#Soutien scolaire
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Netprof est une association à but non lucratif dont l’objectif est de favoriser le partage de connaissances. La chaîne youtube de l’association propose ainsi une base de cours mis à disposition sous licence libre : CC BY NC ND et portant sur la philosophie, les mathématiques, l’informatique… (notions abordées au collège et au lycée).
Bibliothèque des Côtes d'Armor
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Cours de maths en ligne pour élèves de Seconde
Au premier abord, les maths de Seconde peuvent faire peur : géométrie, fonctions, statistiques et probabilités, algorithmique et programmation, vocabulaire ensembliste … C’est facile de s’y perdre ! Pourtant, de bonnes méthodes de travail et un accompagnement personnalisé permettent de décrocher d’excellentes notes. Tu es en Seconde et tu as besoin de cours de maths ?
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Quand apprendre rime avec réussir
Votre ado peine à accorder les participes passés? Il aime le rap? Cette vidéo le soutiendra en rendant explicite le raisonnement à faire pour maîtriser ces fameuses règles...
youtube
À écouter plusieurs fois pour une meilleure rétention...
Bonne écoute!
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Cesu (chèque emploi service)
Je suis enseignante en soutien scolaire et en FLE et j'aide aussi les parents ou les proches francophones et allophones de mes élèves à effectuer leurs démarches administratives.
Site internet : https://www.cesu.urssaf.fr/info/accueil.html (Cesu est un service de l’Urssaf). Extrait du site : “Le Cesu est une offre simplifiée pour déclarer facilement la rémunération de votre salarié à domicile pour des activités de service à la personne. Le Cesu concerne tous les particuliers à différents moments de leur vie, pour améliorer le quotidien, pour la prise en charge de…
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Les 5 accords toltèques à la portée des enfants
Ils sont surtout connus des férus de communication non-violente mais méritent d’être propagés bien plus largement. Les accords toltèques sont des accords de bienveillance que l’on passe envers soi-même. Ils vont permettre aux enfants de prendre leur place dans le monde et s’épanouir sereinement. Découvrez-les !
À l’origine des cinq accords toltèques, on trouve l’auteur mexicain Miguel Ruiz. Né dans la campagne mexicaine, il est le fils de parents guérisseurs et praticiens des traditions toltèques. Il suit ensuite des études de médecine et pratique quelques années en tant que neurochirurgien avant de frôler la mort. Ceci va transformer sa vision de la vie et l’amener à écrire sur ses découvertes.
Sorti en 1997, son livre ‘The Four Agreements’ (trad. ‘Les quatre accords toltèques’) a fait un carton sur le continent américain (six millions de copies vendues) après avoir suscité l’intérêt d’Oprah Winfrey. En francophonie, son succès quoique plus raisonnable reste indéniable et l’écrit reste d’actualité plus de 25 ans après sa publication.
Qu’est-ce qui explique le succès des quatre accords toltèques ? Le livre réussit à présenter de façon simple et concrète des principes de vie qui peuvent révolutionner notre rapport au monde. On aime aussi la vision nuancée de l’auteur, à la fois scientifique/cartésienne et philosophique/spirituelle. Le tout fait de cet ouvrage une lecture aisée, agréable et convaincante. Ruiz nous livre en mots clairs des idées évidentes et importantes, auxquelles on porte pourtant trop peu d’attention.
Pourquoi cinq accords dans le titre de cet article ? Car Miguel Ruiz a publié un second livre : ‘Le Cinquième Accord Toltèque’.
Pourquoi toltèques ? Car ce peuple ancien issu d’Amérique du Sud était notamment réputé pour sa grande spiritualité. Ruiz est imprégné de cette culture.
Quels sont ces cinq accords toltèques ?
Que votre parole soit impeccable.
N’en faites pas une affaire personnelle.
Ne faites pas de suppositions.
Faites toujours de votre mieux.
Soyez sceptique mais apprenez à écouter.
Les accords toltèques n’ont pas spécialement été conçus pour les enfants et ados mais sont extrêmement pertinents pour leur vie quotidienne. Dans le prochain article, nous vous expliquerons plus en détail pourquoi et comment intégrer ces principes dans l’éducation de vos enfants.
Rendez-vous le mois prochain !
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Quelques trucs bien. Octobre 2024
Ces “Quelques trucs bien” s'inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, ou des "Notes de chevet" de Seï Shonagon.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d'optimisme.
