#Radicalisme
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vagabondageautourdesoi · 3 months ago
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I.Schilperoord-Le ciel était vide
Rentrée littéraire 2024, Inge Schilperoord publie son second roman Le ciel était vide, une exploration romanesque de l'adolescence et de l'islamisme radical.
Rentrée littéraire 2024 Exploration ROMANESQUE de l’adolescence et de l’islamisme radical Second roman de Inge Schilperoord, Le ciel était vide, traduit la fascination que peut représenter l’islamiste radical pour de jeunes gens fragilisés par leur adolescence et des souffrances difficilement dépassées. Au Vingt-quatrième sourate du coran et plus particulièrement au vers trente-cinq��An-Nur, la…
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mmepastel · 11 months ago
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Rholala ! Premier énorme coup de cœur cette année !
C’est ma libraire préférée qui me l’a déniché… elle commence à me connaître… elle m’a tendu ce livre qu’elle n’avait pas encore mis en rayon avec un air entendu…
BINGO ! En effet, c’est une belle pioche.
Tout d’abord, qu’est ce que j’ai ri ! L’autrice suédoise a un humour assez décapant, et un langage fleuri.
Faire connaissance avec ces sept sœurs finlandaises crasseuses et mal éduquées c’est comme une collision brutale et frontale. On les découvre à la foire, rare lieu où elles daignent frayer avec leurs semblables (quoique… elles semblent en effet faites d’un autre bois), dégoûtantes, provocantes, grossières, analphabètes et gouailleuses ; elles vendent framboises sauvages, peaux de bêtes -d’ours notamment. Bien obligées si elles veulent acheter bière, gnôle, cigarettes et essence pour le quad, saucisses et chips.
Johanna, Tania, Tiina, Simone, Aune, Laura et Elga ont toutes un caractère bien distinct, même si elles font corps pour survivre depuis qu’elles sont orphelines. L’ainée, Johanna, voue un culte à son père décédé, célèbre chasseur d’ours, et applique ses règles : se méfier de la société des humains et particulièrement des hommes, du pasteur, des assistantes sociales, de l’école, des huissiers. Elles sont hors registres, complètement sauvages dans la forêt, en autarcie. Et elles vont fuir encore plus loin, pour être sûres de ne pas risquer d’être embêtées, pour vivre à leur façon, la seule qu’elles connaissent à vrai dire. Elles rotent, pètent, pissent debout, se bagarrent sans cesse, jurent comme des charretiers.
L’entente entre elles, une force, une nécessité mais aussi une limite, se complexifie lorsqu’elles s’isolent complètement dans un endroit reculé de la forêt, et qu’elles font face à la faim et au froid. La rudesse de l’aînée, son radicalisme, empêchent certaines des plus sensibles de s’épanouir, comme par exemple Elga qui rêve de lire et d’exploiter ses fraîches connaissances en la matière, ou Laura qui n’aime rien tant que de sculpter des petits figurines malgré ses yeux de myope.
On lit ce livre avec le nez, et les odeurs ne sont pas toujours ragoûtantes. Ça ne sent pas que le sapin ou l’écorce de bouleau. Ce ne sont pas des grandes fans de savon, ni de ménage, et les peaux d’ours écorchés corsent l’affaire. On suit leur cheminement avec passion tant l’immersion est totale dans cet univers brut et sauvage, en s’émerveillant des reparties salées qu’elles se servent mutuellement, avant de se cogner jusqu’à faire valser des dents. Mais cheminement, il y a. Je n’en dis pas plus car le roman, inspiré d’un conte finlandais racontant les aventures de sept frères, est turbulent et haletant de bout en bout. Vont-elles survivre dans le froid ? Comment vont-elles échapper à la ville qui semble être le seul salut possible ? Ne vont-elles pas s’entretuer ou sombrer dans la folie ?
J’ai adoré cette histoire et le ton. Ces sœurs sont de vraies dures à cuire, des âmes bouillonnantes qui font jaser toute la région. Leur évolution est habilement menée, et leur amour de la forêt et de la liberté ne se trahit pas. On assiste à l’éclosion de leurs natures profondes. Il s’en est fallu d’un cheveu pour qu’elles y parviennent seules. Un conte féministe oui, assurément, avec de vraies héroïnes fortes et courageuses, un récit au verbe haut, débordant de vie et culotté. De la dynamite.
Je suis un peu dépitée de l’avoir si goulûment dévoré, aussi goulûment que Tiina aurait bu sa flasque de whisky, je ne crois pas que ce type de livre coure les rues. J’espère que d’autres romans d’Anneli Jordahl seront traduits, je suis addict de son écriture rigolarde et irrévérencieuse.
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aurevoirmonty · 1 year ago
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Formidablement ambitieux, Darmanin se sert de la dissolution d’association pour nourrir sa com’. Donner aux boomers centristes l’impression de frapper les « radicalismes », ça doit rapporter. C’est son calcul pour 2027. Mais, entre les mains de cet énième Machiavel et sous la pression permanente de la gauche, cette procédure est aussi un outil au service d’une répression idéologique qui s’acharne encore plus durement sur ceux qui veulent sauver leur culture que sur ceux qui veulent la détruire. Et la Justice, sur la même ligne, vient consacrer ce titanesque renversement de civilisation auquel le droit a déjà collaboré de façon décisive. En somme, il s’agit d’une justice politique.
Nicolas Lévine
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claudehenrion · 2 years ago
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Allonzenfants de la Patri-i-i-eu…
 Cet “édito” date un peu. J'ai commencé à l'écrire il y a 15 jours, sous le coup d'une forte “déceplère” –mélange de déception et de colère que notre Président semble vouloir susciter à longueur d'année, comme s’il voyait vraiment les français-de-base avec un béret vissé sur la tête et une baguette sous le bras… alors qu’au contraire, ce sont en majorité des braves types, plus qu'il ne le croit : même si une immense majorité, déçue, dit ne plus rien attendre du personnel politique, ils sont tout de même quelque 10 millions à revenir, à chaque allocution… pour entendre le bout de Marseillaise tronquée qui décrit bien notre époque, et qui est suivi par… le néant !
Même Hollande, à la fois nul et malfaisant, est battu ! Le gouffre se creuse comme jamais, entre les français et leur président (NDLR - Un lieu commun veut que l'on dise “et les élites”, mais c'est faux… tant est grande l'impression de vide sidéral qu'émettent l'Elysée et ses petits marquis sans noblesse. D'un autre côté, la nullité ahurissante des “touttcellzéceu” qu'il choisit pour l'entourer est telle qu'on comprend qu'il ait envie de gouverner seul !). Il est convenu de parler de mépris, de hauteur, d'arrogance… et il y a un peu de tout ça, c'est certain. Mais “pas que’’, et c'est là que tout déraille : il croit savoir, lui, ce que personne d'autre qui lui n'aurait compris et il pontifie donc depuis des sommets auxquels nous n'avons pas accès. Un vieux proverbe dit que “on peut avoir raison contre beaucoup… mais pas contre tout le monde”, mais pas lui. Il est une démonstration, voire la preuve consternante de ses propres limites : plus les français, exaspérés, lui hurlent (ou “casserolisent”) leur “ras-le-bol”, plus il assure qu'il les a compris et qu'il a changé ou va le faire… moins ils trouvent qu'il comprend et qu'il change. Est-ce que ça se soigne, Docteur?
En fait, son erreur remonte à loin ! Lorsqu'il a annoncé, puis répété et commenté, ès-fonctions, qu'il n'y avait pas de culture française mais des valeurs empruntées ici et là (qu'il s'est toujours bien gardé de “lister”, et pour cause : ce n'est qu’un agrégat d'idées chrétiennes mal comprises et “devenues folles”, pour parler comme le ferait Chesterton. Autant elles avaient un sens dans leur contexte, autant, étant récitées comme un mantra, elles ne veulent rien dire : on ne peut que “être d'accord” avec cette enfilade de truismes, de lieux communs et d'affirmations gratuites ! Tous les français qui écoutent  ses péroraisons pensent, abasourdis, que ce sont des effets de manche, des galéjades d'estrade. Mais pas du tout : sa méconnaissance de ce que sont la France et  les français est telle qu'il croit aux poncifs, clichés et contre-vérités qu'il éructe… Ce qui est grave, c’est que… culture, histoire, colonisation, fausse extrême droite et vraie extrême gauche, envies, rêves, rejet de ses faux “progrès”, mais rejet aussi du changement, besoin de stabilité... il a tout faux !
Mais en réalité, le fatras de pensées imparfaites qu'il croit pouvoir servir de re-fondement à la  permanence et à la sauvegarde de notre civilisation (à laquelle aucune autre ne peut être comparée  puisqu'elle a apporté à l'humanité un degré de bien-être réel, de bonheur potentiel et de réalisations dans tous les domaines, tels qu'aucune autre, jamais, n'avait même osé envisager…) remonte à bien plus loin : le mal qui ronge nos sociétés trouve sa source dans l’idée (fausse) d’un progrès cantonné aux domaines de la science, de la technologie, de l’économie et de l’organisation sociale, qui seraient l’alpha et l’oméga des besoins nécessaires à l'amélioration de la condition humaine –redéfinie pour l'occasion : “le Progrès” des progressistes n'en est pas un, et pourtant, en France, tout l'espace estampillé “Progrès” a été occupé par un radicalisme fait d'anticléricalisme par système, d'humanisme vidé de tout sens, et d'un républicanisme de bazar… d'où que les discours de nos dirigeants soient interchangeables, décourageants, et mortifères.
