#avant les rues
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Can you believe that Gabriel Agreste nunc a interdum purus??? I can't believe it's been revealed that lorem ipsum dolor sit amet... And about Monarque... isn't it crazy that hac ex causa conlaticia stipe Valerius humatur ille Publicola et subsidiis amicorum mariti? not once but TWICE? I feel so betrayed...
#je rattrape mon retard avant de regarder le spécial paris#je préfère quand ils mettent des mots au hasard comme dans foot 2 rue c'est dix fois plus drôle à lire#miraculous
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Tfw some dude think i'm a stan and think i show up to events (i mean i am in a scope view direction of the events in this context, i live across the building) and no I don't. So he look intimidated on every pictures. But it's cute, I mean, i hope you entertained some. But. Yea.
#ayyy tomey comme faut qu'on sporle po kon srencontre batinsse#comme ya des choses a aborder avant que les gens se pointent#comme swé klair#surtout j'habite au bout d'la rue come the fuck on
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La Mode nationale, no. 33, 11 décembre 1886, Paris. No. 8. — 1. Robe de lainage fantaisie. 2. Costume de cachemire loutre. 3. Toilette de cheviotte. Modèles de la Maison Vidal, 104, rue de Richelieu. Bibliothèque nationale de France
(1) Robe de lainage fantaisie uni. Jupe, plissée à larges panneaux, formés par une bande en velours. Draperie courte sur le devant, retombant en long pouf droit derrière. Pattes de velours sur le côté. Corsage très ajusté, à plastron semblable, boutonné, coupé en carré pour laisser voir une chemisette plissée. Col, revers et parements en velours.
(1) Plain fancy wool dress. Skirt, pleated with wide panels, formed by a velvet band. Short drapery on the front, falling in a long straight pouf at the back. Velvet tabs on the side. Very fitted bodice, with a similar plastron, buttoned, cut in a square to reveal a pleated blouse. Collar, lapels and facings in velvet.
Métrage: 8 mètres lainage grande largeur. 2 mèt. velours.
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(2) Costume de cachemire loutre. Première jupe plissée à plis plats tout autour. Seconde jupe drapée en tablier devant, formant pouf derrière. Corsage long formant gilet boutonné, recouvert par une veste Figaro. Manches très collantes. Tout le corsage, manches et col sont garnis d'une fourrure d'astrakan.
(2) Otter cashmere suit. First pleated skirt with flat pleats all around. Second skirt draped in an apron in front, forming a pouf behind. Long bodice forming a buttoned waistcoat, covered by a Figaro jacket. Very tight sleeves. The entire bodice, sleeves and collar are trimmed with astrakhan fur.
Métrage: 10 mètres cachemire en 1m,05.
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(3) Toilette de cheviotte gris de fer. Première jupe à larges panneaux, alternés avec des petits plis. Seconde jupe drapée, très enlevée sur le côté, formant tablier devant, et pouf court très plissé derrière. Corsage boutonné retenu à la taille par une ceinture de surah, froncée négligement sur le côté. Deux montants, en surah, ornent les côtés du corsage, et rejoignent un empiècement en velours, faisant le haut du corsage. Manches larges en haut, avant-bouts de manches plats, en velours jusqu'au coude.
(3) Iron grey cheviotte dress. First skirt with wide panels, alternating with small pleats. Second draped skirt, very raised on the side, forming an apron in front, and a short, very pleated pouf behind. Buttoned bodice held at the waist by a surah belt, gathered casually on the side. Two surah uprights adorn the sides of the bodice, and join a velvet yoke, making the top of the bodice. Wide sleeves at the top, flat sleeve ends, in velvet up to the elbow.
Métrage: 9 m. cheviotte grande largeur, 1m,25 velours.
#La Mode nationale#19th century#1880s#1886#on this day#December 11#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#bustle#suit#Modèles de chez#Maison Vidal
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Série « Le Plessis-Bouchard… avant ».
Rue Pierre Brossolette. 18 décembre 2010.
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Paris aux approches de Noël à l'époque, il y a longtemps, combien c'était beau. Les porches, les entrées éclairées, les hautes fenêtres avec leur rideaux là-haut, la branche qui dépasse d'un sapin décoré, les moulures aperçues d'un plafond illuminé. Je regardais tout cela enfant depuis en bas, depuis la rue. Et en arrière-plan le soir était la pénombre des parcs avec leurs feuillages balancés au vent derrière les grilles en fer. Émergeant ça et là, les gens, les familles surtout, une chose rare aujourd'hui, les gens étaient en famille. Des pères à l'allure fringante, de jeunes mères avec chacune plusieurs enfants, très rangés, très élégants, très heureux. Un monde comme mon monde, chez mes grands-parents. Le monde comme un prolongement tranquille de mon monde. Le décor des logements bourgeois dans des films comme Les Visiteurs, Opération Corned-Beef, Le père Noël est une ordure, étaient tous semblables au logement principal et secondaire de mes grands-parents, ainsi la vie future serait une tranquille continuité entre la vie privée et la vie publique, et la France remise à l'endroit par ces visites chez ces Anciens aurait forcément raison bientôt de la montée des "voyous" comme on les appelait alors. J'avais une famille. Un havre de paix gratuit quelque part, un refuge avec une place à mon nom, une base. Quand j'ai compris avec le temps que c'était ma seule famille, vu mes origines, alors que tous mes amis en avaient deux, cette base est devenue alors un idéal à reconstruire pour la vie adulte future.
La fête que c'était, Paris, enfant, avant Noël. La foule variée des restaurants, des cafés, tout cela inondé de lumière qui devait ne jamais s'éteindre. Il y avait la vie quelque part, cela existait, il suffisait de le savoir pour s'en retourner rassuré dans sa banlieue éteinte affronter la montée des "voyous", épreuve temporaire qui finirait bientôt, car les méchants finissent au bagne disait Le Bouillon. Paris, les grands magasins. Le Printemps. Les Galeries Lafayette. Le métro avec ses publicités immenses pour La Samaritaine. Le Trocadéro. Les églises. Les gares pleines de voyageurs avec des skis. Et partout où l'on allait dans la ville les sapins ceinturés de girandoles, constellés de lumières dans les entrées d'immeuble, dans les halls de palace, dans les magasins, partout, comme une symphonie unanime dans le pays où chacun joue sa partition privée spontanément, partout. Les avenues bordées d'immeubles en pierre, illuminés du dedans, peuplés de familles françaises qui attendaient Noël comme nous. Les guirlandes électriques dans les rues. Les publicités pour les spectacles, les salles de spectacle avec leurs portes en or qui donnaient 3 représentations par jour d'un Molière ou d'un Feydeau, bondées de foule française heureuse, pendant ces jours qui précédent Noël, pendant la montée progressive vers cette réjouissance, 19 Décembre, puis l'entrée dans les chiffre des vingtaines, le 20, le 21, de mieux en mieux le 22, le 23, puis le 24 et le parachevèment du 25, point final et point d'orgue de l'année. Les libraires, les bistrots, les brasseries avec leurs étalages d'écailler mirifique, les pancartes "arrivage d'escargots", les teinturiers derrière leurs comptoirs assiégés, les écoles encore encore occupées, les salons de coiffure pleins de dames, les marchands de gravure et leur air compassé, les détaillants en spiritueux. Partout la vie. Et chez nous, se retrouver à 20 convives, accomplir les préparatifs, réserver les huîtres, cuisiner des plats, allumer des lumières partout dans un appartement spacieux où chaque pièce devenait habitée, ici pour s'habiller, ici pour emballer en secret des paquets, là pour parler affaires, chacun à sa place. 1995. 1990. 1988, et avant. Larmes fréquentes rien que d'y penser. Cette lugubre, hideuse impression de fin de tout aujourd'hui, dans l'indifférence dépeuplée, cynique, impie, technologique. Tout cela beaucoup trop violent, beaucoup trop méchant quand on est seul, quand on est loin, quand le train qui vous dit "complet" part sans vous et qu'on s'essouffle à le rattraper. Parti au vent le parc Monceau, et le Ranelagh, le manège en bois, la boulangerie, le marchand de caddies à motifs écossais en bas de la rue. Cette ville grise à l'extérieur et si chaude, si lumineuse, si proprette dès que l'on entrait quelque part. Auteuil, l'arrêt "Jasmin" sur la ligne du 9, la légende, la ligne qui mène aux Champs-Elysées et au virage Boulogne, à la bourgeoisie et au combat. Et le musée de la marine, et l'aile Denon au Louvre d'où l'on revenait plein d'histoires à raconter, le théâtre de Chaillot, et Guimet, et les petits cinémas du 16ème qui donnaient Maman j'ai raté l'avion en 1990. Et les vieux appareils électriques oranges, notamment le presse-agrume, le couteau électrique qui fait des fines tranches de rôti, le hachoir à jambon, la yaourtière. Et la noble charité filiale, légère, facile, dégagée, qui nimbait tout cela dans un ordre qui avait toujours été, qui serait toujours, grâce auquel nous n'aurions jamais à nous inquiéter de rien.
