#Printemps Républicain
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Voilà les daubes qui vont prendre place après la disparition des merdes que sont C8 et NRJ12... Réel TV une chaîne soutenue par un milliardaire tchèque dont l'agenda n'est pas très clair et dont l'ambition est de faire du débat tout en pratiquant la concentration dans les médias. Gageons que cela va surtout se concrétiser par une propagande parée des atours de la pensée et de la démocratie inspirée par le printemps républicain et toute la clique de faussaires qui y collaborent, Barbier, Enthoven , Fourrest, Gisbert alias demi couille molle et bien d'autres merdeux clairement positionnés sur l'islamophobie, le sionisme, le libéralisme économique, l'instrumentation des services publics à des fins privées, l'antiracisme à géométrie variable et le néo colonialisme. Ça promet....
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L'Histoire telle qu'en elle-même
S'il existe un mot qui a été maltraité, ''baladé'', insulté et dénaturé à travers les âges, c'est bien celui de ''Histoire'', et ce n'est pas un citoyen français vivant sous Macron qui va vous dire le contraire. Dans les ''éditoriaux'' que je prépare à votre intention avant de vous en infliger un jour ou l'autre la lecture, le thème revient souvent, dans toute sa dramatique aridité : l'Histoire est devenue ''un grand n'importe quoi'' que chacun réinvente au gré de la mauvaise idée qu'il cherche à imposer... et notre Président est ''top'' à ce petit jeu pourtant reconnu mortifère...
Comme on a parfois l'impression qu'il n'y a pas que dans notre pauvre France, macronisée à n'en plus être elle-même, que cela se passe, je me suis récemment demandé s'il n'existerait pas un réseau de forces mauvaises (j'aurais écrit ''de virus'', si les mensonges sur le covid --et leur persistance contre toutes les preuves qui s'accumulent-- n'avaient rendu l'usage de ce mot trop marqué, politiquement), qui agissent ''en douce'' dans les structures humaines et les empêchent de voir ce qui devrait crever les yeux. A ma plus grande honte, je dois avouer qu'il a fallu que je tangente le grand âge de 90 printemps pour me rendre compte que ce n'était pas uniquement ''parce que''... mais qu'il existe bel et bien une volonté occulte derrière tous ces dérapages.
J'étais comme tétanisé par l'histoire romaine qui, telle qu'elle nous a été transmise par nos bons maîtres, semblait vierge de toute intention et libre de toute influence extérieure. Or, la chute de Rome éveillant des rapprochements indéniables avec ce que nous vivons aujourd'hui (c'est-à-dire depuis une soixantaine d'années, selon que l'on prend 1962 ou 1968 comme ''année zéro'' du début de notre chute), je me disais ''c'est comme ça, la chute d'une civilisation''. Ce blog qui n'avait aucune autre prétention que de dialoguer avec quelques milliers de gens plutôt ''plus'' que ''moins'', m'a donné des idées d'approfondissement et a orienté mes lectures vers des sources et des points de vue que je n'avais jamais eus auparavant.
Par exemple, la célèbre année 1789, qui est indéniablement une date-clé de notre ''roman national-- tome II'', a entraîné une réécriture, majeure et restée pérenne, de notre ''roman national –tome I'', la République parée de toutes les vertus triomphant de l'immonde ''Ancien régime'', qui n'était que la somme de tout ce qui peut être négatif sur terre : l'influence énorme des encyclopédistes et des ''Lumières'' (tu parles !), reposant sur une trame qui pouvait alors, compte tenu de l'état des connaissances du temps, sembler rationnelle, économique, sociale et, on pourrait dire, ''logique''... a coïncide avec un accident historique exceptionnel : après tant de dizaines de ''jacqueries'', de révoltes, de dissidences, pourquoi celle-là a-t-elle eu un tel succès, jamais connu avant et jamais réédité depuis ?
