#ET JE ME PRENDRAIS UN HAUT DE FORME LA BAS
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superiorkenshi · 2 years ago
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Je vais crever mon ter est annulé à la dernière minute j'ai du en prendre un autre j'ai perdu de l'argent car ces merde se REMBOURSE PAS et en plus j'ai perdu mon haut de forme donc je suis un Layton sans haut de forme nice
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revedeleda · 5 years ago
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rendre compte
autour d'un volcan où nous vivons, où nous aimons, Manon était tombée enceinte à nouveau, je pleurais en apprenant la nouvelle, je n'arrêtais pas de pleurer, huit mois qu'elle était enceinte et n'en avait rien dit, la tristesse disait à la fois la déception de l'amie à qui l'on n'a pas confié le grand secret, et l'envie de ne pas être celle qui se vit enceinte, huit mois et son ventre était minuscule, un ventre de trois mois, c'était ainsi disait-on la seconde fois, épuisée de larmes, je m'asseyais sur un rocher rouge
il y avait,
il y avait le lever du jour sur l'océan et ses vagues régulières, un jeu de lumière incroyable avec le cache-cache du soleil dans les nuages, une oscillation en forme de suspense, spectaculaire, et je voulais saisir en photo cet instant où le soleil revient et fait briller les vagues d'un bleu intense, j'avais acheté un petit appareil argentique, je m'étais donnée la possibilité de vingt photos, j'attendais le bon moment, il tardait, j'avais tenté plusieurs angles : sur la passerelle en bois de côté, appareil tourné vers le cercle brumeux du soleil dans les nuages, quand on peut le regarder dans les yeux, mais non, ça ne fonctionnait pas, les parasols gâchaient la vue, et puis l'angle centré au milieu de la plage, entre les deux passerelles, trop cliché, plus loin, dans un musée aux murs baroques dorés, un tableau très haut représentait un clown portant son gros ventre dans une salopette rouge, et une brindille de fleurs à la bouche, des yeux mélancoliques, c'était cela que je prendrais en photo, mais pas comme ça, il manquait quelque chose, je me mis à plat ventre par terre pour photographier en contre plongée le clown majestueux visité par la foule noire en bas qui le montre du doigt, je fis mon cadre et appuyai sur le déclencheur, il me restait à rembobiner la pellicule, les autres photos défilaient, et je continuais à vivre, à me mouvoir en quête de belles choses à photographier, ce qui comptait n'est pas tant ce que je voyais mais ce dont je rendrais compte comme témoignage de ce que je suis, de ce par quoi je fus traversée, altérée, devenue
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rollingstonemag · 6 years ago
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/playlist-rollingfip/
La sélection Rolling'Fip : Raoul Vignal, Dowdelin & Co
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Chaque mois, FIP, en partenariat avec la rédaction de Rolling Stone, vous propose sa sélection… Embarquez !
Raoul Vignal – Oak Leaf (Talitres Records) ★★★★
Rendre heureux
Dois-je dire «Raoul me rend amoureuse» ou «Raoul me rend amour » ? Il est celui qui, au petit matin, a pris soin de remonter un menu bout de laine sur mon épaule quand j’avais froid. Il a été plus tard le joli nuage immatériel qui a flotté au-dessus de mon café. Celui qui, avant que le soleil ne se lève, avait déjà mis un voile de poésie sur ma journée. Raoul greffé à mes oreilles, j’ai trouvé les gens beaux. Gentils. Même ceux que je ne comprends pas. Même ceux avec lesquels je ne partage que des désaccords. Raoul grâce à toi je n’ai pas vu la pluie qui tombait mais l’arc en ciel qui allait naître. Je prendrai cet album mes jours de grand blues. Pour panser mes colères. Je serais curieuse de faire un test purement médical avec Oak Leaf. Prendre sa tension et son rythme cardiaque avant et après écoute. Je tiens le pari d’un centre de gravité plus bas, d’un équilibre meilleur. Un album que je semblais connaître par cœur avant même de l’avoir entendu. Rien de péjoratif. Juste évident. Merci Raoul.
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Dowdelin – Carnaval Odyssey (Underdogs) ★★★★
Nouveau monde
Je m’y suis perdue et j’ai A.D.O.R.É. Peu m’importe le nom du voyage que j’ai fait avec ce trio. Peu m’importe si je ne trouve pas le mot qui décrira la destination exacte que j’ai atteinte avec eux. Je me souviens être partie. Ça oui. Mais attendez-vous de moi des paysages ? Des couleurs ? J’ai vu une pluie d’étoiles dans « Slowdown ». Et cette voix. Toujours cette voix. Élastique douce chaude enveloppante corsée veloutée ténue. J’ai chevauché des « Éléphants Roses ». Carnaval Odyssey a semblé se concentrer sur mon épiderme. Il faut s’affranchir avec ces trois-là de toutes nos conventions. Oublier les étiquettes les cases les continents les termes savants qui vous disent où chercher et comment écouter. Avec Dowdelin tout est lié : la terre concrète et les rêves célestes. Leur musique doit émaner du centre et rayonner en sphère, comme un halo immense qui nous engloberait tous. Il paraît qu’il existe un nouveau monde : L’Atlantique Noir. Entrez…
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Waldeck – Atlantic Ballroom (Dope Noir) ★★★★
Attention, ça tourne !
Pour danser sous la boule à facettes de Waldeck j’ai mis une bien jolie robe. Elégante et brillante. Avec mes longs gants satinés et mon fume- cigarette je m’en suis allée au bal avec lui. J’ai parcouru Atlantic Ballroom avec un fil imaginaire qui tire le sommet du crâne vers le haut et le bassin – légèrement antéversé – vers le bas. En danse, la légende raconte que c’est la position exacte pour se tenir droit sans avoir l’air guindé. C’est ça. Un album qui exige une forme de tenue. Une invitation romantique qui appelle notre attention. Chaque mouvement rythmique y est délicat. Aérien. J’ai traversé le cœur d’une horloge parfaitement orchestrée. Rutilante et précise. J’ai eu l’impression de passer un moment suspendu avec un Être si galant qu’il précédait mes pas pour rendre beau tout espace dans lequel j’allais entrer. Klaus je suis conquise. En allemand dans le texte, Klaus Ich bin verführt.
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Émilie Blon-Metzinger
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boris-dalmatien · 6 years ago
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J'ai rencontré une amie. Mes prénoms, dans mon oeil un rabbin qui brûle dans le feu.
Flamme lunatique Où est l’hémisphère, quel est épelé le prénom de celui qui m’a tué ?  Circulation dans soi-même, tour de soi, à la menthe Cheveux agrippés, peau de lait Pardon d’avoir été si incapable de prendre soin d’amour Tu aimes un autre Lâche ton lance-pierre, j’ai tout lâché On m’a lâché Le sol va lâcher Je suis lourd Si tu savais très lourd Mes pensées sont lourdes Avant, un oeil prêt à souffrir Enfin Le sol se dérobe Mais dans le monde tout ira bien Éteignez le feu Recouvre les meubles de l’étau blanc Avant de mourir Dresse l’habit mortuaire du meurtre Endeuille-toi Chez toi Éteignez le feu Je suis défait Et comme l’adieu du soleil à son homme trop proche du ciel Alors je te montre Pour la vie Pour la vie d’un homme
Il aurait fallu, avant, non pas seulement m’abandonner aux portes de la nuit céleste, mais éteindre les feux, éteignez les feux !, recouvrir les meubles de drap blancs, vestes mortuaires célébrant la peur à jamais disparue, la présence du vide dans chaque famille, les processions qui finissaient par s’aimer mourir, il aurait fallu l’inventer, il aurait fallu tout un concours de circonstances pour que je perde mon innocence et que sans un train, le regard du paysage, en reprenant le livre maudit, me tue à nouveau, sans que ce crime soit répressible !
Danser le bondissement d’énergie, reprise d’un autre corps dans le corps sien, circulation tonique, flamme lunatique branche les veines, mouvements précis sur la faille du naturel, droguerie, droguerie, droguerie.
Ne serait-ce pas celui qui s’attendait, qui rentre sans finalement se retourner, et le soleil en sa configuration écarlate s’achète un homme à laisse d’éternité, tenu par le vide, et lui bientôt purement humain, la cérémonie de la peur prête à le réclamer.
Délibérée, rouge, il se montre à lui. Soleil.
De la même teinte évidente que certains visages à piétiner.
Ne serait-ce pas les ongles incarnés d’une douleur trop priée par le vainqueur  ?
Comme une bourrasque préméditée, achevant les émois prolongés, un manque boursouflé, une envolée, un attentat précoce sanctionnant les moqueries suspectes envers les morts, raflant celui qui ne cherche à s’évader que de la souffrance, et non par pudeur, de la gaieté primaire. Un attentat précoce, toute la pudeur du violent vitupéré lassé lâché rouge soleil et étouffé : cheveux sans pleurs de vertige.
Les indications : vertige fouetté lâché par l’incandescent pour l’inflammable vierge, l’étouffé, sans pleurs de cheveux le vertige.  N’y aurait-il pas un peu de vert dans tout ce silence ? À vue d’oeil, je dirais oui.
Jamais autant de douleur dans la pensée et comprise par le corps, démené pour s’en remettre, pour fuir le piège convoquant la peur. Jamais, autant de douleur soufferte, autant de secondes.
L’innocence perdue, à jamais.
Madame, je me lève précipitamment, je ne me sens pas bien.  Parlez, vous, vous êtes bien, moi, parlé, on me parle, parlez pour ne plus qu’on me parle. Deux corps. Deux corps, serrez-moi. Vivez pour moi, où habitez vous ? Sol se dérobe, altitude du piège, tempes tirées au dehors, coincées face à un mur en haut et en bas, des rangées de passagers, muets, que mon jeune regard, éberlué, en déflore !, grandit en rapetissant.
Des formes humaines, attendent, rien que des formes humaines à éjecter, peu importe, faire mourir, la porte, cette porte donne quelque part, pesez-vous, peu importe, rien ne me fait rien, seul, on ne peut pas appeler, mais être détresse, l’auriculaire l’annulaire le pouce plus sur la main, la chevelure exacte, qui, fait quoi, moi, et ne plus comprendre, et donc, être seul, mausolée, aérien, rien ne me fait rien, seul, retenu, devant les formes dessoûlées, en fait impossibles, dont la séparation constitue mon seul secours. Serrez-moi. Vivez pour moi, où habitez-vous ? Sol, sa robe d’altitude.
Attention, l’eau bue est brume par la pression. L’eau de mon corps ne s’y est pas fait prendre. Brûler sa langue. Par contre, j’ai brûlé. Ma langue, pour reprendre.
Cheveux, peaux, gestes agités contre soi, touchant touchés, incontrôlable espoir de signifier l’agitation du sol envers soi moi le sol moi le ciel moi moi moi moi moi pas toi toi toi toi toi moi corps cette fois enfin séparés, enfin à fond contre moi, enfin non-conscient, périclite, enfin corps a gagné, enfin l’angoisse, enfin ne plus pouvoir observer, enfin le feu, enfin la colère, la drogue et la totale perte de soi, pour celui qui ne pouvait pas se perdre “moi”. Qu’accepte-je de perdre et de ne pas perdre ?Quand je prendrais l’avion, je chercherais l’irréversible de l’amour. Si pour la vie, tu m’aimes, je suis en vie, je serais en vie.
Qu’est-ce que j’accepte de perdre et ne pas perdre ?
Je suis trop proche, trop proche de tous les commandements et enfin, je dis je dis que je fais, je prends une décision imparable et habitable, un ordre de ne plus jamais et cette bouffée monstrueuse de tous les hommes au monde qui se laissent en sillon avec leurs corps loin derrière eux et qui proclament : ne pas sortir ne pas sortir qui accèdent aux chemins parcourus par le vivant en soi et ce qui flotte, et ne s’en remettront qu’à eux-mêmes dans un temps si court, là-haut, ils ne reviendront plus.
Et cela s’arrête merci de me parler parle Moi et toi n’auront jamais été aussi grands.
Accélération, seconde par seconde, conscience qui vainement s’alarme devant le corps qui s’enflamme, le retient par ses interrogations : est-ce toi, est-ce toi encore ? Personne n’a la nuque brisée et ne répond. Pardon d’écrire si vite Pardon Je me clame et qui sont mes totems je veux des totems qui sont mes totems je veux des totems la fille croisée était un totem un timbre et une enveloppe à deux revers est un totem.
Des commandements contre soi qui surélèvent l’homme parmi sa vie S’élever pour qui ? Comment s’en remettre à qui ? Plus jamais pour toi. Ce n’est pas grave je tâcherai de me respecter, de respecter l’amour que j’ai en moi Redescends tout doucement.
