#aller plus haut
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Je vais crever mon ter est annulé à la derniÚre minute j'ai du en prendre un autre j'ai perdu de l'argent car ces merde se REMBOURSE PAS et en plus j'ai perdu mon haut de forme donc je suis un Layton sans haut de forme nice
#pour contexte#je vais en Convention a rive de gier#et c'est la merde#j'en peu plus#je préserve je vais y aller#ET JE ME PRENDRAIS UN HAUT DE FORME LA BAS#kenshi's life
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Si nous imaginions un monde meilleur et Ă travailler ensemble pour le rĂ©aliser ? Entre rĂȘve et rĂ©alitĂ©, il y a un trait d'union qui s'appelle l'amour....alors, mettons cet amour fraternel au cĆur de nos cĆurs et au cĆur de ce monde, main dans la main, pour aller plus loin, plus haut, lĂ oĂč l'amour est Roi ! đ
Que votre dimanche, chers amis, soit revĂȘtu de paix et d'amour ! Soyez heureux et prenez soin de vous ! đ«¶
#au-jardin-de-mon-coeur âïž
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Tutoriel Installation đ ïžâïžđ§
Je vois que certaines personnes galĂšrent avec la mise en place du thĂšme que j'ai partagĂ© (notamment pour hĂ©berger le css). Alors voici un tutoriel d'installation pas Ă pas, avec captures d'Ă©cran, pour vous permettre de le mettre en place correctement đ â ïž Pour rappel, le Blank Theme dispose de ses propres explications, que vous retrouverez juste ici. â ïž Veillez Ă bien avoir configurĂ© votre forum comme l'indique le Blank Theme juste ici. â ïž Le forum doit impĂ©rativement ĂȘtre en version ModernBB.
1ïžâŁPour mettre en place tes templates.
Nous allons commencer par copier les templates depuis le github. Ici, ce sont les différentes parties d'HTML qui nous intéressent.
Nous allons progressivement les coller dans les diverses sections de forumactif (voir screen ci-dessous). đExemple ici avec le template images_list que je vais copier depuis le github : đHTML (templates) > đgeneral >đimages_list.
Et coller dans le template images_list de forumactif.
Les noms des HTML sont exactement les mĂȘmes du github vers forumactif donc vous ne pouvez pas vous tromper. Vous avez juste Ă copier d'un cĂŽtĂ© et coller de l'autre, en n'oubliant pas Ă chaque fois de sauvegarder Ă droite en cliquant sur le symbole disquetteđŸ(ouais, j'vais rentrer dans les dĂ©tails Ă ce point).
Quand l'ensemble de tes HTML ont été copiés et collés correctement (général, poster & messages privés, profil), tu vas pouvoir passer à l'hébergement de tes divers CSS.
2ïžâŁPour enregistrer ton css afin de l'hĂ©berger.
Je t'invite Ă aller sur le github mais dans la section CSS cette fois-ci. L'ensemble des CSS devront ĂȘtre enregistrĂ©s sur ton ordinateur puis hĂ©bergĂ©s en dehors de forumactif car ils sont trop longs. đ CSS > đCSS_global
Tu peux copier le code et le coller dans un logiciel qui permet d'Ă©diter du code. Pour moi, ce logiciel sera Notepad++, parce que j'aime me faire du mal, mais sachez qu'il existe aussi SublimeText. Ces logiciels sont gratuits â
et indispensables pour pouvoir enregistrer vos feuilles en format .css (comme on le ferait pour une image en format .png ou .jpg quoi).
Quand j'ai copié mon css depuis github et que je l'ai collé dans mon logiciel d'édition de code, je n'ai plus qu'à lui donner un petit nom en sauvegardant (chez moi ça sera CSS_global) et à l'enregistrer en .css (Cascade Style Sheets File).
3ïžâŁPour hĂ©berger ton css en dehors de forumactif aprĂšs l'avoir enregistrĂ© sur ton ordinateur.
Ca y est, Ă cette Ă©tape, tu as normalement l'ensemble de tes CSS (global, instagram, messenger, page d'accueil etc...) d'enregistrĂ©s individuellement sur ton ordinateur. Tu peux dĂ©sormais aller les hĂ©berger en dehors de forumactif. Pour cela, j'utilise personnellement Archive Host (parce que j'aime vraiment me faire du mal) mais, tu peux trĂšs bien utiliser Dropbox. Il te suffit juste de crĂ©er ton compte. Tu arriveras ensuite sur une page oĂč tu pourras ajouter tes fichiers et les stocker dans un dossier. J'aime que mes documents soient rangĂ©s donc, je te conseille de crĂ©er un rĂ©pertoire et de l'appeler par le nom de ton forum (comme ça, si t'en as plusieurs, impossible de te tromper !).
C'est ici que je vais y ranger mes feuilles de CSS prĂ©alablement enregistrĂ©es. Je clique sur âAjouter des fichiers puis sur âŹïžDĂ©marrer l'envoi quand j'y ai ajoutĂ© ceux que je voulais.
Ca y est ! Ta feuille de CSS est désormais hébergée. Mais ce n'est pas terminé. Il faut maintenant relier ton forum à cette feuille. Et pour cela, rien de plus simple :
En survolant ta feuille de CSS avec ta souris, une flĂšche va apparaĂźtre en haut Ă droite âŹïž, clique dessus puis sur đŠ Informations et Codes.
Cette fenĂȘtre va s'ouvrir. Je t'invite Ă cliquer sur l'URL Ă cĂŽtĂ© de Principal et de la copier. C'est le lien de ta feuille depuis Archive Host. Tu vas ensuite aller la coller dans ton overall_header sur forumactif. Mais pas n'importe oĂč !
Ici, les URL vers mes feuilles de CSS sont collées les unes aprÚs les autres juste en dessous de <!-- CSS Externes -- > ET sous cette forme : <link href="URL ARCHIVE HOST ICI" rel="stylesheet" type="text/css" charset="utf-8"> Il faut absolument que ces feuilles se trouvent avant la balise </head>. Tu verras, dans le code HTML de l'overall_header (à la ligne 20) j'ai laissé cet endroit vide, tu auras juste à les coller en dessous.
N'oublies pas de sauvegarder ! Et voilĂ . C'est tout. Rien de plus simple đ Cela te demande juste d'installer un logiciel d'Ă©diteur de code (gratuit) et de te faire un compte sur Archive Host ou Dropbox (gratuit aussi). Si lĂ encore vous ĂȘtes paumĂ©s.Ă©s (parce que ce n'est pas impossible malgrĂ© les screens et explications pas Ă pas), n'hĂ©sitez pas Ă m'envoyer un petit mp. đ
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Je ne sais pas si ce post poussera des gens Ă voter, mais j'avais besoin d'en parler.
Je suis comme bloquĂ© depuis la dissolution, incapable de travailler sur quoi que ce soit, tout juste capable de repartager les posts des autres. Et du fait de mon handicap je ne peux mĂȘme pas aller manifester IRL ce qui me donne encore plus l'impression de stagner.
L'éventualité, de devoir reconsidérer l'entiÚreté de ma vie, de mon travail, de l'espérance de vie de mes amours, ami'es et proches au matin du 8 juillet me terrifie au plus haut point.
Je place tout mes espoirs dans ce nouveau front populaire, avec un vrai programme social, Ă©conomique, Ă©cologique, LGBTIA-friendly..etc
Je veux croire en nos mobilisations, nos luttes, nos espoirs et nos rĂȘves arrachĂ©s Ă la bourgeoisie capitaliste et rĂ©actionnaire.
Dimanche 30 juin et 7 juillet on vote Nouveau Front Populaire.
#nouveau front populaire#art#illustrations#front populaire#trans#transgender#queer#lgbtiqa#laurierthefox#transgenre#illustration
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"Quatre secondes"
Wolverine x
M/FTMreader
note : mutant!reader
résumé : Logan entend malgré lui des bruits assez dérangeants dans une chambre voisine, il sera surpris de découvrir de qui ils proviennent
! warnings : forme de voyeurisme, violence, langage vulgaire/cru, évocation de sexualité et de guerre, alcool, jalousie
3 805 mots Description Ă la troisiĂšme personne
Il avait une ouĂŻe surdĂ©veloppĂ©e, tout le monde le savait. Les Ă©lĂšves qui se disputaient, il les entendait. Les vitres cassĂ©es par un ballon, il les entendait. Les rires Ă deux heures du matin, ça putain ouais il les entendait aussi. En bref, il entendait tout ce quâil se passait dans le manoir, du moins au deuxiĂšme Ă©tage. Dâhabitude, aucun problĂšme Ă sâendormir avec ces bruits, il avait dĂ©jĂ dormi sous des tirs de fusils alors des gosses nâallaient pas lâempĂȘcher de se reposer. Enfin, c'est ce quâil pensait. Les rires, les insultes, les chuchotements, dâaccord, mais les gĂ©missements c'Ă©taient autre chose encore.
Au deuxiĂšme Ă©tage il nây avait que les Ă©tudiants ayant dĂ©passĂ© la majoritĂ©, pour ceux que lâon pouvait dater, et quelquefois il arrivait que ce genre de choses se produisent mais rien de terrible, c'Ă©tait lĂ©ger et rapide, tout lâinverse de ces derniĂšres fois. Parce que oui, âcesâ derniĂšres fois. Pas juste une fois, un vendredi soir pour fĂȘter le weekend, non, tous les putains de soirs depuis une semaine. Alors Logan commençait Ă regretter son ouĂŻe surdĂ©veloppĂ©e.
Il nâavait jamais bien dormi, c'Ă©tait pas son genre, mais ne pas dormir n'Ă©tait pas son genre non plus. Il avait besoin de sommeil. Son corps avait beau se rĂ©gĂ©nĂ©rer, il devait se reposer, pour Ă©viter d'ĂȘtre de mauvaise humeur, encore plus que dâhabitude je veux dire.
Mais aller toquer Ă la porte de cette chambre et demander poliment d'arrĂȘter de baiser tous les soirs n'Ă©tait pas non plus dans ses options. MalgrĂ© son caractĂšre, assez explosif, Logan nâaimait pas ces situations, elles le mettaient toujours trĂšs mal Ă lâaise. Et puis, il devait avouer aussi quâadmettre que depuis une semaine il Ă©coutait sans le vouloir ces bruits Ă©tait un peu gĂȘnant, voire mĂȘme beaucoup.
