#Sécurité en train avec les enfants
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Mes 10 astuces pour voyager en train avec des enfants.
Vous avez prévu de vous lancer dans une escapade en train avec vos enfants? Pas de panique, je suis là pour vous filer les meilleurs tuyaux pour que ce voyage se passe comme sur des roulettes ! Voyager en train avec des enfants peut sembler un défi de taille, mais avec un peu d’organisation et de créativité, vous pouvez transformer ce périple en une aventure palpitante pour toute la famille.…
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Bonjour Titiou, vous êtes oracle, poétesse lyrique et potinière au forum. Après avoir récité plusieurs harangues contre le mariage devant de nombreuses jeunes patriciennes, vous revenez avec un pamphlet intitulé Mon concubin et l’argent. Comment vous est venu ce réquisitoire ?
Dès l’enfance, les garçons reçoivent plus d’argent que les filles, auxquelles on offre plutôt des cadeaux : robes, bracelets, tuniques, esclaves… Par la suite, les hommes obtiennent des carrières rémunératrices : questeur, haruspice, consul, légionnaire, préfet, et cœtera. Leurs épouses sont obligées de se contenter des revenus du domaine, d’élever leurs enfants, filer la laine et se divertir. Il faut aussi compter tout le temps qu’elles doivent passer à superviser les serviteurs. On constate par ailleurs une tendance plus forte au concubinage, où l’homme reste libre de l’usage de son patrimoine. Ce système bénéficie toujours à celui qui a le plus.
Vous évoquez la « théorie du pot de yaourt » dans votre ouvrage. En quoi consiste-t-elle ?
Je prends souvent l’exemple d’Octavia et Marcus : Octavia n’a que la dot accordée par son père, elle en tire moins de rentes que Marcus ne touche de prébendes et, à l’arrivée du deuxième enfant, ils songent à changer de char. C’est Marcus qui achète le char et les chevaux ou les rembourse seul au prêteur. Pour compenser, Octavia lui prépare d’excellents yaourts au miel ou au garum. Au moment où ils se répudient, Marcus récupère le char qu’il a payé alors qu’Octavia n’a plus que les restes de sa dot, sa laine, ses domestiques et ses pots de lait caillé. Dans un couple, le plus petit revenu (la femme) est donc celui qui a le plus intérêt à s’assurer une sécurité économique : par exemple, pour l’achat d’un char, acheter les brides et les licols (quitte à moins faire de yaourts pour avoir le temps de choisir les bijoux équestres les plus luxueux possibles), afin de se constituer un petit patrimoine.
Selon vous, la nouvelle génération est-elle en train de casser les codes ?
À Rome, la situation des femmes va en s’aggravant parce qu’il y a un décalage entre la loi qui estime que les gens vivent selon les mos majorum, dans la communauté des biens, et la manière dont ils vivent réellement (en ne se mariant plus et en privilégiant le concubinage). L’écart entre les membres d’un couple continue de se faire au détriment des femmes. Les femmes font moins de tâches ménagères grâce aux esclaves mais ce sont toujours elles qui les prennent en charge. En revanche les mouvements comme #MeQuoque contribuent à une prise de conscience. Il faut déconstruire les stéréotypes virilistes !
Avez-vous constaté des contre-exemples à votre démonstration ?
En général, les concubines se reconnaissent beaucoup dans le théorème du pot de yaourt. Il y a évidemment des contre-exemples. Ma cousine Athenais m’a fait porter ce message : « Merci, je ne savais pas tout cela. Je vais hâter mon mariage. » Elle n’a pas compris... Je ne comprends pas.
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XG - WOKE UP [VOSTFR]
Traduction en français faite par moi! Merci de ne pas reprendre ou republier mes traductions sans autorisation ou attribution appropriée.
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Artiste : XG
Chanson : WOKE UP
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Ouais, j'attendais ici en les observant
Essayant de rattraper, prenez-le comme vous voulez
Je suis partie en panique, j'ai quitté pour une autre planète
Prête à faire entendre une nouvelle voix
XG bébé, prononcez les noms correctement
Je vais les épeler pour que tu les retiennes
On peut sentir l'odeur des pneus qui crissent
On peut sentir l'odeur du feu qui brûle
On peut constater qu'on a tous fait en sorte de réussir
On a réussi mais il a fallu travailler beaucoup de travail
Un travail parfait fait
qu'il en devient douloureux, n'est-ce pas ? Maintenant, je profite des résultats
Tout de suite, on chevauche la vague, on part
Parce qu'on avait la voie libre
Salut, salut, salut, en filant rapidement puis on s'envole
Vers l'espace
En sortant de l'avion
Je monte dans un coupé
Regarde ma tenue maintenant
à peine levée du lit
Je me coiffe et je me maquille en route
Prête pour la prochaine étape
Prête pour le succès
Je les fais s'incliner devant le X (uh)
Je suis bien plus qu'ordinaire, je suis respectée
Souvent sous-estimée mais je les laisse tous ruinés
Je suis le juge et le jury, je n'ai pas besoin d'entendre
Je suis celle qu'ils redoutent, mais je préfère rester discrète
C'est automatisé, je suis l'élément motivateur
J'ai dit à mes haineux : 'Plus vous êtes nombreux, mieux c'est'
Vous êtes tous mon spectacle, je suis fascinée
Je ne peux m'empêcher de rire car c'est hilarant
Une petite fille avec une grande bouche, uh
Un petit groupe mais avec une grande maison, ouais
Une grosse montre au poignet maintenant, uh
Je viens de trouver ce flow à l'instant
J'ai investi davantage pour une montre de luxe
J'ai fait une tournée en bus et tout déchiré
Tout est sur mesure maintenant, les fans se ruent dehors
La sécurité a dû m'escorter
48 lois du pouvoir
Je suis une fille avec une grande détermination et une énergie puissante
Regardez-moi exceller
Regardez-moi percuter comme un téléphone à clapet Motorola
Je ne veux pas être trop intense dès le début
Mais apporte ce rythme énergique comme un 6-4
Retrouvez-moi à Tokyo en train de rapper en jupe
Vous voyez ce que je veux dire ?
Je me suis réveillée comme ça
Alors ne me cherchez pas
Je me suis réveillée comme ça, comme ça
Je me suis réveillée comme ça
Alors ne me cherchez pas
Je me suis réveillée comme ça, comme ça
Je me vante un peu et j'y vais doucement
Je laisse une marque comme un graffiti
Envoie-moi une localisation
Et j'y serai
Je fais le show et c'est ce que je maîtrise
J'ai une vision exceptionnelle
Alors que vous vous fiez seulement à des superstitions
Regardez-moi accomplir
Tout, partout
Tout à la fois tout le temps
Dans le monde entier
Je me suis réveillée comme ça
Alors ne me cherchez pas
X G A L X
Et ça c'est le nom de notre équipe 'et c'est tout !'
Je suis la protectrice, la louve
Alors ne vous moquez pas de mes enfants
On est une famille unie et forte maintenant
Alors ne rabaisse pas les nôtres, hé
Bienvenue à la fête
On s'amuse comme lors du Mardi Gras, ouais
Vous pouvez m'appeler HARVEY
Mais je ne suis pas une poupée Barbie, ouais
Dur à cuire, haha, je me moque d'eux
Pendant qu'on s'éclate
Vêtues tout en noir, en noir
On est prêtes à tout
C et O C O
C'est moi, Seigneur aie pitié
Jeune reine mais je agis comme une grande soeur
Jeune mais je suis conçue comme une OG
Je m'entraîne dur pour porter tout cet argent
Je suis en super forme pour les magazines
Et je suis une louve dans une meute
Donc je grogne et j'attaque
Je me suis réveillée comme ça
Alors ne me cherchez pas
Je me suis réveillée comme ça
Comme ça
Je me suis réveillée comme ça
Alors ne me cherchez pas
Je me suis réveillée comme ça
Comme ça
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L’invasion israélienne de Gaza est une nouvelle preuve que l’histoire ne connaît pas de fin et que la frontière entre amis et ennemis doit toujours être redessinée. Après l’incursion israélienne à Gaza, ce n’est pas seulement l’année de fondation de l’État d’Israël qui doit être réexaminée, mais tout le récit antifasciste de l’après-Seconde Guerre mondiale qui a besoin d’être réévalué sur le plan historique.
Le sage proverbe « Méfiez-vous de ce que vous souhaitez » s’applique désormais à d’innombrables faiseurs d’opinion juifs et à leurs compagnons de route non-juifs de gauche, contraints à un processus embarrassant de désaveu de leurs enfants Antifa-BLM-multikulti-SocialJusticeWarrior. La guerre à Gaza a finalement annoncé la disparition prévisible et longtemps attendue de la gauche, les juifs devenant encore et encore les premières victimes de leur propre concoction idéologique. Partout en Europe et en Amérique, sans parler du monde musulman, on observe une haine croissante, d’Israël et, par procuration, de tous les Juifs. Dans son article archétypique inspiré par l’angoisse juive, Alan Dershowitz résume « qu’aucun juif qui se respecte ne devrait donner un centime à une organisation qui s’est retournée contre Israël et a soutenu le Hamas ». Alors qu’il fustige les Antifas et les militants pro-palestiniens de gauche qui organisent des manifestations anti-israéliennes aux États-Unis et dans l’Union européenne, M. Dershowitz oublie d’ajouter que, par le passé, ses critiques à l’égard de la gauche n’ont jamais figuré sur la liste de ses griefs. Et pour cause. Au cours du siècle dernier, la gauche et ses militants antifas multicolores ont servi de bélier aux juifs ; aujourd’hui, la gauche est en train de devenir leur ennemi mortel.
La panique s’installe également dans les chancelleries de l’UE. C’est particulièrement vrai pour les gouvernements allemands de l’après-Seconde Guerre mondiale, culpabilisés et enclins à la pénitence, qui répètent sans cesse, année après année, décennie après décennie, que « la sécurité d’Israël est la raison d’être de l’Allemagne » (Israels Sicherheit ist deutsche Staatsräson). Comment, dès lors, la classe dirigeante allemande peut-elle s’attacher des millions de nouveaux arrivants non européens, pour la plupart musulmans, et en même temps les punir pour avoir crié des slogans anti-juifs ou anti-israéliens contre la première puissance militaire du Moyen-Orient ? Des millions de migrants musulmans de la deuxième génération, ainsi que des militants de gauche nationaux, après avoir été choyés pendant des décennies par le système États-Unis/Union européenne, se moquent maintenant ouvertement du système et de son surmoi : l’État d’Israël.
Ce qui me vient à l’esprit, c’est l’allégorie du balai dans le poème L’apprenti sorcier de Wolfgang J. Goethe. Le balai magique a été conçu à l’origine par le Maître Blaster pour éloigner tous les maux du monde. Hélas, s’il est utilisé à outrance, le balai déclenche l’orgueil démesuré de son utilisateur, mettant ainsi sa propre vie en danger.
