#anachronismes
Explore tagged Tumblr posts
francepittoresque · 4 months ago
Photo
Tumblr media
ANECDOTE | Anachronismes amusants commis par des écrivains célèbres ➽ https://bit.ly/Anachronismes-Litterature Il est quelques amusantes inadvertances, suggestives ou simplement exhilarantes, commises par des écrivains célèbres : tous y ont passé, même les écrivains les plus connus et les plus réputés pour leur savoir, Victor Hugo, par exemple
2 notes · View notes
marcogiovenale · 1 year ago
Text
[r] _ ma no, ma no, ma ni, non è morta, la poesia, su
Man Ray, Paris, mai, 1924 coraggio, editorialisti e notillatori, in rete e fuori, non prendete per forza alla lettera la grigiorosea parola postpoesia: non v’impauri, campioni. la poesia non defunse, anzi della sua viridescente vis voi siete – è fama – i promoter più scafati e, mi si consenta, fichi. è stagione, tuttavia, che dai vostri castelli vitivinicolmente muniti oscilliate il benigno capo…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
somecrimsondream · 1 year ago
Text
Tumblr media Tumblr media
Dead by daylight but it's a Nes game.
21 notes · View notes
corneille-moisie · 1 year ago
Text
bref c'est correct (sans plus) comme film si vous arrivez à passer outre les expressions passées date pis l'accent half-assed de valérie lemercier i guess
mon highlight est que victoria sio est vraiment top notch pour la voix chantée, pour vrai !!!
fait que j'suis en train d'écouter Aline (lol) pis j'avais peur que leur accent soit vraiment horrible, mais finalement c'est pas si pire.... jusqu'à temps qui s'mettent à dire vatican. Ça d'l'air qu'on dit "vâtican" ici lmao (we don't)
6 notes · View notes
ousontlesfemmes · 1 year ago
Text
Rosalie Lamorlière (1768-1848)
Ou celle dont on se souvient majoritairement parce qu’elle est un personnage de Lady Oscar.
Tumblr media Tumblr media
Riyoko Ikeda, l’autrice de Lady Oscar (Versailles no Bara au Japon), a fait un travail de dingue pour la réalisation de son manga et les préfaces et postfaces des mangas expliquent certains anachronismes que l’on pardonne aisément (Oscar portant un uniforme plutôt napoléonien, par exemple, parce qu’elle a eu la documentation trop tard). Cependant, elle a aussi pris de grandes libertés artistiques pour certains personnages historiques, ce qui est le cas de Rosalie : elle s’est inspirée de son destin initial, être la dernière servante de Marie-Antoinette, pour lui faire une saga épique, tragique aussi, et remplaçant avec un autre personnage les époux Desmoulins (Camille et Lucille), tous les deux guillotinés en 1794.
La vraie Rosalie Lamorlière est très différente de celle d’Ikeda et c’est d’elle dont j’ai envie de vous parler aujourd’hui.
Rosalie Lamorlière, de son nom complet Marie-Rosalie Lamorlière, est née le 19 mars 1768 à Breteuil, dans l’Oise. Son père est cordonnier. Elle est issue d’une fratrie de sept enfants et elle a le malheur de perdre sa mère à l’âge de douze ans.
Et si l’Histoire retient la modeste Rosalie qui est, à l’époque, Madame tout le monde, c’est parce qu’elle est la toute dernière servante de Marie-Antoinette.
Après les massacres qui ont eu lieu début septembre 1792 et qui ont vu des horreurs innommables, notamment la mort inique de la pauvre Princesse de Lamballe qui mériterait son propre article, Rosalie est engagée par le couple Richard qui est responsable de la Conciergerie, laquelle est une prison pour les personnes qui doivent être jugées avant d’être guillotinées.
Le 02 août 1793, un peu moins d’un mois après que son fils, Louis-Charles (1785-1795), lui ait été arraché pour être élevé en révolutionnaire, Marie-Antoinette (1755-1793), dite la Veuve Capet depuis le décès de Louis XVI (1754-1793), doit dire au revoir à sa belle-sœur Elisabeth (1764-1794) ainsi qu’à sa fille Marie-Thérèse Charlotte (1778-1851). On l’emmène en effet à la Conciergerie dans l’attente de son procès. Rosalie est affectée à son service et doit faire en sorte de « la tenir ». En effet, la reine déchue est très malade : elle a des pertes de sang utérines importantes. Aujourd’hui, on pense qu’elle aurait pu souffrir d’un cancer de l’utérus, d’un fibrome ou, dans une mesure moins dramatique, aurait subi une ménopause précoce causée par les traumatismes qu’elle a vécus, un peu à l’instar de Joséphine de Beauharnais, future Impératrice des Français.
Rosalie sera l’un des anges de Marie-Antoinette durant les soixante-seize jours la séparant de son exécution, essayant d’adoucir sa captivité par des petites attentions.
Elle rapportera également dans ses mémoires la vie de l’ancienne souveraine durant son enfermement, montrant l’extrême dénuement dans lequel elle était mais aussi la sympathie qu’elle a pu attirer :
« Sa coiffure, depuis son entrée à la Conciergerie, était des plus simples. Elle partageait ses cheveux sur le front, après y avoir mis un peu de poudre embaumée. Madame Harel, avec un bout de ruban blanc, les nouait avec force, et puis donnait les deux barbes de ce ruban à Madame, qui, les croisant elle-même, et les fixa sur le haut de sa tête, donnait à sa chevelure blonde la forme d’un chignon mouvant.
Le 2 août, pendant la nuit, quand la reine arriva du Temple, je remarquai qu’on n’avait amené avec elle aucune espèce de hardes, ni de vêtements. Le lendemain, et tous les jours suivants, cette malheureuse princesse demandait du linge, et Madame Richard, craignant de se compromettre, n’osait lui en prêter, ni lui en fournir. Enfin, le municipal Michonis, qui, dans le cœur, était honnête homme, se transporta au Temple, et le dixième jour, on apporta du donjon, un paquet, que la reine ouvrit promptement. C’étaient de belles chemises de batiste, des mouchoirs de poche, des fichus, des bas de soie ou de filoselle noirs, un déshabillé blanc pour le matin, quelques bonnets de nuit, et plusieurs bouts de ruban blanc, de largeurs inégales.
