#avec ses soins pour la peau
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Soumission & Domination 335
Le tatouage d'Emma, nouveau plan pour Amaury
Début Janvier, j'emmène Emma chez mon tatoueur. Il est surpris de savoir que cette encore jeune femme est ma mère. Pour définir le travail à faire, elle se met quasiment nue puisque le dragon partira du sillon entre ses deux fesses jusqu'à son sein droit. Le tatoueur admire la plastique irréprochable d'Emma. Je crois bien que ça le fait même bander ! Je me dénude à ses côtés et lui dis que ce que nous voulons c'est le même mais qui passe sur la taille d'Emma avant de remonter vers son sein. Donc ce sera le même dragon mais dans une autre position. Le tatoueur souligne que le passage sur le flanc d'Emma va être douloureux pour elle. Cette partie du corps est fortement innervée, c'est bien pour ça que les chatouillis y sont pratiqués. Et sur les côtes, la faible masse musculaire qui les recouvre amortie peu les sensations des aiguilles. Emma balaye d'un geste ces considérations. Elle lui demande juste de faire tenir la " bête " dans les délimitations de son maillot une pièce. Pour cela elle enfile celui qu'elle avait amené pour qu'il se rende compte. Il la prend en photo et mesure les dimensions de la partie couverte. Il prend en photo aussi mon dragon car il ne garde pas les documents propres à chaque tatouage afin de ne faire que des oeuvres différentes. Je suis le premier à lui avoir demandé une réduction de mon dragon pour l'épaule de Marc et une nouvelle mouture pour Emma.
Une semaine plus tard, il nous téléphone de venir voir son travail. Il nous présente deux versions. La première avec la tête du dragon entre les seins mais du coup elle sort de la zone couverte, la seconde, à l'aide d'une torsion supplémentaire de son corps place la tête du dragon sur les côtes avec sa gueule ouverte autour du téton. Cette deuxième version entre dans les critères mais rend quand même moins bien. Dans les deux cas, la tête du dragon est déformée par le galbe du sein. Emma s'en rend compte et est un peu déçue du résultat. C'est à ce moment-là que le tatoueur sort un troisième projet. Il a placé la bestiole comme sur ma propre peau en dégageant un peu plus le cou d'Emma pour permettre des décolletés larges. Le corps du dragon passe en partie sur l'épaule et de l'autre côté, la patte, qui sur moi s'agrippe à ma clavicule gauche, là, lui enserre l'autre épaule. Le résultat est nettement plus lisible, la tête trouvant sa place sur l'aplat au-dessus du sein.
Des trois, c'est le plus beau des placements. Emma n'hésite pas longtemps même si quelques soit le maillot de bain, à moins de revenir à ceux du début XXème siècle, il sera impossible de le cacher. Elle choisit la troisième proposition. Il avait prévu cette éventualité et le calque est prêt. C'est au transfert que l'on peut se rendre vraiment compte. Le tracé laisse effectivement le cou d'Emma bien dégagé, suffisamment pour les décolletés qu'elle porte en publique.
Nous sortons de la séance avec le tracé noir totalement réalisé et un rendez-vous deux semaines plus tard pour la colorisation. Je l'accompagne encore d'autant plus que pour faire un sosie de mon dragon, il vaut mieux que le tatoueur l'ait sous les yeux. Le résultat quelques heures plus tard est parfait. Puis il est recouvert de cicatrisant puis de film alimentaire. Emma à l'air d'une momie ! Je la reconduis chez elle. Elle est assez fatiguée d'avoir combattu la douleur pendant autant de temps. Je la confie à Pablo pour les jours à venir. Heureusement qu'avec lui elle a plus qu'un simple cuisinier. Elle sait qu'elle peut lui demander plus (sans sexe) sans qu'elle soit jugée. Moi, je sais qu'il va prendre soin de sa cicatrisation et l'enduire deux fois par jour de Cicatryl. Après moi, il est le premier à voir le tatouage. Il le trouve superbe et trouve les modifications par rapport au mien sans effets néfastes. Elle cicatrise vite et dès le 10ème jour, après contrôle par le tatoueur, elle est autorisée à laisser tomber le cicatrisant. Son habitude de s'hydrater la peau suffira. Les couleurs brillent, elle est superbe. Nous fêtons ça par une soirée chez elle, PH, Ludovic et moi. Depuis 25 jours qu'elle n'avait fait l'amour, c'est elle qui nous a mis sur les genoux et tous les trois !
Mes deux acolytes trouvent le tatouage superbe et je vais avoir du mal à les retenir d'y passer aussi.
Ludovic qui déjà adorait s'écraser sur mon dos pour coller mon dragon et essayer en vain de prendre sa position, trouve ça plus facile sur Emma. C'est évident, elle est plus petite que moi plus une poitrine plus " développée " et du coup il arrive à lui prendre le téton entre les dents ! Un par un ou ensemble, nous la pénétrons pour calmer sa faim de sexe. Ernesto étant absent, j'aurais dû anticiper et demander à Jona et François de nous rejoindre. Peut-être qu'à 5 nous aurions réussi à satisfaire complètement. Là, nous l'avons finie à l'aide de godes.
Bon, elle n'a pas regretté quand même. Nous avons réussi quand même à la maintenir presque une demi-heure d'heure d'affilé au sommet de la jouissance par une triple prise : 1 anale et 2 vaginales. Explications : - Moi sur le dos ma bite enfoncée dans son anus, Emma couchés sur mon torse, - Ludovic la sienne dans la chatte, ses jambes de chaque côté de nos tailles pour dégager au maximum l'espace entre nous deux, de plus la position le maintien enfoncé au maxi dans Emma, - PH debout, ses jambes de chaque côté des miennes, a donc la place d'enfoncer son gland à côté de celui de Ludovic. Le résultat : je suis super comprimé par les deux queues qui prennent de la place dans le ventre et sans avoir à bouger, l'excitation reste permanente par les va et vient de PH. C'est pareil pour Ludovic qui bénéficie en direct de PH.
Nous en sortons exténués et vidés pour un moment ! Mais Emma elle a trouvé cela trop bon. Je suis sûr qu'elle imagine ce que cela donnerais avec les 24x6 d'Ernesto en remplacement d'un de nous. Par contre, deux dans chacun de ses trous ça va être impossible à faire !
Le matin qui a suivi cette nuit de folie, Pablo nous avait préparé un petit déjeuner roboratif. Après avoir avalé de quoi nourrir un régiment entier revenant d'opération sur le terrain, nous sommes partis en cours chacun de son côté. J'ai somnolé une bonne partie de la matinée. Evidement je me suis fait moquer par Morgan et Amaury qui se demandent bien ce que j'ai pu faire la nuit précédente.
Amaury me prend à part et me demande quand il aura droit à un nouveau plan hard multi partenaire. Il me dit d'en parler avec Samir. Je fais le point avec ce dernier. Il me dit qu'effectivement, même si Ammed devient dominateur avec lui sur Amaury, il voit bien que ce dernier demande plus. Pas dans le remplissage de sa rondelle, ça ils y arrivent sans peine, leurs deux bites de 19.5 x 6 et 19.2x5.6, réunies ensemble assurent. Les séances de godage et même de fist le font jouir surtout quand sa bite est contrainte dans sa cage. Mais c'est le côté psy qui pêche de temps en temps. Il recherche le service " vidage de bite par tous ses trous " qui lui apporte l'avilissement total dont il a besoin.
Mes clients habituels sont trop proprets pour arriver à lui faire passer ce genre de sensation. En plus, je ne voudrais pas qu'ils reproduisent ça sur mes Escorts " classiques ". Je charge Samir de rechercher qui pourrait satisfaire la demande de mon Escort particulier.
Il met une semaine pour me trouver plusieurs options.
Larvage en cave dans la cité craignos du coin. Là une bonne quantité de jeunes Beurs et blacks en manque de meufs pourrait faire l'affaire mais le rapport sera faible et les risques de dérapage importants.
Le faire taffer un soir en foyer de travailleurs. Là leur pouvoir d'achat est un peu supérieur et la quantité d'homme sevré de femme sera importante. La moyenne d'âge plus élevée, la forte majorité d'immigré assurera un effet dépravation supplémentaire. Il a repéré deux foyers Sonacotra qui seraient idéaux pour ça.
Dans les deux cas, il faudra encadrer Amaury pour limiter au maximum le risque pour sa santé. Fournir les kpotes et le gel sera indispensable et surtout rester pour s'assurer que les " utilisateurs " les utiliseront. Et vu la population même les pipes devront se faire sous kpote. Il ne veut pas qu'Amaury y attrape une chtouille ou même plus.
Là-dessus je suis totalement en accord avec lui. Il serait bien de voir s'il n'y a pas un ou plusieurs " chefs " qui seraient capable de gérer leur groupe ethnique. Je lui dis de voir aussi avec Jona et François. Ils ont des entrées particulières de renseignement et en plus nous aurons besoin d'eux pour la sécurité. Entre Ammed, PH, eux deux plus nous deux, et notre pratique des arts martiaux, on ne devrait pas rencontrer de problème. Au pire s'il y a trop de participants potentiels, rien ne nous interdira de refaire une séance. Quant au tarif, il faudra probablement s'aligner sur les putes bas de gamme. La sodo simple à 50€ et celle après une pipe à 70, ça devrait le faire. A confirmer avec nos agents de renseignement !
La semaine suivante, nous avons les infos. Samir a rencontré les meneurs des trois groupes ethniques du premier foyer, blacks, algériens et turcs. Ils ont sondé leurs ouailles et il en ressort qu'une cinquantaine serait partante au tarif proposé. Samir me présente même une prévision à 20 sodos simples et 30 sodos après pipe. Soit une soirée à plus de 3 100 quand même ! Il me dit qu'il a rencontré quelques futurs bénéficiaires de notre plan " Dégorgement des couilles immigrée ", Amaury ne devrait pas être déçu. En plus du nombre, quelques bites devraient lui donner des sensations intéressantes. Il a négocié avec les trois hommes que leurs séides soient propres et douchés avant de venir. Le port de kpote aussi a été acté. Si ce n'était pas le cas, le mec serait sorti de la liste. Ils ont même tiré au sort la succession des ethnies. Le premier sera Turc, le deuxième Black et le troisième donc Algérien et reprise Turc, Black, les sodos simples au début et celles après pipe après... jusqu'au dernier.
L'affaire a l'air de rouler ! Nous la proposons à Amaury. Il s'y projette vite et nous demande de la programmer au plus tôt. Je lui dis qu'il devra quand même, par sécurité complémentaire à l'utilisation systématique des kpotes, suivre un traitement post exposition au HIV. Il en comprend la nécessité. De même il se fera dépister des autres MST avant de se permettre de nouveaux plans en réel. Il est d'accord avec toutes ces contraintes supplémentaires. Il avait pensé lui aussi au TPE mais pas aux autres MST.
