#Vous ne me croirez pas
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Un Anglais, un Américain et un Belge sont dans un bar à Paris. Ils discutent et s'amusent et sont tous d'accord que c'est un endroit plaisant. Alors l'Anglais dit : "C'est bien fun ici, mais à Londres, j'en connais un bien mieux qui s'appelle Chez Andrews. Là, tu achètes ta première bière, tu achètes ta deuxième bière, et Andrews lui-même te paye la troisième !" Mais l'Américain dit : "J'veux pas vous embêter, mais j'en connais un encore mieux ! Y'a un bar à New York qui s'appelle Chez John. Tu achètes ta première bière et John te paye la deuxième. Tu achètes ta troisième bière et John te paye la quatrième !" Alors le Belge dit : "Vous pensez que c'est un endroit tripant ? Ecoutez bien ça. Chez nous, il y a un bar qui s'appelle Chez Jef Vanderbrul. Vous ne me croirez pas, mais, Chez Vanderbrul, tu te fais payer ta première bière, tu te fais payer ta deuxième bière, tu te fais payer ta troisième bière, tu te fais payer ta quatrième bière, et là , tu peux aller dans une chambre au deuxième étage... et tu baises !" "Incroyable ! disent les deux autres. Est-ce que ça t'es réellement arrivé à toi ?" "Non, répond le Belge, mais c'est arrivé à ma sœur.
#C'est bien fun ici#mais à Londres#tu achètes ta première bière#tu achètes ta deuxième bière#et Andrews lui-même te paye la troisième !#J'veux pas vous embêter#mais j'en connais un encore mieux !#Chez nous#il y a un bar qui s'appelle Chez Jef Vanderbrul.#Vous ne me croirez pas#mais#Chez Vanderbrul#tu te fais payer ta première bière#tu te fais payer ta deuxième bière#tu te fais payer ta troisième bière#tu te fais payer ta quatrième bière#et là#Un Anglais#Alors l'Anglais dit :#Mais l'Américain dit : Incroyable ! disent les deux autres.#Est-ce que ça t'es réellement arrivé à toi ?Non#répond le Belge#mais c'est arrivé à ma sœur.
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Moi, la guerre, je l’ai faite, figurez-vous. Oui, on ne dirait pas en me voyant. Cet air de s’en foutre que j’affiche toujours du coin de mon œil bleu, les gens se disent en le découvrant que je dois être un fieffé malin, peut-être même un salaud, un abuseur, allez savoir.
Moi, je les emmerde tous. J’ai pas survécu à la mitraille, à la boue, aux Boches et aux rats pour subir leur sale gueule et baisser les yeux. Je les emmerde, je vous dis. Et dans des proportions que vous ne soupçonnez pas. Pas l’un d’eux ne trouvera grâce à mes yeux. Ni le bourgeois replet parti prier son Juif repenti à l’église le dimanche, ni le tchékiste resté à encenser son grand Staline dans une réunion de quartier. Les deux me font chier – et savez-vous pourquoi j’entretiens à leur endroit une haine parfaitement égalitaire ? Mais parce qu’ils sont jumeaux, sortis du même ventre flasque de la Révolution, de la même fente puante, matrice qui dégueule son trop plein d’humanité féroce, foetus aux dents acérées, dévoreurs de mamelle ! Boivent autant de sang que de lait, ces monstres absurdes. Des vraies dégueulasseries biologiques conçues pour anéantir le monde beau et sauvage qui ne les a pas vu venir.
Ces affreux-là, j’en ai croisé sur le front. Jamais en première ligne, trop couards pour ça. Toujours en retrait, juste ce qu’il faut. Se chiant dessus à la première déflagration, même lointaine, même ténue. Terrorisés à l’idée d’une baïonnette boche s’enfonçant dans leur sale bide tout gonflé de haricots mal cuits et de gaz diaboliques. Le rouge et le calotin unis dans la même pétoche minable, incapables de transcender leur peur de mammifère absurde, condamnés à baisser la tête, à lever les bras, à écarter leurs miches poisseuses de merde honteuse. Ah ils puaient ces deux-là, faut me croire. Dans les abris, on les laissait pas rentrer ces ordures. “Allez les gars, soyez pas salauds, allez. Faites une place... Je boirais bien la moitié d’un quart de soupe... Allez…” Des cafards, des magouilleurs, arrangeurs, tricoteurs. Des enculés de frais. “Va chier avec ton quart, sale rat !”, que je leur gueulais. “Quand il fallait monter l’échelle tout à l’heure, t’étais où, hein, mon salaud ?” Généralement, ils baissaient la tête ou mieux, ils se barraient. Partaient pleurnicher dans l’abri d’à-côté. Mendigoter un quignon ou une tige à de bonnes âmes qui ne les avaient pas vu s’affaler au signal de l’assaut. Les mêmes tous les deux ! Le rouge et le calotin. Tout pareillement conjoints dans la terreur, taillés pour survivre à tout, coûte que coûte, dussent-ils se faire cracher à la gueule pour l’éternité des temps, se faire maudir par les agonisants, ceux dont la tripe s’étalait tout autour et qui mettaient pourtant tant de temps à crever ! J’aurais jamais assez de toute ma vie pour les maudire, ces fils de salaud, ces petits rongeurs sans honneur, sans grandeur, sans rien !
Et allez ! Que croyez-vous ? Qu’on n’avait pas peur nous autres ? Qu’on ne pleurait pas en claquant des dents au milieu des éclairs qui hurlaient la mort ? Que l’on se prenait pour des Croisés ou pour des Jean-sans-Peur ? Tu parles ! Dans toute cette apocalypse, nous n’étions plus rien ! Et c’est bien à cause de cela qu’on se redressait et qu’on y allait. Parce que je vais vous dire, moi, l’idée de crever recroquevillé comme un cafard, ça m’a toujours été insupportable. Si je dois y passer, ce sera debout, nom de Dieu. À ma gauche, j’avais Lepault Gaston, un garçon gentil comme tout qui voulait entrer dans la banque. À ma droite, j’avais Lefeuvre Martial, fils de paysan, au travail depuis ses treize ans, père de quatre marmots à pas vingt-cinq. Un peu plus loin, il y avait notre lieutenant, un marquis avec un nom à rallonge incroyable, qu’on appelait Duguesclin pour faire court. Eh bien vous le croirez ou pas, mais on est sortis de la tranchée tous les quatre comme un seul homme et moins de deux minutes plus tard, j’étais le seul en vie, coincé dans un trou peu profond, avec un éclat boche calé dans la cuisse. Les autres étaient partis en poussière, pulvérisés par un obus fabriqué avec soin par de rondelettes bouffeuses de saucisse, quelque part du côté de Cologne.
Alors ne venez pas me faire chier avec mon regard inquisiteur. Il fera toujours moins mal que le shrapnel, tas de cons. Si je vous attrape du coin de l’œil... si je vous ajuste, pour tout dire, soyez heureux que ce ne soit pas entre deux rangées de barbelés avec, calé dans la molletière, le beau couteau de chasse que mon oncle Albert gardait depuis Sedan.