Une pensée est dite ‘’progressiste’’ lorsqu'elle voit dans tout “présent” un  progrès par rapport à toute époque passée, réputée primaire, ignorante et néfaste, alors que, paradoxalement, elle ne fait pas nécessairement un progrès du présent, qu'elle elle peut au contraire dénigrer au nom de la recherche d'une amélioration plus radicale, en prônant des valeurs dites “modernes” –qui ne sont, en réalité, que différentes. D'où la dérive intellectuelle qui a fait du progressisme une volonté d'imposer tout changement réputé social (?), même obtenu par la violence (par là même justifiée !). Au terme d'une évolution contrainte –mais globalement peu favorable à l'humanité et aux vraies aspirations des hommes– la dérive actuelle a débouché sur une croyance très largement répandue (bien que rien, jamais, nulle part, n'ait pu la justifier, et pour cause : les prémisses sont fausses !) : “gouverner, ce ne serait plus conserver, protéger et améliorer : c'est trans-for-mer”.  
Macron tient à cette fausse croyance : dans chacun de ses gestes, de manière presque “sectaire”, il est prêt à tout –il le prouve chaque jour, hélas !) pour que personne ne puisse croire qu'une pensée “autre” soit possible : il y a le bon (lui) et les autres, tous mauvais ! Rien, dans son inculture, ne vient lui souffler qu'avant de tout chambouler (ce qui veut dire : détruire l'existant, par définition), il faut essayer de “faire marcher, améliorer, perfectionner, etc… ” La seule chose qui compte, dans le système de mal-penser d'un progressiste, c'est qu'il faut et qu'il suffit de tout changer y compris l'Homme –et même en commençant là : “Du passé, faisons table rase”, chante l'Internationale. Tout est dit : l'échec est prévisible.
L'un après l'autre, ses discours tournent en rond autour les mêmes mauvaises idées : “il suffit que ce soit ’‘autre” pour que ça soit mieux’’. Alors il promet, d'ici au 14 juillet, “un monde du travail pacifié, des hôpitaux sauvés de la ruine (ou son impéritie les a plantés), des changements ’'perceptibles” à l'école’’ (traduction en français : on va continuer à laisser couler le niveau des élèves, mais Pap N'Diaye va mettre la puissance et l'endettement de notre Etat moribond au service d'une néfaste “inclusion”, d'une “mixité” perverse, des l'idéologies mortifères d'un égalitarisme-par-le-bas et d'un “endégueulassement” pour pervertir gravement notre jeunesse : rien ne doit freiner la mort de la race blanche !). Merci, Macron.
Pour “réamorcer la pompe” après ces quelques jours de repos, on se doit de demander combien ont coûté à notre Etat-mendiant le déploiement ridicule de 4500 gardes (3000 + 1500) pour surveiller un ballon rond dans un stade… où il ne s'est rien (vraiment : RIEN) passé. Cette terreur omni-présente qui transforme Paris en caserne, atteint des sommets… dans sa profondeur ! Et ce n'est pas le moindre des maux dont nous souffrons : à force de nous soumettre à un syndrome de confinement, de silence et de soumission, le pouvoir récolte la tempête : notre ex- ‘’Ville Lumière’’, n’est plus qu’une horreur, hâvre pour black-boks et ultra-gauche.
Au début de cet “édito”, je vous parlais de ma “déceplère”, ma “déception-colère”, qui est un état d'esprit amer et même triste qui m'est –normalement– étranger, et je m’en veux de donner l'impression que je ressasse : c'est vrai, pour une fois. Mais à qui la faute ? Et comment faire, devant ces champs de ruines ?
H-Cl.
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b4b3l-p4r4d0x3 · 2 years ago
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IA : Deux lettres, conséquences profondes.
Qu’elle soit perçue comme le paroxysme de l’évolution humaine ou comme une épée de Damoclès, l’intelligence artificielle ne laisse pas indifférente. Son affolante vitesse de développement soulève une foule d’interrogations en matière d’éthique et de sécurité. Parmi les inquiétudes, impossible d’ignorer le remplacement de la main-d’œuvre au profit de systèmes d’une rigueur inégalable, le contrôle machiavélique par des éminences grises ou l’accession d’une entité supérieure, nouveau dieu des sapiens, pour qui l’efficacité primerait sur l’humanité. Sombres présages ? Délires paranoïaques ? Spirale infernale ? Tout n’est peut-être pas si noir ! Il est temps pour les experts d’établir une stratégie afin d’éviter de se retrouver au bord du gouffre en se disant : « Si seulement… »
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Obsolescence humaine
Une étude menée de concert par les chercheurs d’OpenAI, entreprise créatrice de ChatGPT, et l’Université de Pennsylvanie, révèle que « près de 80 % des emplois aux États-Unis pourraient voir plus de 10 % de leurs tâches effectuées par l’intelligence artificielle, de même que 19 % des travailleurs constateraient une diminution de 50 % des leurs »[1]. Les changements les plus marquants seront principalement dans les domaines des langues, du service à la clientèle, de l’analyse de données et de la programmation. Imaginez, un salarié avec une énergie inépuisable, une expertise infaillible et surtout, une perpétuelle rentabilité. L’humain en emploi sera-t-il obligé de se plier aux exigences déraisonnables d’un passé pas si lointain, lorsque nous devions nous estimer heureux d’avoir un « job » ? Ne serait-ce pas là une excellente nouvelle pour les P.D.G. de ce monde ultra-compétitif où la productivité tend à l’emporter sur le bien-être ? C’est une réflexion plutôt décourageante, en particulier pour nous, futurs langagiers. Permettons-nous tout de même de prendre un peu de recul face à ces données. Bien que la traduction et la rédaction seront, hors de tout doute, profondément transformées, on ne doit pas perdre de vue que l’intelligence artificielle ne possède pas encore la capacité de faire usage de la pensée critique. Elle ne peut comprendre toutes les nuances du langage naturel telles que les allusions, le sarcasme, les sentiments. Peut-être deviendra-t-elle plutôt la plus fantastique alliée que l’on puisse trouver, un peu comme Jarvis, assistant virtuel de Tony Stark, dans Iron Man.
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Propagande infinie
Néanmoins, lorsque l’on parle de technologies qui ont un potentiel de bouleversement du cours de l’histoire, le pessimisme n’est jamais bien loin. Le retour d’un climat de « guerre froide » avec la Russie et la Chine ajoute un soupçon de doute. Le conflit en Ukraine a exposé un autre effet pervers de l’intelligence artificielle, elle est susceptible de servir des causes préjudiciables. La rapidité avec laquelle elle permet de créer de la propagande est phénoménale. Imaginez le robot emplissant l’intellect des masses de son fiel, lui-même provenant de sources contrôlées par des individus sans scrupules ne désirant que satisfaire leurs propres intérêts. Le raffinement de l’hypertrucage (deepfake) donne déjà à des êtres malintentionnés la possibilité de semer efficacement le doute dans les esprits. Nous risquons de nous retrouver perdus dans un flot incessant de fausses nouvelles qui nous emmureront dans des chambres d’écho. Ah ! Radicalisme insidieux, quand tu nous tiens ! Les modèles de langage comme ChatGPT ne sont pas en reste, car eux aussi connaissent des ratés. Lors de la programmation des algorithmes, il est très difficile d’éliminer les biais humains, ce qui donne inévitablement lieu à des réponses erronées. On peut d’ailleurs faire dire à peu près n’importe quoi au robot conversationnel en lui donnant les bonnes commandes et sortir ses propos de leur contexte. Des experts ont demandé un moratoire pour tenter d’établir un cadre réglementaire. Toutefois, la boîte de Pandore est ouverte. Pouvons-nous vraiment contrôler des organismes déterminés à imposer leurs valeurs et leurs motivations douteuses ? Eh bien, peut-être avec la création de logiciels de détection encore plus puissants ! Viendrait-on de s’engager dans une « boucle infinie » ?
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Réalité dystopique
Continuons un peu sur notre lancée fataliste… Si, dans notre recherche constante de l’assistant virtuel ultime, nous arrivions à concevoir LA « super intelligence », celle qui nous surclasserait à tous les niveaux, finirait-elle par juger que nous courons à notre perte ? Déciderait-elle, dans un élan salvateur, ou non, de prendre le contrôle ? Serait-on en mesure de la « débrancher » ? Et surtout, se laisserait-elle faire ? Facile de s’imaginer dans une réalité parallèle où le Skynet de Terminator fusionnerait avec le Big Brother d’Orwell.
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Avenir inéluctable ?
Bien sûr, il faut comprendre qu’il y a une part d’exagération dans certaines des hypothèses présentées plus haut, mais un processus de gestion des risques sérieux se doit d’envisager tous les scénarios possibles afin de concevoir, au meilleur des connaissances disponibles, une stratégie d’action efficace. L’incertitude étant inhérente à toute révolution, il est difficile d’avoir une idée immuable sur ce que nous réserve l’avenir, mais je préfère penser que l’intelligence artificielle sera le salut de notre espèce, celle qui nous mènera vers de nouveaux sommets de productivité et de compréhension, celle qui nous guidera sur le chemin d’une harmonie durable avec notre environnement. En revanche, je crois fermement que l’humain doit créer, car c’est ce processus de création qui a fait de nous ce que nous sommes, l’art, la littérature, la philosophie, le cinéma, etc. Évitons le piège de donner en sous-traitance l’essence même de notre identité.  
