#avec amour et acharnement
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kino51 · 8 months ago
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Avec amour et acharnement 2022
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philippebresson · 2 years ago
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Mini-buzz & Mini-bus !
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Avant l'ère des réseaux sociaux, je n'avais pas la possibilité de lire entre les lignes de ceux ou celles qui me faisaient vibrer rêver rire ou pleurer à travers leurs films, leurs livres, leurs chansons, et c'était très bien comme ça. Je les imaginais beaux et belles à l'infini, spirituels, fins, drôles, fantasques, fous juste ce qu'il faut, classes forcément, singuliers, audacieux, fantasques, brillants, percutants... À présent que je peux lire leurs déclarations, leurs réactions parfois à l'emporte-pièce sur ce réseau ou un autre, je tombe (souvent) de ma chaise haute et... plus dur sera le chut !
Pas plus tard qu'aujourd'hui, parcourant la polémique #cinemadauteur engendrée par une célèbre actrice sur son compte officiel* (ça me fait rire ce mot, "officiel", apposé à côté du nom d'une "personnalité"), laquelle semble ne pas se rendre compte qu'elle saute à pieds joints dans un contresens évident, encouragée par des milliers de fans aveugles ou sourds ou, probablement, qui ne savent pas très bien de quoi elle nous parle, je me demandais, naïf comme aux premiers temps de ma vie pourtant déjà bien entamée : est-elle "officiellement" idiote, stupide, elle qui m'a encore ému, bouleversé au cinéma cette année dans un film fait "Avec amour et acharnement", tant son jeu était juste, complexe, riche, ambivalent, subtil, dérangeant, ou fait-elle en sorte de créer un mini-buzz à l'attention de ceux (et celles bien-sûr !) dont elle imagine que la pensée voyage en mini-bus ?
Rien n'est plus déprimant que la bêtise (feinte ou certifiée) et particulièrement celle que l'on croise inopinément à l'angle de deux rues qui ne mènent nulle part.
* Officiel : 1 - Qui émane d'une autorité constituée. 2 - Certifié par l'autorité.
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chashechki · 2 years ago
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letterboxd-loggd · 2 years ago
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Both Sides of the Blade (Avec amour et acharnement) (2022) Claire Denis
January 14th 2023
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frankenpagie · 2 years ago
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6.10.23
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brusiocostante · 2 years ago
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INCROCI SENTIMENTALI (2022) Trailer ITA del Film di Claire Denis con Jul...
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christian-dubuis-santini · 1 year ago
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Le pipa du Surinam, par Jacques Brosse
Depuis plus de deux siècles, les naturalistes s'intéressent, avec un intérêt quelque peu morbide, au cas unique du pipa ou crapaud du Surinam.
Des 1705,Mademoiselle Sybille de Meriam a attiré l'attention des curieux sur son mode de reproduction, "unique - disait-elle - dans le monde animal". Néanmoins, et malgré toutes les études menées au cours des 18e et 19e siècles, le mode d'accouchement de cet amphibie n'a été élucidé que très récemment.
Le pipa est un gros crapaud ; une tête triangulaire très ouverte et aplatie, limitée au coin supérieur.
par des narines cornées en forme de trompette et à l'angle inférieur par des efflorescences de peau festonnée ; une bouche énorme sans dents ni langue, verruqueuse et hérissée de minuscules épines,
des pattes postérieures épaisses et très palmées, des pattes antérieures minces, avec des
doigts rigides comme des bâtons terminés par des pétales étoilés ; ces multiples particularités
empêchent le pipa d'être confondu avec tout autre membre de sa classe.
Pendant la saison des amours, le mâle tourne longtemps autour de la femelle, puis se précipite soudain sur elle et s'agrippe à son corps. Il reste ainsi accroché à son dos pendant plusieurs jours, immobile. Enfin, du ventre de sa compagne sort une énorme poche. Il se met alors au travail, plie soigneusement cette membrane pour qu'elle prenne place entre l'arrière de son dos à elle et son ventre à lui et appuie fortement sur ce sac.
il en sort un à un des œufs qu'il tartine entre les reins et les épaules et qu'il arrose d'un liquide séminal. Les œufs forment rapidement une couche gluante et homogène. En quelques minutes ils s'implantent doucement dans la peau, qui redevient presque lisse.
Nullement gênée par ce poids, la femelle reprend, insouciante, le cours de ses occupations jusqu'au moment où son épiderme se fissure en plusieurs endroits.
On peut voir une, puis deux pattes s'agiter dans l'air, trouver un appui à l'extérieur et se cambrer pour haler hors du sein maternel jusqu'au corps qui les suit, à la manière des ressuscités qui s'extraient eux même de la terre dans la célèbre fresque de Signorelli.
Quelques instants plus tard, c'est un cocasse fourmillement de membres, une prolifération de formes incomplètes. Les jeunes pipas s'agitent longuement au fond de leurs alvéoles, les uns penchés vers un milieu qu'ils ne connaissent pas, hésitant à y pénétrer, les autres, plus audacieux, s'aventurent déjà sur le sol, tandis que les cellules qu'ils occupaient restent béantes; enfin leurs bords se rapprochent imperceptiblement. Et, le lendemain, plus aucune trace de cette impressionnante opération.
La mère n'a pas semblé souffrir, et a même semblé s'en désintéresser. Quant au mâle, tant qu'il n'avait pas heureusement accompli sa tâche d'assistance à la naissance, il est impossible de le séparer de la femelle. On peut lui brûler les pattes, le mutiler, le décapiter, sans qu'il se détache. De plus, s'il est sous l'emprise du réflexe d'étreinte, s'il ne trouve pas ce qui lui convient, il s'accouplera avec un autre mâle, ou avec un triton, ou même avec un poisson: on les a vus s'agripper avec acharnement à des morceaux de bois flottants.
