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#anachronismes
marcogiovenale · 7 months
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[r] _ ma no, ma no, ma ni, non è morta, la poesia, su
Man Ray, Paris, mai, 1924 coraggio, editorialisti e notillatori, in rete e fuori, non prendete per forza alla lettera la grigiorosea parola postpoesia: non v’impauri, campioni. la poesia non defunse, anzi della sua viridescente vis voi siete – è fama – i promoter più scafati e, mi si consenta, fichi. è stagione, tuttavia, che dai vostri castelli vitivinicolmente muniti oscilliate il benigno capo…
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somecrimsondream · 10 months
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Dead by daylight but it's a Nes game.
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philoursmars · 2 years
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Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 55000 photos (nouveau compte approximatif. On se rapproche du présent !). 2015....
Marseille, en été. A la Vieille Charité, une expo eut lieu : “Futurs”
- Laurent Grasso -  “Studies into the Past”
- František Kupka - "L'Acier boit n°2″
- Franz Radziwill - “L'Accident mortel de Karl Buchstätters”
- Stanley Cursiter - "Rain on Princess Street”
-  Bernard Boutet de Monvel - "New York”
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asoiaf-forum-rpg · 3 months
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CHAOS IS A LADDER
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⚔ Forum en préparation ⚔
Retrouvez les actualités juste ici
Les faceclaims et personnages sont désormais OUVERTS à la réservation !
rappel : les faceclaims du projet seront tous.te.s HUMAIN.E.S et nous n'autoriserons pas les avatars générés par intelligence artificielle. Les personnages devront tous. être représentés par des acteur.trice.s et/ou des cosplayeur.euse.s. Iels doivent également être âgé.e.s de 21 ans et plus (et ce, même si iels ont joué dans l'une des deux séries télévisées de l'Univers HotD ou GoT). Nous n'autoriserons pas les influenceur.euse.s, pour les mannequins nous ne sommes pas vraiment favorable sauf si iel présentent des ressources de type "neutre" ou avec une "vibe médiévale", dans le cas contraire nous nous autorisons le droit de refuser pour éviter tout anachronisme au niveau du forum.
n'hésitez pas à checker la liste de fc et/ou films et séries pour vous donner un peu d'inspiration : ici (vous pouvez la demander en mp si vous n'êtes ni sur le discord ni sur le forum PRD)
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FC Réservés
Anya Chalotra
Carolina Porqueddu
Charlie Hunnam
Daisy Ridley
David Oakes
Elle Fanning
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Emma D'Arcy
Fabien Frankel
Hannah Dodd
Henry Cavill
Holliday Grainger
Jordan Renzo
Kieran Burton
Kit Harington
Mahesh Jadu
Millie Brady
Nassim Lyes
Phia Saban
Rosie Huntington-Whiteley
Salma Hayek
Sherouk Farid
Sybilla Deen
Tom Glynn-Carney
Travis Fimmel
Personnages Réservés :
Aalyra Dalt
Aelora Targaryen
Aerion Targaryen
Benjen Stark
Daella Targaryen
Daenerys Targaryen
Daenora Targaryen
Bennifer Duncan Nerbosc
Dyanna Dayne
Irene Solverre
Jocelyn Penrose
Maekar Targaryen
Mariah Martell
Nymeria Martell
Roger Reyne
Shaïra Astre des Mers
Trystan Dayne
Tywald Lannister
Valarr Targaryen
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yeong--hwa · 11 months
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La beauté du geste - Sho Miyake
Symphonie visuelle
Et si, dans l'harmonique syllogisme cinématographique, l'abstraction fusionnait avec l'émotion ? Dans un tel monde, le vétuste embrasserait la fraîche brise, et les fantasmagoriques esprits imaginaires flirteraient avec le réel.
C'est un monde comme celui-ci que Shō Miyake tente de tisser dans La beauté du geste, à travers l'existence taciturne de Keiko, jeune pugiliste des silences. Valse entre l'archaïque et le moderne, entre la rudesse et l'existence citadine, le film se veut avant tout être un échappatoire. Échappatoire des idées reçues ; échappatoire de la dureté du monde. Miyake tisse sa rédemption à travers le combat fragile de la jeune Keiko, énigme incarnée, paradoxale fusion de douceur et de rigueur, capturée sous l'égide d'une caméra qui discerne sobrement quand caresser l'intime ou effleurer le lointain.
Là où d'autres se noieraient dans les tumultes du quotidien, elle trouve sa catharsis dans l'arène d'un gymnase à l'âme usée mais indomptée. Sa présence, illuminée par un format d'image 1.85 méticuleusement orchestré, lui octroie le plein-pouvoir. Elle murmure plus que mille dialogues.
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Dans cet hymne à l'expression non-verbale, Miyake infuse chaque goutte de sueur, chaque coup porté, d'une résonance qui transcende les frontières du visible. Keiko ne parle pas, elle agit, son silence s'élevant en une mélodie aux timbres profonds. La pellicule, elle-même un anachronisme, souligne le tout avec un grain qui caresse chaque texture, chaque imperfection, laissant à notre seul regard toute la liberté de constater la beauté du geste.
La partition finale de Keiko, qui atteint son apogée en plein air dans le crépuscule urbain, est une ode à la libération et à la réconciliation intérieure. L'espoir se métamorphose, en un twist narratif presque sibyllin, en une réalisation tangible, érigeant ce film en pièce maîtresse, à la fois témoin du geste si cher à Marcel Mauss, et étude sur la résilience et la conquête de l'espace personnel dans un monde souvent suffocant.
Le film bouscule et interroge, oscille entre le lyrique et le prosaïque. Miyake n'a pas peur de plonger dans les abysses de l'âme humaine, mêlant réalité et fiction en une toile complexe mais authentique. Il offre un commentaire tacite mais puissant sur la condition féminine, notamment au Japon, incarnée par une Keiko aux prises avec des préjugés sociétaux et des limites personnelles. En calquant les gestes de Keiko au bitume ténébreux d'immeubles désaffectés, La beauté du geste se prête ainsi aux traits de poème cinématographique, comme une toile en mouvement où chaque coup est un trait de pinceau, chaque regard une couleur, chaque silence une texture.
En ce sens, l'on pourrait affirmer sans l'ombre d'un doute que c'est là toute la quintessence de ce que peut et doit être le cinéma : une fenêtre écarquillée sur des univers inondés, tant introspectifs qu'extérieurs, où chaque image égrène les silences de l'inexploré, où chaque séquence dévoile les couleurs de l'inconnu. Une ouverture vers des mondes inexplorés.
