#Première grossesse jeune
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Non, être une jeune maman n’a pas "gâché" sa vingtaine
👶✨ Devenir maman jeune, un frein ou une chance ? Entre jugements, préjugés et liberté retrouvée, découvrez l’histoire de Léa et mon regard sur la maternité avant 30 ans. Un témoignage qui bouscule les idées reçues ! 🔥👇 #JeuneMaman #Maternité
Le week-end dernier, je suis allée à la piscine avec mes filles.À la caisse, devant moi, une jeune femme attendait avec un petit garçon d’environ trois ans.La caissière lui demanda : — C’est votre frère ?— Non, c’est mon fils. Le sourire poli de la caissière ne faiblit pas, et la conversation suivit son cours. Pourtant, cette question, aussi anodine qu’elle paraissait, continua à résonner dans…
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Automne 1926 - Champs-les-Sims
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Cher Lucien,
J'ai célébré mon mariage avec Ange la semaine dernière. Comme tu le vois sur la photographie, l'automne était déjà bien avancé mais c'était tout bonnement magnifique avec toutes ces couleurs. J'ai toujours beaucoup aimé cette saison, même si on me dit que rien n'égale l'automne canadien. Tu peux également découvrir Ange sur le portrait, même si je trouve que ce cliché ne le représente pas fidèlement : il n'est jamais si guindé et raide, il a simplement fait l'effort pour poser. Quand à moi, je trouve que ma robe dissimule mal ma grossesse, mais c'est sans doute parce que j'avais peur de me trahir à cet instant.
Cela semble se confirmer, je ne vais pas mettre au monde un seul enfant. Ange est ravi (j'ai failli écrire qu'il est aux anges mais je me suis ravisée). Quand à moi, je ne sais pas quoi en penser. Me voici mariée et mise à l'abri du scandale, mais j'ai énormément de mal à me voir déjà sur le point de devenir mère. Bien que je sois la première concernée, je vis cela de façon très lointaine. Maman dit que c'est normal pour un premier enfant, mais je crois simplement que je suis trop jeune et que je n'aurai pas du me lancer si tôt dans cette aventure. Mais il est trop tard désormais, car la délivrance est prévue pour le début d'année selon le médecin.
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Ange de Chastel#Albertine Maigret
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saga: Soumission & Domination 297
GWEN - 1, Franck's Grand Père
Pour sa première prestation, je l'envoie à ma première vraie cliente (pas Emma). Celle qui m'avait abordée à l'aéroport. C'est une encore belle femme dans la 50aine, très avide de jeunes gens et, selon le retour de mes Escorts, sachant les mettre à l'aise avec le fait de baiser une " vieille ".
Comme pour mes Escorts " homos ", elle paye pour lui, la surtaxe " 1er utilisateur ". Cela me permet de rétrocéder aux petits nouveaux une prime substantielle de démarrage.
J'envoie par mail à Gwen l'adresse et le lieu de rendez vous avec l'heure à laquelle il est attendu. Il me téléphone dès sa réception et je le sens un peu hésitant. Il n'est plus dans l'ambiance que j'avais créée lorsqu'il avait accepté le deal. Je le remotive en quelques minutes et l'assure que si, après cette première expérience il ne voulait pas continuer, cela n'aurait pas d'incidence sur son premier et alors unique salaire. Je lui demande de passer me voir après son rendez vous nous en discuterons ensemble.
Quand il arrive en milieu de soirée, il est tout excité. PH le fait monter et Samir nous verse un café.
Je lui demande comment cela s'est passé. Je veux connaitre son point de vue car de ma cliente, j'ai déjà eu le retour de sa prestation. Dès qu'il a eu franchi sa porte, elle m'a appelé pour me dire tout le bien qu'il lui avait procuré. Notamment qu'il s'était montré beaucoup plus " mâle " que mes autres Escorts plus doux avec elle. Elle avait apprécié de se faire prendre virilement (son propre vocabulaire) et me demandait de lui réserver sa prochaine période de disponibilité.
Gwen, les yeux brillants nous raconte. Il me dit qu'il était mort de trouille devant la porte de la maison. Qu'il avait failli partir en courant mais que l'idée d'avoir à me l'avouer l'en avait dissuadé. Mais ce qui l'avait le plus rassuré c'est de voir que ma cliente était ni moche ni mal foutue. De plus elle l'avait tout de suite mis à l'aise en le faisant parler un peu de lui. Il avait pensé qu'il devrait " tout faire " mais s'était vite retrouvé le pantalon sur les chevilles et la bite enfoncée dans sa bouche. Il me dit qu'à partir de là, c'était parti en délire. Mises à poil réciproque au milieu du salon, 69 sur son grand canapé, cravate de notaire entre ses seins bien fermes et apothéose : limage de sa chatte brulante dans pas mal de positions dont certaines qu'il ne connaissait pas. Il me dit que finalement baiser avec des " vieilles " avait pas mal d'avantage. Pas de risque de grossesses non désirées, pas d'accrochage sentimental, en plus une expérience du sexe débridée et des pratiques plus poussées que ce qu'il avait jusqu'à présent pu expérimenter avec des femmes plus jeunes. Je lui demande ce qu'il entend par là. Il m'explique que les meufs renâclent pas mal sur la pipe et que c'est rare d'en trouver une douée et qui aime ça. Il avait même sodomisé la cliente, à sa demande, chose qu'il n'avait encore jamais faite sur une meuf. Les seules variantes qu'il avait pu tester en dehors de la position du missionnaire avait jusque là été brièvement la levrette. Mas là, ils avaient visité une bonne partie du Kamasoutra ! Il l'avait prise à 4 pattes, debout pliée en deux, sur le coté, les jambes sur ses épaules... Elle l'avait sucé alors qu'il sortait de son vagin pour changer de position et me dit en avoir oublié pas mal. Il ajoute qu'elle avait plusieurs fois interrompu la monté de son sperme pour profiter plus longtemps de lui alors qu'elle-même avait déjà eu plusieurs orgasmes.
Pas besoin de lui demander si ça lui a plu et s'il était près à continuer !
Il est très enthousiaste et me dit que si les autres clientes sont du même genre, cela ne lui pose pas de soucis. Je lui dis qu'il aura quand même à " prestater " de temps à autre avec des hommes. Ce soir là, il est partant pour tout ce que je veux ! A ce moment là, je lui dis que ma cliente avait fortement apprécié ses performances et qu'elle désirait le revoir assez vite. Ça lui a fait plaisir et je l'ai senti se détendre. Comme s'il craignait de n'avoir pas été à la hauteur, malgré son propre ressenti.
Avant de nous quitter, il me demande si j'ai mis Stéphane au courant pour lui. Je lui demande " comme Escort ?". Il me fait oui de la tête. Je le rassure et ajoute que je ne parle pas de mes Escorts avec les " non- initiés ". Mais je lui fais remarquer qu'il aurait tout intérêt à lui en parler lui-même s'il voulait pouvoir utiliser la RCZ tous les jours et s'il voulait venir aux cours de sport. Il risquait en effet de le rencontrer puisque j'avais réussi à motiver Stéphane d'en faire.
J'ai droit à un appel dès le lendemain matin de Stéphane. Son coloc lui avait tout dit et il me demande si je comptais débaucher tous ses amis. Je le rassurais et lui dis que c'était pour rendre service, Gwen le lui avait sûrement dit. Je lui demande s'il l'avait trouvé bandant avec sa nouvelle " coupe ". Il me répond que c'est justement ça qui l'avait dénoncé et qu'il l'avait alors cuisiné pour savoir d'où venait cette subite envie de rasage. Pour le provoquer un peu, j'ai ajouté qu'il s'était bien défendu avec sa première cliente et qu'elle en redemandait. C'est comme si je l'avais vu rougir à l'autre bout du fil (façon de parler avec nos portables). Sans lui laisser le temps de se reprendre, je lui demande quand il comptait revenir s'entrainer. Maxou était très impatient de le revoir. Il fait mine de ne plus savoir qui c'est. Je le resitue : le petit mec qui voulait lui casser la gueule. Il me sort qu'il est trop jeune pour faire les sorties d'école. Je lui garanti que Maxou, malgré son air juvénile, a 20 ans déjà et que c'est la première fois que je le vois aussi " intéressé " par quelqu'un. Il continu et me dit que de toute les façons, il n'est pas homo. Comme je lui objecte qu'il n'est pas hétéro non plus, ça le fait rire.
J'enrage dans mon " plâtre ". J'ai plein de nouvelles recrues avec lesquelles j'aurais baisé depuis longtemps si je n'avais eu ce handicap. Ça me frustre et j'aime pas ça ! Marc, lui est mort de rire de me voir dans cet état là. Il se contente de ma gorge tant que je suis entravé. Même si j'adore son jus et qu'il aime bien me limer les amygdales c'est réduit comme baise. Mon petit trou en a mare de ne servir que dans un sens !! Je me vengerai !!!! En attendant comme il profite bien des " indigènes " locaux, ça va. Gentiment, il refuse d'enculer PH devant moi lorsqu'on se retrouve tous les trois. Mais je les ai entendus baiser dans notre salle de bain alors qu'ils me croyaient encore endormi. Je ne leur en veux pas, c'est moi qui ne peux pas trop en ce moment, pas eux !
Février : la piscine de la serre est enfin en eau. Second (notre maçon) et Olivier (l'architecte) sont contents du résultat. La mosaïque dégradée du blanc sur les bords extérieurs au bleu marine au fond du bassin rend bien et Antony me dit que les corps des nageurs ressortent bien sur ce fond. Cela lui permet de bien voir les mouvements pour les corriger. C'est d'ailleurs à lui que je demande de l'inaugurer. Sans plonger (qu'1,5 m d'eau), il nous régale de belles longueurs dans les 4 nages. Y'a pas à dire, voir nager un professionnel c'est beau ! Surtout quand c'est un beau mec !!
A partir de là, c'est encore plus rare qu'il y ait un soir de la semaine sans quelqu'un pour venir faire du sport. Je suis obligé d'interdire l'accès les WE pour que nous ayons un minimum d'intimité. Même si j'aime bien mes Escorts, et que depuis l'accident ils se sont rapprochés de moi, j'aime encore plus Marc, PH et Ernesto.
Après discussion, je ré-autorise, les WE, l'accès à la salle de sport pour qu'ils puissent faire gonfler leurs muscles avant certaines de leurs prestations. Mes clients le sont (clients) parce que je leur propose de l'Escort, jeune, beaux mecs et bien foutus physiquement. L'intelligence compte aussi pour la plus part. Ça, plus la serviabilité et une garantie de propreté parfaite m'a permis de les fidéliser.
Marc, quand il est avec nous, n'en revient pas du changement au Blockhaus. Ce n'est pas toujours pour lui déplaire vu qu'il est amateur de beau jeunes mecs. Il s'adonne d'ailleurs beaucoup plus au sport qu'avant. Je crois même qu'il ne laisse pas indifférent mes Escorts et je pense qu'il a du s'en faire quelques uns, en toute amitié bien sur !
C'est vrai que je ne suis toujours pas enculable ! Les essais fraichement réalisés ont très vite entrainés une douleur dans la jambe et une engueulade de la part de mon médecin quand je lui ai raconté les circonstances de la douleur.
Alors que moi, je continu de fondre, et ça pourrait être pire sans les bons soins de mon kiné et de Clem, lui améliore sa silhouette. Ça m'énerve !!
Coté cicatrice, je vais garder un bel " éclair " sur la cuisse. Si je supporte bien les plaques, mon médecin orthopédique me les laissera en place. Donc pas de nouvelle intervention. J'aime autant. Et même si la cicatrice est un peu large à l'endroit où l'os était ressorti, je ne ferais pas de " l'esthétique " dessus, ça me rappellera de faire attention aux autres véhicules. Et puis ça me donne un petit coté " gueule cassée " qui sous entend une certaine témérité !
J'ai reçu dernièrement une visite inattendue, le grand père de Franck. Ayant appris par ce dernier mon état, il passait me demander si j'avais besoin de quelque chose. C'est très gentil de sa part. Il faut dire que depuis notre rencontre en 2010 à La Baule et l'organisation par mes soins du dépucelage (hétéro et homo) de son petit fils préféré, il m'avait à la bonne (dixit le bonhomme en question). Alors même qu'il me demande cela, il s'aperçoit que je ne manque de rien et ça le fait éclater de rire. J'aime bien ce genre de " vieux ". Ouvert à tout, il ne s'est pas choqué de la déco du Blockhaus. Il a admiré la réinterprétation du déjeuner sur l'herbe et m'a même demander le nom et l'adresse où il pourrait trouver l'artiste. Il a beaucoup aimé aussi les tableaux vivants réalisés par mes amis et projetés juste à coté. Si les cariatides l'ont laissé dubitatif, trop typé " art académique soviétique ", la version du baiser de Rodin avec deux protagonistes mâles, l'enchante. Là aussi il me demande le nom de l'artiste. J'ai bien l'impression que ces deux là vont avoir de nouvelles commandes.
