#Promi-Trainer
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B(e)reit(e) Eier, wenn die uns brennen!
,,Bright eyes, burning like true rings set by someon else on fire!!"
,,...,suddenly burn like fire, suddenly feel like pain!!!"
,Zur Absorptionsrate neu angeschaffter Handies aufgrund mittels Strahlung':
Geroestete leckere Ente oder Entering". "junges Huehnchen" oder Haehnchenfleisch. Maedchen.
der dem einem Mann dann geschickte Lockvoegel. Lockvogel (Sogar die Polizei kann sie uns dann schicken oder einen von ihnen!). Das nicht errnst gemeinte Angebot. Suechte private. Ein (auch erst gaenzlich neues vielleicht!) entwickeltes Suchtverhalten insbesondere das immer von Maennern. Ein von aussen wiederholt sogar sehr stark forciertes, wir, der Mann, soll es dann selber ausgiebig auch haben und wiederholt auch zeigen. Das gilt nicht viel weniger so fuer auch den Alkohol und das regelmaessige zu viel Trinken auch von ihm durch den Mann, oder galt so immer schon auch! Alkohol als lediglicher Ersatzdroge des Manners oder von Maennern (fuer entgangenen Sex). Die Einstiegsdroge. drugs. (dogs). *"samsung 14 Max Pro'.
"ACH koennten wir doch nur, koennten wir doch noch .... Von ganz vorn beginnen!!! Auch wir!!" (Four Weekenders 1981 in schon auch ihrer eigenen Version und der deutschen Fassung von: 'The first cut'. (... in love and life by some men is always the very deepest!' diesmal nahe bei sogar Frankfurt.)
Sohn Gottes.
Gottvater: Der Allmaechtige (Vater, geheiigt werde deswegen auch sein Name, und am besten geschaehe das so noch zu Lebzeiten auch von ihm!!) mitsamt sogar Sohn!! (Gehoert hier diesmal nur, was wahrscheinlich ist, anderen!! G.O.T.T. - als sehr spezieller Vater - aber ist zeigt er sich selbst auch dazu bereit, bereitwillig opfert er den sogar auch eigenen Sohn, indem er ihn anderen uebergibt!!). *Der welcher am Kreuz' gestorben ist ... fuer die Suenden anderer!. Vaeter. Der aeltere Mann von bereits deutlich ueber 30 oder 40. Derweil ist Jesus hier wiederholt abgebildet als unuebersehbar strahlend schoener Juengling. *Gleichgeschlechtliche Veranlagung bei Maennern. Es gibt sie auch bei Frauen!
stock alarmy.
... wiederholt zu leben!'
G.O.T.T.: Po plus Titten.
Wein-e : Aer***e. tradit. Sinn und versteckte Bedeutung von Wortanfaengen gerade mit dem 'W', ,M' und dem (zur Seite gelegtem oder hingedrehtem) auch ,H' als lediglichen Einzelbuchstaben und Symbolen fuer die Doppelhaelften (von Hintern).
W-e-(Dr)-in! der Frisch- und der Butt er Kaese. Schnittkaesesorten (by Belgian and the French).
(male or female) butt, engl., butts
'Selbstgemacht'. 'Handgemacht' (heisst oder bedeutet: von Hand aus gings erstmals dabei sogar direkt ins Glas!)
'morgendlicher Munternmacher der Kaffee"
'kleiner Ab(b) (weg!! mit dem) Le-petite - Anreger' vor Mahlzeiten. Der selbst (Deutsche/Franz./Belg./Russ. Schnaps. (Schnappt euch den - doch nur erneut sonderlich wieder auch grossen Arsch oder Hintern - auch dieses Mannes!! Holt ihn euch auch noch!)
all Pos 'n holes. insgeheime Traueme, Wuensche gerade von Maennern immer und deren Gedanken. Und der Alkohol welchen sie deswegen mengenweise von da an auch trinken und den ploetzlich auch ihnen jemand gibt. Als stark muedenachender Ersatzdroge, nur erneuter!
Europa will den Arsch vom Opa neu! (Ihn zur Gaenze neu erschaffen). Vornehmlich und politisch sehnen sich seine Anhaengerdanach!). Der Name der sich eigens nur dafuer wieder ausgewaehlt wurde - er erzaehlt oder berichtet uns das so sehr klar wieder auch hier, es ist gaenzlich unuebersebar so wieder - und auch hier, durch jedermann! (N)eu 'R Opa.
politische Richtungen und Bestrebungen. politische Gruppierungen.
'Macht mit bei den bevorstehenden Euro-Wahlen!! Geht selber auch waehlen!! Stimmt selber dabei mit ab, bereits in schon auch den Vorwahlen: Wer wird Kandidat diesmal, Wer einziger Haupt-Kandidat!!"
'Mal jetzt die Hand aufs Herz, und auch dem ihrigem! Allein zwischen Offizieren!!!" *Der sogar noch sehr junge Washington.
("Welchem Heer oder sehr grossen Armee gehoerten sie womoeglich selber auch mit an, sagten sie noch?? Deren Name er blieb mir zugegeben gaenzlich unbekannt, offenbar aber stammt sie von weiter weg!")
#Simon & Garfunkel#englische Songwriter#Four Weekenders#schlimmes Ende nehmen oder haben!#weak schwach kraftlos#mad#Medimax Hifi & T.v.#Der eigene Lieblingsitaliener (um die Ecke)#A-Lizenz-Trainer aus Italien#Ein Abenteuer-Leben fuehren oder abendteuerliches#Das Ende#Ab! weg!!#jemand sein Ende bereiten gemeinsam#Abenteurerromane#Schriftsteller#'Der schoene Renee" (Renee Weller / Boxwelltmeister)#die Halbschwester#Die Promi-Heirat#der Vollwaise#die nur erfundene Zeitungsstory von Reportern#Zeitungsenten#El Touch#Tuchel sei Trainer bei F.C. Bayern Munich#touchen/to touch beruehren
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La légende d'Icare
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 20 août
Thème : alignement/les ailes d’Icare
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Toutes les plumes ont été parfaitement alignées, cirées, et collées. Non, pas collées avec la cire, ça serait stupide. La cire sert à les imperméabiliser. Les plumes sont collées à la toile, qui est cousue sur les tiges de roseaux en forme d’aile. On met les bras dedans, et il n’y a plus qu’à tenir le tout pour planer. Non, le but n’est pas de battre des bras comme des andouilles en espérant s’envoler, c’est ridicule. Moi et mon père, nous avons grimpé au sommet de la plus haute tour du labyrinthe - les gens oublient souvent que c’est un palais entier, pas seulement des couloirs – et nous nous sommes lancés. Les ailes servent à planer, pas à voler réellement. Mais c’est déjà extraordinairement grisant.
Je sais ce que les gens ont raconté de moi ensuite. Je sais que mon nom est devenu synonyme d’une ambition trop haute qui mène les gens à leur perte. Alors que ce n’est pas du tout ça qui est arrivé.
Déjà, même si je suis forcément plus jeune que mon père, je ne suis pas un gamin imbécile incapable de comprendre ce qu’il fait. Dédale a été enfermé après avoir créé le labyrinthe, au sommet de son art en tant qu’architecte, à un âge plus que mûr. Quand à moi, il me préparait pour prendre sa succession, autant dire que j’ai l’esprit carré et que j’aime les choses bien droites et bien alignées. Et j’étais largement adulte quand le roi m’a jeté dans le labyrinthe à mon tour.
Le truc qu’il ne faut pas oublier, c’est que toute la réputation de mon père reposait sur l’inviolabilité du labyrinthe. Un endroit si complexe qu’il est impossible d’en trouver la sortie. Le lieu idéal pour enfermer le monstre qu’est le Minotaure. Dédale a donc promis qu’il serait impossible d’en trouver la sortie… pour un minotaure. Qui est un monstre intelligent, mais qui n’est tout de même pas le couteau le plus aiguisé du panier, si vous me passez l’expression. Donc oui, on peut sortir du labyrinthe par la porte. Aucun palais, même le plus tortueux, ne peut suffire à vous retenir prisonnier si vous êtes un minimum dégourdi.
Mais mon père tenait absolument au truc des ailes pour sortir de là. Vous imaginez l’humiliation qu’il aurait subit s’il était tout simplement sorti par la porte ? Après toutes ses promesses au roi Minos et surtout tout l’or qu’il avait reçu pour son travail ? Parce qu’on ne peut pas nier que Minos payait ses dettes. Oui, il vous enfermait ensuite avec un monstre, mais il payait ses dettes.
Bref, Dédale et moi nous avons préparés nos ailes, nous avons grimpé la tour, et nous nous sommes jetés dans le vide. Alors pourquoi on a ensuite raconté que j’étais mort ? Si vous saviez…
On ne s’est pas enfuis tout de suite. On a d’abord testé les ailes. Il y a eu pas mal d’ajustements à faire, vous imaginez bien. C’était tout un travail de recherche et développement.
Et le Minotaure venait juste d’arriver dans le labyrinthe. Il n’était pas encore affamé et rendu fou par l’isolement. Il était si jeune, on venait de l’arracher au gynécée où il avait grandit. Il était si perdu…
Je lui ai fabriqué des ailes, à lui aussi.
Disons que ça n’a pas plu.
Et quand les flèches ont commencé à pleuvoir et que nous nous sommes écrasés en catastrophe, j’ai vu mon père qui continuait à filer loin, bien loin de ce bazar. Après tout, il m’avait répété de nombreuses fois que c’était une mauvaise idée. Il n’avait aucune envie de trainer dans le coin.
Ils ont remis le Minotaure dans son labyrinthe. Ils m’ont enfermé dans un cachot. Et ils ont raconté toute cette histoire sur moi qui serait mort. Je ne sais même pas pourquoi ils ne m’ont pas vraiment tué. Un moment de mansuétude de notre bon roi Minos, j’imagine. Il passe me voir, de temps en temps. Il me raconte le monde.
Vous êtes le premier étranger à arriver jusqu’à moi. Je veux bien vous donner mon secret pour fabriquer les ailes. Après tout, c’est ma fierté.
Mais je vous en prie, faites très, très attention où vous volez ensuite. Le danger, ce n’est vraiment pas le soleil.