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gpsastral · 2 years
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Astrologie - Anachronisme et Psychologie
La joconde et l’astrologie ww.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/une-histoire-de/heurs-et-malheurs-de-l-anachronisme-6019768 En faisant de la peinture, j’aime écouter des propos sur la peinture ; je plonge alors dans un circuit pictural entre ouïe et vision. Je ne pousse pas l’expérience à goûter mes solvants, du thé fait aussi bien l’affaire ! J’ai été particulièrement troublée lors de…
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leseigneurdufeu · 1 year
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petite analyse de La Folie des Grandeurs au fur et à mesure :
Dans Ruy Blas, Salluste est exilé pour avoir refusé de reconnaître un enfant qu'il a fait à une servante de la reine. Dans La Folie des Grandeurs, il n'a pas fait cet enfant mais est prêt à le reconnaître ("je reconnais mes torts, mes enfants, ceux des autres, les vôtres si vous voulez") et est exilé de toute façon.
Yves Montand. Ce film est à tout jamais entaché par le fait que ma très vieille prof d'allemand nous a dit un jour en cours que c'était le sexyman français des filles de sa génération en allemagne de l'ouest.
Tout est marrant quand on y met Louis de Funès. J'aime bien les anachronismes aussi, tel que "paf paf paf ! plein d'accidents de chasse, et me voilà roi !" "oui sans compter que comme ça on évite la guerre de succession d'Espagne !"
dans Ruy Blas, César refuse de se mêler de l'histoire car le plan repose sur le fait d'entacher l'honneur d'une dame innocente. Dans La Folie des Grandeurs il refuse de s'en mêler parce que c'est un plan foireux.
Venantino Venantini ! Après des années à regarder le film en me demandant lequel des grands d'Espagne il était, je l'ai enfin repéré ! C'est un des conspirateurs du début, pas un de ceux du milieu, ce qui explique que je ne l'ai pas repéré plus tôt. C'est aussi un tueur à gage dans Les Tontons Flingueurs pour ceux qui se demandent pourquoi je le cherchais.
Blaze qui se plaint que le type qui le présente à la cour est en disgrâce, comme s'il avait la moindre chance d'être présenté à la cour sans Salluste.
La musique de Polnareff.
Je sais c'est pas vraiment une analyse.
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havaforever · 2 years
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MON CRIME -  Vingt ans après 8 Femmes, François Ozon renoue avec ce genre qui avait fait son succès, à savoir une comédie au style très théâtral porté par de nombreux interprètes. Son casting très riche (Huppert, Luchini, Boon, Dussollier) s’appuie essentiellment sur les épaules d’un duo de jeunes actrices encore peu connues, mais pleines de talent et donc d’avenir : Rebecca Marder et Nadia Tereszkiewicz.
Elles s’avèrent drôlement espiègles et s’adaptent parfaitement au rythme atypique du récit concocté par le réalisateur. On est pourtant surpris au début par le phrasé théâtral adopté par les actrices, n’ayant plus l’habitude de voir ce genre de dialogues au cinéma ces dernières années. Très vite, on s’adapte et on apprécie. 
En seconds rôles, Fabrice Luchini et Isabelle Huppert sont particulièrement convaincants. Surtout cette dernière qui excelle dans un rôle totalement excentrique, qui prouve que son talent s’adapte si bien à la comédie, et surtout au cinéma de Ozon. 
il y a de nombreux passages du film, qui font penser à un Woody Allen, en forme, que ce soit les dialogues, les costumes du Paris d'Avant guerre, la musique, les cadrages ou autre plans américains
La thématique féministe est traitée avec un anachronisme surprenant mais avec une jolie ironie. Au final, le long-métrage s’avère très agréable à suivre avec son beau casting, son scénario malicieux et son style inimitable !
NOTE 15/20 -  On aurait aimé un feu d’artifice final plus éclatant, mais l’impression de fable scintillante demeure.  
Sans être militant, le film saisit avec finesse l’ère du temps, en l’affublant des dessous froufroutants de la France des années 1930. L’exercice de cinéma est bien tourné, maîtrisé, aussi léger que grave. Avec cette petite touche de roublardise qui emporte l’adhésion des spectateurs.
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lamangasserie · 2 years
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“Cette enfant est un génie !”: Mademoiselle Mozart de Yôji Fukuyama
« Mademoiselle Mozart… » avais-je lu sur Twitter, intriguée, début janvier. Ayant la tête dans d’autres mangas, d’autres sorties, je l’avais occulté jusqu’à le rencontrer de nouveau en librairie. Non seulement je trouvais le titre intrigant, mais en plus il y avait cette couverture que je trouvais tout aussi intrigante. J’ai tout de suite beaucoup aimé ce personnage à l’air un peu pantois, dont on a su capturer l’instant de la surprise. Pour autant, je n’achète pas car il faut savoir être raisonnable. Les jours passent, j’y pense et j’y repense encore. Au diable l’avarice, je me précipite en librairie pour acheter et enfin découvrir ce qui se cache derrière ce « Mademoiselle Mozart ».
Et si Mozart avait été une femme ? C’est avec cette idée en tête que Yôji Fukuyama se lance ici dans une biographie imaginaire du célèbre virtuose-compositeur Mozart. Devant le prodigieux talent de sa benjamine, Élisabeth, Léopold Mozart décide de faire d’elle Wolfgang Amadeus Mozart. Les mœurs du XVIIIe siècle ne permettant pas au génie féminin d’être reconnu à sa juste valeur. Désormais jeune homme, Mozart est déjà extraordinairement populaire à Vienne, aussi bien auprès de l’empereur Joseph II qu’auprès des femmes et des hommes. Mais Mozart doit garder une distance afin que son secret demeure. Pourtant, celui-ci est rapidement découvert par le compositeur de la cour, Antonio Salieri. De plus, Mozart s’éprend de la jeune Constance… Qu’adviendra-t-il de son secret ? Qu’adviendra-t-il de Wolfgang Amadeus Mozart ?
Mademoiselle Mozart est un manga de Yôji Fukuyama publié entre 1989 et 1990 dans les pages du magazine Morning. Rencontrant un formidable succès, le manga est adapté en comédie musicale en 1991 par la compagnie théâtrale Ongakuza puis en 2021 par la Toho. Bénéficiant de quatre éditions, c’est la dernière en date qu’ont choisie les éditions Atelier Akatombo pour publier le manga en France. Mademoiselle Mozart est disponible en librairie pour un prix de 10,80€.
