#Sur quelques mondes étranges
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Jérôme Noetinger — Sur quelques mondes étranges (Gagarin)
Sur quelques mondes étranges by Jérôme Noetinger
With Sur quelques mondes étranges, Gagarin Records in Hamburg bring us a new — and rare — solo release from French improviser and composer Jérôme Noetinger. Though an influential and widely respected figure on the European experimental music scene for over thirty years, Noetinger’s work might be less known to listeners outside of Europe. This solo release may help in exposing Noetinger’s music to a wider listening audience.
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Destinée ensorcelée
Résumé : Ivana, la fille aînée de Wanda, perd mystérieusement ses pouvoirs, ce qui la plonge dans une grande détresse. Ne sachant pas comment récupérer ses capacités, elle se tourne vers Agatha, une sorcière expérimentée, pour obtenir de l'aide. Ensemble, elles élaborent un plan pour ouvrir la route des sorcières, espérant que cela les mènera à une solution.
Pour renforcer leur magie, elles décident de réunir un sabbat, une cérémonie qui pourrait leur donner accès à des forces occultes puissantes. Cependant, alors qu'elles se préparent, des complications surviennent. Des forces obscures semblent contrecarrer leurs efforts, et des tensions émergent entre les participantes. Ivana et Agatha doivent naviguer à travers ces obstacles tout en découvrant des vérités cachées sur leurs propres pouvoirs et sur la nature de la magie. Cette quête les amène à remettre en question leurs croyances et à affronter des dangers inattendus, transformant leur aventure en un véritable test de courage et de détermination et d'amour.
Chapitre 1 : L’éveil d’une sorcière
Ivana Maximoff se trouvait au cœur d'une forêt dense, enveloppée par une brume légère qui flottait au ras du sol. Les arbres, aux troncs massifs et tortueux, semblaient murmurer des secrets anciens, leurs feuilles bruissant doucement dans le vent. La lumière de la lune filtrait à travers les branches, projetant des ombres dansantes qui ajoutaient une atmosphère mystérieuse à cet endroit.
Ivana sentait une présence, quelque chose de sombre et de malveillant qui rôdait autour d'elle. Les démons, aux traits grotesques et aux yeux luisants, émergeaient des ombres, leurs rires résonnant comme des échos sinistres. Ils se déplaçaient avec agilité, leurs corps se contorsionnant de manière surnaturelle, créant un spectacle à la fois fascinant et terrifiant.
Ivana, bien que pétrifiée, ressentait également une étrange curiosité. Elle pouvait entendre leurs chuchotements, des promesses de pouvoir et de connaissance, mais aussi des avertissements de danger. Chaque pas qu'elle faisait dans cette forêt semblait l'attirer plus profondément dans un monde où la réalité et le cauchemar se mêlaient.
Les couleurs autour d'elle étaient saturées, presque irréelles, avec des teintes de violet et de vert qui illuminaient la scène, créant une ambiance à la fois envoûtante et inquiétante. Ivana se tenait là, au milieu de ce chaos, son cœur battant à tout rompre, se demandant si elle pourrait échapper à cette danse macabre.
Ces silhouettes indistinctes semblent se rapprocher, glissant silencieusement sur le sol, créant une atmosphère de tension palpable.
Ivana, ressentant une présence menaçante, se réveille en sursaut. Son cœur bat la chamade dans sa poitrine, et un cri perçant échappe de ses lèvres, brisant le silence de la nuit. Elle se redresse, les yeux écarquillés, cherchant désespérément à comprendre ce qui se passe. La lumière de la lune filtre à travers la fenêtre, projetant des ombres inquiétantes sur les murs, mais il n'y a personne d'autre dans la pièce.
En reprenant lentement ses esprits, Ivana réalise qu'elle vient de faire un cauchemar. Elle se frotte les yeux, essayant de chasser les images terrifiantes de son esprit. Elle se demande ce qui lui est arrivé durant cette nuit désastreuse. Pourquoi ces ombres l’ont-elles hantée ? Quel message caché se cache derrière ce rêve troublant ? Elle se sent perdue, comme si une partie d'elle-même avait été touchée par une peur inexplicable.
Les questions tourbillonnent dans son esprit, et elle se demande si ce cauchemar est le reflet de ses angoisses profondes ou d'une menace qui rôde dans sa vie éveillée. La nuit, autrefois paisible, semble désormais pleine de mystères et d'inquiétudes, laissant Ivana dans un état de confusion et de vulnérabilité.
☆○o。 。o○☆.☆○o。 。o○☆
Ivana était assise sur son lit, les draps froissés autour d'elle, témoins de son agitation nocturne. Son cœur battait encore la chamade, résonnant dans sa poitrine comme un tambour de guerre. Elle fixait le mur en face d'elle, mais son esprit était perdu dans un tourbillon de pensées confuses. Les images de ce qu'elle venait de vivre se bousculaient dans sa tête, si réelles qu'elle avait du mal à croire qu'il ne s'agissait que d'un rêve.
Elle passa une main dans ses cheveux en désordre, soupirant profondément. Les souvenirs de cette expérience troublante l'assaillaient, la laissant dans un état de confusion totale. Elle se leva lentement, ses jambes encore un peu faibles, et se dirigea vers la salle de bain.
Le carrelage frais sous ses pieds la ramena à la réalité, mais l'angoisse persistait. Elle ouvrit la porte de la douche, ajusta la température de l'eau jusqu'à ce qu'elle soit chaude, presque brûlante, espérant que la chaleur apaiserait son esprit tourmenté. Alors qu'elle se tenait sous le jet d'eau, elle ferma les yeux, laissant les gouttes glisser sur son visage.
L'eau s'écoulait, emportant avec elle les résidus de ses pensées sombres. Elle se frotta les bras, comme si elle pouvait laver ses angoisses. Mais même sous le doux murmure de l'eau, les échos de son expérience la suivaient, la rendant incapable de se libérer de ce poids qui l'oppressait.
Ivana sortit de la douche, l'eau encore gouttant le long de sa peau. Elle avait enveloppé son corps dans une serviette moelleuse, l'odeur de son gel douche préféré flottant autour d'elle. Les gouttes d'eau glissaient sur ses bras, et elle se sentait rafraîchie, prête à affronter la journée. En entrant dans la cuisine, la lumière du matin filtrait à travers les volets, illuminant les surfaces en bois et créant une ambiance chaleureuse.
Elle se dirigea vers le réfrigérateur, son esprit encore embrumé par la chaleur de la douche. Elle ouvrit la porte, cherchant quelque chose à manger, quand soudain, un frisson d'inquiétude la traversa. Elle tenta de faire léviter une pomme, comme elle le faisait si souvent, mais rien ne se produisit. Ses mains, qui d'habitude émettaient une douce lueur, restaient désespérément normales.
Ivana plissa les yeux, se concentrant, mais aucun éclat magique ne se manifesta. Elle se mit à trembler, la serviette glissant légèrement sur ses épaules. "Non, pas maintenant," pensa-t-elle, sa voix intérieure teintée d'angoisse. Elle ferma les yeux, cherchant à ressentir cette énergie familière, mais elle était introuvable, comme un rêve qui s'estompe au réveil.
Les souvenirs de ses pouvoirs affluèrent dans son esprit : les moments où elle avait manipulé les objets avec aisance, où elle avait ressenti la magie pulser en elle. Tout cela semblait désormais hors de portée. Elle se retourna brusquement, ses yeux se posant sur le miroir de la cuisine. Elle y vit son reflet, une expression de confusion et de peur marquant son visage.
Ivana se mit à marcher nerveusement dans la pièce, le bruit de ses pieds nus sur le carrelage résonnant dans le silence. "Pourquoi cela m'arrive-t-il ? Qu'est-ce qui a changé ?" se demanda-t-elle, la panique commençant à s'installer dans son ventre. Elle se rappela des avertissements qu'elle avait reçus, des signes qu'elle avait ignorés.
Avec un soupir lourd, elle s'appuya contre le plan de travail, le cœur battant. "Il doit y avoir une explication," murmura-t-elle, la détermination commençant à remplacer la peur. Elle savait qu'elle devait trouver un moyen de comprendre ce qui lui arrivait, même si cela signifiait affronter des vérités difficiles.
Ivana se redressa, prenant une profonde inspiration, prête à se battre pour retrouver ce qu'elle avait perdu, même dans cette cuisine qui lui semblait désormais si ordinaire.
Ivana savait que la seule personne qui pourrait l’aider à retrouver ses pouvoirs était Agatha Harkness, mais demander de l’aide à cette femme était du suicide. Pourtant, la détermination brûlait en elle, et elle avait décidé d’y aller quand même.
Elle se dirigea vers sa voiture, une berline noire qui semblait presque impatiente de partir. Les phares s’allumèrent dans un vrombissement familier alors qu’elle s’installait au volant. "Allez, un dernier coup," murmura-t-elle pour se donner du courage, avant de démarrer en trombe en direction de Westview.
La route défilait à toute vitesse, le paysage flou derrière elle. Ivana se sentait à la fois excitée et nerveuse. Cependant, la vitesse était trop élevée, et bientôt, elle aperçut les girophare de police dans son rétroviseur. Son cœur s’emballa. "Non, pas maintenant," se dit-elle, mais il était trop tard. Elle se gara sur le bas-côté, la peur nouant son ventre.
Alors qu'elle attendait, Ivana pouvait sentir l'adrénaline pulser dans ses veines. La silhouette d'Agatha se dessina dans le rétroviseur. Elle s'approcha, un sourire mystérieux sur le visage.
Ivana, choquée, n'arrivait pas à croire qu'Agatha était là, en uniforme. "Agatha ? Qu'est-ce que tu fais ici ?" demanda-t-elle, la surprise se mêlant à l'inquiétude.
Agatha se pencha légèrement, son expression sérieuse. "C'est détective O'Connor. Je ne connais pas d’Agatha désolé.," annonça-t-elle d'une voix suave, ses yeux pétillant de malice.
Après un rapide contrôle, Ivana continua son chemin en voiture, les pneus crissant sur l'asphalte. Le paysage défilait à toute vitesse, les arbres se transformant en flous vert et marron, tandis que son esprit était envahi par des souvenirs de son enfance. Elle savait qu’Agatha était touchée par le sort de la sorcière rouge, et cette pensée la hantait, mais elle était déterminée à retrouver une solution.
En arrivant devant son ancienne maison, Ivana ressentit un mélange de nostalgie et d'appréhension. La maison, bien que familière, semblait avoir perdu de sa splendeur. La peinture s'écaillait, et des herbes folles poussaient entre les dalles du chemin. Elle se gara rapidement et sortit de la voiture, le cœur battant à tout rompre.
En entrant, l'odeur de poussière et de vieux souvenirs l'accueillit. Les murs étaient ornés de photos jaunies, capturant des moments heureux d'une époque révolue. Ivana ferma les yeux un instant, se remémorant les rires et les jeux d'enfance. Mais elle n'avait pas le temps de s'attarder. Elle devait fouiller de fond en comble pour retrouver une solution afin de rompre le sort de sa mère.
Elle commença par la cuisine, ouvrant les tiroirs avec frénésie. Des ustensiles oubliés et des recettes jaunies l'entouraient. Rien d'utile. Elle se dirigea ensuite vers le salon, où le vieux canapé était recouvert d'une couche de poussière. Ivana souleva les coussins, espérant y trouver quelque chose de précieux. Elle trouva seulement des pièces de monnaie et des bonbons durs, oubliés depuis longtemps.
