#Ou redoublement
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Quand c’est officiellement les derniers partiels de ma vie.
#Sauf rattrapages#Ou redoublement#Ou autres études#Parce que#Pourquoi pas ?#Parce qu'on aime souffrir#Bref#Et comme d'habitude parce qu'on change pas une équipe qui perd que des révisions de dernières minutes#anyway#Ca a marcher jusque-là#Donc let's try it une dernière (grave pas) fois#Pharmacie#Université#6ème année Bon ça va me manquer quand même un peu#RIP Enfance
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Napoleon acts like a brat on St. Helena; his valet ignores stupid accusations
Un certain jour, l'Empereur, pour être couché plus au large, eut l'idée de se faire un grand lit de ses deux petits lits de campagne en les faisant accoupler ensemble. Sa volonté fut aussitôt exécutée. Mais les couvertures, assez grandes pour les petits lits séparés, ne le furent plus assez pour garnir la longueur et la largeur des deux lits réunis. Un soir, étant un peu de mauvaise humeur, et ne sachant à qui ou à quoi s'en prendre, il trouva que ses épaules n'étaient pas assez garnies ; il prétendit que nous avions coupé les couvertures. C'était une idée comme une autre, mais à laquelle il n'y avait rien à répliquer; une justification était inutile. Ce que l'on avait de mieux à faire, quand il était mal monté, c'était de garder le silence, eût-on raison ou tort ; et le parti que nous prenions, c'était de redoubler de zèle pour son service et de ne rien négliger de ce qui pouvait lui être utile ou agréable. Si parfois il lui arrivait de chagriner ceux qui étaient constamment autour de lui, il savait toujours revenir à eux et leur prodiguer ses caresses. Les deux lits restèrent accouplés pendant une quinzaine environ, et ensuite ils furent séparés et remis à leurs places primitives.
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One day, the Emperor, in order to lie more spaciously, had the idea of making a large bed from his two small campaign beds by having them brought together. His wish was immediately carried out. But the blankets, large enough for the separate small beds, were no longer large enough to cover the length and width of the two beds joined together. One evening, being a little bad-tempered, and not knowing who or what to blame, he found that his shoulders were not sufficiently covered; he claimed that we had cut the blankets. It was an idea like any other, to which there was no reply; an excuse was useless. The best thing to do, when he was bad tempered, was to keep silent, whether one was right or wrong; and the course we took was to redouble our zeal for his service and to neglect nothing that could be useful or agreeable to him. If sometimes he happened to upset those who were constantly around him, he always knew how to return to them and lavish them with his caresses. The two beds remained coupled for about fifteen days, and then they were separated and put back in their original places.
Souvenirs du mameluck Ali (google books)
#St. Helena#Etienne St. Denis aka Mameluke Ali#Napoleon's nutty ideas#Napoleon's famous seduction techniques to people he pissed off
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Je peux plus me voir tous ces petits fils de.. non j'allais pas dire pute. Juste tous ces petits fils de médecin, d'infirmier, de psy qui ont dégoté des stages facilement et qui ont le toupet de te dire "ah mais ne t'inquiète pas trop, tu vas finir par trouver". Bah non. Mon daron n'est pas psy, ma mère non plus, donc à priori tous les stages ont été pris par des gosses de médecins et en soi, c'est très bien, tant mieux pour eux, j'aurais fait pareil mais viens pas me dire que c'est tranquille de trouver. Un peu comme si j'étais rentière et que je te disais que c'est facile d'être riche. Non du coup. Je suis saoulée. Cette année m'emmerde. Ya rien qui va. Je vais à tous les cours à reculons. Tout me paraît intéressant mais personne ne fait rien pour rendre ça accessible ou vraiment bien. 6e année à la fac, et je dois encore en faire deux ? Si je redouble ou que j'ai pas de master, je pourrai pas continuer. Ça me met à bout les études. Puis, quelques WE par ci par là, on ne se voit plus avec mon copain et j'aurais aimé que ça me fasse mal mais à la place, ça me soulage. Je trouve ça tellement triste. J'aurais aimé vouloir le voir mais je sais qu'il va me rendre folle. J'entends beaucoup en psychologie positive que le problème de nombreux couple c'est qu'ils agissent comme des adversaires, que ça sert à rien de reprocher, être incisifs, faut comprendre que l'autre veut la même chose que nous. La vérité, jcrois que lui veut vraiment la guerre, il veut fondamentalement me faire vriller et ça marche, quoique dernièrement ça me touche moins parce que j'en ai marre de me casser le cul pour quelqu'un qui se casse à chaque conflit. Je me demande s'il pense aussi à la rupture qui est inévitable. Je le dis depuis un an mais c'est vrai. Ça me fait bizarre je sens tout s'essouffler autant moi que mes relations. Je suis éreintée, genre vraiment même respirer ça me coûte des efforts. Je rentre chez mes parents ce WE et je sais que j'ai hâte mais une fois que j'y aurai foutu un pied, je regretterai. Je vais conduire avec eux et ça va être encore des larmes alors que j'ai le permis littéralement et j'ai la flemme. J'ai ma place auprès de personne c'est super décourageant en vérité. Je ne me sens bien en présence de personne comment c'est possible. J'arrive à la fac, je parle de cours. Je vois mon mec, je parle dans le vent. Je vois mes parents on parle de cours. Je parle aux autres ils me rac tous leur vie. À part acquiescer je ne fais pas grand chose d'autre. J'ai besoin de renouveau en vrai, je le sais et le sens, j'ai besoin de rencontrer des gens qui vont me faire capter que je me suis mal entourée car visiblement j'ai dû mal à agir seule. Je me sens indésirable, moche, seule et triste. Je percute rien en ce moment, je suis zéro concentrée pour tout, je fais répéter mais j'oublie quand même. Je sais pas quoi faire. Je m'ennuie. À part penser à me faire une artère, tourner les talons dès qu'on me parle et me retenir de gifler les gens, je ne fais rien. Je passe mon temps à contenir des pulsions. Mais s'il pouvait me quitter ça m'enleverait une épine du pied ça c'est vrai j'avoue. On s'apporte rien c'est insupportable. Ça non plus je savais pas que c'était possible. J'ai l'impression d'être une grosse merde à le tailler comme ça mais en même temps, s'il me disait qqc de constructif je serai ok pour l'entendre mais ya rien. Peut-être que je suis le problème je ne sais pas trop. Je ne peux pas être toujours le problème si ? Remarque en vrai si je sais que c'est possible. J'ai essayé avec tellement de gens qui voulaient pas de moi, c'est dingue de s'entêter à penser que ça va coller. Littéralement en train de penser que mettre de l'eau pour coller un verre brisé ça peut fonctionner.
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Vas y j'ai pitié j'te raconte un peu ma vie. Mon lycée c'était un château. J'veux dire, littéralement. Y avait une grille immense à l'entrée, un château entouré de douves et nous on allait en cours dans des bâtiments qui, en soi, étaient construits sur ce qui devaient être les jardins du truc. Dans le château y'avait toute la partie administrative du lycée + quelques logements de fonction dont celui du proviseur du lycée. On passait sous le château pour passer de l'autre côté par une espèce de grande arche, et pour passer les douves on passait sur un pont qu'on appelait le "pont-bite" parce qu'il avait littéralement une forme de teub c'était hilarant. Le dernier jour de ma terminale, un gars s'est jeté dans les douves parce que c'était le dernier jour et que fallait marquer le coup (visiblement). Je crois qu'il a eu des plaques rouges quelques temps après ça, je sais plus. Y'avait des animaux aussi : des ragondins dans les douves, des renards parfois, un âne à un moment mais surtout des oies qui venaient nous bouffer le cul quand on s'approchait trop. Tous les ans les pions et quelques profs organisaient une fête de la musique c'était trop bien, j'ai participé à l'une d'elle à la batterie dans un groupe de covers rock aussi éphémère qu'éclaté. Y'avait un prof d'histoire il était trop bizarre. Entre nous on le surnommait "sans les mains" parce qu'un jour il est allé pisser aux pissotieres des élèves dans la cour et des élèves l'ont vu pisser les mains derrière la tête en mode détente en remuant le bassin wtf. J'ai eu un prof de physique, je crois qu'il était autiste. Meilleur prof ever. Il était A CHEVAL avec le calme et l'autorité, a commencé l'année en mode militaire en excluant élève sur élève. À la fin il faisait un basket avec nous dans la cours, incroyable. J'y ai rencontré mon ex et mon meilleur pote dans ce lycée. J'y ai aussi rencontré un gars avec qui je suis resté collé une année entière en mode amitié fusionnelle. On avait les mêmes délires, le même humour, je croyais avoir trouvé mon alter ego. Il est parti en S et moi en L et il m'a... Ignoré. On s'est perdus de vue. Encore aujourd'hui j'me dis que c'était un gros connard parce qu'on aurait pu vivre tellement de trucs ensemble. J'ai redoublé ma seconde, à ma demande. C'est une année que j'ai passé à esquiver les cours pour boire des bières sur le parvis du lycée avec mon meilleur pote. Avec mes facilités je devais avoir un genre de 11 ou 12 de moyenne générale donc on m'a dit ok passe en 1ere ça va, et j'ai dit non je veux redoubler sinon je vais rien piger l'an prochain j'ai trop rien foutu je suis juste une arnaque. J'ai aussi eu 0 à l'écrit à mon TPE pour le bac. En fait j'étais en binôme avec un gars qui glandait rien, et nos forces maléfiques se sont unifiées pour faire émerger une idée diabolique : l'épreuve est facultative, si on a 0, on perdra pas de point et on n'aura pas à faire ce truc de merde. Le 0 était pas encore éliminatoire à cette époque pour cette epreuve. J'ai eu mon bac avec mention assez bien en ayant fait ça et sans bosser spécialement pour avoir mon bac alors que mon ex et d'autres potes avaient bossé comme des taré.e.s pour décrocher une mention et l'ont pas eue (je suis une arnaque j'ai dit). Ha oui et je me suis aussi inscrit à l'option musique en facultatif parce qu'une pote suivait le cours. J'y suis jamais allé en me disant "je lirai ses cours et ça ira". Elle m'a filé ses cours, j'ai rien pigé, je suis allé à l'épreuve au culot j'ai eu 9/20 sans jamais rien apprendre. J'pense si je creuse j'ai encore d'autres choses mais j'ai plus le temps mdr, j'espère que ça t'aura divertie un peu (si t'arrives à tout lire). Bon courage pour tes douleurs quand même.
j'ai tout lu comme une nouvelle et j'ai adoré ça avait l'air très cool ces années lycée et tu étais trop fort surtout, merci merci!!! (et merci pour les douleurs mdr <3)
j'aimerais juste savoir quel était le sujet de votre fameux tpe à 0 ça m'intrigue...
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Automne 1923 - Champs-les-Sims
6/7
Comme mes filles, votre Lucien est un garçon fiable, même si il semble manquer d'ambition. Non pas que ce soit un mauvais trait de caractère, mais il me fait l'effet d'un jeune homme posé. A t-il envie de faire des études ? Je sais que ma Cléo veut aller à la Faculté de Lettres dont lui a parlé Antoine, et je pense que cela lui correspondra. D'ailleurs, elle est tellement motivée à y aller qu'elle redouble d'efforts en latin et en grec alors qu'elle n'aime pas tellement ces matières et qu'elle n'est pas très douée. Je ne sais pas si elle pourra réussir, mais je soutient sa décision, de même que Constantin. Sélène se destine au sport de haut niveau et Marc Antoine parle également de l'Ecole libre des sciences politiques. Jean-François veut suivre les traces de son père. Noé est à la meilleure des écoles avec Adelphe. En tous cas, notre rôle est bien de les aider dans les choix qu'ils font.
En revanche, il me parait dommageable que Jules ne soit pas prêt à prioriser les études de son fils. Tant mieux pour lui si il n'en a pas envie, mais tout de même, décréter que cela ne sert à rien ! Voilà une remarque avec laquelle Constantin n'est absolument pas d'accord. ("C'est tout simplement honteux ! Un gouffre de dépenses inutiles... Comment peut-il affirmer une chose pareille ?") Constantin fulmine derrière-moi et n'en démord pas. ("Il ne faut bien entendu pas dénigrer les formations de terrain, mais le terreau universitaire est primordial ! Sans lui, il aurait sans doute un ami de moins, moi ! Scandaleux, honteux !"). Ne le dites pas à Jules, mais il risque de ne pas recevoir de courrier de la part de Constantin avant un bon moment.