J.-M. M.
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mon premier pipi au lit par plaisir
½ début : Mon premier pipi au lit exprès, la découverte du plaisir J'aime bien me mouiller pour jouer et ça depuis que je suis enfant ou dans la cour de l'immeuble y avait le meilleur copain avec qui on jouait à ça ne se regardant... bon pas tous les jours, on se serait fait tabasser !
Plus tard, j'avais eu la chance de partir avec un copain dont la famille m'avait invité à partager leurs vacances à la neige... merveilleux ! on avait alors 12 ans. Les vacances se passaient super bien, sauf qu'un matin, contrairement à fougue habituelle, il ne se levait pas, et pour cause je n’ai pas mis longtemps à comprendre quand il m'a dit tout con… "j'ai pissé..." moi je n’y croyais pas, je ne pensais même pas qu'on puisse pisser au lit à 12 ans. Mais si c'était vrai, je l'ai vu quand il a descendu la couette. Il avait sous les fesses un beau rond mouillé et le bas du pantalon de pyjama ainsi que le bas de la veste étaient encore tout mouillé aussi... j'étais médusé et terriblement attiré...
Il avait fait quelque chose, bien malgré lui surement, que je rêvais de faire sans jamais avoir osé, à cause de mon Age... je n’y croyais pas... Par contre il était terriblement vexé que je le voie dans ce type d'intimité ! pour rester copain avec lui et qu'il s'en remette, je lui ai dit que ça m'arrivait aussi des fois de pas s'inquiéter ! Et pour le rassurer, je me suis même inventer un pipi au lit quelques semaines avant, lié à un rêve à con que je lui avais raconté, et dont la finalité était aussi un pipi au lit... j'ai dû être convainquant !
Je lui ai même dit que le matin, en me réveillant, j'avais toujours l'angoisse d'avoir fait pipi !!! j'avais eu raison d'agir comme ça, on est resté les meilleurs copains du monde, il avait oublié son accident au lit, et il n'y en eu plus d'autre.
N'empêche, j'avais vu qu'à 12 ans on peut des fois encore faire pipi au lit, et dans mon fort intérieur j'aurais rêve d'être à sa place, surtout qu'au niveau de ses parents, ça n'avait même pas été un scandale ! le soir là on avait juste été au lavomatique plutôt que de s’amuser dans la neige comme les autres soirs. Quelques semaines après, j'allais passer quelques jours chez une vieille grand-mère, comme ça arrivait des fois pendant les petites vacances scolaires.
Je dormais au 2éme étage, là ou mamie allait rarement.... et, j'en mourais d'envie depuis que j'avais vu mon copain, mouiller son lit je voulais le faire aussi pour voir... à la maison j'osais pas trop ! là peut être ?
J'y pensais sans oser depuis déjà un petit paquet de temps, et puis j’ai décidé de "ne plus prendre mes précautions». avant de me coucher.
2/2 suite
y a fort longtemps que j'étais propre la nuit donc une nuit ça m'a réveillé, un mal connu, envie de pipi .... mais j'ai décidé de pas me lever et d'attendre... surtout que les wc étaient 2 étages plus bas... et cette maison, qui, je l'avoue maintenant, me foutait la trouille, surtout la nuit, d'autant plus que j'étais pas du style aventurier....
d'un coté je voulais le faire, faire pipi au lit…, de l'autre côté tout me pousser à ne pas le faire ! En fait ce n’est pas moi qui ai décidé, à un moment j'en pouvais plus et au lieu de courir au wc, j'ai attendu encore un peu pour voir...je me suis même un peu rendormi. Mais je me suis vite reréveillé… je savais que le point de non-retour allait être franchi et que j'allais finir par faire pipi dans les draps si je me levais pas et......l'instant d'après c'était parti.j’en pouvais plus de me retenir ça me faisait mal...et.. j’ai senti mon pyjama qui commençait à se mouiller... ça y est putain...je faisais pipi au lit !!!!! j’étais en train de faire pipi au lit…. Vous me croirez si vous voulez, contrairement à l'horreur que ça aurait dû m'inspirer, j'adorais ça!!!! d’un coup je me suis senti léger, léger et bien comme on a pas idée, la douleur que j’avais ressentie de me retenir si longtemps s était immédiatement transformé en une énorme onde de plaisir, après m'être retenu si longtemps. et de sentir le pipi qui coulait dans la culotte et dans le pyjama hmmmm je réaliser mon fantasme. J’arrétais pas de me répéter « je fais pipi … je fais pipi au lit…. » je sentais que ça coulait entre mes jambes et je sentais un petit filet glisser entre mes cuisses... et là je savais que je mouillais tout, y compris le matelas qui n'étais meme pas protéger ! mais à ce moment précis je m'en foutais j'étais simplement heureux d’un bien être tellement fort. et puis trop vite ça s'est arrêté. sur le coup j'y croyais à peine, c'était un peu comme dans un rêve, une chose est sûre ,ça me faisait tout chaud... doucement j'ai mis nez sous la couverture... ça sentais le pipi tout chaud... c'en était limite enivrant j'ai du me résoudre à la vérité, je l'avais fait ! j'avais osé pisser au lit comme ça exprès.. avec mes mains j'ai touché le mouillé pour vérifier ! c'était bien trempé et ça m'a terriblement excité tellement que d'un coup j'ai bandé comme jamais. je n'avais pas encore découvert la jouissance à cette époque... je me suis retourné et je me suis frotté dans le mouillé pour me calmer... je me frottais dans mon pipi… j’ai senti un plaisir nouveau monter dans mon corps… et j’ai senti quelque chose monter …. Quelque chose de fort…. d'un coup j'ai senti la plus formidable onde de bonheur et de plaisir de ma vie… comme un feu d’artifice dans mon corps.. tous mes sens venaient de se vriller d’un coup, je venais de jouir pour la première fois de ma vie.
