il alterne quelques positions autres avant de remplir sa kpote au bout de sa résistance. Un petit coup de sa langue sur mon gland et je lui tapisse le visage de mon sperme. Juste la force de se trainer à l'intérieur pour trouver un coin de matelas et je tombe de sommeil. Il est midi quand j'émerge ! A peu près en même temps que tous les autres sauf Paco qui, en bon cuisinier, finissait de mettre en place le " petit déjeuner ".
Les invitants sont surpris mais apprécient l'attention. Comme ils s'étonnent de certains plats, Paco leur avoue avoir dû faire un saut chez nous.         On déjeune tous dans une bonne ambiance, les autres habitants de la maison ont trouvé eux aussi leur plaisir dans notre touze improvisée de la veille et matin. Felipe est collé de notre trio ce qui semble lui aller tout à fait. Quand j'éclairci les données, il me dit que ces trois jeunes lui ont asséché les couilles comme jamais encore ça lui était arrivé !!On rentre chez nous avec leur promesse de nous rejoindre à notre villa vers les 20h        
Jardinier
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weset-thedark-onfire · 11 months ago
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Partage accessibilité et neurodiversité
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Le site neurodiversity design regroupe beaucoup de contenus pour améliorer les interfaces graphiques web en pensant aux personnes neuroatypiques. Le tout est en anglais mais la traduction automatique n'est pas trop mal.
Il propose :
Des conseils graphiques : j'aime particulièrement la partie bouton et interface, le tout reliés aux théories UX connues (trop bien pour apprendre)
Des personaes : ce sont des fiches utilisateurices qui regroupent leur identité, leurs besoins, leurs aspirations, leurs craintes, leurs blocages, leur matériel... Généralement, c'est utilisé pour pouvoir imagine, créer et rectifier des parcours sur des sites web - entre autre chose - en ayant toujours en tête les personnes qu'on cible.
Souvent, quand on créé des personaes pour un nouveau site, une application ou même un forum, dans le but de se mettre "dans la peau de", il est rare de penser à avoir des personaes handicapés ou ayant des besoins précis en terme de sensibilité ou autre. Et quand on y pense, ces personaes peuvent être réduit à leur handicap ou stéréotypés, en mettant totalement de côté les aspirations, besoins en dehors de leur handicap. Ces fiches là font les deux et je les trouve vraiment cool.
Y'a même un personae avec des éléments "négatifs", chose que je n'avais jamais vu comme "recherche des signes de vulnérabilité chez les autres". Ce qui permet de penser à un cas souvent oublié dans l'UX : tout le monde n'est pas sympa et gentil sur le web et quand cette personne veut faire du mal avec notre produit, elle trouvera un moyen. On sors un peu du cadre "Neuroatypies et design" mais si le sujet vous intéresse, je vous conseille le super livre (en anglais encore, sorry :/) "Design for safety", d'Eva PenzeyMoog.
Dans le même cadre de personaes, les guidelines accessibilité d'Orange en ont aussi, en français ! Elles sont d'avantages ciblés sur les handicaps et les besoins que cela peut entrainer mais on a quand même un contexte :)
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clhook · 10 months ago
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Post très perso je sais pas si je vais le poster ou s'il va rester longtemps parce que je suis gênée de parler de ça mdr mais j'ai besoin de vider mon sac
j'avais un stérilet au cuivre pendant plusieurs années ça a été graduellement de plus en plus affreux au moment des règles pertes super abondantes douleurs insupportables etc mais je voulais pas l'enlever parce que je veux pas prendre d'hormones donc je serrais juste les dents une semaine et demie par mois mais à un moment j'ai commencé aussi à avoir mal en dehors des règles et surtout mal pendant les rapports je suis allée voir le médecin qui a dit que c'était parce qu'il y avait une mycose donc ok je soigne ça mais j'avais toujours mal je suis allée voir un autre médecin pour avoir un deuxième avis j'ai demandé si ça pouvait pas être de l'endométriose je me suis fait remballer ptdr j'ai fini par retourner voir mon médecin traitant qui a vu que mon stérilet était tombé et que c'était ça qui me provoquait les mycoses donc elle l'a enlevé carrément, elle m'en a prescrit un autre mais j'y suis jamais retournée parce que ça m'a un peu traumatisée et je voulais laisser mon corps trkl pendant un moment mais le fait est plusieurs mois plus tard que rien n'a changé, je suis toujours