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#30jourspourécrire#30 jours pour écrire#20 août#alignement#les ailes d’Icare#pauvre Icare#j’avais envie de le faire moins jeune et stupide que la version classique#du coup il s’est juste fait avoir#mais on note qu’il a un bon fond#french#french writer#écriture
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welcome to amy's pokemon coordinator diaries...♡
im amaria (they/them) im 18 y/o and im a pokemon trainer on the road to becoming a coordinator/performer!!this is my space to post abt my pokemon and pokemon-related experiences, mainly coordinator stuff<3i love fairy type pokemon, and my partner is an adorable sylveon named macaron ^_^ i follow from my aes blog @coralward!!
please click the readmore for more info<3
♡ why do u have so many weird pokemon from different regions?
ive been around pokemon basically my entire life, and caught my first pokemon at 11 ^_^ ive been training for 7 years now!!my full team is macaron (sylveon), praline (shiny lopunny), honey (shaymin), cannoli (cinccino), meringue (wigglytuff), and sprinkles (vivillon).
faq:
tldr: traveling and sheer luck. please dont bother interacting if ur going to question my methods of obtaining my pokemon, if i even have them at all, or if im treating them well. ive heard enough of it already.
♡ why are u becoming a coordinator?
ive always wanted to be a coordinator tbh but i never thought id actually be any good at contests until i actually got a chance to try a practice showcase and immediately knew this was for me<3ive been training for performances with my pokemon and saving up my money to buy our costumes ever since and im almost ready to enter my first beginner showcase hehe
♡ whats ur favorite pokemon?
sylveon ofc<3<3i was 9 when it was discovered and its been my absolute favorite ever since ive laid eyes on it!!
♡ why do u have a faq section before u have even posted anything yet?
so people wouldnt ask anything like the 1st question
ooc stuff:
ooc faq:
hiiiiii im Still amaria just a little realer<3welcome to my pokeblog i'll have a carrd at some point instead of this weird page i promy</3
note this blog operates with the idea that pokemon are pretty intelligent and not just Animals With Magic so my pokemon will have very distinct personalities, interests, skills, emotions, etc. its not anthropomorphizing or whatever its just Literally what pokemon are like in my brain lol
♡ why DO u have so many pokemon that no normal trainer would realistically have tho???
BECAUSE I LOVE THEM
♡ is ur name a reborn reference
yes i am an amaria kinner what abt it<3no this is not the blog of amaria From reborn tho its just me the bootleg one sorry.also i hc that pkmn fangames are just actual games in the pkmn world so im canonically a kinner here too btw
#pokemon irl#irl pokemon#rl pokemon#pkmn irl#rl pkmn#pokemon#pokemedia#pokemon coordinator#pokemon contest#pokemon contests#unreality#♡ amyposts
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I've finally had the time to read through your Pokemon Team characterization! Gen 5 was when I realized that, maybe the Pokemon team and the arrangement actually had something to tell about the characters, but reading through your characterization made me realize that perhaps that already happened a lot sooner than I thought! Thank you for writing all of those, I had fun reading them.
Steven was the trainer that made me want to add Skarmory to my team. Raising it was rough since it's purely defensive, but I had a good experience having it. The Claydol setting the screens...I still remember my Emerald team almost getting defeated because my 10-years old brain didn't understand why his Metagross took less damage from my Blaziken. But yeah, Steven's Emerald battle was so much fun, and I agree his ORAS fight is kind of a downgrade.
I also like your analysis of Cynthia's team, and I very much agree with them. No matter what team she's using, she'll always be a challenge and difficult to defeat...that Double Team-spamming Spiritomb, I hate it. And the fact that I had to raise my own Garchomp just to counter hers in my Shining Pearl playthrough said a lot about how strong her ace is.
And your Hop team analysis...I love it so much! I think the story and characterization behind his team composition are more apparent than the others, especially because he takes center stage in Gen 8. That doesn't mean it's a bad thing, I like it. He's one of my most favorite rivals alongside N and Hau, so I am very happy when you did a post of him.
I read through Whitney and the Poison specialists too, they're all great! This makes me want to request some as well, but feel free to take your time and do it whenever you want to. I was going to request N's BW final fight team and B2W2 seasonal teams but realized that'd be way too much to work on, so...Morty and Zinnia! For Morty, you can do his GSC or HGSS, or B2W2 version, your choice.
I'm honestly interested to see what your characterization analysis of their team will tell about them, especially Morty (other than the fact that Johto doesn't have that much Ghost Pokemon selection he resorted to the Gengar line).
There's a lot, so I'll respond fully under the cut.
In completely fairness, I'm making up a lot. None of this is confirmed, but the idea is to showcase that you can make stuff up, and that's the basis of developing a character back in those times. Gen 5 was the first character-centric game where they really had a lot to work with, and Gen 7, oddly enough, really emphasized character moments to the point you have a pretty effective idea. But before that, you just cobbled together, and I really wanted to see more of that than just the Red and Blue favoritism stuff, so I decided to try my hand at this. I'm glad it seems to be at least somewhat popular, given how some of them got a decent response outside of my immediate sphere.
I was kinda surprised that his first ORAS fight is exactly the same. Like, it's almost the same movesets. Which is kinda funny, the way things change just by mechanics and movepools. But yeah, I really love the Emerald team, definitely my current favorite fight.
Cynthia's generally tough. I haven't done the BW or BW2 fights in a long time, so I don't remember them too well, but I can't imagine it's any easier. And...yeah, my opinion on BDSP is low, but I think as a good example of "Cynthia is always really weak to setup," Cresselia swept both of her big rematches in my game. Cresselia is stupid good as a Calm Mind setter.
Hop's felt slightly like cheating because we know so much about him, but it seemed to go over well with Hop fans, so I'll take the win.
Whitney's...might have been my favorite so far? Because there's so little to go off of. Well...okay, no, Geeta's was my favorite because I have an ulterior motivation (being contrary), but Whitney felt the most cobbled together from stuff we don't know. Which I think was more fun.
I can do all three. No promises on turnaround time, but I'll give each a try. And hey, great news! Morty's in a similar bracket to Whitney, and I don't actually know much about Zinnia! So this will be cobbling together nonsense real good.
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Mbakhana, un village de la commune de Gandon (région de Saint-Louis), a accueilli, dans les années 1880, la première usine à vapeur d’eau en Afrique noire afin d’approvisionner, en eau potable, Saint-Louis, pendant 67 ans. Aujourd’hui, il ne reste plus qu’un bâtiment en ruine qui menace de tomber. Le site, dans un état de délabrement assez avancé, est abandonné et exposé aux effets dévastateurs du temps. Mbakhana (Saint-Louis) A la découverte de la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire Ancien château du gouverneur du sénégal La « Folie » abandonnée du Baron Roger à Richard-Toll Nichée à côté des dunes de sable qui s’élèvent fièrement en plein cœur de la forêt de la paisible commune de Gandon, à 12 km de Saint-Louis, Mbakhana porte encore les vestiges de son passé. Le village, qui a abrité la première usine à vapeur d’eau en Afrique, a la forme d’une savane avec ses marigots, ses lacs, cette fraîcheur humide impuissante face aux vagues de chaleur. Il faut abandonner le véhicule et progresser encore sur la terre fine, aux allures de carrière, entre les pieds de manguiers et des palmiers, pour prendre la direction de l’usine. Au bout d’une piste mal dégagée, se dresse la demeure de Mamadou Keita dit Iba. Il se passionne à expliquer l’histoire de cette infrastructure qui permettait d’étancher la soif des habitants de l’ancienne capitale du Sénégal. Dans une grande concession, aux bâtiments dépourvus de peinture, le notable à la chevelure blanche, radio scotchée à l’oreille, accepte volontiers de trainer délicatement sa silhouette à l’aide d’un morceau de bois, pour braver la chaleur et nous conduire sur l’un des sites classés patrimoine historique par le Sénégal. Une bonté qui frise la naïveté Des Belges ont promis de réhabiliter le site de l’usine Natif de la commune, Iba Keita, qui accuse le poids des années, est d’une bonté qui frise la naïveté. Visage ridé, il est joyeux comme une drille lorsqu’il évoque le passé et le présent de l’usine. Dans cette partie du département de Saint-Louis, sur la route qui mène à Dagana et parsemé de cours d’eau, le souffle humide du vent se heurte à une température qui déshydrate le corps. Mbakhana, non loin du village de Ndiawdoune, contigu à Diama, est composé de quelques maisons en dur. Fermeture des deux joyaux, un coup dur →A lire aussi Les gorilles de montagne nourrissent le tourisme en Ouganda Il faut prendre la droite du rond-point de Diama, à côté des vastes champs de pommes de terre des Grands domaines du Sénégal (Gds) pour entrer dans ce village peuplé de Wolofs et de Peuls. Mbakhana ressemble à une immense carrière truffée d’arbres, l’élégance d’une vierge et la forme d’un site en pleine urbanisation. Château d’eau, poteaux électriques et paraboles décorent l’endroit qui a abrité la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire. Mais, comme pratiquement tous les édifices de l’époque coloniale, l’usine garde encore son imposante posture devant la forêt dense qui l’étouffe. Mbakhana (Saint-Louis) A la découverte de la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire →A lire aussi Signature d’une convention de partenariat pour la promotion du tourisme religieux Située à quelques mètres du fleuve, elle est devenue un bâtiment sombre et décati qui manque d’entretien. Par conséquent, des pans de murs lâchent et se détachent. La rouille a fini de ronger le fer du portail. Les rats s’y prélassent. Les animaux domestiques y errent, notamment les chèvres qui ont érigé ce monument en lieu de repos. « Il y avait des tuyaux qui aspiraient l’eau. On puisait dans le lac pour refouler l’eau traitée à Bango où, en période d’hivernage, l’eau était salée. Il y avait une usine à Bango qui recevait l’eau de Mbakhana et qui était immédiatement, après traitement, envoyée à Khor qui avait des châteaux d’eau. À partir de là, toute la région de Saint-Louis était desservie en eau potable », relate Iba Keita. 67 ans de mise en service Drame à la cité Nouvel Horizon Un enfant de 12 ans emporté par les inondations 1
Aujourd’hui, la ville de Saint-Louis s’approvisionne en eau potable à partir de la réserve d’eau douce de Bango, alimentée par des défluents du delta du fleuve Sénégal. Et, Mbakhana se morfond dans son passé piétiné. Sur une stèle fixée au mur de l’ancienne usine, le message suivant a été gravé : « Sept mois par an, lors de la décrue du fleuve Sénégal, l’île de Saint-Louis se retrouve entourée d’eau salée. Jusqu’au milieu du 19e siècle, l’eau douce destinée aux habitants était alors apportée par un bateau-citerne qui la prélevait assez loin en amont du fleuve. En 1859, Faidherbe fut le premier à entreprendre la réalisation d’un projet destiné à transformer le marigot de Kassak, au Nord-Est de Saint-Louis, en un réservoir naturel d’eau douce. Mbakhana Usine vapeur →A lire aussi Travel Awards 2018: L’Hôtellerie et le Tourisme célébrés au Sénégal sous le signe d’encouragement Après divers aléas, ce projet fut finalement mené à bien par le Gouverneur Brière de l’Isle. Une première usine fut construite à Mbakhana. Elle était équipée de deux machines à vapeur avec leurs chaudières et leurs pompes. L’eau du marigot était refoulée sur la ville par une conduite longue de 17 km, traversant le fleuve au moyen d’un siphon. Ainsi, les machines furent construites en 1882 et l’usine va entrer en activité en 1885 ». Mais, les usines de Mbakhana ne sont plus ces magnifiques monuments, entourés de somptueux jardins, à côté des masses d’eaux. Le temps a mis leur âme en errance pour enfouir leur superbe dans les méandres de la déchéance. Fenêtres défalquées, murs fissurés, tuyaux vétustes… Mbakhana (Saint-Louis) A la découverte de la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire Les deux poteaux en fer qui se chargeaient de propager la fumée sont toujours debout, mais portent les stigmates de la vieillesse. C’est un endroit qui menace de s’affaisser. « Vous voyez qu’on utilisait du bois pour faire fonctionner la machine à vapeur où on mettait l’eau du fleuve », explique Iba Keita, la mort dans l’âme en voyant le site dans cet état. « Tout le matériel venait de France, mais les montages ont été réalisés à Mbakhana. Comme les bateaux ne pouvaient pas accéder à notre village, depuis Saint-Louis, on les transportait à travers des pirogues pour les acheminer ici », précise le sexagénaire, nostalgique. →A lire aussi Développer le tourisme en Côte d'Ivoire [Business Africa] Laissé à l’abandon dans la brousse, depuis sa fermeture en 1952, après 67 ans de mise en service, l’usine de Mbakhana possède toujours sa désuète cheminée, haute de 18 mètres et les machines sont dans un état cahoteux car, martyrisées par l’usure. N’empêche, le village, comme Dékheulé avec le mausolée de Lat Dior ou encore la statue de Ndatté Yalla à Dagana, garde son histoire, ses petits secrets que l’histoire lui a réservés. En attendant peut-être une réhabilitation.