dans mon pipi , j'avais même pas honte.... après ça je me suis endormi comme une masse, ce n'est que le lendemain que j'ai eu la surprise de me réveiller mouillé, surprise de courte durée ! bon le lendemain tout ça à séché discrètement...... de cette expérience j'ai gardé le plaisir de faire de temps en temps pipi au lit, même encore maintenant, jamais de plan crade !, toujours pipi au lit dans des draps propres ! Pour les couches, j'ai découvert ça plus tard, c'était plus pratique et ça permettait de jouer plus souvent ! mais bof c est pas pareil
voila ça c est passé comme ça la première fois je sais c est contre nature on m’a dit mais c est comme ça
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Lecture Iris Zero, tome 1
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Bonjour tout le monde ! Comment allez-vous ? Je continue dans mes rattrapages mangas comme vous le voyez et je vous entraîne dans l'un de ceux où l'on retrouve des pouvoirs. Non, ce n'est pas My Hero Academia, mais je suis certaine qu'il pourra vous plaire. Je vous laisse avec le résumé ! Pour échapper aux brimades de ses camarades de classe, Tôru a une philosophie : s'exposer un minimum aux regards des autres. Car dans un monde o�� chaque enfant possède désormais "l’Iris", la faculté de "voir" des choses, il est l'exception qui confirme la règle. Se faire oublier est pour lui une question de survie. Mais tout bascule pour Tôru le jour où Koyuki Sasamori, une des filles les plus populaires du collège, fait irruption dans sa classe pour lui demander une faveur. Violemment tiré de sa tour d'ivoire, Tôru se retrouve alors à la croisée de tous les regards... Ah Iris Zero, qu’est-ce que j’ai été contente lorsque le tome 7 est sorti ! Après tout, cela faisait pas mal d’années que je l’attendais – comme d’autres – et c’est avec joie que je l’avais lu. Sauf que comme ça faisait longtemps, je me suis refait les six tomes précédents également ! Et oui, c’est pour ça qu’aujourd’hui je vous parle du premier volume de ce manga Seinen, celui qui nous permettait de découvrir une partie des personnages et de comprendre ce qu’est, justement, un Iris Zero. Nous nous trouvons dans un monde ressemblant en tout point au nôtre sauf sur un détail. Depuis quelques années, les gens naissent avec un « pouvoir » dans les yeux nommés Iris. Cette capacité diffère en fonction des gens, mais il arrive également qu’une partie de la population, bien que cela ne soit qu’un pourcent de celle-ci, naisse tout simplement… Sans Iris ! Dans l’histoire, nous suivons Tôru, une personne pour qui l’exposition minimale s’avère utile au quotidien, et qui s’avère être un Iris Zero. Vous me direz que des héros sans pouvoirs dans un monde où la majeure partie en possède c’est commun, après tout c’est le cas d’Izuku au début de My Hero Academia (pour prendre le plus récent qui me vient en tête, même si ce n'est pas identique. Ne me tapez pas), mais dans le cas présent c’est très, très différent. D’une part, parce que Tôru est comme nous du début à la fin – Ne vous attendez pas à le voir dire qu’il aperçoit quelque chose de spécifique – et que l’histoire en elle-même est très différente du manga cité précédemment. Alors, non, ne pensez pas les comparer l’un l’autre car cela n'aurait aucun sens. Mais l’iris, c’est quoi grosso modo ? Un pouvoir, oui… Mais mis à part ça ? En fait, c’est une « faculté » permettant de « voir », raison pour laquelle cette capacité se trouve au niveau des yeux, mais la population touchée par l’Iris – c’est-à-dire 99% des personnes de l’âge de Tôru si je ne me trompe pas – ne voit pas spécialement la même chose que… Bah nous en fait. De plus, l'iris varie en fonction des gens faisant que chaque personne en possède un différent. Ainsi, certains pourront vous dire sans problème si quelqu’un est amoureux ou si l’on risque de passer une mauvaise journée rien qu’en observant quelque chose qui vous est inconnu. (Oui, j’ai tenté de prendre des exemples random…) Avouer que cela doit être pratique ? Pourtant, bien qu’il y ait du positif, il y a également du négatif car l’utilisation de l’iris dépend de chacun et ne peut pas forcément être comprise de tous… Et principalement des adultes qui ne comprennent pas vraiment ce qu’il se passe. Parce que oui, l’apparition de ce « don » - je ne trouve pas de nom pour en parler… Rahlala – est tellement récent que la majeure partie des adultes se retrouve perdu face à cela. Imaginez-vous, humain lambda, face à une personne qui vous dit voir quelque chose autours de vous – ou sur vous – que vous ne voyez pas. La croirez-vous directement ? Et si, au fil du temps qui passe, d’autres personnes finissent pas lâcher le même genre de chose, mais avec des détails différents, sans que vous ne puissiez toujours le voir… Y croiriez-vous finalement ou seriez-vous de plus en plus perdu ? Enfin bref, vous l’aurez comprit l’iris parait quelque chose de normal pour tout ceux le possédant et fait que les malheureux ne l’ayant pas se retrouvent dans des situations plus fâcheuses. Des distinctions se créent et le fait d’être un Iris Zero peut – pratiquement à coup sûr - nous mettre sur la touche sans que l’on n’ait rien demandé. Si vous recherchez un manga dans lequel vous trouverez des combats incroyables, passez votre chemin sur le champ. Par contre si vous êtes ouvert à des univers où l’on découvre, petit à petit, les personnages, leurs différents passés et leurs évolutions c’est ce qu’il vous faut. Ici, nous découvrons une société en plein changement – lié à l’apparition des Iris – où ce qui est « normal » à nos yeux pour le moment ne l’est probablement plus dans Iris Zero. Nous retrouvons également des thèmes tels que la différence et la tolérance au fil des pages de ce manga pouvant être considéré comme de la tranche de vie scolaire par rapport, justement, à ses personnes possédant cette capacité et ceux ne l’ayant pas. La manière de voir le monde est totalement différente, ce que l’on accepte ou non également tout comme les choix effectués et on le voit parfaitement au fil des pages grâce aux personnages, à leurs tempérament et ce bien qu’ils ne prennent pas encore tous place autours de Tôru. Mais revenons en à notre petit héros voulez-vous ? Tôru est donc né sans Iris, mais vous vous doutez qu’il n’est pas pour autant démuni face à la société dans laquelle il vit. Certes, la vie n’est pas simple pour lui pourtant il permettra, grâce à de petites enquêtes, à montrer que malgré sa "différence" il est capable de voir le monde à sa façon, grâce à une manière qu'il aura trouvée au fil du temps. Et si cette manière de voir le monde était la plus appropriée dans le quotidien ? Et si ne pas posséder d’Iris n’était pas du tout une tare ? Et… Et je dois avouer que j’aime énormément Tôru dans sa manière d’être et sa logique. Il n’est pas difficile de comprendre les raisons le poussant à suivre son crédo « L’exposition minimale » et ce même si cela sera totalement chamboulé par une certaine demoiselle que vous avez déjà découvert dans le résumé et sur la couverture. Parce que oui, Koyuki chamboulera le désir de notre malheureux héros vu qu’elle à le malheur d’attirer sur elle les regards de la majeure partie du lycée – si pas de tout le lycée en fait – faisant que les gens feront bien plus attention à « l’iris zéro ». Mais comme vous le savez déjà, être une personne sans iris est