Transcription :
Cléopâtre « Ne t’inquiète pas. Personne ne t’as vue. »
Arsinoé « De quoi tu parles ? »
Cléopâtre « Tu es une sacré bonne actrice, si je n’étais pas sure de ce que j’ai vu, j’aurai presque pu croire à ton innocence. En tous cas, je t’ai couverte, tu n’as pas à t’en faire. Reviens me voir quand vous voudrez vous voir en douce, je m’occuperai de tout. »
Arsinoé « Merci Cléo… Pourquoi tu me couvre comme ça ? »
Cléopâtre « Bon, je l’avoue. Quand je t’ai vue te faufiler et rejoindre un beau rouquin derrière la barrière, j’ai été très jalouse ! Puis je me suis laissé prendre par le romanesque de la situation. La jeune princesse, timide et obéissante, mais si consumée par les flammes de l’amour et tant grisée par la passion qu’elle risque tout, ne serait-ce que pour un regard de lui. De quelle couleur sont ses yeux d’ailleurs ? »
Arsinoé « Hum… verte. »
Cléopâtre « Oh, un bel Adonis à la chevelure de feu et aux yeux verts vivant un amour secret avec une naïve Perséphone aux cheveux de blé et aux prunelles bleues comme les glaciers… C’est d’un tel... »
Arsinoé « Tu n’en fais pas un peu trop ? »
Cléopâtre « Je n’en fait jamais trop. La vie ordinaire est si barbante, si insipide et banale. Sélène qui aime son Berto le joueur de tennis, Maman qui a rencontré Papa dans une librairie, sans compter tous les habitants de ce village qui épousent le fils du voisin ou leur amie d’enfance… Regarde, je baille rien que de le dire ! Mais toi, ce que tu vis, c’est si intéressant, si intense ! Comme Cousine Emma avec son châtelain déchu, qui on sombré dans l’amour au détour d’un pré... »
Arsinoé « S’il te plait Cléo. Ce n’est pas drôle, c’est grave ce qui leur est arrivé. »
Cléopâtre « Tu es bien placée pour le dire dis donc ! Tu fais exactement pareil… ou plutôt vous l’auriez fait si tu n’étais pas si… toi ! »
Arsinoé « Mais non… pas du tout... Je veux dire… à part un baiser… »
Cléopâtre « Mais c’est merveilleux ça ! Navrée de te taquiner comme ça, j’ai menti je suis extrêmement jalouse ! Mais tu as de la chance Noé, avec cette vie, tu n’as pas eu beaucoup d’occasions de t’amuser. Alors c’est le moment. Crois moi, tu dois absolument en profiter avant que Grand-Mère te trouve l’époux qui te sera le mieux assorti, c’est à dire ennuyeux à mourir. »
Arsinoé « Heu... »
Cléopâtre « Oh c’est sorti tellement de travers, pardonne moi ! Je veux juste te dire que quoi qu’il arrive, je serai là pour t’aider ou te couvrir grande sœur. Vas-y et amuse toi ! »
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Albertine Maigret#Eugénie Bernard#Arsinoé Le Bris#Sélène Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Cléopâtre Le Bris#Jean Davires#Emma Barbois#Emilien de Chastel#Gilberto Bragança
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Napoléon V: You're not going to spend all our vacations revising, are you? Charlotte: Unlike some people, I'm not planning to repeat my year
Napoléon V: Joachim and I have it all planned: revise at the last minute, like all normal people Charlotte: A real duo of losers
Napoléon V (ignores, charms): We could rather… go for a picnic on a white sandy beach... then lie against each other and…
Charlotte: Louis, please, I'm trying to concentrate. Why don't you go for a swim for an hour or so, until I finish? Napoléon V: Come on, darling Charlotte: That's a categorical no
Napoléon V: Then I'll go and study too, I want to stay with you Charlotte: Really? Napoléon V: Of course, it's a honeymoon, love
Charlotte: Okay Napoléon V: What are you studying? Charlotte: Economics
Napoléon V: That's the one I understood best Charlotte: I doubt that, darling, you were more diligent in mathematics
Napoléon V: "Imperfect competition refers to a situation of competition in a market where one of the five conditions of pure and perfect competition is not respected" Charlotte: That's the lesson about companies that have a large monopoly, or oligopoly, in the same market Napoléon V: I should send my Uncle Henri to take the economics exam for me Charlotte: It's not that complicated, just look at the chart by the German economist Stackelberg
Napoléon V: I'm a Napoléon, I won't listen to a German! Charlotte (sighs): This is going to take a while Napoléon V: You're giving in?
⚜ Le Cabinet Noir | Honeymoon at Bora-Bora, 4 Messidor An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
Charlotte is studying for the next École Polytechnique exam, which the imperial couple will take later this summer. Napoléon V gently reproaches his wife for studying instead of spending time with him on their honeymoon.
⚜ Traduction française
Charlotte révise les prochains examens de l'Ecole Polytechnique, qui doivent avoir lieu exceptionnellement plus tard cet été pour le couple impérial. Napoléon V reproche gentiment à son épouse d'étudier au lieu de passer du temps avec lui pendant leur lune de miel.
Napoléon V : Tu ne vas tout de même pas passer toutes nos vacances à réviser ? Charlotte : Contrairement à d'autres, je ne compte pas redoubler mon année
Napoléon V : On a tout prévu avec Joachim : réviser à la dernière minute, comme tous les gens normaux Charlotte : Un vrai duo de loosers
Napoléon V (ignore, charmeur) : On pourrait plutôt... aller pique-niquer sur une plage de sable blanc... puis s'allonger l'un contre l'autre et...
Charlotte : Louis, s'il te plaît, j'essaie de me concentrer. Tu n'as qu'à aller nager une petite heure, le temps que je finisse Napoléon V : Allez chérie Charlotte : C'est un non catégorique
Napoléon V : Alors je vais réviser aussi, je veux rester auprès de toi Charlotte : Vraiment ? Napoléon V : Bien sûr, c'est une lune de miel mon amour
Charlotte : Ok Napoléon V : Que révises-tu ? Charlotte : Le cours d'économie
Napoléon V : C'est celui que j'ai le mieux compris Charlotte : J'en doute chéri, tu étais plus appliqué en mathématiques
Napoléon V : "La concurrence imparfaite désigne une situation de concurrence sur un marché où une des cinq conditions de la concurrence pure et parfaite n'est pas respectée" Charlotte : C'est la leçon sur les entreprises qui ont un grand monopole, ou oligopole, sur un même marché Napoléon V : Je devrais envoyer mon oncle Henri passer l'examen d'économie à ma place Charlotte : Ce n'est pas si compliqué, regarde le tableau de l'économiste allemand Stackelberg
Napoléon V : Je suis un Napoléon, je ne vais pas écouter un allemand! Charlotte (soupire) : Ca va être long Napoléon V : Tu capitules ?
#simparte#ts4#ts4 royal#royal simblr#sims 4 royal#sim : louis#sims 4 fr#sims 4#sim : charlotte#honeymoon#bora-bora#le cabinet noir#gen 2#sims 4 royal story#sims 4 royal family#sims 4 royalty#sims 4 royal legacy#ts4 royals#ts4 royal family#ts4 royal simblr#ts4 royalty
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Ayhalo : une analyse des obstacles à.
Et me revoilà. ^^ Vous aviez hâte ? (Non). Et j'avais oublié un point pour la première partie. Heureusement que ce n'est pas une dissertation notée, c'eût été compliqué, sinon. Un point très court. Q!Bad est maso,au moins un peu, Q!Aypierre, sadique. Complémentarité <3 Bon, maintenant, on embraye, après cet oubli malencontreux dont je m'excuse.
La seconde partie, les enfants. Qui a l'air attendue, on dirait XD Et on continue en français, vu qu'on a commencé en francais.
Et ils en ont, des obstacles. Croyez moi. Allons y donc. Et visiblement la musique a décidé de venir accompagner mon discours. Donc on l'accueille bien fort, elle aussi. Merci.
II ) Les obstacles.
A) Le problème de clarté.
Si le Furryduo avait des soucis de communication, de manière générale, eux.....C'est tout particulièrement la clarté. Je m'explique. Ils vont se faire des allusions.....et l'autre va pas du tout comprendre les allusions. Un exemple : Q!Bad, parlant des crushing wheels comme un câlin....Comme s'il en voulait un. La réponse ? Ben....rien. il bossait sur ses machines. Et c'est QUE des trucs comme ça. Des allusions que l'autre relève pas ou peu, surtout du coté de Q!Bad (le "i'm available " qui est passé au travers des mailles du filet probablement par un soucis de trad pour le double sens ).
Ou va pas comprendre que y a des allusions du tout. Q!Bad, si on regarde par le passé, a jamais été très doué pour déceler les allusions sentimentales comme elles le sont habituellement. XD
En d'autres termes, si aucun des deux à un moment donné ne va voir l'autre en mode "Je te veux", (pas cette phrase exacte mais en mode clair sur ce qu'ils veulent ), ça bougera pas.
Et y a plus de chance que ça vienne de Q!Bad que de Q!Aypierre. Tout simplement parce que Q!Aypierre considérerait ça comme un aveu de faiblesse, d'autant plus après Q!Max. Et Q!Bad comme un jeu en mode "oh, could it be funny, let me see if you can make me fall " et Q!Aypierre détesterait s'abaisser à se montrer faible et dépendant. Ça lui ferait redoubler d'ardeur dans le jeu, mais absolument cacher ses sentiments.
Par contre, dans l'autre sens (soit Q!Bad venant à lui et le jeu ) là ça marche xD Bon, dans ma configuration Q!Aypierre finirait par perdre à terme, après un très très très très long jeu (qui finirait limite par devenir comme leur jeu de chamailleries capitalistes mais constant en redoublant d'efforts pour pas laisser l'autre indifférent ou obtenir de l'attention ) et Q!Bad triompher mais voilà. Bien aidé par visiblement la nature un peu maso et très joueuse et manipulatrice avec en même temps de l'ego de Q!Bad, et celle sadique et malgré tout empreinte de gentillesse de Q!Aypierre, mais aussi également compliqué à cause de leurs égos qui ont du mal à accepter de se laisser à leurs émotions face à quelqu'un d'autre (Q!Aypierre ) ou d'être simplement dépendant d'autres et accepter ses propres désirs et laisser quelqu'un en prendre soin (on rappelle qu'avant il était parti vivre loin de tous XD ) (Q!Bad ).
En d'autres termes, si ça devient clair, ça deviendra une bataille d'egos emplie de jeu et le jeu finira par les consumer au point de plus pouvoir se cacher derrière XD
Niveau musical, un mix entre Power and Control de Marina and the Diamonds et Jamais je n'avouerai dans Hercule XD
B) "Fuis moi, je te suis ".
J'imagine déjà vos questions avec cette phrase. Pour le coup, très lié à Q!Bad. Il cherche de l'attention, des gens pour s'entourer. Mais en même temps.....Comprend JAMAIS les allusions à ça quand elles sont réellement intéressées. (Et ça continue avec la baignoire par exemple ). Et......poursuit quand ça ne l'est plus. Donc si intéresser....Ben il le voit pas XD
Pour le coup encore une ref musicale : Il aurait suffi de la comédie musicale le Rouge et le Noir.
Q!Aypierre de son côté, laisse venir à lui, quand bien même il ait des inclinaisons. Il ne se livre et encore que sous des formes incomplètes et en se cachant derrière des blagues pour minimiser l'emprise, comme ce qu'il a fait avec le début de relation avec Q!Max, de manière à garder le contrôle sur ses émotions. Contrôle qui s'est clairement renforcé. Donc ça être long pour venir à bout du truc. Ça finira par venir, si ça se fait, car l'amour ne se contrôle pas, mais derrière va falloir continuer de prouver que l'histoire ne se répétera pas, chemin déjà à moitié fait cependant, simplement à décliner dans ce cas là ("I know you will always be there, unlike Maximus") et que c'est ok d'aimer. De l'autre coté, apprendre à voir les signaux et qu'il en a bel et bien le droit (le lore du Fallen Angel de @awdee, pour le coup melangée à la fameuse théorie déjà partagée ici qui explique sa manière d'aimer ). Mais si vous vous attendez à des fleurs (sauf pour Q!Bad qui les exigera à grand cris, et Q!Aypierre qui le fera marner avec ça, avant de les laisser chez lui discrètement ) ....Nope. attendez vous à des pranks en série, des allusions sur son goût potentiel, le jeu encore et toujours, de quoi toujours avoir et demander de l'attention, encore plus de plans machiavéliques, parce que ça fait partie de la manière d"aimer" de Q!Bad et Q!Aypierre va s'y adapter ultra vite comme il s'adapte toujours à ce que fait Q!Bad et dans le plus privé possible, après un très long moment un début de pansage de plaies et une introduction à la tendresse comme on a pu en voir vers la fin du Furryduo. En public ? Possible. Mais je doute que Q!Bad accepte facilement XD Ca aussi ça va vite tourner au jeu XD
C) Leurs blessures.