Frustrée, elle monta à l'étage, où se trouvait sa chambre d'enfance. La porte grinça en s'ouvrant, et elle entra dans la pièce. Tout semblait figé dans le temps. Les murs étaient recouverts de posters de ses idoles, et son bureau était encore chargée de livres et de cahiers. Elle fouilla chaque tiroir, chaque recoin, sa détermination grandissant avec chaque minute qui passait.
Finalement, dans un vieux livre de contes qu'elle avait laissé là, Ivana découvrit une page pliée. En l'ouvrant, elle tomba sur une formule ancienne, une incantation oubliée qui pourrait peut-être l'aider à rompre le sort. Son cœur s'emballa d'espoir. C'était peut-être la clé pour sauver sa mère et briser l'emprise d'Agatha.
Avec cette découverte, Ivana savait qu'elle avait fait un pas décisif. Elle devait maintenant retourner à Westview, prête à affronter Agatha et à utiliser tout ce qu'elle avait appris pour défendre ceux qu'elle aimait.
Ivana se tenait devant la porte d'Agatha, le cœur battant la chamade. Elle avait enfin trouvé ce qu'elle cherchait, et maintenant, il était temps d'agir. Elle leva la main et sonna à la porte, le son résonnant dans le silence du quartier. Après quelques instants, la porte s'ouvrit lentement, révélant Agatha, les yeux écarquillés par la surprise.
« Qu'est-ce que tu fais ici ? » demanda Agatha, fronçant les sourcils, visiblement perplexe. Sa voix trahissait une inquiétude mêlée de curiosité.
Ivana, sans perdre une seconde, poussa doucement Agatha sur le côté pour entrer dans la maison. L'air était chargé d'une tension palpable. Elle se retourna alors pour faire face à Agatha, ses yeux brillants d'une détermination ardente.
« Écoute, j'ai pas le temps pour tout expliquer, » déclara Ivana d'une voix ferme, presque impatiente. « Il faut que tu m'écoutes et que tu me crois. »
Agatha, encore sous le choc, ne savait pas quoi répondre. Elle croisa les bras, la méfiance se lisant sur son visage. « Attends une minute, je ne te connais . Tu ne peux pas juste entrer chez moi comme ça et... »
« Oh c’est pas vrais j’avais oublier comment Agnes était pipelette» coupa Ivana, sa voix s'élevant légèrement.
Ivana, les yeux fixés sur Agatha, ressentait une vague d'émotions l'envahir. Elle savait que même si ses pouvoirs avaient disparu, la magie analogique pouvait encore opérer des miracles. Elle inspira profondément et murmura le sort, sa voix à peine audible, comme un souffle porté par le vent.
« Libère-toi, Agatha... » chuchota-t-elle, chaque mot chargé d'intention.
À cet instant, Agatha sentit une chaleur douce l'envelopper, comme si une lumière intérieure s'éveillait en elle. Elle plongea son regard dans celui d'Ivana, et un flot de souvenirs afflua. Chaque moment partagé lui revenait en mémoire, vibrant d'une tendresse oubliée.
Agatha, touchée par cette connexion, réalisa à quel point Ivana avait changé. La petite fille qu'elle avait connue était devenue une sublime jeune femme, pleine de force et de détermination. Ses traits étaient marqués par la maturité, mais une lueur d'innocence persistait dans son regard.
« Mini Maximoff, » murmura Agatha, penchant la tête sur le côté, un sourire ému se dessinant sur ses lèvres. « Je suis surprise de te voir ici. »
Ivana, un léger sourire aux lèvres, sentit une chaleur envahir son cœur. « Je sais que c'est inattendu, mais j'avais besoin de toi, Agatha. »
Agatha hocha la tête, la surprise laissant place à une compréhension profonde. « Je vois. Tu as beaucoup grandi, ma chère. Mais dis-moi, que veux tu ? »
Ivana, le regard déterminé, se tourna vers Agatha, son cœur battant avec une impatience palpable. « Je veux rejoindre la route des sorcières, » annonça-t-elle, sa voix pleine de conviction.
Agatha plissa les yeux, un sourire ironique aux lèvres. « La route n'existe pas, Ivana. C'est une légende, une illusion. »
Ivana, frustrée, secoua la tête. « Ne sois pas une menteuse, Agatha ! Je sais que ça existe. »
Agatha s'approcha d'elle, son regard perçant comme une flèche. Avec douceur, elle déplaça une mèche de cheveux d'Ivana derrière son oreille, créant un moment d'intimité.
« Écoute-moi, » murmura-t-elle. « La route va te tuer. »
Ivana, choquée, observa Agatha s'éloigner, se sentant à la fois trahie et confuse. « Mais tu ne t'es pas fait tuer, toi ! » lança-t-elle, tentant de garder sa voix ferme.
Agatha se retourna, un air de défi dans ses yeux. « Moi, je suis exceptionnelle. » Elle laissa échapper un léger rire, comme si la question ne méritait même pas d'être débattue.
Ivana, ne se laissant pas abattre, croisa les bras, son regard défiant. « Je vais aller sur la route, avec ou sans toi. »
Agatha éclata de rire, amusée par la détermination d'Ivana. « Et qu'est-ce que tu veux vraiment de cette route ? »
« Retrouver mes pouvoirs, » répondit Ivana, sa voix empreinte de passion.
Agatha, sérieuse à présent, hocha la tête. « Pour ça, il te faudra un sabbat. »
Ivana, intriguée, se pencha en avant, désireuse d'en savoir plus.
« Un sabbat ? Qu'est-ce que tu veux dire par là ? »
Agatha, avec un air mystérieux, se contenta de sourire. « Tu as encore beaucoup à apprendre, ma chère. »
Agatha se leva, déterminée, et se dirigea vers le porte-manteau. Elle attrapa sa veste en cuir noir, la passant rapidement sur ses épaules, avant de chausser ses bottines à talons. Le bruit des fermetures éclair et le claquement des semelles résonnaient dans l'air, créant une ambiance de tension palpable.
Elle se retourna alors vers Ivana, qui était toujours figée, son regard perdu dans le vide. Agatha plissa les yeux, un sourire amusé sur le visage. « Aller, c’est pas en restant figée comme ça qu’on va trouver un sabbat, » lança-t-elle avec une pointe d'ironie dans la voix.
Ivana, surprise par l'énergie d'Agatha, sentit son cœur s'accélérer. Elle voulu répondre, mais les mots restèrent coincés dans sa gorge. Agatha, ne laissant pas le temps à Ivana de réagir, tourna les talons et s'apprêta à quitter la pièce.
« Je regrette immédiatement cette décision, » murmura Ivana, presque inaudible, alors qu'une vague de doute l'envahissait.
Elle soupira, se sentant tiraillée entre son envie de rester et celle de suivre Agatha.Après un moment d'hésitation, elle prit une profonde inspiration et se décida à la suivre. « Comment les choses vont-elles se passer ? » se demanda-t-elle, angoissée mais excitée à l'idée de l'inconnu qui l'attendait. Elle rattrapa Agatha, se préparant à plonger dans cette aventure qui pourrait changer leur destin à toutes les deux.
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✿Beaucoup de types de shifts et leur définition✿
Même si certains semblent plus communs que d'autres, il existe vraiment BEAUCOUP de types de shifts dans nos communautés alterhumaines, nonhumaines, otherhumaines, ect. Je vais citer tout ceux que je connais, mais n'hésitez pas à en rajouter à ma liste !
Bonne lecture !𖡼𖤣𖥧𖡼𓋼𖤣𖥧𓋼𓍊𖡼𖤣𖥧𖡼𓋼𖤣𖥧𓋼𓍊𖡼𖤣𖥧𖡼
le shift mental
est un des shifts les plus connus dans nos communauté. Pendant un shift mental, la mentalité de l'individu devient plus ou moins comme celle de son type.
Si le type de l'individu est un animal, par exemple, il se mettra peut être à penser d'une manière plus animale, en se fiant encore plus à ses instincts.
le shift fantôme
fait également partie des shifts les plus connus. Pendant ce shift, l'individu ressens une ou plusieurs parties du corps de son type, en plus de ou en superposition de son corps. Ces membres peuvent être queues, vibrisses, museau, nageoires, plumes, bec, coussinets, carapaces, pattes supplémentaires ou différentes, ect. Cette sensation peux varier selon l'individu.
Certains la décrirai comme avoir la sensation que le membre est réellement là, et certains ressentiront ça comme une énergie, comme si leur âme "dépassait" de leur corps.
Cette partie du corps n'est pas visible.
Certains ressentent de la "douleur fantome", en se coinçant ses ailes fantômes dans une porte, par exemple.
le shift de perception
change la perception de l'individu pour la rapprocher de celle de son type. Ça peut influencer la manière dont il se voit soit même, ou la manière dont il voit le monde autour de lui.(À ne pas confondre avec le shift mental !)
le shift sensoriel
modifie la perception d'un ou de plusieurs sens (ouïe, odorat, vue, toucher, ou/et même goût), pour se rapprocher de ceux de son type. Cela ne donne pas vraiment de super pouvoirs, mais concentre plutôt le shifteur sur certains de ses sens, en le distrayant de certains autres.
Il existe plusieurs sous catégorie du shift sensoriel, comme le shift auditif, olfactif, ect.
le cameo shift prononcer "caméo"
peux être assez étrange, surtout pour ceux qui ne sont pas habitués à celui ci. Un cameo shift, c'est quand on shift en quelque chose, quelqu'un, une créature, ect mais que l'on ne s'identifie pas comme celui ci/ceci. Un cameo shift peux apparaître en n'importe quelle forme de shift. Exemple: un otherkith licorne expérimente un shift fantome de licorne, ce shift est un cameo shift fantome, car cet individu ne s'identifie pas comme une licorne. Un humain lambda peut expérimenter ce type de shift.
le koita shift
est souvent considéré comme une sous catégorie du cameo shift (le peu de fois qu'on en parle). Un koita shift est un shift déclanché en regardant un animal/créature/ect auquel on ne s'identifie pas.
Ce shift peut être provoqué en regardant un média visuel (une image, une vidéo), ou en regardant directement celui-ci. Comme le cameo shift, il peut apparaître sous toutes les formes de shift possible.
le shift émotionnel
est un shift provoqué par une émotion (souvent intense).
le space shift
est un shift assez connu des concepkins, voidkins, elementkins, ou même musickins. Pendant un space shift, l'individu à la sensation de remplir un espace, au même titre que son type.