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Comme mentionné plus haut, Mademoiselle Mozart est une biographie imaginaire. Le terme de « biographie imaginaire » est paradoxal. La « biographie » implique de restituer des faits historiques réels, c’est un travail d’historien, de scientifique. Tandis que l’ « imaginaire » implique la fiction, le travail d’un artiste. C’est un genre littéraire que j’aime beaucoup car il permet de raconter d’une nouvelle manière une histoire que l’on connaît déjà. Il permet aux auteurs, autrices, mangakas, de prendre des libertés sur le réel, de le tordre, d’en faire ce qu’on veut afin d’en ressortir une fiction à part entière, un véritable travail d’artiste. On peut citer Innocent, Le Requiem du Roi des Roses ou encore Miss Hokusai. On peut aussi citer La Rose de Versailles, Thermae Romae ou Sakuran, qui relatent les vies de personnages fictifs afin de faire parler l’époque dans laquelle ils sont inscrits. Si j’aime la biographie imaginaire, c’est aussi parce que c’est un genre qui, en introduisant de la fiction dans le réel, autorise le manque de rigueur, les petits anachronismes afin de nous plonger dans une période historique fantasmée, afin de nous faire rêver. La biographie imaginaire est aussi intéressante car à travers son propre paradoxe, elle fait aussi ressortir celui du personnage biographé. En choisissant Mozart, Yôji Fukuyama fait un choix intéressant. On connaît tous Mozart: un jeune prodige à l’oreille absolue qui se produit dès son plus jeune âge un peu partout en Europe, qui compose nombre d’opéras que l’on joue encore, et pour finalement connaître une mort mystérieuse à seulement 35 ans. Mozart est déjà un personnage extraordinaire. L’idée de l’imaginer comme ayant été une femme renforce d’autant plus ce côté extraordinaire, hors-normes. Cette idée permet de rendre le récit (fictif) de sa vie encore plus passionnant que celui qu’on lui connaît déjà. Grâce à ce nouvel élément surprenant, j’ai dévoré le manga. J’avais constamment envie de savoir la suite. Que va faire Mozart ? Comment va-t-il s’en sortir ? Va-t-il réussir à garder son secret ? Comment est-ce que le mangaka va raconter son mariage ? Puis sa paternité ? Bien sûr, le mangaka fait intervenir divers personnages de la vie de Mozart d’une manière différente à celle de la réalité historique, dont ses assistants, dont Antonio Salieri. Pour Yôji Fukuyama, la vie de Mozart est un terrain de jeu aux multiples possibles, et pour nous, lecteurs et lectrices, un jeu auquel il est passionnant d’assister.
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Contrairement à plusieurs des autres mangas mentionnés plus haut, Yôji Fukuyama opte pour un ton plutôt comique pour raconter la vie de Mozart. Ce ton un peu badin est tout à fait à l’image du personnage principal. Ce Mozart est excentrique, grossier aussi bien dans ses actes que dans ses paroles (particulièrement dans ses blagues scato), et n’a aucun filtre. On retrouve le caractère comique du manga dans le trait du mangaka. Il est léger, simple, clair et très expressif. Ces qualités se reflètent aussi dans le découpage des planches. Quoique Yôji Fukuyama nous surprend avec des formes, agencements et superpositions de cases venant casser le côté parfois presque trop simple de sa narration. Ces quelques moments viennent rythmer le récit, empêchant l’ennui de se faufiler entre les cases, et permettent de mettre en exergue divers passages importants de la vie de ce Mozart. Peut-être à l’image des compositions du virtuose qui ne laissent aucune place à la routine et qui arrivent à constamment surprendre en leur sein même ?
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Gauche: Chassé-croisé de cases. Mozart s’éloigne dans son fiacre tandis que Salieri reste, enragé.
Droite: Que t’arrive-t-il Mozart ? Où vas-tu ?
J’ai beaucoup aimé le Mozart de Mademoiselle Mozart, j’ai aimé la dualité des genres dans ce personnage. Ici, Mozart est une femme ayant grandi comme un homme. Elle ne correspond absolument pas à ce qu’on attend d’une jeune fille de son époque, mais elle ne correspond pas non plus aux critères que l’on attend d’une jeune fille à l’époque du manga. Comme évoqué plus haut, Mozart est excentrique et grossière, complètement naturelle, sans aucun filtre. L’exact opposé de ce que peut attendre la société d’une jeune fille. Mademoiselle Mozart ne se plie jamais aux rôles de genre. Bien sûr, c’est sa condition d’homme qui lui permet ça dans le récit. Malgré tout, ce personnage est une véritable bouffée d’air frais. Plus tard dans le récit, une bascule s’opère. Alors qu’on pense à utiliser la dichotomie homme/femme pour Mademoiselle Mozart, il devient peut-être plus exact que celle-ci s’articule autour du genre et du « non-genre ». Évidemment, le talent et la personnalité de Mozart transcendent le genre, masculin ou féminin, mais ses amours aussi. Iel (sortons les pronoms appropriés !) est autant amoureux.se de Constance qu’iel n’est pas insensible aux avances de Salieri. Mademoiselle Mozart n’est ni homme ni femme, peut-être les deux à la fois, iel est autant Wolfgang qu’Élisabeth, iel est juste Mozart. Cependant, Yôji Fukuyama n’amorce aucune réflexion dans ce sens, et ne cherche pas du tout à se montrer engagé. J’ai trouvé ce côté accidentellement (?) queer, impulsif et spontané, intéressant et très amusant. Mozart en est d’autant plus énigmatique, insaisissable.
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Pour évoquer quelques mots sur l’objet, c’est un manga que je trouve très réussi. Si la quatrième de couverture mérite sûrement un résumé, la maquette est plutôt réussie, sans aucune fioriture. Le rouge de la jaquette est beau, c’est ce qu’aurait mérité Yasha chez Panini. La couverture du livre est légèrement plastifiée, ce qui m’a été agréable en lisant ce petit pavé de plus de 500 pages. Oui, je fais partie des gens qui lisent sans jaquette. Le papier est bien blanc, peu transparent, épais, les noirs sont profonds, aucun moirage. Je suis aussi très contente du format 12x18, idéal pour le dessin et le découpage assez simples de Yôji Fukuyama. Je suis prête à parier qu’il aurait été en grand format chez d’autres éditeurs. Enfin, évidemment, son prix est imbattable: 10,80€ pour 500 pages dont une couleur. Avec un tel rapport qualité prix, ce livre me fait beaucoup penser à ce que propose l’éditeur italien J-POP. Mademoiselle Mozart est donc une très bonne surprise sur tous les plans.
