#aller plus haut
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Je vais crever mon ter est annulé à la dernière minute j'ai du en prendre un autre j'ai perdu de l'argent car ces merde se REMBOURSE PAS et en plus j'ai perdu mon haut de forme donc je suis un Layton sans haut de forme nice
#pour contexte#je vais en Convention a rive de gier#et c'est la merde#j'en peu plus#je préserve je vais y aller#ET JE ME PRENDRAIS UN HAUT DE FORME LA BAS#kenshi's life
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Si nous imaginions un monde meilleur et à travailler ensemble pour le réaliser ? Entre rêve et réalité, il y a un trait d'union qui s'appelle l'amour....alors, mettons cet amour fraternel au cœur de nos cœurs et au cœur de ce monde, main dans la main, pour aller plus loin, plus haut, là où l'amour est Roi ! 💞
Que votre dimanche, chers amis, soit revêtu de paix et d'amour ! Soyez heureux et prenez soin de vous ! 🫶
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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saga: Soumission & Domination 361
Espagne 2015-3 : Jaime recrutement
Jaime
Donc Jaime a 18ans et rentre en 1ère année de fac de science. C'est un volleyeur (ça s'est vu sur la plage). 1m85, 80Kg de muscles sous une peau imberbe, bronzée et débarrassée de ses quelques poils hors pubis, noir de cheveux, monté 20 x 5 à 5,2 circoncis. Homo depuis sa première expérience sexuelle avec un de ses potes de sport, il a fait son coming-out et sort d'une histoire de près d'un an avec un mec de 20 ans. Il est actif et passif. Son père est médecin et sa mère l'assiste, mais dans le contexte économique actuel et 3 frères et soeurs plus petits, il cherche à participer au financement de ses études et c'est pour ça qui va faire le serveur au mois d'août.
Ernesto déballe son argumentaire. C'est la première fois que je l'entends. Il est bon dans l'exercice. Jaime n'est pas choqué par la proposition. Il faut dire qu'Ernesto amène comme un privilège le fait d'entendre celle-ci. D'ailleurs Jaime est flatté que ce soit lui et pas les autres qu'on ait choisi en premier.
J'insiste sur le côté " sécurité " du travail, suivi médical, pratiques SSR, clients conscient du " haut de gamme " de notre offre de service. Sans minimiser la partie sexuelle des prestations, Ernesto précise qu'il faut aussi être bon dans l'Escort proprement dit.
Là, notre futur collaborateur s'inquiète de son dressing. Peur balayée quand on lui dit que les vêtements spécifiques (costumes, smoking...) sont compris dans le contrat.
Le dernier détail qui pourrait clocher c'est la taille de bites à " héberger " dans son cul. Le XXL n'est pas naturel à tout un chacun.
Quand je l'ai sodomisé, j'étais confortable, mais bien serré aussi. Rires de l'intéressé, le mec qu'il vient de quitter était équipé d'un sexe de 20 x 6.5 et avec lui il n'était que passif.
J'en profite pour dire que nous gérerons la partie professionnelle de sa vie mais pas la partie privée. Le seul truc est de ne pas prendre de risque concernant sa santé, question de respect pour les clients.
Ernesto bat le fer tant qu'il est chaud et je comprends pourquoi quand il nous dit qu'un de nos clients n'est pas " couvert " pour ses vacances le mois prochain. Contrat type de 3 semaines, voyage compris, 1 semaine d'affaires dans la capitale et 2 semaines sur la côte d'azur, le tout pour un salaire net 40 fois supérieur à celui de serveur estival.
Il a un peu de mal à digérer l'information. J'appelle Romain qui lui confirme que c'est du réel. Lui aussi va taffer le mois prochain et qu'entre sa mise aux enchères, ses prestations hebdomadaires et le " travail " d'été, il se fera cette première année plus qu'un cadre supérieur moyen.
Je n'avais pas pensé que ce serait aussi sa première prestation dans la société. J'en parle à Ernesto qui avait lui aussi zappé le truc. Il corrige aussitôt la proposition et l'assure pouvoir obtenir plutôt du 80 à 100 fois. Il est scié.
Ernesto lui propose d'aller le lendemain à Barcelone à son bureau. Il accepte et nous retournons avec les autres. Ses potes essayent de lui tirer les vers du nez pour savoir ce qui nous avait retenu tous les trois, mais il se tait.
21h, nous dînons tous ensemble, nos visiteurs ayant accepté l'invitation. Nous aidons Paco pour le service. C'est surtout Jésus qui fait les aller et retour avec la cuisine. Allez savoir pourquoi ! Le rosé glacé est de mise et sans nous en apercevoir, nous sommes tous un peu " partis " à la fin du repas.
Jaime me prend à part et me demande si je veux qu'il plante son cul sur la mégabite de Paco pour nous montrer ses capacités. Je lui roule une pelle. Il est gentil le gamin. Je lui dis que je lui fais confiance et que s'il prend ses quartiers à la villa, ça arrivera bien assez tôt. Il me serre dans ses bras et me dit qu'il a trop de chance cette année. Il a eu son " Bac ", il a largué son mec et nous arrivons avec la solution à ses problèmes de financement. Il va même économiser le camping. Quand il me dit cela, il éclate de rire et me dit qu'il vient de se rendre compte que c'est rien maintenant. Et puis ses deux amis ont besoin de son cofinancement de l'emplacement de leur tente.
La soirée se prolonge. Entre cafés, papotages, caresses diverses mais encore softs et passages dans l'eau pour nous rafraichir, la nuit s'avance et nos amis acceptent de rester. Traverser une partie de la ville à moitié bourré, pour rejoindre les matelas durs de leur tente... Ça convient bien aux habitants de la villa qui espéraient bien une deuxième partie de sexe.
Je me fais les hollandais. Culs blanc mais fougue toute méditerranéenne. En alternance avec PH et Ernesto, nous saturons leurs trous de nos coups de bites impérieux. Quand nous les laissons pour tester d'autres " abris ", ils sont pris en charge par Ludovic et Hervé. Pas de temps morts !
Alors que je cherche un plan, j'entends Jaime qui m'appelle. En levrette devant Paco, il se fait ramoner le conduit par ses 23cm épais. Au moins on ne pourra pas dire qu'il n'a pas de suite dans les idées. Je m'approche roule un patin rapide à Paco avant de lui demander ses impressions. Je n'arrive à lui tirer qu'un " bon, trop bon". Je m'aplatis, retrouve les lèvres et la langue de ma dernière conquête. Il arrive à me glisser un " t'as vu, je peux prendre lourd " entre deux brassages de langues. Je me coule entre ses bras et kpote sa bite que le limage de sa rondelle ne semble pas faire débander. Je me retourne et, sur le dos cette fois, je recule jusqu'à ce qu'il me plante. Dans cette position, on peut se rouler un patin tout en menant nos petites affaires et Paco aussi. Ce dernier devine que j'ai un peu de mal à garder mes reins suspendus sous Jaime. Il nous propose de migrer vers la table basse proche. C'est mieux. Je suis couchée dessus sur le dos, Jaime à genoux entre mes cuisses est juste à la bonne hauteur pour m'enculer et Paco, accroupi, les mains accrochées à ses épaules reprend son labourage en règle.
La bite de Jaime est très efficace. En fonction des coups de rein qu'il reçoit, il arrive à modifier ceux qu'ils m'envoient dans le cul. Sans que je lui en parle, il me dit que c'est ce genre de plan qui lui avait manqué avec Pedro (son ex).
Il arrive à me faire jouir sans que j'aie besoin de me branler. Les passages et chocs répétés de son gland sur ma prostate suffisent à déclencher mon orgasme. Quand, lors de chacune de mes éjaculations, je stoppe net sa progression, il monte en pression et, à son tour, jute mais dans sa kpote. Ricochet suivant, c'est Paco qui gueule en larguant sa sauce.
Il est 4h30 quand on s'endort.
J+2
Réveils à 11h. Je suis dans notre grand lit avec Ludovic, Ernesto, PH et Jaime. Il y a aussi João et Romain à l'autre bout.
J'enfile un maillot. Ça réveille Jaime qui se lève à son tour. Sans bruit nous allons à la cuisine. Les portes des chambres sont grandes ouvertes et on voit qui a dormis avec qui. Mon Marc a encore dans ses bras Baz alors qu'Hervé s'est endormi avec Rubén. Plus loin Arvid et Gaz ont l'air d'avoir fait plus que dormir dans les bras l'un de l'autre vu la pagaille des draps.
Quand on déboule dans la cuisine, le spectacle est revigorant. Pour au moins la deuxième fois, Jesus est planté par Paco. Torse sur la table de la cuisine, il pousse de tous petits gémissements pour ne pas réveiller toute la maison. Paco va pour se retirer et nous servir le café mais je le prends de vitesse et lui dis de finir son petit Jesus.
Avec Jaime, on sirote notre café en commentant leur baise. Enfin c'est surtout Jaime qui entreprend Jesus. Il rigole car ce dernier le traitait de fou quand il se faisait Pedro et sa grosse bite. Là, Jesus se prend bien plus gros et long et il voit bien que ça donne aussi du plaisir les grosses bites. On mate encore quelques instants. C'est intéressant ce qu'une grande différence de physique permet comme positions. Paco exhibe ses gros muscles avec des portés sur bite athlétiques. Jesus n'en peut plus de se faire ramoner. Il finit par jouir, les jambes serrées autour de la taille de Paco, accroché à son cou. On le voit mordre dans le deltoïde et y laisser la marque de ses dents pour ne pas hurler son plaisir alors que son jus coule de leurs abdos compressés.
On les laisse pour se mettre au soleil sur la terrasse. Lunette sur les yeux, nous synthétisons de la vitamine D.
Les autres occupants de la maison arrivent en ordre dispersé. Certains la tête dans le cul, d'autres quasiment frais et dispo !
Je profite que tout le monde soit là pour prévenir qu'avec Ernesto et Jaime nous allons en début d'après-midi à Barcelone. Arvid nous demande de l'emmener aussi. Les autres décident de rester. Nous embarquons donc dans une des trois voitures de location et traçons au nord. Ernesto conduit. Il dépose Arvid devant sa coloc avec la promesse de ce dernier de revenir nous voir (il a notre adresse et nos n° de téléphones) surtout que les grosses partouzes sont encore à venir.
Puis on file vers le bord de mer. Vers le Bario de Barceloneta où Ernesto vient d'acquérir pas trop cher, au nom de la société, un vieil immeuble de 2 étages où il a implanté les bureaux et son appartement. L'extérieur est encore à refaire mais l'intérieur est nickel. Jaime est impressionné par l'endroit. Comme au blockhaus, Ernesto a réalisé une frise avec les photos de ses Escorts en maillot Addicted (chez moi ils sont en Aussiebum). J'ai beau connaitre mes employés, les voir les uns à côté des autres, je remarque une plus grande disparité de physiques. Jaime a du mal à décrocher ses yeux. Il nous dit reconnaitre trois mecs. Il n'aurait jamais pensé que leur aisance financière venait de ce taf. Quelque part ça le rassure.
On monte son dossier. Ernesto lui donne l'adresse des boutiques dans lesquelles il devra aller s'habiller. Il téléphone au labo d'analyse pour les prévenir que nous passerions plus tard. Il en profite pour appeler son client. Alors que ça sonne, il pousse le dossier du mec devant Jaime. Je l'ouvre et on voit le mec en photo. Il est en maillot de bain. Dans les 45ans, bien fait, on voit que le contenu de son slip est lourd et pourtant il ne bande pas ! Je regarde Jaime, il me dit que ça va il avait craint un mec gras, chauve et repoussant.
Nous entendons la conversation téléphonique. Ernesto explique qu'il lui a trouvé un escort pour le mois d'août. Le mec est ravi, il lui explique aussi que c'est une nouvelle entrée dans la société donc il devine ce qu'il va lui demander. Réponse du client " je sais comment ça marche mais là tu ne vas pas me faire des enchères j'en ai besoin ".
Ernesto l'assure qu'il le lui réserve mais qu'il va falloir qu'il soit généreux tout seul. Le client comprend et annonce le chiffre d'un résultat d'enchères normales. C'est ce que lui fait remarquer Ernesto qui lui rappelle qu'il va avoir son gars 3 semaines en 7j/7 et 24h/24.
A mes côtés, Jaime est sans voix. Je tempère en lui disant que le chiffre discuté est le salaire brut. Qu'il n'en aura que 55% net (le reste ce sont les charges 35% et la marge de la boite).
C'est limite s'il ne tombe pas dans les pommes quand le client propose 1 fois et demie sa première offre. J'opine de la tête et Ernesto confirme notre accord puis raccroche.
Jaime me roule un patin de la mort avant de faire pareil à Ernesto. Il est trop content. Son mois d'août qui s'annonçait sympa mais peu rémunérateur s'est transformé en vacances en France avec salaire de ouf.
Je lui demande si avec ses parents ça ne posera pas de problème. Ernesto annonce qu'officiellement, il émargera en tant que " secrétaire particulier ". Il dit que ce sera OK. Je pense aussi à la drogue, à Saint Tropez, ça ne doit pas manquer. Jaime me rassure que s'il avait dû tomber là-dedans, ce serait déjà fait vu la facilité pour trouver de la cocaïne aussi bien à Barcelone qu'à Sitgès. J'en profite pour souligner que nos escorts sont tous " propres " concernant les drogues et le tabac. Question de respect du client.
Quand on repart, on passe au labo. Le prélèvement dure 5mn et les résultats lui seront communiqués sous 48H comme en France. Nous sommes de retour à 18h. La villa est quasi vide. Marc et Hervé nous préviennent que les jeunes sont sur la plage et qu'eux attendent notre agent immobilier et son petit copain qui vont passer la soirée avec nous.
On enfile nos maillots, un short par-dessus. On prend la voiture et descendons à la plage.
Facilement on retrouve le petit groupe qui squatte un filet de volley. Les deux potes de Jaime l'assaillent de question. Il coupe court en leur disant qu'il avait profité du fait qu'Ernesto et moi dévions aller à Barcelone pour aller voir ses parents.
