#^Violences faites aux femmes
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vagabondageautourdesoi · 4 months ago
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Pauline Guéna - Reine
Solitudes entrelacées dans Reine, un Roman Noir Captivant Reine de Pauline Guéna raconte, avec ce roman noir, les violences subies et données avec un espoir, la lumière vers la fin. Léan, jeune journaliste de faits divers pour une Web-News, est employé pigiste pour les faits divers, sous les ordres de Caro, son rédacteur en chef. Il rêve de rejoindre le service politique, lui qui vient de sa…
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transparentgentlemenmarker · 2 months ago
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Le seul coup de pied qu'une femme devrait recevoir
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Arrière-arrière-grand-père
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mots-pour-maux · 1 year ago
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Aujourd’hui, nous sommes le 25 novembre !
Aujourd’hui c’est la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
Sensibilisons-nous à ce problème mondial et engageons-nous à mettre fin à la violence…
en soutenant les victimes,
en promouvant l'égalité des genres et
en encourageant les politiques de prévention.
Ensemble, créons un monde où les femmes sont respectées, protégées et libres de vivre sans crainte de violence !
#SeTaireEstMortel
#LibererEtRespecterLaParoleDesVictimesEstNotreResponsabiliteATous
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echo-s-land · 1 year ago
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Moi quand
Moi quand quelqu'un dans ma classe m'a demandé de quel bord politique j'étais pour me dire qu'elle était d'extrême droite
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leblog2roubaix · 3 months ago
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#1106 Andrea LAMBLIN, engagée dans la lutte contre la violence faite aux femmes
Andrea Lamblin, Miss International Haut-de-France Armentières Andrea Lamblin est une jeune femme de 27 ans qui a été élue Miss International Haut-de-France Armentières. Elle travaille depuis 4 ans en tant que préparatrice en pharmacie à la pharmacie Du Grand Palais de Lille. Elle est également professeur de danse et adore partager sa passion de la danse avec ses petites élèves âgés de 5 à 15…
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bdqg · 4 months ago
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Grand-môman
Une main tendue peut venir à la rescousse d’un poing crispé comme en témoigne Grand-môman de Brigitte Marleau, inspiré de faits vécus.
On hait-tu ça quand nos vieux appareils arrêtent de fonctionner comme ils le devraient ? Ce n’est pas long qu’on pogne les nerfs après : les insultes fusent, les coups pleuvent et ils se retrouvent illico presto aux vidanges. C’est facile de s’abandonner à nos pulsions puisqu’il s’agit d’objets inanimés dépourvus de sentiments. Il nous est tous arrivé de faire subir à autrui nos sautes d’humeur…
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lire1x · 4 months ago
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Norferville de Franck Thilliez
Peut-on affirmer que notre été est pourri ? Force est de constater que la météo est loin d’être estivale depuis le début de la saison. Beaucoup se plaignent et ils ont plus que raison même si nous devons avouer que malheureusement, mis à part apprendre à profiter des éclaircies et danser sous la pluie avec notre Tahiti douche (pour ceux qui ont la référence), il n’y a pas grand-chose à…
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firebarzzz · 6 months ago
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L'Indifférence aux Violences Faites aux Femmes : Une Intolérable Réalité - Firebarzzzcom -
📍La Note Firebarzzz … Dans l’indifférence générale. Par Firebarzzz, Le 5 Mai 2024. Le ciel de Strasbourg était d’un gris lourd ce matin-là, comme s’il pressentait le drame qui s’était noué dans l’ombre. Marie, 25 ans, avait passé des années à tenter d’échapper à l’emprise de Paul, un homme de 45 ans au passé trouble et au cœur de violence. Ils avaient partagé une vie, mais c’était une vie…
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ejcmedia · 6 months ago
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"Moi aussi", le film de Judith Godrèche projeté pour la première fois, au Festival de Cannes
Le film de Judith Godrèche, Moi aussi a été présenté pour la première fois au cinéma de la plage en présence de la réalisatrice. Il a ouvert la catégorie Un Certain Regard du Festival de Cannes. Récit d’une soirée forte en symbolique pour la lutte contre les violences sexistes et sexuelles. Tiphaine BERNARD, Valentine FOUREAU & Paul HETTEédité par T.B.
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soirinfotchad · 1 year ago
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Chaque année, de nombreuses femmes dans le monde sont victimes de violence.
