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#Vieille Charité
philoursmars · 3 months
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Marseille. A la Vieille-Charité, une expo "Panoramas" faisant le tour de la variété des musées de la ville (d'où cet aspect disparate, mais très plaisant)
reliquaire d'ibis - Tounah-el-Gebel - Epoque Ptolémaïque
Utagawa Hiroshige - "Les 53 relais du Tôkaidô ; le 44ème relais, Yokkachi"
Roger Broders - "Marseille, Porte de l'Afrique du Nord"
Utagawa Hiroshige - "Les 53 relais du Tôkaidô ; le 18ème relais, Okitsu"
Pierre Puget - "Vaisseaux dans la rade de Marseille"
Utagawa Hiroshige - "Les 53 relais du Tôkaidô ; les 2ème relais, Odawara"
bouclier de "ta'zieh", théâtre religieux d'époque Qadjar - Iran, XIXe s.
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jossarisfoto · 1 year
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Marseille | Verkenningstocht Le Panier
Woensdag, 31 juli 2019 | Onze laatste dag in Marseille. Vroeg op – om 6:00 uur – om de zonsopgang in de haven van Marseille te fotograferen. Op dat tijdstip was er al veel bedrijvigheid rondom de Vieux-Port. Elektrische steps werden klaargezet, mensen wachtten op het openbaar vervoer en vissers maakten hun netten gereed. Onze hoofdbestemming voor vandaag is Le Panier, het oudste deel van…
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from-derry · 7 months
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Isidro - Responsable de la maison commune - 63 ans
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Derrière ses airs affables et calmes, Isidro cache une personnalité rigide et ferme. Il dirige la maison commune, pourtant teinte d’une indéniable philosophie hédoniste. Et c’est bien ce qui représente toutes les facettes de sa personnalité, la communauté qu’il guide est façonnée à son image.
Isidro est né en Espagne, où il vit une dizaine d’années comme architecte de renom. Il profite alors de la vie en toute liberté et sans aucune limite: il a de l’argent à foison et affronte peu de difficultés. Il rencontre à l’occasion d’un gala de charité celui qui deviendra son compagnon de vie, Frank. Gestionnaire d’un fond caritatif américain, Frank était l’organisateur du gala.
D’abord amants d’une nuit, ils passent la semaine ensemble, celles d’après au téléphone presque tous les jours et Isidro décide de finalement le rejoindre aux Etats-Unis, alors tout juste âgé de 36 ans.
Ils sont arrivés à Derry il y’a 20 ans. En vacances, ils décident de camper dans les environs de la ville et au moment de reprendre la route, réalisent qu’ils sont coincés dans les bois où ils ont passé la nuit. Isidro n’explique toujours pas la chance folle qu’ils ont eu ce jour-là de ne pas croiser de créatures - peut-être n’étaient-ils pas encore passés dans Derry la nuit venue. Car s’il se souvient bien, Frank l’a quitté quelques instants le temps de trouver un coin d’aisance. Comme il ne revenait pas, Isidro est parti à sa rencontre et ils n’ont jamais retrouvés ni leur ne tente ni leur voiture, pourtant quelques mètres derrière eux, ils l’auraient juré. Perdus dans les bois, affolés, déshydratés, ils ont trouvé les abords d’une vieille et imposante maison coloniale étrangement vide mais en bon état. Frank décédera cette nuit-là, attiré à l’extérieur par d’étranges voix amicales émanant du porche.
Isidro est encore hanté par les cris de douleur qu’il a entendus dans la nuit et l’image de la dépouille exsangue découverte le lendemain. Il a été découvert par quelques habitants de Derry et a vécu un temps dans le centre-bourg. Frôlant un alcoolisme sévère, il manque de sombrer définitivement.
Il reprend sa vie en main, aidé par l'écoute attentive et l'amitié de membres de la communauté. Isidro investit l’immense maison pour la retaper et invite quiconque veut vivre avec lui à le rejoindre. Dans la maison, on vit et profite comme si demain ne viendra jamais, dans la maison tout est permis tant que ça ne met pas en danger la vie des autres. Quiconque enfreint ces règles sera invité à quitter la maison. Au fil du temps, il agrège malgré lui une communauté parallèle au centre-bourg, liée tant par les relations entre les deux groupes que par le besoin d’échanger les vivres et les biens pour maintenir l’équilibre général. S’il reconnaît l’autorité de Beck, elle ne vient presque jamais à la maison et lui ne descend que rarement en ville.