en pls pendant mes règles et je laisse plus mon mec me toucher parce qu'invariablement à chaque fois qu'on essaye je finis en larmes, pas seulement parce que j'ai mal mais parce que je suis déçue et triste et je culpabilise, impossible de mettre un tampon parce que ça me fait souffrir le martyr, et cerise sur le gâteau j'ai hyper envie d'être enceinte et d'avoir un bébé en ce moment et les gens m'en parlent systématiquement quand je parle du mariage c'est hyper dur de dire "haha on verra plus tard" alors que oui je rêve d'un bb mais je suis en combat constant avec mon corps et je suis fatiguée je pleure tout le temps l'autre jour ma collègue était hyper heureuse de me raconter que son fils va avoir un bébé j'ai tenu la conversation mais après je suis allée pleurer dans les toilettes comme une fragile j'ai pris rdv chez le médecin mais j'ai hyper peur d'y aller parce que j'ai peur d'avoir mal pendant l'examen et j'ai peur qu'elle me dise que j'ai rien et que c'est dans ma tête et que je passe le reste de ma vie comme ça ouin ouin ouin
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e642 · 7 months ago
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J'me suis embrouillée avec mon beau père. Ce week end j'étais chez le père de mon mec. Je l'apprécie qu'à moitié, il m'a payé des vacances et beaucoup de loisirs et je lui en suis reconnaissante mais c'est tout. Ce n'est pas quelqu'un que je respecte particulièrement. Samedi on mangeait tous les trois ensemble et, les élections approchant, évidemment les débats politiques sont vite arrivés sur la table. Moi, je porte mon orientation politique sur le front. Ya pas beaucoup d'efforts à faire ni besoin de beaucoup me connaître pour savoir de quel côté je suis. Beaucoup de pères (plus que de mères je remarque) penchent à droite mais lui c'était pas écrit Marion sur son front et pourtant... Alors quand il a commencé son petit speech à base de "dehors les arabes" j'ai pété un câble. À entendre certains darons t'as l'impression qu'ils se sont fait voler leur goûter, leur job, leur femme, et leurs enfants par des étrangers. J'ai été réellement rebutée par ses propos. À la fin de son baragouinage, jlui ai demandé s'il avait des cintres. Évidemment, il n'a pas saisi la noirceur du propos. Ce à quoi j'ai ajouté que si la France devenait officiellement fasciste il faudrait retourner aux techniques traditionnelles pour avorter. Puis je lui ai dit que c'était étrange ça que, pour lui, une femme se faisant violée est l'entière responsable sauf si c'est par un étranger (double problème dans sa manière de penser). Puis je lui ai dit que ce serait compliqué de concilier zéro immigration avec zéro écologie, que visiblement c'était pas linéaire dans sa tête que les gens ne partaient pas par plaisir et que les catastrophes climatiques continueraient de s'aggraver. Puis j'lui ai demandé s'il avait bien connu ses grands parents, bizarrement non car la seconde guerre mondiale est passée par là et que si ça continuait, il serait ce grand parent pour les gosses de ses enfants. Puis je lui ai demandé de m'expliquer le principe des européennes et les différences avec municipale, législative et présidentielles, et il a pas vraiment su me répondre. Que des trucs comme ça, rien de profond, pas de chiffre, juste essayer de lui faire capter le problème. Et il m'a dit que ça ne changeait rien, ce à quoi j'ai répondu qu'il n'y avait que les abrutis qui ne changeaient pas d'avis et là, là ça a coincé dans sa tête et il m'a embrouillée. Ça me dégoûte aussi peu d'humanité, de respect et de lucidité. Ça m'a réellement fait mal au cœur cette discussion et voir comme les gens sont profondément cons/tristes/pauvres/en colère pour avoir ce genre d'idées. C'est pas une vie d'exister dans la haine et le mépris de l'Autre. C'est pas une vie de penser des choses aussi grave sans être insomniaque. C'est pas une vie de pas avoir honte. C'est pas une vie de l'assumer. Avec des parents comme ça, c'est navrant à dire, mais tu m'étonnes que les 18-34 votent à droite. Si seulement on prenait assez de recul pour comprendre que nos parents ne sont pas forcément des exemples et qu'on est bien assez grand pour réfléchir. À croire que le libre arbitre, s'intéresser, se cultiver, conscientiser, se remettre en question n'arrive jamais pour certains. Ça m'a rendue très triste. Puis mon village à fait un score de 52% pour le rn et 10 pour reconquête. Comment c'est possible ? Je ne comprends pas comment on peut adhérer à tout ça et cracher sur l'histoire et les schémas pourtant connus et étudiés en classe depuis pas mal d'année déjà.
