#Une Vie Pour Rien Vinyles
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au-jardin-de-mon-coeur · 4 months ago
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Le Vinyle c'est analogique, poétique, graphique, surprenant et ça se collectionne....
Le Vinyle, c'est aussi humain, ça vient de loin, c'est exigeant, ça se communique et ça aime les disquaires...
Pour tout cela, le Vinyle, c'est la vie !
Un Vinyle enchantera toujours vos belles soirées d’hiver. Même si vous n’avez pas de cheminée, le vinyle se chargera de vous délivrer quelques crépitements agréables. Il n’y a rien de plus beau qu’un bon album de Jazz ou autre sur un vinyle aux craquements doux. La chaleur sonore que le vinyle procure est unique ; il n’y a pas d’autre support qui vous apportera cette sonorité si particulière. Laissez de côté le binaire du CD et les faibles fréquences du MP3. Le vinyle saura vous séduire par autre chose. C’est à vous de savoir vous en délecter.
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mmepastel · 1 year ago
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Je n’ai pas réagi tout de suite car j’étais hors de connexion mais j’ai pris un sacré coup dans le plexus solaire avec l’annonce de la mort de Jane B.
Comme pour beaucoup, elle a fait partie de ma vie, et elle a beaucoup compté.
Quand j’étais jeune, je l’ai vue au zénith de Toulouse, avec ma sœur. Le frisson quand sa voix a retenti dans le noir, a cappella, entamant L’Aquaboniste, Gainsbourg venait de mourir, c’était son hommage, poignant. Puis on l’a découverte assise au bord de la scène, avec sa chemise blanche et son jean usé, et ses converses grâce à une coursive qu’il l’a enfin éclairée. Il se murmurait que Charlotte était dans les coulisses. Car oui, c’était aussi ça, Gainsbourg, Charlotte, puis Lou, Jacques Doillon, (sans parler de Kate, dont je n’oserai rien dire), que des personnes assez incroyables, ça ne peut pas être un hasard… voyez ce que je veux dire ?
A la même époque, je m’étais acheté un T-shirt blanc et un panier, et je voulais absolument lui ressembler (c’était très mal engagé), j’ai trouvé à prix d’or aux puces de Saint-Ouen le vinyle où elle arbore ce pull rouge, puis quand il est sorti, je me suis offert le coffret jaune pâle ci-dessus. Je l’ai écouté sans fin, avant, après le bac, longtemps longtemps.
Je sais que les gens se sont moqué de sa voix, de son accent, mais il se trouve que moi, je suis plus Jane Birkin que Céline Dion, et j’ai toujours aimé l’émotion qu’il y avait dans sa voix et le choix de ses mots dans ses interviews, j’ai aimé qu’elle n’ait pas perdu son accent, qu’elle se soit trouvé sa voix.
Son parcours courageux a montré qu’elle n’était pas juste une muse ni une interprète, voire une marionnette de Serge le facétieux.
Enfin, il faut bien l’avouer, je pense qu’on a rarement vu un visage aussi merveilleux dans nos télés. La grâce. Je reste fascinée, et désormais peinée. (J’ai de la peine à imaginer la tristesse de ses filles.)
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mrlafont · 2 years ago
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Petit tour à Rennes, où j’ai déposé mon vélo pour une révision... Je m’y remets, enfin. Il était en train de moisir dans la cave. Je vais le récupérer demain, flambant neuf, j’espère. Et je partirai. Je roulerai. Enfin. On reprendra les choses là où je les avais laissées. Mon dieu... La vie est tout ce qu’on imagine qu’elle soit. J’écris ceci en écoutant un vinyle de Chopin, mis comme ça, au hasard, sans conviction. Et tout de même... tout de même ! Il y a quelque chose. On écoute du classique et... tout de suite... dans la silence de la solitude on sent quelque chose qui point, qui émerge d’un fond très lointain... les idées nobles. Et on sent que cette musique nous donne l’idée d’une vie qui ne peut être vécue. On a des envies de vivre en chuchotant... Mais lundi boulot ! et vas-y que j’te ! La musique classique, comme la littérature, c’est des trucs trop beaux pour être vrais... Tout de même cette petite poésie intime... que c’est bon ! Je m’y revois, à l’époque où j’y croyais, moi gros naïf ! J’étais pas loin de penser qu’à la simple force du désir j’allais pouvoir remonter le temps du monde... La bonne blague... Bref, Rennes... Aller-retour... Je suis allé aux bouquinistes, j’ai trouvé quelques livres, bien chouette ! Quelques faceux gauchistes regardent les livres à côté de moi. Ils sont ridicules... J’étais comme eux à leur âge, moins pire quand même... j’étais fait pour être intelligent moi, malgré tout. Eux ?... Ils sont là, ils atterrissent, ils flottent, ils ne savent rien du tout... Ce sont des bébés... “Ha ! tiens ! “Le communiste” ! Ha ! tiens ! Camus ! Oh ! C’est bizarre les pages sont pas décollées sur ce livre là !... Ils savent pas ce que c’est... Et ces jeunes sont plein de convictions, revendications, idées, révoltes, valeurs !... Leur naïveté, leur inconscience, leur bonne volonté peut-être... malgré tout... a fait naître en moi un mélange de mépris ironique, d’orgueil bienveillant et irrité à la fois... Je me suis presque vu en eux, à leur âge... Au temps de la jeunesse où l’on ne fait que rêver d’Idéal ! L’Idéal ! Beauté ! Idéal ! Ha ! Poésie, Vérité, Majuscules ! Au temps où la vie ne nous a pas encore humilié ! Au temps où la vie avec une cruelle malice nous laisse enfanter des espérances avec des majuscules... Au temps où elle nous laisse être jeune et bête, où elle nous laisse faire en nous regardant, lèvres narquoises et œil ironique. Quelques années plus tard elle rangera son sourire, reniflera un coup, frappera d’un grand mouvement ample et nonchalant ses mains sur ses cuisses et s’y aidant se lèvera et viendra nous mettre à terre sans aucune pitié, nous rouler dans la merde... le temps qu’il faut... Après quoi seulement on commence véritablement à discuter avec la vie. Après quoi seulement on a le droit de parler et d’avoir un début d’idée sur les choses...
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miimii-cry · 9 months ago
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Mars 2024
Livres
❤️‍🩹 Cleopatra and Frankenstein, Coco Mellors C'est un peu long à démarrer mais la fin est incroyable, j'ai beaucoup pleuré. C'est un livre rempli de personnages remplis de défauts mais auxquels on est tout de même attaché. J'adore lire des histoires sur des gens qui font des mauvaises choses mais qui ne sont pas pour autant des méchants, ça m'aide à me rappeler que dans la vie, tout n'est pas blanc ou noir. C'est une notion sur laquelle je travaille beaucoup en thérapie.
🌹 Minuscule folle sauvage, Pauline de Tarragon J'adore ce genre de BD, c'est adorable et je ne peux pas m'empêcher de me reconnaitre dans toutes les réflexions qui y sont faites.
🌱 Le merveilleux royaume des humains, Tarmasz et Chariospirale J'ai participé au financement participatif du livres parce que j'aime beaucoup le travail des deux artistes. Et bien je ne suis pas déçue, les couleurs de la BD sont incroyable, super vives, ça ressemble beaucoup à de l'impression en risographie je trouve. J'adore.
🚬 Ernestine, Salomé Lahoche Le contraste entre les couleurs vives, les dessins tout mignon et l'humour noir est parfait. 5/5, ça me ferait presque apprécier les enfants.
🌊 Il y a longtemps que je t'aime, Marie Spénale Quand j'ai vu que Marie Spénale avait sorti une nouvelle BD, j'ai couru vers la librairie la plus proche pour l'acheter. Rien que pour la couverture ça vaut le coup, ce rose la pouah incroyable. Je pourrais passer des heures à juste regarder la composition des cases. L'histoire est très belle et poétique, j'ai vraiment adoré.
Films
🛩️ Upgraded, Carlson Young (2024) Les comédies de mensonges … 🥱😴
🍷 La disparition de Michel Houellebecq, Guillaume Nicloux (2014) 💢 Dans Michel Houellbecq, on entends "hell" deux fois et je pense que ça représente très bien le film.
🍄 Dans la peau de Blanche Houellebecq, Guillaume Nicloux (2024) 🍿 Franchement ça m'a souvent dégouté, mais il y a quand même quelques blagues qui m'ont fait rire donc je dois le signaler.
Séries
👓 Saiki Kusuo no Ψ Nan S01⏳ Ça fait super logntemps que je voulais regarder cet animé et puis la je suis tombée sur un tiktok qui en parlait alors ça me l'a rappelé. Comme je n'avais pas grand chose à regarder et que c'est disponible sur Netflix, c'était vraiment parfait. Et ben je suis fan, l'humour me fait pas mal penser à Nichijou par moment (qui est mon animé préféré de tous les temps probablement) donc à voir si ça ne s'essouffle pas avec le temps comme il y a 3 saisons. Mais pour l'instant, je rigole devant chaque épisode.
🏝️ Lost S03 ⏳
Jeux vidéo
🦄 Unicorn Overlord ⏳ Le dernier VanillaWare est sorti ! Je l'attends depuis longtemps et encore plus depuis que je me suis décidée à faire tous les jeux de ce studio. Pour l'instant, c'est un mix entre Fire Emblem (le côté tactique des combats et l'évolution des personnages), Final Fantasy IX (pour la quêtes des mineurs qui me fait beaucoup penser aux chocographes) et euh ben c'est tout ce qui me vient. C'est super beaucoup, les persos sont beaucoup trop stylés (Aramis ❤) et il y a un perso qui s'appelle Miriam donc que demande le peuple en fait (je m'appelle Myriam).