Aller au musée des femmes artistes avec mon amie Béa. Profiter du soleil d’automne en terrasse et prendre soin de notre amitié
Avoir la visite d’une bergeronnette printanière
Jouer à cache-cache avec mon petit Mateo. Rire ensemble
M’inscrire sur un groupe de rencontres
Être honorée d’être sélectionnée sur la liste des jurés titulaires pour l’année prochaine
Jouer aux cartes avec mon fils. Gagner à être perdante
Prévoir un week-end d’escapade chez mon amie Monique
Me rappeler que ma sœur et moi avions souhaité élever et faire grandir nos enfants ensemble. Suppléer son absence quand elle est en vacances, c’est à dire faire le taxi pour mes nièces
Me faire draguer par un charmant sportif de plus de 10 ans de moins que moi lors du rdv pour test d’effort en cardiologie. Remercier en moi-même ma fille de m’avoir prêté un legging. Épreuve réussie à 100%
M’essayer au caviardage en poésie. Tenter de relancer la créativité
Chanter l’hymne à l’amour dans ma voiture... et pleurer
Faire la sieste pour récupérer le manque de sommeil
Partager une pizza duo avec mon collègue de travail
Réfléchir encore et en équipe à une bonne pratique professionnelle. Entre intuition et philosophie
Avaler des kilomètres pour essayer de laisser derrière moi le quotidien. Faire une halte chez mon amie Lauriane
Recevoir un cadeau de ma nièce de retour de son voyage scolaire à Venise
Profiter de l’alerte météo pour laisser libre cours à la créativité
Avoir une pensée émue pour mon ami Vincent qui manque toujours, même après de 14 ans de deuil
Féliciter Mateo qui s’enhardit à se lâcher pour avancer debout vers un autre appui
Tenir la petite main de Mateo pour l’accompagner dans ses premiers pas debout. Verbaliser pour lui que son regard sur le monde est désormais différent
Porter du jaune quand j’ai besoin de soleil
Participer à une réunion d’équipe de scolarisation. Sentir que je suis un vrai soutien pour ma collègue, la maîtresse et la maman
Avoir la surprise d’un arc en ciel après l’alerte météo pour pluies et inondations
Aller au cinéma pour voir un film érotique. Regretter l’absence de désir
Saluer le retour du berger et de son troupeau sur le terrain. L’automne est lui aussi de retour
Sentir venir le fou rire en entendant maman évoquer l’idée d’héberger tatie Lulu, 88 ans pour ne pas qu’elle soit seule
Aller au Festival du livre où ma nièce tient le stand de l’atelier d’écriture de son lycée. Me faire dédicacer le bouquin par une troupe d’ados. Savoir que la relève est assurée
Lire Mona Chollet et me sentir « sorcière » moi aussi
Rencontrer un jeune adulte venu donner de ses nouvelles à l’équipe qui l’a accompagné. L’entendre raconter son parcours avec gratitude et maturité puis dire que son handicap (TDAH) est aujourd’hui une force. Comprendre ce ressenti et avoir de l’espoir pour les enfants que j’accompagne aujourd’hui
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Je suis un peu démunie par rapport à l'un de mes patients et surtout par rapport à ses parents, ou comment devenir maltraitant en essayant de "bien faire".
Ado, syndrome autistique et une notion bien particulière de ce qu'est "l'abstrait" bien sûr. Donc le calcul littéral en maths est presque impossible parce qu'il a du mal avec le fait qu'on fasse des opérations sur des lettres, qu'on puisse y mettre des exposants. En chimie il galère aussi parce qu'on utilise des symboles. La physique et l'utilisation de formules, pareil, il galère. Les autres matières sont assez bien intégrées mais comme il a ce truc un peu bizarre dans son attitude aux autres, il subit du harcèlement à l'école. Les profs sont au courant du diagnostic et c'est important pour la tolérance et la protection à son égard, les harceleurs sont sanctionnés, l'école gère comme elle peut mais H. a aussi dû frapper pour qu'on le laisse tranquille.
Il a 15 ans, l'âge où il pourrait choisir une voie sans les maths, aller vers ce qu'il souhaite "du travail dans un bureau tout seul". Il a des projets, il veut écrire, raconter et il est capable de faire pas mal de tâches répétitives, encoder des informations,etc. C'est un jeune homme capable et motivé.