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urween · 7 months ago
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If Erik Lehnsherr/Magneto was your partner english version here
note : GN!reader et quelque peu de sub!erik
⚠︎ warnings : caractères sexuels (soumission, kink), insécurités, décès
1 470 mots
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Global
il a besoin de contact physique et dans n'importe quelle situation. Lorsque vous sortez, il vient souvent t'enlacer sans raison apparente, juste pour te sentir contre lui. En public il doit toujours avoir sa main sur toi, que ce soit ta cuisse, ton épaule, ta main, ton genoux ou même juste ton bras, il faut qu'il ait un contact avec toi. Tu as mis du temps à t'habituer complètement à ses câlins surprises, mais maintenant c'est même toi qui va le rassurer en prenant sa main.
vous ressemblez un peu à un vieux couple : vous sortez vous promener dans la forêt, vous restez quelquefois une semaine entière juste tous les deux chez vous, vous ramassez des pommes de pins. Mais vous êtes comme ça, et vous adorez l'être.
vous habitez loin de la ville, dans une forêt, et grâce à ça vous passez beaucoup de temps dehors à juste regarder la nature vivre autour de vous.
c'était inattendu mais tu as remarqué qu'il avait un corps assez frais. Il n'est pas le genre à te servir de chauffage en hiver par exemple, c'est plutôt toi qui peut prendre cette fonction. Par contre en été c'est assez pratique, ses mains sont toujours froides.
Petites choses du quotidien
lorsqu'il te prend dans les bras il te berce toujours contre lui, que vous soyez debout ou allongés.
de la même manière il passe constamment la main dans tes cheveux, sans forcément les caresser, juste pour sentir la douceur de ces derniers entre ses doigts. Il s'endort d'ailleurs très souvent comme ça, la main dans tes cheveux.
tu aimes beaucoup faire des bouquets de fleurs sauvages, parfois tu les offre à Érik, parfois tu les mets juste dans un joli vase chez vous.
à son tour, il aime beaucoup ramasser des feuilles ou pommes de pin dans la forêt pour après te les montrer et les mettre dans des bocaux, pour faire de la décoration.
tu gardes toujours une bague, un bracelet ou un collier sur toi pour qu'il puisse t'attirer contre lui s'il en a le besoin, et il le fait plus que souvent.
parfois lorsqu'il a du mal à te dire quelque chose alors il va te le dire en allemand, et à cause de ça tu as dû apprendre quelques bases de cette langue. Lors de vos premières années ensemble, il te disait qu'il t'aimait seulement en allemand, car c'était encore trop dur pour lui de le dire autrement.
Vie sexuelle
il n'a pas une libido d'adolescent, en fait il est même assez rarement le premier à engager l'acte. Il t'admire énormément, il a littéralement des coeurs dans les yeux lorsqu'il voit ton corps mais c'est quelque chose de plus profond qu'une excitation sexuelle, il trouve vraiment ton corps magnifique, tellement qu'il veut juste l'admirer en premier et qu'après oui peut-être il aura une érection naissante.
il a tout de même des envies, elles sont juste moins fréquentes que toi.
quelquefois tu vas le regarder avec ces yeux et il comprend immédiatement le message, mais ça ne veut pas dire qu'il a toujours envie, c'est variable en fait.
tu respectes toujours ça. S'il n'a pas envie, il n'a pas envie et c'est tout.
mais il sait aussi que son excitation peut monter avec un peu de temps, et dans ces moments-là tu es toujours là pour l'aider à se sentir à l'aise et en confiance.
c'est aussi pour cela que vous passez beaucoup, beaucoup, de temps sur les préliminaires. Il a besoin de prendre son temps pour être pleinement présent et aussi excité que toi. Mais honnêtement, ça te va. Grâce à ça tu as repris goût aux préliminaires qui été un peu négligés dans tes relations précédentes.
il arrive que tu te fasses plaisir par toi-même, et il a toujours un grand sourire aux lèvres en entendant tes gémissements depuis l'autre bout de la maison. Parfois il toque même à la porte et glisse un petit "je peux te rejoindre ?".
