#XXè siècle
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Franck Thilliez - Norferville
Présentation de Norferville de Franck Thilliez son nouveau thriller "one shot" sur des meurtres de jeunes femmes autochtones dans le Grand Nord Canadien.
Franck Thilliez s’est imposé comme Le Maître du thriller français. Chaque année, il en publie un, soit avec ses personnages récurrents Sharko & Henebelle, soit, comme ici avec Norferville, un “one shot”. En travaillant les sujets de fond, Franck Thilliez réussit à développer un couple d’enquêteurs qui doivent résoudre le meurtre d’une jeune femme particulièrement sordide. La scène inaugurale du…
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Face à face mortel...
J'ai passé une bonne partie des dernières vacances de Noël à approfondir mes connaissances (superficielles) sur l'intelligence artificielle (ou ''IA'', pour gagner du temps). C'est, pour moi, une nouvelle avenue (une ''terra un peu incognita'', si j'ose ce clin d’œil gallo-romain) que des chercheurs commencent à exploiter ''pour de vrai''. Tout n'est pas clair, il s'en faut de beaucoup, et nous en reparlerons bientôt, sous un angle plus général, voire philosophique –ou ce que ce mot peut signifier pour mon inculture illimitée. Mais si j’ai conclu mon ''édito'' d'hier sur la possibilité d'un ''changement de logiciel'', ce n'était bien sûr pas sans lien avec ce qui suit...
La raison de cette focalisation sur un ''outil'' très récent mais très spectaculaire (que nous décrirons plus bas), c'est que la puissance de cette nouveauté paraît être concomitante et parallèle à un effondrement cognitif, à tous les niveaux de notre savoir, de notre culture et, par conséquence indirecte, de notre jeunesse : tout semble se passer comme si chacun des ‘’pas en avant’’ des progrès disponibles entraînait un plus grand pas en arrière du niveau moyen de notre intelligence, ce ''savoir lire entre les lignes'' au sens étymologique du mot --du latin ''intellĕgĕre'' (= discerner, comprendre), composé de inter- (= entre) et de lĕgĕre (= lire, choisir).
J'avais l'intention de vous parler d'Intelligence artificielle dans trois ''éditos'' qui ont été écrits pendant ces vacances de Noël (et qui, du coup, ne paraîtront que dans quelques jours, pour vous éviter une indigestion). Mais je suis tombé, pratiquement à la même seconde, (1)- sur la découverte –fantastique, pour moi-- du ''machin'' dont nous allons parler plus bas, et (2)- sur un sondage des Fondations Reboot et Jean-Jaurès qui fiche littéralement la panique en ce qui concerne le devenir des plus jeunes d'entre nous, et en tout cas de la ''génération Tik-Tok'', les ''18--24 ans'' actuels. Cette concomitance inquiétante a précipité le mouvement, d'où ces lignes .
Commençons par le le sondage : on y découvre avec incrédulité que deux ''18 / 24 ans'' sur trois (66%) estiment que ''la science fait plus de mal que de bien'' (NDLR : pour le covid, ils ont eu raison !) et que 17 % pensent qu'elle est néfaste pour l'humanité (le score précédent était stable à 6 %). Plus inquiétant encore, 16 % sont convaincus que la Terre est plate, autant que ceux qui sont persuadés que les Pyramides ont été bâties par des extra-terrestres, et que ceux qui ''savent'' que ''les américains ne sont jamais allés sur la Lune'' (16 % aussi). ''L'astrologie est une science'' pour 49 % des sondés, et 59 % des jeunes interrogés sont adeptes d'une superstition occulte (extralucides, voyants, marabouts, fantômes, chiromancie, tables tournantes, ''convocation des esprits'', etc...) --contre, et c'est énorme aussi, 21 % des plus âgés. Et encore : 41 % des jeunes estiment qu'un influenceur /-euse qui a beaucoup de ''followers'' (= d'abonnés) est une source d'information fiable pour et hors de son domaine... Il y a de quoi s'inquiéter, d'autant plus que...
Au même moment, l'Humanité est en train d'entrer dans le second millénaire --avec quelque retard, mais c'est très souvent le cas (par exemple, on dit souvent que le XIXè siècle a commencé en 1815, et le XXè en 1914)-- mais en tout cas dans un âge nouveau où la seule vérité restante sera... artificielle ! Elon Musk –qui est, qu'on l'aime ou non, un géant de la pensée-- vient de mettre sur le marché l'outil dont nous allons parler, encore inconnu de la vaste majorité de nos contemporains, difficilement descriptible --et gratuit-- dont le pouvoir de transformation du monde va être, pour longtemps, un point d'interrogation pour les hommes de bonne volonté.
Le processus d'acquisition est simple : on tape ''OpenAI'' (NB : AI pour Artificial Intelligence) sur son navigateur... et le tour est joué ! S'ouvrent alors devant vous plusieurs ''applis'' –une pour les textes, (ChatGPT), une pour les dessins (Dall-E 2), etc. Dès ce pas franchi, on peut questionner ''ChatGPT'' sur n'importe quel sujet, de n'importe quelle manière... et il vous fournira dans la seconde une réponse circonstanciée qui apparaîtra sur votre écran à la vitesse de la lecture. C'est une aubaine absolue pour les élèves et les étudiants, un cauchemar ''Grand C'' pour les profs, et sans doute un point de bascule, à terme, pour l'humanité... Comme j'étais invité, avant-hier soir, à un cocktail pour fêter les 100 ans d'un ami, j'ai demandé à ChatGPT de composer pour lui un ''Poème pour un centenaire'', et voilà le Sonnet que j'ai obtenu, en moins de temps qu'il m'aurait fallu pour... trouver quoi dire :
''Cent ans, cent ans déjà ! Que le temps passe vite ! On se rappelle encore vos jeunes années, Et vous voici centenaire, déjà... Vous avez vécu tant d'événements, Vu tant de choses changer, Et pourtant, vous êtes toujours debout, Fier et fort, malgré les ans qui vous pèsent. Vous avez connu la guerre et la paix, La misère et l'abondance, Et avez vu vos enfants et petits-enfants Grandir et vivre leur propre existence. Nous vous admirons pour votre courage, Et pour la sagesse que vous avez acquise, Et nous vous souhaitons encore de longues années Pour continuer à nous émerveiller de votre vie. Joyeux centenaire, cher ami, Et que cette nouvelle année vous soit douce, Avec tout notre respect et notre affection, Nous vous souhaitons une vie encore plus heureuse’’.