plutôt mal vue dans cette nouvelle – et très, très jeune – société ce qui pourrait poser problème à Tôru qui n’avait strictement rien demandé. Pour ce qui est de Koyuki, elle m’agaçait au début et au fil du temps, des tomes et des lectures j’ai fini par l’apprécier de plus en plus sans toutefois l’adorer. Je ne vous dirai pas ici qui sont mes chouchous – risque de spoils bonjour – mais peut-être le devinerez-vous, pour ceux ayant lu, si je vous donne comme indices les mots ailes et papillons. Pour les autres… A vous d’avancer dans la lecture ! Aux côtés de notre petit duo, nous verrons apparaître d’autres personnages qui prendront – ou non – une certaine place tout en nous permettant d’en découvrir un peu plus sur le manga en lui-même. Après tout, il y a pas mal de choses à découvrir et le système des petites enquêtes de Tôru est finalement très bien trouvé pour nous le permettre. Surtout que tout est lié, possède un sens et ce même si on ne le réalise pas directement. Chacun des personnages prend, petit à petit, sa place et possède sa propre vision des choses. Vous en apprécierez sûrement certains plus que d’autres, mais au final ils ont tous leur charme même si celui-ci n’opère pas directement. Ce premier tome est, comme vous vous en doutez, celui qui pose les bases et nous permet de prendre conscience sur ce qui nous attendra par la suite. Des bases qui m’ont bel et bien eue dès le départ, même si je sais que certains sont bien plus entré dans l’histoire à partir du troisième volume, pourtant ce premier tome nous permet de faire les premières découvertes, de comprendre cet univers et d’engranger les premières informations importantes. De plus, le travail effectué par Piroshiki et Takana permet un moment où le temps ne s’écoule plus. Parce que oui, dès que j’entre dans un tome d’Iris Zero je ne vois pas le temps passer et ce premier volume ne fait pas exception à la règle même après relecture ! Les dessins nous permettent également de reconnaître les personnages, les lieux, de suivre l’enquête tout en découvrant les iris présents – par rapport à certains personnages – qui sont bien gérés. L’édition proposée par Doki-Doki est également agréable en main, les pages se tournent sans difficultés et la traduction respectait les tempéraments des différents protagonistes apparaissant, retranscrivant leurs caractères et bien entendu les touches plus humoristiques parsemant le manga. D’ailleurs, n’hésitez pas à retirer la jaquette pour découvrir une petite surprise camouflée par celle-ci. Oui, j’aime énormément regarder ce qu’il y a sous les jaquettes et je découvre parfois de petites pépites ou des mines d’informations liées au manga lu. Alors oui, Iris Zero est un titre que je conseillerais sans difficulté et qui est, malheureusement, trop peu connu. Il est remplit de bonne humeur tout en étant positif, l’humour présent lui donne également sa propre saveur tout en nous permettant d’avancer au fil des pages, des relations se créant et ce sans dénaturer les personnages. Ce que vivent les personnages pourrait être vécu par certains d’entre-nous et ce, même si nous sommes tous comme Tôru. D’ailleurs, ne recherchez pas de fanservice dans Iris Zero parce qu’il n’est pas présent et c’est voulu par les auteurs qui ne veulent pas attirer le lecteur par ce biais. Ce qui est plutôt agréable au fond ! Certes, l’histoire pourra également vous sembler simple au début, mais elle prend petit à petit de l’ampleur amenant diverses émotions grâce à ses personnages alors ne vous arrêtez pas directement là-dessus si c'est la première chose à laquelle vous pensez en tournant les pages. Laissez lui une chance, car il y a droit et il se peut même que vous vous retrouviez en certains personnages... Connaissez-vous Iris Zero ? Si vous deviez posséder un Iris lequel serait-ce ? Quel est le personnage que vous préférez ? Y a-t-il un tome que vous avez préféré découvrir ? Read the full article
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*Ⓜ️ANNE QUOTIDIENNE* 🥐☕🌭
_Un guide de dévotion journalière_
*LUNDI 2️⃣5️⃣ NOV. 2️⃣0️⃣2️⃣4️⃣*
*📡 PENSÉES PATERNELLES*
*📖TEXTE: PSAUME 139:17-23*
*🔑VERSET CLÉ*
*_«Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand!»_(Psaume 139:17).*
*✍🏼Nous savons combien nous sommes excités lorsqu'une personnalité influente de la société nous distingue de la foule, nous appelle par notre nom et pose une main aimante et rassurante sur nos épaules, en nous tapotant doucement disant: «Écoute, j'ai toujours pensé à toi. Je t'aime et j'ai de merveilleux projets pour toi. Ne t'inquiète pas. Je pense à toi et je te soutiendrai toujours». Cela élimine en effet toutes les peurs, les soucis et les angoisses.*
*De même, le Psalmiste se réjouit des pensées de Dieu à son égard. Le fait que le Dieu Tout-Puissant puisse se concentrer sur lui et penser à lui, est pour lui une expérience époustouflante. Dieu avait deux précieux projets pour lui. Il a dit qu'ils étaient très grands lorsqu'il a résumé tout ce que Dieu prévoyait pour lui. En conséquence, il a décidé de quitter la compagnie des méchants et des pécheurs pour être toujours du côté de Dieu. Il voulait aussi que Dieu sonde son cœur et qu'Il le libère de toutes les mauvaises voies.*
*Savez-vous aussi que Dieu pense à vous ? Savez-vous qu'Il vous a bien pris dans Ses bons plans ? Oui, il y a plus de 7 milliards de personnes dans le monde, et vous pouvez vous demander comment Dieu peut trouver le temps de regarder dans votre direction et de penser à vous. Et pourtant, il voit tout le monde et connaît tout le monde. Il vous connaît par votre nom et pense à vous.*
*Vous ne vous déplacerez pas comme un orphelin sans défense lorsque vous aurez compris cela et que vous y croirez fermement. Comme le Psalmiste, tout ce que vous devez faire, c'est de vous assurer que vous restez toujours du côté de Dieu. Quittez la compagnie des hommes méchants et pécheurs. Permettez à Dieu de prendre le contrôle de votre vie et de vous éloigner du péché. Ensuite, détendez-vous et regardez Ses belles pensées à votre égard se concrétiser.*
*🧠PENSÉE DU JOUR*
*_Détendez-vous ! Vous êtes toujours dans les pensées de Dieu_.*
*🗃️La Bible en UN AN*
*ECCLÉSIASTE 4-7.*
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Cet Animal M'a Humilier
J’ai vécu une expérience incroyable et hilarante. Un animal m’a complètement humilié dans le jeu, et vous ne croirez pas ce qui s’est passé !
Clic ici pour t'abonner - https://www.youtube.com/@AxelEponge/featured?sub_confirmation=1
Plonge dans la joie en achetant la marque AxelEponge : https://axeleponge.creator-spring.com/
Vient me parler ici, je ne mange personne :
Twitter X : https://twitter.com/axeleponge974
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ClickTrades
ClickTrades est une plateforme de trading en ligne qui permet aux utilisateurs d’investir sur les marchés financiers. Opérant sous la société KW Investments Ltd, basée à Mahé aux Seychelles, la plateforme est entourée de zones d’ombre, notamment concernant son année de création. KW Investments Ltd a été fondée en 2008, tandis que la page Facebook officielle de ClickTrades a été lancée en 2018. Malgré ces informations, de nombreux témoignages sur divers forums soulignent des préoccupations quant à la fiabilité de ce broker. Cet article explore les expériences des utilisateurs et les allégations soulevées à l’encontre de ClickTrades.