Mais ses parents sont dans le déni. Ils multiplient les prises en charge pour que ce gamin rentre dans les cases. Ils délèguent en se disant "on a fait tout ce qu'il fallait et il n'y arrive pas" et ils lui font passer le message qu'il est nul en tout, bon à rien malgré "tout ce qu'on fait pour toi"
Alors là pendant les vacances, il me voit 2h par semaine pour de la méthodologie et des maths. Et il voit une absl de soutien scolaire 3h par semaine pour de la chimie et de la physique et il y a également une dame qui va chez eux 2h par semaine pour un mix de tout. Ça fait déjà 7h.
Ensuite, il a psy, 1h par semaine. Et il change de psy régulièrement parce que les psys comprennent vite que le problème ne vient pas de lui mais des parents, et les changements ne vont pas dans leur sens. Il se retrouve à raconter sa vie encore et encore à des psys différents.
Comme si ce n'était pas assez, il voit une personne 1h par semaine également pour avoir une belle écriture.
Ça fait 9h de suivi pour faire entrer un ado dans une case. Il est déjà en difficulté identitaire par le simple fait d'être ado et ses parents lui expriment de toutes les façons possibles qu'il n'est pas celui qu'ils veulent qu'il soit.
Lui il veut écrire, il ne veut pas des maths. Alors en secret on bosse l'implicite du récit, les étapes d'une fiction, la polysémie, les récits "à la manière de".
Sa mère entend ce que je dis, parce que bien sûr j'ai dit ce que j'en pensais, j'ai dit que c'était trop, que ça l'épuisait, que c'était nocif pour lui et que s'ils veulent le voir épanoui, il suffit de supprimer les maths de son emploi du temps et le laisser écrire , j'ai utilisé des mots durs pour des parents pour qu'ils sortent de leur déni. Mais rien n'y fait, ça sort aussi vite que c'est rentré et rien n'est fait des informations.
Aujourd'hui il m'annonce que le nouveau truc de son père c'est "il est mauvais à l'école, il doit faire l'armée". Le père est bizarre, malsain et toxique. Souvent absent et en conflit permanent avec son entourage. On ne sait pas ce qu'il se passe derrière les portes mais je me doute que la pression que mon patient subit vient en grande partie de son père. Je sais aussi que si je mets trop les pieds dans le plat, les parents cesseront de me consulter et la confiance est installée entre lui et moi, je n'ai pas envie de le forcer à s'habituer à une nouvelle personne, ça a déjà été très long pour construire cette confiance.
Je vois de l'acharnement, qui à ce niveau est une forme de maltraitance, je vois un ado qui ne parvient pas à être épanoui parce que les personnes qui devraient le soutenir ne le font pas. Et je suis démunie par rapport à tout ça parce que mon champ d'action n'est pas si large que je le voudrais.
C'est encore une fois une remise en question de mon rôle de praticienne et de la compréhension à avoir à l'égard des parents. Je sais que mon rôle est de protéger mon patient mais à partir de quel moment peut-on dire fuck au putain de déni des parents et leur enfoncer dans le crâne que ça ne sert à rien de s'acharner, leur gamin ne rentrera pas dans les cases. Où sont les limites de mon métier...
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La dépression chez les étudiants : Un mal silencieux qui gangrène les campus camerounais
Derrière l'image vibrante et dynamique de la vie estudiantine au Cameroun se cache une réalité sombre et souvent ignorée : la dépression. Ce trouble mental, qui touche de plus en plus d'étudiants, impacte négativement leur bien-être et leur performance académique.
Facteurs de risque
Les facteurs favorisant la dépression chez les étudiants camerounais sont multiples et complexes. Parmi les plus importants, on peut citer :
Le stress académique: La pression liée aux examens, aux résultats et à l'insertion professionnelle est une source majeure de stress pour les étudiants.
Les difficultés financières: Le manque de ressources financières peut engendrer des soucis quotidiens et un sentiment d'insécurité.
L'isolement social: L'éloignement de la famille et des amis, l'adaptation à un nouvel environnement et la difficulté à se faire de nouveaux amis peuvent contribuer à un sentiment de solitude.
Le manque de soutien: L'absence d'un système de soutien adéquat, que ce soit de la part de la famille, des amis ou des institutions universitaires, peut aggraver les symptômes de la dépression.