Je pianote sur le clavier et je ne veux pas m’arrêter d’écrire, ce doit ��tre drôle pour la femme qui lit à mes côtés elle entend mes doigts qui sonnent, et mon écran est noir et je ne peux pas lire ce que j’écris et elle ne doit pas comprendre à quel point la vitesse de ma pensée est une vitesse humaine, qu’avec le thé je brule ma langue, avec le thé je brule ma langue et j’arrête mon regard sur les touches et pas plus bas, je fais un exercice d’une complexité extrême, vraiment extrême, comment dire la vérité alors que je change, toi aimée, toi aimée ? Un récit comment est-il impossible de le réciter ? Et l’exercice, je ne peux que donner les consignes de cet exercice à demi-mot car il s’agit d’écrire et de repousser tout par les mots et en m’occupant, de ne pas m’arrêter une seule seconde, de continuer à penser tout en évitant le problème, oui je n’écrirai pas, cela viendra après quand je serais une fois sur le sol car alors tout ira bien, fesses sein fesses sein et la gorge se remplit de flamme, et la langue m’attire à elle, car ma langue doit être blanche et a un gout très particulier qui descend le long de la gorge, je ne sais qu’inventer, je ne sais qu’inventer, comment parler du goût de ma langue attentivement, le goût du thé s’est diffusé répandu jusqu’à gagner la même couleur que ma langue, et je raconte importe quoi, le bout de ma langue est gris, il goûte gris, contre mes dents je sens la chair brulée, contre mon palais je sens, je sens ma langue blessée, je sens ma langue comme jamais, les blessures permettent de comprendre ce que le corps fait, le corps blessé attire et modifie, il dit tu as une langue et tu la ressens, il connait tout mon corps, je connais tout, ne t’arrête surtout pas d’écrire plus qu’une heure vingt et non n’y pense pas attend ça revient écoute, monsieur je suis trop près du début de l’avion, je vais regarder des souvenirs, je ne peux même plus regarder des photographies non je ne peux rien faire je dois vraiment continuer à écrire et m’essouffler car ça monte car monte attention, non n’y pense pas et continue à écrire pendant une heure, raconte un souvenir, s’il te plaît raconte un souvenir raconte un souvenir, tu sens en bas, non raconte un souvenir j’habitais dans un château l’histoire et l’histoire, des bras des bras donnez-moi des bras, je veux être entouré de bras, c’était dur sans toi A de survivre à ça, plus de bras pour moi tout seul sans personne, l’amour plus fort que tout, ne me lis pas non ce n’est pas pour toi, c’est pour moi, pourvu que je ne me lise pas, tu te rappelles à Florence, pour partir à Florence nous avons dormi dans l’aéroport pour économiser trente euros par personne, c’était la pire nuit de ma vie horrible et moi qui t’infligeais non mais vraiment heureusement que j’ai changé, franchement tu étais pas bien avec moi, tu ne pouvais pas l’être c’est vrai, avion quelque chose en moi n’est plus là, l’innocence peut-être, ceux qui n’ont connu la vraie souffrance, danger de l’être qui vacille et se consume seulement par la pensée, j’ai connu, la prochaine fois je ne serai pas seul ? J’ai connu, tu as eu peur, tu n’as pas eu, tu as eu Peur, pourquoi plus personne n’a-t’il peur aujourd’hui, c’est vraiment la question.
Les autres, regard qui ne se donne pas, à personne. Prends un éventail, fais-toi du vent, cela te rappellera le ciel dans lequel tu virevoltes avec grâce, car ta peur a de la grâce, jeune homme. Tu as enfin peur, merci d’avoir peur pour nous tous, à notre place. C’est si bon de te regarder et de se sentir à l’abris, en soi, quand tu tempêtes de tout ton être. Te regarder, c’est être insouciant.  Apprends, apprends de ta crise, apprends du vide. De ton vide. Le point de réalité de chute, la peur stressée. Prendre son corps à bras le corps, je ne m’arrêterai jamais, que n’ai-je pas encore essayé de dire. Fougue du corps en présence de soi, soi face à son trou comblé. Personne ne sait mon vrai trou. La drogue. Une vérité. Que c’est bon d’avoir une vérité, après avoir menti à tous. Incontestablement intransmissible comme se sentir, vérifier son odeur de honte, qui sort si on va la chercher, la plus intime, la plus inconnue, et la plus addictive. Suave comme une question qui fait dresser une lèvre. Mon corps et mon esprit, comme deux muets voulant faire exploser des mines, s’accordent mais finissent par se faire sauter. Le corps des mouvements articulés contre soi, explicitant l’intérieur, deux musiciens quand le chef orchestre a la crise et mousse aux lèvres, quand le soleil fait bronzer les nageurs. J’ai pas envie que l’on m’attende. Allaitement de la peau, la drogue (illustration recueil représente prise). Conspiration d’une future autobiographie sans résistance. D’un homme qui, a rebours, résout le contraste du sensible et du vide, reproche à son année de n’avoir été que présente. Un corps friable de morsures qui hissent ce qui gît sur un sommet plongeant sur toute sa figure qu’il articule alors en un sexe de femme recouvert de bleues inondation toussantes. Un corps friable qui se dépose pour la dévastation, un mouchoir planant grâce à la main qui le referme et lui greffe sa chaleur d’handicapée qui se rencontre à nos genoux. La première vérité apparaît dans le mensonge face à tous. Je refuse l’explication facile. Ne pas m’en vouloir ? Ne pas accepter ce que j’ai fais qui me ronge. Pour un homme de vie s’être tué est irrémédiable. Et la meilleure preuve de la réussite de mon acte, je le fuis. Ce qui chez moi atteste comme aucune confrontation. Il devrait deviner la drogue comme mon point de chute. J’ai bien finis par me buter. Pourrais-je renaître ? Une dame s’arrête à quelque pas. Je suis suraigu. Vais-je l’emporter dans ma démarche profonde. Je m’écarte. Elle finit par reprendre. Ma grand-mère s’arrête et veut parler. L’autre n’en avait pas l’intention. Les deux ont cessé. Les seins jamais approchés sous les habits. Les différents seins qui se montrent. Tu as des passions. La drogue et le palpable. Je me suis buté. Montre-moi ce que tu as, disent les médecins et vous soulevez votre vêtement. Tu danses. Il ferme les yeux. Ouvre tes yeux, je t’ai cherché, regarde mon corps. Désire-moi. Fais de moi quelque chose qu’on désire. Cherche-moi. Il se pare de ce sourire qui ne désire pas, mais adoube l’adieu. Foyers du soleil me fouettent. J’écume. Je sectionne l’érection. J’ai tenté de bénir ma gorge par l’eau brulante, ma nuque par des glaçons rouge ou rouge. Ma peau n’a pas mué par cratère lisse. Choc de météores. J’avais trop pris de rouge. Le rouge renvoie le soleil à lui-même. C’est un miroir de soleil. Quand je souffre trop ma peau ne s’enlève pas rouge de l’allergie à la bouche vue dans le miroir, rouge couleur de la soeur, rouge couleur du sang dans l’eau des toilettes.
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lalumiere-web · 7 years ago
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La vingt-sixième déclaration
  Quand Je mets la foi de l’homme à l’épreuve, aucun être humain n’a la capacité de porter un témoignage vrai, pas un seul n’est capable de se donner totalement ; l’homme se cache plutôt et refuse de s’ouvrir, comme si J’allais ravir son cœur. En réalité, Job lui-même ne résista jamais sous l’épreuve, et il n’a pas émané la douceur au milieu de la souffrance. Tout ce que l’homme est capable de faire c’est de produire un lointain parfum de verdure dans la chaleur du printemps ; il n’a jamais été capable de conserver la verdure sous le grand froid de l’hiver. Décharné et émacié en stature, l’homme ne peut pas accomplir Mon intention. Dans toute l’humanité, il n’y a personne qui puisse servir de modèle pour les autres, parce que les hommes sont fondamentalement semblables et ne sont pas différents les uns des autres, présentant peu de traits pour les distinguer les uns des autres. C’est pourquoi, aujourd’hui encore, les hommes ne peuvent pas encore pleinement connaître Mes œuvres. Ce n’est que lorsque Mon châtiment descendra sur toute l’humanité que les hommes, à leur insu, se rendront compte de Mes œuvres, et sans que Je ne fasse quoi que ce soit ou que Je ne contraigne personne, les hommes finiront par Me connaître et ainsi verront Mes œuvres. Tel est Mon plan, c’est l’aspect de Mon travail qui est manifesté, et c’est ce que l’homme doit savoir. Dans le royaume, les innombrables choses de la création commencent à revivre et à retrouver leur force vitale. En raison des changements de l’état de la terre, les frontières entre une terre et une autre commencent également à se déplacer. Jadis, J’avais prophétisé : Quand la terre sera divisée de la terre, et que la terre s’unira avec la terre, ce sera le temps où Je ferai voler les nations en mille morceaux. À ce moment-là, Je renouvellerai toute la création et repartirai l’univers tout entier, mettant ainsi l’univers en ordre, transformant son ancien état en un nouveau. C’est cela Mon plan. Ce sont Mes œuvres. Quand les nations et les peuples du monde retourneront devant Mon trône, Je prendrai alors toute la générosité du ciel et Je la conférai au monde des hommes, afin que, grâce à Moi, elle déborde d’une bonté incomparable. Mais tant que le vieux monde continuera d’exister, Je répandrai Ma colère sur ses nations, promulguant ouvertement Mes décrets administratifs dans tout l’univers, et donnant un châtiment à quiconque les viole :
  Quand Je tourne Mon visage vers l’univers pour parler, toute l’humanité entend Ma voix, et alors voit toutes les œuvres que J’ai réalisées dans l’univers. Ceux qui vont à l’encontre de Ma volonté, c’est-à-dire ceux qui s’opposent à Moi par les actes de l’homme, tomberont sous Mon châtiment. Je prendrai la multitude d’étoiles dans les cieux et les renouvèlerai, et grâce à Moi le soleil et la lune se renouvelleront — les cieux ne seront plus comme ils étaient ; La myriade de choses sur la terre sera renouvelée. Tout deviendra complet par Mes paroles. Les nombreuses nations de l’univers seront réparties de nouveau et remplacées par Ma nation, afin que les nations sur la terre disparaissent à jamais et deviennent une nation qui Me vénère ; toutes les nations de la terre seront détruites, et cesseront d’exister. Des êtres humains dans l’univers, tous ceux qui appartiennent au diable seront exterminés ; tous ceux qui adorent Satan seront ravagés par Mon feu ardent — c’est-à-dire, à l’exception de ceux qui vont maintenant avec Mon flot, le reste sera réduit en cendres. Quand Je châtierai les nombreux peuples, ceux du monde religieux reviendront, à divers degrés, à Mon royaume, vaincu par Mes œuvres, parce qu’ils auront vu l’avènement du « Saint sur une nuée blanche ». Tous les hommes suivront leur propre genre, et recevront des châtiments variant selon ce qu’ils ont fait. Ceux qui se sont dressés contre Moi périront tous ; quant à ceux dont les actions sur la terre ne M’ont pas impliqué, à cause de la manière dont ils se sont acquittés, ils continueront d’exister sur la terre sous la gouvernance de Mes fils et de Mon peuple. Je Me révèlerai à la myriade de peuples et aux innombrables nations, en prononçant de Ma propre voix sur la terre, pour proclamer l’accomplissement de Mon grand travail pour que tous les hommes puissent voir de leurs propres yeux.
  À mesure que Ma voix s’intensifie, J’observe aussi l’état de l’univers. Par Mes paroles, la myriade de choses de la création est renouvelée. Le ciel change, et la terre aussi change. L’humanité est exposée sous sa forme originelle et, graduellement, chacun selon son genre, les hommes retrouvent sans le savoir leur place au sein de leur famille. Pour cela, Je serai très heureux. Tout trouble aura cessé, et Mon grand travail sera achevé, inconsciemment, la myriade de choses de la création se transformera, sans effort. Quand J’ai créé le monde, J’ai façonné toutes choses selon leur espèce, en formant visiblement chaque chose selon son espèce. Au fur et à mesure que la fin de Mon plan de gestion approche, Je vais restaurer l’ancien état de la création, Je vais tout ramener à la forme originelle, tout en changeant profondément, afin que tout s’aligne de nouveau avec Mon plan. Le temps est venu ! La dernière étape de Mon plan est sur le point d’être accomplie. Ah, vieux monde impur ! Tu te prosterneras sûrement devant Mes paroles ! Tu seras certainement réduit à néant par Mon plan ! Ah, myriade de choses de la création ! Vous allez tous bénéficier de la vie nouvelle dans Mes paroles, vous avez maintenant le Seigneur Suprême ! Ah, nouveau monde pur et sans tache ! Tu renaîtras sûrement dans Ma gloire ! Ah, Montagne de Sion ! Ne te tais plus. Je suis revenu en triomphe ! Du milieu de la création, Je scrute toute la terre. Sur terre, l’homme a commencé une nouvelle vie et jouit d’un nouvel espoir. Ah, Mon peuple ! Comment ne pouvez-vous pas revenir à la vie grâce à Ma lumière ? Comment ne pas sauter de joie sous Ma direction ? Les terres crient de joie, les eaux font de la cacophonie avec un rire joyeux ! Ah ! Israël ressuscité ! Comment peux-tu ne pas sentir la fierté à cause de Ma prédestination ? Qui a pleuré ? Qui a gémi ? L’Israël d’autrefois a cessé d’être, et l’Israël d’aujourd’hui s’est levé, s’est érigé et est imposant dans le monde, subsiste dans les cœurs de tous les hommes. L’Israël d’aujourd’hui atteindra sûrement la source de l’existence à travers Mon peuple ! Ah, Égypte haineuse ! Sûrement tu ne t’opposeras pas à Moi ? Comment peux-tu profiter de Ma miséricorde et essayer d’échapper à Mon châtiment ? Comment peux-tu ne pas exister dans Mon châtiment ? Tous ceux que J’aime vivront sûrement pour l’éternité, et tous ceux qui se dresseront contre Moi seront certainement châtiés par Moi pour l’éternité. Car Je suis un Dieu jaloux, Je n’épargnerai pas du tout les hommes pour tout ce qu’ils ont fait. Je veillerai sur toute la terre, et, apparaissant de l’Orient avec justice, majesté, colère et châtiment, Je Me révélerai aux myriades des hôtes de l’humanité !