Le matin, en se levant, elle chaussait de petites pantoufles rabattues, et tous les deux jours, je brossais se jolis souliers noirs de prunelle, dont le talon, d’environ deux pouces, était à la Saint-Huberty. Madame Richard me permit de prêter ma petite glace à la reine. Je ne l’offris qu’en rougissant. Ce miroir, acheté sur les quais, ne m’avait coûté que 25 sous d’assignats ! Je crois le voir encore : sa bordure était rouge, et des manières de Chinois étaient peints sur les deux côtés. La reine agréa ce miroir comme une chose d’importance, et Sa Majesté s’en est servie jusqu’au dernier jour. »
C’est elle aussi qui nous rapporte les derniers instants de Marie-Antoinette avant de partir vers l’échafaud le 16 octobre 1793.
«En entrant dans le cachot, où brûlaient deux lumières, j’aperçus un officier de gendarmerie assis dans l’angle de gauche et, m’étant approchée de Madame, je la vis tout habillée de noir, étendue sur son lit.
Le visage tourné vers la fenêtre, elle appuyait sa tête sur sa main. Madame, lui dis-je en tremblant, vous n’avez rien pris hier au soir, et presque rien dans la journée. Que désirez-vous prendre ce matin  ? La reine versait des larmes en abondance. Elle me répondit : Ma fille, je n’ai plus besoin de rien, tout est fini pour moi. Je pris la liberté d’ajouter : Madame, j’ai conservé sur mes fourneaux un bouillon et un vermicelle ; vous avez besoin de vous soutenir, permettez-moi de vous apporter quelque chose. 
Les pleurs de la reine redoublèrent, et elle me dit : Rosalie, apportez-moi un bouillon. J’allai le chercher ; elle se mit sur son séant et ne put en avaler que quelques cuillerées ; j’atteste devant Dieu que son corps n’a pas reçu d’autre nourriture, et j’eus lieu de me convaincre qu’elle perdait tout son sang. 
Un peu avant le jour déclaré, un ecclésiastique autorisé par le gouvernement se présenta chez la reine et lui offrit de l’entendre en confession. Sa Majesté, apprenant de lui-même qu’il était un des curés de Paris en exercice, comprit qu’il avait prêté serment, et elle refusa son ministère. On parla de cette circonstance dans la maison. 
Lorsque le jour fut venu, c’est-à-dire à peu près vers les 8 heures du matin, je retournai chez Madame pour l’aider à s’habiller, ainsi qu’elle me l’avait indiqué lorsqu’elle prit le peu de bouillon sur son lit. Sa Majesté passa dans la petite ruelle que je laissais ordinairement entre son lit de sangle et la muraille. Elle déploya elle-même une chemise qu’on avait apportée, probablement en mon absence, et, m’ayant fait signe de me tenir devant son lit pour ôter la vue de son corps au gendarme, elle se baissa dans la ruelle et abattit sa robe afin de changer de linge pour la dernière fois. L’officier de gendarmerie s’approcha de nous à l’instant et, se tenant auprès du traversin, regarda changer la princesse. Sa Majesté aussitôt remit son fichu sur ses épaules et, avec une grande douceur, elle dit à ce jeune homme : Au nom de l’honnêteté, Monsieur, permettez que je change de linge sans témoin.
– Je ne saurais y consentir, répondit brusquement le gendarme : mes ordres portent que je dois avoir l’œil sur tous vos mouvements. 
La reine soupira, passa sa dernière chemise avec toutes les précautions et toute la modestie possibles, prit pour vêtement non pas sa longue robe de deuil qu’elle avait encore devant ses juges, mais le déshabillé blanc qui lui servait ordinairement de robe du matin et, déployant son grand fichu de mousseline, elle le croisa sous le menton. 
Le trouble que me causait la brutalité du gendarme ne me permit point de remarquer si la princesse avait encore le médaillon de Monsieur le dauphin, mais il fut aisé de voir qu’elle roulait soigneusement sa pauvre chemise ensanglantée. Elle la renferma dans une de ses manches comme dans un fourreau, puis elle serra ce linge dans un espace qu’elle aperçut entre l’ancienne toile à papier et la muraille. 
La veille, sachant qu’elle allait paraître devant le public et devant les juges, elle donna par bienséance un peu d’élévation à ses cheveux. Elle ajouta aussi à son bonnet de linon, bordé d’une petite garniture plissée, les deux barbes volantes qu’elle conservait dans le carton ; et sous ces barbes de deuil elle avait ajusté proprement un crêpe noir, qui lui faisait une jolie coiffure de veuve. 
Pour aller à la mort, elle ne garda que le simple bonnet de linon, sans barbes ni marques de deuil ; mais, n’ayant qu’une seule chaussure, elle conserva ses bas noirs et ses souliers de prunelle, qu’elle n’avait point déformés ni gâtés depuis soixante-seize jours qu’elle était avec nous.
Je la quittai sans oser lui faire des adieux, ni une seule révérence de peur de la compromettre et de l’affliger. Je m’en allai pleurer dans mon cabinet, et prier Dieu pour elle. »
Marie-Antoinette meurt guillotinée le 16 octobre 1793 à 12h15, place de la Révolution, l’actuelle place de la Concorde.
Rosalie redevient plus ou moins une anonyme.
En 1801, elle met au monde sa fille, Marie-Rosalie (1801-1895) dont le père, auquel elle n’est pas mariée, est inconnu.
En 1824, en remerciement de sa bonté pour sa mère, Marie-Thérèse Charlotte, alors duchesse d’Angoulême, lui verse une pension.
Tumblr media
Rosalie meurt le 02 février 1848, à quelques semaines de ses 80 ans.
Elle repose au cimetière du Père Lachaise et sa fille a fait graver cette épitaphe en hommage à sa chère maman :
Tumblr media
La véritable Rosalie est bien loin de celle dépeinte par Ikeda mais à dire vrai, elle m’est tout aussi attachante.
J’espère que vous l’aurez appréciée autant que moi !
Si toi aussi tu veux en lire plus sur Rosalie, tu peux aller regarder ces sources :
La dernière prison de Marie-Antoinette par Rosalie Lamorlière
Rosalie Lamorlière, dernière servante de Marie-Antoinette, de Ludovic Miserole
Paul Belaiche-Daninos, Les 76 jours de Marie-Antoinette à la conciergerie: La conjuration de l’oeillet
Paul Belaiche-Daninos, Les 76 jours de Marie-Antoinette à la conciergerie: Un procès en infamie
image à la une : Marie-Antoinette le matin de son exécution, Tony Robert-Fleury, 1906 (détail)
3 notes · View notes
yeong--hwa · 1 year ago
Text
La beauté du geste - Sho Miyake
Symphonie visuelle
Et si, dans l'harmonique syllogisme cinématographique, l'abstraction fusionnait avec l'émotion ? Dans un tel monde, le vétuste embrasserait la fraîche brise, et les fantasmagoriques esprits imaginaires flirteraient avec le réel.