Symptômes et manifestations
La dépression ne se manifeste pas toujours de manière flagrante. Il est important de connaître les symptômes les plus courants afin de pouvoir identifier les étudiants en souffrance et leur proposer une aide adéquate. Parmi ces symptômes, on peut citer :
Tristesse persistante
Perte de motivation et d'intérêt pour les activités habituellement appréciées
Troubles du sommeil et de l'appétit
Difficultés de concentration et de mémoire
Sentiment de culpabilité et d'inutilité
Pensées suicidaires
Conséquences et impact
La dépression chez les étudiants peut avoir des conséquences graves sur leur vie personnelle, académique et professionnelle. Elle peut les conduire à :
Abandonner leurs études
Avoir des résultats scolaires médiocres
Se replier sur eux-mêmes et s'isoler socialement
Développer des comportements à risque
Attenter à leur vie
Lutter contre la dépression : Un enjeu collectif
La lutte contre la dépression chez les étudiants nécessite une mobilisation collective. Voici quelques pistes d'action :
Mettre en place des programmes de sensibilisation et de formation pour informer les étudiants sur la dépression et ses symptômes.
Créer des cellules d'écoute et de soutien psychologique accessibles et confidentielles sur les campus.
Former le personnel universitaire à la détection des signes de dépression et à l'orientation des étudiants en souffrance.
Encourager l'entraide et la solidarité entre étudiants.
Améliorer les conditions de vie et d'études des étudiants.
Conclusion
La dépression est un problème de santé publique qui touche de plein fouet les étudiants camerounais. Il est crucial de briser le silence et de mettre en place des mesures concrètes pour soutenir les étudiants en souffrance et leur permettre de s'épanouir pleinement.
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Les mathématiques expliquées par Yvan Monka, c’est le top !! Avec plus de 1500 vidéos (de 5 à 15mn), ce professeur agrégé dans un lycée de la région de Strasbourg décortique le programme officiel de la 6ème à la Terminale (et les vidéos sont classées par niveau !) Des pourcentages aux nombres relatifs en passant par les probabilités, les divisions, les fonctions et autres notions de géométrie, les maths deviennent un jeu d’enfant pour les élèves et aussi leurs parents ! La chaîne YouTube d’Yvan Monka ce sont aussi des conseils pour progresser, s’organiser, bien utiliser sa calculatrice, gérer son stress, préparer un examen ou encore s’orienter après la Terminale.
Enfin Yvan Monka propose sur son site Maths-et-tiques des cours à télécharger, des exercices et plein de ressources ludiques et pratiques liées au mathématiques.
Apprendre les mathématiques devient un vrai plaisir avec ce professeur en ligne pas comme les autres. A adopter sans hésiter, vos enfants vont tout comprendre…et vous aussi !
Bibliothèque des Côtes d'Armor BCA
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Affaire René Chiche: un dangereux précédent pour la liberté d’expression des professeurs.
Communiqué du forum Ecole & Nation.
Dimanche 30 avril, René Chiche, professeur agrégé hors-classe de philosophie, a rendu public le courrier qui lui signifie son exclusion temporaire de l’Education Nationale. Alors qu’il devait retrouver ce jour ses élèves, il restera chez lui, sans aucun traitement, pour un motif pour le moins inquiétant.
M. Chiche, porte parole d’Action & Démocratie*, est en effet sanctionné uniquement pour ses propos tenus en sa qualité de responsable syndical dans les médias et sur les réseaux sociaux.
Cette décision est d’une exceptionnelle gravité car l’institution scolaire exclut 3 mois un professeur, non pas pour une faute professionnelle commise devant ses élèves, mais pour des opinions exprimées sur son compte twitter ou lors d’interviews sur des chaines de radio et de télévision.
Le conseil de discipline, dont M. Chiche a publié un extrait de l’avis, considère qu’il « a mis en avant sa qualité de professeur dans ses prises de paroles publiques » et que « la fréquence de ces propos est de nature à impacter le bon fonctionnement du service public ».
Cet avis est parfaitement scandaleux car il instaure un véritable délit d’opinion à l’encontre d’un professeur, de surcroît syndicaliste.
En substance, la commission administrative paritaire académique sous-entend que le devoir de réserve des fonctionnaires, parfaitement légitime dans l’exercice de leurs fonctions notamment auprès de lycéens mineurs, peut s’étendre à l’ensemble de la vie publique, y compris en dehors des établissements d’enseignement. Ceci signifie qu’un professeur ne peut plus s’exprimer librement, qu’il ne peut plus s’engager politiquement ou même participer à un quelconque débat démocratique sans risquer d’être sanctionner par sa hiérarchie.
René Chiche fera certainement appel de cette exclusion injustifiée et nous lui apportons tout notre soutien.
Alors que le système macroniste est de plus en plus intolérant et que la France subit une censure croissante, le combat de M. Chiche pour la liberté d’expression est essentiel.