Lors de ces nuits blanches, Logan Ă©tait parvenu Ă localiser la chambre dâoĂč prĂ©venait tout ce boucan. C'Ă©tait la derniĂšre, tout au fond du couloir, Ă environ cinq chambres de la sienne. Si sa mĂ©moire Ă©tait bonne, Oscar dormait lĂ -dedans. Un mec assez banal et gentillet, le genre Ă se faire recaler par toutes ses conquĂȘtes amoureuses. Et pourtant il en faisait du bordel. Bien entendu il n'Ă©tait pas tout seul dans lâhistoire, mais Logan ne voyait pas qui pourrait ĂȘtre la deuxiĂšme personne. Oscar avait des ami.e.s mais rien de fantastique, pas de petit.e ami.e non plus et en aucun cas une mutation permettant de faire ce genre de choses tout seul. En fait, il pouvait juste manipuler les couleurs, mais pas Ă un trĂšs haut niveau, seulement inverser le jaune dâune banane avec le rouge dâune fraise par exemple. Alors Logan sĂ©chait, il ne voyait pas qui ça pouvait bien ĂȘtre. Et mĂȘme la voix ne lâaidait pas, il entendait davantage Oscar que lâautre. MĂȘme si quelquefois il parvenait Ă capter une voix, trĂšs douce, trĂšs tremblante, et il devait l'avouer, assez agrĂ©able Ă entendre. Mais ce n'Ă©tait pas sa faute, il ne pouvait pas ne pas Ă©couter, ses oreilles entendaient pour lui. Et mĂȘme avec des bouchons il entendait tout, puis de toute maniĂšre il ne supportait pas ces trucs en plastique fluorescent.
Au bout de la cinquiĂšme fois, il avait eu espoir que ça sâarrĂȘte, quâils arrĂȘtent. Mais ce n'Ă©tait pas arrivĂ©.
HonnĂȘtement, il Ă©tait un peu Ă cran. Les Ă©lĂšves le remarquaient trĂšs clairement, dĂšs le dĂ©but de la semaine ils avaient vu que Wolverine Ă©tait dâhumeur cinglante, ils se tenaient encore plus Ă carreaux. Leur soulagement Ă©tait quâau moins il n'Ă©tait pas professeur, parce quâils se voyaient mal avoir Ă endurer ce regard enflammĂ© pendant une voire deux heures de cours. Logan Ă©tait simplement âinvitĂ©â, ou peut-ĂȘtre âhabitantâ, ou âbabysitterâ aussi parfois. Charles lui avait proposĂ© un poste en tant que professeur dâhistoire, mais il avait vite refusĂ©, ne voulant pas avoir Ă se coltiner des Ă©valuations Ă corriger et une cravate Ă porter. Quelquefois il donnait des sortes de cours, ou plutĂŽt des entraĂźnements, dans le combat bien entendu. Et puis un ou deux, ou une petite dizaine dâĂ©lĂšves peut-ĂȘtre, lui demandait frĂ©quemment de les aider Ă la salle de sport, pour des conseils ou juste un soutien physique. Avec tout ça il avait fini par connaĂźtre tout le monde, mĂȘme sâil nâen avait pas lâair, il aimait plutĂŽt bien ces gosses.
Et puisque officiellement il nâavait rien Ă faire, il pouvait observer Oscar, ou plutĂŽt avec qui il traĂźnait.
AppuyĂ© contre un encadrement de porte, Logan ne dĂ©tacha pas son regard du jeune homme. Malicia Ă©tait passĂ©e parler Ă Oscar, et des sueurs froides avaient parcouru le dos de Logan en imaginant cette possibilitĂ©, mais heureusement elle Ă©tait avec Bobby dans une chambre Ă l'autre bout du couloir. Katt Ă©tait aussi passĂ©e pour lui donner des livres, mais Logan savait quâelle avait dĂ©jĂ quelquâun dâautre dans le viseur, ça ne pouvait donc pas ĂȘtre elle. Quentin, Mark, Sophie et Sasha aussi. En fait, Oscar parlait Ă beaucoup de monde et nâavait pourtant pas dâamis fixes.
Dix-sept heures et Logan commençait à rùler. Pour un samedi, Oscar en voyait du monde, il faisait courir Logan un peu partout. Et dans tout ça, personne ne pouvait correspondre.
« Salut, tu as pu le récupérer ? »
Devant lui, Ă une quinzaine de mĂštres, Oscar discutait avec une nouvelle personne encore. Logan leva les yeux au ciel derriĂšre ses lunettes de soleil et sâappuya davantage sur lâarbre dans son dos.
« Mh mh, Tornade a Ă©tĂ© comprĂ©hensive, elle m'a mĂȘme aidĂ© Ă le rĂ©parer »
Le garçon souriait faiblement, il n'Ă©tait pas timide, Logan le savait puisquâil connaissait assez bien ce jeune homme, c'Ă©tait mĂȘme lui qui lâavait ramenĂ©.
Il y a quatre mois, Logan est parti, sans vraiment savoir pourquoi, pour ĂȘtre honnĂȘte, il voulait juste aller prĂšs dâun lac et regarder la forĂȘt vivre en face. Mais il a entendu un couinement, humain, ou du moins pas animal. En fait, il a failli couper la tĂȘte Ă ce garçon lors de leur premiĂšre rencontre, il s'Ă©tait cachĂ© dans un buisson derriĂšre lui. Logan lâa Ă©coutĂ© lui expliquer quâil avait fuit sa maison pour Ă©chapper Ă des personnes qui ne lâapprĂ©ciaient pas, il disait que sa famille lui manquait beaucoup mais quâil ne pouvait pas revenir avec eux car c'Ă©tait dangereux. Puis, sorti de nul part, il lui a dit quâil Ă©tait dĂ©solĂ© pour tout ce quâil avait vĂ©cu. Logan lâa fixĂ©, pendant un long moment avant de demander : âtu lis dans les pensĂ©es ?â. Ce Ă quoi le garçon a rĂ©pondu : âjâinterprĂšte les signes invisiblesâ. Il a fallu dix bonnes minutes pour que Logan comprenne, et qu'il se dĂ©tende un peu par la mĂȘme occasion. Le garçon lui a demandĂ© pardon, il a dit ne pas avoir voulu ĂȘtre trop brusque mais quâil nâavait pas pu s'empĂȘcher de le dire, parce quâil voyait la souffrance sur les traits de Logan. La discussion s'Ă©tait arrĂȘtĂ©e lĂ , Logan s'Ă©tait levĂ© et avait lentement soufflĂ©, il n'aimait pas parler de sa vie alors savoir que quelqu'un pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert l'avait dĂ©rangĂ©. Le garçon s'Ă©tait encore une fois excusĂ©, les larmes aux yeux, et Logan l'avait regardĂ© pendant quatre secondes, quatre longues secondes qui lui avaient fait ressentir plus que quatre annĂ©es. Il avait pris le garçon dans ses bras, il nâavait pas contrĂŽlĂ© son geste, il voulait juste le prendre dans ses bras pour quelques instants. AprĂšs, Logan l'avait emmenĂ© au Manoir, et ils sâĂ©taient vite perdus de vue dans la masse de mutants. Mais il le regardait, il ne pouvait pas s'empĂȘcher de le regarder lorsqu'il passait devant une salle de classe et quâil le voyait en train de prendre des notes, ou lorsquâil Ă©coutait de la musique dans le jardin. Logan se sentait un peu attachĂ© Ă ce garçon, enfin, ce jeune homme, puisquâil avait vingt-trois ans.
« Génial, Oscar sourit gentiment, et..tu peux venir ce soir ? »
Logan ouvrit grand les yeux. Oscar fixait le garçon avec un sourire, un peu trop grand pour n'ĂȘtre quâune invitation Ă jouer aux cartes.
« Je sais pas trop, tu sais ça va beaucoup mieux là donc..je veux pas forcer de trop, répondit l'autre avec un regard neutre, contrastant avec la situation »
Bordel, il ne sâattendait pas Ă ce que ça soit lui. Mais en y repensant, ça semblait presque logique maintenant. La voix faible et tremblante Ă©tait aussi calme et douce que la sienne, et puis il parlait beaucoup avec Oscar depuis quelque temps.
Logan lĂącha son arbre, il retira ses lunettes et passa sa main contre ses yeux. Bordel de merde, il ne s'attendait pas à ça. Il avait besoin dâun peu de calme, et dâune biĂšre accessoirement, alors il alla sâenfermer dans sa chambre.
Dans le jardin, Oscar et le garçon continuaient de parler, mais Logan n'était plus là pour les entendre, malheureusement.
« Aah putain ouais »
Deux jours, ils avaient tenu deux jours avant de recommencer. Et Logan nâallait plus tenir, surtout maintenant quâil savait Ă qui parlait Oscar.
Bordel, il nâaimait pas ça, non il n'aimait pas ça du tout. Cette contraction dans sa mĂąchoire, ses muscles tendus, son cerveau en Ă©bullition. Bordel, ça faisait des annĂ©es qu'il n'avait pas Ă©tĂ© jaloux, et il fallait que ça tombe sur ce mec.
SincĂšrement, il devrait avoir une mĂ©daille pour ne pas dĂ©jĂ avoir lacĂ©rĂ© cette foutue porte de chambre, et peut-ĂȘtre au passage un des hommes Ă lâintĂ©rieur. Mais câĂ©tait quelque chose de compliquĂ© Ă contrĂŽler, la colĂšre elle Ă©tait faite pour sa mutation, elle Ă©tait compatible. Alors oui, putain oui il avait envie de sortir ses griffes et de dĂ©foncer cette porte. Mais il se retenait, parce que concrĂštement il nây avait rien, rien que deux types en train de coucher ensemble. Il nâavait aucun droit sur ce garçon, il lui avait Ă peine parler, et pourtant un truc au fond de lui, au plus profond de sa cage thoracique, lui disait quâil Ă©tait sien. Foutu Wolverine, foutu instinct.
Il se leva, arrĂȘtant de massacrer son oreiller avec ses dents. Il ouvrit sa porte de chambre et descendit le plus vite possible au rez-de-chaussĂ©e, assez vite pour se retenir de sortir ses griffes. Bien sĂ»r il nây avait personne, tout le monde Ă©tait dans sa chambre et dormait, enfin sauf certains. Logan ouvrit le rĂ©frigĂ©rateur et y prit un soda, puisque l'alcool Ă©tait interdit dans lâĂ©tablissement. Il but la moitiĂ© de la bouteille, manquant dâen faire couler sur son menton. Il essaya de se persuader que c'Ă©tait de la biĂšre, mais le sucre gĂąchait tout.