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miguelmarias · 2 years ago
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TOP 2022
(31/12/2022)
Great recent movies (made since 2018) seen for the first time in 2022:
 Les Passagers de la nuit(Mikhaël Hers, 2021/2)
 Rachel Hendrix(Victor Nunez, 2022)
 Memoria(Memory;Apichatpong Weerasethakul, 2021)
 O Trio em Mi Bemol(The Kegelstatt Trio;Rita Azevedo Gomes;a.Éric Rohmer)
 Ouistreham(Emmanuel Carrère, 2021)
 The Ride(Ride;Alex Ranarivelo, 2018/9)
 Pan de limón con semillas de amapola(Benito Zambrano, 2021)
 Twist à Bamako(Mali Twist;Robert Guédiguian, 2021/2)
 Mulher Oceano(Djin Sganzerla, 2020)
 Greta(Neil Jordan, 2018)
 Albatros(Xavier Beauvois, 2021)
 À vendredi, Robinson(Mitra Farahani, 2022)
 El Rey de todo el Mundo(Carlos Saura, 2021)
Great older movies (made before 2018) seen for the first time in 2022:
Saikai(Kimura Keigo, 1953)
Yuwaku(Temptation;Yoshimura Kōzaburō, 1948)
The Very Thought of You(Delmer Daves, 1944)
Dunia(Jocelyn Saab, 2005)
Strangers in Good Company/The Company of Strangers(Cynthia Scott, 1990)
Lawn Dogs(John Duigan, 1997)
What happened was...(Tom Noonan, 1993/4)
Tigerstreifenbaby wartet auf Tarzan(Rudolf Thome, 1997/8)
Rot und Blau(Rudolf Thome, 2002/3)
Yawaraka na hou(A Tender Place;Nagasaki Shunichi, 2001)
Tin ngai hoy gok(Lost and Found;Lee Chi-ngai, 1996)
The Journey of August King(John Duigan, 1995)
Off the Map(Campbell Scott, 2003)
Bed of Roses(Michael Goldenberg, 1995/6)
The Cake Eaters(Mary Stuart Masterson, 2007)
Trigger(Bruce McDonald, 2010)
Lian’ai yu yiwu(Love and Duty;Bu Wancang=Richard Poh, 1931)
Sparrows Dance (Noah Buschel, 2013)
Aoi sanmyaku+Zoku aoi sanmyaku(The Green Mountains 1+2/Blue Mountains 1+2;Imai Tadashi, 1949)
Du hast gesagt, dass du mich liebst(You Told Me You Loved Me;Rudolf Thome, 2005/6)
Yūwakusha(The Enchantment;Nagasaki Shunichi, 1989)
Nishi no majo ga shinda(The Witch of the West is Dead;Nagasaki Shunichi, 2008)
Hachi-kō Monogatari(Kōyama Seijirō, 1987)
Spoken Word(Victor Nunez, 2009)
The Missing Person (Noah Buschel, 2008/9)
The Devil Makes Three(Andrew Marton, 1952)
Christmas in Connecticut(Peter Godfrey, 1945)
Berlin Chamissoplatz(Rudolf Thome, 1980)
Rauchzeichen(Rudolf Thome,2005/6)
Among the Living(Stuart Heisler, 1941)
Voice in the Mirror(Harry Keller, 1958)
Glass Chin(Noah Buschel, 2013/4)
The Mule/Border Run/La frontera del crimen(Gabriela Tagliavini, 2012)
BigEden(Thomas Bezucha, 2000)
Endoretsu warutsu(Endless Waltz;Wakamatsu Kōji, 1995)
Keith Richards:Under the Influence(Morgan Neville, 2015)
Kōfuku no genkai(The Limit of Happiness;Kimura Keigo, 1948)
Friends(Elaine Proctor, 1993)
The Stone Boy(Christopher Cain, 1983/4)
Frau fährt, Mann schläft(Rudolf Thome, 2003/4)
Pêcheur d’Islande(Pierre Schoendoerffer, 1959)
Awdat mowatin(Return of a Citizen;Mohamed Khan, 1986)
Les Portes tournantes(The Revolving Doors;Francis Mankiewicz, 1988)
Remarkable recent movies:
Ras vkhedavt, rodesac cas vukurebt?(What Do We See When We Look at the Sky?;Aleksandr Koberidze, 2021)
Degas et moi(of 3e Scène)(Arnaud Des Pallières, 2019)
Ergej irekhgüi namar/Harvest Moon (Amarsaikhan Baljinnyam, 2021/2)
Viagem ao Sol(Journey to the Sun;Ansgar Schaefer & Susana de Souza Dias, 2021)
Illusions Perdues(Xavier Giannoli, 2021)
Petite Solange(Axelle Ropert, 2021)
Pacifiction/Tourment sur les îles(Albert Serra, 2022)
Where The Crawdads Sing(Olivia Newman, 2022)
The Batman(Matt Reeves, 2022)
Jaula(Ignacio Tatay, 2018)
Prapti(Receipt;Anuraag Pati, 2021)
Limbo(Soi Cheang, 2021)
Avec amour et acharnement(Both Sides of the Blade/Fire;Claire Denis, 2021/2)
Armageddon Time(James Gray, 2022)
Beurokeo(Broker;Kore-Eda Hirokazu, 2021/2)
America(Ofir Raul Graizer, 2021/2)
Faridaning ikki ming qo’shig’i(2000 Songs of Farida;Yalkin Tuychiev, 2020)
El sustituto(The Replacement;Óscar Aira, 2020/1)
Pokhar Ke Dunu Paar(On Either Side of the Pond;Parth Saurabh, 2022)
The Gigantes(Beatriz Sanchis, 2021)
Farha(Darin J. Sallam, 2021)
In My Own Time:A Portrait of Karen Dalton(Rich Peete & Robert Yapkowitz, 2020)
Barbarian(Zach Cregger, 2022)
Between Earth and Sky(The Lie;Veena Sud, 2018//20)
Watcher(Chloe Okuno, 2021/2)
A Christmas Mystery(Alex Ranarivelo, 2022)
A Hollywood Christmas(Alex Ranarivelo, 2022)
Les Intranquilles(Joachim Lafosse, 2021)
Unrueh(Unrest;Cyril Schäublin, 2022)
Malintzin 17(Eugenio & Mara Polgovsky, 2016//21/2)
Coda(Siân Heder, 2020/1)
Work in progress, Agosto 2022(José Luis Guerin, 2022)
A pesar de todo(Despite Everything;Gabriela Tagliavini, 2019)
They’ll Love Me When I ‘m Dead(Morgan Neville, 2018)
Pretend It’s A City(Martin Scorsese, 2020)
The Glorias(Julie Taymor, 2020)
Land(Robin Wright, 2021)
Chavalas(Carol Rodríguez Colás, 2020/1)
Alam(Firas Khoury, 2022)
Remarkable older movies:
Watashi no Niisan(My Older Brother;Shimazu Yasujirô, 1934)
Liu mang yi sheng(Doctor Mack;Lee Chi-ngai, 1995)
Hunt the Man Down(George Archainbaud, 1950)
Happy Here and Now(Michael Almereyda, 2002)
Hold That Co-Ed(Hold That Girl;George Marshall, 1938)
Transcendence(Wally Pfister, 2014)
Mr. Fix-It(Allan Dwan, 1918)
Down Home (Irvin V. Willat, 1920)
The Tall Stranger(Thomas Carr, 1957)
Pagdating Sa Dulo(At the Top;Ishmael Bernal, 1971)
Maowid ala ashaa(A Dinner Date;Mohamed Khan, 1981)
Zawgat Ragoul Mohem(The Wife of an Important Person;Mohamed Khan, 1987)
The Eclipse(Conor McPherson, 2009)
El Rebozo de Soledad(Roberto Gavaldón, 1952)
Desert Hearts(Donna Deitch, 1985)
Manhandled(Lewis R. Foster, 1949)
Accused of Murder(Joseph Kane, 1956)
The Marauders(Gerald Mayer, 1955)
Ramuru/Aibu(L’Amour/Caress/Love;Goshō Heinosukē, 1933)
Amerasia(Wolf-Eckart Bühler, 1985)
Careless Love(John Duigan, 2012)