🎀 Princess Peach Showtime Enfin un nouveau jeu avec Peach en héroïne. Je l'attendais depuis sa présentation dans un Nintendo Direct. Le jeu est super mignon, les costumes sont vraiment chouettes mais après en terme de difficulté, c'est très tranquille (ce qui moi me va parfaitement). La j'ai "fini" le jeu mais il y a tout un post game qui s'est débloqué donc je suis a peu près à la moitié vu qu'il faut repasser dans tous les niveaux. Pas sûre de tout finir cela dit.
Musique
🟣 Guts (spilled) 💖 La version Deluxe de l'album Guts est enfin sorti ce qui veut dire que je vais enfin avoir accès à la poste "obsessed" sur Spotify ! Pour le coup, je suis "obsessed" depuis que je l'ai entendu au hasard à la fin du vinyle que j'ai acheté. Je crois que le fait de tomber sur une piste caché ajoute beaucoup. Pour l'instant je n'ai pas encore trop écouté les autres chansons.
Sorties culturelles
🎭 Richard III, La Sorbonne R m'a proposé de l'accompagner voir la pièce Richard III à la Sorbonne. Il y avait le choix entre deux performances : une version avec que des acteurs hommes et une autre avec que des femmes. On a choisi la version féminine mais ce qu'on ne savait pas, c'est que c'était joué entièrement en ancien français. J'ai du comprendre 1/8 de la pièce, j'ai du regarder le synopsis sur mon téléphone pendant la représentation pour capter un peu ce qui se passait un minimum. Les actrices étaient vraiment trop mignonne, ça m'a rappelé qu'un jour, je voudrais vraiment voir une représentation de la troupe du Takarazuka ! (et si possible la Rose de Versailles)
______
💖 : Favoris | 💢 : Flop | ⏳ : En cours | 🔁 : Revisité | 🏆 : 100% | 🍿 : Cinéma
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journaldenimportequi · 1 year ago
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Mardi 3 octobre 2023
Velléités musicales
Me revoilà tous les soirs à aller traîner sur ce maudit « tchatche.com » afin d'avoir des femmes avec qui parler, femmes qui se révèlent, lorsqu'elles daignent me répondre (ce qui arrive environ une fois par mois) : des comptes fakes, des filles inintéressantes avec aucune foutue conversation ou bien des semi débiles mentales.
Ca me rappelle les heures les plus sombres de ma non vie amoureuse : j'ai officiellement touché le fond à nouveau.
Dans le même temps, heureusement, la musique est là, en fond, et je ne cesse d'écouter en boucle les deux premiers albums de Weezer, je crois que je les ai toujours aimés, il faut dire que ce sont deux albums parfaits, qui ne contiennent aucune mauvaise piste.
Vous ne connaissez pas Weezer ? Foncez écouter l'album bleu et Pinkerton, et votre vie s'en trouvera améliorée, je vous le garantis!
J'ai envoyé un courrier à mon ex (la dernière en date, non qu'il y en ai eu trop, cependant) pour lui demander qu'on se voit au moins pour se rendre les affaires qu'on a de l'autre (elle a deux vinyles, quelques bouquins et un dvd à moi). Elle a fini par me répondre par un message bref sans aucune once de chaleur humaine pour m'expliquer qu'elle me rendra tout ça lorsqu'elle passera par Lyon, « pas dans l'immédiat ».
Bon, ok, il me semble qu'elle n'a aucune intention de garder le moindre genre relation avec moi, fut elle même amicale.
Je me sens à nouveau désoeuvré, totalement.
J'aimerai faire quelque chose de ma vie.
Oh, je ne parle pas de trouver un job ou quelque chose comme ça, je veux créer, produire quelque chose.
Des chansons, des dessins, de la peinture, un scénario, un roman, au moins une nouvelle, quelque chose de cet ordre là.
Je me rabat sur l'écriture de ce journal puisque c'est la seule chose qui veut bien sortir de moi.
Le journal, c'est facile, ça s'écrit tout seul.
Je voudrais parfois parvenir à écrire autre chose que ma pauvre vie.
Pour ça il faudrait qu'on m'encadre.
J'ai pensé à m'inscrire à des ateliers d'écritures mais je n'en ai pas trouvé.
On dirait bien qu'il va falloir que je me débrouille tout seul.
C'est pareil avec la musique. Je n'arrive que rarement à m'y mettre, lorsqu'il s'agit de composer.
La musique sort facilement, je ne manque pas de mélodies dans ma besace, mais c'est plus compliqué lorsqu'il s'agit d'écrire un texte.
Je voudrais avoir un collaborateur pour ça.
Quelqu'un avec qui chanter et écrire des trucs.
Il m'est arrivé de poster une annonce pour ça, mais je n'ai jamais pu trouver le/la partenaire idéal.
C'est compliqué aussi, il faudrait quelqu'un avec qui j'ai des références en commun.
Je ne peux pas me retrouver avec quelqu'un qui fait de la variété.
Oh, je suis bête, après tout, pour faire de la musique, tout ce dont j'ai besoin, je l'ai à la maison, j'ai des guitares, j'ai un piano, un micro, un logiciel d'enregistrement, ça ne tient qu'à moi de me bouger le cul et d'essayer des choses.
J'ai écris ma première chanson il y a environ dix ans.
J'en ai écrit une petite vingtaine en tout, depuis ce temps là.
Il n'en reste que deux, j'ai effacé toutes les autres tellement elles m'inspiraient la honte, elles étaient d'une nullité, rien que d'y penser j'en frémis de honte !
J'ai conservé la première, toutefois, je la trouve touchante de naïveté, elle conserve un certain charme, avec son côté mal branlé.
Si vous voulez l'écouter vous la trouverez sur mon soundcloud en cherchant « Yann Pinguet soundcloud ».
Je m'étais dit qu'il fallait qu'un jour j'essaye de composer la musique avant les paroles, et de me laisser porter par la mélodie pour écrire des choses par dessus.
Ca pourrait être intéressant.
Je pense que la musique pourrait être la solution.
C'est peut être par elle que je trouverai le salut.
Je devrais m'y mettre plus sérieusement.
Je crois qu'il est normal d'écrire de la merde, au début.
Je ne crois pas que Paul McCartney ait dégainé immédiatement Yesterday, non, il a dû pondre plein de trucs nuls avant ça.
Ca se travail, c'est comme tout.
Alors je devrais me laisser le temps d'écrire encore plein de chansons nulles, et puis petit à petit, peut être qu'elles seront de moins en moins nulles et peut être qu'un jour je finirai par pondre un truc écoutable dont je pourrais être fier, qui sait !
Ah, qu'il est bon de rêver !
Bon, j'ai bien passé une petite heure à cogiter et à écrire ces quelques lignes, je pense qu'il est temps que je revienne à la vraie vie.
Merci aux deux ou trois personnes qui me lisent encore, stay tuned, I'll be back !
Bande son : L'album bleu et Pinkerton, Weezer
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dites33 · 1 year ago
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les mains pleines
À l'innocence... ce disque a l'âge du christ. Un temps que les moins que rien devaient connaître. Un disque luxueux (luxure) sous pochette hideuse (pauvreté). Un disque qui ment comme un arracheur de dents. Deja son titre. Croyance. On nous promet la lune et la vie éternelle dans le jardin des délices. Sur une rythmique mètre étalon 90 (groove mou mais qui met au rebus les productions 80 toutes synthétiques) les ambitions sonores sont modernes. Nouveau testament. On allie technologie et naturalisme. L'eau des ruisseaux zen et new-age coule sur des percussions moelleuses. Tout invite à l'évasion au voyage et à la découverte des mythologies. Pas besoin d'argent puisque les drogues sont fournies. Un sample de Pink Floyd pour faire comme si on y était. Ibiza (période more) dans le salon et du sable entre les orteils. Mais la modernité ne saura pas faire l'impasse du retour de bâton. Toute montée a sa descente et passé les effets extatiques, reste quoi ? Une production d'orfèvre mais un son daté. Le souvenir d'utopies naïves. La rave culture. Le village global. Un monde entier qui danse et se défonce élégamment. L'eau des ruisseaux n'était donc qu'un effet sonore et le monde qui ne souvient jamais de l'histoire ressort un second été de l'amour comme si 1967 n'était qu'un brouillon. La génération x ne fera pas mieux que la précédente, loin de là. Comme en musique elle samplera outrageusement les références de ses aînés sans n'en rien tirer d'autre qu'une nostalgie remise au goût du jour. Le diamant fou n'est alors que celui qui irradie la galette vinyle. Les vessies pour des lanternes.
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madamedupigeonsalon · 2 years ago
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Psychologie : être en couple avec soi même
Il faut pas se maltraiter quand les choses que l on souhaite le plus dans nos vies, ne viennent pas à nous, les bonnes choses prennent du temps. C est une leçon que j apprend tout les jours car je ne suis toujours pas arrivé à trouver un équilibre entier dans ma vie.
On passe une vie à chercher son bonheur et alors on perd espoir. L espoir s envole et tout devient ombrageux. Le ciel qui était si bleu et beau devient sombre avec des averses. Une bonne nouvelle, on peut se marier à soi même , et ne pas attendre que le soleil revienne mais apprendre à danser sous la pluie.