Nous profitons d'un WE où Ludovic se fait une super chasse chez son paternel pour organiser cette affaire. Quand nous arrivons dès 13h30, nous rencontrons les 3 délégués. Ils nous remettent chacun les participations de leurs compatriotes. Je m'isole pour compter. Le montant prévu est là. Je rejoins les autres qui ont mis Amaury en situation. Ils ont réquisitionné un des T2 du rez-de-chaussée. Le Turc nous remercie de lui avoir mis une cage. Il n'en avait pas parlé mais certains de ses collègues lui avaient dit qu'ils espéraient que la " pute " ne banderait pas.
Amaury est à 4 pattes sur le lit, les fesses à l'aplomb du bord pour que les mecs puissent l'enculer direct, debout. Jona et François sont avec lui de chaque côté du lit prêts à intervenir. Samir et Ammed sont avec les trois " gérants " ils vont devoir gérer les participants en amont. Notamment ils ont la charge de fournir la kpote adaptée (à la taille du sexe). Avec PH nous servons de renfort.
Amaury est prêt pour le premier assaut. Samir lui a préparé la rondelle afin qu'il soit performant dès la première saillie.
Les instructions ont été suivies. Dans le couloir qui sert pour la file d'attente, pas d'autres odeurs que celle des différents gels douche utilisés. Les mecs sont en majorité en jogging et T-Shirt. Ils sont propres aussi. Quelques-uns sont en shorts. Plus je remonte la file vers l'appartement, plus le silence se fait et les joggings se tendent. A la porte d'entrée je comprends. En provenance de la chambre, arrivent les gémissements d'Amaury. Entrecoupés de " vas-y, fuck, plus fort... ", ils font bander les 15 qui attendent leur tour. Je rentre dans l'appart. Dans le séjour, le trio vérifie que le mec fait bien partie de ceux qui ont payés et ils le font même mettre le pantalon aux genoux pour vérifier la propreté. Ça permet à Samir ou Ammed de donner la bonne taille de préservatif. Le mec rentre alors que le précédent sort. Il encule Amaury directement et le secoue jusqu'à jouir. Ce qui ne prend environ que 5 à 6 minutes. Quand il part, il retire son préservatif et le jette dans une grande poubelle, remonte son jogging ou son short et se casse. Durant cette première partie, je vois deux ou trois mecs ttbm qui arrivent à tirer des gémissements plus prononcés à Amaury. On fait une pause avant le second groupe (de ceux qui ont payé pour la pipe avant la sodo). Pour délasser Amaury et qu'il se détende les jambes, au milieu de la première série, on l'a installé sur une table. Entre le plateau et son dos on a plié une couverture et les jambes levées, il s'était fait ramoner jusqu'à la pause. Alors qu'il continuait ses demandes (fuck me, plus fort....) j'ai remarqué que les enculeurs étaient plus respectueux. Avant alors qu'ils ne voyaient que son dos et sa nuque, ils le traitaient comme un sac à foutre, une truie à engrosser. Là, depuis qu'ils le voient de face, ils sont plus doux et prévenants.
Avant de reprendre, les trois intermédiaires passent sur Amaury. Le black est très fortement membré mais pas tant que mes deux hommes de services réunis. Néanmoins, après la pause et le passage des deux petites bites de ses collègues, il doit forcer un peu. Je reste mater. C'est vraiment beau. Amaury est blanc et ses fesses le sont encore plus. Le black l'est de façon très foncée. La jonction de leur deux corps accentue le contraste. Le piston black qui d��fonce le cul bien blanc.... Quand ils sont collés on dirait les deux faces d'un domino.
Puis la seconde période commence. La seule différence avec la première c'est que celui qui attend pour enculer se fait pomper alors que le précédent est encore à chercher à jouir. On gagne du temps car les mecs arrivent tellement excité à la sodo qu'il faut encore moins de temps qu'aux premiers pour juter ! Sauf deux ou trois qui ont pris un quart d'heure, les autres se sont vidés après 4 ou 5 coups de rein. Du coup on est sorti du foyer après seulement 6 heures de prestation. Pas de problème de sécurité. Tous se sont pliés sans rechigner au port de la kpote, même pour les pipes. Amaury nous a dit n'avoir pas trop apprécié les pipes sous emballage mais c'était quand même plus sécure !
Retour au blockhaus il est 21h30. Amaury est fatigué mais il arrive encore à marcher. Dimanche matin. Je descends au premier voir Amaury qui est resté sur place, pris en charge par Samir. Il est plus courbaturé que la veille. C'est surtout les muscles internes des cuisses qui lui font mal. Quand j'arrive, il est en train de se faire masser par Ammed et ça lui fait du bien. Je m'installe à sa tête et on parle de sa prestation. Il me dit qu'il avait trop aimé la sensation de n'être qu'un trou à boucher. Même si la levrette le faisait sentir plus " chienne ", c'est sur le dos, avec la vue des visages de ses enculeurs qu'il a vraiment pris du plaisir. Comme pour le gang bang que j'avais organisé, les couleurs de peaux foncées ajoute à son plaisir. Je rigole et lui dis que c'est surtout parce que ce qu'ils ont entre les cuisses sont en général plus gros que ce que nous avons-nous autres blancs ! Ça le fait rire et il me dit que c'est peut être ça aussi.
Je lui souhaite un bon dimanche lui dit de ne pas oublier de passer à l'hôpital voir Blond2 (mon escort étudiant en 7ème année de médecine), il est prévenu pour ses analyses et son traitement post exposition. Il me promet d'y passer en rentrant chez lui.
Jardinier
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J'ai été déçue tellement de fois par tellement de monde pour tellement de choses. À vrai dire, je pense rarement à mon passé, les gens autour de moi, que je les connaisse ou pas, y pensent certainement davantage. J'avais rendez-vous avec une potentielle maître de stage aujourd'hui alors je m'y suis rendue. Le stage concerne un service de réanimation pédo-psychiatrique. Je n'aurais jamais pensé qu'un personnel de santé qualifié et réputé me parle comme si j'étais mon passé, mes cicatrices, une vulgaire maladie. J'ai toujours pensé que je me devais d'être transparente envers les personnes impliquées dans ma vie, peu la sorte d'implication. J'ai toujours été honnête sur mon passé, ouverte pour en parler, pour rassurer, pour me laisser connaître. Aujourd'hui, j'ai continué sur cette lancée et j'ai été honnête avec cette dame. J'ai commencé par lui dire que je trouverais ça plus approprié de venir manche longue lors des consultations où les adolescents pouvaient vivre des épisodes de mutilation pour éviter la fascination, de l'angoisse, des pulsions. Cependant, au lieu de me donner son avis sur cette pensée, elle m'a plutôt dit que faire mon stage dans ce service me ramènerait à mon état, que je n'arriverais pas à tenir ce stage, à vivre la douleur des autres sans penser intensément à la mienne, que je ne serai jamais guérie, que j'étais fragile, qu'il fallait que je me préserve, que je ne serai jamais psychologur ou jamais une bonne psychologur du moins. Je me suis demandé si se préserver c'était s'empêcher de vivre par peur infondée de recroiser un embryon de notre passé dans chaque situation future. J'ai senti une colère et une déception vertigineuse, tout ça pour ça alors ? Avoir été mal ne serait que finalement une entrave supplémentaire au fait d'exister ? Si je n'avais pas eu de cicatrices, elle n'aurait jamais été sur ce terrain affectif malsain. On ne lit que très rarement les traumas des gens sur leur corps. Un viol ne se devine pas, une tentative de suicide ne se devine pas, une rupture amoureuse ne se devine pas, une addiction non plus mais des cicatrices oui. Pourtant elles seront là toute ma vie. Et même des années après, je n'ai jamais trouvé le moment pour en avoir honte. Mais tout ces efforts pour quoi ? Ces années de thérapie à me soigner, ces internements forcés privée de tout à être contrainte de réfléchir, toutes ces études, tout ce travail sur moi pour quoi ? Pour quoi faire si finalement au yeux de tout le monde je reste qui j'ai pu être et surtout ce que j'ai eu ? J'ai pleuré parce que je pleure souvent en ce moment et parce qu'on ne m'avait jamais autant déshumanisée que pendant ces 45 minutes d'entretien. J'ai tenu bon, le regard sec, fixe, attentif, les déglutitions douloureuses et les tempes qui battaient fort dans mes lobes temporaux certes parce que je n'ai rarement autant rien eu à prouver qu'aujourd'hui. J'ai fait ma part du travail. Personne n'a aucun traumatisme et aucune manière d'être certain qu'il ne sera pas réactivé ou juste recroisé de loin, pour autant, arrêtons-nous de vivre ? Qui est ce que je dois protéger en renonçant à ce stage ? Moi ? Les patients ? Un personnel de santé incompétent ? On nous dit de vivre pour nous, librement et qu'aller mal n'est que le reflet d'aller bien, pourtant, ma condition d'adolescent malade me suivra sûrement à vie. Je ne pensais pas arriver au stade où je devais justifier que je ne me tuerai pas à la moindre plaie, aux moindres mots forts, à la moindre détresse apparente. Ça m'a fatiguée. Je suis profondément fatiguée.
Les personnes les moins humaines sont celles que j'ai le plus côtoyé dans le milieu du soin. Je repense souvent à cette médecin des urgences qui a dû me recoudre sur 20cm de mon avant bras et sur deux plans de ma peau. Avoir m'avoir répété sur je prenais la place des autres et que j'étais folle, elle m'a recousu à vif, sans anesthésie en me disant "tu voulais souffrir en faisant ça hein ? Alors tu vas vraiment souffrir". Je repense à ma psychiatre qui m'a fait interner, qui a fait signé les papiers à mes parents dans mon dos et qui les a obligés à me conduire à l'hôpital psychiatrique alors qu'on était censés faire une balade. Je pense à cette psychologue qui m'a obligée à rester assise pendant des heures devant mon assiette pour me forcer à la manger. Je repense à cette infirmière qui a soupiré quand il a fallu m'amener me faire recoudre au service juste en dessous de l'hp, elle m'a dit d'y aller seule. Je repense à toutes l'équipe de soin qui m'a gardée jusqu'au jour de mes 18 ans pour me faire sortir le lendemain juste pour que je le fête là. Je suis en colère si fort parce que je n'ai jamais rien dit, j'ai obéi, j'ai fait alors que j'avais le cœur fracturé. Tout ça pour ça.
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Scène 1 "Une femme mure sur la plage"
Déjà presque une année écoulée depuis ces vacances passées chez mes parents dans le sud-ouest de la France. C’était en pleine saison au mois d'août, je me souviens encore des senteurs et sensations d’aller courir chaque matin avant d’aller piquer une tête dans l’océan pour conclure cette activité de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mémoire comme des moments marquants de la vie où tout est calme, où on ressent la sérénité du présent, où la vie semble sans contraintes.
J’avais passé l’âge de passer des vacances chez mes parents mais cette année là les voyages étaient encore limités et j’avais à coeur de voir mes parents après cette période surréaliste où la moitié de la planète avait passé plusieurs mois confinée. Ce virus COVID-19 qui a touché tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupé de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances d’été se réduisaient à des distances accessibles en train ou en voiture, les vols à l’autre bout de bout monde encore déconseillés.