Et vous, comment voyez-vous cette prodigieuse avancée ? Propagandiste aguerri, dictateur implacable ou assistant loyal ?
[1] (Eloundou et al., s. d.), GPTs are GPTs: An Early Look at the Labor Market Impact Potential of Large Language Models, https://arxiv.org/pdf/2303.10130.pdf, (2023, 27 mars), p. 1.
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rcvandenboogaard · 2 years ago
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In DNBG: Majem en jajem
Raymond van den Boogaard memoreert ‘het radicalisme waarmee van de verdwijning van de meeste Joodse Amsterdammers gebruik is gemaakt om korte metten te maken met hun buurt’ aan de hand van Jong in de oorlog: herinneringen aan de Plantage-Weesperbuurt Amsterdam 1940-1945: ‘Amsterdam is door die dubbele slag van karakter veranderd, in stedenbouwkundig en cultureel opzicht.’ Toch kunnen heden en…
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snap221sn · 1 month ago
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Le radicalisme de Pastef…un danger pour le président Diomaye
Le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye a un véritable problème. Élu par 54% des sénégalais, il fait face au radicalisme du Parti des Patriotes Africains du Sénégal pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité (PASTEF). Les camarades de Ousmane Sonko veulent garder un œil sur tout ce que le chef de l’Etat veut faire. Cette […]
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plaques-memoire · 1 month ago
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Plaque en hommage à : Alexandre Ledru-Rollin
Type : Lieu de naissance
Adresse : 10 rue François Miron, 75004 Paris, France
Date de pose : 1908 [inscrite]
Texte : Ledru-Rollin, membre du gouvernement provisoire de 1848, promoteur du suffrage universel, est né dans cette maison le 2 février 1807
Quelques précisions : Alexandre Ledru-Rollin (1807-1874) est un homme politique français. Animé par des convictions républicaines, il occupe plusieurs fonctions législatives et est également brièvement ministre de l'Intérieur au sein du gouvernement provisoire de 1848. Il est un ardent défenseur du suffrage universel et est l'un des chef de file du radicalisme républicain de son époque. Sa carrière ne se fait toutefois pas sans heurts, en particulier en raison de son opposition aux conservateurs, et il doit d'ailleurs temporairement s'exiler en Angleterre pour échapper à la répression politique. Une avenue et une station de métro de Paris portent son nom.
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tastatast · 2 months ago
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LA TERMINOLOGIA GASTRONÒMICA
No sé pas com ens hi aclarim.
Fa anys que consumeixo, analitzo i creo contingut gastronòmic i sempre he sigut conscient del desgavell existent en la terminologia gastronòmica. Per això, he volgut fer un repàs a tots els aspectes on trobo aquesta manca de precisió.
Primer de tot, hi ha paraules de les que n’hem oblidat el sentit original, com per exemple:
Brutal: entenent que vol dir excepcionalment bo i oblidant algun dels seus sentits polisèmics com que és el propi de les bèsties, d’un animal irracional, d’una violència salvatge.
Radical: entenent sempre que es refereix a un extremisme revolucionari (com el radicalisme polític) i perdent el sentit que fa referència al relatiu a l’arrel, al principi d’una cosa i al que canvia de dalt a baix, com una reforma.
Producte: entenent-lo com un sinònim d’ingredient, aliment o primera matèria que obtenim directament de la natura per tal d’utilitzar-lo en un posterior procés de producció; quan, en realitat, significa resultat, és a dir, un element que ha patit un procés d’elaboració i s’ha transformat.
Producte natural o producte d’origen natural: entenent que és un producte saludable i lliure de productes tòxics, com si a la natura no hi haguessin productes tòxics, com si el petroli, per exemple, no fos un recurs natural. Precisament, un recurs natural com el petroli, dit ràpidament, és una acumulació de plàncton mort i matèria orgànica que queda entre el fang del fons de la conca sedimentària; tot plegat, oxidat per haver passat molt de temps sobre el fons marí i compactat i litificat degut a la pressió, la temperatura, els bacteris i la falta d’oxigen. Vist així, com una matèria feta a partir de plàncton, sona ben natural; ves que l’Ángel León no comenci a servir petroli!
Vi natural: generant la confusió d'entendre "natural" com a antònim d'artificial, quan artificial vol dir precisament "fet de la mà de l'home" i, per tant, tots els vins ho serien, ja que el vi no és un producte que aparegui a la naturalesa, sinó que l'home hi ha hagut d'intervenir per a cultivar el raïm i transformar-lo. O, per altra banda, entenent que "natural" vol dir poc intervingut, terme que tampoc trobo que s’escaigui del tot, perquè sembla que l’elaborador no se’n cuidi i els deixi “abandonats”, “descuidats”.
Productes processats i productes manipulats: entenent que són els productes comercials, fets per la indústria comercial, la indústria alimentària. El Celler de Can Roca és un restaurant que també forma part de la indústria alimentària, és una empresa que està al sector de l'alimentació, però quan parlem d’indústria no entenem sector alimentari, sinó fàbrica i, per tant, productes com un Tigretón o unes Oreo.
Cata: entenent-la com un tast (generalment de vins) quan, en realitat, en tot cas, només s’acceptaria com un tast d’un terreny per a fer-ne una anàlisi geològica. 
Bodega: entenent-la com un celler de vins quan, en realitat, és un espai situat sota la coberta superior dels vaixells mercants, destinat al transport de la càrrega.
Després, també hi ha tot un seguit de paraules que la indústria alimentària i la publicitat ens han inculcat com a pràcticament sinònims i no ho són, com pensar que els productes, pel simple fet de tenir un certificat ecològic i pertànyer a una associació privada són de més bona qualitat o com pensar que els productes vegetarians són tots saludables o que saludable és sinònim d’aprimar que, per cert, acostuma a fer referència únicament a baixar de pes, sense especificar si el que es vol disminuir són quilos de greix o de massa muscular, per exemple. 
Tot i que aquest tema va molt lligat a l’univers de les etiquetes i les contraetiquetes i del significat legal que tenen paraules com “sense sucre”, “sense sucres afegits”, “sucres naturals”, “sense additius”, etc. no hi entraré perquè ens allargaríem massa i ja hi ha advocats i nutricionistes explicant-ho molt bé. Però la mateixa confusió legal es genera amb segells, etiquetes i terminologia com "de corral", "de pagès", "semi pagès", "de granja", "criat en llibertat", "del país", "km0", "de proximitat" i tants altres casos.
Tornant a la gastronomia, també hi ha una sèrie de plats que trobo que sovint s’especifiquen poc o receptes amb conceptes molt oberts:
Amanida: tant entenem per amanida un plat exclusivament de vegetals (ja siguin únicament fulles o també tubercles, arrels, rizomes, tiges, llavors, flors, pètals, etc.) com un plat que porti també ou, llegums, formatge, pasta i, fins i tot, carn i peix. És a dir que pràcticament qualsevol recepta pot arribar a ser susceptible d’entendre’s com una amanida.
Una tatin es podria definir com un pastís de poma, però no tots els pastissos de poma són tatins, sinó que, més aviat, entenem per pastís de poma un pa de pessic amb gust i/o trossos de poma. La traducció de pastís de poma és un apple pie o apple cake? Per pie entenem més una empanada que un pa de pessic o un pastís amb una pasta brisada. Un pastís i una tarta són el mateix? Si a una carta llegim pastís de poma, què ens portaran: un pa de pessic o una pasta brisa, un pastís fred o calent, amb gelat o sense, amb la poma laminada, a daus o en crema, amb els elements integrats o una desconstrucció? Entenem un púding com un tipus de pastís?
Crema: tant pot ser una sopa de carbassa com una crema pastissera, de Sant Josep, com una crema sabaiona o una crema anglesa. I, segons l’idioma i la traducció, crème també pot ser nata, crema de llet, llet condensada o clotted cream i, fins i tot, un flam (crème caramel, que no una crema cremada, crème brûlée) o un cafè amb llet (café crème). Hi ha alguna acadèmia que indiqui a partir de quina densitat una elaboració líquida passa de ser sopa a ser crema?
També hi ha una sèrie de tècniques culinàries que trobo que són poc específiques i que, tal com passa amb la majoria de receptes, tenen un rang bastant ampli d’interpretació com:
Asar: on entenem que es fa, al forn o a la brasa? I, si és a la brasa, a quin tipus de brasa? O traduïm asar per rostir i, per tant, vol dir coure a la cassola? Però un asado argentino no es fa pas en una cassola. Un pollo asado és un pollastre rostit a la cassola o és un pollastre a l'ast?
Escalivar: on entenem que es fa, al forn, a la brasa o a la flama? I, si és a la brasa, a quin tipus de brasa?
Cocer: bullir una estona com els camarones cocidos o escaldar un instant com un huevo cocido? Però un cocido no és pas un bullit.
Coure: el verb és sinònim de cuinar, no especifica cap tècnica ni estri en concret. Entenem que hi ha hagut un procés tèrmic o que s’ha cuinat a través d’un medi àcid?
Estofar i guisar són sinònims? Si fem cas a l'IEC, no és pas el mateix.
A la planxa: ens referim a un producte cuinat en una planxa que podem situar tant a sobre d’una brasa com d’un fogó de gas com a sobre d’una placa d’inducció o ens referim a un producte cuinat directament a una planxa de crom? És possible que la tècnica sigui la mateixa però el fet d'utilitzar un aparell o un altre en varia el resultat.