Et aujourd'hui... À six heures du matin rugit le hurlement des poids-lourds qui redémarrent au feu rouge (visages effondrés des routiers moldaves à la proue de 20 tonnes de béton sur métal qu'ils ont conduit toute la nuit). Les embouteillages, les rues défoncées, les palais noircis qui s'enfoncent dans la boue du sol détrempé. Plus de jobs. Plus de prolétariat. Plus rien. Recommencer à "gagner sa vie" là-dedans seul, abandonné en rase campagne. Sueurs froides et halètement. Réminiscences de Houellebecq, Soral, de ces lectures de 2000-2010, de phrases comme "la société où vous vivez à pour but de vous détruire", ou "ils ont été emasculé par la violence du système", ou encore "vous étudiants, êtes voués à un monde de mensonge, de saloperie et de violence". Dire que cela nous semblait exagéré à l'époque... Tout est contre nous et personne ne fait rien. Et puis un pays noir. Des rues noires sous un temps noir. Population rare, verdâtre, visages froncés, bouches mal fermées, dents avides. Société excrémentielle. Pluie noire sur les dos voûtés, lavés à l'eau sale, qui rentrent par des cages d'escalier aveugles dans des bâtiments opaques aux vitres fumées d'où ne sort ni lumière ni branche de sapin, ni familles rangées. À côté de cela, les "consultants" badge au cou dans leur voiture payée par la prétendue union, prétendument européenne, et les "double paye sans enfant". Il n'y en a plus que pour les sournois suceurs. Un tel degré de saloperie, une entreprise aussi monstrueuse, devrait se payer par vingt Sinn Fenn par jour, méthodiques, fanatiques de justice en faveur des pauvres.
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suburban gothic;
inspiré par twin peaks, desperate housewives, six feet under, hereditary, welcome to nightvale, euphoria, totally fucked up, american beauty, pretty little liars, murder she wrote, east of eden.
Par où commencer pour présenter ce monde? Pas de contexte déjà rédigé pour le moment, l’idée n’est que latente; si les rues ne se remplissent pas, à quoi bon y bâtir des maisons? Mais l’idée se fait pesante, lourde de ses possibilités.
Pennsylvanie, au pied des Appalaches, la rouille industrielle qui se bat contre la nature sauvage, elle-même lacérée par le tracé méticuleux de l’asphalte. Le long de l’une des ces longues routes, une ville. Une parmi tant d’autres, des milliers comme elle. Plantée sur une grille qui structure l’espace; au centre-ville et à ses bâtiments denses succède l’harmonie de la banlieue résidentielle. L’ordre s’y confond avec la monotonie, le charme se dilue dans l’ennui. L’architecture humaine se révèle creuse, les fissures laissent s’en échapper les échos de complaintes qu’on aurait voulu recouvrir de béton, de gazon ou de peinture fraîche. L’horreur s’excite avec chaque désillusion, secret, péché, danger, crime, frustrations. Le futur est riche en promesses mais demain n’est jamais un autre jour, inéluctable répétition d’hier. On enterre ses rêves sous un lit de bégonias dont on prend soin avec fureur et hystérie, dans l’énergie du désespoir, jusqu’au jour où une bande d’adolescents les piétine pour s'amuser.
La ville est séparée en quartiers; #1 est un petit centre-ville, le lieu des rencontres fortuites, main street, le cœur administratif et commercial du lieu. #2 est un ancien village rattaché à la ville, avec ses rues pittoresques, ses habitants qui n’aiment pas les visiteurs, le calme acheté à prix fort, les fermes reconverties. #3 est l’ancien bassin minier, abandonné, peuplé de mythes et de terreurs, peu à peu remplacé par l’industrie forestière. #4 est la banlieue résidentielle, le théâtre principal de notre jeu de dupes.
L’horreur vient de l’intérieur; du plus vaste, l’intérieur des frontières nationales, au plus intime: le foyer et l’individu. L’extérieur projette: un pays puissant et prospère, des rues propres, un voisinage aimable, des bonnes manières et de jolies choses. Le tout tient du mirage. À l’intérieur, rien ne va, on est à deux doigts de tomber dans le ravin. Les valeurs fières et heureuses sont corrompues; la communauté devient une prison, la religion devient une manipulation, le politique s’achète, la propriété creuse les dettes, le couple se brise.
Tout ne va pas mal; même si le gothique est souvent très sombre, il y existe aussi une place pour d’autres histoires. Edward Scissorhands est LE film du suburban gothic et c’est loin d’être un film d’horreur. Twin Peaks et True Blood mélangent un ton mystérieux avec des moments plus légers. L’excentricité ou la bizarrerie des personnages est d’ailleurs souvent un symptôme des rouages sombres qui font tourner l’histoire. Les tags associés au gothique sur Tumblr mènent à des contenus sinistres, mais chacun.e est libre d’aller un peu plus loin. À titre personnel par exemple, je pense que les Sims 2 est un jeu à l’ambiance gothique (: On fait ce qu’on veut avec le concept de gothique, et ce sera pareil sur le forum si le projet séduit et intéresse. (si besoin, je peux rédiger un texte un peu plus élaboré sur l'american gothic et ses déclinaisons régionales/thématiques)
Les années 2010; LA décennie des différentes gothic aesthetics. L’une des pires crises financières de l’histoire est passée par là et a fait beaucoup de mal au rêve américain. Le traumatisme est bien là, encore aujourd’hui, chez les individus comme dans les sociétés dans lesquelles ils évoluent. Le paysage de certaines régions change durablement; dans le Midwest, dans le sud, dans la Rust Belt. Une nouvelle tâche sur la mystique de l’Amérique. The American Nightmare.