J'aimais me lever tôt pour aller courir, profiter de la fraîcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques.
Depuis quelques jours j’avais remarqué cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait préférer la tranquillité avant l'arrivée de la foule. La 1ère fois que je l’avais aperçu, étant seul sur la plage avec elle, je me disais qu’elle m'avait obligatoirement remarqué. Je me souviens comme si c’était hier, je voulais me rafraichir après mon footing matinal, je n’avais pas résisté à l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'étais étonné de voir cette femme seule à cette heure, comme si elle commençait sa journée de plage, installée sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraîcheur
Elle lisait et avait tourné la tête en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posé mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraîche. Je lui tournais le dos, elle était installé à une 20aine de mètre plus haut sur la plage, je n'avais pas osé me retourner mais bien qu'étant allongée sur le ventre, tournant le dos à la mer, j’avais imaginé qu’elle avait tourné la tête pour me regarder me dévêtir avant de plonger en boxer dans l’eau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journée. Quand je revenais vers le bord, elle avait changé de position, assise sur sa serviette, le regard plongé dans son livre mais elle s'était retournée, peut-être pour profiter de l'océan et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour là, je revenais tous les matins, à la même heure, espérant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarqué que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'étais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'était pas le genre de femme qu’on aborde facilement. C'était l'impression qu'elle me donnait.
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnés, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignée. Malgré le soleil estival, sa peau à peine hâlée, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dû arriver depuis peu. Un détail avait capté mon attention plus particulièrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin d’elle, elle n’était pas grosse mais des formes qui s’arrondissent avec les années de manière plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle s’était levée pour aller se baigner, son fessier m’avait captivé, il était large, charnu et marqué par les années tout en étant très agréable au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de manière trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rêver surtout chez une femme mure. J'avais remarqué cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassé le matin à la même heure, elle était là au même endroit. Depuis je m'étais calé sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa présence qui agrémentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en même temps qu'elle, toujours au même endroit, un peu en retrait à quelques 10aines de mètre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son décors, l'habituer à ma présence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habitué de la même plage, à la même heure. Comme pour partager cette discrète complicité et la rassurer de ma présence à quelques mètres d'elle. Pour vivre ce moment, à la surprise de mes parents, j’avais pris cette habitude de me lever tôt tous les matins, pour profiter de ce moment privilégié qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de l’océan calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osé aller me baigner en même temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle était en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indéfiniment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait à ma présence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle était là, entre 7h30 et 7h45, l'heure où les gens dormaient encore, où l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'étais là en espérant la retrouver à la même place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder à part un simple bonjour mais elle était trop loin pour lui parler et je n’osais pas aller l’aborder et pour quelle raison d’ailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressée. Je m’encourageais en me disant que je devrais aller me baigner en même temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la température de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de créer un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle était ouverte à la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un défi à relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espérais que l’initiative vienne d’elle, considérant que mon âge ne me permettait pas d’aborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hésitais à me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agrémentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirées. J’étais troublé en pensant à elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par réveiller mon sexe au point de me caresser en échafaudent des plans que je savais pertinemment irréalisables mais ces rêves érotiques étaient des plus agréables. J’essayais de l’imaginer, telle que je l’avais vu, je me remémorais régulièrement ce moment qui m’avait marqué et ému : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager.
Ce matin encore en la voyant nager, je me résignais, me promettant que demain j'irai me baigner en même temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me détendais en gagnant ce nouveau délais. Elle nageait à quelques mètres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me réjouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce décors qu'elle garderait en tête comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensées en journée. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que j’étais arrivé je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tôt. Il m'arrivait de parcourir les lieux où les touristes se promenaient, j’avais même fait le tour du marché en matinée, espérant la croiser, me demandant qui elle était, si elle était seule, en couple, avec sa famille, des amis mais étant seule chaque matin je l’imaginais seule.
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de découvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je l’avais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui était cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivée des touristes. Jusque là, je n’avais pas osé quitter la plage en même temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer à ses yeux pour un dragueur de plage en quête d’aventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait à pied, à vélo ou en voiture mais je commençais à échafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-être venir un peu avant 7h30 pour voir d'où elle venait ? peut-être attendre d'être hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journée mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en même temps qu'elle. Je me sentais presque rassuré d’obtenir ce délais tout en redoutant qu’elle ne vienne plus et disparaisse à jamais sans avoir rien tenté ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain était un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. J’angoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai raté l'occasion de l'aborder. Je m'arrêtais un moment, j'hésitais entre me changer les idées en allant voir un copain et continuer à errer dans les alentours de la plage en espérant la croiser. Je me sentais comme un détective privé à la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquête.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (Scène 2 le 21 mars 2024 à 06h00)
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Tu n'es pas un hasard
Mon coeur est doux et fragile mais il faut faire attention
Je ne veux pas détruire ta relation actuel
Car tu as l'air heureux
Mais le hasard n'existe pas quand c'est le coeur qui parle
Dès je te vois dans mes rêves j'ai l'impression que tu existes dans la vie réelle
Mais je ne suis pas celle qu'on recherche de toute façon
J'étais toujours le dernier choix ou pas
Si ce n'est pas toi alors ça sera quelqu'un d'autre
Ou si la vie me laissera une chance pour croiser ton regard
Je ne peux pas contrôler le temps, ni lire dans l'avenir
Mais je peux juste de te dire que tu existes déjà dans mon coeur
Je ne sais pas si c'est réciproque ou temporaire
Il suffit que Dieu m'ouvre la porte de ton coeur
Mais je sais que ton coeur n'est plus �� prendre
C'est trop difficile je peux pas t'effacer de ma mémoire
Alors que peut-être on se verra jamais que tu étais temporaire
Tu étais seulement une silhouette et non une personne
Tu pouvais devenir mon jardin secret
Et que ça reste entre toi et moi
Tu pouvais être ma deuxième maison
Le hasard n'existe pas si tu apparais dans mes rêves c'est que dans la vraie vie que tu existes
Tu existes mais tu partages ta vie déjà avec quelqu'un dans la réalité
Donc peut-être que tu n'étais que temporaire car je pouvais ressentir ta peau contre la mienne
Mais j'ai perdue ta trace, donc pour moi ce n'est que temporaire tu es juste un rêve
Maintenant il faut que je pense à moi car je sais que je n'aurais pas de chance dans la réalité
Sois heureux avec elle et j'espère que ça durera le plus longtemps même si ça sera difficile pour moi
Mais je veux que tu prends soin de toi même si je t'ai perdue
Mais ce rêve je n'oublierais jamais car tu étais le premier à me faire sentir aimer
Tu n'étais pas un hasard et je comprends que tu es inaccessible
Tu seras mon plus beau rêve mais il est temps de te dire au revoir
Oui ça fait mal car j'aurais voulut te rencontrer avant elle
Ne t'en fait pas pour moi, je vais bien
Je n'ai jamais été l'amoureuse de personne
Ni une personne spéciale pour quelqu'un
Alors, au revoir...
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Elle s'est mariée à l'âge de 14 ans, et à l'age de 20 ans, elle devient mère. La première femme millionnaire qui a fait fortune avec ses 10 doigts.
Elle est entrée dans le Guinness Book of Records en tant que première femme à devenir millionnaire indépendamment, sans argent hérité. Sara Breedlove est née en 1867 dans le sud des États-Unis, dans l'État de Louisiane. Ses parents, ses frères aînés et sa sœur étaient esclaves dans les champs de coton. Mais Sara est née libre. À 7 ans, elle a perdu ses parents. Après la mort de ses parents, elle a emménagé chez sa sœur et son mari. Enfant, Sara travaillait comme femme de ménage et n'avait pas le temps de scolariser. Elle a plus tard indiqué qu'elle n'avait eu que 3 mois d'éducation formelle lorsqu'elle a fréquenté. Elle n'avait que 14 ans quand elle a épousé Moses McWilliams. Elle ne l'a pas fait parce qu'elle l'aimait la vérité était que le mari de sa sœur était un homme très violent, et le mariage était le seul moyen pour Sara de s'échapper de cette famille. 4 ans plus tard Sarah et Moïse avaient une fille ensemble. Son mari décédé elle est donc devenue veuve à l'âge de vingt ans. En 1888, Sara déménage à St. Louis. Ses frères y travaillaient comme coiffeurs. Elle a commencé à travailler dans une laverie et comme cuisinière pour payer les études de sa fille dans une école publique. Sara gagnait environ 1,50 $ par jour. Comme tous les travailleurs de la blanchisserie, Sara est tombée malade à cause de produits chimiques, maladie de la peau, manque d'eau et chauffage dans la maison ont fait que Sara à perdu ses cheveux. Grâce à ses frères, elle a appris les bases des soins capillaires. Eni Malon des produits capillaires, et la rencontrera plus tard en personne, elle commence à vendre ses produits dans la rue. Travaillant toujours pour Malon à 37 ans, elle déménage à Denver avec sa fille et commence à penser à sa propre gamme de cosmétiques pour les femmes afro-américaines. Après de nombreuses expériences, elle réussit et elle commence à construire sa propre entreprise. En 1906, Sara épousa Charles J. Walker est devenu plus tard célèbre sous son nom de famille.
Charles devient son partenaire commercial, il a fait de la publicité et a aidé sa femme avec la promotion. Sara a fait du porte à porte en essayant de vendre ses produits, mais aussi pour apprendre aux femmes comment prendre soin de leurs cheveux et coiffer. La même année, elle a décidé d'agrandir son entreprise, alors elle et son mari ont voyagé en Amérique. Sa fille a obtenu son diplôme d'école, alors elle a aidé sa mère. Deux ans plus tard, Sara déménage à Pittsburgh, la famille ouvre un salon de beauté, mais aussi une école qui forme les gens sur les soins capillaires afin qu'ils puissent appliquer les produits. En 1910, Sara déménage à Indianapolis, où elle ouvre le siège de la compagnie Madame C. J. Walker. Elle construisit une usine, un laboratoire, un salon de coiffure et une école de beauté où elle forme ses agents commerciaux. En 1917 elle employait 20 000 femmes. Ses agents gagnaient de 5 à 15 dollars par jour. Sara voulait que les femmes afro-américaines soient financièrement indépendantes, alors elle a encouragé les femmes à ouvrir leur propre entreprise et leur a appris à gérer l'argent. Plus elle devenait riche, plus elle passait du temps à des œuvres de bienfaisance elle a donné des conférences, s'est battue contre l'injustice sociale. Avant de mourir, elle a fait don de plus de 100 000 dollars aux pauvres et à diverses organisations et institutions sociales. Dans son testament, elle a déclaré que les 2/3 de ses futurs bénéfices devraient être reversés à une œuvre de bienfaisance. Elle est morte à l'âge de 51 ans. Elle était considérée comme la femme afro-américaine la plus riche. Quand elle est morte, on pensait que sa fortune se situait entre 500 000 et 1 million de dollars. Au cours de sa vie, Sara n'était pas millionnaire, seulement 2 ans après sa mort, sa richesse a augmenté, mais pendant qu'elle était en vie, elle voulait faire plus de bonnes actions.