                                                                                        Le 29 mars 1992
  Source : L'Église de Dieu Tout-Puissant
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La quatorzième déclaration
 Je surveille l’univers jour après jour, observant, et Je Me cache humblement dans Ma demeure pour vivre la vie de l’homme, étudiant de près tous les actes de l’homme. Personne ne s’est jamais véritablement offert à Moi. Personne n’a jamais cherché la vérité. Personne n’a jamais été consciencieux envers Moi. Personne n’a jamais pris des résolutions devant Moi et a tenu à remplir son devoir. Personne n’a jamais permis que J’habite en lui. Personne n’a jamais tenu à Moi comme il le ferait de sa propre vie. Personne n’a jamais vu, concrètement dans la réalité, tout l’être de Ma divinité. Personne n’a jamais été disposé à être en contact avec le Dieu concret Lui-même. Quand les eaux engloutissent les hommes en entiers, Je les sauve des eaux stagnantes et leur donne une chance de recommencer une nouvelle vie. Quand les hommes n’ont plus espoir de vivre, bien qu’à deux doigts de la mort, Je les ramène à la vie en leur redonnant le courage de vivre, c’est alors qu’ils Me prennent pour le fondement de leur existence. Quand l’homme Me désobéit, Je le pousse à Me connaître dans sa rébellion. À la lumière de la vieille nature de l’humanité et de Ma miséricorde, plutôt que de mettre l’homme à la mort, Je lui permets de se repentir et de prendre un nouveau départ. Quand les hommes souffrent de famine, Je les arrache de la mort aussi longtemps qu’ils auront du souffle, les empêchant de se livrer en proie à la ruse de Satan. Combien de fois les gens ont-ils vu Mes mains ; combien de fois ont-ils vu Ma jolie figure, Mon visage souriant ; et combien de fois ont-ils vu Ma majesté et Ma colère. Bien que l’humanité n’ait jamais fait Ma connaissance, Je ne profite pas de leur faiblesse pour créer des problèmes inutiles. Vivant les difficultés de l’humanité, Je sympathise par conséquent avec l’homme pour ses faiblesses. Ce n’est qu’en réaction à la rébellion des hommes, leur ingratitude, que J’inflige des châtiments à des degrés divers.
 Je Me cache quand c’est le temps des affaires des hommes et Je M’expose pendant leurs moments de plaisirs. L’humanité pense que Je suis omniscient et le Dieu Lui-même qui accorde tous les recours. La plupart viennent donc devant Moi seulement pour chercher l’aide de Dieu, et non pas pour le désir de Me connaître. Quand ils sont en proie à la maladie, les hommes plaident urgemment pour Mon aide. Dans l’adversité, ils Me confient leurs difficultés de toutes leurs forces pour mieux oublier leur souffrance. Pourtant, pas un seul être humain n’a été capable de M’aimer tout aussi lorsqu’il est à l’aise. Pas une seule personne ne s’engage dans ses instants de paix et de bonheur à ce que Je puisse partager sa joie. Lorsque leurs familles proches sont heureuses et en bonne santé, les hommes Me jettent déjà de côté ou Me ferment la porte au nez, M’interdisant d’entrer, et par là même de prendre part au bonheur familial. L’esprit humain est trop petit, trop petit même pour contenir un Dieu aimant, miséricordieux, et sensible comme Moi. Combien de fois ai-Je été rejeté par les hommes pendant leurs moments agréables ; combien de fois ai-Je été pris comme une béquille par les hommes quand ils trébuchaient ; combien de fois ai-Je été forcé de jouer le rôle de médecin par les hommes souffrant de maladie. Que l’humanité est si cruelle ! Totalement déraisonnable et immorale. Même les sentiments dont les humains sont censés être dotés ne sont pas perceptibles en eux. Ils sont presque dépourvus de toute sensibilité humaine. Méditez le passé et comparez-le avec le présent. Y a-t-il des changements en cours en vous ? Y-a-t-il moins de ce passé en jeu qu’à présent ? Ce passé est-il à remplacer ?
 Je suis passé par monts et vaux, connaissant les hauts et les bas du monde. Parmi les hommes, J’ai erré et parmi les hommes, J’ai vécu pendant de longues années, mais il semble que le tempérament de l’humanité a peu changé. Et c’est comme si la vieille nature des hommes s’est enracinée et a germé en eux. Ils ne sont jamais capables de changer cette vieille nature hormis ceux qui l’améliorent en fonction du fondement originel. Comme il se dit, l’essence n’a pas changé, mais la forme a beaucoup changé. Tout le monde, il semble, essaie de Me tromper, de M’éblouir, qu’il pourrait passer inaperçu et gagner Mon appréciation. Je n’admire pas et Je ne prête pas attention aux ruses des gens. Plutôt que de Me mettre en colère, l’attitude que J’adopte consiste à regarder mais à ne pas voir. Je prévois être laxiste jusqu’à un certain degré envers l’humanité, et par la suite, aborder tous les humains en même temps. Étant donné que les humains sont tous des êtres qui ne se respectent pas et des misérables sans valeur, qui ne se chérissent pas eux-mêmes, alors pourquoi auraient-ils même besoin de Moi pour leur prodiguer la miséricorde et l’amour renouvelés ? Sans exception, les hommes ne se connaissent pas eux-mêmes, et ne connaissent pas leur stature. Ils devraient se mettre sur une balance pour être pesés. L’humanité ne M’écoute pas, par conséquent Moi aussi Je ne les prends pas au sérieux. Les humains ne prêtent aucune attention à Moi, ainsi Moi aussi Je ne fais aucun effort pour eux. N’est-ce pas là la meilleure option pour les deux mondes ? N’est-ce pas là votre image, vous qui êtes Mon peuple ? Qui a pris des résolutions devant Moi et ne les a pas abandonnées après coup ? Qui a pris des résolutions devant Moi sur le long terme plutôt que de résoudre tel ou tel problème au quotidien ? Chaque fois, les hommes prennent des résolutions devant Moi en temps de paix et les enterrent en temps d’adversité. Plus tard, ils ressuscitent leurs résolutions et les ramènent vers Moi. Suis-Je aussi méprisable au point d’accepter avec désinvolture les vieilleries que l’homme aura ramassées d’un tas d’ordure ? Peu d’humains tiennent ferme à leurs résolutions, peu sont chastes, et peu offrent ce qu’ils ont de plus précieux en sacrifice pour Moi. N’êtes-vous pas vous tous de cet acabit ? Si, faisant partie du peuple de Mon Règne, vous n’êtes pas capables de tenir vos devoir, Je vous détesterai et Je vous rejetterai !»
                    Le 12 mars 1992
Source:  L’Église de Dieu Tout-Puissant
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bible-1991-blog · 7 years ago
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La vingt-sixième déclaration
 Quand Je mets la foi de l’homme à l’épreuve, aucun être humain n’a la capacité de porter un témoignage vrai, pas un seul n’est capable de se donner totalement ; l’homme se cache plutôt et refuse de s’ouvrir, comme si J’allais ravir son cœur. En réalité, Job lui-même ne résista jamais sous l’épreuve, et il n’a pas émané la douceur au milieu de la souffrance. Tout ce que l’homme est capable de faire c’est de produire un lointain parfum de verdure dans la chaleur du printemps ; il n’a jamais été capable de conserver la verdure sous le grand froid de l’hiver. Décharné et émacié en stature, l’homme ne peut pas accomplir Mon intention. Dans toute l’humanité, il n’y a personne qui puisse servir de modèle pour les autres, parce que les hommes sont fondamentalement semblables et ne sont pas différents les uns des autres, présentant peu de traits pour les distinguer les uns des autres. C’est pourquoi, aujourd’hui encore, les hommes ne peuvent pas encore pleinement connaître Mes œuvres. Ce n’est que lorsque Mon châtiment descendra sur toute l’humanité que les hommes, à leur insu, se rendront compte de Mes œuvres, et sans que Je ne fasse quoi que ce soit ou que Je ne contraigne personne, les hommes finiront par Me connaître et ainsi verront Mes œuvres. Tel est Mon plan, c’est l’aspect de Mon travail qui est manifesté, et c’est ce que l’homme doit savoir. Dans le royaume, les innombrables choses de la création commencent à revivre et à retrouver leur force vitale. En raison des changements de l’état de la terre, les frontières entre une terre et une autre commencent également à se déplacer. Jadis, J’avais prophétisé : Quand la terre sera divisée de la terre, et que la terre s’unira avec la terre, ce sera le temps où Je ferai voler les nations en mille morceaux. À ce moment-là, Je renouvellerai toute la création et repartirai l’univers tout entier, mettant ainsi l’univers en ordre, transformant son ancien état en un nouveau. C’est cela Mon plan. Ce sont Mes œuvres. Quand les nations et les peuples du monde retourneront devant Mon trône, Je prendrai alors toute la générosité du ciel et Je la conférai au monde des hommes, afin que, grâce à Moi, elle déborde d’une bonté incomparable. Mais tant que le vieux monde continuera d’exister, Je répandrai Ma colère sur ses nations, promulguant ouvertement Mes décrets administratifs dans tout l’univers, et donnant un châtiment à quiconque les viole :
 Quand Je tourne Mon visage vers l’univers pour parler, toute l’humanité entend Ma voix, et alors voit toutes les œuvres que J’ai réalisées dans l’univers. Ceux qui vont à l’encontre de Ma volonté, c’est-à-dire ceux qui s’opposent à Moi par les actes de l’homme, tomberont sous Mon châtiment. Je prendrai la multitude d’étoiles dans les cieux et les renouvèlerai, et grâce à Moi le soleil et la lune se renouvelleront — les cieux ne seront plus comme ils étaient ; La myriade de choses sur la terre sera renouvelée. Tout deviendra complet par Mes paroles. Les nombreuses nations de l’univers seront réparties de nouveau et remplacées par Ma nation, afin que les nations sur la terre disparaissent à jamais et deviennent une nation qui Me vénère ; toutes les nations de la terre seront détruites, et cesseront d’exister. Des êtres humains dans l’univers, tous ceux qui appartiennent au diable seront exterminés ; tous ceux qui adorent Satan seront ravagés par Mon feu ardent — c’est-à-dire, à l’exception de ceux qui vont maintenant avec Mon flot, le reste sera réduit en cendres. Quand Je châtierai les nombreux peuples, ceux du monde religieux reviendront, à divers degrés, à Mon royaume, vaincu par Mes œuvres, parce qu’ils auront vu l’avènement du « Saint sur une nuée blanche ». Tous les hommes suivront leur propre genre, et recevront des châtiments variant selon ce qu’ils ont fait. Ceux qui se sont dressés contre Moi périront tous ; quant à ceux dont les actions sur la terre ne M’ont pas impliqué, à cause de la manière dont ils se sont acquittés, ils continueront d’exister sur la terre sous la gouvernance de Mes fils et de Mon peuple. Je Me révèlerai à la myriade de peuples et aux innombrables nations, en prononçant de Ma propre voix sur la terre, pour proclamer l’accomplissement de Mon grand travail pour que tous les hommes puissent voir de leurs propres yeux.