Ne pourrai-je jamais, Broom, vous apaiser ? / Je te saisirai, je te tiendrai et je te frapperai. Et ton bois ancien / Je le couperai / Avec une hache aiguisée, je te fendrai.
Lorsqu’ils organisent des manifestations contre le bombardement de Gaza par Israël, les apprentis sorciers gauchistes se conforment sans le savoir aux canons de leurs premiers parrains juifs antifascistes. Ils aiment régurgiter les mots « racistes », « nazis », « fascistes » contre Israël et les organisations juives à travers le monde, oubliant que ces mots ont d’abord été lancés par l’École de Francfort, et relancés après la Seconde Guerre mondiale par l’ADL, le SPLC, le CRIF français et l’AAS allemand dans des étiquettes diabolisantes conçues pour les individus qui critiquent le rôle des juifs aux États-Unis et en Europe.
Il existe des milliers de livres et de titres qui examinent en détail le comportement sociopolitique des juifs, en se concentrant sur la proverbiale arrogance juive et sur la manière dont elle affecte les politiciens et les universitaires juifs dans leurs excès, causant encore et encore des désastres inutiles pour leur propre survie physique. The Occidental Observer a largement couvert ce sujet, même en récupérant et en traduisant des sources qui ont été interdites ou retirées des bibliothèques universitaires après la Seconde Guerre mondiale.
Les Anciens considéraient l’orgueil comme un affront aux dieux, le pire crime étant commis par le héros lorsqu’il transgresse l’ordre naturel. La littérature occidentale regorge de figures de dieux, de mortels et de demi-dieux dont la désobéissance à l’ordre naturel a entraîné leur châtiment éternel ou leur transformation en espèces non humaines, telles que des plantes ou des bêtes sauvages, comme l’a bien décrit le poète latin Ovide dans son long poème Les Métamorphoses. Prométhée enchaîné est le premier sur la liste de la honte après avoir tourné en dérision les commandements de Zeus, bien qu’il y ait des milliers d’autres figures mythiques réelles et surréalistes telles que Tantale ou Sisyphe qui ont essayé de supplanter Zeus en avalant littéralement plus qu’ils ne pouvaient mâcher. En conséquence, ils ont dû payer un prix très élevé pour leur arrogance. Il faut aussi ajouter Apollon, le premier dieu européen de la beauté physique et de la virilité cultivée, dont l’appétit sexuel incontrôlé pour la nymphe Daphné en fuite l’a transformé en laurier.
Verus Israel vs. goyim viraux
Sur le plan séculier et politique, chaque homme politique s’efforce, consciemment ou plus souvent inconsciemment, de devenir le maître de l’univers, surtout si Fortuna, la déesse de la chance, favorise ses ambitions pendant une période prolongée. Mais la déesse Fortuna peut se retourner contre lui et se transformer en déesse Némésis. Il existe une abondante littérature sur la façon dont les juifs, avec leur histoire d’élus autoproclamés, se sont inévitablement créé des ennemis dans pratiquement tous les coins du monde. Leur volonté de se surpasser dans leurs efforts pour changer le monde a toujours produit des résultats opposés et peu glorieux.
Mais pourquoi blâmer les juifs pour leur c’hutzpah si des millions de chrétiens dans le monde s’efforcent de « dépasser » les juifs en prétendant être le seul verus [véritable] Israël ? Les chrétiens sionistes américains, qui prétendent être les seuls véritables successeurs des juifs, en sont un bon exemple, bien que les chrétiens d’Europe ne soient pas en reste dans leur adulation pro-juive. Dans un contexte militaire plus contemporain, pourquoi critiquer les forces de défense israéliennes pour avoir bombardé Gaza tout en laissant de côté leur double non-juif aux États-Unis, qui soutient pleinement et arme les ambitions israéliennes dans la région ?
On pourrait établir un parallèle avec le bombardement de l’Allemagne par les Alliés occidentaux pendant la Seconde Guerre mondiale, une analogie qui pourrait s’avérer utile pour de nombreux crypto-antisémites conservateurs ainsi que pour une multitude de moralistes antifas qui feignent d’éprouver de la sympathie pour les Palestiniens. Avec le recul, le sort des Palestiniens de Gaza semble être un jeu d’enfant comparé à l’enfer qu’ont connu les civils allemands lors des campagnes de « bombardements moraux » de Roosevelt et Churchill entre 1940 et 1945. Le gouvernement israélien actuel ne fait que suivre le scénario des Alliés de la Seconde Guerre mondiale.
Le fait que tant de non-juifs aient toujours été de fervents partisans de la dialectique juive, de Moïse à Marx, reste un mystère. Il est encore plus choquant de constater que de nombreux intellectuels, professeurs et universitaires blancs au QI élevé se sont entichés, pendant une bonne partie du XXe siècle, d’une mystique freudo-marxienne d’inspiration juive, pour s’en débarrasser relativement récemment comme d’une doctrine redondante et stupide, en la remplaçant par la théologie politique du libéralisme, tout aussi destructrice. Il est tout aussi incompréhensible que, parmi des centaines de cultes et de sectes différents dans la Rome païenne du premier siècle, les païens aient accepté les enseignements d’un petit peuple obscur du désert. Pire encore, la nature autodestructrice des doctrines proto-communistes égalitaires des juifs, qui « réparent le monde », a été ressentie non seulement par les non-juifs, mais aussi par les juifs eux-mêmes.
Les juifs ont donné naissance aux chrétiens, le « bolchevisme de l’Antiquité », pour être ensuite persécutés par ces mêmes chrétiens. L’une des premières mesures prises par le premier empereur romain chrétien, Constantin, a été de déclarer les Juifs comme une secte dangereuse, « secta nefaria », et les successeurs impériaux et pontificaux ont ensuite promulgué toute une série de lois antijuives. Deux millénaires plus tard, les juifs ont joué un rôle disproportionné dans le mouvement bolchevique, avant d’en devenir les premières victimes. Pratiquement tous les hauts fonctionnaires communistes étaient d’origine juive, en particulier dans les rangs supérieurs de la première machine de terreur soviétique. Dora Kaplan, Grigori Zinoviev, Genrikh Yagoda, Léon Trotski, Lev Kamenev et des milliers d’autres bolcheviks d’origine juive ont été exécutés par leurs propres camarades.
Le fait que le bien puisse se métastaser en mal – mais aussi l’inverse – est également démontré par les exemples de juifs qui, d’ardents marxistes et sympathisants communistes, sont devenus les meilleurs théoriciens de l’anticommunisme. Certains des meilleurs ouvrages critiques du totalitarisme communiste et de la mentalité tordue de l' »homme soviétique » (Homo sovieticus) ont été écrits par d’anciens communistes juifs ou des universitaires juifs, ainsi que par des sympathisants cachés de la révolution bolchevique (Jacob Talmon, Boris Souvarine, Arthur Koestler, Mikhail Heller, Aleksandr Nekrich, Alain Besançon). Il suffit de dire qu’au cours des dernières années de la guerre froide, l’éminent magazine néoconservateur américain Commentary, dirigé par le juif américain Norman Podhoretz, a publié de très bons articles sur la pathologie communiste.
En suivant les lignes primordiales des métamorphoses opportunistes d’Ovide, on peut s’attendre à ce que, dans les mois à venir, de nombreux faiseurs d’opinion juifs aux États-Unis et dans l’UE se transforment en ardents critiques de leurs enfants gauchistes de l’antifa. La critique des migrations de masse non européennes, principalement musulmanes, vers l’Europe, ainsi que la désapprobation publique ouverte des palabres gauchistes sur la « diversité », l' »inclusion », l’équité et le multiculturalisme deviendront bientôt un élément bienvenu dans le discours public, qui ne sera plus soumis à un harcèlement juridique punitif. Les conséquences de l’engagement militaire israélien à Gaza provoqueront probablement la rage incontrôlée de 50 millions de musulmans de l’UE et des Balkans, fournissant ainsi un réservoir solide pour une multitude d’attaques terroristes islamiques dans toutes les capitales européennes. Le résultat final sera un cadeau en or pour les Israéliens et de nombreux juifs basés dans l’UE, les aidant à atténuer et à neutraliser la mauvaise presse dont Israël et les juifs ont fait l’objet ces derniers temps. L’élan anti-musulman sera volontiers avalé par de nombreux nationalistes blancs, qui pourront enfin exprimer ouvertement leurs sentiments anti-immigration en les dissimulant sous leur ersatz d’identité pro-israélienne.
Des politiciens conservateurs autoproclamés, adulés par les figures de la droite et du nationalisme aux États-Unis et dans l’UE, tels que Donald Trump, son homologue hongrois Viktor Orban, ainsi que leurs grands fans et acolytes en France, Marine Le Pen et Éric Zemmour, prennent déjà la tête du mouvement pro-israélien et anti-musulman.
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L'épaule Sur Laquelle Tu Pleures - Katherine Pierce
Masterlist
Résumé : Tu te réveilles au milieu de la nuit car Katherine n'est plus à tes côtés. Tu la trouves en train de pleurer, mais quand tu lui demandes ce qui ne va pas, elle ne veut rien te dire donc tu lui montres que tu seras là pour elle quand elle sera prête.
Warnings : Hurt/Comfort, mention de grossesse, accouchement, perte d'un enfant (enlevé) et le manque, mention de la famille de Katherine se faisant tuer, dites-moi si j'en ai loupé d'autres !
Nombre de mots : 1.7k
Version anglaise
Prompt List : 13. "There's no shame in crying. I promise." (Pleurer n’est pas honteux. Je le jure.) de cette prompts list faite par @lazyprompts
Tu dors paisiblement quand tu entends quelqu’un renifler à l’aide de ton ouïe de vampire. Tu batailles à ouvrir tes yeux et découvres que l’espace à côté de toi est vide. Tu regardes rapidement autour de toi, mais tu ne la vois pas. Tu écoutes avec plus d’attention alors que tu quittes le lit. Tu marches à travers l’appartement quand tu réalises que le son vient du balcon. Quand tu y arrives, tu tombes sur Katherine, dos à toi. Même si tu ne peux pas voir son visage, tu peux deviner qu’elle essuie ses larmes, probablement car elle t’a entendue arriver.
- Hey, qu’est-ce qui ne va pas ? demandes-tu, inquiète.
- Rien. Je voulais juste prendre l’air, répond-elle, te regardant avec un faux sourire.
- Tu pleurais.
- Non. J’ai juste fait un rêve. Je ne voulais pas te réveiller.
- Tu veux en parler ?
- Il n’y a rien à dire. C’était un rêve stupide. Je vais bien, insiste-t-elle, mais tu ne la crois pas.
- Juste pour que tu saches, pleurer n’est pas honteux. Je le jure. Je ne te jugerai jamais pour ça.
- Je sais, mais je ne pleurais. Retournons au lit.