Pour conclure, Mademoiselle Mozart est un manga surprenant malgré son apparente légèreté. Il m’a passionné, il m’a fait rire, et surtout, il m’a fait découvrir Mozart d’une façon unique en son genre. Bien sûr, je connaissais Mozart, mais de loin uniquement. C’est aussi un manga qui fait preuve d’une grande inventivité même avec ses nombreuses ressemblances avec un certain film sorti en 1984. Ayant enfin découvert ce qui se cachait derrière ce « Mademoiselle Mozart », j’espère et je pense m’en souvenir pendant longtemps tellement je ressors de ma lecture avec le sentiment d’avoir passé un bon moment. Par ailleurs, Yôji Fukuyama est l’auteur d’un manga nommé Don Giovanni, une adaptation de l’opéra du même nom. Comme nous avons eu la chance qu’il soit publié en France, je devrais probablement me pencher dessus très bientôt…
C’est tout pour moi aujourd’hui. J’espère que cet article vous a plu et qu’il vous a donné envie de lire à votre tour Mademoiselle Mozart. Dans tous les cas, merci beaucoup de m’avoir lu jusqu’au bout. Comme d’habitude, on se retrouve sur Twitter, mais aussi sur ko-fi où vous pouvez faire don à partir d’un euro ou acheter un super marque-page à 4€, frais de port inclus, pour soutenir le financement d’un futur site La Mangasserie ! Des bisous !
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a-room-of-my-own · 2 years
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Bon, très bien, ça va, j'ai compris, d'accord, je me repens, je suis une pécheresse, je rampe, je me confis en dévotions, je suis contrite, j'ai le silice sous la main, j'ai enfin rEGARDÉ BRIDGERTON AU SECOURS JE N'ARRIVE PLUS À DÉCROCHER VENEZ ME CHERCHER
Objectivement, bon, c'est un peu concon quand même, hein, et si la couleur du casting ne me dérange pas tant que ça (ça manque d'Indiens et de Pakistanais, cela dit, on voit bien que c'est une production américaine) on y entr'aperçoit quelques menus anachronismes,
... mais ce truc est horriblement addictif ?!!?! J'ai interrompu le sixième épisode de la première saison uniquement parce qu'il était trois heures du matin (heure d'hiver), j'ai repris au petit-déjeuner ! Si j'essaie de donner du sens à tout ça (je suis une misérable junkie maintenant), je dirais que c'est parce que les personnages sont tous différents, avec des motivations surprenamment vraisemblables pour l'« époque », et qu'ils prennent des décisions cohérentes avec leur personnalité. Les femmes rencontrent de vrais obstacles historiques et n'ont pas des aspirations incongrues pour leur milieu. Les acteurs sont plutôt bons (le cul de Regé-Jean Page joue mieux que lui quelquefois mais qui s'en plaindra ? Pas moi) et le nombre d'épisodes relativement chiche limite un peu les rebondissements échevelés du genre. Bref, j'ai souvent du mal avec le Shondaland mais c'est... pas... mal... ? (Argh !)
Solidarité je suis passée par les 5 phases du deuil avant de me vautrer dans l'acceptation - et la contemplation de Regé-Jean - et j'ai tout bingé (y compris la saison 2).
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ebooks-bnr · 5 months
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Ludwig Tieck - Sternbald Le Peintre voyageur
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Ludwig Tieck - Sternbald Le Peintre voyageur: Franz Sternbalds Wirrungen de Ludwig Tieck (1773-1853), publié en 1798, est un roman de formation dont l’action se situe au début du 16e siècle, à cette époque charnière où l’Humanisme et la Renaissance, nés en Italie, se propagent au reste de l’Europe. Sternbald travaille depuis l’âge de dix ans dans l’atelier d’Albrecht Dürer. Sa vénération quasi filiale pour le maître de Nuremberg n’étanche en rien sa soif de voyages. Conformément à la coutume qui veut que les apprentis quittent leur ville ou leur pays pour perfectionner leur art à l’étranger , Sternbald n’a qu’une idée en tête : se rendre en Italie (via la Flandre et l’Alsace), s’imprégner des œuvres de la Renaissance italienne et devenir à son tour un grand peintre. Son pèlerinage vers le Sud correspond à un lent processus d’initiation et de maturation qui le conduira de sa Franconie natale à la Ville éternelle, de l’innocence à l’expérience. Chemin faisant, notre naïf héros s’instruit auprès de personnages de conditions, de milieux et d’âges divers. Ces artistes, poètes, ermites, négociants, aventuriers, compagnons de route, nobles dames ou simples filles de ferme lui servent tour à tour de passeurs, de modèles ou de repoussoirs et lui ouvrent, chacun à sa façon, des horizons nouveaux. À la quête esthétique, moteur premier du voyage, s’en ajouteront trois autres : une quête amoureuse ; une quête paternelle (car Sternbald découvre que les paysans qui l’ont élevé ne sont pas ses parents), et enfin une quête identitaire qui les complète et les englobe toutes. Assurément, le regard que porte Ludwig Tieck sur ce début du 16e siècle n’est pas celui d’un historien soucieux de vraisemblance mais celui d’un jeune écrivain influencé par les idées de son temps . Ce contemporain des frères Schlegel, des Schelling, de Novalis est certes peu connu aujourd’hui, si ce n’est pour ses contes ; il n’en demeure pas moins l’un des fondateurs du Romantisme allemand. Les charmants anachronismes de son Bildungsroman s’en font ici l’écho. Le sentiment de la nature, la beauté sublime, quasi religieuse, des paysages occupent une place prépondérante dans la quête esthétique du héros. On détecte également chez lui, tout comme chez d’autres figures d’artistes (son ami Sebastian et ainsi que les personnages de Dürer et Lukas de Leyde), une convergence entre l’amour de l’art et l’amour de la patrie qui préfigure le nationalisme cher au Romantisme naissant . Quant à l’Italie, berceau de l’Antiquité renaissante, elle apparaît surtout ici comme le pays de l’éternel printemps que chante Mignon dans le Wilhelm Meister de Goethe (1796) — un paradis terrestre où règnent librement les plaisirs et l’amour . Paradoxalement, la partie consacrée à Florence et à Rome, à la fin du Livre II, est de loin la plus brève. Le récit, pris dans un tourbillon de rebondissements toujours plus arbitraires, s’emballe, mais tourne court. Pourquoi un dénouement aussi abrupt ? La réponse est à chercher du côté de Wilhelm Heinrich Wackenroder (1773-98), le grand ami de Tieck, auteur des Épanchements d’un moine ami des Arts (1797). Nés la même année et élevés ensemble, ces « jumeaux d’élection » vivaient dans une telle complicité intellectuelle et créatrice, leurs écritures étaient à tel point imbriquées, qu’il est difficile de distinguer la part de l’un dans l’œuvre de l’autre. Or, en 1798, l’inconcevable se produisit : alors que Tieck s’apprêtait à entamer la troisième partie de son roman, Wackenroder mourut subitement de la typhoïde, à l’âge de 25 ans. Sa disparition fut un tel choc pour Tieck qu’il n’eut plus la force de reprendre son récit et abandonna son œuvre. En 1843, dans une préface à une nouvelle édition, il ébaucha rapidement les événements du Livre III qui devaient ramener Sternbald au pays natal, mais le projet ne fut jamais mis à exécution et le roman demeure à ce jour inachevé. Téléchargements : ePUB - PDF - HTML - DOC/ODT Read the full article
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philoursmars · 2 years
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Retour à mon projet de présenter la plupart de mes 53880 photos (nouveau compte approximatif !)