Sieben Frauen(Formen der Liebe III)(Rudolf Thome, 1989)
Flirting(John Duigan, 1990/1)
One Night Stand(John Duigan, 1984)
Mouth to Mouth(John Duigan, 1978)
Kissed(Lynne Stopkewich, 1996)
Strike!/All I Wanna Do!(Sarah Kernochan, 1998)
In Old Kentucky(George Marshall, 1935)
Hei jun ma(A Mongolian Tale;Xie Fei, 1995)
Kojima no haru(Spring on Lepers’ Island;Toyoda Shirō, 1940)
Jack Higgins’ ‘A Prayer for the Dying’/A Prayer for the Dying(Mike Hodges, 1987)
Whispering City(Fedor Ozep, 1947)
Maytime in Mayfair(Herbert Wilcox, 1949)
Derby Day(Herbert Wilcox, 1952)
Hell’s Half Acre(John H. Auer, 1954)
Without Honor(Irving Pichel, 1949)
Big Night(Stanley Tucci & Campbell Scott, 1996)
In Old Arizona(Raoul Walsh & Irving Cummings, 1929)
Storm Over Lisbon(George Sherman, 1944)
Chant d’hiver(Otar Iosseliani, 2015)
Die rote Zimmer (Rudolf Thome, 2010)
Das Geheimnis(Rudolf Thome, 1994/5)
Der Philosoph(Rudolf Thome, 1988/9)
Winter of our Dreams(John Duigan, 1981)
Just Married(Rudolf Thome, 1997/8)
Ins Blaue(Into the Blue;Rudolf Thome, 2011/2)
The Sky Pilot(King Vidor, 1921)
Wine of Youth(King Vidor, 1924)
The Family Stone(Thomas Bezucha, 2005)
Les Deaux Souvenirs(Happy Memories;Francis Mankiewicz, 1981)
Istoriia Grazhdanskoí Voíny(Dziga Vertov & Nikolai Izvolov, 1922)
Jes’ Call Me Jim(Clarence G. Badger, 1920)
Jubilo(Clarence G. Badger, 1919)
Marguerite Duras:Worn Out with Desire to Write(David Wiles & Alan Benson, 1985)
Bestsennaia golova(V boevom kinsbarnike 10)(A Priceless Head;Boris Barnet, 1942)
Taifuken no onna(Ōba Hideo, 1948)
The Hasty Heart(Vincent Sherman, 1949)
A Kiss in the Dark(Delmer Daves, 1948/9)
Anesthesia(Tim Blake Nelson, 2014/5)
The Half-Breed(Stuart Gilmore;uc.Edward Ludwig, 1952)
The Two Fister(William Wyler, 1927)
Croupier(Mike Hodges, 1997/8)
Paranoid(John Duigan, 1999/2000)
The Leading Man(John Duigan, 1996)
Aucun regret(Emmanuel Mouret, 2015)
Tout le monde a raison(Emmanuel Mouret, 2017)
Invisible Agent(Edwin L. Marin, 1942)
Full Body Massage(Nicolas Roeg, 1995)
Saya no iru tousizu(Saya:Perspective in Love;Kimata Akiyoshi=Izumi Seiji, 1986)
Race Street(Edwin L. Marin, 1948)
The Wife(Tom Noonan, 1994/5)
Molly(John Duigan, 1998/9)
The Phenom (Noah Buschel, 2015/6)
Live A Little, Love A Little(Norman Taurog, 1968)
Café Com Canela(Coffee with Cinnamon;Ary Rosa & Glenda Nicácio, 2017)
And Now Tomorrow(Irving Pichel, 1944)
On An Island With You(Richard Thorpe, 1948)
One More Tomorrow(Peter Godfrey, 1946)
Il tradimento(Passato che uccide)(Riccardo Freda, 1951)
The Magnificent Dope(Walter Lang, 1942)
Hands Up!(Clarence G. Badger, 1926)
Venus im Netz/Venus.de-Die bewegte Frau(Venus Talking;Rudolf Thome, 2000/1)
Les Bons Débarras(Good Riddance;Francis Mankiewicz, 1980)
Beverly of Graustark(Sidney Franklin, 1926)
Millennium(Michael Anderson, 1989)
Gibraltar(Fedor Ozep, 1938/9)
Great movies watched again:
JLG/JLG(Autoportrait de décembre)(Jean-Luc Godard, 1994)
Yuki fujin ezu(Mizoguchi Kenji, 1950)
The Ten Commandments(Cecil B. DeMille, 1956)
They Were Expendable(John Ford;coll.Robert Montgomery, 1945)
The Civil War(from How The West Was Won;John Ford, 1962)
The Private Life of Sherlock Holmes(Billy Wilder, 1970)
The Bitter Tea of General Yen(Frank Capra, 1932)
Return of the Texan(Delmer Daves, 1952)
You Can’t Take It With You(Frank Capra, 1938)
Kiss Me Deadly(Robert Aldrich, 1955)
Desert Fury(Lewis Allen, 1947)
Japanese War Bride(King Vidor, 1951/2)
Storm Warning(Stuart Heisler, 1950/1)
The Circle(Frank Borzage, 1925)
There’s Always Tomorrow(Douglas Sirk, 1955/6)
A Romance of the Redwoods(Cecil B. DeMille, 1917)
Shockproof(Douglas Sirk, 1949)
Sergeant Rutledge(John Ford, 1960)
Bad Girl(Frank Borzage, 1931)
Interlude(Douglas Sirk, 1957)
The First Legion(Douglas Sirk, 1950/1)
Captain China(Lewis R. Foster, 1950)
Passage West(Lewis R. Foster, 1951)
The Invisible Man(James Whale, 1933)
Slávnyí malyí/Novgorodtsy(Boris Barnet, 1943)
Alyonka(Boris Barnet, 1961)
Hurry Sundown(Otto Preminger, 1966)
Gideon’s Day(Gideon of Scotland Yard;John Ford, 1958)
Anjô-ke no butôkai (Yoshimura Kôzaburô, 1947)
The World Moves On(John Ford, 1934)
Black Tuesday(Hugo Fregonese, 1954)
The Raid(Hugo Fregonese, 1954)
One Way Street(Hugo Fregonese, 1950)
Seven Thunders(Hugo Fregonese, 1957)
La Femme d’à côté(François Truffaut, 1981)
Double Messieurs(Jean-François Stévenin, 1986)
Fighter Squadron(Raoul Walsh, 1948)
State of the Union(Frank Capra, 1947/8)
The Lady Eve(Preston Sturges, 1940/1)L
Shchiedroe leto(Boris Barnet, 1950)
The Year My Voice Broke(John Duigan, 1987)
Liedolom(Boris Barnet, 1931)
All I Desire(Douglas Sirk, 1953)
Illegal(Lewis Allen, 1955)
L’Homme qui aimait les femmes(François Truffaut, 1977)
Very good movies watched again:
Crack-Up(Irving Reis, 1946)
Twilight For The Gods(Joseph Pevney, 1958)
Wide Sargasso Sea(John Duigan, 1992/3)
Ivanhoe(Richard Thorpe, 1951/2)
Polustanok(Boris Barnet, 1963)
Odnazhdy nochyu(Dark is the Night;Boris Barnet, 1944/5)
Mystery Submarine(Douglas Sirk, 1950)
Battle Hymn(Douglas Sirk, 1956/7)
Tomorrow Is Forever(Irving Pichel, 1945/6)
The Gypsy Moths(John Frankenheimer, 1969)
Amok(Fedor Ozep, 1934)
I’ll Be Seeing You(William Dieterle, 1944)
The Lady(Frank Borzage, 1925)
Torrents of Spring(Jerzy Skolimowski, 1989)
Starií naezdnik(The Old Jockey;Boris Barnet, 1940)
The Honeymoon Machine(Richard Thorpe, 1961)
The Flame(John H. Auer, 1947)
The Jack Knife Man(King Vidor, 1920)
Cheyenne (Raoul Walsh, 1947)
Dakota(Joseph Kane, 1945)
Singapore(John Brahm, 1947)
The Brasher Doubloon(John Brahm, 1947)
Junior Bonner(Sam Peckinpah, 1972)
Family Plot(Alfred Hitchcock, 1976)
La Femme et le Pantin(Jacques de Baroncelli, 1928/9)
My Reputation(Curtis Bernhardt, 1946)