Exemple : un elementkin eau nage dans l'océan, il a l'impression de s'étendre à perte de vue comme l'eau autour de lui.
le shift d'aura
L'aura d'un individu change pour se rapprocher de celle de son type. Ce shift est souvent spirituel, mais peut également être expliqué/expérimenté de manière psychologique.
le shift de bilocation
L'individu à l'impression de se trouver à deux endroits à la fois. Il verra la vision de son type en même temps que celle de son corps, et/ou ressentira l'environnement de ses deux emplacements en même temps.
le shift astral
est le plus souvent volontaire, et difficile à déclencher. C'est un shift souvent considéré comme spirituel, mais peut être expliqué de manière psychologique. Pendant ce shift, l'âme de l'individu sort de son corps physique, puis se transforme en ou est son type. C'est un genre de voyage astral.
le shift onirique/dream shift
est un shift vécu dans un rêve, un rêve où l'on est son type ou un rêve où on se transforme en son type. Ce shift peut être un souvenir d'une vie antérieure.
le shift feral
C'est un shift expérimenté la plupart du temps par les alter/nonhumains physiques (holotheres, zooantropes cliniques) où ils perdent involontairement le contrôle de leur corps, où leur partie animale prend le dessus. Ces shifts peuvent être dangereux car l'individu peut être effrayé par le monde humain qui l'entoure et agir en se mettant en danger, ou peut tenter de faire des choses que son corps humain ne peut pas faire. Certains ne se souviennent plus de ce qu'il c'est passé pendant ce shift après l'avoir expérimenté.
le shift basercal
est la même chose que le shift feral, mais volontaire.
le shadow shift
est un shift causé le plus souvent par une illusion d'optique ou une petite hallucination. C'est quand l'ombre d'un individu change pour devenir plus ou moins comme celle de son type.
le miror shift
est un shift similaire au shadow shift, mais avec un miroir. C'est quand le reflet d'un individu change pour devenir plus ou moins comme celui de son type.
le shift physique
est un shift causé par des délire et hallucinations. C'est quand un individu pense être ou pense pouvoir se transformer en son type. La transformation peux être compléte ou partielle, et peux être douloureuse.
#alterhuman shift#shift#alterbeing shift#nonhuman shift#otherhuman shift#alterhumain#alterhumanité#communauté alterhumaine#communauté alterhumaine française#alterhumain français#alterbeing français#nonhumain français#alterhumain francophone#therian#otherkin#spacekin#voidkin#conceptkin#alienkin#monsterkin#plantkin#otherkith#shift mental#shift fantôme#shift de perception#caméo shift#shift de bilocation#shadow shift#miror shift#shift émotionnel
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[I am the hunter, and the hunted, joined together.]
XI - Les Esprits
À ce stade, je ne savais pas pourquoi je pensais que toute nouvelle information m'aiderait. Au lieu que je me rapproche d'une réponse, le labyrinthe venait de recevoir une nouvelle aile nommée d'après ce Trithemius.
En fait, je savais exactement quelle amie appeler.
Salut Snow, ça va ?
Snow: Ça va ! Et toi ? Comment était ton voyage à Londres ?
C'était trop bien ! Quoi de neuf ? Comment se passent les études ?
Snow: Honnêtement, je suis fatigué. J'ai vraiment hâte la fin du semestre. Je vais voir les darons pendant une semaine puis partir en vacances dans un endroit exotique et chaude aussi longtemps que possible.
En parlant d'exotique; j’ai une question pour toi. Je me retrouve dans un mystère qui est récemment devenu obscur et je savais que tu étais la seule personne qui pouvait m'aider. Le nom Trithème, ça te dit quelque chose ?
Snow: Johannes ? Le mec qui a inventé la cryptographie et communiqué avec les esprits ?
C’est lui. Je suis tombé sur une étrange maison d'édition qui réédite ses livres et j'ai voulu en savoir plus.
Snow: Réédite ses livres ? Bizarre, autant que je sache, aucun de ses livres n'a même été traduit. Mais je suppose qu'il y a toujours des gens qui connaissent le latin.
Dit moi un peu plus de sa cryptographie, je pensais que tu avais besoin d'un ordinateur pour ça.
Snow: Le mec était un ordinateur. Certains des chiffres secrets étaient si compliqués qu'ils n'ont été décodés qu'il y a environ 20 ans.
Peut-être qu'on peut commencer avec des chiffres un peu moins compliqués ?
Snow: Le chiffre Ave Maria est probablement le plus drôle. Chaque lettre qu'on veut décoder a un (et parfois deux) mot latin correspondant. Par exemple, pour la lettre "E", les mots sont "dominus" et "magnus". On peut choisir entre les deux, en fait. Donc, si on veut décoder le mot "secret", le texte décrypté devient "Omnipotens dominus conditor fabricator magnus pacificus". Si on traduit ça en français, ça veut dire "Le Tout-Puissant, le Seigneur, le Faiseur, le Grand Pacificateur", une phrase qui pourrait facilement être une vraie prière latine, bien que peu créative. Son deuxième livre Polygraphie comprenait des centaines de pages de ce type d'écriture.
Les gens ont dû penser qu'il était fou.
Snow: Oui, probablement même après son premier livre Stéganographie.
Ah, c'est ça. Stéganographie est le livre que Mars Éditions a réédité.
Snow: Vraiment ? Pour moi c'est encore plus bizarre. Stéganographie se compose de trois parties. La dernière partie est incroyablement compliquée et contient des tableurs de données planétaires. Quelqu'un découvrait récemment que les nombres dans ces tableurs cachaient les messages secrets. Je n'arrive pas à comprendre moi-même.
Et les deux premières parties ?
Snow: Elles proposent des méthodes pour communiquer avec les esprits. En fait, les esprits spécifique ce qui Trithème mentionné par nom. Pamersiel, Padiel, Camuel, etc. Chacun régnant sur une différente partie du monde (sud, nord, etc.) et combien d'esprits subordonnés ils dirigent pendant le jour et pendant la nuit.
Quoi ?
Snow: Oui, c'est vraiment quelque chose d'une autre planète. Chaque esprit a même son propre symbole, un sceau. Et, bien sûr, des instructions pour l'appeler.
Appeler les esprits ?
Snow: J'oubliais exactement comment, mais caché dans le livre sont des instructions pour appeler les esprits. Par exemple, si on veut convoquer l'esprit Pamersiel, on doit chanter une expression précise. Quand Pamersiel apparaît, on peut lui donner un message à transmettre à n'importe quoi. Mais, et c'est important: ce message doit être crypté avec des règles spécifiques pour cet esprit. Pour Pamersiel, on garde juste la première lettre de chaque mot.
Si je veux transmettre le mot "secret", j'écris quelque chose comme "soudain, elle crie, ravie et triomphante"?
Snow: Exactement.
Et pour Padiel ?
Snow: C’est un peu plus compliqué. On doit prendre chaque deuxième lettre de chaque deuxième mot. Très différent que Pamersiel. Donc, si tu reçois un message, pour le décoder, tu dois savoir quel esprit l'a délivré.
Encore une fois, pour le mot "secret" avec Padiel, tu peux par exemple écrire "c'est assez, tu écartes or et argent".
Snow: Tu es incroyablement doué pour ça. C'est correct. Une phrase un peu absurde mais aussi parfaitement Trithème-esque. Ce livre est une sorte d'annuaire téléphonique spirituel. Les gens ne savent toujours pas ce qui était le plus important pour Trithème : le spiritisme ou la cryptographie.
Je pense que pour lui, les deux sont liés. Évidemment même l'astronomie si tu inclus le dernier partie de Stéganographie.
Snow: C'est vrai. Il a suscité l'intérêt de nombreux astronomes et mathématiciens de renom et même de linguistes, c'est ainsi que je suis tombé sur son travail. Mais je ne suis jamais allé trop loin dans le terrier du lapin.
Je pense que c'est exactement là où je vais aller maintenant.
Snow: Bonne chance. Fais attention, et dis moi si tu as besoin d'aide.
Bien sûr ! Je te tiens au courant.
Snow: Parfait. A tout à l'heure !
Ciao !
Avec cet homme excentrique frais dans mon esprit, j'ai attrapé le livre Nuit Sans Fin et l'ai recouvert avec des yeux neufs.
#s23e04 from biscuits to brisket#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#terra incognita
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SolarTale Personnage #1 : Solar!Chara (Hidden Soul)
Chara est le personnage principal de l'histoire de SolarTale, développant ses capacités au fil de son aventure et de ses rencontres. Ce personnage aura plusieurs post pour expliquer ses différentes formes suivant son évolution.
Backstory
Chara était une petite fille de 12 ans habitant dans un village près d'une grande montagne appelé le Mont Ebott. Cette montagne avait pour réputation d'être le refuge du diable étant donné que d'après de nombreuses légendes, les monstres y avait été enfermé après une guerre sanglante contre les humains.
Chara avait des parents très stricte qui lui mettait une grande pression sur les épaules malgré son jeune âge, et c'est après une dispute que Chara fuit son domicile pour gravir la montagne guidé par une étrange sensation que c'était le chemin qu'elle devait emprunté.
Malgré la réputation de cette montagne et les histoires que les enfants apprennent à l'école, Chara n'a pas d'hésitation à y pénétrer suivant sa curiosité et son instinct. Soudainement, elle trébuche et tombe dans un immense trou, l'amenant dans l'Underground..
Capacité
Couteaux de détermination : Chara peut faire apparaître des couteaux rougeâtres de détermination dans les airs ou sur n’importe quelle surface, ceux-ci sont totalement contrôlés par Chara
Rayon de détermination : Plusieurs couteaux (au moins 5) tournoient rapidement, laissant un cercle rougeâtre dans les airs, rapidement, un rayon va sortir du cercle pour foncer en ligne droite. La taille du rayon dépend de la taille du cercle créé par les couteaux. Elle peut aussi projeter un rayon par sa paume de main et qui peut être dévié pour prendre l'adversaire par surprise mais celui-ci sera beaucoup plus faible.
Régénération : Chara possède la capacité très pratique de soigner ses blessures. Elle ne peut pas régénérer des membres coupés mais elle peut refermer complètement des blessures tels que des coupures plus ou moins grosses ou des os cassés. Cela est visible par une lueur rouge qui échappe de la blessure, le temps de régénération varie selon la taille de la blessure (par exemple, une coupure qui s'étend sur tout son corps prendra plusieurs minutes alors que des petites égratignures prendront quelques secondes). Ce pouvoir lui consomme beaucoup de magie, l'affaiblissant rapidement si elle l'utilise trop.
Explosion de détermination : Elle a la capacité de concentrer sa magie en un seul point, notamment autour d'elle, pour la faire ressortir, causant une explosion en éloignant les personnes près d'elle.
Création d'arme : Chara peut créer toutes sortes d'armes de détermination, le plus souvent sera un bouclier pour bloquer les attaques, une épée et des couteaux, elle peut aussi modifier leur taille.
Caractère
Même si elle possède de grand pouvoir lié à son âme de détermination, Chara reste une enfant innocente qui n'a pas encore connaissance de toutes les horreurs du mondes notamment la trahison, la guerre ou les meurtres.
Elle est de nature gentille avec tout le monde, cherchant à faire le bien autour d'elle et fais facilement confiance aux inconnus. Chara a un aussi un côté acharné et têtu, n'hésitant pas à foncer vers le danger pour sauver des gens ou à s'entraîner sans relâche pour progresser dans sa maîtrise de la magie.
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Eté 1925 - Champs-les-Sims
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Même Papa, bien que je reste fâchée de son attitude, a pris sa décision et décide de suivre ses envies. A son âge, cela me parait un peu tardif, mais peut-être suis-je juste jalouse de Petite Eugénie ou de mon frère/ma soeur qui va naître dans un pays où je n'ai jamais eu la chance de mettre les pieds. A ce propos, avez-vous déjà envié les voyages de votre père ? Maman m'a dit qu'il n'emmenait jamais ta mère, c'est étrange.