Chaque année, de nombreuses femmes dans le monde sont victimes de violence.
La violence envers les femmes est un problème mondial. Selon l’ONU, environ 736 millions de femmes, soit environ une femme sur trois, ont été victimes de violences physiques et/ou sexuelles au moins une fois. (Un article dénommé zoom sur les violences contre les femmes va paraitre dans 3 heures à lire) Dans le monde, six femmes sont tuées chaque heure. Malgré l’engagement des organisations non…
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vagabondageautourdesoi · 7 months ago
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Franck Thilliez - Norferville
Présentation de Norferville de Franck Thilliez son nouveau thriller "one shot" sur des meurtres de jeunes femmes autochtones dans le Grand Nord Canadien.
Franck Thilliez s’est imposé comme Le Maître du thriller français. Chaque année, il en publie un, soit avec ses personnages récurrents Sharko & Henebelle, soit, comme ici avec Norferville, un “one shot”. En travaillant les sujets de fond, Franck Thilliez réussit à développer un couple d’enquêteurs qui doivent résoudre le meurtre d’une jeune femme particulièrement sordide. La scène inaugurale du…
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transparentgentlemenmarker · 6 months ago
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salewoke · 1 year ago
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ça commence aujourd'hui |
Le jour où leur bourreau sera libre…
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Découvrez le témoignage de ces femmes victimes violences commises par des hommes.
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louisa-a · 1 year ago
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Ep.61 Marine (Chroniques du sexisme ordinaire) "Arrêter le sexe libère du temps, de l'énergie cérébrale, pour d'autres trucs."
Marine-Pétroline a créé “Chroniques du sexisme ordinaire”, “le podcast qui débusque le sexisme dans les moindres recoins”. Avec plusieurs objectifs : comprendre un mot ou un concept clé, décrypter une histoire de sexisme ordinaire et invisible, et avoir la répartie pour défendre nos convictions féministes. Dans cet épisode, nous parlons de son podcast, sa création, les réactions, le…
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dixvinsblog · 1 year ago
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Marie Murski -Noces de mort
Photo : collage de Sidonie Blondel autour du portrait de Juliette Récamier, tableau de François Gérard (élève de Jacques-Louis David) en 1800.
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feministesvscyberh · 2 years ago
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CYBERVIOLENCE ET CYBERHARCÈLEMENT : LE VÉCU DES VICTIMES
À la suite de son enquête nationale « Cyberviolence et cyberharcèlement : état des lieux d’un phénomène répandu », notre association Féministes contre le cyberharcèlement publie les résultats d'une enquête auprès des victimes de violences en ligne, « Cyberviolence et cyberharcèlement : le vécu des victimes », conduite à sa demande par l’institut de sondage IPSOS auprès de 216 victimes de cyberviolence âgées de 16 à 60 ans et plus, du 30 septembre au 2 novembre 2022. L’impact de ces violences sur la vie et la santé des victimes est encore peu documenté, c’est ce constat qui nous a incitées à questionner directement les victimes de cyberviolences sur leurs parcours. Or, les résultats de cette enquête réalisée avec le soutien de la Fondation Kering et du Fonds pour les Femmes en Méditerranée dressent un état des lieux alarmant et soulignent le caractère genré de ces violences ainsi que leurs conséquences délétères. 
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UN PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE
Les données collectées auprès des victimes de cyberviolences dessinent une situation d’urgence sanitaire et sociale. Comme le pointait la précédente enquête nationale de l’association, ces violences sont répandues : plus de 4 Français·es sur 10 qui déclarent avoir été victimes de cyberviolences. Elles visent surtout les personnes les plus vulnérables ou discriminées et le phénomène touche en particulier les 18-24 ans, qui sont 87% à en avoir subi, les personnes LGBTQI+ (85%), les personnes racisées (71%) et les femmes de moins de 35 ans (65%). 
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D’ailleurs, parmi les répondant·es de l’enquête auprès des victimes on retrouve en majorité des femmes (84% des répondant·es) ainsi que des personnes discriminées en raison de leur identité de genre et leur orientation sexuelle (43%). Dans plus d’1 cas sur 2 (51%) la victime était âg��e de moins de 30 ans au moment des faits. Quant à la dimension genrée des attaques en ligne, elle apparaît également via les données recueillies sur les personnes identifiées comme responsables des cyberviolences : des hommes sont impliqués dans la perpétration de ces violences dans au moins 74% des cas.