Puis il me demande qui est Louis. Sa question me surprend un peu. Pas qu'il connaisse ce nom car je sais Franck très proche de son grand père, mais plutôt par le fait qu'il ne connaisse que ce prénom. Il me dit que c'est la première fois que Franck lui " cache " une de ses aventures et il en a conclu que ce devait être du sérieux. Il ajoute avoir vu passer quelques uns de ses mecs présentés comme des copains mais que pour Louis, c'est le silence complet. Il a capté ce prénom en entendant fortuitement une conversation téléphonique entre eux. Il en a conclu que ce dernier n'avait pas le même statut que les autres auprès de son petit fils.
Je suis gêné par sa question. D'un coté c'est du privé entre Franck et Louis, d'un autre coté, je le comprends et comme je l'aime bien, je lui dévoile juste un coin du mystère en lui disant d'aborder directement le sujet avec son petit fils.
Je le rassure en lui affirmant que Louis n'est pas un de mes Escorts. Il vient d'une famille " modeste plus ", il est sérieux et est en école d'ingénieur où il est dans le premier 1/4 de sa promo. Je lui dis qu'il a notre confiance à PH et à moi au point que nous lui prêtons l'appart de PH en partage avec un de mes Escorts. J'ajoute qu'en plus de cela, il est mignon comme tout. Pour la partie " sentiments " il devra s'adresser directement aux protagonistes.
J'ai dit ce qu'il fallait et il est rassuré. Que je le connaisse et en pense du bien lui suffit, il a confiance en mon jugement. Content, il me propose de nous emmener, PH et moi, au restaurant avant de se raviser devant ma jambe en gouttière. Je lui propose de rester diner avec nous. Il hésite, ne voulant pas nous donner de mal. Je ris et lui dis que Samir sera content de faire un peu de cuisine. Il accepte mais sous réserve d'aller chercher le dessert. J'accepte.
Il revient les bras pleins de paquets. Outre le dessert qu'il a pris dans la meilleure pâtisserie de la ville, il s'est encombré d'un énorme bouquet de fleurs exotiques et d'une boite plus petite qu'il me tend. Elle vient d'un grand joailler parisien. Je lui dis qu'il ne fallait pas et que je n'avais rien fait pour mériter cela. Il persiste à voir en moi, le sauveur de son petit fils qui, avec les parents qu'il a (son propre fils en l'occurrence) aurait fini en homo marié avec une femme. Le fait que Louis soit un " bon garçon " le conforte dans sa vision de moi. Comme en plus il aime mon anticonformisme, il était sûr que le petit gadget contenu dans la boite me plairait. J'ouvre et trouve une superbe perle de corail rouge de 7/8 mm de diamètre, festonnée, retenue par un pivot terminé dessous par un diamant en cabochon, très indien (d'Inde) d'inspiration. Encore un peu " gauche " avec mon bras droit, PH se charge de remplacer à mon oreille le caillou du jour par la nouvelle pendeloque. Je suis ravi du cadeau. J'adore mon anneau d'oreille et toutes les pierres que j'ai reçues à y accrocher. PH lui parle de ma dernière " folie ". Du coup il m'aide à retirer mon t-shirt pour montrer mon tatouage. Le rouge du corail se marie très bien avec celui qui parsème le corps du dragon. Rire de notre invité qui me dit que je ne cesse de le surprendre.
Le diner est très agréable. Nous parlons de tout et de rien, ce qui, avec une personne aussi cultivé, nous emmène tard sans s'en apercevoir. Quand il nous quitte, j'insiste pour qu'il parle avec Franck. Les situations claires sont toujours préférables.
Jardinier
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Les hommes dénaturés, Nancy Kress, Paris, Flammarion, 2001 (1998), trad. J.-M. Chambon
Maximum Light, pour titre original. Comme sous les feux de la rampe. D'abord ceux de ballets, puis du scandale. Pourtant le scandale est dévoilé dès les premières pages : dans une cage aux barreaux si fins qu'ils laissent entièrement voir des singes dont les visages sont identiques, trois fois le même visage humain. Et puis ça explose. Trois fois le même visage, puis trois voix qui se tissent, l'une après l'autre, chapitre après l'autre, brin après l'autre, à la langue singulière pour traduire trois personnages, les trois personnages principaux : Nick Clementi, Cameron Atuli et Shana Walders. Respectivement une langue posée d'un vieux médecin habitué à la politique, une langue obsédée par la danse d'un danseur homosexuel, la langue gouailleuse et prolo d'une jeune soldate.
Le propos du livre est, à mes yeux, double.
La dystopie questionne, un peu comme Carola Dibbel dans The only Ones, les enjeux reproductifs de l'espèce humaine à l'aune d'une décroissance de la fertilité. Ici, celle des hommes davantage que celle des femmes, mais l'accent est surtout mis sur l'omniprésence de perturbateurs endocriniens dans l'environnement, conséquents de la surproduction pétrochimique. Les animaux sont régulièrement scrutés pour dire leurs malformations, tout autant que celles humaines, qui conduit à des fausses-couches ou à la naissance d'enfants dont les facultés cognitives sont altérées (manque de concentration, fragilité émotionnelle) dès la grossesse. A l'autre bout du spectre d'un monde sans enfants, il y a la description d'un monde de vieillards d'où les questions sociales ne sont pas absentes (ou plutôt, surtout présentes dans les premières pages du livre) : qui paye pour les retraites ?, qui touche encore une retraite ? Mais la question de la reproduction est aussi posée à travers les deux jeunes personnages : Cameron Atuli et Shana Walders. La position de Kress paraît un peu caricaturale et essentialiste quand elle figure Cameron qui, en résumant brutalement est pédé danseur classique ne voulant/"pouvant"pas avoir d'enfants (alors qu'un des enjeux du livre est la haute fertilité de son sperme). Mais, Kress me semble moins essentialiste quand elle dresse le personnage de Walders. La jeune femme ne veut pas d'enfants alors qu'elle est fertile ; elle est travailleuse du sexe à l'occasion, et ça ne l'embarrasse pas. La questionne davantage, cette jeune femme, sa place dans la société, à la croisée d'un désir transclasse et d'un désir qui, depuis notre société actuelle, se dégenre dans la mesure où son lieu de carrière, expliqué par sa socialisation primaire (son père militaire, etc.), est celui de l'armée.
L'autre pendant du livre est une enquête sur le scandale - Maximum Light. Sa mécanique est exposée dans l'intrigue que Kress noue autour du taire, à l'échelle des U.S.A., depuis une critique acerbe de l'investissement étatique dans la recherche, articulant son pendant académique et celui privé (à ce sujet, concernant la recherche française, on pourra lire le dossier intitulé Penser le capitalisme académique par la production de ses marges, coordonné par Natacha Chetcuti-Osorovitz & Cynthia Colmellere pour la revue SociologieS). Kress souligne le paradoxe du laissez-faire étatique sur les activités illégales financées par des ressources privées. Ainsi, l’État, des Hommes dénaturés, régule les lois éthiques de la recherche académique comme les financements qui y sont alloués, mais ces lois éthiques sont définies afin de ne pas remettre en question les implications écosystémiques des multinationales pétrochimiques dans la crise sanitaire. Pour décrire la strate officielle, les premières pages figurent un conseil où ne siègent que des personnes âgées. Puis, entre officiel et officieux, s'y greffe un rendez-vous entre Nick Clementi, le vieux médecin, et un politicien, du même âge. Mais la strate que décrit le plus Kress est bien celle officieuse, celle expérimentale et criminelle. Se développant par un manque d'espace officiel, de soutien académique et financier, et d_s lors hors-cadre éthique la régulant. Ainsi, il me semble moins ici que Kress travaille sur les possibles que la science offre, malgré les inventions que l'autrice produit (par exemple la vivifacture, permettant la création de ces singes à tête d'enfants) que sur le cadre sociologique de la production scientifique.
#nancy kress#science-fiction#science fiction#science fiction postpatriarcale#science#eugénisme#les hommes dénaturés#sociologies#Natacha Chetcuti-Osorovitz#Cynthia Colmellere#carola dibbel#poésie critique#anne kawala
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NSBC • Chapitre 11
Gabriel grandit, et devient un bambin plein de vie. Trop plein de vie pour mes vêtements secs…
Cela dit, c’est quand même plus agréable que s’il faisait des caprices tout le temps !
Il est tellement adorable, que… eh bien… Peut-être qu’on oublie d’être vigilant, en ce moment.
On n’en a pas vraiment parlé, ça s’est fait comme ça. J’ai rapidement retrouvé mes copines les nausées le matin avant d’aller bosser…
Et travailler dans ces conditions c’est pas l’idéal non plus, mais bon… quand ‘faut y aller… !
Je sais pas si ce sont les hormones de grossesse, mais j’étais d’humeur particulièrement joueuse ce matin-là, malgré mes vomissements au saut du lit. Et j’ai enfin pu tester la fonction glaciale de mon Pistolet à Électroparticules… sur une jeune âme perdue qui s’était infiltrée dans notre laboratoire…
Apparemment, j’ai bien fait puisque Thierry est venu me féliciter. Cette personne était en fait un extra-terrestre infiltré, avec de mauvaises intentions… C’est pas très gentil, tout ça ! Nous, on veut juste vous rencontrer, pas vous faire du mal ! Roh !
J’ai continué ma journée de travail normalement après ma BA. Thierry m’a vite fait dis que si je continuais comme ça, la prochaine promotion était à porter de main… la classe !
Et sans surprise, en prenant ma douche quelques temps plus tard, j’ai eu le plaisir de voir mon ventre légèrement arrondi. Bon, avec des nausées en prime, bien sûr…
Edward est ravi, à nouveau. C’est tellement un papa poule avec Gabriel que je ne me fais aucun souci, il arrivera à en gérer un deuxième sans problème.
Mais maintenant, la question d’agrandir la maison ou de déménager se pose plus que jamais… et j’ai préféré opter pour un agrandissement ! Edward m’a soutenu dans mon choix, et j’ai ainsi pu appeler les ouvriers nécessaires pour qu’ils effectuent des travaux. Nous avons construit un étage, qui pour l’instant, est bien vide…
Il y a également l’emplacement pour une deuxième salle de bain, histoire qu’on ne se marche pas dessus. Et j’ai profité de la présence des ouvriers pour leur demander s’il était possible de me construire un petit sous-sol professionnel… et après avoir fait les bonnes mesures, ils m’ont annoncé que oui, c’était tout à fait possible. Et donc voilà le début de mon petit nid de scientifique !
Il faudra que je récupère d’autres machines au travail pour compléter l’ensemble…
Gabriel continuera de dormir dans notre chambre le temps qu’il soit assez grand pour pouvoir monter les marches de l’escalier tout seul. Mais ça ne l’empêche pas d’investir également le salon…
Et mine de rien, c’est pas facile de s’occuper du petit monstre quand on a l’estomac à l’envers. Si le deuxième n’est pas aussi calme, je ne sais pas si je voudrais en faire un autre… !
Mais en attendant, on a seulement un amour de petit bébé… Regardez-moi cette bouille !
Bon, il sait clairement s’en servir pour obtenir des friandises… mais tant que c’est que pour ça, ça me va. Il grandit beaucoup trop vite, ça me fait presque peur ! Même si je suis rassurée quand je le vois enlacer sa peluche préférée comme n’importe quel bambin.
De mon côté, j’entame rapidement mon huitième mois de grossesse. C’est pour bientôt… J’espère que ça sera une petite fille ! J’ai préféré dire au médecin de ne rien me révéler lors de mes visites de contr��le. Ça sera comme pour Gabriel… une surprise !
Au travail, Victoria me gronde presque régulièrement pour que je prenne des jours afin de préparer l’accouchement, mais elle se heurte à mes refus catégoriques. Et pour lui prouver que le bébé est en parfaite santé malgré mes heures de travail, je lui propose de toucher mon ventre quand je le sens bouger.
Elle se montre moins hésitante que la première fois, et je sens que ça la rassure. Même si, pour tout vous avouer, j’ai toujours autant de mal à lire ses expressions… ! Et chose promise, chose due, Thierry m’augmente au même grade qu’elle… « Elle a bien besoin d’un coup de main pour gérer les papiers du laboratoire, hahaha ! » Vieux fou… Mais j’ai quand même eu le droit à un nouvel uniforme, dont Victoria n’a jamais voulu, je ne sais pas pourquoi… !
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Hiver 1906, Glacier de Fharhond, Canada (14/20)
Le petit ours qui m’avait conduit jusqu’à sa mère et qui était la source de mes mésaventures, nous a suivi jusqu’au sémaphore. Tagak estime que l’ourson a quatre mois. Généralement, les oursons naissent au début de l’hiver et n’émergent qu’au printemps de la tanière creusée par la mère dans la banquise ; celui-ci serait donc né en Novembre et il s’agissait probablement d’une de ses premières sorties. Ses chances de survies sont donc très faibles : normalement, les mères les allaitent pendant dix-huit mois, puis elles continuent à les éduquer jusqu’à leur trentième mois, après quoi le jeune ours quitte sa mère qui est désormais prête pour une nouvelle grossesse.