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Mbakhana, un village de la commune de Gandon (région de Saint-Louis), a accueilli, dans les années 1880, la première usine à vapeur d’eau en Afrique noire afin d’approvisionner, en eau potable, Saint-Louis, pendant 67 ans. Aujourd’hui, il ne reste plus qu’un bâtiment en ruine qui menace de tomber. Le site, dans un état de délabrement assez avancé, est abandonné et exposé aux effets dévastateurs du temps. Mbakhana (Saint-Louis) A la découverte de la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire Ancien château du gouverneur du sénégal La « Folie » abandonnée du Baron Roger à Richard-Toll Nichée à côté des dunes de sable qui s’élèvent fièrement en plein cœur de la forêt de la paisible commune de Gandon, à 12 km de Saint-Louis, Mbakhana porte encore les vestiges de son passé. Le village, qui a abrité la première usine à vapeur d’eau en Afrique, a la forme d’une savane avec ses marigots, ses lacs, cette fraîcheur humide impuissante face aux vagues de chaleur. Il faut abandonner le véhicule et progresser encore sur la terre fine, aux allures de carrière, entre les pieds de manguiers et des palmiers, pour prendre la direction de l’usine. Au bout d’une piste mal dégagée, se dresse la demeure de Mamadou Keita dit Iba. Il se passionne à expliquer l’histoire de cette infrastructure qui permettait d’étancher la soif des habitants de l’ancienne capitale du Sénégal. Dans une grande concession, aux bâtiments dépourvus de peinture, le notable à la chevelure blanche, radio scotchée à l’oreille, accepte volontiers de trainer délicatement sa silhouette à l’aide d’un morceau de bois, pour braver la chaleur et nous conduire sur l’un des sites classés patrimoine historique par le Sénégal. Une bonté qui frise la naïveté Des Belges ont promis de réhabiliter le site de l’usine Natif de la commune, Iba Keita, qui accuse le poids des années, est d’une bonté qui frise la naïveté. Visage ridé, il est joyeux comme une drille lorsqu’il évoque le passé et le présent de l’usine. Dans cette partie du département de Saint-Louis, sur la route qui mène à Dagana et parsemé de cours d’eau, le souffle humide du vent se heurte à une température qui déshydrate le corps. Mbakhana, non loin du village de Ndiawdoune, contigu à Diama, est composé de quelques maisons en dur. Fermeture des deux joyaux, un coup dur →A lire aussi Les gorilles de montagne nourrissent le tourisme en Ouganda Il faut prendre la droite du rond-point de Diama, à côté des vastes champs de pommes de terre des Grands domaines du Sénégal (Gds) pour entrer dans ce village peuplé de Wolofs et de Peuls. Mbakhana ressemble à une immense carrière truffée d’arbres, l’élégance d’une vierge et la forme d’un site en pleine urbanisation. Château d’eau, poteaux électriques et paraboles décorent l’endroit qui a abrité la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire. Mais, comme pratiquement tous les édifices de l’époque coloniale, l’usine garde encore son imposante posture devant la forêt dense qui l’étouffe. Mbakhana (Saint-Louis) A la découverte de la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire →A lire aussi Signature d’une convention de partenariat pour la promotion du tourisme religieux Située à quelques mètres du fleuve, elle est devenue un bâtiment sombre et décati qui manque d’entretien. Par conséquent, des pans de murs lâchent et se détachent. La rouille a fini de ronger le fer du portail. Les rats s’y prélassent. Les animaux domestiques y errent, notamment les chèvres qui ont érigé ce monument en lieu de repos. « Il y avait des tuyaux qui aspiraient l’eau. On puisait dans le lac pour refouler l’eau traitée à Bango où, en période d’hivernage, l’eau était salée. Il y avait une usine à Bango qui recevait l’eau de Mbakhana et qui était immédiatement, après traitement, envoyée à Khor qui avait des châteaux d’eau. À partir de là, toute la région de Saint-Louis était desservie en eau potable », relate Iba Keita. 67 ans de mise en service Drame à la cité Nouvel Horizon Un enfant de 12 ans emporté par les inondations 1
Aujourd’hui, la ville de Saint-Louis s’approvisionne en eau potable à partir de la réserve d’eau douce de Bango, alimentée par des défluents du delta du fleuve Sénégal. Et, Mbakhana se morfond dans son passé piétiné. Sur une stèle fixée au mur de l’ancienne usine, le message suivant a été gravé : « Sept mois par an, lors de la décrue du fleuve Sénégal, l’île de Saint-Louis se retrouve entourée d’eau salée. Jusqu’au milieu du 19e siècle, l’eau douce destinée aux habitants était alors apportée par un bateau-citerne qui la prélevait assez loin en amont du fleuve. En 1859, Faidherbe fut le premier à entreprendre la réalisation d’un projet destiné à transformer le marigot de Kassak, au Nord-Est de Saint-Louis, en un réservoir naturel d’eau douce. Mbakhana Usine vapeur →A lire aussi Travel Awards 2018: L’Hôtellerie et le Tourisme célébrés au Sénégal sous le signe d’encouragement Après divers aléas, ce projet fut finalement mené à bien par le Gouverneur Brière de l’Isle. Une première usine fut construite à Mbakhana. Elle était équipée de deux machines à vapeur avec leurs chaudières et leurs pompes. L’eau du marigot était refoulée sur la ville par une conduite longue de 17 km, traversant le fleuve au moyen d’un siphon. Ainsi, les machines furent construites en 1882 et l’usine va entrer en activité en 1885 ». Mais, les usines de Mbakhana ne sont plus ces magnifiques monuments, entourés de somptueux jardins, à côté des masses d’eaux. Le temps a mis leur âme en errance pour enfouir leur superbe dans les méandres de la déchéance. Fenêtres défalquées, murs fissurés, tuyaux vétustes… Mbakhana (Saint-Louis) A la découverte de la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire Les deux poteaux en fer qui se chargeaient de propager la fumée sont toujours debout, mais portent les stigmates de la vieillesse. C’est un endroit qui menace de s’affaisser. « Vous voyez qu’on utilisait du bois pour faire fonctionner la machine à vapeur où on mettait l’eau du fleuve », explique Iba Keita, la mort dans l’âme en voyant le site dans cet état. « Tout le matériel venait de France, mais les montages ont été réalisés à Mbakhana. Comme les bateaux ne pouvaient pas accéder à notre village, depuis Saint-Louis, on les transportait à travers des pirogues pour les acheminer ici », précise le sexagénaire, nostalgique. →A lire aussi Développer le tourisme en Côte d'Ivoire [Business Africa] Laissé à l’abandon dans la brousse, depuis sa fermeture en 1952, après 67 ans de mise en service, l’usine de Mbakhana possède toujours sa désuète cheminée, haute de 18 mètres et les machines sont dans un état cahoteux car, martyrisées par l’usure. N’empêche, le village, comme Dékheulé avec le mausolée de Lat Dior ou encore la statue de Ndatté Yalla à Dagana, garde son histoire, ses petits secrets que l’histoire lui a réservés. En attendant peut-être une réhabilitation.
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7 DECEMBRE 2022
Programme d’avant les fêtes
1°) Atmosphère, atmosphère (5-10 minutes) : Un détail intéressant ? On racontera une toute petite anecdote dans laquelle se situera ce détail concret que tout le monde connaît sans doute : « le petit crissement des cheveux balayés sur le carrelage ».