2014. Retour dans le Nord.
Au musée Arkhéos, en bord de Scarpe, près de Douai, une reconstitution de combats entre Francs contre Vikings. Amusant et un poil (de barbe) anachronique, le Viking avec son micro !
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ousontlesfemmes · 7 months
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Rosalie Lamorlière (1768-1848)
Ou celle dont on se souvient majoritairement parce qu’elle est un personnage de Lady Oscar.
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Riyoko Ikeda, l’autrice de Lady Oscar (Versailles no Bara au Japon), a fait un travail de dingue pour la réalisation de son manga et les préfaces et postfaces des mangas expliquent certains anachronismes que l’on pardonne aisément (Oscar portant un uniforme plutôt napoléonien, par exemple, parce qu’elle a eu la documentation trop tard). Cependant, elle a aussi pris de grandes libertés artistiques pour certains personnages historiques, ce qui est le cas de Rosalie : elle s’est inspirée de son destin initial, être la dernière servante de Marie-Antoinette, pour lui faire une saga épique, tragique aussi, et remplaçant avec un autre personnage les époux Desmoulins (Camille et Lucille), tous les deux guillotinés en 1794.
La vraie Rosalie Lamorlière est très différente de celle d’Ikeda et c’est d’elle dont j’ai envie de vous parler aujourd’hui.
Rosalie Lamorlière, de son nom complet Marie-Rosalie Lamorlière, est née le 19 mars 1768 à Breteuil, dans l’Oise. Son père est cordonnier. Elle est issue d’une fratrie de sept enfants et elle a le malheur de perdre sa mère à l’âge de douze ans.
Et si l’Histoire retient la modeste Rosalie qui est, à l’époque, Madame tout le monde, c’est parce qu’elle est la toute dernière servante de Marie-Antoinette.
Après les massacres qui ont eu lieu début septembre 1792 et qui ont vu des horreurs innommables, notamment la mort inique de la pauvre Princesse de Lamballe qui mériterait son propre article, Rosalie est engagée par le couple Richard qui est responsable de la Conciergerie, laquelle est une prison pour les personnes qui doivent être jugées avant d’être guillotinées.
Le 02 août 1793, un peu moins d’un mois après que son fils, Louis-Charles (1785-1795), lui ait été arraché pour être élevé en révolutionnaire, Marie-Antoinette (1755-1793), dite la Veuve Capet depuis le décès de Louis XVI (1754-1793), doit dire au revoir à sa belle-sœur Elisabeth (1764-1794) ainsi qu’à sa fille Marie-Thérèse Charlotte (1778-1851). On l’emmène en effet à la Conciergerie dans l’attente de son procès. Rosalie est affectée à son service et doit faire en sorte de « la tenir ». En effet, la reine déchue est très malade : elle a des pertes de sang utérines importantes. Aujourd’hui, on pense qu’elle aurait pu souffrir d’un cancer de l’utérus, d’un fibrome ou, dans une mesure moins dramatique, aurait subi une ménopause précoce causée par les traumatismes qu’elle a vécus, un peu à l’instar de Joséphine de Beauharnais, future Impératrice des Français.
Rosalie sera l’un des anges de Marie-Antoinette durant les soixante-seize jours la séparant de son exécution, essayant d’adoucir sa captivité par des petites attentions.
Elle rapportera également dans ses mémoires la vie de l’ancienne souveraine durant son enfermement, montrant l’extrême dénuement dans lequel elle était mais aussi la sympathie qu’elle a pu attirer :
« Sa coiffure, depuis son entrée à la Conciergerie, était des plus simples. Elle partageait ses cheveux sur le front, après y avoir mis un peu de poudre embaumée. Madame Harel, avec un bout de ruban blanc, les nouait avec force, et puis donnait les deux barbes de ce ruban à Madame, qui, les croisant elle-même, et les fixa sur le haut de sa tête, donnait à sa chevelure blonde la forme d’un chignon mouvant.
Le 2 août, pendant la nuit, quand la reine arriva du Temple, je remarquai qu’on n’avait amené avec elle aucune espèce de hardes, ni de vêtements. Le lendemain, et tous les jours suivants, cette malheureuse princesse demandait du linge, et Madame Richard, craignant de se compromettre, n’osait lui en prêter, ni lui en fournir. Enfin, le municipal Michonis, qui, dans le cœur, était honnête homme, se transporta au Temple, et le dixième jour, on apporta du donjon, un paquet, que la reine ouvrit promptement. C’étaient de belles chemises de batiste, des mouchoirs de poche, des fichus, des bas de soie ou de filoselle noirs, un déshabillé blanc pour le matin, quelques bonnets de nuit, et plusieurs bouts de ruban blanc, de largeurs inégales.
Le matin, en se levant, elle chaussait de petites pantoufles rabattues, et tous les deux jours, je brossais se jolis souliers noirs de prunelle, dont le talon, d’environ deux pouces, était à la Saint-Huberty. Madame Richard me permit de prêter ma petite glace à la reine. Je ne l’offris qu’en rougissant. Ce miroir, acheté sur les quais, ne m’avait coûté que 25 sous d’assignats ! Je crois le voir encore : sa bordure était rouge, et des manières de Chinois étaient peints sur les deux côtés. La reine agréa ce miroir comme une chose d’importance, et Sa Majesté s’en est servie jusqu’au dernier jour. »
C’est elle aussi qui nous rapporte les derniers instants de Marie-Antoinette avant de partir vers l’échafaud le 16 octobre 1793.
«En entrant dans le cachot, où brûlaient deux lumières, j’aperçus un officier de gendarmerie assis dans l’angle de gauche et, m’étant approchée de Madame, je la vis tout habillée de noir, étendue sur son lit.
Le visage tourné vers la fenêtre, elle appuyait sa tête sur sa main. Madame, lui dis-je en tremblant, vous n’avez rien pris hier au soir, et presque rien dans la journée. Que désirez-vous prendre ce matin  ? La reine versait des larmes en abondance. Elle me répondit : Ma fille, je n’ai plus besoin de rien, tout est fini pour moi. Je pris la liberté d’ajouter : Madame, j’ai conservé sur mes fourneaux un bouillon et un vermicelle ; vous avez besoin de vous soutenir, permettez-moi de vous apporter quelque chose. 