Dans la foulée, j'ai ensuite demandé à ChatGPT d'écrire pour moi une ''Lettre d'amour au chocolat'' (parce que... ''Il le vaut bien''). Le résultat est ''tombé'' dans la seconde sur mon écran : Mon cher et délicieux chocolat, Tu es la tentation qui me fait perdre la raison, la gourmandise qui me fait craquer à chaque fois. Ta douceur enveloppe mes papilles et me transporte dans un monde de délices.Tu es mon réconfort dans les moments tristes, ma récompense après une longue journée. Tu es mon addiction, ma passion. Je ne peux pas imaginer ma vie sans toi. Chaque bouchée de toi est un véritable plaisir. Ton goût unique et délicieux me fait oublier tous mes soucis. Tu es mon amour sucré, ma raison de vivre. Je t'aime, chocolat. Sincèrement, [Sign your name]. Et voilà ! Ce n’est pas plus compliqué que ‘’ça’’ !
Un autre ''Edito'' à venir vous parlera d'autres demandes faites : ''Qu'est-ce que le ''Woke''... ''Où va l'Ukraine ?''... ''Le moi peut-il se fondre dans le nous ?''. Mais d'ores et déjà, la remarque s'impose que, sans être absolument géniales (encore que la trouvaille ''Chocolat, mon amour sucré'' soit une pépite), les réponses sont bonnes, sensées, ''se tiennent'', sont en excellent français (comme elles seraient en parfais anglais, chinois, arabe, thaï, grec, ou ce que vous voulez : j'ai testé l'Appli dans les sept langues que je pratique : c'est incroyable !), sans une faute de syntaxe ou d'orthographe, avec un vocabulaire riche, et elles ne contiennent pas d'erreur (même si une lourde influence ''made in USA'' les rend très énervantes, par exemple à propos du Woke ou de l'Ukraine !). Mais pour faire de telles réponses, un humain devrait avoir un bon niveau intellectuel, une bonne culture, le sens de la synthèse, et il écrirait mieux que 99,9 % des actuels candidats à tous les examens possibles (NB : combien pourraient soumettre de tels textes ? 5 %, ? Moins ?).
Une fois l'admiration pour l'exploit exprimée, je confesse un certain effroi : l'Homme risque de se trouver en voie d'extermination par redondance. A la fin du cycle d'un progrès incontrôlé, plutôt orienté vers le Progrès lui-même que pour l'humanité, l'Homme va bientôt ne plus servir à rien, ou peu s'en faut... Au delà de l'attraction-répulsion qu'entraîne d’habitude le progrès, --comme une valse-hésitation sur le thème ''Je t'aime... moi non plus''-- il faut ajouter une dimension nouvelle, le vertige, car Elon Musk, après les fusées récupérables, la colonisation de la Lune qui devient un objectif, après des voitures Tesla, pleines de ‘’choses en plus'' et l'arrêt en cours de l'affreux ''politiquement correct'' sur les réseaux sociaux, propose une rupture technologique qui est un immense bouleversement civilisationnel.
ChatGPT est capable d'écrire un texte ''parfait'' (dans des limites larges), sur n'importe quel sujet, dans une langue châtiée à défaut d'être encore élégante, sans proférer d'énormités, au contraire. Personne ne peut imaginer la suite !
La ridicule rengaine des journalistes ''Plus rien ne sera comme avant'' trouve ici son sens, enfin : demain, la machine va concurrencer l'homme dans des activités intellectuelles et ''simili-créatives'' jusque là épargnées : non seulement elle calcule et écrit... mais elle analyse, elle compare, elle synthétise, elle soupèse, elle choisit, elle rapproche et elle le raconte ! Et nous ne sommes qu'au début d'une vague qui va prendre des forces en déferlant, pendant que nous sombrons dans de stupides croyances et des superstition. ‘’’La messe serait elle dite’’, déjà, et le sort, jeté ?
H-Cl.
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Visite de BONIFACIO
Bonifacio perchée à 70 mètres, sur des falaises de calcaire blanc, Bonifacio semble, depuis la mer, flotter dans les airs. Cette cité, subjugué par Charles Quint et Napoléon ; demeure mystérieuse à bien des égards. il n'est pas prouvé qu'Homère l'ait vraiment décrite : "heureux qui comme Ulysse la découvre dans toute sa splendeur"
Bonifacio divisée en deux grandes parties : - le joli port de pêche avec sa marina et la ville basse qui s'étend le long d'un goulet de près de 2 km, - et la ville haute, la partie ancienne qui est entièrement piétonne et surplombe la mer.
Port de bonifacio La marina se trouve au pied de la citadelle. Vous trouverez de nombreux bars et restaurants et quelques commerces. Vous pourrez en profiter pour boire un verre en terrasse et admirer les fabuleux yachts amarrés au quai. C’est depuis le port que partent les croisières en mer pour voir les falaises de Bonifacio et les navettes pour rejoindre les îles LAVEZZI ou la Sardaigne. Le petit train débute aussi son circuit à ce niveau-là. Juste en face du port, vous trouverez des parkings payants où laisser votre voiture le temps de votre promenade à pied dans Bonifacio. Le quartier du port, se la joue très Chic, en été avec son ballet d'immenses yachts viennent y mouiller. Celui-ci gardé par l'église Saint-Érasme (XIIème siècle), vouée au Patron des pêcheurs, qui vaut le détour pour son dôme néo-byzantin. L'église Saint-Erasme : Au pied de la montée Rastello à Bonifacio, on trouve cette chapelle Saint-Erasme (San Teramu en Corse), la seule du faubourg de la Marine. Dominée par la citadelle, et surtout par le massif Bastion de l'Etendard. Saint-Erasme existait depuis 1686, comme oratoire du quartier ; elle fut agrandi jusu'au XXè siècle ; Les petites coupoles de style néo-byzantin ayant été rajoutées en 1936. Les statues en bois de Saint-François et de Saint-Erasme(patron des pêcheurs et des gens de la mer) côtoient une peinture du XVIIe de la Vierge à l'enfant aux côtés du Saint-Patron.
Pour chercher un peu de fraîcheur, empruntez le sentier des plages. Permettant de découvrir la campagne environnant en longeant la rive nord du goulet (1h30 de marche) ; ou s'engouffrer dans l'Aquarium, qui présente dans une grotte naturelle, des espèces capturées dans les Bouches de Bonifacio. (L'Aquarium de la Mer de Bonifacio, ouvert à la visite du lundi au dimanche d'avril à octobre. Proposant un parcours permettant de découvrir les richesses de la faune et de la flore de la méditerranée comme les langoustes, les murènes, les étoiles de mer et bien d'autres spécimens encore. La visite est payante de 4 euros pour les adultes et de 2 euros pour les enfants.)
Bonifacio Près de l'église Saint-Érasme, on accède à la Ville Haute par le col Saint-Roch et la montée de Rastello. Vous permettant d'admirer les maisons construites en bord de falaise, comme prêtes à sauter dans le vide.