Katherine prend ta main, tentant de paraitre normale, mais tu sais qu’elle a besoin de sentir ta présence. Tu serres un peu plus sa main pour lui montrer ton soutien. Vous marchez jusque dans la chambre en silence. Tu sais que Katherine ne s’ouvrira pas ce soir. Tu ignores quand ça sera le cas, mais elle le fera. Katherine a encore du mal à te laisser être proche d’elle. Elle a l’habitude de s’occuper d’elle-même donc elle n’arrive pas à totalement baisser sa garde avec toi. Tu ne la forces pas, sachant que ça viendra avec le temps. Donc, tu fais en sorte qu’elle se sente en sécurité avec toi.
Quand vous êtes allongées sur le lit, tu prends Katherine dans tes bras. Tu la tiens alors qu’elle te rend ton étreinte, comme si tu étais sa ligne de vie, ce qui est un peu le cas depuis que vous êtes ensemble. Tu caresses doucement ses cheveux, espérant que ça l’aidera à s’endormir, mais sa respiration te fait comprendre que ça ne fonctionne pas. Par conséquent, tu fais la seule chose qui la rassurera, tu l’espères : tu lui parles, sachant à quel point elle a besoin d’être rassurée.
- Je sais que tu ne me diras rien ce soir et tu n’as pas besoin de le faire. Ne te sens pas obligée. Mais, peu importe quand tu seras prête à me parler de ce qui te brise le cœur, rappelle-toi que je suis là pour toi. Je t’écouterai, te prendrai dans mes bras, ferai tout ce dont t’as besoin. Je sais que tu as eu besoin d’être en mode de survie pendant ces cinq cents dernières années, mais tu n’as pas besoin avec moi. Tu n’as pas à survivre, tu peux vivre, sans t’inquiéter. Je te protégerai de tous et de tout. Tu n’as pas à être le vampire fort avec moi. Tu peux être toi-même. C’est pour ça que je suis là.
- Je t’aime, chuchote-t-elle, se sentant reconnaissante de t’avoir à ses côtés.
- Je t’aime aussi, plus que tu ne le sais, dis-tu avant d’embrasser sa tête.
Tu continues à passer tes doigts dans sa chevelure pendant encore une dizaine de minute avant de réaliser qu’elle s’est endormie. Tu attends encore un peu avant de faire la même chose, voulant être sûre qu’elle dort bien.
Une semaine est passée et Katherine ne t’a toujours pas dit pourquoi elle s’est réveillée durant la nuit pour pleurer. Tu essayes d’y réfléchir. Tu penses que ça à voir avec sa famille. Après tout, ils ont tous été tués par Klaus quand elle était encore si jeune. Elle ne parle jamais de ses parents ou de sa sœur, mais tu es sûre qu’ils lui manquent énormément. De plus, la culpabilité doit être trop à supporter pour elle toute seule. Ces derniers jours, tu agis comme si rien ne s’était passé, sachant que ça l’aidera à parler. Elle viendra vers toi quand elle se sentira prête, donc il n’y a pas d’utilité à être sur son dos.
Un soir, alors que tu viens de te préparer pour te coucher, tu entres dans la chambre. Tu poses ton téléphone sur la table de nuit pendant que Katherine est assise, ses yeux regardant dans le vide. Tu t’installes sur le lit, prête à t’allonger complètement quand la voix de Katherine t’arrête.
- Ma fille.
Quand tu entends ces deux mots, tu t’assois les jambes croisées face à elle, l’invitant à dire ce qu’elle a en tête.
- Le rêve. Il était à propos de ma fille.
- Ta fille ? J’ignorais que tu avais été mariée avant d’être un vampire.
- Je ne l’étais pas. C’était bien tout le problème.
- Je suis désolée, j’aurais dû deviner, déclares-tu, te sentant gênée.
- Ce n’est pas grave. Tu es la première personne à qui je parle d’elle. J’avais dix-sept ans quand je suis tombée enceinte. Comme je n’étais pas mariée, j’ai dû cacher ma grossesse. Bien sûr, mes parents, surtout mon père, était en colère. Après tout « comment avais-je osé être aussi inconsciente ? », te dit-elle, tentant de cacher sa peine. Je savais que je ne pourrais jamais faire partie de la vie de mon enfant. Je le savais. Mais j’avais espoir de passer au moins quelques heures avec elle. Quand j’ai accouché, j’étais si heureuse de savoir que j’avais une magnifique fille. Je voulais la tenir. Au moins une fois dans ma vie. La regarder, mémoriser son visage avant de la perdre pour toujours, t’explique-t-elle, les yeux larmoyants. Mais je n’ai jamais eu cette chance. Mon père me l’a prise avant que ma mère puisse me la montrer. Je l’ai supplié. Je l’ai prié de me donner ma fille au moins une fois. Il ne m’a pas écouté. Il a disparu avec elle. Cette nuit-là, je l’ai passée à pleurer. Je me suis seulement endormie le matin, quand la douleur était devenue trop insupportable.
- Je suis désolée d’entendre. Ce n’est pas juste, dis-tu, prenant sa main.
- J’imagine que c’était pour le meilleur. Je n’ai pas de souvenir auquel m’accrocher. Seulement mon imagination, tente-t-elle de sourire.
- Est-ce que tu as essayé de la retrouver ?
- Oui. Je suis revenue, mais je ne l’ai jamais trouvée. J’ai essayé pendant soixante-dix ans. Mais je ne savais pas où elle vivait. J’aurais aimé vérifier qu’elle soit dans une famille aimante. J’ignore tout d’elle ; à quoi elle ressemble, quelles étaient ses passions, si elle était heureuse, si elle était aimée, si elle a trouvé quelqu’un, si elle a eu des enfants, si elle décédée de vieillesse. J’en ai aucune idée. Parfois, j’aurais aimé avoir le courage de fuir avant sa naissance. J’aurais pu l’élever et la protéger. Enfin, si Klaus n’avait pas tout troublé, bien sûr, admet-elle, regardant vers le bas, les larmes coulant sur son visage.
- Tu aurais été une mère formidable. J’en suis sûre.
- Je ne sais pas. Enfin, j’étais jeune et j’écoutais ce que mon père disait. Je n’étais pas courageuse. Je ne me suis pas assez battue pour elle.
- Katherine, tu as traversé tellement de chose à un si jeune âge. Tu étais courageuse. Tu es forte. Oui, tu étais effrayée, mais tu avais dix-sept ans, c’est normal. Et puis, elle aurait été chanceuse de t’avoir comme mère. Je le sais, la rassures-tu, essuyant ses larmes et elle pose ses yeux sur toi.
- J’avais une idée de prénom pour elle. Je sais, c’est stupide, sachant que je n’allais jamais l’élever, mais j’y avais quand même pensé.
- Qu’est-ce que c’était ?
- Najida. Ça veut dire « la fille courageuse » en bulgare.
- C’est très beau, souris-tu. Je suis sûre que ça lui aurait allée parce qu’en tant que ta fille, elle aurait été aussi courage que toi. Je pense que vous auriez partagé beaucoup de similitudes. Une d’entre elles auraient été les cheveux parfaits, blagues-tu, la faisant rire légèrement.
- Probablement.
Pendant une minute, il y a un silence entre vous deux. Un silence confortable. Un silence dont Katherine a besoin pour se remettre de ses émotions de sa confession. Elle ne s’était jamais autant ouverte auparavant. Tu es fière d’elle pour ça.
- Parfois, je fais ces rêves horribles, commence Katherine, prenant une grande respiration. Je l’entends me crier dessus, car je l’ai abandonnée ou une autre histoire dans le même style. Mais la semaine dernière, mon rêve n’était pas un mauvais. C’était juste elle et moi, passant une belle journée, rigolant. J’ai pleuré, car ça m’a rappelé que je n’aurais jamais ça. Je déteste que ces maudits rêves aient autant de pouvoir sur moi.
- Ce ne sont pas des maudits rêves, la corriges-tu. Tu n’as jamais pu fermer ce chapitre de ta vie avec ta fille. Elle peut te manquer, ce que vous n’avez jamais eu peut te manquer et le plus important, tu as le droit de pleurer pour elle. Ce n’est pas grave. Comme j’ai dit, tu n’as pas à te sentir honteuse de pleurer. Si c’est ce dont tu as besoin, je serais heureuse d’être l’épaule sur laquelle tu pleures.
Après ta phrase, Katherine n’attend pas avant de te prendre dans ses bras. Elle te serre comme elle ne l’avait jamais fait auparavant. Elle te serre car elle besoin de réconfort, un réconfort que seule toi peux lui donner. Tu la maintiens contre toi alors qu’elle pleure silencieusement. Tu caresses son dos, l’invitant à laisser couler toutes les larmes qu’elle a gardées durant toutes ces années. Après quelques minutes, elle se calme un peu, mais son visage est toujours caché dans ton cou.
- Je ne te mérite vraiment pas. J’ai fait des choses horribles dans ma vie et pourtant, je t’ai. Je suis vraiment chanceuse.
- Je suis vraiment chanceuse d’avoir la femme la plus forte avec moi, lui dis-tu.
Katherine recule légèrement, te regardant, un sourire triste sur son visage. Tu prends son visage entre tes mains doucement.
- Merci pour m’avoir dit tout ça. Je suis heureuse de savoir que tu t’es sentie assez en sécurité pour me parler de Najida.
- Merci d’être là pour moi.
- Tu n’as pas à me remercier, lui assures-tu.
Les mains de Katherine font leur chemin jusqu’à tes joues avant qu’elle s’avance et t’embrasse avec tendresse pour te remercier. Tu réponds à son baiser comme pour lui dire que tu seras toujours là pour elle, ce qui sera le cas.
Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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Ceci est le premier texte d'une série à dérouler : J'ai connu Jed, accessible sous le hashtag #jaiconnujed. Je profiterai du défi @30jourspourecrire pour produire un épisode par jour - sans engagement : je suis pas à l'abri d'un jour sans, d'un jour avec autre chose, ou d'en avoir assez de Jed et de le faire décéder précipitamment.
Ici, toutes les dimensions dépassent celles du corps humain, se dit Jed, et ce sera sa dernière pensée sauvage.
Ce matin, il est sorti sans rien dans le ventre. Sans rien dans les poches. Il se sentirait presque léger. S'il avait fait ça plus tôt dans sa vie, ne serait-ce qu'il y a deux ou trois ans, oui, sans doute qu'il aurait voulu aller plus loin, mais là c'est trop tard. Les services d'urgence sont surchargés dans la soirée, alors autant faire ça en début de journée. Il n'a plus que quelques minutes de marche. Il presse le pas.
Des camions plus volumineux que son appartement, lancés à pleine vitesse. L’air qu’ils déplacent en le doublant, Jed ne le déplacerait jamais en marchant toute la journée. Vues de près, les glissières de sécurité sont plus massives que par exemple les assiettes de Jed, la gourde de Jed, ou même le lavabo de Jed. Deux fois trois voies de bitume : même en largeur, c’est une belle distance, on pourrait y mettre un bistrot sur chacun des sens de circulation.