Un bĂąillement le fit sursauter. Par rĂ©flexe ses griffes sortirent, prĂȘtes Ă embrocher.
« Wow range tes couteaux je veux juste de lâeau ! »
Le garçon se tenait devant lui, dans un large t-shirt beaucoup trop grand pour lui. Logan rentra immĂ©diatement ses griffes, posant Ă lâaveugle son soda sur le comptoir de la cuisine.
« Quâest-ce que tu fous ici ? »
Sa voix granuleuse, rauque, presque incomprĂ©hensible lorsquâil parlait trop bas. Le garçon dĂ©glutit faiblement, il avança et passa derriĂšre lâĂźlot central pour attraper un verre dans le placard. Logan semblait bouleversĂ©, ok non peut-ĂȘtre pas autant, juste un peu dĂ©boussolĂ© alors. Ses yeux Ă©taient plus ouverts que la normale, ses pupilles larges, rondes, et ce n'Ă©tait pas pour lâobscuritĂ©, il y avait au moins deux millimĂštres en trop pour que ce soit le cas. Et puis sa mĂąchoire Ă©tait tendue, pas contractĂ©e mais elle lâavait Ă©tĂ© trĂšs rĂ©cemment ça se voyait, il y avait encore les micros tremblements musculaires sur le massĂ©ter. Et sa peau Ă©tait pigmentĂ©e, par du rouge amarante, posĂ© par points sâĂ©tirant petit Ă petit le long de lâos principal.
« Je viens juste chercher de lâeau, pas besoin d'ĂȘtre aussi agressif »
Logan essaya de respirer, vraiment, mais il avait un peu de mal. Est-ce quâil venait boire pour compenser toute la sueur Ă©puisĂ©e, est-ce que ce t-shirt Ă©tait Ă Oscar, est-ce que cette odeur Ă©tait la sienne.
« Cale-toi sur le battement de tes cils, dit le garçon en sâappuyant sur le lavabo, la respiration devient meilleure et rĂ©gulĂ©e lorsque les clignements sont plus lents et contrĂŽlĂ©s »
Logan lui lança un regard, entre lâinterrogation et la dĂ©sorientation. Le garçon lui sourit, il but une gorgĂ©e de son eau avant de reprendre la parole.
« Les signes invisibles, expliqua-t-il, tu es stressĂ©, Ă©nervĂ© et frustrĂ©, je dirais que câest en rapport avec quelqu'un et je pourrais mĂȘme dire que câest moi mais jâaime pas ĂȘtre narcissique alors je le dirais pas »
Le jeune Ă©mit une courte pause, juste le temps d'interprĂ©ter les rĂ©actions de lâhomme en face de lui.
« Jâai raison, et en plus de tout ça je dirais que tu es totalement paumĂ©, il se rapprocha, regarde moi, dans les yeux, fixe moi et seulement moi, il posa sa main sur la joue droite de Logan, ne crois pas que jâessaie de te draguer, je te calme juste, parce que ça mâembĂȘterait que le Wolverine fasse une crise dâangoisse Ă cause de moi »
Les spasmes oculaires se calmĂšrent, Logan l'Ă©coutait et le fixait comme il lui avait dit. Son cĆur ralentissait, tout doucement, pas dâun coup sec et c'Ă©tait bon signe. Sa gorge Ă©tait toujours serrĂ©e, il retenait quelque chose, son air ou sa voix peut-ĂȘtre, ou alors une rĂ©action, oui une rĂ©action.
« Tu peux sourire si tu veux, je vais pas te croquer tu sais, il sourit doucement Ă Logan pour appuyer ses mots, et puis je sais trĂšs bien que câest toujours amusant comme situation, il retira doucement la main du visage de Logan, je veux dire, que quelquâun sache exactement ce que tu penses et fais sans qu'il lise dans tes pensĂ©es, ça fait flipper, ou rire, ça dĂ©pend des personnes »
Sa gorge se desserra trĂšs lĂ©gĂšrement, et un souffle amusĂ© passa ses lĂšvres. Le garçon s'Ă©carta de quelques pas, pour avoir une vue dâensemble, et tout sembla Ă peu prĂšs stable.
« Comment tu peux faire ça »
Il sourit de nouveau Ă Logan et rĂ©pondit en montrant de la tĂȘte les mains de ce dernier.
« Et toi, comment tu peux faire ça »
Logan reprit sa bouteille dans un sourire amusĂ©, il la finit en quelques gorgĂ©es. En face, le garçon fixait la pomme dâAdam monter et descendre dans une lenteur hypnotisante. Il devait l'avouer, Logan lui plaisait beaucoup.
« Je- je vais remonter du coup, dit-il en se redressant »
La bouteille de soda vide fit un bruit aigu en se posant contre le plan de travail. Logan croisa les bras et prit deux secondes pour observer le jeune homme qui le regardait toujours.
« Tu tâentends bien avec Oscar ? »
Ce micro tremblement dans sa voix grave, il soulignait une retenue. Le garçon fronça les sourcils et pencha la tĂȘte sur le cĂŽtĂ©, rĂ©flĂ©chissant Ă ce signe plutĂŽt qu'Ă la question. La voix de Logan Ă©tait plus forte, dâenviron trois dĂ©cibels, plus puissante surtout, oui puissante. Son visage Ă©tait fermĂ©, comme la plupart du temps, mais les muscles de ses joues n'Ă©taient pas contractĂ©s contrairement Ă dâhabitude, il Ă©tait plus dĂ©tendu Ă certains endroits de son corps. La bouche, les yeux, les hanches et le ventre. Ok, on touchait au personnel, la question avait un rapport avec son personnel.
« Il est gentil oui, pourquoi ? Tu le connais ? »
Léger mouvement du sourcil droit, ça l'agaçait.
« Non, rĂ©pondit Logan, pas plus que nâimporte quel mec »
Son regard un peu fuyant, qui contournait la silhouette du garçon. Ok, il avait sa réponse.
« Tu es jaloux Logan, expliqua le jeune homme avec un grand sourire, tâes tellement jaloux que le simple fait de parler dâOscar fait bouger tes griffes »
Il se rapprocha de lâhomme, assez pour laisser un mĂštre entre eux deux. Logan planta son regard dans celui de lâautre, et le garçon su qu'il avait raison.
« Il est à qui ce t-shirt »
Son sourire ne fit que de sâagrandir.
« à un homme, répondit le plus jeune »
« Qui »
Des frissons se mirent à courir contre la peau du garçon, la voix de Logan était encore plus forte, plus grave encore.
« Tu irais dĂ©chiquetĂ© lâintestin dâOscar si je te disais son prĂ©nom ? »
Le point de Logan se resserra, non il lui mettrait un coup de poing, et Dieu sait comme de lâadamantium pur dans la mĂąchoire peut faire des dĂ©gĂąts. Le garçon se rapprocha encore un peu.
« Je pense que Charles ne sera pas trÚs content si tu mets dans le coma un de ses élÚves, mh ? »
Doucement, lentement surtout, il posa sa main sur les phalanges de Logan. Ses doigts se refermĂšrent sur les os solides de lâhomme, crĂ©ant une chaleur diffuse Ă ce niveau.
« Range ces armes, arrĂȘte de serrer des dents, tu vas finir par te les casser et surtout, il caressa de son pouce la peau de Logan, continue de me regarder comme ça si tu veux que je tâembrasse »
Quatre secondes, quatre longues secondes. Logan y vit toute la tendresse du monde, remuant dans les iris du jeune homme en face de lui. Toute la fraĂźcheur du matin, pigmentant sa peau. Il y vit un courant puissant circuler derriĂšre ces yeux, un courant dâeau et d'Ă©lectricitĂ©, quelque chose de grand et dangereux, tout au fond derriĂšre ces beaux yeux. La mutation de ce garçon Ă©tait puissante, grande et dangereuse si elle Ă©tait mal contrĂŽlĂ©e, il pouvait tuer en un regard, un souffle ou un toucher. Ces beaux yeux avaient accĂšs aux corps de nâimporte quel ĂȘtre vivant, des poumons aux paupiĂšres, il pouvait tout voir avec ces beaux yeux. Il pouvait ressentir le clignement ayant quâil nâarrive juste en un regard dans les iris de quelquâun, il pouvait lâintercepter ou le supprimer. Un regard sur le cĆur humain et il y voyait le rythme, rapide pour Logan, il pouvait le stopper, il pouvait le contrĂŽler. Il pouvait stopper le Wolverine comme le contrĂŽler, comme sâil ne sâagissait que dâun simple ĂȘtre humain, comme sâil nâavait pas ce poison sur les os et que sa peau vieillissait au rythme des annĂ©es. Il pouvait tuer Logan, comme nâimporte quel autre mutant ou humain, il pouvait sâil le voulait le rendre mortel, il avait ce pouvoir. Il le rendait mortel, parce que dâun regard, dâun souffle ou dâun toucher, il pouvait lui ĂŽter la vie. Logan ressentait ça, il voyait ce courant puissant danser dans ces beaux yeux. Et putain, il adorait ça.
Et aussi peut-ĂȘtre que dans ces beaux yeux, dans ce courant chargĂ© dâĂ©lectricitĂ© humide, il pouvait imaginer tout son futur, se gravant Ă lâencre rouge sur ses lĂšvres entrouvertes. Parce quâil avait quelquâun de dangereux en face de lui, des lĂšvres dangereuses qui pouvaient lui ĂŽter la vie, comme personne nâen avait jamais eu le pouvoir.
Pour la premiĂšre fois depuis des annĂ©es, il pouvait lĂ©gitimement Ă©prouver de la peur, la peur de la mort qui se cachait sur ces lĂšvres, ces lĂšvres quâil embrassa Ă pleine bouche.
Le jeune homme ne put sâempĂȘcher de gĂ©mir en sentant les lĂšvres de Logan contre les siennes. Il aurait pensĂ© devoir se battre avec le temps pour pouvoir suivre le rythme d'un baiser avec Wolverine, mais c'Ă©tait tout lâinverse. Il Ă©tait doux, ses mouvements lents et contrĂŽlĂ©s, sa main tendre contre la joue du garçon. Il prenait son temps, tout son temps. Il caressait de son pouce la peau laiteuse du jeune homme, il souriait faiblement entre deux rencontres buccales, semblant mĂȘme murmurer des mots que seul lui entendait, mais que le garçon interprĂ©tait.
Logan poussa l'autre contre le réfrigérateur, faisant tomber quelques cartes postales et aimants. Il prit le visage du garçon entre ses deux mains et le regarda pendant encore quatre secondes, quatre secondes pour voir tout le courage dont il avait besoin.