Un jour j'irai, ne serait-ce que pour rendre visite à ma famille. En attendant, j'aurai une immense maison pour moi seule, Grand-Mère et Mademoiselle Laroche, avec la certitude rassurante qu'Antoine me rejoindra dès ses études terminées et les bras pleins de prospectus électoraux. Je serai tellement fière quand mon frère sera maire, puis député.
Transcription :
Adelphe « C’est de cela que je voulais te parler, et ça n’a pas été facile. Le pire, c’est que le sentiment est tenace. La tristesse, la frustration… Et je m’en veux de les ressentir. »
Constantin « Toi aussi tu vas me manquer tu sais. Oui, je suis heureux de partir, mais je suis aussi triste de te laisser ici. S’il n’en tenait qu’à moi, tu serais du voyage. »
Adelphe « Ah ah ! Moi ? Tu sais pourtant que je n’ai fait l’effort de supporter cette chaleur que pour te faire plaisir. Et deux fois qui plus est ! »
Constantin « Je le sais bien. Nous avons des centres d’intérêts et des styles de vie presque irréconciliables. »
Adelphe « C’est certain. C’est un miracle que nous ayons pu vivre sous le même toit aussi longtemps. J’aurai du me douter que tu finirais pas partir, même à un âge plus tardif. »
Constantin « De toute façon, même loin l’un de l’autre, cela ne changera pas grand-chose. »
Adelphe « Que veux-tu dire ? »
Constantin « Quand Papa m’a annoncé qu’il m’envoyait au pensionnat, je lui ait rétorqué que je ne voulais pas partir loin de toi. Je sais bien que c’était puéril, mais j’avais peur qu’être séparés change quelque chose entre nous. Et ce n’est pas arrivé. Papa a répondu qu’il fallait que j’arrête de m’accrocher à toi comme un enfant, car nous n’étions que cousins et rien de plus. »
Adelphe « Oncle Maximilien n’avait pas la clairvoyance d’Albertine, c’est un fait. »
Constantin « Je nous avais toujours figuré comme des frères, et j’ai réalise ce jour là que tout le monde ne voyait pas les choses ainsi. »
Adelphe « Nous sommes frères en tout sauf en titre. Ce qui importe, c’est ce que toi et moi en pensons. »
Constantin « J’aurai du répondre cela à Papa, mais je n’y avais pas pensé. »
Adelphe « Tu avais treize ans Tintin. Qui se croit réellement plus malin que son père à cet âge ? »
Constantin « Il avait tort sur pas mal de point. J’étais terrifié quand je suis rentré à la maison pour la première fois. Et pas seulement à cause de… de la situation à l’époque. Mais aussi parce que j’avais peur que quelque chose ait changé et que je sois passé dans une frange marginale de ta vie. »
Adelphe « Pour être honnête, moi aussi. Mais j’étais plus doué que toi pour le cacher et me persuader du contraire. »
Constantin « Mais au final, rien n’avait changé. »
Adelphe « Non, rien n’avait changé. »
Constantin « Alors, tu vois bien. Même de l’autre côté d’une mer et dans un pays à la chaleur étouffante, rien ne change pour moi. Je ne sais pas si cela peut t’aider, mais sache que rien ne changera. »
Adelphe « Merci Tintin. Pour une fois, c’est bien moi qui avais besoin de te parler un peu. »
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Fréquente une fille qui lit. Fréquente une fille qui dépense son argent dans les livres au lieu des habits, dont les placards débordent parce qu’elle a trop de livres.
Aime une fille qui possède une liste de livres à lire et une carte de bibliothèque depuis l’âge de douze ans. Trouve-toi une fille qui lit. Tu la reconnaîtras parce qu’elle a toujours un livre à lire dans son sac. Elle regarde avec admiration les livres rangés sur les étagères des librairies, s’émeut discrètement quand elle a trouvé le livre qu’elle cherchait.
Tu vois cette fille bizarre qui respire les pages des vieux livres dans les librairies d’occasion ? C’est elle, la lectrice.
Elle ne peut pas s’empêcher de respirer les pages des livres, surtout quand celles-ci sont jaunies et usées.
C’est celle qui lit en passant le temps dans le café au coin de la rue.
Si tu regardes sa tasse, tu remarqueras que la crème a complètement fondu, parce qu’elle est déjà complètement absorbée par son livre. Perdue dans le monde imaginé par l’auteur.
Assieds-toi. Peut-être te lancera-t-elle un regard, car la plupart des filles qui lisent n’aiment pas être dérangées. Demande-lui si elle aime son livre.
Propose-lui une nouvelle tasse de café. Dis-lui ce que tu penses vraiment de Murakami.
Demande-lui si elle a dépassé le premier chapitre de Fellowship. Comprends bien que si elle te dit qu’elle a compris Ulysses de James Joyce, elle dit ça juste pour avoir l’air intelligente. Demande-lui si elle aime Alice ou voudrait être Alice.
C’est facile de fréquenter une fille qui lit.
Offre-lui des livres pour son anniversaire, Noël et toutes les autres fêtes.
Offre-lui des mots, en poème et en chansons.
Offre-lui Neruda, Pound, Sexton et Cummings. Montre-lui que tu as compris que les mots sont de l’amour. Sache qu’elle connait la différence entre les livres et la réalité, mais que malgré tout, elle essayera quand même de faire que sa vie ressemble un peu à son livre préféré. Ce ne sera jamais de ta faute si elle le fait. Il faut qu’elle essaie. Mens-lui. Si elle comprend la syntaxe, elle comprendra que tu as besoin de mentir. Derrière les mots se cachent d’autres choses : des raisons, des valeurs, des nuances et des dialogues. Ça ne sera pas la fin du monde. Déçois-la. Parce qu’une fille qui lit sait que les déceptions précèdent toujours des sommets d’émotions. Parce qu’une fille qui lit comprend que toutes les choses ont une fin, mais qu’on peut toujours écrire une suite. Qu’on peut recommencer encore et encore, et rester le héros. Que dans la vie, il y a toujours un ou deux méchants. Pourquoi avoir peur de tout ce que tu n’es pas ? Les filles qui lisent comprennent que les gens, comme les personnages, peuvent évoluer. Sauf dans Twilight. Si tu trouves une fille qui lit, ne la laisse pas t’échapper. Si tu la retrouves à 2 heures du matin, serrant un livre contre elle et pleurant, prépare-lui une tasse de thé et prends-la dans tes bras. Tu la perdras sûrement pour quelques heures, mais à la fin, elle reviendra toujours. Elle parlera comme si les personnages du livre existaient vraiment, parce qu’ils existent toujours, l’espace d’un instant. Tu la demanderas en mariage dans une montgolfière. Ou à un concert de rock. Ou l’air de rien, la prochaine fois qu’elle sera malade. Par Skype. Tu souriras tellement que tu te demanderas pourquoi ton cœur n’a pas encore éclaté dans ta poitrine. Tu écriras l’histoire de vos vies, vous aurez des enfants avec des noms étranges et des goûts encore plus étranges. Elle fera découvrir le Chat Potté et Aslan à vos enfants, peut-être même les deux dans la même journée. Vous passerez l’hiver de votre vie en vous promenant ensemble, et elle récitera doucement Keats pendant que tu feras tomber la neige de tes bottes. Fréquente une fille qui lit, parce que tu le mérites.
Tu mérites une fille qui peut, par son imagination, parer ta vie de mille couleurs.
Si tu n’es capable de lui offrir que de la monotonie, des idées ternes et des demi-mesures, mieux vaut rester seul.
Si tu veux le monde entier, et tout ce qui se cache derrière, fréquente une fille qui lit.
Encore mieux, fréquente une fille qui écrit.
Rosemarie Urquico
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Règlement
Inscription et présentation
Pseudo : Nous demandons un pseudo au format Prénom Nom (ou Nom Prénom selon l’origine de votre personnage et la cohérence de l'ordre en fonction) ou juste un Prénom ou un Surnom. Les initiales sont autorisées.
Avatars : Derry est un forum à personnalités réelles. Nous utilisons des avatars aux dimensions 200*320 ou 400*640. Un écart d’âge est autorisé tant qu’il reste cohérent. Vous pouvez incarner une célébrité dans sa jeunesse tant que l’âge correspond. Veillez à respecter les origines ethniques de vos personnages. Nous n’autorisons pas les personnages en dessous de 16 ans. Pour les personnages mineurs entre 16 et 18 ans, une vigilance et des conditions particulières sont à respecter. Pour ces derniers, nous demandons un FC majeur. Nous n'autorisons pas de rp graphiques, pas de rp d’agressions violentes, nous demandons des ellipses pour ces évènements. Les relations sexuelles entre un personnage mineur et un personnage largement plus âgé que lui sont strictement interdites.
Compétition : Nous n’acceptons pas la compétition concernant les faceclaims. Les avatars seront réservés durant toute la durée de rédaction de la fiche. Aucun avatar ne sera réservé pour les pré-liens ou pour les scénarios des membres. Vous pourrez toutefois faire des suggestions de FC pour ceux-ci.
Une fois inscrit, vous disposez d’une semaine pour poster votre fiche de présentation, puis d’un mois à compter du poste de la fiche pour la compléter. Le mois révolu, et sans nouvelle, le compte est supprimé.
Comptes et inscription : durant la durée de la phase d’ouverture, vous aurez le choix d’incarner un personnage qui arrive nouvellement dans la ville ou un personnage déjà installé depuis X temps (des années, quelques mois, quelques semaines, à votre convenance). Passé cette phase, les nouveaux membres devront incarner uniquement un·e nouveau·elle arrivant·e. Un RP d’arrivée et d’intégration (court) sera proposé par l’équipe administrative ou par les membres volontaires (ceci afin de permettre une intégration en jeu de votre personnage, de lui expliquer les modalités de sa nouvelle existence dans ce monde étrange et de favoriser les liens de communautés.) Les seules exceptions possibles sont soit les scénarios proposés par les membres, soit une idée déjà très aboutie de personnage ancré dans la communauté. Pour ce dernier cas de figure, n’oubliez pas de contacter le staff via le compte Derry.
Multi-compte : Il est possible d’avoir jusqu’à trois comptes maximum. 1er DC : trois RP postés, une semaine après la validation du premier compte. Ce compte devra obligatoirement être dans un autre groupe que votre personnage principal / premier compte. Pour le suivant : 1 RP terminé minimum, un mois après la validation du dernier compte. Pour les doubles comptes “d’anciens” habitants, nous vous demanderons de prévoir au moins deux liens afin d’avoir un personnage déjà intégré socialement à la communauté. Il n’est pas nécessaire d’en faire des liens primordiaux à votre personnage.
Activités et RP
Afin que l’intrigue puisse progresser de façon satisfaisante, nous suggérons un rp toutes les quinzaine et demandons un minimum d’un RP par mois. Nous organisons un recensement mensuel. Nous n’imposons aucun nombre minimum de mots.
Vous pouvez placer votre personnage dans des situations difficiles (vie solitaire et coupée des communautés, sorties de nuit, etc.). Si votre personnage s’expose à un risque, il se compromet et risque la mort. Pour plus de détails, une annexe sur les mécaniques du jeu sera disponible dans les prochains temps.
La période jouée sera indiquée sur la PA.