Jed arrive au pont. En-dessous : la voix ferrée. Il aime cette esthétique. Des couleurs ternes. Deux droites tranquilles, filant vers un point de fuite dans l'espoir vain de se rejoindre. Ici aussi, la hauteur est de belle dimension. Vu de loin, ça ressemble à des graviers qui amortiraient sa chute, mais non, ce sont bien ces cailloux gris clair, suffisamment gros pour lui offrir un accueil contondant. Pas besoin d’attendre le passage d’un train - consulter les horaires et s'en remettre à la rigueur d'un système et des personnes qui le composent ? non - et c’est pour ça que Jed a choisi cet endroit. Cette fois, c’est la bonne. Jed envoie le SMS préparé hier soir. Il enjambe la barrière, se jette dans le vide. Il meurt sur le coup.
Au pied de la glissière, au soleil sur le bitume, le téléphone vibre. Jed est mort et pourtant l'écran n'est pas encore vérrouillé. On peut y lire :
-je me suis suicidé ici, désolé mais je veux bien que vous fassiez évacuer mon corps - jed mimouni
-Le 114 est un service d'urgence réservé aux personnes ne pouvant pas téléphoner. Tous les échanges sont enregistrés. Nous allons traiter votre demande.
~~~
Bientôt, les personnes qui connaissaient Jed seront réunies dans une salle très éclairée. Elles diront quelques banalités. Des banalités qui seront de toute façon belles et feront de toute façon pleurer.
Ces personnes connaissaient Jed, oui. Elles étaient liées à lui. Jed était leur fils, leur cousin, leur oncle, leur frère, leur ex-collègue, leur ex-mari.
Plus tard, au bistro en face du cimetière, on dira autour de Pago Abricot, de grenadines, de panachés, et de blancs sec à onze heures, que Jed continuera à vivre en ces personnes. Oui, on se sentira bien avec cette idée. On fera semblant d'y croire. Mais, c'est tout l'inverse. Jed est mort pour les personnes qui savent qu'il est mort.
Si on ne sait pas que Jed est mort, alors Jed est vivant.
Il continue à vivre chez toutes les personnes avec qui Jed a eu un tout petit contact. Une personne à qui il a failli rentrer dedans en marchant. Une vieille qu'il a laissé passer à la caisse du Auchan. Un enfant à qui il a souri. Ces personnes ne connaissaient peut-être pas Jed, au sens commun du terme, mais elles savaient un peu qui il était.
Je veux les laisser raconter Jed.
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[78160] Yvelines Marly le Roi vue aérienne sur Les Grandes Terres la 1ere coproprieté de France années 60 pour ainsi dire l'une des plus ancienne..constr 1956-62 et labellisée « Patrimoine du xxe siècle » en 2008. Issu de l’initiative privée des architectes groupés avec deux hommes d’affaires et un entrepreneur, le projet saisit une opportunité foncière à Marly-le-Roi pour proposer des logements de qualité, implantés dans un site naturel exceptionnel. La sobriété et la rationalité de l’architecture sont complétées par le soin apporté au dessin des détails et au traitement des espaces extérieurs, tandis que la composition urbaine et la disposition intérieure des appartements permettent d’instaurer un rapport étroit entre l’intimité des logements et la nature, à l’extérieur. un grand ensemble privé parmis les 1ers de France Architecte en chef Marcel Lods avec Jean-Jacques Honegge & Paul Depondt, & Phd Harvard qui arrive de l'agence PEI (NY), en été 1957, pour intégrer l'agence de Marcel Lods architecte, et y dessiner le centre commercial des Grandes Terres en structure métallique ! L'un des plus grands d'Europe pour l'époque !!. une copropriété exceptionnelle à 30mn du centre de la Capitale avec le train à Marly-le-Roi ou le RER à St Germain en Laye. https://lesgrandesterres.net/?fbclid=IwAR2xLJ0zhO4V4919vYqCBqHbi_mObnU-I4ViIsWEc7jH7rNyFTH91gEyIe0 Les Vignes Benettes du Pecq n'existaient pas encore ! qui offre à ses résidents un espace vert de plus de 20ha un lieu sécurisé (pas de circulation automobile), des aires de jeux (11) pour enfants, 8 terrains de sports, et jouxtant, 2 écoles maternelles, une école primaire, un gymnase, des commerces et des services de santé (un centre hospitalier pluridisciplinaire à 5mn...à pieds) , bref un esprit de ''village'' où il fait ''bon vivre'', https://lesgrandesterres.net/?fbclid=IwAR2xLJ0zhO4V4919vYqCBqHbi_mObnU-I4ViIsWEc7jH7rNyFTH91gEyIe0 Les Grandes Terres ont joué un rôle majeur dans l’évolution de Marly-le-Roi. Cet ensemble d’habitations, imaginé il y a plus de soixante, est une œuvre pionnière de l’urbanisation de l’après-guerre. Son concept novateur repose sur l’application des principes énoncés dans la Charte d’Athènes rédigée par Le Corbusier à partir des congrès internationaux d’architecture moderne (CIAM). Cette charte dressait dès 1941 un état des lieux critique de l’habitat et des villes et demandait à ce que “les quartiers d’habitation occupent désormais dans l’espace urbain les emplacements les meilleurs, tirant parti de la topographie, faisant état du climat, disposant de l’ensoleillement le plus favorable et de surfaces vertes opportunes…” Marcel Lods découvre ce terrain pendant la guerre au cours d’une promenade à vélo. Il sait immédiatement qu’il pourra édifier un programme immobilier où les conditions de vie seront optimales : air, soleil, verdure, sécurité, silence et services seront les piliers de son œuvre. Le permis de construire est accordé en 1955 pour 1 471 appartements répartis en neuf squares de trois immeubles. La construction des immeubles collectifs des Grandes Terres débute en 1956 pour s’achever en 1962. Aujourd’hui, cet ensemble exceptionnel qui accueille quelque 4 500 habitants, demeure une référence en matière d’habitat collectif. La référence de ce qu'il ne fallait pas faire, concentrer 4500 habitants sur quelques hectares à haute densité de bâti avec l'église moderne intégrée en prime. Ce n'est pas parce que c'est Marcel Lods a conçu cette commande que c'est un chef d'œuvre pour autant...
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Comment Voyager Gratuitement ?
Voyager gratuitement, c'est le rêve de nombreux aventuriers. Imagine parcourir le monde, découvrir des cultures et faire des rencontres inoubliables sans que cela te coûte un centime ! Que tu sois un jeune prêt à explorer l'Europe, un passionné de nature ou quelqu'un cherchant à échanger ses talents pour un logement, ce guide te révèle toutes les astuces et plateformes pour voyager sans débourser d’argent.
Pourquoi Voyager Gratuitement ?
Voyager gratuitement offre bien plus que des économies. C’est une expérience authentique et enrichissante qui te plonge dans le quotidien des habitants locaux, te permettant de découvrir des cultures différemment. Que ce soit en échange de services ou simplement en trouvant des moyens créatifs de réduire les coûts, tu vivras un voyage unique, loin des itinéraires touristiques classiques.
Les Solutions pour Voyager Gratuitement
1. Échange de Maison : Voyager comme Chez Soi
HomeExchange, par exemple, est une plateforme où tu peux échanger ta maison avec celle d'un autre membre. Grâce à ce système, tu loges chez quelqu’un d’autre et lui chez toi, sans frais. Lancé à la fin des années 90, HomeExchange permet aujourd'hui des échanges partout dans le monde grâce à un système de points appelé « GuestPoints », accumulés au fur et à mesure des échanges. C’est un moyen parfait pour découvrir une ville tout en profitant de tout le confort d'une vraie maison !
2. Voyager en Échange de Travail : Workaway, Helpx et le WWOOFing
Si tu es prêt à donner un coup de main, Workaway et HelpX sont idéaux pour partir en voyage gratuitement en échange de quelques heures de travail quotidien. Que ce soit pour travailler dans une ferme, garder des enfants ou aider à rénover une maison, ces plateformes proposent des missions variées et te permettent de voyager sans dépenser pour l’hébergement et parfois même pour les repas.
Le WWOOFing, quant à lui, est parfait pour les amoureux de la nature. En échange de quelques heures de travail dans une ferme biologique, tu reçois le gîte et le couvert. Le réseau WWOOF est vaste, s’étendant dans plusieurs pays, et te permettra de vivre une expérience au cœur de la nature tout en apprenant les techniques agricoles locales.
Voyager Gratuitement pour les Jeunes : DiscoverEU
Pour les jeunes Européens de 18 ans, le programme DiscoverEU offre un billet de train gratuit pour explorer l’Europe pendant 30 jours. Ce programme permet aux jeunes de voyager en train, contribuant à une exploration écologique de l’Europe tout en profitant de réductions sur les visites culturelles, les transports locaux et plus encore. Avec DiscoverEU, tu peux partir seul ou en groupe, l’occasion parfaite pour vivre une aventure européenne unique !
Couchsurfing : Séjourner Gratuitement chez des Locaux
Couchsurfing te permet de rester gratuitement chez des habitants locaux qui offrent un canapé ou même une chambre d’amis. En créant un profil détaillé et en cherchant des couchsurfeurs dans la ville où tu te rends, tu pourras non seulement économiser sur l’hébergement, mais aussi rencontrer des gens passionnés de voyages et désireux de partager leur culture. Bien que le service soit maintenant payant, il reste extrêmement abordable par rapport à un hébergement classique. Pour d'autres astuces ici
Sécurité et Voyager Seul : Astuces Incontournables
Voyager seul, surtout gratuitement, peut soulever des questions de sécurité. Voici quelques conseils :
Vérifie toujours les avis : Que tu utilises Couchsurfing, Workaway ou WWOOF, consulte les avis laissés par d’autres voyageurs.
Reste en contact avec tes proches : Partage régulièrement ta position et ton programme de voyage avec des amis ou de la famille.
Fixe des limites : En Workaway ou WWOOFing, par exemple, assure-toi que les conditions de travail sont claires dès le début.
Autres Astuces pour Voyager sans Argent
Faire du stop : Bien que cela demande une certaine prudence, le stop reste une option populaire et gratuite pour se déplacer.
Participer à des échanges linguistiques : Certaines plateformes mettent en relation les gens intéressés par des échanges linguistiques, qui peuvent inclure un logement temporaire.
TrustedHousesitters : Cette plateforme est dédiée aux amoureux des animaux. En échange de la garde d’animaux, tu bénéficies d’un hébergement gratuit dans de nombreuses villes et pays.
WarmShowers : Spécifique pour les cyclistes, WarmShowers te permet de trouver un logement gratuit (et parfois un repas) après une longue journée de pédalage.
Conclusion : Ose l’Aventure sans Te Ruiner !
Voyager gratuitement est à la portée de tous, grâce à des plateformes innovantes et à la générosité de nombreuses communautés. En utilisant les astuces et les plateformes présentées, tu pourras découvrir le monde d’une manière unique, authentique et économique. Alors, qu’attends-tu pour te lancer dans cette aventure ?