[Transcription] Jules Le Bris : Si on m’avait dit que je serai un jour aussi heureux de revoir cette maudite bicoque étroite !… Tagak Angottitauruq : Ne te réjouis pas trop vite, Qallunaaq. Sous ma garde, tu ne quittes plus le lit. Jules Le Bris : Ai-je une marge de négociation pour la chaise ? Tagak Angottitauruq : Lit et chaise. Mais si je t’aperçois debout, je t’attache. Allez, entre. Jules Le Bris : Et lui ? Il n��a pas l’air décidé à partir… Tagak Angottitauruq : Je te l’ai dit. Il finira bien par se lasser.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Tagak Angottitauruq
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Les Aspid
Amanda Sullivan et Mentis Aspid font leurs études à Poudlard, ils se rencontrent à leurs 16 ans et commencent à sortir ensemble quelques années plus tard. Lorsqu'ils ont 18 ans, Amanda tombe enceinte, et accouche d'un petit garçon : Ezra. Ils décident de prendre leurs responsabilités en main, et se dégottent une petite maison au 22, Charlister Road, grâce à leurs économies. Très vite, Mentis trouve un travail en tant que fonctionnaire au ministère de la Magie. Il est mal payé, doit travailler jour et nuit, mais il n'a pas le choix s'il veut avoir des ressources pour préparer l'arrivée de leur enfant. Amanda trouve un poste de botaniste sur le Chemin de Traverse, mais très vite la grossesse prend le pas, et elle doit se mettre en arrêt. Quatre ans plus tard, ils se marient. Ils hébergent pendant un temps un jeune couple, qui leur rappelle un peu leur propre histoire ; Zoe et Jordan ont quitté leurs familles pour vivre ensemble, sans le moindre sous en poche. Les Archer finiront par devenir leurs voisins.
Aux 6 ans d'Ezra, sa petite sœur naît : Aspen. Leurs parents ont des relations plus ou moins cordiales, mais ont généralement tendance à délaisser leurs enfants. C'est Ezra qui s'occupera le plus de sa petite sœur durant les premières années de sa vie.
Deux ans plus tard, le même schéma a lieu avec la naissance de Graham. Encore une fois, les petits frères et sœurs d'Ezra sont très jeunes, et leurs parents ne leur prêtent pas suffisamment d'attention. Ezra ne se fait pas d'amis à l'école primaire parce qu'il a peur d'oublier ses frères et sœurs.
Aux 11ans d'Ezra, sa deuxième sœur naît : Frida. Ezra se rend compte qu'Aspen commence à développer sa personnalité, qu'elle aime la musique, qu'elle a envie de jouer avec des instruments. Il demandera aux parents de lui acheter une petite guitare pour les enfants, afin qu'elle puisse assouvir ses envies de musique.
Ezra fera sa rentrée à Poudlard. Il culpabilise énormément de laisser ses frères et sœurs derrière lui, il a peur qu'il ne leur arrive quelque chose en son absence. Il passera toute son année à chasser les autres enfants qui veulent devenir son ami, il les trouve trop puériles. Il sera très concentré en classe et sera le premier de sa promotion.
Lorsqu'Ezra a 16 ans, Amanda tombe enceinte de Tyson, le benjamin des Aspid. Amanda et Mentis ont fini par inscrire Aspen à des cours de musique, notamment de guitare, pendant qu'Ezra était à Poudlard. Graham et Frida entretiennent une relation très fusionnelle, ils forment bande à part. De plus, les parents recouvrent Frida de jouets, parce qu'ils ont peur qu'elle se sente rejetée avec l'arrivée imminente de leur dernier enfant.
Ezra est en sixième année à Poudlard, à Poufsouffle. Il brille dans toutes les matières depuis six ans déjà, mais se sent très seul. Il évite systématiquement quiconque voulant se rapprocher de lui. Au fur et à mesure des années, et à force de ne pas vouloir se rapprocher des jeunes de son âge, il a développé une peur de la foule et de l'inconnue. Il ne supporte pas l'idée que quelqu'un qu'il ne connaisse pas vienne vers lui, encore moins s'il s'agit d'un groupe de personnes.
Les élèves croiront que parce que Monsieur est premier, il les snobe. Ezra se fera harceler à partir de sa cinquième année : boulettes de papier lancés sur lui, blagues douteuses, insultes, menaces de mort écrites sous forme de lettre... il ne dormira plus dans son dortoir, mais dans la Salle sur Demande. Mais il ne craque pas, parce qu'il sait que sans lui, sa famille exploserait en mille morceaux.
Jusqu'à ce qu'il se rende compte, durant les vacances de noël, que tout le monde semble avoir appris à vivre sans lui. Aspen va à ses cours comme une grande, Graham surveille, amusé, Frida et ses goûters improvisés... Personne n'a plus besoin de lui, mais Ezra ne vit que pour prendre soin d'eux.
Alors, lorsqu'il comprendra qu'il ne sert plus à rien, il craquera.
En mai 2009, Ezra se suicidera. Un mois plus tard, son petit frère Tyson naîtra.
Très vite, le drame détruit les Aspid. Amanda entre en dépression, traumatisée par la mort de son aîné ; Mentis, lui, ne peut plus rentrer chez lui. Partout, il a l'impression de voir le fantôme d'Ezra. Leur couple se fragilisera, les deux s'éloignant l'un de l'autre peu à peu.
Les voisins des Aspid, les Archer, assistent à l'enterrement d'Ezra. Zoe était devenue la marraine d'Ezra, quelques années après leur emménagement. Elle épaulera Amanda, l'accompagnera consulter des psychomages. Elle gardera leurs enfants de temps. C'est d'ailleurs ainsi qu'Aspen Aspid et Headley Archer se rencontrent, durant leur enfance.
Durant son adolescence, Aspen fuguera quelques jours les Archer. Zoe ne dira rien, mais elle préviendra ses parents pour qu'ils ne s'inquiètent pas. Lorsqu'elle verra qu'Aspen et Headley ont la musique en passion commune, elle encouragera la création de leur groupe de musique. Cependant, quelques temps plus tard, Aspen découvrira les infidélités de son père, Mentis.
Suite à la mort d'Ezra, Zoe verra qu'Aspen veut reprendre le rôle de son frère et s'occuper de tout le monde, au détriment d'elle-même. Mais Zoe ne la laissera pas faire, par peur qu'elle ne finisse comme Ezra. Zoe ne lui dira rien, mais la forcera à prendre du temps pour elle, profiter de son adolescence, pendant qu'elle gèrera les petits.
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𝗞͟𝗪͟𝗢͟𝗡͟ 𝗞͟𝗔͟𝗭 ;
Kaz est considéré comme le deuxième miracle de la famille. Ses parents ont dépassé l’âge limite, une grossesse risquée, un deuxième même, parce que le jeune homme sera également un grand prématuré, après sa grande sœur Delilah. C’est peut-être ça qui fait que les deux frères et sœurs sont proches, parce qu’ils savent ce que ça fait de passer les premières années de leur vie dans les hôpitaux. Ils seront très vite proches et inséparables. Le leur lien sera fort, aussi soudé en grandissant, même quand ils feront la connaissance de Set et Iseul qui deviendront leurs meilleurs amis. Ce quatuor est terrifiant, les quatre cent coups, les rires, peut-être qu’à la maison c’est compliqué, mais Kaz sait qu’il pourra toujours compter sur sa sœur et sur ses amis. Ils se sentent fort les quatre amis, ont l’impression que rien ne peut leur arriver. Il part du principale qu’il a Set, son meilleur ami. Il a Del pour qui il se battra toujours et Iseul, son âme sœur. Rien ne peut leur arriver, n’est-ce pas ? Les problèmes familiaux font bien vite leur apparition, quand leur mère – atteinte d’une grave maladie – décède. C’est un drame pour cette petite famille stable, pour leur père qui est maintenant âgé et qui ne peut pas survivre sans sa femme, dur pour ces deux enfants qui se voit évoluer dans un univers où leur mère n’est plus là. Mais y’a aussi la dure réalité, quand ils voient leur père se renfermer petit à petit sur lui même, se consolant dans sa tristesse, dans la perte de sa femme. Si Delilah décide de quitter la maison pour poursuivre ses études et ne pas se confronter à la réalité, Kaz lui, reste. Il doit prendre les devants, doit s’occuper de son père, devenir la seule figure stable qu’il ne sera quasiment jamais. Il ne fait pas d’étude le garçon, décide d’enchaîner les petits boulots pour ramener de l’argent à la maison et aider son père a joindre les deux bouts. Il ne le dira sans doute jamais, mais même si il comprend et respecte sa décision, il y aura toujours une partie de lui même qui en voudra à sa sœur, pour être partie en le laissant seul, en l’abandonnant.
Comment Halazia voit le jour ? C’est tout con. Kaz et Set ont à présent la vingtaine, passent le plus clair de leur temps à traîner dans les bars, si bien qu’ils sont tellement ivres la plupart du temps qu’ils n’assurent pas au travail. Ils veulent faire autre chose, voir autre chose, et ce qui devait rester un rêve irréalisable, voit le jour. Ils décident de former le gang. Ils ont l’air cons au début, parce qu’ils sont que deux, mais son meilleur ami ramène Iseul, qui ne veut pas en faire partie, qui est forcée et ça emmerde profondément Kaz. Mais ils sont vite rejoints par d’autres membres, aussi violents, aussi brisés, et bien vite, ils deviennent un des gangs les plus réputés de la ville, des plus effrayants. Leur popularité n’est pas dû à leur talent au niveau des échanges, non, c’est surtout causé à cause des excès de colère de Set qui ne peut s’empêcher d’utiliser ses poings, de s’en prendre aux femmes, ce qui commence à dégoûter Kaz un peu plus chaque jour.
Puis y’a Iseul. Pendant longtemps la jeune femme a été sa meilleure amie. Ils sont très proches même si ils ont quelques années d’écart. Mais il ne faut pas être idiot pour comprendre que ce n’est pas que de la simple amitié qu’il ressent envers elle. Et c’est réciproque, quand des années plus tard, ils s’avouent leurs sentiments. Cependant, ils ne peuvent pas prendre le risque de s’afficher devant Set – en proie au pouvoir, violent – qui n’accepterait pas cette relation. Alors ils vivent dans le secret, entretiennent une relation entre les quatre murs de l’appartement de Kaz. C’est pas facile tous les jours, mais doivent être patients. Un jour viendra leur tour, un jour ils quitteront Halazia et la ville pour vivre leur vie. Les choses prennent une tournure différente. Set devient de plus en plus incontrôlable, s’en prend aux Serpents, harcèle Delilah qui était avant son amie, il envoie même sa propre sœur en guise de monnaie d’échange contre de la drogue. C’est un point de non retour pour le jeune homme qui veut fuir au plus vite. Leur secret est dévoilé, ils se séparent, se font virer du gang qui se remettent ensemble. Ils vivent les montagnes russes en quelques jours à peine, mais les trois acolytes – Kaz, Iseul et Kyungsu – peuvent enfin souffler, peuvent enfin se dire qu’ils n’appartiennent plus à Halazia. Alors quand Kaz se rend chez les serpents pour aider sa sœur, bien sûr qu’il n’est pas accueilli les bras ouverts, qu’il va devoir faire ses preuves, mais il a déjà quelques personnes de son côté, comme Delilah et Minjae. Ils l’auront un jour, leur maison au Japon.
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𝗛͟𝗜͟𝗦͟ 𝗠͟𝗢͟𝗢͟𝗗͟𝗕͟𝗢͟𝗔͟𝗥͟𝗗 ;
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𝗧͟𝗛͟𝗘͟ 𝗦͟𝗢͟𝗨͟𝗟͟𝗠͟𝗔͟𝗧͟𝗘 ;
ISEUL — « Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum. »
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𝐋͟𝐎͟𝐈͟𝐒͟ 𝐌͟𝐘͟𝐄͟𝐑͟𝐒 ;
— Blue represents serenity, calm, trust, and loyalty. Lois is represented by blue because it also signifies emotional distance. Due to his cold nature and withdrawal from the rest of the world, he's associated with the color blue, as it symbolizes a certain coldness linked to separation or abandonment.