à ton tour, tu lui as appris quelque chose : la masturbation. Ça peut paraître simplet à dire comme ça, mais il n'a jamais pris le temps de le faire, ou s'il le faisait c'était juste mécanique mais jamais pour lui. Alors tu lui as expliqué de nombreuses choses et petit à petit vous avez réintroduit ce plaisir dans sa vie.
peut-être que c'est dû à la mort prématurée de sa mère, ou à son besoin de toujours tout contrôler, mais il a un petit fantasme pour la soumission. Tu l'as remarqué pour la première fois lorsque tu lui as demandé/ordonné de te regarder dans les yeux pendant qu'il venait sur toi. Depuis, tu t'amuses à le menotter au lit (pauvre menottes en fer qui ont fini ratatinées), lui mettre la main sur la gorge ou attraper son visage entre deux doigts, et même toi tu aimes beaucoup ça.
il a assez peu de pénétrations dans vos moments intimes, du moins pénétration "traditionnelle", mais Érik peut te faire jouir de nombreuses fois juste avec ses doigts, il a un peu un don pour ça d'après toi. Tu aimes aussi beaucoup garder tes sous-vêtements et le sentir à travers, c'est encore plus excitant pour vous deux.
Entourage
il ne lui reste plus personne à part toi, et quand tu essaies de lui parler de Charles il se ferme tout de suite.
tu sais qu'il a une grande amitié avec Charles Xavier et tu as essayé pendant longtemps de les raffistoler mais même toi tu sens que la situation est trop compliquée. De ce que t'as dit Érik, lui et Charles n'ont fait que de se réconcilier pour mieux se disputer pendant plusieurs années.
tu as déjà rencontré Raven, ou Mystique, comme elle préfère être appelée. Honnêtement vous pourriez bien vous entendre, mais elle est un peu distante envers toi, et envers tout le monde en général. Malgré ça elle envoie souvent des lettres chez vous, et parfois Érik dit la voir dans la rue, même si toi tu ne vois personne, ou justement trop de monde.
vous n'avez pas vraiment d'amis, donc pas de soirée le samedi soir ou restaurants, du moins pas avec des gens, juste vous deux et ça vous va très bien.
Vulnérabilité
il a des phases où il devient très froid et distant. Dans ces moments-là, tu sais qu'il vaut mieux ne pas essayer de forcer les choses au risque de la braquer davantage.
il a constamment peur de te perdre, de ne pas te protéger suffisamment, et parfois cette peur est plus forte que certains jours alors dans ces cas-là il est persuadé qu'il vaut mieux qu'il te quitte et qu'il parte. Au début, tu as eu beaucoup de mal avec ça, tu avais des difficultés à lui refaire confiance après cette phase paranoïaque, mais le temps a apaisé les choses. Il lui arrive encore d'y penser, de penser à partir pour te protéger de tout potentiel danger qu'il pourrait attirer, mais maintenant il essaie de t'en parler au lieu de psychoter tout seul dans son coin.
tu as appris à utiliser les bons mots pour le rassurer, et surtout à bannir certains mots.
mais il n'est pas le seul à avoir des moments difficiles, il t'arrive aussi d'imaginer le pire ou d'être simplement à plat. À son tour, il est là pour toi comme tu l'es pour lui. Souvent il sait que tu n'as pas envie de parler alors il te forcera à rien, il restera juste avec toi, une main sur ton corps pour te montrer qu'il ne part pas.
Phrases typiquement Érik
À quoi tu penses ?
Fais attention/Ne te brûle pas/Doucement quand tu te lèves/Laisse-moi le faire ok ?
Ça m'a fait penser à toi
Ich liebe dich bärchen
Je veux juste te protéger, tu es si agréable, beaucoup trop pour ce monde
Je ne suis pas cruel mon coeur, simplement réaliste. Regarde autour de toi, des enfants sont tués pour leurs simples ADN, alors pourquoi je devrais être compréhensif envers leurs meurtriers ?