A la brasa: a part de les paraules que generen confusió com graella, parrilla, grill o barbacoa, han aparegut tants aparells que imiten la brasa original, que trobo que sempre s’hauria de concretar més a quin sistema específic es fa referència. Estem acceptant per brasa aparells com les brases elèctriques de sobretaula i forns com un Josper, els Kamado o l’àmplia i variada oferta d’aparells diversos que ofereixen marques com Weber.
Lacar, napar i glassejar: volen dir únicament cobrir amb un suc o una salsa o hi ha, de manera intrínseca, el fet de fer-ho en fred o en calent o el fet que el resultat sigui mat o brillant?
També utilitzem com a referents gustatius productes que no hem provat mai. Al món del vi hi ha un munt d’exemples, com el gust de ratolí i el gust de llum. Però també passa a la cuina quan diem que les ametlles tenen gust de cianur, un verí totalment tòxic. El pinyol de les cireres, per exemple, conté unes substàncies que es transformen en cianur quan es digereixen. Si no trenquem el pinyol, no hi ha cap problema, perquè eliminem el cianur per la femta. Això sí, hem d’anar amb compte amb els productes com ara els licors que utilitzen el pinyol picat com a potenciador del sabor. Per no entrar amb l’umami, que cada cuiner gaudeix definint-lo a la seva manera.
A més, també hi podem sumar la falta de cultura general, tal com passa, sobretot al món del vi, quan parlem, per exemple, del roure de la regió d’Eslavònia (la comarca situada a l’est de Croàcia) i els vins d’Eslovènia (el país de l’Europa central, al sud d’Àustria i al nord de Croàcia), confonent molt sovint les dues regions.
Les cartes del restaurants i els recordatoris estan plens de faltes d’ortografia i de gramàtica i de males traduccions:
"Cuina cassolana" enlloc de "casolana", confonent cassola amb casa.
Traduint "codorniu" enlloc de "guatlla", torrija enlloc de "torradeta de Santa Teresa" o “panxeta” per panceta enlloc de cansalada viada, del coll, papada o a quin greix en concret fan referència.
El gaspatxo amb ensopecs enlloc d’entrebancs.
Els encurtits enlloc d'envinagrats.
Traduïnt malament crispy i crunchy i confonent crocant amb cruixent.
Traduint “xef de festa” per “chef de partie”.
Utilitzant paraules tan genèriques com shrimp, prawn o langoustine. Només amb gambes, hi ha una gran diferència entre la gamba vermella, la panxuda i la blanca.
Utilitzant langoustines tant pels escamarlans com pels llagostins i per a tota mena de crustacis.
Utilitzant lobster per referir-se a un llamàntol i no a una llagosta.
Confonent els lletons de xai amb el xai lletó. És a dir, escrivint lletó tant pel xai lletó o qualsevol animal que encara mama, de llet, com per lletó de xai, els menuts. I, tant pels lletons (també dits lleteroles, mollejas o lechecillas en castellà), que serien el timus de vedelles, xais i cabrits, com per les turmes (criadillas), que serien els testicles, i agreujant encara més el problema quan entrem en les traduccions a l’anglès, el francès i l’italià i els eufemismes que utilitza cada idioma com animelles, amourettes, frivolités, rognons blancs en el cas del francès; granelli o granelle en el cas de l’italià; i stones, Rocky Mountains oysters, prairie oysters, lamb friesolittle maid en anglès. A més, tampoc acostumen a distingir entre els lletons de la gola (més cilíndrics) i els del cor (més esfèrics i arrodonits). En resum, que al final (exceptuant una minoria de restaurants com el Gresca, La Tasquería o Le Baratin) sempre he d’acabar, en el millor dels casos i suposant que l’interlocutor sàpiga el que està servint, gesticulant amb el llenguatge dels signes i assenyalant-me a mi mateixa les parts del cos com si jo fos l’animal. Fins i tot a restaurants com Daniel et Denise del MOF Joseph Viola, un dels referents en la matèria de la cuina dels menuts, alguns cambrers no tenen ni uns coneixements mínims. 
No sumaré a aquest caos, la resta de glàndules i vísceres interiors, perquè la problemàtica esdevé impossible d’abastar aquí. Només pensem en la quantitat de vegades que hem demanat "cap i pota" i ens han servit tripa.
Confondre la preposició “de” per “amb”: Arròs de gambes quan és un arròs (amb un fons de verdures o del que sigui) i amb gambes (a la planxa o on sigui, però fetes a part) disposades a sobre.
Parmentier de llobregant: ens serviran un puré de llamàntol (un llamàntol triturat) o a un puré de patates amb trossos de llamàntol per sobre?
Generant redundàncies com: a la manera meunière o steak tartare de vedella.
Confonent receptes com la “llebre à la royale” amb la “Royal de llebre”.
Complicant definicions com dir-li suc d'oliva a l'oli.
No vull ni tocar el tema dels errors a les cartes de vins, perquè ocuparia tot un llibre, a part de discutir les classificacions i vocabulari que utilitzen moltes vegades, totalment impresentables i dignes d’aixecar-se i marxar, al meu entendre, ja que és un aspecte elemental i que poden haver treballat i cuidat amb antelació.
Mantenim el terme en la llengua originària o el traduïm al nostre idioma? 
Llebre a la reial o lièvre à la royale? Traduïm llebre però no “à la royale”? Royal o Royale? Amb majúscula o amb minúscula?
Bistec tàrtar o steak tartare?
Una écume és una escuma, però ho entenem tots que una escuma és la de sifó i, en canvi, el terme en francès s’usa per a l’elaboració clàssica de les escumes?
All blanc o ajoblanco?
Una royal és un flam, una mousse, un chawanmushi o una escuma? Ha d’estar feta al vapor o s’accepta també una elaboració feta al bany maria?  
Si escrivim haute cuisine en francès ens referim al període (a la dècada dels 70 i els 80) i si diem “alta cuina” en el nostre idioma (alta cucina, alta cocina, etc.) vol dir que ens referim a la cuina dels restaurants i els hotels de luxe per contra de la cuina de tavernes i la casolana o la percebem tal com l’entén la Michelin, qui la utilitza per a referir-se a restaurants cars que se suposa, segons els seus crítics, que són de qualitat? O entenem alta cuina com a sinònim de cuina d'autor, cuina creativa, cuina d'avantguarda i fine dining? Incloem també la cuina tradicional o ens referim només a la cuina tecnoemocional? Potser haute cuisine, entesa amb el seu significat original, és un anacronisme perquè avui en dia, amb la quantitat de conceptes de restauració que han sorgit, fins i tot una benzinera es pot arribar a considerar un restaurant.
SEGONA PART
Personalment, quan escric Tast a Tast, sovint no trobo la paraula exacta que defineixi al que m’estic referint. Em passa, sobretot, a l’hora de parlar d’estils culinaris, de l’estil que té el cuiner a l’hora de cuinar. Trobo que puc enumerar els ingredients que utilitza, classificar-los (cars o barats, locals o importats), veure els grups d’aliments servits (fruita, verdura, carn, peix, ous, arròs…), la quantitat d’ingredients per plat, com els combina, quines tècniques utilitza, el tipus de receptari, puc descriure la manera d’emplatar, la quantitat de plats i com estructura el menú, els perfils organolèptics que utilitza, intentar descobrir-li el procés creatiu i la font d’inspiració, puc intuir de quins cuiners és deixeble i qui segueix la seva estela, puc definir el concepte de restaurant, etc. És a dir, puc anar desgranant tot un seguit de característiques, però no puc concloure aquests trets, el decàleg del seu pensament i el seu estil, en una o dues paraules que defineixin l’estil en qüestió.
Després de publicar el meu escrit sobre La cuina del minimalisme progressiu, tenia preparat enllaçar-lo amb el present article de la terminologia gastronòmica i en Philippe Regol em va enviar el seu “Nouvelle Cuisine, Bulli i Cuina progressiva” que enllaço perquè crec que se li pot tornar a donar vida i que segueix sent perfectament vigent. En Philippe explica el que en Ferran Adrià va intentar en una ponència de Madrid Fusión 2006 en la que proposava a un seguit de congressistes que llegissin 23 aforismes sobre les diferents línies d’El Bulli, entenc que amb l’objectiu de debatre sobre els diferents estils de cuina que havien sorgit aquells últims anys i posar nom a aquell moviment. Van sortir paraules com cuina post-moderna, transavantguardista, lògica o evolucionista, però cap d’elles, tal i com podem comprovar 18 anys després, ha arrelat. A l’article, en Philippe també explica que cada vegada els estils i les revolucions culinàries avancen més de pressa i creu que hi ha d’haver una massa crítica que defineixi les diferents corrents gastronòmiques.
Vist amb la perspectiva dels anys, per començar, trobo que ni tan sols sabem si estem intentant definir conceptes, estils, gèneres, modalitats, moviments, temàtiques, tipus, escoles, corrents, èpoques, etapes, moments històrics, filosofies, disciplines, modes, tendències, enfocaments, revolucions, renovacions, actualitzacions, modernitzacions, recursos, catalogacions o què exactament. La Nouvelle Cuisine va ser una moda, una època o un estil?
De la mateixa manera, mai sé si dir que un plat (una recepta) s’inventa, s’idea, es crea, es concep... I, també, crec que tampoc tenim gaire clar o no diferenciem prou entre el que és un gourmet, un gourmand, un gastrònom o un foodie. I, sobretot, entre el que són els crítics gastronòmics, els periodistes gastronòmics, els crítics de restaurants, els que puntuen i qualifiquen restaurants o els escriptors que escriuen sobre cuina, ja sigui d'història, de receptes o de manera més literària.