Lois ne voit pas le jour dans les meilleures conditions, ni même dans la famille la plus aimante qui puisse exister. Il est une erreur, un retour de couche, c’est ainsi que ses parents le considèrent dès sa naissance, et il arrive même pas un an après son grand frère Leo. Il n’a que quelques jours, mais le brun sent déjà la différence. La vérité, c’est qu’il n’était aucunement désiré, mais dans une famille où toute grossesse doit être assumée, il est là, malgré lui, et ses parents ne prennent même pas la peine de se souvenir de son prénom ou de lui accorder un quart d’attention, même minime, comparé à celle qu’ils portent à son grand frère. C’est l’enfant qu’on oublie une fois sur deux d’aller chercher à l’école. C’est l’enfant qui récupère les affaires usées de son aîné. Ils ne le regardent ni avec amour, ni avec fierté quand il ramène de bonnes notes, quand il se tient correctement ou quand il se montre être l’enfant le plus gentil et poli qu’on puisse rencontrer. Alors, il décide de faire tout le contraire, de se rebeller, d’essayer de capter l’attention de ses parents d’une manière différente. Mais ses parents ne le regardent toujours pas, même lorsqu’il ramène de mauvaises notes, même lorsqu’il fait des bêtises plus grandes que lui. C’est donc effacé, livré à lui-même, vivant dans l’ombre de Leo, que le jeune homme entame les premières années de sa vie. Et, au final, il s’y fait. C’est plutôt facile de se cacher derrière son grand frère, parce que si ses parents s’inquiètent de l’avenir de l’aîné, ce n’est pas le cas pour le plus jeune, qui voit ça comme une libération à l’adolescence.
Lois n’a que dix-sept ans, il s’apprête à passer ses derniers examens quand il apprend la mauvaise nouvelle. Son frère, qui avait une obsession pour les motos, meurt dans un accident de la route en rentrant de l’université. Un excès de vitesse et un manque d’équilibre, voilà ce que le rapport leur apprendra. Même s’ils ne sont pas proches, même s’ils n’entretiennent pas des relations normales de petit et grand frère, c’est tout son monde qui s’écroule. Leo n’était peut-être pas le grand frère idéal, mais ces rares moments où il le défendait, ces fois où il devenait juste le grand frère aimant et doux que Lois attendait, il y croyait. Et puisqu’il est malheureusement le dernier enfant, ses parents se souviennent subitement de son existence. Fini les sorties jusqu’à pas d’heure, les conneries, les mauvaises notes… Il ne comprend pas ce changement d’attitude, mais visiblement, ses parents projettent tout sur lui, jusqu’à l’étouffer et le fliquer au moindre de ses faits et gestes. C’est la goutte de trop pour le garçon, qui ne supporte plus tout ça et qui en a marre d’être le reflet de son frère décédé. Il décide donc, après ses examens, de quitter la maison pour s’installer à Séoul et intégrer l’université. Pour lui, c’est un signe du destin : il veut juste reconstruire sa vie ailleurs — même s’il profite toujours de l’argent de ses parents — mais au moins, il peut essayer de devenir quelqu’un d’autre. Lois est le stéréotype même du type qui veut vivre sa vie sans attaches : toujours aux soirées, quasiment jamais en cours, enchaînant les conquêtes sans jamais les rappeler le lendemain. C’est lors d’une soirée qu’il rencontre Romeo, quand, sur le parking, ils s’échangent des compliments sur leurs voitures de collection. Puis arrivent Adam et Lewis, qui sont meilleurs amis depuis l’enfance, et ce petit groupe de quatre se fait bien vite une renommée à l’université, avec leurs voitures qu’ils chouchoutent et leur application : les Campus Drivers.
i. Depuis l'accident de son grand frère, Lois cultive une peur et une haine envers les motos. Il n'est pas rare de le voir jeter un regard mauvais à chacune d'entre elles qui passe devant lui, comme si elles étaient responsables du décès de Leo. Durant les premiers mois de l’application, il ne souhaitait pas voir ses meilleurs amis monter sur une moto, de peur de les voir reproduire le même schéma que Leo. Lorsque Julian fait son arrivée dans le groupe, Lois voit d’un très mauvais œil le fait que ce dernier se déplace à moto, mais après de longues discussions avec les autres membres des Campus Drivers, il commence à changer un peu d’avis. Il laisse Julian conduire les autres étudiants à l’arrière de son véhicule, mais il a toujours été clair en affirmant qu’au moindre petit dérapage, ce dernier finirait en voiture, comme les autres.
ii. Bien que Lois n'ait jamais vraiment eu l'occasion de le montrer à son entourage, il joue de la guitare en secret. Une guitare qu'il a récupéré de son frère après son décès. C’est un moyen pour lui de se libérer de ses émotions quand tout devient trop lourd à porter. Parfois, dans l'intimité de sa chambre, il compose des mélodies qu'il n'ose partager avec personne, craignant que ça ne soit pas assez bon ou qu'on le voie sous un autre jour.
iii. Le seul lien qu’il garde avec ses parents, c’est la tache de naissance en forme de cœur qu’il possède au coin de l’œil. Cette même tache de naissance qu’il a détestée pendant des années, étant sujet aux moqueries lorsqu’il était encore enfant. Cependant, il a aujourd’hui un nouveau regard sur cette marque rosée, car Leo avait exactement la même. Et il se dit qu’à l’heure actuelle, c’est tout ce qui lui reste de son grand frère.
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𝐇͟𝐈͟𝐒͟ 𝐌͟𝐎͟𝐎͟𝐃͟𝐁͟𝐎͟𝐀͟𝐑͟𝐃 ;
Lois doit être le plus calme et le plus solitaire de ses amis. C’est quelqu’un de très secret et discret sur sa vie personnelle. Il ne supporte pas qu’on envahisse son espace intime et a vécu seul pendant ses premières années d’études pour éviter de se sentir submergé. Bien qu’il incarne le cliché par excellence et qu’il ne fasse rien pour contredire la réputation du mec qui n’en a rien à faire de tout, il ne parle pas pour autant de ce qu’il a vécu ni de ce qu’il a traversé. Seuls ses meilleurs amis sont au courant de son histoire, notamment du décès de son grand frère. Bien qu'un peu opportuniste sur les bords, Lois est quelqu’un de très loyal, honnête et fidèle. Il n’y a rien qu’il ne ferait pas pour ses amis et ses proches. Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, Lois est sûrement le seul à être vraiment à cheval sur les plannings et à être le plus strict quand il s’agit de la réputation de leur groupe.
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𝐇͟𝐈͟𝐒͟ 𝐈͟𝐍͟𝐒͟𝐓͟𝐀͟𝐆͟𝐑͟𝐀͟𝐌 ;
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Chronologie ; l'histoire du Royaume
tw : mention de guerre, conflits, mortalité infantile, mort, maladie, disparition.
LA MENACE KAHEDRIN (avant-libération = A.-L.)
110 A.-L. : Début des invasions Kahedrin — Le peuple Galhot de Metamoor a vécu en paix pendant de nombreuses années, jusqu'à attirer les convoitises de leurs voisins, notamment celles du peuple Kahedrin. Ouvert à la discussion, le Roi Valtar de Metamoor propose de rencontrer son homologue Kahedrin afin de trouver un accord. Celui-ci accepte deux ans plus tard. 108 A.-L. : Paix fragile entre Metamoor et Kahedrin — Les deux souverains décident de suspendre les hostilités jusqu'à nouvel ordre, suite à la santé fragile du Roi Olfrid de Kahedrin. 100 A.-L. : Morgon, unique héritier d'Olfrid, devient Roi de Kahedrin — Suite à une décision d'Olfrid lui-même. Des doutes persistent encore à ce jour, certains historiens évoquant une prise de pouvoir par la force. 95 A.-L. : Reprise des hostilités — Contrairement à Olfrid, le jeune Roi Morgon n'a jamais voulu de cet accord. Désireux de faire ses preuves, il organise une nouvelle rencontre entre leurs deux royaumes où il provoque ouvertement Metamoor. Le Roi Valtar est alors emprisonné sur les terres Kahedrin jusqu'à nouvel ordre. 91 A.-L. : Olfrid s'éteint — Morgon voit en cela l'occasion d'asseoir son autorité. Valtar de Metamoor est exécuté moins de trois jours après la mort d'Olfrid et les troupes de Morgon ont profité du chaos engendré pour se placer à la frontière des deux royaumes. L'assaut est lancé aux premières lueurs du matin, Morgon avance sur la capitale avec une armée colossale. 91 A.-L. : Appel à l'aide des Galhots — Metamoor n'a plus de roi, mais Metamoor ne tombera pas ! Le peuple orphelin vient de perdre son souverain, mais ne sacrifiera pas sa liberté au peuple ennemi. Ensemble, ils se mobilisent pour invoquer l'aide de l'Oracle, Grand Sage du royaume des cieux : Kandrakar. 90 A.-L. : Guerre des 90 ans — L'Oracle trouve en Escanor le Brave et ses quatre chevaliers de nombreuses qualités afin de prêter main forte au peuple Galhot et les libérer des Kahedrin. Il aura fallu près de 90 ans (années métamooriennes, environ 18 ans sur Terre) pour atteindre cet objectif.
LE DÉBUT D'UNE DYNASTIE PROSPÈRE (post-libération)
AN 0 : Victoire de Metamoor — Libération par Escanor le Brave et ses quatre chevaliers : Grendal, Hoel, Brandis, Didier — tous originaires de la planète Terre, c'est suite à la réussite de la mission confiée par l'Oracle qu'Escanor et ses compagnons héritent des terres du royaume. 60 J P.-L. : 60 jours post-libération — Les familles des proches s'installent progressivement sur Metamoor et après quelques mois, il est décidé que ce sera l'épouse d'Escanor le Brave qui prendra la tête du royaume : la dynastie Escanor est née, la Reine Leryn Escanor est couronnée moins de deux mois après leur victoire face au peuple Kahedrin. 0 À 219 : Règne de Leryn Escanor — C'est le début d'une ère nouvelle. Humains et Galhots travaillent main dans la main pour construire le nouveau Royaume de Metamoor. Les terres sont repeuplées et les chevaliers Grendal, Hoel, Brandis et Didier sont nommés à la tête des nouvelles régions. 220 À 470 : Règne de Kessia Escanor — La reine Leryn cède sa place à son unique fille Kessia Escanor une fois la majorité atteinte. Certains estiment que le passage de la planète Terre à Metamoor, en plus des nombreux enjeux liés à la reconstruction du royaume, ont eu raison de la lignée royale et pourtant : après plusieurs grossesses infructueuses, le miracle Kessia pointe le bout de son nez. 471 À 723 : Règne de Helin Escanor — Le Conseil Restreint étant réunissant que de manière exceptionnelle, deviennent alors mensuelles. C'est la reine Helin qui, en permettant à son peuple de s'exprimer sur des sujets les concernant tout particulièrement, contribue à améliorer le quotidien de toute une génération : chaque voix a droit à la parole, chaque voix doit être entendue. 724 À 874 : Règne de Shardi Escanor — Tout comme sa mère avant elle, le coeur de Shardi est infiniment bienveillant, peut-être trop. Celle-ci disparaît en 874, piégée dans la prison enchantée (version officielle) ; elle ne sera jamais retrouvée. Certaines rumeurs disent que c'est le poids des responsabilités qui l'ont poussée à fuir son destin pour vivre dans l'anonymat, goûter à une forme de liberté quelque part loin de la capitale. 876 À 1161 : Règne de Peyra Escanor — Connue pour être la plus longue période de règne, Peyra Escanor a contribué au développement du royaume avec de nombreuses découvertes magiques ; la construction de l'observatoire de Brandis fait partie de ces avancées majeures, notamment en astronomie et en cartographie. 1162 À 1415 : Règne de Solen Escanor — L'Académie de Metamoor ouvre ses portes à Meridian et accueille sa toute première promotion. Localisée au niveau de l'Ancien Palais, elle a pour but de former les futurs leaders et mages du royaume. 1416 À 1545 : Règne de Berwig Escanor — Ayant régné que sur une très courte période, Berwig Escanor choisit de céder sa place à son aînée, Weira, dès que celle-ci est en âge de devenir reine. En effet, sa santé considérée comme fragile ne lui permet pas d'assumer de telles responsabilités. 1546 À 1685 : Règne de Weira Escanor (Période actuelle) — Les ténèbres s'emparent progressivement de la capitale et ne tarderont pas à gagner le reste du royaume si rien n'est fait pour contrer le Prince Phobos. Les habitants de Metamoor ont conscience que cette période de paix et prosperité pourrait bientôt prendre fin, ils sont loin de s'imaginer que le plan de Phobos est déjà bien entamé.
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Mary Boleyn (c.1499 – 1543)
Les fans de Natalie Portman connaissent peut-être notre héroïne du jour, jouée par Scarlett Johansson dans Deux Soeurs pour un roi, adapté du roman éponyme de Philippa Gregory. Mais pour une grande majorité, si le nom d’Anne Boleyn résonne peut-être dans l’esprit commun, celui de sa sœur Mary demeure plus inconnu.
Ou l’autre sœur Boleyn qu’Henry VIII a mise dans son lit !
Quand on prononce le nom de Boleyn, on pense peut-être plus facilement à Anne Boleyn et après tout, c’est bien normal : c’est pour elle qu’Henry VIII a défié le Pape, a crée l’anglicanisme et surtout, elle est la première consort à mourir exécutée sur ordre de son époux. Elle est également la mère d’Elizabeth I, l’un des monarques ayant le plus marqué l’histoire de son pays ainsi que de l’Europe.