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Marzieh Hamidi, championne de taekwondo et porte-parole des femmes afghanes
https://justifiable.fr/?p=552 https://justifiable.fr/?p=552 #afghanes #championne #des #femmes #Hamidi #Marzieh #porteparole #taekwondo Public Sénat Le 24 octobre dernier, la délégation aux droits des femmes du Sénat entendait Marzieh Hamidi, championne de taekwondo, invitée par Laurence Rossignol, sénatrice du Val-de-Marne. Réfugiée en France depuis trois ans, la jeune femme a levé le voile sur sa vie à Vincennes, où elle a été accueillie en mars 2022. Elle y vit désormais sous protection policière. Jeune, belle et ne s’en cachant pas, Marzieh Hamidi apparaît à la tribune du Sénat le visage maquillé, de longues boucles d’oreilles sous ses longs cheveux lâchés. Elle est championne de taekwondo mais n’est pas venue parler de sport ! Elle est là pour raconter le sort des femmes, en Afghanistan, qui a changé du jour au lendemain, en une nuit, à la fin du mois d’août 2021. Depuis, explique-t-elle, ses concitoyennes sont comme emmurées vivantes. « Avant je m’entraînais pour moi, je voulais être une championne. Après la chute des Talibans, mon sport est devenu plus qu’une passion. Maintenant c’est vraiment une lutte contre un groupe terroriste ». Elle raconte la vie de ses concitoyennes, devenue une suite d’empêchements et de négations. Interdiction d’avoir une éducation après l’âge de 12 ans. De travailler. De participer à une compétition sportive. D’avoir un téléphone portable. D’aller et venir dans les rues sans tuteur. De chanter. À ces interdictions en cascade s’est récemment ajoutée la fermeture des salons de beauté, dernier lieu de rencontre pour les femmes. « La moitié de la population a perdu son droit même de respirer », résume la jeune femme. « Les femmes sont des esclaves qui ne servent qu’à avoir des enfants qui deviendront une nouvelle génération de Talibans ». C’est Laurence Rossignol, sénatrice socialiste du Val-de-Marne et féministe, qui a eu l’idée de faire venir Marzieh Hamidi à la tribune du Sénat, institution qui a déjà plusieurs fois exprimé son soutien aux Afghanes. Le 25 novembre 2021, Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, le Sénat avait organisé un colloque international sur la situation des femmes en Afghanistan. Près d’un an plus tard, il avait remis en octobre 2022 le prix de la délégation aux droits des femmes à Shoukria Haidar, présidente de l’association Negar qui œuvre pour l’accès à l’éducation des femmes. Le 17 octobre 2024, la commission des affaires européennes du Sénat adoptait la proposition de résolution européenne pour prendre des mesures contre les atteintes aux droits fondamentaux commis contre les femmes. Des actions importantes sur le plan symbolique, qui ne changent pas la vie des Afghanes. « Comment ne pas se sentir impuissant alors qu’un crime contre l’humanité fondée sur le genre se déroule à quelques milliers de kilomètres ? », s’est interrogée Dominique Vérien, présidente de la délégation sur les droits des femmes du Sénat. À cette question, Marzieh Hamidi a donné quelques pistes de réponse. Premièrement, a-t-elle rappelé, « soutenir les Afghanes, c’est boycotter les Talibans et les empêcher de venir en Europe. Ensuite, la priorité est de lutter pour leur accès à l’éducation ». Mais à ce sujet, la sportive appelle à une vigilance particulière. « Il faut ouvrir des écoles mais aussi se demander : quel type d’éducation vont-elles recevoir », a-t-elle alerté, soulignant que le contenu des programmes scolaires est aussi important que l’accès à l’école. « Les talibans radicalisent les filles et les garçons, particulièrement dans les régions pachtounes. Ils préparent une génération de Talibans filles », a-t-elle insisté. La jeune femme a tenu à élargir son propos et à parler de l’oppression subie par les Afghans quel que soit leur genre. Le régime Taliban lèse le pays entier, et pas seulement les femmes, a-t-elle ainsi précisé. « Les jeunes garçons sont forcés d’aller dans des madrasas pour devenir des Talibans. Certains y sont envoyés de force ». En tant que femme, en tant qu’athlète, elle entend néanmoins porter en premier lieu la parole des femmes. Interrogée sur le fait de savoir si des hommes, en Afghanistan, se soucient du sort des femmes, elle a répondu par la négative. Ils sont peu à les soutenir, et seulement a minima, assure-t-elle. « Ils peuvent ainsi être d’accord pour que l’on