#gros classique
Explore tagged Tumblr posts
Text
Un incroyable film de Keira Knightley, je suis allé le voir au cinéma hier soir. Je me suis plongé dans un océan d'émotions et de réflexion, grâce à ce film. C'est de loin la meilleure adaptation du chef d'œuvre de Jane Austen pour moi. Les acteurs interprètent parfaitement le roman de Jane Austen, et permettent de se plonger entièrement dans ce film. J'ai été époustouflé par la direction artistique du film, les choix de musiques et les paysages sont simplement parfaits. Cela donne une atmosphère envoutante, qui crée un monde dans lequel on peut complètement s'immerger.
Ce film m'a vraiment marqué et il restera gravé à jamais dans ma mémoire. Je vous le recommande fortement, vous allez faire un voyage émotionnel inoubliable!
2 notes
·
View notes
Text
Bœuf Bourguignon
Ce ragoût campagnard français classique est parfait pour les mois d'hiver. Copieux, mais pas lourd, il combine les mariages parfaits de légumes d'hiver réconfortants comme les carottes, les oignons et les panais avec la saveur réconfortante du bœuf, du bacon et une touche de cognac. Il se conserve également très bien pour les restes, vous pouvez donc le préparer la veille et le réfrigérer toute la nuit également.
Ingrédients
1 cuillère à soupe d'huile d'olive extra vierge
8 tranches de bacon coupées épaisses
2 livres de bœuf coupé en cubes de 2 pouces
sel au goût
poivre noir au goût
1 gros oignon jaune coupé en dés
2 échalotes coupées en dés
4 gousses d' ail hachées
3/4 lb de carottes pelées et tranchées
1/4 lb de panais pelés et tranchés
1/2 tasse de cognac
1 bouteille de vin rouge sec
2 tasses de bouillon de boeuf
1 cuillère à soupe plus 1 cuillère à café de concentré de tomate
3/4 cuillère à café de feuilles de thym séchées
4 cuillères à soupe de beurre non salé fondu
3 cuillères à soupe de farine
1 lb d'oignons perlés surgelés
1 lb de champignons de Paris bruns coupés en tranches épaisses
1 cuillère à soupe de thym frais coupé en dés
Instructions
Préchauffez le four à 250 degrés. Faites chauffer l'huile dans une grande cocotte ou une marmite allant au four jusqu'à 250 degrés à feu moyen. Ajoutez le bacon et faites-le cuire jusqu'à ce qu'il soit croustillant des deux côtés. Retirez le bacon et réservez-le.
Séchez les cubes de bœuf avec du papier absorbant et saupoudrez-les de sel et de poivre. Faites-les cuire par lots jusqu'à ce qu'ils soient dorés de chaque côté, en veillant à ce qu'ils forment une couche uniforme au fond de la casserole, environ 5 minutes. Retirez-les et réservez-les.
Ajoutez les oignons, les échalotes et l'ail dans la poêle et faites revenir jusqu'à ce qu'ils soient translucides, environ 10 minutes, en remuant toutes les quelques minutes. Ajoutez les carottes et les panais et laissez cuire encore 5 minutes. Ajoutez le cognac et reculez, utilisez une allumette pour l'allumer afin de brûler l'alcool. Lorsque le feu s'éteint, coupez le bacon croustillant en petits morceaux et remettez-le ainsi que le bœuf dans la casserole.
Ajoutez le vin et suffisamment de bouillon de bœuf pour couvrir toute la viande et les légumes. Ajoutez la pâte de tomate et le thym et portez le mélange à ébullition.
Couvrir, retirer du feu et mettre au four pour poursuivre la cuisson pendant 1 heure 15 minutes à 1 heure 30 minutes, ou jusqu'à ce que le bœuf soit tendre et les légumes bien cuits. Retirer du four et remettre sur le feu à feu moyen-doux.
Fouetter ensemble 2 cuillères à soupe de beurre fondu et la farine jusqu'à obtenir une pâte épaisse. Incorporer cette pâte au ragoût jusqu'à ce qu'elle se désintègre, puis ajouter les oignons grelots surgelés.
Dans une casserole de taille moyenne, faites revenir les champignons dans les 2 cuillères à soupe de beurre restantes à feu moyen-élevé jusqu'à ce qu'ils noircissent et deviennent légèrement ridés, environ 6 à 10 minutes. Ajoutez les champignons au ragoût et baissez le feu pour laisser mijoter.
Laissez cuire encore 20 minutes avant de retirer du feu. Salez et poivrez à votre goût, décorez de thym frais et servez immédiatement.
Bon Appétit à toutes et tous ! 😋
Spéciale dédicace pour mon amie @olgaromana avec cette recette bien française ! 😉
81 notes
·
View notes
Note
Re: your tags on that post about ADHD: if it helps, this is like, my exact experience and I got diagnosed with ADHD recently. The "sat in front of an assignment I am capable of producing Something for but not doing it for hours, even though there is external pressure on me" happened to me, repeatedly, and in my last year of highschool it even had me crying on an almost weekly basis. That's what got me to fail the last semester of my licence last year, also. If it's bothering you and you're in a position to, I'd recommend getting an appointment with a specialist to check & so they can help (and if you have options, not an older guy, they're the most likely to tell you that if you weren't a hyperactive boy well you must be fine, which. Okay. Well I'm not.) I had to wait maybe like six months for an appointment at a public hospital, mais hey grâce à la sécu c'était gratuit and the lady was very helpful. In any case, I'm shaking your hand metaphorically. Me too 😔
yeah i might do that at some point but i've had pretty bad experiences with mental health care in general and specifically the people i mentioned possibly having adhd to. like. I tried four times i think? to four different professions, two of them i was seeing for entirely something else and two specifically because i suspected adhd, et je me suis fait expédier hyper vite donc au final je sais pas si je me suis fait skip par des docteurs qui avaient la flemme, ou si c'est obvious que j'ai pas de TDAH (aussi vu que aucun psy avant ni depuis n'a mentionné ça à part apparemment mon pédiatre quand j'avais 3 ans ?)
bref je suis juste tellement pas préparé.e à ramener et défendre mon dossier et tout, parce que de toute façon l'anxiété-dépression c'est avéré, historique de phobie scolaire c'est avéré, y'a peut-être potentiellement un autisme qui se balade aussi, donc ce serait pas un diag plié en voyant s'il y a symptôme ou pas quoi. Après je me doute bien que c'est une situation plutôt commune pcq ça va main dans la main les comorbidités, mais qmême.
désolé.e je vais ramble mais j'ai une immense hantise de me rattacher à l'idée d'avoir un TDAH juste parce que c'est un truc pour lequel il y a des médicaments. Parce que j'ai envie de find the vitamin et de trouver LE truc qui va régler tous mes défauts et toutes mes mauvaises habitudes, toute ma mauvaise hygiène de travail. J'ai trop peur de mal interpréter les symptômes du TDAH, j'ai trop peur de dramatiser ce que je vis, j'ai trop peur de mal comprendre et identifier mes problèmes, j'ai trop peur d'essayer de rejeter la faute sur un problème neurologique alors que c'est un truc sur lequel j'aurais pu bosser moi-même quoi.
Du coup le tag why i could have adhd le but c'est un peu de regrouper des indications queeeeee.... voilà quoi. Mais ouais. Je saurais pas défendre ça devant un.e pro. Et surtout bah, autant l'autisme y'a déjà une pro qui l'a suggéré (justement une dame qui m'a expédié.e comme un chien de son cabinet quand j'étais venu.e dire que je pensais que j'avais un TDAH, elle m'a dit d'aller voir du côté du centre régional de l'autisme ou jsp quoi si elle y était, plus ou moins), autant le TDAH non. Mais en même temps, si ce que je vis est un TDAH, primo on connaît les stats de diag des petites filles, et deuzio 80% de ma famille agit comme ça. DONC JSP. bref.
très peur de me faire reject comme un chien encore et de me demander si le doc est un gros con qui n'a rien examiné, ou si le doc a été méchant mais a correctement examiné et dédui mon cas. trop peur aussi de me faire diag et de devoir entamer un suivi et tout dans mes circonstances actuelles. et trop peur de me faire diag et d'avoir des médicaments qui ne marchent pas et de me rendre compte qu'en fait c'était même pas ça le problème. bref les classiques.
#j'ai presque plus écrit dans ce post que dans ma copie de philo ce matin#merci beaucoup de l'ask en tout cas j'espère ça va finir par me pousser au cul de faire quelque chose#parce que si c'est un tdah c'est vraiment con de rester comme ça#mais ce serait même pas QUE un tdah#donc voilà#la terreur de changer VS la terreur de rester exactement la même#content de savoir que le procédé de diag a marché pour toi en tout cas#je sais que c'est un peu aléatoire selon l'endroit et les gens mais si ça va à certains endroits c'est que ça peut aussi aller bien ailleur#right?#ANYWAY#why i could have adhd#asks#moinsbienquekaworu
15 notes
·
View notes
Text
SolarTale Personnage #3 : Solar!Papyrus
Backstory
Papyrus n'a jamais eu de parent, le seul membre de sa famille est son grand frère Sans, qu'il aime évidemment beaucoup. Sans s'est occupé de Papyrus pendant son enfance malgré ses nombreuses absences, effectivement, Sans est très pris par le travail, ce qui inquiète Papyrus. Le grand squelette a peur que son frère ne revienne pas pour une quelconque raison, c'est cette inquiétude et son engouement à faire le bien autour de lui qu'il a décidé d'entrer dans la garde royale pour ne plus être un frein pour son frère ainsi que pour faire ce qu'il aime, c'est à dire protéger et s'occuper des autres.