Apprendre à se connaître c est quoi ? C est se découvrir ses points forts et faibles… aller au cinéma tout seul ou au restaurant, se baigner dans un lac ou à la mer et profiter du moment, manger une glace en écoutant de la musique, mettre un masque de beauté à la maison ou écoute un vinyl de Johnny ?
Se marier à soi c est passer du temps avec soi et profites de nous même. Il y a rien de mal de vouloir se connaître car on apprend ce qu on veut pas et ce qu on veut ! C est très important de décerner les parts d ombres de notre personne pour rectifier la trajectoire.
Voulez-vous rectifier la trajectoire ?
Psychology : being in relation with yourself
We shouldn't mistreat ourselves when the things we want the most in our lives don't come to us, good things take time. It's a lesson I learn every day because I still haven't been able to find full balance in my life.
We spend a lifetime looking for happiness and then we lose hope. Hope flies away and everything becomes shady. The sky that was so blue and beautiful turns dark with showers. Good news, you can marry yourself, and not wait for the sun to come back but learn to dance in the rain.
Getting to know yourself is what? It's discovering your strengths and weaknesses... going to the cinema alone or to a restaurant, swimming in a lake or the sea and enjoying the moment, eating an ice cream while listening to music, putting on a beauty mask at home or listening to a Johnny vinyl?
Getting married to yourself is spending time with yourself and enjoying yourself. There's nothing wrong with wanting to know each other because you learn what you don't want and what you want! It is very important to assign the shadow parts of our person to rectify the trajectory.
Do you want to rectify the trajectory?
Kevin Ngirimcuti
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rarougrougrou · 4 years ago
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Comme jme fais pas mal chier ce matin je vous propose toutes les théories que jme suis fait sur le film. Y’aura aussi beaucoup de headcannon
-Alzagar n’est pas un traître. AA joue avec nous de toute façon, donc je pense qu’il veut nous faire croire que c’est un agent double ou quoi que ce soit. Si je me trompe et qu’il en est un, ce sera de toute manière kiffant comme élément de plot. Mais du coup : un peu bancal comme théorie, mais Alzagar pourrait être envoyé par notre cher duc pour chercher tutur et Venec. En finissant par trouver Venec, il lui foutrait la misère pour qu’il avoue que Tutur est planqué à Rome, et ça marcherait. Je vois mal Venec balancer tutur s’il pense que le gars d’en face veut lui faire la peau, c’est ça qui coince. Mais admettons. Puis on se rend compte qu’Alzagar est envoyé par le duc, en même temps que nos comparses, et que juste il fait son taf quoi qu’il en coûte en gros. Un contraste entre le bougre menaçant et le ptit chou de la journée beauté bien être. Quant aux plans dans la neige … j’en sais rien. Soit c’est pour nous induire en erreur, soit jme gourre sur toute la ligne
-AA avait spoilé dans les vinyles de la bo que furadja était une anta. Je pense qu’elle n’apparaîtra que dans les passages où l’on voit Tutur jeune. Donc en tant qu’anta elle n’aura pas de répercutions sur le « présent » du film. Pourquoi je pense ça ? Aucune foutre idée.
-En parlant de Tutur petit, on les a forcément tous vu dans le trailer avec les jeunes qui s’entraînent à manier le bâton/lance. Je pense même avoir vu jeune Papinius dans un coin, mais c’est juste moi qui spécule. Et petite parenthèse, j’aurais vendu ma daronne pour pouvoir être un figurant dans cette scène.
-Je ne parlerai pas de la cage
-Avec le track Arthur à la tour et l’affiche de Guenievre, elle est donc planquée quelque part. Peut-être Seli qu’a décidé de l’éloigner au cas où notre Lancelotortue national aurait eu l’envie d’aller la récupérer. Donc soit Arthur part la chercher à l’aide des burgondes, soit elle est carrément planquée en pays burgonde. Oui je spécule encore. Juste pour imaginer Seli se prendre le chou avec le roi burgonde pour qu’il lui débarrasse un coin où elle pourrait planquer sa fille
-Il nous manque Galessin, notre petit pédestre au lion, et d’autres personnages dans les trailer ou les affiches simplement parce qu’ils sont beaucoup appréciés. On les verra en temps voulu. Par contre caius pas avant kv2
-Je veux voir les gosses de Bohort. On a une clairière près de Gaunes, je veux voir les ptits chou de Bohort. Je veux me dire que ses 9 marmots c’est cannon. Avec un bonus sur Berlewen qui demande à tutur de ramener en vie son mari
-dans le plan où tutur retourne chercher excalibur, ce serait « marrant » qu’il ait une apparition des dames qui lui disent qu’il a bien chié dans la colle. Tutur : « oui mais maintenant j’suis là, rendez-moi mon épée »
-Mevanwi va être badass. Habillée comme ça je VEUX la voir faire des trucs stylés
-On verra pas meleagant. Y’aura des allusions à sa personne, on va espérer l’apercevoir, mais on le verra pas. Ce que je m’imagine c’est qu’il apparaisse une seconde juste avant le générique de fin
-une scène post credit. N’importe laquelle mais il nous en faut une
Et si vous voulez jme tate à vous faire une analyse complète de la bo, que je rentabilise mes études deux secondes
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blkgirlsinthefuture · 4 years ago
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My BlackGirlMagicPotion (in the making)
English and French version
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My potion feels like a lie, like a fraud. She is a mix of two amazing sorcerers that forgot to give me my first grimoire.
My potion is the discomfort against the hungry looks that jackals give me, for being this fetishized creature. My potion is how pretty my hair is because it’s bigger, more alive, more fun than white girls’, but smaller, more acceptable than black women’s. It’s how everyone around me feels entitled to touch it and tell me that it would be great as a pillow. My potion is how light my skin is, while still having this honey layer come out when the sun resuscitates me. Making my white friends jealous. It’s my father’s features being slimmed down by my mother’s.
But my potion is also the sun-warm hugs that my dad wraps me in. It’s the long hours spent in bathtubs with my mom detangling my curls. It’s my grandmother’s warm apple pie undertaken by the taste of cinnamon that she only does for me. It’s the sound of my parents dancing to the rhythm of zouk. It’s the calm that my soul is, under the shining sun and breathing of the waves. It’s how the salt covers my body like a star dress. It’s how watering my plants feels like nurturing my soul. It’s how decorating my room makes me proud. It’s how my stretch marks flash like lightning. It’s how my body awakens to music by dancing. It’s how a shared fresh beer feels like a vacation. It’s how my aunt braids my hair while reminding me of my place in this world. It’s how pineapple is sweet both in my mouth but also on top of my head, no matter what that dumb child said in middle school. It’s how fictional characters feel more reachable than real people. It’s how fictional characters are so much more lovable. It’s how taking care of my appearance feels like a ceremony. It’s when my giggles forbid me to breathe. It’s the late-night bike rides. It’s my mom’s lasagna. It’s the naps with my baby brother. It’s my friend’s godly presence. It’s the rugby games on the TV. It’s the chance to debate with people and to learn from them. It’s the taste of my dad’s and aunt’s cooking. It’s my zodiac sign serving as an excuse for my love for food, my bed, and my stubbornness. It’s how addicted I have become to inked needles and shiny ones. It’s how the beads in my hair sing like bells, even if it makes too much noise sometimes. It’s how freedom feels driving my car. It’s how magical stars look in the silence. It’s how my brain is one step away from becoming the character from my stories. It’s how proud I am to be a woman. It’s the smell of spices, mostly garlic and madras on my hands. It’s how the cards feel familiar between my hands during the family afternoon. It’s the smell of lavender in my clothes, my bedsheets. It’s the shrimp beignet that my uncle makes. It’s how the rug in my living room feels like a cloud. It’s the late-night cravings that turn into a gastronomic dish. It’s my hair being frozen by coconut oil in winter. It’s the sand in the shower drain. It’s me stealing vinyl from my grandfather because he does not listen to them and they deserve to be loved. It’s being surrounded by a crowd of color, of zouk, of afro-music, and feeling like you are a part of something bigger than yourself. It’s the Vaseline that comes with you everywhere. It’s the tapping of my nails against a table, or my leg jumping up and down because I am too much alive sometimes and I want to explode.
I have my place in both worlds, but I also do not. My potion comes with privilege that others don’t have. It comes at the price of not knowing which community you belong to, it comes to being an individual. I was always reluctant to define myself. I was never the person that says, I am mixed-raced. Because of how light I am, people did not believe me. I always said that my dad was brown and my mom was white. They were definable. And that if I did not look at all like my mom and brothers it was because I was my dad’s daughter. I am aware that I will never experience what black women experience. I am not a black woman, neither am I a white woman, I am neither and both at the same time.
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Ma potion a un goût de mensonge, comme une escroquerie. Ma potion est un mélange de deux sorciers incroyables qui ont oublié de me donner mon premier grimoire.
Ma potion est-ce malaise face aux regards affamés que les chacals me lancent, étant cette créature fantasmatique. Ma potion c’est le fait que mes cheveux sont magnifiques car ils sont plus grands, plus animés que ceux des filles blanches, mais plus petit, plus acceptable que ceux des femmes noires. C’est le fait que les gens autour de moi pensent avoir le droit de les toucher et de me dire qu’ils feront un super coussin. Ma potion c’est ma peau claire, tout en ayant ce sou teinte de miel qui ressort quand le soleil me redonne vie. Rendant ainsi mes amis blancs jaloux. C’est les traits de mon père amincis par ceux de ma mère.
