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Sur la route de Madison
On ne va pas parler d’un ouvrage très récent aujourd’hui. Le livre de Robert James Waller est initialement sorti en 1992, et son adaptation au cinéma avec et par Clint Eastwood, en 1995, il y a donc 30 ans cette année.
Il y a peu, on m’a demandé quel était mon film préféré, et c’est ce titre-là qui m’est revenu à l’esprit en premier. J’avais le livre en version anglaise, mais je ne l’avais jamais fini, le niveau d’anglais étant un peu trop haut pour moi à l’époque.
Ces jours-ci, ce film, ce livre, me trottait dans la tête... Et n’ayant plus de livres à lire sur mon téléphone, je me suis décidée pour en faire l’acquisition sur ce média. Le livre est très court, à peine 200 pages. Mais si passionnant que je n’ai pas vu le temps passer à les lire entre hier et aujourd’hui.
Pour qui l’ignorerait encore, Sur la Route de Madison est une histoire d’amour magnifique, entre deux êtres, si je puis dire, déjà d’un certain âge. Lui a la cinquantaine passée, et elle la quarantaine. Elle est femme de fermier, au fin fond de l’Iowa. Née en Italie, elle a suivi là un soldat américain après la guerre. Lui vient du Nord Ouest. C’est un voyageur, il se considère comme le «dernier des cow boys». Ils auront 4 jours pour s’aimer en tout et pour tout. Or de question d’en dévoiler plus ici : ce serait gâcher l’histoire pour qui ne la connaît pas, et sinon et bien... c’est sûrement déjà écrit à plein d’autres endroits sur le net.
Le film d’Eastwood est magnifique. Le livre l’est tout autant. J’y ai retrouvé le cadrage photographique, et la capture de la lumière. Je me suis régalée à chercher sur Streetview, les routes parcourues par Kincaid, j’ai adoré écouté les morceaux que Francesca entend sur le poste radio de sa cuisine.
Cette histoire est toute en finesse, retenue et poésie. Il y a de jolies phrases, et de jolies pensées.
"Dieu, l’univers ou quel que soit le nom qu’on veuille donner aux grands systèmes d’équilibre et d’ordre, ne reconnaît pas le temps humain. Pour l’univers quatre jours n’ont pas moins de valeur que quatre milliards d’années-lumières. J’essaie de garder cela présent à l’esprit"
Le film m’avait déjà beaucoup marquée, mais le livre aussi. Et je suis contente de l’avoir sur mon téléphone car au final, il sera toujours un peu avec moi. Je pourrais à tout moment retrouver Robert et Francesca, "à l’heure où les phalènes s’envolent".
Je suis ravie de commencer mon année 2025 avec ce titre.
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Qu'on aime ou pas la nouvelle adaptation du Comte de Monte Cristo, la plus belle chose qui en soit ressorti, c'est l'excitation générale des ADOS autour du LIVRE ! J'ai jamais vu autant d'élèves venir me voir au collège pour me parler d'un "super classique qu'ils ont commencé pendant les vacances, je sais pas si vous connaissez madame, ça parle de VENGEANCE" avec des étoiles dans les yeux comme ça. Donc merci le cinéma français et merci Pierre Niney
#wolfie made a statement#le comte de monte cristo#the count of monte cristo#J'ai jamais vu ça c'est hallucinant#books#classics#movies#pierre niney#children#prof doc clichée#JAMAIS un 4e va vous dire qu'il aime un classique JAMAIS
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Icône du cinéma français, Alain Delon s’est éteint ce dimanche 18 août, à 88 ans. De sa révélation sur le grand écran au début des années 1960 à son César du meilleur acteur, retour sur sa carrière en sept films emblématiques qui ont campé son style.
Il était l’un des acteurs qui a enregistré le plus d’entrées en France, totalisant plus de 136 millions de spectateurs avec l’ensemble des films qui l’ont mis en scène. Alain Delon est mort ce dimanche 18 août 2024, à l’âge de 88 ans, ont annoncé ses enfants. La star du grand écran a marqué le cinéma français de son empreinte avec 90 longs-métrages, qui ont façonné sa réputation de légende et son style caractéristique. En voici sept particulièrement marquants.
« Christine » (1958) : sa rencontre avec Romy Schneider Alain Delon n’a que 23 ans et a fait ses premiers pas au cinéma un an plus tôt, dans Quand la femme s’en mêle d’Yves Allégret, lorsque l’actrice allemande Romy Schneider le choisit sur photo pour tourner avec elle dans Christine, de Pierre-Gaspard Huit. Il y incarne le lieutenant Franz Lobheiner, amant d’une riche baronne autrichienne dont il veut rompre, qui tombe follement amoureux de la charmante Christine Weiring, jouée par la jeune star du cinéma qui n’a alors que 20 ans. La première rencontre entre les deux acteurs, à la descente de l’avion, deux mois plus tôt, n’était pourtant pas des plus concluantes. La barrière de la langue les sépare et le duo ne s’entend absolument pas. Ils finiront pourtant par tomber amoureux et former un couple connu comme « les plus beaux fiancés d’Europe ».
« Plein soleil » (1960) : la révélation d’un « jeune premier » Deux ans plus tard, Alain Delon est choisi par le réalisateur René Clément pour jouer dans une adaptation du roman Monsieur Ripley, de Patricia Highsmith. Alors qu’il devait jouer le deuxième rôle masculin, il parvient à convaincre l’équipe de réalisation qu’il serait plus adapté dans le costume du personnage principal, Tom Ripley, qui colle plus à son caractère un peu « voyou ». Avec ce rôle, Alain Delon se révèle sur le grand écran et pose les jalons de ce qui deviendra son style, charismatique et un peu rebelle. « Personne ne savait qui j’étais. Le film qui a fait le tour du monde, a été la base de ma carrière », avait d’ailleurs reconnu l’acteur.
« Le Guépard » (1963) : la palme d’or à Cannes Alain Delon y incarne Tancrède Falconeri, le neveu du prince Fabrice de Salina (Burt Lancaster) qui se lie d’amour avec une bourgeoise, Angelica Sedara (Claudia Cardinale), dans une Italie du milieu du XIXe siècle marquée par le déclin de l’aristocratie traditionnelle. Adapté du roman éponyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, cette fresque obtient la Palme d’or au Festival de Cannes en 1963 et devient un succès commercial et critique dès sa sortie. Alain Delon, au sommet de son élégance (moustache fine et raie sur le côté), y est l’incarnation de la noblesse. Le couple qu’il forme avec Claudia Cardinale entre dans l’histoire du cinéma. Le film comporte notamment une scène de bal devenue iconique, qui marque la victoire de la bourgeoisie sur la noblesse et où les trajectoires du trio principal trouvent leur aboutissement.