C'est un monde comme celui-ci que Shō Miyake tente de tisser dans La beauté du geste, à travers l'existence taciturne de Keiko, jeune pugiliste des silences. Valse entre l'archaïque et le moderne, entre la rudesse et l'existence citadine, le film se veut avant tout être un échappatoire. Échappatoire des idées reçues ; échappatoire de la dureté du monde. Miyake tisse sa rédemption à travers le combat fragile de la jeune Keiko, énigme incarnée, paradoxale fusion de douceur et de rigueur, capturée sous l'égide d'une caméra qui discerne sobrement quand caresser l'intime ou effleurer le lointain.
Là où d'autres se noieraient dans les tumultes du quotidien, elle trouve sa catharsis dans l'arène d'un gymnase à l'âme usée mais indomptée. Sa présence, illuminée par un format d'image 1.85 méticuleusement orchestré, lui octroie le plein-pouvoir. Elle murmure plus que mille dialogues.
Tumblr media
Dans cet hymne à l'expression non-verbale, Miyake infuse chaque goutte de sueur, chaque coup porté, d'une résonance qui transcende les frontières du visible. Keiko ne parle pas, elle agit, son silence s'élevant en une mélodie aux timbres profonds. La pellicule, elle-même un anachronisme, souligne le tout avec un grain qui caresse chaque texture, chaque imperfection, laissant à notre seul regard toute la liberté de constater la beauté du geste.
La partition finale de Keiko, qui atteint son apogée en plein air dans le crépuscule urbain, est une ode à la libération et à la réconciliation intérieure. L'espoir se métamorphose, en un twist narratif presque sibyllin, en une réalisation tangible, érigeant ce film en pièce maîtresse, à la fois témoin du geste si cher à Marcel Mauss, et étude sur la résilience et la conquête de l'espace personnel dans un monde souvent suffocant.
Le film bouscule et interroge, oscille entre le lyrique et le prosaïque. Miyake n'a pas peur de plonger dans les abysses de l'âme humaine, mêlant réalité et fiction en une toile complexe mais authentique. Il offre un commentaire tacite mais puissant sur la condition féminine, notamment au Japon, incarnée par une Keiko aux prises avec des préjugés sociétaux et des limites personnelles. En calquant les gestes de Keiko au bitume ténébreux d'immeubles désaffectés, La beauté du geste se prête ainsi aux traits de poème cinématographique, comme une toile en mouvement où chaque coup est un trait de pinceau, chaque regard une couleur, chaque silence une texture.
En ce sens, l'on pourrait affirmer sans l'ombre d'un doute que c'est là toute la quintessence de ce que peut et doit être le cinéma : une fenêtre écarquillée sur des univers inondés, tant introspectifs qu'extérieurs, où chaque image égrène les silences de l'inexploré, où chaque séquence dévoile les couleurs de l'inconnu. Une ouverture vers des mondes inexplorés.
5 notes · View notes
gpsastral · 2 years ago
Text
Astrologie - Anachronisme et Psychologie
La joconde et l’astrologie ww.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/une-histoire-de/heurs-et-malheurs-de-l-anachronisme-6019768 En faisant de la peinture, j’aime écouter des propos sur la peinture ; je plonge alors dans un circuit pictural entre ouïe et vision. Je ne pousse pas l’expérience à goûter mes solvants, du thé fait aussi bien l’affaire ! J’ai été particulièrement troublée lors de…
Tumblr media
View On WordPress
8 notes · View notes
leseigneurdufeu · 2 years ago
Text
petite analyse de La Folie des Grandeurs au fur et à mesure :
Dans Ruy Blas, Salluste est exilé pour avoir refusé de reconnaître un enfant qu'il a fait à une servante de la reine. Dans La Folie des Grandeurs, il n'a pas fait cet enfant mais est prêt à le reconnaître ("je reconnais mes torts, mes enfants, ceux des autres, les vôtres si vous voulez") et est exilé de toute façon.
Yves Montand. Ce film est à tout jamais entaché par le fait que ma très vieille prof d'allemand nous a dit un jour en cours que c'était le sexyman français des filles de sa génération en allemagne de l'ouest.
Tout est marrant quand on y met Louis de Funès. J'aime bien les anachronismes aussi, tel que "paf paf paf ! plein d'accidents de chasse, et me voilà roi !" "oui sans compter que comme ça on évite la guerre de succession d'Espagne !"
dans Ruy Blas, César refuse de se mêler de l'histoire car le plan repose sur le fait d'entacher l'honneur d'une dame innocente. Dans La Folie des Grandeurs il refuse de s'en mêler parce que c'est un plan foireux.
Venantino Venantini ! Après des années à regarder le film en me demandant lequel des grands d'Espagne il était, je l'ai enfin repéré ! C'est un des conspirateurs du début, pas un de ceux du milieu, ce qui explique que je ne l'ai pas repéré plus tôt. C'est aussi un tueur à gage dans Les Tontons Flingueurs pour ceux qui se demandent pourquoi je le cherchais.
Blaze qui se plaint que le type qui le présente à la cour est en disgrâce, comme s'il avait la moindre chance d'être présenté à la cour sans Salluste.
La musique de Polnareff.
Je sais c'est pas vraiment une analyse.
6 notes · View notes
havaforever · 2 years ago
Photo
Tumblr media
MON CRIME -  Vingt ans après 8 Femmes, François Ozon renoue avec ce genre qui avait fait son succès, à savoir une comédie au style très théâtral porté par de nombreux interprètes. Son casting très riche (Huppert, Luchini, Boon, Dussollier) s’appuie essentiellment sur les épaules d’un duo de jeunes actrices encore peu connues, mais pleines de talent et donc d’avenir : Rebecca Marder et Nadia Tereszkiewicz.
Elles s’avèrent drôlement espiègles et s’adaptent parfaitement au rythme atypique du récit concocté par le réalisateur. On est pourtant surpris au début par le phrasé théâtral adopté par les actrices, n’ayant plus l’habitude de voir ce genre de dialogues au cinéma ces dernières années. Très vite, on s’adapte et on apprécie. 