Les pleurs de la reine redoublèrent, et elle me dit : Rosalie, apportez-moi un bouillon. J’allai le chercher ; elle se mit sur son séant et ne put en avaler que quelques cuillerées ; j’atteste devant Dieu que son corps n’a pas reçu d’autre nourriture, et j’eus lieu de me convaincre qu’elle perdait tout son sang. 
Un peu avant le jour déclaré, un ecclésiastique autorisé par le gouvernement se présenta chez la reine et lui offrit de l’entendre en confession. Sa Majesté, apprenant de lui-même qu’il était un des curés de Paris en exercice, comprit qu’il avait prêté serment, et elle refusa son ministère. On parla de cette circonstance dans la maison. 
Lorsque le jour fut venu, c’est-à-dire à peu près vers les 8 heures du matin, je retournai chez Madame pour l’aider à s’habiller, ainsi qu’elle me l’avait indiqué lorsqu’elle prit le peu de bouillon sur son lit. Sa Majesté passa dans la petite ruelle que je laissais ordinairement entre son lit de sangle et la muraille. Elle déploya elle-même une chemise qu’on avait apportée, probablement en mon absence, et, m’ayant fait signe de me tenir devant son lit pour ôter la vue de son corps au gendarme, elle se baissa dans la ruelle et abattit sa robe afin de changer de linge pour la dernière fois. L’officier de gendarmerie s’approcha de nous à l’instant et, se tenant auprès du traversin, regarda changer la princesse. Sa Majesté aussitôt remit son fichu sur ses épaules et, avec une grande douceur, elle dit à ce jeune homme : Au nom de l’honnêteté, Monsieur, permettez que je change de linge sans témoin.
– Je ne saurais y consentir, répondit brusquement le gendarme : mes ordres portent que je dois avoir l’œil sur tous vos mouvements. 
La reine soupira, passa sa dernière chemise avec toutes les précautions et toute la modestie possibles, prit pour vêtement non pas sa longue robe de deuil qu’elle avait encore devant ses juges, mais le déshabillé blanc qui lui servait ordinairement de robe du matin et, déployant son grand fichu de mousseline, elle le croisa sous le menton. 
Le trouble que me causait la brutalité du gendarme ne me permit point de remarquer si la princesse avait encore le médaillon de Monsieur le dauphin, mais il fut aisé de voir qu’elle roulait soigneusement sa pauvre chemise ensanglantée. Elle la renferma dans une de ses manches comme dans un fourreau, puis elle serra ce linge dans un espace qu’elle aperçut entre l’ancienne toile à papier et la muraille. 
La veille, sachant qu’elle allait paraître devant le public et devant les juges, elle donna par bienséance un peu d’élévation à ses cheveux. Elle ajouta aussi à son bonnet de linon, bordé d’une petite garniture plissée, les deux barbes volantes qu’elle conservait dans le carton ; et sous ces barbes de deuil elle avait ajusté proprement un crêpe noir, qui lui faisait une jolie coiffure de veuve. 
Pour aller à la mort, elle ne garda que le simple bonnet de linon, sans barbes ni marques de deuil ; mais, n’ayant qu’une seule chaussure, elle conserva ses bas noirs et ses souliers de prunelle, qu’elle n’avait point déformés ni gâtés depuis soixante-seize jours qu’elle était avec nous.
Je la quittai sans oser lui faire des adieux, ni une seule révérence de peur de la compromettre et de l’affliger. Je m’en allai pleurer dans mon cabinet, et prier Dieu pour elle. »
Marie-Antoinette meurt guillotinée le 16 octobre 1793 à 12h15, place de la Révolution, l’actuelle place de la Concorde.
Rosalie redevient plus ou moins une anonyme.
En 1801, elle met au monde sa fille, Marie-Rosalie (1801-1895) dont le père, auquel elle n’est pas mariée, est inconnu.
En 1824, en remerciement de sa bonté pour sa mère, Marie-Thérèse Charlotte, alors duchesse d’Angoulême, lui verse une pension.
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Rosalie meurt le 02 février 1848, à quelques semaines de ses 80 ans.
Elle repose au cimetière du Père Lachaise et sa fille a fait graver cette épitaphe en hommage à sa chère maman :
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La véritable Rosalie est bien loin de celle dépeinte par Ikeda mais à dire vrai, elle m’est tout aussi attachante.
J’espère que vous l’aurez appréciée autant que moi !
Si toi aussi tu veux en lire plus sur Rosalie, tu peux aller regarder ces sources :
La dernière prison de Marie-Antoinette par Rosalie Lamorlière
Rosalie Lamorlière, dernière servante de Marie-Antoinette, de Ludovic Miserole
Paul Belaiche-Daninos, Les 76 jours de Marie-Antoinette à la conciergerie: La conjuration de l’oeillet
Paul Belaiche-Daninos, Les 76 jours de Marie-Antoinette à la conciergerie: Un procès en infamie
image à la une : Marie-Antoinette le matin de son exécution, Tony Robert-Fleury, 1906 (détail)
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beauty-and-passion · 11 months
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Chapter six of Monsters of the Unconscious is here!
Anxiety in charge means things will go great from now on, right? Nothing big will come soon.
On how a Side starts to develop more roles.
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tometjerrymettet · 9 months
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Un bon scénario ne se fait pas en dénaturant les histoires imaginées par leurs premiers créateurs. Au lieu de se ridiculiser avec des anachronismes tels que l'inclusion ou les violences faites aux femmes pour plaire aux minorités, faites travailler votre cerveau et créer de nouvelles histoires.
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christophe76460 · 10 months
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À PROPOS DE LA FÊTE DE NOËL ET DES TRADITIONS
#_À_propos_de_la_fête_de_Noël_et_des_traditions #Serge_Rossi #Exhortations
Première partie de l’article (1/2)
LA NAISSANCE DE JÉSUS
QUELLE EST LA DATE DE NAISSANCE DE JÉSUS ?
Dans le monde, des millions de personnes croient que Noël célèbre la naissance de Jésus Christ. Mais les chrétiens du premier siècle, ceux qui ont côtoyé Jésus, fêtaient-ils Noël ? Célébraient-ils la naissance de Jésus ?
Savons-nous ce que les Écritures disent à propos des anniversaires de naissance ? Nous trouvons les réponses à ces questions dans le Nouveau Testament qui nous apprend à faire la distinction entre les traditions religieuses inventées par les hommes et l’enseignement de Jésus-Christ.
Les Écritures ne parlent pas des anniversaires de naissance à célébrer en l’honneur de Jésus ou des fidèles serviteurs de Dieu.