On entre dans le jeu. Une partie décousue mais acharnée, un plongeons dans la mer et on discute de la soirée. Les deux hollandais ont entendu parler d'une teuf et comptent y aller tout comme Rubén. La triplette souhaiterait les accompagner. Je demande plus de renseignement sur qui organise quoi. J'ai pas confiance et Ludovic non plus.
Après 5mn à nous faire la tête, ils admettent que nous ne sommes que le troisième jour d'un séjour de 21, donc ils ont le temps.
João me prend à part et me dit que si je veux, il pourra " encadrer " les petits au besoin.
En attendant nous remontons à la villa sans les " fêtards ". Dans la voiture où nous sommes tous entassés (10 !! y'en a 2 dans le coffre du C4 Picasso) Jaime console les jeunes en leur assurant que cette fête c'était plutôt souleries et défonce que baises et plaisirs. Il avait été à la précédente organisée par le même mec et s'était barré tôt avec Arvid qu'il avait rencontré là-bas pour la première fois.
Jardinier
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Tutoriel Installation 🛠️⚙️🔧
Je vois que certaines personnes galèrent avec la mise en place du thème que j'ai partagé (notamment pour héberger le css). Alors voici un tutoriel d'installation pas à pas, avec captures d'écran, pour vous permettre de le mettre en place correctement 💗 ⚠️ Pour rappel, le Blank Theme dispose de ses propres explications, que vous retrouverez juste ici. ⚠️ Veillez à bien avoir configuré votre forum comme l'indique le Blank Theme juste ici. ⚠️ Le forum doit impérativement être en version ModernBB.
1️⃣Pour mettre en place tes templates.
Nous allons commencer par copier les templates depuis le github. Ici, ce sont les différentes parties d'HTML qui nous intéressent.
Nous allons progressivement les coller dans les diverses sections de forumactif (voir screen ci-dessous). 📌Exemple ici avec le template images_list que je vais copier depuis le github : 📁HTML (templates) > 📁general >📄images_list.
Et coller dans le template images_list de forumactif.
Les noms des HTML sont exactement les mêmes du github vers forumactif donc vous ne pouvez pas vous tromper. Vous avez juste à copier d'un côté et coller de l'autre, en n'oubliant pas à chaque fois de sauvegarder à droite en cliquant sur le symbole disquette💾(ouais, j'vais rentrer dans les détails à ce point).
Quand l'ensemble de tes HTML ont été copiés et collés correctement (général, poster & messages privés, profil), tu vas pouvoir passer à l'hébergement de tes divers CSS.
2️⃣Pour enregistrer ton css afin de l'héberger.
Je t'invite à aller sur le github mais dans la section CSS cette fois-ci. L'ensemble des CSS devront être enregistrés sur ton ordinateur puis hébergés en dehors de forumactif car ils sont trop longs. 📁 CSS > 📄CSS_global
Tu peux copier le code et le coller dans un logiciel qui permet d'éditer du code. Pour moi, ce logiciel sera Notepad++, parce que j'aime me faire du mal, mais sachez qu'il existe aussi SublimeText. Ces logiciels sont gratuits ✅ et indispensables pour pouvoir enregistrer vos feuilles en format .css (comme on le ferait pour une image en format .png ou .jpg quoi).
Quand j'ai copié mon css depuis github et que je l'ai collé dans mon logiciel d'édition de code, je n'ai plus qu'à lui donner un petit nom en sauvegardant (chez moi ça sera CSS_global) et à l'enregistrer en .css (Cascade Style Sheets File).
3️⃣Pour héberger ton css en dehors de forumactif après l'avoir enregistré sur ton ordinateur.
Ca y est, à cette étape, tu as normalement l'ensemble de tes CSS (global, instagram, messenger, page d'accueil etc...) d'enregistrés individuellement sur ton ordinateur. Tu peux désormais aller les héberger en dehors de forumactif. Pour cela, j'utilise personnellement Archive Host (parce que j'aime vraiment me faire du mal) mais, tu peux très bien utiliser Dropbox. Il te suffit juste de créer ton compte. Tu arriveras ensuite sur une page où tu pourras ajouter tes fichiers et les stocker dans un dossier. J'aime que mes documents soient rangés donc, je te conseille de créer un répertoire et de l'appeler par le nom de ton forum (comme ça, si t'en as plusieurs, impossible de te tromper !).
C'est ici que je vais y ranger mes feuilles de CSS préalablement enregistrées. Je clique sur ➕Ajouter des fichiers puis sur ⬆️Démarrer l'envoi quand j'y ai ajouté ceux que je voulais.
Ca y est ! Ta feuille de CSS est désormais hébergée. Mais ce n'est pas terminé. Il faut maintenant relier ton forum à cette feuille. Et pour cela, rien de plus simple :
En survolant ta feuille de CSS avec ta souris, une flèche va apparaître en haut à droite ⬇️, clique dessus puis sur 🟦 Informations et Codes.
Cette fenêtre va s'ouvrir. Je t'invite à cliquer sur l'URL à côté de Principal et de la copier. C'est le lien de ta feuille depuis Archive Host. Tu vas ensuite aller la coller dans ton overall_header sur forumactif. Mais pas n'importe où !
Ici, les URL vers mes feuilles de CSS sont collées les unes après les autres juste en dessous de <!-- CSS Externes -- > ET sous cette forme : <link href="URL ARCHIVE HOST ICI" rel="stylesheet" type="text/css" charset="utf-8"> Il faut absolument que ces feuilles se trouvent avant la balise </head>. Tu verras, dans le code HTML de l'overall_header (à la ligne 20) j'ai laissé cet endroit vide, tu auras juste à les coller en dessous.
N'oublies pas de sauvegarder ! Et voilà. C'est tout. Rien de plus simple 💗 Cela te demande juste d'installer un logiciel d'éditeur de code (gratuit) et de te faire un compte sur Archive Host ou Dropbox (gratuit aussi). Si là encore vous êtes paumés.és (parce que ce n'est pas impossible malgré les screens et explications pas à pas), n'hésitez pas à m'envoyer un petit mp. 🌈
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Je ne sais pas si ce post poussera des gens à voter, mais j'avais besoin d'en parler.
Je suis comme bloqué depuis la dissolution, incapable de travailler sur quoi que ce soit, tout juste capable de repartager les posts des autres. Et du fait de mon handicap je ne peux même pas aller manifester IRL ce qui me donne encore plus l'impression de stagner.
L'éventualité, de devoir reconsidérer l'entièreté de ma vie, de mon travail, de l'espérance de vie de mes amours, ami'es et proches au matin du 8 juillet me terrifie au plus haut point.
Je place tout mes espoirs dans ce nouveau front populaire, avec un vrai programme social, économique, écologique, LGBTIA-friendly..etc
Je veux croire en nos mobilisations, nos luttes, nos espoirs et nos rêves arrachés à la bourgeoisie capitaliste et réactionnaire.
Dimanche 30 juin et 7 juillet on vote Nouveau Front Populaire.
#nouveau front populaire#art#illustrations#front populaire#trans#transgender#queer#lgbtiqa#laurierthefox#transgenre#illustration
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"Quatre secondes"
Wolverine x
M/FTMreader
note : mutant!reader
résumé : Logan entend malgré lui des bruits assez dérangeants dans une chambre voisine, il sera surpris de découvrir de qui ils proviennent
⚠︎ warnings : forme de voyeurisme, violence, langage vulgaire/cru, évocation de sexualité et de guerre, alcool, jalousie
3 805 mots - Description à la troisième personne
Il avait une ouïe surdéveloppée, tout le monde le savait. Les élèves qui se disputaient, il les entendait. Les vitres cassées par un ballon, il les entendait. Les rires à deux heures du matin, ça putain ouais il les entendait aussi. En bref, il entendait tout ce qu’il se passait dans le manoir, du moins au deuxième étage. D’habitude, aucun problème à s’endormir avec ces bruits, il avait déjà dormi sous des tirs de fusils alors des gosses n’allaient pas l’empêcher de se reposer. Enfin, c'est ce qu’il pensait. Les rires, les insultes, les chuchotements, d’accord, mais les gémissements c'étaient autre chose encore.
Au deuxième étage il n’y avait que les étudiants ayant dépassé la majorité, pour ceux que l’on pouvait dater, et quelquefois il arrivait que ce genre de choses se produisent mais rien de terrible, c'était léger et rapide, tout l’inverse de ces dernières fois. Parce que oui, “ces” dernières fois. Pas juste une fois, un vendredi soir pour fêter le weekend, non, tous les putains de soirs depuis une semaine. Alors Logan commençait à regretter son ouïe surdéveloppée.
Il n’avait jamais bien dormi, c'était pas son genre, mais ne pas dormir n'était pas son genre non plus. Il avait besoin de sommeil. Son corps avait beau se régénérer, il devait se reposer, pour éviter d'être de mauvaise humeur, encore plus que d’habitude je veux dire.
Mais aller toquer à la porte de cette chambre et demander poliment d'arrêter de baiser tous les soirs n'était pas non plus dans ses options. Malgré son caractère, assez explosif, Logan n’aimait pas ces situations, elles le mettaient toujours très mal à l’aise. Et puis, il devait avouer aussi qu’admettre que depuis une semaine il écoutait sans le vouloir ces bruits était un peu gênant, voire même beaucoup.
Lors de ces nuits blanches, Logan était parvenu à localiser la chambre d’où prévenait tout ce boucan. C'était la dernière, tout au fond du couloir, à environ cinq chambres de la sienne. Si sa mémoire était bonne, Oscar dormait là-dedans. Un mec assez banal et gentillet, le genre à se faire recaler par toutes ses conquêtes amoureuses. Et pourtant il en faisait du bordel. Bien entendu il n'était pas tout seul dans l’histoire, mais Logan ne voyait pas qui pourrait être la deuxième personne. Oscar avait des ami.e.s mais rien de fantastique, pas de petit.e ami.e non plus et en aucun cas une mutation permettant de faire ce genre de choses tout seul. En fait, il pouvait juste manipuler les couleurs, mais pas à un très haut niveau, seulement inverser le jaune d’une banane avec le rouge d’une fraise par exemple. Alors Logan séchait, il ne voyait pas qui ça pouvait bien être. Et même la voix ne l’aidait pas, il entendait davantage Oscar que l’autre. Même si quelquefois il parvenait à capter une voix, très douce, très tremblante, et il devait l'avouer, assez agréable à entendre. Mais ce n'était pas sa faute, il ne pouvait pas ne pas écouter, ses oreilles entendaient pour lui. Et même avec des bouchons il entendait tout, puis de toute manière il ne supportait pas ces trucs en plastique fluorescent.
Au bout de la cinquième fois, il avait eu espoir que ça s’arrête, qu’ils arrêtent. Mais ce n'était pas arrivé.
Honnêtement, il était un peu à cran. Les élèves le remarquaient très clairement, dès le début de la semaine ils avaient vu que Wolverine était d’humeur cinglante, ils se tenaient encore plus à carreaux. Leur soulagement était qu’au moins il n'était pas professeur, parce qu’ils se voyaient mal avoir à endurer ce regard enflammé pendant une voire deux heures de cours. Logan était simplement “invité”, ou peut-être “habitant”, ou “babysitter” aussi parfois. Charles lui avait proposé un poste en tant que professeur d’histoire, mais il avait vite refusé, ne voulant pas avoir à se coltiner des évaluations à corriger et une cravate à porter. Quelquefois il donnait des sortes de cours, ou plutôt des entraînements, dans le combat bien entendu. Et puis un ou deux, ou une petite dizaine d’élèves peut-être, lui demandait fréquemment de les aider à la salle de sport, pour des conseils ou juste un soutien physique. Avec tout ça il avait fini par connaître tout le monde, même s’il n’en avait pas l’air, il aimait plutôt bien ces gosses.
Et puisque officiellement il n’avait rien à faire, il pouvait observer Oscar, ou plutôt avec qui il traînait.
Appuyé contre un encadrement de porte, Logan ne détacha pas son regard du jeune homme. Malicia était passée parler à Oscar, et des sueurs froides avaient parcouru le dos de Logan en imaginant cette possibilité, mais heureusement elle était avec Bobby dans une chambre à l'autre bout du couloir. Katt était aussi passée pour lui donner des livres, mais Logan savait qu’elle avait déjà quelqu’un d’autre dans le viseur, ça ne pouvait donc pas être elle. Quentin, Mark, Sophie et Sasha aussi. En fait, Oscar parlait à beaucoup de monde et n’avait pourtant pas d’amis fixes.
Dix-sept heures et Logan commençait à râler. Pour un samedi, Oscar en voyait du monde, il faisait courir Logan un peu partout. Et dans tout ça, personne ne pouvait correspondre.
« Salut, tu as pu le récupérer ? »
Devant lui, à une quinzaine de mètres, Oscar discutait avec une nouvelle personne encore. Logan leva les yeux au ciel derrière ses lunettes de soleil et s’appuya davantage sur l’arbre dans son dos.
« Mh mh, Tornade a été compréhensive, elle m'a même aidé à le réparer »
Le garçon souriait faiblement, il n'était pas timide, Logan le savait puisqu’il connaissait assez bien ce jeune homme, c'était même lui qui l’avait ramené.
Il y a quatre mois, Logan est parti, sans vraiment savoir pourquoi, pour être honnête, il voulait juste aller près d’un lac et regarder la forêt vivre en face. Mais il a entendu un couinement, humain, ou du moins pas animal. En fait, il a failli couper la tête à ce garçon lors de leur première rencontre, il s'était caché dans un buisson derrière lui. Logan l’a écouté lui expliquer qu’il avait fuit sa maison pour échapper à des personnes qui ne l’appréciaient pas, il disait que sa famille lui manquait beaucoup mais qu’il ne pouvait pas revenir avec eux car c'était dangereux. Puis, sorti de nul part, il lui a dit qu’il était désolé pour tout ce qu’il avait vécu. Logan l’a fixé, pendant un long moment avant de demander : “tu lis dans les pensées ?”. Ce à quoi le garçon a répondu : “j’interprète les signes invisibles”. Il a fallu dix bonnes minutes pour que Logan comprenne, et qu'il se détende un peu par la même occasion. Le garçon lui a demandé pardon, il a dit ne pas avoir voulu être trop brusque mais qu’il n’avait pas pu s'empêcher de le dire, parce qu’il voyait la souffrance sur les traits de Logan. La discussion s'était arrêtée là, Logan s'était levé et avait lentement soufflé, il n'aimait pas parler de sa vie alors savoir que quelqu'un pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert l'avait dérangé. Le garçon s'était encore une fois excusé, les larmes aux yeux, et Logan l'avait regardé pendant quatre secondes, quatre longues secondes qui lui avaient fait ressentir plus que quatre années. Il avait pris le garçon dans ses bras, il n’avait pas contrôlé son geste, il voulait juste le prendre dans ses bras pour quelques instants. Après, Logan l'avait emmené au Manoir, et ils s’étaient vite perdus de vue dans la masse de mutants. Mais il le regardait, il ne pouvait pas s'empêcher de le regarder lorsqu'il passait devant une salle de classe et qu’il le voyait en train de prendre des notes, ou lorsqu’il écoutait de la musique dans le jardin. Logan se sentait un peu attaché à ce garçon, enfin, ce jeune homme, puisqu’il avait vingt-trois ans.