The Reluctant Debutante(Vincente Minnelli, 1958)
Annushka(Boris Barnet, 1959)
Stranítsy zhizni(Boris Barnet & Aleksandr Macheret, 1946//8)
The Lady Pays Off(Douglas Sirk, 1951)
Schluss-akkord(Detlef Sierck=Douglas Sirk, 1936)
Whirlpool(Lewis Allen, 1959)
City That Never Sleeps(John H. Auer, 1953)
April! April!(Detlef Sierck, 1935)
Byzantium(Neil Jordan, 2012)
Too Many Husbands(Wesley Ruggles, 1940)
All The Brothers Were Valiant(Richard Thorpe, 1953)
Crosswinds(Lewis R. Foster, 1951)
Casbah(John Berry, 1948)
The Eagle and the Hawk(Lewis R. Foster, 1950)
Body of Lies(Ridley Scott, 2008)
La larga noche de los bastones blancos(Javier Elorrieta, 1979)
Wives Under Suspicion(James Whale, 1938)
Home Before Dark(Mervyn LeRoy, 1958)
Podvig razvedchika(Boris Barnet, 1947)
The Two Mrs. Carrolls(Peter Godfrey, 1947)
Barricade(Peter Godfrey, 1949/50)
Escape Me Never(Peter Godfrey, 1947)
The House of the Seven Hawks(Richard Thorpe, 1959)
Sugarfoot(Edwin L. Marin, 1950)
Room For One More(Norman Taurog, 1951/2)
El Paso(Lewis R. Foster, 1949)
Jamaica Run(Lewis R. Foster, 1953)
Vértigo(Antonio Momplet, 1946)
The Manchurian Candidate(John Frankenheimer, 1962)
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whileiamdying · 2 months ago
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Juliette Binoche, la persecución de la credibilidad
La actriz francesa, además del galardón que reconoce su trayectoria, es el rostro oficial de esta edición del Festival de Cine de San Sebastián y participa en dos de las películas programadas, una de ellas, 'Le lycéen', opta a la Concha de Oro
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La actriz, en la alfombra roja del año pasado.  Arizmendi
Teresa Flaño San Sebastián Jueves, 15 de septiembre 2022 | Actualizado 16/09/2022 14:08h.
La sombra de Juliette Binoche va a ser muy alargada en este Zinemaldia 2022 donde tiene un papel muy protagonista. El domingo recibirá el Premio Donostia en una gala tras la que se proyectará 'Avec amour et acharnement', de Claire Denis, pero su presencia va más allá porque es la imagen del certamen. Una fotografía en blanco y negro de su rostro, tomada por Brigitte Lacombe, ilustra el cartel oficial. Además, participa en una de las películas de la Sección Oficial 'Le lycéen', de Christophe Honoré. Ha visitado con asiduidad el Festival de Cine de San Sebastián, la última vez para acompañar a 'La verdad', de Hirokazu Koreeda. 
Juliette Binoche es uno de los nombres que primero llegan a la mente cuando se habla del cine francés y sus intérpretes. La mejor prueba de que es un icono galo está en que se le conoce como 'la Binoche', al igual que sucede con 'la Deneuve' (Catherine) o 'la Huppert' (Isabelle), actrices con las que a partir de ahora aparecerá en la lista de premios Donostia, galardón que se unirá al Oscar que recibió por 'El paciente inglés' (1996), papel por el que también recibió un Bafta y el Oso de plata en la Berlinale y que le valió el reconocimiento internacional. También ganó un César y un León veneciano como mejor actriz por 'Tres colores: Azul' (1993), y una palma en el Festival de Cannes por 'Copia certificada' (2010). 
Otra lista, la de los directores para los que ha trabajado, es asimismo de relumbrón. Jean-Luc Godard -fallecido este martes-, Louis Malle, Krzysztof Kielowski, Patrice Leconte, Lasse Hallström, Michael Haneke o Abbas Kiarostami son algunos de los reputados realizadores que han contado con esta actriz que se permitió el lujo de rechazar las propuestas de Steven Spielberg para aparecer en la tercera entrega de Indiana Jones -entonces estaba inmersa en el rodaje de 'Los amantes del Pont-Neuf'-, 'La lista de Schindler' -estaba embarazada- y 'Parque Jurásico' -porque ya se había comprometido para protagonizar 'Azul'-.
Lo cierto es que no para de trabajar. Ella misma afirma que está «más solicitada que nunca». Junto a las dos películas que se van a poder ver en el Festival de Cine de San Sebastián, también ha protagonizado recientemente 'Paradise Highway', donde da vida a una dura camionera en un thriller sobre la esclavitud infantil y acaba de rodar una serie para Apple TV, 'The New Look', que se estrenará el año que viene y en la que encarna a Coco Chanel. También se puede ver en las plataformas de streaming, uno de sus últimos trabajos, presentado el año pasado en el Festival, 'En un muelle de Normandía' (Emmanuel Carrère).
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marie-bradshaw · 7 months ago
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Demain tout commence
Chers lecteurs,
Aujourd'hui j'aimerais vous parler d'un film qui m' a touché comme on ne le fait que trop rarement de nos jours avec le 7eme art.
"Demain tout commence" avec le génialissime Omar Sy.
J'adore cet acteur qui a une puissance incroyable, et c'est ce qui a arrêté mon choix sur ce film lors de l'incontournable "On regarde quoi?" netflixien que nous connaissons tous, donnant généralement lieu à un scroll interminable de nos écrans en quête du "bon choix".
Je ne m'attendais pas à finir en larmes à bousiller mon maquillage.
Pas les petites larmes de "ah oui c'est touchant" que les coeurs sensibles finissent toujours par lâcher devant un beau passage.
Non.
20 bonnes minutes de pleurs véritables.
Profonds.
A l'heure où je vous parle, mes joues sont encore humides, et j'ai décidé d'abandonner l'idée de me remaquiller.
Alors peut-être que cette histoire me touche moi plus qu'elle ne devrait.
Mais elle n'en reste pas moi prenante, saisissante, et le jeu d'acteur d'Omar Sy, bluffant comme à son habitude.
Je ne saurais que trop vous le recommander et ne vous spoilerai donc pas le coeur de l'histoire.