Il est normal que Mary passe au second plan.
Pourtant, cela ne signifie pas qu’elle doive demeurer dans les couloirs de l’Histoire, surtout que peu de femmes peuvent se targuer d’avoir été la maîtresse de deux rois et encore moins de deux rois rivaux !
Mary est née vers 1499, en Angleterre, peut-être à Bickling Hall dans le Norfolk : en effet, son oncle, le frère de sa mère, est le duc de Norfolk.
Elle est le deuxième enfant et la première fille de Thomas Boleyn (c. 1477-1539) ainsi que d’Elizabeth Howard (c. 1480-1538).
Son frère aîné et l’un de ses frères cadets mourront de la suette vers 1506. (La suette est une maladie épidémique de l’époque).
Anne (c. 1500-1536) et George (c.1504-1536) survivent et partagent son enfance.
Mary grandit sans doute au château familial d’Hever où elle apprend à lire, à écrire, à compter, un peu de mathématiques, comment tenir sa maison, la couture, la broderie, le chant, la chasse, les échecs, le chant, la danse… bref, tout pour être une bonne lady de l’époque Tudor.
En 1514, vers ses 15 ans, Mary quitte l’Angleterre pour suivre Mary Tudor, la sœur d’Henry VII, laquelle est mariée au roi Louis XII suite au décès de son épouse, Anne de Bretagne.
Le mariage ne dure hélas pas car Louis meurt le 01 janvier 1515, deux mois à peine après les noces et la rumeur veut qu’il soit mort d’épuisement en essayant de faire un fils à sa femme.
Mary n’est pas enceinte et devra rentrer en Angleterre.
Notre Mary, elle, est rejointe à Paris par son père et sa sœur Anne (qui étudiait au Pays-Bas auprès de Marguerite d’Autriche, la tante de Charles Quint)…
Sauf que pour leur plus grande surprise, Mary a des amants, parmi lesquels on retrouve...
François I, premier roi de la dynastie des Valois et le rival d’Henry VIII !
On ignore l’étendue de la vie de Mary à la Cour de France et les historiens pensent que si sa liberté de mœurs a été exagérée, une partie est vraie puisqu’après sa liaison à François, Mary aura d’autres amours qui provoqueront son renvoi.
François la surnomme « la grande putain ».
Charmant.
Mary rentre en Angleterre en 1519 où elle devient dame d’honneur de la reine Catherine d’Aragon (1485-1536) et en 1520, elle épouse William Carey (c.1496-1528), un courtisan anglais.
Sauf que peu après son mariage, Mary a une nouvelle aventure :
Henry VIII (1491-1548) l’a remarquée et l’a prise comme maîtresse.
Certains se demandent si la liaison n’a pas commencé avant et que Mary aurait été mariée à la hâte à un William complaisant pour permettre au roi de jouir de sa nouvelle amante tout en ayant un paravent en cas de grossesse.
Car Mary, elle est la maîtresse d’Henry, ne jouit pas d’énormément de privilège : elle reste un secret d’alcôve.
Vres 1523, Mary donne naissance à son premier enfant : Catherine.
Le 14 mars 1526, elle a un fils : Henry.
S’ils sont tous les deux reconnus comme étant les enfants de William Carey, un doute plane sur la paternité du britannique et il se peut que Catherine ou que les deux enfants soient les enfants illégitimes du roi.
John Hales, vicaire d’Isleworth, après avoir vu le jeune Henry, le pense fils bâtard du roi plutôt que fils légitime Carey en raison de ressemblances avec son supposé père biologique.
Le 22 juin 1528, William meurt de la suette, laissant Mary veuve avec deux enfants en bas-âge.
La relation entre le roi et Mary est terminée depuis longtemps.
Mais la jeune femme peut compter sur le soutien de sa sœur Anne.
En effet, de son côté, Anne est courtisée par le roi mais elle refuse de devenir sa maîtresse ! Henry refuse de se passer d’elle et a entamé alors un périple qui changera la face de l’Angleterre à jamais : il rompt avec Rome, essaye de divorcer de Catherine d’Aragon et surtout, il va se déclarer chef de l’Église en son royaume et créer sa propre Eglise.
C’est le début de l’anglicanisme.
En 1532, Anne et Henry partent à Calais pour rencontrer François I. Mary, dame de compagnie de sa sœur, les suit pendant ce voyage.
Peu après, Anne réalise qu’elle est enceinte. Le couple se marie secrètement avant de se remarier en public en juin 1533 et le 07 septembre 1533, elle donne naissance à son unique enfant, Elizabeth, la future Glorianna.
Mary se retrouve donc sœur de la reine et tante de la princesse.
Ses parents cherchent à la remarier, surtout qu’elle a désormais une position avantageuse. Sauf que le coeur de la jeune femme bat pour William Stafford, un homme plus jeune qu’elle et en-dessous de sa condition.
Les amants se marient en secret en 1534 et Mary tombe enceinte en 1535.
Il n’est désormais plus possible de dissimuler cette union et les Boleyn, enragés, la renient et Anne la bannit de la Cour.
Mary tente de demander de l’aide auprès de Thomas Cromwell, un ministre ayant l’oreille du roi, afin qu’il intercède en sa faveur. Elle admet qu’elle aurait pu ou dû épouser un homme d’une meilleure condition mais que cet homme ne l’aurait sans doute pas aimée comme William l’aime. Elle aurait même dit qu’elle préférerait mendier son pain à ses côtés plutôt que d’être la plus grande reine de toute la Chrétienté et qu’elle savait qu’il ne l’abandonnerait pas pour devenir roi.
Henry reste sourd à cet élan du coeur alors qu’il a tout chamboulé en son royaume au nom de la même raison.
Anne cède.
Elle offre à sa sœur une magnifique coupe d’or ainsi qu’un peu d’argent afin de l’aider mais elle ne la reprend pas comme dame de compagnie et ne lève pas son bannissement.
On pense que les deux sœurs ne se reverront plus.
Mary donne naissance à son fils, Edward, qui mourra à l’âge de 10 ans puis en 1536 à une fille, Anne, sans doute prénommée en l’honneur de sa tante, dont on ignore le destin.
Le reste de la vie de Mary est difficile à retracer depuis étant donné qu’elle n’a aucune correspondance avec sa mère et sa sœur, qu’elle ne leur rend pas visite, pas même quand Anne et George se retrouvent emprisonnés à la Tour de Londres.
En effet, en 1536, le destin s’accélère pour Anne.
Victime d’une cabale et son royal époux las d’attendre un héritier mâle, la reine est jugée pour sorcellerie, adultère avec plus de cent hommes et surtout inceste avec son propre frère !
George sera exécuté le 17 mai 1536 et Anne, deux jours plus tard.
La légende noire d’Henry VIII est en route.
Mary, elle, vit à la campagne avec son mari.
En 1538, sa mère meurt puis son père l’année suivante. Suite à ce décès et étant la seule légataire Boleyn encore en vie, elle hérite de propriétés dans l’Essex.
Mary meurt dans l’anonymat en juillet 1543.
Son époux se remariera à Ursula, fille de Margaret Pole, une parente d’Henry VIII.
Sa fille Catherine sera dame d’honneur de la future Elizabeth I.
La fille de Catherine, Lettice, sera la seconde épouse de Robert Dudley, le grand amour de la reine.
Le fils de Lettice, Robert Desvereux, sera l’un des derniers favoris d’Elizabeth.
Comme quoi, certaines choses restent dans la famille.
Une vie rocambolesque, proche du pouvoir sans jamais le toucher vraiment et avoir eu la chance d’échapper à la Faucheuse, Mary mérite qu’on se souvienne d’elle.
- Marina Ka-Fai
Si toi aussi tu veux en lire plus sur Mary tu peux aller regarder ces sources :
-Eric Ives, The Life and Death of Anne Boleyn, 2004
-Joanna Denny, Anne Boleyn : A new life of England's Tragic Queen, 2004
-Karen Lindsey, Divorced Beheaded Survived : A Feminist Reinterpretation of the Wives of Henry VIII, 1995
-Lady Antonia Fraser, The Wives of Henry VIII, 1992
-Alison Weir, The Six Wives of Henry VIII, 1991
-Marie-Louise Bruce, Anne Boleyn, 1972
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Carrie, Stephen King
Après avoir lu La Tour Sombre, Salem et Shining, j'ai lu Carrie, le premier livre de Stephen King. C'est un court roman, le scénario va droit au but. Il raconte l'histoire de Carrie, une jeune fille qui peine à s'intégrer socialement, harcelée constamment par ses camarades de classe d'un côté, maltraitée par une mère fanatique religieuse de l'autre. Cédant sous le poids de cette souffrance constante, elle finit par détruire cette société qui la torture (la ville où elle réside) avec ses pouvoirs de télékinésie, juste après avoir été humiliée une fois de plus lors du bal du lycée – scène pendant laquelle on lui renverse un seau de sang sur la tête, goutte d'eau faisant déborder le vase. A noter que le récit est entrecoupé d'extraits d'ouvrages documentaires ou de documents officiels (tous fictifs), comme une étude des faits racontés postérieure au récit, ce qui permet d'apercevoir les retombées de cette catastrophe, de faire monter le suspens en sous-entendant la tragédie qui se produira dans la seconde moitié de l'œuvre, de marquer des petites pauses dans le récit.
J'en ai parlé plus en détail sur twitter ici :
Partie 1 : https://x.com/TendrePromesse2/status/1762851634990727350
Partie 2 : https://x.com/TendrePromesse2/status/1819311048211464317
Carrie parle beaucoup des femmes, de la condition féminine et de misogynie.
En effet, le livre commence par un passage marquant de la puberté pour Carrie : la première scène du livre est l'instant où elle découvre les règles pour la première fois. C'est pour elle un choc qui met en branle tout le reste de l'histoire. Les règles elles-mêmes passent vite ; Carrie apprend à les gérer matériellement et émotionnellement et c'est terminé, mais cet événement lui ouvre un tout nouveau monde, lui permet de franchir le pas et aborder les étapes classiques de l'adolescence : la jeune fille tente de sortir de l'ombre de ses parents (ici seulement sa mère) de s'opposer à eux et remettre en question leur autorité, de trouver sa propre voie, s'essaye notamment à des vêtements plus « à la mode » et s'intéresse aux pratiques sociales de ses pairs, accepte une invitation au bal et souhaite une relation amoureuse. Les règles causent même la résurgence de ses dons de télékinésie. Cependant, tous ces désirs de Carrie l'amènent à affronter le rejet social qu'elle subit depuis qu'elle est toute petite, les brimades et harcèlement de ses pairs d'un côté, et de l'autre, l'emprise féroce de sa mère sur elle, cette dernière ne supportant pas la moindre tentative d'émancipation de sa fille.
Avec la puberté vient évidemment l'entrée dans la sexualité et le livre présente de nombreuses références au sexe. Cela dit, on note qu'à l'exception de la relation entre Tommy et Sue, (les deux personnages les plus bienveillants) – et même celle-ci n'est pas sans problème, il est mentionné que les rapports physiques étaient douloureux pour Sue – la sexualité dans l'œuvre revêt plutôt un côté glauque et malsain. Les violences sexuelles contre les femmes sont abordées (que ce soit concernant les parents de Carrie dont il est fort facilement interprétable que la conception résulte d'un viol, ou la relation entre l'harceleuse principale de Carrie, Chris, et son copain délinquant Nolan), ainsi que le problème de la grossesse (la mère de Carrie en a connues deux qui semblent l'avoir laissée avec un traumatisme). Même pour Carrie, sa première entrée dans ce monde, l'arrivée de ses règles, est utilisée contre elle par ses camarades de classe comme motif de moquerie et harcèlement, et par sa mère dont le fanatisme religieux ne le voit que comme un grave péché à punir et une marque d'impureté.
Car la mère de Carrie est l'incarnation même de la peur du « féminin » dans tous ses aspects, de tout ce qui s'approche du féminin et, c'est la même chose dans son esprit, de la sexualité : les règles, le développement des seins, les vêtements frivoles, la nudité même innocente, les bals, les rendez-vous avec les garçons, la grossesse. Tout cela, elle l'a en horreur de manière démesurée et ce ne sont que des péchés dans son esprit malade. La mère de Carrie est en effet membre d'une mouvance religieuse très radicale, obsédée par l'idée du péché et de l'impureté. Selon sa conception du monde (complètement en décalage avec les valeurs modernes), être voué à l'enfer est très facile. Le simple fait de « devenir une femme », ne serait-ce que les changements de son corps et l'arrivée des règles, choses tout à fait naturelles, hors de notre contrôle et n'ayant aucun lien avec des notions de moralité, est une des plus grandes hontes, ne devrait pas arriver et devrait être puni. C'est dans cette vision du monde extrêmement stricte et malsaine que Carrie a vécu depuis sa plus tendre enfance. Elle essaye, et a essayé depuis longtemps, de s'en détacher pour fréquenter le « monde normal », mais sa tragédie est que ce même monde qu'elle rêve de rejoindre la rejette et est cruel avec elle et la jeune fille se retrouve à devoir affronter l'hostilité non méritée des deux mondes opposés entre lesquels elle se retrouve coincée.