« Le Samouraï » (1967) : la consécration du « genre » Delon Cette première collaboration avec Jean-Pierre Melville donne l’un des chefs-d’œuvre de la filmographie de Delon, qui incarne le tueur solitaire Jef Costello. Fantomatique, inexpressif (son personnage n’a quasiment aucune réplique), obsédé par la maîtrise, avec son regard bleu froid, son imper et son chapeau : ce personnage est à la base du mythe Delon. L’esthétique de ce polar glacial influencera nombre d’autres cinéastes, dont John Woo ou Quentin Tarantino. La collaboration Delon-Melville accouchera d’un autre chef-d’œuvre, Le Cercle rouge (1970, avec Bourvil), avant Un flic (1972).
« La Piscine » (1969) : les retrouvailles avec Romy Schneider Mi-drame, mi-polar, ce film de Jacques Deray marque les retrouvailles entre Alain Delon et Romy Schneider, avec qui il a formé un couple mythique du cinéma français. Il n’y aura pas de retour de flamme entre eux mais la carrière de l’actrice allemande, alors en demi-teinte, redécolle. Plus de 3 millions de spectateurs plongent dans la piscine au-dessus de Saint-Tropez, fréquentée par le couple mais aussi par Maurice Ronet et Jane Birkin. Delon dira plus tard : « Ce film, je ne peux plus le regarder. Trop douloureux de revoir Romy et Maurice (morts en 1982 et 1983, N.D.L.R) rire aux éclats. »
« Borsalino » (1970) : son duo iconique avec Belmondo C’est encore grâce à Jacques Deray qu’Alain Delon connaît un vrai succès populaire avec Borsalino, où il forme un tandem iconique avec Jean-Paul Belmondo. Le film, histoire de deux jeunes voyous qui tentent de devenir les caïds de la pègre marseillaise, marque le point d’orgue du duo entre Delon et son rival, mais aussi ami. « Heureusement qu’il était là. Ni l’un ni l’autre n’aurait fait la même carrière sans l’autre. Il y avait une compétition mais aussi une sorte de stimulation entre nous. Ça m’aurait vraiment emmerdé qu’il ne soit pas là. Qu’est-ce que j’aurais foutu sans lui pendant cinquante ans ? » Le succès est au rendez-vous : le long métrage enregistre plus de 4,7 millions d’entrées et une suite, Borsalino and Co, sort au cinéma quatre ans plus tard.
« Notre histoire » (1984) : son seul César du meilleur acteur Malgré son immense carrière, Alain Delon n’a décroché qu’une seule fois le César du meilleur acteur obtenu en 1985 pour son rôle dans Notre histoire, de Bertrand Blier, sorti l’année précédente. Cette comédie dramatique, parfois absurde, parle de solitude et d’amour, autour de la rencontre dans un train, entre Robert, la quarantaine fatiguée, et une jeune femme désabusée, incarnée par Nathalie Baye. Le public ne suivra pas, mais la critique a majoritairement aimé ce film dans lequel Delon a pris des risques pour camper un personnage fragile, un ivrogne, bien loin de celui qu’il interprétait dans le Samouraï.
Alain Delon, qui avait commencé sa carrière à la fin des années 1950, était l’un des derniers monstres sacrés du cinéma français.
Né le 8 novembre 1935 à Sceaux (Hauts-de-Seine), Alain Delon fait ses débuts sur le grand écran à la fin des années 1950, dans Quand la femme s’en mêle, d’Yves Allégret.
Ces premiers pas au cinéma, il les doit à un « scout » qui les repère, lui et son charisme, lors d’un casting sauvage réalisé en marge du Festival de Cannes, à une époque où le jeune Alain Delon enchaîne les petits boulots. Quelques mois plus tôt, il était revenu d’Indochine, où il a servi dans la Marine, avant d’être renvoyé pour avoir, selon la légende, « emprunté » une jeep pour aller faire la fête. Un beau gosse un rien rebelle. Tout Delon est là, déjà.
Ce personnage de voyou magnifique, auquel sa nature semble le prédestiner, Alain Delon va l’étrenner, le perfectionner durant une bonne partie de sa carrière.
Très rapidement, on le verra ainsi incarner un tueur à gages dans Le Samouraï (1967), dans l’une de ses nombreuses collaborations avec Jean-Pierre Melville. Puis, dans Borsalino (1970), où il partage l’affiche avec son meilleur ennemi, Jean-Paul Belmondo, il prend les traits d’un éminent membre de la pègre marseillaise.
Toujours en 1970, dans Le Cercle rouge, il joue un autre bandit de classe, traqué par un Bourvil à contre-emploi. Mais, plus tard, les Français le verront passer de l’autre côté de l’insigne, dans Parole de flic ou Pour la peau d’un flic, film qu’il produira, comme une trentaine d’autres.
La rubrique des faits divers, celui qui ne cachera jamais ses attaches à droite la côtoiera également dans le civil. À la fin des années 1960, alors qu’il est au faîte de sa gloire, il sera ainsi entendu dans le cadre de la médiatique affaire Markovic, du nom de son ancien homme à tout faire yougoslave, retrouvé assassiné. La procédure, dans laquelle un ami d’Alain Delon, François Marcantoni, était le principal suspect, avait débouché sur un non-lieu pour preuves insuffisantes. Elle aura néanmoins perturbé le tournage du Clan des Siciliens, dans lequel il partage l’affiche Jean Gabin et Lino Ventura. Rien que ça.
Puis, au tournant des années 2023 et 2024, il sera l’objet d’une brouille entre ses enfants, Anouckha, Alain-Fabien et Anthony, sur fond d’héritage et de présence d’une « dame de compagnie », Hiromi Rollin. La découverte, quelques semaines plus tard, des dizaines d’armes que possède l’acteur dans sa résidence de Douchy (Loiret), finira d’alimenter une chronique qui aura quelque peu terni l’image de l’acteur.
