#avec urgence
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cucullas · 6 months ago
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Degoutée et pas mal effrayée aussi mais on y vas quoi j'espère qu'ils seront aussi contents de leur choix quand l'amateurisme niveau Aliot a Perpi aura lieu mais les perpignais sont heureux donc qui sait... envie un peu de chialer la
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fairywinds · 6 months ago
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hahahahahaha.haha i want to cry
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lilias42 · 26 days ago
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13 : s'adonner à leur passe-temps favori
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Lorenz observe son ancêtre, le Brave de la Terre Mettius Gloucester Paenitens dit les Mains Fertiles, exercer son métier : potier.
Nouveau jour, nouvelle paire d'ancêtre et de descendant avec Lorenz qui rencontre son ancêtre Paenitens, qui n'est pas pas exactement comme il l'imaginait.
Paenitens est un homme très calme, très silencieux et consciencieux qui aime par dessus tout travailler tranquillement seul dans son atelier sans qu'on vienne le déranger, tout en étant très fier de son travail qui est également sa passion (sa relation avec sa sorcellerie a une base... compliquée). Il n'y a pas grand-chose qu'il déteste plus que quelqu'un qui viendrait le voir en lui demandant "mais pourquoi tu n'utilises pas tes pouvoirs pour faire tes pots plus vite et plus ?" car, il considère que c'est bâclé le travail et que ces céramiques faites sans efforts n'ont aucune valeur. S'il vous refile une céramique fait comme ça, c'est qu'il veut vous voir dégager de son atelier, s'il ne vous a pas déjà fait dégager en déplaçant la terre sous vos pieds. Il peut être gentil et il aide son village sans souci en rendant les terres plus fertiles mais, il est juste pas très sociable et aime sa tranquillité, même si sa langue se délie assez facilement pour parler métier et technique. C'est ce qui lui a permis de se lier d'amitié avec Indech (il est l'un des deux seuls Braves à avoir rencontré un nabatéen avant la guerre dans ma fanon), ils pouvaient passer beaucoup de temps à travailler ensemble et ils ont fini par devenir amis avec le temps.
Alors, je vous laisse imaginer le contraste décapant avec Lorenz quand ils se rencontrent !
Si de visage (pour la moitié de visage qui reste à Paenitens), ils se ressemblent beaucoup tous les deux, Lorenz est aussi flamboyant, fanfaron et très fier de son rang que Paenitens discret, taiseux et modeste. Il est également très étonné de sa relative pauvreté : les légendes autour de Gloucester ont gardé le fait qu'il soit potier de base, il est même reconnu pour ça et être un excellent peintre, même si c'est assez peu évoqué pour surtout se concentrer sur sa sorcellerie qui a rendu les sols de Gloucester extrêmement fertiles, et Lorenz s'imaginait plus quelqu'un ayant un atelier avec plusieurs petites mains, et lui ne s'occuperait que de la peinture des pièces les plus prestigieuse. Alors se retrouver avec un homme habillé très simplement qui fait tout lui-même dans son coin et qu'il n'a pas d'employé à part une aide chez lui, et qui se définit lui-même comme étant d'abord un potier, un membre de son peuple puis un sorcier... voilà quoi, d'un côté, il est extrêmement fier d'avoir un ancêtre aussi talentueux mais de l'autre, il ne s'attendait clairement pas à ça.
Autre point qui l'étonne, c'est son handicap très lourd. Paenitens boite vraiment, même avec sa canne (qu'il a fait tenir à Lorenz pour éviter qu'elle ne tombe tout le temps), marche difficilement, et a beaucoup de mal à utiliser le côté droit de son corps, qu'il cache constamment sous ses très longs cheveux de sorciers (la coiffure de Lorenz après l'ellipse viendrait également des représentations de son ancêtre qu'il imite).
En fait, ce qui a rendu infirme Paenitens - Ultor à ce moment-là, littéralement "le vengeur" -, c'est qu'il n'a pas suivi les règles de la sorcellerie dont la règle fondamentale est que le sorcier doit toujours payé le prix de sa sorcellerie lui-même, règle qu'il n'a pas suivi lorsqu'un jour, ivre de colère et de vengeance contre "la créature de feu" et trouvant qu'il ne progressait pas assez vite, il a tenté d'utiliser une petite partie de l'énergie vitale d'un animal pour se renforcer lui-même. Dès qu'il a essayé, sa sorcellerie s'est complètement retourné contre lui et au lieu d'ajouter une fierté, elle s'est mise à dévorer son côté droit. Si Kelon (l'ancêtre de Claude, d'une cité voisine, même si c'est deux peuples différents) ne l'avait pas senti et arrivé aussi vite grâce à ses ailes, Paenitens serait mort à cause de sa transgression. En punition, tout son côté droit est à découvert avec quelques morceaux de muscle qui reste mais, c'est surtout un squelette de métal (qui vient d'une fierté pour le coup, ça a renforcé son corps) qui n'a plus beaucoup de force, d'où le fait qu'il est beaucoup de mal à se mouvoir et a besoin d'aide dans sa vie quotidienne (c'est vieux mais, il ressemble au dernier dessin dessin sous la coupe - attention, horreur corporel -). La sorcellerie, c'est dangereux, il faut respecter les règles sinon, elle ne vous ratera pas, ce qu'il a appris à ses dépends.
Il ne vivait que pour sa vengeance à ce moment-là, il voulait se venger de la "créature de feu" qui avait chassé son peuple de sa ville (même s'il oublie assez vite que si elle a fait ça, c'est parce que son peuple a lui a capturé et asservi tous les hommes de son peuple à elle en son absence - car ils ne l'avaient pas écouté mais ça, c'est une histoire pour plus tard - et qu'elle ne les a pas asservis, elle les a "juste" chassés étant donné qu'une fois vaincu après un coup pareil et vu qu'ils cherchent à s'installer, on met à mort les têtes pensantes et on réduit en esclavage tous les autres afin d'avoir de la main d'oeuvre docile, et au lieu de leur voler tout ce qu'ils avaient, elle les a laissés partir avec une grosse partie de leur bétail et de la nourriture pour éviter qu'ils meurent de faim et grand mécontentement de son propre peuple à elle, elle a pris un sacré risque et a surement dû imposer sa décision aux siens au lieu de la voter) et reprendre ses terres mais là, d'un, il se retrouve lourdement handicapé en pouvant à peine marcher correctement, de deux, ses pouvoirs vont nettement moins bien se développer qu'ils ne le devraient après une telle transgression, et pour finir, Kelon lui dit clairement qu'il ne pourra jamais vaincre sa "créature de feu", elle le fera juste fondre avant et elle est bien trop forte pour lui, tout en lui expliquant que dans sa cité, normalement, quand on s'installe quelque part, s'il y a déjà un autre peuple qui habite-là, on le réduit en esclavage une fois vaincu mais, pas l'esclavage antique classique où vous avez un espoir de vous faire libérer, non, là, y a quasi aucun espoir d'être affranchi un jour, on leur inculque bien qu'ils sont inférieurs et juste des serviteurs avec tout un tas de mesure humiliantes et coercitives et pour faire taire ceux qui se plaignent trop fort ou qui ont un caractère trop fort, il y a la cryptie à la fin de l'agoge (entrainement des enfants de citoyens) des meilleurs élèves, où ils doivent tuer des hilotes sans se faire prendre.
Kelon connait très bien cette "créature de feu" alors, il sait qu'elle est contre l'esclavage et encore plus qu'on traite les hilotes de cette manière et que dans la situation où ils étaient tous, ça devait la meilleure des solutions : les chasser en les laissant en vie avec de quoi survivre pendant un moment, et en empêchant les hommes de sa cité ne les poursuivre pour les asservir. On est chez des grecs pour ces deux-là, c'est très dur d'imaginer qu'on puisse avoir des relations d'égal à égal (c'est quand même eux qui ont inventé le concept d'hégémon qui domine tous les autres et est au sommet tout en profitant bien au passage) alors que deux peuples aussi différents puissent se mélanger, même si Kelon et "la créature" peuvent y penser en se disant "on peut peut-être cohabiter sans s'entretuer tout le temps, même si c'est très difficile" sans que l'un puisse asservir l'autre ou l'écraser, c'est quasi impossible pour leurs contemporains, les cités grecques se battaient entre elles pour des arbres coupés au mauvais endroit quand même.
Même eux, on leur dit que dans le futur, des peuples très différents à leur époque vont se retrouver dans le même pays et que leur continent va être divisé en trois territoires dirigés par de grandes familles de manière h��réditaire, ce serait limite lunaire (moins pour elle mais quand même, elle trouverait ça profondément stupide de laisser autant de pouvoir à un seul roi sans un deuxième pour qu'ils s'entretuent tous les deux pour avoir la primauté sur l'autre, et sans les éphores pour les réguler et les calmer quand ils font n'importe quoi, et beaucoup plus pour Kelon qui vit dans une démocratie), surtout que les grecs sont très jaloux de leur indépendance. C'est même assez général cette manière de pensée que "on peut se supporter de loin mais, faire des alliances entre peuples très différents les uns des autres, on va pas pousser, on se connait tous assez peu et on est en concurrence pour le territoire, sauf peut-être des alliances militaires pour dégager un voisin un peu trop agressif et encore, c'est vraiment de circonstance et ça ne dure pas" alors, ça ne vient pas tout seul l'idée de cohabitation entre deux peuples, encore plus entre un qui est de culture grec / spartiate et un de culture bien plus celte et gauloise pour celui de Paenitens (c'est par exemple le cas pour Simplex, Pertinax et Laeta, respectivement ancêtre des Blaiddyd, Fraldarius et Dominic qui sont extrêmement proches, ils ont passé des années comme conservi, des compagnons d'esclavage, ont survécu à la servitude ensemble, sont devenus des sorciers ensembles et même mené une révolution qui abolira l'esclavage dans le peuple de Simplex ensemble mais, ils ne se diront jamais "amis" de leur vie jusqu'à la veille de leur mort car, ils savent qu'il y a toujours un risque que leurs peuples entrent en guerre les uns contre les autres et qu'ils ne veulent pas les trahir, même si ça les déchirerait de s'affronter les uns les autres). Ce qui maintient un semblant de paix entre les cités, c'est souvent qu'il y a des sorciers dans l'une des deux et pas dans l'autre, ce qui impose rapidement un rapport de force et qu'en général, les sorciers sont assez sages pour éviter d'utiliser leurs pouvoirs à la guerre histoire de ne pas faire trop de dégâts, même si c'est un équilibre fragile, et quand Némésis passe, puis les adrestiens passent en interdisant la sorcellerie en les pensant complices de Némésis et des agarthans (et tombant dans le piège de ces derniers au passage visant à brûler tout ce qui les a remplacé à la surface, que ce soit les créations de Sothis ou ses "enfants adoptifs"), ça rabat toutes les cartes avec des peuples qui profitent que le sorcier d'à côté meurt à force de ne pas pouvoir s'entrainer pour venir les terres du voisin plus petits et crée un chaos monumental. Enfin bref, revenons à l'histoire de Paenitens quand Kelon lui explique qu'il ne pourra sans doute jamais vaincre son ennemie et que lui-même se rend compte qu'il ne pourra surement pas faire le voyage.
En plus de tout ça, c'est sans compter qu'il va bientôt avoir une nouvelle arrivante dans leur coin : Daphnel, Brave des Vents surnommée par son peuple (d'origine duscurienne, là où Kelon arrive d'Almyra et est de culture grec pour un équivalent dans notre monde, et celui de Paenitens est descendu de Sreng en quête de meilleures terres et poussé par d'autre peuple, et il est d'inspiration gauloise... oui, ça va être compliqué pour s'entendre, surtout qu'aucun des peuples des trois ne parlent la même langue ou une langue proche pour ne pas arranger les choses) "la Bourrasque enragée" quand elle le retrouvera à cause de son tempérament de feu et plutôt sanguin, également bien remontée contre le peuple de Paenitens après que ce dernier ait souvent attaqué son peuple à elle pour capturer des gens et les réduire en esclavage, elle compris, ce qui a poussé son peuple à quitter leurs terres pour arriver sur les futurs terres de Daphnel - et en ayant plus beaucoup de nourriture à emporter vu qu'ils se faisaient piller tout le temps -, et elle adore cette "créature de feu" qui la libérer de sa cage d'esclave et élevée donc, elle ne le laissera pas trop s'approcher ou passer par ses terres. Comment dire qu'au début et pendant un bon moment, c'est compliqué.