Je n’avais pas remis les pieds – ou la tête – chez un coiffeur depuis trop longtemps, je ne savais pas quelle coupe demander. Courageusement, j’ai dit au figaro : « Je vous laisse juge, c’est vous l’artiste, promis-juré je ne porterai pas plainte. Donnez-vous en à cœur joie ! » J’ai payé d’avance et lui ai demandé seulement de ne pas me faire mal avec ses ciseaux. Et comme je suis douillet, et que je n’aime pas voir ce qu’on me fait, j’ai très vite fermé les yeux, de toute façon je n’aime pas les miroirs. J’ai indiqué qu’il me prévienne quand ce serait fini. J’écoutais le clic-clic des ciseaux et le bourdonnement de sa tondeuse, je sentais ses doigts sur mon crâne, et cela m’assoupissait, d’autant que j’étais le seul client, dans un assez grand silence. Il m’a dit : « Voilà, je vais balayer autour du fauteuil pour éviter que vous en ayez plein sous les semelles, et vous pouvez vous regarder. » J’ai ouvert un œil, lentement, puis l’autre. J’entendais un petit crissement, le frottement du balai et des touffes de cheveux sur le carrelage, et le bruit de ma respiration qui s’accélérait. C’était promis, je n’ai pas crié. Le sol était garni de mes tifs, pas coupés depuis plus de cinq ans. Il balayait, il balayait, à n’en plus finir, et moi je regardais la crête raide qu’il m’avait laissée, trois centimètres et un petit buisson régulier, en plein milieu, sur un crâne blanc qui commençait à avoir froid.
2°) Des mots, encore des mots (10 minutes) : Dix mots pour une histoire. Voici les dix mots qu’il s’agira d’inclure dans une histoire au sujet libre, dans l’ordre qu’on voudra : « carte, débat, forte, identifier, lucarne, querelleur, reculer, talonnade, tasse, vêtir. »
Sur la carte du monde un débat s’est levé Chacun parle à voix forte et dit son point de vue. « Il faut identifier pour demain le danger, » Dit le speaker dans sa lucarne, sans bévue. Mais l’homme politique est souvent querelleur, Et il sait reculer quand l’affaire est pliée. Sous une talonnade, il masque sa douleur, Il se tasse le dos, et repart bien vêtu.
3°) Conversation secrète (10-15 minutes) : Le décryptage !
Voici une partie de la conversation téléphonique captée par la concierge de l’immeuble du n°7, rue de la Muette. Malheureusement elle n’a entendu que ce qui se disait derrière une porte, c’est vous qui allez trouver ce qui s’est dit en réalité à l’autre bout du téléphone, c’est peut-être une affaire d’État ?
– Allô ! – C’est vous le maître d’hôtel qui doit assurer les buffets de la remise de Légions ce soir ? – Oui, c’est bien moi. – Bon, il y a un gros souci : du gâchis dans la présentation d’un des services d’amuse-gueules. Un abruti a laissé trainer un plateau et il y a eu des courants d’air, ou je ne sais quoi, c’est plein de petits dépôts marrons sur une partie des plateaux. – Personne ne m’avait mis au courant. – Je m’en doute. Pas un n’a eu le courage de dire ce qu’il avait fait, ou de nettoyer en vitesse. Et ça va être pour vous parce que tout le matériel est déjà dans les camions, prêt à être emporté là-bas chez vous. – C’est une affaire qui concerne quel service, exactement ? – Le service des canapés saumon-olives-tarama et tranches de poulet froid. Je vous préviens, c’est dégueulasse à voir. – Il va falloir un nettoyage complet mais discret, pas question qu’ils se rendent compte qu’on intervient au dernier moment. – C’est pour ça que je vous appelle, je sais que vous pouvez agir en urgence. Il faudra procéder dès le déballage des caisses. – On fera ça sans souffrance, chef ! J’emmènerai une équipe de six, des pros. – Mais ils devront la fermer, pas question qu’en haut lieu ça se sache, sinon notre maison est grillée pour les futures réceptions ! Ils sont comment, vos gars ? – Tous des costauds, chef, et qui savent travailler sans faire de vagues. Pas de papiers, vous comprenez bien ! Ils savent qu’après ça on les laissera tranquilles un bon moment. –C’est des gars qui ne seront pas repris une deuxième fois, et il ne faut pas qu’ils aient des contacts avec la vraie équipe. Mais il faudra bien les payer ? Vous vous en chargerez ? – En liquide, ça va de soi ! – Bien sûr. Je gonflerai votre prime et la facture officielle. C’est pour ça que je fais appel à vous. – On est là pour ça. On sait bien que quand il faut se salir les mains, c’est pour nous autres, chef. – Oui. Est-ce qu’on pourra modifier l’ordre de présentation, si jamais on prend un peu de temps ? – Il y a au moins une entrée qui ne pose pas de problème. Discrétion assurée. – Bon, si c’est les fruits de mer, ils sont sous film d’habitude, vous n’aurez pas besoin de les racler, on les fera passer au premier service. Vous allez faire ça avec des couverts très aiguisés, pour enlever juste la surface tachée. – Au couteau, d’accord, c’est plus sûr et ça ne fera pas de bruit. Mes gars savent y faire. – Proprement, hein ? Et planquez les déchets ! – Vous avez une idée de l’endroit où on pourra balancer les restes ? – Prenez de grands sacs et balancez tout dans le coffre de la deuxième camionnette. Je donnerai des ordres pour qu’elle reste stationnée, et pour qu’on vous remette les clefs. Je dirai que c’est un contrordre, je trouverai une explication et je renverrai le chauffeur. Après, vous connaissez bien un recoin où il y aura des chiens ou des clodos pour tout ramasser sans rien dire ! – Pour les autres services, on ne dit rien ? En principe personne d’autre n’est au courant ? – Personne. Les poissons et les volailles seront réchauffés sur place, j’ai une autre équipe. – Bien, chef. Quoi d’autre ? – Faites pour le mieux, et pas un mot aux serveurs, tenez-les à l’écart jusqu’au moment de prendre les plateaux pour les faire circuler dans le grand salon. – Et le grand manitou qui a organisé le rendez-vous, on le laisse dans l’ignorance, c’est mieux, vous avez raison, chef. – Vous savez bien, on n’emmerde pas un secrétaire d’État avec les détails. Lui, il veut que tout le monde soit autour de lui, c’est son cabinet qui signera la note. – Donc pas de changement pour l’horaire, mais je vais mettre mes équipes au boulot un peu plus tôt. La facture sera un peu plus salée, mais ils peuvent payer, au Ministère ! On ne donnera pas les détails techniques, ils ont l’habitude. – Oui, mais j’espère que ça ne se produira pas trop souvent. – OK chef. Comme d’habitude vous pouvez compter sur moi. Motus, mais la prochaine fois il faudra tenir la bride plus serrée à la première équipe. – Il y en a qui vont changer d’affectation, c’est sûr. Allez, mettez-vous au boulot dès que les voitures arrivent, et trouvez vos gars sans tarder. – Je m’en occupe dès maintenant. Au rapport après le nettoyage définitif, d’accord. – Au rapport, par téléphone uniquement. Je serai toujours joignable. – Les autres brigades sauront qu’elles ne doivent pas déconner, maintenant ! – J’ai commencé à mettre la pression sur les pâtissiers, il ne s’agirait pas qu’une seule bougie manque sur le gâteau final, ou que les crèmes tournent ! Courage, mon vieux. – Au revoir. On ne s’est rien dit.
– Allô ! – Vladimir à l’appareil. C’est toi, vieux brigand ? – Oui, c’est bien moi. – J’ai besoin de toi pour une petite invasion qui tourne mal. Il me faut de l’aide à l’ONU, ces cons sont en train de faire capoter mon entreprise. – Personne ne m’avait mis au courant. – Je vais faire semblant de te croire, Xi. – C’est une affaire qui concerne quel service, exactement ? – Le service « Justice Internationale », le service « Cour Pénale, instruction des charges », et le service « Blocus financier et mesures de rétorsion ». Tu vas me faire sauter tous ces obstacles. Définitivement. – Il va falloir un nettoyage complet mais discret, pas question qu’ils se rendent compte qu’on intervient au dernier moment. – Ça vaudrait mieux. L’effet de surprise, c’est mon truc. Enfin, je croyais, jusqu’à présent. Tu es d’accord ? Tu as les moyens d’y arriver ? – On fera ça sans souffrance, chef ! J’emmènerai une équipe de six, des pros. – Pas plus ? Mais c’est l’ONU ! C’est plein de gardiens et de vigiles, là-bas ! – Tous des costauds, chef, et qui savent travailler sans faire de vagues. Pas de papiers, vous comprenez bien ! Ils savent qu’après ça on les laissera tranquilles un bon moment. – Des mercenaires, si je comprends bien ? Je sais ce que c’est. Tu vas leur faire jouer du Wagner, non ? Mais ça va me coûter un bras… – En liquide, ça va de soi ! – Pour le liquide, j’ai ce qu’il faut. Mais ça risque d’être saignant, non ? – On est là pour ça. On sait bien que quand il faut se salir les mains, c’est pour nous autres, chef. – Oui, le nettoyage, c’est comme la blanchisserie. Vous êtes des pros, vous autres. Mais il faudra savoir par où passer. Tu connais le terrain ? – Il y a au moins une entrée qui ne pose pas de problème. Discrétion assurée. – Ça me va. Ne va pas réveiller les voisins, surtout pas d’explosion, pas de bombardiers ! – Au couteau, d’accord, c’est plus sûr et ça ne fera pas de bruit. Mes gars savent y faire. – Je m’en doute ! Les as de la découpe silencieuse, à Pékin ! Les canards le savent ! – Vous avez une idée de l’endroit où on pourra balancer les restes ? – Il y a une rivière pas loin, non ? Et des poissons qui ont faim ? Alors ! – Pour les autres services, on ne dit rien ? En principe personne d’autre n’est au courant ? – Les autres services, ils me mangent dans la main. Après la disparition de ces trois-là, je serai tranquille. – Bien, chef. Quoi d’autre ? – Rien. La réunion prévue aura lieu, on votera comme on a dit. – Et le grand manitou qui a organisé le rendez-vous, on le laisse dans l’ignorance, c’est mieux, vous avez raison, chef. – Macron, il a d’autres soucis avec ses députés, il s’en fout que ça pète à New-York. Ah la la, toutes ces démocraties pourries, c’est d’une inutilité ! – Donc pas de changement pour l’horaire, mais je vais mettre mes équipes au boulot un peu plus tôt. La facture sera un peu plus salée, mais ils peuvent payer, au Ministère ! On ne donnera pas les détails techniques, ils ont l’habitude – On paiera. Mes ministères ont du fric américain plein les coffres. Des dollars, l’argent du caviar, ça te convient ? Tu les mettras avec tes Bons du Trésor US. – OK chef. Comme d’habitude vous pouvez compter sur moi. Motus, mais la prochaine fois il faudra tenir la bride plus serrée à la première équipe. – La première équipe, c’était des amateurs. On ne peut jamais compter sur les petites nations européennes. C’est fini, d’ailleurs, pour moi : l’Europe, je vais la bouffer. Tu mets l’affaire en route ? – Je m’en occupe dès maintenant. Au rapport après le nettoyage définitif, d’accord. – J’attendrai patiemment. C’est une vertu de l’âme russe, la patience ! – Les autres brigades sauront qu’elles ne doivent pas déconner, maintenant ! – L’avertissement sera assez clair. L’ONU, maintenant, soit c’est fini, soit c’est nous deux, mon cher Xi. – Au revoir. On ne s’est rien dit.