Le livre, avec les thèmes des règles, de la violence, du sexe, parle donc beaucoup de sang.
Si je devais utiliser un mot pour décrire l'atmosphère de ce livre, ce serait « rouge » : le rouge du sang menstruel, le rouge des flammes de l'incendie que Carrie déclenche pour se venger de la ville qui la harcèle et la rejette chaque jour de l'année, et ainsi la vie et la mort entremêlées, la destruction et la libération dans le désastre que déclenche Carrie. La couleur rouge est omniprésente dans l'œuvre.
Ainsi, même la robe de bal de Carrie est rouge, ce qui ne surprend pas sa mère : symbolique pour elle de la fille devenant femme et donc, dans son esprit, pécheresse, qui trempe dans le sexe et les relations « impures ». Le rouge est le rouge du sang menstruel et donc de la capacité à donner la vie, d'un phénomène totalement normal et neutre de la vie d'une femme – et pourtant moqué, décrié et considéré comme une honte par beaucoup dans l'entourage de Carrie –, la couleur des changements dans la vie de Carrie, du renouveau de son monde – ouverture aux autres, détermination à affronter sa mère pour sortir de son emprise et s'ouvrir à de nouvelles expériences. Ce sont les règles de Sue qui demeurent bloquées lors de la catastrophe finale, pendant toute la durée du cauchemar que subit la ville, comme si l'aura de destruction amenée par Carrie bloquait toute chose liée à un pouvoir de création. C'est l'apparition des règles qui font prendre conscience à Carrie de ses pouvoirs, et donc indirectement lui donne la force et la possibilité matérielle de s'opposer à sa mère et de changer son monde.
Mais les autres facettes du rouge et du sang sont aussi explorées : souvent associé au premier, le côté dangereux et destructeur ; pour le second, l'idée de souillure et de mort. La mère de Carrie n'associe le sang qu'au péché ou, tout au plus, à un moyen de laver le péché – en tuant les pécheurs. C'est ce qui est utilisé comme la pire des souillures du côté des harceleurs quand Chris et son copain humilient Carrie lors du bal, devant la société à laquelle elle aspire, en lui en renversant dessus. Le sang, la couleur rouge, c'est aussi la destruction : pour la mère de Carrie, la mort de tous les pécheurs, du monde entier à l'exception des quelques croyants qui ont suivi les nombreux préceptes de sa religion, image que Carrie a continué de porter en elle et a mis en application lorsqu'elle s'est vengée de tous ceux lui ayant fait du mal. Elle a ainsi choisi les flammes pour détruire la ville, matérialisant l'enfer que sa mère n'avait cessé de promettre à tous. Les flammes qui, croyait-elle, allaient « purifier » la ville de ses harceleurs, mais cependant ont condamné cette dernière à une tragédie suivie d'une lente agonie car la ville ne s'en remettra pas. Le sang était aussi le présage de cette catastrophe car Carrie s'était piqué le doigt juste avant son humiliation et de sombrer dans la folie.
Le livre parle aussi des rapports sociaux et des blessures qu'ils peuvent engendrer, ainsi que du désir de s'intégrer à la société, des différentes « cercles sociaux » et strates qui la composent.
Plusieurs cercles sociaux nous sont présentés : le cercle des populaires, avec les filles bien intégrées et sociables du lycée, en particulier Sue, ceux qui sont beaux ou sportifs, se conforment à des attentes sociales, ceux qui n'ont pas de problème pour avoir des relations et se verront offrir une vie toute tracée, sans difficulté pour enchaîner les étapes attendues d'une existence. Et puis, il y a les parias, ceux qui sont tenus à l'écart de ces « cercles de lumière » : ceux qui ne suivent pas les normes de la société. Le bal du lycée est la matérialisation de ces cercles : ceux assez populaires pour avoir un cavalier peuvent y aller, les autres non. Et seul le couple se conformant à un certain idéal est assez populaire pour être élu roi et reine du bal, petit rituel considéré comme le sommet à atteindre et réaffirmant qui sont les modèles d'individus acceptables.
Chris, suite au harcèlement qu'elle fait subir à Carrie, se voit interdire de participer à ce rituel et ne peut pas supporter d'être exclue du cercle des « populaires », même symboliquement. Elle qui pensait qu'elle ne souffrirait aucune conséquence de ses actes à cause notamment de la position sociale de son père, qui pensait qu'elle resterait impunie parce que Carrie est une exclue, ne peut tolérer de perdre cette place qui sera gagnée par Carrie elle-même quand Tommy l'invite au bal en guise de réparation pour son harcèlement. Elle s'enfonce en allant flirter avec le cercle des parias, puisqu'elle demande l'aide de son copain Nolan et de son gang pour se venger de Carrie, acceptant même de franchir la limite de la légalité.
Sue fait partie également des populaires mais conserve une sorte de liberté de conscience et certains principes, bien qu'elle ait également ses défauts. Elle se questionne sur ce qu'elle souhaite, sur la vie qui l'attend et semble rejeter l'idée de devoir se conformer, entrer dans le moule qui lui est dédié. Elle va jusqu'à briser les règles implicites, « céder sa place » en laissant son copain Tommy accompagner Carrie au bal pour se donner bonne conscience (ayant elle aussi participé au harcèlement de la jeune fille). Mais cette décision ne relève pas que de l'altruisme, mais, du moins je l'ai vu comme ça, de la volonté de défier le statu quo, de se sentir mieux, de briser ce moule d'attentes sociales liées à sa popularité. Elle a tout de même une certaine noblesse d'âme qui lui permet d'être épargnée par Carrie lors de son massacre final.
Quant à Carrie et à Nolan – le copain de Chris – ce sont les exclus : Nolan a une situation familiale compliquée et a dévié vers des loisirs douteux, voire criminels. Il est motivé pour perturber le bal aussi par rancœur envers cette fête dont il est exclu, cette fête qui matérialise la société qui le rejette et le méprise et dont il ne peut faire partie. Carrie, elle, n'est d'abord pas dans une optique de destruction en dépit de tout ce qu'on lui a fait vivre depuis des années. Elle a encore des désirs, de l'espoir, dont un faible pour Tommy. Elle veut entrer dans cette société, en faire partie, et se découvre des pouvoirs magiques émancipateurs qui pourraient lui permettre de briser les chaînes la retenant et les barrières l'en empêchant (principalement sa peur de sa mère). Malheureusement, tous ses efforts pour plaire et devenir une personne acceptable ne se heurtent qu'à une punition de trop quand elle est une fois encore humiliée ; elle a pris son envol et abandonné son foyer abusif (mais où l'avenir était prévisible) pour un futur incertain mais plein d'espoir, pour au final se brûler les ailes et perdre toutes ses espérances.
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Il est approprié qu'elle choisisse le feu pour se débarrasser de toute la ville. Elle est devenue le diable, une pécheresse en ôtant des vies, a changé son don, outil d'émancipation, en outil de destruction. Une fois ce pas franchi, elle n'a plus d'espoir et continue la destruction jusqu'à la sienne. Le poids psychologique a été trop pour elle et elle a perdu le contrôle de ses pouvoirs. Je suppose qu'on peut voir ses pouvoirs comme une métaphore de l'adolescence : l'ouverture au monde et la découverte de nouvelles possibilités, mais également, revers de la médaille, les conséquences psychologiques des épreuves qu'on affronte à partir de cet âge (angoisses, rejet social...).
Le roman laisse planer la question de ce qui se passerait si d'autres personnes comme Carrie se manifestaient et perdaient le contrôle de leurs pouvoirs. Il y a un anime qui répond à cette question et décrit une société dont tous les membres sont dotés de télékinésie. Il s'appelle Shin Sekai Yori / From the New World et je le recommande vivement : comment créer une société stable quand chaque individu pourrait, consciemment ou non, déclencher des catastrophes par magie ?
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𝐡 𝐢 𝐬 𝐬 𝐭 𝐨 𝐫 𝐲 ;
Jinho aurait dû voir se défiler devant lui une vie parfaite. Tout semblait lui sourire, cadeau heureux d’une mère aimante et d’un père parfois strict, mais qui était excité de voir son enfant naître. Seong Minho voit en son fils à naître un digne successeur, la consécration de sa famille. Psychologue de renom, il ne voit même pas à quel point sa femme finit par souffrir de la grossesse, trop préoccupé par l’idée d’avoir un héritier. Mais l’homme, qui était pressé, perd bien vite son excitation, quand Jinho naît. Mal placé dans le ventre de sa mère, qui doit être déclenchée pour accoucher, il naît avec une grande difficulté.
Quand il pousse son premier cri, lors de sa venue au monde, sa mère, elle, expire son dernier souffle.
Jinho n’a donc jamais connu sa mère, n’en a vu que des photographies où elle semble radieuse - et dès son plus jeune âge, il cultive une sorte de culpabilité vis-à-vis de sa mort. Et son père ne fait rien pour le convaincre du contraire. La mort de sa femme le transforme, et il n’a plus une once de joie quand il voit son fils, qui ressemble de plus en plus à sa mère, quand ce dernier commence à s’intéresser à celle qu’il n’a jamais connu. Minho ne répond jamais aux questions de son fils, et tout psychologue qu’il est, lui aussi s’effondre. Il est en colère contre le monde, et sa colère, il la reporte contre Jinho, avec qui il devient véritablement violent psychologiquement avec le temps. Le père de Jinho lui répète en permanence que sa mère est morte par sa faute, qu’il mérite à peine de vivre. Jinho, abattu par les mots de son père, cherche à tout faire pour le contenter. Il veut être parfait - ça n’est pas comme si son père lui laissait d’autres choix. Il se bute à l’école, accepte toutes les activités extrascolaires que son père l’oblige à suivre. Jinho, peu importe ce qu’il fait, n’est intéressé que par la première place - mais ça n’est pas par arrogance, uniquement par peur. Si Jinho rate une note au piano, ses doigts sont battus par l’infâme bâton. Si Jinho n’obtient pas la meilleure note à l’école, s’il obtient autre chose que la perfection, il est enfermé des heures durant dans le noir, dans le placard du premier étage, développant une sacrée claustrophobie. Il en a passé, des heures à frapper contre la porte, à supplier son père de le laisser sortir - mais il a fini par comprendre que plus il suppliait, plus la punition durait. C’est trop de pression pour lui, et à douze ans, il se voit diagnostiquer un trouble anxieux généralisé, par son propre père, qui ne réalise pas qu’il est la source du problème. Et l’anxiété, ça sera une nouvelle corde sensible sur laquelle son père s’amuse à tirer. Ça dure ainsi toute son adolescence, même si aux yeux de tous, Jinho semblait parfait. Délégué de sa classe, présent aux conseils des représentants des élèves, premier de classe, tout semble pouvoir contenter son père. Mais rien n’y fait.
Et Jinho est seul.
Ça n’est pas comme si une quelconque vie sociale l’intéressait de toute façon - il a bien compris, lui, que les filles, ça n’était pas tellement son truc, mais il ne peut pas vraiment en parler à son père. Obsédé par l’idée de la perfection que son père instille dans son cerveau, il en vient même à se haïr quand il échoue, retourne les mots de son père contre sa propre personne. Il finit, finalement, par y croire. Il quitte le lycée avec les honneurs, s’apprête à entrer dans des études de psychologie, mais Jinho n’est que l’ombre de lui-même. Son père, enfin, s’est décidé à faire quelque chose pour son anxiété - il le bourre de cachetons, qui donnent l’impression à Jinho de ne pas être lui-même. Certains jours, il déteste ça, et d’autres jours, il ne veut que ça - parce que dans le fond, Jinho donnerait tout pour ne plus être lui-même.
Ça dérape, alors qu’il a vingt ans. C’est la pression de trop, l’examen raté qui le pousse au bord du précipice, alors qu’il vide les boîtes d’anxiolytiques avec une facilité déconcertante. Il n’a même pas conscience qu’il est en train de commettre l’impensable, parce qu’il est à la recherche de cette sensation agréable dans son cerveau, qui le coupe de tout. Jinho a vingt ans, donc, et il ne réalise même pas qu’il essaye de mourir. C’est son père, ironiquement, qui le sauve. Et ça, ça fait plus mal que tous les autres sévices. Maintenant, il est obligé de lui être reconnaissant.