J’ai beaucoup écrit et si vous avez lu jusque là – merci vraiment, et euh, pardon. C’est avant tout une bouteille à la mer, ce post. S’il trouve sa destination, alors on en fera germer les prémices. Il y a de quoi faire je pense. Les remarques, questions, suggestions, toutes bienvenues, j'ai envie de lire un peu après avoir autant écrit.
Contenu additionel; sera posté s'il y a de l'intérêt – le contexte, évidemment – mécanismes de jeu, animations – les postes vacants, leurs dynamiques – la ville, son monde, son histoire – les racines, l'inspiration – aes
un dernier mot: le tumblr n'est pas encore complètement fonctionnel, la plupart des liens est sous construction.
photo: edgar martins, éditée pour suburban gothic.
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Les prépositions
A
À - to (je vais à la plage - I’m going to the beach), at (le chat est à la maison - the cat is at the house), indirect object/complément d’attribution (c’est au chat - it’s the cat's), adverbial phrase of way (une peinture à l’huile - an oil painting), adverbial locution introducer (à l’instant - just now), price indicator (le kilo de pommes est à deux euros), infinitive form introducer (c’est à prendre ou à laisser - take it or leave it), approximation introducer (c’est à dix minutes d’ici - it’s about ten min. away), against (dos à dos), after (pas à pas), until (aimer à la folie)
Après - after (je te rejoins après le travail - I’ll join you after work)
Avant - before (je me suis levée avant toi - I got up before you did)
Avec - with (je vis avec mes deux chats - I live with my two cats)
C
Chez - at X’s > person or brand of a shop (je suis chez mon père - I'm at dad's)
Concernant - regarding, about (concernant ton offre, je la refuse - about your offer, I'm refusing it)
Contre - against (je suis contre ta décision - I stand against your decision, le chat est assis contre le mur - the cat is sitting against the wall)
D
Dans - in (le chat est dans mon sac - the cat is in my bag)
D’après - according to (d’après Victor Hugo, Fantine est blonde)
De - of (au bout de la rue - at the end of the street)
Dedans - inside of it (le chat est dedans - the cat is inside of it)
Dehors - outside (le chat est dehors - the cat is outside)
Depuis - since (j'ai mon chat depuis que j'ai dix ans - I've had my cat since I was 10), from (tout était beau, depuis la décoration jusqu’aux couleurs - everything was lovely, from the decoration to the colours)
Derrière - behind (le chat est derrière toi - the cat is behind you)
Dès - as soon as (je te préviens dès que j’arrive - I’ll let you know as soon as I get there), immediately (si je pouvais, je partirais dès maintenant)
Dessous - under (la clé était dessous le lit - the key was under the bed)
Dessus - on (le chat est assis dessus - the cat is sitting on it),
Devant - in front of (j’attends devant la maison - I’m waiting in front of the house)
Durant - during (il est mort durant la famine - he died during the famine), for (elle a vécu là-bas durant des années - she lived there for years)
E
En - at (je suis nul en Français - I’m bad at French), material indicator (une table en bois - a wooden table), change indicator (il s’est transformé en papillon - it turned into a butterfly), division mood (couper en deux - cut in two pieces), during (en hiver, j’ai toujours un rhume - during the winter season, I always get a cold), gerundive element (elle tomba en criant - she fell, screaming), shape/appearance indicator (un arbre en fleurs - a blossoming tree)
Entre - between/out of (entre tous les garçons, Louis est le plus grand - out of all of the boys, Louis is the tallest)
Envers - towards/to (il est méchant envers elle - he’s mean to her)
Ès - in (licencié-e ès sciences - bachelor of sciences) - rare, uni titles
Excepté(e/s) - except (exceptée Louise, elles sont toutes arrivées)
H
Hormis - except (hormis Pierre, nous avons tous le permis - except from Pierre, we all have a driving license)
Hors - out of (il est hors de lui - he’s beside himself)
J
Jusque/jusqu’à (+ subjunctive) - until (il a miaulé jusqu'à ce que je le nourrisse - he meowed until I fed him)
M
Malgré - despite (il est venu malgré sa grippe - he came despite his flu)
Moyennant - in exchange for (moyennant un changement de ton, tu pourras rester - If you change your tone, you’ll be allowed to stay) - rare
N
Nonobstant - in spite of (”Charles Myriel, nonobstant ce mariage, avait, disait-on, beaucoup fait parler de lui” Les Misérables) - rare/old
O
Ôté - taken of from (6 ôté de 10 égale 4)
Outre - besides (outre mes deux cats, il n'y a personne chez moi - outside of my cats, there's no one at my house)
P
Par - by (la Joconde a été painte par Léonard de Vinci), direction indicator (il est parti par là - he went that way), with (je commence par une entrée - I start with an entree), per (j’en prends trois par jour - I take three per days)
Parmi - amongst (parmi mes chats, c'est le plus petit - he’s my smallest cat)
Passé - after/past (passé 2h, tout est fermé - past 2AM, everything is closed)
Pendant - during (je t’appellerai pendant ma pause - I’ll call you during my break)
Pour - for (je suis là pour toi - I’m here for you), to (je pars pour Paris - I’m heading to Paris), according to (pour moi, c'est une erreur - I think it's a mistake)
Près (de) - near (je suis près de Paris - I’m near Paris)
S
Sans - without (je suis sans voix - I am speechless)
Sauf - except (j’aime tout sauf la pluie - I like everything but rain)
Selon - according to (selon moi, tu as tort - in my opinion, you’re wrong)
Sous - under (le chat est sous la table - the cat is under the table)
Suivant - according to (suivant ce que j’ai entendu, il ne reviendra pas - according to what I’ve heard, he won’t come back)
Sur - on (le chat est sur la table - the cat is on the table), about (c’est un film sur la guerre - it’s a movie about the war), towards (regarde sur ta droite - look on your right), out of (deux fois sur trois il est en retard - two out of three times he's late)
V
Vers - towards (elle avance vers moi - she’s coming towards me), somewhere around (elle habite vers l’église - she lives near the church), about (Elle est rentrée vers minuit - she got home around midnight)
Voici - here is/are (voici mon chat - here’s my cat)
Voilà - there is/are (et voilà les miens - and there are mine), it’s been (voilà deux ans que je ne les avais pas vues - it had been two years since I last saw them)
Vu - given (vu la situation, c’est mieux comme ça - given the circumstances, that’s better that way) - casual
Movie: La Chinoise - Jean-Paul Godard, 1967
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The Deinotherium from Paris Avant les Hommes. Why does it look like a giant mole? Well, turns out this is reasoned out within the text, and since at least one person wanted to know it here it is (any translation errors are mine). @glarnboudin hope this answers all your questions!
...
"Since we are on the chapter of singular animals, I shall let you see another one from the quaternary epoch, whose history is no less strange. It shall serve as an introduction to antediluvian mammals, although it belongs, I believe, to the molasse which, according to Beudant, succeeded the Parisian chalk wherever it is missing. Look, there it is showing up; but it disappeared behind that hillock. Let's see, let us sit beneath this tree and it might come back. In the meantime, let us chat".