Je ne ferais rien que tu n'acceptes pas
SEXUALITÉ
Je devrais te mettre des fils de fer aux chevilles pour pouvoir contrôler ton joli corps mein schatz
Tu vas encore venir n'est-ce pas ? Oh sweetie ne me regarde pas avec ces yeux-là, tu sais que tu as tout ce que tu veux
Tu savais que ta peau avait un goût sucré ? Non ? Maintenant tu le sais, mein süßes lieblingsdessert
Darling, tu sais que je pourrais briser ces menottes en un claquement de doigt ? Bien sûr que tu le sais, tu es magnifique, si minuscule dans mes bras et so sehr bezaubernd sur mon torse
trad allemand/français : ich liebe dich bärchen -> je t'aime petit ourson ; mein schatz -> m.a.on chéri.e/mon trésor ; mein süßes lieblingsdessert -> mon dessert sucré préféré ; so sehr bezaubernd -> tellement envoûtant.e
° x-men masterlist
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la-piscine-rpg · 9 months ago
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Ouverture (officielle) de La Piscine
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Bonjour tout le monde 👋
Ici @1019-code, je viens vous annoncer l'ouverture (officielle) de La Piscine, un discord de commandes et d'entraide pour forums Forumactif dans les domaines du codage et du graphisme.
Vous pourrez :
trouver des épreuves, "challenges", pour tester votre créativité ou faire fleurir l'inspiration (et accessoirement peut-être réussir à booster le libre-service),
rejoindre des équipes pour gagner des POINTS qui ne servent à RIEN !!!
si vous êtes prestataire, discuter entre nous dans le but de se mettre d'accord sur nos pratiques ou trouver de l'aide dans le monde merveilleux du freelance,
trouver un répertoire de prestataires pour réaliser des commandes payantes en code ou en design,
partager votre plateforme, tumblr, forum, etc pour présenter votre travail,
partager du libre-service que ce soit en code ou en design,
nous faire part de vos meilleures ressources (et en trouver !) que ce soit en code ou en design,
vous entraider et réussir à traquer les bugs ou à comprendre comment on fait des incrustations trop classes sur des bannières,
présenter votre travail en cours et recevoir tous les compliments du monde pour faire un peu de bien à votre ego,
recevoir des feedbacks si vous le souhaitez, que ce soit sur un design, une création ou un code,
demander de l'aide pour trouver l'inspiration, finie la page blanche,
présenter vos objectifs de la journée, du mois, de l'année, au choix,
partager vos coups de coeur en terme de codage ou de design, que ces derniers soient des forums où d'autres sites qui n'ont absolument rien à voir,
partager vos meilleurs memes sur le burn-out,
et tout simplement discuter de codage et graphisme !
Et en plus on a déjà 280 membres !
J'ai récemment terminé la configuration du serveur (après 2 ans, oups...), de fait j'en fais maintenant la publicité !
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Le but de La Piscine
Avec La Piscine, j'espère composer une vraie communauté d'entraide autour de Forumactif, mais aussi une plateforme de partage de ressources, de tutoriels, et aussi d'idées "irréalisables".
On a quelques scripts inédits et totalement révolutionnaires qui sont uniquement présents là-bas, faute de temps de leurs créat·eur·rice·s (oups, je parle peut-être que des miens). On a par exemple le processus complet de @code-lab concernant la génération de fiches de présentation, mais on a aussi des tentatives de bases de données de membres pour permettre des bottins automatiques mais aussi des listes de membres avancées, style masterlist, entre autre choses.
Ce que j'aimerais également, c'est que ça booste la création de libre-service. Que ce soit en design ou en code, qu'on propose + de contenu libre. Donc si vous créez régulièrement du libre-service (maquettes ou code), n'hésitez pas à nous rejoindre pour remplir les placards de vos créations !
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Vous êtes débutant·e ?
Pas de panique : La Piscine est ouverte à TOUS les niveaux ! On est là pour vous aider, même si c'est pour quelque chose d'ultra simple mais que vous ne maîtrisez pas. Et vous n'êtes vraiment pas seul·e !
Vous êtes professionnel·le ?
On est plusieurs à l'être ! et parfois on parle de nos projets en-dehors de Forumactif. Donc si vous avez besoin d'aide sur des choses plus avancées, y a peut-être moyen que vous trouviez quelqu'un pour vous aider là-bas !