Après l’incident des médicaments, son père semble de moins en moins enclin à le laisser vivre avec lui - et Jinho doit envisager de trouver un nouvel appartement, pour lui qui n’a jamais vécu seul. Qui n’a jamais vraiment vécu, à vrai dire. La chance, quelque part, lui tombe dessus par hasard. Il est au café, le même café auquel il s’est rendu tous les jours de ses deux premières années d’études, et il cherche les annonces d’appartement abordables. Et c’est Mingyu, un des baristas, qui le voit faire, et qui le renvoie vers Jingyi, qui cherche un colocataire. Ça semble moyennement compatible, parce que Jingyi est un véritable maniaque du rangement, et Jinho est… Jinho. Dépassé par sa propre existence, il n’est probablement pas le colocataire rêvé. Il a toujours son traitement d’anxiolytiques avec lui, même si Jingyi le surveille strictement, parce qu’il sait comment est Jinho, sous l’effet de ses crises d’angoisse.
La nouvelle méthode de décontraction préférée de Jinho, c’est le cannabis, à tel point qu’il est rare de ne pas le voir défoncé. Mais désinhibé, c’est aussi un autre Jinho qui fait surface, parce qu’enfin, pour la première fois, il sort de sa carapace. C’est sûrement dû à l’influence positive de ses amis dans sa vie - ses tout premiers amis. Indirectement, c’est grâce à eux qu’il fait la rencontre de Namgi, sous le charme de qui il tombe.
Et tomber, il continuera, certes, mais toujours pour Namgi.
𝐡 𝐢 𝐬 𝐭 𝐫 𝐢 𝐯 𝐢 𝐚 ;
⁕ Jinho ne parle que très peu de son enfance, et de ce qu’il a vécu avec son père - mais les stigmates sont toujours là. Preuve en est, Jinho souffre encore de violentes crises d’angoisse, et il ne supporte pas de dormir dans le noir, sous peine de faire des terreurs nocturnes.
⁕ Bien qu’il garde constamment sa chevalière; symbole de la fierté de son père quand il a terminé sa maîtrise, il finira par la retirer quand il sera plus stable dans sa relation avec Namgi, et qu’il se sentira capable de tourner la page.
⁕ Etonnamment, Jinho n’a jamais vraiment fait de coming-out : il a simplement commencé à sortir avec des hommes une fois qu’il a quitté la maison familiale comme si de rien n’était.
⁕ Jinho a commencé à s’intégrer dans le crew, parce qu’il fréquentait énormément le café avant de s’y faire des amis. Il fait définitivement partie du crew une fois qu’il commence à cohabiter avec Jingyi. Jinho est le parfait exemple du jeune adulte toujours défoncé, et il fournit régulièrement à ses amis en soirée, même si, la plupart du temps, ça lui vaut des remontrances de la part de Yoori et d’Haneul. Sa consommation de cannabis est par ailleurs souvent hors de contrôle, à tel point que désormais, Jinho ne sait plus s’endormir sans avoir fumé un joint auparavant.
𝐚 𝐩 𝐩 𝐞 𝐚 𝐫 𝐚 𝐧 𝐜 𝐞 ;
Physiquement, Jinho, même s’il est dans une taille standard, n’est pas si musclé que cela. Il apparaît fin de corps, même si son visage est plutôt rond, ce qui est le résultat d’une sous-alimentation régulière. Il a toujours été brun, et n’envisage pas de changer, de la même façon qu’il refuse de se faire tatouer ou percer, de peur d’altérer la perfection qu’il cherche à atteindre. Jinho a des cicatrices sur ses phalanges, due aux coups répétés de son père - et il porte toujours ses lunettes, ses yeux fatiguant très vite.
𝐩 𝐞 𝐫 𝐬 𝐨 𝐧 𝐚 𝐥 𝐢 𝐭 𝐲 ;
Jinho est quelqu’un de généralement dynamique. Il est même plutôt séducteur, surtout quand il est sous influence, et il est extrêmement bon public, surtout quand il s’agit de ses amis. Jinho est naturellement anxieux, et il est perfectionniste à tel point qu’il en est excessivement ponctuel, et rigoureux sur de nombreux points. Jinho se considère comme plutôt lâche, parce qu’il est effrayé facilement, et il a tendance à fuir le conflit. Il est également sacrément crédule, probablement parce qu’il cherche encore la validation de ceux qui l’entourent.
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📕L'ex-femme muette du milliardaire📕
Kallie, une muette qui a été ignorée par son mari pendant cinq ans depuis leur mariage, a également subi la perte de sa grossesse à cause de sa cruelle belle-mère.
Après le divorce, elle a appris que son ex-mari s'était rapidement fiancé à la femme qu'il aimait vraiment. En tenant son ventre légèrement arrondi, elle s'est rendu compte qu'il ne s'était jamais vraiment soucié d'elle.
Déterminée, elle l'a laissé derrière elle, le traitant comme un étranger. Pourtant, après son départ, il a parcouru le monde à sa recherche. Le jour où ils se sont croisés à nouveau, Kallie avait déjà trouvé son amour.
Pour la première fois, il l'a suppliée : « S'il te plaît, ne me quitte pas… » Mais la réponse de Kallie était ferme et méprisante, « Va-t'en ! », anéantissant tous ses espoirs.
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Chapitre 1 Ivresse sous la pluie
Pendant une nuit d'orage, des vents incessants projetaient la pluie contre les portes-fenêtres.
Dans la grande villa, la lumière était allumée dans une seule chambre à coucher.
Kallie Cooper était appuyée contre la tête de lit, ses yeux parcourant un livre tandis que la somnolence s'installait.
La porte de la chambre s'est brusquement ouverte.
Surprise, Kallie a levé les yeux pour découvrir son mari, Jake Reeves, dans l'embrasure de la porte.
Jake était là, vêtu d'un costume impeccable, ses traits séduisants marqués par un air renfrogné.
Avant que Kallie ne puisse prononcer un mot, Jake a pressé ses lèvres contre les siennes, l'odeur de l'alcool se mêlant à la fraîcheur de la pluie. Il a glissé sa main froide sous sa jupe et l'a pressée fermement contre sa jambe qui résistait.
D'un ton épais et persuasif, Jake a ordonné : « Ne bouge pas. »
Kallie a cessé de se débattre, la douleur s'intensifiant. Elle ne pouvait s'empêcher de produire des bruits faibles et déformés.
En entendant ses sons, Jake a froncé les sourcils et a mis la main sur la bouche de la jeune femme.
Réduite au silence, Kallie s'est accrochée au bras musclé de Jake, sa poigne désespérée comme pour s'ancrer dans une mer tumultueuse. Elle était submergée lorsque Jake l'a relâchée et s'est dirigé vers la douche.
Quelques instants après que Jake a disparu derrière la porte de la salle de bains, son téléphone sur la table de nuit s'est allumé.
Par réflexe, Kallie y a jeté un coup d'œil et a vu un nouveau message s'afficher à l'écran. « Jake, je suis désolée, d'accord ? Peux-tu arrêter de retrouver ta femme muette à chaque fois qu'on se dispute ? Ça me fait vraiment mal. »
La lumière a disparu des yeux de Kallie. Elle a compris qu'elle ne pourrait jamais prononcer les réprimandes enjouées ou les tendres griefs échangés doucement dans le calme de la nuit.
À la suite d'une maladie infantile, Kallie avait été privée de sa voix, ce qui l'avait rendue muette. Elle ne pouvait produire que des sons fragmentés, que même son propre mari trouvait insupportable d'entendre.
À travers le verre dépoli de la fenêtre de la salle de bains, Kallie a pu apercevoir la grande silhouette de Jake. Elle a rapidement détourné le regard.
Jake séchait négligemment ses cheveux humides et la regardait d'un air dédaigneux. « Tu as regardé mon téléphone ? », a-t-il demandé.
Kallie s'est crispée et a secoué la tête rapidement pour nier instinctivement. Elle voulait préciser qu'il s'agissait d'un coup d'œil accidentel.
Mais Jake a perdu patience et a dit froidement : « Ne touche plus jamais à mon téléphone. »
Kallie s'est forcée à sourire, se mordant la lèvre en acquiesçant. Elle ne pouvait pas revendiquer l'amour de Jake. Leur mariage était arrangé par le grand-père de celui-ci. Jake avait déclaré sans ambages qu'il l'avait épousée uniquement parce qu'elle était la fille adoptive de la famille Reeves, et qu'il ne voulait pas défier les souhaits de son grand-père.
Pendant cinq ans, Kallie n'avait jamais dépassé les bornes, parfaitement au courant des affaires de Jake, mais elle est restée silencieuse, craignant qu'il ne la trouve gênante.
Après avoir pris une profonde inspiration, Kallie a fait le geste d'aller chercher un verre de lait pour lui. N'ayant pas le courage de croiser le regard indifférent de Jake, elle est sortie précipitamment de la pièce.
Derrière elle, Jake a pris son téléphone et a effacé dédaigneusement le message sans même en vérifier le contenu.
Kallie s'est levée tôt.
Jake, connu pour ses habitudes alimentaires difficiles, avait un estomac fragile.
Depuis des années, Kallie lui préparait méticuleusement le petit-déjeuner tous les matins.
Lorsque Jake a descendu les escaliers, la première chose qui a attiré son attention a été Kallie, qui s'affairait dans la cuisine.
Les ficelles de son tablier accentuaient la taille mince de Kallie, tandis que de légers suçons subsistaient sur son cou depuis la nuit précédente. Elle était l'incarnation de la délicatesse, toujours sereine et évitant de faire des histoires, vraiment une épouse exemplaire.
Un subtil adoucissement a touché les traits habituellement impassibles de Jake. Il a brisé le silence. « Prenons le petit déjeuner ensemble. »
Ravie, Kallie a acquiescé vigoureusement et a signé sa gratitude. Elle a enlevé son tablier et s'est assise avec précaution à côté de lui, plus près qu'ils ne l'avaient jamais été.
Jake lui a passé un sandwich, que Kallie a accepté avec un sourire prudent et reconnaissant.
D'un air nonchalant, Jake a mentionné : « Demain, c'est la fête du centième jour du bébé de mon frère. Tu devrais venir avec moi. »
Kallie a failli laisser le sandwich lui glisser entre les doigts, stupéfaite. Il l'invitait rarement à des rassemblements publics. Pourtant, il était là, à lui demander de se joindre à lui pour une telle occasion. Ses yeux ont tremblé d'hésitation et de conflit.
Une trace de réticence a traversé l'expression de Kallie, sans que Jake s'en aperçoive.
Nonchalamment, il a ajouté : « Je demanderai à mon assistant de déposer des vêtements demain et je viendrai te chercher à midi. »
Kallie n'avait d'autre choix que d'accepter.
La famille Reeves jouissait d'une immense influence à la ville d'Arcpool, et Dean Reeves, le fils aîné, célébrait le centième jour de son fils aîné par une fête somptueuse.
Dean avait réservé un hôtel de prestige pour l'occasion, qui bourdonnait d'excitation.
Kallie, habillée d'une robe beige complétée par un maquillage subtil, était splendide. Ses traits fins et ses yeux brillants faisaient d'elle le centre de l'attention.
Cependant, les regards qui se sont posés sur elle étaient critiques, et non admiratifs.
« Quelle chance elle a ! Elle est née sans pouvoir parler, et pourtant elle s'est si bien mariée. Pourquoi n'ai-je pas une telle chance ? Est-ce parce que je sais parler ? »
« Et à quoi cela sert-il de parler ? Peux-tu susciter la sympathie comme elle le fait ? »
« Que veux-tu dire ? »
« Rappelle-toi, elle semblait si malheureuse que Roderick Reeves l'a prise comme fille adoptive et l'a mariée à Jake. Quelle pitié ! »
« Les gens appellent ça de la chance, mais tout est calculé. Tu devrais prendre exemple sur elle ! »
Kallie a intérieurement protesté, voulant argumenter que Roderick avait simplement sympathisé avec elle. Pourtant, elle savait que sa réfutation silencieuse ne pouvait pas être entendue.
« Kallie, tu es là ! Nous t'attendions. »
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Bon dimanche à tous
*Méditation du 18 Août 2024*
*DIEU, LE SEXE, ET TOI (2)*
ll y a un salaire pour tous ceux qui violent les instructions de Dieu concernant la vie sexuelle.
Ce salaire est à deux dimensions. La première c'est I'avance de solde et la deuxième c'est
le salaire complet. Tu as certainement envie de savoir en détail de quel salaire je parle.
L'avance de solde inclut les jeunes filles qui vont à l'école et deviennent enceintes. Cela
entraîne la naissance d'un bébé qui n'est désiré ni par sa mère, ni par son père, et qui risque
de ne pas grandir dans un foyer où il recevra amour et soins. Un tel enfant souffre beaucoup
psychologiquement, et plus tard, il aura tendance à produire des enfants qui lui ressemblent.
Car" Tel père, tel fils". Ou bien, la fille peut commettre un avortement. Un enfant est ainsi
tué! La mère porte toute sa vie la culpabilité d'un meurtre. Elle pourrait devenir stérile à
cause de I'avortement et ne plus jamais avoir d'enfants. Ceci pourrait conduire à un mariage
malheureux ou à un divorce. Sa carrière pourrait être détruite parce qu'elle a dû quitter
l'école à cause de cette grossesse. Elle pourrait ne plus jamais se marier, car plusieurs
hommes ne veulent pas épouser des filles qui ont déjà eu des enfants avec d'autres
hommes. Les espoirs des parents pourraient s'effondrer, etc. Aimerais-tu que cela arrive à ta
fille? Aimerais-tu être ce bâtard ?