"Parbleu, I recognized it perfectly: it is the dinotherium giganteum. I had seen in the Rue Vivienne, its bones shown to the public for a bit of money, for scientists have to be industrious, one way or another, to avoid dying of hunger. Whatever the case, they showed me an enormous fossil head, 1.30 meters long and 1 meter wide, that is to say bigger than the biggest Indian elephants. It had two tusks located, against all analogy of what we know of animals alive or fossil, not in the upper jaw, but in the lower; not in the place of the canines, but in the place of the incisors; not pointing skyward, but lowered towards the ground; not sticking out of the mouth, but emerging from two holes that had to have been in the lower lip. Truly, I said to myself, this is enough to embarrass a wiser man than I, and, after many contradictory thoughts for half an hour, I finally took a side. Well, I said to myself, the die is cast: despite all my misgivings, one must have to make of this dinotherium giganteum a walrus or a seal, like Mr. Buckland said; or an elephant, as presumed Mr. de Blainville; a tapir or a pangolin, as G. Cuvier wrote; or a whale, as some German paleontologists think, and yet these animals have no analogy among them. Let's see, let's decide, I said to myself: this shall be…"
"A mole", said the genie in a small, acerbic, and mocking voice, and accompanied these words with a long peal of laughter that disconcerted me.
"A mole! But good sir, a mole hasn't the least connection, the least resemblance with a tapir, a whale, an elephant; and what would the authors I just cited say of this?"
"Your authors can say what they want; but I shall insist that the carcass that you had seen was that of a mole".
"That's impossible! See, here are the engravings they gave me at the door, judge for yourself".
The devil put his walking stick between his legs, put his glasses on his nose, took my images with his thumb and the other fingers of his left hand; then, running the index finger of his right hand on the figure representing the animal's head, he said:
"And first of all, my dear scholar, you will see that this head is 1 meter 60 centimeters at its greatest length, and 92 centimeters wide; so therefore it could not be less than 1.32 m long and 1 meter wide when it was covered with muscle and skin. But the average size of the head of a mammalian quadruped is at least a quarter of the length of its body. The dinotherium therefore was at least 5 to 6 meters long, which equals the size of the largest elephants. I am being conservative in choosing those dimensions; and I suppose that this carcass found on the banks of the Rhine by Professor Klipstein is not the biggest dinotherium the species provided, which is more than probable, since we have a few other fragments that are proportionally larger, and which suggest that the animal keeping us busy must have been longer than 6 meters".
"And you conclude from there that it should have been a mole?"
"One moment! Notice the enormous cavity destined to receive the bones of the nose".
"Yes, of the trunk".
"Who said anything about a trunk? Where do you see a trunk?"
"Scientists..."
"Why do you want to see a trunk instead of a nose? Take the skeleton of a pig or that of a mole, you will find at the same place enormous muscle impressions. Would you then conclude that the pig or the mole has a trunk? So the dinotherium has a nose, but a long nose, mobile, thick, powerful, good for searching in the earth; in short, a mole's nose. Do you deny that? Is it more unrealistic that an animal has a nose like any other animal's, than to have an anomaly instead?"
"It is true that by coldly calculating probability, one must believe more easily in analogies than anomalies, this seems more logical; but a mole!"
"Notice, my dear, that the orbits or holes of the eyes are extremely small in comparison to those of all known animals, and that they do not close in the posterior part; and, in fact, why would the dinotherium have eyes proportionally larger than those of a mole since, having to live in the darkness of a subterranean home, these organs would have been no more use to it than to the mole. As animals who are forced to push soil in front of them and by digging with their head, the frontal bones are short, but strong and very thick; the face of the occiput, of great dimension, forms with them a 130-140 degree angle, which you only see in whales. The prodigious muscles that move this colossal head gave it crushing strength. The chrysochlore, or Cape golden mole (talpa asiatica, L.) alone can offer you some analogy with the dinotherium in this aspect. You conceive that an animal forced to fray itself an underground passage, three or four meters in diameter, will need that prodigious strength in the neck muscles, strength that can conly compare, as I said, with that of a whale. And despite that it must have often encountered obstacles, stones, tree roots, despite living in the soft and deep soils, and the earth that the rivers, such as the Rhine, and the great flows of water carry and accumulate with the centuries in the basins that they run through and inundate every year. It would have been stopped dead in its tracks if nature had not given it a pickaxe to tear out those obstacles. This pickaxe, there it is: these are the tusks emerging from the lower jaw and directed earthward. They resemble, my word, those forked hoes that vineyard-keepers use in rocky or freshly cleared earth. There, look, they must have had terrifying strength, if we can judge by the deep depressions carved in the temporal bones to lodge the muscles that moved and directed the lower jaw. Besides, these tusks or teeth offered, relative to their shape, and especially in the place that they occupy, an example of a structure unique in all creation”.
“As for its other teeth”, added the demon, pointing his finger at the figure depicting them, “you will see that they are five in number. The first is cutting at its anterior part, the third has three hills, and the other two; from that one must conclude that the animal lived on roots, rhizomes, and tubers that lived underground. But, I ask you, what good would a trunk be for it? It would have certainly been a hindrance, and that is all”.
“I concede that this head is very good for digging in the ground, but that does not prove that the animal lived underground”.
“Let us examine the other fragments”, said the genie. “The scapula is long, narrow, and looks entirely like that of a mole. Observation has proven that all animals who have it in this shape use their forelegs in constant, painstaking motions, requiring great muscular strength. Thus this form of scapula, rare in mammals, is very common in birds, because the latter need great wing strength to remain aloft.
Now on to the second phalange of the front foot. You will notice that the articular facet of this bone is completely different from that of other animals. As an indispensable result of this very superficial articulation, the dinotherion could not walk on the tips of its fingers, and it would have to drag itself on the exterior edges of the hand, like the mole. This last animal is still is still the only one that presents in this phalange an analogy of form with our fossil monster”.
But here is an even more conclusive fragment; it is the first phalange, or inguinal phalange of this same front foot. Look how it is deeply notched in its anterior part. This incision exists in mammals only in three kinds of animals, all three of which dig in the ground and live in burrows; it gives their claws the prodigious strength that they need. The pangolin, the chrysochloris or Cape mole, and the common mole are the only living animals that have the same conformation, and, remarkably in the mole, the character is less pronounced than in the dinotherion.
And so, my dear, what must we conclude of all this? It is that, as naturalists have sworn, the dinotherion has no analogy with any animals other than those I have cited and, having the head of a mole, the scapula of a mole, and the hands of a mole, must, it seems to me, resemble a mole more than a whale. It is true that the great anatomist Cuvier made of it a giant pangolin, but he hadn’t seen the head”.
“I admit, lord demon, that most analogies are in favor of your opinion, and yet, here are teeth that…”
“That look nothing like a mole’s, I agree, because the jaws of the dinotherion lack incisors and canines, but they are no less suited for grinding roots and even mollusks and insects that it could find in its excavations. Besides, my dear, this anomaly, if it is one, has many examples in living animals. For example, if you ever go to New Holland, you will find a large family of marsupial mammals whose species have so many analogies that it is difficult to separate one from the group it forms, and who differ as much as possible by their dental system. Among these heterogeneously-toothed species, the opossum (the only genus not from Australia) represents insectivorous carnivores, like tenrecs and moles; the rat-kangaroo has teeth adapted for a frugivorous diet, like the hedgehog; the giant kangaroo lives on vegetation, lacks the upper canines that characterize the preceding and only has canines that are transverse to its jaws, which bring it closer to our herbivorous pachyderms; finally, the wombat is, like the hare, a veritable rodent by the teeth and by the intestines. And yet no naturalist has tried to separate these marsupials to put them in the great divisions where their teeth would have rigorously classified them. I intend therefore to make of the dinotherion, if it is not a mole, at least a related genus that I would place with the desmans, the moles, the chrysochlores and the tenrecs, all subterranean animals like it. And besides, if you aren’t content, you can place it elsewhere, but in this case you would have to, according to your principles, create not a genus, a family, or even an order, but a separate class that it would occupy by itself, and this necessity would be the bloodiest critique that you could make of the so-called natural method of your scientists”.