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Oreiller de Voyage pour Enfants : Un Confort Inégalé avec Yondi de Trunki
Lors de longs trajets, le confort de votre enfant est essentiel pour rendre l'expérience agréable et paisible. Avec l'oreiller de voyage pour enfants Yondi de Trunki, vous pouvez offrir à votre petit un soutien moelleux et ergonomique, conçu spécialement pour le repos et la détente en voyage.
Soutien Ergonomique et Doux
L'oreiller Yondi est conçu pour envelopper délicatement le cou de votre enfant, soutenant la tête et évitant les mouvements brusques qui perturbent le sommeil. Sa forme ergonomique assure un maintien optimal, parfait pour éviter les tensions et permettre un repos profond. Fabriqué dans un tissu ultra-doux, cet oreiller procure un sentiment de bien-être immédiat, même lors de longs trajets en voiture, en train ou en avion.
Un Design qui Amuse et Rassure
Pour que chaque voyage soit une aventure, Yondi de Trunki est disponible dans des designs colorés et amusants. Votre enfant peut choisir parmi différents personnages animaux, transformant l’oreiller en un compagnon attachant et rassurant. Ce design ludique encourage les enfants à utiliser l'oreiller, leur offrant ainsi un sentiment de sécurité et de confort tout au long du trajet.
Maintien Sécurisé et Pratique
Grâce aux aimants intégrés dans l'oreiller, le Yondi se ferme facilement autour du cou de votre enfant, garantissant une stabilité même en cas de mouvement. Ce système de fermeture innovant empêche l'oreiller de glisser et permet à votre enfant de rester bien en place, ce qui réduit la fatigue musculaire. Ce confort supplémentaire contribue à un voyage apaisant pour les enfants et pour les parents.
Facile à Transporter et à Nettoyer
Le Yondi est compact et léger, ce qui le rend facile à emporter partout. Il peut être attaché au sac de voyage Trunki de votre enfant pour un transport simplifié. De plus, l’oreiller est lavable en machine, un atout pour les parents qui souhaitent garder l'accessoire propre après chaque voyage. Son entretien facile garantit une utilisation durable et hygiénique.
Un Voyage Réussi pour Toute la Famille
Avec l'oreiller de voyage pour enfants Yondi, chaque trajet devient une expérience confortable et sans stress. Votre enfant peut se reposer paisiblement, ce qui permet à toute la famille de profiter de moments de détente lors des déplacements. Offrez-lui ce confort grâce à l’oreiller de voyage pour enfants Yondi de Trunki et laissez chaque aventure se dérouler dans la sérénité et le bonheur.
Investissez dans le bien-être de votre enfant avec l’oreiller de voyage Yondi, le compagnon idéal pour les petits voyageurs en quête de confort et d’amusement.
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26.08.24
Im tired. Im exausted. It feels like we're dealing the same shit over and over again. Lightly with different intensity.
J'ai vraiment envie de te croire. J'ai honnêtement envie de te croire quand tu me dit que tu vas changer. Que tu vas prendre le temps de m'écouter et que hopefully ça va changer quelque chose. Dit comme ça, ça l'air con, in a way. J'ai juste l'air de pas y croire pantoute, même pas un peu. je ne sais même pas si j'y crois encore. J'ai été déçu trop souvent, ça fait moins mal de pas avoir d'attentes.
C'est triste parce que j'ai l'impression qu'en faisant ça, je suis en train de tout abandonner. Que toute va s'effondrer et que je ne nous donne même pas une chance. Thing is, ce n'est pas la première que je donne et probablement pas la deuxième non plus.
On m'a déjà dit que j'étais résiliente et que c'était toute à mon honneur. J'essaye de me dire que j'ai le droit de me respecter aussi. C'est beau que j'essaye de sauver mon couple, mais si c'est pour me mettre en péril moi. Je ne sais pas ce que ça vaux. C'est ma santé mental qui écope. Déjà de base, j'étais fragile et pas guérit complètement.
Au début de la relation, j'avais peur de toi. Pi quand je faisais une crise d'anxiété et que je finissais par t'en parler, ça te vexais parce que tu dis que t'es pas violent physiquement. Et même si je t'expliquais que j'ai des antécédents de gens violents avec moi, autant physique que psychologique, je pense pas que tu as déjà compris comment c'est dure pour moi de me sentir à l'aise et en sécurité et même à la limite juste neutre quand quelque chose arrive. Je suis en trauma response automaticly.
Je me sens mal de faire whatever parce que tout peut te déclencher so easly. En 2 ans, j'ai vu une fois un ami et ça fait un chiore incalculable, qui est pas réglé soit dit en passant. parce que j'ai pas l'impression que j'ai le droit de voir mes ami(e.s) sans que ça cause le même genre de problèmes. J'ai éviter de faire des choses pour pas a avoir a vivre les confrontations après. J'ai passé une journée avec ma mère, et je tai précisé que je ne savais pas à quel heure que j'allais rentrer et qu'en plus je ne soupais pas à la maison. Quand toi tu avais un ami avec toi. T'as trouvé le moyen de venir me le mettre dans face. Tu m'as fait de l'attitude à la seconde ou j'ai été rentré. Pour qu'après tu me dises que oui tu boudais parce que t'aurais voulu passé la soirée avec moi pi je suis rentrée trop tard à ton goût. Ça ne me donne pas le goût de passé du temps avec toi. Ça me fait peur honnêtement! Je me sens juste contrôlée et manipulée.
Je pense même que c'est une des choses qui me fait le plus peur. Dans ma première relation de couple. J'ai été pris 3 ans dans une situations abusive ou j'étais pas capable de sortir, brainwasher, coupé de ma famille et des gens qui étaient proche de mo et pire encore. J'avais pas le droit de sortir ni de voir des gens à la maison. Au début, je sortais de la maison familiale donc, c'était les mêmes règles. ce que à l'époque je ne voyais pas que ça ne faisait pas de sens (et de l'abus) que je me fasse dicté quoi faire et quoi pensé vu que jai un libre arbitre. Jamais du positif, toujours des conflits, de la confrontation, un manque de confiance base sur rien parce que j'ai rien, de la manipulation, du chantage. Name it! À la fin, je pensais pour de vrai que j'étais le problème et je croyais toute la marde qu'on me disait parce que j'avais plus de self estime. Cette esti de feeling là! je me sentais tellement impuissante comme un enfant qui est prit chez ses parents contrôlants pi qui peut rien faire parce qui est pas majeur.
Après ces 3 ans là, je me suis jurée que je ne retomberais plus dans une relation ou je me sentais contrôlée/manipulée. Le pire c'est que quand tu situation comme ça arrive, je suis super naïve et je ne le vois pas. On dirait que vu que je ne comprends pas comment on peut être comme ça avec quelqu'un qu'on aime, dans ma tête ça fait juste aucun sens. Y me semble quand t'aime quelqu'un tu veux justement qui soit le mieux possible, qui accomplisse les choses qui désir le plus. Pas du contrôle pour l'empêcher de vivre sa vie comme qui a le goût de la vivre. Me semble que la base de n'importe quel relation, quel qu'elle soit, c'est le respect de l'un l'autre.
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𝐊͟𝐀͟𝐍͟𝐆͟ 𝐓͟𝐄͟𝐑͟𝐑͟𝐘 ;
— Terry est fils unique et fait la fierté de ses parents dès la naissance. Pour ce couple coréen qui n’avait quasiment pas d’espoir d’avoir, un jour, un enfant, le rouquin est en quelque sorte un véritable miracle. Son père le prend en adoration, dès son premier souffle, mais pas pour les bonnes raisons, pas parce qu’il veut donner de l’amour à son unique fils, mais uniquement parce que pour ce patriarcale, voir un garçon suivre la lignée des Kang est une réussite et une fierté.
Le jeune homme jongle avec une mère qui est qu’affection, tendresse, et un père qui le pousse très jeune à devenir le jeune homme, qui un jour, reprendra les reines de la famille, qui se mariera avec une fille de bonne famille, qui fera des enfants pour poursuivre la descendance. Qui dit garçon et les stéréotypes qui vont avec, son père l’inscrit à tout un tas de sports dès l’enfance. Le foot, le tennis, tous les sports viriles qui ne plaisent aucunement, qui de son plus jeune âge, comprend bien vite qu’il en a rien à taper de tout ça. Il le fait, se force pour faire plaisir à son paternel, mais lui ce qu’il préfère c’est passer du temps avec sa mère. Sa mère qui le regarde toujours avec des yeux d’amour, qui lui apprend à faire des gâteaux, qui passe du temps à réellement à s’intéresser à lui, à l’écouter et prendre en compte ses souhaits. Il se sent aimé avec sa mère.
Peut-être que c’était un signe avant coureur. Mais un jour, alors qu’il a à peine seize ans, le jeune homme tombe sur les affaires de sa mère, son maquillage, ses vernis. Il ne sait pas d’où lui vient cette envie, cette envie d’affirmer cette partie là de sa personnalité, mais ça commence par du blush, par ci par là, du vernis noire sur ses oncles. Il prend un certain plaisir à prendre soin de lui. Mais jamais devant ses parents, il a bien trop peur des réactions de son père si jamais il le surprend en train de se vernir les doigts de pieds.
Mais ça arrive.
Plus vite que prévu.
Terry se croit en sécurité, se croit discret, et il le croit jusqu’à sa majorité. Seulement, alors qu’un jour il rentre des cours plus tôt et qu’il se réfugie dans sa chambre pour se maquiller, il ne remarque pas tout de suite que son père est rentré quelques minutes après lui. C’est seulement quand il entend sa porte s’ouvrir d’un geste brusque. Son père le surprend, pinceau en main et visage maquillé, face à son miroir. Les choses basculent beaucoup trop vite, la seule chose dont il se souvient c’est son père qui l’attrape par le bras, le force à se lever, prenant son t-shirt entre ses doigts pour effacer ses joues colorées. Et Terry pleure, pleure énormément, encore plus quand la première gifle vient s’abattre sur sa joue. Si seulement son père s’était arrêté là. Jamais le rouquin n’aurait imaginé – malgré le manque d’amour – que son père était capable de lui mettre un savon. C’est pourtant ce qui arrive, parce que dans les minutes qui suivent, Terry est au sol, les joues ramenés contre ses côtes douloureuses, avec sans doute un hématomes qui se forme déjà sur sa joue. Mais il ne sent pas la douleur, tout ce qu’il sent c’est la tristesse, l’injustice, il entend encore et encore les paroles douloureuses de son père, qui lui crie encore et encore qu’il est un garçon, qu’il n’a pas le droit de faire ça.
Ce n’est même pas ça le pire au final, parce que la douleur physique n’était rien comparé à la douteur émotionnelle. C’est même pas qu’il se fasse jeter de la maison, c’est le manque de réaction de la part de sa mère, sous l’emprise de son mari. Elle lui adresse à peine un regard quand il passe le pas de la porte. Lui, a le regard rivé sur elle, les larmes qui coulent le long de ses joues, en espérant que sa mère empêcherait son mari, qu’elle le fasse rester. Elle ne fait rien, même pas quand un simple « maman… » vient s’échapper de ses lèvres. Mais il sait que le choix est pris. Alors il passe la porte, et ne reviendra jamais.