Papyrus possède une grande maîtrise de sa magie et un grand sens du devoir, c'est pour cela qu'Undyne l'a immédiatement appréciée dès le test d'admission à la garde royale que Papyrus a passé avec brio. En tant que garde royale, Papyrus reste proche d'Undyne étant donné qu'ils sont devenus amis et coéquipiers.
Le grand squelette reste généralement à Snowdin, son poste de garde, c'est pour cela que la population du petit village l'ont surnommé "Le héro de Snowdin" pour le remercier de tous les bienfaits qu'il a effectué pour Snowdin
Capacité
Os : Papyrus a la capacité de faire apparaître des os sur n’importe quelle surface tout comme dans les airs. Avec ça, il a la possibilité de faire toute sorte d’attaque, ce qui le rend assez libre dans ses actions. Surtout qu’il en garde une très bonne maîtrise, lui permettant de faire toute sorte de figures.
Gaster Blaster : Le gaster blaster est un gros crâne qui ressemble à celui d’un dragon, il tire un rayon plus ou moins puissant selon la quantité de magie que Papyrus utilise.
Magie bleu : La magie bleu est une capacité qui permet à son utilisateur de modifier la gravité d’un objet ou de l’âme d’une personne. Avec ça, il peut faire flotter un objet ou une personne, modifier son champ de gravité pour qu’il puisse marcher sur les murs par exemple. Plus le poids qu’il fait léviter est élevé et plus il utilise de magie.
Bleu et orange : Papyrus a la capacité de changer la couleur de toutes ses attaques en bleu et orange. Lorsqu’une attaque est bleu alors il ne faut pas bouger pour ne pas prendre de dégâts et orange signifie qu’il faut bouger pour ne pas se prendre de dégâts.
Bad Time : Lorsque Papyrus entre en bad time, son œil brille intensément, augmentant la puissance de ses attaques. Ses os deviennent plus gros, Les tirs de ses Gaster Blaster sont beaucoup plus puissant etc... Cependant, ses réserves de magie baisse plus rapidement. Il utilise généralement cette phase uniquement quand il doit protéger des gens et qu'il n'est pas assez fort ou alors quand il est très énervé.
Magie verte : Papyrus possède le pouvoir de soigner ses alliés ainsi que lui-même, lui permettant de guérir de petites blessures comme de légères entailles, atténuer la douleur ou arrêter une hémorragie.
Caractère
Papyrus est un monstre avec un grand sens du devoir, effectivement, il a décidé d’entrer dans la garde royale car depuis tout petit, il aime protéger les autres et faire le bien autour de lui. Il est quelqu’un de bon, sympathique et cherche toujours à rendre ses amis heureux.
Mis à part ça, il sait quand il faut être sérieux, notamment en combat, car une erreur de sa part peut mettre en danger des gens. À l'instar de son homologue classique, Papyrus n’hésite pas à se battre contre ses adversaires même s’il évite de les tuer.
Même si son devoir de garde royale l'oblige parfois à recourir à la violence, il retient toujours ses coups pour éviter de trop blesser ses adversaire. C'est pour cela qu'il utilise très rarement ses Gaster Blaster.
Physique
Papyrus est un grand squelette, il possède des os de couleur blanche. il n’a pas de pupilles, seulement deux grands trous au niveau des yeux. Il a aussi une grande mâchoire qui laisse voir deux rangés de dents. Papyrus porte toujours son armure sur lui, elle est de couleur bleu foncé avec des zones de couleur violette. Cette armure représente beaucoup pour lui car c’est son frère qui lui a offert pour fêter son entrée dans la garde royale. Même si son armure a beaucoup été abîmée, il prend toujours soin de la rafistoler comme il peut. Par dessus son armure, il porte généralement un sweet noir avec de la fourrure au niveau du col pour ressembler à son grand frère qu’il prend comme modèle à suivre. Pour finir, Papyrus garde en permanence son écharpe rouge.
#solartale#univers alternatif#undertale au#undertale#undertale multiverse#solar!papyrus#solartale personnage
10 notes
·
View notes
Text
Vis ma vie de parent autiste d'enfant plus autiste que lui. Mon souper c'est des tartênes (accent du coin cherches pas) mais elles sont prêtes depuis 19h20. En vrai il est mis 20h23 mais je ne les ai mangées qu'à 20h45. C'est chaud les soirées stimming.
La nouvelle obsession du gamin c'est collectionner les tubes de dentifrice. Après les trains (classique) et les clochers et les cloches (moins courant) et les appareils auditifs (il est encore dans cette phase principalement), le gamin nous fait un petit side-quest avec les dentifrices. Whatever little weirdo. I love you too.
Forcément après une journée de boulot, après une soirée à être achevé par la marmaille, la première chose que je fais quand je pose enfin mes fesses, c'est les écouteurs et une musique bien trop forte.
Je fais ce truc de parent au bout du rouleau qui est de plus en plus commun : je vais encore plus au bout du rouleau en commençant à vivre pour moi à 21h00 avec une hargne, une rage de disposer de ce qu'il me reste de temps telle qu'elle me portera jusqu'une ou deux heures du matin.
Sauf que moi avec le TDA (ou whatever sur la liste des trucs qui me qualifient de neurodivergent) la nuit, c'est ce moment où je vis vraiment.
Il y a quelques années j'ai eu besoin d'un sérieux coaching pour ne plus faire des "tours d'horloge" avec un rythme circadien galopant (et qui me faisait des gros fingers derrière le dos). Non, maintenant je ne me laisse plus déborder. Je choppe mes 6 heures minimum. Pas le choix non plus avec les enfants grandissants.
Bon, un petit café avec une gauf' toastée et du pindakaas et du miel hein. Venez pas chier dans la colle les mouflets!
12 notes
·
View notes
Text
Happy Pride Month everyone! As promised, here is our first queer manga rec of the month:
My Love Mix-Up!, by Hinekure Wataru & Aruko (illustrations)
Original title: Kieta Hatsukoi / 消えた初恋
Genres: Comedy, Romance, School Life, Slice of Life
Themes: Love, School, Love Triangle
Japanese volumes: 9 (Finished)
Aoki is in love with Hashimoto, his desk neighbor. But one day, when he borrows her ereaser, he discovers that her heart belongs to another: the handsome Ida, who sits right in front of him. He is so disappointed that he doesn't realize that the ereaser fell and that his alleged rival in love is picking it up... It's the start of an enormous misunderstanding that could very well turn into the most beautiful love story!
This... THIS is a love triangle just how we like them. Also, can we give the Dumbass Bisexual of the Year Award to Aoki, plz? He deserves it and that's a compliment. I love him whith my whole being, okay?
I absolutely adored this title, Hashimoto, who is kind of our only female character, isn't just a numbskull whose only purpose is helping further Aoki and Ida's love story, she's a true friend to Aoki, has her own love story and a pretty cool character evolution. I'm pretty sure that Ida is on the aroace spectrum given some of his dialogue, and even if it's not explicitly stated, it still feels good.
We're in a manga that really sticks to the codes of classic shōjo manga, the only difference is that the main love story is about two boys. There isn't a strong focus on homophobia either, we only have a few tense moments when they think about revealing their relationship, I thought it was really soft. Sometimes it feels good to read something where bigotry isn't one of the main themes
French version under the cut
Titre VF : Love Mix-Up
Genres : Comédie, Romance, School Life, Slice of Life
Thèmes : Amour, École, Triangle Amoureux
Volumes : VO - 9 (Terminé) / VF 4 (En cours)
Aoki est amoureux de Hashimoto, sa voisine de classe. Mais un jour, en lui empruntant sa gomme, il découvre avec horreur que l'élue de son cœur en aime un autre : le beau Ida, qui est assis juste devant lui. L'adolescent est tellement déçu qu'il ne réalise pas qu'il a fait tomber la gomme de sa camarade et que son supposé rival en amour est en train de la ramasser... C'est le début d'un énorme malentendu qui pourrait bien aboutir à la plus belle des histoires d'amour !
Ça... ÇA c'est le genre de triangle amoureux qu'on aime. Aussi, est-ce qu'on peut attribuer le titre de Dumbass Bisexual of the Year à Aoki svp ? Il le mérite amplement et c'est un compliment. Je l'aime d'amour, d'accord ?
J'ai vraiment adoré ce titre, Hashimoto qui est un peu notre seul personnage féminin, n'est pas juste une nunuche qui ne sert qu'à faire avancer l'intrigue amoureuse entre Aoki et Ida, elle est une véritable amie pour Aoki et a sa propre histoire d'amour et une évolution plutôt cool. Je soupçonne fortement Ida d'être sur le spectre aroace au vu de certains dialogues, et même si c'est pas dit de manière explicite, fait quand même du bien
On est vraiment dans un manga qui respecte les codes classiques du shōjo, la seule différence c'est que l'histoire d'amour principale est entre deux garçons. On a pas non plus un gros focus sur l'homophobie, juste quelques moments d'inquiétude à l'idée de révéler leur relation, j'ai trouvé ça très doux. Des fois ça fait du bien de lire des titres où l'intolérance n'est pas un des thèmes principaux
#my love mix up#love mix up#kieta hatsukoi#wataru hinekure#aruko#queer manga#lgbt+ manga#manga#manga recs#manga recommendation#books#booklr#book recs#book recommendations#happy pride month 🌈
85 notes
·
View notes
Text
Jardin des Modes Septembre 1960
Haute Couture Fall/Winter 1960-61 Collection. On the left, by Nina Ricci, classic suit, gingerbread color closed by a single button. black cloche by Jacques Le Brigant. On the right, chocolate suit cut in the same velvet. Two large braided leather buttons and two mid-height pockets give a strict look to the long jacket, matching hat.