Despite the high opinion I had of my irascible demon’s merit, he had so filled my head with pangolins, seals, tapirs, whales, and elephants, that I could not in any way accept his mole, and a small smile of vanity and disapprobation came over my lips. He noticed, and cried out!
“Ah! Ah! Mister Incredulous! Have I not employed to convince you the same analogic arguments that your sagest paleontology professors use every day; but it will take more than reason to convince you, from what I see. Well then, morbleu! I will convince you with your own eyes or I shall lose my devilry”. He pounced upon me and seized me by the arm, which took away my desire to laugh; he threw me behind him astride his crutch, like a witch heading to the Sabbath on a broomstick, and together we flew into the air, we took off like a crossbow bolt. The speed of our voyage dizzied me so, that I cannot positively say how much time we took to make our way, nor where we passed to find ourselves on the borders of the Rhine, but what is certain is that we were traveling faster than on a train or on a steamboat.
When I came to, I was laid out on a bed of moss shaded by a tree at least thirty to thirty-five meters tall. I asked the genie which country we were in.
“We are”, he told me, “in this country that will be named, in a few thousand years, the Rhenish province of the grand duchy of Hesse-Darmstadt. This great lake that you see there in the East will dry out, and on of the most beautiful rivers of Europe, the Rhine, will cross its ancient bed in its entire length. The place where we are now will be the burg of Eppelsheim and further the city of Alzéi. If you remember the first voyages we made during the other periods, you will notice how much the vegetation has changed, and you will recognize the tree under which we are as a walnut tree quite similar to the common walnut tree, but with more angular nuts that end in a sharp point”.
Suddenly a low but horrible roar made me shiver to the very bone. I looked around in fear, but saw nothing. This horrible cry resonated in my ears a second time and I felt the earth shake under my feet. The idea of underground noises that you hear before an earthquake or rather before mountain upheaval, following Élie de Beaumont, or the sinking of a province according to Beudant, brought terror to my heart, and I thought for a moment that I would be lifted up at the top of a new chain of Alps raising from the depths of the Earth, or sinking into the central fire of the globe in a collapse. I got up quickly and started to run as fast as I was able. But I hadn’t made two hundred paces before my demon grabbed me by my arm, sat me down on a fragment of rock, and, with his finger, indicated the place under the tree where I had been where the most extraordinary scene unfolded.
The earth shook convulsively, and its movement was communicated by the shaking foliage of the walnut tree, which shook and balanced in the air as if a whirlwind had gone into its thousand branches. The tree bent over and straightened several times, then finally, it fell over with a crash, and the earth rose in a great cone seven meters high, opening up at the top of this singular molehill.
“Parbleu”, I told the genie, “I could swear you’re showing me the formation of the new Pyrenees in miniature”.
“In miniature!” he answered, “by my word, that’s quite the miniature! There, there it comes out of its hole”.
Indeed, I saw, coming out of the hole that had opened at the top of the cone like a volcanic crater, a monstrous head three times bigger than a barrel, then an even thicker neck; then a massive body, about three meters in diameter, that is to say as big as the biggest elephant; and finally, a strange animal, five to six meters long, with a terrifying appearance, and dragging itself clumsily on four very short, very thick legs. Its whole body was covered in long, silky hairs, green and shifting in hue from copper to bronze, offering, like the Cape chrysochlore, beautiful metallic reflections. Its very large nose, about sixty centimeters long, ended in a sort of mobile snout, bristling all over with sharp and keratinous tubercles, suitable for opening up the inside of the earth. Under this nose was an enormous lower jaw, prolonged anteriorly in a long chin pointing downwards. At the end of this chin, two tusks almost touching at the base, more than two feet long, emerged through the skin of the lip and directed their points perpendicularly earthwards, yet with a light curvature towards the forelegs. I saw that this monster was using them to help it crawl, by stretching its head out, sinking them into the soil, and pulling its body forward. Its eyes were so small that you would not have seen them through the long hairs surrounding them, if they did not gleam with a dark and red fire like two sparks. Its ears were very small and the concha was barely apparent. Its hindlegs were rather short and armed with very strong claws, but its forelegs ended in two enormous hands absolutely similar to those of a mole, and they were used to push the earth to the right or left as it used its nose to dig an underground tunnel.
The formidable animal descended from atop the monticule it had created; with a lot of agility, it crawled a few meters, then made a cry so sharp, so noisy, so extraordinary that I cannot compare it to anything that human ears have ever heard. The demon saw me shudder and reassured me, telling me that it was calling another animal of its species, and it would move away from us if it heard a response. It continued to make a sharp cry from time to time, moving to the edge of a great forest covering the flanks of a hill, and where I saw a few monticules similar to its own. Meanwhile, I observed a few of those animals a bit smaller in size, and I pointed them out to the genie.
“You are not mistaken”, he told me, “for the paleontologists know in fact, under the name dinotherium bavaricum, another species of this kind, but a bit smaller. What is most unusual in the history of these two dinotherions is that the scientist, G. Cuvier, took the bones of the great dinotherion to be those of a giant tapir, equal in size to the greatest Indian elephant”.
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"My Dear Puppet"
FR: Un bon début
(you can use thé internet translation, I simplified my language)
✦ ✦ ✦ ✦ ✦ ✦
Unity laisse échapper un soupire long alors qu'elle est seule dans une petite pièce qui ressemble a une chambre a coucher. Un matelas au sol plutôt propre avec des draps couleur saumon aussi propre. une petite boite en bois qui fait office de table de lit avec une vieille petite lampe de chevet. Étonnant quand on sait où elle se trouve. Dans le repaire de la famille Hamato, les égouts plus précisément.
On lui a préparé spécialement cette petite couche pour qu'elle puisse dormir correctement et cela se voit. C'est plus propre que ce qu'elle avait pu imaginer avant d'y être. La jeune femme fait quelques pas en avant, regarde autour d'elle. Il y a des tags aux murs, mais pas ceux grossiers trouvés dans les rues que les tagueurs utilisés pour marquer leur présence contre un mur, mais des dessins vraiment artistiques. De beaux motifs qui semblent exprimer plus qu'une simple signature. Ça change encore de l'idée qu'elle se faisait d'un mur d'égouts. Puis l'odeur, il n'y en a pas. Pas d'odeur de fosse septique qui remonte a ses narines, pas d'odeur de putréfaction quelconque ou d'eau croupie là depuis des mois. L'air est bon.
- C'est propre.
Surprenant.
Alors qu'elle zone, sa mémoire retrace la journée qu'elle vient de vivre.