Quand ils se rencontrent ces deux-là et qu'ils finissent par apprendre comme ils peuvent la langue de l'autre pour se comprendre un minimum (même si c'est surtout Paenitens qui doit se mettre au grec vu que c'est la langue maternelle de Kelon et que Daphnel le parle couramment aussi, même si c'est un dialecte différent du sien), elle ne lui fera aucun cadeau, encore plus en voyant bien qu'il a utilisé de la magie interdite, et lui mettra bien la tête au fond du plat pour lui rappeler que ouais, niveau esclavagisme et traitement des esclaves, ils étaient particulièrement horribles, même pour l'époque, et les traitaient aussi comme des animaux, ce qui a poussé son peuple à elle à se barrer à force d'être harcelé et pillé, et sa "créature de feu" a eu des problèmes quand elle les a laissé filer ainsi avec de la nourriture vu que normalement, les vivres, tu les gardes jalousement pour toi, et parce que les siens ont trouvé qu'elle s'était comportée en tyran pour avoir décidé pour tout le monde sans consulter personne. Sous le règne du peuple de Paenitens, Daphnel a quand même fini elle-même dans une cage sans nourriture pendant des jours car elle se débattait trop et qu'elle aurait surement fini tuer à cause de ses tentatives de fuite, tant pis si on gaspille la marchandise, on en récupérera toujours d'autres chez les voisins ! Ils ont surtout goutté à leur propre médecine ce jour-là (en légèrement moins pire vu qu'elle les a laissés partir avec une partie de leur réserve), et étrangement, quand on se retrouve de l'autre côté de la barrière, c'est nettement moins confortable. Pour Daphnel, même si elle est d'accord sur le fait que ce soit horrible de se faire chasser de sa maison ainsi - son propre peuple a subi la même chose quand même alors, elle sait à quel point c'est horrible -, au final, ils n'ont fait que subir ce qu'ils ont fait subir aux autres, et c'est pas elle qui va les plaindre pour s'être pris les conséquences de leurs actes en pleine figure, et ils ont évité le pire vu qu'ils auraient pu être tous asservis jusqu'au dernier pour devenir des hilotes.
Alors, après un long moment à réfléchir alors qu'il panse ses blessures et tout ça, même si c'est dur car c'est à quoi il a consacré sa vie pendant tout ce temps, il décide de laisser tomber sa vengeance et de se concentrer sur son peuple. Il se rend compte qu'il a oublié le plus important à cause d'elle et que cela lui a fait faire quelque chose d'atroce car, il ne pensait qu'à ça tout en négligeant son peuple alors qu'il avait besoin de lui, surtout que ses pouvoirs sont bien plus utiles pour aider les autres que pour faire couler encore plus de sang. Il en voudra toujours à cette "créature de feu" et même s'il ne la recroisera jamais de sa vie, ce serait extrêmement tendu s'il la recroise et il la haïra jusqu'à sa mort mais, vu son état et ce que sa soif de vengeance l'a déjà poussé à faire, il préfère se reconcentrer sur son peuple et prend le nom de Paenitens, "qui regrette, qui se repent", pour essayer de réparer toutes ses erreurs, notamment tout ce qui l'a mené à sa transgression.
Il reprend donc son métier de base et devient potier. Il ne s'arrêtera jamais de s'entrainer, autant parce que le jour où il s'arrête, ça le tuera car il a trop de magie en lui pour s'arrêter, mais aussi car il se rend bien compte que sa magie peut aider son peuple. Paenitens maitrise la terre, il fait donc tout ce qu'il peut pour rendre leurs terres les plus fertiles possibles pour qu'ils aient tous ce dont ils ont besoin, et n'ait pas besoin d'avoir recours à de la main d'oeuvre servile en attaquant les voisins. Il se met aussi à voter constamment pour éviter la guerre afin de ne pas recommencer le cycle de violence, surtout qu'avec autant de sorciers puissants, ils risqueraient de transformer leurs terres en enfer à ciel ouvert s'ils s'affrontaient, surtout que même s'il a à peu près le même âge que Daphnel, Kelon est bien plus âgé et pourrait sans trop de problème les vaincre s'il donnait tout ce qu'il avait, même s'il ne veut surtout pas en arriver là. Il a une relation très tendue avec sa propre magie, il est quand même devenu sorcier à la base pour se venger, et la moitié droite de son corps lui rappelle sans cesse ce qu'il a osé faire pour ça mais, il arrive petit à petit à mieux l'accepter quand sa magie devient une source d'aide pour les siens plus qu'un outil de mort et de vengeance.
Au moment de sa vie où il en est dans ce dessin où il rencontre Lorenz, plus de trois cents ans se sont écoulé depuis ses évènements et il s'est bien calmé. Il a fini par accepter sa magie et l'utilise toujours pour fertiliser les champs de son peuple (bénédiction toujours présente dans le présent) mais aussi un peu pour s'aider au quotidien avec son handicap. Les relations avec ses voisins sorciers vont un peu mieux, même s'il ne le montre pas trop étant donné qu'on ne sait jamais ce qui peut arriver entre trois cités aussi différentes et que l'ombre d'une possible guerre plane toujours. Il s'est même fait un ami d'un voyageur un peu étrange qui parcourait ce qu'il appelait "Fodlan" pour étudier les techniques artisanales des différents peuples qu'ils croisent, et qui était très intéressé par la sorcellerie, un certain Indech, un gentil artisan très timide et préférant la solitude de son atelier à la foule, comme Paenitens. Ils vont devenir très amis avec le temps, et jusqu'à la fin, Paenitens s'en fera beaucoup pour lui, surtout après que Némésis l'ait vaincu et forcé à boire du sang de la même couleur que celui d'Indech, ayant très peur que ce soit celui de son ami, avant de le retrouver bien plus tard mais malheureusement pour eux, ce sera sur le champ de bataille mais ça, c'est pour plus tard. Là, il peint tranquillement ses pots avec Lorenz qui est d'abord très étonné par sa personnalité et sa manière d'être, puis apprendra à respecter son ancêtre pour qui il est et son talent, même si ça ne correspond pas forcément à l'idée qu'il s'en faisait à la base.
Comme toujours, un point sur le dessin en lui-même :
Pour les motifs des pots de Paenitens, je me suis basé sur cet article et je m'en étais pas rendu compte à la base mais, c'est un article de Robert Périchon qui parle des céramiques du Crêt Chatelard. Alors, Robert Périchon, ça commence à dater mais, c'est solide en général pour tout ce qui est matériel pur, et vous avez une autre raison de passer dans la Loire : voir Crêt Chatelard et ses fouilles gauloises ! C'est incroyable tout ce que les dianistes ont sorti là-bas ! (et aller à la Diana de Montbrison, c'est très intéressant aussi !) Donc, ça tombait bien !
Pour la coupe de ses vêtements, je me suis inspirée des reconstitutions du Parc Samara comme très souvent. J'ai juste débarrasser Paenitens de tout bijou, motif un peu tape à l'oeil, ornement... pour le rendre plus austère, ce qui colle à sa pénitence, il pense qu'il n'a pas à porter des bijoux aussi voyant, et à sa personnalité plus discrète, tout en le mettant en opposition avec Lorenz qui aime tout ce qui est très vif et soigne beaucoup son apparence.
Je l'ai tourné du côté gauche afin qu'on puisse voir son expression (son côté droit est constamment caché par ses cheveux, il ne le montre que pour mettre en garde les gens), ainsi que ses fiertés : sa peau est assez meubles, un peu comme de l'argile, même si elle craquèle à plusieurs endroits à cause des retombés de sa transgression. Même si c'est surtout son côté droit qui est tombé en lambeau, son côté gauche aurait dû subir le même sort si Kelon n'était pas arrivé à temps.
Enfin, ça ne se voie pas beaucoup mais, sa main droite est entouré dans des bandages afin de cacher qu'il n'a plus qu'un squelette de métal (qu'on peut voir dépassé sur son cou et une partie de son nez) et quelques ligaments pour tenir tout ça. Il peut aussi entourer sa main d'une gangue de terre pour mieux cacher ça et pouvoir mieux utiliser sa main droite mais, il le fait rarement, autant pour de nouveau respecter sa punition, mais aussi parce que ça l'épuise.
#fe3h oc drawcember#fe3h oc#dessin de curieuse#écriture de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#c'est l'histoire de Brave dont je suis le moins sûre mais j'espère que l'équilibre est respecté...#si vraiment cette histoire là est trop mauvaise ou enlaidit trop les personnages je la changerai#si la plupart des Braves ne se connaissent pas - encore moins tous - ceux qui se connaissent n'ont pas forcément de bonnes relations#le trio de Faerghus s'entend très bien avec Loquax qui est plus à part mais est pacifique alors ça passe...#mais pour Leicester c'est une toute autre histoire et les passifs entre les peuples peuvent être très lourds#il y a de ça à Faerghus même si ça calme mais côté Leicester s'est bien plus vif#et t'as aussi les limitations de l'époque où on peut penser qu'on se supportera les uns les autres surtout en cas de pépin pour tous...#mais finir dans le même pays uni voir pire avec un roi unique... c'est limite le pire des scénarios vu qu'ils perdraient leur indépendance#ce qui est extrêmement important pour eux évidemment surtout vu les différences entre eux#(ils rencontre El dans le présent qui leur dit que c'est SON peuple à ELLE elle va juste se faire attaquer car juste...#...non ! On est indépendant nous ! On a rien à demander à une famille impérial qu'on ne connait même pas !)#Pyrkaïa a pris un gros risque en les laissant partir ainsi vu qu'eux aussi auraient bien pris cette nourriture...#et normalement on ne prend pas une décision seul chez elle- on vote toujours en groupe- seuls les tyrans décident seuls#mais entre ce qu'elle considère les urgences pour son propre peuple et la situation avec ce qu'elle deviendra des hilotes s'ils restent#c'était pas la mieux mais la moins pire des solutions pour tout le monde même si elle déteste ce qu'elle a dû faire#c'est clairement pas une bonne solution mais elle a fait ce qu'elle a pu tout en devant passer en force#et même si les spartiates sont un peuple assez agressif ils vont réussir à se calmer avec elle qui veille au grain et les circonstances#(histoire de ne pas finir comme le peuple d'avant aussi)#Paenitens a évidemment du mal à l'avaler mais il finit par comprendre même s'il la haït toujours#ce serait des relations très compliqué entre eux... même si ironiquement les deux connaissent des nabatéens et s'entendent bien avec eux#et qu'ils aimeraient bien pouvoir s'y rendre un jour... ce serait explosif#Pyrkaïa a même sans doute déjà entendu parler de Paenitens par son mari qui le tient d'Indech#Daphnel a un tempérament très vif mais elle est là pour les têtes dans le plat magistral et pour le coup Paenitens en avait besoin#et de son côté Kelon espère qu'un jour tout le monde s'entendra en pouvant garder ses spécificité#comme il le dit ils sont sorciers c'est les seuls qui savent ce que vivent les uns les autres pendant des siècles
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abdlrimespotiques · 8 months ago
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coste hubert
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blockgamepirate · 10 months ago
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Update from the French Union investigating the QSMP case and a call for more testimonies
English:
QSMP – LET'S STRIKE BACK AGAINST ABUSIVE WORKING CONDITIONS
We made a few days ago a call for testimonies about working conditions at Quackity Studios, the company that hosts and manages the QSMP server.