A més, també hi ha la qüestió de qui ha de ser l’encarregat de designar, anomenar, denominar, batejar o posar nom. A qui se li atribueix aquesta tasca? Als cuiners, als clients, als influencers, als periodistes gastronòmics, a les agències de publicitat i comunicació, a una massa crítica aparentment inexistent, a personalitats d’altres camps com arquitectes, crítics de literatura, filòsofs, sociòlegs, físics i químics, fotògrafs, dissenyadors, filòlegs, lingüistes, historiadors, escriptors i teòrics, odontòlegs, estomatòlegs? Qui seria a la gastronomia la figura del que representa el musicòleg en música? És a dir, qui seria la persona que estudia la cuina des d’un punt de vista científic, ja sigui en el terreny de la tècnica, l’estètica o la història?
Fent un breu repàs al llarg de la història de la gastronomia, trobem exemples d’una gran varietat de personalitats.
Periodistes, editors, escriptors i crítics gastronòmics com:
El considerat com el primer crític gastronòmic, Grimod de La Reynière (s. XVIII-XIX), podríem dir que va encunyar la paraula gastronomia que, suposadament, devia sorgir a les trobades setmanals que feia a casa seva als Camps Elisis amb els qui van formar el primer jurat culinari, publicant les valoracions a l’Almanach des Gourmands (1803-1812), una mena d’antecessora de l’actual Guia Michelin, ja que els 8 volums que es van publicar van conformar la bíblia dels paladars erudits de l’època.
L’enginyós Curnonsky parlava de la Cuisine impromptue (cuina improvisada) com una de les 4 branques en les que dividia la cuina francesa (juntament amb l’Haute cuisine, la Cuisine bourgeoise i la Cuisine regionale) i que entenia més com una forma d’art; per tant, tot i que estés feta, d’arrel, amb el que tenia a l’abast (la llebre que havia matat en un accident de cotxe, l’ocellet que volava en el trajecte d’uns perdigons disparats, el peix que es va deixar pescar, les herbes dels marges dels rierols, etc.), entenc que és el que vindria a ser la cuina d’autor, creativa o d’avantguarda d’avui en dia.
L’Henri Gault i en Christian Millau (juntament amb el periodista i editor André Gayot) van inventar (o més ben dit, utilitzar) el terme Nouvelle Cuisine a la revista Le Nouveau Guide (1973) per a referir-se a la nova cuina que va sorgir a França als anys 70. Tot i així, encara que deixessin bastant clar el decàleg amb l’essència i els manaments d’aquesta corrent, la terminologia no em sembla la més idònia, ja que, segons com ens ho mirem, es podria considerar com la tercera Nouvelle Cuisine que hi va haver a França, sent la primera la d’en Menon el segle XVIII (l’inici de la cuina culta pública a Occident) i la segona la d’Escoffier, Nignon, Montagné i Philéas Gilbert durant la Belle Époque a principis del segle XX.
El cronista gastronòmic Jean-Marcel Bouguereau parla d’una Vraie cuisine.
En Philippe Regol que, tot i ser cuiner i no periodista, l’incloc com a crític gastronòmic, parla de la “Cuina d’impacte”, entenc que de la mateixa manera que hi ha un periodisme d’impacte. És a dir, una cuina en la que els plats ens emocionin, ens sorprenguin (épater), ens fascinin, ens enlluernin, ens impressionin profundament i, fins i tot, ens inquietin o pertorbin i ens facin reflexionar. Possiblement, aquí també hi entraria la cuina espectacle, convertint el servei en tot un show i una performance més que en una cerimònia elegant. 
En José Carlos Capel reivindicava el terme d'en Vázquez Montalbán i que ja havia proposat, també, en Francis Paniego, Neo-Cuina.
En Pau Arenós parlava de la cuina tecnoemocional (2006).
En Jaume Coll parlava de la cuina Adriànica (2010) fent referència, a la vegada, a l'emperador de l'Imperi Romà, Hadrianus.
La Isabel Acevedo va definir la cuina del Granja Elena com "alta cuina de barri".
L'Steve Plotnicki utilitza la "cuina progressiva" a la llista Opinionated About Dining (OAD) des del 2007.
En Juan Manuel Bellver parlava de cuina tecno(lògica) el 2007 o de la cuina del tiqui-taca el 2018.
Els escriptors i periodistes Paul Levy, Ann Barr i Mat Sloan van encunyar el terme "foodie" l'any 1984 per al seu llibre The Official Foodie Handbook (El manual oficial per als "comidistas"), que vindria a ser un anglicisme per a un amant del bon menjar en llenguatge informal, tot i que tambe s'entén com un sibarita, un gourmet i, fins i tot, un "cocinillas" que fa de la seva passió un estil de vida.
Físics i químics:
Com el químic Hervé This qui, el 1988, va encunyar el terme “cuina molecular i física” juntament amb el físic hongarès Nicholas Kurti. Es tractava d'una disciplina científica que entenc que estava basada en la ciència de les transformacions moleculars a la cuina i que va treballar, des de l'any 1998, juntament amb en Pierre Gagnaire qui, curiosament, crec que mai ha fet una cuina amb la fredor tècnica amb la que associem aquesta definició i amb la que ell no s'ha identificat mai. Per tant, quan a posterior hem utilitzat el terme "cuina molecular" pràcticament com a sinònim de "cuina tecno-emocional" ho hem fet de manera errònia? This, Kurti i Gagnaire no es referien al que entenem per la cuina molecular que van desenvolupar en Ferran Adrià o en Blummenthal?
Anys més tard, el 2005, en Ferran Adrià parlava més d’una “cuina d’investigació i de coneixement” que d’una cuina molecular, ja que per a ell la cuina molecular no era un tipus de cuina (sinó que el fet que el món científic i especialistes d'altres àmbits entressin a la cuina va portar a una nova etapa, no a un nou estil) i ja que creia que el món científic és una de les potes per a crear, entent que crear tant passa per buscar nous productes, com parlar amb els proveïdors, com saber que el bacallà pertany a l'ordre dels gadiformes, etc. que la cuina necessitava l'ajuda del món científic per avançar i entendre coses que els cuiners desconeixien i que crear no és pas aquella visió esbiaixada que es té d'un "geni creador" que es desperta un dia amb una idea revolucionària, sinó que s'ha de treballar cada dia.
This també va introduir el "constructivisme culinari”, relacionant la cuina amb l’art (entenc que amb el constructivisme rus de Malévich o el neoplasticisme d’en Mondrian i en Ben Nicholson?). I també, juntament amb en Pierre Gagnaire, van desenvolupar aquest concepte, preferint-lo al terme de "tecno-emocional".
This també va introduir la "cuina abstracta".
Ell mateix, l’any 1994 també va proposar la “cuisine de synthèse” (cuina sintètica), sobrenomenada “cuisine note à note” (cuina nota a nota).
El científic americà Michael F. Jacobson, advocat defensor de la nutrició, va encunyar el terme junk food (menjar escombraria o porqueria o comida basura) l'any 1972, tot i que el 1948 ja es va començar a parlar de cheat food, el menjar enganyós, fals menjar o menjar trampa, conegut també com a HFSS food (high in fat, salt and sugar food).
Fotògrafs i arquitectes que, a la vegada, són considerats gastrònoms: 
Com en Bob Noto qui, el 1997, quan en Ferran Adrià i tot el seu equip estaven treballant amb el llibre “Los secretos de El Bulli”, va ajudar a posar nom a la desconstrucció bulliniana de la que ja n’eren conscients des del 1995 però que, fins llavors, anomenaven “plats reconvertits”, ja que "descomposició" tampoc era una bona alternativa per raons òbvies. A pesar de ser reacis a utilitzar terminologia d’altres àmbits (en aquest cas, de l’arquitectura i la crítica literària), tal i com podem comprovar, en aquest cas, sí que podem dir que la paraula va acabar quallant.
Dissenyadors:
Tal com va passar a Itàlia el 2002 quan va aparèixer el terme Food Design a Torino, durant el concurs desenvolupat per l'estudi OneOff, amb acadèmics, dissenyadors i cuiners com en Ferran Adrià, en Heston Blumenthal, en Davide Scabin (Combal Zero) o en Grant Achatz. La cura pels emplatats, l’estètica dels plats i de les vaixelles, portant estris d’altres àmbits a la cuina, però també dissenyant-ne de nous, tant per a cuinar com per a servir el menjar en recipients com les provetes de laboratori o les famoses pinces d’en Luki Huber per a El Bulli, etc.
Tot i així, trobo que la unió entre el món del disseny i el de l’alimentació es podria remuntar a la Revolució Industrial, quan es va generar la diferenciació entre la vida urbana i la vida rural, canviant la cultura alimentària, convertint els aliments en productes de consum, deixant de comprar directament al productor per a comprar al supermercat i en grans superfícies comercials i apareixent el màrqueting alimentari, un altre exemple d’unió entre el disseny i l’aliment.
Sociòlegs:
Com l'Iñaki Martínez de Albeniz, qui parla de la gastronomia expandida al seu llibre El idiota gastronómico, on també proposa altres paraules com: metagastronomia, gastrologia enlloc de gastronomia (ja que diu que estem a la societat del coneixement i no de la norma, el "nomos"), comersación, cocinatorio, foodgitivos, gastronormatividad, etc. La idea diu que és renunciar al poder per a fer-se complementari amb tot.