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Et c'est ce qui change son esprit, à la fin.
« Parmi les souvenirs qui le hanteraient toujours, se trouvait, entre les sourires de Tyelpe et son corps brisé cloué au pilori, la vision déchirée de lui-même (C.) le pourfendant. Chaque pleur sous chaque assaut, chaque cri, chaque gémissement sous chaque déchirure. Son surnom glissait de ses lèvres alors que ses yeux s'éteignaient pour toujours. [...] Il pensait rarement Célébrimbor, mais ces derniers temps, quand il s'enfonçait dans la contemplation de son Anneau et qu'il se laissait porter par ses pensées, celle-ci lui revenait toujours. Une illusion. Une chose incongrue qui le laissait généralement indifférent, mais plus le temps passa, plus il s'enfonçait dans l'Anneau et rêvait de la (sa) grandeur passée. Et se trouvant là, ce fantasme d'un autre qui devient le sien : Célébrimbor de plus en plus volontaire sous les toucher de Sauron, il devenait fébrile sous ses soins, nécessiteux sous le traitement de sa bouche et Sauron obligerait. Sauron obligerait toujours. Au fur et à mesure, il était plus doux, il était plus gourmand. [...] Il (le fantasme) finissait éternellement sur le regard de Tyelpe qui s'attarde. » ...
« La volupté cessa pour des caresses et des baisers tendres. Sauron fondait sous la chaleur de Tyelpe. [...] Il n'a pas su quand le sexe violent est devenu doux, quand Sauron a fini de le violer pour lui faire l'amour. Quand il passait la plus grande partie à toucher Célébrimbor, à le tenir, à le caresser. À l'embrasser. Quand Célébrimbor est (re)devenu Tyelpe et quand ses visions se sont emplies de chagrin(la tristesse). Car plus jamais Sauron ne pourrait tenir Tyelpe près de lui (et tout cela était faux) [...] Elles commencèrent toujours en cours de route, l'acte en partie consommé. Célébrimbor était d'or à la lumière des bougies, les cuisses invitantes et Sauron s'enfonçait jusqu'à se perdre en lui. Tyelpe gémissait ce nom intime qu'il n'a eu que pour lui et Sauron y répondait avec la même ferveur que s'il prononçait son véritable nom. Il chantait ainsi plus fort et c'était la plus belle chanson que Sauron n'avait jamais entendue. Tout n'était que volupté, de corps qui s'unissaient en un seul et de bouches où fleurissaient de tendres baisers. Et Sauron était toujours perdu, toujours affamé, réclamant cet endroit secret dans ce corps féerique qui faisait voir à Tyelpe les étoiles. Les premières fois, Sauron avait été brutal, dominant Célébrimbor, ses jambes sur ses fortes épaules et ses mains lui déchirant le dos sous la force de ses assauts. Plus les années passaient, plus les visions devinrent douces. Le côté bestiale et mécanique se délaissa pour quelque chose de plus passionné, d'incarné, pour finir sur des touches fragiles. Sauron cessa de faire l'amour à Tyelpe, de le pénétrer et de se déverser en lui. Il avait fini par lui prodiguer des touches de tendresse. Cela finirait toujours par Sauron embrassant Tyelpe, pleurant sur cette peau dorée pour un amour impossible et entaché à jamais. »
...
Illustration Kakashi x Iruka mais c'est ma vision où Célébrimbor est de plus en plus tangible et réceptif à cette tendresse à mesure que la culpabilité de Sauron et la réalisation de sa perte augmente. Ce n'est qu'un mirage au début, une fumée au semblant d'apparence à Célébrimbor. Il n'est que réel et le véritable Célébrimbor qu'à la fin quand Sauron accepte son erreur et pleure sa perte.
#tyelpe#celebrimbor#silvergifting#mairon#sauron#annatar#fanfic writer#histoire 1#french#rough draft#lotr#Sauron fantasizes about a vision that a nonbeliever showed him and he won't let it go.#Love takes precedence over violence but also makes room for sorrow.#They are both haunted by each other.#Kakaiku
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Elle lui a préparé un repas de fête. Elle le sait gourmand, plus qu'elle, ce qui n'est pas peu dire. Elle a préparé des dessous harmonieux et appétissants, un petit haut léger et transparent laissant voir des montagnes qu'il aime à déguster. Le repas se fera sans couvert, juste manger avec les mains, le regard.
Une peau fraîche et douce suivra et sera à déguster sans égard et autant qu'il le voudra.
Une chaise et une table pour décor, simplicité oblige.
Elle n'a pas oublié les deux bougies posées un peu plus loin, ça peut toujours être utile. La musique, ce sera celle de leurs coeurs qui se répondront.
En dessert, une dégustation de fruits plus doux et délicieux les uns que les autres.
La boisson, elle lui laisse le soin de l'apporter lui-même, elle sait qu'il choisira la meilleure, la plus délicieuse pour son palais à elle.
Les persiennes sont un peu tirées, jouer avec les ombres de leurs corps sous les rayons du soleil.
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Fuir
Alix de Tripoli se tenait devant Baudouin son cœur battant la chamade. Elle savait qu'elle devait être prudente dans ses paroles, mais elle ne pouvait pas retenir ses sentiments plus longtemps.
"Baudouin, je t'en prie, viens avec moi," supplia-t-elle. "Nous pourrions fuir ensemble, voir le monde, vivre une vie sans les chaînes qui nous retiennent ici."
Baudouin la regarda avec tristesse, sa peau marquée par les stigmates de la lèpre. Il savait qu'il ne lui restait que peu de temps à vivre, que Saladin et ses troupes se rapprochaient de plus en plus de Jérusalem.
"Alix, tu sais que je ne peux pas abandonner Jérusalem," répondit-il, sa voix faible mais résolue. "C'est mon devoir de protéger cette terre sainte, même si cela signifie que je dois rester ici jusqu'à ma mort."
Les larmes montèrent aux yeux d'Alix. Elle aimait Baudouin de tout son cœur, mais elle savait qu'elle ne pouvait pas l'épouser à cause de sa condition. La lèpre les séparait, les empêchant de vivre pleinement leur amour.
"Baudouin, je t'en prie, ne sacrifie pas ta vie pour une cause perdue," sanglota-t-elle. "Viens avec moi, laisse-moi t'aimer et prendre soin de toi jusqu'à ton dernier souffle."
Baudouin posa doucement sa main sur la joue d'Alix, ses yeux emplis de gratitude et d'amour pour elle.
"Je t'aime, Alix, mais je ne peux pas abandonner mon peuple," dit-il doucement. "Mon devoir envers eux passe avant tout le reste. Je resterai ici jusqu'à la fin, mais je te promets que je t'aimerai toujours, où que je sois."
#fanfic#baudouin iv#baldwin iv x oc#king baldwin x reader#baldwin of jerusalem#baldwin iv#leper king
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Traduction française de Fear & Hunger 2 - Termina - #2
Comme prévu, nouvel update sur la traduction française de F&H2. Ça avance lentement mais sûrement, en espérant que je puisse la sortir avant la prochaine MAJ du jeu. Haha.
Traduction faite durant le mois :
Les objets : les noms et descriptions des objets, de la nourriture, des objets de soin, des livres et les morceaux de gens ou d'animaux ou d'autres bestioles pas protégées par la SPA.
Les noms des ennemis et de leurs membres.
L'extérieur du train. Comprends la discussion du début de jeu, ainsi que les discussions de hub.
Première rencontre avec Per'kele.
Maison de l'homme des bois. Avec le sous-sol.
Une partie de la vieille ville, qui correspond à la zone du soldat 1, de l'extérieur du manoir du maire et Karin à l'entrée de la maison.
Petit sneak peak juste en dessous !
Il y a quelques points que je veux particulièrement remonter. Par justification de traduction, d'appel à l'aide, ou parce que c'est particulièrement intéressant.
Les ennemis
La majorité vont être traduit : Villageois/Villageoise, Fusilier, Homme-Pillier, Vieille aux rats, Dance Mécanique, Clébard Fétide, Cocon Imparfait, Lunette Chialeuse...
J'en profite du coup pour proposer la traduction de Moonscorch, qui serait du coup Flambelune. Cela donnera le cancer de la Flambelune, et un Flambeluné.
J'hésite grandement à traduire les nom Needles et Stitches, qui pourrait être traduit par Seringues et Soutures, mais ça ne sonne pas top. Mais ça fait flic de laisser des nom en anglais dans une trad française.
En parlant de flic, je comptais traduire Bobby par Flic/Flicaillon/Poulet, mais ça enlèverai le contexte du nom. En Angleterre, bobby est un mot familier pour désigner les policiers londoniens, avec leur casque bombé. Vu le design de l'ennemi dans le jeu, le nom restera.
Par contre, Bellend sera traduit par Gland. C'est très important.
Avis à la population, mais surtout aux experts : pour l’ennemi Sew Job, le mot existe bien en anglais, mais je ne trouve pas d'équivalent en français. Enfin si, ce serait Travaux de couture, mais ça sonne faux. Pour le moment, le nom placeholder pour cet ennemi serait Peau Rapiécée. Question pour les gentils messieurs et madames de mon PC qui font de la couture : est-ce que vous avez un mot pour Sew Jobs, dans votre domaine ?
2) Première rencontre avec Per'kele
Point général, car il concerne tout le texte, mais j'ai dû bidouiller un peu pour garder le texte le plus neutralement genré possible.
3. Extérieur du train
La manière dont est fait le jeu, chaque zone comprend tous les dialogues et textes possible dedans, que ce soit les Party Talk, les diagnostiques médicaux, les discussions avec les NPC, lorsqu'on fouille dans des objets... En même temps, des textes se répètent entre chaque zone, alors qu'ils devrait être dans l'onglet Common Events... Après, ce sont des textes que je ne traduit qu'une fois, puis je les recopie dans les autres zones. Je n'aurai pas à les retraduire et ça m'avancera le travail.
Cette partie là a été longue à traduire, car elle comprend à la fois la discussion du début de jeu (et les alternatives selon le personnage qu'incarne le joueur), mais aussi toutes les discussion de hub (Marcoh et Tanaka qui boxe, Olivia qui creuse la terre, Henryk qui fait sa popotte dehors, Daan qui clope). Il y a d'autres zones comme ça, qui sont pas mal chargée de texte, comme l'intérieur du train, le bar jazz, et l'intro des personnage.
Pas mal de dialogue sont des ref à d'autres média, comme par exemple la référence à Jimmy Buffet quand on demande un coup à boire à Daan au bar (je reviendrai sur celui-là plus tard). Là, lorsqu'on essaye de l'embrigader dans notre groupe alors qu'il est au complet, il refuse en disant qu'il sera juste un "party poison". Je n'ai pas réussi à trouver si c'était une expression idiomatique ou bien une référence. La seule référence que j'ai trouvé, c'est un titre de MCR (qui est nul à chier imo). Du coup, dans le contexte, je pense qu'il voulais dire "plombeur d'ambiance".