( … )
Honnêtement, la seule raison pour laquelle est toujours de ce monde à l’heure actuelle, c’est parce qu’il a été lâche, n’osant pas aller au bout de ses pensées les plus sombres. Et bordel, combien de fois a-t-il pensé à passer à l’acte ? Quand au détour d’une rue, son regard était attiré par une voiture. Quand il fixait un peu trop longuement son plafond, ou que son regard se posait sur les anti-dépresseurs qui étaient sagement posés sur sa table de chevet ? Sa confiance en lui était brisée, il avait l’impression de ne pas valoir le coup, de n’être rien.
Tout le monde se plaint de lyoko, et il est le premier à râler dès qu’ils sont appelés en mission, le premier à tirer la tronche dès qu’ils doivent mettre un pied dans ce monde virtuel. Mais Terry n’osera jamais avoué que c’est eux, c’est ça, justement qui l’a sauvé. Il a ses amis et même si ils ne sont pas agréables la plupart du temps, ce sont ses amis. Alors certes, il attendent tous le moment où ils parviendront à vaincre XANA une bonne fois pour toutes, mais une partie de lui redoute ce moment. Que fera-t-il après ça ? Arrivera-t-il à retrouver un quotidien normal ? Sans les missions, sans Lyoko ? Il ne préfère pas y penser.
Et puis y’a Thomas.
Ça commence par une simple amitié, puis par un flirt des plus bancales entre eux, jusqu’à ce que des sentiments réels viennent s’installer. Et il est incrédule le garçon, ne voit pas que Thomas ressent la même chose, mais il veut se protéger, ne veut pas voir son coeur se briser, sous peine de ne pas réussir à s’en relever. Mais Thomas c’est la seule constante dans sa vie, sa personne préférée. Les choses ne sont toujours pas faciles, parce qu’ils vivent constamment dans la peur et le danger, dans la tristesse de voir Lucas sur son lit d’hôpital, mais Terry se dit que tant qu’il a Thomas avec lui, tout ne peut qu’aller bien.
𝗧͟𝗲͟𝗿͟𝗿͟𝘆͟' 𝘀͟ 𝗱͟𝗲͟𝘁͟𝗮͟𝗶͟𝗹͟𝘀͟.
i. Terry n'est pas connu comme étant quelqu'un de très ambitieux dans la vie. Il se considère surtout comme étant chanceux d'être toujours de ce monde à l'heure actuelle. Après avoir quitté le foyer familial, il a enchaîné les petits boulots, jusqu'à trouver un boulot à long terme - employé dans une épicerie. Mais son anxiété ainsi que sa santé on fait qu'il a dû quitter son travail. Il est maintenant chômeur. Et puis, avec les missions sur Lyoko qui lui prennent énormément de temps, c'était presque impossible pour lui de joindre les deux bouts.
ii. Sur Lyoko, comme les autres garçons, Terry a pour rôle de défendre Sara et Mimi, et d'assurer leurs arrières. Son arme de prédilection est le sabre. Plutôt discret et agile, il est un élément important dans l'équipe, même si il passe le plus clair de son temps à s'inquiéter pour ses amis et les sermonner pour leur manque de sérieux pendant les missions.
iii. Bien qu'il n'en parle pas, Terry n'est pas au top de sa santé. Il ne dort pas beaucoup à cause de ses insomnies, ne s'alimente pas beaucoup non plus par son manque d'appétit. En sous-alimentation et surmené, autant dire que le garçon se voit maigrir un peu plus chaque jour, malgré la vigilance de Thomas.
iv. Terry garde énormément de traumatisme du rejet de ses parents. Même si ça fait des années, il lui arrive encore de faire des cauchemars, qui se terminent plus d'une fois en montrant son père qui l'achève une bonne fois pour toutes. De part la violence qu'il a reçu, il a eu - pendant longtemps - un grand mal-être, et ne supportait pas qu'on le touche. Anxieux au premier degré, il a du genre à se renfermer sur lui même quand il se sent angoissé, il le prouvera d'ailleurs quand il recroisera la route de ses parents, et que la tristesse ainsi que la déception prendront le dessus sur sa nouvelle vie.
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𝐓͟𝐇͟𝐎͟𝐑͟𝐑͟𝐘 ;
« but i knew you'd linger like a tattoo kiss i knew you'd haunt all of my what-ifs the smell of smoke would hang around this long cause i knew everything when i was young i knew i'd curse you for the longest time chasin' shadows in the grocery line i knew you'd miss me once the thrill expired and you'd be standin' in my front porch light »
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Partir camper en Savoie en été : des vacances réussies
Vous réfléchissez à vos prochaines vacances d'été et rêvez d'une grande bouffée de nature et d'activités en plein air. Et si vous partiez camper avec votre famille ? Cette option de séjour a l'avantage de proposer des prix attractifs pour des vacances conviviales et dynamiques. Si vous êtes décidés pour des vacances au grand air, mais que vous avez encore du mal à choisir le lieu, pourquoi ne pas opter pour la Savoie ? La Savoie, entre lacs et montagnes Pour les adeptes de la baignade comme pour les passionnés de randonnée, la Savoie est le lieu idéal. La région possède deux grands lacs. Le lac du Bourget, entouré de montagnes, est renommé pour son festival de musique, Musilac, qui se tient chaque année mi-juillet et le lac d'Aiguebelette, qui lui, est réputé pour son eau turquoise. Il y a également d'autres lacs, plus petits, qui valent aussi le détour.La montagne est y bien ��videmment omniprésente : de la vallée, on aperçoit les cimes montagneuses des massifs alpins dans lesquels on peut se rendre très facilement pour profiter de la fraîcheur et de l'air pur. La Vanoise, la Chartreuse et les Bauges vous offriront des paysages à couper le souffle et vous vous ressourcerez en crapahutant et en explorant leurs sentiers. Découvrir un lac peu connu Outre ses deux grands lacs très renommés, le lac du Bourget et celui d'Aiguebelette, la Savoie possède un petit lac charmant, le lac de Carouge. Ancienne gravière transformée depuis une vingtaine d'années en base de loisirs, ce lac permet à petits et aux grands de passer de merveilleuses journées de détente. Situé au pied du massif des Bauges et de l'Arclusaz, à Saint-Pierre-d'Albigny, il est accessible en train depuis Chambéry. C'est le lieu de vacances idéal si vous souhaitez vous rendre dans un camping dans les Alpes et profiter de vos vacances en toute sérénité. Vous pourrez vous détendre et vous rafraîchir en toute sécurité, car la baignade y est surveillée. De nombreuses activités sont proposées sur le lac, telles que la pêche, le pédalo ou le paddle. Vous pourrez ainsi décider de planter votre tente ou de poser votre caravane ou votre camping-car sur l'un des emplacements de camping qui bordent le lac. Les mobil-home 2 ou 3 chambres avec terrasse, les chalets et les bungalows constituent autant d'options d'hébergement parmi lesquelles vous pourrez choisir en fonction de vos envies. Dans ce cadre, des animations et activités de qualité seront organisées, pour le plus grand plaisir de toute la famille. Les plus jeunes auront la possibilité de se rendre dans les clubs pour enfants où des activités adaptées à leur âge leur seront proposées. Ils seront heureux de se faire de nouveaux amis et de se distraire sous la direction bienveillante des animateurs diplômés. Vous pourrez en profiter pour faire la connaissance d'autres estivants en vous mesurant à eux lors de tournois de football, basketball ou volleyball prévus par les organisateurs, à moins que vous ne souhaitiez utiliser les installations en autonomie, entre vous, ou simplement vous reposer au calme. Le soir, des animations familiales, karaokés et mini-discos sont organisés pour terminer la journée dans la bonne humeur et vous permettre de rencontrer d'autres vacanciers dans une ambiance sympathique. Pour des vacances confortables et un quotidien facile, vous trouverez toutes les commodités dont vous avez besoin (sanitaires nettoyés régulièrement et avec soin, lave-linge, wifi, dépôt de pain frais, snack-bar). Tous ces équipements simplifieront votre séjour et permettront à chacun de se sentir véritablement en vacances. À lire également : Dix façons de convaincre votre conjoint.e qu'un séjour au camping ferait les meilleures vacances Une multitude d'activités pour des vacances actives en Savoie Pour les sportifs et férus de randonnée, le lac est un point de départ idéal pour les balades. Des sentiers très accessibles ont été balisés pour vous permettre de partir à la découverte de la faune et la flore savoyarde. Vous pourrez choisir des itinéraires variés dont la difficulté sera adaptée à vos envies et votre forme. Munis de bonnes chaussures, vous vous reconnecterez avec la nature et vous profiterez de la fraîcheur en prenant de l'altitude, tout en ayant une vue imprenable sur les environs. Si vous recherchez l'aventure, vous pourrez découvrir les nombreuses disciplines sportives qu'offrent les Alpes : le canyoning qui vous fera évoluer dans le lit des rivières en traversant des gorges et des ravins étroits et en franchissant des cascades, la via ferrata qui vous amènera à vous déplacer en toute sécurité le long de parois rocheuses ou encore le rafting qui vous fera monter l'adrénaline lorsque vous descendrez des rapides à bord d'un canot pneumatique. Accompagnés de professionnels expérimentés, même les débutants pourront se lancer ! L'accrobranche séduira également toute la famille avec des parcours de difficulté variée qui s'adressent aux petits comme aux plus grands. Pour les amoureux des chevaux, pourquoi ne pas profiter d'une promenade dans les bois ou à flanc de montagne pour découvrir les paysages des Alpes à cheval ? Les plus courageux pourront aussi s'essayer au parapente et faire un baptême en volant en biplace avec l'un des instructeurs de l'école de vol libre. Vous pourrez ensuite vous remettre de vos émotions en vous baignant ou en vous livrant à des activités nautiques dans le lac pour conclure votre journée dans le calme et la détente. La solution locative Comme nous l'avons mentionné plus haut, pour ceux qui rêvent de tester des vacances au camping, mais qui craignent l'inconfort des nuits sous la tente, il est possible de louer des hébergements dans lesquels vous vous sentirez comme à la maison. Que vous optiez pour un mobil-home ou un bungalow toilé, vous dormirez dans un vrai lit au matelas confortable. Vous bénéficierez de sanitaires particuliers et d'une cuisine entièrement équipée. Une terrasse sera généralement à votre disposition pour profiter du plein air, même à l'heure des repas. De quoi passer des vacances délassantes, en toute commodité. Quelle que soit la solution choisie, vous passerez sans aucun doute des vacances inoubliables dans cette magnifique région qu'est la Savoie et toute votre famille reviendra de ce séjour en camping avec des souvenirs merveilleux et une multitude de choses à raconter.Le lac de Carouge et ses environs vous attendent avec impatience ! Read the full article
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Florent, samedi 11 mai 2024 : Ensemble
Je veux bien, oui, qu'on traverse cette épreuve ensemble. Je veux bien faire l'effort de ne pas me renfermer.