Unfortunately, the first feedbacks we have received confirm several issues:
Illegal conditions (minimum wage not respected, legal rest time, burnouts, etc.),
Distressing working conditions (night shifts, work regularly assigned on an emergency basis, complete isolation of workers with no communication allowed, etc.),
Toxic management (erratic communication, threats and pressure, abusive sanctions, etc.),
An almost non-existent legal framework (no work contract, no staff representatives, absurd NDA, etc.).
There is confusion between paid and « volunteer » workers. This blur is intentionally kept up by the company, as shown by the lack of any clear documentation or public communication regarding the status of these « volunteers ». In such a context, it seems hard to consider all Quackity Studio workers to be anything but regular employees, with all the rights conferred by the status of salaried worker. After a full server lockout while an internal investigation about the accusations took place, the company’s representatives announced a restart, sidelining the « volunteer » workers (discontinuing the activities involved). According to French law, such job cuts are regarded as unlawful dismissals.
Some workers have been left aside for more than 10 days, with no clear insight on their possible future responsibilities. This sidelining can be considered to be moral harassment. Quackity claims to have solved the problem by firing the manager who drafted the initial company statement, that he declares not to approve, but the others responsibles of these inexcusable work conditions are still in place.
These are sufficient grounds to consider legal actions. To avoid it, we invite Quackity to be proactive by opening a social dialogue with all their workers. A negotiated outcome remains possible: it will need to address monetary demands concerning work already performed and that to come, as well as claims to improve working conditions.
All victims and witnesses of this situation are still welcome to contact us (preferably in French or English) at:
qsmp @ solidairesinformatique org
We guarantee total confidentiality.
However, note that as a French union, we will not be able to legally support workers outside France. We can help victims to know and contact each others, and help organize testimonials when needed.
(French and Spanish below)
French:
QSMP – LUTTONS CONTRE LES CONDITIONS DE TRAVAIL ABUSIVES
Nous avons lancé il y a quelques jours un appel à témoignages concernant les conditions de travail à Quackity Studios, l’entreprise derrière le serveur QSMP.
Les premiers échanges reçus confirment malheureusement un certain nombre de problèmes:
des conditions illégales (salaire minimal et  temps de repos legal  non respectés,  épuisement professionnel, etc.) ;
des conditions de travail dégradées (travail de nuit, missions régulièrement assignées en urgence, isolement total des travailleur·euses en leur interdisant de communiquer, etc.) ;
un management pathogène (communications erratiques, menaces et pressions, sanctions abusives, etc.) ;
un encadrement juridique quasi inexistant (absence de contrat de travail, absence de représentation du personnel, accord de confidentialité aberrant, etc.).
Un confusion existe entre les travailleur·euses salarié·es et les travailleur·euses « bénévoles ». Ce flou est volontairement maintenu par l’entreprise, en atteste notamment l’absence de documentation ou de communication claires encadrant le statut des « bénévoles ».
Dans ce cadre, il nous semble compliqué de considérer l’ensemble des travailleur·euses de Quackity Studios comme autre chose que des salarié·es, avec les droits accordés par le statut de salarié·e.
Après un arrêt total du serveur le temps d’une enquête interne sur les faits dénoncés, les représentants de la direction ont annoncé le redémarrer en laissant de côté les travailleur·euses « bénévoles » (arrêtant une partie des activités en jeu). Dans le cadre de la loi française, ces suppressions de postes sont considérées comme des licenciements abusifs.
Certain·es travailleur·euses sont laissé·es sur la touche depuis plus de 10 jours, sans aucune visibilité sur leur éventuel rôle futur. Cette placardisation s’apparente à du harcèlement moral.
Quackity prétend avoir réglé le problème en excluant la personne qui aurait rédigé le premier communiqué qu’il a dit ne pas approuver, mais les autres responsables de ces conditions de travail inexcusables sont maintenus en poste.
Ces éléments sont suffisants pour envisager des actions en justice. Pour l’éviter, nous appelons la direction de Quackity Studios à être proactive en ouvrant le dialogue social avec l’ensemble de ses travailleur·euses. Une issue par le haut reste possible : elle devra prendre en compte à la fois les revendications financières sur le travail déjà réalisé et celui à venir, ainsi que la mise en place de meilleures conditions de travail.
Nous appelons toujours les personnes victimes ou témoins de ce type d’abus à nous contacter à l’adresse suivante (de préférence en français ou en anglais) :
qsmp @ solidairesinformatique org
Nous garantissons une confidentialité totale.
En tant que syndicat français, nous ne serons malheureusement pas en mesure d’aider légalement les personnes qui ont travaillé depuis un autre pays. Nous pouvons tout de même aider les victimes à se connaître et à entrer en contact, et aider à la rédaction de témoignages.
Spanish:
QSMP-LUCHAMOS EN CONTRA DE LAS CONDICIONES DE TRABAJO ABUSIVAS
Hace algunos días lanzamos un llamado a declarar sobre las condiciones de trabajo en Quackity Studios, empresa que maneja el Servidor QSMP. 
Las primeras informaciones recibidas confirman desafortunadamente, varios problemas:
Condiciones ilegales de trabajo (salario mínimo y tiempo de descanso legal no respetado, agotamiento profesional, etc.);
condiciones de trabajo degradadas (trabajo nocturno, tareas asignadas regularmente con urgencia, aislamiento total de las trabajadoras o los trabajadores, impidiéndoles comunicarse entre sí);
una gestión dañina o toxica (comunicación errática, amenazas y presión, sanciones abusivas, etc.);
Marco jurídico casi inexistente (ausencia, de contrato de trabajo y de representantes del personal, acuerdos de confidencialidad abusivo e incoherente).
Una confusión existe entre los trabajadores de la empresa y los trabajadores “voluntarios”. Esa ambigüedad está mantenida por la empresa intencionalmente, lo confirma, la ausencia de documentos o comunicaciones claras enmarcando el estatus de “voluntarios”.
En este marco, es complejo considerar este conjunto de trabajadores de Quackity Studio diferentemente de unos trabajadores con derechos en acuerdo con el estatus de asalariado.
Después de un cese completo del servidor, el tiempo de realizar, por parte de la empresa, una encuesta sobre los hechos denunciados. La dirección y sus representantes anunciaron volver a reanudar el sistema dejando de lado los trabajadores “Voluntarios” (parando una parte de las actividades en curso).
En el marco de la ley francesa, estas suspensiones de puestos están consideradas como despidos indirectos y abusivos.
Algunos trabajadores fueron dejados en el banquillo desde más de 10 días sin ninguna visibilidad sobre sus funciones futuras. Esa manera de dejar trabajadores al margen se considera como acoso moral.
Quackity pretende resolver el problema excluyendo a la persona que consideraba ser el autor del primer comunicado sin admitir dicho panfleto. Al contrario, los otros responsables de esas condiciones de trabajo injustificables se mantuvieron en sus puestos.
Los elementos son suficientes para emprender acciones legales. Si la dirección de Quackity Studio quiere evitar dichas acciones legales y ser proactiva, los llamamos a que abran el dialogo social con todos los trabajadores.
Continuamos llamando a las personas, víctimas o testigos de estos casos de abusos planteados a contactarnos por medio de la dirección siguiente (preferiblemente en francés o inglés, pero también podemos traducir):
qsmp @ solidairesinformatique org
Garantizamos por completo la confidencialidad.
Como Sindicato Frances, nosotros no podemos legalmente, desafortunadamente, ayudar a los trabajadores de otros países. Sin embargo, podemos asistir a que las víctimas se junten a fin de unirse, conocerse e intercambiar, y en tal caso les podríamos suministrar o facilitar ayuda en la redacción de testimonios y en el desarrollo de su queja.
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ludivinevanckerwisky · 11 days ago
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Les 6 règles...
Association : Spencer Reid x Lectrice
Résumé : Tu as eu de mauvaises expériences sexuelle dans le passé et alors qu'un soir vous êtes sur le point de coucher ensemble. Vous lui faîtes par des 6 règles à ne jamais franchir...
Avertissements : MINEURS DE 18 ANS ET PLUS DNI, aucune réelle scène de sexe mais évoquation de traumatises dû au sexe. Manque de confiance en soi.
Avant Spencer, vous aviez connu des relations tumultueuses. Tous les hommes avant lui vous avaient blessée, ne cherchant que le plaisir éphémère avant de s'éclipser avec des excuses toutes faites :
"Urgence familiale","Ma copine m'attend",ou encore "Nous deux, c'était juste pour s'amuser, on est d'accord ?"
Mais Spencer était différent. Cela faisait trois mois que vous sortiez ensemble, et il n’avait jamais exigé quoi que ce soit. Au début, vous aviez peur de faire quelque chose de travers. Puis il vous avait expliqué, doucement, qu’il voulait prendre son temps. Avec lui, tout semblait naturel. Vous aviez dansé et ri ensemble sous le regard amusé de Derek, et ce soir-là, en rentrant, Spencer vous avait embrassée et plaquée doucement contre la porte.Ses lèvres avaient exploré votre cou alors qu’il vous guidait vers le canapé. Il s’était allongé au-dessus de vous, ses gestes empreints d’une tendresse que vous n’aviez jamais connue. Mais alors que la passion montait, des souvenirs douloureux remontèrent à la surface. Votre corps se crispa.
Spencer s’écarta immédiatement, le regard inquiet.
— Ça va ? demanda-t-il doucement.
— Oui… pardon.Vous tentâtes de le ramener contre vous, de lui faire oublier votre hésitation, mais il resta en retrait, ses yeux débordant de tendresse et de préoccupation.
— On peut s’arrêter là si tu veux.Vous secouâtes la tête.
— Non, non… pardon. C’est juste que…Vous vous redressâtes pour lui faire face, les mots difficiles à trouver.
— Je n’ai jamais eu… de très belles expériences. Alors j’ai quelques appréhensions…Spencer sembla peiné. Il se pencha pour déposer des baisers doux sur votre front, vos joues, puis vos lèvres.
— Je peux faire quelque chose pour t’aider ? demanda-t-il doucement.
— Oui… enfin, est-ce que je peux te demander quelque chose ? Il hocha la tête, attentif, et vous laissa de l’espace, bien que son regard restât rivé sur vous.
— Il y a six choses que je… que je n’aimerais pas faire. Est-ce que tu pourrais les respecter, s’il te plaît ?
Spencer parut surpris un instant, mais il acquiesça. Il vous allongea délicatement sur le canapé, glissa un oreiller sous votre tête pour votre confort, puis se pencha à nouveau, reprenant ses baisers.
— Vas-y, je t’écoute, dit-il entre deux baisers sur votre cou.
Un peu troublée, vous osâtes murmurer :
— Pas par derrière. Et ne me retourne pas sans me prévenir, s’il te plaît.Il s’arrêta pour vous regarder.
— Je peux te demander pourquoi ?
Vous posâtes une main sur ses yeux, gênée.
— Mes exs avaient l’habitude de… me coincer. Tu comprends ?
Il ne bougea pas, respectant votre silence, et reprit doucement ses baisers sur vos joues. Vous retîntes difficilement vos larmes face à tant de délicatesse.
— Continue, ça fait une chose…
— Si tu veux une fellation, demande-moi. Ne prends pas ma tête violemment.
Ses baisers devinrent plus intenses, et il resserra doucement l’étreinte entre vos corps.
— Pas contre les murs, ajoutâtes-vous après un moment. Une fois, ma tête a violemment heurté un mur, et… il n’a même pas pris la peine de vérifier si ça allait.
Votre respiration s’accéléra sous l’effet de ses mains caressant tendrement votre taille.
— Ne tire pas mes cheveux, s’il te plaît, murmurâtes-vous, détournant légèrement la tête.Vous hésitâtes avant de continuer :
— Pas sur le sol non plus. La dernière fois ça m’a laissé des bleus horribles. Votre voix se brisa sur la dernière requête :
— Et si je te demande d’arrêter… promets-moi que tu t’arrêteras.
Spencer enleva votre main pour déposer un long baiser sur vos lèvres.