« Alors, il est à qui ce t-shirt ? »
Un rire traversa les lÚvres rougies du plus jeune, Logan remercia les dieux de lui avoir donné une ouïe surdéveloppée pour entendre mille fois mieux ce joli son.
« Ă mon frĂšre, il me l'a donnĂ© avant que je ne parte et depuis je le porte les soirs oĂč ma famille me manque »
La relaxation musculaire de Logan fut presque impressionnante.
« Donc il est pas à Oscar ? »
« Non, il est pas à Oscar, répondit-il avec un sourire »
La main du plus jeune se posa sur la nuque de Logan, il lui sourit encore une fois, parce qu'il avait un peu toujours envie de sourire en le regardant.
« Tu nous a entendu câest ça ? En fait je pensais pas quâil pouvait ĂȘtre aussi bruyant pour ĂȘtre honnĂȘte »
« C'était toi ? C'était vraiment toi ? »
Ses muscles se contractĂšrent de nouveau et le garçon roula des yeux, plus amusĂ© qu'autre chose. Dans sa paume de main il pouvait sentir le trapĂšze supĂ©rieur de Logan se resserrer, ou si lâon voulait traduire, il pouvait sentir les muscles de Logan se contracter sous sa paume de main.
« Oui c'était moi mais de ce que je sache j'ai le droit de coucher avec qui je veux, non ? Demanda-t-il de sa douce voix »
Logan baissa pendant quelques instants ses yeux, le garçon lui pinça faiblement la peau pour les faire remonter vers lui.
« Ma mutation est complexe Logan, et parfois j'ai besoin dâune grande source de relaxation pour calmer tous mes sens, il continua en souriant, tu sais quelle activitĂ© produit le plus dâendorphines le plus rapidement ? Le sexe, et Oscar mâa aidĂ© parce que c'Ă©tait le seul en qui jâavais assez confiance pour faire ça »
Il fit glisser ses mains le long du torse de Logan.
« Du moins, le seul Ă©tudiant, il encercla la taille de lâhomme au dessus de lui, parce que crois-moi jâaurais adorĂ© te demander, mais tu es..Wolverine tu vois et- je me voyais mal demander Ă Wolverine de coucher avec moi, parce que t'es un X-Men et moi je suis juste un mutant qui vit dans le mĂȘme manoir que toi »
Logan posa ses lĂšvres contre une des pommettes du jeune homme, il embrassa faiblement la peau Ă cet endroit avant de murmurer dans lâoreille du garçon.
« La prochaine fois, saute moi dessus et arrĂȘte dâautant rĂ©flĂ©chir »
Cette fois, ce fut Logan qui remarqua des signes sur le corps du jeune homme. Des rougeurs, un sourire un peu retenu, des yeux brillants et une respiration accĂ©lĂ©rĂ©e. En clair, tout ce quâil aimait voir chez quelquâun qui lui plaisait.
« Le consentement c'est important alors, le garçon émit une pause, je peux te sauter dessus là maintenant ? »
Le sourire qui Ă©claira les lĂšvres du plus ĂągĂ© fit pulser le cĆur du plus jeune.
« Putain ouais »
° x-men masterlist
banniĂšres par @/saradika-graphics
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Petite fĂȘte
Ă la demande de @babythere jâespĂšre que ça plaira đ
6« Wow, vous avez l'air... incroyable. »
Lilia X reader
Tout le monde sâen Ă©tait sorti vivant de la route, et câĂ©tait une trĂšs bonne chose. LâatmosphĂšre Ă©tait remplie de soulagement et de joie. Billy, dĂ©bordant dâĂ©nergie, avait envie de fĂȘter cet Ă©vĂ©nement. Avec un sourire charmeur, il avait suppliĂ© Agatha, insistant sur lâimportance de cĂ©lĂ©brer leur chance.
"Allez, Agatha, ce serait tellement bien de le faire chez toi !" avait-il dit, ses yeux pĂ©tillants dâexcitation.
AprĂšs de trĂšs longues heures de supplication, Agatha, finalement convaincue par lâenthousiasme de Billy, avait acceptĂ©. La nouvelle avait rapidement circulĂ©, et tous sâĂ©taient mis en tĂȘte de sâhabiller pour lâoccasion. Les prĂ©paratifs allaient bon train : les lumiĂšres scintillantes Ă©taient accrochĂ©es, et la musique douce flottait dans l'air, crĂ©ant une ambiance festive.
Les invitĂ©s Ă©taient tous prĂ©sents, parĂ©s de leurs plus beaux atours, riant et discutant joyeusement. Chacun avait fait un effort, des robes Ă©lĂ©gantes aux costumes bien taillĂ©s, tous semblaient ravis dâĂȘtre lĂ . Pourtant, une ombre planait sur cette fĂȘte : Reader nâĂ©tait pas encore arrivĂ©e.
Lilia Ă©tait assise sur le canapĂ©, les coussins moelleux l'entourant comme une Ă©treinte rĂ©confortante. Ses pensĂ©es vagabondaient, se heurtant Ă l'inquiĂ©tude qui s'Ă©tait installĂ©e dans son esprit. "OĂč est donc passĂ©e Reader ?" se demandait-elle, le regard fixĂ© sur la porte, espĂ©rant la voir entrer Ă tout moment. Le bruit des rires et des conversations joyeuses des autres invitĂ©s rĂ©sonnait autour d'elle, mais elle se sentait dĂ©connectĂ©e, perdue dans ses rĂ©flexions.
C'est alors que Billy s'approcha et s'assit à cÎté d'elle, son sourire habituel illuminant son visage. Il remarqua immédiatement l'air préoccupé de Lilia.
"Hé, Lilia," commença-t-il, sa voix douce et rassurante, "ne t'inquiÚte pas. Reader va bientÎt arriver, j'en suis sûr."
Lilia tourna lentement la tĂȘte vers lui, ses yeux se posant sur son ami. Elle lui offrit un sourire, bien que lĂ©gĂšrement hĂ©sitant.
"Je sais, Billy," répondit-elle, sa voix trahissant une pointe d'anxiété. "C'est juste que⊠je me demande ce qui lui prend tant de temps."
Billy observa Lilia, son regard plein de comprĂ©hension. "Peut-ĂȘtre qu'elle a eu un contretemps," suggĂ©ra-t-il, tentant de la rassurer.
Lilia se laissa aller à un léger rire, appréciant le soutien de son ami. "Tu as raison, comme toujours," répondit-elle, un peu plus à l'aise.
Elle se redressa et observa la piĂšce, se laissant emporter par l'Ă©nergie de la fĂȘte, tout en gardant un Ćil sur la porte, espĂ©rant apercevoir Reader.
Reader était enfin arrivée, et elle avait l'air éblouissante dans son pantalon rouge qui épousait parfaitement ses formes, mettant en valeur son allure dynamique. Son haut noir, simple mais élégant, ajoutait une touche de sophistication à sa tenue.
En la voyant entrer dans la piĂšce, Billy ne put s'empĂȘcher de sourire, ses yeux s'illuminant de joie et d'admiration. Reader, rĂ©alisant qu'elle avait attirĂ© l'attention de tous, s'approcha avec une petite moue d'excuse.
"Désolée pour le retard," dit-elle, sa voix douce mais pleine d'énergie, presque comme une mélodie qui résonnait dans l'air.
Lilia, qui observait Reader avec admiration, ne pouvait s'empĂȘcher de la trouver tout simplement magique. Elle se sentit submergĂ©e par l'Ă©motion, ses mots peinant Ă sortir. AprĂšs un moment de silence, elle rĂ©ussit Ă articuler, le cĆur battant :
"Wow, tu as l'air⊠incroyable." Ses mots, chargés de sincérité, firent briller les yeux de Reader, qui ne pouvait cacher son bonheur.
Reader rougit dĂ©licatement, un sourire timide se dessinant sur son visage. "Merci, Lilia," rĂ©pondit-elle en s'asseyant Ă cĂŽtĂ© de son amie, leurs Ă©paules se frĂŽlant. "Je peux dire la mĂȘme chose pour toi, cette couleur te va vraiment bien."
Lilia se sentit flattĂ©e, un lĂ©ger sourire se dessinant sur ses lĂšvres. Elle jeta un coup d'Ćil Ă son propre haut, un doux rose qui contrastait avec le rouge flamboyant de Reader.
"C'est gentil de ta part," dit-elle, le cĆur lĂ©ger.
Les deux amies échangÚrent un regard complice, conscientes que leur complicité ne faisait que grandir au fil des instants partagés, créant un moment inoubliable rempli de rires et de complicité.
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Appliquer le dark mode Ă une banniĂšre
Il est d'utilité commune désormais d'utiliser un dark mode sur nos forums afin de rendre l'accessibilité la plus complÚte possible au maximum d'utilisateurices. Cependant un souci se pose souvent; c'est celui de la banniÚre. Une fois installé dans le panneau d'administration, il est difficile de savoir comment faire en sorte qu'elle change lorsqu'on clique sur le bouton de dark mode. Les couleurs; c'est souvent trÚs bien expliqué mais la banniÚre, je n'ai personnellement pas trouvé de tuto' explicatif de comment faire. C'est pour ça que nous sommes là aujourd'hui ! Avec quelques petites modifications de template et de rajout de CSS, nous allons apprendre à mettre en place une banniÚre en deux "couches" afin qu'elle change au click du dark mode.
Il va falloir tout d'abord comprendre comment nous allons procĂ©der. Nous allons tout simplement supprimer la balise dans notre template principal qui correspond Ă la banniĂšre et en "recrĂ©er" une toute nouvelle. Ăa semble compliquĂ© de premier abord, mais pas du tout !
Dans votre template "overall_header" (Panneau d'administration > Affichage > Template > Général), vous avez cette ligne là :
<a href="{U_INDEX}" id="logo"><img loading="lazy" src="{LOGO}" alt="{L_INDEX}"/></a>
Cette ligne correspond Ă la banniĂšre que vous allez entrer dans votre panneau d'administration au niveau des images, et qui est cliquable en renvoyant Ă l'accueil. Donc si on la supprime, allez-vous me dire, comment avoir une banniĂšre qui s'affiche correctement et qui est ensuite cliquable ? Et bien, on va tout simplement simuler cet effet avec deux couches; un peu comme les calques sur Photoshop. Le premier calque correspondra Ă notre banniĂšre qui va changer au dark mode et la seconde couche sera une banniĂšre "invisible" Ă la mĂȘme taille que l'on va poser par dessus, et qui sera elle, cliquable. C'est donc en dĂ©cortiquant cet effet pour le reproduire en deux Ă©tapes simples que l'on va pouvoir avoir une banniĂšre qui change avec le dark mode.