4°) Les fragments, encore ? (10-15 minutes) : Les #intmvis d’Étienne Candel, le retour ! On n’aura cette fois qu’un seul fragment, auquel on s’efforcera de conserver son caractère étrange en développant une histoire où il figurera intégralement : « le caractère absurdement têtu du raisin ». On donnera un titre au texte produit.
Vigneron de père en fils, depuis tant de générations qu’on en avait perdu le souvenir du premier ancêtre, Étienne contemplait la dernière cuvée. Pas moyen d’obtenir le goût floral de l’année précédente, le minéral l’emportait, cette fois. D’une récolte à l’autre, sur le même cépage, il y avait toujours de petites nuances, mais c’est cela qui lui valait sa renommée. Des millésimes toujours originaux, jamais deux fois le même. Et tant pis pour les maniaques de la régularité. C’est ce caractère absurdement têtu du raisin qui faisait la réussite de son domaine, en plus de son savoir-faire immémorial.
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5 erfahrene Trainer teilen ihre Wahrheiten über das Dehnen
5 erfahrene Trainer teilen ihre Wahrheiten über das Dehnen
Stretching ist eines der Dinge, bei denen Trainer und Hardcore-Lifter niemals uneins sind. Es ist entweder reine Zeitverschwendung oder es heilt Krebs. Dazwischen gibt es nichts. Üblicherweise streiten sich beide Seiten bis sie blau im Gesicht sind, wenn es nicht zuerst zu Faustschlägen kommt. Wenn sich Trainer über das Dehnen streiten, ist das nie schön. Es gibt viele Beschimpfungen, Haarziehen,…
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Let's Dance - Kids: Diese Promi-Kinder sind 2021 dabei
Let’s Dance – Kids: Diese Promi-Kinder sind 2021 dabei
Erst letzte Woche flimmerte die erste Folge von “Let’s Dance” über die Bildschirme. Und schon jetzt werden auch die Kandidaten für die Kids-Version der Tanzshow preisgegeben. Bei “Let’s Dance – Kids” treten 5 Promi-Kinder gemeinsam mit ihren jungen Tanztrainern gegeneinander an. Unterstützt werden die Kleinen von den “Let’s Dance”-Profitänzern. Diese Kids sind dieses Jahr dabei!
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Salut ! ^^ C'est spidi (ou sabypoo, comme tu veux) Alors, comment va la vie? Qu'est ce que tu deviens! On ne te voit plus trop trainer dans les parages (tumblr et ao3) et on se languit de toi! lol J'espère que tout va bien de ton côté et qu'on aura bientôt de tes nouvelles ^^ Tu sais où me trouver! A plus ! :)
Coucou @sabypoo ! Comment vas tu? Superbement j’espère ☺️
Moi ça va, merci beaucoup pour ton message ❤️
La vie me déborde de tout les côtés, surtout au niveau boulot pour être honnête, et c’est pour ça que je ne traîne plus sur Tumblr, mais je suis toujours prête à répondre sur Archives, et je suis toujours éprise de mon histoire, et en train de l’écrire. Pas d’abandon, promis. Juste une très longue pause, pour mieux revenir bientôt 🥳
J’apprécie énormément ton message, je me languis de mes lecteurs et des fans de Guenièvre x Arthur, aussi!
Je fais mon possible pour tous vous retrouver bientôt,
Bisous Spidi, et merci encore ❤️👋🏽
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Improbable
Je viens de lire un tweet qui m'a fait un méga flash back d'un moment si improbable/gênant dans ma vie... Du coup je vous raconte, ça sera votre cadeau de Noël ^^
Je suis à Beaubourg, je vais chez le pierceur (Slobodan chez Abraxas juste le meilleur, trop triste qu'il n'y travaille plus). Un homme d'une 50aine d'année vient me voir dans la rue et me dit
"Tu ferais pas du théâtre toi ?"
Moi idiote et naïve que je suis "Oh mais oui, comment vous savez ça ? Et pourquoi ?"
"Je suis metteur en scène et je cherche des actrices pour un projet que je suis en train de monter. Si t'as le temps on va boire un café et je t'explique, tu vois si ça t'intéresse"
Moi à ce moment là je suis comme le chat du GIF. Genre mon rêve serait en train de se réaliser ? Quelqu'un m'a vraiment repérée et voudrait collaborer sur un projet avec moi ? Vas y mon piercing peut attendre j'y vais! (Naïve et idiote on a dit...)
On s'installe donc au café, le mec s'amuse de me voir commander un chocolat chaud. Et là... Il commence à me prendre la main et la caresser. D'un seul coup je réalise à quel point je suis idiote de ne m'être méfié de rien du tout et d'avoir cru bêtement en son histoire de théâtre. Et trauma oblige je me retrouve incapable de m'en aller. Je me dis juste "reste gentille et polie ça va bien se passer"
Il commence à me dire qu'il est vraiment metteur en scène, qu'on pourra travailler sur plein de projets ensemble, que là il est en train de monter une pièce de [insère un auteur random]. Mais qu'en fait, il est venu me parler parce qu'il cherche une "amante de café". Tout en mettant sa main sur ma cuisse et en embrassant ma main il m'explique qu'il voudrait quelqu'un avec qui trainer dans les cafés, discuter, lire du théâtre, faire des câlins et embrasser.
"Promis je cherche pas plus que ça, on pourrait se voir une fois par semaine si ça te va. Tu me donnes ton numéro ?"
À ce moment là, j'ai juste envie qu'il me lâche, qu'il enlève ses mains de sur moi, arrête d'embrasser mes mains. Et le monsieur à beau ne pas avoir l'air méchant en vrai, je suis en panique totale. J'ai envie de pleurer. J'arrive à lui dire que je ne suis pas intéressée par son projet et qu'il faudrait que j'y aille parce que quand même j'allais chez le pierceur à la base et que donc on m'attends (faux c'est sans rdv mais au moins ça me donne de la contenance). Il me demande d'annuler le rdv, que même si ça m'intéresse pas de recommencer on peut profiter de cette journée ensemble, se câliner et aller au musée. Et en disant ça il passe son bras autour de mes épaules et force pour que je pose ma tête contre son torse.
J'arrive à me défaire de son étreinte, et je lui redis que non dsl je dois vraiment y aller. Il paye le café et me raccompagne dehors. Il veut m'accompagner au pierceur, je lui dis que ce n'est pas la peine. Et finalement il me laisse partir.
J'ai de la chance au final, je pense que c'était surtout une personne très seule et pas forcément dangereuse. Mais ON NE FAIT PAS ÇA. Il avait le double de mon âge et moi clairement j'étais tétanisée. Des histoires avec des hommes qui m'ont fait extrêmement peur j'en ai des milliards. Celle là est juste un peu particulière car à chaque fois que j'y repense ça me remets face à ma naïveté et mon envie de faire confiance aux gens...
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The Branding Ceremony Part 1
CW: Branding - Breath Control - Electricity - Impact - Hair Cutting - Kidnapping - Manipulative Language - Permanent Bondage - Piss
“You, stand up.”
“You can’t do that! I trained it! You don’t have any right to go over my head!”
I looked over to see what was happening. The branding ceremony was starting to reach its end. The example was brought in. Locked in the same frame one was always locked in. Open and vulnerable. No way to cover itself. It was left ungagged, hearing it scream was part of the enjoyment for the crowd. It was either a slave who had disobeyed in the extreme and attempted to do something like attack their owner, or a master that had done a grave crime against the Society.
One of the women on the stage walked up next to the frame and looked at a sheet of paper she had. “As of this moment this slave has been stripped of its name. It is gone from our records. It has tried to escape from Miss Grace Willows’s estate on four separate occasions and last month managed to escape her bonds and tried to attack Miss Willows in her sleep.”
Then it made the mistake of interrupting. “Please don’t do this to me, I don’t deserve this! She was a monster! I’ll be good I promi-” It’s begging was cut off by the electricity that flooded through the frame, causing It to scream.
The woman holding the paper turned to the slave. “If you speak out any more we have permission to set you on timed breathing after you are sealed away. Once every 15 seconds for the first outburst. An additional 10 second delay for each one after that. If you want the freedom to breathe to your heart’s content after the ceremony you will be quiet.” She waited to see if it had anything to say and once satisfied by it’s silent sobbing, continued. “As punishment It underwent three weeks of interrogation to be sure there weren’t any other dangers in Miss Willows’s estate. Miss Willow was allowed to choose it’s fate due to the severity of the crime. She chose for It to become an example. We will begin the branding ceremony shortly.”
The woman took a marker and made four x’s on its body. One just under the solar plexus, one a bit above the belly button, one just below the belly button and one right on the mound. That last one was either a special honor or the new master would pay a lot for it. These are where the new masters would use their brands. The slave would serve as one of the records of the brand of a member of the Society. The example would have their name erased from the records of the Society and be locked inside a pillar in a special room only high level members were allowed access too. The only part of them that would ever be uncovered again were the areas the brand showed. It was only after the ceremony was over and the brand was recorded that the new master was officially recognized as a member of the Society and could use their brand to officially claim property.
Each newly inducted member was next to the slave it trained, brought here to serve as a gift to the Society. Each slave was naked aside from their collar, armbinder and ankle cuffs. Their collar and the end of the arm binder were chained to spots on the floor so they stayed next to their trainer. I’d seen it dozens of times and had turned my attention away. I had only come to the ceremony because I enjoyed showing off my favorite slave and I knew many of the people here were jealous. I had studied the new line of masters and mistresses and decided they weren’t worth my time. I had seen their files already. Most had just bought their way in. They were all cocky and annoying. They thought the one slave they created made them an expert. Despite what these newcomers thought, most of the slaves were shoddy work. Most of them would probably have to be retrained by someone who actually knew what they were doing.