En seconds rôles, Fabrice Luchini et Isabelle Huppert sont particulièrement convaincants. Surtout cette dernière qui excelle dans un rôle totalement excentrique, qui prouve que son talent s’adapte si bien à la comédie, et surtout au cinéma de Ozon. 
il y a de nombreux passages du film, qui font penser à un Woody Allen, en forme, que ce soit les dialogues, les costumes du Paris d'Avant guerre, la musique, les cadrages ou autre plans américains
La thématique féministe est traitée avec un anachronisme surprenant mais avec une jolie ironie. Au final, le long-métrage s’avère très agréable à suivre avec son beau casting, son scénario malicieux et son style inimitable !
NOTE 15/20 -  On aurait aimé un feu d’artifice final plus éclatant, mais l’impression de fable scintillante demeure.  
Sans être militant, le film saisit avec finesse l’ère du temps, en l’affublant des dessous froufroutants de la France des années 1930. L’exercice de cinéma est bien tourné, maîtrisé, aussi léger que grave. Avec cette petite touche de roublardise qui emporte l’adhésion des spectateurs.
2 notes · View notes
actu-juridique · 3 months ago
Text
Le droit constitutionnel des Anciens
https://justifiable.fr/?p=2430 https://justifiable.fr/?p=2430 #Anciens #constitutionnel #des #droit Présentation Dans un article publié voici une dizaine d’années, intitulé « Le piège du droit constitutionnel », Denis Baranger invitait les constitutionnalistes à prendre en considération la profondeur historique de leur objet d’étude, non sans souligner toutefois les limites d’une telle démarche : « En faisant sortir les raisonnements constitutionnels du territoire couvert par le constitutionnalisme moderne, nous prenons en permanence, et le plus souvent sans nous en rendre compte, le risque d’une projection rétrospective de nos concepts et de leur environnement historique et culturel, autrement dit le risque d’un anachronisme ». Il conviendrait dès lors de ne pas rechercher du droit constitutionnel chez des Anciens dont la vision du monde et donc la conception du pouvoir et du droit, s’avèreraient en quelque sorte trop étrangères à la nôtre. Mieux vaudrait, face à une telle altérité culturelle, s’interdire de porter un regard de constitutionnaliste sur les périodes antique et médiévale, en prenant acte du caractère méthodologiquement hasardeux de la démarche. Les frontières ainsi tracées de l’histoire constitutionnelle ne sont à vrai dire guère interrogées en doctrine. A lire de nos jours la plupart des travaux sous cet angle, il semble en effet que la conception moderne du droit constitutionnel s’impose à la manière d’une évidence. Celui-ci désigne, selon les grandes lignes de la définition usitée, un ensemble de règles dont l’objet est d’organiser et surtout de limiter le pouvoir de l’Etat, entendu comme une forme spécifique et historiquement marquée de pouvoir politique, en vue de réaliser la finalité morale propre au constitutionnalisme libéral initié par le Second traité de John Locke, à savoir la protection des droits et libertés individuels. Certains auteurs, bien sûr, se refusent à réduire le droit constitutionnel au droit de l’Etat libéral. Ainsi les « globalistes » abandonnent-ils volontiers la composante étatique, voire la composante politique elle-même, pour se hisser à la hauteur d’une certaine actualité mondiale, quand les comparatistes sont pour leur part susceptibles de se défaire de la composante libérale, dès lors qu’ils souhaitent se pencher sur les multiples régimes contemporains situés hors du giron démocratique. Mais aucun risque, dans les deux cas, de tomber dans le piège décelé par Denis Baranger : regarder après ou à côté du droit de l’Etat libéral ne signifie pas, en effet, regarder avant. Telle est pourtant la perspective du présent colloque, qui se propose de tester l’hypothèse selon laquelle l’étude d’un droit constitutionnel spécifiquement « ancien » s’avère non seulement sensée, mais également stimulante et féconde pour les constitutionnalistes. A ce titre, il ne semble pas absurde de reléguer au second plan l’enjeu épistémologique, de façon à faire primer l’objet analysé sur la grille d’analyse. Certes, eu égard à son caractère particulièrement piégeux, le champ de recherche envisagé est de toute évidence parsemé d’embûches méthodologiques, et l’on se réjouira à cet égard de la participation d’historiens du droit. Mais si l’objectif est d’affiner notre compréhension des manières gréco-romaine et moyenâgeuse de faire et de penser en matière d’organisation et de légitimation du pouvoir politique, alors mieux vaut s’atteler à observer la chose et ne pas s’arrêter à la question de savoir si une telle observation est conceptuellement réalisable ou crédible. En d’autres termes, pour rebondir sur l’intitulé d’un colloque organisé naguère à la Faculté de droit Cergy-Pontoise, et qui s’appuyait lui-même sur le titre d’un célèbre ouvrage de Paul Veyne, le propos général du présent colloque ne consiste pas à se demander « Comment écrit-on l’histoire constitutionnelle ? ». Il consiste bien plutôt à contribuer à l’écriture d’une histoire constitutionnelle antique (I) et médiévale (II).     Programme 9h00 | Accueil des participants 9h30 | Mot d’accueilCarlos-Miguel Herrera, directeur du Centre de Philosophie Juridique et Politique 9h35 | Allocution d’ouverturePierre-Marie Raynal, Maître de conférences à l’Université Cergy Paris   Introduction 9h45 | N’aurions-nous jamais été Anciens ? Le droit constitutionnel : histoire, historicité, anachronisme.Frédéric F. Martin, Professeur à l’Université Paris-Est Créteil     I – Un droit constitutionnel antique Sous la présidence de Carlos-Miguel Herrera, Professeur à l’Université Cergy Paris   10h10 | Antigone anarchiste ?Jérôme Couillerot, Professeur à l’Université Jean Moulin Lyon 3 10h30 | Discussion / Pause 11h20 | Le droit constitutionnel des cyniquesPierre-Marie Raynal, Maître de conférences à l’Université Cergy Paris 11h40 | Montesquieu et le gouvernement impérial romainTristan Pouthier, Professeur à l’Université Cergy Paris 12h00 | Discussion / Pause déjeuner   II – Un droit constitutionnel médiéval Sous la présidence de Renaud Baumert, Professeur à l’Université Cergy Paris   14h00 | Constitutionnalisme et privilèges dans l’Ancien DroitThibault Desmoulins, Maître de conférences à l’Université Clermont Auvergne 14h20 | Le rôle des légistes dans le passage de l’usage à la coutume « constitutionnelle » au XIIIe siècleValérie Menes-Redorat, Maître de conférences à l’Université Cergy Paris 14h40 | Discussion / Pause 15h30 | La fonction gouvernementale avant le pouvoir exécutif : les linéaments constitutionnels de la police à l’époque médiévaleMaxence Chambon, Professeur à l’Université d’Artois 15h50 | A Brief Enquiry into the Ancient Constitution and Government of England (1695) : le constitutionnalisme sans sa constitution ?Céline Roynier, Professeur à l’Université Cergy Paris 16h10 | Discussion / pause   Conclusion 17h00 | Propos conclusifDenis Baranger, Professeur à l’Université Paris II Panthéon-Assas Colloque organisé par Pierre-Marie Raynal, avec le soutien du Centre de Philosophie Juridique et Politique. Source link JUSTIFIABLE s’enrichit avec une nouvelle catégorie dédiée à l’Histoire du droit, alimentée par le flux RSS de univ-droit.fr. Cette section propose des articles approfondis et régulièrement mis à jour sur l’évolution des systèmes juridiques, les grandes doctrines, et les événements marquants qui ont façonné le droit contemporain. Ce nouvel espace est pensé pour les professionnels, les étudiants, et les passionnés d’histoire juridique, en quête de ressources fiables et structurées pour mieux comprendre les fondements et l’évolution des normes juridiques. Plongez dès maintenant dans cette catégorie pour explorer le passé et enrichir vos connaissances juridiques.