Car il faut rappeler que la simple ''prise de la Bastille'' (qui n'était rien en soi, ni un arsenal, ni une réserve d'or, ni un symbole sérieux (ce qu'elle est devenue par la suite, mais très longtemps après, grâce à la propagande des républicains et à l'imagination débridée des romantiques) fit couler des torrents de sang à travers toute l'Europe, durant près d'un quart de siècle, au nom d'une soi-disant ''libération des peuples opprimés'' (Question : préféraient-ils vraiment la mort à une liberté relative ? Le débat n'est pas tranché... s'il l'est un jour !). En fait, ces deux ''révolutions'' ont eu peu ou rien à voir l'une avec l'autre, ce qui explique la suite des événements : la folie robespierriste, les massacres, la ''veuve noire'' du Docteur Guillotin pour les uns... et l'enthousiasme napoléonien avec la grandeur retrouvée, pour les autres... Moralité : il ne faut jamais oublier les grandes vérités éternelles. Metternich disait : ''Un gouvernement quasi-légitime peut disparaître en quelques jours, presque sans résistance''. N'est-ce pas, cher Louis XVI ? Ne tremblez-vous pas, M Macron ?
Parmi les animateurs secrets des forces qui traînent l'attelage du temps qui passe, il y a certainement le fait qu'un pouvoir naît en général de besoins des citoyens (peur, nourriture, insécurité, envahissement –nous vivons tout ça, en permanence !), et qu'un pouvoir fort naît de la taille exagérée qu'ont pris ces problèmes. Les mauvais généraux de Nicolas II ont exaspéré le peuple, dégoûté de voir mourir ses fils... . La ''crise'' née de l'accumulation des horreurs communistes a entraîné la terreur stalinienne... La sévérité du traité de Versailles a amené Hitler au pouvoir... La corruption des ''Seigneurs de la guerre'' a fait triompher Mao de Tchang-Kaï-Check... la liste est interminable : chaque forme de pouvoir contient à la fois une justification de ce qu'il est, mais aussi sa propre fin, en lui, car il finit toujours (je n'en connais pas la raison) par générer ce contre quoi il a été mandaté. Et cela aussi, nous le vivons en permanence, hélas !
Les progrès finissant par devenir autant d'échecs et le monde étant, lui, devenu... ce que nous voyons, hélas encore, il fait de moins en moins de doute que de toutes les révoltes en cours (et Dieu sait s'il y en a, ces temps derniers !), la plus fréquente et la plus violente est le gouffre qui a été creusé sciemment entre les gouvernés et les gouvernants, par ces derniers. Pour parler des problèmes-du-jour, si le cas de la France est caricatural, l'Algérie, les USA, l'Iran, Israël, l'anti-duo russo-ukrainien, etc... sont à peine moins ridicules que nous et notre soi-disant ''Union européenne'', dont certains se gargarisent encore, alors qu'elle a égaré ou détruit tout ce qui pouvait ressembler à un avantage pour les européens, au profit d'idéologies qui ne nous laissent aucune chance : en vingt ans, c'est l'équivalent d'un ''membre'' (= un pays entier, et de bonne taille, en plus) qu'ils ont laissé entrer, sans la moindre surveillance, sans la moindre justification, sans la moindre intelligence, sans le moindre espoir de participation à notre ex-''œuvre commune'' ! Mais tout le monde se tait, et eux, ils persistent !
Ce monstre bruxellois, déformé par un pouvoir aristo-copino-technocratique largement usurpé et hors de toute ''raison sensée'', symbolisé par la dangereuse Ursule von der Leyen, n'est que la juxtaposition d'intérêts opposés, défendus becs et ongles par des gens qui, au mieux, ne s'aiment pas et, au pire, ne voient leur propre salut que dans la chute de l'autre (c'est le cas du pseudo ''couple franco-allemand'', qui a divorcé avant même d'avoir dit ''oui''... ce qu'est incapable de réaliser notre Président actuel qui persiste à confondre la réalité avec ses idées, toutes largement périmées et démontrées fausses par le temps qui passe !). Hegel, après Hérodote, voyait un sens à l'Histoire... Moi (qui ne suis rien, mais tant pis : j'ose le dire !), j'y vois un non-sens, invisible mais pervers... qui est en train de devenir mortel. Très rapidement.
H-Cl.
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Kim Dotcom vs toute la droite fronssaise
L’extrême-droite en France est en pleine régression intellectuelle et politique.
Par un mouvement invraisemblable, elle est en train de devenir la droite américaine des années 2000 qui est justement en train d’agoniser aux États-Unis.
La droite américaine des années 2000 consistait à faire la guerre à des pays musulmans pour le compte des juifs et de leur sacro-sainte colonie.
C’est d’autant plus grotesque que c’est à contretemps de deux décennies et c’était déjà complètement cringe à l’époque.
Tout ça, nous le devons aux boomers coalisés derrière les juifs qui conspirent à CNews, au JDD, à Europe 1, et d’une manière générale au sein du cartel médiatique de l’oligarque juif Bolloré-Goldschmitt.