The first master was led over to the example. He was some jock. Strong and boring. His slave was trained well enough. It stayed in the position it was supposed to stay in and didn’t look up. The slave it had was apparently an ex-girlfriend. When he plunged his brand into the example the slave flinched at the sound and tried to hide the tears in it’s eyes. It was adorable and empathetic. It would probably be broken of that soon, empathy was an exhausting trait for a slave to have to be burdened with.
The second was a woman with long blond hair. Her slave was a woman with a pixie cut. Apparently the slave had been running a gang and had attacked the new master’s sibling. This new Mistress’s benefactor had helped her capture the gang leader and convert her. Many would consider this assistance as cheating, but her benefactor was another high ranking individual that an infraction like this would have been meaningless to attempt to leverage against her. Her slave was the only one of the four that was actually broken as it had been broken by someone who actually knew what she was doing. It had no reaction to the example screaming as their mistress’s brand kissed it’s flesh.
The third was a mistress that was still playing up the bratty princess aesthetic. She had enslaved a teacher she still held a grudge against from over a decade ago. She hadn’t done a good job breaking it. It was doing the best to make itself small. It was avoiding people’s gazes. Not because it knew that’s what it was supposed to do. No, it was avoiding people’s gazes because it was still embarrassed to be nude in front of a crowd. It had a sense of shame that shouldn’t exist in a slave like this. She had to wait a moment to brand the example, it had lost consciousness after the last brand. She laughed as she branded the example. I didn’t really like her, but she was the only one of the new members so far that seemed to deserve to be here. She could be taught by someone else on how to properly break a slave later.
I was getting ready to leave when the fourth was up. But then the outburst happened. The fourth was a fairly tall mistress, at least six foot before adding the extra inches from her heels. She wore a short black leather dress. Her hair was a lovely black and was long enough to reach the middle of her back. Her slave was the only one of the four to have no connection to her, she chose it at random. The slave was fairly short. It was hard to judge while she was kneeling, but I would have guessed it was around five two, maybe five three. It had gorgeous red hair, though it looked roughly cut. If I had to guess it’s owner took a knife to it’s hair. The mistress stepped forward, waiting to be handed her brand, but one of the observers of the ceremony, a high ranking member named Miss Diana, stepped forward and cut her off.
The room went quiet except for the whimpering and crying from the example, having already been branded three times and had already been brought back to consciousness by the other observers. “Untie the slave and let it stand. I wish to talk to it.” Diana’s voice was curt and some of the lower ranked observers began undoing it’s bonds. They unchained the collar and binder from the floor then took off it’s ankle cuffs and removed it’s armbinder. The other observers were reluctant to remove it’s collar, but a stern gaze from Diana quickly remedied that.
“You can’t fucking do that! I trained it! It doesn’t belong to you! I don’t care wh-” The woman’s tirade was cut off when Diana wrapped one hand around her neck and squeezed, cutting off her air. The woman struggled to free herself, but Diana had an iron grip. No matter how she struggled or pulled at Diana’s arm she didn’t budge an inch. She may as well have been statue holding this woman.
I knew what was coming and I was ecstatic at the prospect of getting to watch. I wanted to be more included in the moment though. I turned to my own slave, Eve. She was kneeling beside me as she knew to do when we were here. I prompted her to go get a bag out of the trunk of my car. I watched as she hobbled off, maybe I should have unchained her ankle cuffs. But I loved seeing her determination.
I turned my attention back to the stage. The slave was now standing, visibly uncomfortable. It was rubbing it’s arms, sore from their confinement. But Diana was ignoring her for the moment.
“Remove this one’s dress and shoes.” At Diana’s directions the other observers began removing her leather dress. The woman tried to argue, but Diana tightened her grip. I could see the focus going out of the woman’s eyes from here. Her dress was removed and the woman fell to her knees as she was fighting to stay conscious. Diana knelt down next to her. The exchange between them was quiet, but we could all hear the whispering over their microphones.
“Please… I’m sorry I was rude. Please forgive me...” The woman gasped out.
“No you aren’t. You’re sorry for yourself because you’re learning there are consequences to your actions. You can’t bullshit me.” Diana punctuated her statement by reaching down and touching the other woman’s mound. She began struggling more and trying to Diana to let go with what little air she had left. I watched with glee as Diana let go of the woman’s neck. She looked relieved for just a moment as she could finally breathe in. Then Diana backhanded her across the face, sending her crashing into the ground.
“If you get back up I will do it again.” The woman laid in a heap, not risking getting up. She wasn’t crying outright, but you could see her heaving breaths as she laid there. The anger and defiance was already gone. She had been humiliated on stage in front of everyone that came tonight to see the new additions to the society. Her social life here was ruined before it could begin.
“You.” Diana turned her attention back to the slave, the slave stood up straight when the attention shifted back to it.
Diana did the same thing to the slave, she reached down and touched her mound. I could see it grimace, it didn’t enjoy what was happening. But it was smart enough not to say or do anything about it. “Tell me your name.”
The slave was quiet. It knew it wasn’t supposed to have a name anymore. Diana sighed. “I am giving you permission to tell me the name that used to belong to you.”
“M-my name was L-Lily Miss.” The slave squeaked out as she was still being fondled.
“That’s a pretty name. Lily? Do you know why I stopped the ceremony?” Diana asked in a surprisingly pleasant tone.
“No Miss. I don’t know why the ceremony stopped.” To her credit she was remembering all the rules that she was supposed to have been taught. Never make eye contact with a high ranking member like Diana, that infraction alone was worth a flogging by the member wronged. It obviously wasn’t really trained, but she remembered things that were told to it.
“Tell me Lily, were you excited when you heard the example being branded?” Diana let the girl go and tipped her head upwards so she was forced to make eye contact.
“I… I’m not sure Miss.” It shifted uneasily, looking at the floor.
“Did it turn you on to watch the person who was meant to be your owner getting strangled and brutalized?”
“...Yes Miss.” It hazarded a real answer. Brave, a well trained slave would never have risked giving their own thoughts on something.
“Well I saw you look up after the first brand kissed the example. I could see you were excited. Do you think that’s normal for someone in your position?”
“I… I guess not Miss. Slaves are supposed to be toys to play with. We’re supposed to be hurt, not do the hurting.”
“That’s a fair assessment. But some people like breaking dominants. Taking a sadist and torturing them. Taking someone who thinks they should be in charge and turning them into a pathetic pet. But that isn’t why I stopped the ceremony. Had you just been a sadist being turned into a slave that would have been fine.”
She snapped her fingers and a few other observers brought her a box. I looked behind me and saw Eve returning, slowly but surely, with the bag I requested. I looked back and watched Diana open the ornate box she was handed, showing the contents to Lily.
“You see Lily, I’ve watched your supposed owner flinch at every single showing tonight. Every whip striking a slave’s skin. Every moan from those contorted in beautiful frames. But I’ve watched the new slaves as well. Unlike her, I didn’t see disgust in your eyes. Fear at being on the receiving end, that’s understandable. But I saw wonder in your eyes. And I can see that your supposed owner did an extremely poor job at training you. Please take the items I’m showing you Lily.” Diana thrust the box closer to Lily and the crowd watched her remove two things. One was a crop. The other was a cattle prod.
“Lily. I’m giving you a simple offer. I’ve read the file of all the new slaves. I know this idiot taught you all the rules you have to follow, but I also know it was too lazy and incompetent to break you into your new role. I want to see how you do if you’re given the opportunity. If you give into your instincts and make her submit. If you do, I am personally, in front of this crowd, extending you an invitation to join the Society as a member rather than a slave. This is your test Lily.”
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19-jährige Handballerin im Rampenlicht
Eigentlich ist die 19-jährige Anika Bissel eine ganz normale Absolventin der LDT Fachakademie für Textil & Schuhe in Nagold. Doch seit knapp einer Woche ist sie Star und Liebling des deutschen Boulevards – denn die Blondine mit den Rapunzel-Haaren soll die "Neue" von National-Torhüter Manuel Neuer sein.
Vor knapp einem Dreivierteljahr erst zog die junge Frau in eine eigene kleine Wohnung nach Nagold, um hier nach ihrem Abitur ihre bereits lebenslange Leidenschaft für Mode in eine solide Ausbildung münden zu lassen. Nagold wurde zur ersten Wahl, weil sie hier im Umfeld auch für ihre zweite große Leidenschaft – Handball – eine tolle Heimat fand: Die Zweitliga-Handballerinnen der "SG H2Ku" (genannt "Kuties") im benachbarten Herrenberg waren froh über den Neuzugang, boten der hoffnungsvollen Linksaußen sofort einen Profi-Vertrag an.
Gleich drei Spielklassen übersprungen
Dort hat sich die ursprünglich aus dem mittelfränkischen Spardorf (bei Erlangen) stammende Nachwuchs-Sportlerin sofort super eingelebt. Mitte Februar erst wurde der Vertrag Bissels bei den Herrenberger Zweitliga-Profis um ein weiteres Jahr verlängert. Sie sei "sehr talentiert und hat beispielsweise im Heimspiel gegen Wuppertal mit ihren acht Treffern eindrucksvoll ihr Können bewiesen", würdigte etwa Kuties-Trainer Mike Leibssle das junge Nachwuchs-Talent in einem Interview zur Vertragsverlängerung.
Was man wissen muss: Anika Bissel übersprang mit ihrem Wechsel von Bayern nach Baden-Württemberg gleich drei Spielklassen. Zuletzt zählte sie bei ihrem ursprünglichen Heimatverein, dem HC Erlangen, als Linksaußen zu den Leistungsträgerinnen der Bayernliga-Mannschaft.
Mit dem Sprung nach Herrenberg und ins Profi-Lager der 2. Bundesliga schloss sie auch ein wenig auf zu ihrem großen Bruder Christopher (24), der daheim in Mittelfranken auf derselben Position wie Schwesterchen Anika für die 1. Bundesliga-Herrenmannschaft des HC Erlangen spielt.