En tout cas, pour l’ascension de la montée Saint-Roch, vos muscles seront bel et bien sollicités. Mais quelle récompense vous attend ! Elle slalome de par un col, jusqu’à la chapelle Saint-Roch. En haut, le spectacle est époustouflant. Vous surplombez la mer, la ville, les murs d’ocres, le port et la Citadelle. Au loin, la Sardaigne. Chapelle Saint-Roch Si vous la voyez d'en haut, vous pourrez vous croire sur une île grecque. Toute blanche sur un fond de mer bleue, avec son petit clocheton surmonté d'une croix, elle représente pourtant une histoire bien funeste. Petit rappel : saint Roch, né à Montpellier, consacra sa vie à combattre la grande peste noire qui ravagea l'Europe au milieu du XIVe. Bien sûr, il finit par attraper la terrible maladie et c'est pourquoi on le représente montrant ses plaies. Bonifacio n'échappe pas à l'épidémie qui fit des ravages dans l'île, l'année 1528. La ville aurait perdu les trois-quarts de sa population. On bâtit la petite chapelle, soi-disant, à l'endroit où mourut la dernière victime de l'épidémie. Chaque année, le 16 août, on se souvient de saint Roch, que l'on honore lors d'un spectacle culturel en langue bonifacienne.
Remonter vers la Porte de Gênes percée dans les remparts.
La Porte de Gênes Unique accès à la ville jusqu’en 1854 et fait face au Bastion de l’étendard . Véritable forteresse, difficile de s'en approcher puisque la porte est doublement surveillée par des « meurtrières ». Seul accès à la citadelle jusqu’au 19 -ème siècle, elle est munie d’un pont levis datant de 1830. Celui-ci remplacé l’ancien (datant tout de même de 1598) et fonctionnait avec un système de poids et de poulie. La Citadelle Bonifacio Il faut oser se perdre dans les ruelles de Bonifacio, lever la tête pour découvrir les miracles d’ingéniosité dont on a fait preuve pour construire ses maisons. Flâner, prendre le temps d’observer. L’atout maître de Bonifacio est l’intelligence avec laquelle cette ville a été construite. tout a été pensé en vue d’un avantage stratégique contre les attaques ou sièges éventuels. De chaque côté de l'église, des arcs-boutants viennent renforcer les murs. Des canalisations ont été également creusées permettant d’acheminer l’eau de pluie récoltée sur les toits vers une citerne dissimulée sous l’église…
Autre aspect de cette vie : les besoins élémentaire ; Chaque maison avait sa propre réserve de grain ; Les silos Les escaliers des habitations sont tout aussi intéressants : il faut remonter à l’époque où la ville ne cherchait qu’à se protéger. Les portes étaient quasiment infranchissables : inexistantes en rez-de-chaussée. On accédait aux maisons par une échelle que l’on remontait ensuite derrière soi… Cette citadelle médiévale du XIIIè siècle force l’admiration de part sa conception en haut des falaises, et sa parfaite conservation. Rendez-vous, le vendredi matin au marché qui se tient sous loggia de l'Arsenal de debut avril à fin octobre dans la haute ville de 8h à 13H; L'occasion de vous rapprocher de culture culinaire des lieux que vous visitez Mais vous y trouverez des produits locaux comme : - de la charcuterie, - biscuits, - légumes, - préparations culinaires - huiles essentielles...... C'est occasion d'échanger avec les Bonifaciens et de récupérer quelques bonnes adresses.
Ne quittez surtout pas cette pointe de la Corse sans aller faire un tour :
Le Bastion de Létandard
Certains pourraient croire qu'il s'agit d'un château, mais il s'agit en réalité de l'imposante forteresse qui domine l'entrée du port. Le Bastion de l'Etendard date du XIIIe siècle et fut bâti par les Génois. Détruit au XVIe siècle par les bombardements de l'armée franco-turc, commandée par Dragut, le bastion fut rebâti dans la foulée en respectant le tracé du bastion génois. Il fut néanmoins adapté aux nouvelles techniques de sièges, notamment grâce à des fortifications « à la Vauban », bien plus solides. En savoir plus
L'Eglise-Sainte Marie-Majeur
La présence de l' Eglise Sainte-Marie-Majeure : Attestée dès le XIIIe siècle dans des actes notariés dont le plus ancien remonte en 1222.La façade occidentale dotée de trois portes d'entrées percée d'une grande rose qui constituait, à cette époque, l'éclairage principale de l'église. L'ensemble correspondant à la nef, aux bas côtés et aux absides remanié aux XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. En sovoir plus
Le cimetière marin de Bonifacio
Il vous dévoilera les voyages périlleux que les marins ont entrepris pour rejoindre ces rivages. Ainsi que les tombes ornementées des braves âmes qui n'ont pas survécu. Vous allez découvrir la véritable signification de la mer pour la ville et bénéficier d'un spectacle somptueux, lors du coucher de soleil sur la mer Méditerranée. En savoir plus
Le Gouvernail
Un point de vue insolite sur le détroit situé juste à côté du Cimetière Marin, à l’extrême pointe de la presqu’île, ce site militaire : un long tunnel de 168 marches creusées dans la falaise. En savoir plus
le grain de sable
Situé Sutta Rocca est un célèbre et énorme rocher dans la mer, détaché de la falaise. Il y a plusieurs siècles, les cartes anciennes le nomment "scoglietto". La partie qui émerge de l'eau est haute d'une quarantaine de mètres environ. Sa partie supérieure est recouverte d'une maigre végétation persistante. Il est aussi le paradis des oiseaux de mer. En raison de ses proportions massives mais harmonieuses, les Bonifaciens l'avaient surnommé "u Diu Grossu" (le Gros Doigt ou le "Pouce"). En savoir plus
L’escalier du roi d’Aragon domine les Bouches de Bonifacio,
(inscrit au titre des Monuments historiques).Il figure parmi les sites les plus fréquentés de la Corse. La légende raconte : il aurait été creusé en une seule nuit par les troupes d’Alphonse V le Magnanime, à l’occasion du siège de Bonifacio en 1420.Situé à l’extrême pointe sud de l’ile de Beauté. Il relie la mer à la citadelle, en débouchant au pied de la terrasse, sur laquelle se dressait autrefois la tour du Castellet. Taillé par la main de l’homme dans la falaise calcaire ; Celui-ci compte 189 marches sur une hauteur de 65 mètres, le long d’une pente à 45°. Sa largeur n’excède pas 80 cm par endroit. 54 000 visiteurs font le déplacement tous les ans pour le découvrir. En savoir plus Découvrir nos logements : Read the full article
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ÉCONOM@ture & all!éNATION
Foi dans le progrès moral et physique, dans l’avancement scientifique et l’avènement de l’industrialisation – dans le cadre d’un marché domestique régionalement bien diversifié – bénéfique pour la prospérité nationale tout en permettant une plus grande diversification des emplois qu’un pays cantonné à l’agriculture, facilitant ainsi la mobilité sociale.