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electricpurrs · 2 years
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hello everybody i am here again to infodump about a random subject that no one else cares about but i think is interesting and want to share
Jacques Carelman (born 1929 - died 2012) was a french painter, illustrator and designer. he has done many things in his life but the thing hes most known for is his book, "Catalogue d'objets introuvables" sometimes translated to "Catalog of fantastic things", or more accurately, "Catalogue of Unfindable Objects", first made in 1969 as a parody of the catalog of the french mail order company Manufrance.
as in what he was specifically parodying were mail order catalogues. common at the time, these were paper publications that showcased various cool and new everyday objects that the readers could order to buy from the mail (the old time equivalent of shopping on amazon)
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what his book did, however, was illustrate an entire catalog of objects that are completely nonsense, absurd, useless, and as a whole either impossible to use or unnecessarily hard to, for no reason at all. possibly his own commentary on the consumerist culture of the time that motivated regular people to incessantly buy more and more superfluous objects for everyday use
some of the objects featured in the catalog include:
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the famous Carelman Teapot, called by himself "Coffeepot for Masochistics", featured on the cover for "The Design of Everyday Things", book still studied to this day by designer majors
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the bathtub with a door, to be easier to get in and out :)
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the retro watch
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the co-op glasses, for a good shared reading
the free pdf for the entire book with all objects can be found here, which is in italian because its the only pdf i could find. i think its a fun experience to skim through and just check all the weird shit in it!
finally, jacques carelman had some of the objects of his catalog actually made in real life and exhibited from november 1974 to january 1975 in La Vieille Charité, a museum in Marseille, France. heres a video i could find of the exhibition:
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alessandro55 · 1 year
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Rachid Koraïchi 7 Variations autour de l'indigo
René Guitton, Danièle Giraudy
Photographies Jean Bernard, Rachid Koraïchi, Jean Pierre Linuésa
Éditions Alors Du Temple/Musées de Marseille, 2003, 48 pages, 21x27,5cm, ISBN 978291793248
euro 40,00
email if you want to buy : [email protected]
Exposition du 28 janvier au mars 2003 Galeries de la Vieille Charité, Musées de Marseille
Associant les techniques ancestrales des tampons de bois en usage à Alep (Syrie) et la couleur traditionnelle des indigotiers marseillais, R. Koraïchi a créé de nouvelles étoffes : aujourd'hui exposées sous forme de bannières ou de carrés, elles se déclinent autour du chiffre 7 et de sa mystique.   L'artiste méditait. Il était venu chercher l'inspiration dans cette cité vieille de plusieurs millénaires. Alep au nord de la Syrie. Comme les couleurs voyagent, il voulait retrouver des traces de bleu sur cette route de l'Inde d'où venait l'indigo. Car en Alep, au fil des siècles, cette teinture avait été l'objet de nombreuses études dont certains secrets furent peu à peu révélés: indigo mêlé d'écorce de grenade avec addition d'eau de dattes ou de suc de raisin noir broyé ou de figues piétinées. Ces macérations étranges conféraient à l'indigo d'Alep une haute réputation dans toute la Méditerranée, Rachid Koraïchi souhaitait aussi acquérir de la soie, chiner de ces tampons anciens que les imprimeurs de tissu utilisaient encore au début du XXe siècle. Il les mêlerait aux siens qu'il allait créer ici, inspiré, comme nulle part ailleurs, par les étoffes imprimées. L'ambassade de France, à Damas, et les responsables des services culturels, sensibles au projet à ce point prometteur lui accordèrent une aide chaleureuse et il fut hébergé en une demeure, vestige du Mandat français, toute proche de la citadelle. L'artiste allait y travailler en paix et remonter la mémoire de l'indigo et des routes de la soie.
23/09/23
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travelwithdebsi · 2 years
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Day 4 - Marseille (06.01.2023)
Today was such a great day!
I got up early to walk to the „Notre Dame de la Garde“. It is the landmark of Marseille and you can see it from everywhere in the city and also from the sea. It is located on a hill and you have a great view over Marseille. Afterwards that I took the „Ferry Boat“ for 50ct to the other side of the „Vieux-port“. On this side I walked through „Le Panier“ - the old town of Marseille. I saw some beautiful little streets and many „Savonneries Marseillaises“ where you can buy soap. I also visited the „Vieille Charité“ and the „Cathédral La Major“.