Les "Bremen pigs" de Karin. On n'a pas l'air, en français, d'avoir un équivalent de l'insulte "pigs", sauf dans le cas de la police, où c'est poulet. Du coup, Karin dira dans la traduction "chiens de Bremen" ou "chiens brêmois", qui gardent le côté insultant et la comparaison aux animaux.
Je crois avoir bien passé en revu sur quoi j'ai taffé ce mois-ci. Avec les vacances de Noël, je devrais pouvoir mieux travailler dessus et bien avancer.
Prochaine update le mois prochain !
Joyeux Noël et bonnes vacances à tous !
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Le prince à vélo
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 16 août
Thème : vélo/je suis en vie
. .
La terre est fraiche et douce sur ma peau. Les racines des plantes m’enlacent tendrement. Mon sommeil est paisible.
Six mois qu’on m’a tuée et qu’on m’a déposée là. Mon histoire ne débute pas ici. Mais elle ne s’y arrête pas non plus.
J’attends.
Parfois un bruit brise mes rêves de forêt. Les pas lointains d’un promeneur. Le grondement plus lointain encore d’un avion dans le ciel. La sonnette d’un vélo. Toujours trop loin pour venir me sauver. Et même ceux qui se rapprochent… tout le monde n’a pas le cœur d’un prince. Leur choc et leur horreur en me découvrant ne leur permettent pas de faire ce qu’il faut.
Peu importe. J’ai tout mon temps.
.
Ce n’est pas vraiment que j’ai perdu patience – le temps n’est qu’une information quand on est mort. C’est qu’il m’a agacée, avec son vélo.
Qu’on ne me voit pas depuis le sentier de randonnée, c’est normal – mes amis se recueillent régulièrement devant mon corps, ils ne l’ont pas installé n’importe où. Qu’on ne me voit pas quand on franchit les buissons et qu’on arrive dans l’herbe courte, c’est déjà moins banal. Mais qu’on me roule dessus sans me voir du tout ! Non mais quel toupet !
J’ai mal réagit, je m’en suis rendu compte seulement après. Mais ça faisait si longtemps que je n’avais pas ressenti la colère, moi qui dormais si bien. Je n’ai pas pu m’en empêcher. J’ai sorti une main de terre et j’ai attrapé la roue de son vélo, à cet imbécile. Dans mon état, je bouge peu, mais quand je le décide j’ai une poigne de fer : il a fait un soleil impeccable et a fini par terre.
J’aurai dû lâcher, mais j’avais envie qu’il débarrasse le plancher. Ma clairière a l’air d’être une piste de cross, peut-être ?
Je m’attendais à lui flanquer une peur de tous les diables, j’avoue. Surtout lorsqu’il aurait tenté de récupéré son vélo et qu’il aurait vu que cette étrange main sortie de terre ne bouge pas d’un pouce. Je l’aurais laissé secouer une ou deux fois avant de lui rendre sa monture.
Au lieu de ça, son premier réflexe en voyant que ce qui l’a fait tomber était une main a été de me chercher, moi tout entière. Ça n’a pas été très long. J’ai été déposée avec soin à même le sol, un peu de terre m’a recouverte peu à peu, mais je ne suis pas difficile à dégager.
Il a marqué le coup en me voyant. J’avoue que j’ai assez apprécié cette réaction. On s’attend à un vilain cadavre et on tombe sur une belle jeune fille pâle, qui parait dormir, ça fait toujours un choc, mais c’est bien la première fois qu’on se donne la peine de me contempler. Alors que j’en vaux la peine.
Il n’a pas crié. Au contraire, il m’a parlé d’une voix douce :
« Mademoiselle, s’il vous plait, pouvez-vous lâcher mon vélo ?
Tant de grâce. Tant de politesse. C’était exquis.
J’ai lâché le vélo.
Il a ajouté :
— Merci infiniment. »
Et il est reparti.
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J’ai attendu qu’il revienne. J’ai beaucoup pensé à lui dans mon rêve.
Et il est revenu.
« On dirait que je n’arrive pas à vous sortir de ma tête.
C’est très bien.
Il ajoute :
— Vos amis m’ont dit que je pouvais vous sauver. Que j’avais ce qu’il faut. Enfin, que j’étais celui qu’il fallait.
Il me prend la main, cette main qui m’avait permis d’attraper son vélo. Comme c’est romantique.
— Je vous en prie, permettez-moi… »
Je permets, je permets. La preuve, tu es encore vivant.
Enfin, il se penche et m’embrasse.
Le sort se lève.
Loin, très loin, dans une boite en bois posée sur le bureau de ma belle-mère, un battement retenti à nouveau, porteur d’une excellente nouvelle qui ne doit absolument pas la réjouir.
Je suis en vie.
.
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#30jourspourécrire#30 jours pour écrire#16 août#vélo#je suis en vie#c’est la suite du texte précédent pour une fois#elle s’appelle Blanche#je ne suis pas sûre que ce soit très compréhensible si on n’a pas lu le début par contre#disons que c’est une Blanche-Neige version contemporaine#mais avec toujours une magie de conte#et une version un peu gore où le chasseur n’a pas eu pitié#c’est juste que la magie de Blanche-Neige a toujours été assez puissante pour contrer sa belle-mère#d’ailleurs en y repensant ça aussi c’était dans une nouvelle de Neil Gaiman#c’est pas ma faute si cet écrivain est vraiment bon#et qu’il a forgé une bonne partie de mon imaginaire#peut-être qu’il y aura une suite#selon les thèmes#french#french writer#écriture
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1 an sobre d’alcool
Pour celles et ceux qui me connaissent bien savent à quel point l’alcool et moi c’est pas un bon match. J’ai parcouru énormément d’épreuves dans les dernières années pour en arriver là. À ce jour, être restée sobre UN AN, c’est ma plus grande fierté. Je me réveille avec les idées claires et plus aucun regret de la veille.
Je vois ma peau devenir plus belle et je me sens beaucoup plus en forme et en santé que jamais!
Merci à tous ceux et celles qui m’ont aidé dans ce parcours tumultueux.
Merci de votre compréhension, acception et vos mots d’encouragement qui me font encore si chaud au cœur.
Le chemin se poursuit et ce ne sera pas toujours facile, mais je suis prête à affronter la vie telle qu’elle est.
Je suis fière de moi en maudit.
Je n’arrive pas à croire que j’ai résisté malgré toutes les tentations et envies.
Je me donne une méchante grosse tappe dans le dos et je me dit que je suis capable de continuer, puisque j’ai réussi à ne pas boire une seule goutte d’alcool pendant un an.
Pour la suite, je me souhaite que du positif, de belles amitiés, du bon temps avec ma famille que j’aime beaucoup et de m’aimer encore un peu plus chaque jour.
Maélie, t’es plus forte que tu le penses et je te souhaite de continuer de bien prendre soin de toi.
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Que mettre dans une trousse de toilette ?
Lors de vos préparatifs de voyage, la question cruciale se pose toujours : que mettre dans une trousse de toilette ? Que vous partiez en vacances ou en déplacement professionnel, une trousse de toilette bien garnie est essentielle pour garantir votre confort et votre hygiène personnelle. Dans cet article, nous vous guiderons à travers les éléments indispensables à inclure dans votre trousse de toilette, que ce soit pour un voyage en avion avec des restrictions de poids et de dimensions des bagages en cabine, ou simplement pour une escapade de quelques jours. Nous aborderons également les différents produits adaptés à chaque membre de la famille, des produits de soin de la peau au maquillage en passant par les accessoires pratiques. Suivez nos conseils pour préparer la trousse de toilette parfaite et voyagez l'esprit tranquille, en sachant que vous avez tout ce dont vous avez besoin à portée de main.
I. Les indispensables pour l'hygiène personnelle
Lors de vos déplacements, la trousse de toilette se révèle être votre alliée incontournable pour maintenir une hygiène personnelle impeccable. Parmi les produits à mettre absolument dans votre trousse de toilette voyage, quelques indispensables se distinguent.
Produits de base : Au cœur de toute trousse de toilette, on retrouve les produits essentiels tels que le gel douche ou le shampoing. Optez pour des formats miniatures ou des échantillons pour respecter les règles de dimension des valises en cabine imposées par certaines compagnies aériennes, comme Air France ou Turkish Airlines.
Accessoires d'hygiène : N'oubliez pas les accessoires indispensables comme la brosse à dents et le dentifrice. Ces petits détails peuvent facilement être négligés, mais sont pourtant cruciaux pour maintenir une hygiène dentaire optimale, que vous voyagiez en avion ou en train.
Soins spécifiques : En fonction de vos besoins particuliers, pensez à inclure des produits spécifiques pour votre peau ou vos cheveux. Une crème hydratante adaptée à votre type de peau, un shampoing nourrissant pour vos cheveux : ces petits luxes peuvent faire toute la différence lorsque vous êtes loin de chez vous, que ce soit en vacances ou en voyage d'affaires.
En veillant à inclure ces indispensables dans votre trousse de toilette, vous êtes assuré(e) de conserver une hygiène irréprochable où que vous alliez. Que ce soit pour un voyage en famille, une escapade romantique ou un déplacement professionnel, préparez-vous à affronter toutes les situations avec confiance, sachant que vous avez tout ce dont vous avez besoin à portée de main.
II. Les articles pour le soin de la peau
Après avoir pris soin de l'hygiène de base, il est essentiel d'accorder une attention particulière au soin de votre peau. Dans cette partie, nous aborderons les produits et accessoires indispensables pour maintenir une peau saine et éclatante, même en voyage.
Crèmes et lotions : Intégrez à votre trousse de toilette des crèmes hydratantes adaptées à votre type de peau. En voyage, notre épiderme peut être soumis à différentes conditions climatiques, il est donc crucial de préserver son équilibre hydrique avec des produits de qualité.
Démaquillants et nettoyants : Que vous soyez adepte du maquillage ou non, il est essentiel d'inclure des produits de démaquillage et de nettoyage doux pour votre visage. Les lingettes démaquillantes sont pratiques en voyage et peuvent vous sauver la mise lorsque vous êtes pressé(e).
En prenant soin de votre peau avec ces articles essentiels, vous garantissez un teint frais et radieux, même loin de chez vous. Que ce soit pour une escapade en ville ou une journée à la plage, votre peau sera parfaitement préparée à affronter toutes les aventures que vous rencontrerez lors de votre voyage.
III. Les accessoires de voyage pratiques
Pour compléter votre trousse de toilette et rendre vos déplacements encore plus agréables, pensez à inclure des accessoires de voyage pratiques. Ces petits détails peuvent faire toute la différence lors de vos aventures loin de chez vous.
Trousse de premiers secours : N'oubliez pas d'intégrer une petite trousse de premiers secours comprenant des pansements, du désinfectant et les médicaments essentiels. Même les petits incidents peuvent survenir en voyage, mieux vaut donc être préparé(e) à toute éventualité.