 À mesure que Ma voix s’intensifie, J’observe aussi l’état de l’univers. Par Mes paroles, la myriade de choses de la création est renouvelée. Le ciel change, et la terre aussi change. L’humanité est exposée sous sa forme originelle et, graduellement, chacun selon son genre, les hommes retrouvent sans le savoir leur place au sein de leur famille. Pour cela, Je serai très heureux. Tout trouble aura cessé, et Mon grand travail sera achevé, inconsciemment, la myriade de choses de la création se transformera, sans effort. Quand J’ai créé le monde, J’ai façonné toutes choses selon leur espèce, en formant visiblement chaque chose selon son espèce. Au fur et à mesure que la fin de Mon plan de gestion approche, Je vais restaurer l’ancien état de la création, Je vais tout ramener à la forme originelle, tout en changeant profondément, afin que tout s’aligne de nouveau avec Mon plan. Le temps est venu ! La dernière étape de Mon plan est sur le point d’être accomplie. Ah, vieux monde impur ! Tu te prosterneras sûrement devant Mes paroles ! Tu seras certainement réduit à néant par Mon plan ! Ah, myriade de choses de la création ! Vous allez tous bénéficier de la vie nouvelle dans Mes paroles, vous avez maintenant le Seigneur Suprême ! Ah, nouveau monde pur et sans tache ! Tu renaîtras sûrement dans Ma gloire ! Ah, Montagne de Sion ! Ne te tais plus. Je suis revenu en triomphe ! Du milieu de la création, Je scrute toute la terre. Sur terre, l’homme a commencé une nouvelle vie et jouit d’un nouvel espoir. Ah, Mon peuple ! Comment ne pouvez-vous pas revenir à la vie grâce à Ma lumière ? Comment ne pas sauter de joie sous Ma direction ? Les terres crient de joie, les eaux font de la cacophonie avec un rire joyeux ! Ah ! Israël ressuscité ! Comment peux-tu ne pas sentir la fierté à cause de Ma prédestination ? Qui a pleuré ? Qui a gémi ? L’Israël d’autrefois a cessé d’être, et l’Israël d’aujourd’hui s’est levé, s’est érigé et est imposant dans le monde, subsiste dans les cœurs de tous les hommes. L’Israël d’aujourd’hui atteindra sûrement la source de l’existence à travers Mon peuple ! Ah, Égypte haineuse ! Sûrement tu ne t’opposeras pas à Moi ? Comment peux-tu profiter de Ma miséricorde et essayer d’échapper à Mon châtiment ? Comment peux-tu ne pas exister dans Mon châtiment ? Tous ceux que J’aime vivront sûrement pour l’éternité, et tous ceux qui se dresseront contre Moi seront certainement châtiés par Moi pour l’éternité. Car Je suis un Dieu jaloux, Je n’épargnerai pas du tout les hommes pour tout ce qu’ils ont fait. Je veillerai sur toute la terre, et, apparaissant de l’Orient avec justice, majesté, colère et châtiment, Je Me révélerai aux myriades des hôtes de l’humanité !  »
Le 29 mars 1992
Source  : L’Église de Dieu Tout-Puissant  
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La vingt-sixième déclaration
 Quand Je mets la foi de l’homme à l’épreuve, aucun être humain n’a la capacité de porter un témoignage vrai, pas un seul n’est capable de se donner totalement ; l’homme se cache plutôt et refuse de s’ouvrir, comme si J’allais ravir son cœur. En réalité, Job lui-même ne résista jamais sous l’épreuve, et il n’a pas émané la douceur au milieu de la souffrance. Tout ce que l’homme est capable de faire c’est de produire un lointain parfum de verdure dans la chaleur du printemps ; il n’a jamais été capable de conserver la verdure sous le grand froid de l’hiver. Décharné et émacié en stature, l’homme ne peut pas accomplir Mon intention. Dans toute l’humanité, il n’y a personne qui puisse servir de modèle pour les autres, parce que les hommes sont fondamentalement semblables et ne sont pas différents les uns des autres, présentant peu de traits pour les distinguer les uns des autres. C’est pourquoi, aujourd’hui encore, les hommes ne peuvent pas encore pleinement connaître Mes œuvres. Ce n’est que lorsque Mon châtiment descendra sur toute l’humanité que les hommes, à leur insu, se rendront compte de Mes œuvres, et sans que Je ne fasse quoi que ce soit ou que Je ne contraigne personne, les hommes finiront par Me connaître et ainsi verront Mes œuvres. Tel est Mon plan, c’est l’aspect de Mon travail qui est manifesté, et c’est ce que l’homme doit savoir. Dans le royaume, les innombrables choses de la création commencent à revivre et à retrouver leur force vitale. En raison des changements de l’état de la terre, les frontières entre une terre et une autre commencent également à se déplacer. Jadis, J’avais prophétisé : Quand la terre sera divisée de la terre, et que la terre s’unira avec la terre, ce sera le temps où Je ferai voler les nations en mille morceaux. À ce moment-là, Je renouvellerai toute la création et repartirai l’univers tout entier, mettant ainsi l’univers en ordre, transformant son ancien état en un nouveau. C’est cela Mon plan. Ce sont Mes œuvres. Quand les nations et les peuples du monde retourneront devant Mon trône, Je prendrai alors toute la générosité du ciel et Je la conférai au monde des hommes, afin que, grâce à Moi, elle déborde d’une bonté incomparable. Mais tant que le vieux monde continuera d’exister, Je répandrai Ma colère sur ses nations, promulguant ouvertement Mes décrets administratifs dans tout l’univers, et donnant un châtiment à quiconque les viole :
 Quand Je tourne Mon visage vers l’univers pour parler, toute l’humanité entend Ma voix, et alors voit toutes les œuvres que J’ai réalisées dans l’univers. Ceux qui vont à l’encontre de Ma volonté, c’est-à-dire ceux qui s’opposent à Moi par les actes de l’homme, tomberont sous Mon châtiment. Je prendrai la multitude d’étoiles dans les cieux et les renouvèlerai, et grâce à Moi le soleil et la lune se renouvelleront — les cieux ne seront plus comme ils étaient ; La myriade de choses sur la terre sera renouvelée. Tout deviendra complet par Mes paroles. Les nombreuses nations de l’univers seront réparties de nouveau et remplacées par Ma nation, afin que les nations sur la terre disparaissent à jamais et deviennent une nation qui Me vénère ; toutes les nations de la terre seront détruites, et cesseront d’exister. Des êtres humains dans l’univers, tous ceux qui appartiennent au diable seront exterminés ; tous ceux qui adorent Satan seront ravagés par Mon feu ardent — c’est-à-dire, à l’exception de ceux qui vont maintenant avec Mon flot, le reste sera réduit en cendres. Quand Je châtierai les nombreux peuples, ceux du monde religieux reviendront, à divers degrés, à Mon royaume, vaincu par Mes œuvres, parce qu’ils auront vu l’avènement du « Saint sur une nuée blanche ». Tous les hommes suivront leur propre genre, et recevront des châtiments variant selon ce qu’ils ont fait. Ceux qui se sont dressés contre Moi périront tous ; quant à ceux dont les actions sur la terre ne M’ont pas impliqué, à cause de la manière dont ils se sont acquittés, ils continueront d’exister sur la terre sous la gouvernance de Mes fils et de Mon peuple. Je Me révèlerai à la myriade de peuples et aux innombrables nations, en prononçant de Ma propre voix sur la terre, pour proclamer l’accomplissement de Mon grand travail pour que tous les hommes puissent voir de leurs propres yeux.
 À mesure que Ma voix s’intensifie, J’observe aussi l’état de l’univers. Par Mes paroles, la myriade de choses de la création est renouvelée. Le ciel change, et la terre aussi change. L’humanité est exposée sous sa forme originelle et, graduellement, chacun selon son genre, les hommes retrouvent sans le savoir leur place au sein de leur famille. Pour cela, Je serai très heureux. Tout trouble aura cessé, et Mon grand travail sera achevé, inconsciemment, la myriade de choses de la création se transformera, sans effort. Quand J’ai créé le monde, J’ai façonné toutes choses selon leur espèce, en formant visiblement chaque chose selon son espèce. Au fur et à mesure que la fin de Mon plan de gestion approche, Je vais restaurer l’ancien état de la création, Je vais tout ramener à la forme originelle, tout en changeant profondément, afin que tout s’aligne de nouveau avec Mon plan. Le temps est venu ! La dernière étape de Mon plan est sur le point d’être accomplie. Ah, vieux monde impur ! Tu te prosterneras sûrement devant Mes paroles ! Tu seras certainement réduit à néant par Mon plan ! Ah, myriade de choses de la création ! Vous allez tous bénéficier de la vie nouvelle dans Mes paroles, vous avez maintenant le Seigneur Suprême ! Ah, nouveau monde pur et sans tache ! Tu renaîtras sûrement dans Ma gloire ! Ah, Montagne de Sion ! Ne te tais plus. Je suis revenu en triomphe ! Du milieu de la création, Je scrute toute la terre. Sur terre, l’homme a commencé une nouvelle vie et jouit d’un nouvel espoir. Ah, Mon peuple ! Comment ne pouvez-vous pas revenir à la vie grâce à Ma lumière ? Comment ne pas sauter de joie sous Ma direction ? Les terres crient de joie, les eaux font de la cacophonie avec un rire joyeux ! Ah ! Israël ressuscité ! Comment peux-tu ne pas sentir la fierté à cause de Ma prédestination ? Qui a pleuré ? Qui a gémi ? L’Israël d’autrefois a cessé d’être, et l’Israël d’aujourd’hui s’est levé, s’est érigé et est imposant dans le monde, subsiste dans les cœurs de tous les hommes. L’Israël d’aujourd’hui atteindra sûrement la source de l’existence à travers Mon peuple ! Ah, Égypte haineuse ! Sûrement tu ne t’opposeras pas à Moi ? Comment peux-tu profiter de Ma miséricorde et essayer d’échapper à Mon châtiment ? Comment peux-tu ne pas exister dans Mon châtiment ? Tous ceux que J’aime vivront sûrement pour l’éternité, et tous ceux qui se dresseront contre Moi seront certainement châtiés par Moi pour l’éternité. Car Je suis un Dieu jaloux, Je n’épargnerai pas du tout les hommes pour tout ce qu’ils ont fait. Je veillerai sur toute la terre, et, apparaissant de l’Orient avec justice, majesté, colère et châtiment, Je Me révélerai aux myriades des hôtes de l’humanité !
Le 29 mars 1992
Source : L'Église de Dieu Tout-Puissant
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louez-dieu-nouveau-blog · 7 years ago
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La vingt-sixième déclaration
 Quand Je mets la foi de l’homme à l’épreuve, aucun être humain n’a la capacité de porter un témoignage vrai, pas un seul n’est capable de se donner totalement ; l’homme se cache plutôt et refuse de s’ouvrir, comme si J’allais ravir son cœur. En réalité, Job lui-même ne résista jamais sous l’épreuve, et il n’a pas émané la douceur au milieu de la souffrance. Tout ce que l’homme est capable de faire c’est de produire un lointain parfum de verdure dans la chaleur du printemps ; il n’a jamais été capable de conserver la verdure sous le grand froid de l’hiver. Décharné et émacié en stature, l’homme ne peut pas accomplir Mon intention. Dans toute l’humanité, il n’y a personne qui puisse servir de modèle pour les autres, parce que les hommes sont fondamentalement semblables et ne sont pas différents les uns des autres, présentant peu de traits pour les distinguer les uns des autres. C’est pourquoi, aujourd’hui encore, les hommes ne peuvent pas encore pleinement connaître Mes œuvres. Ce n’est que lorsque Mon châtiment descendra sur toute l’humanité que les hommes, à leur insu, se rendront compte de Mes œuvres, et sans que Je ne fasse quoi que ce soit ou que Je ne contraigne personne, les hommes finiront par Me connaître et ainsi verront Mes œuvres. Tel est Mon plan, c’est l’aspect de Mon travail qui est manifesté, et c’est ce que l’homme doit savoir. Dans le royaume, les innombrables choses de la création commencent à revivre et à retrouver leur force vitale. En raison des changements de l’état de la terre, les frontières entre une terre et une autre commencent également à se déplacer. Jadis, J’avais prophétisé : Quand la terre sera divisée de la terre, et que la terre s’unira avec la terre, ce sera le temps où Je ferai voler les nations en mille morceaux. À ce moment-là, Je renouvellerai toute la création et repartirai l’univers tout entier, mettant ainsi l’univers en ordre, transformant son ancien état en un nouveau. C’est cela Mon plan. Ce sont Mes œuvres. Quand les nations et les peuples du monde retourneront devant Mon trône, Je prendrai alors toute la générosité du ciel et Je la conférai au monde des hommes, afin que, grâce à Moi, elle déborde d’une bonté incomparable. Mais tant que le vieux monde continuera d’exister, Je répandrai Ma colère sur ses nations, promulguant ouvertement Mes décrets administratifs dans tout l’univers, et donnant un châtiment à quiconque les viole :
 Quand Je tourne Mon visage vers l’univers pour parler, toute l’humanité entend Ma voix, et alors voit toutes les œuvres que J’ai réalisées dans l’univers. Ceux qui vont à l’encontre de Ma volonté, c’est-à-dire ceux qui s’opposent à Moi par les actes de l’homme, tomberont sous Mon châtiment. Je prendrai la multitude d’étoiles dans les cieux et les renouvèlerai, et grâce à Moi le soleil et la lune se renouvelleront — les cieux ne seront plus comme ils étaient ; La myriade de choses sur la terre sera renouvelée. Tout deviendra complet par Mes paroles. Les nombreuses nations de l’univers seront réparties de nouveau et remplacées par Ma nation, afin que les nations sur la terre disparaissent à jamais et deviennent une nation qui Me vénère ; toutes les nations de la terre seront détruites, et cesseront d’exister. Des êtres humains dans l’univers, tous ceux qui appartiennent au diable seront exterminés ; tous ceux qui adorent Satan seront ravagés par Mon feu ardent — c’est-à-dire, à l’exception de ceux qui vont maintenant avec Mon flot, le reste sera réduit en cendres. Quand Je châtierai les nombreux peuples, ceux du monde religieux reviendront, à divers degrés, à Mon royaume, vaincu par Mes œuvres, parce qu’ils auront vu l’avènement du « Saint sur une nuée blanche ». Tous les hommes suivront leur propre genre, et recevront des châtiments variant selon ce qu’ils ont fait. Ceux qui se sont dressés contre Moi périront tous ; quant à ceux dont les actions sur la terre ne M’ont pas impliqué, à cause de la manière dont ils se sont acquittés, ils continueront d’exister sur la terre sous la gouvernance de Mes fils et de Mon peuple. Je Me révèlerai à la myriade de peuples et aux innombrables nations, en prononçant de Ma propre voix sur la terre, pour proclamer l’accomplissement de Mon grand travail pour que tous les hommes puissent voir de leurs propres yeux.