I also wanted to see the „Cosquer Méditerranée“. I had read that there is a replica of the „Grotte Cosquer“ so I expected some kind of museum. The entrance fee is 16€ and I wasn’t sure if it was worth it. But in the end I just bought the ticket and I must say - it is definitely worth it! The building alone is architecturally unique. But also the inside is different from other museums I know. It was opened in 2022 and is very modern. It is set up like a trip into the cave and everything is explained via headphones. Super interesting and as I said worth a visit.
Inspired by the cave found underwater in the „Calanques“, I wanted to visit „les Calanques de Marseille“ and joined a 3.5 hour boat tour. It was just beautiful and the weather was quite pleasant for January. At the end we sailed over the sea into the sunset. A great end to the day.
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La Vieille Charité de l'architecte Pierre Puget (1670-1749) dans le quartier du Panier à Marseille, novembre 2022.
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yorkshireword · 3 months
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Gaetano Pesce / Gaetano Pesce. Cinq techniques pour le verre experience au C.I.R.V.A.
Marseille, Centre de la Vieille Charité, 1992, announcement made up of four glass pieces sticked on a plastic sheet. Published in occasion of the exhibition (Marseille, Centre de la Vieille Charité, from October 3, 1992 to January 17, 1993).
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aldhar-ibn-beju · 4 months
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Le greenwashing: La grande transformation
La splendeur autrefois florissante et vivante de la forêt druidique et sa destruction avaient depuis longtemps disparu de la mémoire fugace des hommes. Comme tant d'autres choses, le souvenir de ce crime s'est perdu dans les profondeurs obscures de l'océan du temps. A la place d'une nature vivante s'élevait une cité d'immeubles désolée, habitée par les parias d'un système malade, qui végétaient comme des zombies dans leur absence de perspectives. L'architecture était un monument sinistre de la cupidité et de l'insouciance humaines, tandis qu'une atmosphère oppressante de désespoir et de destruction régnait dans les rues sales, reflétant la souffrance oubliée de la nature.
Dans ce royaume de l'ombre créé par l'homme, Jean Ursus menait une existence misérable dans une tour délabrée de vingt étages. Comme beaucoup d'autres, le vieil homme faisait partie des oubliés d'une société impitoyablement avide de profit, qui vivaient tant bien que mal de la charité publique. Dans le passé, Jean avait travaillé pour un salaire modeste chez un employeur clérical, qui n'était toutefois pas très regardant sur les principes de sa religion chrétienne et qui avait jeté son travailleur assidu sur le marché du travail comme un vulgaire déchet lorsque celui-ci avait eu des problèmes de santé grâce à des conditions de travail plus qu'humaines. C'est ainsi qu'il est tombé dans les griffes d'un système pervers qui abandonnait les vrais nécessiteux, mais qui offrait aux fraudeurs de meilleures conditions de vie qu'à bien des membres de la population active.
L'appartement de Jean était une triste oasis de décrépitude et de solitude, où fleurissaient la moisissure noire et les rêves brisés. Le premier a conduit sa femme bien-aimée à l'hôpital, où des médecins incompétents et une médecine à trois vitesses, où les pauvres étaient plutôt considérés comme une charge gênante ou des rats de laboratoire, ont coûté la même chose à l'amour de sa vie.
Malgré les conditions inhumaines de ce logement loué à prix d'or et dont le loyer était payé par des institutions publiques corrompues et dépensières à un généreux requin de l'immobilier, il représentait néanmoins pour Jean une sorte de refuge auquel il aspirait désormais.
Outre le charme morbide de cette cité d'immeubles délabrée, qui se reflétait dans les fenêtres brisées et les façades défraîchies, il aperçut maintenant deux membres des 'Crazy Homocides' sur le chemin du seul kiosque fortifié de la banlieue.
Dans cet environnement empreint d'une sombre criminalité, même le prudent Ursus ne pouvait échapper à l'ombre qui s'étendait sur tout, telle une obscurité étouffante. Les deux membres du gang, Ibrahim Al Ahmaq et Charles Pissel, marqués par une aura lugubre, se mirent en travers du chemin du vieil homme avec un large sourire qui exprimait un mépris et une dérision complets.