Accessoires divers : Ajoutez à votre trousse des accessoires utiles tels qu'un rasoir ou un coupe-ongles. Ces petits outils peuvent vous rendre bien des services, que ce soit pour une retouche rapide ou pour prendre soin de vous en toute circonstance.
En incluant ces accessoires pratiques dans votre trousse de toilette, vous êtes assuré(e) de voyager en toute sérénité. Que ce soit pour une escapade de quelques jours ou un voyage au long cours, ces petites attentions feront de votre expérience un véritable plaisir.
Conclusion
En résumé, la trousse de toilette est un élément essentiel de tout voyageur avisé. En y incluant les produits et accessoires appropriés, vous vous assurez une hygiène personnelle impeccable, où que vous alliez. Que ce soit pour un court séjour en ville ou des vacances prolongées à l'autre bout du monde, une trousse de toilette bien garnie est votre meilleur allié.
N'oubliez pas d'adapter le contenu de votre trousse en fonction de vos besoins spécifiques et des contraintes de votre voyage, notamment en ce qui concerne les règles de dimension et de poids des bagages en cabine imposées par certaines compagnies aériennes telles que Air France ou Turkish Airlines. Avec une préparation minutieuse et une sélection judicieuse des produits, vous êtes prêt(e) à affronter toutes les situations avec confiance et élégance.
En suivant nos conseils et en restant attentif(ve) à vos besoins personnels, votre trousse de toilette deviendra votre compagnon de voyage indispensable, vous garantissant un confort et une hygiène irréprochables à tout moment. Bon voyage !
FAQ sur les trousses de toilette pour voyages
1. Quels sont les éléments indispensables à inclure dans une trousse de toilette pour voyage ?
Les produits de base tels que le gel douche et le shampoing.
Les accessoires d'hygiène comme la brosse à dents et le dentifrice.
Les produits de soin de la peau adaptés à votre type de peau.
2. Comment optimiser l'espace dans sa trousse de toilette pour respecter les règles de dimension des bagages en cabine ?
Optez pour des formats miniatures ou des échantillons de vos produits préférés.
Utilisez des contenants rechargeables pour emporter juste la quantité nécessaire.
3. Quels sont les accessoires pratiques à inclure dans une trousse de toilette pour un voyage ?
Une trousse de premiers secours comprenant des pansements et du désinfectant.
Des accessoires de toilettage tels qu'un rasoir ou un coupe-ongles.
4. Comment adapter sa trousse de toilette en fonction de ses besoins spécifiques ?
Choisissez des produits adaptés à votre type de peau et à vos préférences personnelles.
Incluez des accessoires spécifiques comme un démaquillant pour les personnes utilisant du maquillage.
5. Quelles sont les restrictions à prendre en compte pour les voyages en avion ?
Vérifiez les règles de dimension et de poids des bagages en cabine imposées par votre compagnie aérienne.
Respectez les restrictions sur les liquides en emportant des contenants de taille appropriée.
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Le chef du bureau de Pittsburgh du FBI, Kevin Rojek trouve surprenant qu’un assaillant ait pu tirer à plusieurs reprises sans que le Secret Service ai agit. Ce dimanche 14 juillet 2024, le Secret Service a par ailleurs démenti une rumeur «selon laquelle un membre de l'équipe de l'ex-président avait demandé des moyens supplémentaires de sécurité et que ceux-ci avaient été refusés». «C'est absolument faux, a déclaré le porte-parole du Secret Service Anthony Guglielmi. En réalité, nous avons ajouté des moyens de protection dans le cadre du rythme accru des déplacements de campagne.
Plusieurs témoins ont affirmé avoir aperçu le tireur avant qu’il n’ouvre le feu et avoir tenté d’alerter la police de la ville, qui a rapporté avoir épondu à un certain nombre de rapports d'activité suspecte, sans donner plus de précisions. Un témoin interrogé par la BBC assure avoir vu «un homme ramper sur le toit» et l’avoir montré «pendant plusieurs minutes» aux forces de l’ordre. «On pouvait clairement le voir avec son arme», a-t-il ajouté, expliquant que la police semblait ne pas comprendre ce qu’il se passait. Selon lui, l’inclinaison du toit faisait que les agents du Secret Service ne pouvaient probablement pas le voir de là où ils se trouvaient. Des élus demandent une enquête parlementaire pour faire la lumière sur les événements. Il est incroyablement difficile d’avoir un lieu ouvert au public et de le sécuriser contre toute menace potentielle, a reconnu George Bivens, porte-parole de la police de l’État de Pennsylvanie. L’enquête nous donnera l’opportunité de voir ce qui n’a pas marché et ce qui pourra être mieux fait dans le futur. Les élus républicains ont appelé à une enquête parlementaire au Congrès. La commission de la Sécurité intérieure doit enquêter sur la tentative d’assassinat et la tentative de tuerie de masse et déterminer comment cela a pu arriver, a affirmé Josh Hawley, sénateur du Missouri. Son collègue de Floride, Rick Scott, a jugé «absolument inexcusable» qu’un tireur «ait pu avoir en ligne de mire l’ancien président et candidat en tête à la présidentielle», soutenant également une enquête au Congrès.
Le sniper du Secret Service aurait posté ce message en prenant soins de prendre une photo : “Mon nom est Jonathan Willis, je suis l'officier sur la célèbre photo des deux tireurs d'élite sur le toit du rassemblement de Trump, je suis venu ici pour informer le public que j'avais l'assassin en ligne de mire pendant au moins 3 minutes, mais le chef du services secrets ont refusé de donner l'ordre d'éliminer le criminel. À 100 %, les hauts gradés m'ont empêché de tuer l'assassin avant qu'il ne tire sur Le président Trump.” Cette affaire va faire couler beaucoup d’encre ….
«Hé, il y a un type sur le toit avec un fusil…» : les quelques minutes qui ont bouleversé la campagne présidentielle américaine les politiques réagissent après la tentative d’assassinat de Trump
Une photo prise par Doug Mills du New York Times montre une balle volant vers la tête de Donald Trump. Dans une publication sur les réseaux sociaux, Truth Social, Trump a déclaré qu’il avait su que quelque chose n’allait pas dans la mesure où j’ai entendu un sifflement, des coups de feu et j’ai immédiatement senti la balle déchirer la peau ».
Photo prise à l'arrière du pupitre, ça démontre un plan préparé
Plan de la scène
Publication pour ceux qui le déteste
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Jessica Biel pour Eclat Magazine, Canada - Printemps 2003
FRENCH
AUX COTES DE Jessica Biel
Ex-vedette de 7th Heaven, Jessica est comblée : études supérieures, carrière en pleine ascension et un petit ami qui la dorlote.
Origines: Jessica est née au Minnesota le 3 mars 1982 et a grandi au Colorado. Elle vient tout juste de quitter l'Université Tufts de Boston pour poursuivre ses études en Californie où elle a acheté un condo.
Surnoms: Jess ou Jessie. Personne dans mon entourage ne m'appelle Jessica. C'est trop long et trop formel
Révélation: Le rôle de Mary Camden dans 7th Heaven décroché en 1996. (Désormais hors de l'équipe régulière. elle y fait quelques apparitions en tant qu'invitée.)
Où l'a-t-on vue? En adolescente rebelle dans Ulee's gold; la conquête de Freddie Prinze Jr. dans L'Amour à coup sûr; en étudiante sexuellement aventureuse dans Les lois de l'attraction.
Bientôt à l'affiche: En octobre, dans une reprise du classique Massacre à la tronçonneuse (1975). « Je suis fana de films d'horreur. Ç'a été génial de travailler sur ce projet. Le rôle et le tournage ont été les plus exigeants de ma carrière.
La proposition rêvée : jouer dans une comédie musicale à Broadway, comme Rent. (L'année dernière, elle figurait dans une production universitaire de Tommy.) *La musique a toujours occupé une place énorme dans ma vie depuis mon enfance. C'est ma plus grande passion.
Études: Aller à l'université n'est pas une question de diplôme mais, avant tout, une expérience. J'y apprends des choses que je n'aurais pas pu apprendre autrement. Enrichir mon esprit me rend plus forte..
"Quand mes cheveux m'ennuient, je change de couleur. Mais, je les teins aussi suivant les rôles. Pour l'instant, ils sont brun foncé et, dans quelques jours, je passe au blond."
Une peau superbe en cadeau : À l'âge de 12 ans, j'ai reçu de ma mère, à Noël, un ensemble de soins pour la peau. Je me souviens avoir pensé : "Me voilà une femme maintenant!". Je ne pourrai jamais la remercier assez de m'avoir montré comment prendre soin de ma peau. Aujourd'hui, je suis une vraie maniaque: nettoyant, tonifiant, hydratant, plus une crème pour le contour des yeux. Et j'applique tou- jours-toujours - une crème solaire pour la journée. »
Confidences : Mon petit ami (Chris Evans, la vedette de Pas encore un film d'ados!) a horreur du rouge à lèvres, alors j'ai adopté le baume.
Plein d'énergie : « L'exercice est un excellent antistress. J'ai l'impression de pou- voir me débarrasser de tous mes tracas si je me dépense à fond. Je fais du ballet tous les soirs-c'est épatant pour renforcer et étirer les muscles. Le jour, je cours dans Santa Monica, je-vais au gymnase ou je fais une séance de yoga bikram; j'adore ça!»
"Si vous êtes aussi fervente de la coloration que moi, il est important de revitaliser vos cheveux en profondeur. Une fois par semaine, je me couvre la tête de revitalisant que je laisse agir sous un bonnet. Parfois, je me fais donner un traitement professionnel."
Sport à gogo : J'aime presque tous les sports. Si quelqu'un joue à quelque chose, je le rejoins. J'ai joué au soccer pendant toutes mes études; j'aimerais bien faire partie d'une ligue adulte. »
Musique : « Je connais un tas de musiciens avec qui j'aimerais former un groupe. Je me fous de faire un tube vendu à un million d'exemplaires. Je veux simplement jouer de la bonne musique qui fait du bien.
Linge fétiche: Les maillots de corps pour hommes, blancs et très grands. Ça va avec tout.
ENGLISH
By the side of Jessica Biel
Former star of 7th Heaven, Jessica is fulfilled: higher education, thriving career, and a doting boyfriend.
Origins: Jessica was born on March 3, 1982, in Minnesota and grew up in Colorado. She has just left Tufts University in Boston to pursue her studies in California, where she bought a condo.
Nicknames: Jess or Jessie. Nobody in my circle calls me Jessica. It's too long and too formal.
Breakthrough: Landing the role of Mary Camden in 7th Heaven in 1996. (No longer a regular cast member, she made guest appearances on the show.)
Where has she been seen? As a rebellious teenager in Ulee's Gold; Freddie Prinze Jr.'s love interest in Summer Catch; and a sexually adventurous student in The Rules of Attraction.
Upcoming projects: In October, she will star in a remake of the classic The Texas Chainsaw Massacre (1975). "I'm a horror movie fan. It was great to work on this project. The role and the filming were the most demanding of my career."