Cuiners: 
Diferents cuiners han anat encunyant i definint diferents tipus de cuina: la Cuisine minceur (1975) o la cuisine de santé d’en Michel Guérard, la Grande cuisine bourgeoise (1976) de l’André Guillot, la Cuisine du soleil (1978) d’en Roger Vergé de Le Moulin de Mougins, la Cuisine légère (1981) també de l’André Guillot, la Cuisine spontanée (1982) d’en Frédy Girardet, la Cuisine immédiate (1988) i la cuina abstracta d’en Pierre Gagnaire juntament amb l’Hervé This, la Cuisine de l'émotion (1992) d'en Claude Peyrot de Le Vivarois de París, la Cuisine de civilité d'en Bernard Pacaud, la Cuisine de voisinage (de barri, de veïnatge, de l'entorn) de l'Alain Passard, la Cucina Pop (2003) d’en Davide Oldani, la cuina de salivació d’en Xavier Pellicer (2009?), la cuina holística d’en Rasmus Munk (2015) que entenc com a sinònim de la cuina total o cuina absoluta (fent referència a l’art total, com el Gesamtkunstwerk d’en Wagner, que integrava diverses arts com la música, l’escena, el ballet, la mímica, la pintura, etc.) i arribant, fins i tot, a definicions tan poc entenimentades com la cuina punxada en un pal (2020) del francès Ludwig Amiable i l’uruguaià Andrés Bluth del Palo Verde (Barcelona).
Per altra banda, la Nueva Cocina Vasca (1976). Desconec qui va encunyar el terme, si els cuiners o algun dels moderadors que van participar a la “Mesa Redonda sobre Gastronomía” com en Víctor de la Serna, en Rafael García Santos, en Rafael Ansón o en Néstor Luján; però, com la Nova Cuina Catalana o la Nuova Cucina Italiana, totes elles es van limitar a traduir el terme francès de la Nouvelle Cuisine, tal com es va fer, i ja he explicat, amb l’Haute Cuisine.
També trobem la “cuina gourmet” o “cuina gastronòmica”, com si hi hagués alguna cuina que no entrés dins la definició de gastronomia. Només cal pensar en la infinitat d’hotels que defineixen el restaurant car i refinat, el que possiblement té alguna estrella, com el “gastronòmic” i, en canvi, el bistreau com el senzill, amb menys bon parament i més econòmic, com si aquest no es considerés gastronomia.
Influencers:
Amb definicions tan vanitoses, indefinides i irritants com la “cuina cuqui"; la "cuina gamberra”; la “cuina canalla” (thug kitchen), tal com Michelle Davis i Matt Holloway van titular el seu llibre el 2016 i que s'hauria d'entendre com una cuina violenta, agressiva i censurable; el “menjar guarro” (que pràcticament vindria a ser el junk food); o el “food porn” que, tot i que s'hagi desenvolupat sobretot a xarxes socials com Instagram, va ser un terme encunyat pel periodista Alexander Cockburn el 1977 o, més ben dit, per la crítica feminista Rosalind Coward el 1984.
Podria seguir posant molts més exemples, però m’aturaré aquí.
Després de fer aquest breu repàs al llarg de la història i veure quines personalitats han sigut les qui han anat definint diferents estils de cuina i veient com moltes d'elles no han acabat quallant i com encara avui no tenim una terminologia amb la que ens sentim còmodes, el que em pregunto és: hem descuidat aquesta tasca o ja no li donem importància? Sempre hi havia hagut un grup o una revista (ja fos el el Club des Cent, Club de Gourmets, Cahiers du Cinéma o els Joves Amants de la Cuina), una taula rodona o unes trobades entre un grup més o menys reduït de cuiners, crítics i intel·lectuals. En el cas de les revistes i pàgines web, quines serien l’equivalent avui en dia: 7 Caníbales, la revista Cuina, Apicius, Tapas, Innoble, Foodie? Hem deixat de fer taules rodones i hem deixat de reunir-nos sense cap més interès que el de cuinar i parlar de cuina tot reflexionant sense càmeres ni focus? Aquelles jornades ingènues i plenes de companyerisme s’han transformat en congressos egòlatres i exclusivament promocionals com Fòrums, San Sebastian Gastronomika, Madrid Fusión, Alimentària, Identità Milano i Andorra Taste?
Algú ha vist o llegit mai el decàleg de la Michelin, els The World’s 50 Best, la OAD o la Guía Repsol? El client de la Michelin va passar de ser el comensal per a esdevenir el cuiner i el restaurant, va desaparèixer la massa crítica i ens hem encarregat de silenciar i amagar els pocs que queden amb la virtut i el coneixement necessaris per a aquesta tasca. Això sí, hem guanyat els reels accelerats, els influencers cuquis i positius, les històries d’autosuperació, les cròniques propagandístiques, els sopars de gala, els podcasts on tot és "wow" i "buf, que fort", els milions de fotos que milions de foodies publiquen cada dia a Instagram i els haters del Twitter que, tot i que puguin tenir més o menys raó, no deixen de ser irrespectuosos i malparlats. Els espais de debat (lliures i de qualitat) han desaparegut per donar pas a totes aquestes alternatives, altaveus que només repliquen idees preestablertes per a vendre sense cap matís crític. Tot i que fos de manera una mica anàrquica, cuinaven tots i convidaven a amics (sí, també a algun mitjà de comunicació), però eren uns laboratoris en els que intercanviar i discutir idees, per a cuinar, per a experimentar amb nous ingredients i crear nous plats.
Trobo que la desaparició d’aquesta massa crítica provoca que, ni el cuiner s’esforci per tal de satisfer un client exigent (irrisòriament existent), ni el client exigeixi una qualitat mínima al restaurant perquè ni s’ha format, ni cuina, ni llegeix cap text crític i de qualitat. Quantíssims restaurants viuen actualment del visitant que vol fer-se la foto amb el cuiner que surt a la televisió o el possible gourmet que vol fer el check a la darrera novetat per dir que ja hi ha estat. Un exemple paradigmàtic és el fet de comprovar com una quantitat ingent de gastrònoms han anat a tastar l’hamburguesa d’en Dabiz Muñoz servida a un establiment de menjar ràpid. Què esperaven trobar? Tan innocents som? Per no parlar dels grups de comunicació, amb l’exemple clar de Vocento (que tant són jutges com parts). La lògica empresarial fa que estiguin a mercè dels seus propietaris, comuniquin els interessos dels seus clients (distribuïdors i restaurants) i tinguin a la majoria de periodistes gastronòmics sota el seu eixopluc.
LES CONCLUSIONS
La conclusió, per una banda, és que no s’ha arribat a cap conclusió, que el vocabulari que utilitzem és poc precís i que l’utilitzem pràcticament de manera aleatòria i sense parar-nos a pensar què estem dient.
Cada disciplina té un vocabulari diferent, però en cuina, trobo que tot queda molt poc definit i ambigu, obert a interpretació. Trobo a faltar un vocabulari consensuat, un enfocament sistemàtic del tast, una acadèmia universal amb les traduccions ben aplicades. 
Com que de moment sembla ser que no existeix i tot plegat és tan inexacte, una vegada més, crec que l’argumentació és fonamental.
No sé parlar. No sabem parlar. I, si no sabem parlar, com caram ens hi podem aclarir tots plegats? Parlen de “desaprendre” i encara hem d’aprendre a parlar (i encara que ara no vingui al cas, també hem d’aprendre, primer de tot, a anar a comprar!).
Em refot no saber prou anatomia ni biologia per saber quines parts dels peixos em menjo i tant m’agraden. Dels cefalòpodes tant en diem el cul, la boca com el sifó i confonem els ous amb els ovaris. Sovint em pregunto: és el fel, la melsa, el líquid de la medul·la espinal, algun líquid limfàtic, la sang coagulada? És el cor o algun gangli? Són els espermatòfors?
Quan feia notes de tast de vins, tot i haver après a detallar i descriure un vi fins a més de 2 pàgines, alguna vegada havia fet l’exercici d’intentar endevinar, només llegint aquella nota de tast, a quin vi m’estava referint. I, quan em llegia el resultat, m’adonava que aquella descripció podia servir també per a una infinitat de vins, a part del que jo m’havia referit. És a dir, en paraules, molts vins de llocs molt llunyans encaixaven en aquell perfil; en canvi, tastant a cegues era capaç d’endevinar la regió, la varietat, l’anyada i, fins i tot, amb una mica de sort, alguna vegada el productor i la vinya. Això vol dir que, en algun moment, les meves papil·les gustatives i el meu cervell sabien detectar més matisos dels que era capaç de posar en paraules utilitzant un munt de descriptors i definint tots els aspectes a analitzar d’un vi.
La Wikipedia ni tan sols diu el mateix, moltes vegades, en diferents idiomes (almenys els que més consulto, que són català, castellà, anglès, francès i italià). 
La majoria de diccionaris (IEC, Enciclopèdia, RAE, Oxford, el de l’Académie française) no han admès la majoria de terminologia gastronòmica que utilitzem i si comparem entrades, una vegada més, trobem definicions diferents per a un mateix mot. 
No em vull ni imaginar com deu ser una fitxa de producció o el servei a les cuines d’aquests restaurants amb tants stagiers d’arreu del món: amb japonesos, xinesos, coreans, italians, catalans, peruans, mexicans, americans, canadencs, escocesos, etc. amb els diferents graus de domini de l’anglès i el francès de cada cuiner i la varietat d’accents i dialectes. Si a un simple raor (Xyrichtys novacula) a Calella li diem rasor i a Sant Pol, al poble del costat, li diuen llorito, amb la riquesa lèxica i amb la multitud d’ingredients que hi ha a restaurants com el Noma i tota l’estela de cuiners que intenten seguir els seus passos, com caram s’entenen? I els clients, com tenen la mínima idea de què caram estan menjant? Potser és per això que decideixen servir caviar, que a tot el món s’entén. 