« Génial, Oscar sourit gentiment, et..tu peux venir ce soir ? »
Logan ouvrit grand les yeux. Oscar fixait le garçon avec un sourire, un peu trop grand pour n'être qu’une invitation à jouer aux cartes.
« Je sais pas trop, tu sais ça va beaucoup mieux là donc..je veux pas forcer de trop, répondit l'autre avec un regard neutre, contrastant avec la situation »
Bordel, il ne s’attendait pas à ce que ça soit lui. Mais en y repensant, ça semblait presque logique maintenant. La voix faible et tremblante était aussi calme et douce que la sienne, et puis il parlait beaucoup avec Oscar depuis quelque temps.
Logan lâcha son arbre, il retira ses lunettes et passa sa main contre ses yeux. Bordel de merde, il ne s'attendait pas à ça. Il avait besoin d’un peu de calme, et d’une bière accessoirement, alors il alla s’enfermer dans sa chambre.
Dans le jardin, Oscar et le garçon continuaient de parler, mais Logan n'était plus là pour les entendre, malheureusement.
« Aah putain ouais »
Deux jours, ils avaient tenu deux jours avant de recommencer. Et Logan n’allait plus tenir, surtout maintenant qu’il savait à qui parlait Oscar.
Bordel, il n’aimait pas ça, non il n'aimait pas ça du tout. Cette contraction dans sa mâchoire, ses muscles tendus, son cerveau en ébullition. Bordel, ça faisait des années qu'il n'avait pas été jaloux, et il fallait que ça tombe sur ce mec.
Sincèrement, il devrait avoir une médaille pour ne pas déjà avoir lacéré cette foutue porte de chambre, et peut-être au passage un des hommes à l’intérieur. Mais c’était quelque chose de compliqué à contrôler, la colère elle était faite pour sa mutation, elle était compatible. Alors oui, putain oui il avait envie de sortir ses griffes et de défoncer cette porte. Mais il se retenait, parce que concrètement il n’y avait rien, rien que deux types en train de coucher ensemble. Il n’avait aucun droit sur ce garçon, il lui avait à peine parler, et pourtant un truc au fond de lui, au plus profond de sa cage thoracique, lui disait qu’il était sien. Foutu Wolverine, foutu instinct.
Il se leva, arrêtant de massacrer son oreiller avec ses dents. Il ouvrit sa porte de chambre et descendit le plus vite possible au rez-de-chaussée, assez vite pour se retenir de sortir ses griffes. Bien sûr il n’y avait personne, tout le monde était dans sa chambre et dormait, enfin sauf certains. Logan ouvrit le réfrigérateur et y prit un soda, puisque l'alcool était interdit dans l’établissement. Il but la moitié de la bouteille, manquant d’en faire couler sur son menton. Il essaya de se persuader que c'était de la bière, mais le sucre gâchait tout.
Un bâillement le fit sursauter. Par réflexe ses griffes sortirent, prêtes à embrocher.
« Wow range tes couteaux je veux juste de l’eau ! »
Le garçon se tenait devant lui, dans un large t-shirt beaucoup trop grand pour lui. Logan rentra immédiatement ses griffes, posant à l’aveugle son soda sur le comptoir de la cuisine.
« Qu’est-ce que tu fous ici ? »
Sa voix granuleuse, rauque, presque incompréhensible lorsqu’il parlait trop bas. Le garçon déglutit faiblement, il avança et passa derrière l’îlot central pour attraper un verre dans le placard. Logan semblait bouleversé, ok non peut-être pas autant, juste un peu déboussolé alors. Ses yeux étaient plus ouverts que la normale, ses pupilles larges, rondes, et ce n'était pas pour l’obscurité, il y avait au moins deux millimètres en trop pour que ce soit le cas. Et puis sa mâchoire était tendue, pas contractée mais elle l’avait été très récemment ça se voyait, il y avait encore les micros tremblements musculaires sur le masséter. Et sa peau était pigmentée, par du rouge amarante, posé par points s’étirant petit à petit le long de l’os principal.
« Je viens juste chercher de l’eau, pas besoin d'être aussi agressif »
Logan essaya de respirer, vraiment, mais il avait un peu de mal. Est-ce qu’il venait boire pour compenser toute la sueur épuisée, est-ce que ce t-shirt était à Oscar, est-ce que cette odeur était la sienne.
« Cale-toi sur le battement de tes cils, dit le garçon en s’appuyant sur le lavabo, la respiration devient meilleure et régulée lorsque les clignements sont plus lents et contrôlés »
Logan lui lança un regard, entre l’interrogation et la désorientation. Le garçon lui sourit, il but une gorgée de son eau avant de reprendre la parole.
« Les signes invisibles, expliqua-t-il, tu es stressé, énervé et frustré, je dirais que c’est en rapport avec quelqu'un et je pourrais même dire que c’est moi mais j’aime pas être narcissique alors je le dirais pas »
Le jeune émit une courte pause, juste le temps d'interpréter les réactions de l’homme en face de lui.
« J’ai raison, et en plus de tout ça je dirais que tu es totalement paumé, il se rapprocha, regarde moi, dans les yeux, fixe moi et seulement moi, il posa sa main sur la joue droite de Logan, ne crois pas que j’essaie de te draguer, je te calme juste, parce que ça m’embêterait que le Wolverine fasse une crise d’angoisse à cause de moi »
Les spasmes oculaires se calmèrent, Logan l'écoutait et le fixait comme il lui avait dit. Son cœur ralentissait, tout doucement, pas d’un coup sec et c'était bon signe. Sa gorge était toujours serrée, il retenait quelque chose, son air ou sa voix peut-être, ou alors une réaction, oui une réaction.
« Tu peux sourire si tu veux, je vais pas te croquer tu sais, il sourit doucement à Logan pour appuyer ses mots, et puis je sais très bien que c’est toujours amusant comme situation, il retira doucement la main du visage de Logan, je veux dire, que quelqu’un sache exactement ce que tu penses et fais sans qu'il lise dans tes pensées, ça fait flipper, ou rire, ça dépend des personnes »
Sa gorge se desserra très légèrement, et un souffle amusé passa ses lèvres. Le garçon s'écarta de quelques pas, pour avoir une vue d’ensemble, et tout sembla à peu près stable.
« Comment tu peux faire ça »
Il sourit de nouveau à Logan et répondit en montrant de la tête les mains de ce dernier.
« Et toi, comment tu peux faire ça »
Logan reprit sa bouteille dans un sourire amusé, il la finit en quelques gorgées. En face, le garçon fixait la pomme d’Adam monter et descendre dans une lenteur hypnotisante. Il devait l'avouer, Logan lui plaisait beaucoup.
« Je- je vais remonter du coup, dit-il en se redressant »
La bouteille de soda vide fit un bruit aigu en se posant contre le plan de travail. Logan croisa les bras et prit deux secondes pour observer le jeune homme qui le regardait toujours.
« Tu t’entends bien avec Oscar ? »
Ce micro tremblement dans sa voix grave, il soulignait une retenue. Le garçon fronça les sourcils et pencha la tête sur le côté, réfléchissant à ce signe plutôt qu'à la question. La voix de Logan était plus forte, d’environ trois décibels, plus puissante surtout, oui puissante. Son visage était fermé, comme la plupart du temps, mais les muscles de ses joues n'étaient pas contractés contrairement à d’habitude, il était plus détendu à certains endroits de son corps. La bouche, les yeux, les hanches et le ventre. Ok, on touchait au personnel, la question avait un rapport avec son personnel.
« Il est gentil oui, pourquoi ? Tu le connais ? »
Léger mouvement du sourcil droit, ça l'agaçait.
« Non, répondit Logan, pas plus que n’importe quel mec »
Son regard un peu fuyant, qui contournait la silhouette du garçon. Ok, il avait sa réponse.
« Tu es jaloux Logan, expliqua le jeune homme avec un grand sourire, t’es tellement jaloux que le simple fait de parler d’Oscar fait bouger tes griffes »
Il se rapprocha de l’homme, assez pour laisser un mètre entre eux deux. Logan planta son regard dans celui de l’autre, et le garçon su qu'il avait raison.
« Il est à qui ce t-shirt »
Son sourire ne fit que de s’agrandir.
« À un homme, répondit le plus jeune »
« Qui »
Des frissons se mirent à courir contre la peau du garçon, la voix de Logan était encore plus forte, plus grave encore.
« Tu irais déchiqueté l’intestin d’Oscar si je te disais son prénom ? »
Le point de Logan se resserra, non il lui mettrait un coup de poing, et Dieu sait comme de l’adamantium pur dans la mâchoire peut faire des dégâts. Le garçon se rapprocha encore un peu.
« Je pense que Charles ne sera pas très content si tu mets dans le coma un de ses élèves, mh ? »
Doucement, lentement surtout, il posa sa main sur les phalanges de Logan. Ses doigts se refermèrent sur les os solides de l’homme, créant une chaleur diffuse à ce niveau.
« Range ces armes, arrête de serrer des dents, tu vas finir par te les casser et surtout, il caressa de son pouce la peau de Logan, continue de me regarder comme ça si tu veux que je t’embrasse »
Quatre secondes, quatre longues secondes. Logan y vit toute la tendresse du monde, remuant dans les iris du jeune homme en face de lui. Toute la fraîcheur du matin, pigmentant sa peau. Il y vit un courant puissant circuler derrière ces yeux, un courant d’eau et d'électricité, quelque chose de grand et dangereux, tout au fond derrière ces beaux yeux. La mutation de ce garçon était puissante, grande et dangereuse si elle était mal contrôlée, il pouvait tuer en un regard, un souffle ou un toucher. Ces beaux yeux avaient accès aux corps de n’importe quel être vivant, des poumons aux paupières, il pouvait tout voir avec ces beaux yeux. Il pouvait ressentir le clignement ayant qu’il n’arrive juste en un regard dans les iris de quelqu’un, il pouvait l’intercepter ou le supprimer. Un regard sur le cœur humain et il y voyait le rythme, rapide pour Logan, il pouvait le stopper, il pouvait le contrôler. Il pouvait stopper le Wolverine comme le contrôler, comme s’il ne s’agissait que d’un simple être humain, comme s’il n’avait pas ce poison sur les os et que sa peau vieillissait au rythme des années. Il pouvait tuer Logan, comme n’importe quel autre mutant ou humain, il pouvait s’il le voulait le rendre mortel, il avait ce pouvoir. Il le rendait mortel, parce que d’un regard, d’un souffle ou d’un toucher, il pouvait lui ôter la vie. Logan ressentait ça, il voyait ce courant puissant danser dans ces beaux yeux. Et putain, il adorait ça.
Et aussi peut-être que dans ces beaux yeux, dans ce courant chargé d’électricité humide, il pouvait imaginer tout son futur, se gravant à l’encre rouge sur ses lèvres entrouvertes. Parce qu’il avait quelqu’un de dangereux en face de lui, des lèvres dangereuses qui pouvaient lui ôter la vie, comme personne n’en avait jamais eu le pouvoir.
Pour la première fois depuis des années, il pouvait légitimement éprouver de la peur, la peur de la mort qui se cachait sur ces lèvres, ces lèvres qu’il embrassa à pleine bouche.
Le jeune homme ne put s’empêcher de gémir en sentant les lèvres de Logan contre les siennes. Il aurait pensé devoir se battre avec le temps pour pouvoir suivre le rythme d'un baiser avec Wolverine, mais c'était tout l’inverse. Il était doux, ses mouvements lents et contrôlés, sa main tendre contre la joue du garçon. Il prenait son temps, tout son temps. Il caressait de son pouce la peau laiteuse du jeune homme, il souriait faiblement entre deux rencontres buccales, semblant même murmurer des mots que seul lui entendait, mais que le garçon interprétait.
Logan poussa l'autre contre le réfrigérateur, faisant tomber quelques cartes postales et aimants. Il prit le visage du garçon entre ses deux mains et le regarda pendant encore quatre secondes, quatre secondes pour voir tout le courage dont il avait besoin.
« Alors, il est à qui ce t-shirt ? »
Un rire traversa les lèvres rougies du plus jeune, Logan remercia les dieux de lui avoir donné une ouïe surdéveloppée pour entendre mille fois mieux ce joli son.
« À mon frère, il me l'a donné avant que je ne parte et depuis je le porte les soirs où ma famille me manque »
La relaxation musculaire de Logan fut presque impressionnante.
« Donc il est pas à Oscar ? »
« Non, il est pas à Oscar, répondit-il avec un sourire »
La main du plus jeune se posa sur la nuque de Logan, il lui sourit encore une fois, parce qu'il avait un peu toujours envie de sourire en le regardant.
« Tu nous a entendu c’est ça ? En fait je pensais pas qu’il pouvait être aussi bruyant pour être honnête »
« C'était toi ? C'était vraiment toi ? »
Ses muscles se contractèrent de nouveau et le garçon roula des yeux, plus amusé qu'autre chose. Dans sa paume de main il pouvait sentir le trapèze supérieur de Logan se resserrer, ou si l’on voulait traduire, il pouvait sentir les muscles de Logan se contracter sous sa paume de main.