Simplement l'idée principale, qui est l'amour d'un père qui ne pensait jamais grandir lui-même pour une fille qu'il ne savait pas qu'il avait.
Un amour indescriptible tellement il est fort.
Du genre qui vous fait évoluer vers la meilleure version de vous-même naturellement, pour le bien de ce petit être innocent qui ne dépend à présent plus que de vous.
Avec le recul de ce moment émotion, je m'interroge sur pourquoi ça a résonné en moi à ce point...
Passé, présent, futur.
Tout en connaissant parfaitement la réponse en ce qui concerne le passé.
Moi je n'ai jamais connu ça.
Cet amour inconditionnel.
D'aucun de mes deux parents.
Ni hier ni aujourd'hui.
A la fin du film, Samuel, le personnage principal, conclut par :
"Je ne suis pas un héros, j'ai juste fait du mieux que j'ai pu et au final c'est ça d'être parent".
Je sais que les miens, et surtout mon père, sont également dans ce cas là.
Rien n'était volontaire de leur part.
Et c'est ce qui fait que je n'éprouve aucune rancoeur.
Ni l'indifférence, ni le mépris, ni toutes ces cicatrices que je porte en moi et sur ma peau.
Ils ne sont pour rien non plus dans cet enfer que j'ai du traversé presque seule, et dont je suis revenue transformée à jamais.
Mais ils n'étaient pas là.
Aucun d'eux deux n'était à mon chevet quand j'ai du passé la semaine à l'hôpital après mon agression, terrorisée.
J'aimerais vous dire qu'ils avaient une raison valable.
Qu'ils étaient entrain de sauver le Monde ou coincés à l'autre bout du globe.
La vérité c'est que mon père se trouvait à moins de 2 km, et ma mère à 2 heures de train.
Un trauma crânien, la lèvre ouverte en deux, le bras fracturé par le choc de l'accident de ma voiture qui avait fait un tout droit sur un arbre à 70km/heure après que j'ai perdu connaissance au volant de m'être échappée de cet homme qui avait voulu abuser de moi, et mis du GHB dans mon verre.
Non, ils n'étaient pas là et ils ne souhaitaient pas l'être.
Pire que cela, les mots de ma mère resteront à jamais gravés dans ma tête : "Mais qu'est-ce que tu portais aussi pour avoir provoqué ça?".
Il m'a fallu un paquet de sessions avec une psychologue qui m'a clairement sauvé la vie après coup, pour réaliser que depuis le départ le problème ne venait pas de moi.
Que ce n'était pas moi qui avait un défaut de fabrication et qui ne méritait pas leur attention, leur amour, qu'ils me refusaient avec acharnement.
Je ne la remercierai jamais assez de m'avoir ouvert les yeux et permis de dire : "STOP" à leurs comportements abusifs.
Alors nous n'étions pas battus, nous ne manquions de rien avec mon frère, si ce n'est de l'essentiel: la compréhension que peu importe nos actions notre valeur ne serait jamais remise en cause par eux.
Ceci pour le passé.
En ce qui concerne le présent, je vais bientôt avoir 35 ans.
Ma vie est en chantier à tous les niveaux, je me demande tous les jours si le projet pro que j'ai entrepris n'était pas trop ambitieux, trop challengeant, les leçons de vie n'arrêtent pas de pleuvoir du ciel, et la dernière en date c'est mon genou blessé qui m'immobilise.
Privée de défouloir, c'est à dire de sport, forcée de regarder la réalité des choses comme elle est, ces choses qui se rajoutent pour mon projet parce que je veux peut-être "trop bien faire", le temps qui passe, et ça m'angoisse.
Voguant de Charybde en Scylla entre la douleur fracassante de mon genou, comme des coups de marteau directement assenées à mon os sans même bouger, les anti-douleurs qui me rendent à moitié dyslexique, et cette peur de ne pas être à la hauteur, je me sens asphyxiée.
En réponse de quoi je me suis naturellement tournée vers une activité plus manuelle cette semaine et me suis remise à coudre.
Une vie sentimentale remplie de navires dérivant vers l'inconnu dans une mer agitée.
En quête de la bonne destination, de la bonne personne.
Les différents capitaines à leur bord présent tous des qualités indéniables, mais je doute qu'aucun d'entre eux ne me soit destiné.
Je pense que je n'étais qu'une île de passage qui leur a permis de s'orienter sur la bonne route.
Toutefois certains m'ont touchée plus que d'autres.
Nico, par la sensibilité qui se cache derrière une carrure imposante, l'intellect qu'on ne devinerait pas de prime abord derrière son mètre quatre vingt dix de muscles, son talent pour l'écriture, mais surtout sa profondeur.
Attentionné, bienveillant, je lui parle de tout avec une facilité surprenante et surtout en restant moi-même à chaque instant.
Il m'a montré de bien des manières, mais notamment en venant me faire la surprise d'assister au cabaret qu'organisait mon studio de danse aérienne, qu'il ne s'intéressait pas à moi pour les mauvaises raisons.
Au fond je n'ai pas grand chose à lui reprocher hormis le fait de toujours être marié après trois ans de séparation, et de penser que toutes les femmes sont vouées à lui faire ce que lui a fait la sienne, c'est à dire profiter de ses temps d'absence en mer (il est scaphandrier) pour goûter à tout le voisinage.
Je n'étais pas là et je ne suis personne pour juger, mais je disais à l'un de mes meilleurs amis pas plus tard que ce matin au téléphone qu'avec un homme pareil à vos côtés, je ne voyais pas quels types de problèmes tu pouvais avoir.
Ce matin au réveil on s'envoyait encore des réels de plongée avec des requins (notre passion commune) et trois minutes plus tard il m'appelait en Visio pour me montrer sa plateforme pétrolière et me demander comment allait ma jambe.
J'aime cette spontanéité.
Juste avant il me partageait une vidéo d'un couple qui faisait des figures de gymnastique/portés acrobatiques ensemble et c'est totalement le genre de choses que je me verrais faire avec lui juste pour le fun.
Quant à "nous", nous ne sommes que des amis épistolaires qui se partagent leurs aventures et qui se sont datés brièvement.
Et puis il y'a Laurent.
Rencontré très récemment, il m'a fait l'effet d'une tornade de force 4.
Père également, tout aussi traumatisé par son ex mais d'une manière différente, lui ne vit qu'à quelques pâtés de maison de chez moi.
Je ne m'explique toujours pas ce qu'il s'est passé, ni le pourquoi du comment.
Ca a duré à peu près 30 secondes, mais dans ses bras je me sentais chez moi.
On ne s'est pas quittés pendant 24h, à vivre quasi nus, parler, cuisiner, rire, en oubliant le reste du Monde.
Un bref instant j'avais visualisé à quoi pourrait ressembler la vie avec lui et son enfant, adorable par ailleurs.
Lui c'est le genre d'homme vers qui je ne vais jamais.
Réservé au premier abord, d'une apparence "bon chic bon genre" en décalage complet de mon univers de badass rock'n'roll.
Toutefois il ne faut pas présumer d'un livre à sa couverture, et il est tout aussi aventurier que je ne le suis, voire plus.