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Si les menaces et les insultes sont les situations les plus fréquemment rencontrées par les victimes (93%), la diffusion non consentie de contenu intime ou dégradant concerne plus de la moitié d’entre elles (52%). Les revictimisations sont fréquentes et 93% des victimes déclarent avoir vécu plusieurs situations de cyberviolence, 40% d’entre elles rapportent même en avoir vécu entre 7 et 10. Les insultes, les menaces, l’envoi de photos de parties génitales ainsi que l’exposition à des contenus violents sont des situations que la majorité des victimes a subi plusieurs fois. 
Loin d’être un mal virtuel, les cyberviolences ont un impact extrêmement lourd sur la santé des victimes, mais également pour leur épanouissement relationnel, familial, scolaire et professionnel. Les conséquences peuvent être extrêmes et 14% des victimes déclarent avoir tenté de se suicider suite aux violences subies. Il est aujourd’hui impossible de tracer une ligne de démarcation nette entre le hors-ligne et le en-ligne : les cyberviolences s’enchevêtrent avec les violences subies dans l’espace tangible et s’inscrivent dans un continuum de violences qui visent le plus souvent les femmes, les filles et les personnes les plus discriminées.
Or, la lutte contre ces violences repose encore en majorité sur les victimes, qui, faute de recours satisfaisants, se sentent isolées et développent des stratégies d’adaptation coûteuses et épuisantes. Moins d’une victime sur 10 déclare avoir su comment réagir au moment des violences et plus d’un tiers d’entre elles (36%) rapportent avoir été culpabilisées lorsqu’elles se sont confiées à leur entourage ou à des professionnel·les, ce chiffre s’élève même à 69% pour les victimes de diffusion non consentie de contenu intime ou dégradant.
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LES PRINCIPAUX RÉSULTATS DE L’ENQUÊTE
Des violences qui s’inscrivent dans un continuum et se poursuivent hors-ligne.
L’espace numérique n’est pas disjoint du monde tangible : les menaces faites en ligne n’en restent pas qu’au stade de menaces et sont mises à exécution, ainsi, 72% des victimes déclarent que les cyberviolences se sont poursuivies en présentiel. Elles sont même près d’1 sur 5 (16 et 18%) à rapporter un vécu de violences physiques ou sexuelles accompagnant les violences en ligne. Les victimes de cyberviolences encourent donc de grands dangers : il ne suffit pas d’éteindre son ordinateur ou de désactiver ses comptes sur les réseaux sociaux pour faire cesser ces violences.
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D’ailleurs, pour une victime sur deux (49%) la situation s’est installée dans la durée et les violences se sont poursuivies durant au moins un mois — voire plus d’un an pour un quart des victimes. Ces violences conduisent les victimes à se plier à des stratégies d’adaptation et d’évitement coûteuses qui engendrent un épuisement physique et psychique et sont néfastes pour leur agentivité et leur liberté d’expression. 32% d’entre elles ont d’ailleurs désactivé leurs comptes sociaux suite aux violences. 
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De lourdes conséquences sur la santé et la vie des victimes.
Les conséquences psychiques et sociales des cyberviolences sont nombreuses et significatives chez les victimes, encore plus lorsqu’il s’agit de femmes et de personnes discriminées. Dans 1 cas sur 2, un impact moyen à très fort est rapporté par les victimes sur leur études ou leur vie professionnelle. Les violences en ligne sont aussi à l’origine de troubles majeurs pour leur santé : elles engendrent un impact psychologique dans 80% des cas, et même un impact physique pour 1 victime sur 2 (46%).
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Parmi les conséquences rapportées par les victimes, on retrouve de nombreux symptômes de stress post-traumatique : hypervigilance (91%), troubles anxieux et dépressifs (88%) et insomnies (78%) et pensées suicidaires (49%). 45% des victimes développent des troubles alimentaires et près d’1 victime sur 5 déclare s’être déjà auto-mutilée suite aux violences. Enfin, 31% des victimes confient avoir augmenté leur consommation d’alcool et de substances en raison des violences subies. 
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Une surreprésentation de femmes et de personnes discriminées parmi les répondant·es.