Témoignages et expériences des utilisateurs
Témoignages de mauvaises expériences exprimés sur Trust Pilot Un utilisateur se plaint : « Les agents sont vraiment les pires. Les agents commencent par un très beau discours, mais leur objectif est uniquement notre argent. Ils donnent de bonnes directions pour de petits montants, mais pour de gros montants, ils donnent de mauvaises directions. Puis, la relation avec la société se termine. Aucun retour aux e-mails, aucun appel de la société. Une expérience très, très mauvaise. »
Un autre utilisateur partage : « Je suis une victime de ClickTrades, également connu sous le nom d’AB Trades. J’ai perdu deux fois 300 000 dollars américains. Ces escrocs sont tellement convaincants que vous ne les croirez pas. Je prépare une stratégie pour mettre fin à cette société. Quiconque a perdu de l’argent avec ClickTrades, contactez-moi pour que nous construisions ensemble une action en justice solide avec des preuves afin qu’ils n’aient pas d’autre choix que de nous rendre notre argent durement gagné. »
Un autre témoignage souligne le comportement des employés : « Leurs employés sont impolis et vous harcèlent au téléphone toute la journée. Si vous raccrochez ou bloquez leur numéro, ils appellent d’une autre extension. Probablement une arnaque. »
Accusations de fraude
Certaines accusations sont encore plus graves. Un utilisateur déclare : « Ce sont les plus grands ESCROCS que vous trouverez aux Émirats arabes unis. Pour être clair, ils gagnent de l’argent si vous perdez le vôtre. Il y a un CONFLIT D’INTÉRÊT direct entre eux et leurs clients. Raisons de ne pas investir votre argent dans ClickTrades :
Ils n’ont pas de licence locale des Émirats (SCA) requise pour toute société de courtage pour traiter des transactions en forex et en actions. Ils font des appels non sollicités. Ils promettent quelque chose qu’ils ne tiennent jamais. Il n’y a même pas une seule personne qui ait réalisé un profit avec ClickTrades. Après vous avoir demandé d’ouvrir des positions plus grandes que votre compte ne peut supporter, ils vous harcèlent pour que vous mettiez plus d’argent, et vous finissez par tout perdre. »
Recommandations pour éviter ClickTrades
De nombreux utilisateurs recommandent de rester à l’écart de ClickTrades. L’un d’eux raconte : « Très mauvaise expérience, restez à l’écart et soyez prudent. Votre gestionnaire de compte vous poussera toujours à mettre plus de fonds et vous encouragera avec des bonus, comme s’il vous rendait un service personnel, alors qu’en réalité il vous piège avec le nombre de transactions. Et quand vous décidez de vous retirer, il montre son vrai visage. Mon gestionnaire a obtenu mon consentement pour fermer le compte et a simplement clôturé les transactions profitables, prenant les bénéfices pour la plateforme et me laissant avec les transactions perdantes pour subir encore plus de pertes. »
Un autre utilisateur ajoute : « Restez en sécurité et loin de ClickTrades. Ne faites pas confiance aux représentants. Le soi-disant représentant senior de compte vous appellera sans cesse, de manière agressive, pour vous pousser à ajouter plus de fonds. Les conseils donnés pour ouvrir des transactions vont à l’encontre de la direction du marché. Vous serez piégé avec quelques transactions réussies à faible profit, et plusieurs transactions négatives sans stop-loss et à fort volume, frappant la marge dès le premier jour. »
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Venir à la vérité 30/05/2024
Vous sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle, ce sont elles qui rendent témoignage de moi. Et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie ! Jean 5.39-40
« À quoi servirait à un homme de posséder des clés s’il se désintéresse des portes ? » écrit avec pertinence François Garragnon¹. Curieux paradoxe, on peut connaitre une chose, la comprendre et l’admettre pour vraie, tout en refusant de l’appliquer à soi…
Dans le récit de l’Évangile, Jésus expose la bonne nouvelle du salut aux hommes, mais beaucoup la refusent. Il semble que ce rejet résulte d’un choix délibéré de sauvegarder leurs intérêts personnels plutôt que de saisir la vérité dont ils redoutent sans doute les conséquences. Blaise Pascal évoque ce choix de l’amour propre qui fausse notre jugement sur le vrai, « pour nous crever les yeux agréablement »². L’apôtre Paul décrit ceux qui suivent les séductions de l’iniquité parce qu’ils n’ont pas reçu l’amour de la vérité pour être sauvés ³.
Ici, Jésus s’étonne que ceux qui avaient la connaissance de Dieu par l’enseignement des Saintes Écritures, repoussent son témoignage et passent à côté de la vie éternelle. Plus loin, il en donne la raison simple : « Vous n’avez point en vous l’amour de Dieu ».
Puissiez-vous, au contraire, choisir l’amour de la vérité en ouvrant votre cœur à Jésus…
Dominique Moreau
¹ Philosophie du quotidien, p17 ² Pensées, fr78 ³ 2 Thessaloniciens 2.10
__________________ Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 5, versets 33 à 47
.33 Vous avez envoyé vers Jean, et il a rendu témoignage à la vérité.
34 Pour moi ce n'est pas d'un homme que je reçois le témoignage; mais je dis ceci, afin que vous soyez sauvés.
35 Jean était la lampe qui brûle et qui luit, et vous avez voulu vous réjouir une heure à sa lumière.
36 Moi, j'ai un témoignage plus grand que celui de Jean; car les oeuvres que le Père m'a donné d'accomplir, ces oeuvres mêmes que je fais, témoignent de moi que c'est le Père qui m'a envoyé.
37 Et le Père qui m'a envoyé a rendu lui-même témoignage de moi. Vous n'avez jamais entendu sa voix, vous n'avez point vu sa face,
38 et sa parole ne demeure point en vous, parce que vous ne croyez pas à celui qu'il a envoyé.
39 Vous sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle: ce sont elles qui rendent témoignage de moi.
40 Et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie!
41 Je ne tire pas ma gloire des hommes.
42 Mais je sais que vous n'avez point en vous l'amour de Dieu.
43 Je suis venu au nom de mon Père, et vous ne me recevez pas; si un autre vient en son propre nom, vous le recevrez.
44 Comment pouvez-vous croire, vous qui tirez votre gloire les uns des autres, et qui ne cherchez point la gloire qui vient de Dieu seul?
45 Ne pensez pas que moi je vous accuserai devant le Père; celui qui vous accuse, c'est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance.
46 Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, parce qu'il a écrit de moi.
47 Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous à mes paroles?
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Julie, ma grand-mère maternelle
Le croirez-vous, je n’ai aucune photo de cette femme que ma tante décrivait comme une femme pieuse, aimante et douce. Ma mère me disait qu’elle avait très peu de souvenirs. Mais, elle ne parlait pas beaucoup de cette enfance qui fut marquée pour elle par une santé très fragile et des séjours en préventorium entre une prise en charge en orphelinat de religieuses. Alors, faute de photos, mettons…
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Salut tout le monde ! C'est Pierre-André ici, et aujourd'hui, j'ai quelque chose de spécial à partager avec vous. 🌟 Vous ne le croirez pas, mais grâce à votre incroyable soutien, nous avons franchi un nouveau cap ensemble ! C’est un moment incroyable, et c’est entièrement grâce à VOUS. 🎉 Chaque like, chaque commentaire, chaque partage et chaque moment que vous avez passé à regarder mes vidéos… cela signifie le monde pour moi. Votre soutien sur Instagram, TikTok, Facebook, LinkedIn et a été incroyablement motivant. ❤️
Merci 🙏 pour votre soutien, passez de joyeuses fêtes et retrouvez-moi ...