Mais, entre-temps, Alain Delon aura peaufiné son autre facette, celle du séducteur à la gueule d’ange. Celle-ci crève l’écran dès 1960, dans Plein Soleil de René Clément et dans Rocco et ses frères, où Delon donne la réplique à Claudia Cardinale, sous les ordres de l’un de ses mentors, Luchino Visconti.
Ce séducteur patenté, les spectateurs le retrouveront régulièrement par la suite. Dans Le Guépard (1963), film-fleuve issu de l’œuvre de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, par exemple. Mais aussi, et peut-être surtout, dans La Piscine (1970), film sensuel dans lequel Delon donne la réplique à Romy Schneider, son ex-compagne.
Plus que ceux qu’il forma avec Nathalie Delon, Mireille Darc ou, un temps, avec Dalida, le couple mythique qu’Alain Delon forma avec l’interprète de Sissi, contribuera à le faire entrer dans la légende du cinéma français, celle à laquelle, diront ses détracteurs, il était si conscient d’appartenir. Difficile toutefois, en regardant dans le rétroviseur, de le contredire sur ce point.
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Is every chapter of your fic two alliterative words with "and" in the middle?
Yes! We actually have a working title for every episode we're rewriting. Keep in mind that these may be changed when the actual chapters come out, we might make some changes to which episodes we want to adapt, and the episode order will be changed in the story.
"SOJ avec La Règle" - "Red Lights and Rules"
"SOJ à chat perdu" - no change, we're not adapting this one since it's perfect as it is
"SOJ avec Vitamine" - "Sisters and Super Speed"
"SOJ à bien faire"/"Homework and Horrors"
"SOJ à goût des champs" - "Taste Tests and Tabletop Games"
"SOJ à être drôle" - "Humor and Hubris"
"SOJ avec Nombril" - "Attention and Annoyance"
"SOJ à karma quizz" - "Karma and Chaos" (yeah, they don't start with the same letter but at least they sound like they do)
"SOJ aux règles de l'art" - "Loopholes and Lawlessness"
"SOJ à la pétanque cosmique" - "Pétanque and Planets"
"SOJ à cours rumeur cours" - "Rumors and Ruptured Trust"
"SOJ avec Lavanade" - "Supernatural Powers and Suppression"
"SOJ avant… que ça arrive" - "Fearmongering and the Future"
"SOJ à colin-maillard" - no change, we're not adapting this one since it's perfect as it is
"SOJ chacun de son côté" - no change, we're not adapting this one since it's perfect as it is
"SOJ avec qualité" - "Quality and Quarrels"
"SOJ avec Cramoisie" - "Cryptids and Creepy Stuff"
"SOJ à avoir des idées, ou pas, ou plus" - "Ideas and Idiocy"
"SOJ au concours de Mère Noel" - "Eggnog and Egos" (this title makes sense in our version, the plot has been significantly changed)
"SOJ au cinéma"+"la suite" - no change, we're not sure how to adapt this one anyway
"SOJ avec Ardoise" - "Travel Funds and Tax Fraud" (this will be a revamped version of the original "Travel Funds and Tax Fraud" that we published last year)
"SOJ à vous avez changé" - no change, we don't know how to write musicals and also we're trying not to change the characters too much from their S1-4 incarnations so we don't really need an explanation of why they changed since, well, they didn't
"SOJ à l'exercice de style" - no change, this one is perfect as it is
"SOJ avec Poucave" - "Slander and Scandals"
"SOJ aux messagers" - "Couples and Conflicts"
"SOJ à la fête des fous-fous" - "Schemes and Switches"
"SOJ tous ensemble" - "Towers and Togetherness"
"SOJ à la chasse aux chaussettes" - no change, we're not adapting this one since it's perfect as it is
"SOJ avec Violasse" -"Dimensions and Danger"
"SOJ à la chasse à la grenouille" - "Board Games and Beasts"
"SOJ à l'interrogation" - "Love and Losses"
"Les origines de Coin-Coin" - no change, this one is perfect as it is
"SOJ à tout se dire" - no change; details revealed in this episode are incorporated into other episodes in the fic too
"SOJ à coach à coacher" - "Magazines and Mourning" (this title makes sense in our version, the plot has been significantly changed)
"SOJ aux maîtres des jeux" - each part gets a unique title. Part 1 is "Tennis and Trouble", part 2 is "Revolution and the Rat Race", and part 3 is "Friendship and Finales".
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New pic (March 23, 2023), Malibu.
" Que le beau gosse de 62 ans soit désormais un chanteur rock folk et un écrivain à succès nous avait complètement échappé. Pourtant, il a déjà sorti trois albums. En tapant ces lignes, on écoute le classique et efficace Hell or Highwater, qui nous plonge dans une sorte d’Amérique masculine éternelle"
" Surtout, il est devenu écrivain, avec cinq romans en huit ans qui figurent sur la liste des best-sellers du New York Times."
"Tandis que la pluie tape sur nos fenêtres parisiennes, David Duchovny nous accueille par écrans interposés dans ce qui semble être sa cabane au fond du jardin. Il porte un hoodie vert, la barbe du matin, et boit un liquide non spécifié dans un mug. Il est 9 heures à Malibu, en Californie, la maison s’éveille . "
"On entend une sonnette, puis quelques rires, il s’excuse un instant, il doit aller ouvrir à la photographe. Après notre discussion, il pose sur son patio, devant sa maison moderne aux grandes baies vitrées et aux matériaux naturels foncés, entre des coquelicots orange et un wagon de train remis à neuf et peint en noir."
"On lui demande si ses enfants le traitent de boomer, ça le fait rire. «Ma fille a 24 ans, mon fils 20 et ils ont été éduqués et ont grandi en plein dans ce changement culturel majeur des dernières années. On a des discussions très intéressantes et parfois on a des points de vue différents, mais c’est sain.»"
". Il paraît apaisé. Il s’intéresse toujours au cinéma, adapte un de ses livres, Bucky F*cking Dent où il tient le rôle principal. Et il persiste dans l’écriture. Avec modestie : il sait qu’il ne publiera pas Ulysse de Joyce ou le grand roman américain de demain, mais il aime ses histoires, s’isoler entouré de sa documentation, griffonner à l’aube dès 5 heures du matin, quand tout le monde dort. On y devine une forme de soulagement, une manière de tromper la mélancolie qui semble pointer parfois derrière son regard "
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Rable Zineddine est un Drouais Franco-Algérien qui raconte son histoire incroyable depuis son enfance drouaise (dealer à 14 ans, meurtrier à 15 ans, victime d’une tentative de meurtre à 21 ans… ).