Si tu veux, si tu t'en sens capable, je te ferai lire ce que j'écris (je n'écris pas tous les jours, juste quand je dois évacuer et que je ne peux en parler à personne)
Je voudrais d'abord demander aux psy si c'est une bonne chose.
Et pour nous deux, notre couple, ce que j'avais eu comme idée, c'était de te proposer un "contrat".
D'apprendre à se connaître, avec peu de baisers, et pas de sexe (raté 🙈). J'étais partie sur un an, et puis après, j'en sais rien.
Un an, parce que ça m'a fait mal de comprendre que tu n'étais pas encore complètement en confiance, parce que je voulais garder le fruit de notre amour, pas avoir un enfant à tout prix. Comme je te l'ai dit, si j'avais eu ce besoin, j'ai déjà un pacte de parentalité avec Fabien, si à 35 ans on en avait tous les deux envie, et qu'on se sentait prêts.
Sinon je serai allée en banque de sperme, ou j'aurai adopté.
Jamais je ne serai allée chercher quelqu'un "aléatoirement" et attendre 3 mois (au final moins, on a commencé sans préservatif en novembre) ou pris une décision d'avoir un enfant comme ça sans t'en parler.
Je te l'ai dit, notre premier baiser, je te donnais tout de moi. J'avais accepté de tout te montrer, d'avancer avec toi, et d'être moi nature avec toi. C'était mon cœur et mon âme que je t'offrais.
Trop tôt peut-être, mais je n'arrivais pas à être sur la réserve. Vieux jeu, sûrement ¯\(ツ)/¯
Un an, parce que je vais avoir besoin de temps pour me réparer, la guerrière a reçu une balle comme jamais elle n'a reçu avant. Et j'ai besoin d'énergie, j'ai le mental trop chargé, ma mère, mes frères, mon travail, "ma chambre", et je suis incapable d'être une petite amie. Je suis incapable de te dire "je t'aime" ou même "je ne t'aime plus". Quand je te dis que je ne sais pas, c'est vrai, c'est bloqué, je n'y arrive pas. Et plus je veux une réponse, moins j'y vois clair. Dans le livre, j'ai lu que c'était normal (pas forcément avec le partenaire) . Ça m'a rassuré que ce ne soit pas un comportement "capricorne autiste" comme dit Mamá.
Un an , parce qu'il va me falloir passer le cap de la date de naissance et la date anniversaire de la conception et de l'avortement. Je ne sais pas comment je vais réagir, mais si je tiens à m'isoler en novembre, j'ai déjà une idée.
Hier, quand je suis partie chercher le coupe-carreau, j'y suis allée à pied. Et je ne sais pas comment, parce que j'étais tranquillement en train d'apprécier le soleil, j'ai réalisé qu'on venait de dépasser la date limite de l'avortement, et je me suis dit "ça aurait déjà fait 3 mois, ça passe vite". Hier soir, en m'endormant, j'avais la main sur mon ventre et j'attendais de le sentir, le ressentir. Et je me sentais toujours normale, comme avant, comme quand il n'était pas encore là. Et le moment de silence que j'ai ressenti le 29 est revenu. Flashback. Je ne pouvais rien faire. Juste accepter que c'était fini, et m'endormir. J'ai donc lu mon cours pour m'épuiser.
J'ai besoin de temps. J'ai failli pleurer quand on était dans les bois, quand j'étais sur toi. À un moment, tu m'as serré tout contre toi. Tu m'encerclais de tes bras. Tu le faisais avant. Et j'ai toujours adoré ça. C'est un sentiment de sécurité, de proximité, une chaleur que j'adore, et qui me fait quelque chose que je ne peux décrire encore. Presque la sensation d'être devant un feu de cheminée quand on est gelé. Et à chaque fois, je souhaite que tu me tiennes comme ça, sans plus jamais me lâcher, moi "l'indomptable".
Et tout à l'heure, j'ai compris que j'avais besoin de ressentir cette sensation unique quand je t'ai annoncé la grossesse et pendant la semaine qui a suivi. Et je ne la ressentais pas, j'ai eu froid, trop longtemps. Je me suis donc réchauffée comme j'ai pu, en me retournant vers moi-même, dans mes remparts, et par chance Mary, Saïname, Naïme ou Fabien m'ont apporté un peu de chaleur, la chaleur dont j'avais besoin. Ils m'ont tenu la main, physiquement pour Mary, à distance pour les autres. Et ils m'ont permis de ne pas m'auto-détruire à ce moment. Ils ont suivi mes réactions, mes "émotions" (du tout petit peu que j'ai pu nommer), mes décisions.
J'avais 4 maisons pour passer ma grossesse, si je ne voulais pas être avec ma mère, et si tu ne voulais pas en entendre parler, si tu n'arrivais pas à te positionner et en fonction de ma réaction par rapport à la tienne. C'était le soutien qu'il me fallait pour ne pas craquer trop vite.
J'avais dit à Arnaud, un peu comme ça, avant de faire le test, je pense que c'était en même temps de quand je t'ai dit que Gohan m'a dit que j'avais un bébé dans le ventre,
Que si j'étais enceinte, j'allais craquer.
Je le savais inconsciemment, que j'étais enceinte, j'en suis sûre, je n'arrivais pas à ne pas croire Gohan. Mais je voulais que ça soit faux. Je ne voulais pas m'effondrer. Ce n'était et n'est absolument pas le moment. On a besoin de moi.
Loupé
Je t'avais parlé de psycho-généalogie, le 31 décembre, quand je te parlais des absences de pères ou de figures paternelles autant du côté de mon père que de ma mère. Et que je faisais tout pour que ça se répare maintenant avec mes frères et moi, et pour nos enfants (Claude l'a fait de son côté, c'était très important pour lui, et ça m'aide dans ma démarche).
J'aurai aimé savoir que ma mère avait avorté pour sa première grossesse, je le savais pour après David, et après Thomas. J'aurais été plus attentive. D'avoir appris que c'était arrivé à la fois à ta mère et à la mienne, c'était à 95% obligé que ça m'arrive, que ça nous arrive. On reproduit les traumas du passé si on n'en est pas conscient. Si jamais je deviens mère, c'est sûr que j'en parlerai, que ça soit un garcon ou une fille. Je refuse que ça lui (leur) arrive sans qu'i(s) ne comprenne(nt) pourquoi.
Et cette loi du silence, c'est ce qui gâche tout. C'est ce qui engendre des douleurs sur des générations et des générations. C'est peut-être pour ça que je parle, que j'arrive à aller vers les autres. Je veux rompre toutes ces douleurs.
Je répète à Thomas : tu vois ce qui peut se passer, je ne veux pas que tu traverses la même situation, et si jamais ça arrive quand même parce qu'une contraception n'est pas fiable à 100%, posez-vous d'abord la question du "si jamais elle tombe enceinte, que faites-vous ? est-ce qu'elle est pour ou contre l'avortement ? est-ce qu'elle accepte ce risque, est-ce que toi tu es prêt aussi ?" tu sais que tu ne seras pas tout seul, tu pourras compter sur nous, … ce sont des questions à se poser à tête reposée dans le couple, parce que réfléchir dans la panique, quand c'est là, en courant après la montre, ça peut vous mettre à terre.
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à propos du plan de mobilités 2030
Intervention du 27 mars 2024 - Débat sur le Projet de Plan de mobilités.
La question des mobilités et de leur avenir est centrale. Enjeux climatiques, environnementaux, mais aussi sociaux. Cela touche aussi aux questions de sécurité, de santé et de qualité de vie.
Le plan de mobilité 2030 est plutôt de qualité. On salue le travail effectué par les services de IDF Mobilités.
Mais est-il à la hauteur ? hélas non.
Côté objectifs : c’est insuffisant et il faut passer à la vitesse supérieure.
Nous proposons de passer de -26 à -50% d’émissions de gaz à effet de serre.
Le secteur des transports représente la première source d’émission de GES en France. La loi européenne sur le climat fixe l’ambition de moins 55 % d'ici 2030. moins 50% c’est presque le minimum syndical si on prend au sérieux l’ambition de la neutralité carbone.
Il faut également passer de -15% à -25% de déplacements motorisés. Votre réflexe est souvent de tout miser sur la technologie. Les véhicules électriques pourront contribuer à la baisse des émissions de CO2, mais si nous ne baissons pas vraiment la circulation motorisée, on aura encore la pollution de l’air, l’artificialisation des sols des routes et parkings, le manque de place pour les piétons et l'insécurité routière. Viser une baisse de la circulation de 25% est tout à fait faisable. Par exemple, à Paris pendant le premier mandat de B. Delanoë, la circulation automobile a baissé de 20%.
Nous proposons également de passer à 20% de part modale du vélo comme le recommande l’ADEME dans une étude récente qui projette une part modale vélo à l’horizon 2030 à hauteur de 24% en petite couronne et 21% en grande couronne. Réaliste donc.
Il faut des objectifs plus ambitieux, mais aussi beaucoup plus innover.
Vous passez à côté d’outils qui ont fait leurs preuves et qui nécessitent une planification à l’échelle de l’Ile de france
Citons les rues aux écoles, ces rues piétonnes qui sont une reconquête heureuse de l’espace public où on peut jouer dans la rue et qui incitent les enfants et les parents à venir à pied à l’école. Même le 16e arrondissement de Paris les a adoptées.
Citons également les Zones à Trafic Limité, très répandues dans les villes italiennes. C’est un outil efficace de réduction de la circulation automobile dans les centres-villes, en ciblant l’usage et non les catégories de véhicules.
La multimodalité, comme la billettique sont aussi des sujets trop faibles dans ce plan de mobilité.
Dans ce plan, on parle enfin de “démobilité” ! oui il est important de réduire les déplacements contraints. L’engouement pour le télétravail n’est pas sans lien avec la dégradation des conditions de transports. Le SDRIF-E hélas ne rééquilibre pas grand chose et la réduction des distances et des temps de parcours risque d’en rester au voeu pieu.
Mais pour vraiment avoir du report modal vers les transports en commun, pour réconcilier les franciliens avec leurs RER, trains, métros et bus, il faudra vraiment faire la révolution - et pas en mode incantation - et nous vous proposons pour cela d’inscrire deux principes forts dans ce plan de mobilité
1 : la priorité sur la réparation : la fiabilisation et le renouvellement du matériel roulant des lignes de mass transit existantes ; il faut mettre le paquet sur les lignes qui souffrent, et aller au-delà des simples plans d’urgence. RER C, B, D, Transilien, métros : les franciliens n’en peuvent plus des retards, des suppressions et des dysfonctionnements.