« Oui c'était moi mais de ce que je sache j'ai le droit de coucher avec qui je veux, non ? Demanda-t-il de sa douce voix »
Logan baissa pendant quelques instants ses yeux, le garçon lui pinça faiblement la peau pour les faire remonter vers lui.
« Ma mutation est complexe Logan, et parfois j'ai besoin d’une grande source de relaxation pour calmer tous mes sens, il continua en souriant, tu sais quelle activité produit le plus d’endorphines le plus rapidement ? Le sexe, et Oscar m’a aidé parce que c'était le seul en qui j’avais assez confiance pour faire ça »
Il fit glisser ses mains le long du torse de Logan.
« Du moins, le seul étudiant, il encercla la taille de l’homme au dessus de lui, parce que crois-moi j’aurais adoré te demander, mais tu es..Wolverine tu vois et- je me voyais mal demander à Wolverine de coucher avec moi, parce que t'es un X-Men et moi je suis juste un mutant qui vit dans le même manoir que toi »
Logan posa ses lèvres contre une des pommettes du jeune homme, il embrassa faiblement la peau à cet endroit avant de murmurer dans l’oreille du garçon.
« La prochaine fois, saute moi dessus et arrête d’autant réfléchir »
Cette fois, ce fut Logan qui remarqua des signes sur le corps du jeune homme. Des rougeurs, un sourire un peu retenu, des yeux brillants et une respiration accélérée. En clair, tout ce qu’il aimait voir chez quelqu’un qui lui plaisait.
« Le consentement c'est important alors, le garçon émit une pause, je peux te sauter dessus là maintenant ? »
Le sourire qui éclaira les lèvres du plus âgé fit pulser le cœur du plus jeune.
« Putain ouais »
° x-men masterlist
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Petite fête
à la demande de @babythere j’espère que ça plaira 😇
6« Wow, vous avez l'air... incroyable. »
Lilia X reader
Tout le monde s’en était sorti vivant de la route, et c’était une très bonne chose. L’atmosphère était remplie de soulagement et de joie. Billy, débordant d’énergie, avait envie de fêter cet événement. Avec un sourire charmeur, il avait supplié Agatha, insistant sur l’importance de célébrer leur chance.
"Allez, Agatha, ce serait tellement bien de le faire chez toi !" avait-il dit, ses yeux pétillants d’excitation.
Après de très longues heures de supplication, Agatha, finalement convaincue par l’enthousiasme de Billy, avait accepté. La nouvelle avait rapidement circulé, et tous s’étaient mis en tête de s’habiller pour l’occasion. Les préparatifs allaient bon train : les lumières scintillantes étaient accrochées, et la musique douce flottait dans l'air, créant une ambiance festive.
Les invités étaient tous présents, parés de leurs plus beaux atours, riant et discutant joyeusement. Chacun avait fait un effort, des robes élégantes aux costumes bien taillés, tous semblaient ravis d’être là. Pourtant, une ombre planait sur cette fête : Reader n’était pas encore arrivée.
Lilia était assise sur le canapé, les coussins moelleux l'entourant comme une étreinte réconfortante. Ses pensées vagabondaient, se heurtant à l'inquiétude qui s'était installée dans son esprit. "Où est donc passée Reader ?" se demandait-elle, le regard fixé sur la porte, espérant la voir entrer à tout moment. Le bruit des rires et des conversations joyeuses des autres invités résonnait autour d'elle, mais elle se sentait déconnectée, perdue dans ses réflexions.
C'est alors que Billy s'approcha et s'assit à côté d'elle, son sourire habituel illuminant son visage. Il remarqua immédiatement l'air préoccupé de Lilia.
"Hé, Lilia," commença-t-il, sa voix douce et rassurante, "ne t'inquiète pas. Reader va bientôt arriver, j'en suis sûr."
Lilia tourna lentement la tête vers lui, ses yeux se posant sur son ami. Elle lui offrit un sourire, bien que légèrement hésitant.
"Je sais, Billy," répondit-elle, sa voix trahissant une pointe d'anxiété. "C'est juste que… je me demande ce qui lui prend tant de temps."
Billy observa Lilia, son regard plein de compréhension. "Peut-être qu'elle a eu un contretemps," suggéra-t-il, tentant de la rassurer.
Lilia se laissa aller à un léger rire, appréciant le soutien de son ami. "Tu as raison, comme toujours," répondit-elle, un peu plus à l'aise.
Elle se redressa et observa la pièce, se laissant emporter par l'énergie de la fête, tout en gardant un œil sur la porte, espérant apercevoir Reader.
Reader était enfin arrivée, et elle avait l'air éblouissante dans son pantalon rouge qui épousait parfaitement ses formes, mettant en valeur son allure dynamique. Son haut noir, simple mais élégant, ajoutait une touche de sophistication à sa tenue.
En la voyant entrer dans la pièce, Billy ne put s'empêcher de sourire, ses yeux s'illuminant de joie et d'admiration. Reader, réalisant qu'elle avait attiré l'attention de tous, s'approcha avec une petite moue d'excuse.
"Désolée pour le retard," dit-elle, sa voix douce mais pleine d'énergie, presque comme une mélodie qui résonnait dans l'air.
Lilia, qui observait Reader avec admiration, ne pouvait s'empêcher de la trouver tout simplement magique. Elle se sentit submergée par l'émotion, ses mots peinant à sortir. Après un moment de silence, elle réussit à articuler, le cœur battant :
"Wow, tu as l'air… incroyable." Ses mots, chargés de sincérité, firent briller les yeux de Reader, qui ne pouvait cacher son bonheur.
Reader rougit délicatement, un sourire timide se dessinant sur son visage. "Merci, Lilia," répondit-elle en s'asseyant à côté de son amie, leurs épaules se frôlant. "Je peux dire la même chose pour toi, cette couleur te va vraiment bien."
Lilia se sentit flattée, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres. Elle jeta un coup d'œil à son propre haut, un doux rose qui contrastait avec le rouge flamboyant de Reader.
"C'est gentil de ta part," dit-elle, le cœur léger.
Les deux amies échangèrent un regard complice, conscientes que leur complicité ne faisait que grandir au fil des instants partagés, créant un moment inoubliable rempli de rires et de complicité.
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Appliquer le dark mode à une bannière
Il est d'utilité commune désormais d'utiliser un dark mode sur nos forums afin de rendre l'accessibilité la plus complète possible au maximum d'utilisateurices. Cependant un souci se pose souvent; c'est celui de la bannière. Une fois installé dans le panneau d'administration, il est difficile de savoir comment faire en sorte qu'elle change lorsqu'on clique sur le bouton de dark mode. Les couleurs; c'est souvent très bien expliqué mais la bannière, je n'ai personnellement pas trouvé de tuto' explicatif de comment faire. C'est pour ça que nous sommes là aujourd'hui ! Avec quelques petites modifications de template et de rajout de CSS, nous allons apprendre à mettre en place une bannière en deux "couches" afin qu'elle change au click du dark mode.
Il va falloir tout d'abord comprendre comment nous allons procéder. Nous allons tout simplement supprimer la balise dans notre template principal qui correspond à la bannière et en "recréer" une toute nouvelle. Ça semble compliqué de premier abord, mais pas du tout !
Dans votre template "overall_header" (Panneau d'administration > Affichage > Template > Général), vous avez cette ligne là :
<a href="{U_INDEX}" id="logo"><img loading="lazy" src="{LOGO}" alt="{L_INDEX}"/></a>
Cette ligne correspond à la bannière que vous allez entrer dans votre panneau d'administration au niveau des images, et qui est cliquable en renvoyant à l'accueil. Donc si on la supprime, allez-vous me dire, comment avoir une bannière qui s'affiche correctement et qui est ensuite cliquable ? Et bien, on va tout simplement simuler cet effet avec deux couches; un peu comme les calques sur Photoshop. Le premier calque correspondra à notre bannière qui va changer au dark mode et la seconde couche sera une bannière "invisible" à la même taille que l'on va poser par dessus, et qui sera elle, cliquable. C'est donc en décortiquant cet effet pour le reproduire en deux étapes simples que l'on va pouvoir avoir une bannière qui change avec le dark mode.
Alors avant de continuer, il faut que vous ayez d'ores et déjà installé un dark mode (celui de @code-lab, EDISON, est très bien, très bien expliqué et très pratique !) afin d'avoir dans notre CSS le root correspondant au mode de base de notre forum et le "data:root", correspondant aux valeurs du dark mode.
Commençons donc par installer les deux couches de bannière. À la place de votre valeur supprimée qui correspond à la bannière de base de Forumactif, vous allez rajouter ceci à la place :
<div class="dark_bann"></div> <div class="dark_bann_sup"><a href="/"><img src="https://2img.net/i.ibb.co/BTqHhnX/prdbirthday3.png"/></a></div>
Ici, vous pouvez voir que la première div est vide et que la seconde contient une bannière invisible. Votre affichage de forum après avoir enregistré le template sera tout vide en haut de la page d'accueil et c'est parfaitement normal ! On ne panique pas, et on va installer le CSS pour rendre tout ça un peu plus joli.
La première étape est d'aller créer une nouvelle valeur dans le root correspondant à l'image de la bannière de base que vous voulez afficher; comme celle que vous aviez installé dans votre panneau d'admin. Exemple :
:root { --imgbann:url(VOTREURLD'IMAGEICI); }
Une fois ceci fait, vous allez copier coller cette même valeur dans le dark:root (qui correspond à ce que le dark mode va aller remplacer), mais en changeant l'URL par la bannière en dark mode. Exemple :
[data-color-scheme="dark"]:root { --imgbann:url(VOTREURLDELABANNDARK); }
D'accord, c'est bien mignon mais rien ne change quand on clique sur le dark mode, oskour ! Pas de panique, c'est parfaitement normal. On vient simplement de configurer le changement d'image au click du bouton de dark mode. Maintenant, il va falloir appliquer cette même image par le CSS dans la bannière dont la div était vide. Et oui, elle servait à ça ! Retournez donc dans votre CSS, et rajouter ceci :
.dark_bann { width: 800px; height: 500px; overflow: hidden; background-image: var(--imgbann); background-size: 100%; background-position: 50% 50%; }
Ici, nous avons donné une largeur de 800px à notre bannière, une hauteur de 500; on a imprimé en image de fond notre bannière de base; on lui a appliqué une taille de 100% pour que ça prenne bien toute la place disponible et on l'a centré totalement. Et là, magie, notre bannière s'affiche bien et change au click du dark mode !
Cependant il reste un souci, notre bannière invisible cliquable apparaît en-dessous de notre "vraie" bannière qui elle n'est pas cliquable. Nous allons donc ajouter à notre CSS :
.dark_bann_sup { overflow: hidden; width: 1005px; height: 500px; margin-top: -500px; } .dark_bann_sup img { width:100%; }
Ici, on a donné la même taille à la bannière invisible (vous pouvez essayer de lui mettre un background d'une couleur bien voyante comme le rouge pour bien la voir) et on l'a "remonté" pour qu'elle se superpose à notre vraie bannière. Et là, tout est parfait ! On peut bien la cliquer comme une bannière "normale", et la couche inférieure est notre bannière qui change au dark mode.
Voilà voilà, j'espère que ce tuto pourra aider qui que ça intéressera et que ça ne sera pas trop difficile à utiliser !
#forumactif#tuto code#tutoriel#forum rpg#rpg forum#french rpg#ressources#forumrpg#forum#code#rpg francophone#partage de ressources
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Des sensations et des mystères
Je pose mon stylo où mes doigts et mon esprit sont engourdis. Je reviens à moi. L’espace rétréci de la page blanche s’ouvre à nouveau. Ma nuque est douloureuse. Je m’étire, les coudes en arrière. Je quitte ma feuille pour aller vers d’autres feuilles. Je me lève et me dirige vers l’extérieur.
Il y a le jardin, là devant moi. Tout est là. La porte se referme et j’avance dans la lumière et la chaleur. Là me parviennent immédiatement les odeurs florales, le bruissement des insectes affairés et le doux balancement des plantes. Je pose mon regard à l’ombre. Un papillon reste immobile sur une feuille étalée, elle-même sur une tige élancée. Il y a quelque chose qui attire plus haut, plus loin encore. Quelque chose de la vie. Je pose mon doigt sur une hampe vert tendre pour découvrir une coccinelle à l’abri.
Tout est dit de l’harmonie et de la magie. Dans le silence, les noms savants des fleurs me reviennent eux aussi. Podranea rocasoliana. Isotoma axillaris. Cistus albidus. Et je suis à ma place. Juste là, avant de revenir à l’écriture. Encore et encore. Puisque c’est ma nature.
/ Fabienne PASSAMENT. 2024 Atelier d'écriture d'après Monique Wittig
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Un chapitre très intéressant sur comment la guerre a laissé des traces que ce soit envers les vétérans ou ceux qui ont attendu que leurs maris ou leurs pères reviennent et peu d'entre eux sont revenus. Millie a perdu son père et a du mal à rester travailler dans cette charité. Alors qu'elle est culpabilisé par les gens de la haute société pour dire qu'elle met sa souffrance en avant négligeant celle des autres. J'ai bien aimé l'intervention de Yor car elle est aussi victime de la guerre mais a décidé de devenir plus forte pour son frère car personne d'autre pouvait veiller sur elle et Yuri. Et j'aime bien le fait qu'on voit Melinda de manière plus positive, dans le sens oui elle a ses responsabilités en tant qu'épouse de Donovan mais elle a aussi sa famille. Ce qui la rend un peu plus nuancée après j'espère qu'on aura des moments entre elle et ses fils, je pense que c'est important pour elle mais aussi pour eux. D'ailleurs techniquement Loid est un vétéran lui aussi, je me demande si il va y aller ou pas car ça risque de lui rappeler de mauvais souvenirs.
A very interesting chapter on how the war left its mark, whether on veterans or those who waited for their husbands or fathers to return, and not many did. Millie has lost her father and finds it hard to stay working in this charity. At the same time, she is blamed by the upper classes for putting her own suffering first and neglecting that of others. I liked Yor's intervention because she too is a victim of war, but she decided to become stronger for her brother because no one else could look after her and Yuri. And I like the fact that we see Melinda in a more positive light, in the sense that yes, she has her responsibilities as Donovan's wife, but she also has her family. Which makes her a little more nuanced, and I hope we'll get some moments between her and her sons, because I think it's important for her, but also for them. Besides, technically Loid is a veteran too, so I wonder whether he'll go or not, as it might bring back some bad memories.