Depuis que Bolloré a ouvert sa ferme à droitardés, nous voyons la rhétorique débilement pro-juive artificiellement proliférer.
Les influenceurs du droitardisme rêvent tous soudain d’exister grâce à la huileuse entremise des juifs.
Le dernier exemple en date, c’est encore cette folle de Cordier avec ses yeux trop près l’un de l’autre.
Elle voulait clasher Ersilia Soudais, ce qui est tout sauf difficile.
Plutôt que de parler de ce qui nous intéresse en tant que Blancs, Cordier a immédiatement invoqué leur « 7 octobre », sans aucune explication.
C’est la formule magique.
Le 7 octobre est leur nouveau premier de l’an.
Ils pensent pétrifier tout le monde avec ce truc.
Les traînées sans talent brillent dans ce genre d’exercices de veulerie.
Jouer les flics à l’ombre de l’autorité juive pour assouvir leur mesquine petite soif de vengeance personnelle est la spécialité des ratés, de droite ou de gauche, et c’est encore pire quand ce sont des catins.
Ces idiots utiles n’ont aucun pouvoir, la petite parcelle qui leur est concédée ne l’est que pour défendre leurs maîtres. Ils le savent et le font comme des chiens domestiques.
Résultat, il est impossible de distinguer Manuel Valls et le Printemps Républicain de l’écurie de Bolloré-Goldschmidt. Ils sont tous unis par leur peur femelle de l’islam et leur dévotion à la race juive.
L’axe Cordier-Schiappa vient d’ailleurs d’être scellé.
Je suis toujours aussi content que Bench Cigar ait fait voler cette version féminine de Gary Oldman contre un radiateur.
Tous ces gens se contentent de hurler à « l’antisémitisme » pour prix de leur exposition médiatique.
C’est tout ce qu’ils font.
Ils ont désespérément faim et son prêts à docilement répéter ce que les juifs leur disent de dire.
Le mot d’ordre, c’est Israël über alles, moyennant quelques critiques marginales sur l’islam ou l’insécurité. Le média Fdesouche, désormais copropriété de Damien Rieu, n’agit pas autrement.
Fort heureusement, au plan politique, l’opération Zemmour, financé par Rothschild, a échoué.
Il ne reste que l’horrible Knafo.
Mais il ne faut pas oublier le nombre de droitardés qui ont aveuglément servi cette juive et l’autre séfarade dans leur projet.
Là aussi Bolloré va continuer de surexposer cette juive goîtreuse sans cesse.
Pendant ce temps-là, loin de cette bulle hexagonale de plus en plus suffocante, le reste du monde occidental se réveille face aux juifs.
L’autre jour Tucker Carlson a invité un historien qui a expliqué sans trop prendre de pincettes que le véritable responsable de la Deuxième Guerre Mondiale était Churchill car il était financé par les juifs.
Ce qui est purement factuel.
Darryl Cooper (@martyrmade) déclare à Tucker Carlson que Churchill était « le principal méchant » de la Seconde Guerre mondiale pour avoir décliné les offres de paix de l’Allemagne, pour avoir utilisé les services de renseignement afin d’entraîner les Etats-Unis dans la guerre pour la Grande-Bretagne, et pour avoir utilisé des campagnes de bombardements contre les civils.
Dans un pays aussi verrouillé par les boomers et les juifs que la France, nous sommes à des années-lumières d’une discussion de premier plan comme celle-là, surtout à droite, sur l’imposture De Gaulle et son allégeance aux juifs.
Et plus encore sur les agissements des juifs à travers l’histoire.
Ne demandons pas à ces gens qui est derrière la guerre en Ukraine, en Syrie, en Libye, en Irak, ni bien sûr qui se trouve derrière le Grand Remplacement ou la dégénérescence LGBT.
Tous ces laquais resteront silencieux.
Kim Dotcom, Allemand en exil en Nouvelle-Zélande et sous les menaces de ZOG, en dit plus long que l’ensemble de tous les médias de droite français réunis n’en ont dit ces 10 dernières années.
Le superviseur juif du système soviétique du goulag, Genrikh Yagoda, a assassiné des millions de chrétiens pendant la révolution bolchevique. Il a déclaré : « Certains appellent ça le marxisme, moi j’appelle ça le judaïsme : « Certains appellent ça le marxisme, moi j’appelle ça le judaïsme ».