Son livre est un cri du cœur pour son fils de 4 ans, qui est en Algérie, avec sa mère radicalisée et qu’il n’a pas revu depuis 3 ans.
Bientôt 37 ans et déjà de nombreuses vies en une.
La littérature est sa revanche contre le déterminisme et l’extrémisme religieux.
On attend son adaptation au cinéma !
#photographie#photography#lecture#bookaddict#book#booklover#resilience#revanche#dreux#algerie#Tahla#Rable Zineddine
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J'ai regardé Le Cercle des Neiges
Réalisé par Juan Antonio Bayona, ce film est l'adaptation du livre du même nom, écrit par le journaliste uruguayen Pablo Vierci. Le livre relate l'accident du vol Fuerza Aérea Uruguaya 571, écrasé dans la Cordillère des Andes. Les surviants de ce crash, l'équipe du rugby du Old Christian Club de Montevideo ainsi que leur proches, ont raconté plus tard qu'ils auraient eu recours à l'anthropophagie pour rester en vie. Ce qui semble n'être qu'une rumeur finit par être confirmée lors d'une conférence de presse. Cette histoire fut déjà adaptée au cinéma, notamment en 1993, avec le film hollywoodien "Les Survivants", où l'on retrouve quand même un tout jeune Ethan Hawke. Le film est pas mal mais reste quand même très corny à la Hollywood Style. En 2023, sort donc une nouvelle adaptation de ce récit, une production hispano-américaine. Et que dire à part que c'est une tuerie !
Je ne m'attendais vraiment pas à être autant scotchée car je connaissais l'histoire et j'avais vu plusieurs fois Les Survivants. Mais cette nouvelle version m'a beaucoup plus convaincu. On a un vrai travail de réalisation, les plans sont parfois magnifiques. Bayonna a vraiment mis en valeur la Cordillère des Andes, elle en devient aussi belle qu'elle n'en est terrifiante. Autre chose qui participe à notre effroi, rien de la souffrance des survivants nous est épargné. Les maladies, les blessures qui s'infectent, la dégradation de la santé physique comme mentale, tout nous est montré. Tout ce qui les pousse à décider d'en venir au cannibalisme. Là où le dilemme est à mon sens très expédié dans la version de 1993, ici le débat revient tout du long et met les protagonistes dans une position délicate vis à vis de leur foi et de leurs valeurs.
La tension est palpable jusqu'au bout et on se sent vraiment près des personnages malgré leur nombre. On ne se concentre pas que sur un ou deux personnages. Fernando Parrado et Roberto Canessa sont certes mis en avant tout le long du film, afin de faire ressortir la beauté de leur acte héroïque mais on oublie pas que le groupe. On est . Le tout sans patos, ce qui était le gros point noir de la version de 1993. Et quand le miracle se produit, on est réellement soulagés.
Bref, le film est incroyable, il faut absolument le voir. Il est sur Netflix !
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La bande-annonce du film de Laetitia Colombani adapté de son roman "La Tresse", au cinéma en France le 29 Novembre!
Notre adaptation BD à Lylian et moi, disponible en librairie.
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Un incroyable film de Keira Knightley, je suis allé le voir au cinéma hier soir. Je me suis plongé dans un océan d'émotions et de réflexion, grâce à ce film. C'est de loin la meilleure adaptation du chef d'œuvre de Jane Austen pour moi. Les acteurs interprètent parfaitement le roman de Jane Austen, et permettent de se plonger entièrement dans ce film. J'ai été époustouflé par la direction artistique du film, les choix de musiques et les paysages sont simplement parfaits. Cela donne une atmosphère envoutante, qui crée un monde dans lequel on peut complètement s'immerger.
Ce film m'a vraiment marqué et il restera gravé à jamais dans ma mémoire. Je vous le recommande fortement, vous allez faire un voyage émotionnel inoubliable!
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Les poussières dorées
J'ai passé toute la semaine dernière à écrire cet article de blog dans ma tête, tant et si bien qu'il n'en reste rien — me voilà donc condamnée à reprendre de zéro. Je crois que je voulais écrire que je suis allée voir Dune au cinéma — la suite, évidemment — et que j'ai aimé certaines choses (le fait que le personnage de Chani ait gagné en profondeur, et Zendaya qui lui donne beaucoup de force) et que j'en ai regretté d'autre. J'ai surtout regretté les choses bizarres du roman qui ont disparu avec cette adaptation. L'enfant qui naît avec les connaissances d'une adulte, les longs trips psychédéliques sous eau de vie qui m'avaient tant marquée sous la plume d'Herbert. Même la chevauchée épique sur le ver Shai-Hulud m'a laissée un peu sur ma faim. Je crois que je ne cesserai jamais de regretter chez Villeneuve sa capacité à lisser les choses. C'est un cinéma qui n'imprime pas vraiment d'images dans ma rétine, comme s'il glissait sur mes yeux. J'ai beaucoup pensé à mon rapport aux images ces derniers jours puisque nous avons regardé par accident un film que nous avions déjà vu, Panic à Needle Park. Je me suis étonnée de ces fictions qui ne laissent pas le moindre résidu en moi quand d'autres déposent leurs poussières dorées jusqu'au plus profond de mon âme. Qu'est-ce qui accroche, qu'est-ce qui s'évapore ?
Bungalow pour femmes de Raoul Walsh (1956)
J'étais contente, après Dune, de regarder Bungalow pour femmes de Raoul Walsh (je préfère évidemment le titre anglais The revolt of Mamie Stover). Contente d'y trouver le visage en colère de Jane Russell mais aussi les reflets bleutés de ses robes à paillettes, le roux de ses cheveux, le bleu vif de la mer et le jaune du sable. La couleur au cinéma me rend très heureuse, c'est cette augmentation de la réalité derrière laquelle je cours toujours.