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Un amour au-delà de l’amour, plus haut que le rite du lien, au-delà du jeu sinistre de la solitude et de la compagnie.
Un amour qui n’ait pas à revenir, mais non plus à s’en aller. Un amour non soumis aux frénésies d’aller et venir, d’être éveillés ou endormis, d’appeler ou de se taire.
Un amour pour être ensemble ou pour ne l’être pas, mais aussi pour tous les états intermédiaires.
Un amour qui serait comme ouvrir les yeux, Et peut-être aussi comme les fermer.
Roberto Juarroz
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Les nouvelles expériences d’une vie sans fin (10.4/15)
‘al et -bi ! Ils -op mignons !
Où… suis-je ?
Aaah ! Non !
Du -alme ! Personne -ous veux -al !
Vous… ? C’est bien vous ?
Hum… Yugo. Je suis Yugo. Et vous qui êtes-vous ? Vous êtes un Éliatrope ?
.
Kar-abra !
…
Karbonabra !
.
Vous allez-mieux ?
.
Yugo… et Adamaï ? C-c’est bien vous ? Je…
O-oui, c’est bien nous ! Et vous… Vous êtes qui ? Vous êtes un Éliatrope ?
Vous… Vous ne vous souvenez de rien ?
.
Il y a tellement à raconter !
Tellement…
.
Ce type aurait plusieurs milliers d’années ? Il est plutôt bien conservé !
.
Ce monde était bien différent lorsque nous sommes arrivés.
Il… ressemble à notre monde d’origine.
.
Là-haut, par-delà le ciel, il existe d’autres terres, d’autres étoiles… Et leur nombre est infini comme le sont les grains de sable dans le désert…
.
Altesse Qilby ! Altesse Qilby ! C’est Chibi, ça fait une heure qu’il pleure, je sais plus quoi faire pour le calmer…
Si vous voulez bien m’excuser, je vais aller m’occuper de cette jeune pousse.
.
Tu sais ce qu’elle te dit ma choucroute- ?!
Alors, Chibi, on a un gros chagrin ?
Qu’est-ce que tu dirais d’une petite histoire ?
Il était une fois un petit Tofu qui s’appelait Tartouffe…
Mais à trop vouloir embrasser sa jolie rose, Tartouffe fit… Pouf ! Et il éclata comme un ballon de baudruche.
.
‘us dur a… faire les portails. Qil- puiser dans nos deux Wakfu. -mite ! Pas une sec- us !
Qil- expliqué -portails à dis-…
Murs du chât-remblaient !
Même -ait neigé !
Les -tropes et -gons… lien puissant ! Savoir – servir ! -by m’a expliqué com-…
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Ça va aller ?
Ne t’inquiète pas pour moi, je suis coriace.
Trouve le dofus de ma sœur dragonne Shinonomé et libérons notre peuple.
C’est le plus beau cadeau que tu puisses me faire.
.
… mais tout ce qu’il a mangé pour l’instant c’est des coups de sabots…
Ah, les jeunes dragons ont parfois du mal à gérer leurs émotions. L’un d’eux a rasé Bonta si je me souviens bien.
Oui, c’était avant le Chaos d’Ogrest. Votre connaissance de notre histoire ne cesse de m’étonner Altesse Qilby.
Hélas, elle s’arrête aux récits et légendes concernant les dragons, Maître Joris.
.
Père ! Les derniers représentants sont arrivés.
C’est bien la première fois qu’ils sont à l’heure. Ils doivent piaffer d’impatience d’entendre votre histoire. Vous vous sentez prêt, Qilby ?
N’ayez crainte. Cela fait une éternité que je suis prêt.
Alors allons-y. Sadida fasse qu’ils soient aussi accueillants que nos hôtes.
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Un nouveau peuple va bientôt faire son apparition. Le monde en sera changé à jamais… C’est à nous tous de faire en sorte que cet évènement soit une fête ! Je laisse la parole au Roi des Éliatropes, son Altesse Qilby !
.
Peuples du Monde des Douze, Oyez l’histoire des Éliatropes.
Entendez comme ils perdirent leur monde et découvrirent celui-ci.
Il existe d’autres terres, d’autres étoiles…
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Altesse Qilby, comment savez-vous que vos enfants seront encore… enfants ?
Les Éliatropes sont-ils immortels ?
Votre Altesse ? Ces êtres mécaniques qui ont détruit votre monde, les Méchasmes. Sont-ils encore une menace ?
Et ce vaisseau avec lequel vous êtes venus ?
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Rejoignez la Déesse Sacrieur !
Votre place est auprès d’Osamodas.
Altesse, vous pouvez compter sur Sram-
Pour vous pourfendre le cœur ! Rejoignez plutôt le peuple Iop !
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Nos connaissances, nos croyances… Englobent et dépassent les frontières de cet univers. Nous avons été, sommes et seront toujours une culture ouverte. Soyez sûrs que nous partagerons notre savoir afin que tous puissent croître et évoluer.
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Altesse Qilby… Combien êtes-vous ? De combien d’enfants parlons-nous exactement… ?
Si ma mémoire est bonne-
Non !
-et je sais qu’elle l’est…
NON !!
Plusieurs dizaines de milliers.
Quoi ?!
C’est une véritable invasion !
Qui va les nourrir ?
Cela va coûter une fortune !
Qui va payer !
Par Écaflip, je suis prêt à parier que ce ne sont pas les Énutrofs !
.
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Non…
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Mettons les pendules à l’heure, le peuple Xélor ne pourra prendre en charge une si vaste communauté.
Et pourquoi pas les mines du peuple Énutrof ? Cela devrait suffir pour accueillir un peuple entier…
Hein ? Oh, n’écoutez pas ces ragots ! Ce sont des bruits de galeries ! Les mines-
Arg ! Assez ! Parlez plus simplement : il y a des femmes et des Iops ici !
.
Pardonnez-moi, Altesse, mais…
Les Éliatropes ont-ils vraiment des intentions pacifiques ?
Yugo a sauvé le monde, je vous rappelle !
Merci de le rappeler. Le monde qui était en danger à cause de cet objet éliatrope… L’Éliacube ! Dont le Royaume Sadida s’est emparé après nous en avoir caché l’existence ! Que nous cache-t-on encore ? Qui nous affirme que tout cela n’est pas une manigance de Bonta pour déstabiliser Brakmar ?
Bonta et Brakmar ont signé une trêve, ne l’oubliez pas !
Les trêves sont faites pour être rompues.
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On nous demande de croire à ces histoires de monde dans les étoiles, soit ! Mais que l’on ne nous demande pas d’accepter tout et n’importe quoi sans contreparties !
Tout à fait d’accord !
Pourquoi seraient-ils les seuls à conserver l’Éliacube ?
Nous devrions y avoir accès !
Comme si les Sadidas valaient mieux que nous !
Ils vont faire disparaître de l’or avec de tels pouvoirs !
Je ne voudrai pas crier au Mulou, mais imaginez qu’ils se rebellent…
Vous avec le feu, là ! Il vaudrait mieux les installer sur une île déserte !
Oui ! Chacun chez soi, et les Bouftons seront bien gardés !
Parfaitement !
Ah ! Surtout s’ils peuvent voler !
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Non.
Votre Altesse ! Comme vous pouvez le constater, nous sommes fidèles à notre poste !
Personne ne s’approchera de l’Éliacube sans l’accord du Roi !
Personne… ?
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Personne ne voit à quel point c’est dur… Quand j’te gronde tu m’ries au nez… Qu’est-ce qu’il faut faire ? Qu’est-ce que j’peux faire ?
Armand a raison, Adamaï, nous ne sommes plus à notre place ici.
Qilby ?
Nous devons parler.
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J’ai pris une décision.
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Yugo et toi ignorez tellement de choses sur les pouvoirs de notre peuple.
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Qilby… Où sommes-nous ? Je n’connais pas cet endroit, mais il me semble… familier.
Nous sommes ici chez nous, Adamaï.
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Qilby ! Vous venez de retirer l’Éliacube mais son énergie continue d’affluer !
Oui, il en fait très peu pour éclairer le vaisseau !
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Pour le faire décoller, ça par contre c’est une autre histoire…
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Ces dessins… J’les connais !
C’est l’histoire de notre famille. De…
Notre peuple…
Qilby ?!
Ah ? Oui, pardon.
Vous aviez l’air absent.
Notre planète, je me demande à quoi elle ressemble aujourd’hui. La guerre que nous avons livrée là-bas a dû énormément l’endommager…
Vous devez avoir le mal du pays…
Le mal du pays ? Hahaha ! Pas du tout ! Je suis juste curieux de savoir ce qu’a pu devenir un monde dont je connais les moindres recoins, mais je ne remettrai jamais les pieds là-bas – haha…
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J’ai un pouvoir, Adamaï. Contrairement à mes frères éliatropes, j’ai en mémoire toutes mes vies. J’ai les souvenirs de plusieurs millénaires.
Et j’ai compris depuis bien longtemps que c’était tout, sauf un don.
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Adamaï. Je te demande de me faire confiance.
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Tu n’as pas changé Adamaï. J’aurai beau essayé de vous convaincre, ton frère et toi, vous resterez toujours les mêmes.
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J’aimerai tellement que ça se passe différemment pour une fois.
Mais l’histoire se répète, inlassablement ~ !
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Oh crois-moi, petit dragon, il y a bien pire que le trépas…
Super ! Vous avez failli m’avoir !
Moua-ha ! Moua-hahaha !
Quoi ?
Nan mais j’repense au cri qu’t’as poussé en voyant Grougal ! Ou-ho-hahou ! Hahaha !
Hahaha ! C’est clair que j’ai flippé. C’était bien joué de ta part, Adamaï. Très malin…
Ou-ho-hahou !
Hahaha !
Vous ne vous rendez pas compte de ce que vous faites !
J’me rends compte que le monde est en danger et que ça m’donne
tous les droits !
Si un dragonnet m’a donné autant de fil à retordre, je n’ai à l’évidence, aucune chance contre ce vieux Phaéris.
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Bonjour la compagnie !
Raaah ! Anathar !!
Et bien justement je viens vous parler de tout ça.
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Voyez-vous ça, Monsieur… ?
Qilby.
Qilby ? Très joli prénom. Ça m’fait penser à une p’tite fleur.
Ah, c’est gentil, c’est la première fois qu’on me le dit !
Aaah, Yugo… Quel plaisir de te voir. Le spectacle te plaît ? Je n’ai jamais aimé la violence, mais voir les imbéciles se déchirer me passionne.
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Pourquoi vous faites tout ça ? Vous trahissez notre peuple-
Raah, tais-toi ! C’est vous qui m’avez trahi et non l’inverse, frères indignes !
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Crois-moi, j’aurai aimé que ça se passe autrement…
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Emporte et protège le Dofus, petit roi. Je m’occupe du traitre.
Cesse de m’appeler comme ça !
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Ce que tu dois comprendre malgré nos différents, c’est que nous avons toujours eu les mêmes objectifs ! Servir notre peuple !
Vous confondez servir notre peuple et se servir de notre peuple ! Nous n’avons rien en commun !
Tu as toujours été arrogant…
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Tu as toujours eu la faculté de donner ta vie pour peu de choses, Yugo ~
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Tu n’apporteras jamais ce dont notre peuple a toujours eu besoin…
Qui est ?
Du cœur !
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Comme je disais… Incorrigible.
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Quoi ?! Tu ne vois pas que c’est un moment important ? Mes frères méritent de disparaître honorablement !
Cet idiot faisait tache dans cet acte final !
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Qilby !!
Alors, mon cher Yugo, qu’en penses-tu ?
C’est ici que vous m’avez enfermé pendant tant d’années !
Tout a été si long ! Je suis tombé dans une léthargie !
Incapable de penser…
Grâce à toi, mon cher roi, je suis devenu un mort-vivant !
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Ensuite, je te laisserai passer quelques milliers d’années ici… Tu verras, on finit par devenir complètement fou !
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Bienvenue parmi les tiens, Yugo… Tu te trouves ici au milieu de ta vraie famille…
Balthazar, moi aussi je suis très heureux de te revoir. J’avais presque oublié la douce chaleur de ta voix.
Modère tes paroles, vieux dragons… Tout comme moi, tu ne désires pas que nous nous affrontions ici. Pense aux conséquences pour tous ces petits.
Qu’es-tu venu chercher ici, Qilby ?
Mon Peuple bien sûr ! Il est temps pour nous de reprendre la route ! Tous ensemble comme autrefois !
Bien sûr que vous allez me suivre, nous sommes un peuple élu ! Et c’est ce que nous allons faire !
Toi ! J’aurais dû t’éliminer quand j’en avais l’occasion !
Mais tu ne l’as pas fait. Comme tu n’as pas achevé Phaéris quand tu le pouvais. Et c’est pour cette raison que tu ne toucheras pas à Balthazar, ni aux enfants qui se trouvent ici !
Attention, chers tous ! Notre grand Roi vient d’avoir une Révélation ! Il pense me connaître. Et bien vas-y ! Explique-nous pourquoi je ne me débarrasserai pas de vous et de ce cher Balthazar.
Parce que tu vas finir tout seul Qilby… et c’est ta plus grande peur. Tu prétends vouloir te débrasser de nous, mais depuis le début, tu passes ton temps à nous regrouper ! Tu aurais pu nous vaincre cent fois ! Tu m’as envoyé retrouver Phaéris, et maintenant tu nous amènes ici. Tu as trahi ton peuple, déclencher une guerre, causer la perte de tes frères et maintenant tu t’apprête à détruire un monde. Mais tu ne veux pas partir seul. Le problème, c’est que l’on connait tous ton vrai visage… Les masques sont tombés Qilby. Je ne suis peut-être qu’un gamin, mais mon cœur me dit que personne ne te suivra. Si tu veux partir, fais-donc ! Ne te gêne pas !
Raaah, tais-toi !