Ibrahim, un beau garçon intelligent avec une pointe d'arrogance, s'est présenté devant Jean Ursus. Son sourire était comme un masque derrière lequel se cachaient de sombres intentions.
"Eh bien, qu'avons-nous ici ?", commença-t-il avec une gentillesse feinte. "Un vieux schnock solitaire sur notre territoire, c'est ce que j'appelle être courageux. Dans ce quartier délabré, il est facile de se faire attaquer ou même tuer. Tu as l'air de ne pas avoir besoin d'ennuis, et je suis sûr que nous pouvons t'aider à les éviter. Au fait, as-tu déjà payé le tribut ?"
Charles, une brute au quotient intellectuel digne d'un giganthrope, grogna en guise d'approbation et ajouta avec la finesse d'une masse : "Oui, on pourrait vraiment 'remonter le moral' de cette vieille épave, Ibrahim. Comme avec le Juif de la semaine dernière, qu'on a massacré parce qu'il avait une drôle de tête ! "
L'élément qui reliait Al Ahmaq et Pissel, que ses amis appelaient aussi Charlie le nazi, était sans aucun doute l'antisémitisme extrême des deux.
Jean, entouré des ombres menaçantes des deux en général et de l'odeur de matière fécale du moins hygiénique Nazi-Charlie en particulier, a tenté de désamorcer la situation.
"S'il vous plaît, messieurs, je n'ai pas grand-chose, mais je peux vous donner ce que je possède".
Sa voix était calme, mais son cœur battait fort sous l'effet de la peur. Pendant un moment, un silence pesant s'est installé, finalement brisé par le rire sardonique d'Ibrahim. Bien que Pissel, tel un gorille atteint de la maladie d'Alzheimer, ne sache pas exactement pourquoi son camarade s'est mis à rire, il s'est tout de même joint à lui en grognant comme un cochon.
Les mains tremblantes, Ursus sortit sa bourse déchirée et la tendit finalement à Al Ahmaq, qui la reçut avec une révérence moqueuse et la vida avidement. Une fois son forfait accompli, Ibrahim jeta négligemment la bourse et se tourna vers sa victime en secouant la tête.
"Qu'est-ce que je t'ai fait pour que tu me traites avec un tel manque de respect ? Tu ne vas tout de même pas sérieusement me laisser me débrouiller avec quelques sous, n'est-ce pas ? J'aimerais bien faire preuve de clémence envers un clochard délabré comme toi, mais ce ne serait pas juste pour les autres ! Charlie, je crois que ce type a besoin d'une leçon" !
Charlie le nazi a serré les poings et s'est approché de manière menaçante.
"Ouais, et si tu ne coopères pas, tu vas le regretter".
L'atmosphère était tendue, les mots étaient suspendus au-dessus de la tête de Jean comme une épée de Damoclès. Il était conscient de ses chances de s'échapper ou même de se défendre. Il ne pouvait pas espérer obtenir de la pitié de la part de ses bourreaux, il ne voyait donc qu'une seule possibilité d'échapper à son destin.
"Je sais où il y a des choses à prendre. De l'argent, des bijoux et d'autres choses de réelle valeur" !
Imperturbable, plein d'une anticipation primitive et brutale, le stupide donneur de leçons s'approcha de son souffre-douleur tremblant, tandis qu'Ibrahim ricanait joyeusement. Mais juste avant que Pissel n'atteigne sa victime, son acolyte a ressenti le besoin d'interrompre cette forme particulière d'entraînement de boxe.
"Stop Charlie, au pied ! Écoutons qui le vieux veut livrer au couteau".
L'homme de main brutal quitta à contrecœur sa victime et rejoignit son maître, conformément aux ordres.
"Eh bien, vieux traître, parle !"
Ursus se détestait pour cela, mais dénonçait maintenant d'une voix tremblante tous ses voisins dont il supposait qu'ils possédaient encore de modestes biens datant de temps meilleurs. Tandis que Charlie le nazi se tenait là, avec son habituel visage stupide et inexpressif, Al Ahmaq écoutait l'informateur avec un grand sourire. Finalement, celui-ci arriva à la fin de sa sordide confession.
D'un geste autoritaire, Ibrahim a fait taire le colocataire de bidonville délabrés, avide de renseignements.