Bungalow pour femmes, donc, raconte l'histoire d'une femme qui s'installe à Honolulu après avoir été obligée de quitter San Francisco. Le film fait beaucoup de manières pour ne pas parler de travail du sexe (censure oblige), mais c'est bien de cela qu'il s'agit ici. Le personnage de Russell tombe amoureuse d'un homme sur le bateau, qui lui préfère une femme plus respectable, une femme qui va bien avec sa maison de riche sur les hauteurs de la ville. Mamie Stover commence à travailler dans un hôtel. Elle gagne un pourcentage sur les consommations des hommes et sur les coupons qu'ils donnent par dizaine pour passer quelques minutes avec elle. En parallèle, elle revoit l'homme du bateau avec qui elle développe une relation ambigüe.
Bungalow pour femmes n'est pas vraiment une histoire d'amour mais plutôt une histoire de ce que la société attend des femmes : d'être ambitieuses sans être vénales, d'être désirables sans être trop désirées, d'abandonner leur agentivité entre les mains d'un homme qui n'est pas digne de confiance. Mamie Stover est justement trop — trop vénale, trop corrompue. Impossible pour elle de s'arrêter de désirer de l'argent, plus d'argent, pour sortir de la pauvreté dans laquelle elle a grandi et pour réaliser son rêve : rentrer chez elle, conquérante. Le regard porté sur elle est cruel. C'est un film très dur sur la valeur de l'amour dans une société capitaliste (en un sens le film a fait écho à Simple comme Sylvain de Monia Chokri, que j'ai vu une semaine plus tard, qui est aussi un film assez triste sur le fait que l'amour s'inscrit dans un système de classes sociales, qu'il ne transcende pas les conditions matérielles des amant·es).
Et puis Bungalow pour femmes est très beau — ses plans sur la mer, les contrastes entre les lieux bourgeois et la petite pièce dans laquelle Mamie reçoit les clients de l'hôtel — de la couleur, partout ! Comme beaucoup de films de l'époque, il laisse complètement de côté la colonisation, tous les personnages racisés font de la figuration, quand bien même ce sujet aurait vraiment pu être intégré au propos du film et à son analyse des rapports de domination/pouvoir.
Come what may
Comme je suis allée voir la comédie musicale à Londres le mois dernier, j'ai replongé dans Moulin Rouge de Baz Luhrmann, un film que je ne pourrai jamais renier sans avoir l'impression d'arracher une partie de moi-même. À chaque fois que je le regarde, je le commence en étant parfaitement rationnelle, une personne de 37 ans qui a désormais vu beaucoup de comédies musicales, à qui on ne la fait pas en somme, et je le termine à pleurer sur Come What May comme si j'avais de nouveau 14 ans et que je faisais partie d'une mailing list de fan fiction consacrée à Ewan McGregor. Je pense qu'aucun film ne me fait ce même effet, et je le porte près de mon cœur tel un collier en forme de cœur en strass rouges qui s'ouvre pour dévoiler des photos du film découpées dans le Télé 7 Jours. J'éprouve une forme de fidélité pour cette ado qui cousait deux ans plus tard Placebo en strass sur un sac Café Privilège donné par sa grand-mère. Elle n'avait pas beaucoup d'ami·es — je lui dois bien d'être la sienne aujourd'hui.
Écrire !
Bref, tout ça pour dire que j'ai repris le travail sur mon projet sur la comédie musicale. Ça va faire dix ans que j'ai cette idée en tête, que je la reprends et l'abandonne et la reprend et l'abandonne (on repeat). Parfois j'écris dessus ici comme j'écrirais une pensée magique. Je me dis que je vais le faire apparaître comme ça, en en parlant, le faire exister.
J'en suis donc à ce stade habituel de mes projets où je me dis qu'il faut que je lise 150 livres universitaires sur le sujet, livres que j'achète d'occasion sur Internet, que je reçois, que je range dans une jolie pile sur mon étagère, que je lis sans vraiment en retenir grand chose. C'est une forme coûteuse et vaine de procrastination, qui a pour seul but illusoire de légitimer mon écriture. Comme c'est un livre personnel, je pourrais simplement me lancer, d'autant que j'ai beaucoup travaillé l'année dernière à me détacher de mon besoin de citer pour exister.
Bref, il est grand temps que je m'y remette, que je me jette dans le grand bain de l'écriture et autres métaphores. D'autant que mon deuxième chapitre porte sur Brigadoon et sur la nécessité d'ouvrir les portes d'un autre monde ! Une joyeuse perspective ? Une joyeuse perspective !
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Accès au cinéma invisible vous donne rendez-vous, ce mercredi 18 octobre à 20h 11 rue des Olivettes (Nantes), pour découvrir la plus belle adaptation au cinéma de l'écrivain Julien Gracq, Rendez-vous à Bray, sorti au cinéma en 1971.
L’auteur florentais est réputé difficile à transcrire sur grand écran : grande densité narrative, paysages flous et sensibilité à fleur de peau.
C’est André Delvaux, réalisateur belge adepte du surréalisme et développant un style de mise en scène qualifié de réalisme magique, qui va se lancer dans cette adaptation.
Delvaux est un féru de littérature, ayant à ce moment déjà adapté plusieurs fois au cinéma Johan Daisne (Un homme, un train avec Yves Montand en 1968), il continuera en 1983 avec Suzanne Lilar (Benvenuta avec Fanny Ardant) puis Marguerite Yourcenar en 1988 (L’Œuvre au noir avec Sami Frey).
En adaptant la courte nouvelle Le roi Cophueta tiré du recueil La presqu’île (Éditions Corti, 1970), Delvaux s'empare à la fois de l'univers restitué par Gracq, mais aussi de sa sensibilité. Il transpose son goût pour le cinéma à une œuvre pleinement littéraire. Avec le jeu d’Anna Karina et Matthieu Carrière, il réussit alors à transmettre aux spectatrices et spectateurs le mystère dont Gracq avait le secret.
En cela, Rendez-vous à Bray est autant un hommage au pouvoir de la littérature qu'à celui du cinéma. Le film fait la jonction entre ces deux pratiques pour devenir une œuvre à part entière encore trop méconnue en France, récompensée du prestigieux prix Louis-Delluc à sa sortie en 1971.
Projection gratuite à Pol-n, 11 rue des Olivettes (Nantes), à 20h le 18 octobre 2023.
#nantes#cinema#projection gratuite#acces au cinema invisible#julien gracq#andré delvaux#film#film oublié#invisible#vintage#littérature
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Métal Hurlant (1981)
Réalisé par Gerald Potterton, Canada, 90 min
Métal Hurlant est une parodie de science-fiction robotique, déjantée et Rock n' Roll.