Se faire remarquer par le fils au bandeau bleu Hamato était facile, elle avait le panel parfait pour attirer son attention. Une Yokai licorne. Il était donc simple d'amorcer un premier contact. Mais elle n'avait pas pensé qu'il n'allait pas juste aller lui parler mais complètement la kidnapper en lui laissant a peine le temps de dire "bonjour". Et peu importe si elle avait des protestations, la tortue avait déjà décider de la ramener a peine avait-elle posé les yeux sur lui. En y repensant, si elle n'avait pas accepté de rester pour que la famille fasse pardonner le geste de leur frère, on aurait pu croire a une prise d'otage. Mais même si elle était devenue une otage, le but était d'arriver ici, et elle avait réussi. Il faut juste qu'elle retienne ce nom d'emprunt qu'elle s'est donné : "Unity". Étonnant qu'ils n'aient pas réagi à un nom aussi singulier.
Drrrring drrrring!
Dans sa pose, son téléphone sonne. Un petit appareil à clapet violet lavande avec un porte-clé en forme d'atome. Vieux, usé et quelque peu rayé.
-Oui... Oui je suis bien arrivée. Bien sûr.
-Je suis impressionnée de te voir réussir aussi facilement alors que mes autres petits laqués n'avaient même pas pu suivre l'un d'eux.
-Que voulez-vous Madame, je... suis juste meilleure qu'eux. Répond Unity avec un ton sans joie ni même fierté.
-Ah ah ah! Bien sûr! C'est certain maintenant que je te vois en action. je ne regrette plus du tout mon choix. Peut être l'un des plus judicieux depuis longtemps. Je compte beaucoup sur toi à présent~
Malgré les mots doux et mielleux, la Yokai a une petite grimace devant cette fausse confiance que lui donne la personne à l'autre bout du fil.
-Bien sur. Je vous les amènerais sur un plateau d'argent, soyez en sûr. Juste le temps de gagner leur confiance et de les sédater.
-Efficace. Mais, il semblerait que je n'ai pas pu suivre ton signal une fois passée une certaine zone, large. As-tu une explication ?
Unity fait silence, se remémore la journée, les détails. Les quelques objets qu'il l'entouraient sur sa route avant de passer par ce portail bleu.
-Je pense, que le traceur a été brouillé par un boîte noire.
-Oh! Ce doit être le fait de cette jeune tortue violette.
-Donatello Hamato?
-Oui c'est bien lui. Gagne sa confiance et trouve le moyen de désactiver son brouilleur. C'est ta mission première.
Gagner la confiance de quelqu'un. Quelque chose qui la fait déglutir d'anticipation. Est-ce qu'elle va y arriver? Est-ce possible ? Même s'ils ont l'air ouverts dans cette famille et... Généreux, celui au bandeau violet lui semble bien plus fermé. Son rythme cardiaque s'intensifie alors qu'elle réfléchit a comment faire alors qu'elle est toujours au téléphone avec sa commanditaire.
-.... Me suis-je bien faite comprendre ?
-O-Oui Madame.
-D'ici là, je te permet un budget illimité, carte blanche pour que la mission réussi et si tu as besoin de quoi que ce soit. Mais j'attendrai des résultats. Je les veux tous face à moi, y compris Lou jitsu, et complètement a ma merci, annonce froidement la voix de l'interlocutrice à travers le téléphone. Faisant grincer des dents la Yokai licorne.
...
-Je ne le ferai pas, Big Mama.
Unity déglutit, et raccroche une fois la discussion close par sa patronne. Elle fixe son téléphone, puis regarde le matelas et jette d'un geste ample son appareil sur le lit avant de retirer son poncho et de se poser sur le lit a son tour. Un long soupire quitte ses lèvres, une pression disparaît avec, mais une autre persiste. Une grosse tension sur ses épaules, une épée de Damoclès.
Je ne veux pas y retourner, je ne veux pas y retourner. Je dois y arriver. Si ça marche, alors je pourrai enfin...
Soupire. Elle s'affale sur le lit, les bras tendu et regarde le plafond. Le sommeil ne devrait pas tarder à la prendre, pourtant quelque chose la dérange. Le manque de bruit. Elle a l'habitude a d'un brouhaha constant autour d'elle, des gens qui parlent, qui crient, qui se battent. C'est trop calme pour elle.
....
Demain, je commencerai par celui au bandeau orange. Il semble plus simplet que les autres. Je dois en profiter.
C'est demain que tout commence.
"TBC"
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Vi/Caitlyn - Xena/Gabrielle
Je poursuis l’analyse des personnages de la série Arcane, pour ceux et celles qui l’on aimée, et pour ceux et celles qui ne l’on pas vue, j’espère que ça vous donnera envie de la voir.
il est impossible de ne pas parler de Caitlyn et sa relation avec Vi. Caitlyn est un personnage central que j’apprécie particulièrement pour son savoir-être, sa répartie et son courage.
Toutes deux viennent de mondes opposés : l’une est une enfant des rues de Zaun, l’autre une noble de Piltover. Elles se trouvent liées par des défis personnels et une ennemie commune : Jinx.
Jinx représente à la fois le lien profond qui unit Vi/Caitlyn mais aussi le gouffre qui risque de les séparer.
Comme j’ai comparé Vi à Xena, je reste sur cette lancée en comparant VI/Caitlyn - Xena/Gabrielle
Les deux duos partagent une histoire similaire, dans laquelle une figure forte et tourmentée trouve un refuge dans l’autre.
Caitlyn tout comme Gabrielle, sont les piliers émotionnels de Vi et Xena.
Gabrielle est le cœur et la conscience de Xena, Caitlyn est le point d’équilibre pour Vi.
Caitlyn incarne la justice, la droiture et une innocence face au chaos du monde. Contrairement à Vi, elle est patiente et réfléchit avant d’agir. Comme Gabrielle pour Xena, Caitlyn est la boussole morale de Vi, souvent dépassée par ses instincts brutaux et sa colère.
Dans Xena, Gabrielle aide la guerrière à canaliser sa violence et continuer son chemin vers sa rédemption. Caitlyn a une influence similaire avec Vi. Mais là où Gabrielle et Xena partage une relation « platonique, ambiguë », celle de Vi et Caitlyn est construite sur une tension romantique et émotionnelle. Caitlyn devient un espoir dans les ténèbres de Vi.
Contrairement à Gabrielle, Caitlyn est autonome. Elle n’est pas seulement la compagne de Vi, mais une femme avec ses propres forces, ses doutes, ses colères et ses propres luttes. Son besoin de prouver sa valeur dans un monde aristocratique qui la méprise font d’elle une héroïne moderne. Elle n’est pas seulement au service de la rédemption de Vi. Si Gabrielle vit dans l’ombre de Xena, Caitlyn est légale de Vi.
Un élément crucial vient complexifier leur relation. Tout comme Callisto pour Xena/Gabrielle, Jinx incarne une ennemie tragique. Ces deux antagonistes partagent une blessure similaire : elles sont le produit des actions des héroïnes qu’elle combattent. Si Gabrielle est un soutien sans faille pour Xena, Caitlyn, vacille dans la haine, jusqu’à s’y perdre elle-même, jusqu’à aller à l’encontre de ses véritables valeurs, rongée par la soif de vengeance. Là où Gabrielle a toujours été présente pour Xena, Caitlyn rompt cette relation au profit de sa haine.