"Tu es un vrai Judas, alors..."
"Quoi, c'est un juif ! Je vais le tuer !"
D'une voix stridente, Nazi-Charlie interrompit son chef et se prépara à achever son projet inachevé.
"Idiot, tu ne l'écraseras pas avant que je te le dise !"
Confus, Pissel fixa son acolyte qui l'avait réprimandé assez brutalement. Pour donner plus de poids à son ordre, Ibrahim a donné une gifle retentissante à son camarade qui avait réagi trop vite. Comme un chien battu, Nazi-Charlie attendait les prochaines instructions de son chef en baissant les yeux.
"Maintenant, mon vieux, cela ne nous suffit pas ! Mais, Allah aime les miséricordieux ! Si tu me montres ton respect, peut-être que je t'épargnerai".
Désespéré, Ursus tomba à genoux et balbutia des paroles de supplication en demandant pardon. Même si le vieil homme savait mieux que quiconque que ses supplications auprès des deux voyous étaient vaines, il osa tout de même solliciter leur compassion. Les yeux de Jean imploraient la compréhension, tandis que ses paroles se perdaient dans l'obscurité comme un dernier cri de désespoir.
Ibrahim était rempli d'une joie sadique et ne put réprimer un sourire méprisant en observant les tourments du vieil homme. "Oh, comme c'est touchant", se moqua-t-il avec une gentillesse feinte. "Mais tu ne comprends pas, vieux pet. Tes gestes d'humilité et tes larmes ne signifient rien pour moi. Ce qui m'amuse, c'est de te voir souffrir. Mais continuez ! J'adore vous voir mendier, chiens d'infidèles" !
Le requérant a finalement compris que sa situation était désespérée et s'est levé. Conscient qu'il n'avait plus rien à perdre, l'homme qui avait disparu depuis longtemps se réveilla en lui.
"Vous êtes de lâches scélérats qui vous en prenez aux plus faibles", s'exclama Ursus, la voix tremblante de colère et de peur. "Vous recevrez votre punition pour vos actes, tôt ou tard".
Pissel, dont l'esprit fasciste ne supportait pas la provocation, avait l'intention de se jeter sur le vieil homme.
"Pas si vite, espèce de troglodyte", dit Ibrahim d'un ton impérieux et avec un sourire malicieux. "Comme il lui a visiblement poussé des couilles, nous allons le laisser parler encore un peu. Quand je te l'ordonnerai, tu pourras en finir avec ce vieux con".
Le nazi Charlie, qui dans sa simplicité prenait ce salut d'homme des cavernes comme un compliment, claqua les talons de ses bottes de springer et leva la main droite pour saluer.
"Fils de putes lâches, si j'étais plus jeune, je vous ferais bouffer votre merde. Alors allez, bande de bâtards, faites ce que vous avez à faire".
Dans l'attente des événements désagréables qui allaient se produire, Jean se taisait. Une atmosphère fantomatique, semblable à une brume chuchotante d'un malheur sombre et imminent, imprégnait les structures délabrées du bidonville. En souriant méchamment, Ibrahim leva son bras droit pour donner le signal du massacre au nazi.
Cependant, Jean ne se rendait plus vraiment compte de tout cela, car son attention était détournée par l'anomalie spatiale qui venait de se former derrière ses bourreaux sous la forme d'une sorte de portail d'une noirceur extrême. Son cœur se mit à battre à toute vitesse d'horreur lorsqu'il sentit le vide inimaginable qui se trouvait derrière. "Regardez !", cria-t-il d'une voix paniquée. "Derrière vous !"
Ibrahim a réagi par un rire moqueur auquel s'est joint l'idiot de nazi Charlie.
"Tu ne sauveras pas ta peau avec ce truc débile, mec. Charlie, fais-lui sa fête à cette vieille épave".
Mais avant que le sbire ne puisse exécuter l'ordre de son maître, les deux voyous sentirent le froid glacial qui émanait du portail noir. Alors que Pissel continuait à ricaner bêtement en ignorant tout, Ibrahim se retourna.
"Mais qu'est-ce que c'est ?"
"Quoi, Ibrahim ?"
"Tourne-toi, abruti !"