Et tu peux dire ce que tu veux, tu partiras seul !
TAIS-TOI !!
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Tu ne sais pas qui je suis. Tu ne connais pas ma malédiction, alors garde tes sermons d’enfant pour toi…
Roi Yugo, tu devrais comprendre qu’en faisant cela, c’est tout le peuple éliatrope que tu emprisonnes !
Et toi, ton peuple, tu l’as mis six pieds sous terre !
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Tu n’as jamais eu l’âme guerrière, Balthazar… Retourne donc mettre ta tête dans tes livres. Ça fait moins mal !
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Pourquoi ne veux-tu pas comprendre que personne ne viendra avec-toi ? Mais moi, je te combattrai quelque soit le prix à payer !
Nous te combattrons Qilby !
Taisez-vous !
Assassin de nos parents !
Tu ne tromperas plus personne…
TAISEZ-VOUS !!
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Shinonomé… !
J’arrive ma sœur…
Shinonomé, ma sœur, tu m’as tellement manqué.
Tu es la seule à me comprendre Shinonomé !
Shinonomé, aide-moi, je t’en prie…
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L’Éliacube ! Rends-le-moi ! Il m’appartient !
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Oui, ça en valait la peine…
Ça en valait la peine pour moi.
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Tu ne m’as jamais compris ! Aucun de vous ne s’est jamais soucié de moi ! Vous êtes-vous seulement imaginé quel était mon calvaire ? Je meurs… et je reviens à la vie. Mais j’oublie pas comme vous ! Non… Je me souviens, encore et encore. De tout ! Chaque instant reste gravé dans mon esprit. Notre planète est devenue trop petite pour moi Yugo…
Et pour cela, vous avez déclenché une guerre, vous avez envoyé votre peuple au massacre.
Mon bonheur valait moins que le vôtre ? Tu peux me regarder avec ton air supérieur !
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Non… ! Pas ça !
Ne me refait pas ça, Yugo !
Je n’ai pas le choix, Qilby, tu es beaucoup trop dangereux !
Non, je deviens fou ici… Seul !
Déjà fou et seul, Qilby !
NON !!! Pitié !!
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Pitié…
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« Et voilà qui conclue notre histoire. »
Les images s’étaient succédées, chaque scène suivant l’autre sans jamais s’arrêter… Une valse folle de souvenirs dont les moindres contours avaient à jamais été gravés dans le marbre. Ainsi que dans le cœur de leurs spectateurs, dont les yeux, d’abord écarquillés par l’acte déraisonné de leur camarade, n’avaient alors su se dégager de la large toile blanche, où s’étaient éclatées, une à une, les couleurs d’une histoire oubliée. Les pastels des jours heureux, les ocres des soirs passés au coin de l’âtre et l’albâtre des matins qui laissaient encore l’avenir se rêver… Remplacées par la suie de la guerre, les lumières rougeâtres de la haine… Ce bleu cristallin de la mort.
Yugo n’avait pas bougé, le bras toujours agrippé à celui de Tristepin après être parvenu à lui faire lâcher la chaîne des Lectanima… qui lui étaient d’ailleurs restées dans les mains. Tout avait été si vite et pourtant… Des millénaires venaient de déferler devant ces créatures qui ne pouvaient qu’espérer en vivre une poussière. Combien de temps s’était-il réellement écoulé ? Une dizaine de minutes ? Difficile à dire. Mais dehors, le soleil venait à peine d’embraser les cimes de la forêt primaire encerclant le Palais. Cinq peut-être ? Tout était allé si vite… Et plus les paysages leurs étaient apparus familiers, plus les bribes de mémoire s’étaient accélérées, comme si elles-mêmes pressées d’en finir avec ce vulgaire spectacle voyeuriste. Les contours étaient devenus flous, les couleurs avaient perdu de leur superbe, délayées, les lumières détraquées, déran-
« …Doc’ ? » La voix du mineur, d’habitude si rauque, n’était qu’un murmure. « Vous… ? »
L’attention de tous se riva enfin sur le principal intéressé. Le projecteur. Le metteur en scène…
« Q-qilby… ? »
L’autre ne lui répondit pas. Ses ongles s’étaient enfoncés jusqu’au bois tendre de la chaise sur laquelle il avait été tenu de s’assoir. On pouvait voir ses épaules se soulever en saccades irrégulières, mais sa respiration avait été réduite en un fin sifflement, presque indiscernable si vous ne lui tendiez pas l’oreille. Les sangles de cuir pendaient lamentablement le long de ses tempes. Ce fut Amalia qui, la première, choisit de s’avancer vers le scientifique, dans un silence presque religieux. Les mains quelque peu tremblantes, elle parvint à dénouer les dernières attaches, et les restes de l’appareil maudit vinrent se heurter contre les dalles de pierres.
« Hey, l’ancien… Ç-ça va ?
- Sire Qilby, comment vous sentez-vous ? Je, enfin, nous…
- Qilby ! Je suis dé- ! »
Il ne releva pas tout de suite la tête, mais lorsque l’Éliatrope se redressa enfin… Tous furent réduits au silence. Les traits de son visage avaient été creusés, ses yeux injectés de sang et dans son cou, l’on pouvait voir naître des veinules améthyste, signe d’une activation particulièrement brutale du collier. Ses joues avaient été inondées par les larmes : réaction physiologique pour tenter de garder ses yeux ouverts tout au long de la projection ou simple épuisement mental, toutes les réponses se valaient. Mais ce qui était le plus dérangeant dans ce portrait était…
« Ah ! Et bien je dois dire que cette expérience a été particulièrement enrichissante ! Qui aurait cru que des êtres incapables de voyager à travers l’espace soient aussi doués à manipuler le temps ! ~ Ha, ha ! »
Un large sourire. Psychotique.
« Doc’…
- Non, vraiment ! Un miracle de technologie ! Quel dommage que celui-ci n’ait pas survécu au pré-test : je suis certain qu’il avait un grand potentiel. » Comme soudainement habité d’une force désespérée, il rompit ce qui lui enserrait encore les poignets pour se lever. « Enfin ! Cela ne fait rien ! »
La coiffe crème envahit alors l’espace vital du guerrier Iop, ce-dernier ne pouvant s’empêcher de reculer de quelques pas, la main à la garde de son épée :
« Et quel dommage également que nous n’ayons pas pu visionner le passage qui semble tant préoccuper ce cher Messire Tristepin ! Hum ? » Les iris dorées passaient d’une tête à l’autre sans discernement. « Mais je ne me permettrais pas de révéler ce qui n’est pas mien ~ héhé… Madame ? Vous ne verrez pas d’objection à ce que je vous laisse gérer la suite des évènements, n’est-ce pas ?
- Je… Oui, Messire Qilby. » Tenta de lui sourire Évangéline.
« Mais attention ! » En un instant, il avait traversé la pièce, faisant bondir le Prince Armand au passage. Un sourire toujours aussi éclatant. « Une seule question a été posée aujourd’hui… Nous sommes bien d’accord, n’est-ce pas ? »
À la stupéfaction générale, la Crâ prit alors la main du scientifique dans les siennes, contenant tant bien que mal ses tics et spasmes nerveux.
« Nous sommes d’accord. » Le rassura-t-elle. « Une seule question, qui ne demande qu’une seule réponse... »
À celle-ci, l’agitation maniaque du scientifique sembla s’apaiser. Un hochement sec de la tête, et il se retourna face à son audience, aussi dramatique que dans ses plus sombres heures :
« Bien ! Voilà une bonne chose de réglée ! » Son sourire n’avait pas bougé, mais des rides de fatigue au coin des yeux étaient apparues. « J’espère que vous ne m’en voudrez pas si jamais je vous laisse donc en bonne compagnie ! Toutes ces folies ne sont plus vraiment de mon âge – Ha, ha, ha ! Et puis ! Ce n’est pas comme si je n’avais pas un nouvel antidote à préparer, hé, hé ! »
Comme poursuivi par un Néphylis en chair et en os, Qilby s’échappa alors de la salle, sans même laisser le temps à son frère de le rattraper. Juste avant de disparaître, il jeta néanmoins un dernier regard vers le guerrier roux, ses canines encore prises dans un rictus bien trop grand pour son visage émacié :
« Et toutes mes félicitations, Sire Tristepin ~ ou bon courage, ha, ha ! Avec ce genre de choses, on ne peut jamais être sûr ! »
Derrière lui, les membres de la Confrérie du Tofu et de la famille royale se tournèrent un à un, perplexes, vers Évangéline, qui avait gardé son regard fixé sur le dos du scientifique aussi loin que celui-ci lui permettait. Après un moment, les joues empourprées, elle se racla la gorge, et, les bras enserrant son torse, annonça la nouvelle :
« Je… Je suis enceinte.
- Tu- ?
- Sadida !! » Le cri perçant d’Amalia n’avait d’égale que sa vitesse à se jeter dans les bras de son amie. « Je le savais ! Oh, Éva ! Je suis tellement contente pour toi !
- Hé, bien joué gamine ! »
Mais alors que les louanges et les félicitations affluaient, Maître Joris, toujours préoccupé par l’ici et maintenant, ne put s’empêcher de demander :
« Avec tout le bonheur que je vous souhaite à vous ainsi qu’à votre future famille, Dame Évangéline… Auriez-vous l’amabilité de nous éclairer sur ce à quoi nous venons d’assister ?
- Je crains de ne pas comprendre votre question, Maître Joris. » Répondit l’archère, un fin sourcil levé en signe de défiance.
« Humpf, je vois, alors… Comment se fait-il que notre cher hôte ait pu prendre conscience de votre état alors même que-
- Oui, c’est vrai ! » Tristepin, qui, s’il s’était rapproché de son aimée, gardait encore ses distances. « Avoue, ce type louche t’a forcé à-Aoutch ! »
Un poing de fer venait de s’abattre contre le crâne creux du guerrier. Les yeux d’Évangéline étaient sombres.
« Pour une fois, Pinpin, évite de t’agiter et écoute ce que l’on te dit, d’accord ? » Se tournant vers l’assemblée. « Je me doute que vous avez beaucoup de question, mais… J’ai fait une promesse. Qilby aussi d’ailleurs, et jusqu’ici il ne l’a jamais rompu : c’est moi qui lui ai demandé de ne pas révéler mon… état.
- M-mais enfin, Éva, pourquoi ? Tu sais très bien que nous- !
- Oui, Amalia, je sais. C’est juste que… je ne me sentais pas prête à assumer tout ça, tu comprends ? Surtout avec… avec tout ça. »
Le geste déchu comme les épaules fatiguées valaient autant que cent mots. Ruel hocha la tête et vint poser une main réconfortante sur celle de la Crâ :
« T’inquiète donc pas, gamine, ça s’voit que t’as pas essayé de nous doubler… Ces affaires là… ça demande du temps pour s’y faire, pas vrai ? »
La gorge et les yeux pris par les larmes, Évangéline ne put que sourire à leur vieil ami.
« M-mais… Éva ? » C’était Yugo qui avait, enfin, levé la voix. « I-il… Qu’est-ce que…. Qu’est-ce que ça veut dire tout ça… ?»
Le jeune Éliatrope était pâle, rivalisant de peu avec les écailles ivoires de son frère dragon qui se tenait à ses côtés. Il tremblait. Ce qu’il avait vu, là, sur la toile-non ! Ce qu’ILS avaient vu… Ce jeune homme la tête sertie d’une couronne et les traits hautains, aux mots si rudes, si froids… Au regard si vide… C’était lui ? Il était lui ? Yugo avait été… ou était-il toujours ?
Moi, Yugo, Roi des Éliatropes…
Soudain, il eut envie de vomir. Alors c’était vraiment comme cela que… ? Tout était faux ?! Non ! Il devait y avoir une erreur ! C’était une ruse, pas vrai ? Encore une manipulation, un mensonge, une illusion ! Pourtant… Il avait l’air si troublé en partant, non, fuyant. Qui croire ? Que f- ?
« Hey… Yugo ? » Il releva le tête, plongeant dans deux iris émeraude. « Je me doute que tu dois avoir plein de questions, et sache que, contrairement à certains… » Regard appuyé en direction de Maître Joris. « … elles sont légitimes. »
Évangéline, trainant son mari encore quelque peu sonné derrière elle, invita alors les deux frères à la suivre :
« Qilby n’est pas une menace. Du moins pas à l’heure actuelle. Il y a juste tellement de… tellement de choses à raconter. Et ce n’est ni ma place ni mon rôle que de le faire, ou même que de discuter les raisons de ce secret, car après tout… J’ai moi aussi une promesse à tenir. Toutefois…
Je crois que nous devrions parler, Yugo.
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Un imbécile…
Je ne suis qu’un imbécile.
~ Fin du chapitre 10
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saga: Soumission & Domination 338
Adam notre Flic
La soirée du samedi est agréable. On boit un peu trop et je ne peux laisser Adam (le Flic) repartir bourré. Quand on va se coucher, je l'accompagne à la chambre du premier qu'il avait occupé la veille mais cette fois il est seul.
Dimanche matin : Réveil en milieu de matinée. Je mate le canal qui enregistre la chambre de notre invité. Il sort juste de la douche et se rhabille. Je le vois hésiter puis ne pas remettre son slip de la veille. Je décide d'aller le chercher en jock sous mon peignoir. Quand je frappe à sa porte il m'ouvre aussitôt. Je lui dis que le petit déjeuner est prêt avant qu'on fasse un peu de sport. Il me suit et nous retrouvons Ludovic et PH en train de prendre un café. Ils sont en jock prêts pour une séance sportive. J'annonce le programme. Sport jusqu'à midi, déjeuner, repos, arrivée des garçons...diner puis je les reconduis chez Max pour la semaine. Adam est partant. Après un petit déjeuner succinct, nous descendons à la piscine pour l'échauffement. Je passe un maillot à Adam qui n'avait pas prévu de rester. Il nage mais est loin d'être un bon nageur. Il nous lâche pour aller courir sur un tapis de course à côté. Nous finissons nos 3/4 d'heure de préparation. Séchage rapide, échange des maillots contre des jocks et nous passons sur les postes de muscu. Là, notre invité est meilleur. Sans pousser aussi lourd que moi, il se place aux alentours de PH ce qui est déjà pas mal. On sue une heure de plus à pousser de la fonte. Les muscles gonflent, les corps brillent, c'est sexe tout d'un coup ! J'assure Adam sur le banc de développé-couché. Il peine dans les derniers soulevés de ses séries. A 80Kg c'est honorable, ce doit ne pas être loin du 100% de son poids. Ses pecs sont bien carrés, épais et plats. Ses tétons se dressent aussi quand il pousse la barre. Il est devient vraiment craquant. Et évidement je ne peux m'empêcher de bander. Ma queue déforme mon jock, repousse le tricot élastique juste au-dessus de son nez. Il ne peut maintenant plus ignorer l'intérêt qu'il suscite en moi. Ce qui me fait plaisir c'est que je vois la même chose se produire dans son jock.