 À mesure que Ma voix s’intensifie, J’observe aussi l’état de l’univers. Par Mes paroles, la myriade de choses de la création est renouvelée. Le ciel change, et la terre aussi change. L’humanité est exposée sous sa forme originelle et, graduellement, chacun selon son genre, les hommes retrouvent sans le savoir leur place au sein de leur famille. Pour cela, Je serai très heureux. Tout trouble aura cessé, et Mon grand travail sera achevé, inconsciemment, la myriade de choses de la création se transformera, sans effort. Quand J’ai créé le monde, J’ai façonné toutes choses selon leur espèce, en formant visiblement chaque chose selon son espèce. Au fur et à mesure que la fin de Mon plan de gestion approche, Je vais restaurer l’ancien état de la création, Je vais tout ramener à la forme originelle, tout en changeant profondément, afin que tout s’aligne de nouveau avec Mon plan. Le temps est venu ! La dernière étape de Mon plan est sur le point d’être accomplie. Ah, vieux monde impur ! Tu te prosterneras sûrement devant Mes paroles ! Tu seras certainement réduit à néant par Mon plan ! Ah, myriade de choses de la création ! Vous allez tous bénéficier de la vie nouvelle dans Mes paroles, vous avez maintenant le Seigneur Suprême ! Ah, nouveau monde pur et sans tache ! Tu renaîtras sûrement dans Ma gloire ! Ah, Montagne de Sion ! Ne te tais plus. Je suis revenu en triomphe ! Du milieu de la création, Je scrute toute la terre. Sur terre, l’homme a commencé une nouvelle vie et jouit d’un nouvel espoir. Ah, Mon peuple ! Comment ne pouvez-vous pas revenir à la vie grâce à Ma lumière ? Comment ne pas sauter de joie sous Ma direction ? Les terres crient de joie, les eaux font de la cacophonie avec un rire joyeux ! Ah ! Israël ressuscité ! Comment peux-tu ne pas sentir la fierté à cause de Ma prédestination ? Qui a pleuré ? Qui a gémi ? L’Israël d’autrefois a cessé d’être, et l’Israël d’aujourd’hui s’est levé, s’est érigé et est imposant dans le monde, subsiste dans les cœurs de tous les hommes. L’Israël d’aujourd’hui atteindra sûrement la source de l’existence à travers Mon peuple ! Ah, Égypte haineuse ! Sûrement tu ne t’opposeras pas à Moi ? Comment peux-tu profiter de Ma miséricorde et essayer d’échapper à Mon châtiment ? Comment peux-tu ne pas exister dans Mon châtiment ? Tous ceux que J’aime vivront sûrement pour l’éternité, et tous ceux qui se dresseront contre Moi seront certainement châtiés par Moi pour l’éternité. Car Je suis un Dieu jaloux, Je n’épargnerai pas du tout les hommes pour tout ce qu’ils ont fait. Je veillerai sur toute la terre, et, apparaissant de l’Orient avec justice, majesté, colère et châtiment, Je Me révélerai aux myriades des hôtes de l’humanité ! »
 Le 29 mars 1992
 Source : L'Église de Dieu Tout-Puissant
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La quatorzième déclaration
 Je surveille l’univers jour après jour, observant, et Je Me cache humblement dans Ma demeure pour vivre la vie de l’homme, étudiant de près tous les actes de l’homme. Personne ne s’est jamais véritablement offert à Moi. Personne n’a jamais cherché la vérité. Personne n’a jamais été consciencieux envers Moi. Personne n’a jamais pris des résolutions devant Moi et a tenu à remplir son devoir. Personne n’a jamais permis que J’habite en lui. Personne n’a jamais tenu à Moi comme il le ferait de sa propre vie. Personne n’a jamais vu, concrètement dans la réalité, tout l’être de Ma divinité. Personne n’a jamais été disposé à être en contact avec le Dieu concret Lui-même. Quand les eaux engloutissent les hommes en entiers, Je les sauve des eaux stagnantes et leur donne une chance de recommencer une nouvelle vie. Quand les hommes n’ont plus espoir de vivre, bien qu’à deux doigts de la mort, Je les ramène à la vie en leur redonnant le courage de vivre, c’est alors qu’ils Me prennent pour le fondement de leur existence. Quand l’homme Me désobéit, Je le pousse à Me connaître dans sa rébellion. À la lumière de la vieille nature de l’humanité et de Ma miséricorde, plutôt que de mettre l’homme à la mort, Je lui permets de se repentir et de prendre un nouveau départ. Quand les hommes souffrent de famine, Je les arrache de la mort aussi longtemps qu’ils auront du souffle, les empêchant de se livrer en proie à la ruse de Satan. Combien de fois les gens ont-ils vu Mes mains ; combien de fois ont-ils vu Ma jolie figure, Mon visage souriant ; et combien de fois ont-ils vu Ma majesté et Ma colère. Bien que l’humanité n’ait jamais fait Ma connaissance, Je ne profite pas de leur faiblesse pour créer des problèmes inutiles. Vivant les difficultés de l’humanité, Je sympathise par conséquent avec l’homme pour ses faiblesses. Ce n’est qu’en réaction à la rébellion des hommes, leur ingratitude, que J’inflige des châtiments à des degrés divers.
 Je Me cache quand c’est le temps des affaires des hommes et Je M’expose pendant leurs moments de plaisirs. L’humanité pense que Je suis omniscient et le Dieu Lui-même qui accorde tous les recours. La plupart viennent donc devant Moi seulement pour chercher l’aide de Dieu, et non pas pour le désir de Me connaître. Quand ils sont en proie à la maladie, les hommes plaident urgemment pour Mon aide. Dans l’adversité, ils Me confient leurs difficultés de toutes leurs forces pour mieux oublier leur souffrance. Pourtant, pas un seul être humain n’a été capable de M’aimer tout aussi lorsqu’il est à l’aise. Pas une seule personne ne s’engage dans ses instants de paix et de bonheur à ce que Je puisse partager sa joie. Lorsque leurs familles proches sont heureuses et en bonne santé, les hommes Me jettent déjà de côté ou Me ferment la porte au nez, M’interdisant d’entrer, et par là même de prendre part au bonheur familial. L’esprit humain est trop petit, trop petit même pour contenir un Dieu aimant, miséricordieux, et sensible comme Moi. Combien de fois ai-Je été rejeté par les hommes pendant leurs moments agréables ; combien de fois ai-Je été pris comme une béquille par les hommes quand ils trébuchaient ; combien de fois ai-Je été forcé de jouer le rôle de médecin par les hommes souffrant de maladie. Que l’humanité est si cruelle ! Totalement déraisonnable et immorale. Aucun sentiment humain qui soit perceptible en eux. Ils sont presque dépourvus de toute sensibilité humaine. Méditez le passé et comparez-le avec le présent. Y a-t-il des changements en cours en vous ? Y-a-t-il moins de ce passé en jeu qu’à présent ? Ce passé est-il à remplacer ?
 Je suis passé par monts et vaux, connaissant les hauts et les bas du monde. Parmi les hommes, J’ai erré et parmi les hommes, J’ai vécu pendant de longues années, mais il semble que le tempérament de l’humanité a peu changé. Et c’est comme si la vieille nature des hommes s’est enracinée et a germé en eux. Ils ne sont jamais capables de changer cette vieille nature hormis ceux qui l’améliorent en fonction du fondement originel. Comme il se dit, l’essence n’a pas changé, mais la forme a beaucoup changé. Tout le monde, il semble, essaie de Me tromper, de M’éblouir, qu’il pourrait passer inaperçu et gagner Mon appréciation. Je n’admire pas et Je ne prête pas attention aux ruses des gens. Plutôt que de Me mettre en colère, l’attitude que J’adopte consiste à regarder mais à ne pas voir. Je prévois être laxiste jusqu’à un certain degré envers l’humanité, et par la suite, aborder tous les humains en même temps. Étant donné que les humains sont tous des êtres qui ne se respectent pas et des misérables sans valeur, qui ne se chérissent pas eux-mêmes, alors pourquoi auraient-ils même besoin de Moi pour leur prodiguer la miséricorde et l’amour renouvelés ? Sans exception, les hommes ne se connaissent pas eux-mêmes, et ne connaissent pas leur stature. Ils devraient se mettre sur une balance pour être pesés. L’humanité ne M’écoute pas, par conséquent Moi aussi Je ne les prends pas au sérieux. Les humains ne prêtent aucune attention à Moi, ainsi Moi aussi Je ne fais aucun effort pour eux. N’est-ce pas là la meilleure option pour les deux mondes ? N’est-ce pas là votre image, vous qui êtes Mon peuple ? Qui a pris des résolutions devant Moi et ne les a pas abandonnées après coup ? Qui a pris des résolutions devant Moi sur le long terme plutôt que de résoudre tel ou tel problème au quotidien ? Chaque fois, les hommes prennent des résolutions devant Moi en temps de paix et les enterrent en temps d’adversité. Plus tard, ils ressuscitent leurs résolutions et les ramènent vers Moi. Suis-Je aussi méprisable au point d’accepter avec désinvolture les vieilleries que l’homme aura ramassées d’un tas d’ordure ? Peu d’humains tiennent ferme à leurs résolutions, peu sont chastes, et peu offrent ce qu’ils ont de plus précieux en sacrifice pour Moi. N’êtes-vous pas vous tous de cet acabit ? Si, faisant partie du peuple de Mon Règne, vous n’êtes pas capables de tenir vos devoir, Je vous détesterai et Je vous rejetterai !
Le 12 mars 1992
Source : L'église de Dieu Tout-Puissant
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karrdr · 8 years ago
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Confessions d’une expatriée privilégiée
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  Parfois, passer son temps à pointer du doigt les injustices perpétuelles envers les siens, te fait perdre un peu la vue. Que se rassurent les derniers onanistes qui croyaient encore en la légende, tout va bien ! Moi, je parle de cette chose que nous, personnes de couleur, reprochons souvent à ceux à qui la mélanine joue de sales tours à l’approche de l’été : être totalement aveugle à ses propres privilèges.
En 2015 j’ai, contre le bon sens pour certains, tout plaqué pour aller m’installer au Koweït. Oui, ce tout petit bout de pays qui a bâti une fortune colossale grâce à ses réserves pétrolières… et qui s’est fait envahir par l’Iraq (pour les millenials qui s’en souviennent), au choix. Si vous êtes de ceux qui avez vu le reportage racoleur – pour ne pas changer – de Bernard de La Villardière, Les princes du Koweït dans Zone Interdite :
On efface tout et on recommence. Pour ceux qui m’ont posé la question, non on ne croise pas de guépards de maison tous les jours.
Par contre, ce que l’on croise assez souvent, ce sont les immigrés (notez l’usage du mot) venant des pays voisins – Indiens, Sri Lankais, Bangladeshis, Filipinos, etc. sont nombreux à se précipiter aux portes du Moyen-Orient pour assurer un revenu à leurs familles laissées au pays.
Sans exagérer, s’ils décidaient un jour de faire grève, le pays arrêterait RÉELLEMENT de fonctionner parce que ces gens assurent les tâches les plus ingrates dans des conditions qui horrifieraient même nos pontes du MEDEF… ou pas, d’ailleurs. Ajoutées à cela les difficultés administratives afin d’obtenir un simple visa, ou les restrictions imposées à ces populations… on se demanderait presque pourquoi ils continuent à s’infliger ça. Le choix est vraiment une chose toute relative, n’est-ce pas ?
De l’autre côté, il y a la population des expatriés (notez l’usage du mot) « occidentaux » dont je fais partie – des Britanniques et des Américains en premier lieu, quelques Français de-ci de-là, des Australiens, des Canadiens, etc. venus vivre le rêve Dubaïote, en moins clinquant. Travailler au Moyen-Orient, c’est censé être plus de sous et moins d’impôts (attention, plus pour longtemps). Avec ça, plein d’avantages.
Cette hiérarchie rigide se ressent dans tous les aspects de la vie quotidienne, personne n’en fait un mystère. C’est un fait accepté. Au cours de mes entretiens de recrutement, celle qui allait devenir ma manager, m’avait déjà peint un certain portrait de la situation. J’avoue que je n’en avais pas fait grand cas puisque le racisme faisant partie de notre vie quotidienne, je n’allais pas me laisser démonter. Je n’imaginais pas une seconde l’ampleur de ce que j’allais trouver.  
Dans un article où je parle des choses à savoir avant de s’expatrier au Moyen-Orient, je dis que la région fonctionne clairement sur la base de la nationalité… une façon de ne pas dire que le racisme est absolument assumé. En haut de l’échelle, les locaux et autres nationaux des pays du Golfe, ensuite les Britanniques et les Américains, suivis des autres passeports occidentaux, puis les autres nationalités « Arabes » si ça veut dire quelque chose. Inutile de faire un dessin de ceux qui gravitent au bas de ladite échelle.
Parlant de dynamiques internes et de promotions au boulot avec une amie Indienne, elle me fit la remarque suivante : « Oui, mais tu es Française, si quelqu’un doit être promu, ce sera sûrement toi. Pas que tu ne le mérites pas, tu es brillante, mais ce sera certainement plus facile pour toi. » (Promis, les compliments sont d’origine)
Et là, je reconnais, elle m’a laissée sur le popotin que je me promets de travailler tous les ans à l’approche de l’été, tout en m’enfilant une part de pizza. Elle ne s’en plaignait pas, elle faisait simplement état d’un fait avec lequel elle avait dû se battre toute sa vie. Effet miroir et claque dans ta face.  
Moi qui avais passé ma vie à voir le monde en nuances de beige et de marron plus ou moins foncé, voilà que j’avais traversé cette barrière invisible sans même le savoir et que je me retrouvais du côté de l’oppresseur à cause de mon passeport. Horreur ! J'étais devenue une privilégiée.