La créature de l'ombre sortit de la porte entre les dimensions. Cette fois, cela ne durerait pas, mais le temps du retour définitif était proche. Une aura de pouvoir ancestral entourait la druidesse mort-vivante. Tandis que son patron gardait un silence confus, le nazi primitif Charlie n'en ressentait rien et proclamait haut et fort sa sagesse.
"Qu'est-ce que tu veux, espèce d'idiote ? Tu veux que je te baise ou que je te mette un coup de poing dans la bouche" ?
La druidesse hacka avec facilité les structures cérébrales peu complexes des deux voyous. Un rire moqueur s'échappa de ses lèvres alors qu'elle pénétrait dans leur monde mental stupide et primitif.
Face à cette situation étrange, Al Ahmaq décida d'attendre et de décider ensuite s'il devait se battre ou battre en retraite. Cependant, il avait fait le calcul sans cet idiot de Charles qui, profondément touché dans son honneur masculin douteux par le rire des femmes, s'apprêtait à punir l'auteur de l'impertinence féministe. Mais avant que Charlie le nazi ne puisse lancer sa guerre d'attaque contre la druidesse, celle-ci fut soudain entourée d'une lumière bleue étincelante qui laissa pantois même le fasciste le moins doué mentalement. Encore éblouis par ce spectacle, un grand grognement fit tourner les deux héros de la banlieue en direction d'Ursus.
Au lieu d'un vieil homme impuissant, ils se sont retrouvés face à un énorme ours des cavernes qui s'est précipité sur eux. Paralysés par l'effet de surprise, les deux membres de la bande ont subi un sort cruel sous la forme de coups de patte brutaux et amputants, qui ont finalement envoyé le crâne creux de Nazi-Charlie dans une poubelle voisine. Le lecteur gardera à l'esprit qu'une fuite ou une résistance de nos deux antihéros aurait très probablement été inutile. 
La druidesse observa la scène avec un sourire moqueur sur son visage de mort-vivant, qui laissa place à une expression de profonde satisfaction une fois que les deux bandits de fortune eurent été découpés avec succès. Le voile entre les dimensions s'abaissa une dernière fois et le portail ainsi que la voyageur morts-vivant disparurent aussi brusquement qu'ils étaient apparus, tandis que Jean reprenait sa forme humaine en toute hâte. 
Ursus contempla avec horreur les restes des deux brutes, tandis que son esprit s'efforçait de saisir le souvenir de son existence en tant que monstre-ours. Mais comme un rêve obscur, le souvenir s'estompa et il resta avec la sinistre certitude que quelque chose d'inexplicable s'était produit.
Finalement, submergé par la panique et la confusion, le vieil homme a fui la scène du crime et s'est réfugié dans son appartement délabré. Il a fermé la porte derrière lui, comme pour se protéger d'une menace invisible, et s'est barricadé dans sa propre prison de peur et de solitude.
La pensée de la police s'est imposée à son esprit, mais le désir de ne pas risquer d'autres ennuis a prévalu. Jean n'osait pas informer les autorités, de peur des conséquences létales qu'un habitant du bidonville risquait s'il enfreignait la loi du silence. De plus, les forces de l'ordre préféraient rester passives face à d'éventuels délits dans les quartiers pauvres et y être le moins présentes possible, car elles concentraient leurs forces sur la protection des quartiers chics contre la foule moins aisée et sur les leçons de violence d'État à donner aux manifestants quérulents et non conformes au gouvernement.
Tout en buvant une bonne gorgée d'une bouteille d'alcool bon marché, Ursus pensa à la terreur inconnue qui se cachait dans ce désert inhumain de crimes architecturaux.
Suite à donner - © 2024 Q.A.Juyub
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escapadesbaskets · 9 months
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LOIRE A VÉLO 2020 Jour 3 : de La Charité jusqu’à Gien
SAINT-SATUR
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Je me souviens que le réveil a été difficile mais que les premiers kilomètres ont été encouragés par le beau soleil qu’il faisait ce matin-là. Après une halte rapide devant la ferme, nous avons continué notre chemin en direction de Saint-Satur où nous avons fait une pause. Nous avions pour habitude de nous arrêter après une 20taine de kilomètres parcouru chaque matin.