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17 août 2023
OLALA !
Olala aujourd’hui on part ! Oui on doit penser à la remontée… et moi j’ai envie de la vivre comme des vacances… Alors on range, on réarrange … Vous me croirez ou non mais il n’a jamais fait si chaud, si lourd. Petites tensions humaines… personne ne veut partir évidemment… ils essaient tous de gagner du temps… Seb aussi tente de m’amadouer à un jour de plus et ça m’énerve… une fois de plus c’est moi qui impose et qui tire tout le monde… mais je sais que partir est difficile qu’on va de nouveau avoir un jour ou deux de transition… je sais que rouler des journées entières c’est fatiguant et que les enfants en sortent de mauvaise humeur… et demain personne ne voudra plus qu’aujourd’hui … quand il faut affronter il faut affronter… Alors on range … mais on va quand/même encore à la rivière et quand même on cuisine on mange on papote… on a passé ici un merveilleux moment de vie. On s’est tous plu, on a trouvé nos rythmes, on s’est déposés… Et Partir en temps et en heure, pour ça on est vraiment pas doués…
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Olala, bon, on y est. Vous me croirez ou non mais le ciel s’est mis à gronder et est descendu d’un étage. Comme pour accompagner mon âme et mon cœur. On s’est dit au revoir et j’ai versé de grosses larmes de crocodile. Les enfants m’ont regardé décontenancés. « Je vous souhaite d’avoir une amie que vous aimez tellement qu’à chaque retrouvaille vous pleurerez de joie et qu’à chaque au-revoir vous pleurerez de cette émotion forte de toute la joie et la beauté partagée ». La vie a réservé à Caro et Niccoòlo des années très difficiles, violentes; et là, je me retourne vers eux et les laisse dans une nouvelle étape de vie qu’ils se sont choisis et qui me semble magnifique, douce et chaleureuse… cela valait bien quelques vrais sanglots non ?
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Olala… grosses courses, ravitaillement. Saint Sepulchre. Vous me croirez ou non mais le ciel est lourd, couvert et se déverse sur nous, l’air est suffoquant, les tournesols cramés sont courbés vers le sol.
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Ils essaient encore « et si on retournait chez eux pour laisser passer l’orage ? » Marguerite dit « Non, maman a assez pleuré » ! Hors de question évidemment, on avance. L’idée était de ne pas aller loin, de se retrouver à nous 6. Mais tout-le-monde tout d’un coup pousse pour rouler… alors on roule, tentant maladroitement de laisser quelque-chose derrière nous.
Olala… 19h30… Seb on doit s’arrêter manger … j’ai pas la force de tout déballer faut trouver une pizzeria… 20h…Seb n’aime pas l’idée… je n’aime pas qu’il n’aime pas l’idée… bref on s’engueule… on trouve une pizzeria… on mange sur la place devant… dans la réalité d’un quartier pauvre et sale d’une ville écrasée de chaleur et de désarroi… des gamins tournent à vélo sur une place qui est leur seule réalité de tout l’été, un papa tente de calmer un bébé sur un minuscule balcon surplombant le ventilateur d’un Conad grillagé pour la nuit, une africaine en pyjama hurle dans son téléphone…
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Olala… on roule pour trouver où se poser. L’envie est de se mettre sur une colline Toscane et de prendre un p’tit déjeuner face à cette beauté une dernière fois avant de partir pour le Lac Majeur ou lac de Côme… les collines sont époustouflantes. Mais on ne trouve pas. Trop pentu. Trop proche d’une maison. Trop. Trop. Trop. La nuit tombe d’un coup. Il fait fort noir. On galère. On finit par trouver un chemin qui donne sur une ruine et un champ. Pas moyen de trouver du plat dans le champ. La tension monte chez les filles qui sont fatiguées. On se colle à la ruine dans les hautes herbes. Ouf on est posé ça va aller. 21h30. En deux temps trois mouvements, les garçons sont dans leur tente. Mais je m’engueule avec eux car je les oblige à redescendre pour se laver les mains. La ville m’a dégoûtée je n’arrive pas à lâcher prise. Affrontement, éclat. Dans le camion les filles s’engueulent. Marguerite tourne comme un lion enragé, Toinette épuisée pleure et crie. Affrontement, éclat. Je prends Toinette dans mon lit, Seb va dormir avec Marguerite. OK les filles, on est posées ça va aller. Vous me croirez ou non mais on est proche des 40 degrés, pas d’air, on se sent mal. Le K-mion fait des bonds et secousses car les garçons font je sais pas quoi dans leur tente. Seb se fâche, ils expliquent qu’il y a des moustiques, ils se calment, on entend des fous rires nerveux. Olala… Vous me croirez ou non, mais j’ai la sensation de milliers de petites bêtes sur mon corps, je me gratte, me tourne me retourne me gratte. J’essaie de me calmer de me contenir, surtout que je sens Toinette de plus en plus nerveuse aussi. Je deviens dingue, d’un bond j’allume la lumière et vois des moustiques.
Vous me croirez ou non, il y en a des centaines. Je me mets à les tuer,
Seb s’énerve « Mais putain arrête de taper ! »
« Mais Seb il y a des centaines de moustiques »
« on bouge alors mais arrête de taper »
et là Toinette dit « Maman, on a pas d’autre choix, on bouge ».
et là Seb crie « Les garçons on bouge ! » et sans un mot de plus tout-le-monde bondit, remballe, referme en quelques minutes.
Vous me croirez ou non, mais il y avait des milliers de moustiques minuscules qui passent à travers les moustiquaires, on les a respiré, avalé, j’en ai eu dans les yeux et Marguerite a hurlé que ça rentrait dans ses oreilles.
Putana Eva ! je préfère m’attaquer à une armée de zombies, un banc de requins, un grouillement de serpents et même … même à une horde de rats…
je pense que nous avons vécu un traumatisme cataclysmique ! 23h.
Olala… Bref ! on aurait pu s’arrêter en bas de la colline, mais les enfants ont demandé qu’on roule le plus possible… trop de nervosité… faut décharger, avancer… jusqu’au nord de Parme. 2h du matin je n’en peux plus. On doit s’arrêter. On est dans les zones industrielles. Pas moyen de s’éloigner et Seb fatigue ce qui me stress. STOP. Le parking qu’on trouve est éloigné de l’autoroute (trop dangereux), il y a un cimetière, deux camions, des poubelles de tri. C’est pourri mais ça nous semble plus ou moins en sécurité. Je voudrais que les garçons dorment avec nous dans la benne, mais ils ne voient pas pourquoi et m’envoient à la gare… Seb valide… je n’ai pris que des mauvaises décisions aujourd’hui, je ne lutte plus… mais je ne dors pas, à l’affût du moindre bruit.
Olala. Vous me croirez ou non, mais la journée s’arrête là … Demain est un autre jour.