— Je te promets de respecter ces six règles, dit-il doucement. Mais je te promets aussi qu’aucun homme ne franchira ces limites.
Vous vouliez le remercier, mais les mots se perdirent dans des larmes silencieuses.
Spencer les vit aussitôt et vous serra tendrement dans ses bras, ses lèvres déposant encore des baisers doux sur votre visage.
— Merci, Spencer. Je t’aime tellement.
— Tu mérites le meilleur, répondit-il. Je t’aime aussi.
Cette nuit-là, vous vous endormîtes dans ses bras, sans qu’il ne relâche son étreinte, comme pour vous protéger de tous les souvenirs passés.
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iranondeaira · 10 days ago
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Texte de Jacques SALOMÉ
« J’ai appris que l’existence de chacun d’entre nous n’est faite que de rencontres et de séparations et qu’il nous appartient de les vivre en acceptant de nous positionner avec courage, de nous respecter avec ténacité et de nous responsabiliser avec cohérence face au surgissement de l’imprévisible.
J’ai appris encore qu’il y a toujours une part d’étonnement dans le déroulement des jours et donc qu’il m’appartenait de savoir accueillir les cadeaux inouïs de faire face aux difficultés qui peuvent surgir dans l’immensité d’un jour.
J’ai appris bien sûr à vivre au présent, à entrer de plain-pied dans l’instant, à ne pas rester prisonnier de mon passé et à ne pas me laisser envahir par des pensées persécutrices ou par des projections trop chimériques sur mon futur.
J’ai appris tardivement à remercier, chaque matin, la VIE d’être présente en moi et autour de moi, à l’honorer avec mes possibles, à la respecter en tenant compte de mes limites, à la dynamiser avec les ressources de ma créativité.
J’ai appris difficilement à m’aimer, non d’un amour narcissique ou égocentrique (même si la tentation est parfois grande) mais d’un amour de bienveillance, de gratitude et de tolérance envers la personne que je suis.
J’ai appris avec beaucoup de tâtonnements à me respecter en osant dire non quand je suis confronté à des demandes ou des désirs qui ne correspondent pas à mes possibles ou à ma
sensibilité.
J’ai appris avec enthousiasme que la beauté est partout, dans le vol d’un oiseau, dans les murmures du vent, comme dans le geste d’un enfant pour tenter de capter le vol d’un papillon ou encore dans le sourire d’un vieillard qui croise mon regard et surtout dans la présence d’une personne qui pour l’instant ne m’a pas encore quitté !
J’ai appris patiemment que ne nul ne sait à l’avance la durée de vie d’un amour et que toute relation amoureuse, aussi merveilleuse soit elle, est une relation à risques. Des risques que j’assume en acceptant de prendre soin de mon amour et d’amplifier en moi l’amour de celle qui m’a offert le sien.
J’ai appris douloureusement que je n’ai pas assez pris de temps pour regarder mes enfants quand ils étaient enfants, que j’aurais dû savoir rire, jouer, parler plus souvent avec eux, chaque fois qu’ils me sollicitaient.
J’ai découvert que je n’ai pas toujours su les entendre et les accueillir dans leurs attentes, leurs projets ou leurs rêves.
Que j’avais trop souvent déposé sur eux mes peurs et mes désirs, tant je voulais, avec beaucoup d’aveuglement, le meilleur pour eux.
J’ai appris avec beaucoup de surprise que le temps s’accélérait avec l’âge et qu’il devenait chaque jour plus urgent d’ajouter de la vie aux années que des années à la vie.
J’ai appris que je pouvais oser demander, si je prenais le risque de la réponse de l’autre aussi frustrante ou décevante qu’elle puisse être.
Que je pouvais recevoir sans me sentir obligé de rendre ou d’être en dette, que je pouvais donner sans envahir l’autre par mon besoin de me sentir généreux, que je pouvais refuser sans confondre la personne et sa demande.
J’ai appris, dans le désordre, que j’avais des besoins relationnels et qu’il était vital de ne pas les confondre avec mes désirs.
J’ai appris avec soulagement que je pouvais désapprendre les pseudos connaissances vaines dont j’avais encombré mon esprit, que je pouvais me défaire de tant d’objets inutiles accumulés durant des années, que je pouvais élaguer dans les urgences que je m’imposais.
J’ai appris joyeusement à planter des arbres, c’est le cadeau le plus vivant que je pouvais faire à cette planète merveilleuse qui nous a accueillis, nous les humains, avec une incroyable générosité et peut être aussi une grande naïveté.
J’ai appris doucement à recevoir le silence, à prendre le temps de méditer quelques minutes chaque jour pour me reconnecter aux vibrations subtiles de l’univers et me réconcilier avec cette parcelle de divin reçue lors de ma conception.
Oui j’ai appris beaucoup dans mon existence et pourtant j’ai toujours en moi, ce désir, cette recherche de quelque chose de plus essentiel qui pourrait s’appeler un brin de sagesse !
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camisoledadparis · 21 days ago
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saga: Soumission & Domination 353
Nathan, l'apprenti de Julien-2 + WE à la campagne-1
Je m'occupe de son moyen de transport. Comme son scooter squatte le garage, je demande à Cyril de passer le voir. Analyse : un vieux Peugeot tout pourri, carters rapiécés, moteur à l'article de la mort d'après lui, c'est plus une ruine qu'un scooter digne de ce nom. Je le charge de me remplacer ça de toute urgence.
Dans la soirée il arrive avec la camionnette de son père. Dedans un scooter tout neuf de chez Peugeot aussi, un Speedfight Darkside. Ce n'est qu'un 50cc 4 temps mais sans permis, c'est le maximum qu'il puisse piloter. Toute option plus la sacoche étanche pour PC, et bien sur le casque qui va bien un Shark Race R pro en mat ça ira avec son nouveau blouson en cuir noir lui aussi. Faudrait pas qu'il s'abime maintenant qu'il a rejoint ma petite troupe !
Cyril repart avec le vieux pour le mettre à la casse !
Je fais part à Julien de la surprise qui attend son apprenti. Il me dit vouloir participer et me demande combien j'ai besoin. La réponse est vite faite : rien bien sûr !
Je l'entends gueuler dans sa boutique. J'espère qu'il n'a pas de client. Il me dit qu'il se rattrapera sur les équipements. Quand je lui dis que ça aussi c'est déjà fait. Il abdique. Je lui suggère de le récompenser par une prime, à son âge et avec ses parents, il a sûrement plus besoin d'argent que d'un casque en plus !
A l'entrainement suivant, qui n'en est qu'un, il faut bien de temps en temps être " sérieux " (donc pas de baises pour ceux qui n'auraient pas compris), nous lui faisons la surprise. Au moment du départ, il me dit qu'il va récupérer son scoot pour pouvoir rentrer chez lui le WE. De toute façon Enguerrand et Max doivent aller à la " campagne " et Julien doit bien s'en séparer de temps en temps pour respecter la législation du travail.
Je l'accompagne jusqu'à sa nouvelle monture garée à coté de nos motos. Il cherche son vieux scooter du regard et me demande où je l'ai mis. Je tape sur la selle de son nouveau jouet et lui tends ses nouvelles clefs. En même temps je l'informe qu'il n'avait pas le choix, des engins comme celui qu'il avait avant n'avait pas droit de cité dans mon garage.
Je lui mets son nouveau casque en mains et lui dis de rentrer vite fait chez Julien. Il m'obéi. C'est ça qui est bien avec les jeunes, c'est qu'ils sont obéissants, enfin quand on ne tombe pas sur des " petites frappes " du type de Max ou d'Enguerrand qui n'en font qu'à leurs têtes ! Mais, comme je les adore ces deux-là, j'accepte beaucoup ! Pour preuve, j'abrite leurs amours avec Adam, j'ai intercédé pour que leurs parents acceptent l'organisation de leurs " agendas ". Et ce n'est pas parce que j'ai couché avec les deux. Ils sont justes, gentils, amoureux et ... mignons comme tout !
WE à la campagne :
Premier grand WE du genre. Par-là, j'entends que nous sommes tous ensembles chez les parents de Ludovic.
Pour le compte : Côme bien sûr, Ludovic et moi plus PH, invité n°1, Enguerrand et Max plus Nathan, invité n°2. J'ai pris la 300C et PH son roadster SL.
La maison se trouve envahie de 7 jeunes mecs pour 2 jours. Madame mère est ravie d'avoir ses trois fils avec elle et qu'ils aient invité des amis lui convient également.
Le père est plus circonspect même si son accueil est chaleureux. Depuis les révélations concernant ses deux derniers fils, il est devenu très attentif aux signes. Il ne lui faut pas beaucoup de temps pour voir qu'entre PH et son fils et moi il y a un peu plus que des relations d'amitié. Il remarque la même chose concernant le trio des jeunes. 
 Vendredi soir :
Nous sommes arrivés pour diner. Juste le temps d'un apéritif rapide qui permet à leurs fils de présenter nos " invités " et nous passons à table. Bien qu'il fasse beau en ce début de printemps, madame nous a fait un pot au feu. Nathan ne peut s'empêcher de la féliciter pour le choix de la viande et l'aromatisation de l'ensemble, défaut professionnel !
Les conversations tournent autour de nos études, de celles des plus jeunes et de nos invités. Les parents de PH sont connus de ceux de Ludovic, ils se sont croisés dans certaines " réunions " de la haute société liée à l'ancienne aristocratie. Ce que j'apprécie de mes " beaux-parents ", c'est qu'ils ne font pas cas des origines modestes de Nathan. Il est questionné avec la même sollicitude que PH. Le diner se termine assez tard et nous regagnons nos chambres respectives.
Mon beau-père me retient quelques minutes. Comme je m'en étais douté, il a subodoré qu'il y avait " plus " entre nous tous. Sans me mettre un ultimatum, il voulait juste savoir. Après avoir loupé autant sur ses deux derniers fils, cela se comprend un peu.
Je joue franc jeu et dévoile nos liens. Je lui avoue que j'étais déjà en couple avec PH quand nous sommes tombés amoureux de Ludovic. Il encaisse quand même le coup. Il me dit qu'il avait juste pensé qu'effectivement il y avait eu sexe entre nous mais pas qu'il y aurait plus que cela. Autant qu'il prenne tout en même temps. J'ajoute que c'est pareil mais à l'inverse pour Enguerrand et Max avec Nathan. Ce dernier est venu s'ajouter au couple de son dernier fils.
Il se sert un alcool fort. Il réfléchit et me dit que pour cette nuit, il va y avoir des ballets dans les couloirs comme aux premiers soirs de ma présence et de celle de Max dans leurs murs ! Je hausse les épaules et lui dis que ce sera probablement le cas.
Nouveau silence entre nous, puis il se lève. J'en fais autant. Il s'approche et me serre dans ses bras avant de me dire qu'il est hors de question qu'il perde ses fils. Puis il me souhaite une bonne nuit. Je retrouve Ludovic qui s'est occupé de mettre nos deux Invités dans les chambres d'amis. Je passe les voir et nous organisons un conciliabule tous ensemble, Côme compris.
Je fais un bref résumé de la conversation que j'ai eu avec le père de nos hôtes. Les fils sont assez estomaqués de sa réaction face à leurs vies sentimentales et sexuelles. Eux même l'adorent mais ils ne le pensaient pas si ouvert d'esprit. A la base c'est quand même un aristocrate catholique pratiquant et on a entre nous des pratiques nous vouant aux enfers !
Après ce conseil de guerre, Côme rentre à sa chambre et les trois jeunes se retrouvent dans celle d'Enguerrand. Comme eux nous allons devoir nous serrer dans un grand lit classique de 140 ! Mais comme nous sommes amoureux, nous pourrions dormir dans un de 90cm de large.
En évitant de faire trop de bruit, nous faisons l'amour comme je suis sûr qu'ils font pareil à côté. Seul Côme doit se contenter d'une branlette je pense.