Une orbe verte luisante, incarne le mal ultime et terrorise une jeune fille avec une anthologie d’histoires bizarres et fantastiques de dark fantasy, d’érotisme et d’horreur.
L''un des premiers films d'animation pour adultes à être distribué dans les circuits du Cinéma de masse, la violence graphique, une nudité et une sexualité explicites, dans une ambiance de Space Opéra Métal et Punk, en ont fait un objet culte et intemporel malgré la spécificité de ses références. Il a ouvert la voie à d'autres films d'animation, on pense notamment à "Akira" sorti quelques années plus tard en 88.
Métal Hurlant était un célèbre magazine de science-fiction, prémices du style Cyber et steampunk et autres délires post nucléaires. Le film éponyme est une adaptation plus ou moins libre de la bande dessinée française originale, créée en 1974. où l'on pouvait trouver les styles de dessin de certains des plus grands artistes de bandes dessinées de l'époque, tels que Moebius, Philippe Druillet et Enki Bilal. Le film a également incorporé de la musique rock et métal de groupes tels que Black Sabbath, Blue Öyster Cult et Devo, ce qui a contribué à établir le genre de la bande dessinée métal. . Quatre ans plus tard, le réalisateur Gerald Potterton et les écrivains Daniel Goldberg et Len Blum s’associent pour en faire une adaptation cinématographique.
Ce film canadien met en vedette les talents d’une distribution au combien canadienne, d'éminents acteurs, dont le producteur Ivan Reitman et les interprètes John Candy, Joe Flaherty, Eugene Levy et Hard Ramus. A l’âge d’or des films d’anthologie comique, quatre ans après Kentucky Fried Movie et quelques années avant Amazon Women on the Moon.
Le film compte neuf segments, sans compter son épilogue. Ils sont marqués par une animation grossière, même aux normes de 1981, et une nudité surprenante. Il y avait aussi beaucoup de musique, bien que tout ne corresponde pas nécessairement dans le genre musical titulaire; en plus de la chanson-titre de Sammy Hagar, le film présente des styles musicaux de Blue Oyster Cult, Journey, Don Felder, Nazareth, et Cheap Trick.
La ligne dans tout cela est Loc-Nar, une petite sphère extraterrestre qui refait surface sous différentes formes tout au long du film, et sur des siècles d’histoire humaine, un peu comme les monolithes en 2001 : A Space Odyssey.
Le film « Harry Canyon », un hommage à Taxi Driver et à la tradition du film noir, met en vedette un chauffeur de taxi et une femme fatale improbable. Un autre était le segment « Den », mettant en vedette le personnage créé par le célèbre dessinateur de bandes dessinées Richard Corben.
« Captain Sternn » (exprimé par Eugene Levy), qui joue dans un drame de salle d’audience. Accusé d’une litanie de crimes, y compris « 12 chefs de meurtre au premier degré, 14 chefs de vol à main armée de biens de la Fédération, 22 chefs de piraterie dans l’espace, 18 chefs de fraude, 37 chefs de viol — et une infraction en mouvement ». Il plaide non coupable, ayant soudoyé un témoin, bien que le témoin soit dépassé par une version humaine musclée de Loc-Nar.
Ensuite, il y a le fameux segment « So Beautiful & So Dangerous », qui culmine avec un robot (exprimé par John Candy) ayant des relations sexuelles avec une femme humaine, bien qu’à l’écran jusqu’à ce qu’ils argumentent avec humour sur la question de savoir s’il est possible pour eux de se marier. Il se termine par la défaite finale de Loc-Nar, par (qui d’autre?) une jolie femme chevauchant une créature.
Le message du film, qui explore les thèmes de la violence, de la technologie, de la sexualité et de la nature humaine, est toujours pertinent aujourd'hui. Le film montre comment la technologie peut être utilisée à des fins destructrices et comment les êtres humains peuvent se perdre à travers la guerre, la cupidité et la violence.
En termes d'esthétique, le film est absolument fantastique de par la qualité de son ambiance steam-spatio-trash et surréaliste, qui combine les styles de dessin de plusieurs grands artistes de la bande dessinée. Bien que certains aspects de l'animation puissent sembler un peu dépassés, l'utilisation de la rotoscopie. Une technique bien connue des fans de la première du jeu Mortal Kombat, et/ou encore du film Tron, dans laquelle les animateurs dessinaient sur des images en mouvement réelles pour créer une animation plus fluide et plus réaliste. Cette technique a été utilisée avec succès dans le film, créant des séquences animées qui semblaient plus cinématiques et plus réalistes que celles des films d'animation traditionnels, lui donnant une identité visuelle en parfaite harmonie avec l'aspect décalé et psychédélique de l'œuvre.
"Métal Hurlant" est toujours considéré comme LE film d'animation à avoir influencé et marqué les esprits à jamais dans le genre de la science-fiction fantaisiste. Bien que certains aspects de son esthétique puissent sembler retro, la qualité de l'animation n'a pas pris une ride, son message et son impact culturel ont résisté à l'épreuve du temps.
Bonne séance. Le film ICI \m/
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Séance du mercredi 2023-11-29
Laputa c'est quand même un nom étrange
Le château dans le ciel - 天空の城ラピュタ - Netflix - 2h05 - 🇯🇵🏰🤖
Comme vous êtes au pays du cinéma vous avez la chance d'aller voir en salle le dernier film d'animation du maître Miyazaki. Dans notre pays exotique nous n'avons pas encore eu cette chance alors du coup on revoit tous les films du studio Ghibli pour passer le temps. Après Naussicaä une fable écologique on est là face à une fable anti guerre. Les méchants hommes en marrons du gouvernement tente d'emprisonner une jeune femme qui est héritière d'un royaume disparu.
Le film explore de nombreux thèmes chers à Miyaszaki, l'aviation, les royaumes oubliés, la folie des Hommes... Le tout avec une virtuosité et une poésie sans nom. Si Nausicaä manquait parfois de rythme Le château dans le ciel montre à voir une épure de cinéma parfait où tout s'ordonne autour d'un message d'une beauté hallucinante.