Mais ma potion c’est aussi les câlins doux comme le soleil dans lesquels mon papa m’enveloppe. C’est les longues heures passées dans un bain avec ma maman à me démêler les cheveux. C’est les tartes à la pomme chaude, imprégnées de Cannelle, que ma grand-mère ne prépare que pour moi. C’est le son de mes parents qui danse au rythme du zouk. C’est le calme qui envahit mon âme sous le soleil étincelant et le halètement des vagues. C’est le sel qui recouvre mon corps comme une robe d’étoiles. C’est arrosé mes plantes comme si je nourrissais mon âme. C’est le fait que décorer ma chambre me rend fière. C’est mes vergetures qui chatoient telles que les éclairs. C’est mon corps qui s’éveille en dansant au son de la musique. C’est ce sentiment de vacances qui accompagne une bière fraîche partagée. C’est ma tante me tressant les cheveux qui me rappelle ma place dans ce monde. C’est l’exister de l’ananas à la fois dans ma bouche mais aussi sur ma tête, qu’importe ce que ce gosse stupide m’a dit en grande section. C’est à quel point les personnages de fiction semblent plus accessibles que les vraies personnes. C’est combien les personnages de fiction sont beaucoup plus attrayants. C’est comment me préparer me donne l’impression de procéder à une cérémonie sacrée. C’est rire à m’en étouffer. C’est les balades en vélos au milieu de la nuit. C’est les lasagnes de ma maman. C’est les siestes avec mon petit frère. C’est la divine présence de mes amis. C’est les matchs de rugby à la télé. C’est l’opportunité de pouvoir débattre avec les gens et d’apprendre d’eux. C’est la saveur de la cuisine de mon père et de ma tante. C’est le fait d’utiliser mon signe astrologique comme excuse pour mon amour de la nourriture, mon lit et mon entêtement. C’est mon addiction grandissante des aiguilles d’encres et de bijoux. C’est les perles dans mes cheveux qui chantent comme des cloches, même si parfois elles font trop de bruit. C’est ce sentiment de liberté en conduisant ma voiture. C’est cette atmosphère magique que les étoiles ont dans le silence. C’est cette envie irrésistible de devenir un de mes personnages d’histoires. C’est la fierté que je ressens d’être une femme. C’est cette odeur d’épices, d’ail, de madras qui émanent de mes mains. C’est la familiarité des cartes dans mes mains les après-midi en famille. C’est l’odeur de lavande sur mes vêtements et mes draps. C’est les beignets à la crevette que mon oncle prépare. C’est le fait que le tapis du salon me fait penser à un nuage. C’est les fringales au beau milieu de la nuit qui se transforment en repas gastronomique. C’est mes cheveux congelés par l’huile de noix de coco en hiver. C’est le sable dans le siphon de la douche. C’est le vol de vinyle de mon grand-père parce qu’ils ne les écoutent pas et qu’ils méritent d’être aimés. C’est le fait d’être entouré par une foule de couleur, de zouk, de music afro et d’avoir l’impression de faire partie de quelque chose plus grand que toi. C’est la Vaseline qui t’accompagne partout où tu vas. C’est le tâtonnement dès mes ongles sur une table, où ma jambe sautillant parce que des fois je suis si vivante que je veux exploser.
J’appartiens à ces deux mondes, comme je n’y appartiens pas. Ma potion viens avec un privilège que d’autres n’ont pas. Elle vient avec ce prix de ne pas savoir à quel communauté tu appartiens, elle vient accompagnée de l’individualité. J’ai toujours été réticente à me définir. Je n’ai jamais vraiment été cette personne qui dit, je suis métisse. Les gens ne me croyaient pas parce que ma peau est claire. J’ai toujours dis que mon père était métisse et ma mère blanche. On pouvaient les définir. Et si je ne ressemblais pas à ma mère ni mes frères c’étaient parce que j’étais la fille de mon père. Je suis consciente que je ne vivrais jamais ce qu’une femme noire va vivre. Je ne suis pas une femme noire, ni une femme blanche, je suis une femme noire et une femme blanche, je suis à la fois les deux et rien du tout.
-Chelsy
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velaryon-rpg · 4 years ago
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Je continue le 6persoschallenge organisé par @mysterious-corvidae / @corvidae-challenge avec un personnage qui m’a tout particulièrement marqué et que je n’oublierai jamais. Chose très rare pour moi, c’était un scénario de membre. Je me souviens m’être dit « je veux ce perso » en lisant sa présentation et celle de son lien (Moe si tu me lis, merci !). Qui plus est, le forum en question, hp alternatif, était une véritable merveille… Et parce que la fiche rédigée par pipelette était la plus belle que j’ai pu lire, qu’elle explique bien mieux la relation entre ces deux tourtereaux que tout oppose, voici sa petite introduction :
Hector Blackfyre ft. Jason Momoa VIPERA EVANESCA by killer from a gang, clyde, balaclava & vinyles idylles (2017)
simon et hector. le rossignol et le vautour. simon se faisait croquer la chair dans un bordel, hector venait de se faire voler son épouse. emportée à azkaban après avoir participé à la bataille du département des mystères. il goûta pour la première fois au délice de la chaleur masculine contre la sienne. vidange. vie d'ange. l'extase complète. simon, enfant perdu. simon, môme de la perdition. simon, roi à la couronne brisée. simon le fait vibrer. alors hector passe, deux fois, trois fois. rien que pour lui. et il négocie à galatea, la mère maquerelle, le prix de sa vente. il l'achète pour une somme honorable auprès d'elle. alors même qu'elle clamait ne pas vendre ses filles, son fils. le seul, simon. si mon âme vibre autant rien que pour lui, alors je dois l'avoir rien que pour moi. hector l'emmène aussitôt au chaudron baveur, enferme l'oiseau chanteur dans une cage dorée où il sifflera des mélodies pour lui éternellement. il lui fait comprendre qu'il l'aime, il lui fait comprendre l'effet qu'il a sur lui. quelque chose qu'il n'a jamais ressenti auparavant. quelque chose de transcendant. quelque chose de divin, de cosmique. simon est sa nouvelle galaxie, ses yeux sous les plus belles étoiles et il aime tant s'y perdre quand il le baise généreusement. parce qu'il ne sert qu'à ça, simon. pas à faire l'amour, non. c'est bien trop propre et bien trop consentant. alors c'est un entre-deux. il abuse de lui, hector, il est le seul à pouvoir le faire, il est son propriétaire. et simon, naïve créature, frêle, fragile, minable, niaise - simon il croit bien qu'hector est amoureux et qu'hector le protège des méchants qui rôdent à l'extérieur. il croit bien qu'il lui assure une certaine sécurité dont il a toujours rêvé. il croit bien que c'est pour ça, qu'il impose des règles, comme ne jamais ouvrir aux inconnus, ne pas faire de bruit, ne jamais dire où il se situe... hector ne le laisse que peu de libertés, et il croit que c'est pour son bien. parce que c'est un cracmol et qu'il n'est rien. rien sans un sorcier pour le protéger. et simon, il ne comprend rien à ces histoires de guerre. il ne suit pas l'actualité. ça ne fait que trois ans qu'il est là, dont une année qu'il a passé enfermé. ça fait un an, oui, que simon est là, à l'attendre chaque soir. ça fait un an que simon se fait battre parce qu'il ne respecte pas les règles, un an qu'hector l'embrasse sur tout le corps, quand il est satisfait. un an qu'hector lui ment. parce qu'hector ne protège pas simon. hector se protège lui-même, parce qu'il risque tout avec cet immonde amant, un cracmol qui ne mérite que de mourir. parce qu'il risque tout avec sa femme qui vient de s'échapper d'azkaban et qui est aujourd'hui souffrante à cause d'un putain de maléfice. et simon rêve de partir. simon rêve de voir le monde extérieur. parce qu'il commence à s'ennuyer sans ses baisers. sans ses mots pour le rassurer. parce qu'il commence à s'ennuyer sans lui, maintenant qu'il ne passe plus qu'en coup de vent, pour s'assurer que tout va bien. qu'il ne lui manque rien. hector s'est peut-être attaché, au final, à ce gamin. (copyright © pipelette) 
Pourquoi Hector est-il un 6persos ? Tout simplement parce que je suis tombé amoureux de lui. Son lien, son histoire et sa personnalité en ont fait un personnage particulièrement fort, dont je me souviens encore aujourd’hui. C’était LE bad boy parfait, subissant son destin plus qu’il ne le contrôlait. Si tout semblait lui échapper (son mariage, son engagement chez les deatheaters…), sa relation avec Simon, elle, était le strict opposé. Comme s’il refoulait sa frustration et qu’il se libérait en présence du cracmol, reprenant peu à peu le dessus sur sa vie. Une sorte de thérapie. Bref, c’était un personnage complexe et particulièrement ambigu. Et puis il y avait le style d’écriture initié par Moe qui me plaisait, à la fois rude, dur, violent, mais doux et intime. J’ai adoré RP différemment, suivant cette ligne directrice, et ai cherché à l’entretenir tout du long. Hector, tu me manques…
avatars by @heybabine & rastamachine
Le contexte de VE
30 juin 1997, la Grande-Bretagne bascule dans l'horreur et les ombres s'étendent brutalement au soir. Au dessus de l'école de sorcellerie Hogwarts, la marque des ténèbres fend le ciel et l'effroi s'empare de toute la communauté sorcière. Tandis que la société magique se remet à peine du décès brutal et horrible de Albus Dumbledore, le ministère rassemble ses forces pour faire face à l'attaque des mangemorts et de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. Dans l'ombre, l'armée de Voldemort se rassemble. De nombreux sorciers lui prêtent fidélités et se rangent à sa cause simplement pour éviter d'être des victimes dans cette guerre ou de recevoir la visite des agents du Seigneur des ténèbres, les terribles mangemorts. La guerre approche à grands pas, elle est silencieuse pour le moment, mais ce n'est qu'une question de mois ou peut-être même de jour avant qu'elle éclate. Chacun le sait et alors que l'Ordre du Phoenix est plus divisé que jamais, rien ne semble empêcher Voldemort d'obtenir ce qu'il souhaite, le pouvoir absolu. (copyright © le contexte de VE appartient à ses créatrices)
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lesecumeurs · 4 years ago
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“Le secteur culturel semble avoir été sacrifié, réduit à néant au profit des longues files d’attente qui se formaient devant les étals des grandes marques décoratives et vestimentaires.”