Et ils sont blessés. Très blessés. Tout les deux avec une peur de l'abandon qui leur fait faire tout et n'importe quoi. S'attacher, c'est prendre le risque d'être un jour abandonné. Encore. L'un a vu mourir toutes les personnes dont il a emmené les âmes, l'autre est littéralement dans le corps de la création qu'il a abandonné et s'est fait à son tour abandonné par l'homme qu'il aimait. Et Q!Bad ne sait PAS que théoriquement, Q!Aypierre est aussi immortel qu'il l'est.
S'attacher à un humain, qu'il pourrait perdre ? Comme le perso auquel il s'était attaché et qui est mort ? Hmm....
Et pour Q!Aypierre, se livrer, prendre le risque de se faire encore briser, se montrer vulnérable.....Hmm..
Pour Q!Bad, aimer à l'humaine, accepter qu'il puisse éprouver éventuellement certaines choses, vouloir laisser le contrôle éventuellement à quelqu'un d'autre, laisser l'autre prendre soin de lui et le voir vulnérable, être accepté tel qu'il est, ainsi que ses envies.....
Pour que ça tienne, ce sont les plaies qui devront être pansées.
D) Leurs sentiments.
Avant toute chose : il est très clair qu'ils ont une inclinaison l'un vers l'autre. Ils passeraient pas leur temps à se regarder dans les yeux, se faire des allusions, se chercher. Mais de là à sauter le grand pas....
Et quel grand pas. Il y a un spectre entre eux. Un mort qu'on refuse de voir mort. Un mort qu'on sait potentiellement capable de revenir. Un mort qu'on attend, de plus en plus silencieusement et auquel on rend hommage, presque sans s'en rendre compte quand on construit sa centrale, dans lequel on tend à attacher ses pas, comme s'il avait ouvert une voie et qu'on essaye de tout faire pour suivre ses traces, le retenir un peu avec soi. Un mort qui hante le narratif, quand bien même leur relation est morte. Un espoir de pouvoir reconstruire ce qui a été, à terme, même si cet espoir est très probablement vain.
Et ça Q!Bad en a conscience et le respecte. Il serait exactement pareil, dans le même cas, et il l'était avant la disparition totale du perso vers lequel il tendait vers une relation, avant. Le poursuivre revient à lui faire accepter qu'une page se tourne, qu'une nouvelle histoire se construit, accepter ces inclinaisons naissantes. Pas impossible, mais lent. Et un hurt and comfort quand il se rendra compte qu'il pense de moins en moins à lui, qu'il commence à oublier des détails physiques à son propos ou sa manière de rire.....
Pour Q!Bad, c'est accepter de ressentir des choses plus terriennes. Vouloir comme un humain veut et ne pas essayer de tout faire pour faire plaisir et garder avec soi. Se reposer enfin, en réalisant qu'être lui peut suffire à quelqu'un. Accepter le calme après tout ce paraitre. Accepter qu'il puisse vouloir, égoïstement, des choses et que l'autre les lui offre. Accepter d'être accepté comme il est par quelqu'un d'autre que son Père. Pour reprendre une citation d'un manga, "The Gentlemen Alliance Cross" ,"L'enfant est un ange. Dieu veille sur lui . Mais Dieu n'est pas visible, alors l'Homme se sent seul. C'est pourquoi un jour, il quitte Dieu. Pour pouvoir vivre avec d'autres humains, il renonce au paradis pour se faire aimer de la personne qu'il aime ". (Ou if I'm englufied with tenderness dans Kiki la petite sorcière - ref fournie par la mangaka à propos de la citation dans une note de début de chapitre, je cite mes sources XD ) Et c'est de ça dont il s'agira. Déjà fait une fois pour les oeufs et j'avais ressorti à l'occasion cette citation pour, mais une fois, et si la deuxième fois veut dire ne plus jamais vraiment le revoir ? Vivre avec cette peur et estimer que cet amour en vaille la peine.
Et, dans une optique très terre à terre....Accepter que Cucurucho se contente de jouer avec lui et se soucie de lui uniquement en son statut d'invité spécial et en voyant ce qu'il peut en tirer s'il le met sous son joug (désolée, pas oublier que c'est un manipulateur, et que ça doit totalement en faire partie, de son plan, le rendre dépendant de lui en profitant de sa solitude, pour en faire ce qu'il veut et son bras armé,encore une fois, je prends appui sur un post de @issialoua ).
Pour conclure, ce sera long, empli de jeux, de petites manipulations, un jeu à la "Kaguya : Love is War ", même si j'ai pas du tout lu le manga mais je connais un peu le pitch, empli de blessures à panser, de hurt and comfort et accepter d'être beaucoup plus clair. Pas impossible mais clairement pas de tout repos avec énormément de moments WTF, et drôles et des moments très doux. On n'est absolument pas dans du Fit x Pac, doux, tendre et timide, mais à l'image de leur relation actuelle.
Ça swingerait, et violent. Si ça devait se faire, préparez vous. Ça bougerait sec XD
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Découvrez aujourd'hui l'intrigue principale de HOW TO MAKE IT IN KOREA !
TW : MENTION DE TRAFIC D'ÊTRES HUMAINS ET SUICIDE
19 décembre 2011, 10:36. Gonghwa-dong, Hyanggi-gu, Hanseo, Corée du Sud.
A l'approche de Noël 2011, alors que les rues de Hanseo sont déjà illuminées par les décorations, l'attention des résidents est détournée de la préparation des fêtes de fin d'année. Sous les lumières des flashs des appareils photos et les cris des journalistes, une jeune femme frêle avance, tête baissée, visage dissimulé sous un masque et une casquette. Elle est escortée depuis chez elle par une armada de policiers. Malgré les appels incessants des journalistes qui tentent d'obtenir une déclaration de la jeune femme, celle-ci reste silencieuse.
Il s'agit de la première apparition publique de Seolbi, et de la première occasion pour les habitants de Hanseo de mettre enfin un visage sur ce pseudonyme qui fait tant couler d'encre. Depuis quelques années, Seolbi fait trembler Hanseo en révélant anonymement les secrets les plus sombres de ses résidents dans sa chronique. Chaebols, célébrités, hommes politiques, et même simples citoyens ; personne n'est à l'abri des dénonciations. L'affaire récente des Seok qui a défrayé la chronique en est un exemple.
Les Seok, l'une des familles chaebols les plus puissantes de la capitale, ont vu leur empire s'effondrer après que Seolbi ait révélé leur implication dans un vaste réseau de trafic d'êtres humains. Si les accusations portées n'ont pas tout de suite été prises au sérieux, la vérité a fini par éclater, et, après confirmation par enquête policière, la famille Seok s'est retrouvée ruinée, leur réputation entachée. Quant à l'entreprise familiale, elle a rapidement été déclarée en faillite, précipitant dans sa chute plusieurs autres familles influentes associées. Humilié par le scandale, Seok Dongwon, père de famille et dirigeant de la société, a mis fin à ses jours.
Si Seolbi a été appréhendée et emprisonnée pour diffamation, atteinte à la vie privée, diffusion d'informations privées et incitation au suicide, certaines personnes ont bien tenté de poursuivre son œuvre, mais aucune n'a réussi à l'égaler ; et les familles influentes, craignant de subir le même sort que les Seok, sont parvenues à faire taire ces dénonciateurs émergeants.
***
Le 20 juillet 2024, Hanseo tremble à nouveau. Lors de la soirée commémorant les 650 ans de la capitale à Nokcheon Park, une coupure de courant géante plonge la ville dans l'obscurité pendant une heure et demi. Cet événement, qui porte aujourd'hui le nom de Hanseo Jeonja Honjap Night (la "nuit du chaos numérique") a poussé certains perturbateurs à profiter de la situation pour commettre de multiples infractions : cambriolages, vols, dégradations. C'est à ce moment qu'une notification anonyme est apparue sur tous les téléphones portables de la ville : "Nana & Yuko" se sont présentées comme les nouvelles Seolbi et ont annoncé qu'elles révéleront tous les secrets que les habitants de Hanseo tenteraient de dissimuler.
D'abord accueillie avec beaucoup de doute, cette déclaration est finalement prise au sérieux lorsque, une semaine plus tard, Nana & Yuko dévoilent des preuves irréfutables des activités illégales de Sha Donghwa, dirigeant du groupe Nexara Solutions, accusé d'extorsion et de blanchiment d'argent. Nana & Yuko semblent déterminées à poursuivre l'œuvre de Seolbi, et peut-être même à la surpasser.
Qui se cache derrière ce duo mystérieux ? S'agit-il d'un individu opérant seul, ou d'un groupe de personnes ? Ces personnes sont-elles basées à Hanseo, ou se cachent-elles à l'étranger ? Quoiqu'il en soit, à Hanseo, il devient difficile de préserver ses secrets let il faudra désormais redoubler d'ingéniosité pour ne pas être dénoncé par les héritières de Seolbi.
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LA BALADE DES OUBLIÉES [house of the dragon x oc] • SHAEREA VELARYON II
LA BALLADE DES OUBLIÉES • HOUSE OF THE DRAGON X OCs • CHAPITRE II
✩ synopsis : La princesse Shaerea Velaryon, fille unique de la princesse héritière Rhaenyra Targaryen, sœur jumelle du prince Jacaerys Targaryen arrive à un âge où elle ne peut plus ignorer la vérité.
☆ relations : oc!femvelaryon x aegon targaryen; oc!femstark x jacaerys velaryon; oc!femhightower x aemond targaryen; oc!femtargaryen x oscar tully; oc!fembaratheon x lucerysvelaryon
✧ warnings : targ!incest, sexisme typique médiéval, batards, un peu de déréalisation si on plisse les yeux, harcèlement, tromperie consentie?…
☆ mots : 7351 mots
⭐︎ note de l’auteur : /!\ ici les événements de la blague du cochon ailé faite à Aemond se passe avant l’accouchement de Rhaenyra (naissance de Joffrey). La taille de Vermax ne correspond pas au canon. Désolé pour les fautes d’orthographe ! /!\
✧ chapitres : MASTERLIST • I II III
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Des rires enfantins résonnèrent dans le Donjon Rouge, accompagnés de bruit de pas bruyant et rapide.
La princesse Shaerea Velaryon courait au côté de son frère jumeau, le prince Jacaerys, héritier du throne de fer après leur mère la princesse Rhaenyra Targaryen, et de leur frère cadet le prince Lucerys, l’héritier de Driftmark.
Les trois enfants gloussaient en se bousculant dans les couloirs rougeâtres du château royal. La princesse de huit années avait du mal à suivre la cadence de ses frères à cause de ses habits princiers. Des tissues luxueux, aussi rouge que les bons vins de Dorne étaient cousus entre eux, formant une robe longue et délicate aux broderies dorées. Elle portait autour de ses poignets, de son cou et de chacun de ses petits doigts légèrement potelés des bijoux somptueux d’or brute incrustés de rubis. La beauté de la seule fille et deuxième enfant de Rhaenyra Targaryen était reconnue de tous. Comme avant sa mère, la petite princesse Velaryon était un vrai délice pour le royaume, une splendeur royale.
…même si la princesse Shaerea ne ressemblait en rien à une Targaryen.
Sa peau n’était ni pâle comme les descendants d’Aegon le Conquérant, ni métisse comme les Velaryon. Ses cheveux n’étaient pas d’un blanc argenté et ses iris n’avaient aucune trace de violet. Non, comme ses frères, elle ne possédait aucun trait de la maison du dragon et encore moins celle d’eau et de sel. Au lieu de cela, des épaisses mèches brunes bouclées encerclaient son visage au teint bronzé et ses yeux marron prenaient une couleur semblable au miel au soleil.
Cela avait été un scandale quand les jumeaux de la couronne sont nés. Sur leur corps étaient marqués au fer rouge "bâtards", ce mot que le Roi Viserys I avait interdit de prononcer à leur égard sous peine de se faire arracher la langue.
Pourtant les regards moqueurs, impitoyables de la cour ou les murmures des servantes subsistaient encore dans le château. Peut être êtes la connaissance du dégoût de la Reine Alicent envers les petits enfants de sa majesté son époux qui leur laissaient penser qu’ils avaient le droit de manquer de respect ainsi aux princes et la princesse royaux ? Peu importe, les enfants de Rhaenyra étaient trop jeunes pour comprendre, restant dans un bonheur simple de l’enfance.