0 notes
humbertovidalphoto · 3 months ago
Video
Anachronisme / Fashion BTS from Guillaume Reynaudo on Vimeo.
Video I directed for Normal Magazine during the shooting of Laurent Hini.
Photos & AD: @laurenthini Video & editing: Guillaume Reynaudo Équipe Normal Magazine: Guillaume Rogez, Philippe Guédon et Sisi Senuchki Stylisme : @etiennejeanson Models: @_ineslp_ @willo_marchais @adeline_lopiccolo @alina_nebula @tom_migne @anxthony_p MUA: @marie_milian @laetitia_majer Hair: @karmen_sefer Assistantes photo : @louengelphotos @gloria_travels Special thanks to: @leturkphotographies
1 note · View note
ronnydeschepper · 5 months ago
Text
45 jaar geleden: Boudewijn De Groot in Dilbeek
In het najaar van 1979 heb ik Boudewijn De Groot geïnterviewd in het Cultureel Centrum van Dilbeek. Ik wilde ik het daarbij vooral hebben over zijn werk van tien jaar eerder. En dat zinde Boudewijn niet. In de titel van het interview “ik voel mezelf zeker geen anachronisme” vind je die weerzin nog terug. Toch heb ik ook een positieve herinnering aan het gesprek en wel om deze reden: Boudewijn was…
0 notes
christophe76460 · 1 year ago
Text
Tumblr media
À PROPOS DE LA FÊTE DE NOËL ET DES TRADITIONS
#_À_propos_de_la_fête_de_Noël_et_des_traditions #Serge_Rossi #Exhortations
Première partie de l’article (1/2)
LA NAISSANCE DE JÉSUS
QUELLE EST LA DATE DE NAISSANCE DE JÉSUS ?
Dans le monde, des millions de personnes croient que Noël célèbre la naissance de Jésus Christ. Mais les chrétiens du premier siècle, ceux qui ont côtoyé Jésus, fêtaient-ils Noël ? Célébraient-ils la naissance de Jésus ?
Savons-nous ce que les Écritures disent à propos des anniversaires de naissance ? Nous trouvons les réponses à ces questions dans le Nouveau Testament qui nous apprend à faire la distinction entre les traditions religieuses inventées par les hommes et l’enseignement de Jésus-Christ.
Les Écritures ne parlent pas des anniversaires de naissance à célébrer en l’honneur de Jésus ou des fidèles serviteurs de Dieu.
Elles ne mentionnent que deux personnages qui ont fêté leur anniversaire. Mais ces derniers n’adoraient pas Dieu, mais célébraient seulement leur propre anniversaire qui était caractérisé en même temps par la mort de quelqu’un, notamment la mort du chef des panetiers à l’anniversaire du Pharaon au temps de Joseph et la mort de Jean le baptiste à l’époque du roi Hérode Antipas.
« Le troisième jour, jour de la naissance de Pharaon, il fit un festin à tous ses serviteurs, et il éleva la tête du chef des échansons et la tête du chef des panetiers, au milieu de ses serviteurs, il rétablit le chef des échansons dans sa charge d’échanson pour qu’il mît la coupe dans la main de Pharaon, mais il fit pendre le chef des panetiers, selon l’explication que Joseph leur avait donnée. » Genèse 40.20-22
« Cependant, un jour propice arriva, lorsque Hérode, à l’anniversaire de sa naissance, donna un festin à ses grands, aux chefs militaires et aux principaux de la Galilée. » Marc 6:21
Selon l’Encyclopædia Britannica, les premiers chrétiens étaient opposés à : ʺLa coutume païenne de la célébration des anniversaires de naissanceʺ.
Les Écritures ne disent pas exactement quand Jésus est né. L’encyclopédie biblique de McClintock et Strong déclare que : ʺRien dans le Nouveau Testament, ni d’ailleurs dans aucun autre ouvrage, ne permet de fixer avec certitude le jour de la naissance du Christʺ.
Il ne fait aucun doute que si Jésus voulait que ses disciples fêtent son anniversaire, il aurait fait en sorte qu’ils connaissent sa date de naissance.
Selon la New Catholic Encyclopedia, la célébration de Noël apparaît pour la première fois :
ʺDans le Chronographe de Philocale, un almanach romain datant de 336 de notre èreʺ.
C’était bien après la fin de la rédaction des livres du Nouveau Testament et des siècles après la venue de Jésus sur terre. C’est pourquoi McClintock et Strong font remarquer que la célébration de Noël n’a pas été prescrite par Dieu et ne tire pas son origine du Nouveau Testament.
Le début de l’ère chrétienne a été fixé à la naissance de Jésus, c’est à dire que l’année ʺ1ʺ du calendrier chrétien correspond à la naissance supposée du Christ : On l’appelle ʺL’Anno Dominiʺ, (L’année du Seigneur).
Or les historiens actuels situent en fait sa naissance quelques années avant notre ère. Il serait né quelques années avant J.-C.