Extrêmement viril, sûr de lui, une force tranquille et un regard qui m'hypnotise à chaque fois.
Ce que j'aime le plus chez lui, avec le recul, c'est sa dévotion à sa famille, à sa fille.
Pour le reste je pense que son océan est sûrement trop éloigné de mon île, et surtout, qu'il ne sait plus dans quelle direction naviguer.
Tous deux ont dans le font exactement le même problème: faire suffisamment confiance à quelqu'un, et en l'occurrence moi, pour baisser leur garde et se montrer vulnérables sans faire un bond en arrière tout de suite après.
Est-ce que l'un d'eux m'est destiné? Ou aucun des deux?
Je n'en ai aucune idée.
Peut-être qu'ils devaient juste me faire réaliser qu'après une carrière épanouissante, une entreprise à mission en plein boom, ce que je désire le plus c'est de fonder une famille.
Donner à un enfant, qu'il soit de mon sang ou pas, cet amour inconditionnel qui m'a tant manqué.
Comprendre que je serai une super maman, rock'n'roll et un peu dingue, mais que je ferai toujours en sorte que mon enfant se sente en sécurité avec moi, qu'il puisse me parler de tout, sentir mon soutien, réaliser son potentiel et ses rêves propres.
Construire une famille authentique avec un homme qui deviendra mon mari, qui me traitera toujours comme son égal, avec respect et considération.
Dans ma tête, quand je l'imagine, il est par là quelque part à me chercher.
Il ne me prendra jamais pour acquise et remerciera le ciel tous les jours de m'avoir mise sur sa route.
Ambitieux, brillant, talentueux, attentionné, un vrai gentleman qui ne conçoit pas qu'on puisse faire du mal à des femmes ou des enfants.
Le genre aux valeurs old school, qui cherche à vous protéger, jamais à vous contrôler ou vous posséder.
Oui, quand je ferme les yeux et que je pense à lui, je comprends que chaque chose doit arriver en son temps, mais que quand il me prendra dans ses bras je ne douterai plus.
Toute cette peine, toutes ces épreuves, s'envoleront pour ne plus laisser place qu'à une immense quiétude, apaisante.
"Tu es chez toi, et je ne compte aller nul part" me dirait-il à l'oreille, avant de me serrer plus fort contre lui.
Un partner in crime qui me challengera au quotidien à devenir la meilleure version de moi-même, qui m'inspirera, qui me soutiendra, et qui aimera chaque partie de moi, l'ombre comme la lumière.
Qui valorisera tout ce que je lui donnerai, parce qu'il sait qu'il n'y a pas de limites à ce que je peux donner de moi-même quand j'aime vraiment quelqu'un.
Dans mes rêves, je ne peux pas me détacher de lui.
Son contact suffit à tout me faire oublier, il me regarde comme si j'étais la 8ème merveille du monde et me donne la confiance de briller un peu plus fort.
Mon égal en toute chose, on se partagerait le lead sans jamais se sentir en compétition l'un avec l'autre.
Une équipe.
Elegant, raffiné, il n'hésiterait pas à m'entraîner dans un parking pour se rapprocher de moi d'un peu plus près, ou me prendre par la main pour partir à l'aventure sur un coup de tête.
Mais surtout, quand je le visualise, lui, la vie qu'on pourrait avoir, je ne vois pas le poids de l'habitude, chaque journée est un nouveau cadeau que nous chérissons tous deux.
Il sait qui je suis, il voit ma valeur mieux que personne, et il a réponse à tout.
Le genre qui prévient ton assistante qu'il a prévu de t'emmener en weekend surprise sur la côte italienne, qui t'a déjà préparé une valise et qui va te dire "que oui tu as le droit de te détendre un peu aussi, lâches cet ordi" quand tu lui diras que tu ne peux pas partir.
J'aime à tout contrôler, ça me rassure, mais je saurai céder avec lui.
Ce qui nous emmène donc au futur.
Une bien belle perspective, de faire partie d'une équipe qui respecte notre individualité mais pour laquelle vous sacrifiiez tout, jusqu'à votre propre vie.
La dévotion même.
Pas de négligence ici, pas de mépris ou d'indifférence.
Un jour qui sait, j'aurai l'occasion de réparer ce qui a été brisé pour donner tout ce qu'on m'a volé.
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carmenvicinanza · 8 months ago
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Claire Denis
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Claire Denis, regista e sceneggiatrice brillante e contemporanea, che ha diretto le più grandi star del cinema francese, rappresenta un faro di sapienza e maestria nella settima arte.
Nei suoi lavori crea connessioni tra il post-colonialismo e la globalizzazione, analizzando la fenomenologia umana, spesso, a partire dalle sue caratteristiche sessuali. 
L’Africa, con i suoi spazi dilatati e la sua luce, e l’immigrazione nel continente europeo, con il suo drammatico impatto sulle difficoltà della vita quotidiana, sono stati spesso i suoi riferimenti tematici.
Nata a Parigi il 21 aprile 1948, è cresciuta in Africa, suo padre era amministratore civile presso le colonie francesi. Ha frequentato le scuole elementari camerunesi, somale, gibutiane e burkinabé. Ammalatasi di poliomielite all’età di dodici anni, era tornata in Francia curarsi, continuando la sua formazione presso il Lycée de Saint-Germain-en-Laye, dove ha scoperto le magnificenze del cinema, soprattutto quello giapponese.
Dopo una laurea in Lettere e una in Economia, ha avuto un breve matrimonio con un fotografo con cui lavorava.
Quando si è separata si è trasferita per un po’ in Africa, dove ha lavorato come regista presso Télé Niger. Rientrata in Francia è stata assunta dal dipartimento di ricerca dell’Office de Radiodiffusion Télévision Française.
Mentre studiava all’Institut des hautes études cinématographiques, ha realizzato i suoi primi cortometraggi e documentari.
Fondamentale è stata l’esperienza come assistente di registi come Constantin Costa-Gavras, Wim Wenders e Jim Jarmusch.
Il suo primo lungometraggio, Chocolat, del 1988, è stato in concorso al Festival di Cannes. La storia è quella di una donna che torna in un piccolo presidio francese del Nord del Camerun, dove aveva trascorso gran parte della sua infanzia, per rendersi conto di quanto la società fosse cambiata esteriormente e di quanto certi comportamenti fossero stati tramandati alle persone che erano rimaste.
Nel 1990 è uscito S’en fout la mort, ambientato nella banlieue parigina, sulla vita di alcuni immigrati di origine africana, coinvolti in un giro di combattimenti di galli e di scommesse clandestine. Si inizia a palesare, nello stile e le tematiche a lei care, l’aggiunta di violenza da noir e l’interesse per il corpo che prenderanno sempre più definizione nei lavori successivi. 
Nel 1991 ha fondato la sua società di produzione, Les films de Mindif.
Tre anni dopo è uscito J’ai pas sommeil, ispirato alla storia vera di un serial killer, film struggente e disperato in cui ancora una volta racconta la solitudine, il desiderio d’amore e la morte tra quelli che ha definito “i tanti apartheid quotidiani“.