Collection Haute Couture Automne/Hiver 1960-61. À gauche, par Nina Ricci, tailleur classique, couleur pain d'épice fermé par un unique bouton. cloche noire décollée de Jacques Le Brigant. À droite, tailleur chocolat coupé dans le même velours. Deux gros boutons de cuir tressé et deux poches à mi hauteur donnent un air strict à la veste longue, chapeau assorti.
Photo Nicole Bukzin
#jardin des modes#vintage magazine#vintage fashion#haute couture#jules françois crahay#nina ricci#yves saint laurent#christian dior#fashion 60s#septembre 1960#fall/winter#automne/hiver#nicole bukzin#jacques le brigant
4 notes
·
View notes
Text
La chanson québécoise 1ère partie
Il est impossible de relater l'histoire de la chanson québécoise en quelques lignes. Je vous propose donc aujourd'hui un survole des 100 dernières années de ces chanteurs et chanteuses qui ont forgé, puis transformé et propulsé le Québec. J'ai choisi de vous présenter un artiste par décennie qui aura marqué, à sa manière l'univers musical québécois. Comme il s'agit de vous faire découvrir, vous me pardonnerez de ne pas parler des Leclerc, Charlebois, Reno et Dion, non pas par manque d'importance, mais parce que vous les connaissez déjà.
Les années 20: La Bolduc
Mary Rose Travers, née en Gaspésie en 1894, est une autrice-compositrice-interprète qui s'inspire de ses racines irlandaises (père) et canadienne-française (mère). Elle va connaitre un immense succès à la fin des années 20, pendant la grande dépression, où sa musique et ses paroles drôles et réconfortantes touchent la classe ouvrière. Entre 1929 et 1932, elle enregistre 70 titres, soit un 78 tours par mois. Elle entreprend des tournées au Canada et dans le Nord-Est des Etats Unis. Reine incontestable de la turlute (non... non... pas celle française!! Retournez dans mes publications précédentes pour la bonne définition), elle enchaine les succès qui traversent les époques et qui, sont encore chantés et repris aujourd'hui.
Je vous recommande:
Ça va venir découragez-vous pas (probablement le plus gros hit)
La bastringue (qui est aussi une danse)
J'ai un bouton sur le bout de la langue (une chanson humoristique)
La cuisinière (une de mes préférées)
Dans le temps du jour de l'an (LE classique du temps des fêtes)
Le commerçant des rues
Vous pouvez aussi regarder l’excellent film de François Bouvier: La Bolduc. Il raconte merveilleusement bien l’histoire de cette grande dame, mais aussi montre la réalité des familles, des femmes québécoises des années 20.
youtube
Les années 30: Quatuor Alouette
Ce quatuor composé de Jules Jacob (ténor), Roger Filiatrault (baryton), André Trottier (basse) et Émile Lamarre (basse), chantant a cappella et dont le répertoire était exclusivement consacré à la chanson folklorique canadienne-française. Le quatuor connait un gros succès international dans les années 30. Se produisant partout au Canada, mais aussi aux États-Unis et même en France où en 1934 il fut officiellement délégué pour les fêtes marquant le quatrième centenaire de la découverte du Canada. Les chanteurs participent à plusieurs centaines d'émission de radio au Québec dans les années 30-40, pour connaitre un déclin et la dissolution du groupe au milieu des années 60.
youtube
Les années 40: Alys Robi
(S’tu juste moi ou on dirait Laure avec un chapeau ?!? 😮)
J'ai commencé à chanter à l'âge de 4 ans, je fais mes débuts professionnels à 12 ans, je suis la première star internationale québécoise. Qui suis-je? Céline Dion? Nope! Il s'agit d'Alys Robi, née Alice Robitaille, qui a eu un succès phénoménal et mondial dans les années 40 à 60. Interprétant des chansons françaises et américaines, elle fait également découvrir aux Canadiens les rythmes latino-américains. Accident, problème de santé, hospitalisation, lobotomie... la vie de cette grande dame est un mélange de gloire et d'enfer, de joie et de désespoir. Je vous recommande fortement de regarder l'incroyable film "Ma vie en cinémascope" (2004) de Denise Filiatrault et je vous mets au défi de rester insensible. C'est impossible.
youtube
Je vous recommande:
Tico Tico
Brésil
Chica Chica Boom Chic
Zi Padee Doo Dah
Besame Mucho
Les années 50: Willy Lamothe
Le père de la chanson country western au Québec. Passant de chansons originales à traduction de chansons américaines, c'est un répertoire de plus de 500 chansons qu'il aura laissé et dont plusieurs sont encore chantées aujourd'hui par les plus grands. Il suffit de taper "Mille après mille" pour se rendre compte de son héritage à la simple vue des artistes ayant repris le titre: Céline Dion, Isabelle Boulay, Zachary Richard... Mais il n'était pas que chanteur, auteur, compositeur et multi-instrumentaliste, il était aussi animateur à la télévision (Le ranch à Willie) et acteur au cinéma.
youtube
Je vous recommande:
Je chante à cheval
Je suis un cowboy canadien
Mon voyage en Louisiane
Les années 60: Michel Louvain
Les boîtes à chansons se multiplièrent à partir de 1960, en même temps que la « Révolution tranquille », vaste mouvement d'émancipation économique et culturel, gagnait tout le Québec. Parallèlement, plusieurs chanteurs populaires connurent leur plus grands succès. Parmi eux, Michel Louvain. Très aimé de la gente féminine, séducteur et charmeur, il enchaine les hits à la radio, mais aussi à la télévision où il anime plusieurs émissions au cours de sa carrière. Il sera actif sur scène jusqu'à son décès en 2021.
Je vous recommande:
La dame en bleue (Son plus gros succès)
Sylvie
Buenas noches me amor
Un certain sourire
Les années 70: Offenbach
À ne pas confondre avec Jacques Offenbach :D c'est pas du tout le même style!! Il s'agit ici d'un groupe rock et blues très populaire dans les années 70. Son chanteur, Gerry Boulet, est en grande partie responsable du succès du groupe par sa voix unique, rauque et dure. La poésie des textes, la langue très populaire et le son caractéristique de chacune des pièces d'Offenbach en fait un des groupe les plus importants de la culture québécoise.
youtube
Je vous recommande:
Mes blues passent pu dans porte
(Après avoir écouté l’original, je vous propose cette version de Breen Lebœuf avec une p’tite fille de chez nous)
youtube
Promenade sur mars
Faut que j'me pousse
Seulement qu'une aventure
Câline de blues
Les années 80: Richard Séguin
Il commence sa carrière avec sa sœur dans les années 70, puis en solo à partir des années 80 jusqu'à aujourd'hui. Chateur engagé aux textes percutants, il défend plusieurs causes en plus d'encourager la relève.
Je vous recommande:
Sous les cheminées
Journée d'Amérique
Aux portes du matin
Double vie
J'te cherche partout
Protest song
Les années 90: Jean Leloup
Comme on dit au Québec, c'est une bibitte! Le genre de gars qui se fout des conventions, qui vit dans son monde, embarque qui veut. Hyper populaire dans les années 90-2000, il se fait malheureusement plus rare maintenant. C'est bien dommage parce qu'on aurait grand besoin de sa folie.
Je vous recommande:
1990
Isabelle
I lost my baby
À paradis city
Le monde est à pleurer
La vallée des réputations
L'amour est sans pitié
Les années 2000: Loco Locass
Groupe de Hip-hop québécois qui connait du succès dès le début avec ses textes engagés politiquement. Ardent défenseur du français, le groupe prêche pour l'indépendance du Québec et inculque aux jeunes la fierté d'être Québécois!
youtube
Je vous recommande:
Hymne à Québec
Le but
Secondaire
Occupation double
Bonzaïon
Le mémoire de Loco Locass
M'accrocher?
Les années 2010: Les Trois Accords
Je triche un peu puisque ce groupe roule sa bosse depuis le début des années 2000, mais leur succès perdure dans le temps et il m'est impossible de passer à côté. Les 3 Accords est un groupe de pop rock humoristique, leurs chansons, toujours déjantées, rejoignent un public jeune qui grandit avec lui. Ils ont quand même fait la première partie des Rollin Stones!!
youtube
Je vous recommande:
Hawaïenne
Lucille
Saskatchewan
Grand champion
J'aime ta grand-mère
Elle s'appelait Serge
Dans mon corps
Les années 2020: Charlotte Cardin
Elle fait d'abord carrière comme mannequin à l'âge de 15 ans. Finaliste de la première saison de La Voix (The voice) au Québec, elle fait ensuite un duo avec Garou, puis compose les chansons qui se retrouvent sur son premier EP. Aujourd'hui elle continue à gravir les échelons du star système et son talent est reconnu dans le monde entier.