Les Évangiles de Matthieu et Luc situent la naissance de Jésus sous le règne d’Hérode le Grand, qui s’achève en l’an ʺ4ʺ avant notre ère. De ce fait, selon les travaux d’historiens récents, Jésus Christ serait né entre ʺ7 et 5ʺ avant J.-C.
Cela parait paradoxal que Jésus soit né avant Jésus Christ, mais cet anachronisme est dû au fait que sa naissance a été déterminée par le moine Denys le Petit au VI siècle, en se basant sur des travaux précédents, dont leurs exactitudes sont discutables.
Le calendrier chrétien a été fixé avec cette date pour point de départ. Pourtant, l’année de naissance de Jésus n’est pas précisément connue.
Aujourd'hui, les historiens pensent que le moine a fait une erreur, et que Jésus a dû naître 7 ans avant ce fameux an ʺ1ʺ ʺAnno Dominiʺ.
Il en est de même pour la date du 25 décembre. Il n’y a aucune exactitude que Jésus soit né ce jour-là. Cette date a été choisie par des chrétiens du IVe siècle.
Notons qu’avant même l’ère chrétienne, de nombreuses fêtes populaires étaient célébrées au mois de décembre, au moment du solstice d'hiver, comme pour conjurer le froid et la nuit, et la mort de la nature. À Rome, du 17 au 24 décembre, on fêtait ainsi les Saturnales, en l'honneur de Saturne, le dieu des semailles et de la fertilité.
En Orient, le culte de Mithra, divinité de la lumière, voulait que l'on sacrifiât, le 25 décembre, un jeune taureau, pour célébrer la naissance du dieu solaire. Et l'on trouve des traces de fêtes similaires chez les Teutons, les Celtes et les scandinaves, dans les pays nordiques.
Dans les Évangiles, Il y a deux évènements concernant sa naissance qui en amènent beaucoup à penser qu’il ne serait pas né un 25 décembre.
LA NAISSANCE DE JÉSUS A-T-ELLE EUT LIEU EN HIVER ?
LE RECENSEMENT
Peu avant la naissance de Jésus, César Auguste a émis un décret ordonnant ʺque toute la terre habitée se fasse enregistrerʺ. Tout le monde devait se faire recenser ʺdans sa propre villeʺ, ce qui pouvait représenter un trajet d’une semaine, voire plus. (Luc 2:1-3)
Ce fut le cas pour Joseph et Marie qui allèrent de Nazareth à Bethlehem, (environ 150 km). Quel était le but de ce recensement ? Comme tous les empires, de lever des impôts et de recruter des hommes pour faire des prélèvements et pour l’armée.
Il est évident que ces mesures s’avéraient impopulaires quel que soit le moment de l’année. Mais, l’empereur Auguste a-t-il ajouté au mécontentement de ses sujets et des peuples conquis en les forçant à faire un long voyage dans un froid hivernal pour un recensement ?
LES BERGERS
Ils vivaient en plein air et [...], la nuit, passaient les veilles à surveiller leurs troupeaux. Luc 2:8.
Le livre : ʺLa vie quotidienne en Palestine au temps de Jésusʺ indique que, de ʺla semaine avant la Pâqueʺ, (fin mars) à ʺla mi-novembreʺ, les troupeaux étaient dehors.
Il ajoute : ʺIls passaient l’hiver dans des bergeries, et ce détail peut faire penser que la date traditionnelle de Noël en hiver a peu de chances d’être exacte, puisque l’Évangile nous dit que les bergers étaient aux champsʺ.
POURQUOI FÊTE-T-ON LA NAISSANCE DE JÉSUS LE 25 DECEMBRE ?
Puisque rien ne prouve que Jésus soit né un 25 décembre, pourquoi fête-t-on Noël à cette date ? On lit dans Les fêtes chrétiennes en Occident que ce jour a été choisi ʺpour concurrencer ou christianiser la vieille fête romaine du soleil invaincu, célébrée au cœur de l’hiverʺ, lors du solstice.
Un autre ouvrage explique que l’on ʺchercha à donner une fête qui reprenne des éléments païens pour les christianiser et attirer plus facilement les foulesʺ vers le christianisme, (Petit lexique des fêtes religieuses et laïques).
Le jour du solstice d'hiver, c'est aussi le moment où le soleil renaît ... Et les hommes ont toujours voulu célébrer ce temps. Peut-être pour mieux espérer le retour du printemps, de la lumière et de la vie.
Il s’agissait surtout de fixer un symbole pour débuter l’ère chrétienne, l’inexactitude était à l’époque moins préoccupante qu’aujourd’hui. Ainsi, le jour de naissance du Christ, fixé au 25 décembre durant le IVe siècle, est également symbolique, afin de coïncider avec le ʺSol Invictusʺ, une fête romaine.
Quand on parle de fêtes dites ʺchrétiennesʺ, il ne faut pas oublier qu’elles sont issues de la tradition Catholique et Orthodoxe.
Nous pouvons trouver dans l'almanach romain appelé le ʺchronographeʺ de 354 ou le calendrier ʺphilocalianʺ.
Cet ancien almanach a noté qu'une fête commémore la naissance du Christ qui été observée par l'église de Rome en l'an 336.
Ainsi le Chronographe du troisième siècle défini le 25 décembre comme le jour le plus probable de la naissance du Christ.
Dans les temps anciens, les celtes ont divisé l'année en quatre sections marquées par des "quart de jours", - Les jours des deux solstices et deux équinoxes.
Le Solstice d'hiver, le jour le plus court et le plus sombre de l’année, il signe un temps de célébration, car le soleil commence à réapparaître et la terre connaît une renaissance.
Alors que le catholicisme romain commença à se répandre au 4ème siècle après J.-C. la fête de Noël fut fixée le 25 décembre par le Pape Jules I pour s'aligner sur les célébrations païennes romaines qui célèbrent "La naissance du soleil invincibleʺ.
Après la mort des apôtres, cette tradition est devenue populaire et elle a marqué la conscience de beaucoup de peuples.
Le Nouveau Testament ne mentionne jamais l’observation d’une fête, que ce soit celle de Noël pour la naissance de Jésus, ou celle de Pâques pour célébrer sa mort et sa résurrection.
Les chrétiens connaissent les limitent de la tradition ainsi que son éloignement de la Parole de Dieu.