8/10
Encore une histoire vraie... Mais au moins c'est marrant
Quiz Lady - Netflix - 1h40 - 🇺🇸🎯🦮
Awkwafina est une actrice américaine d'origine chinoise qui me fait très souvent rire, donc quand elle décide de participer à un film je lève un sourcil. Elle joue ici Anne une introvertie qui n'aime que deux choses dans la vie, son chien et une émission de trivia à la question pour un champion. Un jour forcée par sa sœur extravertie (Sandra Oh) elle va participer au jeu en tant que candidate.
Aucune surprise ici, c'est l'archétype du film hollywoodien. Elle ne veut pas, elle ne peut pas, elle se fâche avec sa sœur et à la fin le pouvoir de la famille bla bla bla. Et pourtant, on ne passe pas un mauvais moment, l'alchimie fonctionne, Will Ferell en animateur du jeu est fort sympathique. Un bon dimanche soir au coin de la télévision.
5/10
croa croa
Les oiseaux - The Birds - Internet - 1h59 - 🇺🇸🐦⬛🦜
Le maître du suspens des années 60-70 adapte une nouvelle de la romancière britannique géniale Daphné du Maurier. Que pourrait-il donc se passer? Une riche fille à papa rencontre un avocat sexy chez la vendeur d'oiseaux. Et donc elle décide de le suivre dans sa ville d'origine pour le week-end.
La pauvre Mélanie arrive en ville et pouf elle se fait agresser par une mouette. Les poules arrêtent de manger, les corbeaux commencent à s'agiter... Bref les oiseaux ne sont pas content. Le film n'est pas le meilleur de la carrière d'Alfred (on pense à fenêtre sur cour...) mais il y a quand même de grands moment (la discussion entre Mélanie et Annie pleine de sous-entendus est une des scènes de dialogue les plus forte du cinéma américain). À voir dans une vie de cinéphile quand même.
7/10
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" Enfermée dans la forêt, derrière un mur invisible, une femme se trouve être l'unique survivante de l'humanité.
Alors que j'avais ressenti de l'ennui devant son adaptation au cinéma par Julian Pölsler , j'ai été un peu embarrassée que l'on m'offre pour mon anniversaire Le mur invisible, roman de l'autrichienne, Marlène Haushofer.
En fait, ce livre écrit en 1963 est totalement génial et je l'ai dévoré d'une traite. Merci donc à l'ami qui m'a fait ce cadeau !
Le synopsis est incroyable :
Enfermée dans la forêt, derrière un mur invisible, une femme se trouve être l'unique survivante de l'humanité.
Que s'est-il passé ?
On ne le saura jamais vraiment !
Elle voit, comme à travers une vitre, le reste du monde entièrement détruit. L' auteure , mère de famille provinciale et assistante au cabinet dentaire de son mari, donne à son roman la forme d'un journal de bord que la narratrice tiendrait pour faire face à cette expérience limite.
Page après page, nous découvrons ce que ce Robinson Crusoé au féminin met en place pour pouvoir survivre.
Son rapport à la nature, son inventivité.
L'effort constant et vain (?) qu'elle fait pour rester humaine, autant spirituellement que physiquement, alors que toute civilisation a disparu :
S'inventer des règles, repérer les heures, se donner un cadre. Continuer à se laver, se couper les cheveux, ne tuer que pour manger, pour ne pas sombrer dans la sauvagerie. Se concentrer sur le présent. Ne pas penser aux causes de cette catastrophe, à cette apocalypse, à la mort qui rôde partout.
S'agit-il d'une élection ou d'une punition? Est-elle une miraculée ou une damnée ?
Le mur invisible, c'est la prison à perpétuité sans gardien ni codétenu. La solitude, jusqu'à devenir folle.
Parler seul, désirer la mort, céder, puis se ressaisir. Le sursaut du corps. La joie d'un rayon de soleil, d'une framboise mûre, d'un travail achevé.
Et, par instant, même, le bonheur parfait.
L'harmonie totale avec la nature, l'adhésion au présent. Comme si cette situation extrême était l'aboutissement d'une vie. C'est à ce stade de son récit que la narratrice choisit de réfléchir sans complaisance à son passé et, à travers lui, au statut des femmes du milieu du 20 ème siècle et ce à quoi on les cantonnait: la maternité, la beauté physique, la sociabilité mondaine. Ces relations vaines et fades.
Ces coquilles vides.
Les remarques se font grinçantes sur ses préoccupations d'autrefois: ne pas être trop ronde, ne pas faire son âge...
Alors que dans la forêt, elle se métamorphose peu à peu en "paysan", au visage buriné et ridé, au corps amaigri et musclé, elle arrache ses bijoux et jette ses robes. La coquetterie d'antan lui apparaît désormais superflue et ridicule.
Ses mains calleuses et abimées deviennent ses plus précieux outils.
Son lien avec les quelques animaux qui partagent son existence est chaque jour plus fusionnel. En particulier avec Lynx, le chien du garde chasse dont elle a hérité. La tendresse et la dévotion sans faille de l'animal, sa complicité, sa façon de sentir la moindre de ses contrariétés, la moindre de ses inquiétudes, de l'aider en tout, de s'offrir à elle en consolation lui fait dire à la fin du roman que Lynx lui apparaît parfaitement humain.
C'est impossible, après la lecture de ce livre, de regarder les chiens sans éprouver une forme d'affection.
On pense au narrateur de la nouvelle " Construire un feu" de Jack London, lui aussi perdu dans une nature hostile, et à son rapport au chien tout aussi intime mais plus rude et violent.
La vache, Bella, comme une autre femme, une " soeur" qui la nourrit et est mère à son tour d'un petit veau.
La chatte capricieuse, indépendante et hautaine. belle et mystérieuse. Les chatons, les corneilles, les cerfs de la forêt. Plus le temps passe, plus la narratrice se sent proche d'eux et loin des hommes. Elle se réjouit finalement d être seule et que sa cousine et son mari ou le garde chasse ne soient pas là, enfermés avec elle. Cette solitude, c'est aussi la liberté absolue. Liberté qu'elle découvre au prix fort mais qu 'elle savoure à chaque instant.
La vie sans l'aliénation sociale.
La vie sans l'Autre.
Elle n'a à composer avec personne, à ne servir personne. Elle se souvient avec peu d'amour de ceux qui l'entouraient, même de ses filles devenues adultes, elle n'a de regret que de cet attachement qui la liait à elles alors qu'elles étaient encore très petites et qu'elle retrouve à présent avec les animaux dont elle prend soin nuit et jour.