Alors avant de continuer, il faut que vous ayez d'ores et déjà installé un dark mode (celui de @code-lab, EDISON, est trÚs bien, trÚs bien expliqué et trÚs pratique !) afin d'avoir dans notre CSS le root correspondant au mode de base de notre forum et le "data:root", correspondant aux valeurs du dark mode.
Commençons donc par installer les deux couches de banniÚre. à la place de votre valeur supprimée qui correspond à la banniÚre de base de Forumactif, vous allez rajouter ceci à la place :
<div class="dark_bann"></div> Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â <div class="dark_bann_sup"><a href="/"><img src="https://2img.net/i.ibb.co/BTqHhnX/prdbirthday3.png"/></a></div>
Ici, vous pouvez voir que la premiÚre div est vide et que la seconde contient une banniÚre invisible. Votre affichage de forum aprÚs avoir enregistré le template sera tout vide en haut de la page d'accueil et c'est parfaitement normal ! On ne panique pas, et on va installer le CSS pour rendre tout ça un peu plus joli.
La premiÚre étape est d'aller créer une nouvelle valeur dans le root correspondant à l'image de la banniÚre de base que vous voulez afficher; comme celle que vous aviez installé dans votre panneau d'admin. Exemple :
:root { Â Â --imgbann:url(VOTREURLD'IMAGEICI); }
Une fois ceci fait, vous allez copier coller cette mĂȘme valeur dans le dark:root (qui correspond Ă ce que le dark mode va aller remplacer), mais en changeant l'URL par la banniĂšre en dark mode. Exemple :
[data-color-scheme="dark"]:root { Â Â --imgbann:url(VOTREURLDELABANNDARK); }
D'accord, c'est bien mignon mais rien ne change quand on clique sur le dark mode, oskour ! Pas de panique, c'est parfaitement normal. On vient simplement de configurer le changement d'image au click du bouton de dark mode. Maintenant, il va falloir appliquer cette mĂȘme image par le CSS dans la banniĂšre dont la div Ă©tait vide. Et oui, elle servait à ça ! Retournez donc dans votre CSS, et rajouter ceci :
.dark_bann { Â Â width: 800px; Â Â height: 500px; Â Â overflow: hidden; Â Â background-image: var(--imgbann); Â Â background-size: 100%; Â Â background-position: 50% 50%; }
Ici, nous avons donné une largeur de 800px à notre banniÚre, une hauteur de 500; on a imprimé en image de fond notre banniÚre de base; on lui a appliqué une taille de 100% pour que ça prenne bien toute la place disponible et on l'a centré totalement. Et là , magie, notre banniÚre s'affiche bien et change au click du dark mode !
Cependant il reste un souci, notre banniĂšre invisible cliquable apparaĂźt en-dessous de notre "vraie" banniĂšre qui elle n'est pas cliquable. Nous allons donc ajouter Ă notre CSS :
.dark_bann_sup { Â Â overflow: hidden; Â Â width: 1005px; Â Â height: 500px; Â Â margin-top: -500px; } .dark_bann_sup img { Â Â width:100%; }
Ici, on a donnĂ© la mĂȘme taille Ă la banniĂšre invisible (vous pouvez essayer de lui mettre un background d'une couleur bien voyante comme le rouge pour bien la voir) et on l'a "remontĂ©" pour qu'elle se superpose Ă notre vraie banniĂšre. Et lĂ , tout est parfait ! On peut bien la cliquer comme une banniĂšre "normale", et la couche infĂ©rieure est notre banniĂšre qui change au dark mode.
Voilà voilà , j'espÚre que ce tuto pourra aider qui que ça intéressera et que ça ne sera pas trop difficile à utiliser !
#forumactif#tuto code#tutoriel#forum rpg#rpg forum#french rpg#ressources#forumrpg#forum#code#rpg francophone#partage de ressources
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Des sensations et des mystĂšres
Je pose mon stylo oĂč mes doigts et mon esprit sont engourdis. Je reviens Ă moi. Lâespace rĂ©trĂ©ci de la page blanche sâouvre Ă nouveau. Ma nuque est douloureuse. Je mâĂ©tire, les coudes en arriĂšre. Je quitte ma feuille pour aller vers dâautres feuilles. Je me lĂšve et me dirige vers lâextĂ©rieur.Â
Il y a le jardin, lĂ devant moi. Tout est lĂ . La porte se referme et jâavance dans la lumiĂšre et la chaleur. LĂ me parviennent immĂ©diatement les odeurs florales, le bruissement des insectes affairĂ©s et le doux balancement des plantes. Je pose mon regard Ă lâombre. Un papillon reste immobile sur une feuille Ă©talĂ©e, elle-mĂȘme sur une tige Ă©lancĂ©e. Il y a quelque chose qui attire plus haut, plus loin encore. Quelque chose de la vie. Je pose mon doigt sur une hampe vert tendre pour dĂ©couvrir une coccinelle Ă lâabri.Â
Tout est dit de lâharmonie et de la magie.  Dans le silence, les noms savants des fleurs me reviennent eux aussi. Podranea rocasoliana. Isotoma axillaris. Cistus albidus. Et je suis Ă ma place. Juste lĂ , avant de revenir Ă lâĂ©criture. Encore et encore. Puisque câest ma nature.Â
/ Fabienne PASSAMENT. 2024 Atelier d'Ă©criture d'aprĂšs Monique Wittig
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Un chapitre trÚs intéressant sur comment la guerre a laissé des traces que ce soit envers les vétérans ou ceux qui ont attendu que leurs maris ou leurs pÚres reviennent et peu d'entre eux sont revenus. Millie a perdu son pÚre et a du mal à rester travailler dans cette charité. Alors qu'elle est culpabilisé par les gens de la haute société pour dire qu'elle met sa souffrance en avant négligeant celle des autres. J'ai bien aimé l'intervention de Yor car elle est aussi victime de la guerre mais a décidé de devenir plus forte pour son frÚre car personne d'autre pouvait veiller sur elle et Yuri. Et j'aime bien le fait qu'on voit Melinda de maniÚre plus positive, dans le sens oui elle a ses responsabilités en tant qu'épouse de Donovan mais elle a aussi sa famille. Ce qui la rend un peu plus nuancée aprÚs j'espÚre qu'on aura des moments entre elle et ses fils, je pense que c'est important pour elle mais aussi pour eux. D'ailleurs techniquement Loid est un vétéran lui aussi, je me demande si il va y aller ou pas car ça risque de lui rappeler de mauvais souvenirs.
A very interesting chapter on how the war left its mark, whether on veterans or those who waited for their husbands or fathers to return, and not many did. Millie has lost her father and finds it hard to stay working in this charity. At the same time, she is blamed by the upper classes for putting her own suffering first and neglecting that of others. I liked Yor's intervention because she too is a victim of war, but she decided to become stronger for her brother because no one else could look after her and Yuri. And I like the fact that we see Melinda in a more positive light, in the sense that yes, she has her responsibilities as Donovan's wife, but she also has her family. Which makes her a little more nuanced, and I hope we'll get some moments between her and her sons, because I think it's important for her, but also for them. Besides, technically Loid is a veteran too, so I wonder whether he'll go or not, as it might bring back some bad memories.
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Un amour au-delĂ de lâamour, plus haut que le rite du lien, au-delĂ du jeu sinistre de la solitude et de la compagnie.
Un amour qui nâait pas Ă revenir, mais non plus Ă sâen aller. Un amour non soumis aux frĂ©nĂ©sies dâaller et venir, dâĂȘtre Ă©veillĂ©s ou endormis, dâappeler ou de se taire.
Un amour pour ĂȘtre ensemble ou pour ne lâĂȘtre pas, mais aussi pour tous les Ă©tats intermĂ©diaires.
Un amour qui serait comme ouvrir les yeux, Et peut-ĂȘtre aussi comme les fermer.
Roberto Juarroz
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J'arrĂȘte pas de repousser mon voyage en Nouvelle-ZĂ©lande. J'avais pas envie de dire tout haut ce que je pense depuis longtemps mais je meurs de peur. Je ne sais mĂȘme plus si j'ai envie d'y aller. 12 putain d'heures de dĂ©calage, j'aurai mĂȘme pas quelqu'un qui pourra ĂȘtre lĂ connectĂ© h24 et que je pourrai appeler si jamais ça va pas. Et mon copain va tellement me manquer. Depuis des mois, j'ai l'impression que ce futur voyage me fait plus de mal que de bien. Est-ce que j'en ai vraiment envie finalement? J'avais envie de voyager et ne compter que sur moi mais Ă ce point lĂ ? J'aurais pu aller en Espagne ça aurait Ă©tĂ© la mĂȘme Ă ce niveau lĂ . Mais c'est trop tard j'ai payĂ© une blinde ce visa et une fois qu'on l'a on doit y aller pcq avec le VVT c'est qu'une seule fois dans le pays choisi. J'ai envie de pleurer. En plus j'ai prĂ©venu tout le monde que je partais donc y a pas de retour en arriĂšre possible, ce serait la honte.
Il faut absolument que je vois ma psy.
(24/10/2024)
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saga: Soumission & Domination 319
Amaury au taf
Avec Samir et Ammed, nous recherchons ce qui pourrait faire monter Amaury en gamme.
Samir propose qu'on pourrait commencer par le faire sodomiser par mon black le plus membré. Lui, un aristocrate, ça devrait bien le faire kiffer de se faire dominer par un ancien indigÚne des colonies! Il souhaite y aller progressivement et faire durer le plaisir qu'il prend avec Amaury.
Je suis OK avec ça. C'est son soumis, c'est lui qui décide.
Je fais affaire avec mon black TTTBM. Sa bite de 28x8,5 me pose souvent un problĂšme mĂȘme avec mes escorts entrainĂ©s. Il le sait bien mais je suis le seul qui peut lui fournir oĂč mettre sa bite (si on peut appeler ça une bite !). Surtout qu'on pourrait penser qu'elle est un peu molle et bien non le colosse de 2m la fait raidir comme si elle ne faisait que 20x5 !
Je l'appelle et lui propose un plan sodomie directe. Il hallucine de m'entendre lui proposer cela. D'habitude j'insiste bien sur le fait qu'il prenne le temps de bien préparé mon escort, qu'il y aille lentement dans sa pénétration et qu'il ne casse pas son " jouet " car il ne payera jamais assez pour ça.