En réalité, si Dieu voulait que les chrétiens observent chaque année des jours de fêtes comme Noël ou Pâques, nous trouverions dans le Nouveau Testament des ordonnances pour le déroulement de ces fêtes, à l’exemple de la Pâque ou de la Pentecôte qui se trouvent dans la loi de Moïse et qui étaient célébrées par le peuple d’Israël.
Mais alors, certains peuvent dire : ʺEst-ce un mal si nous observons la fête de Noël ou de Pâques ? ʺ Non, car il est écrit dans l’épître aux Romains : « Tel fait une distinction entre les jours ; tel autre les estime tous égaux. Que chacun ait en son esprit une pleine conviction. » Romains 14.5
À PROPOS DE L’ÉTOILE SUIVIE PAR LES MAGES D’ORIENT
Il est difficile également de donner avec précision le nom de l'étoile qui a guidé les mages. En effet, Matthieu n'est pas un historien, et n’a probablement pas été témoin de l’apparition de l’étoile ni de la naissance de Jésus.
Donc, il a été inspiré par le Saint-Esprit qui lui a révélé les évènements de la naissance de Jésus, non pas comme un récit historique, mais comme l’accomplissement des prophéties annoncées au sein du peuple d’Israël.
Il prête à cette naissance des détails qui sont communs à la vie des grands hommes de l'antiquité. Par exemple, l'étoile est un accessoire bien connu dans l'histoire des héros de l'humanité.
Dans son Histoire naturelle, Pline l’ancien pense que chaque personne a son étoile qui brille depuis sa naissance jusqu'à sa mort.
Cependant la croyance que la naissance et la mort des grands personnages étaient marquées des signes célestes était largement répandue.
La naissance de Mithridate et celle d'Alexandre Sévère étaient parmi celles qu'accompagnait l'apparition d'une nouvelle étoile au firmament.
L'historien Suétone rapporte combien Néron fut alarmé lorsqu'une comète apparut durant plusieurs nuits, parce qu'il voyait là un présage de la mort d'une personne importante. Pour plus de certitude, le superstitieux Néron a fait mettre à mort quelques notables de l'empire.
Toutefois, on peut soutenir avec Kepler, le grand astronome allemand du XVIIe siècle, qu'il s'agit d'une des douzaines d'étoiles qui apparaissent chaque année.
Quand elles sont visibles, ces nouvelles étoiles sont parfois plus brillantes que la lune. Il n'y a pas de témoignage ancien pour ce phénomène entre les 14 à 4 avant l'ère chrétienne, c'est-à-dire la décennie où Jésus serait né.
La comète dite de Halley est une autre candidate pour l'étoile des mages. Les comètes sont des corps astraux qui se déplacent autour du soleil dans une trajectoire de forme elliptique. Près de la terre d'où elle s'approche tous les 77 ans, la comète de Halley brille. Il est possible qu'elle soit apparue en l'an 12 ou 11 avant l'ère chrétienne.
Enfin, une autre possibilité, la conjonction de deux planètes, Jupiter et Saturne se produit tous les vingt ans. L'événement d'un rapprochement avec Mars, une troisième planète, arrive tous les 805 ans et il s'est justement produit en l'an 7 ou 6 avant l'ère chrétienne. Des textes anciens démontrent que le phénomène n'a pas échappé à l'astronomie antique.
Mais ce sont que des hypothèses axées sur des connaissances humaines de l’astronomie. Ce qui montre les limites de l’homme, quand il n’y a pas de témoins oculaires qui rapportent les faits.
Nous conviendrons bien sûr que ce n’est pas le but des Écritures de donner des dates précises des évènements concernant la naissance de Jésus. Sinon, elles indiqueraient la date exacte de la naissance de Jésus.
Toutefois, nous pouvons faire un rapprochement entre l’étoile de la naissance de Jésus et celle de la prophétie de Balaam.
Ce prophète voyait un signe en Israël, un événement astral annonçant la venue d’un roi.
Cet astre issu de Jacob, vu par le prophète Balaam annonçait probablement la venue du roi David. « Je le vois, mais non maintenant, je le contemple, mais non de près, un astre sort de Jacob, un sceptre s’élève d’Israël, il perce les flancs de Moab, et il abat tous les enfants de Seth. Il se rend maître d’Édom, il se rend maître de Séir, ses ennemis, Israël manifeste sa force. » Nombres 24.17
Prochainement deuxième partie de l’article à propos de la fête de Noël
Serge Rossi
Prédicateur et Évangéliste
Docteur en écritures
Groupe privé : LES PAROLES DE VÉRITÉ
MERCI DE PARTAGER
Note : Cliquez toujours sur le dièse (#) du titre AFIN D'AVOIR UN MEILLEUR VISIONNEMENT DU TEXTE, de rejoindre les différentes parties, l’option de commenter, d'imprimer, de partager les Études Bibliques sur Messenger, votre portail, groupes Facebook ou autre plates-formes, à la gloire de Dieu : #_À_propos_de_la_fête_de_Noël_et_des_traditions
Groupe public : Chantez à Dieu de tout votre coeur : Index d'études bibliques
0 notes
beauty-and-passion · 1 year ago
Text
Chapter six of Monsters of the Unconscious is here!
Anxiety in charge means things will go great from now on, right? Nothing big will come soon.
On how a Side starts to develop more roles.
_______________________________
TAGLIST:
@royalprinceroman @reesiereads @mudpuddlenl @allmycrushesaredead @aquatedia @whatishappeningrightnow  @effortiswhatmatters  @atlasistryingherbest @bella-in-a-bag  @doydoune @forever-third-wheeling @mishanthropist​ @payte​ @mcang3l  @geekyapollokid @hypnossanders​  @idontreallyknow24​  @imcrushedbyarainbowoffical​ @patton-cake​  @hereissananxiousmess​  @purplebronzeandblue​  @cynicalandsarcastic​  @empressserelene​  @dubstepbranch  @lost-in-thought-20​ @andtheyreonfire​ 
@riseofthewerewolf​ @frog-candy-bee @bosspotato01  @rosesandlove44​ @sololad​  @chewy-rubies @groaaaaan  @croftergamer​ @thedevilseyes​  @arya-skywalker​  @csi-baker-street-babes​ @queen-of-all-things-snuggly
@virgildarknessdementiaravenway​ @mishanthropist​  @dracayd-universe​  @unknown-artworks​   @lonelyfangirl453​  @starlightnyx​ @stubbornness-and-spite​ @averykedavra  @iloveeverytjing123 @bookedforevermore @joyrose-fandomer @anachronismes @mihaela-tbg @igonnatalknothing
@thatoneloudowl  @grayson-22  @softangryfuckingdepressed @theotherella  @boopypastaissalty @nevenastark @varthandiveturinn @floofyconfusednerd @nothing-worth-mentioning @mikalya12 @roses-bubbles @cuter-on-the-inside  @coldbookworm  @snixxxsmythe @alexowlndra  @fadingbagelbananapatrol  @our-bloody-mari666  @riverraysong @sanity-whosshe-neverheardofher  @charmingcritter  @analogical-mess @emphasis-on-the-oopsie @selfdestructivecat @yangwalkerao3
3 notes · View notes
latribune · 1 year ago
Link
0 notes
barbe-noire-2 · 20 hours ago
Text
Hello rpgistes!