Cyril est très certainement l’écumeur que j’ai le plus souvent l’occasion de croiser sans lui avoir donné rendez-vous : quand ce n’est pas dans la file d’attente d’une salle de cinéma, c’est au sous-sol de Beaubourg ou sur le seuil d’une galerie photo. Cyril a longtemps tenu sur son temps libre une mailing-list dédiée à l’actualité des concerts parisiens : son exhaustivité et sa régularité en faisait un modèle à côté duquel la concurrence rasait les murs. J’ai toujours été étonné qu’il ne soit pas débauché par un média d’actualité : Cyril, c’est Lylo à lui tout seul. Même s’il n’exerce plus cette activité de salubrité publique, il continue discrètement à faire du prosélytisme : il est toujours le premier à me signaler la rétrospective d’une réalisatrice tchèque ou un festival de documentaires en ligne. 
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Salut Philippe,
en temps normal, la politesse voudrait que je te réponde « tout va bien, merci, j’espère que toi aussi » mais ce n’est pas vraiment le cas.
Quand tu fais partie de la catégorie de gens hyper actifs qui ne rentrent chez eux que pour y dormir (ou presque), après un début d’année bien rempli en concerts, expositions et cinémas, le premier confinement a été un véritable coup de massue. Je n’avais absolument plus goût à rien, impossible d’allumer la platine vinyle ou d’écouter un CD. Les seuls instants que j’ai appréciés ont été de découvrir les rues de Paris désertées et de capturer ces instants en photographies ainsi que la vision de quelques livestreams proposés sur instagram chaque semaine par les impeccables Low ou par l’espiègle Fyfe Dangerfield ou encore chaque jour par La Blogothèque, dont le climax a été le très bel hommage à Elliott Smith fin juin. J’ai également profité de la mise en ligne de films proposés (souvent gratuitement) par des festivals comme Cinéma Du Réel, le Champs-Elysées Film Festival, Traces de Vie et également par le Centre Pompidou, mk2 et la Cinémathèque.
Depuis plus de dix ans, je passe du temps à dénicher et à répertorier les concerts à ne pas manquer à Paris et dans sa région. Tu te rends d’autant plus compte, suite à leur arrêt brutal, du rôle de sociabilisation que ces moments de partage peuvent représenter. La joie d’y croiser les connaissances que tu peux t’y faire au fil du temps, de saluer l’agent de sécurité, le personnel de la billetterie, les serveuses et serveurs de bar, de discuter avec les personnalités de la scène musicale locale ou encore avec les organisateurs de concerts qui te confient autour d’un verre des informations sur leur programmation à venir a fait place à un gros vide. Certaines personnes m’ont suggéré d’annoncer les dates des concerts en ligne, je n’ai pas senti l’envie de m’y mettre, je préfère attendre le retour des concerts en salles pour redémarrer Open Up Your Ears.
Le second confinement a été un peu plus positif. J’ai renoué avec la télévision que je n’avais plus allumée depuis plus de dix ans et dont j’ai changé de modèle. Je suis passé d’un coup de l’écran cathodique au streaming connecté ! J’ai attaqué la vision intégrale (pas encore achevée pour certaines) de séries comme Six Feet Under, The X-files, South Park, The League Of Gentlemen, Dark... J’ai aussi pu découvrir trois ans après l'extraordinaire troisième saison de Twin Peaks dont tous les épisodes sont réalisés par un David Lynch en grande forme qui se fait plaisir en invitant des artistes comme Nine Inch Nails, Chromatics, Sharon Van Etten ou encore Au Revoir Simone à jouer un titre lors d’une scène. Un pur délice.
Il faut saluer une parenthèse enchantée qui a pu prendre place cet été grâce aux concerts en extérieur des équipes du Supersonic sur la terrasse du Trabendo, ceux sur les quais et la terrasse de Petit Bain, ceux sur la nouvelle air de jeux de La Station ou bien même ceux assis en intérieur dans le cadre de Jazz à la Villette ainsi que le très bon concert inattendu et inespéré de Fontaines DC à la Maison de la Radio. Ces moments de retrouvailles et de délectations ont été de trop rares instants exutoires en 2020.
L’année a également été marquée par l’annulation des festivals auxquels je me fais une joie de me rendre chaque année (ou presque) comme The Great Escape à Brighton, Primavera Sound Festival à Barcelone, La Route du Rock à Saint-Malo ou encore l’Iceland Airwaves à Reykjavik. C’est l’occasion idéale de profiter en même temps d’une ville et d’artistes que tu affectionnes, de mêler tourisme et musique.
Même si personne ne pouvait s’attendre à vivre cette pandémie, la communication gouvernementale a été une véritable catastrophe. A grands renforts de positivisme, on a laissé espérer aux acteurs de secteurs à l’arrêt qu’ils pourraient reprendre leurs activités pour finalement revenir sur cette décision. C’est dire la méconnaissance de ceux qui gouvernent sur l’organisation ou la tenue d’événements tels que des concerts ou des festivals (savent-ils d’ailleurs ce qu’est un festival ? Si l’on s’en tient aux déclarations des différents ministres successifs au poste de la culture, la réponse semble être encore et toujours non). Le secteur navigue à vue depuis plus d’un an. Les programmateurs en sont parfois au 4 ou au 5ème report de date, certains artistes préfèrent tout annuler en attendant que ça se tasse, le public se lasse et n’achète plus de place. Il est compliqué dans ces conditions de rester positif. Quand tu vois qu’un an après le premier confinement on en débute un troisième ou encore que les concerts assis de The Divine Comedy prévus en septembre 2021 à La Cité de la Musique sont déjà reportés à septembre 2022, tu te dis que les belles paroles de la ministre de la culture sur la tenue de festivals assis en plein air et limités à 5.000 personnes ne sont encore qu’un coup d’épée dans l’eau. Du blabla pour brasser du vent, faire patienter les gens en attendant que ça s’arrange parce qu’il ne faut pas faire perdre espoir. Au bout de quatre mois et demi de fermeture des établissements culturels, c’est un nouveau confinement qui nous est proposé, tu parles d’un espoir.
En l’absence de concerts, je me suis surpris à reprendre mes activités adolescentes en reprenant une carte de cinéma illimité. J’ai dévoré le cycle d’une cinquantaine de films japonais de la Filmothèque, la rétrospective Christopher Nolan, l’Etrange Festival du Forum des Images, les films documentaires chiliens proposés par la Bpi du Centre Pompidou ... Soit plus de 200 films avalés en quatre mois et demi, sans jamais avoir l’impression d’être en danger et sans tomber malade. D’où une grande incompréhension lorsque le gouvernement a pris la décision de maintenir les lieux culturels fermés tout en reconnaissant qu’ils ne représentaient pas un risque de contamination. Aucun souci mais on va éviter quand même. Si l’on commençait à appliquer ce principe de précaution pour tout ce qui nous entoure, on finirait par rester allongé à attendre que la mort vienne nous cueillir. La veille de la présumée réouverture, je me suis promené dans le quartier latin et je voyais les employés des cinémas s’activer en placardant les affiches des films et les programmes. Tout ça pour rien, pour annoncer de prochaines séances fantômes. Le gouvernement allait envoyer promener leur travail impliqué d’un revers de main. Pareil pour les musées, de nombreuses expositions ont été accrochées puis décrochées sans accueillir de public. L’exposition photographique Noir et blanc au Grand Palais a nécessité trois ans de travail pour terminer en exposition virtuelle payante sur un ordinateur. La grande exposition Matisse du Centre Pompidou n’aura accueilli du public que pendant 9 jours avant d’être démontée et j’en passe. J’ai eu l’impression d’assister à d’énormes gâchis. Le secteur culturel semble avoir été sacrifié, réduit à néant au profit des longues files d’attente qui se formaient devant les étals des grandes marques décoratives et vestimentaires. Je vous fais le pari que vous tirerez plus profit d’une exposition ou d’un film que d’un pull ou d’une table basse mais ce n’est visiblement pas l’avis de tout le monde.
Le temps où l’on se retrouvait dans la moiteur des salles un verre à la main semble bien loin, espérons qu’il revienne vite.
Prends soin de toi A bientôt, Cyril
Photo : Benoit Grimalt, 2013.