« Jace, Luce dépêchez vous ! Il faut qu’on arrive à Pit Dragon avant Oncle Aegon ! » A gloussé la jeune princesse en redoublant d’efforts pour accélérer et tirer la main de son frère jumeau en prennent la tête de leur joyeuse troupe.
« J'essaie ! C'est toi qui vas lentement avec cette robe qui te gêne les jambes ! » se plaignit le jeune prince en courant. La longue cape écarlate ondulait dans son dos tandis que lui et Luce ressemblaient davantage à de petites ombres noires fuyant derrière leur sœur. Shaerea regarda le garçon brun de huit ans avec indignation.
« Ma robe est magnifique ! » dit-elle avec la voix d'une petite fille têtue. Pour elle la beauté l’objet justifiait son manque de pratique. Elle jeta sa tête en arrière pour s'assurer que leur petit frère les suivait. « Luce court plus vite ou on te laisse avec oncle Aemond »
Une vague de terreur traversa le jeune visage de Lucerys, mais le garçon continua à faire des pas courts et rapides pour suivre son frère et sa sœur. Le prince Aemond Targaryen’s, le deuxième fils et quatrième enfant du Roi Viserys était un enfant plutôt… spéciale. Il n’avait que dix ans, bientôt onze, pourtant il ne s’amusait jamais (ou plutôt les princes et princesse ne l’invitaient jamais), toujours entrain d’étudier dans la bibliothèque ou avec les septa’s ennuyeuses ou être en compagnie de sa tante maternelle. Le fils de la reine n’était pas quelqu’un d’amusant. Et il avait quelque chose en lui, les enfants Targaryens ne pourraient pas vraiment l’expliquer mais Aemond semblait avoir un côté plutôt…sombre ? Comme s’il souffrait de la folie du dragon…
« Noooon… » supplia l’héritier de Driftmark "Ne me laisse pas avec l'oncle Aemond. Je cours plus vite, je vous le promets, regardez ! »
La princesse gloussa de nouveau, son sourire s’élargissant jusqu’à atteindre ses yeux bruns. « Si tu le fais, je suppose que nous te pardonnerons » taquina-t-elle en tirant sur le bras de Jace, le forçant à continuer à courir. « Mais tu ferais mieux de te dépêcher ! »
Les Velaryon de six et huit ans se bousculèrent avec la force et l’amusement des enfants qu’ils étaient. Dans les escaliers de pierres rouges, le prince Jacaerys eut l’audace de marcher sur la belle robe de sa jumelle. Elle poussa un cris aigue d’indignation qui fit tourner la tête de plusieurs servantes, prise de peur que les enfants royaux soient blessés. Leurs petites jambes les ont menés dans la court d’entraînement où des chevaliers s’entraînaient entre eux ou enseignaient l’art du combat à des fils de nobles. Au centre, armée d’une épée et d’une armure imposante à cape jaune, Sir Harwin Strong combattait un jeune homme, sûrement le second fils d’un des Lords de la cour. Il était un chevalier musclé à la peau halée et cheveux bruns bouclés lui arrivant sur ses épaules. Comme sa chevelure, sa barbe était d’un brun épais et ses yeux avaient une couleur semblable à l’eau des lacs du Nord. La princesse Shaerea a poussé son frère jumeau, lui manquant de le faire trébucher pour courir vers le chevalier en plein combat.
« Sir Harwin ! Sir Harwin ! Sir Harwin ! Sir Harwin ! » répéta-t-elle encore et encore, les joues rouges, ignorant le danger de se faire embrocher par une épée.
Le chevalier sourit derrière son casque en entendant la jeune voix de la princesse Shaerea. Il esquiva un coup de son adversaire et se tourna dans la direction de la jeune fille. « Je suis un peu occupé en ce moment si vous remarquez votre douce jeune majesté. »
La petite princesse ne prit même pas le temps de regard le jeune homme que Lord Strong entraînait, ignorant complètement son existence. « Je m'en fiche ! »
Elle dit d'une voix joyeuse et aiguë. Son petit frère Lucerys vint se coller contre sa robe, ses petits doigts agrippant le tissue. Il avait peur de se faire gronder par leur mère, pour l’audace de sa sœur aîné. La princesse Rhaenyra était facilement irritable, enceinte de neuf mois, sur le bord de l’accouchement, son agacement et sa colère pouvaient monter rapidement. Jacaerys a roulé les yeux en boudant derrière sa jumelle. Il devrait la pousser comme elle avait fait juste avant pour la punir de son comportement de fillette gâté.
Shaerea enroula de ses petits doigts bagués autour la cape jaune du fils de la main du roi, Lord Lyonel Strong, la tirant avec énergie. « Sir Harwin ! Sir Harwin ! Pouvez-vous nous emmener à Pit Dragon ? S'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît ! »
Le chevalier rigola légèrement lorsque la princesse continua à l'appeler en boucle. « Vous peux être si agaçant quand vous le voulez, vous savez. » Il souleva la visière de son casque et soupira, « Mais bien sûr, je peux vous emmenez au PitDragon. Mais seulement pour que vous arrêtiez de crier mon nom comme ça. » la taquina-t-il.
« Merci Sir Harwin ! » Elle poussa un cri de joie en sautant, ses bijoux s'entrechoquant dans un bruit semblable à sac remplit de pièce d’or. Lucerys pressa ses mains contre ses oreilles au son aigu de sa sœur aînée, n’aimait pas quand elle faisait ça. « Je t'avais dit que ça marcherait Jace ! »
La princesse Velaryon tira la langue vers son jumeau, sa petite main remplie de bracelet et d'anneau d'or toujours accrochée à la cape du chevalier. Le chevalier gloussa et retira son casque tandis que la petite princesse s'accrochait à sa cape de toutes ses forces. Il se tourna vers elle et ébouriffa un peu ses cheveux bouclés. Peut de personne au Donjon Rouge oserait traiter un enfant royale comme ça. Mais comme beaucoup avait remarqué, surtout la Reine Alicent, Sir Harwin est proche depuis toujours de la famille de la princesse Rhaenyra, surtout la princesse. « Vous êtes vraiment gâtée princesse. » Lui dit-il avec un sourire au visage. Quand il leva les yeux, il trouva les princes Jace et Lucerys derrière leur sœur. Il haussa un sourcil avec un sourirez avant de reprendre. « Donc c'était un projet d'équipe, j’imagine ? »
« Jace et Luce savent que je suis la plus jolie et donc que tout le monde me dit toujours oui. » dit la Velaryon avec un sourire fier et arrogant. Elle prit la grande main du chevalier dans la sienne, petite, minuscule comparé à celle de l’homme proche de la quarantaine. La personnalité bruyante de la princesse et son interruption dans la cour d’entraînement avait attiré les regards des autres combattants et de leur publique les dames de la haute société. Un mélange de moquerie et de dégoût était dans leur yeux alors qu’ils observaient les enfants de la princesse Rhaenyra interagir avec Sir Strong qui leur ressemblait trop pour le nier. Pourtant le chevalier ne sembla pas s’en soucier et il gloussa en traversant la cour bondée, la petite princesse Velaryon les menant.
« Oh, je n'en doute pas un seul instant », acquiesça le jeune chevalier en regardant les trois enfants. « Je pense que tout le royaume sait que la princesse Shearea est la plus jolie princesse de toutes », ajouta-t-il, ébouriffant doucement les cheveux de la fillette une fois de plus avec sa main libre.
« Et la plus ennuyeuse aussi », grommela le prince Jace, croisant ses bras courts sur sa poitrine. Sa sœur le regarda par-dessus son épaule et lui tira sa petite langue avec défi avant de tourner la tête en arrière et d'entraîner le chevalier plus loin.
Les enfants de la princesse Rhaenyra Targaryen arrivèrent à Pit Dragon accompagné de Sir Harwin. Tout le long du chemin, la princesse Shaerea ne c’était presque pas tue une seule fois. Elle aimait être au centre de l’attention et des discussions, monopolisant la conversation. Elle racontait animent au chevalier à quelle point elle était excité par l’arrivé du nouveau bébé et qu’elle espérait avoir un petit frère encore, voulant rester la petite princesse gâtée de la famille. Le prince Jacaerys lui avait jeté plusieurs fois des regards agacés et Lucerys tenta de lui couper la parole temps bien que mal, sa petite main d'enfant de six ans dans celle du chevalier à la cape jaune.
Rentrent dans le bâtiment gigantesque, la princesse Velaryon ne prit pas la peine de saluer les gardiens des dragons, préférant courir en direction de la fausse. Ses joues n’avaient même pas eut le temps de reprendre une couleur normal de sa course précédente. Elle soulevait sa robe au dessus de ses chevilles maintenant qu’elle était sûre que sa septa ne la gronderait pas pour un manque de pudeur pareil. « Gaura ! »
Un dragon femelle aux écailles roses fut amenée hors de l’entre menant au logis des creatures ailées.
Comme son frère jumeau, la princesse Shaerea reçut un œuf de dragon sous son berceau. Et comme les deux jumeaux royales, la coquille de Vermax, le dragon de Jacaerys éclôt en premier. Mais comparé à la bête verte de l’hériter du trône, Gaura naquit difforme et faible. L’animal était minuscule et ne semblait pas grandir correctement, si bien que les gardiens des dragons avaient déclaré qu’elle ne survivrait pas un an. Mais grâce au soin et les efforts de la princesse Rhaenyra à maintenir le dragon de sa fille chérie en vie, Gaura a finalement survécu. Or, alors que Vermax le dragon vert de huit ans maintenant faisait déjà la taille de trois hommes adultes, Gaura, elle, faisait seulement la taille d’un seul humain.
Le dragon aux écailles roses petit, trop petit pour son âge, ne dépassant pas la taille d'Arax, le dragon du petit frère Lucerys de sa dragonniere, s'approcha d’elle en poussant un mélange entre sifflements et grognements. Elle se déplaçait, ses longues griffes griffant la pierre et ses ailes difformes, trop longues pour son corps trainaient sur le sol. La couleur rosée du bout des membres et du museau de la bête semblait se dégradé vers un blanc crème, le même ton que ses yeux.
« Je suis peiné pour vous princesse. » dit Sir Harwin, ses yeux bleus observaient la princesse avec son dragon. Si le simple fait que Shaerea avait une profonde connection avec son animal suffisait au chevalier, il ne pouvait pas ignorer la vérité. Un dragon était censé être fort et majestueux. Des créatures puissantes qui pouvaient réduire en cendres des royaumes entiers. Mais Gaura semblait... pathétique en comparaison des autres dragons de la fosse.
Cette différence entre son dragon et ceux du reste de sa famille ne semblait pas pour autant déranger la princesse Velaryon. Elle au moins elle en avait un, pas comme son oncle le prince Aemond Targaryen.
La princesse c’est assise par terre, se moquant de salir sa robe qui valait bien plus que tout ce qu’un sujet de basse naissance de KingsLanding pouvait gagner en une vie entière. Gaura c’est joyeusement précipitée sur les genoux de la princesse, s'installant sur les épaules de cette dernière comme elle aime tant le faire, ses ailes roses entourant le corps de la fille. Shaerea regarda le chevalier avec un sourire.
« Pourquoi ? Gaura est le plus jolie dragon. Pas comme Vermax », dit-elle moqueuse. Les deux jumeaux aiment ce chamailler, même si Jacaerys allait plus doucement avec sa sœur. Il était le plus agé des deux, l’aîné et l’héritier, pas une brute à maltraiter les filles, sa mère l’avait élevé mieux que ça. Même si parfois tout ce qu’il désirait est de frapper la brunette. Jace, se tenant près de Sir Harwin qui tenait la main de Luce, roula des yeux au commentaire de sa sœur, mais il avait toujours un petit sourire sur le visage.
« Vermax est bien plus grand que Gaura », il répliqua , une petite pointe de fierté dans la voix. « Il sera le plus grand dragon vivant quand il sera adulte. »
« C'est faux. » Shaerea lui répondit avec agacement tout en caressant la tête de son dragon légèrement plus grosse que la sienne. « Et puis est-ce que ton dragon a ça ? »
La princesse Velaryon demanda en prenant le bout de l’aile où se trouvait les griffes acérées de la bête... peintes en rose fuchsia. La créature était très docile avec sa dragonnière, acceptant facilement toutes les idées enfantines de la fillette. Mais laisser peindre ses armes de défense… c’était sûre qu’aucun autre dragon ne l’aurait accepter. Tout comme aucun Targaryen aurait même envisagé l’idée.
« Non ! Qu'est-ce que tu as fait, bon sang ? » cria Jacearys incrédule en regardant les griffes du dragon.