HRP et vivre ensemble
Respect : En vous inscrivant, vous acceptez le règlement de forumactif qui prohibe tout propos et comportement à caractère obscène, (pedo)pornographique, haineux, injurieux, discriminant, …
Savoir-être : D’une façon générale, nous préférons faire appel à l'a priori de bienveillance. L’écrit n’exprime ni le ton, ni l'humeur, ni l'émotion et est propice à l’interprétation. Dans la mesure du possible, lisons-nous avec respect afin de prévenir des conflits, éviter les mauvaises interprétations, … Désamorçons, dans la mesure du possible, toute situation vécue comme désagréable ou chargée de tension afin d’éviter l’envenimement des choses.
Tous les sujets et thématiques sont autorisés dans la limite de ce que votre partenaire tolère. Si vous abordez des thèmes / sujets litigieux et / ou illégaux, votre personnage le sera aussi en conséquence. Dans cette dynamique, vous devrez utiliser les balises SPOILER si votre rp peut heurter. Précisez tout ce qui peut être sujet à trigger en début de post, si vous vous posez la question sur l’utilité de le mettre, écrivez-le.
En cas de litige, nous vous demandons de le résoudre en privé dans la mesure du possible, en s’expliquant en vocal si besoin, et entre membres concernés. En cas de conflit insoluble et selon la gravité, il est possible de contacter le staff en tant que partie neutre. Nous n’accepterons aucun lavage de linge sale en public, aucune intervention de parties non concernées par le litige en question, ni de prise à partie. Nous préférons résoudre les différends entre membres posément et loin des autres.
Communication : elle est essentielle et importante. En cas d’absence prolongée, n’oubliez pas de prévenir dans la catégorie indiquée. En cas d’incompréhension, de question, de doutes, de suggestions, d’envies, de problèmes ou de difficultés dont vous souhaiteriez nous faire part, la messagerie privée de Derry est ouverte. N’hésitez pas à en faire usage.
HRP : Nous privilégions une activité sur le forum. Ainsi, les parties flood et HRP sont laissées libres d'usage aux membres pour y ouvrir tous les sujets de jeux ou de discussions souhaités. La chatbox est ouverte pour les échanges plus rapides et directs entre membres. Nous rappelons que le mélange RP/HRP est strictement interdit dans la partie HRP afin de ne pas nourrir de confusion entre le personnage et la personne qui l’incarne.
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Toc ! Toc ! Des bonbons ou un sort ! Un dessin du personnage de ton choix déguisé pour Halloween ? (ou alors quel déguisement choisiraient tes persos si tu n'es pas d'humeur à dessiner ?)
Des bonbons pour tout le monde !!! Ne me faites par traverser le pont du diable !
Et voici ! Pour vous en exclusivité, sur le chemin de la maison de Walter où tout le groupe d'amis se retrouvent pour faire la fête tous ensemble, Loog et Kyphon font le tour des maisons avec Clothilde et Sophie, et Pan fait son premier Halloween avec Lucine très fière de lui d'arriver à demander quelque chose, à s'amuser et pour son costume !
(je rebloguerais ce billet avec la version coloriée pour que ce ne soit plus clair sur qui est qui, je ne voulais pas trop te faire attendre ^^')
Alors, pour les costumes et le déroulé de leur Halloween !
-Loog est déguisé en Bugul-noz, une sorte de croquemitaine breton qui ressemble à un géant afin d'attraper les gens et les mettre dans son chapeau grand comme une roue de charrette, même s'il peut parfois protéger les gens sous son grand manteau blanc. Il a choisit ce costume car il est très grand et que les couleurs lui plaisait. C'est lui qui s'est occupé de cuisinier les différents pains pour la fête d'Halloween, et il adore les pates de fruits, ou les caramel (surtout au beurre salé) pour les bonbons plus classiques. Pour son costume, je me suis basé sur cet habit breton :
Costume de julod conservé au Musée de la Fraise et du Patrimoine à Plougastel-Daoulas.
-Kyphon est déguisé en loup car, il aime beaucoup cet animal (Amandin le surnommait comme ça) mais il ne voulait pas refaire un costume de bête sauvage comme un loup-garou avec une chemise explosée alors, il a opté pour une chemise à volant avec des attributs de loup (oreilles, queue, fourrure sur la poitrine et même si ça ne se voie pas beaucoup, des pattes griffues) pour faire quelque chose de plus élégants et en accord avec le costume de mousquetaire de Clothilde. Il est le responsable de la cuisine du poisson et des légumes à la fête. Il n'est pas très sucre mais, il aime bien les bonbons acidulés et qui pique.
-Pour Pan, il s'est basé sur Edward du film "Edward aux mains d'argent". Dans un monde moderne, je pense qu'il aurait grandi depuis son enfance dans une secte très stricte avant que le groupe soit démantelé et finisse aux services à l'enfance où travaille Loog, où il l'a rencontré et après qu'ils se soient très bien entendu, Loog l'a adopté. Il doit donc apprendre à vivre dans le monde normal, et je pense qu'il se sentait mal d'être autant en décalage avec les autres - surtout que même s'il est arrivé à garder son esprit critique, il était très critiqué par la secte pour être trop créatif et trop curieux de tout - alors, Lucine lui a montré ce film car, même si Edward a une apparence étrange et a grandi isolé des autres, ça ne l'empêche pas d'être quelqu'un de très gentil et créatif. Dans le monde de Fodlan, il aurait aussi un costume avec de longs doigts mais, plus des sluaghs, des revenants avec de très longs doigts palmés qui ressemble à une ombre mouvante rampant pour s'emparer des âmes des morts. Ils ont fait ensemble son costume pour son premier Halloween, fête qu'il aime beaucoup avec ses amis ! Il adore les rouleaux de réglisse qu'il déroule en les mâchonnant, ou les niniches qu'il a trouvé chez Loog vu que c'est un des premiers bonbons qu'il a gouté.
-Lucine s'est déguisé en lamina, des créatures du folklore basque avec des pattes d'animal (non visible ici) qui vivent la nuit et peuvent construire pleins de choses. C'est surement une légende qu'elle a beaucoup entendu pendant son enfance alors, elle voulait refaire un costume inspiré de sa culture (et même dans un monde moderne, elle serait surement originaire de là-bas aussi). Elle a adoré faire son costume avec Pan et s'amuse beaucoup à faire le tour des maisons avec lui pour réclamer des bonbons ! Elle adore les guimauves et les berlingots ! (Pan lui a donné tous les siens et en échange, elle lui donne tous les réglisses qu'elle a récupéré). Pour son costume, je me suis inspiré de cette représentation de lamina (elle aurait pu mettre de la fourrure mais, elle aimait bien faire la robe et a supprimé la coiffe pour raisons évidentes, surtout dans la version moderne où elle serait encore mineure avec Pan) :
"Une lamina, costume de femme d'Ascain au XVIIe siècle [...] (dessin de Jean-Claude Pertuzé)" (source : Wikipédia)
-Clothilde est en mousquetaire ! (avec évidemment le blason de Fraldarius sur sa cape en référence à sa famille !). Ma main au feu, dans un monde moderne, elle a fait découvrir à Pan pas mal d'histoire de cape et d'épée car, elle aime beaucoup cette esthétique et pour le faire rêver un peu, même si elle est plus âgée que lui. A Fodlan, ce serait elle qui aurait le costume le plus différent mais, je pense qu'elle ressemblerait toujours à un épéiste fantôme hantant les routes et attaquant les bandits détroussant les voyageurs afin d'emmener leurs âmes noires en enfers vu qu'elle déteste l'injustice. Elle est plus grande que ses deux parents et elle aide beaucoup pour la décoration ou pour s'occuper des petits (elle a aussi pour mission partagé avec Sybille de ramener Irène sur terre quand elle commence à dire "ouais, Halloween, c'est trop gamin et pas adulte comme fête !!!" [elle est en pleine crise d'ado dans un monde moderne]). Elle est plus bec sucré que Kyphon (elle tient d'Amandin pour ça, tout comme ses cheveux bruns) mais adore les bonbons acidulés, surtout les longues ficelles ! Sinon, elle adore les nounours en guimauve
-Et enfin, la petite Sophie est dans les bras de son papa déguisée en Reine des Neiges ! Même si son costume est différent que dans le film, c'est l'esprit de son costume vu qu'elle voulait absolument un costume bleu alors, Lucine s'est lancé dans un costume comme ça. Elle a également colorié le motif de toile d'araignée sur son sac de bonbon pour que ça ressemble plus à un flocon de neige. Elle a commencé le tour des maisons à pied mais, quand elle a vu de grosses sucettes dans son sac de confiserie, elle n'a pas résisté, l'a ouverte et l'a mise à la bouche toute de suite. Vu que c'est dangereux de marcher avec une sucette à la bouche si elle tombe, Loog l'a prise dans ses bras au cas où, surtout qu'elle a déjà fait une bonne trotte toute seule ! Elle a aussi hâte d'arriver à la maison de Walter car, elle pourra jouer avec tous ses petits-enfants et se coucher un peu plus tard que d'habitude ! Elle aime tous les bonbons mais, les sucettes en sucres ou en guimauve sont ceux qu'elle préfère !
En plus rapide pour tous les autres :
-Walter, c'est lui qui invite tout le monde chez lui avec ses enfants et ses petits-enfants pour faire la fête vu que pour lui, ses amis sont sa famille aussi. Il se déguise en vieux matelots d'un navire fantôme et il se charge d'encadrer tout le monde (quand les petits le lâche deux minutes avec leurs "papi ! On veut une histoire !"). Sa confiserie préférée à lui est le calisson d'Aix et les bonbons ZAN d'Haribo, même si les plus jeunes lui font beaucoup tester des bonbons plus modernes.
-Amaury apporte les boissons et une partie de la nourriture, même si tout le monde est d'accord : pas d'alcool ! Vu que je le voie bien voyager de temps en temps, il ramène aussi des bonbons de son derniers voyages (sauf si c'est des bonbons lyonnais vu qu'ils ne les aiment pas trop). Cette fois, c'était des berlingots, qu'il aime beaucoup. Il est déguisé en vampire pour l'occasion. Il n'y a pas beaucoup de masque aussi à la fête afin qu'il puisse bien lire l'expression et les lèvres des gens.
-Sybille s'est déguisé en dragon musclé ! (elle a joué aux jeux de Tellius ^^) Elle s'est occupée de récupérer les décorations et c'est aussi elle qui fait l'acrobate le plus facilement pour accrocher des décorations un peu partout, que ce soit chez elle ou pour donner un coup de main chez Walter. Elle adore les Boules de Mammouth (surtout qu'elle arrive à les casser) et les Dragibus
-Irène étant en pleine crise, elle râle quand elle vient en disant qu'elle n'est plus une gamine mais, elle a quand même préparé son costume de scientifique fou, et elle montre des réactions chimiques inoffensives mais impressionnantes aux petits (sous bonne surveillance des adultes et elle respecte les protocoles de sécurité à la lettre, évidemment). Elle adore les fraises tagada et les Dragibus elle aussi.
-Gylfe a mixé l'apparence des huldres males et femelles pour son costume : il a une longue queue de renard plus un dos qui semble creux tout en mettant un costume traditionnel suédois avec ses petits et sa femme. Il s'occupe de garder les enfants à l'oeil et sous contrôle, et il a aussi apporté des spécialités suédoises pour faire gouter à tout le monde. Il adore les saltlakrits, des bonbons au gout de réglisse (Pan a adoré malgré le gout très fort).
-Eudoxie s'est déguisé en Ifrit, avec un tissu qui vole facilement sur ses manches pour imiter les flammes. Elle a aussi apporté pleins de bonnes choses à manger grecques et turques (sa famille est originaire des régions frontalières) et elle a aussi surement dû donner un coup de main à Lucine pour tout coudre.