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clement-d-nocto · 4 years ago
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Prière pour être un chien (2017) : Devant la fenêtre De la piaule Ma main sur la tête De mon clebs Je souffle ma fumée loin Mon clébard regarde plus loin Puis je me dis «il faut que je devienne un chien» Mais faut dire que c'est pas simple Vivre sur l'instant quand le temps esquinte Je lève la canette, j'imagine une pinte Comme une mousse barbare du temps Où les armes suintaient le sang humain J'avale Et là ?! Que dalle. Je prends le flou de ma vue comme une brume épaisse J'évite de penser mon «je» comme les «tu» et j'encaisse En cherchant un peu plus loin, rien. Juste une recherche où tout n'est rien que des questions multipliées Pour rien. Je brume donc je fume Je bois car je suis là Non armé Tellement loqué et toqué. Que sans même le savoir Ou l'apercevoir J'avais la tête entre les mains Et les yeux interloqués Ce vinyle qui tournait Pour rien Dans ces riens il faut s’améliorer C'est la grande blague de la vie. Son sens? Merde! Qu'est ce que j'en sais foutrement Rien ! Mon chien acquiesce, il vient d'aboyer Au delà de la fenêtre, pas du tout interloqué ! Clément Dugast (nocto)
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melancholyabyssus · 4 years ago
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You should get to know me, honey.
Oscar Luca Alario, the brainy monster.
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> 𝟺𝟷 𝚢𝚎𝚊𝚛𝚜 𝚘𝚕𝚍 > 𝙰𝚙𝚛𝚒𝚕 𝟷𝟼𝚝𝚑 𝟷𝟿𝟽𝟿 > 𝙿𝚛𝚘𝚏𝚎𝚜𝚜𝚘𝚛 𝚘𝚏 𝙴𝚌𝚘𝚗𝚘𝚖𝚒𝚌𝚜 𝚊𝚗𝚍 𝙵𝚒𝚗𝚊𝚗𝚌𝚎 > 𝙳𝚛𝚒𝚟𝚎𝚜 𝚊𝚗 𝙸𝚖𝚙𝚊𝚕𝚊 𝟼𝟽 > 𝙽𝚘𝚛𝚝𝚑 𝚍𝚒𝚜𝚝𝚛𝚒𝚌𝚝, 𝙷𝚘𝚞𝚜𝚎 𝟶𝟸  > 𝙵𝚛𝚊𝚐𝚛𝚊𝚗𝚌𝚎 :𝚃𝚎𝚛𝚛𝚎 𝚍'𝙷𝚎𝚛𝚖è𝚜. (𝙰 𝚋𝚒𝚝 𝚘𝚏 𝚙𝚎𝚙𝚙𝚎𝚛 𝚊𝚗𝚍 𝚌𝚒𝚝𝚛𝚞𝚜, 𝚢𝚘𝚞 𝚠𝚒𝚕𝚕 𝚏𝚊𝚕𝚕 𝚏𝚘𝚛 𝚒𝚝.)  > 𝙳𝚎𝚝𝚎𝚛𝚖𝚒𝚗𝚎��, 𝚌𝚘𝚞𝚛𝚊𝚐𝚎𝚘𝚞𝚜, 𝚙𝚛𝚘𝚝𝚎𝚌𝚝𝚒𝚟𝚎 > 𝚂𝚎𝚌𝚛𝚎𝚝, 𝚖𝚎𝚕𝚊𝚗𝚌𝚑𝚘𝚕𝚢, 𝚌𝚘𝚖𝚙𝚊𝚜𝚜𝚒𝚘𝚗𝚊𝚝𝚎
                                       𝓡𝓮𝓹𝓻𝓮𝓼𝓼𝓮𝓭 𝓮𝓶𝓸𝓽𝓲𝓸𝓷𝓼
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> Statistics did you say?
> Let me tell you a story...
𝐓𝐞𝐥𝐥 𝐦𝐞 𝐲𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐞𝐜𝐫𝐞𝐭𝐬, 𝐈'𝐥𝐥 𝐭𝐞𝐥𝐥 𝐲𝐨𝐮 𝐦𝐢𝐧𝐞 ;
 Bien qu’Oscar soit assez sociable, il a tendance à passer pour quelqu’un d’inaccessible au vu de son regard froid et de son air je m’en-foutiste.
Ayant du prendre soin de ses frères et de sa soeur lors de leur enfance, Oscar a appris à manier l’art de la cuisine comme un italien qui se respecte. C’est un vrai cordon bleu.
Appréciant cet air vintage, il garde des collections de vinyles ainsi qu’un tourne disque collector.
Il a de nombreuses étagères pleines à craquer de livres sur la littérature de l’ancien temps. En fait, il dispose de toutes sortes de bouquins car c’est un vrai rat de bibliothèque.
C’est un ami des animaux bien qu’il préfère largement les chiens. D’ailleurs, il est l’heureux propriétaire d’un Berger Malinois qu’il a nommé Silver.
Oscar aime les belles voitures, surtout celles de collections. Il n’hésite pas à s’en offrir une quand il pense que c’est le bon moment.
Malgré le fait qu’il soit sous les ordres d’Alexander, Oscar aime son travail en tant que professeur.
D’ailleurs en parlant de ça, il peut être aussi agréable que terrible. Mieux vaut ne pas jouer avec ses nerfs. Les élèves savent à quoi s’en tenir avec lui.
Il a un faible pour le pop-corn et le whisky même s’il n’en consomme pas énormément. Il en a une collection, aussi. 
S’il avait plus de temps, il le passerait à aller au cinéma. Ou à regarder des séries. Oscar aime bien les séries. Surtout les criminelles.
Il est doué au poker. Vraiment doué. 
Son armoire est presque pleine de costumes. Parce que oui, Oscar adore les beaux vêtements et sort presque toujours sur son trente-et-un. 
Sa deuxième langue est le sarcasme, ne lui en voulez pas trop.
Les idées d’Alexander ne le surprennent presque plus. Almost. 
C’est tard dans la nuit que son cerveau tourne le plus. Entre ses questions sur sa vie, son avenir, Oscar se demande ce qu’il devrait suivre le plus. La raison ou les cris de son coeur?
Il aime avoir une bonne relation avec ses élèves et les pousse toujours à réussir. Strict mais pour la bonne cause, Oscar ne laisse rien au hasard.
Il serait prêt à se sacrifier pour Alexander. D’un loyauté sans faille, même s’il ne vient pas toujours à être d’accord avec ce qu’il pense, Oscar ne lui tournera jamais le dos.
Il est écrivain à ses heures perdues mais préfère garder ses pages pour lui. 
Il dispose de tatouages au niveau de son poignet et de son avant bras droit. Néanmoins, il a l’habitude de les cacher sous sa chemise blanche.
Il fume quand il est stressé. C’est à dire, souvent.
Il parait beaucoup plus jeune quand il se rase.
𝐅𝐚𝐦𝐢𝐥𝐲? 𝐈𝐭'𝐬 𝐚𝐥𝐰𝐚𝐲𝐬 𝐚 𝐛𝐢𝐭 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐢𝐜𝐚𝐭𝐞𝐝  ;
𝑨𝒓𝒆𝒔, 𝒁𝒂𝒄𝒄𝒂𝒓𝒊𝒂 et 𝑨𝒅𝒂 sont ses frères et sœur.
𝑨𝒍𝒆𝒙𝒂𝒏𝒅𝒆𝒓 est son supérieur dans toutes ses entreprises.
𝑯𝒊𝒍𝒅𝒂 est celle à qui il fait du chantage.
𝐋𝐞𝐭'𝐬 𝐩𝐥𝐚𝐲 𝐚 𝐠𝐚𝐦𝐞. 𝐋𝐞𝐭'𝐬 𝐩𝐥𝐚𝐲 𝐦𝐮𝐫𝐝𝐞𝐫 ;
Mémo
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blog-bishop · 5 years ago
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Maudit manège et mauvais trains
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Pour ce livre de Philippe Djian, j’ai beaucoup hésité entre Zone Erogène et celui-là. Zone Erogène est souvent cité comme le meilleur Djian, et je ne suis pas loin de le penser. Et pourtant, le premier que j'ai lu, c'était Maudit Manège (suite de 37°2 le matin) et je ne peux pas oublier le choc que ça a été. 1988. Je me souviens d'un grand bonheur de lecture. Ce ton désinvolte voire désabusé, cru, et souvent très drôle. Ce saupoudrage de petites pensées philosophiques, certes basiques, mais très justes, car très utiles, proches de la sagesse du Yi King, que le personnage ne cesse d'interroger dans le livre, ou incisives comme un haïku. La phrase en exergue du livre donnait le ton :
« Ne permets pas aux événements de ta vie quotidienne de t'enchaîner mais ne te soustrais jamais à eux. Ainsi, seulement tu atteindras la libération. » HUANG-PO
Quant aux phrases de Djian, c'était :
« Je venais de couper les derniers liens qui me rattachaient à ce bouquin et je me sentais presque neuf, jusqu'à ces rues que je connaissais comme ma poche et que j'avais pourtant l'impression de redécouvrir, j'avais envie de regarder dans tous les coins, j'avais peur d'en perdre une seule miette. De même qu'on ne meurt pas qu'une fois, il se trouvait qu'on revenait à la vie de temps en temps, et tout vous semblait doux, ne serait-ce que le chemin qui vous séparait du bar le plus proche. »
« Maintenant, elle avait l'air furieuse, mais à mon âge on en avait vu d'autres, il fallait bien que toutes ces années servent à quelque chose et elle aurait pu tout aussi bien piquer une crise devant moi que ça ne m'aurait fait ni chaud ni froid. C'est rare qu'elles soient vraiment dangereuses, ça arrive une fois tous les trente-six du mois et on s'en aperçoit très rapidement. Je me sentais comme un seau d'eau qui regarde brûler une allumette. »
« La nuit était tout à fait calme et la lune brillait dans le ciel pur le plus naturellement du monde, les odeurs étaient plus subtiles que dans la journée, je pouvais pratiquement sentir l'odeur de l'eau. Je me suis assis. Je suis resté un moment à l'écoute du monde, des fois qu'il me tombe une idée pour mon prochain roman, ou que j'attrape une pensée intéressante, ou qu'une image s'illumine dans mon esprit, mais il ne m'est rien arrivé de semblable malheureusement, c'est pas quelque chose qui marche à tous les coups. D'une manière générale, mon cerveau ne faisait jamais d'étincelles quand j'étais saoul. J'ai regardé l'eau couler. J'ai jeté des petits cailloux dedans histoire de participer à l'ensemble. Au moins pour les yeux, c'était reposant. Pour l'esprit, c'était une leçon à n'en plus finir. »
Ce n'est peut-être pas le style le plus percutant du monde, et il a été souvent moqué, mais ce qui est peut-être le plus important chez Djian, c’est… les autres. Djian est un auteur généreux, il a toujours fait une place dans ses livres aux écrivains à qui il devait tout, surtout des américains. Et comme je suis un petit curieux, c'est donc grâce à lui que je les ai tous découvert. Du moins, les plus importants : Fanté, Salinger, Hemingway, Carver, Bukowski, Brautigan.