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Vous me croirez jamais, mais en fait j'avais pas fini le premier jet ! Normalement cette fois c'est bon... J'ai encore complètement réécrit la première scène, mais cette fois je suis contente de ce que j'ai !
il ne reste qu'à retravailler tous le reste
J'ai fini le premier jet du Fake Fake Dating ! Un peu moins de 5000 mots. Il va demander un gros retravail, je pense, mais j'ai finiiiiii
#du coup on est presque à 7000 mots maintenant#il fut un temps#dit-elle d'une voix chevrotante#où je savais écrire des prompts en moins de 1000 mots et vite fait bien fait#j'étais connue pour ça#j'avais des soirées prompts !!!! J'écrivais plusieurs prompts en un soir !#non mais je râle mais je suis contente hein#et honnêtement même quand ça coince je suis heureuse d'écrire#blabla
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Tout est différent après avoir connu l'amour. Le premier amour qui ouvre la porte aux sensations encore inconnues. Est ce que vous me croirez si je vous dis que je suis encore coincée au premier stade après une rupture ? Oublier tous ces moments, toutes ces sensations qui capturent la peau et les espaces à l'intérieur de notre tête, oublier la personne ; c'est difficile. Comment on fait ?
Puis, je me rends compte qu'on oublie jamais vraiment quelqu'un. Et mon cœur bat fort. Très fort. De quoi ? je ne sais pas. Pourquoi ? je ne sais toujours pas.
Tout ce que je sais, c'est que je ne veux pas avoir mal. Mal de tous ces souvenirs.
Maintenant, je comprends toutes ces chansons qui parlent d'amours finis. (ma phrase fait cliché mais c'est la vérité toute nue.) Je m'endors parfois en les écoutant en boucle. Ça tourne entre apaisement et tristesse.
19/06/22
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Aujourd’hui ma générosité est de sorti
Je vous partage, à vous lecteurs et lectrices une magnifique photographie.
Via cette photo, je veux vous témoigner la puissance du naturalisme.
Oui, cet photo a été prise naturellement, sans être voulus, par pure hasard.
C’est très beau, je vous l’affirmes
Lorsque que j’ai inspecté cette image plus en détaille, j’ai ressentis une certaine aura émanante de cette dernière.
J’ai trouver sa curieux qu’une simple photo puisse procurer autant d’émotions.
J’ai essayé, par la suite, de déceler toute ses émotions dégoulinante de cette photo.
Deux hypothèses se sont présentées à moi.
L’amour : la présence de deux personnes qui s’aimes et qui voulaient immortalisé ce moment.
Fraternité: deux frères et sœurs, extrêmement proche avec une complicité hors du commun.
Que pensez-vous de cela ?
Pour tout vous dire, ce n’est ni de l’amour, ni de la fraternité
Mais une simple amitié
Eh oui les deux personnes figurant dans cette photo sont de simple amis.
Étrange vous me diriez
Analysons le peux d’émotion facial que nous pouvons observer
Un eyes contacte fort, gorger de mystère et d’interrogation
Est-ce la un regard neutre ou un regard d’amour et de tendresse ?
Encore une fois, aucun de ses arguments n’est correctes.
Ces regards sont de simple regard d’amitiés
Époustouflant vous me diriez
Parlons du sourire de la jeune fille
Nous avons la un détaille assez intrigant
Ce sourire est difficilement saisissables
Il nous véhicule pas forcément d’émotion ressentis.
Était-ce un sourire forcer ?
Était-ce un sourire honnête ?
Était-ce un sourire narquois ?
Nous le seront jamais malheureusement.
Une information a ne pas négliger, le rapprochement de leurs visage, presque coller, prêt à s’embrasser.
Un élément qui laisse certains doutes sur leur relation dite « amical »
Parlons de l’endroit de la photo
Devant le reflet d’une fenêtre
La jeune fille est assises sur un bureau.
Quand au jeune homme, il est debout entre ses jambes.
Sa mains gaucher positionne sur sa cuisse
Sa mains droite positionner sur son bassin.
De simple amis sont-ils
Un dernier point a éclaircir, leur intimité
Une forte intimité est présente entre ces deux personnes.
Ils paraissent inséparables, on dirait même qu’ils sont lier par le sang.
Pourtant ce ne sont que de simple amis.
Extraordinaire vous me diriez
Maintenant, j’ai une question à vous posez
Me croirez vous si je vous dis que c’est deux personne ne se parle plus.
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LE SALUT EN DEMEURANT EN CHRIST
Jean 15:6 : « Si quelqu'un ne demeure pas en moi, il est jeté dehors, comme le sarment, et il sèche ; puis on le ramasse, on le jette au feu, et il brûle. »
Ces paroles de Jésus sont particulièrement solennelles et troublantes. Elles rappellent l’importance cruciale de demeurer en Lui. Le salut, comme nous l’avons déjà vu, ne réside pas en nos mérites ou nos œuvres, mais en Christ, qui en est le garant. Ici, Jésus nous avertit que si nous ne demeurons pas en Lui, nous serons privés de la vie. Ce message fait écho aux avertissements de l’apôtre Paul dans Galates 5:4-5 :
« Vous êtes séparés de Christ, vous tous qui cherchez la justification dans la loi ; vous êtes déchus de la grâce. Pour nous, c’est de la foi que nous attendons, par l’Esprit, l’espérance de la justice. »
Paul met en garde contre le retour à la loi, un acte qui, selon lui, constitue une désobéissance à Christ et à l’alliance de la grâce qu’Il a scellée pour nous par Son sang. En s’appuyant sur la loi de Moïse, médiateur de l’Ancienne Alliance, on se disqualifie pour la Nouvelle Alliance en Christ. Jésus affirme d'ailleurs que Moïse lui-même accusera ceux qui se réfugient derrière la loi au jour du jugement. Il ne pourra être leur avocat, mais leur accusateur.
Jean 5:45-47 : « Ne pensez pas que c'est moi qui vous accuserai devant le Père ; celui qui vous accuse, c'est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance. Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, parce qu'il a écrit à mon sujet. Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous à mes paroles ? »
Ainsi, pratiquer des ordonnances de la loi telles que la circoncision, le sabbat, la dîme, ou d'autres préceptes, contribue-t-il à nous rapprocher de Christ ou à nous en éloigner ? Il semble évident que tout ce qui est pratiqué dans le cadre de l’Ancienne Alliance, mais étranger à la Nouvelle, nous éloigne de Christ et mène au dessèchement spirituel. Cet abandon progressif du fondement de la foi pourrait bien entraîner certains à l’apostasie, à un rejet final de Christ.
La loi n'a de lien avec Christ que dans ses aspects moraux. Le salut se réalise non par les pratiques lévitiques, mais par la régénération de l'Esprit. Ce que la loi morale divine exige est accompli par celui qui demeure en Christ, non sous l’Ancienne Alliance, mais par l’obéissance à la Nouvelle. C’est uniquement en demeurant fermes dans notre foi en Lui, en élevant Sa parole au-dessus de toutes autres, que nous restons unis à Christ et assurés du salut.