-Rosine s'est déguisé sur le thème des plantes afin de rappeler les ronces des contes de fée et les mauvaises fées. Etant donné qu'elle travaille comme médecin à l'hopital, elle n'a pas eu le temps de préparer quelque chose fait maison en plus de jus d'orange mais, elle s'occupe de veiller à la bonne santé de tous. Elle s'autorise à manger quelques guimauves et du réglisse pour la fête.
-Enfin, Torf et Poppa se sont habillés pour être des opposés : Torf en ange et Poppa en démon ! Ils ont beaucoup aidé Walter a décorer sa maison. Ils sont également ceux qui amusent la galerie pendant le repas ! Leurs bonbons à eux sont les crocodiles avec un dessous qui ressemblent à de la guimauve, ils aiment bien le jeu de texture !
#joyeux halloween !#dame ladyniniane#écriture de curieuse#jeu de questions#dessin de curieuse#des nouvelles de tout le monde de l'époque de la guerre d'indépendance pour Halloween !#C'est rare que je fasse des UA moderne mais pour Halloween ça passe mieux je trouve#alors grande fête générale où toute la famille retrouvée se retrouve !#ça fait une éternité que je n'ai pas vu Edward aux mains d'argents et j'étais en CM1 j'espère ne pas dire n'importe quoi sur le film ^^'#je m'en souviens surtout comme un bon film touchant...#et je trouvais que l'histoire d'Edward aurait pu toucher Pan#mais je peux me tromper#il a beaucoup de film à rattraper mais Lucine et ses nouveaux amis sont là pour l'aider avec enthousiasme !
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12 avril. Le jour où ils ont dit à tout le monde de rester hors de l’eau. Cela a fait la une des journaux pendant des semaines. Ils rejetaient une petite quantité de déchets radioactifs dans l’océan. Les scientifiques ont effectué des centaines de simulations sur la façon dont l'eau serait sûre un jour seulement après le rejet. Quelque chose à propos de la dispersion et des courants. Ce qu’ils n’avaient pas calculé, c’était le nombre d’organismes affamés présents dans l’eau qui se nourriraient des radiations et muteraient.
Sebast se détendait sur sa chaise sur la plage. Il était en vacances et pensait qu’un après-midi de farniente à la plage serait la meilleure façon de profiter de cette belle journée. La plage était moyennement fréquentée, mais c'était un jour d'école, donc c'était surtout des adultes qui se détendaient et profitaient de l'eau. Sebast lisait le quotidien, mais ne pouvait s'empêcher de jeter un coup d'œil à toutes les belles femmes en bikini qu'il avait la chance d'être entouré par cette journée claire et ensoleillée. Il a commencé à se droguer en lisant l’article sur une étrange prolifération d’algues que les scientifiques commençaient tout juste à étudier. Pendant qu'il dormait, l'eau tout au long du rivage a soudainement commencé à briller d'un violet foncé tandis que les algues irradiées commençaient à affluer. Les femmes et les hommes furent rapidement recouverts de fleurs. Alors que les baigneurs quittaient la mer scintillante, deux choses sont devenues évidentes. Premièrement, les algues semblaient glisser et glisser des hommes et des enfants avant de retourner dans l'océan. Deuxièmement, les boules violettes semblaient se rassembler et recouvrir uniquement les femmes, se collant à elles et se liant à leur peau. Au début, ils ont fait de leur mieux pour éliminer les algues indésirables, mais alors que les masses de microfaune violette commençaient à recouvrir complètement les femmes, leur comportement est rapidement passé de la panique au plaisir.
Sebast se réveilla, surpris alors que les cris se transformaient en gémissements autour de lui. Regardant la femme la plus proche de lui, il ne pouvait que la regarder avec fascination alors qu'elle spasmait le sol. Écrasant ses mains sur son corps, elle massa avec force la pâte violette contre sa peau. Lentement, les algues étaient absorbées en elle et les créatures irradiées faisaient gonfler et grandir son corps, ce qui ne faisait qu'alimenter son plaisir.
"Putain, c'est incroyable !" cria-t-elle, se libérant rapidement de ses vêtements inadéquats. Autour de lui, des situations similaires se jouaient. Les femmes ont commencé à grossir à des rythmes variables en fonction de la quantité d’algues avec lesquelles elles avaient été en contact. Certaines femmes s’en sont vite rendu compte et ont couru vers l’océan, ramassant d’énormes poignées de créatures et les faisant mousser sur elles-mêmes. Alors que les femmes sur la plage commençaient à franchir seulement la barre des dix pieds, celles dans la mer doublaient et triplaient rapidement ce chiffre, car leur volume accru donnait aux algues plus d'espace pour se lier.
Sebast a vu une hiérarchie se former rapidement. Les femmes massives dans l’océan étaient désormais suffisamment grandes pour empêcher les femmes beaucoup plus petites de grandir. Cela a amené la femme la plus proche de lui à venir vers lui avec un seau pour enfants. Elle le dominait tout en battant ses longs cils. "Euh, pourrais-tu mettre ça dans l'eau et m'apporter plus de ce truc violet ? Je veux être plus grand et je te promets de te donner une grosse récompense !" Elle serra sa poitrine contre elle tout en tendant ses deux bras pour tendre le seau à Sebast. Il l’a saisi avec impatience et a attendu une opportunité. Alors que l'une des femmes monstrueusement grandes dans l'eau commençait à se disputer les ressources avec une autre, il s'est précipité vers le rivage, ramassant rapidement l'équivalent d'un seau d'algues. L'une des titanesses regardait avec espièglerie Sebast livrer le seau. La femme le jeta avec empressement sur elle-même et le frotta sur sa peau, gagnant rapidement un maigre deux pieds de hauteur. "Je ne rattraperai jamais ces déesses à ce rythme-là. Merci quand même, ma chérie." » Dit-elle en l'embrassant sur la joue.
La plus grande des reines des mers se moqua de la tentative de la mini-géante de prendre de la taille. "C'était pathétique." » se moqua-t-elle. "Regarder et apprendre." La marée a été forcée vers l'extérieur alors que la femme de la taille d'un kaiju s'est abaissée dans la mer, ne laissant que son nez au-dessus de la ligne de flottaison. Soudain, elle ouvrit la bouche et aspira des centaines de gallons d’eau de mer et toutes les algues qui en découlaient. De grandes quantités d'eau violette remplirent ses joues alors qu'elle gagnait encore cent pieds en quelques instants seulement. Elle gémit à travers sa bouche fermée, faisant attention à ne pas perdre le carburant de sa croissance jusqu'à ce qu'il ait tout absorbé en elle. Lorsque sa croissance a finalement ralenti, elle a aspergé d'eau claire tous les spectateurs qui étaient maintenant encore plus petits par elle. "Quelle course!" » grogna-t-elle, sa voix résonnant à des kilomètres contre les minuscules tympans qu'elle traversait. À sa nouvelle taille, elle n’a eu aucun mal à jeter sur la plage les femmes les plus proches de sa taille.
"C'est tout à moi !" Elle rugit, levant les bras et ramassant des kilomètres de violet sur sa peau, qui s'élevait de plus en plus haut au-dessus de l'eau. Elle tâtonna sa poitrine massive et se frotta partout dans une démonstration de pure domination charnelle. Sebast regardait avec admiration les femmes qui étaient encore beaucoup plus grandes que lui se recroqueviller devant cette déesse ascendante. Il se tourna vers celle qu'il avait aidé à grandir et lui attrapa la main. "Sortons d'ici avant qu'elle ne nous écrase tous !" » dit-il en lui montrant un autre seau rempli d'algues. Elle rigola avant de le soulever et de s'enfuir dans un endroit plus sûr.
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L'amour éternel
Marcus Volturi marchait d'un pas décidé vers la tombe de son épouse Didyme, nichée paisiblement dans le jardin ombragé du château de Volterra. La tristesse pesait lourdement sur son cœur immortel, rappelant sans cesse la perte de son amour éternel. Mais ce jour-là, quelque chose d'inattendu l'attendait.
Arrivé près de la tombe, Marcus fut surpris de voir une jeune femme humaine assise à ses côtés, parlant doucement à Didyme comme si elle était encore en vie. Intrigué, il fixa la jeune femme et fut immédiatement captivé par la lueur d'intelligence et de compassion qui brûlait dans ses yeux couleur azur.
Le regard de la jeune femme se posa sur Marcus et il fut hypnotisé par sa beauté simple et innocente. Une chaleur étrange envahit son être, réveillant des émotions longtemps enfouies dans les profondeurs de son cœur de vampire. Il sentit l'appel d'une connexion profonde et mystérieuse avec cette humaine, une âme sœur que le destin avait mise sur son chemin.
La jeune femme se leva lentement, ses yeux plongeant dans les siens avec une intensité troublante. Sans un mot, elle tendit sa main vers lui, l'invitant à la saisir. Marcus ne put résister à cet appel irrésistible et, d'un geste gracieux, il prit sa main dans la sienne, scellant ainsi une union silencieuse mais puissante.
Dans cet instant fugace, le monde autour d'eux semblait disparaître, ne laissant place qu'à la présence de l'autre. Marcus ne vit plus que la jeune femme, son âme sœur, celle qui lui apportait une paix et une félicité qu'il n'avait pas ressenties depuis des siècles.
Dans le jardin ombragé du château de Volterra, un vieux vampire trouva enfin un nouveau commencement, guidé par l'amour et la lumière d'une âme pure et innocente. Avec cette humaine à ses côtés, Marcus Volturi avait enfin trouvé la paix qu'il avait cherchée si désespérément.
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Seconde version (première après celle de l'ouverture)
Rejoignez-nous sur The Fall of a Kingdom qui s'est drapé de bleu pour les événements qui arrive très bientôt ♥
Scénario à découvrir ci-dessous
Nour est née quelques minutes avant Shirat, par un chaude nuit d’été dans la région de Helston. C’est le genre de personne qui se laisse emporter par le courant et qui s’adapte à tout et tout le monde. Ainsi, même si la vie familiale était difficile, Nour évoluait comme un poisson dans l’eau. Bien que jumelles, les soeurs Asghari ne pourraient pas être plus différentes. Elles ont passé leur jeunesse à être constamment comparées, ce qui a parfois insufflé un climat de compétition entre elles et une étrange jalousie malgré l'amour féroce qu'elles se portent.
Consciente du désir de sa sœur jumelle de fuir le bercail dès que possible, c’est Nour qui propose de partir à l’aventure en s’enrôlant à l’Académie des Chevaucheurs. Là-bas, Nour trouve sa place, sa vocation, alors que sa sœur a du mal à s’intégrer. Plus les années passent, plus le fossé se creuse entre Nour et Shirat. Nour tissera un lien avec un Étheria au cours de sa troisième année, et chaque nouvelle présentation aux différentes races d'Étheria est devenue d'une amertume insupportable aux yeux de Shirat qui en est venue à abhorrer le succès de Nour.
C'est sans un mot de félicitations que Shirat disparaît lors de la graduation de Nour. C'était il y a trois ans, et malgré ses lettres à l'Académie des Elementariste où Shirat a trouvé refuge, Nour n'est pas parvenue à rejoindre sa sœur depuis...