En plus de l’influence politique déjà mentionnée, la pensée économique de Carey influença, après son décès, d’un côté l’aile conservatrice du système américain en la personne du président McKinley259 et l’aile progressiste en la personne de Simon Patten, professeur à l’Université de Pennsylvanie au début du XXè siècle, dont trois de ses élèves devinrent les architectes du New Deal de F.D.…
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Exposition Collective | Enfantillages. L'Alsace et le début de l'illustration jeunesse (XIX-XXè siècle) https://www.artlimited.net/agenda/exposition-collective-enfantillages-l-alsace-et-le-debut-de-l-illustration-jeunesse-xix-xxe/fr/7585883
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1 rue Condorcet
Label Patrimoine du XXe siècle, Édifice bâti protégé (PLU)
Section cadastrale : BW
Numéro de parcelle : 298
Typologie : Maison de ville
Dates : 1934
Architectes : Alfred Joffre et Férid Muchir
Description : Style Art déco de type paquebot, avec l'angle arrondi de la rotonde demi hors-œuvre, l'oculus, le toit-terrasse, et lecontraste des matériaux entre le béton et la brique.
Influence régionaliste : Arcades des fenêtres de la rotonde et utilisation de la brique.
L'habitation est située à l’angle de la rue Condorcet et de la rue Pascal-Marie-Agasse.
Type de patrimoine:Habitat individuel
Période: L'entre deux-guerres (1919-1939)
Quartier: Saint-Assiscle
Type signalétique: Edifices labellisés XXè siècle
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Comment je suis devenue une guerrière (enfin j’essaie)
Par Céline Nicolas, notre prof de méditation à Yoga du Sud.
Voilà maintenant 6 ans que je pratique la méditation et, cet été, le hasard a placé sur ma route le descriptif d’une retraite intitulée « La voie sacrée du guerrier ». Le fameux descriptif proposait une réflexion sur la peur et une autre vision du courage ; il évoquait également la dimension sacrée du quotidien. Là je me suis dit « c’est ce qu’il me faut ! ».
Méditer confronte en effet à ce qu’on voudrait bien laisser caché au fond de nous et qu’est-ce que vivre le moment présent si ce n’est finalement introduire du sacré dans les actes quotidiens ?
Plus facile à dire qu’à faire…
Arrivée dans un éco-lieu charmant, j’ai découvert que cette voie sacrée du guerrier était en réalité le titre d’un ouvrage de Chögyam Trungpa. Je n’avais pas la moindre idée de qui il pouvait s’agir !
Je découvre que c’est un maître tibétain du XXè siècle qui a vécu en Occident (aux USA et en Angleterre) et fondé une école de méditation. Il a cherché à concilier Orient et Occident.
Conclusion : ce livre et donc ce stage ne sont pas totalement laïques comme la méditation de pleine conscience de Jon Kabat-Zinn. Voilà à quoi me mène la lecture en diagonale des descriptifs de retraite !
Notre guide -Georges Lançon- enseignant MBSR est lui-même bouddhiste et ne s’en cache pas. Dans quoi me suis-je embarquée ? Vais-je finir bouddhiste à la fin du séjour ?
La retraite fait alterner de nombreux moments de méditation avec un enseignement qui s’avère finalement -au moins à un premier niveau- compatible avec une vie laïque. OUF !
Que nous propose Trungpa ?
Comment construire un courage moderne ? Que signifie vivre avec courage ?
Au-delà du sens le plus commun du mot qui renvoie à la bravoure, aux qualités physiques face aux dangers, à la lutte, nous pouvons envisager cette qualité comme au retour au sens initial du mot : la disposition du cœur conçu comme organe noble, comme foyer de la vie intérieure.
Dans Shambala, la voie sacrée du guerrier une spiritualité adaptée aux Occidentaux.il s’interroge sur la façon de lier l’expérience de tous les jours et le sentiment du sacré ? Comment vivre authentiquement sur le chemin du courage en transcendant la peur ?
Le mot est lancé : le courage n’est pas la négation de la peur mais au contraire la reconnaissance de la peur, des peurs en soi. Le courage n’est pas la fuite dans un ailleurs idéal (autre job, autre ville, autre pays …) mais dans le fait d’endosser pleinement la vie et les obstacles -petits ou grands- qu’elle dresse sur notre chemin.
S’accepter vulnérable, faible, imparfait permet d’accueillir et d’accepter ses peurs. Les peurs diffuses, enfouies qui viennent du tréfonds de notre être nous effraient et nous les fuyons dans la fermeture, le déni, les divertissements.
Peur du ridicule, de ne pas être normal.e, peur du manque, du changement, de la maladie, de la mort, de la solitude, peur de pas être aimé.e, d’être rejeté.e et par-dessus tout, peur de la peu et peur de soi. La Liste est infinie. Tous nous sommes perclu.es de souffrances liées à ces peurs. Nous nous blottissons dans un cocon le plus douillet possible sans voir que nous nous enfermons, que nous nous rétrecissons.
Comment faire ? Quel est l’art du guerrier ?
Comment accéder à Shambala, le royaume intérieur en chacun de nous, la cité idéale ? Comment quitter le cocon de confort, de schémas tous faits, d’habitude pour se mettre sur la route vers Shambala ?
Ce moyen est la méditation assise.
Elle permet de prendre conscience de ses peurs, de les accueillir, les rencontrer. Rencontrer les douleurs corporelles, les émotions, les pensées et se des-identifier :
« Je ne suis pas cette colère, il y a quelque chose en moi qui peut l’observer ». Je peux, lorsque le malaise émerge, laisser cette peur venir, travailler avec elle et non la balayer en me verrouillant ou me laissant dans l’hyperactivité.
Je peux m’autoriser en douceur, avec tendresse envers moi-même à avoir mal. Je peux être curieux de ce monde en moi, m’autoriser à des explorations intimes, intérieures.
Je peux chercher à repérer des schémas qui me brident, qui canalisent mes peurs.
Sur cette voie on peut un jour enfourcher le cheval qui symbolise un esprit libre, courageux.
Mais la route est encore longue…
Céline Nicolas :
Je suis instructrice PEACE et PAUSE au sein de l’AMLE, (Association pour la Méditation Laïque à l’Ecole), j’ai fait le cycle MBSR et je fais découvrir aux futurs professeurs de yoga la méditation laïque.