Je vous recommande:
Meaningless
Confetti
Dirty dirty
Main girl
Feel good
Changing
Big boy
Faufile
Voila un petit survole de la chanson québécoise! J'espère que ça vous a plu et que vous avez fait de belles découvertes!
7 notes
·
View notes
Text
J'ai été taggé par @valhdia la boss pour partager les 9 films qui m'ont le plus marqué cette année et c'est DUR
Pour le contexte : c'est la première année que je regarde BEAUCOUP de films avec 83 films dont 59 sortis cette année. J'ai raconté beaucoup de bêtises sur Letterboxd (https://boxd.it/885pf) mais du coup
-Robot sauvage : J'y suis allé sans grand espoir, un peu déçu par Pixar et la vie. Bah ça va mieux einh. Ou plutôt ça va pas mais tant mieux. Flow a presque pris sa place mais m'a moins mené aux larmes.
-Blade Runner : un classique que je devais voir depuis longtemps, une façon de pardonner à Scott son Gladiator II, une leçon de Anti-Heros. La version de Villeneuve est chouette aussi mais m'a moins transportée.
-La Reine Margot : je dirai pas que c'est un bon film, mais l'attachement à l'histoire dans le sens le plus narratif et dramatique qui soit est passionnant. Ça sent fort la France mais pas que du mauvais côté.
-Knit's Island : la déclaration d'amour au jeu vidéo transcendante, la plus belle réalisation à faire sur le pouvoir d'internet et sur les luttes personnelles pendant le Covid.
-12 angry men : je l'avais laissé traîner trop longtemps et il m'a donné une leçon comme peu de profs savent le faire.
-Il reste encore demain: une merveille critiquable mais le fait que ce soit son premier film me sidère. Il s'est battu avec les Racines du Figuier sauvage pour être ici.
-Le portrait de la jeune fille en feu : c'est pas à Tumblr que je vais apprendre que c'est un CHEF D'ŒUVRE mais rarement film m'aura autant bouleversé en un instant. Enfin 1h30 mais vous voyez.
-Green Border : pour moi le meilleur film sorti cette année. D'une violence froide et humaine juste prête à allumer le feu de la révolte.
- The Iron Claw : Peut être pas le plus gros choc esthétique de l'année mais des jeux d'acteurs merveilleux et je suis si ravi de voir le catch représenté de façon intelligente et respectueuse.
Je tag qui le veut évidemment.
#wild robot#iron claw#there's still tomorrow#green border#queen margot#12 angry men#knit's island#blade runner#portrait of a lady on fire
2 notes
·
View notes
Text
BEST OF 2024
2024 aura été le retour en grâce de Strangears ! … Non je déconne. Malgré le fait que la page soit sortie de son hibernation, c'est toujours la même merde qu'à l'époque où j'écrivais mes articles rageux. Mais que voulez-vous ? D'ici 2 ans les internautes likeront béatement des contenus IA générés par les mêmes algorithmes qui décident de ce qui est mis en avant sur leurs réseaux et la boucle sera bouclée. Il en est de même pour les médias spécialisées « Pop » qui partagent tous les mêmes goûts, mettent en avant tous à peu près la même camelote, sous un nouvel emballage, au lieu de fouiller et de vraiment jouer le rôle de prescripteurs qu'ils devraient jouer. Non mais sérieux, brat de Charli XCX quoi ! Bon, vous me direz, je suis également passé à côté de Beyoncé, des Smiles, des Voidz, de Caribou, Georgie Greep cette année, je suis peut-être pas le mieux placé pour juger de ce qui doit être retenu ou pas écouté en terme de musique en 2024 (sur les à peu près 160 albums écoutés, même pas la moitié est consacrée à 2024). Je ne suis qu'un homme avec des goûts finalement très simple, comme vous le lirez et l'écouterez dans le bilan qui suit.
J'ai tout d'abord cette année terminé l'excellent essai de Maxime Delcourt sur The Neptunes et Timbaland, accompagné (du plus gros de) leur discographie, redécouvrant les œuvres que j'avais aimé adolescent sous un nouvel angle et découvrant aussi des chefs d’œuvres injustement méconnus (comme le Make Sure They See My Face de KENNA chroniqué ici). Ou des justement connus comme le Doggystyle de Snoop, ma claque « Classique » de l'année, putain, le son, l'univers qu'ils ont créé... (oui, j'ai dévié sur d'autres producteurs pendant la lecture du bouquin). Petite déception quant à l'écoute de la courte discographie des Clashs ; je pensais apprécier leurs disques les plus Pop en grand amateur du genre que je suis, les London Calling, Sandinista ! et autres Combat Rock mais au final, je ferai parti de ceux qui défendent plutôt leurs premières sorties Punk, là où ils s'en sortent le mieux car dans leurs veines, au lieu d'imiter grossièrement par la suite (et réussir il est vrai quelques tubes).Ensuite, bon, vous le savez, j'ai commencé la discographie de Chantal Goya dans le but d'élucider ce mystère : est-ce que ces chansons restent dans ma tête juste par simple nostalgie ou bien y a t-il vraiment un grand mélodiste derrière elle ? Et vous l'aurez compris, réponse B Jean-Pierre (ohoho, la ref' de vieux), Jean-Jacques Debout et Jean-Daniel Mercier sont véritablement des génies de la musique pour enfant. Ils finissent par se répéter beaucoup, certes, mais pas autant que ces ritournelles m'obsédant tout au court de l'année. Enfin, Pet Shop Boys, parce qu'il fallait bien un jour que je m'y attarde, en grand amateur de Synthpop. Et j'ai eu ce à quoi je m'attendais ; une bonne première décennie 80's et une suite plus expérimentale, avec des hauts et des bas, des retours à leur son d'origine, des producteurs que j'affectionne... j'aurais fini avec une belle collection de morceaux, à défaut d'albums que j'affectionne totalement.
Et les sorties de 2024 alors ?! J'y viens ! Calme-toi, comme écrit plus haut, je n'y ai rien écouté de si extraordinaire. J'ai même été plutôt déçu par quelques uns de mes chouchous personnels (Cults, Gonzales, Isaac De(sil)lusion, L'Impératrice, Clara Luciani). D'autres de mes chouchous ont juste fait le job (Mother Mother, Fat White, Future Islands, Moby, Everything Everything) quand d'autres ont tout de même réussi à se faire une place dans mon top. Le Justice, malgré tous les défauts que j'ai pu lui trouver (que j'ai énuméré ici) et le fait qu'il s'agit de leur album le plus sur-produit et le moins réussi, se trouve tout de même en bonne position (preuve de plus que l'année n'était pas si extraordinaire). Ils sont suivis du Michael Kiwanuka, sans véritables surprises, plus doux et épurés que les précédents ; on s'y surprend à prendre du plaisir sur des mélodies qu'on a l'impression de déjà connaître. Puis MGMT, je ne dirai pas que j'adore leurs dernières sorties, mais je les trouve assez curieuses pour souvent y revenir et avoir envie de me les approprier. C'est le cas de ce Loss of Life. Ce fût par contre une bonne année pour les découvertes ! Qu'est-ce que j'ai attendu – par exemple – pour enfin me mettre à Amyl and the Sniffers, qui avec Cartoon Darkness livrent leur disque le plus "Pop", flirtant avec ce que j'ai aimé dans le Punk ces dix dernières années, des incantations à la Idles au spleen féministe qu'on entendait chez des noms plus confidentiels comme Death Valley Girls. Et que dire sur Amyl... Elle était à deux doigts de mon top, comme la Pop-Rock psyché de la Luz... Pale Jay fut aussi un bon moment avec son tube soul ensoleillé « Don't Forget That I Love You », découvert en fouinant sur le label des Say She She, mais il commence déjà à se répéter sur son disque de 2024. Dans mon top, j'ai par contre choisi d'y placer Aurora, que je détestais il y a une dizaine d'année mais que j'ai totalement redécouvert, abasourdi, avec son What Happened to the Heart ? possédé et enchanteur. J'ai également beaucoup apprécié la production épurée d'Astral Bakers sur leur premier album, sur lequel jouent d'anciens membres de Revolver (et donc, le producteur Sage) dont on retrouve les particularités mélodiques. Merci à l'émission « Dans le Tempo » pour la recommandation et la qualité de leurs podcasts. Et Kishi Bashi ! Qui aurait pu imaginer que la carrière solo d'un des membres d' Of Montreal était encore plus enthousiasmante que celle de son groupe d'origine ? Ceux qui l'ont écouté, oui. Et j'ai fouillé encore plus !
youtube
Des sorties écoutées de « vrais indépendants » (clin d’œil Yseult), deux sont sorties du lot pour moi (trois si il ne s'agissait pas pour les suédois de Kite d'un Best-Of). Tout d'abord, Décadanse Générale de La Poison, véritable lettre d'Amour à la New Wave française des années 80, des Rita Mitsouko à Elli et Jacno, en en reprenant l'esthétique et les rêves rétro-futuristes. Malgré leurs déguisements et l'imaginaire Pop qu'ils dégagent, ils n'ont pas encore attirer l'attention de la presse spécialisée, la tête dans le cul de Charli XCX. La Femme auraient pu sortir cet album si leurs voyages n'étaient pas devenus si ampoulés. Et le second, découvert tout récemment lors de mon expérience « 20 Albums de 2024 avant Noël », Away Within de Mediavolo, que je ne saurais trop recommander aux amateurs de Dream Pop, de Goth 80's, des meilleurs Arcade Fire... je ne saurais trop expliquer non plus la magie qui s'insinue dans cette musique... Encore un gros loupé de la « presse spécialisée » contrairement à cette canadienne sur Tiktok qui a fait l'effort de fouiller un peu pour les faire découvrir au Monde entier. Et Cocorico, ces deux albums indépendants sont français ! Allez les soutenir ! Enfin, mon album de l'année, celui qui m'a suivi tout au long, ma révélation, ma Palme d'Or revient au Prelude to Ecstasy de Last Dinner Party. Je l'ai découvert en Février, écrivant tout excité « Ça doit faire depuis Florence & the Machine qu'il n y a pas eu autant d'envie dans un album Art-Rock inspiré par Kate Bush. La nouvelle génération se réveillerait-elle de sa torpeur ? » et puis... en fait non, ça aura été une année plutôt calme en matière Pop. Mais ce « Prelude » est déjà pas si mal en attendant la véritable extase de les voir sur scène (après leur annulation au Luxembourg, j'espère bien qu'elles ne vont pas réitérer là où j'ai prévu de les voir l'année prochaine... je ne dis pas où, ça va encore me porter la poisse...)