Je lui explique que j'ai rentré un nouvel escort aux capacités adéquates. Négo sur le tarif. Samir me dit que c'est pour moi, lui il aura le kiff de gérer Amaury. Je refuse et de toutes les maniÚres il aura une prime sur son salaire normal. Je précise qu'il sera amené par son maßtre et que ce dernier aura toute autorité de ma part pour gérer la prestation. Le client accepte trÚs excité par les possibilités qui s'offrent à lui.
RĂ©cit de Samir :
J'emmĂšne Amaury Ă son premier contrat pour Sasha. Avant de monter en voiture, je l'ai prĂ©parĂ©. Un lavement en profondeur, graissage et maxi plug (longueur 20cm, diamĂštre au blocage 5) avant que je lui pose sa cage de chastetĂ©. Pour ĂȘtre sĂ»r qu'il ne bande pas celle-ci comporte des picots vers l'intĂ©rieur sur toute la pointe qui emprisonne son gland. Dans la voiture, assis dessus, Amaury bascule le bassin pour faire bouger le plug. Il gĂ©mit dĂ©jĂ de l'effet sur sa prostate. Je lui dis de se calmer qu'il garde des forces pour se faire dĂ©foncer tout Ă l'heure.
Nous arrivons chez le client. Grosse maison isolée. Amaury va pouvoir gueuler, y'aura pas de voisins dérangés. Il n'a sur le dos qu'un short de course trÚs échancré sur les cÎtés auquel j'ai retiré le slip intérieur puisqu'il n'y a rien à retenir. Pour le haut un simple marcel de muscu, lùche.
C'est le client qui ouvre. Impressionnant mĂȘme pour moi qui suis pourtant carrĂ©. Le mec fait dans les 2m et bien 120Kg. Il est en tenue de sport lui aussi. Ses bras nus sont comme les cuisses d'Amaury (ok c'est pas non plus ce qu'il travaille le plus !). Ils sortent d'un t-shirt blanc gonflĂ© Ă l'extrĂȘme. Son sexe est emprisonnĂ© dans un cycliste Ă©lastique qui le moule comme une 2Ăšme peau. Il est tellement moulant qu'on devine qu'il est circoncis et porte un gros cockring.
Je pousse Amaury vers le sol qu'il se mettre Ă 4 pattes. Je serre la main du client et prĂ©sente mon slave. Il nous demande de le suivre. Amaury reste Ă 4 pattes et nous suit jusqu'au donjon du mec. Pas aussi bien Ă©quipĂ© que celui du Blockhaus, mais pas mal quand mĂȘme. Le principal est lĂ , une croix de saint AndrĂ©, une selle Ă gode motorisĂ© et un cheval d'arçon avec menottes pour mains et pieds. Une Ă©tagĂšre avec une collection de gode de taille croissante occupe un des murs. Je comprends leur utilitĂ© quand mes yeux reviennent sur le client qui maintenant bande franchement.
Amaury est hypnotisé par le boa qui s'est développé. Le gland a cherché une issue et s'est faufilé sur la jambe gauche jusqu'à sortir du tissus juste au-dessus du genou.
Je lui dis d'y aller. Il se jette dessus et tourne la tĂȘte pour prendre en bouche le gland violacĂ©. A la tĂȘte du client, je devine qu'Amaury tourne sa langue dessus comme il sait si bien le faire. Je suis sĂ»r qu'il doit mĂȘme essayer d'enfiler sa langue dans le petit trou. Le client ne tient plus, il s'Ă©carte et descends le cycliste. Sa lourde bite remonte plus haut que l'horizontale ce qui est pas mal vu le poids qu'elle doit faire. Elle ne reste pas longtemps sans couverture. Amaury se jette dessus et s'en enfiles les 3/4 pour sa premiĂšre plongĂ©e. Je connais mon gourmand, il n'aura de cesse que de poser ses dents sur le pubis crĂ©pu. il plonge et replonge sur la queue loirs et il ne lui faut que 10mn pour y arriver. Le client est ravi. Il me dit que c'est une premiĂšre pour lui, en gĂ©nĂ©ral les autres escorts callent Ă 3 cm de l'arrivĂ©e.
Mon Amaury se donne Ă fond. Je crois qu'il kiff de rĂ©aliser son phantasme de pute. Il se plante le gros noeud dans sa gorge et insiste mĂȘme quand il est bien au fond. Je le vois se cambrer de plus en plus. Son cul est un vĂ©ritable appel au viol.
Le client s'en aperçoit lui aussi. Il se dĂ©gage de la bouche d'Amaury et l'attrape par les hanches. Il le tourne et remarque le plug. Il me jette un coup d'oeil et je lui dis qu'il peut y aller. Du coup il l'arrache d'un coup sec, faisant hurler Amaury par la mĂȘme occasion. Quel comĂ©dien ! Vu la dose de gel que je lui avais mis, il a dĂ» glisser quasiment tout seul.
Le trou n'a pas le temps de se refermer que le client pousse sa bite kpotĂ©e dedans. Je suis en face. Je vois els yeux d'Amaury sortir des orbites. C'est sĂ»r que sans trop de prĂ©paration il mange grave le gamin ! Je vois ses yeux se remplir de larmes mais elles sont de plaisir vu le sourire qu'il m'envoi. En attendant c'est pas pire que nos deux bites ensembles Ă Ammed et moi question diamĂštre. Parce que cĂŽtĂ© longueur c'est sĂ»r que c'est beaucoup plus long, sauf le bras d'Ammed ! Le client me prend plusieurs fois Ă partie et me fĂ©licite de la salope que j'ai entre les mains. En mĂȘme temps qu'il bourre Amaury il discute avec moi. C'est assez troublant mais c'est lui le client ! Je pense que ça doit aussi l'empĂȘcher de partir trop vite.
Il me dit qu'avec les meufs, il n'arrive rarement Ă en mettre que les deux tiers et encore quand elles ne se sauvent pas en courant. Je le fĂ©licite d'ĂȘtre aussi bien outillĂ© et dis que je comprends, ce sont plutĂŽt parmi les juments qu'il devrait trouver son bonheur. Eclats de rire, mĂȘme d'Amaury qui recule sur le mat qui le perfore comme le client ralentissait le rythme.
Un changement impressionnant de position. Amaury est loin d'ĂȘtre une crevette ce qui ne l'empĂȘche pas d'ĂȘtre soulevĂ© comme une plume, et le colosse noir de le planter sur sa bite debout. Reflexe, Amaury serre ses jambes aux hanches du mec pour se soutenir. Dans cette position, les fesses d'Amaury sont Ă©cartĂ©es au maximum et il se prend jusqu'au dernier millimĂštre la bite noire. C'est impressionnant la diffĂ©rence de couleur. Le noir est trĂšs noir et Amaury Ă le cul trĂšs blanc !
Ils tiennent la position plus d'un quart d'heure avant que le black pose le dos d'Amaury sur la table et l'encule violement jusqu'à jouir. Je remarque qu'Amaury laisse échapper de son gland compressé un long filet blanchùtre de sperme. Je suis content qu'il ait pris son pied lui aussi.
Le client se barre en nous indiquant la salle d'eau attenante. Je m'occupe d'Amaury. Je libĂšre sa bite. Elle est couverte de son jus. Dans un souffle rauque, il me dit avoir jutĂ© au moins deux fois. Je le soutiens jusqu'Ă la douche. Il est mort. J'ĂŽte le haut pour le laver. Il se laisse faire comme un enfant. Je le savonne, le rince et le remet debout pour le sĂ©cher. Au passage je vĂ©rifie la fermeture de son anus. Comme d'habitude, il est quasiment Ă la taille " non utilisĂ© autrement que naturellement ". Je retrouve les quelques vĂȘtements qui le couvraient. Il est renfile et alors que nous nous apprĂȘtons Ă partir, Le client nous rattrape et me file un enveloppe. Je sais par Sasha que c'est une pratique assez courante de ses clients quand ils sont contents.
Avant de dĂ©marrer, j'ouvre l'enveloppe et compte vite fait. Je sais que les clients sont aisĂ©s mais lĂ se prendre 5k de plus que le contrat c'est fou !! J'en touche deux mots Ă Amaury qui me dit de tout garder, lui n'en a pas besoin. Il a pris grave son pied et me dit qu'il est prĂȘt Ă recommencer quand je veux.
Je vois bien qu'il a kiffé grave le plan mais je dois faire attention pour lui. Il serait capable d'enchainer les plans pour le plaisir.
Je le ramĂšne chez lui et rentre au blockhaus. Je discute avec Sasha du plan qu'Amaury vient de faire.
Samir revient de chez mon client. Il me tend une enveloppe pleine et me dit qu'Amaury n'en n'avait pas voulu. Je le lui rends et lui dis que du coup c'est tout pour lui. Il me dĂ©briefe le client. En conclusion il me dit qu'Amaury est prĂȘt pour un gang bang la prochaine fois. Sa rondelle s'est refermĂ©e parfaitement. L'entrainement qu'il s'est auto-infligĂ© depuis des annĂ©es fait son effet.
Je lui dis que je le tiens au courant pour le gang bang. Ce genre de plan demande un peu d'organisation. Le lieu est tout trouvĂ©, le gite habituel est rarement utilisĂ© en fin d'automne. Le proprio sera content de se faire un peu de blĂ©.Â
Quand je revois Amaury, c'est en cours. Il a les yeux un peu tirés mais personne ne pourrait s'imaginer qu'il s'est fait monter par un étalon black pendant des heures la nuit passée.
Il me rejoint à la machine à café. Je lui tends celui que j'avais commandé et m'en prends un autre. On papote de tout et rien en attendant que les collÚgues s'éloignent. Je lui demande alors comment il a encaissé sa premiÚre prestation. Il me répond que c'était trop fort. Le plus qu'il ait jamais connu, encore plus que ses plans avec Samir et Ammed. Avant de rentrer dans l'amphi, il me dit qu'il peut aller plus loin encore et que si j'ai des clients partants, il est mon homme.