Quand il repose la barre sur son support avec mon aide, je me plie dessus et tombe en avant, ma tête vers son entrejambe. Ma bouche ouverte coiffe l'emplacement de son gland. Alors que je pensais qu'il allait me repousser, je le sens repousser la poche de mon jock et prendre ma bite dans sa bouche et rapidement dans sa gorge. Il me surprend car avec nos deux " petits frères ", il s'était montré plus que dominant. Finalement il est peut être recto/verso. J'entends Ludovic me dire que les deux jeunes ne vont pas apprécier. Je me redresse, le temps de lui dire qu'ils sont gentils mais là, c'est une urgence à traiter. Ils en profiteront ce soir de leur policier. Sorti de son emballage et vu la profondeur qu'il atteint dans ma gorge j'estime son sexe à 21cm par 6 de diamètre ovale. De mon côté, mes 20x5 sont gonflés à bloc et ma rondelle me démange. Je le laisse trente secondes le temps d'attraper une kpote et un tube de gel. Quand je reviens il n'a pas bougé. Je le couvre, une noisette de gel de part et d'autre et je m'assois sur lui. Ses mains se crispent sur la barre chromée encore chargée de ses poids. Je ne cède rien et m'enfonce sa bite jusqu'à poser mes fesses sur le haut de ses cuisses. Je comprends le plaisir que nos deux jeunes ont pu prendre avec elle. L'ovale de sa bite est très agréable tout comme son gros gland rond qui bute et rebute à chaque passage contre ma prostate. Je m'accroche à la barre juste à côté de ses mains et chevauche cette nouvelle queue. A nos côtés PH et Ludovic sont résignés. Ils nous laissent seuls. Je prends un bon plaisir à pomper cette bite avec mon cul. Ses mains lâchent la barre et viennent serrer ma taille. Il accentue mes descentes et me garde un instant enfoncé avant de me relâcher pour que je puisse remonter. Mes cuisses brulent. Mes quadriceps tétanisent mais je garde le rythme. Encore deux coups de son gland contre ma prostate et j'explose. Je jute jusque dans ses cheveux, zébrant son torse, son cou et ses joues de plusieurs trainées de mon sperme. Je m'écroule sur lui alors que sa queue sort naturellement de ma rondelle. Petite douche rapide et nous montons au 4ème retrouver mes deux " consciences ".
Le déjeuner nous attend. Ils arrêtent de faire la gueule avant le fromage. Ils savent que je suis difficilement raisonnable alors m'empêcher de faire quelque chose, de plus sexuel, c'est de l'ordre de l'impossible ! Au dessert on en rit tous. Ludovic admet que je suis probablement le seul à pouvoir me permettre ça avec son frère sans qu'il n'en veuille à Adam. Il prend la 300C pour chercher son frère et Max. Ils nous font la fête quand ils arrivent au blockhaus. Pas besoin de dire quoi que ce soit, Enguerrand me serre dans ses bras et me demande si j'ai aimé me faire défoncer par Adam autant qu'eux deux. Je lui prends le visage entre mes deux mains, le fixe dans les yeux puis lui roule une pelle entière, exigeante, vorace. Quand nous en terminons, PH conclue tout haut que je suis pardonné. Enguerrand lui répond que de moi, il accepte tout vu la dette qu'il avait. Je fronce les sourcils, pas la peine que notre Flic vienne à apprendre mes " activités " parallèles. Il comprend et change de sujet en annonçant qu'ils n'avaient que deux pauvres petites heures devant eux. Max attire alors Adam et Enguerrand vers le 1er étage. C'est bien 1h50 plus tard qu'ils reviennent sentant tous les trois le savon. Echanges de bisous dans le garage et je reconduis nos deux lycéens chez Max alors qu'Adam nous confirme qu'il passera le mardi soir suivant.
Mardi soir : J'informe les escorts présents c'est-à-dire tous les homos plus Côme et un des " médecins " qu'allait venir un lieutenant de police pour nous enseigner l'art de recevoir un premier coup marquant mais sans conséquence nous permettant de justifier de l'état de légitime défense. Ils sont tous au courant de ce qui est arrivé à Max et Enguerrand et les conséquences policières. Max complète l'information en les avertissant que le type est homo mais qu'il est pour eux deux, donc il les remerciait de ne pas le draguer. Viktor me regarde et dit qu'il ne me croirait pas si je leur dit que j'ai pas baisé avec lui. C'est Enguerrand qui répond à ma place. Il leur dit que moi c'est différent, j'ai tous les droits, ils le savent et d'après ce qu'il a compris, ils sont même d'accord avec lui. Mais ce qu'il accepte de moi, il ne l'acceptera pas forcément d'un autre. Il tempère l'avertissement avec un " mais si ça se passe lors des touzes post sport, ils feront avec ". Le nouveau membre du " club " arrive sur ces entrefaites. Le temps de traverser le garage, il voit qu'un groupe travaille dans la serre autour de la piscine. On monte au 2ème. La pièce est pleine malgré l'extension du rez-de-chaussée.
Il est un peu sidéré du nombre de mec qui s'entraine. Je l'attends alors qu'il se met aussi en jock (que je fourni). Puis on tourne pour lui présenter tous les mecs présents. A ce niveau, c'est François et PH qui s'occupent des lutteurs. Ils viennent nous voir l'un après l'autre pour une présentation plus poussée de leurs enseignements. Dans le monte-charge qui nous descend vers l'autre salle de sport, il me dit que les mecs sont méchamment canons. Il est intrigué par les piercings dorés qui ornent un téton de certains mecs. Je lui dis juste que les lutteurs avaient ôté les leurs pour se battre. Nous entrons dans le jardin. Là aussi nous attend une brochette de beaux mecs. Anthony est en train de coacher les trois nageurs qui utilisent les 3 lignes d'eau. De l'autre côté du bassin, le tatami est dirigé par Jona et Sosthène (la capoeira demande de l'espace !). J'appelle Anthony. Il descend du rebord du bassin. Lui est en maillot. Mais un Aussiebum qui lui remonte le paquet de façon légèrement indécente. Je le présente comme notre responsable diplômé du pôle natation du groupe. Quand je présente Adam, j'annonce qu'il va devoir élaborer un programme intensif pour sa mise à niveau. Protestation de l'intéressé. Mais je lui fais admettre que dans cette discipline il est un peu à la ramasse. Son crawl est désordonné et il a du mal à aligner un km sans s'arrêter deux ou trois fois. Nous rencontrons après les " maîtres " du tatami. Jona l'entretien rapidement sur le sujet principal de sa venue. Je m'aperçois alors qu'Adam est encore meilleur que je ne pensais en combat. Jona n'arrive à le mettre au sol qu'avec ses connaissances estivales. Adam est surpris de se retrouver sur le dos. Il se rétabli d'un coup de rein avant d'aller serrer la main de Jona, impressionné. Il nous demande si le reste de l'équipe est de ce niveau. Jona lui dis que plus ou moins selon les affinités de chacun envers un des sports de base, karaté, krav maga, boxe française ou capoeira. Mais l'apport, depuis la rentrée, des techniques américaines nous a tous transformés en machine très efficace. Avec ce qu'il voit à coté de nous, Adam n'en doute pas. Il me demande si je n'ai pas d'autres étudiants en médecine dans mon équipe car il se rappelle maintenant qu'il a été en intervention aux urgences de l'hôpital pour trouver un " perturbateur " déjà maitrisé et maintenu à terre avec le genre de clé qu'il venait de voir ici. J'avoue qu'il doit y en voir maintenant presque une demi-douzaine à s'entrainer avec nous.
Je le laisse avec Jona. Avec lui, il détermine les façons de prendre un coup marquant sans dégâts. Je retrouve Anthony et fait le point avec lui des capacités à nager d'Adam. Il me dit qu'il veut le voir à l'oeuvre. L'entrainement du premier trio arrivant à sa fin, il appelle Adam. Je lui trouve un maillot " Funky trunks " qui moule ses fesses et son paquet idéalement. Anthony le pousse dans l'eau et le fait nager. Je regarde. La brasse coulée est correcte mais la coulée courte. Le crawl est peu efficace avec des battements de pied frénétiques. Le dos crawlé est de même quant au papillon, inconnu au bataillon. Anthony descend dans le bassin et commence par diriger son crawl. Si Adam n'est pas un très bon nageur, il sait écouter les conseils même s'ils viennent de mecs plus jeunes que lui. Une heure plus tard, il a vraiment fait des progrès. Lui-même est content du résultat. Max et Enguerrand déboulent pour le tirer de l'eau et l'embarquer sous les douches. La prise en commun ne l'étonne pas mais comme nous sommes nombreux à passer, la promiscuité est grande et il ne peut s'empêcher de bander ! Les habitués sourient. Avec le temps ce genre de frottements ne les fait en général plus bander. Une " prise " en main par un collègue, oui !
Max tire Adam coté piscine et Enguerrand suit. On les laisse mais nous entendons rapidement les bruits caractéristiques d'une chaude baise. Coté douches, ça se met à bander ferme. C'est parti pour une touze improvisée. Sans même se sécher, les kpotes sortent des pochettes, se déroulent sur des bites avant de se retrouver bien au chaud de culs accueillants. La kpote que je porte fait connaissance avec les muqueuses internes de Sosthène. J'ai toujours un faible pour les derniers arrivés ! Ça prend peu de temps pour voir apparaitre la tête de nos trois tourtereaux. Adam m'avouera plus tard n'avoir jamais baisé qu'avec 3 mecs en même temps au maximum. Là, les 20 mecs présents sont plus craquants les uns que les autres même s'il a un faible pour les deux plus jeunes.
Je vois Enguerrand le pousser dans les bras de Sosthène. Je l'entends aussi qui lui demande s'il s'est déjà fait un black. Je les laisse avant d'entendre la réponse mais je vois mon petit beau-frère préparer la rondelle noire alors que son policier d'Adam se fait pomper grave par la bouche qui va avec. Je joue avec quelques-uns de mes escorts. J'ai rarement à chercher qui veut faire l'amour avec moi. Je tâte du cul de Simon, Nikolaï et de Clément, me prend dans le mien les bites de Jona et de João, bon début de soirée finalement. Quand je sors de mes plans, je trouve Adam en train de sodomiser Sosthène tout en se faisant rouler des pelles par Max et c'est Enguerrand qui se fait sucer. Puis ce dernier cède à l'appel de la queue de Sosthène. Il se glisse à reculons sous son ventre et je le vois grimacer alors que sa rondelle se fait élargir par le gros sexe black. L'empilement et beau à voir, blanc noir blanc. L'inverse d'un Oréo !
En attendant je vois qu'Adam prend son pied. Quand Max ajoute à son mélange de langue une stimulation de ses tétons, il fait exploser le lieutenant. Il est même obligé de le retenir pour qu'il ne bascule pas en arrière sous la violence de son orgasme. Dessous j'entends Enguerrand qui gémis puis Sosthène qui lui gueule dans les oreilles alors qu'il remplit sa kpote. On se retrouve tous pour un nouveau passage sous les douches. Les hormones se sont calmées et c'est par quelques claques dans le dos qu'Adam est confirmé dans le groupe. A voir le sourire qui lui barre le visage, ç'a l'air de lui plaire. Malgré ses 28ans, il ne dépare pas. Seul son surplus de poils le différencie. Il se sent suffisamment à l'aise pour prendre ses deux amoureux dans ses bras et leur rouler des pelles devant tout le monde. C'est lui qui me demande s'il pourra revenir " travailler " avec nous. Je n'ai pas le temps de donner ma réponse que fuse de toute part des " oui ", des " ce serait bien j'ai pas pu lutter avec lui ", d'Anthony " c'est indispensable vu ton niveau de nage " et comme ça d'à peu près tous les participants. J'attends que tout le monde y soit allé de son argument pour lui dire que c'était ok tant que ce qu'il voit ici n'en sort pas. Sans être encore au fait des " à cotés " des prestations de ma société, il comprend que ce n'est pas le genre de vie qui le fera grimper dans la hiérarchie.
On fait donc comme ça et il est invité à revenir.
Le soir même je reçois son dossier par l'intermédiaire de DGSE. Il est issu d'une famille de juges, d'avocats et de policiers. Orphelin de père, il lui reste sa mère juge. Une soeur plus jeune et un frère de même. Elle fait des études de droit direction avocat, le plus jeune est totalement hors de ce circuit aux beaux-arts à Paris. Le garçon est bien noté. Il a fait ses premières années de terrain dans le 93 avant d'être envoyé dans cette capitale régionale. Etudes de droit brillantes, concours de commissaire passé trop jeune pour le devenir aussitôt (écrit réussit), plus de bons résultats à son école de police il est sur un chemin qui le mènera rapidement à ce poste. Le dossier " supplémentaire " note qu'il est gay, peu de rencontre, pas d'attaches ni de compromissions. Je renvoi un message pour savoir si le fait qu'il se colle à notre " groupe " risque d'être noté dans son dossier. La réponse est immédiate, " c'est de mon ressort donc non cela ne figurera pas "
Ouf je m'en serais voulu de plomber sa carrière.