Oula... J'ai beaucoup écrit pour pas grand chose. Après tout, la musique parlera d'elle-même ! Une année en demi-teinte si je devais conclure, mais qui comme souvent quand on s'applique à ce genre de bilan, s'avère plus riche que le sentiment qu'elle m'a laissé. Je souhaite juste que la « Pop Maison » ne va pas trop s'enfoncer dans cette arnaque d' « HyperPop » ; ou bien que cette dernière livre enfin de grands albums du genre. Pour ma part, c'est avec la discographie de Jean-Michel Jarre que je vais commencer 2025, car ma curiosité ne s'est pas encore dissipée. Et c'est tout ce qui compte.
#2024#bilan#best-of#playlist#justice#last dinner party#mediavolo#la poison#astral bakers#kishi bashi#aurora#mgmt#kiwanuka#amyl and the sniffers#pale jay#chantal goya#snoop dogg#pet shop boys#the clash#maxime delcourt#dans le tempo#Youtube
2 notes
·
View notes
Text
Pour comprendre le monde d'aujourd'hui 10 films à voir où revoir
1. The Big Short
Ce film explique la crise des subprimes de 2008, où les banques ont perdu des milliers de milliards de dollars en raison de la bulle immobilière. Les investisseurs visionnaires du film ont parié contre le marché et gagné des centaines de millions de dollars.
2. Margin Call
Ce thriller se déroule 24h avant l’effondrement financier de 2008, montre comment une banque réalise qu'elle a investi dans des actifs toxiques qui peuvent entraîner des pertes de plusieurs milliards de dollars, forçant des décisions critiques.
3. Wall Street de 1987
Ce classique explore l’avidité et la corruption à Wall Street à travers le personnage de Gordon Gekko, dont les transactions illégales permettent de générer des profits de millions de dollars, illustrant les dangers de la spéculation sans scrupules.
4. Wall Street : l'argent ne dort jamais
Ce film se déroule après la crise de 2008 et montre des investisseurs luttant pour sauver des entreprises en jeu pour des milliards de dollars. Il illustre l'évolution des marchés et les enjeux des décisions prises en période de crise.
5. Inside Job
Ce documentaire examine les causes de la crise financière mondiale de 2008, au cours de laquelle des pertes totales dépassant 20 000 milliards de dollars ont été subies. Il dévoile comment la déréglementation et l'avidité ont conduit à cette catastrophe.
6. Moneyball
Se base sur le baseball, le film montre comment l’analyse statistique permet à une équipe avec un budget de 44 millions de dollars de rivaliser avec des équipes de plus de 120 millions de dollars. C'est une leçon sur la gestion d'actifs et l'efficacité financière.
7. Le loup de Wall Street
Le film raconte l’ascension de Jordan Belfort, qui a amassé des millions de dollars en trompant des investisseurs avec des pratiques illégales. Il met en lumière les excès de Wall Street et les fortunes construites sur des arnaques.
8. Boiler Room
Dans ce film, de jeunes vendeurs gagnent des millions de dollars en vendant des actions sans valeur dans une salle de marché illégale. Il illustre les risques des opérations financières frauduleuses.
9. Trop gros pour faire faillite To big to fail
Le film se concentre sur les jours critiques de la crise de 2008, quand le gouvernement américain a injecté 700 milliards de dollars pour sauver les banques "trop grosses pour faire faillite". Il explore comment ces montants énormes ont stabilisé le système financier.
10. MADOFF (Le Monstre De La Finance)
Le documentaire explore l'arnaque de Bernard Madoff, qui a bâti un des plus grands schémas de Ponzi de l'histoire, avec une fraude estimée à 65 milliards de dollars, ruinant des milliers d'investisseurs. Il montre les dangers de l'absence de surveillance dans le monde financier.
Si vous ne comprenez pas tant pis pour vous 10% de la populace à le pouvoir
3 notes
·
View notes
Text
Ouvrir des volets
Tiré du lit comme par erreur
(J'ai Netflix depuis hier, je me découvre sujet à l'appel du vide)
(Non, mais comme je dis :"en fait tu sais, avant je payais 52 euros chez Orange pour les chaînes classiques, là je paie 50 euros chez Free avec tous les bouquets... - Tous? - Canal+, Amazon, Netflix, Disney+... pas touuuus, mais beaucoup")
Et pendant ce temps Paul Watson, ce gros poisson, est victime d'une traque à la japonaise! Les nippons n'aiment pas les gens qui ont plus d'honneur qu'eux.
3 notes
·
View notes
Text
🍷🇺🇸 And 🇫🇷
Description of the pinned domain in the comments
.
🇬🇧Hello corkscrew lovers. And you, do you know this appellation?
.
🍷AOP Irouleguy blanc 2022 cuvée Xuri from the Irouleguy cellar
.
🍇Gros Manseng, Petit Manseng.
Aging: On lees with stirring in barrels and tuns for 6 months.
.
💰17.10€ / bottle
.
👁️A golden yellow color
.
👃A nose with notes of exotic fruits, citrus fruits.
.
💋A wine with fruity and velvety flavors, offering a delicious sweetness that tickles the taste buds. Its aromas evoke mango, pineapple and lychee. A light aging in barrels and tuns gives it a beautiful intensity and a seductive complexity. On the palate, it lingers pleasantly, with a finish reminiscent of sour candies and citrus fruits, bringing a little freshness and a perfect balance. This vintage really won me over.
.
🧆Tasted on a barbecued caramelized pineapple
____________________________________________
🇫🇷Hello les amoureux du tire-bouchon. Et vous, Connaissez-vous cette appellation ?
.
🍷AOP Irouleguy blanc 2022 cuvée Xuri de la cave d'Irouleguy
.
🍇Gros Manseng, Petit Manseng.
Elevage : Sur lies avec bâtonnage en barriques et foudres pendant 6 mois.
.
💰17,10€ / bouteille
.
👁️Une robe de couleur jaune or
.
👃Un nez sur des notes de fruits exotiques, agrumes.
.
💋Un vin aux saveurs fruitées et veloutées, offrant une délicieuse douceur qui titille les papilles. Ses arômes évoquent la mangue, l'ananas et le litchi. Un léger élevage en fût et en foudre lui confère une belle intensité et une complexité séduisante. En bouche, il se prolonge agréablement, avec une finale qui rappelle des bonbons acidulés et des agrumes, apportant une petite fraîcheur et un équilibre parfait. Cette cuvée m'a véritablement conquis.
.
🧆Dégusté sur un Ananas caramélisé au barbecue
.
🥘Quelques accords mets et vin🥘 : Bleu de Bresse, Crème brûlée, Crème au caramel au beurre salé,.....
.
🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞.
Dégustation non rémunéré
.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
_______________________________________
🇬🇧Domain Description 🇬🇧
By creating value, the Cave d’Irouleguy allows small farms to survive in the interior of the Basque Country, preserves jobs and economic activity in rural areas while promoting the territory.
The Cave d’Irouleguy wanted to enrich the classic governance mode of a cooperative through participatory democracy by which winegrowers and employees exchange and debate within committees on their profession, the improvement of their cultivation practices, research and innovation to be taken into account to improve the quality of our wines and on the development of the range and commercial channels.
This cooperative spirit allows us to develop quality wines resulting from the work done upstream in the vineyard then in the cellar during the vinification and maturation of the wines and finally packaged and sold with care and respect for the customer
_______________________________________
🇫🇷Description du Domaine 🇫🇷
En créant de la valeur, la Cave d’Irouleguy permet de faire vivre des petites exploitations à l’intérieur du Pays-Basque, préserve les emplois et l’activité économique en milieu rural tout en mettant en valeur le territoire.
La Cave d’Irouleguy a souhaité enrichir le mode de gouvernance classique d’une coopérative par la démocratie participative par laquelle les viticulteurs et les salariés échangent et débattent au sein de commissions sur leur métier, l’amélioration de leurs pratiques culturales, la recherche et l’innovation à prendre en compte pour améliorer la qualité de nos vins et sur le développement de la gamme et des circuits commerciaux.