J’ai bien aimé le village de Saint Satur (côté St-Thibault) avec les maisons façon “Bretagne”, les briques blanches autour des fenêtres, les toits en ardoise et le port de plaisance (ambiance canal comme dans le Morbihan). Pour nous ravitailler nous avons été à la boulangerie qui se trouve le long de la route principale qui traverse le village. 
NB: Les petits commerces du coin vendent souvent du très bon fromage de chèvre. Il est donc devenu une habitude pour nous de faire notre casse-croûte de 10h avec du chèvre et du pain frais pendant ce voyage !
Nous avons repris la route jusqu’à Belleville-sur-Loire. Pour déjeuner, nous avons été dans le seul restaurant du village. Pour les plus prévenants (que nous n’étions pas), une aire de pique-nique est à disposition avant Belleville avec deux tables et un petit cabanon mais je ne saurais pas vous dire s’il s’agit de sanitaires. 
Avant d’arriver à Belleville, l’itinéraire nous a fait contourner une centrale nucléaire. Sur les barbelés de cette “magnifique usine à vapeur”, des panneaux sont disposés pour rappeler qu’il est interdit de prendre des photos. N’étant pas des espions, il nous faut vous admettre que nous ne nous sentions pas concernés par ces affichages et je dirais même que l’idée ne nous serait pas venue mais bon...
L’après-midi a été beaucoup plus colorée. Nous avons longé la Loire avec des paysages calcaires, presque “Far-West”. Pour mieux appréhender les bornes qui nous attendaient, je suis allée me tremper dans la Loire en début d’après-midi. Il existe des coins prévus pour la baignade le long de la Loire à vélo mais la Loire ayant été particulièrement basse cet été là, il a été possible de s'arrêter au bord d’une plage assez facilement.
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NB: Avant d’arriver à Châtillon-sur-Loire, au niveau du port du canal, vous pourrez trouver une fontaine à eau et des toilettes sèches à disposition.
Une fois passé le pont au-dessus de la Loire pour rejoindre Les Combes, il sera surprenant de longer un camping en étant entouré de pins. Ce qui rend le paysage plus exotique
BRIARE
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Quel charme avec son pont canal , son glacier artisanal Chocolat et chimères et son port de plaisance.... Qu’il a été difficile de repartir jusqu’à Gien faire les 10 derniers km !
Les derniers kilomètres avant d’arriver à Gien n’ont pas été de tout repos puisque nous sommes passés par Saint Brisson. Cette commune est située sur les hauteurs. Après Briare, la route est charmante et longe la forêt. Une montée considérable vous fera grimper jusqu’à ce village préservé et plein de charme . Nous avons aperçu son château sans trop nous y attarder mais je pense que la vue depuis celui-ci sur la plaine est fort sympathique. En continuant au milieu des champs, la vue en contre plongée sur Gien avec le soleil couchant m’a laissé un souvenir authentique.
GIEN
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Camping avec vue sur la vieille ville et le château, la vue de nuit y est magnifique depuis la plage. Tente trek sur pilotis  (35 €) , une piscine dans le camping (qui ferme à 19h) et un commerce jusqu'à côté de produits locaux avec des commerçants très sympa qui ne comptent pas leurs heures. Je pense que Gien a été la meilleure nuit du séjour et surtout la plus méritée avec 80 km au compteur.
Après une bonne nuit de repos, nous sommes allés découvrir cette jolie ville de briques ocres. Je vous recommande d’ailleurs d'entrer dans l’église où règne une ambiance vraiment chaleureuse (ambiance feutrée).
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philoursmars · 3 months
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Marseille. A la Vieille-Charité, une expo "Panoramas" faisant le tour de la variété des musées de la ville (d'où cet aspect disparate, mais très plaisant)
masque "cara grande" de danse guerrière, Tapirapé - Mato Grosso, fin XXe s.
"La Bataille de Kerbala", peut-être décor de "hosseynieh" (bâtiment commémorant l'imam Hussein) ou d'un "qahveh-khaneh", maison du café, où des conteurs officiaient) - Iran, 1880
Pierre Puget - "Neptune capturant un dauphin"
masque "ejumba" Diola, pour la cérémonie d'initiation bukut - Sénégal, fin XIXe s.
Francesco Salviati - "Figure de dos, portant une urne"
voir 2
voir 1
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christophe76460 · 9 months
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*MANNE QUOTIDIENNE*
*DIMANCHE 17 DÉCEMBRE 2023*
*LES AVANTAGES DE L'HOSPITALITÉ*
*VERSET CLE :* _«Bien-aimé, tu agis fidèlement dans ce que tu fais pour les frères, et même pour des frères étrangers»_ (3Jean 1:5).