Je le retrouve aprĂšs les cours et l'emmĂšne boire une biĂšre. Quand je lui dis que j'ai reçu un appel de son client, je le vois inquiet. Tout de suite je le rassure et lui dis qu'il le redemande dĂšs que possible. Je lui explique qu'il est le seul de mes escorts Ă part Jimmy mon phĂ©nomĂšne beur, Ă rĂ©ussir Ă le prendre en entier. Et qu'il a trop aimĂ© son corps plus formĂ©. Il rougit c'est charmant ! Je lui demande si plusieurs black ça lui ferait peur. Il me fixe et me dis que de toutes maniĂšres, je sais qu'il est une grosse chaudasse en manque de queue. Que c'est pas nĂ©cessaire de lui demander, il sera partant pour tous mes plans possible les plus hards. Je n'aime pas trop son ton. J'entends sous ses propos une rĂ©signation Ă n'ĂȘtre bon qu'Ă se faire dĂ©foncer. Trop nĂ©gatif comme Ă©tat d'esprit !
Comme je sais que ce soir il n'y aura que PH Ă la maison, je l'embarque avec moi.
Mon homme est Ă©tonnĂ© de le voir surgir derriĂšre moi du monte-charge. Il l'accueille avec chaleur car lui aussi a vu la tĂȘte qu'il fait. Pour qu'Amaury soit Ă l'aise, je ne me mets pas en shorty comme PH. Samir nous rejoint avec l'apĂ©ro et je lui dis de rester et appelle Ammed de venir avec deux verres de plus.
Quand on est tous assis, je déclare ouvert la réunion de guerre. Personne à part moi ne comprend, mais moi si ! C'est le principal. Ils attendent tous la suite.
Je prĂ©ambule : on se connait, on connait Amaury est ses envies, et bien on est lĂ pour lui faire prendre conscience que si personne autour de cette table ne le juge, il n'a pas non plus Ă le faire lui-mĂȘme. On n'est pas des psys mais on doit pouvoir chasser ses idĂ©es noires de sa cervelle.
Amaury se récrie qu'il est bien. J'affirme que non et que les autres sont d'accord avec moi. Nous discutons une bonne heure. Je confronte les expériences sexuelles d'Amaury avec le plaisir qu'il en retire. Ammed lui confie que lui aussi adore se soumettre à Samir lorsqu'ils font l'amour ensemble. C'est pas pour ça qu'il n'avait plus sa fierté et que Samir ne le respectait pas. Je confirme que si le client a rappelé, ce n'était pas pour demander quand la salope serait dispo mais quand il pourrait bénéficier des prestations du dernier escort que je lui avais envoyé. Et c'était avec des propos admiratifs qu'il avait parlé de son travail.
Je lui dis encore que quelques soient les plans que je lui organiserais, mĂȘme s'il y a soumission totale, mĂȘme s'il y a des pratique sado-maso ou s'il sert de vide couilles Ă un rĂ©giment africain en rut, ça ne le placera pas comme une sous merde dans l'esprit d'aucun de mes clients.
Il me dit que c'est des craques, que lui se cachait la vĂ©ritĂ© mais qu'il est comme ça depuis l'enfance. Se faire saillir par son Pinocchio Ă la pubertĂ©, ça dĂ©notait quand mĂȘme son niveau de dĂ©pravation. C'Ă©tait pas la peine de faire un dessin ! Mes trois acolytes se taisent, eux viennent d'apprendre ses pratiques ancillaires. Ăa plus de se faire dĂ©foncer par le jardinier TTBM, jusqu'Ă 3 fois par jour, c'est pas un parcours normal !
LĂ , Ă©clats de rires gĂ©nĂ©ral. Il redresse la tĂȘte pour comprendre. Je lui montre Samir et Ammed en Shorty cuir, PH et moi, le film de mes amis qui singent le " dĂ©jeuner sur l'herbe " de Renoir en poussant plus loin l'aprĂšs-midi et lui dis que normal ça ne veut rien dire !! On est tous le dĂ©viant de quelqu'un. Evidemment c'est maintenant que ça se joue pour lui car il n'est plus tout seul et qu'il partage son " originalitĂ© " avec d'autres mecs. Que s'il ne s'accepte pas tout de suite, ce sera un siĂšcle de psychanalyse, une femme malheureuse et des enfants futurs tueurs en sĂ©rie. Ma derniĂšre assertion les fait tous se tourner vers moi, interloquĂ©s. Ben quoi ! Faut bien des circonstances attĂ©nuantes Ă ces meurtriers !
Ce coup-ci quand les rires éclatent, ils viennent aussi de lui. L'abcÚs est percé. Enfin on va pouvoir diner tranquille.
Pour assurer sa rémission, il reste dormir exceptionnellement au Blockhaus avec Samir et Ammed.
Au petit dĂ©jeuner le lendemain matin c'est un autre garçon. Son assurance n'est plus exagĂ©rĂ©e, artificielle comme elle l'Ă©tait avant. Pour preuve, il arrive alors que nous sommes tous dĂ©jĂ levĂ©s et aprĂšs nous avoir embrassĂ©s sur la joue, il roule un patin Ă Samir et fait de mĂȘme avec Ammed. Quand je lui propose de l'emmener avec moi Ă l'Ă©cole, il me dit qu'il doit passer se changer chez lui. On n'a pas trop le temps. Il accepte que je lui prĂȘte des vĂȘtements et nous partons ensemble. Notre arrivĂ©e est remarquĂ©e. C'est uniquement de le voir sortir de ma voiture qui interpelle nos collĂšgues. Maxou m'interroge du regard ? Je lui fais signe qu'on en parlerait plus tard.
Amaury, lui, doit faire face Ă son groupe de fans. Ils lui demandent ce qu'il peut bien faire avec moi. En quelques mots il dompte ses troupes et avance.
Maxou vient aux nouvelles. Je ne révÚle pas la teneur de la soirée de la veille. Je lui dis juste que notre Amaury s'est enfin trouvé. Maxou comprend à demi-mot. Et n'insiste pas. Lui aussi a bénéficié de mes " services " qui lui ont permis de s'affranchir des bùtons qu'il avait dans ses roues.
Jardinier
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ScĂšne 1 "Une femme mure sur la plage"
DĂ©jĂ presque une annĂ©e Ă©coulĂ©e depuis ces vacances passĂ©es chez mes parents dans le sud-ouest de la France. CâĂ©tait en pleine saison au mois d'aoĂ»t, je me souviens encore des senteurs et sensations dâaller courir chaque matin avant dâaller piquer une tĂȘte dans lâocĂ©an pour conclure cette activitĂ© de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mĂ©moire comme des moments marquants de la vie oĂč tout est calme, oĂč on ressent la sĂ©rĂ©nitĂ© du prĂ©sent, oĂč la vie semble sans contraintes.Â
Jâavais passĂ© lâĂąge de passer des vacances chez mes parents mais cette annĂ©e lĂ les voyages Ă©taient encore limitĂ©s et jâavais Ă coeur de voir mes parents aprĂšs cette pĂ©riode surrĂ©aliste oĂč la moitiĂ© de la planĂšte avait passĂ© plusieurs mois confinĂ©e. Ce virus COVID-19 qui a touchĂ© tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupĂ© de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances dâĂ©tĂ© se rĂ©duisaient Ă des distances accessibles en train ou en voiture, les vols Ă lâautre bout de bout monde encore dĂ©conseillĂ©s.
J'aimais me lever tĂŽt pour aller courir, profiter de la fraĂźcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques.Â
Depuis quelques jours jâavais remarquĂ© cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait prĂ©fĂ©rer la tranquillitĂ© avant l'arrivĂ©e de la foule. La 1Ăšre fois que je lâavais aperçu, Ă©tant seul sur la plage avec elle, je me disais quâelle m'avait obligatoirement remarquĂ©. Je me souviens comme si câĂ©tait hier, je voulais me rafraichir aprĂšs mon footing matinal, je nâavais pas rĂ©sistĂ© Ă l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'Ă©tais Ă©tonnĂ© de voir cette femme seule Ă cette heure, comme si elle commençait sa journĂ©e de plage, installĂ©e sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraĂźcheur
Elle lisait et avait tournĂ© la tĂȘte en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posĂ© mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraĂźche. Je lui tournais le dos, elle Ă©tait installĂ© Ă une 20aine de mĂštre plus haut sur la plage, je n'avais pas osĂ© me retourner mais bien qu'Ă©tant allongĂ©e sur le ventre, tournant le dos Ă la mer, jâavais imaginĂ© quâelle avait tournĂ© la tĂȘte pour me regarder me dĂ©vĂȘtir avant de plonger en boxer dans lâeau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journĂ©e. Quand je revenais vers le bord, elle avait changĂ© de position, assise sur sa serviette, le regard plongĂ© dans son livre mais elle s'Ă©tait retournĂ©e, peut-ĂȘtre pour profiter de l'ocĂ©an et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour lĂ , je revenais tous les matins, Ă la mĂȘme heure, espĂ©rant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarquĂ© que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'Ă©tais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'Ă©tait pas le genre de femme quâon aborde facilement. C'Ă©tait l'impression qu'elle me donnait.Â
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnĂ©s, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignĂ©e. MalgrĂ© le soleil estival, sa peau Ă peine hĂąlĂ©e, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dĂ» arriver depuis peu. Un dĂ©tail avait captĂ© mon attention plus particuliĂšrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin dâelle, elle nâĂ©tait pas grosse mais des formes qui sâarrondissent avec les annĂ©es de maniĂšre plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle sâĂ©tait levĂ©e pour aller se baigner, son fessier mâavait captivĂ©, il Ă©tait large, charnu et marquĂ© par les annĂ©es tout en Ă©tant trĂšs agrĂ©able au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de maniĂšre trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rĂȘver surtout chez une femme mure. J'avais remarquĂ© cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassĂ© le matin Ă la mĂȘme heure, elle Ă©tait lĂ au mĂȘme endroit. Depuis je m'Ă©tais calĂ© sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa prĂ©sence qui agrĂ©mentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en mĂȘme temps qu'elle, toujours au mĂȘme endroit, un peu en retrait Ă quelques 10aines de mĂštre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son dĂ©cors, l'habituer Ă ma prĂ©sence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habituĂ© de la mĂȘme plage, Ă la mĂȘme heure. Comme pour partager cette discrĂšte complicitĂ© et la rassurer de ma prĂ©sence Ă quelques mĂštres d'elle. Pour vivre ce moment, Ă la surprise de mes parents, jâavais pris cette habitude de me lever tĂŽt tous les matins, pour profiter de ce moment privilĂ©giĂ© qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de lâocĂ©an calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osĂ© aller me baigner en mĂȘme temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle Ă©tait en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indĂ©finiment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait Ă ma prĂ©sence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle Ă©tait lĂ , entre 7h30 et 7h45, l'heure oĂč les gens dormaient encore, oĂč l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'Ă©tais lĂ en espĂ©rant la retrouver Ă la mĂȘme place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder Ă part un simple bonjour mais elle Ă©tait trop loin pour lui parler et je nâosais pas aller lâaborder et pour quelle raison dâailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressĂ©e. Je mâencourageais en me disant que je devrais aller me baigner en mĂȘme temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la tempĂ©rature de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de crĂ©er un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle Ă©tait ouverte Ă la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un dĂ©fi Ă relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espĂ©rais que lâinitiative vienne dâelle, considĂ©rant que mon Ăąge ne me permettait pas dâaborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hĂ©sitais Ă me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agrĂ©mentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirĂ©es. JâĂ©tais troublĂ© en pensant Ă elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par rĂ©veiller mon sexe au point de me caresser en Ă©chafaudent des plans que je savais pertinemment irrĂ©alisables mais ces rĂȘves Ă©rotiques Ă©taient des plus agrĂ©ables. Jâessayais de lâimaginer, telle que je lâavais vu, je me remĂ©morais rĂ©guliĂšrement ce moment qui mâavait marquĂ© et Ă©mu : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager.Â