travaille, mais à condition d’être couverte et que l’on ne chante pas ». Les vrais alliés des femmes Afghanes ne seraient d’après elle « qu’une poignée ». Les hommes qui s’inquiètent de la prise du pouvoir par les Talibans craignent surtout, dit-elle, les répercussions économiques de l’isolement. En 2022, la maire Charlotte Libert-Albanel, avait officiellement souhaité la bienvenue au nom des Vincennoises et des Vincennois à Marzieh Hamidi. La ville de Vincennes s’était portée candidate pour loger certains des 2 600 Afghans qui avaient pu rejoindre la France dans le cadre de l’opération Apagan menée par les autorités françaises pour accueillir les réfugiés menacés par les Talibans. Depuis son appartement, Marzieh Hamidi continue à avoir des contacts avec ses collègues athlètes restées au pays. En parler lui est difficile. « Je me sens coupable vis-à-vis d’elles. Je continue à faire mon sport, quand elles ne peuvent même pas quitter leur maison. Elles ont perdu trois ans pendant lesquels elles auraient pu étudier, progresser dans leur discipline. Elles mériteraient tout autant que moi de vivre libres. J’essaye de les écouter autant que possible mais je ne peux pas partager grand-chose de ma vie avec elles. J’ai honte ». Plusieurs sénatrices lui ont répondu qu’elle pouvait au contraire être fière de ses prises de paroles et des actions qu’elle mène pour faire entendre ses compatriotes réduites au silence. Pourtant, Marzieh Hamidi est loin d’avoir la vie facile. Elle a beau vivre à des milliers de kilomètres du régime Taliban, elle reste une cible. « Je vis de la même façon qu’en Afghanistan, je dois cacher qui je suis, me préparer à être agressée car j’ai osé élever la voix contre eux ». Elle explique que des groupes de fanatiques influencés par les Talibans la harcèlent. Elle reçoit des flots de menaces de mort. En arrivant en France, elle a pris des cours de français, qu’elle dit avoir arrêté après y avoir rencontré deux jeunes « fans de Talibans ». Elle témoigne qu’elle continue de recevoir des flots de message, de menace de viol ou de mort. « Ils se sont partagé mon numéro de téléphone. Ils sont un groupe, une équipe. Un soir, j’ai reçu 500 messages en quelques heures. Tous venaient de numéro européens ».Marzieh Hamidi a porté plainte pour cyberharcèlement le 3 septembre dernier. Sa plainte est instruite par le pôle national de lutte contre la haine en ligne. Elle estime que toutes les femmes devraient se sentir concernées, car toutes sont des cibles pour les Talibans. Même si les Européennes sont moins exposées que les Afghanes, elles le sont aussi, avertit-elle. « Ils diffusent leur idéologie et ils peuvent agir ici », Marzieh Hamidi a fini par demander une protection policière. « Je ne voulais pas devenir une victime ! », dit-elle. Interrogée sur la décision prise par la France d’accorder de manière automatique l’asile aux Afghanes, elle a livré une réflexion nuancée, estimant qu’être femme ne signifiait pas automatiquement être hostile à l’idéologie des Talibans. « C’est bien d’aider mais il faut savoir qui on aide. Certaines femmes sont complices des Talibans. On leur a lavé le cerveau. ». Elle a assuré également que parmi les Afghans qui l’avaient menacé, certains vivent désormais en France. Souvent présentée comme une athlète féministe, Marzieh Hamidi a été invitée à donner son avis sur la situation des femmes en France. Elle a esquissé un sourire, comme une manière de dire que ce sujet n’est pas le sien, et sans répondre vraiment à la question. « Ici, les femmes ne savent pas ce que c’est que de croiser une voiture pleine de policiers qui vont vous emmener et vous battre à mort. Elles se battent pour faire ce qu’elles veulent. C’est leur choix et je le respecte. Mais cela n’a rien à voir ». Dans la salle, lors de son audition, le public était clairsemé. Pas un homme n’était venu écouter la jeune femme. Samedi 26 octobre, deux jours après l’audition de Marzieh Hamidi, le ministre taliban chargé de la Propagation de la vertu et de la Prévention du vice, venait ajouter une nouvelle restriction aux si maigres droits des femmes afghanes. Il déclarait que les femmes n’auraient désormais plus le droit de réciter le Coran à voix haute en présence d’autres femmes. Une mesure, qui d’après des organisations internationales, pourrait témoigner d’une volonté d’empêcher, à terme, toute communication verbale entre femmes en Afghanistan…
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