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ptns-orageuses-rpg · 1 month ago
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LE REFUGE DE BESCEL
il paraît que la bâtisse est vivante ; certains disent que des fantômes y errent, des vestiges d'âmes d'anciens altérés. Ce serait pour ça que les objets bougent, que les portes s'ouvrent. C'est vrai que la nuit, elle est bruyante. Ça apeure les gosses l'histoire d'une semaine. Et après, c'est son silence qui devient inquiétant. Lorsqu'un nouveau mioche se pointe dans une chambre, son étagère de vêtement se remplit toute seule. Les draps se changent, la déco de la chambre s'adapte. Il n'y a pas d'agent entretien, dans le refuge, elle se lave, s'habille et se répare toute seule.
Le Refuge accueille les mômes altéré·es qui n'ont plus de toits sur la tête. Il arrive que les services sociaux en déposent, que des gamin·es fuguent et se retrouvent ici. Les pensionnaires restent tant qu'iels en ont besoin, certain·es ne partent jamais : deviennent employé·es du refuge à leur tour. Les soignant·es, infirmières, ami·es — appelle ça comme tu veux — sont tout·es des altéré·es.
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LA MATRIARCHE — nb / f (libre) • +45 ans TW — rumeurs de meurtre
Si dehors, il caille sa mère, c'est elle qui ramène la chaleur à l'intérieur. C'est pas qu'une directrice cachée derrière son bureau, c'est une figure politique dans le pays. 20 piges qu'elle dirige l'endroit ; elle a débuté si jeune, s'est fait·e les dents sur ses propres échecs. La daronne administrative d'un demi-milliers de mioches, autant de bouches à nourrir parce que c'est elle qui ramène l'argent sous le toit. Un boulot éreintant ? Faut aussi prendre en compte les apparitions télés, les cortèges de tête en manif et prendre soin de recevoir tout le monde dans son bureau.
On la décrit intransigeante avec les monstres dehors, d'un dévouement à faire battre les âmes. Elle est pas celle qui déposera un baiser sur le front, mais elle sera au chevet du moindre grosse bien malade. Comme toute matriarche, elle a été choisie par les lieux. Dans les couloirs, on dit qu'elle aurait tué un type, qu'elle l'aurait fait pour sauver un mioche d'un grand danger. Mais bon, c'est peut-être tout aussi faux, qui sait.
FT. Melanie Lynskey,...
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LE TOUBIB — m / nb / f (réservé) • +40 ans TW — alcoolisme (légère mention).
Il aime bien les fleurs, il y en a partout dans son cabinet. Rayon de soleil orangé par la vieillesse sur la fenêtre, sa façade d'un las sourire a besoin d'être décrassée sous un petit coup de karcher. Dire qu'il est marié à son travail relèverait de la mauvaise foi. Il s'endort sur son bureau, c'est qu'il n'a plus vraiment nul part où crécher. Il n'y a que la matriarche qui veille aussi tard pour lui mettre une couverture sur les épaules. Il s'occupe de tous les chiards du refuge, avec le sourire, sans jamais perdre patience. D'une douceur à restaurer les œuvres d'art, c'est rare de trouver pensionnaires qui le déteste.
Le refuge le cache, de la justice, de la loi. Ça a été l'un des tous premiers médecins altérés du monde. Mais voilà, il a déconné. C'est réprimé par la loi, mais pas éthiquement mauvais. Au contraire. Il a sauvé une ou plusieurs vies en faisant ça. La matriarche l'a trouvée, ils se sont vites alliés. Elle a eu raison : on dirait que ses seul tares, c'est ses goûts en matière de chemise et la main un peu lourde sur la boisson.
FT. Oscar Isaac, ...
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LE GARDIEN — m / nb (libre) • +45 ans
C'est un bien grand bonhomme, du genre à avoir deux gosses sous les bras, un troisième sur les épaules. On dit qu'il est le gardien du refuge, qu'il veille sur la bâtisse, mais c'est pas vrai. Il vieille sur les mioches, l'âme d'une nourrice planquée dans sa barbe grisonnante. On dit qu'il avait une fille, avant, et il dit qu'il a toujours voulu être grand-père. C'est un rescapé d'une guerre, d'un corps militaire ; il cauchemarde encore, parce qu'il a le cœur grand ouvert. D'une maturité émotionnelle soignée, il joue avec les petiots, aide au devoir des plus ados, écoute les déboires des jeunes adultes.