Ce matin encore en la voyant nager, je me rĂ©signais, me promettant que demain j'irai me baigner en mĂȘme temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me dĂ©tendais en gagnant ce nouveau dĂ©lais. Elle nageait Ă quelques mĂštres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me rĂ©jouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce dĂ©cors qu'elle garderait en tĂȘte comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensĂ©es en journĂ©e. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que jâĂ©tais arrivĂ© je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tĂŽt. Il m'arrivait de parcourir les lieux oĂč les touristes se promenaient, jâavais mĂȘme fait le tour du marchĂ© en matinĂ©e, espĂ©rant la croiser, me demandant qui elle Ă©tait, si elle Ă©tait seule, en couple, avec sa famille, des amis mais Ă©tant seule chaque matin je lâimaginais seule.Â
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de dĂ©couvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je lâavais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui Ă©tait cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivĂ©e des touristes. Jusque lĂ , je nâavais pas osĂ© quitter la plage en mĂȘme temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer Ă ses yeux pour un dragueur de plage en quĂȘte dâaventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait Ă pied, Ă vĂ©lo ou  en voiture mais je commençais Ă Ă©chafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-ĂȘtre venir un peu avant 7h30 pour voir d'oĂč elle venait ? peut-ĂȘtre attendre d'ĂȘtre hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journĂ©e mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en mĂȘme temps qu'elle. Je me sentais presque rassurĂ© dâobtenir ce dĂ©lais tout en redoutant quâelle ne vienne plus et disparaisse Ă jamais sans avoir rien tentĂ© ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain Ă©tait un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. Jâangoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai ratĂ© l'occasion de l'aborder. Je m'arrĂȘtais un moment, j'hĂ©sitais entre me changer les idĂ©es en allant voir un copain et continuer Ă errer dans les alentours de la plage en espĂ©rant la croiser. Je me sentais comme un dĂ©tective privĂ© Ă la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquĂȘte.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (ScĂšne 2 le 21 mars 2024 Ă 06h00)
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Partout on s'emmĂšne soi-mĂȘme. Alors partir sans vouloir un ailleurs. Partir pour se trouver. Dans le silence, dans l'espace. Juste au dessus du temps, juste au-delĂ des peines. Partir sans oublier. Pour regarder plus haut, faire semblant de se laisser aller au vent. Pour inventer le sens du fil qui nous attache.
- Martine et Philippe Delerm
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"Comment câest fait lâopinion ? Câest bien simple, câest fait Ă Paris. Un Parisien comment câest fait ? Câest bien simple ça vient de la campagne. Ăa vous arrive un beau matin, en petite valise, wagon pommes. Voici lâhomme sur le pavĂ©. Le Juif est lĂ qui lâattend, avec sa presse, sa radio [âŠ] En huit jours il se reconnaĂźt plus. Un vertige dâintelligence ! Le chef-dâĆuvre des 22 siĂšcles ! Câest lui lâunique et pas un autre ! Tout des sauvages partout ailleurs ! Des gens qui nâexistent pas⊠des pays de minables et dâaffreux, des queues-dans-le-dos !... [âŠ] Câest plus que de le faire boire un peu, de lâĂ©tourdir au cinĂ©ma, de le faire passer aux Folies, quâil se dĂ©prave Ă©perdu Grand Luxe, quâil se damne aux nĂ©nĂ©s-sortilĂšges, aux mirages de hautes priaperies, le voilĂ tout gĂąteux Ă fondre, dĂ©connant le nord pour midi, la droite pour la gauche⊠Il a oubliĂ© son clocheton, son pissenlit, sa chĂšvre borgne, il est perdu. Rupture des labours, Paysan reniĂ© par ses vaches. MĂȘme pauvre Ă bouffer du rat, câest lui le plus fort armĂ© du monde ! dĂ©lirant Ă plein univers ! il dĂ©fie la Terre ! lâAmĂ©rique ! il lance des cartels au ZĂ©nith ! il a des canons pour la Lune ! il la traverse aller et retour ! Il est plus comparable Ă rien, il est plus montrable, plus sortable, plus Ă©coutable sans rougir. Voici lâhomme fou Ă ligoter, citoyen grisĂ© de conneries quâa perdu tout sens du ridicule. Il sait plus ce quâil fait, ce quâil ne fait pas. Il a plus que des vellĂ©itĂ©s, des Ă©bauches, des bribes, il sait plus rien entreprendre, il comprend plus rien. Il a perdu ses racines. Il est lâhomme des publicitĂ©s, rincĂ©, dĂ©lavĂ©, chiffe crĂąneuse. Il va oĂč sa connerie le pousse, oĂč le juif lui souffles les slogans."
Louis-Ferdinand CĂ©line, Les beaux draps, 1941.
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La Mode nationale, no. 48, 1 dĂ©cembre 1900, Paris. Nos. 2, 3, 4 et 5. â Globe en roses lumineuses. BibliothĂšque nationale de France
Nos. 2, 3, 4 et 5. â Globe en roses lumineuses. â Ce modĂšle est destinĂ© Ă l'Ă©clairage; on peut le suspendre aux arbres, dans les allĂ©es, vestibules, Ă une corniche, Ă une lampe, partout enfin oĂč il peut produire bon effet. La taille est de moyenne proportion; cependant si on veut l'agrandir et faire grosse lanterne, rien ne sera plus facile lors de la fabrication de la carcasse, qui se fait en fil de laiton recouverte de tulle ou de mousseline raide sur toute sa surface et Ă l'une des extrĂ©mitĂ©s â celle du bas. â Ce tulle se bĂątit Ă grands points sur les fils de laiton. Lorsque la prĂ©paration est terminĂ©e, il faut tailler des pĂ©tales de rose sur les tailles donnĂ©es dans l'intĂ©rieur des dessins. Il serait bon mĂȘme de grandir un peu les proportions donnĂ©es et les Ă©tablir sur des bandes de mousseline de soie assorties.
Lorsque les bandes ont tailladĂ©es, on griffe les bandes Ă dents pointues; quant aux deux autres bandes, les pĂ©tales doivent ĂȘtre roulĂ©s, puis renversĂ©s d'un cĂŽtĂ©. Une seule bande griffĂ©e suffit par rose, mais il faut deux bandes au moins des deux autres numĂ©ros. Lorsqu'elles sont ainsi prĂ©parĂ©es, on fait un petit crochet Ă un fil de laiton un peu fort, on l'entre dans la marge de l'Ă©toffe; puis, appuyant ce fil de fer entre le pouce et l'index, on tourne la premiĂšre bande autour de ce doigt comme dans le premier dĂ©tail; puis une partie de la bande roulĂ©e; on rapproche le majeur, et la bande vient Ă son tour l'envelopper et s'enrouler Ă la fois sur les deux doigts comme dans le deuxiĂšme dĂ©tail.
L'Ă©toffe doit ĂȘtre serrĂ©e du bas, aller lĂ©gĂšrement en descendant, pour que l'Ă©panouissement de la rose soit bien rĂ©ussi. On retire ses doigts et l'on fronce en mĂȘme temps le bas de ces bandes, de façon Ă le bien attacher autour de la tige, comme dans le troisiĂšme dĂ©tail. On termine en attachant deux longs brins de laiton que l'on fixe sur le cercle en commençant par le haut. Les roses sont assez rapprochĂ©es les unes des autres pour ne pas laisser de vide et toujours en cercle. Ce travail pourra ĂȘtre fait par dessus un globe en verre si l'on dĂ©sire l'adapter Ă une lampe ou bien suspendre dans l'intĂ©rieur de la carcasse une petite monture en fil de laiton, qui soutiendra un verre Ă©troit dans lequel on mettra de l'huile et une veilleuse bien Ă©clairante.
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Nos. 2, 3, 4 and 5. â Globe in luminous roses. â This model is intended for lighting; it can be hung from trees, in paths, vestibules, from a cornice, from a lamp, wherever it can produce a good effect. The size is of average proportion; However, if we want to enlarge it and make a big lantern, nothing will be easier when manufacturing the carcass, which is made of brass wire covered with tulle or stiff muslin over its entire surface and at one of the ends. â the one at the bottom. â This tulle is constructed with large points on the brass wires. When the preparation is completed, cut rose petals to the sizes given in the interior of the designs. It would even be good to enlarge the given proportions a little and establish them on matching strips of chiffon.
When the strips have been cut, we scratch the strips with sharp teeth; as for the other two strips, the petals must be rolled, then turned over on one side. A single branded strip is enough per rose, but at least two strips of the other two numbers are required. When they are thus prepared, we make a small hook on a rather strong brass wire, we insert it into the margin of the fabric; then, pressing this iron wire between the thumb and the index finger, we turn the first strip around this finger as in the first detail; then part of the rolled strip; we bring the middle finger together, and the band in turn wraps it and wraps around both fingers as in the second detail.
The fabric must be tight from the bottom, going slightly downwards, so that the flowering of the rose is successful. We remove our fingers and at the same time we france the bottom of these strips, so as to attach it well around the stem, as in the third detail. We finish by attaching two long strands of brass which we fix on the circle starting at the top. The roses are close enough to each other so as not to leave any gaps and always in a circle. This work can be done over a glass globe if you wish to adapt it to a lamp or else suspend in the interior of the carcass a small brass wire frame, which will support a narrow glass in which you will put oil and a bright night light.
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