Dream proposal: To perform in a Broadway musical, like Rent. (Last year, she appeared in a university production of Tommy.) "Music has always played a huge role in my life since childhood. It's my greatest passion."
Education: Going to university is not just about getting a degree, but primarily an experience. I learn things there that I wouldn't have learned otherwise. Enriching my mind makes me stronger.
"When I get bored with my hair, I change its color. But I also dye it according to the roles I play. Right now, it's dark brown, and in a few days, I'll go blonde."
A beautiful skin gift: At the age of 12, my mother gave me a skincare set for Christmas. I remember thinking, "Now I'm a woman!" I can never thank her enough for showing me how to take care of my skin. Today, I'm a true fanatic: cleanser, toner, moisturizer, plus an eye cream. And I always, always apply sunscreen during the day."
Confession: My boyfriend (Chris Evans, the star of Not Another Teen Movie!) hates lipstick, so I've switched to using lip balm.
Full of energy: "Exercise is an excellent stress reliever. I feel like I can get rid of all my worries if I exert myself. I do ballet every night—it's great for strengthening and stretching muscles. During the day, I go running in Santa Monica, go to the gym, or have a Bikram yoga session; I love it!"
"If you're as passionate about hair coloring as I am, it's important to deeply revitalize your hair. Once a week, I cover my head with conditioner and let it work under a cap. Sometimes, I get a professional treatment."
Sports galore: I love almost all sports. If someone is playing something, I'll join in. I played soccer throughout my studies; I would love to be part of an adult league."
Music: "I know a bunch of musicians with whom I'd like to form a band. I don't care about creating a million-selling hit. I just want to play good music that feels good."
Favorite clothing: Men's white undershirts, oversized. They go with everything.
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" Wedding Band "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Eustass Captain Kid.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Dans ses quartiers, à l'abri des regards, Eustass Kid passe un moment intime avec la fille de ses rêves. Tandis qu'elle le chouchoute, des coeurs dans les yeux et un sourire rêveur gravé sur ses lèvres, Kid ne peut pas s'empêcher d'observer son annulaire. Il se sent honteux. Alors qu'elle prend soin de lui, ignorante de ses souffrances internes, simplement comblée par l'idée de se tenir aux côtés du garçon de ses rêves, la demoiselle peine à se rendre compte que le regard insistant de son capitaine n'a rien de romantique.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS.If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS.Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟐,𝟓𝟒𝟗.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Un calme plat s'était installé au sein du Victoria Punk. Il n'y avait pas un bruit à bord du navire, pas une exclamation, pas d'objet lancé dans les airs, pas même une mouche n'osait voler. Le ciel était d'un bleu océan, le soleil, lui, d'un jaune aveuglant. Les mouettes s'écriaient au loin, n'ayant pas le courage de davantage se rapprocher. Tout était si beau, si bon. Même le vent était agréable. Et même l'étrange odeur de rouille qui persistait sur le navire semblait étrangement s'être évaporée.
Les pirates sur le navire vaquaient tous à leurs occupations. Ils le faisaient dans une harmonie déroutante. Certains s'occupaient de perfectionner leurs attaques, d'autres chouchoutaient leur arme la plus tranchante, tandis que d'autres profitaient de ce si doux silence pour dormir. La cabine du capitaine se trouvant dans la coque du navire, et les appartements de ses hommes au niveau du pont, il leur fut ainsi incapable d'entendre les petites exclamations qui s'en échappaient. Le tout était noyé par la mer les entourant qui s'amusait à faire s'écraser ses plus féroces vagues que le Victoria Punk.
À l'intérieur de la dite cabine, Eustass Kid était assis face à une de ses matelots, sa main tendue dans sa direction et les poumons infestés par une forte odeur de vernis. Il était recroquevillé sur lui-même, sa veste depuis longtemps abandonnée dans un coin de la pièce et le dos voûté tant il était penché en direction de la demoiselle. Celle-ci, un petit pinceau en main, et la pointe de sa langue écrasée entre ses dents, s'attardait à peindre le majeur de son capitaine dans un rouge sang.
« Tu bouges trop. »
Kid arquait un sourcil.
« Je bouge pas..? »
« Tu te fous de moi ? Bien sûr que tu bouges ! Tu vas tout me faire rater ! »
La pirate relevait un regard sévère dans sa direction, ce qui fit immédiatement se renfrogner Kid. Le capitaine affichait une mine boudeuse, les lèvres pincées en plus d'avoir désormais les sourcils froncés. La jeune femme raffermissant la prise de sa seconde main dans la sienne, leur position n'était pas la plus confortable ᅳtout deux assis sur un tabouret face a face, courbés en direction de l'autre et si proches qu'ils parvenaient à goûter le souffle de l'autreᅳ, toutefois, les deux n'osèrent point s'en plaindre. Ils étaient des pirates après tout, le confort ne faisait pas partie de leur quotidien.
La pirate était uniquement vêtue d'un boxer clair, d'une brassière de sport noire, ainsi que, à ses pieds et chevilles, d'une longue paire de chaussettes. L'humidité dans la pièce lui était désagréable, quelques gouttes provenant du plafond tombaient parfois sur sa nuque à cause des vagues qui ne cessaient de ricocher contre le navire. Elle ne dit rien. Elle laissait ces perles d'eau salée glisser le long de sa peau, sous le regard attentif de Kid qui, quant à lui, n'en ratait pas une miette.
« Je veux que ce soit parfait. » songea la jeune femme. « Si tu me fais rater je crois que je vais pleurer. »
« Tu vas pas rater, arrête de paniquer. » la rassura le roux.
Kid la rassurait. Il ne vint point la contredire, sachant parfaitement qu'à la moindre erreur elle perdrait son sang froid et se mettrait effectivement à pleurer. La demoiselle s'accrochait à sa grosse main rugueuse, elle terminait d'appliquer la dernière couche de vernis sur son pouce puis la reculait afin d'en admirer le résultat. Le rouge était d'un bordeaux sanglant, il brillait sous les nombreux éclairages présents dans la pièce à base de bougies, il était joli et allait à Kid comme un gant. Le rouge se mariait à celui de ses cheveux, de même pour ses lèvres. C'était un choix tout à fait exquis duquel la demoiselle se réjouissait grandement. Cette observation lui arracha un fin sourire.
La pirate, soudainement plongée dans un état second, se mettait à gentiment caresser le dos de la main de Kid. Elle pressait son pouce dessus, dans de doux mouvements, charmée par sa grandeur et sa force. Kid parcourait son visage du regard, il remarquait la manière dont ses lèvres étaient finement pincées, l'éclat pétillant dans ses jolis yeux presque fermés et cela suffit à le rendre nerveux.
Kid était redoutable. Il était fort et n'avait peur de rien, ni de personne. Néanmoins, face à elle, il ne pouvait s'empêcher de se sentir nerveux. Peu importait à quel point il était cruel, elle n'avait qu'à claquer des doigts et elle lui arrachait toute envie de rager.
« Ça te va bien. »
La pirate entremêlais leurs doigts.
« Tu as les mains toutes sèches.. » elle s'étonnait.
Kid passait ses journées à trier de la ferraille dans son atelier. Contrairement à sa fiancée, il n'avait pas le temps de se pouponner devant le miroir, de se tortiller dans le but de s'épiler, de se courber les cils ou d'essayer toutes sortes de bijoux. Alors oui, Kid avait les mains sèches, il avait des blessures un peu partout, elles peinaient à guérir puisqu'il prenait peu soin de sa peau et ils s'en fichaient. Il s'en fichait si cela signifiait qu'elle pouvait jouir de ces plaisir à sa place.
« Tu veux que je te mette de la crème ? »
« Pourquoi faire ? »
Sa copine le toisa. Elle plissait les yeux.
« T'as raison. » répondit-elle. « Ce serait du gâchis. Mais au moins fait attention à tes ongles, j'ai pas envie de tout recommencer. »
Kid hochait la tête.
« Je ferai gaffe. » il lui assurait. « Maintenant viens ici. »
Passant son bras autour de sa nuque, Kid attira la jeune femme à lui. Dans un geste maladroit, il déposa un tendre baiser sur sa tempe, puis il se leva sans un mot et s'en alla récupérer son manteau. Il l'enfilait rapidement, sous le regard attentif de sa fiancée. Cette dernière l'admirait faire, complètement hypnotisée par son immense carrure sur laquelle ses muscles saillants fléchissaient. Kid esquissait un rictus en réponse. Il la voyait faire, il l'avait toujours vue faire, à vrai dire. Son regard était lourd, il pesait sur le dos de Kid à chaque fois que la jolie pirate se mettait à le dévisager. Après avoir longtemps détesté cette sensation, il avait appris à l'aimer, jusqu'à l'adorer et finalement ne plus pouvoir s'en passer. Se sentir aussi apprécié flattait son égo et Kid semblait n'en avoir jamais assez, alors il appréciait chaque occasion qu'il avait de sentir ses yeux percer des trous à travers son corps.
La pirate gonflait ses joues d'air pendant que Kid se tournait dans sa direction. Elle balançait gentiment ses jambes d'avant en arrière sous son féroce regard, le cœur battant à fière allure et un sourire des plus timides installé sur ses lèvres d'un rose alléchant. La manière si élégante dont elle battait des cils suffisait à donner à Kid la patience de lui laisser prendre la parole.
« Kid-chou ? » elle l'interpella finalement.
« Ouais ? »
Kid se grattait la nuque.
« Sur la prochaine île on pourra aller piller des bijouteries ? » demanda-t-elle. « J'ai vu des nouveautés dans les catalogues de la semaine dernière, et puis ça fait longtemps que tu m'as pas rapporté quelque chose... »
« Des bijoux ? » il s'étonnait.
L'expression de surprise dessinée sur les traits de Kid était facilement compréhensible sachant qu'il venait à peine de finir de construire une nouvelle armoire à sa fiancée. Pour cause, sa collection grandissante d'accessoires n'en finissait plus. Le tout avait même commencé à envahir l'extérieur de leur chambre. La pirate laissait traîner derrière un bracelet dans la salle à manger, puis une boucle d'oreille sur le pont voire un piercing dans l'atelier de Kid.
« J'ai vu ces boucles d'oreilles en diamants, dans le catalogue, elles sont tellement jolies ! » s'exclama la demoiselle.
Kid esquissait un rictus.
« Y'a que ça qui t'intéresse ? »
« Un peu, ouais. Pourquoi ? »
« Rien. »
« Comment ça "rien" ? »
Kid secouait la tête, cherchant à mettre un terme à ce qu'il venait de commencer. Néanmoins, l'éclat qui avait vibré dans son regard n'avait pas échappé à sa petite amie, alors, à l'instar de l'écouter, et d'ainsi changer de sujet, la demoiselle se levait de son tabouret. Elle s'approcha du dangereux pirate et fit de manière habile glisser la paume de ses mains sur son torse.
« Dis moi à quoi tu penses, mon grand. » elle murmura.