Cet esprit coopératif nous permet d’élaborer des vins de qualité issus du travail fait en amont dans la vigne puis dans le chai lors de la vinification et de l’élevage des vins et enfin conditionnés et vendus avec soin et respect du client.
2 notes
·
View notes
Text
Test : Dragon's Dogma 2
Suite du premier opus sorti en 2012 sur PS3, Xbox 360 et PC c'est 10 ans après donc que Capcom nous propose une suite. Dragon's Dogma premier du nom apportait son lot de fraîcheur dans le domaine du RPG et avait su se démarquer et fédérer une communauté. Que vaut donc cet action RPG d'Héroïc Fantasy et à qui peut-il bien s'adresser?
« Test réalisé sur nihotaku.fr»
Un insurgé et un dragon
Vous êtes l'insurgé, un personnage que vous créez de toutes pièces via un éditeur plutôt complet et qui va au cours d'une bataille se faire manger le cœur par un gros dragon. Vous ne mourrez pas mais deviendrez l'insurgé, ce qui vous donne un statut spécial et vous permet de recruter des pions pour à votre tour vaincre le dragon et récupérer votre cœur. On reprend donc le même plot que le premier opus mais dans un univers différent cette fois-ci.
Un jeu à gameplay
Honnêtement le titre ne brille pas par son scénario, Capcom tente de monter des conflits politiques avec un faux insurgé mais même avec la meilleure volonté j'ai eu du mal à suivre et à saisir toute l'histoire tellement ça part dans tout les sens. On en oublie certains personnages et parfois on sent même que le scénario a été coupé.
D'ailleurs les quêtes restent classiques et demandent bien souvent d'aller chercher des objets ou de tuer des ennemis. Cependant, le titre a le mérite de ne pas prendre le joueur par la main pour la résolution de ces dernières. D'ailleurs pour les trouver non plus car c'est à vous de bien fouiller pour les activer.
En effet, Dragon's Dogma 2 prône l'aventure et l'exploration, on est à l'inverse des jeux actuels qui nous prennent constamment par la main. Il est d'ailleurs possible d'échouer certaines quêtes ou de les résoudre de plusieurs façons.
Alors pour l'instant je ne vous donne pas trop envie je pense mais comme le sous titre l'indique le vrai bonheur de cet action RPG vient de ces joutes et de son environnement à explorer. Plusieurs classes donc que vous débloquerez progressivement et dont vous pourrez changer à loisir par la suite en parlant avec un pnj en ville.
Aucune statistique à gérer tout est automatisé pour que le joueur puisse profiter rapidement de chaque classe. Vous pourrez tout de même échanger des points de compétences contre de nouveaux coups et quelques habilités mais le titre reste simple pour switcher facilement de classe et en profiter rapidement.
En combat vous pourrez vous battre à l'épée, à l'arc, devenir magicien ou encore utiliser des classes plus hybrides comme l'archer mage. L'important sera de gérer votre endurance qui vous permet de courir mais aussi d'utiliser vos attaques spéciales. On est sur des combats se rapprochant de "Monster Hunter" où une bonne connaissance de votre ennemi vous aidera grandement. L'environnement est très important car vous pourrez aussi faire chuter vos ennemis et les diriger vers des pièges naturels.
En début de partie en plus de votre insurgé vous créerez votre pion qui vous épaulera tout au long de l'aventure et qui aura aussi la possibilité de changer de classe. Il n'est pas jouable et c'est tout l'intérêt du titre car il apprendra à vos côtés. Il saura mieux affronter les différents types d'ennemis à mesure de ses voyages et connaîtra aussi le chemin pour résoudre certaines quêtes lorsque vous les terminerez.
Les combats se passent à quatre et il vous faudra donc impérativement recruter deux autres pions appartenant donc obligatoirement à d'autres joueurs via la faille. Un portail permettant donc de recruter des pions selon plusieurs critères, cependant les pions engagés ne monteront jamais de niveaux en votre compagnie.
Seul vous et votre pion pouvez être upgradé. Encore une bonne idée car cela force le joueur à changer régulièrement ses pions et couper la monotonie du voyage. D'ailleurs les pions des autres joueurs pourront vous aider pour résoudre une quête si ils l'ont déjà faite avec leur insurgé. Il faut donc bien équilibrer son groupe pour faire face à toutes les situations.
Un monde à explorer
L'exploration est de mise, les voyages rapides existent mais demandent des ressources pour forcer le joueur à se balader. Encore un très bon point car le level design global est excellent et incite à se perdre en chemin pour visiter et trouver des donjons menant à des récompenses. Il faut aussi préparer correctement vos voyages car au fur et à mesure des combats votre niveau de vie récupérable diminuera et demandera donc de faire une pause autour d'un feu pour manger et dormir. Encore faut-il bien nettoyer la zone sous peine d'être attaqué en pleine nuit.
D'ailleurs les nuits sont très sombres et votre lanterne n'éclaire pas très loin, en rajoutant des ennemis en grand nombre ainsi que des combats exigeants mieux vaut être prudent. Il faut bien préparer son équipe et ses trajets pour faire face aux évènements. Vous tomberez régulièrement sur des ennemis plus volumineux possédant plusieurs barres de vies et il n'est pas rare que de plus petits ennemis s'incrustent à la fête.
La difficulté vient aussi du fait que les animations sont détaillées comme dans "Monster Hunter", de ce fait vous pouvez comboter les ennemis mais eux aussi le peuvent et parfois la situation peut vite mal tourner. Vous trouverez aussi de l'aide sur les routes, des soldats ou des pions déjà au prise avec l'ennemi et qui de ce fait vous aideront.
Hormis un new game plus très peu intéressant et un post game bien pensé mais frustrant il vous faudra entre vingt et vingt cinq heures pour en voir le bout. Court pour le genre et c'est vrai que le premier opus avait un bestiaire plus varié tout en proposant un plus gros contenu. Nul doute que comme son prédécesseur une extension arrivera et bonifiera cet aspect.
Petite aparté nécessaire car contrairement à ce que les influenceurs ont pu dire de ce Dragon's Dogma 2, il sait très bien qu'il est le second opus mais pour le découvrir encore faut-il aller au bout du titre. Preuve s'il en est et on se demande d'ailleurs si Capcom ne l'a pas fait exprès en inscrivant uniquement "Dragon's Dogma" au lancement du jeu. Il y a bien une explication à ceci mais je n'en dirait pas plus.
Une technique en dent de scie
Un bref mot sur l'aspect technique du titre qui n'est pas sans défaut. Le jeu tourne à 30 FPS et ce avec peine, surtout en ville. Cependant, je n'ai pas été gêné par le framerate, cela dépend bien sûr du joueur. Il y a beaucoup de PNJ's, de monstres de grandes tailles et un décor qui peut évoluer (éboulements, ponts qui se brisent, etc...) en combat.
J'arrive à comprendre que le RE Engine peine et d'ailleurs il n'est pas pensé à l'origine pour des zones si vastes. Autant je n'ai pas été gêné, autant je peux comprendre que cela sorte certains joueurs de l'expérience proposée. Les éclairages sont eux très réussis et apporte une vraie profondeur aux paysages.
Conclusion : 9/10
Un titre à ne pas mettre entre toutes les mains, exigeant, old-school dans son game design et son gameplay il n'en propose pas moins une expérience très originale en 2024 pour qui saura l'apprivoiser. Avec un plus gros contenu et un sc��nario plus abouti le titre de Capcom aurait été au top.
Malgré des défauts évidents et une technique loin d'être parfaite c'est un titre qui m'a vraiment marqué, l'expérience proposée et le gameplay très particulier font de Dragon's Dogma 1 et 2 une série unique.
4 notes
·
View notes
Text
[…] considérer l'homme en tant que principalement un animal qui se sert d'outils revient à négliger les principaux chapitres de l'histoire humaine. Par opposition à cette notion sclérosée, je développerai l'idée que l'homme est surtout un animal créateur d'esprit, qui se maîtrise soi-même et se crée soi-même; en outre, le lieu primordial de toutes les activités de l'homme est d'abord son propre organisme, et l'organisation sociale au travers de quoi cet organisme trouve une expression plus complète. Avant que l'homme eût fait quelque chose de lui-même il ne pouvait pas faire grand chose du monde qui l'entourait. Dans ce processus d'autodécouverte et d'autotransformation, les outils, au sens étroit du mot, rendaient de bons services en tant qu'instruments subsidiaires, mais non comme le principal agent actif du développement humain; car, avant notre propre époque, jamais la technologie ne s'est dissociée du plus vaste ensemble culturel au sein de quoi l'homme, en tant qu'homme, a toujours fonctionné. Le mot grec classique tekhné, de manière caractéristique, ne fait nulle distinction entre la production industrielle et les "beaux" arts, ou arts symboliques; et pendant la plus grande partie de l'histoire humaine, ces aspects furent inséparables, un côté respectant les conditions et fonctions objectives, l'autre côté répondant à des besoins subjectifs. En son point d'origine, la technologie était liée à la nature entière de l'homme, et cette nature jouait un rôle en chaque aspect de l'industrie: ainsi la technologie, au début, était-elle largement centrée sur la vie, non centrée sur le travail ou la puissance. […] Bien que le langage constituât la plus puissante expression symbolique de l'homme, il découla, ainsi que je tenterai de le montrer, de la même source commune qui finit par produire la machine: le primitif ordre répétitif du rituel, un genre d'ordre que l'homme fut forcé de développer pour se protéger soi-même, de manière à maîtriser la terrible surcharge d'énergie psychique que son gros cerveau mettait à sa disposition. Bien loin de déprécier le rôle de la technologie, cependant, je démontrerai plutôt qu'une fois établie cette fondamentale organisation interne, la technologie soutint et accrut les facultés d'expression humaine. La discipline de fabrication et d'emploi des outils servit de correctif opportun, selon cette hypothèse, aux extraordinaires pouvoirs d'invention que le langage parlé procurait à l'homme -pouvoirs qui autrement gonflaient de manière indue l'ego, et donnaient à l'homme la tentation de substituer des formules verbales magiques à un travail efficace. […] Dès lors, la principale occupation de l'homme fut sa propre transformation de lui-même, groupe par groupe, région par région, culture par culture. Cette transformation de soi non seulement sauva l'homme de la fixation permanente à sa condition animale d'origine, mais libéra son organe le mieux développé, son cerveau, pour d'autres tâches que celles d'assurer la survie physique. Toute manifestation de la culture humaine, du rituel et du langage au costume et à l'organisation sociale, est orientée en fin de compte vers le remodelage de l'organisme humain et l'expression de la personnalité humaine. Si ce n'est que maintenant que nous reconnaissons à retardement ce trait distinctif, c'est peut-être parce qu'il y a des indices largement répandus, dans l'art, la politique et la technologie contemporains, que l'homme risque d'être au bord de le perdre -en devenant non pas un animal inférieur, mais une non-entité informe, amiboïde.