On en vient même à se demander si la destruction générale du monde n'est pas un puissant fantasme de la narratrice, une pulsion de mort cosmique.
En lisant ce roman si singulier, je n'ai pas pu m'empêcher de voir dans cette image d'enfermement sous une cloche en verre la métaphore de l'infernale solitude des femmes dans une société où elles n'avaient encore que peu de place, où elles étouffaient littéralement sous les contraintes et les faux-semblants.
Ce mur invisible serait l'incarnation de cette prison sociale. De ces injonctions absurdes. De cette assignation au foyer et à la maternité.
Les animaux y représenteraient les enfants, à l'âge où ils dépendent entièrement de leur mère, les enfants qui donnent une raison de vivre lorsque l'on ne comprend plus rien à la place et au rôle que veut nous faire jouer la société.
Les enfants qui de tout temps ont permis aux femmes d'oublier par leurs sollicitations incessantes la vanité de leurs existences.
A chaque moment de découragement, à chaque passage où l'héroïne s'interroge sur la nécessité de continuer à vivre et où la tentation d'en finir émerge, c'est toujours la pensée des animaux qui la ramène à la vie. Car sans elle, ils mourraient et elle ne peut en supporter la simple idée...
Cela ressemble à ce que les femmes ont toujours éprouvées de manière presque archaïque lorsqu'elles ont été traversées par le désespoir face aux injustices sociales et que la main d'un enfant se glissait dans la leur pour les rendre à la joie... "
Un petit résumé de cette merveilleuse lecture que j'ai trouvé. Un livre que je recommande vivement. Marlen Haushofer est une écrivaine de science fiction féministe.
Les mouvements féministes et la recherche sur la littérature féminine a permis de faire connaître le rôle particulier de la femme dans la société masculine, mais qui pourtant était un thème constant chez les œuvres de Marlen Hausfhofer.
Elle est vraiment pas connue en France, et le film sur le bouquin n'est pas disponible en langue française. C'est vraiment dommage car c'est louper un récit poignant.
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SAMEDI 3 JUIN 2023 (Billet 1 / 3)
« L’AMOUR ET LES FORETS » (1h 45min)
Un film de Valérie Donzelli, avec Virginie Efira, Melvil Poupaud, Dominique Reymond…
On a souvent eu l’occasion d’écrire sur le Blog cette phrase : « Les goûts et les couleurs… ». A l’issue de la projection de ce film que nous sommes allés voir tous les deux mardi dernier, elle s’est avérée encore une fois très juste.
Marina ne l’a pas aimé, elle l’a trouvé trop long et s’y est ennuyée. JM, au contraire, l’a beaucoup apprécié. Marina s’est identifiée au rôle tenu par Virginie Efira et, elle, se serait séparée au plus vite de cet homme (incarné par Melvil Poupaud). JM, connaissait mal les effets de l’« emprise » qu’un homme pouvait exercer sur une femme. Il a trouvé le mécanisme très bien décrit dans ce film. Alors que vous dire ? Que pouvons-nous vous conseiller ?
Nous vous laissons trouver de mauvaises critiques du film sur Google, quant aux bonnes, JM en a trouvé une… peut-être un peu plus consensuelle entre nous deux, car plutôt axée sur les comédiens.
Marina a donné ❤️❤️,5 cœurs sur 5 au film et JM, ❤️❤️❤️,8.
Quelle que soit votre intention d’aller voir ou pas ce film, lisez SVP la critique ci-dessous.
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« L'Amour et les forêts » : critique d'un parfait cauchemar amoureux
Virginie Efira et Melvil Poupaud s'aiment à la folie dans « L'Amour et les forêts », adaptation du livre d'Éric Reinhardt réalisée par Valérie Donzelli, et co-écrite avec Audrey Diwan. Ça commence très bien, mais ça finit évidemment très mal, comme dans toute bonne histoire d'amour toxique. Et comme toujours, Virginie Efira est parfaite.
Oui, Virginie Efira est partout, tout le temps. Quand elle n'est pas à l'affiche d'un long-métrage (ou deux), elle est sur les couvertures de magazine, les plateaux télévisés, ou la scène des César (sacrée en 2023, après deux nominations consécutives en 2021 et 2022).
Est-ce que c'est trop ? On a envie de dire : telle n'est pas la question. Virginie Efira a beau être ancrée dans le paysage, elle continue d'accrocher, d'intéresser, d'emporter. On l'a vue rire, pleurer, parler et marcher des dizaines de fois au cinéma en quelques années, mais elle continue à étonner, comme si c'était une redécouverte à chaque fois.
« L'Amour et les forêts » en est la 78e preuve. Même si elle incarne des jumelles, elle est d'abord et surtout Blanche, qui tombe follement amoureuse de Greg. Le conte de fées laisse place à l'enfer. Très vite, c'est la jalousie, la peur, la torture, et la prison. Et dans cet arc-en-ciel qui passe du rose au noir, Virginie Efira touche absolument toutes les justes notes avec une simplicité désarmante, entourée d'une belle distribution (Melvil Poupaud, mais aussi Romane Bohringer, Virginie Ledoyen, Marie Rivière et Dominique Reymond).
Valérie Donzelli et son directeur de la photographie n'ont pas peur de s'approcher des visages ni de jouer avec les couleurs et les textures. En amenant régulièrement un plan ou un effet qui brise la logique, la réalisatrice crée une dimension étrange et poétique.
Raconté sous forme d'un long flashback, le récit utilise intelligemment les ellipses pour recomposer le puzzle infernal avec l'héroïne. En mettant l'accent sur les crises les plus violentes (notamment une scène absolument terrifiante où Greg retourne la situation pour se victimiser) mais aussi les moments lumineux (cette belle escapade dans une forêt), le tempo est habilement tenu du début à la fin. En d'autres termes : on sait très bien où va mener cette histoire, mais elle est si bien racontée, incarnée et filmée, que ça fonctionne étonnamment bien.
À la croisée des chemins, entre « Mon roi » et « Jusqu'à la garde », « L’Amour et les forêts » se termine avec une scène glaçante. Pour continuer, le monde de Blanche doit se refermer. La caméra bascule avec elle pour le point final de cet enfer, et pour raconter l'asphyxie à laquelle le personnage est condamné. C'est à l'image du film : simple, clair et précis.
(Source : « ecranlarge.com »)
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