Cela fait maintenant 6 mois que nous avons intégré Ludovic mais c'est comme au premier jour, comme avec Ernesto aussi. La connaissance de nos corps n'étanche pas la soif que nous en avons et les pipes comme les sodomies sont toujours aussi intenses. Le plaisir qu'on en retire est toujours aussi extatique. Mais là nous devons le faire en silence. C'en est d'ailleurs tellement vrai que nous entendons le trio d'à côté occupé à faire de même mais avec moins de retenue. C'est au point que Ludovic enfile un slip et part leur dire de mettre moins d'enthousiasme.
D'à côté les bruits arrivent plus sourds, quand il revient c'est avec une idée d'emboitement nouvelle. Enfin, nouvelle c'est beaucoup dire mais plutôt une que nous n'avions pas faite depuis quelques temps.
Explication : moi sur le dos, la bite bien verticale s'enfonçant dans les muqueuses accueillantes de mon PH. Ludovic vient enjamber ma taille et présenter sa propre rondelle (et inversement : sa rondelle propre) à l'assaut perforant de la queue de PH.
En me redressant, j'arrive pile à la bonne hauteur pour emboucher sa bite, ce qui ferme le cercle (enfin le mien). Au-dessus de moi, ils se roulent une pelle. La mise en mouvement demande un peu d'adaptation mais quand nous trouvons les rythmes adéquats, ça frise le divin !
En fait c'est simple. Ma tête prise entre les mains de Ludovic pompe son dard selon la cadence et la profondeur qu'il impulse, quant à ma bite elle est " traite " par l'anus de PH au rythme avec lequel il défonce le cul de Ludovic. Moi, je n'ai qu'à me laisser faire et à profiter du moment. Je prends un pied terrible. Et c'est l'arrivée du sperme de Ludovic dans ma bouche qui déclenche ma propre éjaculation. PH, coincé entre nous deux ne tarde pas à son tour à juter et remplir Ludovic.
Gros dodo sans même passer par la case salle de bain !  
Samedi :
Réveils discrets. PH rejoint sa chambre et froisse un peu le lit pour donner le change à madame, avant de le refaire. En passant il fait de même dans la chambre de Nathan qui lui n'y avait pas pensé.
Petit déjeuner avec Côme. Les parents se sont levés plus tôt et les petits ne sont pas encore sortis du lit.
Je discute avec Côme de sa dernière prestation. De son côté tout va bien. Les femmes à qui je l'envoie sont toutes ravies de ses performances aussi bien en représentation, car son intellect est du niveau de son physique, qu'au lit (enfin quand il leur laisse le temps d'y arriver). Ses 20x6 les font grimper au 7ème ciel que ce soit par le chemin classique (leurs chattes) que par les voies étroites (leurs rondelles).
Il nous dit juste qu'il craint un peu ! Sa relation avec Jona et François lui fait se poser pas mal de question, même s'il assure avec mes clientes. Il s'est aperçu qu'il n'a plus de " petite copine " depuis quelques mois et qu'il en avait pris conscience hier soir, seul dans son lit à imaginer ce qui pouvait bien se passer dans nos deux chambres.
Ludovic dédramatise et lui dit que c'est parce qu'il n'a pas encore trouvé la bonne fille et qu'en plus il n'en a pas le temps. Quand il la trouvera, tout le reste ne sera plus qu'une expérience parmi tant d'autres. Je regarde Côme qui n'a pas l'air convaincu.
Les trois petits débarquent à ce moment-là. Bruyamment en plus ! Nathan est dans le moule. A voir les vêtements qu'ils ont sur le dos, je dirais qu'il y a eu échange ou osmose.
Madame arrive attirée par le bruit. Elle sert les derniers arrivés après les avoir embrassés indifféremment. Je crois qu'elle est contente d'avoir sa maison pleine, même s'il n'y a pas de fille. Ils se font servir comme des petits princes et quand Nathan veux l'aider, il se fait rassoir d'autorité. La dernière tartine engouffrée, Enguerrand emmène ses amis visiter la propriété, enfin surtout pour Nathan.
Avec les deux autres frères et PH, je rejoins leur père pour aider un peu. On passe se changer et enfiler des cottes et des bottes. Evidement ça part en couilles ! Ludovic se met carrément à poil dessous et nous fait tous bander à tortiller de son petit cul. Je garde mon boxer et mon t-shirt comme les deux autres.
Quand nous arrivons il ne reste plus qu'à distribuer le grain aux vaches et à pailler les box des taurillons. Les fils de la maison se chargent des jeunes mâles et avec PH, nous ne prenons pas de risque en nous occupant de leurs mères. On rejoint les deux frères et nous nous " égarons " dans la réserve de paille. Ludovic bande encore ou de nouveau et il me coince entre deux piles de bottes. PH n'est pas en reste et sans réfléchir se saisi de Côme à qui il roule un patin.
Est-ce l'ambiance ou sa déstabilisation passagère ? Mais ce dernier se laisse faire. Les zips descendent, nos t-shirts volent et c'est rapidement que nous baisons. Côme bande comme un fou et comme par magie, des kpotes sortent des poches de Ludovic ! On se chauffe à grand coups de langues. Elles naviguent des bouches aux bites en passant par les rondelles et les tétons.
Ludovic n'a pas à me chercher longtemps avant que je ne l'emmanche de face, dos sur une botte de paille, ses jambes entourant ma taille. A nos côtés, PH se fait démonter la rondelle par un Côme que j'avais connu plus circonspect. Ludovic pivote jusqu'à pouvoir rouler un patin à PH.
Je le pousse un peu et ils se mettent en 69. Je me penche au-dessus du dos de PH, tire la tête de Côme vers la mienne et lui roule une pelle. L'ensemble est très excitant et c'est exactement ce qu'en pensent les trois jeunes qui nous surprennent dans cette position.
C'est un " Heureusement que c'est nous que maman a envoyé vous chercher, papa aurait quand même été surpris du spectacle ! " sorti, bien sûr, de la bouche d'Enguerrand.
Comme je décolle ma bouche de celle de son frère, il s'immisce entre nous et la sienne vient chercher la mienne. Je saurais un peu plus tard que Max s'est occupé de clore le bec de Côme comme ce dernier allait protester et que Nathan lui s'est glissé entre mes amours pour interrompre leur 69.
Emportés par nos hormones, les jeunes se retrouvent vite fait dans le plus simple appareil et enfilés. Côme se fait Nathan comme je m'occupe d'Enguerrand et que Max se fait prendre par ses deux extrémités, PH à la sortie et Ludovic à l'entrée. Pendant un bon moment on n'entend plus que nos halètements. Ils se transforment en gémissements puis en petits cris de jouissance alors que nos spermes vont se perdre dans la paille.
La " chose " a été heureusement plus rapide qu'elle ne m'avait semblée. Et quand nous arrivons pour déjeuner, les apparences sont sauves !
L'après-midi nous récupérons en post café avachis dans les canapés, mollifiés par la chaleur lénifiante du foyer ouvert. La fin de journée se passe à aider les trois jeunes à bosser leurs cours. Pris en " cours particulier ", ils abattent en 2 heures la totalité de ce qu'ils avaient à faire.
Soirée en famille. C'est étrange et pas que pour moi. PH et Max, fils uniques eux aussi, n'ont jamais connu ce genre de chose. Nous sommes 9 dans le grand salon. Après un café nous nous engageons dans un " Trivial Pursuit ". Nous nous mettons par paire sauf les plus jeunes qui arguent de cet état pour rester ensembles. Les réponses fausses sont aussi et même plus amusantes que les vraies et provoquent de éclats de rires. La bataille dure deux bonnes heures et les parents gagnent d'une très courte tête devant Côme et PH suivis de Ludovic et moi, le trio ayant plus fait rire que des étincelles.
Quand nous montons nous coucher, le père prends son petit dernier à part et lui demande d'être plus discret que la nuit précédente.
Je traine un peu et quand il est seul, je le serre contre moi et le remercie d'être ce qu'il est. Il me tapote le dos et me dit " ce sont mes fils ".
Ces simples mots contiennent tout !
J'ai une chance d'avoir un beau-père pareil, c'est trop, il me cueille !
Jardinier
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pourprecry · 1 month ago
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Ça fait bientôt un an que je suis dans cette boîte. Une année en restauration.
Il m’aura fallu 11 mois pour atteindre ce que je pense être un « burn out ». Un an sans prendre de vacances, les seuls jours que j’ai pris sont pour assister à l’enterrement de ma grand mère fin août. Un an à faire le service du midi, rentrer 3h chez moi, et revenir pour celui du soir. Un an à encaisser cette collègue, pas sympa, qui m’a volé ma carte bleu au début. Un an à n’avoir même pas le temps de faire une pause de 5min pr aller faire pipi. Un an à donné tout ce que j’ai pu, à remplacer et faire beaucouuup d’heures sup dans l’espoir d’une quelconque reconnaissance (qui n’arrivera jamais).
Et puis, et puis j’ai craqué. La fatigue accumulée, l’impression d’être 24h/24 au travail. Ne pas avoir les mêmes week end ne serait ce qu’un jour en commun avec mon copain. Vivre pour le travail: se lever aller au travail, rentrer dormir, se relever pour le service du soir et rentrer pour redormir. N’avoir plus le temps de se balader, lire, écouter de la musique ni même penser. Se rappeler de la vie d’avant, mes études qui me laissaient tellement le temps à autre chose. Perdre le goût et le sens de vivre, déprimer. Et puis, se mettre à pleurer à cause des nerfs qui lâchent, une fois, deux fois, trois fois, quatre fois. Se planter un couteau dans la main et avoir un accident du travail. Partir aux urgences toute seule, sans que personne ne se soucie de vous. Avoir un arrêt de 2 semaines. Et puis, revenir au travail, et avoir un mal dans le ventre au point de pisser du sang. Être arrêtée. Ne pas être cru par les autres et qualifié de flemmard, alors qu’on a tout donné depuis le début. Avoir son corps qui lache, parce qu’on n’aurait jamais lâché nous. Voilà où j’en suis aujourd’hui.
Avoir peur des lendemains, avoir peur de démissionner, et pourtant, avoir peur de continuer. Ne pas savoir quoi faire. N’avoir envie de rien faire, se sentir désespérément perdue. Être mal physiquement et avoir peur que ces douleur ne disparaissent jamais, revenir voir le médecin, une fois, deux fois, trois fois. Devoir passer d’autres examens. Avoir peur, s’en vouloir de ne pas s’être écouté et d’avoir foncé tête baissée malgré ce mal être.
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logogreffe · 6 months ago
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un collègue = a colleague tirer = to shoot tirer sur quelqu'un = to shoot at somebody qqn = quelqu'un = somebody un élastique = rubber band (it could also mean a hair band but here I was talking about a rubber band) Translation : Un collègue essayait de m'apprendre à tirer un élastique sur qqn avec deux doigts // A colleague was trying to teach me how to shoot a rubber band at someone with two fingers Et je me suis tirée dans l'oeil // And I shot myself in the eye
La suite :
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Les urgences : the emergency room être aux urgences : to be in the emergency room du coup : so [you can place it at the end or the beginning of the sentence "du coup tu es aux urgences ?" works as well] Tu es aux urgences du coup ? // So you're in the emergency room ? Non ça va, comme je suis nulle, j'ai pas tiré très fort // No, it's fine, since I'm bad at it, I didn't shoot really hard.
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selidren · 3 months ago
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Eté 1926 - Champs-les-Sims
4/10
J'ai pensé que ce serait dur les premiers jours. J'ai été naïve : ça a été très déstabilisant. Au lendemain, j'étais comme hors de mon corps, cela m'a un peu rappelé la façon dont Tante Rose endort ses patients (elle est chirurgien et elle adore parler de son métier). J'étais hors de moi, mais consciente, comme si j'étais une autre personne, et que ce problème n'était pas vraiment le mien. Comme si c'était arrivé à quelqu'un d'autre et que j'étais désolée pour lui. Cet état étrange a duré un bon moment. Oncle Adelphe a été très inquiet, mais il m'a dit que c'était le choc, que certains gars revenus de la guerre avaient un peu le même regard, et que ça finissait toujours par passer. Puis, il s'est passé une chose vraiment étrange.