« Gaura a l'air ridicule. » Lucerys éclata de rire à la vue des serres de Gaura peintes en rose. C'était un spectacle horrible, c'était sûr. Il essaya de dissimuler ses gloussements en se cachant derrière Sir Harwin. L’homme souriait avec tendresse à la scène, plus qu’un simple chevalier le devrait devant des enfants qui ne sont pas sensé être les siens.
« Gaura n'est pas ridicule, elle est belle, des griffes aux crocs. Vous êtes juste jaloux parce que Vermax et Arax sont laids » Dit-elle avec agacement en caressant le cou du dragon rose.
« Ils ne sont PAS laids. » Protesta le prince héritier, un peu agacé par les paroles de sa sœur. « Vermax et Arax sont majestueux et puissants. Ce sont de vrais dragons. Gaura est... mignon. »
Le deuxième fils de Rhaenyra Targaryen laissa échapper un autre rire, « Vermax et Arax ont l'air féroces. Gaura ressemble à un gros lapin rose. »
Jacaerys rit du commentaire de son frère, bien qu'il lui lança également un regard légèrement désapprobateur. Il est peut-être d'accord avec les paroles de son frère, mais il n'était pas censé les dire à voix haute ! « Ne dis pas ça Luce. Gaura est... » Il s'arrêta en regardant à nouveau le dragon rose. « un lapin rose », acquiesça-t-il, riant encore un peu.
Les joues de la princesse sont gonflées d'indignation. Oui son dragon était petit, mais ce n'était pas un lapin difforme ! Elle se releva difficilement, sa robe étant lourde sans oublier Gaura qui était posée sur son dos, sa queux, longues remplit de petit pique à peine tranchant, était enroulé autour du bassin de la fillette de huit ans. Sir Harwin regardait la fille de la princesse Rhaenyra avec attention, prêt à agir si le poids était trop lourd sur ses épaules et qu’elle tombait. Sa bouche s’ouvrit mais avant qu’aucun son ne puisse en sortir, elle fut coupée par une voix approchante.
« Oh, qu'est-ce qu'on a là ? » demanda le prince Aegon II Targaryen avec un sourire narquois au visage, tandis que le prince Aemond Targaryen se rapetissait à côté de lui. Les deux garçons regardèrent la petite princesse et son dragon rose. Le prince Aegon, le fils aîné du roi était un adolescent de quatorze ans aux cheveux argentés ondulés, toujours négligés et peu coiffés, et aux yeux violet remplit de malice. Son petit frère, le prince Aemond de bientôt onze ans avaient les mêmes traits que son frère aîné. Ses iris violet étaient rivées sur le sol, montrant bien qu’il voulait être partout sauf ici. Le plus vieux des deux frères lança un regard moqueur au chevalier avant de ricaner, comme la simple présence de sa personne était une blague. Sir Harwin savait trop bien que rester trop longtemps avec les enfants Velaryon apporterait des ennuis à ses derniers, surtout devant les horribles enfants de la Reine Alicent. Il donna une petite tape sur l’épaule des deux princes avant de s’éclipser d’une petite révérence.
Shaerea rougit en voyant son oncle Aegon, ne remarquant même pas la disparition du chevalier Strong. Elle n'a pas prêté attention à son oncle Aemond, pourquoi faire ? Il n'avait pas de dragon et il était bizarre. Le dragonnier de Sunfire, lui, était drôle, beau et il serait sûrement son futur époux.
Plus le temps passait, plus elle entendait les nobles parler des épousailles entre elle et le premier fils du roi. C’était un stratagème politique, ou peut importe comme ils avaient appelé ça, cela renforcer la légitimité du trône de sa mère en unissant les deux familles. Beaucoup pensaient que cette possibilité était une des plus envisageable pour réduire les tensions de la maison du dragon. Cette idée n’a pas dérangé la princesse Shaerea, au contraire. Elle avait développer depuis quelques années un begin stupide et innocent envers son oncle adoré. Comme lui en vouloir ? Il était un bel adolescent, et comme toutes les petites filles de son âge, elle craquait pour lui, au plus damne de ses frères Jacaerys et Lucerys.
« Oncle Aegon ! » le salue-t-elle joyeusement en essayant de s'incliner mais avec la présence du dragon sur son dos c'était trop difficile. Gaura déploya ses grandes ailes disproportionnées alors qu'elle était encore dans le dos de la princesse, essayant de les stabiliser pour éviter qu’elles tombent à la renverse. Les membres de la créature s’étirèrent donnant l’impression que Shaerea avait des ailes de dragons, comme les fées dans les contes que les septa’s racontent au plus jeunes enfants.
Le prince adolescent le savait bien sûre. Comme tout King landing connaissait l’existence du begin enfantin de sa nièce sur lui.
Parfois les agissements maladroits de la petite fille pour attirer son attention l’agaçait. Ce n’était qu’une enfant, tout ses techniques pour montrer son affection étaient ridicule. Mais le prince Aegon aimait plus qu’il ne voudrait l’admettre l’amour erroné que la princesse Shaerea lui portait. Non que ce soit réciproque, burck. Le première fils d’Alicent avait beaucoup de vices et n’était pas parfait mais aimer un gamine ? jamais. Encore moins sa batarde de nièce.
Ce qu’appréciait le garçon de quatorze ans était les louanges maladroites et l’adoration de la Velaryon. Des qu’il faisait un accomplissait une tâche, même des plus minimes et inutiles, elle l’applaudissait et le complimentait. Son ego aimait ça plus que tout.
« Bonjour ma douce petite nièce », répondit-il avec un sourire narquois sur les lèvres regardant la petite princesse essayait de s’incliner. Ses yeux se baladèrent avec dégoût sur Gaura. Peut importe le nombre qu’il voyait l’animal, il ne pouvait s’habituer à sa présence et son apparence ridicule. « Le rose est vraiment ta couleur. »
Le prince Aemond baissa les yeux sur le sol, gêner de voir son frère aîné s’amuser de l’amour embarrassant de leur nièce, en marmonnant des mots incompréhensible. Les fils de l’héritière du trône Rhaenyra, eux aussi, ne semblaient pas apprécié le comportement de leur sœur. Dieux que Shaerea était ennuyeuse ! Pensait Jacaerys, Elle le voyait tous les jours, elle ne pouvait s'empêcher d'essayer d'être aussi courtoise avec lui ?!
« Merci mon oncle », dit-elle, ses joues dodues devenant rosées. Ce détail n’échappa au premier fils du roi. Il sourit, amusé au plus haut point par ses manières.
« De rien, ma petite princesse », répondit-il avec un clin d’œil. Le prince Jacaerys et le prince Lucerys semblaient vouloir s'enfoncer dans le sol, tout comme le prince Aemond. Ils détestaient devoir subir le béguin idiot de leur sœur pour leur oncle qu’ils trouvaient mortifiant.
Gaura, elle aussi, semblait désapprouver l’amour de sa petite maîtresse. Avec ses grandes ailes déformées, elle prit son envol. À quelques mètres du sol, abritée par le dôme de Pit Dragon, elle vola en cercle au-dessus de la princesse Velaryon, comme pour la protéger en cas de problème (si même il y en aurait un devant les gardiens des dragons). Le sourire narquois d'Aegon s'élargit, appréciant la démonstration de la créature protégeant sa petite maîtresse, même de lui. Il ne pouvait s'empêcher de trouver la vue du dragon rose volant autour de la petite princesse attachante, même si c'était idiot et ennuyeux.
La princesse Shaera rougit violemment. Elle s'approcha de ses oncles, ne regardant toujours pas Aemond, l'ignorant complètement comme s'il n’avait jamais excité ces presque onze dernière années. Ses bijoux cliquetaient au rebond de ses pas et ses boucles brunes tombèrent dans son dos alors qu’elle pencha la tête pour mieux regarder l’adolescent.
« Les gardiens de dragons ont dit qu'aujourd'hui Jace serait complètement lié avec Vermax. Quel âge tu avais quand toi et Sunfire vous avez enfin complètement partager le lien ?" demanda-t-la princesse Velaryon, tournant ses bagues entre ses petits doigts. Bien sûr qu'elle avait la réponse, elle répétait à qui voulait l'entendre que son futur mari était un jeune dragonnier accompli, mais n'importe quelle excuse était bonne pour qu'elle parle avec son oncle adoré.
Il rigola à sa question. « J'avais neuf ans quand j'ai complètement revendiqué Sunfyre », répondit-il, essayant de garder un visage impassible malgré ses éloges à son sujet. « Et ce n'est pas une mince affaire, de revendiquer complètement son dragon. » Il regarda Jace, une pointe de moquerie dans les yeux.
« Tu es tellement impressionnant, oncle Aegon », dit Shaerea avec admiration en regardant son oncle beaucoup plus grand qu’elle.
Jacaerys se tenait à côté de son petit frère, lassé du comportement de sa jumelle. C'était un jour important pour lui et pourquoi devait-elle toujours tout ramener à Aegon ? Il roula des yeux devant l'adoration continue de sa sœur pour son oncle. C'était si évident, si embarrassant. Il partagea un regard agacé avec Lucerys, tous deux lassés des tentatives constantes de leur sœur pour impressionner leur oncle. Le prince adolescent rigola à la remarque flatteuse, le sourire narquois sur ses lèvres s'élargissant. Il avait toujours aimé être le centre d'attention, mais voir sa nièce le flatter lui procurait une certaine satisfaction.
« Peut-être que lorsque tu seras assez grande, tu pourras complètement contrôler ta petit Gaura », taquina Aegon en regardant le dragon rose qui volait toujours autour de sa maîtresse.
« Oh Oui ! Oui ! Oui ! Et nous pouvons voler ensemble avec Sunfire et Gaura, comme tu me l'as promis ! » dit-elle joyeusement avec une voix aigus. Ses deux frères ne purent s'empêcher de rire à la remarque de leur oncle. C'était un peu méchant, mais honnêtement, l'idée que la bête ailée de leur sœur soit complètement apprivoisée de si tôt était absurde. Le dragon était petit et avait été décrit comme "un mignon petit lapin".
« C'est vrai, ma douce nièce », répondit Aegon. « Nous volerons ensemble un jour. Comme je l'ai promis."
Les princes Velaryon roulèrent à nouveau des yeux, incapables de croire à quel point leur sœur se laissait facilement tromper par les paroles mielleuses de leur oncle. Même si, un sourire amusé restait sur leurs visages. « Bien que », continua-t-il, une lueur malicieuse dans les yeux, « j'espère que ta petite Gaura sera capable de suivre Sunfire. C'est un dragon assez rapide, et elle n'est qu'un petit lapin, n'est-ce pas ? » Il sourit, observant sa réaction, sachant qu'il remuait le couteau dans la plaie avec ses plaisanteries.
Elle lui lança un regard légèrement agacé, croisant les bras sur sa poitrine, faisant la moue. « Un jour, Gaura sera l'un des dragons les plus majestueux, tu verras. Avec ses ailes gigantesques, elle sera surnommée la Reine Ailée »
Le prince Aegon haussa un sourcil, son sourire s'élargissant encore. C’était une idée ridicule, montrant bien l’imagination de la fillette de huit ans, « La Reine Ailée, tu dis ? » Il gloussa, amusé par sa confiance en son petit dragon. « Es-tu sûr qu'elle ne se perdra pas dans le ciel avec ses ailes « gigantesques » ? » Jacaerys et Lucerys Velaryon ont ricaner, essayant de dissimuler leur amusement avec des toussotements et leur mains.
La princesse Shaerea n’aimait pas qu’on ce moque d’elle. C’était une princesse ! Le plus beau bijoux de la couronne ! Personne ne pouvait se permettre de lui manquer de respect. Elle serra ses petits poings en se tournant vers son petit frère et son jumeau. « Taisez vous deux ou je le dirai à mère et père ! » Elle cria d’une voix aigus de fillette de huit ans. La Velaryon se retrouva vers son oncle. « Je te le dis, oncle Aegon, Gaura sera surnommée la Reine des Ailes comme Sunfire sera surnommée le Roi Soleil par nos descendants et leur royaume »
Trop petite, trop mignonne, trop fille, tout comme avec son dragon, les garçons ne la prirent pas au sérieux. Même le prince Aemond, silencieux et observateur comme à son habitude avait un petit sourire sur le coin de ses lèvres. Le frère aîné du sans dragon rigola à l’expression de colère de sa petite nièce et de sa tentative de menace de dénoncer ses frères.
Il leva les mains en signe de reddition, toujours avec un sourire narquois. "D'accord, d'accord, je te crois." Jace et Luce ricanèrent devant la défense féroce de Gaura, le petit dragon rose de leur sœur. Elles ne pouvaient toujours pas prendre tout cela au sérieux, mais c'était hilarant. Aegon essaya de réprimer son amusement. "La Reine Ailée et le Roi Soleil, hein ? Tu as beaucoup d'imagination, ma douce nièce."