Elles ne mentionnent que deux personnages qui ont fêté leur anniversaire. Mais ces derniers n’adoraient pas Dieu, mais célébraient seulement leur propre anniversaire qui était caractérisé en même temps par la mort de quelqu’un, notamment la mort du chef des panetiers à l’anniversaire du Pharaon au temps de Joseph et la mort de Jean le baptiste à l’époque du roi Hérode Antipas.
« Le troisième jour, jour de la naissance de Pharaon, il fit un festin à tous ses serviteurs, et il éleva la tête du chef des échansons et la tête du chef des panetiers, au milieu de ses serviteurs, il rétablit le chef des échansons dans sa charge d’échanson pour qu’il mît la coupe dans la main de Pharaon, mais il fit pendre le chef des panetiers, selon l’explication que Joseph leur avait donnée. » Genèse 40.20-22
« Cependant, un jour propice arriva, lorsque Hérode, à l’anniversaire de sa naissance, donna un festin à ses grands, aux chefs militaires et aux principaux de la Galilée. » Marc 6:21
Selon l’Encyclopædia Britannica, les premiers chrétiens étaient opposés à : ʺLa coutume païenne de la célébration des anniversaires de naissanceʺ.
Les Écritures ne disent pas exactement quand Jésus est né. L’encyclopédie biblique de McClintock et Strong déclare que : ʺRien dans le Nouveau Testament, ni d’ailleurs dans aucun autre ouvrage, ne permet de fixer avec certitude le jour de la naissance du Christʺ.
Il ne fait aucun doute que si Jésus voulait que ses disciples fêtent son anniversaire, il aurait fait en sorte qu’ils connaissent sa date de naissance.
Selon la New Catholic Encyclopedia, la célébration de Noël apparaît pour la première fois :
ʺDans le Chronographe de Philocale, un almanach romain datant de 336 de notre èreʺ.
C’était bien après la fin de la rédaction des livres du Nouveau Testament et des siècles après la venue de Jésus sur terre. C’est pourquoi McClintock et Strong font remarquer que la célébration de Noël n’a pas été prescrite par Dieu et ne tire pas son origine du Nouveau Testament.
Le début de l’ère chrétienne a été fixé à la naissance de Jésus, c’est à dire que l’année ʺ1ʺ du calendrier chrétien correspond à la naissance supposée du Christ : On l’appelle ʺL’Anno Dominiʺ, (L’année du Seigneur).
Or les historiens actuels situent en fait sa naissance quelques années avant notre ère. Il serait né quelques années avant J.-C.
Les Évangiles de Matthieu et Luc situent la naissance de Jésus sous le règne d’Hérode le Grand, qui s’achève en l’an ʺ4ʺ avant notre ère. De ce fait, selon les travaux d’historiens récents, Jésus Christ serait né entre ʺ7 et 5ʺ avant J.-C.
Cela parait paradoxal que Jésus soit né avant Jésus Christ, mais cet anachronisme est dû au fait que sa naissance a été déterminée par le moine Denys le Petit au VI siècle, en se basant sur des travaux précédents, dont leurs exactitudes sont discutables.
Le calendrier chrétien a été fixé avec cette date pour point de départ. Pourtant, l’année de naissance de Jésus n’est pas précisément connue.
Aujourd'hui, les historiens pensent que le moine a fait une erreur, et que Jésus a dû naître 7 ans avant ce fameux an ʺ1ʺ ʺAnno Dominiʺ.
Il en est de même pour la date du 25 décembre. Il n’y a aucune exactitude que Jésus soit né ce jour-là. Cette date a été choisie par des chrétiens du IVe siècle.
Notons qu’avant même l’ère chrétienne, de nombreuses fêtes populaires étaient célébrées au mois de décembre, au moment du solstice d'hiver, comme pour conjurer le froid et la nuit, et la mort de la nature. À Rome, du 17 au 24 décembre, on fêtait ainsi les Saturnales, en l'honneur de Saturne, le dieu des semailles et de la fertilité.
En Orient, le culte de Mithra, divinité de la lumière, voulait que l'on sacrifiât, le 25 décembre, un jeune taureau, pour célébrer la naissance du dieu solaire. Et l'on trouve des traces de fêtes similaires chez les Teutons, les Celtes et les scandinaves, dans les pays nordiques.
Dans les Évangiles, Il y a deux évènements concernant sa naissance qui en amènent beaucoup à penser qu’il ne serait pas né un 25 décembre.
LA NAISSANCE DE JÉSUS A-T-ELLE EUT LIEU EN HIVER ?
LE RECENSEMENT
Peu avant la naissance de Jésus, César Auguste a émis un décret ordonnant ʺque toute la terre habitée se fasse enregistrerʺ. Tout le monde devait se faire recenser ʺdans sa propre villeʺ, ce qui pouvait représenter un trajet d’une semaine, voire plus. (Luc 2:1-3)
Ce fut le cas pour Joseph et Marie qui allèrent de Nazareth à Bethlehem, (environ 150 km). Quel était le but de ce recensement ? Comme tous les empires, de lever des impôts et de recruter des hommes pour faire des prélèvements et pour l’armée.
Il est évident que ces mesures s’avéraient impopulaires quel que soit le moment de l’année. Mais, l’empereur Auguste a-t-il ajouté au mécontentement de ses sujets et des peuples conquis en les forçant à faire un long voyage dans un froid hivernal pour un recensement ?
LES BERGERS
Ils vivaient en plein air et [...], la nuit, passaient les veilles à surveiller leurs troupeaux. Luc 2:8.
Le livre : ʺLa vie quotidienne en Palestine au temps de Jésusʺ indique que, de ʺla semaine avant la Pâqueʺ, (fin mars) à ʺla mi-novembreʺ, les troupeaux étaient dehors.
Il ajoute : ʺIls passaient l’hiver dans des bergeries, et ce détail peut faire penser que la date traditionnelle de Noël en hiver a peu de chances d’être exacte, puisque l’Évangile nous dit que les bergers étaient aux champsʺ.
POURQUOI FÊTE-T-ON LA NAISSANCE DE JÉSUS LE 25 DECEMBRE ?
Puisque rien ne prouve que Jésus soit né un 25 décembre, pourquoi fête-t-on Noël à cette date ? On lit dans Les fêtes chrétiennes en Occident que ce jour a été choisi ʺpour concurrencer ou christianiser la vieille fête romaine du soleil invaincu, célébrée au cœur de l’hiverʺ, lors du solstice.
Un autre ouvrage explique que l’on ʺchercha à donner une fête qui reprenne des éléments païens pour les christianiser et attirer plus facilement les foulesʺ vers le christianisme, (Petit lexique des fêtes religieuses et laïques).