Le Mythe de la Machine: La Technologie et le Développement Humain / Lewis Mumford, 1967
4 notes
·
View notes
Text
Sur Tartuffe : adaptations
Commençons donc avec ce qui a le moins à voir avec la pièce, une version écourtée de la pièce, mise en scène par Maurice Béjart en 1981.
Casting : Cléante - Bernard Dhéran, Mme Pernelle - Catherine Samie, Orgon - Michel Aumont, Elmire - Geneviève Casile, Tartuffe - Michel Duchaussoy, Dorine - Virginie Pradal, Valère - Raymond Acquaviva, Damis - Guy Michel, Mariane - Marcelline Collard
Mise en scène classique, mais saupoudrée de Béjart (donc décors un peu spéciaux, maquillage très marqué pour les personnages doubles comme Tartuffe). Super performance de Michel Aumont, qui donne à voir un Orgon complètement hypnotisé par Tartuffe (et c’est là qu’@aramielles me dit que c’est normal d’être hypnotisé par le talent de Michel Duchaussoy). J’avoue que je n’arrivais pas à déterminer si Elmire était un peu intéressée par lui ou si elle était juste extrêmement saoulée (merci m’dame Casile). Une déclaration d’amour à l’acte III qui est désespérée comme je les aime. Oh nevermind ??? Elmire intéressée ??? OH MY GOD. Orgon qui s’agenouille devant Tartuffe et lui baise la main rien que pour lui dire bonjour. Béjart I love you. Imagerie chrétienne homoérotique, on apprécie. Globalement le Tartuffe de Duchaussoy est un bon petit connard manipulateur, il jette un regard méprisant sur Orgon à ses genoux, franchement une excellente pétasse qui sied bien pour le rôle.
xxxxxxxxx
Deuxième version, celle de 1975, mise en scène de Jacques Charon.
Casting : Orgon - Jacques Charon, Robert Hirsch - Tartuffe, Jacques Toja - Cléante, Michel Duchaussoy - Monsieur Loyal, François Beaulieu - L’Exempt, Jean-Noël Sissia - Damis, Bernard Alane - Valère, Denise Gence - Mme Pernelle, Claude Winter - Elmire, Françoise Seigner - Dorine, Catherine Salviat - Mariane, Denise Pezzani - Flipote
Encore une mise en scène classique, on aime. Cet Orgon a l’air un peu con (spécialité de Charon). Tartuffe, coupe au bol absolument ridicule (la laideur comme laideur de l’âme ? C'est un lieu commun que je repère parfois dans Tartuffe, où un Tartuffe moche est souvent joué comme ridicule, alors qu’un Tartuffe qu’on embellit physiquement est joué comme plutôt charmeur). Légèrement précieux, doucereux, on est carrément dans la première façon de jouer le rôle, c’est-à-dire en gros cliché, et on ne comprend presque pas comment Orgon peut être à ce point aveugle pour ne pas voir qu’il est double. Il est aussi carrément graveleux lors de la déclaration d’amour, et franchement il m’évoque plus une espèce de cancrelat qu’on a envie d’écraser qu’un manipulateur de génie (super performance d’Hirsch cependant). Une Elmire magnifique (merci m’dame Winter) et oh ! Un François Beaulieu sauvage apparaît en fin de pièce pour faire L’Exempt.
xxxxxxxxxx
Troisième version, de 1960, mise en scène de Louis Seigner (encore une classique).
Casting : Tartuffe - Louis Seigner, André Falcon - Damis, Paul-Emile Deiber - Orgon, Louis Eymond - L’Exempt, Henri Rollan - Cléante, Jean-Louis Jemma - Valère, René Arrieu - Monsieur Loyal, Berthe Bovy - Mme Pernelle, Andrée de Chauveron - Dorine, Annie Ducaux - Elmire, Nagali de Vendeuil - Mariane, Janine Dehelly - Flipote
L’Orgon de Deiber a l’air un peu neurasthénique, sans avoir l’air con il n’a pas l’air complètement dépendant, ça me donne l’impression bizarre que cet Orgon aurait pu se défendre de tout s’il avait prêté un peu plus attention à ce qu’il se passe chez lui (même si Tartuffe, quand on l’accuse une première fois, use énormément d’ironie pour se qualifier de pécheur, et Orgon prend ça premier degré). Tartuffe-Seigner est parfaitement jouissif à regarder, mais on reste exactement dans le schéma classique d’un personnage ridicule. Succulente Elmire, drôle à souhait (merci Annie Ducaux). Bref, ici la bonne vieille pièce familiale, quoi.
xxxxxxxxxx
Quatrième version, de 1971, mise en scène de Marcel Cravenne (une autre mise en scène classique)
Casting : Michel Bouquet - Tartuffe, Delphine Seyrig - Elmire, Jacques Debary - Orgon, Luce Garcia-Ville - Dorine, Madeleine Clervanne - Mme Pernelle, Claude Giraud - Cléante, Edith Garnier - Mariane, Bernard Alane - Valère, Jacques Weber (ô surprise) - Damis, Paul Le Person - Monsieur Loyal, Robert Party - L’Exempt, Christine Chicoine - Flipote
C’est marrant, cet Orgon là a plus l’air amusé en début de pièce de Tartuffe, plutôt que de dépendre de lui. Quand on accuse Tartuffe, il réagit plutôt comme si on avait donné un coup de pied dans son chiot préféré. (grmrgmrmg le Cléante de Giraud. Cet homme me rend fou depuis Les Rois Maudits). Petiot Weber, il est pitchoune. Ah, Delphine Seyrig…La fée des lilas à jamais pour moi, mais quelle bonne Elmire (et quelle belle femme jésus seigneur). Un Tartuffe très intéressant, puisqu’il n’est pas ridicule car il n’a pas l’air faux lors de sa déclaration, il a juste l’air un peu dégueulasse ; mais surtout, il brise l’apparent fil rouge de l’interprétation de ce rôle en étant enlaidi par le costume et les postiches, mais en étant totalement manipulateur.
xxxxxxxxxx
Cinquième version, de 1980, mise en scène de Jean Pignol (encore et toujours une mise en scène classique)
Casting : Tartuffe - Michel Galabru, Orgon - Bernard Fresson, Elmire - Yolande Folliot, Dorine - Micheline Dax, Cléante - Pierre Gallon, Mme Pernelle - Germaine Delbat, Mariane - Nathalie Serrault, Valère - Eric Legrand, Damis - Jean-Renaud Garcia, Monsieur Loyal - Georges Montillier, L’Exempt - Pierre Negre, Laurent - Georges Sayad, Flipote - Sonia Laurent
Wow un opening directement sur la petite famille en train de prier avec Tartuffe ? Innovative ! On dirait que Tartuffe est d’abord le dealer d’Orgon parce qu’il est très, très calme au début. Ou alors il est homosexuel, au vu de la façon dont il dit “il venait d’un air doux tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux”. Le Tartuffe de Galabru est bon mais grâce à l’acteur plutôt qu’au rôle lui-même, parce qu’il lui donne justement ce côté double et ridicule (les cheveux bien gras, on pourrait utiliser la moumoute comme friteuse). Opinion tout à fait personnelle, j’aime pas le jeu de Fresson . Et définitivement, Galabru joue beaucoup sur le côté dégueu et graveleux qu’on peut facilement donner à Tartuffe. Une version, ma foi, pas la meilleure, mais pas un échec non plus.
xxxxxxxxxx
Sixième version, de 1997 (retour au Français !), mise en scène de Georges Bensoussan (à quand autre chose qu’une mise en scène classique ?)