Le révolutionnaire bolchevique juif Léon Trotski a été financé par des banquiers juifs pour renverser l’empereur de Russie Nicolas II. Toute sa famille a été massacrée. Trotski a ensuite mis au point une stratégie de « famine lente » qui a été utilisée pour tuer des millions de chrétiens par la famine.
Selon ses propres termes : « Dans un pays où le seul employeur est l’État, l’opposition signifie la mort par famine lente. L’ancien principe : « Qui ne travaille pas ne mange pas » a été remplacé par un nouveau principe : « Qui n’obéit pas ne mange pas » : Qui n’obéit pas ne mange pas ». (Pensez à la CBDC et au score social).
Étudiez la révolution bolchevique, ses auteurs et ses bailleurs de fonds juifs pour comprendre ce que les sionistes mondialistes et le Forum économique mondial ont prévu pour vous : « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ».
Comme l’a dit Karl Marx : « La théorie du communisme peut se résumer en une phrase : Abolir toute propriété privée. »
Et lorsqu’ils vous mettent en garde contre les « théories du complot », rappelez-vous toujours ce que le meurtrier de masse Lénine a appris de ses maîtres :
« La presse ne doit pas seulement être un propagandiste collectif et un agitateur collectif, mais aussi un organisateur collectif des masses. »
Défendez votre droit à la liberté d’expression et dénoncez les malfaiteurs.
Le statut de victime est révolu. Lorsque vous bombardez des civils innocents et faites mourir des enfants de faim, vous ne pouvez plus vous cacher derrière l’antisémitisme. Lorsque vous commettez un génocide au vu et au su de tous, votre corruption systémique du monde n’est plus à démontrer. Bienvenue dans un monde où les règles du jeu sont les mêmes pour tous.
Tous les jours, des tas de gens en vue dans la sphère anglophone dénoncent les juifs avec une force de plus en plus impressionnante, rassemblant des millions et des millions de personnes.
Et au moment où tout cela se produit, nous, nous devons subir Alice Cordier et Damien Rieu sous le patronage de Gilles-William Goldnadel.
C’est pathétique.
Mais c’est surtout insupportable.
Démocratie Participative
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Heinrich Brüning, ou l'histoire de l'idiot utile d'Hitler
« Au printemps 1930, Brüning devint chancelier. Autant que nous puissions nous souvenir, c’était la première fois que l’Allemagne était dirigée d’une main ferme. De 1914 à 1923, tous les gouvernements avaient été faibles. Stresemann avait pris des mesures habiles et radicales, mais tout en souplesse, sans blesser personne. Brüning n’arrêtait pas de blesser tout le monde, c’était son style, il mettait un point d’honneur à être “impopulaire”. Un homme dur, osseux, l’œil étréci et sévère derrière des lunettes sans monture. Il répugnait par nature au liant, à la rondeur. Ses succès – il en connut quelques-uns, c’est incontestable – avaient toujours le schéma “opération réussie, patient mort”, ou “position maintenue, garnison massacrée”. Pour poursuivre jusqu’à l’absurde le paiement des réparations, il mit l’économie allemande au bord de la faillite ; les banques fermèrent, le nombre des chômeurs atteignit six millions. Pour sauver le budget malgré tout, il appliquait avec une farouche rigueur la recette du père de famille sévère : “se serrer la ceinture”. À intervalles réguliers, tous les six mois environ, sortait un décret-loi qui réduisait et réduisait encore les traitements, les retraites, les prestations sociales, et finit par réduire jusqu’aux salaires privés et aux intérêts. L’un entraînait l’autre, et Brüning, les dents serrées, en tirait chaque fois la douloureuse conséquence. Plusieurs des instruments de torture les plus efficaces de Hitler furent inaugurés par Brüning : c’est à lui que l’on doit la “gestion des devises”, qui empêchait les voyages à l’étranger, l’“impôt sur la désertion”, qui rendait l’exil impossible ; c’est lui aussi qui commença à limiter la liberté de la presse et à museler le Parlement. Et pourtant, étrange paradoxe, il faisait tout cela pour défendre la république. Mais les républicains commençaient peu à peu à se demander, et on les comprend, ce qui leur restait encore à défendre.