Kid grimaçait à l'entende de ce répugnant surnom. Il n'avait jamais été très friand de ses taquineries, peu importait les efforts qu'elle faisait ou l'amour qu'elle y mettait. Kid apportait une de ses mains à la sienne, il frôlait son annulaire brillant de son pouce et ne pouvait plus davantage résister. Il jeta un coup d'œil à sa bague de fiançailles. Un vulgaire boulon.
« Tu veux pas une vraie bague ? Je pourrai t'en acheter une, tu sais. »
Offusquée, la pirate le frappait.
« Non ! Mais ça va pas ?! » elle se mit à crier. « Kid, c'est hors de question ! »
Sa réaction fut si brusque et honnête que le roux ne s'en retrouvait pas le moins du monde surpris. Il toisait sa copine dans le blanc des yeux, un sourcil arqué, franchement confus par son comportement. Elle avait crié pour si peu, s'était immédiatement mise sur la défensive et avait clos le sujet aussi vite qu'il avait été mis sur la table. Kid frottait son pouce contre son annulaire. Il le fit dans un geste nerveux. Le métal du boulon était chaud, et légèrement graisseux, il tournoyait aisément sur l'annulaire de la jolie demoiselle, celui-ci légèrement trop grand pour elle. Par il ne savait quelle magie noire, le boulon ne s'était jamais perdu, la pirate ne s'en était jamais séparée depuis le jour où il le lui avait offert.
« On en a déjà parlé. » soupira la jeune femme. « C'est un cadeau, je refuse de l'échanger. »
« Et si j'en ai besoin pour réparer le navire ? »
« On sait tout les deux que tu n'oseras pas. » le défia-t-elle. « Il est coincé ici pour un long moment, crois-moi. »
Kid voulut rire, à la place, il soupira et grimaça de nouveau. Ses lèvres se tortillaient méchamment et ses yeux se plissaient, il ne pouvait pas s'empêcher de jeter un énième coup d'œil aux mains de sa petite amie. Ses doigts fraîchement vernis, abîmés par la guerre et le temps, sa peau rugueuse et sèche, le tout contrastait avec la beauté de ses mains à elles. Ses doigts étaient décorés de faux ongles en acryliques, ils tenaient comme un beau diable dessus. Sa peau était jolie, quotidiennement hydratée, lui donnant ainsi un rendu brillant.
Elle était ridicule à côté de lui, si frêle et jolie. Elle faisait face à un véritable monstre qui la surplombait, une bête dont la cruauté était sans égale, et, pourtant, elle le regardait avec des yeux rempli d'adoration. Elle le dévorait du regard, le cœur battant follement et les joues toutes chaudes.
« Si jamais tu oses remplacer ma bague, je te tue, Kid. »
Le roux ne doutait pas de ses paroles, il n'osait pas lui faire un tel affront.
« Je veux des colliers en diamants, des bracelets d'or, des bagues avec des rubis, merde, même de nouveaux piercings. » énuméra-t-elle. « Mais cette bague de fiançailles restera ici même à ma mort, tu m'entends ? »
Kid acquiesçait.
La demoiselle lui sourit en réponse, satisfaite par sa réaction. Puis, elle s'en alla gentillemment cueillir la main de Kid déposée sur la sienne dans le but d'observer sa manucure. Elle frôla la paume de sa main de ses doigts, un peu surprise par sa rugosité mais agréablement charmée par sa chaleur. Kid était une bête, un homme féroce et avide de violence. Il tuait et pillait sans merci, il vivait pour surmonter la force de ses adversaires et ainsi les réduire à néant. Cependant, lorsqu'elle posait ses yeux sur lui, Kid avait comme cette impression que les rôles s'inversaient : Kid devenait la proie, et elle le chasseur. Elle lui coupait le souffle, s'accaparait son entière attention et gardait son cœur prisonnier. Kid était incapable de détacher ses yeux d'elle, elle était là, souriante et si belle, si amoureuse et si comblée aux côtés d'une chose aussi monstrueuse que lui.
Dans un geste maladroit, la demoiselle apporta les doigts de Kid à sa bouche. Elle en embrassa l'extrémité puis frottait le dos de ceux-ci contre sa joue. Le roux la regardait, frappé par la chaleur qui émanait de sa peau. La pirate se détachait de lui peu après, elle entremêlait ses doigts aux siens et apportait sa propre main à sa joue.
« Ce vernis te va comme un charme, mon amour. Le sang te va à ravir. »
Un éclat de lumière se mettait à briller dans son regard. Kid passait habilement son bras métallique autour de sa taille, poussant ainsi sa copine dans ses bras.
« Vraiment ? Tu trouves ? »
La demoiselle acquiesçait, glissant la pulpe de ses doigts dans sa chevelure rousse épaisse. Incapable de prononcer quoique ce soit lors des secondes suivantes, la pirate s'était alors murée dans le silence, elle s'était contentée d'admirer son petit copain, les yeux remplis d'admiration, palpitant d'un amour pur et une agréable chaleur crépitant dans le creux de ses entrailles. Jamais ne s'était-elle sentie plus en sécurité que dans les bras de celui qu'elle aimait. Cette sensation était incomparable, divine même. Et peu importait si les autres voyaient en lui un pirate sanguinaire car elle, tout ce qu'elle apercevait, étaient, dans ses beaux yeux jaunâtre, un futur. Un futur prospère et parfait.
#captain kid#eustass kid#eustass kid x you#eustass kid x reader#eustass x reader#eustasscaptainkid#eustass captain kidd#eustass kid x y/n#one piece#one piece eustass kid
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Le Choix - chapitre 8
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
[Commencez depuis le chapitre 1]
Un long moment s'était écoulé. Lancelot n'avait pas envisagé une seule seconde qu'il réussirait à trouver le sommeil ce soir-là. Arthur était parti, et il avait attendu, ne sachant à quel saint se vouer. Seul dans le grand lit - cette chambre du long couloir du troisième étage devait avoir été conçue pour être destinée à des invités de marque - il avait attendu, et attendu encore. Et puis, la curiosité avait fini par venir. La curiosité, doublée d'un autre sentiment, dont il ne parlait jamais. Il s'était un peu tortillé sous les couvertures, pensait que cela passerait. Il avait observé ses mains pendant longtemps, et puis ses avants-bras en remontant les manches de ses vêtements de nuit. Et puis ses pieds, en repoussant les couvertures. Il n'avait jamais vu les pieds d'Arthur, s'était-il dit, pensif. Il n'avait certes pas essayé de dormir, mais il avait essayé de s'occuper autrement, il le jurait. Mais la situation était trop inhabituelle, et avait réussi à ébranler sa morale d’acier au moment où le soleil avant commencé à poindre à la fenêtre.
Il ne faisait jamais cela complètement nu. Pour commencer, il faisait cela rarement, il fallait tout de même le rappeler. Et lorsque cela lui arrivait, il gardait toujours la majorité de ses vêtements, peu enclin à y passer du temps ; peu enclin à voir ce vice comme une activité à part entière. Mais cette fois, seul dans cette grande chambre, seul dans un corps qui ne lui appartenait pas, il s'était déshabillé entièrement avant de toucher cette peau qui n'était pas la sienne. La sensation était si étrange, et le goût de l'interdit aphrodisiaque somme toute inimitable.
C'est pourquoi, quand Arthur entra en trombe dans la chambre, la honte se fit encore plus douloureuse que d’habitude.
- Qu’est-ce qu- Oh !
Et Arthur ressortit, claquant la porte derrière lui avec violence.
Il se rhabilla à toute vitesse - ou du moins il essaya de se rhabiller à toute vitesse, mit les deux jambes dans la même jambe, sa chemise devant-derrière et son bonnet de travers, souffla, vit rouge, grogna de frustration, tira sur les cordelettes de sa chemise sans faire exprès, trébucha dans ses chausses, retombant sur le bord du matelas, et il parvint après ce qui lui sembla être de longues minutes à être plus ou moins présentable. Puis, les joues rouges et le cœur tambourinant dans les oreilles, il se figea.
Arthur était reparti. Il était un imbécile. Comment avait-il pu croire qu'Arthur ne reviendrait pas dans la chambre ? Il avait l'apparence de Lancelot, il n'avait pas pu décider de retourner dans sa chambre. Comment avait-il pu penser qu'il avait le temps de... de... Décidément, ces choses-là rendaient idiot. Il fit les quatre cents pas sur les dalles de la chambre, fébrile. Puis, la porte se rouvrit.
- Je peux savoir ce que vous étiez en train de faire espèce de grand malade ?!
Le ton d'Arthur ne laissait pas la réponse à sa question très ouverte. Lancelot balbutia. Quand Arthur pointa un doigt accusateur dans sa direction, il sut que le reste de la conversation ne serait pas particulièrement apaisé.
- Non mais faut surtout pas vous gêner ! Je rêve, vous êtes complètement frapadingue !
- Je croyais que vous vouliez pas que je fasse ma mijaurée sire. Alors pardon, mais là c’est plutôt vous qu-
- Ah ne commencez pas à prendre ce ton-là avec moi Lancelot, parce que ça peut très mal finir !
- C’est une menace ?
- Je sais pas, approchez un peu si vous voulez vérifier par vous-même !
Une voix étouffé s’éleva depuis une chambre voisine.
- Eh oh, ça va ptetre aller là non ? Yen a qui aimeraient bien finir leur nuit !
Sans se démonter, Arthur continua à l’admonester en chuchotant avec une force hargneuse.
- Je ne vous permets pas de faire ce que vous voulez avec, avec…
- Ah parce que vous avez l’impression d’avoir particulièrement bien pris soin de mon corps peut-être ! Regardez la gueule que vous avez mon pauvre !
Arthur passa vaguement la main sur sa pommette gonflée, qui commençait à bleuir.
- Ça n’a rien à voir ! Mon beau-père m’a vu – vous a vu au coin d’un couloir et a subitement été pris d’envie de vous en coller une, et je commence à comprendre la velléité !
- Vous croyez peut-être que vous êtes d’un naturel aimable ! dit Lancelot.
- Ah ça va bien maintenant ! Vous allez commencer à faire preuve du respect que vous me devez, et c’est un ordre !
- Du respect que je vous dois parce que vous êtes mon roi ? Allez dire ça à n’importe qui, essayez de commencer à donner des ordres, et voyez si on vous rit pas au nez !
Arthur le toisa.
- Vous allez la jouer comme ça ?
- On a dit qu’on prenait le rôle l’un de l’autre le temps que Merlin trouve une solution, non ? Ça devrait pas être trop difficile de prendre le rôle d’un petit merdaillon tyrannique incapable de discuter de quoi que ce soit sans que son ego ne s-
Arthur avait à nouveau claqué la porte. Typique. Si c’était un conflit qu’il voulait, Lancelot saurait lui donner un conflit. Et puis après tout, Lancelot avait le visage du roi. Jusqu’à nouvel ordre, il avait les pouvoirs du roi, et s’il le voulait, il pouvait faire durer la situation aussi longtemps qu’il le voulait. Il était peut-être temps de prendre les choses en main – sans mauvais jeu de mots.
[Votez ici pour ce qui va se passer au chapitre suivant !] [Lisez le chapitre suivant ici]
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