*TEXTE BIBLIQUE :* 3JEAN 1:1-14
On raconte une histoire intéressante au sujet de la reine Victoria d'Angleterre. Elle aimait sortir seule, pour ne pas être reconnue, afin de se mêler aux gens ordinaires. Pour ne pas être remarquée, elle s'habillait de façon vulgaire et se promenait seule. Pendant l'une de ses sorties, elle fut surprise par la pluie et alla cogner à la porte d'un cottage afin d'emprunter un parapluie. N'ayant pas reconnue la reine, la vielle dame qui ouvrit la porte lui prêta un vieux parapluie. Le lendemain, le valet de la reine restitua le parapluie à la vieille dame en lui disant: «La reine me charge de vous rendre votre parapluie». La vieille dame répondit «Si j'avais su qui elle était, je lui aurais donné mon meilleur parapluie».
Jean, l'apôtre d'amour, écrivit à Gaïus pour faire l'éloge de son amour et de son hospitalité envers les croyants et les étrangers. Gaïus a été félicité pour ses soins envers les frères, particulièrement envers les frères étrangers avec qui il n'était pas familier mais dont il avait pris soin et qu'il avait pourtant logés. Ces saints étaient en mission d'évangélisation et vinrent avec une lettre de recommandation de la part de l'Apôtre Jean. Diotrèphe quant à lui, un leader dans l'église, ne les reçut point. Son action a été condamnée par les Écritures. L'épitre a été conclue par une exhortation des frères à suivre de bons exemples et de continuer dans la charité chrétienne.
Le monde ne sera pas convaincu et gagné pour Christ si nous ne faisons pas preuve d'amour. Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné Son fils unique pour son salut.
Il nous est demandé d'aimer les étrangers et d'ouvrir grandement les portes de nos maisons et de nos églises aux personnes en déplacement et aux sinistrés. Nous sommes tenus de donner un toit aux sans-abris, de pourvoir la nourriture aux affamés et des vêtements à ceux qui sont nus. Nous devons toutefois veiller à prendre des mesures de sécurité.
*PENSÉE DU JOUR :*
Sans amour, l'évangile n'aura pas d'impact.
*LA BIBLE EN UN AN*
ÉZÉCHIEL 1-2.
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holybridget · 10 months
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Les joyaux du Tassili. Délaissées jusqu'aux années 1930, peintures et gravures des anciennes civilisations du Tassili des Ajjer fascinent les explorateurs. (Herodote.net).
Datation des plus anciennes peintures d'art rupestre du Tassili-n-Ajjer, dans le massif du Sahara algérien. (Hominides).
Scène de campement à Iheren (Tassili n'Ajjer). (Encyclopédie berbère)
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jeanetjeannepatin · 11 months
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Mercredi 25 octobre 2023 à 19H, la Petite Boutique Fantasque continue les aventures d’Agathe tirées du Roman comique de Charles Sorel dans une émission appelée : Eteindre la concupiscence des hommes par charité. On y voit Agathe vieillissante et malade être aidée par le destin… Cette émission a été enregistrée et montée au studio de RadioRadioToulouse et diffusée en hertzien, Toulouse : 106.8 Mhz ou en streaming https://www.radioradiotoulouse.net/ et pour tout le reste du temps sur les podcasts de mixcloud.
Programmation musicale : 1) I may be too young (Suzy Quatro) 2) Les anges gardiens (Les vieilles pies)  3) Reality (vs_price) 4) La mare aux canards (Nour) 5) Either end of august (Bill Brufford) 6) Season’s song (Robert Plant) 7) Tchembé (Gwendoline Absalon) 8) Petit Castor (Yelo molo)
+ lecture d’un extrait de l'Histoire comique de Francion (1623) de Charles Sorel par Pascale Rémi
Pour ceux qui auraient piscine indienne, ou toute autre obligation, il y a une possibilité de rattrapage avec les podcasts de la PBF: https://www.mixcloud.com/RadioRadioToulouse/eteindre-la-concupiscence-des-hommes-par-charité-la-petite-boutique-fantasque/
Sus aux Philistins !
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