Vous pouvez trouver les méditations de Céline dans son Youtube https://www.youtube.com/@mediteravecceline7731
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« Enième réécoute du O Fortuna. Il m’est impossible de me lasser de la plus eschatologique des œuvres musicales. C’est l’esprit du Moyen-Âge, un instant ressuscité par le XXè siècle, mais toujours drapé de ses ombres et de ses angoisses, qui dans un premier temps murmure comme dans ses cloîtres et ses cryptes à nos oreilles distraites l’éternelle vérité qu’il a adorée: jouets éternels de la Fortune, fragiles créatures sans cesse ballotées par ses vents contraires, nous serions fous d’accorder à notre séjour terrestre trop de crédit et de tout miser sur lui. Eschyle, après tout, dans son Prométhée enchainé et bien avant les moines chrétiens, n’en disait pas moins d’une idée que les vanités de l’âge baroque résumeront dans leurs crânes et dans leurs sabliers. Ainsi, du manuscrit médiéval retrouvé dans une petite abbaye bavaroise en 1803, monte, sublimé par la puissance classique, comme un ultime avertissement à destination d’une modernité jeune de rêves nouveaux, impétueuse, ivre de sa force, prête à faire ployer le ciel pour y cueillir l’éternité sans Dieu. Nous sommes en 1937, entre deux gigantomachies, et le compositeur allemand Carl Orff offre au monde sa lecture titanesque du chant médiéval. Grâce à lui, le Moyen Âge nous offre une dernière fois la leçon d’humilité qu’il mûrit des siècles durant, pour ensuite s’évanouir, accompagné d’un chœur à fendre terre et ciel, dans un final grandiloquent suggérant avec une force inégalée l’Apocalypse que ses hommes redoutaient tant. C’est une pluie d’astres morts et d’anges vengeurs qui s’abat sur nos regards hallucinés et se mêle au déluge de nos larmes: bientôt notre monde s’effondrera dans les éclairs d’aciers et les torrents de feu d’un siècle d’où la foi sera longtemps chassée. La dernière voix éteinte, ne nous reste plus alors que le silence des ruines, espace rêvé pour méditer, alors nous méditons, un peu hagards, scrutant le sens ultime sur les décombres d’un idéal. Curieux paradoxe, le conseil d’humilité face à l’incertitude nous a été transmis avec la plus grande des emphases, et nous nous sommes vu rappeler combien nous étions fragiles à l’aide d’une force prodigieuse. Quant à la volonté de puissance - si parfaitement mise en musique ici - elle est ici confrontée au sphinx que toute civilisation trouve au bout de son chemin. A quoi bon, homme d’Europe?, semble ainsi dire la bête. La réponse elle aussi est une énigme. Peu importe. Tout le tragique de l’âme faustienne chère à Spengler est condensé dans cette œuvre qui sonne comme un testament où l’on se confesse autant qu’on lègue; « l’horizon était ma raison », dit l’Occident. Quoi qu’il en coûte, où que se dessine sa ligne, il lui fallait le dépasser, car il lui fallait se dépasser. L’énergie tendue vers les lointains, l’homme blanc voulait voir et savoir, conquérir des mondes dont lui seul semblait deviner les rivages, et ne pouvait faire autrement que fixer ce qui échappait encore à son emprise de l’œil prédateur de l’ange déchu de Cabanel. Race maudite, non, mais race tragique, assurément. Les soupirs de l’Ecclésiaste eurent beau s’être épanouis en chants grégoriens et longtemps tempérer les ardeurs païennes, il y avait trop d’Achille et de Beowulf dans le cœur de ses hommes pour que l’Occident n’accomplisse sa monumentale destinée et ne s’épuise à gravir ces infinis qu’un élan vital prodigieux s’était choisi comme adversaires. »
Ariya S.
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Pierre Lemaitre - Le silence et ...
…la Colère RENTRÉE LITTÉRAIRE HIVER 2023 Un mois et demi de l’année 1952 en moins de cinq cent soixante-dix-neuf pages, Pierre Lemaitre publie le quatrième volume de sa saga, sorte de Rougon-Marquart des temps modernes, Le silence et la colère après Le grand monde. La famille Pelletier est toujours présente, même si l’ensemble du roman se situe beaucoup plus en France. Quatre ans après le décès…
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Tribute to David Bailey
C’est le photographe emblématique du swinging London, la BO en images des sixties version britannique
Celui qui fut la star incontestée du magazine "Vogue" et accessoirement l’époux de Catherine Deneuve, en témoin privilégié, a côtoyé les principales personnalités à Londres, Paris et New York, de Mick Jagger à Bardot, de Visconti à Andy Warhol. Egalement cinéaste, peintre et sculpteur, D.B reste l'une des figures marquantes de l'art contenporain du XXè siècle. Il est aussi connu pour avoir inspiré au réalisateur Michelangelo Antonioni le personnage de Thomas le photographe pour son film Blow-Up. Rien que ça ! il découvre la photographie pendant son service militaire dans la Royal Air Force en Malaisie, en 1956, grâce à des clichés d’ Henri Cartier-Bresson. Tout va très pour lui et à l'âge de vingt-deux ans, le voilà sous contrat avec le British Vogue, ainsi que, tout en restant indépendant, du Daily Express, du Sunday Times, du Daily Telegraph, de Elle, ou de Glamour
Énorme ! Hommage
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La gauche est morte... On va presque la regretter !
Avant-hier soir, sur France 2, mise en scène comme le Sévice public sait si bien nous en imposer : à la fin d'un entretien avec Eric Zemmour (interrogé par une Léa Salamé qui croit que c’est l’agressivité partisane et la malhonnêteté intellectuelle qui font une ''pro''), un ''panel'' réunissait 5 opposants pour ''décrypter sa prestation'' (sic ! En bon français : ''le descendre en flammes''). Raphaël Einthoven, avec la morgue prétentieuse de celui qui s'est toujours trompé --mais à gauche !-- a enfilé les contre-vérités (la plus belle ? ''Zemmour ose prétendre que l'Ukraine serait le berceau de la Russie''... comme si ce n'était pas vrai !). Ces journalistes et ces panélistes qui refusent le réel se prétendent ''à Gauche''... Mais où sont-ils ?
La Gauche --sauf miracle laïc dont font mine de rêver Hidalgo et Montebourg, en attendant les autres-- s'est endormie d'un sommeil cataleptique... que les français ont bien mérité, tant ses idées, initialement utopistes mais devenues perverses, ont fait de mal au pays. ''Endormie'', vraiment ? Réunions perturbées, conférences interdites, étudiants agressés, émeutes urbaines, candidat menacé de mille morts, provocations et violences contre la Police, haine à tous les étages, drogue partout, décadence ''woke'' et ''cancel culture'', faux internationalisme mais vraie haine anti-blanche, et écologisme intellectualisé à en être devenu ravageur pour la planète et l'humanité… une gauche extrême s’est revêtue des habits usés d'un antifascisme sans objet, pour sauver la démocratie (qui n'est menacée que par elle !) d'un péril fasciste (?) inexistant à part celui de leur comportement. Ne demandez pas à ces activistes qui se disent ''antifas'' la nature de ce danger, ils n’en n’ont pas la plus petite idée... et ils s'en foutent ! Seule les intéresse la possibilité de casser tout ce qui peut l'être et de substituer, par la violence, le chaos à la civilisation et le bordel à la paix civile. Dites-moi un seul point constructif, sous leur haine-pour-la-haine ?