Jardinier
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J'arrête pas de repousser mon voyage en Nouvelle-Zélande. J'avais pas envie de dire tout haut ce que je pense depuis longtemps mais je meurs de peur. Je ne sais même plus si j'ai envie d'y aller. 12 putain d'heures de décalage, j'aurai même pas quelqu'un qui pourra être là connecté h24 et que je pourrai appeler si jamais ça va pas. Et mon copain va tellement me manquer. Depuis des mois, j'ai l'impression que ce futur voyage me fait plus de mal que de bien. Est-ce que j'en ai vraiment envie finalement? J'avais envie de voyager et ne compter que sur moi mais à ce point là? J'aurais pu aller en Espagne ça aurait été la même à ce niveau là. Mais c'est trop tard j'ai payé une blinde ce visa et une fois qu'on l'a on doit y aller pcq avec le VVT c'est qu'une seule fois dans le pays choisi. J'ai envie de pleurer. En plus j'ai prévenu tout le monde que je partais donc y a pas de retour en arrière possible, ce serait la honte.
Il faut absolument que je vois ma psy.
(24/10/2024)
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Eyes Wide Shut, 1999
Un jeune couple de la haute bourgeoisie vivant à New York, Bill Harford (Tom Cruise), un médecin brillant, et sa femme, Alice (Nicole Kidman), commissaire d'exposition, se rend à une réception mondaine pour la fête de Noël organisée par un riche patient de Bill, Victor Ziegler (Sydney Pollack). Bill y retrouve un vieil ami de l’université, Nick Nightingale (Todd Field), devenu pianiste professionnel. Ensuite, pendant qu'Alice se fait draguer par un Hongrois, Sandor Szavost (Sky du Mont), Bill se voit proposer un plan à trois par deux mannequins pour « aller jusqu'au bout de l'arc-en-ciel ». Il est interrompu par un appel de son hôte, car une de ses petites amies, Mandy (Julienne Davis), a fait une overdose de speedball. Mandy reprend ses esprits grâce à Bill et lui dit qu'elle lui doit la vie.
Le lendemain, après avoir fumé de la marijuana, Alice demande à Bill s'il a couché avec les deux filles. Il la rassure, mais elle lui révèle qu'elle a déjà été tentée de le tromper une fois et lui demande s'il n'a jamais été jaloux du désir qu'elle pouvait susciter chez les autres hommes. La discussion s'envenime, et Bill affirme qu'il pense que les femmes sont plus fidèles que les hommes. Alice lui confie alors un de ses fantasmes : avoir une aventure avec un officier de la marine. Ébranlé, Bill est contacté par la fille d'un patient qui vient de mourir. Il se rend sur place et, dans sa douleur, Marion Nathanson (Marie Richardson) l'embrasse de manière impulsive et lui avoue qu'elle l'aime. Bill la repousse avant que son fiancé, Carl (Thomas Gibson), n'arrive. Déstabilisé, Bill s'en va et erre dans les rues où il rencontre une prostituée, Domino (Vinessa Shaw). Bill se laisse charmer, mais juste au moment où Domino commence à l'embrasser, Alice appelle Bill, qui quitte Domino, gêné et de manière maladroite. Il va alors dans un club de jazz rejoindre Nick, qui lui apprend qu'il se rend parfois à des soirées « spéciales » où il doit jouer du piano les yeux bandés. Bill, intrigué, réussit à obtenir plus de détails : pour être admis, il faut un costume, un masque et un mot de passe (Fidelio). Bill cherche un magasin de costumes et offre au propriétaire, M. Milich (Rade Serbedzija), une somme généreuse pour louer un costume. Dans le magasin, Milich surprend sa fille adolescente (Leelee Sobieski) en compagnie de deux hommes japonais et lui exprime sa colère à propos de leur manque de décence.
Bill prend un taxi pour se rendre au manoir indiqué par Nick. Il donne le mot de passe et découvre à l'intérieur un rituel sexuel quasi religieux. Bien qu'elle soit masquée, une femme s'approche de Bill et le met en garde en lui affirmant qu'il n'aurait jamais dû se rendre ici et qu'il est en danger. Elle est ensuite emmenée par quelqu'un d'autre. Bill commence à errer dans le manoir, passant d'une pièce à l'autre, où il découvre des groupes d'hommes masqués pratiquant différents types d'actes sexuels, tandis que d'autres observent. Il est interrompu par un portier qui lui explique que le chauffeur de taxi souhaite lui parler de toute urgence au portail du manoir. Il le suit, et Bill se retrouve dans la salle de rituel, où le maître de cérémonie, déguisé en rouge, le questionne sur un second mot de passe pour quitter le manoir. Bill avoue qu'il l'a oublié. Le maître de cérémonie insiste pour que Bill « retire gentiment son masque » ainsi que ses vêtements. Soudain, la femme masquée qui avait essayé d'avertir Bill intervient. Elle demande à être punie à sa place. Bill est reconduit à la sortie du manoir et on l'avertit de ne parler à quiconque de ce qui s'est passé.
Juste avant l'aube, Bill arrive chez lui, se sentant coupable et confus. Il trouve Alice riant fortement dans son sommeil et la réveille. Alors qu'elle est en train de pleurer, elle lui explique qu'elle a fait un rêve troublant dans lequel elle faisait l'amour avec l'officier de marine et beaucoup d'autres hommes, riant à l'idée que Bill les regardait. Le matin suivant, Bill se rend à l'hôtel de Nick, où le réceptionniste (Alan Cumming) lui explique que Nick, effrayé et présentant des traces de coups, avait été emmené à cinq heures du matin par deux hommes très costauds, bien habillés et à l'air patibulaire. Nick a essayé, en partant, de passer une enveloppe au réceptionniste, mais celle-ci a été interceptée par les deux hommes qui l'ont emmené en voiture.
Bill ramène son costume au magasin de location, mais le masque est manquant. Milich explique, avec sa fille à ses côtés, qu'il peut fournir d'autres faveurs à Bill et « qu'il n'est pas nécessaire que ce soit un costume ». Les deux mêmes Japonais que la veille s'en vont du magasin, Milich laisse entendre à Bill qu'il a vendu sa fille pour qu'elle se prostitue. Bill retourne au manoir avec sa propre voiture. Un homme vient à sa rencontre près du portail de la propriété et lui remet une lettre l'avertissant de cesser immédiatement toutes ses investigations. De retour chez lui, Bill repense aux rêves d'Alice alors qu'il la regarde aider leur fille à faire ses devoirs.
Bill commence à reconsidérer les différentes propositions sexuelles de la nuit précédente. D'abord, il appelle Marion, mais raccroche lorsque Carl répond au téléphone. Ensuite, Bill se rend à l'appartement de Domino avec un cadeau. Sa colocataire, Sally (Fay Masterson), est chez elle, mais Domino n'est pas là. Après que Bill a tenté de séduire Sally, elle lui révèle que Domino a été testée positive au VIH. Bill quitte l'appartement, suivi par un homme. Après avoir lu un fait divers dans le journal concernant une reine de beauté décédée d'une overdose, Bill examine le corps à la morgue et l'identifie comme étant Mandy. Bill est convoqué à la maison de Ziegler, où ce dernier le confronte aux événements des derniers jours. Ziegler était l'un des participants à l'orgie rituelle et celui qui a identifié Bill ainsi que son contact avec Nick. Sa propre position au sein de l'organisation secrète est compromise par l'intrusion de Bill, depuis que Ziegler a recommandé Nick comme pianiste.
Ziegler affirme qu'il a fait suivre Bill pour sa propre protection et que les avertissements émis contre lui étaient de nature à l'effrayer pour l’empêcher de parler de l'orgie. Mais il lui explique que la société peut mettre ses menaces à exécution, disant à Bill : « Si je te disais leurs noms, je ne pense pas que tu dormirais aussi bien. » Bill demande des explications au sujet de la mort de Mandy, qu'on identifie par Ziegler comme la femme masquée qui s'est sacrifiée pour éviter à Bill d'être puni, ainsi que sur la disparition de Nick, le pianiste. Ziegler explique qu'il est sûrement bien en sécurité dans sa maison à Seattle. Il ajoute que la « punition » était une sorte de mise en scène orchestrée par la société dans le but d'effrayer Bill et qu'ils n'ont rien à voir avec la mort de Mandy. Il explique que c'était une prostituée et une toxicomane, et qu'elle est morte d'une overdose accidentelle. Bill ne sait pas si Ziegler dit la vérité au sujet de la disparition de Nick et de la mort de Mandy, mais il ne veut pas en savoir plus et préfère laisser tomber.
Quand il rentre chez lui, Bill trouve le masque loué sur son oreiller, à côté de sa femme. Il s’effondre en pleurs et décide de révéler toute la vérité à Alice sur les deux derniers jours. Le lendemain, ils se rendent dans un magasin de Noël avec leur fille. Alice le rassure en lui disant qu'ils devraient être pleins de gratitude d'avoir survécu, qu'elle l'aime et qu'il y a une chose qu'ils doivent absolument faire dès que possible. Bill lui demande de quoi il s'agit, elle répond simplement : « Baiser »
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Scène 1 "Une femme mure sur la plage"
Déjà presque une année écoulée depuis ces vacances passées chez mes parents dans le sud-ouest de la France. C’était en pleine saison au mois d'août, je me souviens encore des senteurs et sensations d’aller courir chaque matin avant d’aller piquer une tête dans l’océan pour conclure cette activité de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mémoire comme des moments marquants de la vie où tout est calme, où on ressent la sérénité du présent, où la vie semble sans contraintes.
J’avais passé l’âge de passer des vacances chez mes parents mais cette année là les voyages étaient encore limités et j’avais à coeur de voir mes parents après cette période surréaliste où la moitié de la planète avait passé plusieurs mois confinée. Ce virus COVID-19 qui a touché tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupé de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances d’été se réduisaient à des distances accessibles en train ou en voiture, les vols à l’autre bout de bout monde encore déconseillés.
J'aimais me lever tôt pour aller courir, profiter de la fraîcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques.
Depuis quelques jours j’avais remarqué cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait préférer la tranquillité avant l'arrivée de la foule. La 1ère fois que je l’avais aperçu, étant seul sur la plage avec elle, je me disais qu’elle m'avait obligatoirement remarqué. Je me souviens comme si c’était hier, je voulais me rafraichir après mon footing matinal, je n’avais pas résisté à l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'étais étonné de voir cette femme seule à cette heure, comme si elle commençait sa journée de plage, installée sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraîcheur
Elle lisait et avait tourné la tête en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posé mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraîche. Je lui tournais le dos, elle était installé à une 20aine de mètre plus haut sur la plage, je n'avais pas osé me retourner mais bien qu'étant allongée sur le ventre, tournant le dos à la mer, j’avais imaginé qu’elle avait tourné la tête pour me regarder me dévêtir avant de plonger en boxer dans l’eau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journée. Quand je revenais vers le bord, elle avait changé de position, assise sur sa serviette, le regard plongé dans son livre mais elle s'était retournée, peut-être pour profiter de l'océan et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour là, je revenais tous les matins, à la même heure, espérant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarqué que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'étais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'était pas le genre de femme qu’on aborde facilement. C'était l'impression qu'elle me donnait.
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnés, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignée. Malgré le soleil estival, sa peau à peine hâlée, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dû arriver depuis peu. Un détail avait capté mon attention plus particulièrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin d’elle, elle n’était pas grosse mais des formes qui s’arrondissent avec les années de manière plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle s’était levée pour aller se baigner, son fessier m’avait captivé, il était large, charnu et marqué par les années tout en étant très agréable au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de manière trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rêver surtout chez une femme mure. J'avais remarqué cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassé le matin à la même heure, elle était là au même endroit. Depuis je m'étais calé sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa présence qui agrémentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en même temps qu'elle, toujours au même endroit, un peu en retrait à quelques 10aines de mètre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son décors, l'habituer à ma présence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habitué de la même plage, à la même heure. Comme pour partager cette discrète complicité et la rassurer de ma présence à quelques mètres d'elle. Pour vivre ce moment, à la surprise de mes parents, j’avais pris cette habitude de me lever tôt tous les matins, pour profiter de ce moment privilégié qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de l’océan calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osé aller me baigner en même temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle était en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indéfiniment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait à ma présence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle était là, entre 7h30 et 7h45, l'heure où les gens dormaient encore, où l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'étais là en espérant la retrouver à la même place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder à part un simple bonjour mais elle était trop loin pour lui parler et je n’osais pas aller l’aborder et pour quelle raison d’ailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressée. Je m’encourageais en me disant que je devrais aller me baigner en même temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la température de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de créer un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle était ouverte à la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un défi à relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espérais que l’initiative vienne d’elle, considérant que mon âge ne me permettait pas d’aborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hésitais à me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agr��mentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirées. J’étais troublé en pensant à elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par réveiller mon sexe au point de me caresser en échafaudent des plans que je savais pertinemment irréalisables mais ces rêves érotiques étaient des plus agréables. J’essayais de l’imaginer, telle que je l’avais vu, je me remémorais régulièrement ce moment qui m’avait marqué et ému : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager.
Ce matin encore en la voyant nager, je me résignais, me promettant que demain j'irai me baigner en même temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me détendais en gagnant ce nouveau délais. Elle nageait à quelques mètres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me réjouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce décors qu'elle garderait en tête comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensées en journée. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que j’étais arrivé je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tôt. Il m'arrivait de parcourir les lieux où les touristes se promenaient, j’avais même fait le tour du marché en matinée, espérant la croiser, me demandant qui elle était, si elle était seule, en couple, avec sa famille, des amis mais étant seule chaque matin je l’imaginais seule.
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de découvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je l’avais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui était cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivée des touristes. Jusque là, je n’avais pas osé quitter la plage en même temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer à ses yeux pour un dragueur de plage en quête d’aventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait à pied, à vélo ou en voiture mais je commençais à échafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-être venir un peu avant 7h30 pour voir d'où elle venait ? peut-être attendre d'être hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journée mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en même temps qu'elle. Je me sentais presque rassuré d’obtenir ce délais tout en redoutant qu’elle ne vienne plus et disparaisse à jamais sans avoir rien tenté ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain était un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. J’angoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai raté l'occasion de l'aborder. Je m'arrêtais un moment, j'hésitais entre me changer les idées en allant voir un copain et continuer à errer dans les alentours de la plage en espérant la croiser. Je me sentais comme un détective privé à la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquête.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (Scène 2 le 21 mars 2024 à 06h00)
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