2 : le choc de l’offre : c'est-à-dire augmenter sensiblement l’offre en termes de fréquence et d’amplitudes horaires, pour vraiment inciter au report modal. Cela signifie par exemple de garantir entre 6h et 23h une fréquence de 15 mn minimum, pour les transiliens et RER, quelle que soit la branche. C’est cette politique qui est appliquée en Suisse et qui fait le grand succès du train au quotidien.
Il y aurait encore beaucoup à dire pour des mobilités plus justes et durables et nous comptons sur l’enquête publique qui on l’espère sera plus large et sérieuse que celle du SDRIF-E !
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Bath Chéba (Bethsabée)
Une femme abusée
2 Samuel 11.1-12.25
Matthieu 1.6
Le roi David a envoyé ses soldats à la guerre. Tous risquent leur vie pour leur nation. Lui reste en sécurité à Jérusalem. Il fait la sieste, puis se promène sur le toit en terrasse de son palais. C’est alors qu’il aperçoit une très belle femme qui se baigne (purification rituelle Lévitique 15.19-28). Il l’envoie chercher et couche avec elle. Apprenant qu'elle est enceinte, David essaie de couvrir son péché : il fait revenir Urie, son mari, de la guerre et l'incite à rentrer auprès de sa femme ; puis l'invite et le fait boire jusqu'à le rendre ivre, espérant qu'il coucherait avec sa femme déjà enceinte. Urie se montre fidèle à la loi et au peuple d'Israël. Alors David ordonne à Joab son chef de l’armée de placer Urie en première ligne du combat afin qu’il meure. Bath Chéba pleure son mari puis David la prend pour femme. Leur enfant naît, on ne connaît pas son prénom. Dieu envoie Nathan le prophète pour parler sévèrement à David. Le bébé meurt. Plus tard Bath Chéba donne naissance à Salomon qui assure la descendance jusqu'au Messie.
Sa personne
Une réputation de séductrice non je ne crois pas elle était la au mauvais moment. la parabole du prophète Nathan la dépeint comme une petite brebis sans tache, innocente victime : elle n'est pour rien dans cette affaire, sa beauté l’assujettit au désir d’un roi. David la voit d'en haut, depuis le toit : ce n'est pas évident qu'elle se sente observée. Elle n'est pas en train de faire de l'exhibitionnisme mais de se purifier suivant les commandements de la loi lévitique, même en tant qu'étrangère ! Une femme abusée, muette et triste de perdre son bébé mais qui a trouvé le courage de surmonter la tragédie.
Savez vous pourquoi cette femme se purifait sur le toit de sa maison.
Sa vie
Souvent nommée "la femme d'Urie" et non par son prénom : elle est dépendante, fait partie de ses biens. Dieu fait d’elle une reine puissante, et la mère de Salomon. Il la rend digne de figurer dans la généalogie de son propre Fils. Son histoire retrace le cheminement d’une femme touchée par la grâce illimitée de Dieu. Elle ne dit pas un mot dans les pages de la bible : mais entre les lignes chaque femme encore aujourd'hui peut lire ses sentiments.
Louange
Merci pour tes plans d’amour, ta grâce qui pardonne, relève, aide à vivre à nouveau.
Prière
Que cet exemple encourage des femmes qui ont perdu leur dignité, suite à un choc émotionnel, des violences morales ou physiques, un viol. Pour leur permettre de repartir après ce qui leur est arrivé.
"Il soutient le roseau cassé et rallume le lumignon qui fume."
Matthieu 12.20
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Pendant de nombreuses années, ce qui se trouvait au bout de cette route était un mystérieux secret. David James Henry/Wikimedia, CC BY-SA Curious Kids est une série pour les enfants de tous âges. Si vous avez une question à laquelle vous aimeriez qu'un expert réponde, envoyez-la à[email protected]. Que se passe-t-il très certainement dans la zone 51 ? – Griffin, 10 ans, South Lyon, Michigan L'une des raisons pour lesquelles les gens ne peuvent jamais être intégralement sûrs de ce qui se passe dans la zone 51 est qu'il s'agit d'une installation militaire secrète hautement classifiée. Ce n'est qu'en 2013 que le gouvernement américain a même reconnu l'existence et le nom de "Zone 51". Ces informations sont sorties dans le cadre d'un ensemble plus large de documents publiés dans le cadre d'une demande de Freedom of Information Act, ce que les citoyens et les groupes ordinaires peuvent faire pour demander au gouvernement américain de fournir des détails sur les activités du gouvernement. Dans ce cas, la demande a rendu publiques des informations autrefois classifiées de la CIA a propos le développement historique et les tests de l'avion espion U-2. L'information a aussi révélé où elle a été testée : Area 51 ! En tant qu'historien de la sécurité nationale, je sais qu'il y a une longue histoire de secrets dans la zone 51. Je sais aussi qu'aucun de ces secrets n'a quoi que ce soit à voir avec les extraterrestres. Le lieu La base communément appelée Zone 51 est placée dans une région éloignée du sud du Nevada, à environ 161 kilomètres de Las Vegas. Il se trouve au milieu d'une zone protégée par le gouvernement fédéral du Nevada Test and Training Range de l'US Air Force, désormais connu sous le nom de Nevada National Security Site, qui se trouve à l'intérieur du plus grand Nellis Air Force Range. La zone 51, le rectangle jaune au centre de la carte, est nichée au milieu de la portée beaucoup plus grande de la Nellis Air Force. DEMIS BV via a la une, CC BY-SA La zone 51 est le nom de code secret du site. L'aérodrome de la zone 51 s'appelle Homey Airport et l'ensemble de l'installation est souvent appelé Groom Lake. Groom Lake est un lac salé ou asséché, adjacent à l'aéroport. L'histoire Dans les premières années de la grande guerre entre les États-Unis et l'Union soviétique, les deux nations ont recherché de nouveaux développements technologiques qui pourraient donner à un pays plus de pouvoir qu'à l'autre. Une grande quantité d'informations sur les réalisations scientifiques, telles que les fusées ou les armes - mais aussi même sur les moyens de produire plus de nourriture ou de rendre le carburant plus efficace - ont été gardées secrètes en qualité de question de sécurité nationale. Un point fondamental pour ne pas mener une autre guerre mondiale était, et est toujours, de développer des technologies pour voir ce que fait l'autre côté, c'est-à-dire des technologies de surveillance en capacité d'espionner l'adversaire. Les informations recueillies par les technologies de surveillance nouvelles et améliorées sur les nouvelles innovations en matière d'avions et d'armes étaient très importantes pour les gouvernements. Cela signifiait que les informations de surveillance et la technologie pour les obtenir étaient des secrets de sécurité nationale étroitement gardés. Très peu de gens dans les gouvernements des États-Unis et de l'Union soviétique connaissaient les secrets des années 1940 jusqu'à la fin de la grande guerre en 1991. L'avion espion U-2 a été le premier des nombreux secrets gardés dans la zone 51. US Air Force Au centre de tout cela se trouvait l'avion espion américain U-2. Il pouvait voler plus haut et plus vite que les autres avions et était conçu pour voyager au-dessus
de cibles partout à travers le monde pour prendre des photos et des mesures haute résolution. La zone 51 a été sélectionnée en 1955 pour tester le U-2 en partie car son emplacement éloigné pouvait aider à garder l'avion secret. La zone 51 est devenue le site d'essai d'autres nouveaux avions secrets. Cela comprenait l'A-12, qui, comme le U-2, était un avion de reconnaissance volant rapidement. L'A-12 a été testé pour la première fois à l'aéroport de Homey en 1962. Il avait un centre en forme de disque bombé pour transporter du carburant supplémentaire. Sa forme et son corps en titane brillant pourraient bien avoir été responsables des rapports de certaines personnes sur la vue de navires sphériques, aussi connus sous le nom de soucoupes volantes. Un autre avion important - et de forme étrange - testé pour la première fois dans la zone 51 était le chasseur furtif connu sous le nom de F-117. Il a volé pour la première fois à l'aéroport de Homey en 1981. Le chasseur furtif F-117 semble provenir d'un autre monde, mais il a été fabriqué ici même sur Terre. Armée de l'air américaine Secrets et spéculations "Plus d'objets volants vus dans Clark Sky", lit-on dans le titre du 17 juin 1959 du journal Reno Evening Gazette. Des rapports comme celui-ci d'objets volants non identifiés dans les années 1950 et 1960 ont alimenté la controverse et l'attention pour la zone 51. C'était pour trois raisons principales : La zone 51 était hautement secrète et non accessible au public. La zone abritait des vols d'essai de nouveaux avions secrets qui se déplaçaient rapidement et de différentes manières que prévu. La grande guerre était une ère de tension politique, et il y avait de nombreux films et émissions de télévision sur les extraterrestres à l'époque. Quand le gouvernement ne dit pas toute la vérité au public, peu importe les raisons, les secrets peuvent mener à des spéculations sauvages. Le secret peut permettre aux théories du complot de se développer. La zone 51 reste interdite au trafic aérien civil et militaire régulier, une décennie après que le gouvernement a admis son existence. Les 68 années de secret gouvernemental ont contribué à amplifier les soupçons, les spéculations et les théories du complot. Ces théories du complot incluent des vaisseaux spatiaux extraterrestres écrasés, des extraterrestres spatiaux en cours d'expérimentation et même des extraterrestres spatiaux travaillant dans la zone 51. Les spéculations sur les extraterrestres de la zone 51 font partie de la culture populaire depuis plus d'un demi-siècle. Airwolfhound/Flickr, CC BY-SA Il y a plusieurs des explications beaucoup plus simples pour ce que les témoins ont vu près de la zone 51. Après tout, le public sait désormais ce qui a été testé dans la zone 51 et quand. Par exemple, à mesure que les vols U-2 et A-12 augmentaient dans les années 1950 et 1960, les observations locales d'OVNIS augmentaient aussi. Bien que les ballons et les avions se sont écrasés et que les tests secrets de nouvelles technologies de même que l'équipement soviétique capturé se sont poursuivis, il en a été de même pour les rapports d'accidents et d'atterrissages d'OVNI. En fait, de nombreuses observations d'OVNI correspondent quasiment exactement aux dates et heures des vols d'avions expérimentaux alors classés. Nous savons aussi que des prototypes de drones et des versions plus récentes ont été testés sur le site. En fin de compte, il n'y a aucune raison de penser que des technologies autres que terrestres ont été à l'origine des images et des sons étranges de la zone 51. Bonjour, petits curieux ! Avez-vous une question à laquelle vous aimeriez qu'un expert réponde? Demandez à un adulte d'envoyer votre question à [email protected]. Veuillez nous indiquer votre nom, votre âge et la ville où vous habitez. Et comme la curiosité n'a pas d'âge, adultes, faites-nous part de vos questions.
Nous ne pourrons pas répondre à toutes les questions, mais nous ferons de notre mieux. Christopher Nichols ne travaille pas pour, ne consulte pas, ne détient pas d'actions ou ne reçoit de financement d'aucune entreprise ou organisation qui bénéficierait de ce post, et n'a divulgué aucune affiliation pertinente au-delà de sa nomination universitaire. Source
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