Casting : Dorine - Catherine Ferran, Orgon - Jean Dautremay, Mariane - Anne Kessler, Tartuffe - Philippe Torreton, Monsieur Loyal - Igor Tycska, Elmire - Cécile Brune, Mme Pernelle - Nathalie Nerval, Cléante - Christian Blanc, Valère - Olivier Dautrey, Damis - Eric Ruf, L’Exempt - Bruno Raffaelli, Flipote - Stéphanie Labbé, Laurent - Patrick Olivier
Décors blancs, un peu art contemporain, innovative ! Chaque costume est une couleur vive (sauf Tartuffe et Orgon, en noir, et Cléante, en marron), mais qui permet d’identifier immédiatement les personnages et surtout les fait ressortir sur le fond blanc. Jumpscare de Ruf avec une perruque absolument horrible. Aww, mini Anne Kessler, elle est pitchoune. Ô surprise, Ruf a un jeu décent ? (je le respecte en tant que metteur en scène, et je ne m’y connais pas assez en histoire du Français pour dire si c’est un bon administrateur, mais comme comédien…Il m’excusera mais je ne supporte pas son jeu). Je trouve qu’on revient à l’Orgon soit con, soit qui s’en fout un peu en début de pièce. Quoique, on pourrait dire que c’est un Orgon qui commence à développer un autre courant d’interprétation du personnage, celui de la dépendance affective forte (Tartuffe qui lui fait des petites caresses sur l’épaule ???). Dépendance affective de fou ou homosexualité cachée, c’est vous qui voyez. Torreton est jouissif, pétasse à souhait, ironique quand on l’accuse, au physique affreux avec sa perruque graisseuse (leitmotiv chez les costumiers ?). Chose intéressante, la confession de Tartuffe semble désespérée, mais elle est tellement teintée de fausseté qu’on n’y croit pas du tout. Cécile Brune (dieu quelle femme) fait une Elmire hautaine devant Tartuffe que j’A-DORE. Nouveau jumpscare de Ruf qui sort d’une fenêtre cachée haut dans le mur au lieu de sortir d’un cabinet. Bon dieu Cécile Brune, quelle femme, Elmire joue la carte séduction à fond pour l’acte IV. Tartuffe qui commence à se foutre à oilp ??? Ok why not. Costume très très très pailleté pour Tartuffe en fin de pièce. Écoutez, une mise en scène intéressante, des comédiens pas trop tartes, moi je dis que ça fait une bonne pièce.
xxxxxxxxxx
Septième version, de 2022, mise en scène Ivo van Hove (youpi ! une mise en scène moderne, histoire de changer un peu)
Casting : Cléante - Loïc Corbery, Orgon - Denis Podalydès, Mme Pernelle - Claude Mathieu, Damis - Julien Frison, Dorine - Dominique Blanc, Tartuffe - Christophe Montenez, Elmire - Marina Hands, Flipote - Héloïse Cholley, et pas de M. Loyal ou d’Exempt ni de Laurent, apparemment ?
Peut-on vraiment dire que je l’ai vue ? Non, je n’ai pas vu cette pièce au cinéma. Mais j’ai des photos et des extraits, de là je pose mon jugement. J’aime beaucoup les mises en scène de van Hove, qui sont souvent minimalistes et font ressortir tout le jeu des comédiens, aussi en posant une sorte de centre de scène où tout se passe. Les costumes noirs tranchent avec la pâleur des comédiens, et le carré blanc en plein milieu de la scène ressemble à un ring où les personnages s’affrontent. Autre lieu commun chez van Hove, on relève la brutalité et la violence et du texte et des personnages en eux-mêmes : tout le monde s’empoigne, se bat, se hurle dessus, c’est une famille complètement disloquée qu’on nous présente. Dominique Blanc en Dorine est parfaite. Corbery est un Cléante désillusionné, à la limite du désespéré de voir son beau-frère comme ça. Julien Frison, lui, campe un Damis qui semble moins furieux, plus un petit garçon qui voit son père s’éloigner de lui. Ma seule question est : comment envisagent-ils la pièce sans Mariane ? Est-elle juste citée ? Le moment très comique entre Orgon et Dorine serait simplement coupé ? Je n’aurais sûrement jamais la réponse, à moins que cette pièce vienne un jour sur le site de l’INA. Marina Hands est une Elmire qui floute complètement la ligne séparant deux interprétations : Elmire qui joue un rôle pour empêcher le mariage entre Tartuffe et Mariane et confondre Tartuffe à l’acte IV, ou une Elmire véritablement intéressée par Tartuffe. Une scène assez éloquente est visible dans la bande-annonce, qu’on peut replacer justement à l’acte IV, et Elmire ne semble pas beaucoup se défendre d’un Tartuffe qui lui embrasse la nuque. Mais les deux personnages les plus intéressants sont ici Orgon et Tartuffe. Pour Orgon, Podalydès joue complètement sur l’ambiguïté constante entre Tartuffe et Orgon : apparemment complètement dépendant affectif, le “il en va de ma vie” semble très vrai ; et certaines images donnent à penser que van Hove introduit dans sa mise en scène un certain homoérotisme malsain entre ces deux personnages (et encore de l’imagerie chrétienne mise au service de l’homoérotisme, merci m’sieur van Hove). Mais pour moi, le personnage le plus fascinant est Tartuffe (Christophe Montenez mon dieu quel talent incroyable). Si il est dans “le modèle Jouvet”, c’est-à-dire un Tartuffe charmant, séduisant même, et surtout très sincère dans sa déclaration à Elmire, et qui pense croire à tout ce qu’il dit sur le Ciel, Montenez a une approche différente du personnage. Il est malsain ; quand il rentre dans une pièce, on a comme un frisson de gêne : le costume (chemise blanche, cravate blanche, mais veste noire à certains moments), la coiffure (des cheveux coupés très ras) et le maquillage (qui lui donne une pâleur mortelle et un visage émacié) n’aident pas à nous le rendre sympathique. Le ton doucereux (méprisant lorsqu’il parle à Dorine) contribue à cette impression. Surtout, c’est un Tartuffe violent, qui arrive à l’Acte III la chemise tachée de sang, due à la mortification qu’il s’est imposé (en début de pièce, apparemment ? la bande-annonce ne permet pas de le situer). Bref, une mise en scène brutale et légèrement subversive, typique du metteur en scène, qui je crois serait très intéressante à voir.
xxxxxxxxxx
Je vous ai réservé ma mise en scène préférée pour la fin, huitième version, de 2021, théâtre à la table, direction artistique d’Eric Ruf (qui compte comme une mise en scène moderne ?)
Casting : Mme Pernelle - Claude Mathieu, Tartuffe - Eric Génovèse, Elmire - Clotilde de Bayser, Cléante - Hervé Pierre, Monsieur Loyal, Un Sergent, et L’Exempt - Nicolas Lormeau, Orgon - Didier Sandre, Damis - Laurent Lafitte, Dorine - Anna Cervinka, Mariane - Clémentine Billy, Valère - Antoine de Foucauld
C’est pas ma version préférée pour rien : la proximité de la table permet de transformer la pièce en huis clos, les vêtements des comédiens, sombres pour la plupart, permettent de relever leurs visages, et la caméra capture d’autant mieux leurs visages qu’elle est proche. Anna Cervinka est une Dorine hilarante qui tranche avec le sérieux des autres ; le Damis de Lafitte est très abrasif ; Cléante par Hervé Pierre use toujours d’un ton extrêmement raisonnable ; les deux petits jeunes sont un couple prometteur. Comme d’habitude, je me suis concentré sur les trois personnages centraux : Elmire, Orgon, Tartuffe. Didier Sandre, trônant en bout de table en patriarche, est un Orgon qui joue sur son âge pour apparaître peut-être plus fragile, qui s’il est moins dépendant que l’Orgon de Podalydès, lui semble extrêmement attaché ; sa colère à l’accusation de Tartuffe est assez violente. Elmire, elle, si elle n’est absolument pas intéressée par Tartuffe (madame moi je veux bien prendre votre place si vous ne voulez pas de lui), aime jouer la carte de la séduction pour parvenir à ses fins, et disons-le, Clotilde de Bayser est charmante. Et Tartuffe…Là encore, pas mon Tartuffe préféré pour rien. Eric Génovèse reprend un Tartuffe qu’il avait déjà joué de cette manière (je donnerai TOUT pour voir la mise en scène de 2005 de Marcel Bozonnet). Il est tout en douceur, la déclaration à Elmire est MAGNIFIQUE et DÉSESPÉRÉE comme il sait les faire, et il est totalement dans le modèle Jouvet d’un Tartuffe qui croit à 90% ce qu’il dit. Chose que je n’avais jamais vu faire avant, le “je tâte votre habit” et ce qui s’ensuit est joué comme une excuse en mousse, comme s’il n’avait vraiment pas fait exprès de poser la main sur le genou d’Elmire, et qu’il tente de rattraper une bourde faite dans l’émotion de l’instant. Tartuffe mis en opposition d’Orgon dans le placement autour de la table le pose en second maître de maison ; sa réponse à son accusation à l’air tellement sincère qu’on y croirait presque. Retournement de comportement à l’acte IV, regard de braise et scène un peu olé-olé (si sage comparée à la mise en scène de Bozonnet où lui et Florence Viala ont failli faire leur affaire sur scène) ; c’est un autre Tartuffe qui retire son masque, celui d’un homme extrêmement froid et calculateur. Bref, pour moi l’interprétation la plus intéressante (sans prendre en compte mon admiration personnelle pour ce comédien). Une pièce que je trouve “redécouverte” par le biais du théâtre à la table qui donne toujours un éclairage autre.
4 notes
·
View notes