Leur conversation s’arrêta là, les gardiens des dragons commencent leur enseignement. Les cinq enfants royaux se tenaient debout en ligne alors que le dragon du prince Jacaerys fut emmener pour finaliser le lien avec son dragonnier et que Gaura fut ramener dans la fausse. La langue de l’hériter du trône claqua contre son palais, prononçant l’ordre "dracarys", condamnant une chèvre au feu de Vermax. Les flemmes ont jaillis de la gueule de l’animal et Shaerea but l’opportunité de prendre serrer de son oncle, jouant la demoiselle en détresse. Dans les comptes n’est ce pas ce que les chevaliers et les princes aiment ? Mais l’adolescent souffla d’agacement en repoussant la main de sa nièce. Il aimait ses compliments pas lui donner de l’affection en retour.
Le cœur de la princesse Velaryon se resserra et ses yeux sont devenues humides. Elle renfila essayant de cacher sa tristesse et sa honte au reste des garçons de sa famille. Mais le prince Aemond remarqua la peine de sa petite nièce. Il ce sentait mal pour elle. Elle était jeune et son frère était un idiot avec les filles, peut importe leur âge. Il voulait aller la réconforter, même si ce n’était qu’une batarde. Que penserait sa tante de lui si elle savait qu’il agissait comme cela ?
Or, il fut tirer par son frère aîné et son neveu Lucerys vers la fosse. Jacaerys prit la main de sa jumelle, lui caressant ses cheveux pour la réconforter. Née le même jour ou pas, c’était son grand frère, même si c’était une vrai gamine gâté et insupportable, il devait prendre soin d’elle. La fille de Rhaenyra lui a sourit, oubliant rapidement sa peine (du moins elle avait choisit de l’ignorer) et a suivit le groupe.
« Aemond, on a une surprise pour toi » La plus âgée du groupe à commencé son discours, poussent son frère et le plus jeune a courut dans l’entre de la fausse.
« Quelque chose de vraiment spéciale » a ajouté Lucerys Velaryon, avec un sourire moqueur sur ses lèvres. Quand il y avait son oncle Aegon, et que l’attention de ce dernier n’était pas monopoliser par Shaerea, l’enfant de six ans prenait confiance en lui et ce permettait de tourmenter son oncle Aemond. Après tout il le méritait non ? Il n’avait même pas de dragon.
« Tu es le seul d’entre nous à ne pas avoir de dragon, même Shaerea en a un » continua Aegon en poussant un soupire moqueur envers sa nièce. La petite princesse baissa la tête. Il était comme ça, quand il se lassait de ses compliments, le prince Aegon Targaryen, deuxième de son nom était cruelle envers celle qui l’admirait le plus.
« C’est vrai » le prince Aemond a dit d’avec agacement et froideur. Il avait un mauvais pressentiment.
« Et on ce sentait mal pour toi » Les deux jumeaux hochèrent la tête au mot de leur oncle le plus âgé. Peut être que si elle était de son côté, le premier fils de la reine redonnera de l’attention à la petite princesse ? « Alors on en a trouvé un pour toi »
Aemond roula des yeux, ne croyant pas les mots de son frère aîné une seule seconde. Ça, ce serait si les dragons était facile à trouver. Même si leur cousine, la princesse Melegdie Targaryen a réussit à clamer l’effroyable FrostBite il y a sept ans, un dragon anciennement sauvage qui était jusqu’à la inconnue de la maison Targaryen. D’après les meastres et les gardiens des dragons qui se sont intéressés sur le sujet, la créature au couleur du froid vivait autrefois sur le continent d’Essos proche de l’ancienne Valeria. Ils ignorent son âge exacte mais l’estime âgé de plus de quatre-vingt ans. Ce qu’ils sont sûre et que la fille de Deamon Targaryen a réussit à se lié avec le troisième plus gros dragons connue, après Vermithor et Vaghar. Le petit prince espérait secrètement que la même histoire lui arrive à lui aussi. « Un dragon ? » il a demandé suspicieux. « Comment ? »
« Les dieux bénissent » a répondu son frère aîné.
Au loin, mené par Lucerys Velaryon, un porc rose déguisée avec des ailes faites de vieilles plumes trouver dans les cuisines du châteaux arriva, s’approchant des enfants royaux. Son groin reniflait le sol et il mastiquait du foin en couinant.
Le visage du prince Aemond Targaryen c’est durci les empêchant de voir sa détresse et sa peine.
Les rires, bruyant et moqueurs résonnèrent dans ses oreilles en même temps que l’unissions des voix enfantines crier "le Terreur Rose". Il n’entendait plus les rires et les mots cruelle de son frère, tout était rassemblé dans une cacophonie de gloussements. Il fixait le cochon, la honte, l’humiliation, la tristesse le renversant sans aucune pitié.
A mesures que les bruits de pas bruyants des garçons s’éloigner du petit prince Targaryen, des bruits de tintements se rapprochèrent de lui. La princesse Shaerea Velaryon sembla enfin le remarquer, depuis tout le temps qu’il était la. Elle avait un sourire méchant sur son petit visage. Elle prit entre ses doigts bagués le haut vert de son oncle et se mit sur la pointe des pieds pour atteindre son oreille.
« Peut être que mon dragon est nul, mais au moins j’en monte un et pas un cochon. » elle a ricaner à son oreille. La fillette de huit ans s’avéraient être méchante, vilaine malgré son âge et son visage d’ange. Elle observe et apprend de ses modèles et le prince Aegon n’est pas une bonne influence. Ses boucles brunes ont chatouillé le cou de son oncle et la princesse Velaryon déposa un baiser baveux sur sa joue. Un geste sensé être remplit d’affection, était tourné par la douloureuse blague de la terreur rose en acte moqueur. « Profite bien de ta monture oncle Aemond ! »
Shaerea Velaryon, première de son nom n’était pas une combattante comme Melegdie Targaryen ou une femme habile de la politique comme la Reine Alicent. Non et au fond d’elle, malgré son jeune âge elle en avait conscience.
La princesse était comme un jolie rubis : beau, lumineux, scintillant mais quand on le prend entre nos doigts, il est tranchant, coupant tout ce qui le touche.
La princesse Shaerea Velaryon était assise sur les tapis des appartements de sa mère la princesse Rhaenyra Targaryen. La Velaryon lisait un conte d’amour entre un chevalier et une princesse à voix haute alors que les princes Jacaerys et Lucerys jouaient à ses côtés avec des petites figurines en bois. Elle et ses frères avaient été rassemblés par Sir Harwin à l’annonce de la naissance de leur nouveau frère. La petite princesse était excité de pouvoir enfin le rencontrer. Un autre petit frère qu’elle pourrait habiller de ses robes somptueuses et jouer au thé avec, maintenant que Lucerys préférait s’entraîner avec Jace, plutôt qu’à ses jeux de "filles".
La fillette battaient ses petits pieds avec excitement et anticipation en essayant de se concentrer sur la lecture qu’elle faisait au chevalier à la cape jaune. Le fils de Lyonel Strong semblait toujours à la disposition de la princesse, que se soit pour l’écouter ou pour céder à ses caprices. Elle butait sur certain mot pendant sa lecture, ses yeux bruns se plissant pour lire le texte parfois dure à déchiffrer. Elle poussa un gémissement de frustration à son incapacité de prononcé une phrase. Shaerea a croisé ses bras contre sa torse en repoussant le livre sur ses genoux, boudant.
Le chevalier lui a sourit et a doucement ébouriffé les cheveux bruns de la princesse royale attachés dans un chignon de fines tresses au dessus de sa tête, la partie inférieur de sa chevelure bouclée étant laissée détacher dans son dos. « Tout vas bien vous vous débrouillez très bien » Il l’a rassuré avec une voix plus douce que le fils d’un Lord devrait avoir pour un enfant qui n’est pas le sien.
Elle l’a regardé en fronçant les sourcils, un sourire rassuré apparaissant sur son visage. Elle se débrouillait bien ? Elle n’était pas un cancre comme les septa’s lui répétaient quand elle avait du mal à lire ou écrire ? « Merci Sir Harwin » dit la petite Velaryon en enroulant ses petits bras autour des jambes du chevalier.
C’était indécent de faire un câlin à des hommes qui ne sont pas de sa famille. Mais pour la fillette, Sir Harwin Strong faisait partie de son sang.
Le cœur du chevalier fondit à l’embrasse de Shaerea Targaryen. Il connaissait la petite princesse depuis qu'elle était bébé et il l'avait vue grandir jusqu'à devenir une petite fille de huit ans. Il avait toujours été attendri par sa nature joyeuse et bruyante, comme un père le ferait avec sa fille unique.
Alors qu'elle enroulait ses petits bras autour de ses jambes, Harwin ne put s'empêcher de sourire doucement. Il était devenu une figure de confiance et de réconfort, un père de substitution pour les jeunes princes et la princesse. "De rien, petite princesse", répondit-il en lui rendant son étreinte avec un contact chaleureux et rassurant. Il était pleinement conscient de l'inconvenance du geste, mais il ne pouvait se résoudre à la repousser. Pas quand elle avait l'air si petite et vulnérable, si avide d'affection et d'approbation.
Soudain, la porte c’est ouverte sur la princesse héritière Rhaenyra Targaryen est rentrée dans la pièce. Elle se déplaçait avec difficulté, sa peau était encore luisante de sueur et ses cheveux étaient détachés. Sa robe d’un bleu gris avait été enfilée rapidement et les servantes n’avaient pas eut le temps de la lacer correctement. Derrière elle, Sir Leanor Velaryon tenait leur bébé enroulé dans une couverture, dans ses bras musclés.
Les deux princes abandonnèrent leur jouets rapidement pour rejoindre leur parents. « Mère ! » a dit joyeusement le prince Jacaerys, leur premier fils.
La princesse eut plus de difficulté de se relever a causse de sa robe aux épaisses étoffes bleu Velaryon et aux dessins de coquillages brodés au fils argentés. C’était rare qu’elle porte les couleurs de la maison de son père, préférant le rouge et le noir des Targaryens. Sir Harwin l’aida à se relever avec ses grands bras fort. Les nombreux bijoux d’argent incrustés de turquoises et saphirs s’entrechoquèrent entre eux dans une douce mélodie. Son jumeau, Jace, la tira par les poignets et Luce se fit un chemin entre ses deux aînés. « Regarde ! » continua le prince hériter en soulevant le couvercle de la boite de protection.
Un œuf de dragon y était posé à l’intérieur, réchauffé par les flammes crépitantes. « On a choisit un œuf pour le bébé » A expliqué fièrement le prince Lucerys en regardant sa mère.
Shaerea était collée à son jumeau, manquant de le pousser pour observer par dessus son épaule l’œuf d’un rouge foncé, presque noir. La princesse Rhaenyra a sourit, attendrit par ses trois premiers enfants. Elle essaya de s’assoir, essayant d’ignorer la douleur encore présente de l’accouchement. Sir Harwin est rapidement venu l’aider. « Il semble être parfait. » Elle a félicité ses fils et sa fille.
« Jace a refusé que je choisisse, il a préféré que ce soit Luce. » La petite princesse c’est plain de son jumeau.
Jacaerys tira la langue à sa sœur en réponse. Il était l'aîné et il pensait qu'il était normal qu'il décide qui choisirait l'œuf pour son nouveau frère. "De toute façon, tu n'aurais pas choisi un bon", rétorqua-t-il.
Le prince Lucerys, un air de fierté et de suffisance sur le visage, hocha la tête en signe d'accord. Il était heureux que son frère aîné l’ai laissé faire le choix à la place de leur sœur. "Et j'ai choisi le meilleur", dit-il avec un sourire.
La princesse serra ses petits poings en s’éloignant de ses frères. "Père ! Tu as vue à quel point ils sont méchants avec moi ?" dit-elle d'une voix aiguë. Ses yeux se tournèrent vers son nouveau frère endormi dans les bras de leur père Sir Leanor. "J'espère que le bébé sera plus gentil que vous deux", dit-elle en faisant face de nouveau aux petits prince, leur tirant la langue.
L’aîné des trois roula des yeux et fit la moue. "Tu te plains toujours", grommela-t-il.
Le troisième, de son côté, tira la langue en réponse à sa sœur. « Le bébé va nous aimer », a-t-il dit avec assurance. « Tout le monde nous aime. »
La cadette a rit, moqueuse. « JE suis la plus mignonne, le bébé m’aimerait MOI le plus. »
Avant que les trois enfants royales se mettent à ce chamailler une nouvelle fois, leur père, le fils de Corlys Velaryon les arrêta. Il déposa une main ferme sur l’épaule de sa seule fille en les regardant tous. « Les enfants s’il vous plais… » Il les réprimanda gentiment. Les trois Velaryon baissèrent la tête, coupable, même si la princesse mima un "c’est de ta faute" discrètement et silencieusement à son jumeau.