Derrière ses allures de guimauve, il a la cuirasse dure. Il protège des agressions contre la bâtisse, va chercher les mioches qu'ont fugué et qui se sont retrouvés dans le pétrin. Quand elle a besoin de lui, il est le garde du corps de la matriarche. Il joue les jardiniers, aussi, c'est grâce à lui qu'il y a toutes ces fleurs dans le bureau du toubib.
FT. Dave Bautista,...
LES EMPLOYÉ·E·S — f / nb / m (∞/∞ libre)
Les âmes du Refuge, les vraies, les authentiques ; celles qui font en sorte que les gamin·es se rangent deux par deux, qu'iels ne se perdent pas dans les couloirs. Qu'iels soient profs, surveillant·es, psychologues, secrétaire, assitant·e social...
LES BÉNÉVOLES — f / nb / m (∞/∞ libre)
Les généreux·se de passage, les aidant·es ; celles et ceux qui donnent un peu d'argent, de leur bien ou de leur temps. Celles et ceux qui aident à la garderie, donnent un coup de main à l'heure du midi ou du soir. Ils font des ateliers parfois, aident à récolter des fonds souvent, leur visage change souvent, mais leur aide est irremplaçable.
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Si vous souhaitez réserver l'un de ses PLs, n'hésitez pas à passer dans nos asks ou de nous rejoindre sur le discord ! En espérant qu'ils vous inspirent !!
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selidren · 2 months ago
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Eté 1929 - Champs-les-Sims
8/20
La journée des funérailles a été mouvementée. Par la force des choses, c'est devenu un jour chômé : comme tout le monde venait, il n'y avait presque plus personne au village pour travailler. Je n'ai jamais vu autant de monde dans notre petite église. Il faisait horriblement froid et il y avait un vent à décorner les boeufs, et pourtant des gens ce sont entassés sur le parvis. Quelqu'un a bien voulu faire une petite place pour le vieux Monsieur Jacqmarcq, car il aurait été monstrueux de laisser le nouveaux doyen du village dehors alors qu'il va sur ses quatre-vingt-dix ans.
Je n'avais pas souvenir que ma grand-mère cultivait autant de relations, mais l'immense majorité des gens avaient l'air affecté par son décès. Ils ne faisaient pas seulement acte de présence. Je pense que je ne le réalise pas encore, mais sa mort a laissé un grand vide par chez nous.
Transcription :
Ange « A ce propos, comment se porte Anne-Sophie ? »
Jeanne « L’âge n’est pas tendre, mais nous sommes dans une période faste. Elle passera au milieu de autres tout à l’heure. »
Ange « Sans avoir l’air de rien bien sur. »
Jeanne « Mon garçon, je me demande si tu as jamais su ce qu’était la subtilité. Fais donc ce que tu veux de tes affaires, mais tout le monde ne peut pas vivre comme toi tu le fais. Tu n’as pas besoin de ce regard de connivence pour avoir ma sympathie. »
Ange « Pardon. Mais comme je ne vais plus à Paris aussi souvent qu’avant, je n’ai plus grand monde à qui en parler. Des gens qui comprennent, j’entends. »
Jeanne « Ma porte t’es toujours ouverte, comme toujours. Il fut un temps où tu la passais plusieurs fois par jour pour venir pleurer dans mes jupes. Ce temps là me manque un peu je dois dire. »
Ange « De mon côté et en toute honnêteté, je vous vois comme une seconde mère Madame Jeanne. Vous aviez pourtant déjà beaucoup d’enfants dont vous occuper, et vous étiez là pour m’écouter. »
Jeanne « Oh, mais c’est bien normal. Qui oserais dire non à un garçon qui a besoin qu’on le console ? »
Ange « Plus de gens que vous ne pouvez imaginer. »
Jeanne « Tu sais, après la mort de mon premier mari, c’est un peu ce qu’a été Madame Eugénie pour moi. Oh, elle avais souvent des mots durs et des idées bien arrêtées, mais elle a toujours eu la patience de m’écouter et de me donner les conseils que j’avais besoin de recevoir. C’est grâce à elle que j’ai compris que ma vie n’était pas finie quand j’ai perdu mon second mari, et c’est cette petite tape dans la bonne direction qui a amené Anne-Sophie dans ma vie. »