Un jour où nous étions lui et moi dans le bureau à faire la comptabilité, quelques jours avant le mariage d'Anne, j'ai réalise quelque chose de grave. Et je l'ai réalisé à voix haute. Once Adelphe en a fait tomber les registres de l'étagère sous le saisissement. Puis je suis allée voir ma Grand-Mère, car il n'y avait qu'elle qui pouvait régler ce nouveau problème.
Transcription :
Arsinoé « Grand-Mère ? Je peux vous parler un instant ? »
Eugénie « Cela peut-il attendre, jeune fille ? Le livre de ta sœur est passionnant et j’aimerais au moins conclure ce chapitre. »
Arsinoé « C’est que… c’est vraiment urgent. »
Eugénie « Une urgence d’une nature précise ? »
Arsinoé « On peut dire ça. Je pense que je n’exagère pas en disant qu’il s’agit de l’avenir de la famille. »
Eugénie « Bon, fort bien ma petite. Qu’est-ce qui peut être si grave ? Tu n’as pas l’air si heurtée que cela. »
Arsinoé « Je ne sais pas vraiment pourquoi Grand-Mère, mais depuis ce matin, je me sens comme loin de mon corps. C’est toujours grave, mais c’est comme si je le ressentais moins. »
Eugénie « C’est étrange ce que tu me décris là ! Enfin bon, tu n’es pas la fille de ton père pour rien. Allons ne soit pas timide, qu’est-ce qui te préoccupe ? »
Arsinoé « C’est que… je ne sais pas comment le dire ! Vous allez vous fâcher ! »
Eugénie « Seigneur, puisque tu viens me voir c’est que tu le sais n’est-ce pas ? Et tu es venue quand même, je devine donc que c’est aussi grave que capital. Allez, crache-donc le morceau. »
Arsinoé « Il y a… ce garçon. »
Eugénie « Tu fréquentes un garçon. Je n’étais pas au courant, c’est déjà très agaçant pour moi. »
Arsinoé « Vous n’auriez pas approuvé Grand-Mère. C’était un garçon du commun, comme vous dites. »
Eugénie « Et bien voyons… Quelle malédiction pèse donc sur ma descendance pour que nous soyons tous des sots à même de se marier avec le premier laborieux venu ou la première souillon dont on croise le regard ? Je note cependant que tu utilises le passé. Tu ne le vois plus ? »
Arsinoé « Non Grand-Mère. Je ne veux plus le voir, et Oncle Adelphe y veille. »
Eugénie « Dieu merci ! Ce garçon est de loin le membre de cette famille qui a toujours le mieux veillé à nos intérêts. Et qui a fait le plus raisonnable des mariages ! »
Arsinoé « Il a épouse sa cousine ! »
Eugénie « Oui, c’est bien ce que je dis. »
Eugénie « Peu importe. Si tu ne vois plus ce garçon, le problème est réglé n’est-ce pas ? »
Arsinoé « Pas vraiment Grand-Mère. Il va épouser Cousine Anne. »
Eugénie « Adelphe est bien trop laxiste avec ses enfants, mais il ne s’agit pas de tes affaires si tu ne veux plus de lui. Alors dis moi une bonne fois pour toutes, où est le problème ? »
Arsinoé « ... »
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e642 · 2 months ago
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J'ai été déçue tellement de fois par tellement de monde pour tellement de choses. À vrai dire, je pense rarement à mon passé, les gens autour de moi, que je les connaisse ou pas, y pensent certainement davantage. J'avais rendez-vous avec une potentielle maître de stage aujourd'hui alors je m'y suis rendue. Le stage concerne un service de réanimation pédo-psychiatrique. Je n'aurais jamais pensé qu'un personnel de santé qualifié et réputé me parle comme si j'étais mon passé, mes cicatrices, une vulgaire maladie. J'ai toujours pensé que je me devais d'être transparente envers les personnes impliquées dans ma vie, peu la sorte d'implication. J'ai toujours été honnête sur mon passé, ouverte pour en parler, pour rassurer, pour me laisser connaître. Aujourd'hui, j'ai continué sur cette lancée et j'ai été honnête avec cette dame. J'ai commencé par lui dire que je trouverais ça plus approprié de venir manche longue lors des consultations où les adolescents pouvaient vivre des épisodes de mutilation pour éviter la fascination, de l'angoisse, des pulsions. Cependant, au lieu de me donner son avis sur cette pensée, elle m'a plutôt dit que faire mon stage dans ce service me ramènerait à mon état, que je n'arriverais pas à tenir ce stage, à vivre la douleur des autres sans penser intensément à la mienne, que je ne serai jamais guérie, que j'étais fragile, qu'il fallait que je me préserve, que je ne serai jamais psychologur ou jamais une bonne psychologur du moins. Je me suis demandé si se préserver c'était s'empêcher de vivre par peur infondée de recroiser un embryon de notre passé dans chaque situation future. J'ai senti une colère et une déception vertigineuse, tout ça pour ça alors ? Avoir été mal ne serait que finalement une entrave supplémentaire au fait d'exister ? Si je n'avais pas eu de cicatrices, elle n'aurait jamais été sur ce terrain affectif malsain. On ne lit que très rarement les traumas des gens sur leur corps. Un viol ne se devine pas, une tentative de suicide ne se devine pas, une rupture amoureuse ne se devine pas, une addiction non plus mais des cicatrices oui. Pourtant elles seront là toute ma vie. Et même des années après, je n'ai jamais trouvé le moment pour en avoir honte. Mais tout ces efforts pour quoi ? Ces années de thérapie à me soigner, ces internements forcés privée de tout à être contrainte de réfléchir, toutes ces études, tout ce travail sur moi pour quoi ? Pour quoi faire si finalement au yeux de tout le monde je reste qui j'ai pu être et surtout ce que j'ai eu ? J'ai pleuré parce que je pleure souvent en ce moment et parce qu'on ne m'avait jamais autant déshumanisée que pendant ces 45 minutes d'entretien. J'ai tenu bon, le regard sec, fixe, attentif, les déglutitions douloureuses et les tempes qui battaient fort dans mes lobes temporaux certes parce que je n'ai rarement autant rien eu à prouver qu'aujourd'hui. J'ai fait ma part du travail. Personne n'a aucun traumatisme et aucune manière d'être certain qu'il ne sera pas réactivé ou juste recroisé de loin, pour autant, arrêtons-nous de vivre ? Qui est ce que je dois protéger en renonçant à ce stage ? Moi ? Les patients ? Un personnel de santé incompétent ? On nous dit de vivre pour nous, librement et qu'aller mal n'est que le reflet d'aller bien, pourtant, ma condition d'adolescent malade me suivra sûrement à vie. Je ne pensais pas arriver au stade où je devais justifier que je ne me tuerai pas à la moindre plaie, aux moindres mots forts, à la moindre détresse apparente. Ça m'a fatiguée. Je suis profondément fatiguée.
Les personnes les moins humaines sont celles que j'ai le plus côtoyé dans le milieu du soin. Je repense souvent à cette médecin des urgences qui a dû me recoudre sur 20cm de mon avant bras et sur deux plans de ma peau. Avoir m'avoir répété sur je prenais la place des autres et que j'étais folle, elle m'a recousu à vif, sans anesthésie en me disant "tu voulais souffrir en faisant ça hein ? Alors tu vas vraiment souffrir". Je repense à ma psychiatre qui m'a fait interner, qui a fait signé les papiers à mes parents dans mon dos et qui les a obligés à me conduire à l'hôpital psychiatrique alors qu'on était censés faire une balade. Je pense à cette psychologue qui m'a obligée à rester assise pendant des heures devant mon assiette pour me forcer à la manger. Je repense à cette infirmière qui a soupiré quand il a fallu m'amener me faire recoudre au service juste en dessous de l'hp, elle m'a dit d'y aller seule. Je repense à toutes l'équipe de soin qui m'a gardée jusqu'au jour de mes 18 ans pour me faire sortir le lendemain juste pour que je le fête là. Je suis en colère si fort parce que je n'ai jamais rien dit, j'ai obéi, j'ai fait alors que j'avais le cœur fracturé. Tout ça pour ça.
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clubvideotapes · 24 days ago
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Eyes Wide Shut, 1999
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Un jeune couple de la haute bourgeoisie vivant à New York, Bill Harford (Tom Cruise), un médecin brillant, et sa femme, Alice (Nicole Kidman), commissaire d'exposition, se rend à une réception mondaine pour la fête de Noël organisée par un riche patient de Bill, Victor Ziegler (Sydney Pollack). Bill y retrouve un vieil ami de l’université, Nick Nightingale (Todd Field), devenu pianiste professionnel. Ensuite, pendant qu'Alice se fait draguer par un Hongrois, Sandor Szavost (Sky du Mont), Bill se voit proposer un plan à trois par deux mannequins pour « aller jusqu'au bout de l'arc-en-ciel ». Il est interrompu par un appel de son hôte, car une de ses petites amies, Mandy (Julienne Davis), a fait une overdose de speedball. Mandy reprend ses esprits grâce à Bill et lui dit qu'elle lui doit la vie.
Le lendemain, après avoir fumé de la marijuana, Alice demande à Bill s'il a couché avec les deux filles. Il la rassure, mais elle lui révèle qu'elle a déjà été tentée de le tromper une fois et lui demande s'il n'a jamais été jaloux du désir qu'elle pouvait susciter chez les autres hommes. La discussion s'envenime, et Bill affirme qu'il pense que les femmes sont plus fidèles que les hommes. Alice lui confie alors un de ses fantasmes : avoir une aventure avec un officier de la marine. Ébranlé, Bill est contacté par la fille d'un patient qui vient de mourir. Il se rend sur place et, dans sa douleur, Marion Nathanson (Marie Richardson) l'embrasse de manière impulsive et lui avoue qu'elle l'aime. Bill la repousse avant que son fiancé, Carl (Thomas Gibson), n'arrive. Déstabilisé, Bill s'en va et erre dans les rues où il rencontre une prostituée, Domino (Vinessa Shaw). Bill se laisse charmer, mais juste au moment où Domino commence à l'embrasser, Alice appelle Bill, qui quitte Domino, gêné et de manière maladroite. Il va alors dans un club de jazz rejoindre Nick, qui lui apprend qu'il se rend parfois à des soirées « spéciales » où il doit jouer du piano les yeux bandés. Bill, intrigué, réussit à obtenir plus de détails : pour être admis, il faut un costume, un masque et un mot de passe (Fidelio). Bill cherche un magasin de costumes et offre au propriétaire, M. Milich (Rade Serbedzija), une somme généreuse pour louer un costume. Dans le magasin, Milich surprend sa fille adolescente (Leelee Sobieski) en compagnie de deux hommes japonais et lui exprime sa colère à propos de leur manque de décence.
Bill prend un taxi pour se rendre au manoir indiqué par Nick. Il donne le mot de passe et découvre à l'intérieur un rituel sexuel quasi religieux. Bien qu'elle soit masquée, une femme s'approche de Bill et le met en garde en lui affirmant qu'il n'aurait jamais dû se rendre ici et qu'il est en danger. Elle est ensuite emmenée par quelqu'un d'autre. Bill commence à errer dans le manoir, passant d'une pièce à l'autre, où il découvre des groupes d'hommes masqués pratiquant différents types d'actes sexuels, tandis que d'autres observent. Il est interrompu par un portier qui lui explique que le chauffeur de taxi souhaite lui parler de toute urgence au portail du manoir. Il le suit, et Bill se retrouve dans la salle de rituel, où le maître de cérémonie, déguisé en rouge, le questionne sur un second mot de passe pour quitter le manoir. Bill avoue qu'il l'a oublié. Le maître de cérémonie insiste pour que Bill « retire gentiment son masque » ainsi que ses vêtements. Soudain, la femme masquée qui avait essayé d'avertir Bill intervient. Elle demande à être punie à sa place. Bill est reconduit à la sortie du manoir et on l'avertit de ne parler à quiconque de ce qui s'est passé.