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Anniversaire Simeon 1-1 à 1-9
Demande d’anniversaire de Simeon
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Luke – MC, j'ai besoin de te demander quelque chose ! Tu sais que l’anniversaire de Simeon approche à grands pas, non ? Il, euh… m'aide toujours, alors j'aimerais lui organiser une fête… pour lui dire merci. Est-ce que tu souhaites en faire partie ? MC - Je serais ravi d’aider ! / Est-ce une fête surprise ? Luke - Merci ! Je sais que nous pouvons réussir ensemble ! Cela doit rester entre nous, d'accord- Aah! Asmo – MC ! Pour dîner ce soir… Oh, bonjour Luke. Luke - Les démons ne frappent jamais ?! J’ai presque fait une crise cardiaque ... Asmo – Tu tombe à pic. Joins-toi à nous pour le dîner ! Luke - Hein ? Asmo - Tada ! Le fabuleux menu de ce soir se compose de concombre de mer d'ombre géant dans un ragoût de lait ! Mammon - Mec, ça a l'air génial ! Luke - La-La-La chose bouge toujours ! Asmo - Mange de tout ton cœur ♥ Luke - Ugh… Mammon – Tu fais quoi ici tfaçon, Luke ? Asmo - À ce sujet, vous ne le croirez jamais ! Luke et MC avaient une réunion secrète derrière notre dos ! Mammon – Quoi ? T’es un ange. Qu'est-ce que tu complotes ? Luke - Je ne suis pas comme vous les démons ! Je suis juste en train de préparer un anniversaire surp-… Oups. Lucifer - Ah, oui. L’anniversaire de Simeon approche. Luke -… !
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Lucifer -… je vois. Tu souhaites donc remercier Simeon pour sa gentillesse ? Luke - Oui, mais ne lui parle pas de ça ! Simeon – Ne lui parle pas de quoi ? Luke - DAAAH ! Simeon ? Simeon - Bonjour, Luke. Satan m'a dit que tu étais ici, alors je suis venu te chercher. Ta réunion secrète avec MC, est-elle terminée ? Luke - Comment est ce que tu peux être au courant ? Simeon - Hehe. Je peux généralement deviner ce que tu penses, Luke. MC - Qu'allons-nous faire, Luke ? / Il n'y a pas eu de réunion secrète. Luke - Merci, MC. Mais ça va. Je vais lui dire. Ton anniversaire approche, non, Simeon ? Je parlais à MC d'organiser une fête pour toi. Je voulais que ce soit une surprise, mais… Simeon - Vraiment… ? C’est tellement attentionné de ta part, Luke. Merci. Satan - Puisque tu a perdu l’élément de surprise, pourquoi ne fait tu pas un anniversaire de demande à la place ? Luke - Qu'est-ce qu'un anniversaire de��demande ? Satan - C’est assez simple. Simeon fait des demandes… et nous les remplissons le jour de la fête. Belphie - Gotcha. Cela me semble bien. Lucifer - Simeon, tu as aussi fait beaucoup pour mes frères. Ce serait une excellente occasion pour nous de démontrer notre gratitude. Simeon - Demandes… ? Je ne sais pas quoi dire. Luke - Je… je sais déjà ce que tu veux ! Tu n’as pas à me le dire ! Je vais te concocter quelque chose de très spécial, prépare toi bien !
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Simeon -… Alors, c’est ce qui s’est passé. Tout le monde est si attentionné que je commence à me réjouir de mon anniversaire. Barb – Un anniversaire de demande, dis tu ? Quelle magnifique idée. Diavolo – Tu va, bien sûr, nous faire des demandes aussi, je présume ? Simeon - Pardon ? Barb - Nous souhaitons également célébrer avec toi. Nous sommes camarades de classe, n'est-ce pas ? Simeon – Vous aussi les amis… Merci. Je vous en suis reconnaissant. MC - Quelle est ta demande pour Diavolo ? / Quelle est ta demande pour Barbatos ? Simeon - A propos de ça… J'ai une idée, mais je te le ferai savoir un peu plus tard. Diavolo - Très bien. Je serai patient. As-tu déjà fait des demandes aux autres ? Simeon - Pas encore. Je devrais probablement me dépêcher, mais rien ne me vient à l'esprit. Diavolo - Il n'y a pas de précipitation. Prends le temps de réfléchir à ce que tu veux vraiment. Barb - L'important n'est pas la demande elle-même, mais de savoir si elle te fait sourire. Simeon - Hmmm… Vous avez raison. Mais que demander ? Héhé, j'ai tellement d'options.
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Simeon - Je dois dire que le thé et le gâteau de Barbatos ne déçoivent jamais. Cependant, je suis surpris que lui et Diavolo aient accepté de participer à la fête. MC – Tu peux leur demander n'importe quoi. / La fête devrait être animée avec eux en plus. Simeon - Oui. C'est un honneur. Et tout cela grâce à Luke… Oh, tu veux bien regarder ça. Un nouveau magasin de variétés a ouvert ici. Il y a une paire d'animaux en peluche dans la fenêtre. Leurs pulls à carreaux assortis sont adorables, non ? C’est ça. MC, de ta part, je voudrais quelque chose qui forme une paire. MC - Une paire ? / C'est parfait ! Simeon - N’est-ce pas ? En prime, Ça me dira comment tu aimerais passer du temps avec moi. Je peux difficilement attendre. MC - C’est beaucoup de pression. / Je ferai de mon mieux ! Simeon - Hehe. C'est bon. Tu peux y aller doucement… Hmm ? Qui vient par ici ? Belphie - Oh ? MC. Simeon aussi. Beel - Est-ce que vous êtes sortis quelque part ? Simeon - Nous avons été invités au château du seigneur démon pour prendre le thé. Je suppose que vous êtes sur le chemin du retour du RAD ?
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Belphie - Ouais. J'attendais la fin du cours supplémentaire de botanique du Devildom de Beel. Il a fini par finir assez tard. Simeon - Botanique du Devildom… Je pense que j’ai décidé ce que j’aimerais de vous deux. Belphie - Oh, pour la fête, hm ? Quoi ? Simeon - Connaissez-vous les fruits du crimson dogwood ? Beel - Je n'en ai jamais entendu parler. Belphie - Moi non plus. Simeon - C’est un fruit rouge avec des bosses noires qui brillent comme l’obsidienne. La rumeur veut qu'il pousse dans la forêt du sud. C’est soi-disant l’un des fruits les plus délicieux du Devildom, alors j’ai toujours voulu en essayer un. Je voudrais que vous en preniez pour le dessert à la fête. Beel - Allons-y, Belphie. Belphie - Hein ? Beel - Si c'est aussi bon, alors nous devons le trouver tout de suite. Belphie - H-Hey, attends ! Beeeeeeeeel! Simeon - Beelzebub est partie en portant Belphegor… Est-ce que ça ira ? MC - Ça arrive tout le temps. / Je suis un peu inquiet. Simeon – Vraiment ? Bon, je considère ma demande pour eux comme complète. Au fait, es-tu disposé à t’arrêter au Purgatory Hall ? J'ai une faveur à demander.
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