Caractère Les deux sœurs sont aux antipodes. Là où Shirat une femme discrète, solitaire, rancunière et colérique, Nour est pétillante, aimable, sociable et nonchalante. C'est une personne qui s'adapte facilement à son environnement et à ses interlocuteurs et qui parvient à se faire aimer de tout le monde. Ambitieuse et déterminée, Nour semble tout réussir avec aisance, mais en réalité, elle vit avec l'univers sur les épaules depuis toujours.
Le FC Golshifteh Faharani comme avatar, parce que j'aime bien sa bouille et qu'elles ont des traits physiques semblables. L'avatar est également négociable, mais je vous demande de vous restreindre à des faceclaims aux origines dans le moyen-orient pour un soucis de cohérence.
Résumé : jeune gradé de l'académie des chevaucheurs, lié à un Etheria (au choix) avec un ancrage (au choix) et une relation complexe avec sa jumelle.
#forum#rpg ressources#forumactif#rpg#rp#forum francophone#forum rpg#forum fantastique#forum fantasy#magie#dragon#etheria#alchimiste#elementariste
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M’accorderais-tu cette danse ?
Fandom : Frieren : Beyond Journey's End
Relationship : Himmel x Frieren
Voici ma participation pour le Fluffy February 2024 pour le prompt : Danse.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : « Je n’ai jamais dansé, dit Frieren. »
Himmel la regarda, surpris.
« Jamais ? »
Elle secoua négativement la tête. Elle se demandait pourquoi il était aussi surpris.
Disclaimer : Frieren appartient à Yamada Kanehito et Abe Tsukasa.
@fluffyfebruary
AO3 / FF.NET
Frieren regarda Stark qui invitait Fern à danser. Habillé de son beau costume et avec cette attitude, il ressemblait à un vrai prince. Fern mit sa main dans la sienne et se leva. Ils se dirigèrent vers le centre de la pièce, se mélangèrent aux autres invités et dansèrent. Tous deux bougèrent avec grâce et personne n’aurait pu croire qu’il y a encore quelques semaines, aucun d’eux ne savait danser.
Frieren ne put s’empêcher de sourire en voyant à quel point Fern était heureuse, même si elle essayait de le cacher. Un souvenir lui revint en mémoire. Cela s’était passé il y a plusieurs décennies, mais pour Frieren, qui n’avait pas la même conception du temps, c’était comme si ça s’était passé la veille.
Frieren et ses compagnons avaient aidé à la reconstruction d’un village qui avait été attaqué par des bandits. Une fête avait été organisée à la place centrale du village pour célébrer la fin de la reconstruction. Tout le monde mangeait, buvait, dansait. Tous s’amusaient.
Frieren se trouvait près de la table où était le buffet. Elle venait de se servir une grosse part de gâteau et s’apprêtait à le déguster lorsqu’elle entendit des pas derrière elle. Elle reconnut immédiatement Himmel. Elle avait la faculté de reconnaître chacun de ses compagnons lorsqu’ils s’approchaient d’elle. En particulier Himmel. Il était celui dont elle se sentait le plus proche. C’est étrange, se disait-elle, c’était la première fois qu’elle s’attachait ainsi à quelqu’un. Elle leva les yeux de son gâteau et se retourna. Himmel lui souriait.
« Tu ne danses pas ? Demanda-t-il.
-Je préfère manger ce gâteau. »
Elle piqua sa fourchette dans le gâteau et mangea un gros morceau. Il était délicieux. Rien qu’à manger cette merveille la mettait de bonne humeur. Son regard se posa sur les différents groupes de danseurs. Tous avaient l’air de s’amuser.
« Je n’ai jamais dansé, dit-elle. »
Himmel la regarda, surpris.
« Jamais ? »
Frieren secoua négativement la tête. Elle se demandait pourquoi il était aussi surpris.
« Je n’en ai jamais vu l’intérêt.
-S’amuser, passer un bon moment, partager un instant convivial avec ses amis. Quand tu les vois danser, tu n’as pas envie d’essayer ? »
Frieren haussa les épaules. Elle n’y avait jamais pensé et elle ne comprenait pas pourquoi cela avait l’air si important pour lui. Elle ne comprendrait jamais les humains. Himmel se plaça devant elle et lui tendit la main.
« M’accorderais-tu cette danse ? »
Frieren écarquilla les yeux, ne s’attendant pas à ce genre de demande. Elle observa sa main quelques secondes et finit par accepter. Elle voyait à quel point il voulait lui faire découvrir les joies de la danse et elle ne voulait pas lui faire de la peine en refusant. Elle posa son assiette sur la table du buffet et se laissa conduire par Himmel jusqu’au milieu de la piste improvisée par les habitants.
Ils dansèrent sur une musique rapide, puis plus lente. Frieren ne savait pas combien de danse elle avait dansé, mais elle devait avouer qu’Himmel avait raison. Elle s’amusait grâce à lui et elle s’amusa encore plus lorsque Heiter et Eisen les rejoignirent. C’était un beau moment que Frieren garderait en mémoire toute se longue vie. Comme tous les moments passés avec Himmel. Elle sortit de ses souvenirs lorsque Sein, qui était assis en face d’elle, lui parla.
« Une petite valse ? Demanda-t-il.
-J’ai un gâteau à manger. »
Elle ne détourna pas le regard de son assiette. Elle porta un morceau de gâteau jusqu’à ses lèvres et se régala. Sein n’insista pas et regarda Fern et Stark qui étaient toujours en train de danser.
La seule fois que Frieren avait dansé dans sa vie, c’était avec Himmel. Et elle n’avait aucune envie de danser avec quelqu’un d’autre.
Fin
#fluffyfebruary#frieren: beyond journey's end#sousou no frieren#frieren at the funeral#himmel x frieren#himfri#frieren#himmel#my writing
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[It's nothing less, nothing less between the worldly and the one self. All this breathing and the truth that's in your last breath. Don't it make you want to cry?]
VII - Daphnis
Paddington a pris une profonde inspiration puis m'a lu la traduction.
"Plongez dans les sept mers."
J'étais prêt, mais où était la mer ?
Instinctivement, je savais que cette phrase devait faire allusion aux sept chansons. Les sept mers du son. Depuis le tout début, j'avais le sentiment que quelque chose s'y cachait. Je devais juste plonger et le trouver, quoi que ce soit. Le problème était que j'ai déjà connu ces chansons par cœur. Il n'y avait rien d'autre à découvrir. Mais peut-être que j'ai juste besoin de regarder de plus près. Il existe toujours plus de détails. Toujours un autre monde dans le monde. Les réponses étaient là quelque part.
L'enquête qui a suivi a été compliquée et ardue. J'ai passé ces dix-sept minutes au peigne fin, à la recherche du lapin blanc. Chaque son, chaque bruit de fond, chaque grincement du piano devenait une voix. Aucun détail trop petit, aucune intuition trop farfelue. Je suis allé de plus en plus profondément dans une fractale sans fin. J'ai disparu dans la mer et j'ai perdu de vue ce que je cherchais. J'ai pris chaque murmure et l'ai transformé en un mot de passe. Rien n'a fonctionné.
J'ai également perdu le contact avec le monde extérieur et je n'ai pas parlé avec mes amis pendant plusieurs semaines. Un soir, Christina est passée sans me prévenir pour voir comment j'allais. J'ai rangé en hâte et je l'ai laissée entrer. J'avais définitivement une sale tête, mais elle ne l'a pas commenté. On a parlé un moment et quand il y a eu une pause dans la conversation, elle m'a demandé ce que j'écoutais. Ça jouait en boucle depuis si longtemps que je ne remarquais même plus la musique. J'ai répondu que c'était l'album qu'elle m'avait aidé à trouver au café la dernière fois qu'on s'était rencontrés.
On s'est assis et on a écouté l'album entier en silence, puis j'ai finalement arrêté la boucle.
Christina: C'est étrange.
Moi: Je suis d'accord. Ces chansons sont très courtes et sans aucune structure. Pas vraiment bien écrit. Une seule mélodie presque enfantine et puis c'est fini.
Christina: Non, non, je suis habituée aux musiques expérimentales. En fait, c'est comme la bande originale d'un jeu vidéo. Mais, il y a des choix étranges faits ici. Par exemple, cette chanson que l'on a juste écouté…
Moi: Hořčický.
Christina: Quoi ?
Moi: Ç'est le titre. Ça ne fait rien.
Christina: De plus en plus bizarre. En tout cas, c'est une chanson très calme, mais tout à coup un instrument bruyant joue quatre notes et rien d'autre. Je pense que j'ai entendu ce bruit dans plusieurs chansons. C'est bizarre, non ?
J'ai recommencé à jouer l'album. Je connaissais exactement le son dont elle parlait. Ça apparait une fois dans chaque chanson. Je ne pouvais pas croire que je n'avais pas vu la vue d'ensemble plus tôt, mais j'avais simplement été trop près pour la voir. Christina m'avait donné la clé, maintenant je devais franchir la porte.
Je me suis retrouvé avec ce qui suit écrit dans mon cahier:
Adrogué (−·· = D)
Terra Incognita (·− = A)
Unending Night (·−−· = P)
Hořčický (···· = H)
Who Is The Dreamer? (−· = N)
Adelma (·· = I)
El Barco Velero (··· = S)
En les mettant ensemble, j'ai obtenu DAPHNIS. Un nom si familier. J'ai feuilleté mon carnet et sur la page écrite lors de la visite au Louvre pour voir le tableau Et in Arcadia Ego, j'ai trouvé: "Les bergers sont réunis autour d'une pierre tombale. L'un des bergers pointe le nom gravé sur la pierre tombale : Daphnis."
Je m'en suis voulu de ne pas avoir essayé ce nom plus tôt, mais avec tant de possibilités à parcourir, j'en avais raté quelques-uns évidents. J'essayais de comprendre comment tout était lié. Les cartes de tarot, Nicolas Poussin, le manuscrit de Voynich… tout semblait être un monde à part et impossible à relier. Comment Leonora était-elle connectée à Daphnis? Et qui est la rêveuse? À ce moment, il m'est venu à l'esprit que les réponses à certaines de ces questions pourraient se trouver dans les titres des chansons. Mais d'abord…
J'ai rechargé le site web. Rien n'avait changé. Les pages du manuscrit de Voynich étaient encore légèrement en arrière-plan, tout comme la case pour le mot de passe. J'ai soigneusement tapé Daphnis et cliqué sur la button. La case n'a pas tremblé cette fois-ci. Au lieu de ça, le site a disparu. Après quelques secondes, deux triangles sont apparus; un blanc et un noir. L'image de fond est également passée de Voynich à un dessin d'une mystérieuse créature ressemblant à un cheval avec trois têtes.
Les triangles ont disparu et ont été remplacés par du texte qui s'est estompé ligne par ligne. Je ne pouvais pas le comprendre, encore une fois c'était écrit dans l'alphabet Voynich. Il était tard, mais j'ai écrit un message à Paddington et lui ai demandé s'il pouvait m'envoyer la cartographie qu'il avait utilisé pour le dernier message. Il s'est avéré que Paddington était toujours éveillé. J'ai reçu presque aussitôt cette image:
Avec cette aide, j'ai traduit les mots à l'écran.