Juste avant l'aube, Bill arrive chez lui, se sentant coupable et confus. Il trouve Alice riant fortement dans son sommeil et la réveille. Alors qu'elle est en train de pleurer, elle lui explique qu'elle a fait un rêve troublant dans lequel elle faisait l'amour avec l'officier de marine et beaucoup d'autres hommes, riant à l'idée que Bill les regardait. Le matin suivant, Bill se rend à l'hôtel de Nick, où le réceptionniste (Alan Cumming) lui explique que Nick, effrayé et présentant des traces de coups, avait été emmené à cinq heures du matin par deux hommes très costauds, bien habillés et à l'air patibulaire. Nick a essayé, en partant, de passer une enveloppe au réceptionniste, mais celle-ci a été interceptée par les deux hommes qui l'ont emmené en voiture.
Bill ramène son costume au magasin de location, mais le masque est manquant. Milich explique, avec sa fille à ses côtés, qu'il peut fournir d'autres faveurs à Bill et « qu'il n'est pas nécessaire que ce soit un costume ». Les deux mêmes Japonais que la veille s'en vont du magasin, Milich laisse entendre à Bill qu'il a vendu sa fille pour qu'elle se prostitue. Bill retourne au manoir avec sa propre voiture. Un homme vient à sa rencontre près du portail de la propriété et lui remet une lettre l'avertissant de cesser immédiatement toutes ses investigations. De retour chez lui, Bill repense aux rêves d'Alice alors qu'il la regarde aider leur fille à faire ses devoirs.
Bill commence à reconsidérer les différentes propositions sexuelles de la nuit précédente. D'abord, il appelle Marion, mais raccroche lorsque Carl répond au téléphone. Ensuite, Bill se rend à l'appartement de Domino avec un cadeau. Sa colocataire, Sally (Fay Masterson), est chez elle, mais Domino n'est pas là. Après que Bill a tenté de séduire Sally, elle lui révèle que Domino a été testée positive au VIH. Bill quitte l'appartement, suivi par un homme. Après avoir lu un fait divers dans le journal concernant une reine de beauté décédée d'une overdose, Bill examine le corps à la morgue et l'identifie comme étant Mandy. Bill est convoqué à la maison de Ziegler, où ce dernier le confronte aux événements des derniers jours. Ziegler était l'un des participants à l'orgie rituelle et celui qui a identifié Bill ainsi que son contact avec Nick. Sa propre position au sein de l'organisation secrète est compromise par l'intrusion de Bill, depuis que Ziegler a recommandé Nick comme pianiste.
Ziegler affirme qu'il a fait suivre Bill pour sa propre protection et que les avertissements émis contre lui étaient de nature à l'effrayer pour l’empêcher de parler de l'orgie. Mais il lui explique que la société peut mettre ses menaces à exécution, disant à Bill : « Si je te disais leurs noms, je ne pense pas que tu dormirais aussi bien. » Bill demande des explications au sujet de la mort de Mandy, qu'on identifie par Ziegler comme la femme masquée qui s'est sacrifiée pour éviter à Bill d'être puni, ainsi que sur la disparition de Nick, le pianiste. Ziegler explique qu'il est sûrement bien en sécurité dans sa maison à Seattle. Il ajoute que la « punition » était une sorte de mise en scène orchestrée par la société dans le but d'effrayer Bill et qu'ils n'ont rien à voir avec la mort de Mandy. Il explique que c'était une prostituée et une toxicomane, et qu'elle est morte d'une overdose accidentelle. Bill ne sait pas si Ziegler dit la vérité au sujet de la disparition de Nick et de la mort de Mandy, mais il ne veut pas en savoir plus et préfère laisser tomber.
Quand il rentre chez lui, Bill trouve le masque loué sur son oreiller, à côté de sa femme. Il s’effondre en pleurs et décide de révéler toute la vérité à Alice sur les deux derniers jours. Le lendemain, ils se rendent dans un magasin de Noël avec leur fille. Alice le rassure en lui disant qu'ils devraient être pleins de gratitude d'avoir survécu, qu'elle l'aime et qu'il y a une chose qu'ils doivent absolument faire dès que possible. Bill lui demande de quoi il s'agit, elle répond simplement : « Baiser »
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lepalaisdeslarmes · 1 year ago
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Jildiz
@somewhereonthegreensea
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C'était la panique à bord, Yildiz avait complètement oublié la soirée de ce soir. Elle avait été invitée à un gala de charité et y aller seule faisait plutôt mauvais genre. Pourtant, Yildiz n'avait personne dans sa vie du moins rien de sérieux. Profitant d'une pause, la brune débarqua avec deux cafés dans ton bureau. - Salut toi. Elle tendit l'un des gobelets et venait ensuite s'asseoir sur le bord de ton bureau. - Comment vont les urgences ce matin ?
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vicnormansstuff · 10 months ago
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Un rêve m’obsédait.
J’imaginais la naissance d’un mouvement baptisé Confrérie des Chemins Noirs.
Non contents de tracer un réseau de traverse, les chemins noirs pouvaient aussi définir les cheminements mentaux que nous emprunterions pour nous soustraire à l’époque.
Dessinés sur la carte et serpentant au sol ils se prolongeraient ainsi en nous-mêmes, composeraient une cartographie mentale de l’esquive. Il ne s’agirait pas de mépriser le monde, ni de manifester l’outrecuidance de le changer. Non ! Il suffirait de ne rien avoir de commun avec lui.
L’évitement me paraissait le mariage de la force avec l’élégance. Orchestrer le repli me semblait une urgence. Les règles de cette dissimulation existentielle se réduisaient à de menus impératifs : ne pas tressaillir aux soubresauts de l’actualité, réserver ses colères, choisir ses levées d’armes, ses goûts, ses écœurements, demeurer entre les murs de livres, les haies forestières, les tables d’amis, se souvenir des morts chéris, s’entourer des siens, prêter secours aux êtres dont on avait connu le visage et pas uniquement étudié l’existence statistique. En somme, se détourner. Mieux encore ! Disparaître. « Dissimule ta vie », disait Épicure dans l’une de ses maximes (en l’occurrence c’était peu réussi car on se souvenait de lui deux millénaires après sa mort). Il avait donné là une devise pour les chemins noirs.
Nous serions de grandes troupes sur ces contre-allées car nous étions nombreux à développer une allergie aux illusions virtuelles. Les sommations de l’époque nous fatiguaient : Enjoy ! Take care ! Be safe ! Be connected ! Nous étions dégoûtés du clignotement des villes. Si nous écrasions à coups de talon les écrans livides de nos vies high-tech s’ouvrirait un chemin noir, une lueur de tunnel à travers le dispositif. Tout cela ne faisait pas un programme politique. C’était un carton d’invitation à ficher le camp.
Vivre me semblait le synonyme de « s’échapper ». Napoléon avait dit au Général de Caulaincourt dans le traîneau qui les ramenait à Paris après le passage de la Berezina : « Il y a deux sortes d’hommes, ceux qui commandent et ceux qui obéissent. »
Du temps où je m’étais passionnément intéressé à l’Empire, jusqu’à prendre mon bain coiffé d’un bicorne, j’avais trouvé cette phrase définitive. Aujourd’hui, tordant mes chaussettes sur un banc de vase du Var, je pensais que l’Empereur avait oublié une troisième colonne : les hommes qui fuient. « Sire ! » lui aurais-je dit si je l’avais connu, « Fuir, c’est commander ! C’est au moins commander au destin de n’avoir aucune prise sur vous. »
Sur les chemins noirs -
Sylvain Tesson
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ludivinevanckerwisky · 10 days ago
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Volupté et Violence
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Spencer Reid x lecteur
Avertissements : attouchements sexu*les, langages déplacé &vulgaires, aucune scène de s*xe.
Résumé : Vous et l'équipe êtes sur une affaire en Géorgie avec une chaleur insoutenable mais lors d'un briefing de Hotch Spencer remarque que vous êtes mal à l'aise et entend les remarque déplacer des policiers.
Quarante degrés. Comment était-il possible de travailler sous une telle chaleur ?
L'équipe avait été appelée en urgence pour un poseur de bombes en Géorgie. Franchement, tu te demandais bien où ce type trouvait le courage de poser des explosifs par un temps pareil.
Tout le commissariat était en nage, et tout le monde avait troqué sa tenue habituelle pour quelque chose de plus léger.
Même Spencer avait abandonné ses cardigans pour un t-shirt à manches courtes, et Hotch ainsi que Rossi avaient entrouvert le col de leurs chemises, ce qui relevait de l'inédit.
L'équipe savait deux choses à ton sujet : d’abord, tu détestais la chaleur. Ensuite, ton style vestimentaire était… disons, peu conventionnel pour une agente fédérale.
Ce n’était pas rare qu’on te prenne pour une civile, ou pire, une prostituée. Tu avais une garde-robe composée de débardeurs, de pantalons larges, de bandeau, et, à l’occasion, de jupes ou shorts en cuir.
Aujourd’hui ne faisait pas exception.Tu avais opté pour un débardeur gris avec un généreux décolleté – une contrainte imposée par la chaleur et ta poitrine naturellement généreuse, qui compliquait souvent les choses. Avec ça, tu portais un pantalon large et un chignon négligemment noué sur la nuque. Pas forcément la tenue idéale pour être prise au sérieux dans ton milieu, mais au moins, tu ne risquais pas de mourir de chaud.
Alors que tu fouillais dans des dossiers liés aux achats de dynamite des six derniers mois, tu remarquas Spencer, ton compagnon depuis 3 mois, de l’autre côté de la pièce. Il était plongé dans son travail, mais lorsqu’il leva les yeux et croisa ton regard, il t’offrit l’un de ses sourires si tendres et pleins d’amour. Tu ressentis une chaleur monter à tes joues et baissas les yeux, émue par ce geste plein de douceur.
Cependant, l’atmosphère du commissariat était loin d’être agréable. Depuis ton arrivée, plusieurs officiers t’observaient d’un peu trop près. Et pas tes yeux ou ton travail, non, leur regard était rivé sur ta poitrine.
-Tu crois qu’elle sait seulement tirer, ou elle a d’autres talents ?
-Avec un corps pareil, elle ferait mieux de bosser dans un club de strip-tease.
-Tu crois qu’elle enquête ou qu’elle cherche juste à se faire sauter ?
Ces remarques te faisaient bouillir. D’habitude, tu aurais mis un pull pour cacher ta poitrine et stopper leurs réflexions, mais la chaleur était insupportable.Pendant deux longues heures, tu dus supporter leurs regards insidieux et leurs sous-entendus, comme :
-Ça se voit qu’elle est habituée à être à quatre pattes plus qu’à un bureau.
-C’est le genre de fille qui ouvre plus ses jambes que ses dossiers
-Si elle me fait un sourire, je la prends direct sur ce bureau.
Avec le temps, leurs commentaires devenaient de plus en plus explicites, ponctués de gestes dégoûtants. Tu avais envisagé de te confier à Spencer, mais il avait déjà assez de travail. Tu refusais qu’il devienne une cible à cause de vous.
Tu n'avais jamais été aussi soulagée que lorsqu'Hotch annonça un briefing. Enfin, tu allais pouvoir t'éloigner de ces regards lourds.
Une fois dans la salle de briefing, tu t’appuyas contre un mur, légèrement à l’écart, tout en observant l’équipe s’installer. Spencer te lança un regard, et tu lui souris, bien que tes nerfs soient à vif.
Mais cette pause fut de courte durée. Alors que tu te concentrais sur Spencer, un officier se glissa discrètement derrière toi. Au début, tu pensais qu’il cherchait simplement à passer, mais son attitude te fit rapidement comprendre le contraire.Il se colla un peu trop près, si bien que tu pouvais sentir la chaleur désagréable de son corps contre le tien.