Ange « Qui l’aurait cru ? Mais il est vrai qu’elle avait des talents hors de pairs. Pour moi, elle a toujours été comme l’ombre d’un très grand arbre au dessus de moi. Souvent reposante et bienveillante, mais parfois un peu pesante. »
Jeanne « J’imagine que c’est ainsi que me vois mon Andréa quand je viens lui prodiguer des conseils pour ses enfants. Même si par en juger son regard, elle appréhende parfois ma bienveillance. Mais j’imagine que c’est le lot des grand-mères. Agacer tout le monde, sans pour autant qu’on puisse réellement nous contredire, tel Mathusalem. »
Ange « Mathusalem s’applique davantage à Grand-Mère qu’à vous. Sa mort a été un sacré choc. Quelque part, j’imaginais qu’elle serait toujours là. »
Jeanne « Elle semblait bien partie pour. Elle a été dans mon entourage depuis que je suis arrivée d’Hylewood pour ma part. Je suis tant désolée pour toi. »
Ange « Nous l’avons tous perdue. Vous pas moins que les autres. »
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jeanchrisosme · 11 months ago
Text
Je sais... Je sais comme à l'intérieur tu as mal. Je sais comme parfois tu pleures sans que personne ne le sache. Je sais que tu vis dans la peur d'être jugé. Je sais comme tu attends depuis longtemps des relations profondes et sincères. Je sais comme une parole peut t'impacter telle une balle qui vient trouer ton coeur. Je sais comme dans ce monde tu as déjà beaucoup souffert. Je sais que tu as toujours beaucoup donné, voir trop au point même de ne plus savoir qui tu es. Je sais comme certains, certaines ont cherchés à éteindre ta lumière. Je sais comme tu penses depuis si longtemps que tu seras seul ici toute ta vie. Je sais comme tu es émotionnellement épuisé. Je sais que parfois tu es fatigué de te battre. Je sais comme parfois tu tournes ton regard vers le ciel, implorant de l'aide, qu'on vienne te libérer. Je sais à quel point on a cherché à te changer. Je sais comme on t'a maltraité, comme chaque cellule et chaque parcelle de ton corps ont été fracassées. Je sais qu'il est difficile pour toi de trouver ta place et ta voix. Je sais que tu as peur de souffrir encore. Je sais que tu restes seul parce que tu as peur que personne ne te comprenne et ne t'accueille tel que tu es. Je sais que tu ne comprends pas pourquoi toi tu fais tout avec le coeur et pourquoi les autres pas. Je sais cette profonde solitude qui vit en toi. Je sais comme tes émotions parfois t'étouffent et te donnent mal au ventre. Je sais comme tu étouffes quand il y a trop de monde dans la pièce ou là dehors. Je sais comme tu aimes aider parfois même au détriment de ton énergie. Je sais comme tu n'oses même plus parler par peur qu'on vienne casser tes rêves. Moi voilà ce que je vois en toi... Je vois ta force de faire face à tant de choses et pourtant être encore en vie ici. Je te vois reconnaître le bon chez les gens et crois moi ce n'est pas donné à tout le monde. Je vois ta lumière, ta capacité d'amour et de pardon. Je te vois inchangé, aligné dans ta bonté quand beaucoup d'autres aurait déjà basculé dans l'obscurité à faire souffrir pour se venger. Je te vois comme fédérant et incarnant ce dont ce monde à le plus besoin. Je vois ton coeur pur et loyal. Je te vois capable d'affronter tous les combats que la vie te donnera, je ne vois pas un seul mal dont tu ne te relèverais pas. Je vois ta foi inébranlable et pourquoi tu mènes tes combats. Je vois comme tu ressens la vérité derrière les mots et les émotions des autres qui te rendent solidaire. Je vois comme ta sensibilité révèle ta qualité d'être. Je vois comme tes pleurs transpirent de vérité. Je vois comme tu pétilles et rayonnes quand tu acceptes simplement qui tu es sans ne plus mener de combat avec toi même. Et quand parfois tu penseras marcher seul, remets en toi à moi et aie confiance en toi.
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