Schon früher in den Schlagzeilen
Und um die sportverrückte Familie komplett zu machen: Vater Carsten Bissel (55), von dem Anika ihre prächtigen blonden Haare geerbt hat, ist seit 2010 Aufsichtsratsvorsitzender des HC Erlangen. Hauptberuflich führt er eine große Rechtsanwalts-Kanzlei, spielte einst aber lange Jahre selbst höherklassig Amateurfußball.
Wobei Tochter Anika schon vor ihrem Umzug nach Nagold ab und an Schlagzeilen vor allem als Stil-Ikone und Mode-Influenzerin machte. Ihr Account auf Instagram hatte – bevor sie mit Torhüter und Mannschafts-Kapitän der deutschen Fußball-Nationalmannschaft und Weltmeister von 2014 Manuel Neuer in Verbindung gebracht wurde – auch so schon bereits knapp 10.000 Follower, die sich über die hippen Klamotten der zierlichen Blondine informiert halten wollten. Einer Journalistin der Kreiszeitung Böblingen erklärt Bissel Ende vergangenen Jahres wie es dazu kam: "Vor Jahren habe ich damit angefangen, Bilder von mir und meinen Outfits zu posten", wobei dahinter keine explizite Marketing-Strategie oder ähnliches stecke – "ich poste einfach das, was ich möchte."
"Das wäre schon ein echter Vollzeitjob"
Mit der Zeit aber seien die Follower-Zahlen immer weiter angestiegen, weshalb mittlerweile auch verschiedene Firmen (gerade aus der Region) auf sie aufmerksam wurden. Seitdem würden ihr gelegentlich "verschiedenste Waren" zugeschickt, die sie dann mit ihren Fotos auf Instagram poste. "Das hat manchmal schon Vorteile", wird die 19-Jährige augenzwinkernd zitiert. "Doch so cool das auch ist, weitere Ziele verfolge ich damit erstmal nicht, das wäre schon ein echter Vollzeitjob."
Über ihre große Affinität zur Mode – die sie letztlich auch nach Nagold und an die LDT führte – berichtet Bissel, dass diese schon seit der Kindheit vorhanden sei: "Ich habe mich immer dafür interessiert, wie ich mich kleide." Insofern habe die Verbindung aus Mode und Sport, die sie zwischen Nagold und Herrenberg perfekt ausleben könne, optimal für sie gepasst. Zwei Jahre wollte sie aktiv an der Akademie studieren, anschließend sollte ein einjähriges Praktikum folgen – vielleicht bei einem der bekannten Nagolder Mode-Labels: Die Nagolder Firma Reinhold Fleckenstein Jeanswear GmbH etwa ist beispielsweise seit vergangenem Jahr mit der Marke "Angels" einer der Sponsoren der 1. Frauenmannschaft der SG H2Ku Herrenberg in der 2. Handball-Bundesliga – und damit auch von Anika.
Erst einmal abgetaucht
Über ihre bisherige Zeit in Nagold und Herrenberg sagt Anika Bissel im erwähnten Interview: "Bisher gefällt es mir super gut, ich habe viele Freunde dazu gewonnen und mir ein gutes Umfeld geschaffen – quasi eine zweite Heimat." Allerdings ist mit Ausbruch des Medien-Hypes um ihre Person als scheinbar neueste (und jüngste) "Spielerfrau" der Bundesliga-Stars die Neu-Nagolderin erst einmal komplett abgetaucht. Auch ihre Instagram- und Facebook-Accounts sind aktuell nicht erreichbar.
Die Illustrierte "Die Bunte" berichtete als erste und exklusiv dazu, dass die junge Frau wohl komplett zu Manuel Neuer in dessen Haus am Tegernsee gezogen sei. Das würden Nachbarn vor Ort bestätigen. Pikant daran: Neuer ist formal noch mit Ehefrau Nina (27) verheiratet, das einstige Glamour-Paar des deutschen Fußballs lebt offiziell erst seit vier Monaten getrennt. Was "Die Bunte" auch schreibt: Anika Bissel und Nina Neuer sollen sich zum Verwechseln ähnlich sehen.
Sportverein reagiert reserviert
In Herrenberg, bei Anikas ja noch recht neuem Verein - der "SG Haslach Herrenberg Kuppingen-Oberjesingen GbR", wie die Kuties vollständig heißen –, reagiert man derweil einigermaßen "reserviert" auf die neue Prominenz der eigenen Nachwuchs-Spielerin. Ingo Janoch, sportlicher Leiter der Kuties, wird dazu aktuell in der Kreiszeitung Böblingen so zitiert: "Das alles hat mit Handball nichts zu tun", und man werde "das mit absoluter Zurückhaltung begleiten. Mir persönlich bleibt nur, Anika das Allerbeste zu wünschen." Und aus einem persönlichen Gespräch mit Anika Bissel berichtet Janoch: "Ich habe ihr gute Nerven gewünscht in den kommenden Wochen, denn da wird einiges auf sie einprasseln".
Für den Verein gehe man davon aus, so Janoch weiter, dass in Herrenberg die jüngste Vertragsverlängerung mit Bissel gilt – und sie wieder dabei sein wird, wenn nach dem Corona-Shutdown auch in der 2. Frauen-Handballbundesliga der normale Spielbetrieb wieder wie gewohnt weiter geht.
Ob dann aber auch Super-Promi Manuel Neuer öfters mal in den Zuschauerrängen der Herrenberger Markweghalle, wo die Kuties ihre Heimspiele und Trainings absolvieren, Platz nehmen wird, ist derzeit die große Frage – die wohl nicht nur die Herrenberger Handball-Fans heftigst bewegt. Der Boulevard jedenfalls von "Bild" bis "Bunte" hat sich samt seiner Paparazzi schon mal fest in die Fährte ihrer neuen Titelseiten-Lieblinge verbissen.
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“I guess it’s time to say goodbye.” || “I’ll pretend I didn’t see that to spare us both the embarrassment.”
“I guess it’s time to say goodbye.”
Dolly laisse un sourire passer sur ses lèvres mais ses yeux brillent d’émotions, elle est tellement contente pour Isaak mais est un peu triste en même temps. “J’étais pourtant habituée à te voir traîner dans Lima avec un petit air grognon, qui est-ce-que je vais voir comme ça maintenant?” “Y en aura d’autres, genre l’un des Carroway je suis sûr. Evite de trainer trop près d’eux quand même.” Isaak rajoute en fronçant ses sourcils, pas sûr que la compagnie de cette famille soit la meilleure pour la jeune femme, et Dolly se met à sourire un petit peu. “C’est mignon comment tu t’inquiètes pour moi, j’ai l’impression que tu ne fais même pas exprès.” La louve rajoute dans un petit rire et, la seconde d’après, elle glisse ses bras autour de lui pour le serrer dans ses bras. Si c’est un au revoir et qu’Isaak ne compte pas rentrer avant un petit bout de temps, elle a le droit de lui faire un câlin. “Je sais que t’auras pas forcément des nouvelles de la ville par certaines personnes dont je tairais le nom mais compte sur moi pour t’en envoyer quelques unes. En échange je veux juste des photos, d’accord ? Deal ?” “Ok, deal.” Isaak répond avec un léger sourire alors que Dolly s’éloigne, cette fois elle ne se compte pas que d’un petit sourire, elle a même une légère pointe d’excitation à l’idée que Isaak part faire le tour du monde et vivre une aventure magnifique. “Fais attention à toi.” “C’était ma phrase ça.” “Ok on va faire tous les deux attention alors.”
“I’ll pretend I didn’t see that to spare us both the embarrassment.”
Lentement, Dolly rouvre la porte de la salle de bain et ne laisse passer qu’un petit bout de visage, assez pour pouvoir dévisager Isaak, ses lèvres légèrement pincées. “Promis ?” Elle demande finalement alors que le brun face à elle hoche de la tête mais ne semble pas vraiment décider à la regarder. “Tu vois, c’est déjà bizarre !” La blonde s’exclame en ouvrant la porte, pour pouvoir se planter face à lui, la voix teinté de reproches. Cette fois, elle porte bien plus de vêtements qu’il y a quelques secondes, des habits empruntés à Connor d’ailleurs, et elle ne peut s’empêcher de froncer un peu ses sourcils vers Isaak. “Je suis désolée, Connor m’avait dit qu’il n’y aurait personne et j’ai oublié de fermer à clefs du coup.” Dolly explique et finalement Isaak tourne son regard vers elle, sans rien dire pendant un moment, et finit par sourire légèrement, de plus en plus amusé par la situation. “Donc c’est de la faute de Connor ? On devrait lui faire la misère, rien que pour se venger.” “C’est une bonne idée.” La louve lance avec un air amusé et finit par rire avant de secouer sa tête. “Mais ok, fais comme si t’avais rien vu et ça ira pour toi et moi, d’accord ?” “Ca me semble être convenable.” Isaak souffle avec un léger hochement de tête et Dolly lève sa main pour serrer la sienne, scellant leur accord.
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La Réunion - jour 1 & 2
Jour 1 :
11h55 : Après 11h de vol, 1 film et 4 petites heures de sommeil, j'arrive enfin sur cette mystérieuse et merveilleuse île de La Réunion.
On m'avait promis une vue dès le débarquement de l'aéroport Roland-Garros, et effectivement je ne suis pas déçu. Je tombe nez à nez avec une montagne embrumée. Magnifique.
Pas le temps de trainer, et à peine le temps de prendre une photo, nous devons déjà récupérer la voiture de location, check-in du Airbnb à Saint-Gilles les Bains et faire les courses.
16h00: la faim commence sérieusement à se faire ressentir, c'est le moment de manger dans un restaurant typiquement local : Au vieux Quimper…
17h30 : Il est temps de retourner au Airbnb, la fatigue s'abat sur nous. Nous en profitons pour prendre un petit apéritif sur notre modeste vue avant d'aller dormir.
Jour 2 :
11h00 : Après un petit dej' sur la terrasse, on saute dans la voiture pour se rendre à l'Anse des cascades, un petit lieu situé à l'est de l'île, à 1h30 / 2h00 de notre hébergement, en bord de mer. L'endroit regroupe plusieurs séries de cascade et de grandes aires pour accueillir les pique-niqueurs que nous sommes.
14h45 : Nous arrivons ensuite à Notre Dame des laves. Cette petite église est particulière car elle à survécu de peu à l'éruption du Piton de la Fournaise en mars 1977. La coulée a en effet contournée le bâtiment sans l'abimer !
15h45 : Puis nous nous rendons au bassin bleu, un endroit vraiment sympa pour une petite baignade !
