#Vrills
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angelicdudles · 4 months ago
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Oh yeah, I’m glad I gave their design another pass
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villruu · 1 month ago
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Taking a break in studying to share more (mostly) tumblr posts that remind me of Marble Hornets (Part 3)
(Part 1) (Part 2)
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aitiuilghrain · 1 month ago
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Agartha Cadilek‘s
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skitter-kitter · 8 months ago
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"Divorce of convenience" Rachel + Lear? 👀
send me reverse tropes with pokemon characters + Lear and i'll write something for it
This one's fun!
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It came up once by complete accident, when Lear and Sawyer were training their pokémon while Rachel and Cheren chatted by the sidelines.
“What do you think you’ll do once this is over?” Cheren asked. “Once Lear becomes king, I mean. He won’t need retainers then, will he?”
“Well, he, uh…” Rachel rarely stumbled over her words, so hearing it drew both Lear and Sawyer’s attention. She didn’t notice when the battle came to a halt. “Sawyer would become part of his personal guard, probably. He’s strong and he’s been trained by the king’s guards for ages. But me?”
She paused, considering everything. Cheren let her think it over.
“I don’t know,” she said eventually. “I don’t know if I could be anything more than this. If some lowly orphan girl could have a life more than this. So, uh, I guess what I’m saying is… when we leave Pasio, I don’t think I’ll be able to be anything but Master Lear’s old retainer.”
That sparked the idea. The, frankly, awful idea but one which would fix the issue of Rachel being a nobody orphan whose biggest point of fame was being Lear’s old retainer.
“It is not romantic,” Lear told her the day he proposed the idea. “We’ll be married for a few years, I’ll be able to let you form all the connections you want to fashion designers as my, uh, wife… and then when we get divorced after a while, then people will know you as someone wholly your own. Is that okay with you?”
Rachel had stared at him for so long he’d grown concerned she’d fallen so deep into shock that she’d faint, but eventually she snapped out of it, wrapped both arms around him, and tackled him to the ground with a cry of “Yes, yes, yes! Master Lear, yes!” which made them both laugh.
Lear’s father wasn’t happy about the arrangement and the plan to divorce,— especially about the fact that he’d have to call the orphaned girl he’d only hired to teach his son about the lower caste his daughter-in-law— but with enough pointed conversations Lear managed to sway him. The king at least got to unite their country with the news of the prince’s wedding.
After her name was announced, Rachel walked out in a stunning dress. It dragged behind her, hibiscus flowers sewn into the design. One of the flowers was tucked into her hair; a memento to the late queen. Any doubt of the validity of their relationship was blown away when the prince looked at her with a soft, warm smile. After they called out Rachel Falstelo, everyone who loved her cheered.
No one would dare call her a mere retainer any longer.
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martyrgraph · 9 months ago
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random icons (300x300)
credit; martyr.
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pentecostwaite · 1 year ago
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Current fave name from the Essex County, MA Court of Common Pleas record books (1748 session).
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lanwards · 1 year ago
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metabotulism · 2 years ago
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jeanfrancoisrey · 1 year ago
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Art végétal…
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thebongcloudopening · 10 months ago
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you ever just give in and decide you'll finally check out whatever the fuck your mutual has been going on about
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lemonyinks · 1 year ago
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Prompted by that Lyle post I made, do we think Querl can grow facial hair? Or is he cursed like Lyle to have a patchy beard?
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angelicdudles · 4 months ago
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Not sure if I love this design yet, gonna maybe give it another go later, but oc x canon’ing is happening again unfortunately
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Plus some bonuses :3
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And I think we should be doing theraprism ocs in general actually. Can we start that?
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villruu · 10 months ago
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(Mostly) Tumblr posts that reminds me of Marble Hornets (Part 1)
(Part 2)
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actualmichelle · 6 months ago
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So a whole host of people on TikTok have evidently discovered trees, finally.....
I've seen multiple videos where someone is zooming in on an extinct lepidodendron tree (it's not) and saying they've torn through "time fabric" (they havent)
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merango · 8 months ago
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oenodyssee · 1 year ago
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Numéro double
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Chez Jocelyne et Gérald Oustric // Gaec du Mazel // Valvignères // Ardèche // Côte-du-Rhône // 20 hectares
Saint-Thomé. Descendre du car. Retirer l’étuis rouge de la soute. L’étui en forme de L qui intrigue tant les voyageurs des trains et des bus que j’emprunte pour aller et venir entre Bordeaux et les lieux où je laisse mon vélo. De plus en plus souvent on ose me demander ce que le L contient. Mes réponses varient. Aux enfants, je réponds : - Un T . Aux vieux soupçonneux, je parle d’arme, de sulfateuse. Aux jeunes couples j’avance : - ma partenaire. Aux rêveurs de tous âges j’etcétère : - un autre étui (mais plus grand) contenant lui-même un autre étui (mais plus grand) contenant lui-même… Il arrive aussi que, pour rester vague,  je parle d’instrument.
Quelle est la vérité ? J’hésite moi-même. Disons que quelque chose se précise au fil des jours. Démêler. La housse en L taillée dans une bâche étanche incarnat contient en effet un coffre en cuir rigide de forme identique et fermé par des sangles à boucles, lequel contient en effet un cep de syrah en forme de T (tourmenté) gréé en instrument de musique électronique et informatique – que j’appelais encore métaphorminx ou hypercep avant d’arriver chez Jocelyne Oustric, il y a un mois. Jocelyne précisément dont la voiture se gare à ma hauteur.