Sir Harwin se déplaça vers Leanor Velaryon, sa cape jaune se soulevant à chacun de ses mouvements. Ses yeux bleu se sont posés sur le petit bébé. « Ce n’est pas tout les jours qu’un œuf sort de Pit Dragon princesse, j’ai supposé que c’était le mieux si j’escortais les princes et la princesse. » Les trois adultes présent dans la pièce savaient que c’était qu’une excuse. La princesse Rhaenyra le remercia en souriant doucement.
C’était une scène presque familiale entre le chevalier et la futur reine des septs couronnes. Cela arrivait souvent devant les yeux de la princesse Shaerea qu’elle pensait, tout comme son jumeau et son petit frère, que leur proximité était normal. Ce n’était que des enfants, ils ne pouvaient pas voir ce que l’entièreté de la court voyait.
« Puis-je ? » Le chevalier a demandé en regardant le petit bébé dans les bras de son père.
Rhaenyra hocha la tête. « Sir Harwin souhaite être présenté à Joffrey » Elle a annoncé à son époux et cousin éloigné.
Shaerea a regardé son père remettre son nouveau frère au chevalier.
Ses petits sourcils se froncèrent en voyant l’expression aimante du Lord Commandant du Guet de KingsLanding. Il semblait aimé son petit frère de la même manière que Sir Leanor. Son cerveau jeune essayait de comprendre ce qu’il ce passait. Mais c’était terriblement lents, le temps semblait s’allonger sous ses iris enfantine, Pour la première fois de son existence, la princesse Velaryon remarqua la ressemblance entre elle, ses frères et Sir Harwin Strong.
Ça lui revenait maintenant, les discutions des servantes et des dames sur ses cheveux, certains chevaliers qui la félicitait sur à quelle point elle était "forte", les moqueries de ses oncles…
Ses yeux bruns ont observés les actions des trois adultes comme si elle regardait une tapisserie. Ça ne semblait pas réel, ce n’était pas possible.
Pourtant quand elle voyait le bébé Joffrey, son petit frère Lucerys, son jumeau Jacaerys et elle même, la princesse Shaerea Velaryon ne trouvait aucune traits semblable à ceux de son père Sir Leanor Velaryon.
Sa main a immédiatement prit celle du prince Jacaerys, cherchant du confort. Elle était la, observatrice, figée dans son propre corps. Tout semblait faux, irréel. Les septa’s lui ont toujours dit qu’elle avait une imagination débordante. C’était juste son esprit qui créait une fantaisie de toute pièce…
N’est ce pas ?…
La voix du prince Lucerys lui semblait lointaine quand il supplia Leanor de porter Joffrey. Tout paraissait au ralentis. Le Velaryon l’a poussé elle et ses frères dehors alors qu’elle tenait toujours la main de son jumeau.
Du point de vue de la princesse Shaerea Velaryon, le monde est devenu aussi réel qu’une broderie à cette exacte moment. Chaque mouvement qu’elle faisait lui donnait l’impression qu’elle ne les commandait pas de son plein grès, comme si quelqu’un cousait la tapisserie et qu’elle était piégée dedans.
Son petit cœur battait dans ses tempes, assourdissant le reste des sons du château. Sa gorge était sèche et ses mains moites.
La princesse abandonna le confort de son jumeau, voyageant à l’aveuglette dans un univers qu’elle semblait, à cette instant, ne plus reconnaître. Elle c’est pratiquement jetée contre Sir Leanor, enfonçant sa tête contre le torse de l’homme. Ses doigts se serraient autour des tissues bleus.
Sir Leanor Velaryon fut surpris par l'étreinte soudaine de la princesse Shaerea. Il pouvait sentir la tension dans sa petite silhouette et la façon dont son corps tremblait légèrement. Il passa rapidement un bras autour d'elle, la serrant contre lui et frottant des cercles apaisants dans son dos. « Doucement, ma fille », dit-il avec douce.
Des larmes coulaient des yeux de la petite princesse Velaryon et sa gorge lui piquait. Les mots du lord chevalier lui fit serrer son cœur d’enfant douloureusement. Elle ferma les yeux aussi fort qu'elle le pouvait, essayant de rester aussi près que possible de l'homme qui l'avait élevé. Elle n’était qu’une petite fille de huit ans après tout, elle n’était pas prête d’apprendre la vérité. Ses lèvres tremblaient et ses larmes de pure chagrin et détresse mouillaient le haut du fils de Driftmark.
Sir Leanor continua à serrer Shaerea fort, son cœur se brisant à la vue d'elle aussi déchirée par la tristesse. Il était habitué à ses caprices enfantins, à ses regards boudeurs et à sa colère enfantine, mais il ne l'avait jamais vue aussi terrifiée et triste. « Tout va bien, ma fille », murmura-t-il en caressant ses cheveux bruns. « Tu es en sécurité ici avec moi. »
Elle sanglotait contre la poitrine de son père, de grosses larmes de chagrin firent trembler son petit corps. Le mot était clair, gravé dans son esprit. Le même mot interdit par son grand père le roi Viserys.
« Papa, suis-je une bâtarde ? »
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#house of the dragon#jacaerys velaryon#lucerys velaryon#rhaenyra targeryan#leanor velaryon#harwin strong#aegon ii targaryen#aemond targaryen#joffrey velaryon#viserys targaryen#oc Velaryon#oc#ocs#dragon#pink dragon
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L'aquarium
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 3 août
Thème : Bleu lagon/le cheval doré
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Les humains s’agglutinent de l’autre coté de la vitre. Les reflets bleus de la lumière traversant l’eau dansent sur leurs visages. Ils sont presque tous silencieux, ou discrets – les voix se réverbèrent dans cette grande salle comme dans une cathédrale, et ceux qui parlent chuchotent, pour ne pas briser la magie du moment. Ils sont là pour voir, et ils n’en perdent pas une miette.
Il faut dire que le spectacle est à la hauteur.
La vie sous-marine d’un récif de corail se déroule sous leurs yeux émerveillés, dans un lent et superbe ballet mille fois rejoué. Devant un mur bleu lagon qui apporte ses teintes à toute la pièce, toutes les créatures se mettent en scène avec une gracieuse indifférence envers leurs admirateurs, occupés à fouiller, nager, explorer les coins et les recoins de ce minuscule bout de mer qui est devenu leur maison. Beaucoup n’en ont jamais connu d’autre. Ils ignorent ce qui se passe de l’autre coté de la paroi de verre, chez ces créatures qu’ils peuvent encercler, mais jamais toucher. Ça ne les concerne pas vraiment.
Sauf un petit hippocampe jaune, qui vient de tomber nez à nez avec un petit cheval doré. Jamais, de mémoire d’hippocampe, il n’avait vu de congénère aussi intriguant, aussi attirant. Il se colle contre la vitre. Pour la première fois de sa courte vie, il voudrait tellement passer de l’autre coté…
Le cheval est dans la main d’un enfant qui regarde, émerveillé, l’hippocampe suivre le moindre de ses gestes. Et la petite tête dorée semble réagir à la cour effrénée que lui fait l’hippocampe, bougeant d’avant en arrière, en haut et en bas… Le cheval des mers redouble d’efforts, ses congénères remarquent le manège et se mêlent à la danse, et pendant quelques instants hors du temps, un petit humain mène de la main le ballet sous-marin.
Les adultes remarquent. Des vidéos sont filmées. Des flash crépitent. Les hippocampes renoncent. Le moment est passé.
N’en reste plus qu’un jouet, dans la main d’un enfant qu’on emmène dans la salle suivante, un petit cheval doré et ses incroyables pouvoirs.
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#30jourspourécrire#30 jours pour écrire#3 août#bleu lagon#le cheval doré#toujours dur de trouver une chute#je voulais juste un peu de magie dans ce monde trop réel#il faudrait sans doute que je sois plus subtile dans les descriptions#c’est très sensoriel comme texte#et ce n’est pas mon point fort#à corriger quand je serai moins fatiguée#french#french writer#écriture
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Simon ARBELLOT "Les hallucinés des Gobelins" Le Masque 554, LCE 1956
》》(….)Allons, allons, il n'était tout de même plus un enfant et une ou deux lampes allumées ne signifiaient pas la fin du monde. Et en mettant les choses au pire, le cambrioleur était sûrement parti. Y avait-il même un cambrioleur ? Il allait en avoir le cœur net, que diable! Et bravement, la canne à la main, il traversa le vestibule, arriva au salon et, d'un geste décidé, ouvrit la porte vitrée. Il recula, effrayé : là, au milieu de la pièce, un homme immobile était assis dans un fauteuil, le regard dur fixé sur lui. C'était un être sinistre: vêtu, coiffé, ganté de noir, le visage glabre et maigre avec deux yeux brillants de fièvre et qui s'était levé d'un bond au moment où la porte s'ouvrait, sa haute silhouette sembla vaciller et, tout d'une pièce, le corps raidi,la face en avant, sans proférer le moindre son , il tomba sur le tapis. Tout ceci se passa en moins d'une seconde, avant même que M.Barfleur ait pu ouvrir la bouche pour lui crier: "Qui êtes-vous ? Que faites-vous chez moi?" Les mots s'étaient arrêtés dans sa gorge. Il se tenait là maintenant, stupide et sans voix, devant ce long corps noir étendu sur le tapis d'Aubusson. En rentrant, au matin, dans l'appartement, les domestiques trouvèrent leur maître prostré et hagard dans un coin du salon, les yeux fixés sur le visiteur nocturne. L'émotion avait été trop forte. Deux jours après, M.Barfleur mourait de trouble nerveux, à la maison de Santé où il avait été transporté d'urgence, sans avoir pu expliquer aux enquêteurs la présence chez lui, en cette nuit de janvier, de l'Homme en Noir.》》
Brrrr. Quelle frousse dès le début….😱 Une enquête où nous retrouvons Picot, passé commissaire, et Jacques Boivin, son ami des Beaux-Arts; les enquêteurs du "Mystère du Dragon d'Or" sont à nouveau à pied d'oeuvre.
Une bien étrange affaire, en vérité, où plusieurs victimes de chantage ou d'extorsion finissent par se suicider ou décéder de curieuse façon. Toujours, un personnage différent, insaisissable, inconnu de la Justice, semble avoir été mêlé aux événements, peut-être guidé par une main invisible, hypnotisé ? Mesmerisé?😬 Les victimes, quant à elles, semblent avoir un passé qui n'a pas toujours été exempt de tous reproches. Seraient-elles les cibles d'une vengeance? Picot et Boivin prennent la piste d'une oeuvre de Charité et de Bienfaisance - "Les Amis de la Vérité " - installée aux Gobelins. Que se passe-t-il derrière la façade de cette organisation marrainée par la richissime et alcoolique Lady Graham? Etc…
Comme dans "Le Mystère du Dragon d'Or", l'action est censée se passer en 1950, mais tout fleure bon les années 1920/30 - les conceptions, les protagonistes, les descriptions… En ce qui me concerne, cela redouble plutôt l'intérêt du roman.
Art: La façade occidentale des Gobelins Aquarelle anonyme, 1823
#Simon Arbellot #Le Masque #Mystery
#romans policiers
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Aujourd'hui, samedi 16 mars 2024, 1h55.
Je comprends dans ma chair la critique de l'école. L'école du capital. Celle qui forge les travailleurs dompté de demain.
Nous sommes biberonné dès 3 ans à obéir à l'adulte, à la hiérarchie, à la personne qui a le pouvoir dans la pièce. Par la violence ou non. Par la pression du groupe, par l'humiliation verbale mais aussi symbolique de la note ou par la récompense positive, les gommettes, les compliments, la reconnaissance d'un statut.
J'ai toujours compris théoriquement cette critique de notre domptage par l'école mais je la contrebalançais par "quand même c'est le système le moins pire pour apprendre au plus grand nombre à lire et écrire". Évidemment, l'école n'a pas était un fardeau pour moi. Je ne trouvais pas ça cool mais pas horrible non plus. Je remercie mes facilités pour avoir franchement pas branlé grand chose sans redoubler. Je n'étais pas là plus grande flèche de la famille, mais bon tranquille ça passe.
Cependant on ne sort pas indemne psychologiquement de 15 ans d'école nationale. On a appris à fermer sa gueule et à s'assoir pendant des heures durant.