Déjà, je tiens chaudement à remercier celleux qui ont commenté ici. Et toi, bien sûr, qui a enduré mes lamentations ailleurs et qui conseillé avec justesse. Tu te reconnais. un gros, gros, gros merci à @koala-ronchon et à @crown-of-serpents pour leurs conseils élaborés et travaillés. Vous m'avez beaucoup fait réfléchir.
Et toi, of course, voir paragraphe plus haut.
Après moults réflexions, le forum sera (16+). Pour des questions de pubs surtout et parce que je me suis rendu compte que je réfléchissais au (+18) surtout pour avoir bonne conscience pour moi. Ce qui est un peu hypocrite. On ne peut pas surveiller l'âge des joueu.ses et rien n'emp^che de prétendre 18 ans pour contrer les interdits. Vaut juste mieux être transparents. Les sujets (+18) et les sujets violents seront obligatoirement en hide, de toute façon. Et les TW seront obligatoires.
On m'a chaudement recommandé le forum Concrete Jungle pour son Ethos, je vais m'en inspirer, si c'est ok. Je sais, j'ai la tête dure et je suis têtu comme pas possible mais je garde le contexte de mes eighties d'amour, même si ca ne semble pas populaire. (Si on est quatre joueu.ses, so be it.). Parce que moi, ça me parle et que le faire aujourd'hui me semblait générique et plus people-pleasing que ce que moi, j'avais envie de faire. Je ferai une annexe et un post-scriptum pour bien montrer qu'on va être chill sur les anachronismes et bien expliquer le contexte.
Merci vraiment à Crown-of-Serperts. Je vais retravailler les textes déjà publiés pour y ajouter l'écriture inclusive et les PL propres du forum seront travaillés pour y mettre en valeur les personnes rascisées. on propre personnage ne sera pas blanc.
Merci encore tout le monde!
Questions diverses.
Encore un pavé avec des questions toutes sincères!!!
J'ai envie que mon projet fonctionne. J'ai envie qu'on s'y sente bien. Du coup, j'ai quelques questions sans doute maladroites et novices mais sincères.
Les années 80
Plusieurs personnes m'ont dit être mal à l'aise avec les années 80. Étant un vieux croûton (born in the eighties, baby!) , je peine un peu à comprendre pourquoi. J'avais envie d'un contexte un peu différent de ce qu'on voit tout en restant sur une base moderne. C'est clair qu'il y a une petite différence technologique (Je trouve ca rafraîchissant de revenir à un contexte où on se parle davantage de vive voix que par message texte. Et tsé, le téléphone, il existait.) C'est sûr que niveau idéologique, on est loin de notre époque. On est aussi dans un contexte social assez chaud. Est-ca qui met mal à l'aise? Même si j'ai envie d'une ambiance à la Polar Noir et à l'horreur, je veux qu'on se sente à l'aise de jouer n'importe quel type de personnage sans souffrir de propos violents ou haineux. Le but est de s'amuser, pas de reproduire les conneries d'une autre époque à la lettre. Comment puis-je mettre les rpgistes à l'aise, à ce niveau? Quelles mesures puis-je prendre pour mettre mes joueurs dans une position confortable?
Je ne crois pas aux forums qui se disent "SAFE PLACE". Parce qu'on est tous différents, avec des vécus, des sensibilités et des perspectives différentes. Surtout parce qu'on a toujours des choses à apprendre et à ré-évaluer. Mais je pense qu'on peut faire un effort, même avec les contextes plus difficiles. Quelles suggestions avez-vous pour moi?
La diversité et l'inclusion
J'ai envie d'un forum avec des personnages diversifiés. Des personnages provenant de partout dans le monde, de tous genres, de tous âges. On se souvient de ce qui est arrivé cet automne. Je me souviens, moi, de ces vieux forums disparus basé à New Orleans, il y a 5-6 ans où il n'y avait aucun perso afro-américain, que des persos blancs alors que New Orleans, quoi. J'ai un peu de difficulté à m'imaginer une ville de calibre respectable avec peu ou pas de personnages racisés avec une majorité vraiment écrasante de blancs. Surtout des villes de 400 000 hab. et plus. Ou sans perso LGBTQ+ (oui, avec toutes les lettres et pas juste le G) Comment encourager la diversité et l'inclusion, sur son forum? Qu'est-ce que je peux faire, en tant que staff? J'ai besoin de vos suggestions!
16 ans et plus ou 18 ans et plus?
On jouera dans un contexte horreur et légèrement policier/autoritaire en bruit de fond. Dans un contexte sombre. Autant j'ai déjà eu 16 ans (oui, oui, je le jure!), que j'avais lu tous les romans d'Anne Rice parus à cet âge-là et que les ados ont le droit aussi d'écrire, autant je suis inconfortable de rp avec des personnes mineures pour de multiples raisons. (Je suis trans, ok. Mais je suis un homme d'un certain âge quoi et en tant qu'adulte et que staff, j'ai une responsabilité.)
Le but n'est pas de faire un contexte érotique. Loin, loin, loin, loin de là. Juste un contexte où des choses difficiles et de l'horreur sont présentées. Des sujets d'adultes. Mais j'ai l'impression que les fos 18 et + sont étiquetés tels quels. PRD restreint énormément la publicité des forums 18+. Pas le droit de mettre de liens, etc. Certains serveurs de pubs Discord aussi. Comment les forums 18+ s'y prennent-ils pour croître et prospérer?
Car j'en vois de plus en plus. La communauté rpgique vieillit et on a de plus en plus besoin de se retrouver entre adultes. Bref, 16+ ou 18+?
Merci de votre écoute et de vos conseils!
22 notes · View notes