Le garçon pourrait attraper une maladie vénérienne qui détruira sa santé, ses finances et le
rendra stérile ou impuissant Il pourrait transmettre la maladie à d'autres, à sa femme, à ses
enfants, et faire ainsi souffrir beaucoup de gens. Aimerais-tu être un tel homme ?
La femme pourrait ne voir son mari qu'à 2 heures du matin chaque jour. L'argent pourrait être
dépensé pour la femme du dehors, alors qu'il n 'y a rien pour l'épouse et les enfants à la
maison. Aimerais-tu être cette femme ? Le mari pourrait être tué et jeté dans le fleuve pour
qu'un autre homme le remplace. Ce sont là juste quelques exemples d'avance de solde que
reçoivent ici-bas ceux qui pratiquent le sexe en dehors des instructions de Dieu.
Le salaire complet viendra aussi. L'avance de solde n’est qu'une assurance que le salaire
complet arrive. Au jour du jugement, Dieu punira tous ceux qui ont violé Sa loi, en les jetant
dans l'étang de feu. La Bible dit : *Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les*
*meurtriers, les impudiques (fornicateurs), les enchanteurs, les idolâtres, et tous les*
*menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre ce qui est la seconde mort* (
Apocalype 21 :8). La Bible dit encore: *Ne savez-vous pas que les injustes n'hériteront point*
*le royaume de Dieu? Ne vous y trompez pas: ni les impudiques (fornicateurs), ni les*
*idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les infâmes, ni les voleurs, ni les cupides, ni*
*les ivrognes, ni les outrageux, ni les ravisseurs, n'hériteront le royaume de Dieu* (1
Corinthiens : 9 -10).
Ceci veut dire que si tu as commis n'importe quel péché sexuel que ce soit en pensée ou en
acte, ou bien si tu as commis n'importe quel autre péché, tu iras dans l'étang de feu. Peu
importe que tu aies péché une seule fois ou plusieurs fois. Tu es perdu(e). Tu ne peux pas
te cacher loin de Dieu. Il te connaît et toute ta vie est enregistrée devant Lui. Il faut qu'Il te
paie pour tes actions, tes paroles et tes pensées pécheresses.
Bien que tout le monde ait péché d'une manière ou d'une autre, spécialement dans le
domaine sexuel, Dieu aime le pécheur. Toi qui es fornicateur, adultère, toi qui as commis
I'avortement ou as transmis des maladies vénériennes aux gens, Dieu t'aime beaucoup. Il a
manifesté Son amour pour toi non à travers une philosophie, ou une religion ; mais à travers
une personne. Cette personne, c'est Jésus-Christ. La Bible dit : *Car Dieu a tant aimé le*
*monde qu'Il a donné Son Fils unique ,afin que quiconque croit en Lui ne périsse point mais*
*qu'il ait la vie éternelle* (Jean 3:16). Dieu a envoyé Jésus-Christ dans le monde pour sauver
les pécheurs. Jésus-Christ est allé à la croix mourir là où tu aurais dû mourir, à cause de ton
péché et de tes péchés. Toute l'immoralité que tu as jamais commise a été mise sur Lui et Il
I' a portée pour toi et est mort à ta place. Il a été puni pour toi afin que Dieu ne te punisse pas
au jour du jugement à cause de tes péchés. Il n'est pas seulement mort pour toi, Il est
ressuscité des morts et Il vit à jamais. Il est prêt à venir dans ta vie par Son Saint-Esprit et à
réparer tout ce qui dans ta vie est brisé et déréglé à cause de tes péchés passés. Il est prêt
à te redonner ta virginité, à te guérir de tes maladies vénériennes et à ôter ton impuissance
et ta stérilité. Il est prêt à te guérir de tes problèmes psychologiques et émotionnels, Il est
prêt à guérir ton foyer brisé et à restaurer une bonne relation entre toi et tes parents ou tes
enfants. Il est prêt à te changer radicalement de manière que tu puisses devenir la personne
merveilleuse qu'Il voulait que tu sois. Oui, Il veut faire cela et à la fin te donner la vie
éternelle. La Bible dit : *Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature ; les choses*
*anciennes sont passées, voici toutes choses sont devenues nouvelles* (2 Corinthiens
5:17).
Je suis persuadé que tu veux sûrement être pardonné(e) par Dieu, uni(e) avec Jésus et
libéré(e) du salaire du péché. Je crois que tu veux le faire maintenant. Tu le peux. Jésus
désire ardemment te 'recevoir maintenant. Tu peux prier de la manière suivante, en le
faisant de tout ton coeur. Dieu te répondra immédiatement. Ainsi, prie:
_"Seigneur Dieu, j'ai péché dans mes pensées, mes paroles et mes actes. Je crois que_
_Jésus est mort sur la croix à ma place. Je crois maintenant qu'Il est mon Sauveur et mon_
_Seigneur. Pardonne-moi pour tous les péchés que j'ai commis et guéris-moi de toutes mes_
_maladies. Fais de moi Ton enfant. Envoie Ton Saint-Esprit, afin qu'Il vive en moi maintenant_
_et me donne la force de Te suivre jusqu'à la fin. Merci d'avoir écouté ma prière et d'y avoir_
_répondu maintenant. Amen."_
S i tu as ainsi prié sincèrement, alors Dieu t'a pardonné(e) et tu es maintenant Son enfant.
En tant qu'enfant de Dieu, il faut que tu arrêtes immédiatement toutes tes pratiques de
péché du passé. Ainsi donc, plus de fornication, plus d'adultère, plus de masturbation, plus
de lecture de romans immoraux ; tu ne dois plus fréquenter les endroits qui susciteront en toi
des pensées immorales. Romps immédiatement tes relations avec tes anciens partenaires
de sexe et suis Jésus de tout ton cœur.
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Augmentation mammaire Paris par prothèses en Dual Plan
Le Docteur Marsili vous propose son expertise à Paris pour l'augmentation mammaire par prothèses. N'hésitez pas à prendre rdv pour votre première consultation.
Suisse Web's insight:
Augmentation Mammaire : Une Décision Personnelle pour Révéler Sa Beauté Intérieure
par Dr Riccardo Marsili, Chirurgien Esthétique à Paris
Introduction
L'augmentation mammaire est une intervention de chirurgie esthétique qui permet aux femmes de modifier la taille et la forme de leurs seins. Cette procédure, très répandue et prisée, permet non seulement d'améliorer l'apparence physique mais également de renforcer la confiance en soi. Cet article, rédigé par le Dr Riccardo Marsili, explore les diverses raisons qui poussent les femmes à envisager cette intervention, l'importance de choisir un chirurgien qualifié, les différentes options de prothèses disponibles, les considérations sur le moment optimal pour l'opération, ainsi que les aspects cruciaux de la convalescence.
Pourquoi Opter pour une Augmentation Mammaire ?
Raisons Physiques
De nombreuses femmes choisissent de recourir à une augmentation mammaire pour diverses raisons physiques. Certaines ressentent un déséquilibre corporel, jugeant leur poitrine trop petite par rapport à leur silhouette, ce qui peut affecter l'harmonie de leur corps. D'autres ont perdu du volume mammaire à la suite de grossesses, d'allaitement, ou de pertes de poids importantes. L'augmentation mammaire permet de restaurer ce volume perdu, redonnant aux seins une apparence plus pleine et plus jeune. En outre, cette procédure peut corriger des asymétries naturelles, offrant une poitrine plus symétrique et esthétiquement plaisante.
Raisons Psychologiques
L'impact psychologique de l'augmentation mammaire est tout aussi significatif. Pour de nombreuses femmes, la taille et la forme de leurs seins sont intrinsèquement liées à leur perception de la féminité et de l'estime de soi. Une poitrine qui ne correspond pas à leurs attentes peut engendrer une insatisfaction et une baisse de confiance en soi. L'augmentation mammaire peut aider ces femmes à se sentir plus féminines et à l'aise avec leur corps, améliorant ainsi leur bien-être général. Cette intervention est souvent vue comme un moyen de se réapproprier son corps et de se sentir mieux dans sa peau.
Le Choix du Chirurgien
Le choix du chirurgien est une étape cruciale dans le processus d'augmentation mammaire. Il est essentiel de choisir un professionnel qualifié et expérimenté, capable de comprendre et de répondre aux attentes des patientes. Le Dr Riccardo Marsili, basé à Paris, est reconnu pour son expertise en chirurgie esthétique et son approche centrée sur les patientes. Lors d'une consultation initiale, le Dr Marsili évalue les besoins spécifiques de chaque patiente, discute des différentes options disponibles et propose un plan de traitement personnalisé. Cette étape permet d'établir une relation de confiance et de garantir que les résultats finaux correspondent aux attentes.
Le Choix des Prothèses
Le choix des implants mammaires est une décision importante qui détermine en grande partie le résultat final de l'opération. Les prothèses peuvent être remplies de gel de silicone ou de solution saline (sérum physiologique), chaque type ayant ses propres avantages. Les implants en silicone sont souvent préférés pour leur texture plus naturelle et réaliste, tandis que les implants en sérum physiologique peuvent être ajustés en taille pendant l'opération.
La forme des implants est également un choix crucial : les implants ronds sont populaires pour créer un décolleté plus marqué, tandis que les implants anatomiques, ou en forme de goutte, imitent la pente naturelle du sein pour un résultat plus discret. Le choix de la surface, lisse ou texturée, dépend des préférences de la patiente et des recommandations du chirurgien, en fonction de la morphologie et des objectifs esthétiques.
Le Meilleur Moment pour l'Opération
Le moment idéal pour une augmentation mammaire dépend de plusieurs facteurs personnels et saisonniers. Il est conseillé de choisir une période où la patiente peut se reposer et se concentrer sur sa récupération, sans contraintes professionnelles ou personnelles pressantes. Les mois d'hiver ou d'automne peuvent être préférés, car le climat plus frais peut aider à minimiser l'inconfort lié au gonflement et à la chaleur. Pour les femmes ayant récemment accouché ou allaité, il est généralement recommandé d'attendre que les tissus mammaires se stabilisent, ce qui peut prendre plusieurs mois, avant de procéder à l'opération.
La Convalescence : Ce à Quoi S'Attendre
La convalescence après une augmentation mammaire est une phase essentielle pour garantir une guérison optimale et des résultats satisfaisants. Juste après l'intervention, il est normal de ressentir une certaine douleur, un gonflement et une sensibilité accrue. Le Dr Marsili prescrit des médicaments analgésiques pour gérer la douleur et des instructions précises pour les soins à domicile.
Les patientes doivent porter un soutien-gorge de contention pendant plusieurs semaines pour soutenir les implants et aider à réduire le gonflement. Il est crucial d'éviter les activités physiques intenses et les mouvements brusques des bras pendant la période de récupération. La plupart des patientes peuvent reprendre des activités légères et retourner au travail après environ une semaine, bien que le retour complet à une activité normale, y compris le sport, puisse nécessiter plusieurs semaines.
Questions Fréquentes et Préoccupations
Quelle est la durée de vie des implants mammaires ? Les implants mammaires ne sont pas conçus pour durer éternellement. Bien que les implants modernes soient robustes et durables, ils nécessitent un suivi régulier. La plupart des implants peuvent durer entre 10 et 15 ans avant de nécessiter un remplacement. Des examens réguliers permettent de surveiller l'état des implants et de détecter d'éventuelles complications.
Les cicatrices seront-elles visibles ? Les cicatrices d'une augmentation mammaire dépendent de la technique chirurgicale utilisée. Le Dr Marsili pratique des incisions dans des zones discrètes, telles que le pli sous-mammaire, autour de l'aréole ou dans l'aisselle, pour minimiser leur visibilité. Avec le temps, et grâce à des soins appropriés, les cicatrices deviennent de moins en moins visibles.
Quels sont les risques associés à l'augmentation mammaire ? Comme toute intervention chirurgicale, l'augmentation mammaire comporte des risques, y compris l'infection, les saignements, les réactions à l'anesthésie, et des complications spécifiques comme la rupture des implants ou les contractures capsulaires. Le Dr Marsili met un point d'honneur à informer ses patientes des risques potentiels et à prendre toutes les mesures nécessaires pour minimiser ces risques.
L'augmentation mammaire est une démarche personnelle et importante pour de nombreuses femmes, visant à améliorer non seulement leur apparence physique mais aussi leur bien-être émotionnel. En choisissant un chirurgien qualifié comme le Dr Riccardo Marsili et en prenant des décisions éclairées sur les implants et le moment de l'opération, les patientes peuvent obtenir des résultats harmonieux et satisfaisants. Le Dr Marsili et son équipe à Paris sont dédiés à fournir un soutien complet et des soins de haute qualité, assurant une expérience positive et des résultats durables pour chaque patiente.
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