Nel 1996 Nénette et Boni ha vinto il Pardo d’oro al Festival di Locarno. Il film racconta la vita di un fratello e una sorella che vivono soli a Marsiglia. Lei è decisa a dare il neonato in adozione, lui rapisce il piccolo nel disperato tentativo di ridare vita a una famiglia.
Nel 1999 ha realizzato Beau travail, girato a Gibuti, un altro dei paesi della sua infanzia in cui mette in scena una storia di potere e morte all’interno della Legione straniera. Nel film, alla presenza totale e magnetica del paesaggio si sovrappone il suo occhio di donna che descrive un mondo maschile secondo coordinate lucide e acute.
Sono seguiti film che mescolano sesso e cannibalismo, persone bianche e nere, ripulsa e desiderio, come Trouble every day con Vincent Gallo e Cannibal Love – Mangiata viva che rappresenta l’apice della sua estetica post-moderna, dove sangue è pienezza e il corpo è desiderio e fonte di sazietà.
Vendredi soir, del 2003, è stato presentato alla Mostra del Cinema di Venezia.
La sua filmografia è continuata con diversi altri apprezzati lavori, tra cui L’amore secondo Isabelle, del 2017, con Juliette Binoche che è stato candidato a vari premi, César, European Film Award e Best European Film.
Per Avec amour et acharnement è stata insignita dell’Orso d’argento per il miglior regista e Stars at Noon le ha portato il Grand Prix al Festival di Cannes.
Ha girato praticamente un film ogni due anni, compresi diversi documentari.
È apprezzata dalla critica mondiale per la sua ricerca sobria ma appassionata che mette in rapporto il gioco delle relazioni interpersonali con la costruzione dello spazio, il valore espressivo della luce, lo sguardo sui corpi e sul loro equilibrio emotivo.
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tolgaulusoy · 9 months ago
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Bıçağın İki Yüzü/Sevgiyle ve Kararlılıkla (Fr. Avec amour et acharnement), Claire Denis'in filmi. Sara ve Jean mutlu bir çifttir ama bu mutlulukları uzun sürmeyecektir. Sara'nın takıntılı eski sevgilisi ve Jean'ın eski dostu François hayatlarına girer. Jean ve François ortak bir işe girerler Sara'nın ise eski sevgili ve kocası arasında dengesi gittikçe bozulmaktadır.
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seoulserpents · 9 months ago
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𝗞͟𝗔͟𝗡͟𝗚͟ 𝗖͟𝗢͟𝗡͟𝗡͟𝗜͟𝗘 ;
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On dit toujours que derrière une personne solaire, se cache sa part d’ombre. Parce que c’est la vérité. Quand on connaît Connie, quand on va la voit déambuler dans les couloirs de l’université, on ne voit que son sourire, la façon qu’elle a de trottiner, la tête dans les nuages, comme si elle ne traînait pas son lot de casseroles derrière elle. Et pourtant si, la jeune femme n’est qu’angoisse, terreur et anxiété, chose qu’elle cache le plus aisément à la surface de la planète. Issue d’une famille recomposée, Connie passe toutes ces années d’adolescente et de jeune adulte à Gangnam. Son père, ayant déjà eu une femme avant sa mère, a eu un enfant de ce premier mariage, Nana. Même si elles ne partagent que le sang de leur paternel, la brune voue une admiration et un amour fraternel indescriptible envers sa grande sœur, qui prendra la décision d’être sous la garde de son père et qui viendra vivre avec eux, pour le plus grand plaisir de la jeune femme. Nana est toujours là pour la guider dans ses choix de vie, sauf quand il s’agit de sa vie amoureuse. Connie, en terminale, rencontre son premier petit ami, In-ho. Cette dernière cherchant à tout prix le prince charmant, son âme sœur, pense l’avoir trouvé avec ce jeune homme. Elle a tout ce qu’il faut pour être heureuse, une famille aimante, une grande sœur dont elle est proche, des amis, un petit-ami exceptionnel, et surtout elle a la danse classique, sa passion depuis toute petite. Mais les choses dégringoles rapidement. Tout se passe bien au début avec In-ho, il est gentil, la traite comme une reine, mais elle comprend bien vite que ce dernier, ne voulait pas se satisfaire de quelques caresses et câlin que la jeune femme pouvait lui apporter. Parce que Connie veut prendre son temps.
Un soir, tout dérape. Après une soirée alcoolisée et alors que la brune n’est pas dans son état normal, soupçonnant plus tard d’avoir eu quelque chose en trop dans son verre, ils se retrouvent dans sa chambre, et In-ho lui force presque la main pour avoir une relation sexuelle, chose qu’elle refuse. Mais à croire que le consentement n’est pas une valeur sûre pour l’étudiant qui décide de continuer, et elle a à peine le temps de sentir sa main se glisser entre ses cuisses, qu’elle vient lui mordre la joue pour se débattre et se défaire de son emprise. S’ensuit un acharnement de la part de son ancien petit-ami, son premier amour. Harcèlement, moqueries dans les couloirs du lycée, ce dernier lui colle une réputation de « salope ». Réputation qui fait vite le tour du lycée. Elle subit ça pendant un quelques temps, l’harcèlement moral, sexuel de la part de celui pour qui elle aurait tout donné. Et pourtant, Connie pensait avoir le soutien de sa famille. Chose pour laquelle elle s’était encore trompée. Parce que ses parents ont honte, sa mère ne supporte pas le fait que sa fille se traîne une telle réputation, ne supportant pas que son bébé ait pu être abusée de la sorte, et c’est pire du côté de son père. La situation de Nana porte le coup de grâce à cette famille, quelques années plus tard, quand Connie est en première année de master. Nana tombe enceinte. Elle est en âge pourtant, approchant de la trentaine et ça aurait pu bien se passer, jusqu’à ce que le père et son petit ami décide de prendre la fuite, de ne pas assumer cet enfant. Sous la honte, les « on dit » qui sont de plus en plus durs à encaisser, Nana est contrainte de quitter la maison familiale. Connie qui ne supporte pas la distance avec sa sœur, décide de partir à son tour, pour rejoindre l’appartement de Nana, pour qui elle fait tout.
Aujourd’hui, en études de commerce, Connie travaille le week end en tant que fleuriste, pour aider sa sœur à payer le loyer. Parce que sa sœur est à présent enceinte de huit mois et que la brune fait tout pour que Nana soit bien, pour ne pas qu’elle ait à s’inquiéter de la naissance de son enfant. Puis elle a Namra, sa meilleure amie, la personne la plus importante à ses yeux, et celle qui – malgré elle – deviendra sa sauveuse. Les deux meilleures amies sont différentes, n’ont pas les mêmes centres d’intérêt, mais elles sont comme des sœurs l’une pour l’autre, passent le plus clair de leur temps ensemble, et c’est pas rare de voir Namra, un soir sur deux, manger chez les deux sœurs. Connie fait la connaissance des garçons ; Chin-hae, Juno, Haoyu et Eujin. Et c’est du dernier, le plus discret, à qui elle s’attache le plus. Ils passeront beaucoup de temps ensemble et enfin la jeune femme se sent revivre, respirer à nouveau, parce qu’il l’écoute – beaucoup trop – ne la juge pas, s’intéresse à elle, et purée qu’il peut être doux et charmant avec elle, c’est tout ce qu’il lui fallait pour faire de nouveau confiance à un homme. Mais encore une fois, son passé revient à la charge.