On fait maintenant route vers Valvignères où se trouvent les vingt hectares de vignes dont ma très sympathique conductrice s’occupe avec son frère Gérald. Cette fois, ni domaine, ni château, ni mas, ni ferme mais GAEC. Le GAEC du Mazel. Si l’acronyme (Groupement Agricole d’Exploitation en Commun) fleure un peu techno, la réalité est qu’il permet à un petit groupe de professionnels (de 2 à 10) de s’associer au sein d’une entreprise tournée vers l’agriculture. Des frères et sœurs par exemple.
« Au départ, m’avait expliqué Jocelyne lors de ma première visite, Gérald était tout seul. Il avait repris l’exploitation de notre père et livrait le raisin à la coopérative. Comme la plupart des vignerons de son entourage il pensait ne pas aimer le vin et buvait surtout du Ricard. » Jusqu’à ce qu’au hasard d’un passage en Beaujolais il rencontre Marcel Lapierre, pionnier du vin nature, et goûte ses canons. « Là, il a tout de suite aimé… Ensemble ils ont essayé de convaincre la coopérative de prendre le virage du nature ; ils y croyaient vraiment, mais c’était peine perdue et Marcel a fini par dire à mon frère : - si tu veux boire ton vin, sors de la coopérative. » À cette période, Jocelyne s’est éloignée de Valvignères. Après avoir rêvé de devenir sage-femme, elle a passé plusieurs années à Londres.  « J’ai quand même fini par revenir en Ardèche où j’ai trouvé un boulot dans une entreprise informatique. C’est à ce moment, en 1998, que Gérald m’a proposé de monter le GAEC. Au départ on faisait tout ensemble, la taille, les vinifes, tout ça. Ce qui m’allait très bien vu je n’avais pas fait d’études agricoles. Ensuite j’ai eu mes enfants et je me suis plus concentrée sur la partie administrative. »
La voiture quitte maintenant la route pour emprunter un chemin bordé de vignes. Nous grimpons jusqu’à la forêt encore quasi méditerranéenne qui coiffe le coteau et nous arrêtons un plus bas, devant le grand chai du GAEC. Dans l’entrée deux piles de cartons remplis de bouteilles échangées avec d’autres vignerons. La première pile en provenance de Mulhouse où Gérald était en salon les deux jours précédents. La seconde de Latour de France d’où sa sœur revient pour la même raison. Plus loin, le grand pressoir mécanique dédié à certaines cuvées pour la qualité des jus qu’il produit, les cuves inox chemisées avec température réversible puis, un étage au-dessous, quelques contenants devenus inutiles depuis la réduction du domaine : « on est passé de 30 à 20 hectares il y a dix ans et on se demande souvent pourquoi on ne l’a pas fait plus tôt » ; le monte-charge, vestige des conseils de l’œnologue vagabond Jacques Néauport qui était contre le pompage « qui abime l’intégrité moléculaire des jus », aujourd’hui remplacé par une pompe péristaltique ayant les mêmes qualités.  « Comme Marcel, Jacques nous a beaucoup aidés, encouragés. Il faut dire qu’à l’époque on était très isolés ici. Personne ne comprenait ce que nous faisions. Ce n’est plus le cas maintenant, de nouveaux vignerons comme Anders Frederik Steen et Géraldine Croizier que tu as rencontrés le soir de ta performance sont arrivés, on peut discuter s’échanger des avis, déguster ensemble. »
Oui, le soir de ma performance. Se remémorer.  Nous étions quelques-uns devant la maison de Jocelyne installés en cercle entre de vieilles vignes de grenache et une parcelle de cinsault plus juvénile. On discutait de la chaleur extrême qui avait sévit pendant les vendanges, nécessitant – première ! - de reloger les équipes au camping municipal, à l’ombre de ses grands arbres. De l’épuisement, lui aussi exceptionnel qui en avait résulté. Jocelyne avait servi La cuvée Les Lèches 2021, grenache blanc, sémillon, sauvignon dont j’admirais la robe dorée parfaitement accordée à la blondeur concentrée de cette soirée d’automne.
Je m’inquiétais cependant du déclin de la lumière, espérant qu’il en resterait assez pour la partie du texte dont je confie la lecture au public. On attendait encore quelqu’un, Anders, qu’on entendit finalement débouler de loin, deux bouteilles s’entrechoquant dans sa besace. Le dernier convive assis et servi, je pouvais sortir la métaphorminx de son étui. Et là, – effet secondaire des Lèches ? – au lieu d’actionner la flûte de l’hypercep comme je le fais souvent en préambule de Rhapsode, je me suis entendu présenter – première ! ��� cette vieille syrah comme une partenaire. Expliquer. Comment tous les flux de sève, tous ses élans végétatifs, tout le stop and go de la taille, des travaux en vert et de la récolte, toute cette mémoire en apparence pétrifiée dans le bois et la contorsion de ses formes était encore active et, pourvu qu’on se laisse bouger, activante. Comment je l’avais découvert et comment je tachais à présent d’explorer la partition chorégraphique potentielle proposée continûment par ma cavalière.
Quelle nouvelle, prise, nouvelle passe – première ! – était alors apparue, dans le jour déclinant, les lectures délicates éclairées finalement au photophore, la fraicheur de la nuit, le silence un instant retrouvé avant les joies du banquet ? Quel ajout au pas de deux ? Un baptême, je crois, au Mazel. Dire. Le prénom soudain révélé de l’instrument : Médée.  
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