Caitlyn est un personnage fascinant car elle démontre qu’elle n’est pas sans faille, ni parfaite et qu’elle peut sombrer à tout instant. C’est cette imperfection qui la rend attachante, tiraillée entre ses principes et ses émotions. Elle est une femme capable de porter ses propres batailles
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Journal
Il y a 20 ans, tout commençait entre nous. Nous nous sommes connus sur un site de discussion, comme il y en avait beaucoup au début des années 2000. J'étais en vacances dans le sud et nous avons dialogué jusqu'à mon retour en Normandie. Mon divorce venait tout juste d'être prononcé. Nous nous sommes rencontrés au début du mois d'aout et cela a tout de suite fonctionné entre nous. Mais ce mois ci, il y avait les jeux olympiques et ta passion pour le sport est passé avant ton envie de me voir. Vexée, je t'ai dis que je préférais qu'on en reste là. Le 29 aout, tu m'as envoyé un message pour me souhaiter ma fête et le dialogue a reprit. Tu es venu me voir le 6 septembre et nous ne nous sommes plus jamais quitté. Les premiers mois ont été superbes. Nous sortions beaucoup, tu m'emmenais faire des choses que je n'avais jamais faites comme voir un concert d'artiste que je ne connaissais pas (Mes souliers sont rouges) aller à La nuit du Zapping au Zenith de Caen, ou voir des matchs de Hockey sur glace. Nous aimons les choses simples alors nous faisions des pique niques en bord de mer, avec juste du pain et du camembert. Nous allions aussi dans pas mal de restaurant découvrir la cuisine du monde. Et comme je vivais toujours sous le même toit que mon ex-mari, nous allions dormir à l'hotel régulièrement. Tu prévoyais toujours une surprise. Un soir, je suis arrivée après toi et tu avais pavé le couloir de l'hotel de pétales de roses, jusqu'à la chambre ou je devais te retrouver. Quelques mois plus tard, j'ai emménagé dans ta ville, dans la même rue. Mais comme mes 3 enfants vivaient avec moi et que toi, tu n'avais jamais eu d'enfant, nous avons préféré garder chacun notre appartement au cas où. En 2007, nous avons eu notre fils mais nous avons tout de même conserver nos appartements. La naissance de notre fils a changé beaucoup de chose dans notre couple et 3 ans plus tard, afin d'éviter la rupture, nous avons pris la décision de nous laisser la liberté de vivre d'autres choses. Nous avons vécu ainsi quelques années. En 2020, mes 3 premiers enfants étant partis de la maison et le confinement arrivant, tu es venu t'installer chez moi. Nous avons continuer à faire chambre à part. De toute façon, il y avait déjà quelques années qu'il n'y avait plus de relation sexuelles entre nous. Nous sommes des amis, des parents mais plus des amants et probablement plus des amoureux. Nous aimons la façon de vivre de l'autre, le calme, la tranquillité et l'âge venant, nous avons décidé de nous marier, pour mettre à l'abri celui de nous deux qui restera en vie le plus longtemps. Demain, je porterai ton nom. Même si nous sommes très différents dans nos gouts et nos passions, nous en avons une qui nous lie depuis près de 18 ans, notre fils ! Je sais, parce que tu me l'a prouvé, qu'en cas de coup dur, mes enfants et moi nous pouvons compter sur toi. Désormais, nous avons un petit-fils qui, même s'il est le fils de mon fils t'appelle Papi et se moque bien qu'il n'y ait pas de lien du sang entre vous. Alors oui, il me manque la tendresse, la passion, l'amour, les mots doux, les compliments, les câlins, la sensualité, le sexe, la séduction, les projets, les voyages à deux et tout ce qui se rattache au sentiment amoureux. Mais je sais à quel point les sentiments sont éphémères. On dit "Marriage plus vieux (et non pas pluvieux) mariage heureux" parce que justement, on a souvent fait une croix sur la folie de la passion que recherche encore les plus jeunes. Ce qui est important désormais, c'est la stabilité et la confiance et cela, tu me l'apporte jour après jour depuis 20 ans. Merci d'avoir pris soins de moi et de mes enfants. Merci d'être l'homme que tu es, avec tes qualités et tes défauts. Demain, ce sera OUI, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort nous sépare.
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Johnny Mnemonic, 1995
En 2021, la société est marquée par un Internet virtuel, qui a engendré un effet dégénératif appelé « syndrome d'atténuation nerveuse » ou NAS. Les mégacorporations contrôlent une grande partie du monde, intensifiant l'hostilité de classe déjà suscitée par le NAS.
Johnny est un « coursier mnémotechnique » qui transporte discrètement des données sensibles pour des entreprises dans un dispositif de stockage implanté dans son cerveau, au prix de ses souvenirs d'enfance. Son travail actuel est pour un groupe de scientifiques à Pékin. Johnny rechigne d'abord en apprenant que les données dépassent sa capacité de mémoire, même avec compression, mais il accepte, étant donné que les frais élevés couvriront le coût de l'opération pour retirer le dispositif. Johnny garde secret le fait qu'il est surchargé ; il doit extraire les données dans les prochains jours, sous peine de subir des lésions cérébrales mortelles et de corrompre les données. Les scientifiques cryptent les données avec trois images aléatoires provenant d'un flux télévisé. Alors qu'ils transmettent ces images au récepteur à Newark, dans le New Jersey, ils sont attaqués et tués par des yakuzas dirigés par Shinji, qui manie un fouet laser. Johnny combat les yakuzas, s'empare d'un fragment des images de la clé de cryptage et s'échappe. Shinji rapporte son échec à son supérieur, Takahashi. Leur conversation révèle que les yakuzas travaillent pour le compte de Pharmakom, une mégacorporation. Johnny est témoin de brèves projections d'une intelligence artificielle féminine qui tente de l'aider, mais il la repousse.
À Newark, Johnny rencontre son agent Ralfi, qui le trahit. Johnny est sauvé des yakuzas par Jane, une garde du corps cybernétiquement améliorée, ainsi que par des membres des Lo-Teks, un groupe anti-establishment, et le chef des Lo-Teks, J-Bone. Ralfi est découpé en morceaux lorsqu'il se met en travers du chemin de Shinji. Jane emmène Johnny chez Spider, le médecin qui a installé les implants de Jane. Dans une clinique, Spider révèle que son association caritative médicale était destinée à recevoir les données des scientifiques de Pékin, qui ont mis au point un remède volé contre le NAS. Spider affirme que Pharmakom refuse de divulguer le remède parce qu'elle profite des traitements d'atténuation. La partie des images cryptées que Johnny a prises, ainsi que le morceau que Spider a reçu, ne sont pas suffisantes pour décrypter l'esprit de Johnny. Ainsi, Spider suggère qu'ils aillent voir Jones à la base des Lo-Teks. Soudain, un assassin engagé par Takahashi, connu sous le nom de 'The Street Preacher', les attaque, tuant Spider alors que Johnny et Jane parviennent à s'échapper.