Le monde numérique est le reflet de notre société : on y retrouve toutes les oppressions et les inégalités constatées hors-ligne et les violences qui y sont perpétrées ciblent souvent les personnes les plus discriminées. Ainsi, les victimes de cyberviolence qui ont pris le temps de répondre au questionnaire pour témoigner de leur vécu sont en majorité des femmes (84%) et des personnes qui déclarent faire partie d’un groupe minoré et/ou être en situation de handicap (80%). 72% des personnes se déclarant d’une autre identité de genre rapportent avoir subi 7 à 10 situations de cyberviolence contre 40% des répondant·es au global. De surcroît, les personnes issues de groupes minorés ou en situation de handicap déclarent des conséquences sensiblement plus importantes sur leur vie et leur santé. Ainsi, les personnes LGBTQI+ ont plus tendance à se sentir désespérées et anxieuses que celles qui ne font pas partie d’un groupe minoré, elles ont aussi 3 fois plus de risques de s’automutiler.
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Les personnes handicapées déclarent 2 fois plus souvent un impact physique des violences que les personnes valides et encourent 3 fois plus de risques qu’elles de rater leurs études — d’ailleurs les violences qu’elles subissent ont 6 fois plus souvent des conséquences très lourdes sur leur scolarité ou leurs études. Quant aux personnes racisées, elles rapportent 2 fois plus fréquemment être devenues hypervigilantes que les personnes n’appartenant pas à un groupe minoré. Les victimes discriminées en raison de leur religion sont, elles, 3 fois plus nombreuses à affirmer ne plus pouvoir aller à l’école ou au travail suite aux violences subies en ligne.
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Un accès au droit déficient.
Le parcours judiciaire des victimes est semé d’embûches : 61% des répondant·es pensent que porter plainte ne sert à rien et on ne peut pas vraiment leur donner tort. Bien qu’une victime sur 4 se soit déplacée au commissariat ou à la gendarmerie, elles déplorent dans 70% des cas que leur plainte n’ait donné lieu à aucune poursuite, tandis qu’un tiers des victimes se sont vues refuser le dépôt de plainte — bien que ce refus soit illégal. Quant aux personnes issues d’une minorité religieuse, elles ont 4 fois plus de risques d’être mal accueillies par la police et la gendarmerie et de ne pas pouvoir déposer plainte que les personnes qui ne font pas partie d’un groupe minoritaire. Au global, les violences en ligne subies par les répondant·es n’ont donné lieu à une plainte suivie de poursuites judiciaires que dans 3% des cas. L’accès au droit des victimes est clairement insuffisant et 17% d’entre elles affirment ne pas avoir porté plainte parce qu’elles ne savaient pas qu’elles pouvaient le faire.
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Un manque cruel d’information et de recours.
69% des victimes admettent ne pas avoir su comment réagir lorsqu’elles ont été confrontées à une situation de cyberviolence. Si elles sont 74% à avoir pu parler des violences subies à au moins une personne, plus d’un tiers de celles qui ont gardé le silence l’ont fait parce qu’elles ne savaient pas à qui en parler ou parce qu’elles avaient peur des conséquences/que la situation empire, et plus d’un quart se sont tues parce qu’elles se sentaient coupables. Lorsqu’elles se sont confiées, les victimes l’ont avant tout fait dans la sphère amicale — nettement moins dans le cadre familial ou médical. Par ailleurs le niveau d’information en ce qui concerne les dispositifs d’accompagnement demeure très faible : 81% des victimes se déclarent mal informées sur plateformes à disposition pour leur venir en aide, ce chiffre s’élève même à 92% pour celles qui avaient moins de 25 ans au moment des violences. Seules 27% des victimes disent avoir entendu parler d’un dispositif comme le 30 18 et elles ne sont que 3% à y avoir eu recours. Ces chiffres pointent de sérieuses et regrettables lacunes en matière d’initiatives gouvernementales pour assurer l’information du public et la prise en charge des victimes de cyberviolences.  
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Des revendications pour améliorer le parcours des victimes.
Au vu cet état des lieux, notre association appelle les pouvoirs publics à mettre en place de toute urgence des campagnes d’information et de prévention sur les cyberviolences, mais également une plateforme d’écoute et d’orientation destinée à toutes les victimes de violences en ligne — quel que soit leur âge, ainsi qu’un observatoire des cyberviolences de genre. Nous souhaitons aussi que soit mis en œuvre un grand plan national d'information et de formation à destination du personnel éducatif, social et de santé, du corps juridique et des forces de police, afin d’améliorer le parcours des victimes et leur accès au droit. 
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