Le jour du solstice d'hiver, c'est aussi le moment où le soleil renaît ... Et les hommes ont toujours voulu célébrer ce temps. Peut-être pour mieux espérer le retour du printemps, de la lumière et de la vie.
Il s’agissait surtout de fixer un symbole pour débuter l’ère chrétienne, l’inexactitude était à l’époque moins préoccupante qu’aujourd’hui. Ainsi, le jour de naissance du Christ, fixé au 25 décembre durant le IVe siècle, est également symbolique, afin de coïncider avec le ʺSol Invictusʺ, une fête romaine.
Quand on parle de fêtes dites ʺchrétiennesʺ, il ne faut pas oublier qu’elles sont issues de la tradition Catholique et Orthodoxe.
Nous pouvons trouver dans l'almanach romain appelé le ʺchronographeʺ de 354 ou le calendrier ʺphilocalianʺ.
Cet ancien almanach a noté qu'une fête commémore la naissance du Christ qui été observée par l'église de Rome en l'an 336.
Ainsi le Chronographe du troisième siècle défini le 25 décembre comme le jour le plus probable de la naissance du Christ.
Dans les temps anciens, les celtes ont divisé l'année en quatre sections marquées par des "quart de jours", - Les jours des deux solstices et deux équinoxes.
Le Solstice d'hiver, le jour le plus court et le plus sombre de l’année, il signe un temps de célébration, car le soleil commence à réapparaître et la terre connaît une renaissance.
Alors que le catholicisme romain commença à se répandre au 4ème siècle après J.-C. la fête de Noël fut fixée le 25 décembre par le Pape Jules I pour s'aligner sur les célébrations païennes romaines qui célèbrent "La naissance du soleil invincibleʺ.
Après la mort des apôtres, cette tradition est devenue populaire et elle a marqué la conscience de beaucoup de peuples.
Le Nouveau Testament ne mentionne jamais l’observation d’une fête, que ce soit celle de Noël pour la naissance de Jésus, ou celle de Pâques pour célébrer sa mort et sa résurrection.
Les chrétiens connaissent les limitent de la tradition ainsi que son éloignement de la Parole de Dieu.
En réalité, si Dieu voulait que les chrétiens observent chaque année des jours de fêtes comme Noël ou Pâques, nous trouverions dans le Nouveau Testament des ordonnances pour le déroulement de ces fêtes, à l’exemple de la Pâque ou de la Pentecôte qui se trouvent dans la loi de Moïse et qui étaient célébrées par le peuple d’Israël.
Mais alors, certains peuvent dire : ʺEst-ce un mal si nous observons la fête de Noël ou de Pâques ? ʺ Non, car il est écrit dans l’épître aux Romains : « Tel fait une distinction entre les jours ; tel autre les estime tous égaux. Que chacun ait en son esprit une pleine conviction. » Romains 14.5
À PROPOS DE L’ÉTOILE SUIVIE PAR LES MAGES D’ORIENT
Il est difficile également de donner avec précision le nom de l'étoile qui a guidé les mages. En effet, Matthieu n'est pas un historien, et n’a probablement pas été témoin de l’apparition de l’étoile ni de la naissance de Jésus.
Donc, il a été inspiré par le Saint-Esprit qui lui a révélé les évènements de la naissance de Jésus, non pas comme un récit historique, mais comme l’accomplissement des prophéties annoncées au sein du peuple d’Israël.
Il prête à cette naissance des détails qui sont communs à la vie des grands hommes de l'antiquité. Par exemple, l'étoile est un accessoire bien connu dans l'histoire des héros de l'humanité.
Dans son Histoire naturelle, Pline l’ancien pense que chaque personne a son étoile qui brille depuis sa naissance jusqu'à sa mort.
Cependant la croyance que la naissance et la mort des grands personnages étaient marquées des signes célestes était largement répandue.
La naissance de Mithridate et celle d'Alexandre Sévère étaient parmi celles qu'accompagnait l'apparition d'une nouvelle étoile au firmament.
L'historien Suétone rapporte combien Néron fut alarmé lorsqu'une comète apparut durant plusieurs nuits, parce qu'il voyait là un présage de la mort d'une personne importante. Pour plus de certitude, le superstitieux Néron a fait mettre à mort quelques notables de l'empire.
Toutefois, on peut soutenir avec Kepler, le grand astronome allemand du XVIIe siècle, qu'il s'agit d'une des douzaines d'étoiles qui apparaissent chaque année.
Quand elles sont visibles, ces nouvelles étoiles sont parfois plus brillantes que la lune. Il n'y a pas de témoignage ancien pour ce phénomène entre les 14 à 4 avant l'ère chrétienne, c'est-à-dire la décennie où Jésus serait né.
La comète dite de Halley est une autre candidate pour l'étoile des mages. Les comètes sont des corps astraux qui se déplacent autour du soleil dans une trajectoire de forme elliptique. Près de la terre d'où elle s'approche tous les 77 ans, la comète de Halley brille. Il est possible qu'elle soit apparue en l'an 12 ou 11 avant l'ère chrétienne.
Enfin, une autre possibilité, la conjonction de deux planètes, Jupiter et Saturne se produit tous les vingt ans. L'événement d'un rapprochement avec Mars, une troisième planète, arrive tous les 805 ans et il s'est justement produit en l'an 7 ou 6 avant l'ère chrétienne. Des textes anciens démontrent que le phénomène n'a pas échappé à l'astronomie antique.
Mais ce sont que des hypothèses axées sur des connaissances humaines de l’astronomie. Ce qui montre les limites de l’homme, quand il n’y a pas de témoins oculaires qui rapportent les faits.
Nous conviendrons bien sûr que ce n’est pas le but des Écritures de donner des dates précises des évènements concernant la naissance de Jésus. Sinon, elles indiqueraient la date exacte de la naissance de Jésus.
Toutefois, nous pouvons faire un rapprochement entre l’étoile de la naissance de Jésus et celle de la prophétie de Balaam.
Ce prophète voyait un signe en Israël, un événement astral annonçant la venue d’un roi.
Cet astre issu de Jacob, vu par le prophète Balaam annonçait probablement la venue du roi David. « Je le vois, mais non maintenant, je le contemple, mais non de près, un astre sort de Jacob, un sceptre s’élève d’Israël, il perce les flancs de Moab, et il abat tous les enfants de Seth. Il se rend maître d’Édom, il se rend maître de Séir, ses ennemis, Israël manifeste sa force. » Nombres 24.17
Prochainement deuxième partie de l’article à propos de la fête de Noël
Serge Rossi
Prédicateur et Évangéliste
Docteur en écritures
Groupe privé : LES PAROLES DE VÉRITÉ
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