Les deux hommes atteignent la base Lo-Tek et apprennent de J-Bone que Jones est un dauphin autrefois utilisé par la Marine, qui peut les aider à décrypter la charge utile de Johnny. Alors qu'ils commencent la procédure, Shinji et les yakuza attaquent la base. Takahashi apparaît et affronte Johnny, le tenant sous la menace d'une arme, avant que Shinji, dans un retournement de situation inattendu, ne tire sur Takahashi. Johnny et Shinji se battent, culminant avec Johnny tuant Shinji. Avant de mourir, Takahashi change d'avis et remet une partie de la clé de cryptage à Johnny. Cela ne suffit cependant pas à décrypter complètement les données. J-Bone dit à Johnny qu'il devra pirater son propre esprit avec l'aide de Jones. Johnny, Jane, J-Bone et les Lo-Teks vainquent les forces restantes envoyées à leur poursuite. Le prédicateur de rue arrive et, après un combat, est électrocuté à mort par Johnny et Jane.
La deuxième tentative commence et, aidé par l'IA féminine, Johnny décrypte les données tout en récupérant simultanément ses souvenirs d'enfance. L'IA se révèle être une version virtuelle de la mère de Johnny, qui a fondé Pharmakom et a été irritée par les actions de l'entreprise. Alors que J-Bone transmet les informations sur le traitement NAS sur Internet via des diffusions pirates, Johnny et Jane regardent de loin le siège de Pharmakom partir en flammes sous le tollé général. Pour célébrer l'événement, J-Bone se débarrasse du cadavre carbonisé du prédicateur de rue en le jetant dans les eaux de Newark.
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La rue Montmartre en 1900, c'était comme ça avant la discothèque LE PALACE. - source Harry Levy.
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En 2024 :
- j'ai obtenu ma licence 2 de psychologie, avec de plutôt bonnes notes et un classement correct, ça ne m'était jamais arrivé
- je suis allée au total 52 fois au cinéma, bien moins que les années où j'étais seule, dire que je n'ai pas le temps serait mentir mais bon..
- je me suis fait une amie de faculté
- j'ai lu des centaines d'articles scientifiques
- j'ai obtenu le permis alors que je pensais que je ne l'aurai jamais, ça m'a soulagée même si je ne conduis pas parfaitement
- j'ai bossé quasiment tous l'été, ça ne m'a pas fait du bien mais ça m'a remplumée
- je n'ai pas su quitter mon copain et pourtant, à certains moments...il aurait fallu
- j'ai reçu deux fois des fleurs, une de la part de mon copain et une autre de la part d'un mec dans la rue
- j'ai eu un calendrier de l'avent pour la première fois, c'est mon copain qui me l'a offert, il trouvait ça fou que je n'en ai jamais eu
- j'ai trouvé un stage et putain quelle plaie franchement en plus j'ai aussi pris un refus salé
- j'ai donné mon sang pour la première fois, et encore une fois, j'ai pas d'excuse de temps, il faut que je le refasse
- je n'ai pas été trompée à priori, peut-être que ce n'est qu'une question de temps ou d'omission
- j'ai mis enfin un lit dans mon appartement, avant je dormais sur un matelas pas fait pour dormir dessus et wa
- je n'ai quasiment pas pris de Xanax
- je n'ai été pompette que 6 fois dont 2 fois rude mais je bois quasiment plus et c'est pas plus mal
- j'ai conduit à nice et sur l'autoroute alors que ça a toujours été ma hantise et ça le restera
- je ne suis pas allée consulter un psy
- j'ai mangé à presque tous les repas quand j'étais seule alors que j'ai passé des années à sauter des repas justement et mal m'alimenter
- j'ai mangé varié, toujours la même compo certes, rien de recherché mais c'est équilibré
- j'ai fait beaucoup moins de yoga, ça reste un gros regret en réalité j'espère m'y remettre cette année
- j'ai fait 2 sports à la fac, et j'ai tenu le coup, la salle et le badminton, il a fallu que ce soit une obligation pour que je m'y tienne mais c'est pas grave
- j'ai réussi à un peu mettre de l'argent de côté
- je suis partie en vacances avec mon mec, on a fait plein de trucs cools dont des sorties natures et des canyoning de l'extrême
- je ne me suis pas baignée en novembre et décembre, ça me rend triste, je le fais toujours sauf l'année dernière également
- j'ai pas vu la neige mais ça veut aussi dire que j'ai pas skié et c'est bien
- j'ai souvent pleuré (3 fois en moyenne/mois), j'ai énormément chialé cette année pour tellement de raisons, certains plus valables que d'autres je le reconnais
- je n'ai eu que 3 mycoses (victoire un peu), alors qu'en 2023 j'en ai eu une par semaine presque c'était l'horreur
- j'ai pas arrêté la clope ni le RedBull, ma foi, faut bien des vices dans cette vie fade
- j'ai beaucoup bien fait l'amour, je suis toujours très satisfaite de ma vie sexuelle qui est épanouissante et orgasmique
- j'ai cassé mon téléphone pour la première fois de ma vie, je m'en suis beaucoup voulu car j'ai galéré et perdu plein de trucs et les photos de mon nouveau tel sont nulles
- j'ai égaré mes clefs pour la première fois de ma vie, je les ai retrouvées mais du coup j'ai dû être hébergée le temps de
- je suis allée voir des spectacles à l'opéra mais pas de l'opéra à l'opéra
- je me suis fait des faux ongles jolis, je recommencerai je pense
- j'ai continué à gratter ma peau et l'abîmer, ça j'arriverai jamais à arrêter je crois, je la déteste tellement
- je ne me suis pas mutilée, ça date de quelques années déjà mais comme je lutte quasi quotidiennement autant le rajouter
- j'ai réussi à faire des cadeaux à mes parents, pas que j'ai aucune race de base juste j'avais un peu d'argent quoi
- j'ai beaucoup menti, c'est un peu ma marque de fabrique et ça me donne le sentiment d'avoir le contrôle alors qu'en fait, je suis juste malhonnête
- j'ai pas pensé à mon ex, comme depuis quelques années, toujours autant étonnée de voir à quel point la place qui prenait dans mon cœur n'est plus juste une plaie béante mais une plaie cicatrisée
- j'ai beaucoup dit oui alors que je voulais dire non mais pas l'inverse, pour beaucoup de choses, pas le sexe par contre, ça fait plaisir
- j'ai raté des aurores boréales vers nice, plus d'une fois, alors que c'est mon rêve d'en voir
- j'ai pas repris la photographie ni l'astrophotographie pourtant je veux me remettre à l'argentique
- j'ai ressenti moins d'angoisse pendant les périodes d'examens, peut-être parce que ce qu'on me demande est plus dans mes cordes
- j'ai voté plein de fois mais j'ai pas compris à quoi ça avait servi
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Série « Franconville… avant ».
L'angle de la rue de la Station et de la rue Maurice Dalesme, depuis le quai de la gare. 12 décembre 2021.
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Se sentir désiré par des inconnus, c'est comme marcher dans une rue illuminée par des regards furtifs, des éclats d'attention qui frôlent la peau sans jamais s'y poser. C'est un souffle d'invisible qui caresse l'égo, un frisson de reconnaissance anonyme. L'éphémère de ces désirs, leur fragilité, les rendent précieux, comme des murmures dans une langue étrangère qu'on comprend pourtant. Ce n'est pas tant l'autre qu'on cherche dans ces moments, mais l'écho de soi-même, l'idée fugace d'être vu, d'être remarqué, même dans le tumulte des foules qui s'effacent. Un instant, on existe pleinement, magnétique, avant que tout ne s'évanouisse dans l'ordinaire.
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