À ma connaissance, le régime de Brüning a été la première esquisse et pour ainsi dire la maquette d’une forme de gouvernement qui a été imitée depuis dans de nombreux pays d’Europe : une semi-dictature au nom de la démocratie et pour empêcher une dictature véritable. Quiconque se donnerait la peine d’étudier à fond le système de Brüning y trouverait tous les éléments qui font en fin de compte de ce mode de gouvernement, de façon presque inéluctable, le modèle de ce qu’il est censé combattre : c’est un système qui décourage ses propres adeptes, sape ses propres positions, accoutume à la privation de liberté, se montre incapable d’opposer à la propagande ennemie une défense fondée sur des idées, abandonne l’initiative à ses adversaires et finalement renonce au moment où la situation aboutit à une épreuve de force.
Brüning n’était pas vraiment suivi. Il était toléré. Il était le moindre mal : le maître sévère qui corrige ses élèves en affirmant “Cela me fait plus mal qu’à vous”, face au bourreau sadique. On couvrait Brüning, parce qu’il semblait la seule protection possible contre Hitler. Il le savait, bien entendu. Et comme son existence politique était directement liée à sa lutte contre Hitler, et donc à l’existence de celui-ci, il ne devait en aucun cas l’anéantir. Il devait combattre Hitler, mais en même temps le conserver. Il ne fallait pas que Hitler parvienne au pouvoir, mais il devait rester dangereux. Difficile équilibre que Brüning, les dents serrées, impassible comme un joueur de poker, maintint pendant deux ans, et c’était déjà une performance. Il était inévitable que l’équilibre se rompît un jour. Qu’arriverait-il alors ? Question sous-jacente à toute la période Brüning : et après ? Ce fut une époque où seule la perspective d’un avenir d’épouvante tempérait la tristesse du présent.
Brüning lui-même n’avait rien d’autre à offrir au pays que la misère, la morosité, la limitation de la liberté et l’assurance qu’on ne pouvait rien obtenir de mieux. Tout au plus pouvait-il exhorter au stoïcisme. Mais il était trop austère de nature pour que même cette exhortation fût convaincante. Il ne lança à la nation ni une grande idée, ni un appel. Il ne faisait que la recouvrir d’une ombre chagrine.
Cependant que les énergies restées si longtemps en jachère se rassemblaient à grand bruit.
Le 14 septembre 1930 eurent lieu ces élections législatives qui propulsèrent à la deuxième place un petit parti ridicule : les nazis passèrent de douze mandats à cent sept. De ce jour, la figure phare de l’époque Brüning cessa d’être Brüning pour devenir Hitler. La question n’était plus : Brüning restera-t-il ? mais : Hitler viendra-t-il ? Les discussions politiques âpres et torturantes ne mettaient plus aux prises partisans et adversaires de Brüning, mais partisans et adversaires de Hitler. Et dans les faubourgs, où les fusillades avaient repris, on ne s’entre-tuait pas au nom de Brüning, mais au nom de Hitler. »
Extrait d'Histoire d'un Allemand, souvenirs, 1914-1933, de Sebastian Haffner
Errare humanum est, perseverare diabolicum L'erreur est humaine, persévérer est diabolique
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Origines et histoire du mois de mars par Carmen Montet
Mois de mars son histoire Mars est le premier dans le calendrier républicain romain qui faisant débuter l’année au printemps. L’année commençait donc avec les beaux jours…période favorable pour partir à la guerre. Le fondateur de Rome, Romulus, voulant donner à son peuple un calendrier nouveau, divisa l’année en dix mois de trente jours, et consacra le premier de ces mois au dieu Mars, dont les…
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CHAMPS FERTLES
Amine El-Khatmi
Lui d'Avignon
Co-fondateur du Printemps Républicain
Comme Jean-Pierre Chevènement
Macron l'a fait cocu
En tant que personne
Issue de l'immigration
Et après coup
Je porte mes meilleurc coups
Citoyenneté intégration
Non sur des bases raciales
Mai politiques et sociales
Samedi 3 février 3,35
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À l'origine du PRINTEMPS RÉPUBLICAIN... #1
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Le Texas a installé ce mois-ci des bouées orange et du fil barbelé sur le fleuve du Rio Grande, qui sépare l’État américain du Mexique, pour empêcher le passage des migrants clandestins. Le ministère de la Justice a sommé le gouverneur républicain Greg Abbott de retirer cette barrière flottante, qu’il juge illégale, nuisible à la navigation et à la sécurité publique, et source de « préoccupations humanitaires ». Selon des médias locaux, des migrants se sont piégés dans le fil barbelé et ont dû être secourus. La police aux frontières a également signalé que la clôture gênait ses opérations. Une opération anti-immigration soutenue par le gouverneur Greg Abbott a refusé d’obtempérer et a envoyé une lettre au président Joe Biden, qu’il a rendue publique sur Twitter. Il y affirme son droit de protéger les intérêts « souverains » du Texas et accuse Biden de ne pas assumer ses responsabilités en matière d’immigration. Il revendique l’opération Lone Star, lancée au printemps 2021, qui a conduit à des centaines de milliers d’arrestations d’immigrants illégaux et de criminels. Il s’agit de la neuvième opération du genre en vingt ans, initiée par les gouverneurs républicains du Texas. Une bataille judiciaire en perspective Greg Abbott a défié Biden de le poursuivre en justice, en affirmant qu’il agissait pour le bien des migrants, qu’il voulait dissuader de risquer leur vie dans les eaux du Rio Grande. Il a publié sa lettre avant l’expiration de l’ultimatum fixé par le ministère de la Justice, qui menaçait de déposer une plainte fédérale contre le Texas s’il ne retirait pas sa barrière flottante.