Certains voudront me dire que ma simple décision de partir m’installer là-bas, pis ! d’y rester en toute connaissance de cause fait de moi une hypocrite. Je ne le prendrai pas mal. Mais je dois dire qu’espérer changer toute une législation et la culture dans un pays qui n’est pas le mien, est une utopie bien occidentale : il y a bien trop d’éléments culturels, politiques et sociologiques qui me manquent pour que je puisse espérer comprendre les rouages d’un système si proche et si différent à la fois. Et puis surtout, quelle audace ! Imposer ma vision à des gens qui ne m’ont pas demandé mon avis… J’en demanderai des nouvelles aux States avant de m’y mettre, wallah.
Je sais, je sais… puisque je passe mon temps à dire qu’il faut changer les choses, je devrais peut-être prendre mes admonestations, mes injonctions, mes conseils tout droit issus de la bien-pensance gauchiste et libertaire et en faire quelque chose. Me les mettre là où je pense n’est toujours pas une réponse acceptable.
Alors, je prends le temps de discuter, d'expliquer parfois, de sensibiliser les gens autour de moi et là où je peux, aider à défaire des actions biaisées par le système. Mais penser que la responsabilité m’incombe de faire une révolution serait totalement insensible. Ces sociétés sont en mouvance et il y a déjà une jeunesse en quête d’elle-même et surtout en quête d’égalité parfaitement capable de se débrouiller seule. Ici, je ne suis qu’une alliée ; j’ai des connaissances et surtout, des privilèges que je peux mettre au bénéfice des autres.
Ma fable a-t-elle un sens autre que de m’envoyer des fleurs et dire que je fais des trucs bien ?
Oui… je pense surtout au milieu militant, à ceux qui parlent au nom des autres et mènent des luttes au premier plan au lieu de prendre le siège du co-pilote. Je pense aussi à ceux qui aiment répondre que le racisme n’est pas leur faute, ou que l’esclavage et la colonisation n’ont rien à voir avec eux. Oui, très vrai Sherlock, à moins que tu connaisses les secrets de la vie éternelle, ces événements majeurs n’ont rien à voir avec toi.
Mais, parce que le système est construit sur ces événements majeurs et que ce même système te favorise alors que tu n’as rien demandé autant que ma nationalité m'a favorisé ici alors que je n’ai rien fait d’autre que naître française… tu vois le rapprochement ?
Alors, non tu ne peux pas changer la France à toi tout seul, et non, parfois on ne comprend pas le pourquoi des constantes revendications. Mais si elles sont constantes, c’est qu’il y a surement un problème qui demande sinon une résolution immédiate, mais au moins de l’écoute. Ce que tu vois comme une corvée, ce machin lointain qui plombe la société que tu partages avec des gens de tous horizons à cause de ces mêmes événements majeurs dont je t’ai parlé plus haut, ils sont réels et impactent inévitablement la vie des autres.
Ça ne coûte rien d’apprendre à écouter, de chercher à comprendre et d’agir sur soi-même à défaut du reste, pour se défaire des préjugés et des biais qui nous sont inconsciemment, ou consciemment d’ailleurs, transmis. Il ne sert à rien de se replier sur soi ou de se sentir accusé, parce que dans ces luttes pour l’égalité, l’on ne pointe personne du doigt personnellement – à moins d’être un raciste notoire… soyons sérieux.
Personne n’est en colère contre TOI, okay ? C’est au système qu’on en veut et qu’on veut faire bouger.  Et nous, on t’invite à bouger avec nous. Alors quand on aura réussi ça, on reviendra peut-être chanter le koumbaya national de la France Black Blanc Beur en se tenant par la main. En attendant, pose-toi, on a des choses à se dire.
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blankmurder · 8 years ago
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Photographies expressives
1.    Joie
 a)
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J’ai choisi cette photo pour son originalité, son côté mignon, sa clarté et le côté amical. En effet, personne ne penserait à personnaliser ses doigts afin de créer des personnages et même une histoire à l’aide de ceux-ci. De plus,les détails sur la main sont très clairs et il n’y a aucun flou sur cette photo. Crédits : http://bit.ly/2ns7YWc
 b) Après avoir vu cette photographie de joie, je crois avoir développer quelques idées par moi-même pouvant représenter cette émotion avec originalité. Tout d’abord, je pourrais photographier un ami en train de dormir paisiblement sur un banc, un sourire sur son visage, avec des écouteurssur ses oreilles. Une autre idée serait de capturer le moment précis avant que quelqu’un  mage un aliment dont il raffole. Ainsi, on verrait la joie qu’il prend à ingérer quelque chose de délicieux. Comme dernière idée, prendre une photo d’un élève réjoui de son bulletin pourrait être intéresant, puisqu’on peut tous s’identifier à cette situation.
 c) Après avoir réfléchi à mon remue-méninge, j’ai trouvé que l’image qui représente la gourmandise est celle qui me représente le plus, car je prends énormément plaisir à manger. Pour prendre une telle photo, je crois que j’utiliserais une petite profondeur de champ sur un plan rapproché d’un ami sur le point de manger un aliment, un grand sourire dessiné sur ses lèvres. Puisque la photo serait dans l’école, il faudrait que le ISO soit assez haut, c’est à dire au moins 1600 ISO. La longueur focale serait aussi basse, car la caméra serait rapprochée au sujet, afin de capter le plus de détails possibles. Ce serait aussi un gros plan. Quant à la vitesse d’obturation, elle devrait être très basse, car le sujet sera en mouvement, afin de capter ses émotions à l’état pur.
 d)
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Lors de la prise de ma photo représentant la joie, j’ai tout d‘abord ajusté les réglages de la caméra afin qu’elle suive les critères que j’avais mis dans la question précédente. Ensuite, j’ai eu besoin de faire deux essais, car ma première photo était prise dans un angle de telle sorte que le sourire de mon sujet était caché, compromettant mon objectif qu’était de représenter la joie. J’ai donc travaillé efficacement et rapidement, minimisant le nombre de photos prises.
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e)
J’ai choisi cette photo, car la joie y est bien représentée et les détails sont assez présents. En effet, la photo est bien éclairée, ce qui nous permet de même apercevoir la texture des cheveux de mon sujet. Par contre, je crois que l’on peut un peu apercevoir du bruit dans l’image, démontrant que môns ISO était un peu trop haut. Au final, ma photo est moyennement claire, mais respecte bien mon objectif de départ.
 2.    Le contraste
 a)
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Cette photo a capté mon attention pendant ma recherche de photos contrastées. En effet, je croyais qu’il n’y avait que du vert sur cette photo, mais la petite framboise rougeoyante est apparue comme par magie. Cette image est magnifique à mon avis, car les détails sont incroyables. En effet, on voit très bien chaque ligne sur les feuilles, ainsi que la texture de la framboise. De plus, al profondeur de champ met beaucoup d’emphase sur la framboise, la rendant très appétissante. Crédits : http://bit.ly/2nhEp9d
 b) Pour mes idées de photos de contraste, je pourrais photographier un tas de crayons similaires avec un crayon différent au milieu. Une autre idée pourrait être de prendre en photo un élève en pleine forme et un autre très fatigué. Comme idée finale, je prendrais un casier propre et un casier sale juste à côté pour démontrer un contraste de propreté.
 c) Dans mon brouillon d’idées, mon idée préférée pour illustrer un contraste sur une photographie serait celle avec les deux casiers. Puisque l‘intérieur des casiers ne serait pas illuminé, je devrais utiliser un ISO assez haut, tel que 1600. De plus, la longueur focale serait moyenne, car je ne voudrais pas voir les casiers dans leur intégrité. Une longueur focale de 35mm. La vitesse d’obturation serait quant à elle longue, car j’utiliserais un trépied afin de stabiliser mon caméra
d)
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Pendant la prise de ma photographie représentant le contraste, j’ai dû demander à un ami de me prêter son casier afin que l’on puisse comparer son casier en désordre à mon casier organisé. J’ai ensuite pris deux photos en changeant légèrement le cadrage entre chacune, ce qui a un peu augmenté le contraste entre l’ordre et le désordre à mon avis.
 e)
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Au final, j’ai choisi cette photographie, puisqu’elle avait un meilleur cadrage optimisant ainsi l’emphase sur les contenus des casiers. En tant que photographie, je trouve que j’ai réussi mon objectif d’origine. En effet, j’ai bien utilisé les réglages de ma caméra afin de produire une photo claire, sans bruit et qui surtout fait ressortir des détails. En effet, on peut même apercevoir les saletés sur les portes de casier ou même la texture des sacs-à-dos. De plus, je trouve cette photo assez originale, puisqu’elle ne fait pas sortir les différences entre deux choses banales tel que des couleurs ou autre chose peu originale, mais plutôt un aspect assez important dans la vie d’un étudiant, son casier.
 3.    Le rejet
 a)
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J’ai choisi cette photo pour représenter le rejet, car on peut voir que les pions blancs rejettent le seul pion noir. Cette photo est bien exécutée, car les réglages sont définis afin que l’on puisse voir tous les détails, tels que les lignes du bois ou le reflet de la lumière sur les pions. De plus, cette photo est différente de multiples images d’intimidation qui peuvent représenter le rejet.
 b) Comme idées de photos sur le rejet, je pense à placer un groupe de personnes accotées au mur avec un élève seul devant eux. Une autre idée pourrait être de prendre 4 ordinateurs. 3 d’entre eux auraient une photo similaire, alors que le dernier, tout à droite et seul, aurait une image totalement différente. Comme idée finale, je pense à prendre en photo un groupe de personnes en train de lire des magazines. Par contre, l’un d’entre eux n’aurait pas un magazine, donc resterait làa seul à se tourner les pouces.
 c) La photo que j’aimerais faire pour présenter le rejet est celle avec les 4 ordinateurs. J’utiliserais un ISO assez bas pour cette photo, car les ordinateurs émettent eux-mêmes de la lumière, donc je ne voudrais pas qu’ils soient surexposés. J’utiliserais aussi une longueur focale de 18mm, car il faudrait un grand cadre afin de pouvoir prendre les 4 ordinateurs dans une seule photo. Finalement, la vitesse d’obturation serait très basse, comme par exemple 1/60, car je ne veux pas de flou, et il y aura beaucoup de lumière venant des ordinateurs.
d)
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Pour prendre une photo représentant bien le rejet, j’ai dû emprunter les ordinateurs de 3 voisins afin d’afficher des images concordant avec mon idée d’origine. Ainsi, j’ai pu représenter le rejet en démontrant que l’ordinateur le plus à droite était rejeté. Au final, je n’ai eu à prendre que deux photos, puisque mes réglages étaient bien faits et que l’image n’était as flou. Tout ce qu’il manquait était un petit recadrage qui n’a pris qu’un second essai.
e)
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 Finalement, j’ai choisi cette photo pour représenter le rejet. Le cadrage ainsi que l’éclairage étaient légèrement meilleurs selon moi. Tout d’abord, je trouve cette photo assez originale, car au lieu de démontrer une situation d’intimidation, j’ai représenté le rejet à l’aide d’un objet que nous utilisons tous les jours, c’est-à-dire l’ordinateur. L’image en tant que tel n’est peut-être pas extraordinaire, mais l’objectif est atteint. Il n’y a pas de bruit, l’éclairage est bon et les détails sont présents.
       4.    La précipitation
 a)
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Cette photo représente deux personnes pressées. Je trouve cette photo bien faite, car elle utilise l’effet du flou pour montrer le mouvement précipité de ces deux humains. Par contre, le flou n’envahi pas toute l’image, puisque l’on peu voir les détails de ces personnes. Crédits : http://bit.ly/2o1pdyk
 b) Pour présenter la précipitation, je pourrais tout d’abord prendre e photo un élève, les cahiers au bras en train de courir en regardant sa montre. Une autre idée serait de quelqu’un sous la pluie de façon esthétique, afin de démontrer la précipitation au niveau scientifique, c’est à dire la pluie. Comme dernière idée, j’aimerais utiliser un verre d’eau et montrer une précipitation en mélangeant deux solutions pour qu’un solide se forme dans le verre.
 c) Mon idée préférée pour la précipitation est celle de l’élève qui court, car c’est une situation à laquelle je peux m’identifier. J’aimerais aussi donner un effet de flou à ma photo. Our ce faire, j’utiliserai une grande vitesse d’obturation sans utiliser de trépieds, comme ¼ secondes. Mon ISO sera moyennement haut, car la vitesse d’obturation sera quand même élevée, donc un ISO de 800 serait correct. Quant à ma longueur focale, elle sera de 18mm, car je ne veux pas «zoomer» sur la photo, car j’aimerais prendre l’élève dans son décor, une école.
d)
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Quand j’ai pris ma photo représentant la précipitation, j’ai utilisé mes affaires d’écoles et mon ami Elrik afin de représenter un élève en retard, courant vers son cours en regardant l’heure sur son cellulaire. J’ai par contre dû reprendre la photo, étant donné que l’éclairage de ma première photo n’était pas ce que je recherchais.
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Pour conclure, j’ai choisi cette photographie parmi les deux que j’avais prises pour son éclairage rendant le décor un peu plus net. En tant que photo, je ne crois pas que cette idée soit très originale, mais je tenais à la réaliser, puisque c’est une situation que je vis assez souvent. Les réglages que j’ai utilisés pour la réalisation de cette photo étaient bien faits, rendant les détails bien visibles ainsi que la clarté de la photo. Malheureusement, je n’ai pas pu réaliser l’effet de flou désiré dans les limites de temps imposées. Par contre, je crois tout de même avoir atteint mon objectif de départ.