Desconec si hi ha cap ciència que tracti la taxonomia gastronòmica, és a dir, la classificació, la catalogació, la nomenclatura i la identificació (la circumscripció) de la terminologia en grups basant-se en els seus trets comuns. Però trobo que ens seguim referint a diccionaris i receptaris del segle passat o més antics i tot i em sembla que La Guide Culinaire d’Escoffier o el Larousse gastronomique s’han quedat obsolets en molts aspectes. A més, referent a les acadèmies que seguim i que tenim per model, la meva pregunta és: quina és l’acadèmia universal vàlida per a dir, quan mengem, per exemple, una llebre, que aquella recepta és l'acadèmica si, només a aquests quatre llibres que menciono a continuació, tots mencionen receptes diferents? Le cuisinier françois de François Pierre de La Varenne, Le Grand Dictionnaire de cuisine de l’Alexandre Dumas, la Guide Culinaire d’Escoffier, el Larousse gastronomique (la versió de quin any?), el receptari de Le Cordon Bleu, la col·lecció de "Les Recettes Originales de..." editada per Robert Laffont i dirigida per Claude Lebey i que també es podria reconèixer com un resum de les bases de la cuina francesa moderna. Ens referim a les tècniques que apareixen a Modernist Cuisine: The Art and Science of Cooking d'en Nathan Myhrvold, a La scienza in cucina e l'arte di mangiar bene d’Artusi, al Corpus de Cuina Catalana, a La Teca de l’Ignasi Domènech, a El Amparo de les germanes Azcaray, a l’Enciclipedia culinaria. La cocina completa de la María Mestayer (la Marquesa de Parabere), a les receptes d’Scoolinary o a les d’en Brutal? Quina és la salsa holandesa acadèmica: la d'Escoffier, la de la Marquesa de Parabere o la d'en Gagnaire? La que porta mignonnette, la que porta llet o la que porta farina?
Si encara no ens hem posat d’acord amb el nom que posem a l’estil bullinià, no sé pas on em vaig ficar intentant posar nom a l’estil que els veia en comú als 11 restaurants de l’article de La cuina del minimalisme progressiu. Per sort, sí que està ben explicat, detallat i argumentat (sobretot a l’anàlisi individual de cada cuiner i restaurant), però per falta d’una nomenclatura i una classificació més precisa, no estan englobats en un moviment. Una de les conclusions a les que vaig arribar és que hi ha moviments culinaris sense nom.
Tinc la sensació que cada vegada és més complicat establir definicions. Potser sí que només ens podrà salvar el propi Ferran Adrià de tot plegat i només ens queda resignar-nos a resar i esperar que la Bullipèdia hi faci més que nosaltres. Sinó, al final sempre acabem amb allò que només hi ha dues cuines, la bona i la dolenta.
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Sébastien Delogu : Quand l'imposture devient une méthode
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C’est l’histoire d’un mec qui à force de vociférations* et de diatribes enflammées, a réussi à s’ériger en symbole d’un certain radicalisme « made in LFI », une cocarde* sur le cœur et une logorrhée* débridée dans la bouche. Mais derrière l’éloquence approximative et les appels à la révolution permanente, il y a peut-être bien plus de mystère que de vérité. Sébastien Delogu, le député LFI et héros local des quartiers marseillais, s’est illustré ces dernières semaines par des déclarations qui auraient fait blêmir même le plus aguerri des polémistes. Attaques frontales contre la République, cette même République qu'il est pourtant censé défendre depuis l’Assemblée nationale et égarements verbaux dignes d’un débat de comptoir, il devient l’homme dont on se demande chaque jour s’il a, au moins une fois dans sa vie, ouvert un manuel d’instruction civique ou un petit Robert. Et c’est là que le bât blesse, Delogu n’est peut-être pas celui qu’il prétend être. À mesure que ses sorties médiatiques se font plus tapageuses, il apparaît de plus en plus évident que la pensée ne suit pas la parole. À force d’enfiler des perles idéologiques avec la délicatesse d’un bulldozer, ce chantre de l'insoumission semble s’emmêler dans sa propre incohérence. L’instruction en question : un député en roue libre On est en droit de se demander si Sébastien Delogu, adepte des coups de gueule, a déjà pris le temps de s’asseoir pour, disons, se pencher sur quelques pages d’histoire politique et de la France aussi, car on l'a vu, l'histoire n'est pas son fort. Entre appels à la désobéissance civile et confusion générale autour des principes fondamentaux de la République, ses interventions ressemblent parfois à un sketch improvisé, où l’on attend presque le rire enregistré en fond sonore. Qu’il s’agisse de déclarations incendiaires contre le gouvernement ou de prises de position invraisemblables, Delogu ne fait jamais dans la dentelle. D’ailleurs, il pourrait s’agir d’une stratégie bien mal pensée, certes, mais une stratégie tout de même. En occupant l’espace médiatique avec une virulence exagérée, l’élu se place en "vrai insoumis", sorte de chevalier blanc de la démagogie ou des caniveaux. Pourtant, derrière ces airs de tribun* des temps modernes se cache un homme dont le parcours laisse perplexe. Un passé opaque, des propos de plus en plus contradictoires… et si Delogu n’était tout simplement pas celui qu’on croit ? Ha oui, sur l'une de sa dernière bourde et son fameux « Je ne sais pas qui est Pétain », c'est quand même drôle qu'un membre d'un parti aux propos antisémite ne connais pas Pétain ? On devrait avoir a faire à un adorateur, non ? Imposture ou simple manque de rigueur ? Si l’on en croit certaines rumeurs (et parfois les rumeurs sont bien plus crédibles que les discours politiques, n’est-ce pas ?), Sébastien Delogu pourrait bien être le fruit d’un malentendu colossal. Ses origines, son parcours, ses connaissances en politique, tout cela semble parfois plus flou qu’un bulletin de vote à la mairie de Marseille. Des journalistes investiguent discrètement et, Internet étant ce qu’il est, quelques internautes zélés se sont déjà lancés dans la chasse aux incohérences. Ce qu’ils trouvent ? Des éléments troublants. Des contradictions entre ses discours et ses actes, des propos enflammés qui frisent l’hérésie républicaine, et un parcours académique qui, pour rester poli, semble plus que sommaire. L’étiquette "député" colle mal à la réalité d’un homme qui semble avoir pris l’Assemblée pour un ring de boxe avec les idées en moins. Le grand bluff de la politique ? Mais n’est-ce pas là la plus grande escroquerie de notre temps ? Sébastien Delogu incarne à merveille cette époque où l’agitation verbale suffit à masquer l'absence de fond. Ses interventions à l’Assemblée ne sont plus des débats, mais des performances théâtrales où chaque mot est jeté comme une grenade dégoupillée. Le plus fascinant dans tout cela ? C’est qu’il y a encore des gens pour applaudir. Pourtant, si l’on gratte la surface (et croyez-moi, il ne faut pas creuser bien profond), on découvre un personnage dont le discours est aussi creux qu’une promesse de campagne. Un imposteur à l’Assemblée, mais pas à la cantine Au final Sébastien Delogu est un peu comme ce collègue qui parle fort à la machine à café, mais qui oublie systématiquement de mettre de l’eau. Il s’agite, gesticule, hurle contre un système qu’il ne semble pas vraiment comprendre, et le plus inquiétant, c’est qu’il est payé pour ça. On dit souvent que la politique est un cirque, mais avec Delogu, on a carrément embauché le clown pour jongler avec les lois et les principes républicains, en espérant que personne ne se rende compte que ses balles sont crevées. Alors imposteur ou simple acteur de sitcom de quartier ? Une chose est sûre : si la politique était une épreuve de culture générale, Delogu serait recalé… avec mention "insoumis à la pédagogie". Mais heureusement pour lui, la République ne demande pas de réciter la Constitution pour entrer à l’Assemblée, il suffit de savoir lever la main et râler assez fort. En attendant, on lui souhaite bonne chance pour les prochaines échéances électorales… et surtout, qu'il évite de s'emmêler dans les couloirs du Palais Bourbon, où même le plan de sortie semble parfois plus compliqué que ses discours. Allez Sébastien, un peu de rigueur ! Et si ça ne marche pas, il y a toujours une place à prendre à la cantine de l’Assemblée, il paraît que là au moins, ils ne demandent pas de connaître la Déclaration des Droits de l'Homme pour servir le plat du jour. Delogu est-il un imposteur ? Peut-être. Mais il est surtout le reflet d’une dérive politique où l’apparence compte plus que la substance. Un homme qui crie fort pour masquer qu’il n’a rien à dire. Un député qui confond ses coups d’éclat avec des idées, et qui, de surcroît, semble avoir une vision bien personnelle de la République… celle où l’on piétine les principes quand cela arrange son discours. Dans tous les cas, une chose est sûre : si Sébastien Delogu est une imposture, il est l’une des plus bruyantes que la scène politique française ait produite ces dernières années. Quant à savoir si ses électeurs s’en rendront compte avant la prochaine échéance électorale… là est toute la question. David SCHMIDT - Content de vous apprendre des nouveau mots, que j'ai moi-même appris grâce à Clément Viktorovitch, politologue, chroniqueur et auteur français. Il enseigne la négociation et la rhétorique à Sciences Po Paris je vous conseille son livre : Le Pouvoir rhétorique : Apprendre à convaincre et à décrypter les discours. Vociférations : Parole bruyante, prononcée dans la colère. Cocarde : Insigne aux couleurs nationales. Logorrhée : Un écoulement de parole, plus fréquemment utilisé dans le théâtre de l'absurde avec un débit monotone. Tribun : Dans l'antiquité c'est un Magistrat romain chargé, à l'origine, de l'administration d'une tribu. Ici, dans le sens littéraire, un tribun est un orateur populaire à l'éloquence puissante et directe. Read the full article
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vagabondageautourdesoi · 3 months ago
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@editionsbelfond @netgalleyfrance #RL2024
De la lumière fondamentale au radicalisme mortuaire, Inge Schilperoord montre toute la fragilité de l’adolescence confrontée à des pressions si fortes et qui répondent souvent parfaitement à un malaise existentiel ❤️
#booktreat #booklover #booktread #booklovers #booksragram #bookrecommendations #books #bookthread
#avis de #lecture ici https://vagabondageautourdesoi.com/2024/08/28/i-schilperoord-le-ciel-etait-vide/
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christophe76460 · 5 months ago
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Parfois il faut s'asseoir pour bien comprendre les choses 🇨🇲🇨🇲🇨🇲
Le Saint Esprit vis à vis de la parole de Dieu
Frères saluts tt d'abord permettez moi de dire que le Saint-Esprit est la diversité des interprétations d'une même parole de Dieu.