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Metz. Anciens locaux du magasin Printemps : des appartements lumineux et des jardins Le Républicain Lorrain Lire la suite
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Au mois de mars, gare aux comparses !
Les Gaulois inventés par le tandem Goscinny-Uderzo se faisaient des Romains une idée sans doute caricaturale, si l’on admet que toute caricature réussie est basée sur un fond de vérité poussé à la démesure. Ainsi quand Obélix s’exclame : « Ils sont fous ces Romains ! », il ne fait qu’accentuer l’écart culturel entre les autochtones – avec leurs bardes, druides, livreurs de menhirs, voire leur potion magique –, et ces légionnaires latins venus occuper leurs contrées. C’est même la charge du trait qui fait alors sourire ou s’esclaffer.
N’empêche que la différence ainsi brocardée repose sur quelques données historiques fiables qui dépassent l’anachronisme évident des Astérix. Par exemple le calendrier. Les Romains antiques découpaient l’année en dix mois, dont mars était le premier. Ce Nouvel An, pour nous en retard de deux mois, n’était pas l’occasion d’étrennes, mais le début des campagnes au double sens du terme : campagnes où on relançait les travaux agricoles du primum tempus, du printemps, et campagnes militaires, toutes deux mises en veilleuse pendant la morte saison. Or à quelle divinité était voué ce premier mois ? À Mars, dieu de la guerre, dont le nom avait servi aussi à baptiser la planète rouge et un jour de la semaine, le mardi. En effet, parmi les domaines où ces Romains excellaient, il y avait, outre la construction et la législation, la conquête militaire. De cet exercice sous le patronage de Mars, le français moderne a d’ailleurs hérité tout ce qui est appelé martial : les arts, la cour, le discours, la loi, voire l’expédition. C’est même celle-ci qui fut à l’origine de la Guerre des Gaules et de la présence dans nos contrées de celui qui, selon ses propres termes, « vint, vit et vainquit », j’ai nommé Jules César.
Or ce général, auquel Uderzo prête un indéniable facies romain – avec sa légendaire calvitie cachée par la couronne de lauriers –, ne vint pas seulement faire des siennes chez nous. Il réforma aussi le calendrier républicain, qui ne comptait à l’origine que 304 jours (dix mois alternés de 29 ou 31 jours, de Martius à December), auxquels une réforme antérieure avait déjà ajouté l’équivalent de deux mois flottants. Ceux-ci étaient laissés à la discrétion du grand pontife, qui devait tenir compte des jours fastes et néfastes, des fêtes religieuses et des dates mémorables de l’histoire de Rome. Ce qui causa moult décisions aléatoires ou approximatives et créa surtout un déphasage inquiétant sur l’année tropique. À l’époque où Jules accéda aux affaires, l’année comptait 355 jours en douze mois et se terminait par les quatre semaines de février. Sur proposition de son astronome Sosigène, il décida de mettre fin à « la grande confusion » en portant le cycle annuel à 365 jours, soit dix jours de plus. Et comme l’année antique expirait un 28 février, on convint d’y ajouter tous les quatre ans un vingt-neuvième jour par combler le retard sur le soleil. La décision devint effective en 45 avant notre ère, étant entendu que l’année débuterait désormais en janvier et non en mars.