16h45 : nous enchainons très vite fait avec l'Église Saint-Anne, c'est un peu l'église bling bling de la Réunion.
17h15 : Enfin, un dernier arrêt avant le coucher de soleil : la cascade Niagara, une chute d'eau de 25 mètres situé au nord de l'île. L'endroit est vraiment sympa, et il a même servit pour quelques tournages de films !
17h30 : nous nous rentrons tranquillement, le soleil couchant, le long de la mer, en observant quelques baleines danser au large.
Demain c'est journée de mariage, il est probable qu'il n'y ait pas beaucoup de photos à montrer, ni même que je ne puisse avoir le temps de publier.
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Bye-bye, Brady Wie aus der Nummer 199 die Nummer 1 wurde Von Heiko Oldörp, Boston 02.02.2022, 10:46 Uhr Eine Legende macht Schluss. Nach 22 Jahren und sieben Super-Bowl-Siegen. Tom Brady beendet seine Karriere. Er hat mehr erreicht in seinem Sport als jeder andere - und wollte trotzdem immer noch mehr. Die Welt verneigt sich vor dem Quarterback. Wenn große Sportlerinnen oder Sportler ihre großen Karrieren beenden, kommt beim Blick in den Rückspiegel mitunter die Frage nach dem "was wäre wenn" auf. Was wäre, wenn der Talentsichter zum Beispiel nicht bei diesem oder jenen Turnier gewesen wäre? Wenn sich ein anderer, besserer Mitspieler nicht verletzt hätte? Oder, wie im Fall von Tom Brady: Was wäre gewesen, wenn der Starting Quarterback seines High-School-Teams in San Mateo/Kalifornien in der zehnten Klasse nicht aufgehört hätte, Football zu spielen? Nun, die Sportgeschichte und die National Football League wären ganz sicher um eine Legende und unzählige unvergessliche Momente ärmer. Und die New England Patriots wären vielleicht immer noch der chronisch erfolglose Verein von der südwestlichen Bostoner Peripherie, der sie bis zum Jahr 2000 gewesen sind. Auf jeden Fall hätte es in diesen Tagen nicht so viele Elogen, Hommagen und Dankesworte von Fans, Mit- und Gegenspielern, Athletinnen und Athleten aus anderen Sportarten oder gar Promis gegeben. Bradys Einfluss in Gänsehaut messbar Die Welt verneigt sich vor Tom Brady. Bedankt sich für 22 Jahre Entertainment, Show, Spektakel. Brady sei der "größte Athlet in der langen, berühmten Geschichte des Bostoner Sports", schrieb die Tageszeitung "Boston Globe". In der "New York Times" heißt es: "Tom Bradys Einfluss war am besten in Gänsehaut zu messen". Dabei hatte Brady tatsächlich viele Zweifler. Vor allem, als die NFL im April 2000 die besten College-Spieler unter ihren 31 Vereinen aufteilte. "Man hatte uns im Glauben gelassen, dass er möglicherweise in der zweiten, wahrscheinlich in der dritten Runde gedraftet wird", sagt Vater Tom Brady Sr. in der Dokumentation "The Brady 6: Reise einer Legende, die niemand wollte!" Der Film handelt von den sechs Quarterbacks, die bei jenem Draft vor Brady gezogen wurden: Chad Pennington, Giovanni Carmazzi, Chris Redman, Tee Martin, Marc Bulger, Spergon Wynn. Namen, die Brady nie vergessen wird. Die ihn immer angetrieben haben. Auch, wenn er manchmal eigentlich nicht trainieren wollte. Sich nur schwer motivieren konnte. Alles schmerzte. Und er sich trotzdem aufraffte. Chad Pennington! Giovanni Carmazzi! Chris Redman! Tee Martin! Marc Bulger! Spergon Wynn! Brady kennt nicht nur die Namen, sondern auch die dazugehörigen Werdegänge. Er weiß, dass Bulger bei den St. Louis Rams eine gute NFL-Karriere hatte, 96 Spiele in acht Jahren absolvierte. Und weiß ebenso, dass Carmazzi und Martin nicht ein einziges NFL-Spiel bestritten haben. Tom Brady überragte alle. (Foto: Clive Gee/PA Wire) Brady war bei der Draft 2000 die Nummer 199 - und der siebte Quarterback - als die New England Patriots ihn erlösten. Doch er ist der einzige Spielmacher, der ein Superstar wurde. Brady hat nicht nur das Sextett überholt, sondern längst auch alle anderen Spielmacher. Es gibt keinen, der solche Statistiken aufweist wie er. Sieben Super Bowl-Siege - mehr als jeder Verein. Zehn Endspiele. 710 Touchdown-Pässe. Würfe über einen Raumgewinn von 97.569 Yards. 35 gewonnene Playoff-Partien. Brady lässt TV-Legende schlecht aussehen Je wichtiger das Spiel, desto besser war Brady. Vor allem in den Playoffs. Gleich in seinem ersten Super Bowl, 2002, bewies er Nervenstärke. Gegner St. Louis Rams war zwei Jahre zuvor Meister geworden und hatte aufgrund der beeindruckenden Offensive den Beinamen "biggest show on Turf" (die größte Show auf dem Rasen). Als die favorisierten Rams 97 Sekunden vor Spielende zum 17:17 ausglichen, meinte der legendäre Ex-Trainer John Madden in seiner Rolle als TV-Experte, dass New England "kein dummes Zeug" machen, sondern lieber die Zeit runterlaufen und sich auf die Verlängerung konzentrieren solle. Doch Brady wollte keine extra Schicht, sondern die Meisterschaft. Nach drei erfolgreichen Pässen waren die Patriots in der Rams-Hälfte angekommen. "Der Typ ist echt cool", meinte Madden. Nach einem weiteren 23-Yard-Pass zum Mitspieler wurde er noch euphorischer. "Unglaublich." Als Brady sein Team so weit Richtung Rams-Endzone gebrachte hatte, dass Kicker Adam Vinatieri mit Ablauf der Spielzeit per Field Goal zum Sieg traf, brüllte Madden: "Ich habe eine Gänsehaut von dem, was Tom Brady gerade gezeigt hat." In vier Jahren drei Meisterschaften Es sollten viele weitere Gänsehaut-Momente folgen. Für Madden und Millionen andere Menschen. Trainer-Genie Bill Belichick erstellte die perfekten Spielstrategien, Brady setzte sie meisterlich um. Nach seiner vierten NFL-Saison war er schon dreimal Meister - und gerade mal 27 Jahre alt. Er hätte da bereits aufhören können - und wäre eine Legende gewesen. Oder nach dem vierten Super Bowl-Sieg. Diesem denkwürdigen 28:24 am 1. Februar 2015 gegen Titelverteidiger Seattle Seahawks, als New England einen Zehn-Punkte-Rückstand im Schlussviertel noch aufholte. Gegen die beste Abwehr der Liga. Aber Brady machte weiter. Er gewann zwei Jahre später seinen fünften Titel - sogar noch spektakulärer als gegen Seattle. Im Finale von Houston hatte New England gegen die Atlanta Falcons 3:28 hinten gelegen - im dritten Viertel. Es folgte das größte Comeback der Super-Bowl-Geschichte. New England glich zum 28:28 aus. Erstmals musste ein Super-Bowl-Sieger in der Verlängerung ermittelt werden. Die Patriots gewannen den Münzwurf, entschieden sich für Ballbesitz - und jeder im Stadion wusste, was passieren würde. Diesen Brady, diese von ihm geleitete Offensive, die wie ein Güterzug in Höchstgeschwindigkeit auf die Falcons-Endzone zustürmte, konnte niemand mehr stoppen. Doch selbst der 34:28-Triumph konnte Bradys Titelhunger nicht stillen. Chad Pennington! Giovanni Carmazzi! Chris Redman! Tee Martin! Marc Bulger! Spergon Wynn! Nach seinem sechsten Ring durch einen 13:3-Finalerfolg über die Los Angeles Rams reckte er 2019 als mittlerweile 41-Jähriger die Super-Bowl-Trophäe in den Abendhimmel von Atlanta. Ehefrau Giselle Bündchen küsste ihn innig auf dem Podium, Tochter Vivian lächelte in seinen Armen. In jedem Hollywood-Streifen wäre jetzt der Abspann gekommen. Doch Brady ist nicht Hollywood. Mit Tampa sensationell zum Titel Er schrieb ein letztes, ein noch verrückteres Kapitel. Nachdem ihm die Patriots keinen Zwei-Jahres-Vertrag geben wollten, verließ Brady im Frühjahr 2020 tatsächlich den Verein. Er ging zu den Tampa Bay Buccaneers, die bis dahin der Verein mit dem geringsten Prozentsatz an gewonnenen Spielen in den vier großen Profiligen Nordamerikas waren. Seinem Sog folgte sein langjähriger Patriots-Kumpel Rob Gronkowski, der extra für Brady seine Football-Rente beendete. Der Quarterback rekrutierte zudem Antonio Brown und Leonard Fournette. Gronkowski (zwei), Brown und Fournette erzielten im Super Bowl gegen Titelverteidiger Kansas City Chiefs die vier Touchdowns zum 31:9-Sieg. Dass Brady nun aufhört, kommt nicht mehr ganz überraschend. Im August wird er 45 Jahre. So lange, meinte er einst, würde er gerne spielen wollen. Und nun solle endlich mal die Familie im Vordergrund stehen. Sportlich gesehen ergibt sein Karriere-Ende hingegen keinen Sinn. Denn Brady ist immer noch grandios. Er hat in dieser Saison die meisten Touchdown-Pässe verzeichnet (43) und mit seinen Würfen den größten Raumgewinn (5316 Yards) erzielt. Er wird künftig fehlen, dieser Thomas Edward Patrick Brady. Andererseits hat er Land und Liga 22 Jahre lang alles gegeben. Hat Millionen Menschen Sonntag für Sonntag bestens unterhalten. Sie alle müssten sich eigentlich bei den Trainern und Managern bedanken, die beim Draft 2000 Chad Pennington, Giovanni Carmazzi, Chris Redman, Tee Martin, Marc Bulger und Spergon Wynn bevorzugt haben. Und sie sollten auch an Bradys ehemaligen Teamkollegen an der Serra High School in San Mateo denken. Man stelle sich vor, der Starting Quarterback hätte damals in der zehnten Klasse nicht mit dem Football aufgehört.
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