Je pense que l'expérience est différente pour les etiquettés "bons élèves" et les "mauvais élèves". En tant que "bon élève" on a l'habitude de la récompense, de se sentir récompenser de façon régulière. Les "mauvais élèves" apprennent l'humiliation et les violences d'un milieu qui ne veut pas les voir exister pourtant ils y resteront pendant des années. Des années qui ont voulu les écraser jour après jours. Soit tu t'ecrase et tu apprends très jeune que tu ne vaux rien, soit tu rejettes la hiérarchie et tu slalomes entre les danger pour que ton corps et ton esprit survive. Tu apprends à te battre contre la hiérarchie qui te méprise et reconnaître ta valeur par toi même et non à travers les autres (évidemment le trauma n'est pas loin).
J'en viens au fait que le "mauvais éleve" a déjà appris a survivre dans un milieu hostile et à dire aux gens d'aller se faire foutre et ça va lui être très utile pour la suite de la vie. Alors que le "bon élève" a été biberonné a recevoir sa récompense de la hiérarchie. Il l'a veut de ton son être.
Puis le "bon élève" fini ses études et trouve un travail, sauf qu'il est toujours matrixé par sa récompense sociétale de sa place de bon élève. Malheureusement pour le "bon élève", l'école était un lieu qui se pense à minima en ayant un but louable d'éducation ce qui n'est pas le cas de l'entreprise. L'entreprise, elle, est très clair sur son but "on est là pour faire de la thune" et je souhaiterai ajouter à ce slogan "même si on doit en écraser sur le chemin". Le "bon élève"" se retrouve alors à se faire rouler dessus par les entreprises, car c'est ce qu'on lui a appris toute sa vie donc il l'applique. Il l'applique, et l'entreprise l'en remercie et utilise cette faiblesse, que dis-je cette apprentissage de la soumission encore et encore (jusqu'à atteindre 44% de stress psychologique au travail).
Tout ça pour dire que l'école nous dompte poir que l'on se fasse plus facilement écraser par les entreprises. On nous a appris à fermé sa gueule et à dire oui. Et quand on t'a appris toute ta vie à faire ça et que jusqu'à présent ce système ta toujours à peu près convenu la réalité de l'entreprise est violente.
Je rappelle un burn out au bout d'un 1 an mais ma manger est "ravie de mon travail". Je crois j'ai compris.
Surtout ne vous demandez pas pourquoi les conventions collectives des secteurs où il n'y a que des cadres sont éclatés.
Et pour côtoyer des vieux cadres ils sont complètement matrixés par leur travail c'est une dinguerie.
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Drayton est paresseux c'est vrai mais je pense pas que cette paresse ne vient pas du fait qu'il est fainéant dans le sens "Je veux rien faire". Dans les dialogues du club, on apprend que certes il déléguait mais il faisait quand même son rôle de maître malgré tout. Donc oui même si il est paresseux, on peut compter sur lui. De plus on apprend aussi qu'il a redouble deux ou trois fois car les cours c'est pas son truc. Et qu'il préfère faire les choses à son rythme ! Bien qu'il est fort en combat pokémon, on peut voir que c'est un ado en difficulté qui semble avoir du mal à progresser dans ses études. Après quand il a parlé à Hassa, son grand père semblait avoir parlé de lui à Hassa. Alors je sais pas encore quel genre de relation il a avec son grand père mais j'avoue que je suis curieuse.
Drayton is lazy, it's true, but I don't think he's lazy in the "I don't want to do anything" sense. In the club's dialogues, we learn that although he delegated, he still carried out his role as champion. So yes, even if he's lazy, he's dependable. What's more, we also learn that he's repeated a year or three because classes aren't his thing. And that he prefers to do things at his own pace! Although he's good at pokemon fighting, we can see that he's a struggling teenager who seems to have trouble making progress in his studies. Afterwards, when he spoke to Hassel, his grandfather seemed to have told Hassel about him. So I don't know yet what kind of relationship he has with his grandfather, but I must admit I'm curious.
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Bon. Faut faire un point là. Hier soir je sors de 10h de BU avec ma famille nombreuse (groupe de projet). J'ai eu l'impression d'être super nany trop grave, jme suis pris la tête avec une d'elles aussi. En même temps c'est possible d'être aussi conne ? C'est bien la seule à s'étonner d'avoir redoubler 2 fois. Fr en 4 ans t'es allé jusqu'en L2, moi en 4 ans, jsuis allée en L2 d'une autre filière après avoir eu une licence. Dsl je rage mais elle rend fou a pas réfléchir, à croire que c'est payant. Je sors à 19h et là je capte que j'ai 2500 trucs à faire avant demain. Car demain, donc aujourd'hui, je rentre chez mes darons pour les vacances de Noël (j'ai trop hâte de voir ma tante alcoolique pour le 24 et 25, son taux d'alcoolémie me manque trop -non-). Évidemment étant adulte maintenant et loin, faut tout ranger, laver, préparer la valise, tout débrancher, couper l'eau, jeter les poubelles ect. + J'avais d'autres trucs à faire et à penser à surtout pas oublier. Donc jdors pas, jme prends un coup de speed monumental et jcommence à penser a plein de trucs: jpensais à prendre le train plus tôt pour faire une suprise à mon mec et arriver en avance chez lui sans le prévenir après jme suis demandée s'il méritait vraiment que jme casse le fion à ce point, jsuis arrivée à la conclusion que non. Ensuite, jme suis demandée pourquoi moi je le trompais pas, est ce que c'était par conviction et respect ou est-ce que j'avais juste pas eu d'occasion. Je tairai cette conclusion. Après jme suis demandée si ma mère m'aimait puisque les remboursements de ma mutuelle arrivent sur son compte et qu'elle veut pas me passer mes 150€ investis en échographies, et examens. Pk elle me laisse dans la merde ? Après jme suis rassurée sur les cadeaux que j'allais pas offrir ou ceux qui seraient nazes car mon mec m'offre le mien aujourd'hui, selon le niveau je pourrai aviser, ça m'a soulagée, j'espère il m'a rien offert de fou. Après j'ai pensé au fait que les partiels c'est bientôt et que la seule chose que j'ai fait à peu près bien c'était m'assoir en amphi mais rien d'autres. Bref ça m'a pris du temps de penser à ça. Donc j'ai pas dormi en fait. Là je commence à tout ranger et tout faire niquel. Comme j'suis folle, je prends tout en photo: la porte fenêtre fermée, les multi prise bien éteintes, l'eau coupée, la porte fermée (ça me permet de pas angoisser pour rien). J'arrive à partir pour le train en avance j'suis contente, puis, sur le chemin, le premier tiers je pense, j'ai une pensée intrusive : "dis meuf tes sûre de pas avoir laissé le gaz allumé par hasard ? T'sais que tout pourrait exploser et t'aurais aucune assurance parce que ce serait juste de ta faute grosse merde, va voir". Après réflexion je cède. Je cours à mon appart. Et ce n'est que dans l'ascenseur que j'ai réalisé 2 choses:
j'ai des plaques à induction
jvais rater mon train
Voilà. Jen peux plus.
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Shuu Sakamaki
Nom: Sakamaki.
Prénom: Shuu.
Parents: Karlheinz et Beatrix.
Âge: 19 ans (physiquement)
Race: Vampire.
Taille: 1m80
Date de naissance: 18 octobre.
Signe astrologique: Balance.
Nourriture favorite: Steak saignant.
Hobbies(s): Écouter de la musique et jouer du violon.
Physique: Shuu est un jeune homme aux cheveux blonds légèrement bouclés, et aux yeux bleu océan dont il a hérité de sa mère. Il a des clous noirs aux deux oreilles. Shuu est toujours vu avec son mp3 attaché à un fil qui est enroulé autour de son cou et avec les écouteurs toujours aux oreilles.
Caractère: Shuu est un vrai dormeur et est vu en général en train de dormir dans le salon ou dans la salle de musique de l'école. Il sèche souvent les cours et a été retenu une fois en tant que senior du lycée. Selon d'autres étudiants, il est le propriétaire de la salle de musique. Apathique et paresseux, Shuu n'aime rien d'autre que la musique. Il écoute toujours de la musique, même dans son bain, aimant la musique classique allant du violon au piano. Il manque de motivation et est assez paresseux pour ne presque rien faire, s'ennuyant de la vie à cause de tous les événements de son enfance traumatisante. Bien que Shuu soit le fils aîné, il ne prend pas la responsabilité de s'occuper de ses cinq frères ou de la maison, poussant principalement le travail à Reiji. Shuu est également un peu pervers. En raison de son passé avec Edgar, il est pyrophobe.
Histoire: Shuu se sent étouffé par l'attention, les restrictions et les responsabilités qui lui ont été imposées, le conduisant à fuir sa maison. Il a ensuite rencontré Edgar, un garçon humain d'un village éloigné dans le monde des humains. Shuu l'atteignit à travers les passages souterrains qui reliaient les mondes démon et humain. Ils sont vite devenus les meilleurs amis. Parce que Shuu a pris l'habitude de s'enfuir pour jouer avec Edgar, Reiji a détruit le village dans un incendie dans une tentative malavisée d'impressionner et d'aider sa mère qui souffrait à chaque fugue de la part de son fils, et d'enlever le bonheur de Shuu par jalousie. Voulant sauver ses parents malgré les protestations de Shuu, Edgar alla dans le feu et "mourut". En raison de la "mort" d'Edgar, Shuu s'est blâmé et a développé un traumatisme grave de l'incident. Avec les propres caprices de Reiji que Shuu était inutile et ne pouvait rien faire de lui-même, mais surtout à cause de la pression de Beatrix, Shuu se retira et perdit tout intérêt à faire quoi que ce soit, sauf si Reiji le provoquait. Comme punition d'avoir échoué à son examen et devoir répéter une année scolaire, Karlheinz l'a envoyé en exil dans le pôle Nord. Il devait faire attention à ne pas tomber dans l'océan et devait combattre les ours polaires. Il a même été griffé quand il est revenu à la maison.
Bonus:
Il redouble la troisième année de lycée.
Il est gaucher.
Il déteste la nourriture trop sucrée.
Sa taille de pied est de 27,5cm.
Shuu a peur du feu depuis l'enfance, car il a supposé que son meilleur ami Edgar soit mort dans un incendie.
Shuu aime la musique classique.
Il joue le violon et le piano.
Il avait un chien.
Il déteste les vers.
Son père lui a donné un violon, mais Shuu l'a perdu et on soupçonne que Reiji l'ait cassé. Ensuite, dans Dark Fate, il a été révélé que Cordelia a cassé ce violon avec l'aide de Richter.
Il est révélé dans Dark Fate de Yuma Mukami que le vrai nom de Shuu est Ririe.
Shuu a déjà travaillé comme caissier.
Une fois il a dormi sur Shin sous sa forme de loup.
Il a déjà proposé à Kou de devenir son frère cadet, bien que ce dernier ait rejeté cette offre.
Quand ils étaient enfants. Laito a mangé tous les bonbons dans le réfrigérateur, mais caché les emballages de bonbons dans les poches de pantalon de Shuu donc Reiji a fini par gronder Shuu au lieu de Laito... Shuu dit qu'il est toujours en colère contre Laito à ce sujet.
Son endroit préféré où sucer le sang est la poitrine.
Chanson thème: 🎵
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Champs-les-Sims - Automne 1914
1/6
Cher cousin (ou cousine),
Nous voici en guerre. Quel malheur ! Comme bon nombre d'entre nous, il me semblait que la paix n'aurait jamais de faim. Pire encore, voici que nos hommes sont soumis à la conscription. J'ai du laisser Constantin rejoindre un bataillon, bien malgré moi et malgré lui. Pour mon plus grand soulagement, il a été affecté à la logistique et je prie chaque jour pour qu'il n'ait jamais à vivre ne serait-ce qu'un instant de combats.
Tous les autres hommes du village sont partis. Parmi les plus âgés, nombreux ont été les volontaires, persuadés que la guerre serait l'affaire de quelques semaines. Il n'y avait guère que nous, les mères, pour réellement s'en émouvoir semble-t-il, peut-être se rappelleront de nos mises en garde d'ici quelques temps. Quand Adelphe et les deux Messieurs de Chastel sont partis, Madame Eugénie a versé toutes les larmes de son corps, et elles n'ont fait que redoubler quand la mobilisation de Constantin a été confirmée, en dépit de son inaptitude manifeste. Et malgré mes tentatives pour la rassurer, je dois admettre que je suis également terrorisée à l'idée de recevoir un jour une de ces lettres du ministère de la guerre nous annonçant la mort d'un de nos maris. Je prie le Seigneur qu'il nous en préserve encore. Que dirai-je à mes enfants si jamais leur père ne revient pas ? Ou qu'arrivera t-il si Constantin ou Adelphe venaient à perdre l'autre ?
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