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bible-1991-blog · 7 years ago
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La quatorzième déclaration
 Je surveille l’univers jour après jour, observant, et Je Me cache humblement dans Ma demeure pour vivre la vie de l’homme, étudiant de près tous les actes de l’homme. Personne ne s’est jamais véritablement offert à Moi. Personne n’a jamais cherché la vérité. Personne n’a jamais été consciencieux envers Moi. Personne n’a jamais pris des résolutions devant Moi et a tenu à remplir son devoir. Personne n’a jamais permis que J’habite en lui. Personne n’a jamais tenu à Moi comme il le ferait de sa propre vie. Personne n’a jamais vu, concrètement dans la réalité, tout l’être de Ma divinité. Personne n’a jamais été disposé à être en contact avec le Dieu concret Lui-même. Quand les eaux engloutissent les hommes en entiers, Je les sauve des eaux stagnantes et leur donne une chance de recommencer une nouvelle vie. Quand les hommes n’ont plus espoir de vivre, bien qu’à deux doigts de la mort, Je les ramène à la vie en leur redonnant le courage de vivre, c’est alors qu’ils Me prennent pour le fondement de leur existence. Quand l’homme Me désobéit, Je le pousse à Me connaître dans sa rébellion. À la lumière de la vieille nature de l’humanité et de Ma miséricorde, plutôt que de mettre l’homme à la mort, Je lui permets de se repentir et de prendre un nouveau départ. Quand les hommes souffrent de famine, Je les arrache de la mort aussi longtemps qu’ils auront du souffle, les empêchant de se livrer en proie à la ruse de Satan. Combien de fois les gens ont-ils vu Mes mains ; combien de fois ont-ils vu Ma jolie figure, Mon visage souriant ; et combien de fois ont-ils vu Ma majesté et Ma colère. Bien que l’humanité n’ait jamais fait Ma connaissance, Je ne profite pas de leur faiblesse pour créer des problèmes inutiles. Vivant les difficultés de l’humanité, Je sympathise par conséquent avec l’homme pour ses faiblesses. Ce n’est qu’en réaction à la rébellion des hommes, leur ingratitude, que J’inflige des châtiments à des degrés divers.
 Je Me cache quand c’est le temps des affaires des hommes et Je M’expose pendant leurs moments de plaisirs. L’humanité pense que Je suis omniscient et le Dieu Lui-même qui accorde tous les recours. La plupart viennent donc devant Moi seulement pour chercher l’aide de Dieu, et non pas pour le désir de Me connaître. Quand ils sont en proie à la maladie, les hommes plaident urgemment pour Mon aide. Dans l’adversité, ils Me confient leurs difficultés de toutes leurs forces pour mieux oublier leur souffrance. Pourtant, pas un seul être humain n’a été capable de M’aimer tout aussi lorsqu’il est à l’aise. Pas une seule personne ne s’engage dans ses instants de paix et de bonheur à ce que Je puisse partager sa joie. Lorsque leurs familles proches sont heureuses et en bonne santé, les hommes Me jettent déjà de côté ou Me ferment la porte au nez, M’interdisant d’entrer, et par là même de prendre part au bonheur familial. L’esprit humain est trop petit, trop petit même pour contenir un Dieu aimant, miséricordieux, et sensible comme Moi. Combien de fois ai-Je été rejeté par les hommes pendant leurs moments agréables ; combien de fois ai-Je été pris comme une béquille par les hommes quand ils trébuchaient ; combien de fois ai-Je été forcé de jouer le rôle de médecin par les hommes souffrant de maladie. Que l’humanité est si cruelle ! Totalement déraisonnable et immorale. Aucun sentiment humain qui soit perceptible en eux. Ils sont presque dépourvus de toute sensibilité humaine. Méditez le passé et comparez-le avec le présent. Y a-t-il des changements en cours en vous ? Y-a-t-il moins de ce passé en jeu qu’à présent ? Ce passé est-il à remplacer ?
 Je suis passé par monts et vaux, connaissant les hauts et les bas du monde. Parmi les hommes, J’ai erré et parmi les hommes, J’ai vécu pendant de longues années, mais il semble que le tempérament de l’humanité a peu changé. Et c’est comme si la vieille nature des hommes s’est enracinée et a germé en eux. Ils ne sont jamais capables de changer cette vieille nature hormis ceux qui l’améliorent en fonction du fondement originel. Comme il se dit, l’essence n’a pas changé, mais la forme a beaucoup changé. Tout le monde, il semble, essaie de Me tromper, de M’éblouir, qu’il pourrait passer inaperçu et gagner Mon appréciation. Je n’admire pas et Je ne prête pas attention aux ruses des gens. Plutôt que de Me mettre en colère, l’attitude que J’adopte consiste à regarder mais à ne pas voir. Je prévois être laxiste jusqu’à un certain degré envers l’humanité, et par la suite, aborder tous les humains en même temps. Étant donné que les humains sont tous des êtres qui ne se respectent pas et des misérables sans valeur, qui ne se chérissent pas eux-mêmes, alors pourquoi auraient-ils même besoin de Moi pour leur prodiguer la miséricorde et l’amour renouvelés ? Sans exception, les hommes ne se connaissent pas eux-mêmes, et ne connaissent pas leur stature. Ils devraient se mettre sur une balance pour être pesés. L’humanité ne M’écoute pas, par conséquent Moi aussi Je ne les prends pas au sérieux. Les humains ne prêtent aucune attention à Moi, ainsi Moi aussi Je ne fais aucun effort pour eux. N’est-ce pas là la meilleure option pour les deux mondes ? N’est-ce pas là votre image, vous qui êtes Mon peuple ? Qui a pris des résolutions devant Moi et ne les a pas abandonnées après coup ? Qui a pris des résolutions devant Moi sur le long terme plutôt que de résoudre tel ou tel problème au quotidien ? Chaque fois, les hommes prennent des résolutions devant Moi en temps de paix et les enterrent en temps d’adversité. Plus tard, ils ressuscitent leurs résolutions et les ramènent vers Moi. Suis-Je aussi méprisable au point d’accepter avec désinvolture les vieilleries que l’homme aura ramassées d’un tas d’ordure ? Peu d’humains tiennent ferme à leurs résolutions, peu sont chastes, et peu offrent ce qu’ils ont de plus précieux en sacrifice pour Moi. N’êtes-vous pas vous tous de cet acabit ? Si, faisant partie du peuple de Mon Règne, vous n’êtes pas capables de tenir vos devoir, Je vous détesterai et Je vous rejetterai !  »
Le 12 mars 1992
Source  : L’Église de Dieu Tout-Puissant  
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La quatorzième déclaration
 Je surveille l’univers jour après jour, observant, et Je Me cache humblement dans Ma demeure pour vivre la vie de l’homme, étudiant de près tous les actes de l’homme. Personne ne s’est jamais véritablement offert à Moi. Personne n’a jamais cherché la vérité. Personne n’a jamais été consciencieux envers Moi. Personne n’a jamais pris des résolutions devant Moi et a tenu à remplir son devoir. Personne n’a jamais permis que J’habite en lui. Personne n’a jamais tenu à Moi comme il le ferait de sa propre vie. Personne n’a jamais vu, concrètement dans la réalité, tout l’être de Ma divinité. Personne n’a jamais été disposé à être en contact avec le Dieu concret Lui-même. Quand les eaux engloutissent les hommes en entiers, Je les sauve des eaux stagnantes et leur donne une chance de recommencer une nouvelle vie. Quand les hommes n’ont plus espoir de vivre, bien qu’à deux doigts de la mort, Je les ramène à la vie en leur redonnant le courage de vivre, c’est alors qu’ils Me prennent pour le fondement de leur existence. Quand l’homme Me désobéit, Je le pousse à Me connaître dans sa rébellion. À la lumière de la vieille nature de l’humanité et de Ma miséricorde, plutôt que de mettre l’homme à la mort, Je lui permets de se repentir et de prendre un nouveau départ. Quand les hommes souffrent de famine, Je les arrache de la mort aussi longtemps qu’ils auront du souffle, les empêchant de se livrer en proie à la ruse de Satan. Combien de fois les gens ont-ils vu Mes mains ; combien de fois ont-ils vu Ma jolie figure, Mon visage souriant ; et combien de fois ont-ils vu Ma majesté et Ma colère. Bien que l’humanité n’ait jamais fait Ma connaissance, Je ne profite pas de leur faiblesse pour créer des problèmes inutiles. Vivant les difficultés de l’humanité, Je sympathise par conséquent avec l’homme pour ses faiblesses. Ce n’est qu’en réaction à la rébellion des hommes, leur ingratitude, que J’inflige des châtiments à des degrés divers.
 Je Me cache quand c’est le temps des affaires des hommes et Je M’expose pendant leurs moments de plaisirs. L’humanité pense que Je suis omniscient et le Dieu Lui-même qui accorde tous les recours. La plupart viennent donc devant Moi seulement pour chercher l’aide de Dieu, et non pas pour le désir de Me connaître. Quand ils sont en proie à la maladie, les hommes plaident urgemment pour Mon aide. Dans l’adversité, ils Me confient leurs difficultés de toutes leurs forces pour mieux oublier leur souffrance. Pourtant, pas un seul être humain n’a été capable de M’aimer tout aussi lorsqu’il est à l’aise. Pas une seule personne ne s’engage dans ses instants de paix et de bonheur à ce que Je puisse partager sa joie. Lorsque leurs familles proches sont heureuses et en bonne santé, les hommes Me jettent déjà de côté ou Me ferment la porte au nez, M’interdisant d’entrer, et par là même de prendre part au bonheur familial. L’esprit humain est trop petit, trop petit même pour contenir un Dieu aimant, miséricordieux, et sensible comme Moi. Combien de fois ai-Je été rejeté par les hommes pendant leurs moments agréables ; combien de fois ai-Je été pris comme une béquille par les hommes quand ils trébuchaient ; combien de fois ai-Je été forcé de jouer le rôle de médecin par les hommes souffrant de maladie. Que l’humanité est si cruelle ! Totalement déraisonnable et immorale. Même les sentiments dont les humains sont censés être dotés ne sont pas perceptibles en eux. Ils sont presque dépourvus de toute sensibilité humaine. Méditez le passé et comparez-le avec le présent. Y a-t-il des changements en cours en vous ? Y-a-t-il moins de ce passé en jeu qu’à présent ? Ce passé est-il à remplacer ?
 Je suis passé par monts et vaux, connaissant les hauts et les bas du monde. Parmi les hommes, J’ai erré et parmi les hommes, J’ai vécu pendant de longues années, mais il semble que le tempérament de l’humanité a peu changé. Et c’est comme si la vieille nature des hommes s’est enracinée et a germé en eux. Ils ne sont jamais capables de changer cette vieille nature hormis ceux qui l’améliorent en fonction du fondement originel. Comme il se dit, l’essence n’a pas changé, mais la forme a beaucoup changé. Tout le monde, il semble, essaie de Me tromper, de M’éblouir, qu’il pourrait passer inaperçu et gagner Mon appréciation. Je n’admire pas et Je ne prête pas attention aux ruses des gens. Plutôt que de Me mettre en colère, l’attitude que J’adopte consiste à regarder mais à ne pas voir. Je prévois être laxiste jusqu’à un certain degré envers l’humanité, et par la suite, aborder tous les humains en même temps. Étant donné que les humains sont tous des êtres qui ne se respectent pas et des misérables sans valeur, qui ne se chérissent pas eux-mêmes, alors pourquoi auraient-ils même besoin de Moi pour leur prodiguer la miséricorde et l’amour renouvelés ? Sans exception, les hommes ne se connaissent pas eux-mêmes, et ne connaissent pas leur stature. Ils devraient se mettre sur une balance pour être pesés. L’humanité ne M’écoute pas, par conséquent Moi aussi Je ne les prends pas au sérieux. Les humains ne prêtent aucune attention à Moi, ainsi Moi aussi Je ne fais aucun effort pour eux. N’est-ce pas là la meilleure option pour les deux mondes ? N’est-ce pas là votre image, vous qui êtes Mon peuple ? Qui a pris des résolutions devant Moi et ne les a pas abandonnées après coup ? Qui a pris des résolutions devant Moi sur le long terme plutôt que de résoudre tel ou tel problème au quotidien ? Chaque fois, les hommes prennent des résolutions devant Moi en temps de paix et les enterrent en temps d’adversité. Plus tard, ils ressuscitent leurs résolutions et les ramènent vers Moi. Suis-Je aussi méprisable au point d’accepter avec désinvolture les vieilleries que l’homme aura ramassées d’un tas d’ordure ? Peu d’humains tiennent ferme à leurs résolutions, peu sont chastes, et peu offrent ce qu’ils ont de plus précieux en sacrifice pour Moi. N’êtes-vous pas vous tous de cet acabit ? Si, faisant partie du peuple de Mon Règne, vous n’êtes pas capables de tenir vos devoir, Je vous détesterai et Je vous rejetterai !