Feue la Gauche, donc, ne se survit à elle-même que dans ce qu'elle avait de plus condamnable... mais qui n'était jamais sanctionné : les ''valeurs républicaines'' chères à notre pauvre intelligentzia qui n'était en vérité qu'une ''bêtisentzia'' (NDLR : je viens de l'inventer. Il me plaît !) sont des morceaux rapetassés de feue leur Doxa. Il faudra se demander un jour qui était coupable, qui responsable et qui les deux, de tous les malheurs de la France, de notre submersion par une immigration qu'il fut longtemps facile d'ordonner et contrôler intelligemment... du degré d'insécurité qui est maintenant ''de droit dans les zones de non-droit'' (et jusque dans les rues autrefois si souriantes de Cannes --que j'ai connue ''Ville de fleurs et des sports élégants'')... ou de la dégradation --qui menace d’être irrattrapable-- de ce qui fut notre ''éducation nationale'' qui n'est plus ni l'une, ni --surtout pas-- l'autre (outre le fait que si l'instruction peut être en partie du ressort de l'Etat, l'éducation, elle, n'appartient qu'à la famille, mais sans la seconde, la première n’est pas possible !)
Les quelque 20 %de français qui se disent ''de Gauche'', de quoi parlent-ils ? Pour une poussière de nostalgiques, c'est vouloir faire perdurer des idées qui, pour n'avoir jamais été réalistes n'en existaient pas moins : un mélange de Grand soir, du rêve d'une égalité économique contre-performante, de ''justice sociale'' (jamais définie, et pour cause !), d'une ''lutte des classes'' (ferment de discorde partout, solution nulle part et jamais...), de la fraternité des grandes grèves des XIXè et XXè siècles, ou le rêve... d'un échec prévisible dont l'utopie n'était que dystopie... tous fantômes auxquels ils ont rajouté un fatras d’idées collectivistes : ‘’l’Ecologisme''.
C'était irréaliste, mais ça avait une certaine ''gueule et une sorte de pureté dans l'onirisme dont quelques poignées d'intellectuels n'arrivent pas se dégager. Le communisme --léniniste, trotskyste, stalinien, titiste, maoïste puis ''Xi-iste'', hodjiste, khmer, ''kim''... mais toujours affreux-- est passé par là et a tout ravagé, ne laissant que laideur, pauvreté, mensonges, goulags, famines, épurations, ''grands procès'', lavage de cerveaux, morts par centaines de millions, et ayant semé partout les graines mortifères de la jalousie --qui ne peut que se sublimer en haine. Nous en sommes là. La Gauche, se voyant inutile, aurait pu s'en aller, discrètement... C'eût été trop beau : elle nous laisse le pire d'elle-même : une Gauche ‘‘extrême’’ !
Le terme extrême gauche, par définition ''sinistrissime'', est employé pour classer des individus, des mouvements, des organisations et des partis politiques qui méritent les qualificatifs les plus sévères. Il n'est pas possible de la décrire en termes de valeurs, d'idées ou de projet, puisqu'elle n'existe, en fait, que pour le renversement par la violence de ''ce qui existe'' et pour l'instauration (''égalitaire'', puisqu'on vous le dit...) d'une société imprécisée qui n'a jamais fonctionné nulle part et dont les ersatz --les régimes qui se rapprochent le plus de cette impossible caricature-- ne sont que les pires tyrannies qui aient fait souffrir notre belle planète.
L'antifascisme (ils disent "Antifa", par paresse) s'est développé en France à partir des années 1980, en réaction contre le Front National, et en liaison avec les ''redskins'' (version communiste des skinheads). A partir de 1992, le groupe dit ''No Pasaran'' a fédéré les différents ''SCALP'' (les ‘’Section Carrément Anti Le Pen’’), libertaires, marxistes, et ''anti-tout''. Tous ces épouvantails ayant heureusement disparu, ce qui reste de la mouvance antifa initiale peut se résumer à une ''Action antifasciste Paris-Banlieue'', forte d'une centaine de membres qui se définissent comme des ''antifas radicaux''. Sur son site internet, ce groupuscule explique que des groupes ''autonomes'' (?), cooptés de l'intérieur (?), cherchent à lutter contre la ''culture fasciste'' (?). S'il y a un monde où l'expression ''n'importe quoi'' a un sens, c'est bien cet univers clos sur son propre néant. Mais plus toute menace ''fasciste'' disparaît à jamais, plus la gauche extrême invente et fabrique des antidotes !
Ces fantômes de l'Ultra-gauche archéo-communiste disent regrouper des ''communistes de gauche'' (par opposition, je suppose, aux ''communistes-de-droite'', bien connus !). Ces illuminés se décrivent comme étant (je n'invente rien) ''conseillistes, luxembourgistes, situationnistes, ou communisateurs'' (sic ! On devrait les mettre dans des asiles !). Cette ''vraie ultra-gauche'' (re- ?) rassemble des courants ''marxistes anti-léninistes'' pour qui le prolétariat doit s'organiser en dehors des partis et des syndicats, car l'antifascisme et les luttes de libération nationales sont des luttes bourgeoises, à éviter. Ces ''purs'' ne participent pas aux actions violentes des ''autonomes'' mais aux luttes dans le monde du travail, càd. aux mouvements de grève.... et aux ‘’migrations’’, car il faut bien survivre !
L’adage ''le bonheur d’être communiste dans un pays qui ne l’est pas !'' définit parfaitement la mouvance autoproclamée “antifasciste”. Car si dans l’entre-deux-guerres, on risquait sa vie face au nazisme et au fascisme, les antifas actuels ne sont menacés que par le ridicule ou un coup de ''tonfa'' mal dirigé. Le fascisme a été enterré en 1945, mais l’antifascisme lui a survécu et n’a cessé depuis de s’enrichir de cibles au point qu'on appelle “fasciste” tout ce qui n’est pas progressiste. Pour ses thuriféraires, le ''mal'' est partout : dans les institutions, la police, l’armée, chez lePen, en Zemmour, et même De Gaulle... et jusque dans la culture et dans la sexualité. Est condamnable tout ce qui n'est pas ''moi'' ! Dans son ‘‘Le Diable en politique’’, Pierre-André Taguieff décrypte, dans l’antifascisme, un discours creux qui se résume à réduire l’Autre au Mal absolu.