Si on croyait encore aux augures ou aux diseuses de mauvaises aventures, on pourrait conclure qu’en l’occurrence le dieu Mars se vengea de cette relégation au troisième rang. Certes il avait béni les entreprises martiales de Jules, en particulier sa conquête de la Gaule, ses expéditions africaines et sa victoire dans la guerre civile de Rome. Mais le complot qui se tramait contre lui et qui se solderait par son assassinat, tomberait aussi en mars, plus précisément le 15 mars de l’an 44 avant notre ère. Autrement dit, si Jules n’avait pas réformé le calendrier, la date de sa mort violente eût été un jour quelconque des calendes, des ides ou des nones d’un autre mois. Peut-être même d’un mois flottant ou intercalé. Mars avait donc abandonné son martial général au milieu du mois qui lui était consacré, le mois de mars. Par Toutatis, ceci ne pouvait être pure coïncidence !
Jules ne perdit pourtant pas tout dans cette histoire. Car non seulement on l’avait déjà appelé César – nom d’origine obscure mais promis à un grand avenir, puisque c’est l’ancêtre de tous les futurs Kaisers et Tsars –, mais le sénat romain, toujours prêt à voler au secours de la victoire, décida de l’honorer en rebaptisant le cinquième mois de l’ancienne année – le Quintilis – en Julius. Ce qui nous donna le mois de juillet. Toutefois il fallut un certain temps pour que ces nouvelles arrivent aux camps romains (dont Babaorum et Petibonum) entourant le célèbre village gaulois. Lequel continua, continue et continuera toujours à résister à l’envahisseur, foi d’Obélix ! Comme le fait d’ailleurs le Parc Astérix près de Paris, où l’on peut notamment s’embarquer sur un grand huit décoiffant, qui porte le nom gaulois de … Goudurix.
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Où #LFI ressemble de plus en plus aux patriotes de #Philippot... (Bientôt une jonction avec le @PrintempsRepublicain ?)
Où #LFI ressemble de plus en plus aux patriotes de #Philippot… (Bientôt une jonction avec le @PrintempsRepublicain ?)
Quand je vous le disais, que le souverainisme, et son petit frère, le patriotisme, sont les symptômes d’une lèpre à gauche.… ça se confirme. Comment ? Par le rapprochement idéologique des idées et du positionnement de la FI et de la secte Philippotiste, Les Patriotes. Car je ne vois franchement plus trop bien ce qui les sépare. Le républicanismeest dans la place… A moins que cet antifasciste…
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#bar de Sevran#Brigade des mères#Comité Laïcité République#entirsme islamique dans le mouvement syndical#Fatiha Boudjahlat#France Insoumise#Groupe JR Hebert#islamophobie#Les Patriotes#LFI#Mélenchon#MRC#Nadia Remadna#nationalisme#Philippot#Printemps Républicain#républicanisme#souverainisme
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Les agapes de la "tenaille identitaire" ou "l'exquise" complicité de la team Valls...
Les agapes de la “tenaille identitaire” ou “l’exquise” complicité de la team Valls…
Entre deux glaces à la noisette et quelques amabilités, les confidences d’ Eric Zemmour sur Gilles Clavreul du Printemps Républicain sur leur «ennemi commun (les noirs et les arabes)» dans ce «pays en guerre». Et c’est Zob qui le dit dans son dernier recueil de bavardages. “Pays en guerre”, 20 avril 2018, extrait. Zoum sur l’image pour agrandir si besoin “Nous engloutissons nos pizzas avec…
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Voir avec les yeux du racisme
Voir avec les yeux du racisme
L’image sociale, 23 mai 2018
L’actualité nous donne l’occasion d’un test grandeur nature. Comme dans le conte d’Andersen La Reine des neiges, où un personnage a la vue altérée par un éclat de verre, le raciste n’a pas la même vision du monde que le commun des mortels. Alors que la vue d’un voile ou d’un foulard ne me fait pas plus d’effet qu’un col roulé, l’identification de ces attributs par un…
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#défendre la laïcité#Roussel réaffirme ce matin qu'il est le seul à gauche à . De quoi parle-t-il ?#Un rappel pour Roussel : ses amis Caroline Fourest et le Printemps Républicain ne défendent pas la laïcité#mais l'islamophobie.
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Les délires des fachos du printemps républicain et consorts, ils bouffent du musulman matin midi et soir...
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