« C'est le jour où j'ai tapé la dernière page qu'on a appris la mort de Richard Brautigan, et le soir je me suis saoulé comme je l'avais encore jamais fait de ma vie et je suis resté un long moment couché en travers du tapis à écouter les gens chialer dans les rues. Tout le monde se souvient de cette nuit atroce et des jours sombres qui ont suivi pendant qu'on relisait Tokyo-Montana Express ou Mémoires sauvées du vent. »
De fil en aiguille, j’ai découvert tous les autres, ou presque. Car Raymond Carver parlait de Brautigan, adorait Tchékhov et Dostoïevski. Hemingway vénérait Sherwood Anderson. Bukowski : Fanté, et il parlait volontiers des autres, quand il les aimait : Hemingway, ou pas : Henry Miller. Partant d'Henry Miller, j'ai dérivé vers Singer et Hamsun. Chez Singer, j'ai retrouvé Tchékhov. De Tchékhov, je suis passé à Dostoïevki et à tous les grands russes : Tolstoï, Bounine, Boulgakov, Gogol, puis Zamiatine, Andreïev. Et pour peu qu'un allemand soit cité ici ou là, je me mettais à lire des auteurs de langue allemande : Schnitzler, Zweig, Trakl, Lenau, Böll, Walser. Une fois commencé, le voyage ne s'arrête jamais. Alors admettons que Djian ne soit pas aussi bon que je le pensais à 20 ans... parfois un mauvais train peut vous amener à la bonne gare. Et rien que pour ça…
Je n'arrive toujours pas à comprendre ce qui s'est passé avec cet écrivain si prometteur. Je veux dire : Djian. Je me dis parfois que quand je n'aime pas un livre, ça vient de moi. Alors c'est donc ça ? J'ai vieilli et les histoires d'écrivains qui disent JE et qui parlent de leurs difficultés à écrire me barbent ? Pourtant non, j'aime toujours ça aujourd'hui. J'ai adoré, par exemple, Putain d'Olivia, de Mark SaFranko (2009) qui reconnaît devoir beaucoup à Djian. (Etonnant, pour un américain, mais juste retour des choses.) Et le talent de Djian ne se résumait pas à la présence d’un narrateur-écrivain. Alors, que s'est-il passé ? Echine tenait encore la route, ça a commencé à se compliquer avec Lent Dehors. Quand il est passé chez Gallimard au moment de Sotos, ça s'est encore aggravé. Quoi exactement ? Comme si son talent s'effilochait de livre en livre, comme si ses premières feuilles, superbes, devenaient au fil du temps molles, rabougries, et tombaient en poussière. J'aime bien les arbres nus, mais ça va une saison. Si au moins il s'était affiné au point de ne plus écrire que des haïkus, j'aurais compris. Ce qu'il a perdu, selon moi, est d'une autre nature, une sorte de feu sacré. Il y avait un je ne sais quoi qui passait dans son écriture et que je n’ai plus retrouvé après. Les histoires, dont il se foutait apparement, au profit du style, sont restées, quoi qu’il en dise. Des histoires banales.  Et le style est devenu... peut-être plus classique, mais sans surprise. J’aimais quand il malmenait un peu la langue, ça pouvait être agaçant, mais c’était vivant. Je tente une comparaison audacieuse : j’ai rédécouvert récemment les joies du vinyle. Ce qui le sépare du CD, c’est pour moi une histoire de dynamique dans le son. Le CD offre une certaine perfection mais demeure  finalement assez froid. Je dirais la même chose de Djian. Au départ c’était du vinyle, c’est devenu du CD. J’ai essayé récemment Impardonnables. Le livre m'est tombé des mains.
Ah si, je sauverais un livre « récent », quand même, qui date de 2000, mais il s’agit d’un essai : Ardoise. C'est, devinez quoi ? un hommage rendu à tous les écrivains qui ont compté pour Djian. Salinger, Céline, Cendrars, Kerouac, Melville, Miller, Faulkner, Hemingway, Carver, Brautigan. Comme dans un Maudit Manège, on en revient toujours au même point.
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alexar60 · 5 years ago
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L’homme et son violoncelle
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Caché derrière la porte, j’écoutai la musique entrer dans la pièce, ne comprenant pas comment elle parvenait depuis chez moi. Je n’avais entendu personne entrer, alors je m’étais levé me demandant si ma copine n’avait pas oublié son téléphone, seulement elle serait revenue le récupérer et ce n’était pas son genre de musique. La mélodie semblait classique bien que je ne reconnaissais pas le style musical. Etait-ce du Brahms, du Beethoven ? Peut-être du Chopin ? En fait je n’y connaissais rien mais je la trouvai très belle, reposante, de plus elle me parlait directement.
J’ouvris lentement la porte de ma chambre cherchant à ne pas faire de bruit,  je me dirigeai ensuite vers le salon sur la pointe des pieds. Etrangement, je n’avais aucune envie d’agresser l’intrus, persuadé qu’il ou elle ne représentait aucun danger. Le violoncelle continuait d’exprimer ses mots musicaux enchantant mon esprit. J’approchai doucement jusqu’à la porte de la salle et fus déçu de ne voir personne à travers la pénombre. Au moment de poser le pied dans le salon, la musique s’arrêta subitement ! Le silence dura jusqu’à ce que je me précipite à l’interrupteur. J’allumai mais ne vis personne d’autre que mon reflet dans un miroir. Je restai un peu à me demander si je n’avais pas rêvé quand j’entendis de nouveau la mélodie. Le violoncelle était maintenant dans ma chambre. Je ne sais comment son propriétaire à fait, mais il a réussi à y entrer sous mon nez. J’éteignis et fis demi-tour, marchant encore sur la pointe de pieds pour faire le moins de bruit possible. La porte était ouverte, je vis une silhouette sombre assis en face de mon lit. Son archet faisait trembler les cordes de l’instrument avec précision. Aucune note ne semblait sortir fausse. L’homme ne me regarda pas continuant à jouer. Je ne vis pas son visage de suite. J’avançai jusqu’au pas de la porte restant à écouter cette mélodie qui m’enivrait. Plus je me sentais bien, plus je trouvai sa musique parfaite.
Soudain, un clair de lune éclaira la tête du musicien, je fus pris d’effroi en réalisant qu’il s’agissait de mon grand-père mort depuis vingt ans. Il avait le même nez, le même regard, la même bouche sérieuse sans sourire, la même calvitie. La musique changea, se transformant en une mélodie triste et atroce, elle grésillait comme sortant d’un vieux vinyle. Je regardai le sosie de mon ancêtre sans réellement me poser de questions. L’homme ne me remarqua toujours pas, continuant à jouer cette musique devenue stridente et désagréable. Je soufflai pour reprendre mes esprits, espérant ne pas faire un rêve éveillé. Mais non ! Il était toujours là à jouer sans s’occuper de moi. Toutefois, je remarquai un lien entre moi et la musique. En effet, en maitrisant ma terreur, la mélodie retrouva une certaine douceur, elle était plus calme malgré quelques notes énervées par moments. Je n’osai l’interrompre, écoutant, cherchant à comprendre à la fois. La musique semblait ne jamais finir. Son auteur ne semblait pas fatigué non plus, fermant les yeux pour mieux ressentir le son produit par le violoncelle. Il appuyait sur les cordes tout en les frottant de son archet avec enthousiasme ; il vivait la musique vibrant avec elle. Je devinai qu’il n’était pas mon grand-père. Il adorait la musique cependant il ne jouait d’aucun instrument à ma connaissance. De surcroit, la mélodie imprégnait mon âme fortement, elle me parlait tellement que j’avais la sensation qu’il jouait l’histoire de ma vie comme si les notes racontaient mes sentiments, ma santé, mes soucis ou mes désirs les plus fous. J’étais en présence d’une véritable berceuse au point de vouloir laisser mon esprit s’envoler. Je fermai les yeux et à l’image d’une crise de synesthésie, je voltigeai sur les do, les ré ou doubles croches qui se promenaient dans ma chambre sans lumière. Chaque son produisait une ligne plus ou moins longue sur laquelle je me vis courir, marcher et danser. Brusquement, je réalisai qu’il jouait bien ma vie de la naissance à la mort ou plutôt à maintenant car il continuait de jouer.