Puis tu sentis sa main s’attarder sur ta cuisse, effleurant d’abord le tissu de ton pantalon avant de devenir plus insistante.Ton souffle se coupa un instant, une vague de dégoût te parcourant.
Tu bougeas légèrement pour te dégager, mais il ne recula pas.Tu relevas les yeux vers Spencer, espérant qu’il n’ait rien remarqué. Mais c’était peine perdue.
Il te regardait toujours, son expression cette fois marquée par une inquiétude évidente.Malgré tes efforts pour feindre l’indifférence, il avait compris que quelque chose n’allait pas.
La tension monta encore d’un cran lorsque l’officier se pencha vers toi, son souffle chaud contre ton oreille :— Ta seule compétence utile ici, c’est de savoir écarter les cuisses, pas de fouiller dans des dossiers. Ton corps se raidit immédiatement, la colère bouillonnant en toi.
Tes poings se serrèrent si fort que tes ongles marquèrent la peau de tes paumes. Tu aurais pu le remettre à sa place, mais l'atmosphère étouffante et la crainte de créer un incident dans un contexte professionnel t’empêchèrent d’agir sur le moment.
Cette fois, c'est lorsque l'officier fit glisser sa jambe entre tes cuisses que tu réagis instinctivement, te retournant brusquement pour le repousser violemment contre le mur. Le bruit du choc résonna dans la pièce, et un silence glacial s'installa aussitôt.
Toutes les voix, dont celle de Hotch, s'éteignirent d'un coup, laissant place à une tension palpable. Tu baissas immédiatement les bras, le regard fuyant, t'excusant précipitamment, cherchant à minimiser l'incident. Ton cœur battait à toute vitesse alors que tu tentais de cacher ton embarras, t'efforçant de faire oublier ce moment gênant au reste du groupe.
L'officier, toujours avachi contre le mur, esquissa un sourire carnassier, ses yeux glissant lentement sur toi avec une arrogance calculée. Il prit un ton traînant, amplifiant délibérément l'humiliation qu'il cherchait à infliger.— Les filles comme toi aiment ça, non ? Être prises sans résistance, juste pour qu’on s’en débarrasse. lança-t-il, ses mots dégoulinant de mépris.
Il marqua une pause, savourant l'effet de sa provocation, avant d’ajouter d’un ton encore plus acerbe :— Faut dire qu’avec une poitrine comme la tienne, tu dois avoir déjà pas mal d’expérience. Ça doit te servir souvent, non ?La pièce sembla s’immobiliser, le poids de ses paroles suspendu dans l’air comme une explosion qui résonnait encore.
Quelques rires étouffés s’élevèrent dans le fond, témoignant d’une complicité toxique entre certains agents, mais la plupart des regards étaient fixés sur toi, oscillant entre incrédulité et malaise.
Chaque mot qu’il venait de prononcer résonnait dans ta tête comme un écho douloureux. Ta respiration s’accéléra, ton cœur battait à tout rompre, et tu serrais les poings si fort que tes ongles s’enfoncèrent dans ta paume.
Une vague de chaleur, mélange de honte et de colère, envahit tout ton être.
Mais avant que tu ne puisses réagir, une chaise racla bruyamment le sol derrière toi.
— Qu’est-ce que vous venez de dire ?
La voix appartenait à Spencer.
Froide, tranchante, et étrangement calme, elle coupa à travers la tension de la pièce comme un coup de scalpel.
Lorsque tu te tournas, tu vis qu’il s’était levé, ses yeux rivés sur l’officier avec une intensité que tu ne lui connaissais pas.L’officier haussa un sourcil, essayant de jouer la désinvolture, mais l’assurance dans son regard vacilla légèrement face au jeune homme.
— Détends-toi, Doc, répondit-il avec un rire nerveux, cherchant à cacher son agacement. Pas besoin de jouer les chevaliers blancs. C’était juste une blague, tu sais. Puis, tu vas vraiment t’agiter pour une fille qui se met à quatre pattes pour n’importe qui ? Ça en dit long, non ?
Spencer fit un pas en avant, sa silhouette mince mais imposante dans cette posture de défi qu’il prenait rarement. Ses yeux étaient glacials, et sa mâchoire serrée trahissait une rage contenue. L’officier roula des yeux et rajoute une phrase :
- Si tu veux te la faire, suffit de se servir dit il en fesant un regard déplacé vers ta pointrine.
Mais avant que Spencer ne puisse répondre, une autre voix, plus grave et autoritaire, s’éleva dans la pièce :— Je vous demande pardon ?
Hotch se tenait à quelques centimètres de l'officier, les bras croisés et le regard glacé. En un instant, le silence s'imposa.
Spencer ne détournait pas les yeux de l’officier. Hotch le fixa intensément, et tu espérais silencieusement que la situation prenne fin."Dans le bureau, tous les deux."La voix de Hotch était ferme et autoritaire.
En sortant, un sentiment de honte t’envahit, tandis que l’officier semblait plus fier que jamais de ses actions.
Dans le bureau, Hotch s’avança lentement vers l'officier, dont l'assurance s'était nettement effondrée."Si je vous reprends à faire de telles choses ou à tenir de tels propos," dit Hotch d'une voix calme mais lourde de menace.
L’officier bredouilla des excuses, tentant de minimiser ses actes, mais Hotch ne lui laissa aucune échappatoire."Vous avez deux options," poursuivit-il froidement. "Soit vous quittez cet endroit immédiatement, et je m'assure que votre comportement est signalé aux plus hauts niveaux. Soit vous continuez, et je vous traîne devant le comité disciplinaire du Bureau. Vous voulez tester ?" Sous l'autorité de Hotch, l’officier baissa les yeux et quitta la pièce sans un mot.
Une fois seul, Hotch se tourna vers toi. Son expression restait sévère, mais il y avait une douceur dans son regard. "Tu vas bien ?" demanda-t-il simplement.Tu hochas la tête, mais ta gorge était trop serrée pour répondre.
En retournant dans la salle, Spencer, d'un geste rassurant, posa sa main sur ton bras, son regard trahissant toute son inquiétude. Tu sentais son regard, mais tu faisais tout pour l’éviter, trop honteuse pour le soutenir.
Le briefing se termina sans autre incident, mais l’atmosphère dans la salle restait lourde, presque étouffante.
Dès que Hotch donna le signal de fin, tu te précipitas vers la sortie, aspirant à échapper à cette tension oppressante. Ton cœur battait encore violemment, et tes pensées tournaient en boucle, alimentées par la colère et l’humiliation refoulées.
En franchissant les portes du commissariat, tu tombas nez à nez avec le fameux officier. Il était là, nonchalamment appuyé contre une voiture mais son sourire mauvais intact.
— Alors, t’as trouvé un autre type à te laisser baiser, ou tu te contentes de jouer les salopes en attendant qu’on t’offre un peu de plaisir ? lâcha-t-il d’un ton méprisant, un éclat provocateur dans les yeux.
Cette fois, c’était la goutte de trop. Avant même que tu ne réfléchisses à tes actions, ton poing s’était déjà fermé sous l’impulsion de toute la rage accumulée. En un éclair, tu lui décochas un coup puissant directement dans son visage.
L’impact fut brutal. Il vacilla en arrière, sa tête cognant légèrement la carrosserie de la voiture avant qu’il ne s’écroule au sol, le nez en sang.
— Sale garce ! cracha-t-il en essayant de se redresser, mais sa voix était étouffée par la douleur et la surprise.
Spencer, qui avait vu toute la scène depuis l’intérieur, accourut à toute allure vers toi, les yeux écarquillés. Mais avant qu’il n’ait le temps de te rejoindre, tu avais déjà attrapé ton sac et tourné les talons avec une détermination froide.
- La salope elle fait de la boxe, il y a d'autres volontaires ? lançais-tu d’une voix forte, balayant du regard les policiers présents, dont certains avaient assisté à la scène, visiblement choqués.
Le silence s’abattit sur le parking. Personne n’osa bouger ou répondre, tous les regards fixés sur toi, stupéfaits.
Même Rossi, qui venait d’arriver derrière Spencer, semblait figé, son expression oscillant entre incrédulité et admiration face à ta réaction.
Spencer, quant à lui, resta un instant pétrifié, la bouche entrouverte, avant de jeter un coup d’œil rapide à l’officier qui gémissait toujours au sol. Mais il n’essaya pas de te retenir.
Peut-être avait-il compris que tu avais besoin de ce moment, de cette action pour expulser la tension accumulée.Tu t’éloignas à grands pas, le bruit de tes talons résonnant sur le bitume.
Dans la voiture pour allez à l'hôtel personne ne dis rien à propos de l'incident.
Lorsque tu te réfugias dans ta chambre d'hôtel, à l'abri des regards, tu t'effondras près du lit, tentant de reprendre ton souffle.
Enroulant tes bras autour de tes genoux repliés contre ta poitrine, tu cherchas à te cacher, à effacer l'intensité de ce moment.
Tu entendis la porte s'ouvrir derrière toi, et Spencer entra, fermant doucement à clé. Il s'approcha de toi sans un mot, mais tu sentais la chaleur et la douceur de sa présence.
Il s'agenouilla à tes côtés et, d'un geste délicat, déplia tes jambes. Doucement, il prit ton menton entre ses doigts, levant ton regard vers lui.
Ses yeux étaient pleins de compassion et d’amour, et il attendit que tu sois prête à le regarder, tout en te maintenant dans cette tranquillité. Les larmes que tu avais essayé de retenir commencèrent à dévaler tes joues.
"Je suis désolé que tu aies à supporter ça," murmura-t-il. "Mais ton coup de poing était magnifique."
Un petit rire nerveux s'échappa de tes lèvres, entrecoupé de sanglots.
"Le pire, c'est qu'il n'a pas tort," murmuras-tu. "Il suffit de regarder mon palmarès de relations pour savoir quel genre de fille je suis."
Spencer s'approcha, rapprochant son visage du tien, ses lèvres n'étant plus qu'à quelques centimètres des tiennes.
"Tu n'es pas comme ça. Tu as vécu des choses traumatisantes. Les relations que tu as eues, je ne m'en suis jamais soucié, parce que tu es une personne incroyable. Belle. Et tu mérites tout l'amour que l'on peut te donner.
Tu es une collègue, une petite amie, et…" Il marqua une pause avant de sourire légèrement. "…une amante incroyable."
Cette dernière remarque te fit rire, et tu le frappas doucement à l’épaule. "
Et tout ça… pour te dire que je t'aime," ajouta-t-il, son regard d’une sincérité dévorante.Tu t'arrêtas net, ton souffle coupé, cherchant à déceler la moindre trace de mensonge dans ses yeux. Mais il n'y en avait pas. Rien que de la vérité. Un frisson te parcourut.
"Moi aussi, je t'aime," murmuras-tu, presque inaudible, ton cœur battant plus fort dans ta poitrine.
À l'instant où il entendit ces mots, Spencer se jeta sur tes lèvres, ses mains se posant fermement sur ta taille, te guidant pour t’installer sur ses cuisses.
Vous vous laissâtes emporter dans ce baiser, essoufflés mais happés par l’intensité de l'instant.
Il s'arrêta un instant, essuyant une mèche de cheveux de ton visage, son souffle encore lourd.
Vous vous arrêtâtes tous les deux, haletants, le souffle court.
"Et une dernière chose," dit-il en souriant. "Ta poitrine, il n'y a que moi qui ai le droit d'y toucher."
Un frisson parcourut ta peau alors qu'il déposait un baiser tendre, mais possessif, sur ta poitrine.
Tu ris de plus belle, ta poitrine se serrant dans un mélange d'émotions. Spencer te faisait sentir en sécurité, aimée et désirée, et tu savais, sans l'ombre d’un doute, qu’il était un ange tombé du ciel.
Tu reprenais les baisers, plus passionnés, plus intenses, tandis que l’idée de tout ce que vous pouviez partager ensemble te semblait enfin à portée de main.
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