 Le 12 mars 1992
Source : L’Église de Dieu Tout-Puissant
Recommandation : L’Éclair Oriental
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louez-dieu-nouveau-blog · 7 years ago
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La quatorzième déclaration
 Je surveille l’univers jour après jour, observant, et Je Me cache humblement dans Ma demeure pour vivre la vie de l’homme, étudiant de près tous les actes de l’homme. Personne ne s’est jamais véritablement offert à Moi. Personne n’a jamais cherché la vérité. Personne n’a jamais été consciencieux envers Moi. Personne n’a jamais pris des résolutions devant Moi et a tenu à remplir son devoir. Personne n’a jamais permis que J’habite en lui. Personne n’a jamais tenu à Moi comme il le ferait de sa propre vie. Personne n’a jamais vu, concrètement dans la réalité, tout l’être de Ma divinité. Personne n’a jamais été disposé à être en contact avec le Dieu concret Lui-même. Quand les eaux engloutissent les hommes en entiers, Je les sauve des eaux stagnantes et leur donne une chance de recommencer une nouvelle vie. Quand les hommes n’ont plus espoir de vivre, bien qu’à deux doigts de la mort, Je les ramène à la vie en leur redonnant le courage de vivre, c’est alors qu’ils Me prennent pour le fondement de leur existence. Quand l’homme Me désobéit, Je le pousse à Me connaître dans sa rébellion. À la lumière de la vieille nature de l’humanité et de Ma miséricorde, plutôt que de mettre l’homme à la mort, Je lui permets de se repentir et de prendre un nouveau départ. Quand les hommes souffrent de famine, Je les arrache de la mort aussi longtemps qu’ils auront du souffle, les empêchant de se livrer en proie à la ruse de Satan. Combien de fois les gens ont-ils vu Mes mains ; combien de fois ont-ils vu Ma jolie figure, Mon visage souriant ; et combien de fois ont-ils vu Ma majesté et Ma colère. Bien que l’humanité n’ait jamais fait Ma connaissance, Je ne profite pas de leur faiblesse pour créer des problèmes inutiles. Vivant les difficultés de l’humanité, Je sympathise par conséquent avec l’homme pour ses faiblesses. Ce n’est qu’en réaction à la rébellion des hommes, leur ingratitude, que J’inflige des châtiments à des degrés divers.
 Je Me cache quand c’est le temps des affaires des hommes et Je M’expose pendant leurs moments de plaisirs. L’humanité pense que Je suis omniscient et le Dieu Lui-même qui accorde tous les recours. La plupart viennent donc devant Moi seulement pour chercher l’aide de Dieu, et non pas pour le désir de Me connaître. Quand ils sont en proie à la maladie, les hommes plaident urgemment pour Mon aide. Dans l’adversité, ils Me confient leurs difficultés de toutes leurs forces pour mieux oublier leur souffrance. Pourtant, pas un seul être humain n’a été capable de M’aimer tout aussi lorsqu’il est à l’aise. Pas une seule personne ne s’engage dans ses instants de paix et de bonheur à ce que Je puisse partager sa joie. Lorsque leurs familles proches sont heureuses et en bonne santé, les hommes Me jettent déjà de côté ou Me ferment la porte au nez, M’interdisant d’entrer, et par là même de prendre part au bonheur familial. L’esprit humain est trop petit, trop petit même pour contenir un Dieu aimant, miséricordieux, et sensible comme Moi. Combien de fois ai-Je été rejeté par les hommes pendant leurs moments agréables ; combien de fois ai-Je été pris comme une béquille par les hommes quand ils trébuchaient ; combien de fois ai-Je été forcé de jouer le rôle de médecin par les hommes souffrant de maladie. Que l’humanité est si cruelle ! Totalement déraisonnable et immorale. Même les sentiments dont les humains sont censés être dotés ne sont pas perceptibles en eux. Ils sont presque dépourvus de toute sensibilité humaine. Méditez le passé et comparez-le avec le présent. Y a-t-il des changements en cours en vous ? Y-a-t-il moins de ce passé en jeu qu’à présent ? Ce passé est-il à remplacer ?
 Je suis passé par monts et vaux, connaissant les hauts et les bas du monde. Parmi les hommes, J’ai erré et parmi les hommes, J’ai vécu pendant de longues années, mais il semble que le tempérament de l’humanité a peu changé. Et c’est comme si la vieille nature des hommes s’est enracinée et a germé en eux. Ils ne sont jamais capables de changer cette vieille nature hormis ceux qui l’améliorent en fonction du fondement originel. Comme il se dit, l’essence n’a pas changé, mais la forme a beaucoup changé. Tout le monde, il semble, essaie de Me tromper, de M’éblouir, qu’il pourrait passer inaperçu et gagner Mon appréciation. Je n’admire pas et Je ne prête pas attention aux ruses des gens. Plutôt que de Me mettre en colère, l’attitude que J’adopte consiste à regarder mais à ne pas voir. Je prévois être laxiste jusqu’à un certain degré envers l’humanité, et par la suite, aborder tous les humains en même temps. Étant donné que les humains sont tous des êtres qui ne se respectent pas et des misérables sans valeur, qui ne se chérissent pas eux-mêmes, alors pourquoi auraient-ils même besoin de Moi pour leur prodiguer la miséricorde et l’amour renouvelés ? Sans exception, les hommes ne se connaissent pas eux-mêmes, et ne connaissent pas leur stature. Ils devraient se mettre sur une balance pour être pesés. L’humanité ne M’écoute pas, par conséquent Moi aussi Je ne les prends pas au sérieux. Les humains ne prêtent aucune attention à Moi, ainsi Moi aussi Je ne fais aucun effort pour eux. N’est-ce pas là la meilleure option pour les deux mondes ? N’est-ce pas là votre image, vous qui êtes Mon peuple ? Qui a pris des résolutions devant Moi et ne les a pas abandonnées après coup ? Qui a pris des résolutions devant Moi sur le long terme plutôt que de résoudre tel ou tel problème au quotidien ? Chaque fois, les hommes prennent des résolutions devant Moi en temps de paix et les enterrent en temps d’adversité. Plus tard, ils ressuscitent leurs résolutions et les ramènent vers Moi. Suis-Je aussi méprisable au point d’accepter avec désinvolture les vieilleries que l’homme aura ramassées d’un tas d’ordure ? Peu d’humains tiennent ferme à leurs résolutions, peu sont chastes, et peu offrent ce qu’ils ont de plus précieux en sacrifice pour Moi. N’êtes-vous pas vous tous de cet acabit ? Si, faisant partie du peuple de Mon Règne, vous n’êtes pas capables de tenir vos devoir, Je vous détesterai et Je vous rejetterai !
 Le 12 mars 1992
 Source : L’Église de Dieu Tout-Puissant
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La vingt-sixième déclaration
 Quand Je mets la foi de l’homme à l’épreuve, aucun être humain n’a la capacité de porter un témoignage vrai, pas un seul n’est capable de se donner totalement ; l’homme se cache plutôt et refuse de s’ouvrir, comme si J’allais ravir son cœur. En réalité, Job lui-même ne résista jamais sous l’épreuve, et il n’a pas émané la douceur au milieu de la souffrance. Tout ce que l’homme est capable de faire c’est de produire un lointain parfum de verdure dans la chaleur du printemps ; il n’a jamais été capable de conserver la verdure sous le grand froid de l’hiver. Décharné et émacié en stature, l’homme ne peut pas accomplir Mon intention. Dans toute l’humanité, il n’y a personne qui puisse servir de modèle pour les autres, parce que les hommes sont fondamentalement semblables et ne sont pas différents les uns des autres, présentant peu de traits pour les distinguer les uns des autres. C’est pourquoi, aujourd’hui encore, les hommes ne peuvent pas encore pleinement connaître Mes œuvres. Ce n’est que lorsque Mon châtiment descendra sur toute l’humanité que les hommes, à leur insu, se rendront compte de Mes œuvres, et sans que Je ne fasse quoi que ce soit ou que Je ne contraigne personne, les hommes finiront par Me connaître et ainsi verront Mes œuvres. Tel est Mon plan, c’est l’aspect de Mon travail qui est manifesté, et c’est ce que l’homme doit savoir. Dans le royaume, les innombrables choses de la création commencent à revivre et à retrouver leur force vitale. En raison des changements de l’état de la terre, les frontières entre une terre et une autre commencent également à se déplacer. Jadis, J’avais prophétisé : Quand la terre sera divisée de la terre, et que la terre s’unira avec la terre, ce sera le temps où Je ferai voler les nations en mille morceaux. À ce moment-là, Je renouvellerai toute la création et repartirai l’univers tout entier, mettant ainsi l’univers en ordre, transformant son ancien état en un nouveau. C’est cela Mon plan. Ce sont Mes œuvres. Quand les nations et les peuples du monde retourneront devant Mon trône, Je prendrai alors toute la générosité du ciel et Je la conférai au monde des hommes, afin que, grâce à Moi, elle déborde d’une bonté incomparable. Mais tant que le vieux monde continuera d’exister, Je répandrai Ma colère sur ses nations, promulguant ouvertement Mes décrets administratifs dans tout l’univers, et donnant un châtiment à quiconque les viole :
 Quand Je tourne Mon visage vers l’univers pour parler, toute l’humanité entend Ma voix, et alors voit toutes les œuvres que J’ai réalisées dans l’univers. Ceux qui vont à l’encontre de Ma volonté, c’est-à-dire ceux qui s’opposent à Moi par les actes de l’homme, tomberont sous Mon châtiment. Je prendrai la multitude d’étoiles dans les cieux et les renouvèlerai, et grâce à Moi le soleil et la lune se renouvelleront — les cieux ne seront plus comme ils étaient ; La myriade de choses sur la terre sera renouvelée. Tout deviendra complet par Mes paroles. Les nombreuses nations de l’univers seront réparties de nouveau et remplacées par Ma nation, afin que les nations sur la terre disparaissent à jamais et deviennent une nation qui Me vénère ; toutes les nations de la terre seront détruites, et cesseront d’exister. Des êtres humains dans l’univers, tous ceux qui appartiennent au diable seront exterminés ; tous ceux qui adorent Satan seront ravagés par Mon feu ardent — c’est-à-dire, à l’exception de ceux qui vont maintenant avec Mon flot, le reste sera réduit en cendres. Quand Je châtierai les nombreux peuples, ceux du monde religieux reviendront, à divers degrés, à Mon royaume, vaincu par Mes œuvres, parce qu’ils auront vu l’avènement du Saint sur une nuée blanche. Tous les hommes suivront leur propre genre, et recevront des châtiments variant selon ce qu’ils ont fait. Ceux qui se sont dressés contre Moi périront tous ; quant à ceux dont les actions sur la terre ne M’ont pas impliqué, à cause de la manière dont ils se sont acquittés, ils continueront d’exister sur la terre sous la gouvernance de Mes fils et de Mon peuple. Je Me révèlerai à la myriade de peuples et aux innombrables nations, en prononçant de Ma propre voix sur la terre, pour proclamer l’accomplissement de Mon grand travail pour que tous les hommes puissent voir de leurs propres yeux.
 À mesure que Ma voix s’intensifie, J’observe aussi l’état de l’univers. Par Mes paroles, la myriade de choses de la création est renouvelée. Le ciel change, et la terre aussi change. L’humanité est exposée sous sa forme originelle et, graduellement, chacun selon son genre, les hommes retrouvent sans le savoir leur place au sein de leur famille. Pour cela, Je serai très heureux. Tout trouble aura cessé, et Mon grand travail sera achevé, inconsciemment, la myriade de choses de la création se transformera, sans effort. Quand J’ai créé le monde, J’ai façonné toutes choses selon leur espèce, en formant visiblement chaque chose selon son espèce. Au fur et à mesure que la fin de Mon plan de gestion approche, Je vais restaurer l’ancien état de la création, Je vais tout ramener à la forme originelle, tout en changeant profondément, afin que tout s’aligne de nouveau avec Mon plan. Le temps est venu ! La dernière étape de Mon plan est sur le point d’être accomplie. Ah, vieux monde impur ! Tu te prosterneras sûrement devant Mes paroles ! Tu seras certainement réduit à néant par Mon plan ! Ah, myriade de choses de la création ! Vous allez tous bénéficier de la vie nouvelle dans Mes paroles, vous avez maintenant le Seigneur Suprême ! Ah, nouveau monde pur et sans tache ! Tu renaîtras sûrement dans Ma gloire ! Ah, Montagne de Sion ! Ne te tais plus. Je suis revenu en triomphe ! Du milieu de la création, Je scrute toute la terre. Sur terre, l’homme a commencé une nouvelle vie et jouit d’un nouvel espoir. Ah, Mon peuple ! Comment ne pouvez-vous pas revenir à la vie grâce à Ma lumière ? Comment ne pas sauter de joie sous Ma direction ? Les terres crient de joie, les eaux font de la cacophonie avec un rire joyeux ! Ah ! Israël ressuscité ! Comment peux-tu ne pas sentir la fierté à cause de Ma prédestination ? Qui a pleuré ? Qui a gémi ? L’Israël d’autrefois a cessé d’être, et l’Israël d’aujourd’hui s’est levé, s’est érigé et est imposant dans le monde, subsiste dans les cœurs de tous les hommes. L’Israël d’aujourd’hui atteindra sûrement la source de l’existence à travers Mon peuple ! Ah, Égypte haineuse ! Sûrement tu ne t’opposeras pas à Moi ? Comment peux-tu profiter de Ma miséricorde et essayer d’échapper à Mon châtiment ? Comment peux-tu ne pas exister dans Mon châtiment ? Tous ceux que J’aime vivront sûrement pour l’éternité, et tous ceux qui se dresseront contre Moi seront certainement châtiés par Moi pour l’éternité. Car Je suis un Dieu jaloux, Je n’épargnerai pas du tout les hommes pour tout ce qu’ils ont fait. Je veillerai sur toute la terre, et, apparaissant de l’Orient avec justice, majesté, colère et châtiment, Je Me révélerai aux myriades des hôtes de l’humanité !
Le 29 mars 1992
Source : L’Église de Dieu Tout-Puissant
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