Cet imaginaire menaçant, qui fait penser aux heures noires de la Propaganda soviétique, rend illégitime et inconvenante toute opinion non conforme à la pensée dominante. La disqualification morale transforme l’adversaire en ennemi-à-abattre, avec qui tout débat est compromission... ce qui ne laisse plus de place qu'à la violence pour résoudre tout conflit politique, comme Zemmour le constate chaque jour : s'il dit ''il fait beau, aujourd'hui'', il se trouve quelque Léa Salamé pour hurler ''Vous voyez ! Il tient un discours de haine et d'exclusion contre tous ceux qui aiment la pluie !''. Sous une incantation “antifasciste”, la gauche espère cacher son indigence intellectuelle et re-gagner une légitimité, alors que ce retour du fascisme n’est même plus une hypothèse ! France, réveille-toi : ils sont devenus fous !
H-Cl.
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Je viens de me réveiller, encore tout embrumé de rêves, dans ma chambre légèrement éclairée par la lumière du matin, au bruit métallique de chantier. Martèlements métalliques pour une fois salutaires car tout encore endormi que j’étais je me suis cru dans les années 40 dans une banlieue américaine un peu désolée comme un terrain vague et brumeux. Je me croyais dans la morne et berçante stupeur d’un tableau de Hopper. Je le sais, j’aurais été plus heureux dans le passé. Non parce que les hommes y étaient moins bêtes (encore que) ou la vie moins déjantée, plus civilisée (encore que encore) mais tout simplement pour une question (c’est con) d’esthétique. De cela j’en suis absolument persuadé. Je soupçonne même fortement qu’il y ait un lien entre l’esthétique d’une civilisation et sa grandeur. Je dirais qu’il y a eu de quoi être heureux pour ma part jusque dans les années 60, peut-être même avant, après quoi la grandeur des civilisations s’est si fortement diluée qu’on y peine à en trouver la trace. Cette première moitié du XXè siècle, malgré les guerres, je ne peux m’empêcher de penser qu’elle a été magnifique, que tout aurait dû se figer là, dans la sensation paradisiaque et à la fois désespérée des entre-guerres. Mais comme il eut été impossible que tout se figeât ! au temps où justement tout changeait !
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J’aurai vingt-sept ans en Juin et je n’arrive pas à savoir si c’est encore jeune ou si je suis déjà vieux. Je n’arrive pas à me situer sur la frise. C’est très flou, cette affaire. De loin, on dirait un adolescent et de près, un vieux con. Un vieux con déguisé en lycéen : la même fausse bonhommie, les mêmes Converse, le même jean, la même coupe de cheveux et les mêmes romans de Chick Palahniuk dans le même sac à dos usé.
Un schizo. Un clandestin. Un jeune homme du début du XXè siècle, né dans un pays riche élevé par des parents aimants, un petit garçon qui a tout eu : les baisers, les câlins, les goûters, les manettes de jeux, la familiarité des médiathèques, les pièces de la petite souris, les Harry Potter, les cartes Pokémon, les cartes Yu-Gi-Oh, les cartes magic, les hamsters, les hamsters de rechange, les forfaits illimités, les voyages en Angleterre, les sweats à la mode et tout le reste, mais pas seulement.
Pas seulement…
Un petit garçon né à la toute fin du XXè siècle, à qui l’on a répété depuis qu’il est en âge de jeter ses papiers de bonbons à la poubelle que la nature souffre par sa faute, que les forêts disparaissent dans l’huile de palme de ses petits pains au chocolat, que la banquise fond quand sa maman démarre le moteur de leur voiture, que les animaux sauvages sont tous en train de crever et que s’il ne referme pas le robinet à chaque fois qu’il se brosse les dents, eh bien, tout ça sera en partie à cause de lui.
Puis un élève curieux et conciliant que ses manuels d’histoire ont fini par décourager d’être né blanc, cupide, colonisateur, lâche, délateur et complice tandis que ceux de géographie ne cessaient – année après année - de lui rabâcher les chiffres alarmants de la surpopulation mondiale, de l’industrialisation, de la désertification, de la pénurie d’air, d’eau, d’énergies fossiles et de terres arables. Sans parler de ceux de français qui finissent toujours par vous dégoûter de lire à force de vous obliger à tout saloper – Relevez et ordonnez le champ lexical de la sensualité dans ce poème de Baudelaire, boum, terminus, tout le monde débande -, de langue qui vous rappelaient d’une année à l’autre how much you were ouna mayouscoula Scheise et de philo, enfin qui s’avèrent être un grand concentré de tout ce qui précède, mais en bien plus implacable :
« Hé, toi, petit Blanc Falot qui bande mou et qui fait rire tout le monde avec ton accent pourri, cherche et ordonne le champ lexical du gâchis de ta civilisation, s’il te plaît. Tu as quatre heures. »
(Hep, hep, hep, ton brouillon… dans la poubelle jaune.)
Et quand ce viatique anxiogène au possible est enfin intégré, digéré, su, répété dans des copies d’examens et reporté dans les statistiques de réussite au baccalauréat, vas-y que je te rajoute par là-dessus quelques années d’études pour que tu ne viennes pas trop t’engorger trop vite dans les portillons de l’avenir.
Et toi, bon con, tu fais tout comme il faut : les révisions, les examens, les diplômes, les stages.
Les stages pas payés, les stages non rémunérés, les stages sans contre-partie financière, les stages pour l’honneur et la gloire. Les CV. Les CV avec la photo qui plaît. Les CV en papier, en ligne, en relief, en vidéo, en veux-tu, en voilà, en n’importe quoi. Les lettres de motivations. Les mails de motivations. Les… tout ce fatras de baratin à la con dans lequel tu ne sais même plus quoi inventer tellement tu n’y crois déjà plus, tellement ça te déprime, d’avoir à te battre si dur et si tôt pour avoir le droit de courtiser comme les autres.
Mais tu continues. Tu continues vaillamment : les pôles pour l’emploi, le Pôle emploi, les salons pour l’emploi, les chasseurs de tête, les petites annonces, les jobs alertes, les plates formes de recrutement, les codes d’accès à votre espace candidat, les abonnements aux flux des offres, les faux espoirs, les entretiens, perdus d’avance, les facebookmakers qui ne te cotent même pas en rêve, le beau-frère de ton parrain qui va en parler à ses amis du Lions, les coucou-copain-d’avant, tu sais j’en ai toujours un peu rien à foutre de ta gueule, mais ton père il avait pas une usine au fait ? Les agences d’intérim, les pistons imparables, les pistons foireux, les pistons bien pourris, les sites d’annonces qui deviennent de plus en plus payants et les assistantes de DRH de moins en moins gracieuses, les… Oui, tu as toujours assuré, tu n’as jamais jeté un seul papier par terre de toute ta vie, tu n’as jamais mis tes pieds sur la banquette d’en face, même très tard, même explosé, même quand tu étais seul dans le compartiment et tu as eu ton diplôme sans embêter personne, sauf que hé, pas de chance, dis donc.