S'est-on réunis au-delà des ruines circulaires ? Quelque chose n'allait pas On s'est vu dans le miroir Mais on n'était pas dans la même pièce Les intruses Les témoins La rêveuse Je réside dans un endroit où le temps n'existe pas Détenant les secrets de Dieu
Il y avait un symbole; un carré avec un cercle au milieu, sous le texte. Je l'ai cliqué. Le symbole a tourné et est devenu un diamant, avant de disparaître. La plupart des lettres du texte se sont estompées, ne laissant que celles qui forment la phrase Trouve moi.
C'est alors que j'ai remarqué que l'image de fond avait encore changé. Cette fois, c'était une carte d'un monde.
#s10e11 sweet 'n savory#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#terra incognita
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Un oeil fermé
Quand Mattéo entra dans la bibliothèque, je me demandais s’il déconnait. Je regardais son air ahuri. Il paraissait complètement perdu comme s’il était choqué.
Il y a une dame dans la cours, dit-il.
Et ? réagis-je.
C’était normal de voir des gens se promener dans la cours. Le campus n’était pas fermé et il n’était que 20h. De plus, en hiver, la nuit tombe toujours tôt. Mattéo m’observait encore avec un regard perdu. Il ne savait pas comment expliquer. Il cherchait les bons mots. Certainement pour ne pas nous choquer ou, pour qu’on interagisse au plus vite.
Elle a un œil qui pisse le sang et l’autre est fermé. Elle marche dans la cours. Je crois qu’elle a besoin d’aide.
Aussitôt, Sophie, ma collègue se précipita vers la porte d’entrée. Elle regarda à gauche puis à droite. Mais elle ne remarqua pas cette étrange femme. Dès lors, elle rentra en fronçant les sourcils.
Es-tu certain d’avoir bien vu ? questionna-t-elle.
Le jeune homme soupira. Il répondit qu’effectivement, il s’était surement trompé. Toutefois, son visage montrait une certaine inquiétude. Il retourna à sa place mais eut du mal à se remettre à étudier. Les autres étudiants ne s’intéressèrent pas à lui. Ils lisaient, prenaient des notes…Bref, ils préparaient leur examen partiel.
Je restais derrière mon bureau et enregistrais les livres rendus. Puis je les rangeais dans des casiers en fonction de leur classification. En même temps, je m’amusais à connaitre quelle catégorie avait le plus de succès dans la journée. Je me souviens que c’était l’histoire de l’art. Curieux, car il n’y avait pas de section histoire de l’art dans l’université.
Tout-à-coup, un cri retentit dans la salle. Je courus voir de quoi il s’agissait. J’entendais des ‘chuts’ des étudiants les plus proches de la porte. Seulement, tout le monde, c’est-à-dire, la vingtaine d’élèves restèrent muets en découvrant la femme dressée derrière la baie vitrée.
Elle portait un chignon. Sa taille longiligne et tordu déformait son corps. On aurait cru un mannequin fabriqué avec un grand cintre. Elle portait un bouquet de fleurs. Mais surtout, le plus horrible : du sang coulait de son œil gauche, tandis que le droit restait fermé. Le sang se mêlait à sa robe noire, son décolleté brunissait atrocement. Elle ne semblait pas avoir mal. Peut-être était–elle juste droguée ? Pendant que les étudiants la regardaient avec inquiétude, Sophie retourna vers la porte après m’avoir demandé d’aller chercher la trousse à pharmacie, et d’appeler des secours.
Je courus récupérer une boite contenant le minimum médical lorsque j’entendis hurler :
Elle n’a pas d’œil !
En effet, la jeune femme venait d’ouvrir sa paupière droite, dévoilant un trou béant. Les jeunes se sentirent mal, quelques filles hurlèrent. Et soudain, un énorme fracas provint en même temps qu’un hurlement glacial. J’entendais les bruits de verre rebondir sur le carrelage de la grande salle. Je restais dans la pièce utilisée comme salle de repos à me demander quoi faire.
La porte demeurait entre-ouverte. Cependant, je ne pouvais rien voir de ce qui se passait. J’entendais simplement quelques pas résonner dans la bibliothèque. Mais ce qui me choqua fut le silence long, pénible, angoissant. Un silence anormal car ils étaient encore nombreux à étudier dans cette salle. J’avais soudainement froid. Et plus je tendis l’oreille, plus j’entendis une voix douce, une voix de femme triste :
Et un…et deux.
Elle se tut tout en claquant ses talons sur le carrelage, puis elle recommença :
Et un…et deux.
Personne ne réagissait, personne ne parlait. Je n’osais pas signaler ma présence. Il y avait quelque-chose d’horrible dans sa façon de marcher. De même, il y avait de la terreur dans sa façon de parler et de toujours répéter :
Et un…et deux…Et un…et deux…Et un… et deux.
Sans faire de bruit, j’approchai de la porte. Je voulais voir. Je voulais comprendre. Et je l’ai vue. La dame marchait entre les étudiants. Sa figure rayonnait de grâce malgré son atroce blessure à l’œil. Elle gardait toujours le droit fermé. Cependant elle savait où elle avançait, évitant de marcher sur les corps étendus.
Je regardais les étudiants. Ils ne bougeaient plus. Ils ne remuaient pas. Je n’arrivais pas à voir s’ils respiraient, si leur poitrine gonflaient et dégonflaient. La dame se positionna devant une jeune fille. Elle sortit une des fleurs de son bouquet avant de l’enfoncer dans l’œil gauche.
Et un…
Puis, elle se pencha, et à l’aide de ses doigts longs et pointus, elle arracha le second œil en disant :
Et deux…
Elle marcha vers une nouvelle victime. Et elle recommença son manège :
Et un…et deux.
Je ne pouvais rester. Cette chose à l’apparence humaine avait réussi à tuer les étudiants d’un seul cri terrifiant. Je ne me voyais pas intervenir pour la combattre. Je fermais la porte le plus doucement possible afin de l’empêcher de grincer. Malheureusement, il n’y avait pas de fenêtre. Alors, je me cachais bêtement sous la table dans le noir complet. C’était le seul endroit possible. J’espérais qu’elle n’entrerait pas, qu’elle ne remarquerait pas ma présence. Et toujours cette douce voix pourtant horrible :
Et un…et deux…et un…et deux…
Plus j’écoutais, plus je réalisais qu’elle approchait. Je sentais mon cœur battre à cent à l’heure. Je sentais sa présence derrière la porte. Hélas, je ne voyais rien, si ce n’est une silhouette sous la porte, à cause de la lumière du hall. La poignée bougea…la porte s’ouvrit dans un silence absolu. Une lumière apparut rapidement cachée par une longue forme noire. Je me sentais paralysé par sa présence dans la pièce.
Le spectre marcha en claquant ses talons. Il s’arrêta brusquement devant la table. Je restais assis, les jambes recroquevillées pour protéger mon visage. Je ne voulais pas lever la tête. Je fermais les yeux, je retenais ma respiration et attendis. Mon sang se glaçait soudainement. Elle demeurait immobile telle une statue de glace. Puis elle sortit en fermant la porte.
Je restais toute la nuit, sans dormir dans le noir complet, et dans cette position fœtale. J’avais peur de l’entendre revenir ou de la revoir. J’avais peur qu’elle me crève les yeux. Le silence dura jusqu’au matin.
Il y eut d’abord des cris. Puis, il y eut des sirènes. Il y eut des voix, de nombreuses voix. Et la porte s’ouvrit, la lumière s’alluma. Un homme vêtu d’un uniforme de policier me regarda avant de m’adresser la parole. Je n’ai pas répondu à sa question. Je suis resté muet, le visage blême, les yeux remplis de fatigue et de peur. Avec un de ses collègues, il m’aidèrent à me relever. Puis, des pompiers m’ont assisté et installé sur un brancard
J’ai juste eu le temps de voir, les yeux posés sur la table. Tous les yeux arrachés me regardaient, ils me dévisageaient comme s’ils cherchaient à me culpabiliser d’être le seul survivant. Et lorsque je sortis de la bibliothèque j’entendis un policier dire à son collègue :
Il est bon pour l’hôpital psychiatrique. Mais comment et pourquoi a-t-il fait tout ce carnage ?
J'ai mis longtemps avant de fermer l'oeil et d'arrêter de répéter: 'et un...et deux'.
Alex@r60 – août 2023
Histoire très légèrement inspirée d’une légende urbaine coréenne appelé : one two, one two.
Artwork par Josephine Cardin
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Automne 1921 - Champs-les-Sims
6/10
Il y a une seule chose dont je sois certaine. C'est que ce qui s'est passé à détruit quelque chose chez tous ceux qui vivaient dans cette maison. Les seules exceptions sont Rose et Juliette, qui étaient très jeunes. Madame Eugénie est naturellement sujette à des crises de larmes quand le nom de Lucrèce et évoqué, Adelphe se roidit puis change de sujet, et Constantin retrouve alors les manières d'un jeune garçon. Quand il n'évite pas le sujet, comme je l'avais mentionné, il tient un discours étrange où il m'assure que sa mère reviendra, bien que trente ans se soient écoulés depuis sa disparition. J'ai peine à l'écrire, mais sa douce maman est sans doute morte depuis longtemps, d'autant plus que la dernière fois qu'il l'a vue, elle était gravement malade. La dernière fois que j'ai tenté d'aborder le sujet, il m'a fixé avec de grands yeux luisants et suppliants, et j'ai eu un aperçu du petit Constantin de treize ans à qui on a sans doute tenté d'expliquer qu'il ne reverrait plus jamais sa maman. C'était un spectacle à vous fendre le coeur.
Transcription :
Albertine « Constantin ? »
Constantin « Oui ? »
Albertine « Pourquoi sommes-nous allongés sur le tapis plutôt que sur le lit ? »
Constantin « Cela me rappelle les nuits à la belle étoile que nous avons faites à Assouan. Toi et moi, allongés sur le sable. Nous venions juste de nous marier. Le tapis me rappelle un peu la texture du sable. »
Albertine « A moi aussi. C’était il y a si longtemps. Il n’y avait que toi et moi à cette époque. »
Constantin « C’est incorrect. Adelphe et Grand-Mère étaient avec nous. »
Albertine « Oui, mais nous étions de jeunes mariés. Nous n’avions pas d’enfants et il semblait que le monde nous appartenait. »
Constantin « C’est vrai. Je ne regrette pas nos enfants, mais j’aimais bien être l’unique objet de ton amour. Mais il est aussi vrai qu’une mère se doit d’aimer inconditionnellement ses enfants, bien plus que son époux. C’est le cas de ma mère. »
Albertine « Tu veux bien me parler un peu d’elle ? »
Constantin « Elle est grande et jolie. Rose lui ressemble énormément, même si elle les cheveux de notre père. Elle n’était pas amoureuse de mon père, c’était un mariage de raison. Mais lui était amoureux d’elle. Elle dit souvent que Rose, Juliette et moi, nous sommes les personnes les plus importantes de sa vie. »
Albertine « Elle m’a l’air d’être une femme adorable. »
Constantin « Le jour où je te la présenterai, je suis sûre qu’elle sera heureuse que je t’ai choisi. Elle valorise toujours mes choix, et elle me fait confiance. »
Albertine « Constantin... »
Constantin « Tu penses comme Adelphe, je sais. Mais ma mère n’est pas du genre à nous abandonner, elle reviendra quand elle le pourra. »
Albertine « Il faut que... »
Constantin « Non, je ne veux plus en parler. Prends moi juste bien fort dans tes bras. »
Albertine « Oui, je suis là... »
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