Chose qu’elle évite volontairement de dévoiler, c’est que depuis quelques temps, elle reçoit des messages de la part d’un numéro inconnu, mais elle devine très rapidement de qui peuvent venir les message, quand elle voit une photo d’elle prise au lycée, suivie d’un message des plus horribles, des plus douloureux. Elle qui a une peur bleue de voir son ancien petit-ami la retrouver à Séoul, verra ses craintes être confirmées quand elle le croisera à une soirée, quand son histoire sera exposée aux yeux de tout le monde. Mais peu importe à quel point elle peut être brisée, quand elle sait qu’elle a Namra, quand elle sait que les garçons sont là pour prendre sa défense.
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metaconsumer · 1 year ago
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Avec amour et acharnement (2022)
Oh the French! Never growing out of being obsessed about love and sex.
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presquilecran · 1 year ago
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Sur la rhétorique du bouc émissaire
Se fonde notre histoire commune
Et sont absous nos travers
Ceux-là mêmes qui confondent le méchant
Comme si les contes éternels de l’enfance
Avaient façonné cette vision binaire
L’opprobre ou la présomption d’innocence
Selon que l’on soit découvert ou non
Du temps de sa splendeur
Je n’aimais pas Armstrong
Il ne respectait pas le vélo
Il ne courait qu’en juin juillet
Au mépris du romantisme saisonnier
Qui conduit les fiers ouvriers du peloton
Du soleil de février azuréen
Aux feuilles mortes d’Italie
Et qui se décline en étapes parmi les étapes
En cycles thématiques d’épreuves
Que dissèque le film de Philippe Harel
Le Vélo de Ghislain Lambert
À ceci près qu’il est question d’années septante
Où le dopage hérité des anciens
Rime encore avec bricolage
On l’appelle Tonton
On l’appelle Tintin
En route Milou
Voyons jusqu’à quel point d’empoisonnement
Les fléchettes arumbayas nous conduiront
Ghislain lui respire un tel amour du cyclisme
Qu’il est prêt à tout et à n’importe quoi
Pour se mêler à son histoire
Même en braquant la voiture-balai
Or un cow-boy n’a que faire
D’un certain maniérisme européen
Il gagnait la plus grande course du monde
En se payant les meilleurs domestiques
Qu’il soumettait à son propre traitement
Mais en se réservant le plaisir
D’aller chercher lui-même les réfractaires
Quand il a tout ou presque avoué
La vieille Europe s’est souvenue de l’affront
Dans un acharnement
Qu’on connaît à certains cocus
Elle a nourri l’espoir
D’acheter sa légitimité par l’exemple
On a parlé de Programme
Et le film de Stephen Frears
N’est qu’une pâle adaptation
De l’enquête de Walch qui accabla Armstrong
Si certains de ses adversaires de l’époque
Ont tapis rouge un peu partout
Des ambassades au micro du direct
Le Texan voit son nom rayé des tablettes
Du fait d’une domination outrageuse
Et de cette façon mal aimable
De rouler sur les repentis
Lisser une virginité sur la peau
Des grandes gueules est toujours dégueulasse
Derrière une exclusion légitime
Se planquent tout un tas de faux-culs
Aussi peu scrupuleux que le vilain canard
Et qui finiront présidents
Quand Armstrong n’a même pas permission
De courir dans la formation Magicrème
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burrythelies · 1 year ago
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— Les messages supprimés.
(Qui, étrangement, sont toujours d'actualité, malgré tout. Bien qu'à ce moment-là, je ne pensais pas que nos trajectoires rentreraient à nouveau en collision - 11/08/23)
Ça me surprend toujours. Ces petits sursauts. Cet infime signe que mon coeur pourrait battre encore, en définitive. Ça a encore la capacité de me surprendre, te rends-tu compte ? Mon coeur qui arrive encore à retrouver son chemin vers toi, inlassablement, comme s'il n'était pas mort. Je pourrais veiller sur ton sommeil jusqu'à ce que mon âme aille au diable. Mais je dois me faire une raison. Aussi sur que tu n'es que vie, possibilités et futur ; je ne suis qu'une météorite dans ce ciel infini. Ma trajectoire finira indubitablement par te détruire. Je profite de cet espace-temps où tout est suspendu, où rien est joué, où les dés ne sont pas truqués. Je sais que mes mots ne te parviendront jamais. Je sais que mon âme trop vieille et trop brûlée, ne sera jamais assez pour la tienne. Je sais je sais je ne serais jamais assez pour toi. Combien en as-tu connu avant moi ? Combien sécherons tes larmes après moi ? Je ne fais que passer. C'est ce que je sais faire de mieux. Et toi tu oublieras. Je ne suis que moi. Et oui, ça fait mal. Tout ce qui m'a tuée, tu ne le connaitras jamais. Car toi, toi tu vivras. Tu sais, pour moi, cette vie sans toi n'a été que gâchée. Je n'ai fait que regarder le temps passer comme s'il ne s'agissait que de secondes qui s'écoulent, rien qui compte, des paysages qui défilent sans rien vouloir dire, attendant un meilleur qui ne fait que ressembler de plus en plus au pire. Autrefois, j'aurais pu trouver un sens, un endroit où j'aurais enfin pu rester. Ce n'étaient que des chimères. Sois sans crainte, une chose est certaine. Aussi indubitablement que j'ai lutté contre avec acharnement, mon coeur finit toujours par retrouver le chemin qui le conduit à toi. Sache que je. Je t'aime jusqu'au bout du monde. Je t'aime après les peut-être. Je t'aimerais toute ma vie. Même si tu ne veux plus rien savoir de moi. Même si j'ignore tout de ce que tu traverses, ni de qui tu es devenue. Même si tu ne sais plus rien de moi. Peu importe. Ces derniers temps - jours, semaines, mois - m'ont prouvés une chose. Que je le veuille ou non. Mon coeur trouvera toujours le chemin qui le conduit vers toi. C'est vrai, tu as raison, tu mérites mieux qu'un fantôme et des souvenirs. Mieux qu'une balance qui revient et repart et parle trop quand elle est ivre. C'est pour ça que je ne peux faire qu'accepter. Je souhaite que tu sois pleinement heureuse, tu vois. Qu'importe, avec qui, comment et où. Je sais au fond de mon coeur que tout ce que je peux faire présentement, c'est accepter cet amour que j'ai pour toi, même s'il est fou de penser que tu ressens quelque chose pour moi. Peu importe. Ce n'est pas grave. J'en ai assez de te haïr parce que je ne contrôle pas mes sentiments pour toi. Alors, c'est tout. Je t'aime à l'infini, même lorsque tu m'auras rayée totalement de ta vie, que je ne serais plus qu'un souvenir, que tu te demanderas quel était mon nom et pourquoi tu m'as laissée te faire autant de mal, quand tu garderas que de moi l'étreinte douce du réveil au petit matin après avoir fait un mauvais rêve. Qu'importe, sais-tu pourquoi ? Je t'aimerais même après. - 03/07/23
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