Déjà il faut s'asseoir que c'est de la multitude de pensées que naissent les paroles. Autrement dit pour une parole qui sort il y a au préalable une multitude de pensées.
Et puisque c'est le Saint Esprit qui est le père concepteur des pensées qui engendrent la parole,et comme il est le bras qui exécute ces paroles selon les mouvements de sa pensée ou selon la multitude de ses pensées pour chaque parole, alors il y a diverses interprétations ou diverses manières d'obéir et d'exécuter les volontés en une même parole .
Ainsi pour connaître la parole de Dieu,il faut comprendre les pensées qui l'ont engendrer afin de savoir comment obéir à une parole mais de plusieurs manières selon l'état et la situation ds laquelle vs vous trouvez.
C'est prq qd Jésus Christ arrive , les hoes ont les paroles de Dieu mais avec une interprétation martiale, catégorique pour chaque parole. Mais il sont étonnés de découvrir qu'avec les mêmes lois Jésus Christ donne des interprétations qui ouvrent vers un autre entendement,une autre vision avec Dieu.
C'est donc ds cette ouverture par l'esprit Saint que la loi pouvait dire de ne pas manger les pains de proposition et que David pouvait ds sa condition interpréter d'une autre façon sans s'attirer les foudres de Dieu . C'est par en cette même ouverture au Saint Esprit que Jésus Christ pouvait dire que vs avez entendus qu'il soit dit , mais moi je vs dis , c'est ds le même esprit que Paul pouvait juger absent de corps, mais présent d'esprit un conflit parmis les frères , jusqu'à donner certaines ordonnances et prescriptions qui n'étaient pas explicitement écrites ds la parole de Dieu et qu'il n'avait pas directement reçu de Jésus Christ lui-même ou qu'il n'avait même pas reçu de la part ds disciples qui ont marchés et vécus en personne avec Jésus Christ . Ainsi par le Saint Esprit, il y a plusieurs ouvertures pour un même commandement,une même parole de Dieu un peu comme un enfant du primaire à qui on dit que 1-2= à l'impossible tandis qu'à celui qui est au secondaire on dit que 1-2=-1 . C'est prq il est question de croissance spirituelle en Christ pour comprendre les choses de Dieu selon chaque étape de la maturité croissante qui conduit à la perfection mesure à laquelle Christ ns attends . Donc les Éternels bébés au lait en Christ, comprenez que par la même parole de Dieu certains consomment du solide et non plus le lait auquel vs semblez attacher sans besoin de vs en défaire .
Si Jésus Christ voulait rester au lait il se serait arrêter a il est écrit ,et n'aurais jamais dit et moi je dis . Si Paul voulait s'arrêter à il est écrit , il n'aurait pas donner ds recommandations basés sur lui ses interprétations qui n'étaient pas forcément le point de vue ds autres disciples .
Curieusement aujourd'hui la vie éternelle est basée sur les évangiles de Jésus Christ et ses disciples qui eux ce sont osés à interpréter les lois de Dieu et recommandations selon leurs entendements autravers du Saint Esprit selon les circonstances qu'ils rencontraient, mais curieusement les Églises aujourd'hui sont fermés aux interprétations du Saint Esprit au profit du radicalisme des écrits comme les pharisiens, les sadducéens, les sages et les docteurs de la loi et si on examine cela de prêt, s'il était ouvert publiquement aux radicalistes des versets bibliques de tuer les chrétiens comme à l'époque de Jésus Christ et ses disciples, actuellement comme Saul de tarse ils auraient tuer tt les chrétiens qui interprètes les écrits biblique selon le Saint-Esprit sans que forcément cela ne soit écrit ds la Bible.
J'aimerais juste vs dire que s'il faut s'en tenir radicalement aux écrits sans possibilité de s'ouvrir au Saint Esprit comme Paul et Jésus Christ alors le Saint Esprit n'aura plus d'utilité car par les écrits la connaissance totale de Dieu serait ouverte à tt intelligence propre même non né de Dieu. Les gens ont tellement bornés et limiter la connaissance de Dieu à la Bible et aux versets bibliques que pour finir ils ont rendus à la fois le besoin et les activités du Saint Esprit sans intérêt qd à la connaissance de Dieu et l'ont rediriger uniquement ds le besoin des visions, prophéties, révélations, guérisons, miracles et combats spirituels .
Pourtant Jésus Christ était parole et cela en le Saint Esprit ce qui lui conférait un large répertoire des interprétations de la loi et des prophètes .
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aurevoirmonty · 1 year ago
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« Libéralisme, puis démocratie, puis socialisme, puis radicalisme, enfin communisme et bolchevisme ne sont apparus dans l'histoire que comme des degrés d’un même mal, des stades dont chacun prépare le suivant dans l’ensemble d’un processus de chute. Et le commencement de ce processus fut le moment où l’homme occidental brisa les liens avec la tradition, méconnut tout symbole supérieur d’autorité et de souveraineté, revendiqua pour lui-même en tant qu’individu une liberté vaine et illusoire, devint atome au lieu de rester partie consciente dans l’unité organique et hiérarchique d’un tout. Et l’atome, à la fin, devait trouver contre lui la masse des autres atomes, des autres individus, et devait être impliqué dans l’émergence du règne de la quantité, du pur nombre, des masses matérialistes et n’ayant d’autre Dieu que l'économie souveraine. Dans ce processus, on ne s’arrête pas à mi-chemin. »
Julius Evola, Orientations
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yespat49 · 5 months ago
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L'armée russe intensifie la chasse aux HIMARS/M270, aux ATACMS et à leurs "techniciens" américains
Le 23 juin, la Russie a été frappée par une série d’  attaques terroristes très bien coordonnées de la part de l’OTAN, de la junte néonazie et des radicaux islamistes . Le bilan cumulé des morts s’élève à près de 30 personnes. Et tandis que les idéologies extrémistes contrôlées par l’OTAN, telles que le radicalisme islamiste et  l’ultralibéralisme/ wokeisme   peuvent être extrêmement…
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oulfav · 6 months ago
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Doutes 
Suis-je la seule à ne pas arriver à me décider ? pourquoi n'arrive plus donc pas à nous décider. Et quand certains se décide et quand sur leur décision et non bouge plus on appelle ça du radicalisme.
Je marche dans les rues de Paris et devant moi se dresse cette dame cette grande dame la République point et je me dis, que j'aime me parquer point pourtant je n'aime pas je n'aime pas le béton je n'aime pas l'étouffement qu'on peut ressentir je n'aime pas la bousculade et je n'aime pas la ville. J'aime la ville quand je ne pense qu'à moi et pas trop.
Je ne sais quoi choisir, quoi faire, le chemin et les décisions a prendre dans la vie. J'aimerais tellement que quelqu'un décide pour moi, le doute est un démon.
Je vais laisser quelqu'un choisir pour moi et je vais l'appeler dieu.
Dans le Coran il est bien dit qu'il ne faut pas douter qu'il ne faut jamais douter donc il ne faut pas trop penser. Doit-on juste avaler ? prendre pour certitude ce qu'on nous raconte ne plus réfléchir? ne pas trop réfléchir ? ne pas douter? Le doute, l’incertitude, un péché.
Je suis alors une pécheresse et le serait jusque’a mon dernier souffle, je douterais et re-questionnerais le tout. Je n’avale pas sans avoir gouté, analysé la lecture et les saveurs. 
Il m’est impossible de nager dans l’ignorance, ou la faciliter de dire oui, sans aucun doute.
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lonesomemao · 6 months ago
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IL SE PEUT ...
François Béranger
Orange
Ligue du Sud
Un bébé du surlendemain
Le discours implicitement nietzscheén
Une révolution nationale
Qui remplace le souverainisme gauchiste
C'est ça le populisme de Bannon
Extrême-droite extrême-gauche
On enserre le bon radicalisme
Mieux que Franco
Et François Béranger le sait
Un manque de rigueur
Ca a détruit l'An 01
Mercredi 29 mai 2024
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