En ouvrant les yeux, je n’arrêtai plus de percevoir les notes dans l’air. Toutefois, ce n’était plus moi mais mon passé qui se promenait sur la partition avant de laisser place à mon présent, l’ensemble tournant en boucle comme le refrain d’une chanson populaire. Je regardai ensuite mon grand-père, cherchant à comprendre le message de sa présence avec le violoncelle. Il jouait toujours, j’exprimai cependant un : « c’est beau ! » essayant de prendre contact. Il s’en ficha, continuant de jouer. L’air devint soudainement triste, mélancolique, j’avais envie de pleurer. Il continua de jouer ; dès lors, je décidai d’entrer et vis l’homme et son violoncelle s’effacer petit-à-petit de ma vision. L’apparence devenant translucide, la musique s’éloignait lentement ne laissant que quelques notes perdues au-dessus de mon lit. Elles éclatèrent comme des petites bulles de savon jusqu’à laisser place à un silence total. La lumière toujours éteinte, j’avançai vers mon lit et m’étendis tout en gardant les yeux ouverts, j’espérai réentendre cette musique et revoir son musicien. Parfois, j’inspirais fortement pour absorber les relents de musique encore présents dans l’atmosphère. J’attendis un peu et m’endormis finalement en rêvant de musique et un peu de mes grands-parents et des moments que nous n’avons jamais passé ensemble.
Alex@r60 – octobre 2019
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journaldenimportequi · 4 years ago
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Mercredi 16 décembre 2020
Nick Cave toujours et noël approche
Bon, encore une fois je me retrouve à me rappeler que je tiens un journal et que ça fait un moment que je ne l'ai pas nourri. Alors voilà, hop, on se retrousse les manches et au boulot ! Ah, si seulement c'était un vrai travail, si j'étais payé à la ligne, je serais probablement heureux. Encore une fois je me demande qui me lit, il se pourrait que j'écrive dans le vide, mais je crois que Melissa reste une fidèle lectrice, d'après ce qu'elle m'a dit. Alors, j'espère qu'au moins elle lira ce récit. Hé, si tu me lis, je te salut, vieille amie ! Peut être que Dilara aussi me lira si je lui dit que j'ai posté ce soir. J'ai parlé de Dilara ici dans le passé ? C'est une bonne amie, une artiste talentueuse, une merveilleuse belge, un jour nous irons faire les musées ensemble !
Qu'est ce que j'ai à raconter ? Alors que les jours passent, je plonge dans une exploration encore plus profonde de l'oeuvre de Nick Cave. C'est mon obsession du moment. Je veux tout savoir, tout entendre et tout lire sur le sujet. Je pose beaucoup de questions à mon frère puisqu'il est sensé le connaître depuis 15 ans. Parfois il me répond, et d'autres fois il me renvoie vers Wikipedia. L'autre jour, il m'a dit que j'étais quand même sacrément obsessif et que si je n'étais pas un amateur de musique, je serais probablement un serial killer, avant d'ajouter « il faudrait quand même que tu saches au moins manier un couteau pour ça ». Eh bien je ne sais pas si il a raison...enfin si, je sais que je suis incapable de découper des gens en morceaux, je préfère manier le vinyle et la platine. Je lui ai répondu que j'étais probablement autiste (en ne plaisantant qu'à moitié). C'est vrai que je suis un peu obsédé, quand j'ai un sujet en tête je ne pense qu'à ça et ça dure des semaines, des mois, voir des années. Picasso, par exemple, m'a accompagné pendant au moins trois ans, le temps que je lise tout ce que j'avais à lire sur lui, que j'achète tout ce que j'avais acheter en beaux livres sur son œuvre et puis il y eu le grand final, lorsque je suis allé au musée Picasso et que j'ai pu enfin admirer ses œuvres de mes propres yeux, en vrai et de tout près. Après ça, j'ai bien digéré le sujet et maintenant je suis passé à Nick Cave. Je ne sais pas combien de temps tout ça va me prendre, il faudra bien que je finisse par le voir sur scène pour bien l'intégrer compl��tement. Et puis je le rangerais dans le panthéon des grands artistes aux côtés de Dylan, Neil Young, Bowie et compagnie. Ainsi, il m'accompagnera jusqu'à la fin de mes jours.
Depuis la dernière fois, Justine, Canel et moi avons continuer notre nouveau hobby qui consiste à streamer une heure de musique chacun notre tour. Les semaines passent et les thèmes s'enchaînent. J'ai plein d'idées de nouveaux thèmes, et la semaine prochain j'en ferais un spécial noël, j'ai hâte.
J'ai noté dans mon bloc note virtuel des idées de sujets à aborder ici. Il y a « les rêves récurrents ». C'est vrai que j'ai, depuis des années, des rêves récurrents, qui persistent au fil des ans. Le plus ancien étant « le retour au collège » dans lequel je me vois revenir enfin au collège de Lafrançaise. Quitter ce collège a été une sorte de traumatisme (pauvre chou, je suis fragile, n'est ce pas?) pour moi et il semblerait que je n'ai jamais pu tout à fait m'en remettre puisque 20 ans après, je continue de faire des rêves dans lesquels je retourne au collège, parfois j'y retrouve mes vieux amis d'alors... Que dirait un psy de tout ça ? Le mien ne m'interroge jamais sur mes rêves. En ce moment, je dirais depuis plusieurs mois, j'ai un autre rêve qui revient régulièrement, c'est un rêve dans lequel reviennent des membres de ma famille, oncles, tantes, cousins et cousines. Je ne sais pas pourquoi je rêve d'eux, alors que je les vois quasiment jamais, sinon très rarement. J'ai un drôle de rapport avec mes cousins. Nous ne sommes pas proches, nous ne nous voyions quasiment plus et pourtant je les ai dans un coin de ma tête et j'aime bien savoir ce qu'ils deviennent. J'ai bien revu Jimmy à Paris ces dernières années, avec lui j'ai pas mal discuté, parfois sur messenger. A vrai dire je suis le seul des cousins à avoir un contact avec lui. Il y a des mois de ça, j'ai envoyé un message à Vincent (il a le même age que moi, c'est là notre seul point commun) en lui suggérant que nous allions boire un verre ensemble, à l'occasion. Il m'a répondu quelque chose du genre « pourquoi pas, passe à la maison un de ces quatre ». Bon, je sais qu'il est peu probable que ça arrive. De toute façons, il n'a plus le temps pour ça. Lui comme ses frères et les autres cousins ont une vie désormais. Ils sont parents, ils ont un job, une maison, plus le temps pour les trivialités, ils sont adultes, eux. Maintenant, ,nous sommes condamnés à nous croiser une fois tous les deux ans chez la grand-mère et lors des enterrements (qui vont irrémédiablement arriver de façon de plus en plus régulière dans les années à venir, c'est la vie, enfin, c'est la mort, enfin, vous m'avez compris). Voilà tout ce qui nous lie. Les cousins, ce sont des amis que l'on a pas choisi. Je n'ai plus grand-chose en commun avec eux, mais parfois je me prend à rêver qu'on se revoit et qu'on se retrouve à discuter de nos vies. Pourtant, cette éventualité m'effraie, si je devais leur parler de ma vie d'individu qui ne contribue en rien à la société, contrairement à eux, j'aurais terriblement honte...
Noël approche, sinon. Ca explique ma bonne humeur. Quand noël approche je me sens bien. Je bénie ce jour du fond de tout mon cœur d'athée ! Cette année encore nous allons réveillonner chez mon frère. Sauf que, covid oblige, nous ne pouvons pas être nombreux alors cette année nous ne verrons pas la belle famille de mon frère, à savoir ses beaux parents et son beau frère, des gens bien sympathiques au demeurant. Et puis, cette année nous serons dans sa nouvelle demeure. Et le petit Paul grandit, peut être qu'il va commencer à réaliser que noël va avoir lieu ? Il est peut être encore un peu petit... j'ai acheté tous les cadeaux des gens, en tout cas. J'ai vraiment hâte de leur offrir, surtout ceux de mon frère, on verra dans ses yeux si j'ai visé juste cette année. Et j'ai hâte de découvrir ce qu'il va m'offrir. Ce suspense me tue ! J'adore ça.
J'avais prévu de voir Justine et Canel, et d'aller au cinéma en leurs compagnies. Sauf que, loupé, ce sera pas pour ce mois puisque les cinémas n'ont pas rouverts... quelle déception. J'avais aussi prévu d'organiser un truc avec elles pour le soir du 31 décembre, mais ce jour là, il y aura le couvre feu. Eh oui, c'est toujours 2020, l'année qui nous fait bien chier ! Je ne m'en plains toutefois pas trop, tant que mes proches et moi avons la santé, il faut s'estimer heureux, je crois, avant de hurler « pire année ! ».
Je crois que j'ai assez écris pour ce soir. J'espère que je n'ai pas écris trop de bêtises, pardonnez-moi si c'est le cas, après tout je ne suis qu'un homme avec la maturité d'un adolescent, ne l'oubliez pas avant de me juger !
Bande son : Lovely Creatures, Nick Cave and The Bad Seeds
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