Y’en a pas, du travail pour toi.
Ben, non, y en a pas. Y te l’avaient pas dit, t’es sur ? Ça m’étonne… Tu devais encore bavarder avec ta voisine de gauche…
Ho, mon gars ! Réveille toi ! C’est la crise !
Et alors ! écoute les infos au lieu d’apprendre un métier, tu perdras moins ton temps !
De quoi ? Tu ne comprends pas ? Attends, bouge pas, chaton, on va te résumer la situation :
Tu es jeune, tu es Européen et tu es gentil ?
Eh bien, tu vas prendre cher, mon ami !
On te ressasse à longueur d’ondes que la dette de ton pays s’élève à cent mille milliards de milliards de dollars, que ta monnaie ne vaudra bientôt plus rien, que si tu ne sais pas parler le chinois, ce n’est même pas la peine s’essayer, que la Qatar est en train de tous nous racheter, que l’Europe c’est fini, que l’Occident, c’est fichu et que la planète, c’est foutu.
Voilà c’est tout.
Panem et circenses. A y est. Nous y sommes.
Crois moi, petit, y ‘a plus qu’à regarder le foot en attendant l’apocalypse…
Allez. Couché, on t’a dit. Fly Emirates et tais-toi.
Et puis cesse donc de t’agiter comme ça. Arrête de cliquer, de téléphoner et de courir postuler partout, s’il te plaît. C’est mauvais pour la couche d’ozone.
La vie en mieux - Anna Gavalda
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Le Transsibérien : Tobolsk
Nous débarquons à Tobolsk, et admirons un paysage gelé féérique ; la forêt de conifères est couverte de son manteau blanc, et l’horizon est sculpté par les vallées qui se découpent sur un ciel matinal à l’épaisse brume. La ville est très étendue et peu haute, ce qui change des autres métropoles russes ; on y voit les traces d’un passé ancien, à commencer par le magnifique kremlin sous la neige en haut d’une colline. Ce kremlin a d’ailleurs des liens étroits avec son homologue moscovite, dans la mesure où l’une des flèche fut donnée en cadeau à la petite ville. Vladimir Poutine gratifia également Tobolsk d’une visite officielle, ce qui nous conforte dans l’idée d’une ancienne capitale sibérienne prestigieuse.
Serguei nous sert de guide, et nous présente l’église de l’Intercession de style kieven, rénovée dans les années 2000 par la Société des Artistes de Tobolsk. Il a lui-même participé au processus en peignant une icône présente sur l’iconostase. Le kremlin est aussi égayé par la Cour des Marchands, qui y ont construit une auberge aujourd’hui hôtel pour les voyageurs. Il y a plus de 300 000 touristes chaque année à Tobolsk, et la moitié sont des Russes venus en pèlerinage. Nous visitons la cour intérieure, escaladons les remparts très glissants, et apprenons que la cloche fut forgée par les prisonniers de guerre suédois capturés par Pierre le Grand. Elle pèse environ 25 tonnes tout en étant positionnée de biais, pour demeurer droite au cas où le terrain glisserait. L’architecte de cette merveille, Remezov, aurait dédié sa vie toute entière au kremlin : la légende veut qu’après sa mort, il eût demandé à ses disciples d’extraire ses os, de les faire bouillir et d’en confectionner une chaux pour fortifier les murs de la forteresse. A l’époque, c’est le seul kremlin de pierre avec celui de Moscou, ce qui en dit long sur le rayonnement de la ville sibérienne, qui tenait une place particulière dans l’estime des tsars.
En effet, Tobolsk était particulièrement appréciée de Pierre le Grand. Cette tradition se perpétua, de manière un peu moins joviale aussi : la ville abritait les prisons les plus austères de Russie, et le régime soviétique s’appropria à merveille cet héritage macabre en y envoyant de farouches dissidents, qui y endurèrent toutes les tortures les plus imaginatives. Les geôles de Tobolsk étaient donc réputées, du XVIIè siècle à l’ère de la police politique du XXè siècle. Aujourd’hui, un musée a remplacé la sordide fonction du bâtiment.
Quelques mètres plus loin, on trouve le Palais des Décrets, également transformé en musée retraçant l’histoire de la ville et de ses gouverneurs. Là encore, le rôle clé de Tobolsk apparaît en transparence dans tous ces édifices, vitaux pour le pouvoir de l’époque. On voit également les symboles de la ville et de la région, comme la zibeline, un petit mammifère à la fourrure prisée, qui reviendra au cours de notre voyage en Sibérie.
L’influence du tsar se fait sentir jusque dans la maison dont il disposait pour prendre congé, et où a aussi séjourné l’entourage de sa famille (dont le précepteur Pierre Gilliard). La maison Kuklin, d’un luxe évident, expose les chambres des enfants, la salle à manger, la salle de cours de la tragiquement célèbre famille. Le musée présente également les étapes qui menèrent au transfert des derniers Romanov à Ekaterinbourg.
Tobolsk est une petite perle qu’il vaut la peine de visiter, surtout lorsque l’hiver dépose son manteau blanc sur les murs immaculés du kremlin. Son symbole est un ange, car sa position et ses éléments géographiques (comme sa forêt environnante) semble représenter des ailes, un cœur et une auréole. Néanmoins, il apparaît évident que la ville a perdu de sa superbe par rapport à l’époque dorée des tsars ; peuplée de moins de 100 000 habitants, on a pourtant l’impression d’être seul au monde (bien que nous fûmes de passage en saison basse, c’est le moins qu’on puisse dire). Sa position d’abord éloignée du chemin de fer du Transsibérien l’a pénalisée ; la gare se trouve à une quinzaine de kilomètres de la ville, ce qui est beaucoup par rapport aux autres villes que nous avons pu voir. Cependant, son calme hivernal est un baume à l’âme incomparable ; et on se laisse volontiers envoûter par la vue saisissante du kremlin, de son escalier magique, et de l’immense forêt couvrant les collines dans un froid sec et revigorant.
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Exposition Collective | Enfantillages. L'Alsace et le début de l'illustration jeunesse (XIX-XXè siècle) https://www.artlimited.net/agenda/exposition-collective-enfantillages-l-alsace-et-le-debut-de-l-illustration-jeunesse-xix-xxe/fr/7585883
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