#Mondial 2030
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FIFA: Mondial-2030, La candidature Maroc-Espagne-Portugal se caractérise par “sa qualité d’ensemble”, dépasse “les exigences minimales d’organisation requises”
La candidature conjointe du Maroc, de l’Espagne et du Portugal pour l’organisation de la Coupe du Monde 2030, unique dossier en lice, se caractérise par “sa qualité d’ensemble” et dépasse “les exigences minimales d’organisation” requises dans l’évaluation technique, indique la Fédération internationale de football (FIFA) dans son rapport d’évaluation des candidatures. Au-delà des symboles, la…
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Guala Closures riceve la Medaglia d'Oro da EcoVadis per la sostenibilità: Un impegno verso il futuro. Milano
Il Gruppo si posiziona tra il 3% delle migliori aziende del settore a livello mondiale. Milano, 18 ottobre 2024 – Guala Closures, leader mondiale nella produzione di chiusure per il mercato degli alcolici, del vino, dell’acqua, delle bevande e dell’olio alimentare, ha ottenuto la medaglia d’oro da parte di EcoVadis, una delle principali piattaforme globali per la valutazione della sostenibilità…
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Si prevede che nel 2035 tutte le auto prodotte siano elettriche e, nel 2050, tutto il parco auto sia elettrico. Se proiettiamo su scala mondiale questo obiettivo (parco attuale di 1.400.000.0000 auto) abbiamo quanto segue.
Secondo la previsioni Mckinsey nel 2030 si sarebbero dovute vendere 40 milioni di auto cioè il 28,5% delle vendite totali.
Mercato auto elettriche: le previsioni di McKinsey | Smart Car | con Massimo De Donato | Radio 24 (ilsole24ore.com)
Partiamo da questo numero per proiettare i dati di produzione fino al 2050, partendo dall’assunto (ormai improbabile) che dal 2035 tutte le auto vendute saranno elettriche.
In questa ipotesi paragoniamo le riserve con la quantità cumulata di minerale necessaria. In rosso i valori che eccedono le riserve. Per esempio a partire dal 2042 il Cobalto richiesto (8,53+06 Ton) supera le riserve (7,6+06 Ton). Dal 2046 mancheranno LI e Ni.
Qui sotto è paragonata la produzione annua necessaria con le richieste annue. A partire dal 2022 le quantità di Litio superano la produzione del 2019. Dal 2034 Ni, Li, Co, e Grafite supereranno di non poco la produzione annua di riferimento del 2019.
In conclusione, anche senza le batterie di stoccaggio, i minerali necessari per le batterie delle auto elettriche sono in grave carenza. E’ facile prevedere una corsa all’accaparramento di questi materiali preziosi, con conseguente aumento dei prezzi.
Non avremo risolto granché dal punto di vista delle emissioni perché le auto elettriche provocheranno un aumento del 40% dell’energia elettrica per le ricariche, e le fonti fossili non potranno essere eliminate per le ragioni già spiegate sull’intermittenza.
Gli obbiettivi fissati per il 2035 e il 2050 si rivelano tutti irrealizzabili, e mostrano di essere un trampolino di lancio verso qualcosa di diverso dalla soluzione dichiarata. Non comprando auto elettriche, la gente si mostra più intelligente di burocrati e industriali.
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Ieri pomeriggio ho incontrato per caso il papà di una compagna delle elementari di mio figlio. Parlando del futuro per i nostri figli lui mi ha detto che quello che abbiamo vissuto col Covid è niente in confronto a quello che accadrà, perché l’agenda 2030 prevede di far scendere la popolazione mondiale da 8 miliardi di adesso a 500 milioni. L’ha deciso l’ordine mondiale e ci stermineranno con altri virus e guerre. Non mi ha detto se contribuiranno al nostro sterminio anche il 5G e le scie chimiche,ma penso di sì. Lui comunque è pronto a resistere anche con la violenza. Mi ha salutato dicendomi “ Vedrai sarà un inferno,ma quando moriremo andremo in paradiso e lì saremo finalmente felici “
Visto che lui mi ha avvisato dell’imminente catastrofe ora io avviso voi, così potete prepararvi come meglio credete. Poi non dite che non mi preoccupo per voi 🤣🤣
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L'Età Antropica, l'impatto dell'Uomo sul Pianeta? Basta salire un po' e non si vede: solo le luci di notte, fino alle orbite basse.
mappa della densità di popolazione umana
La media è 52 persone/km2 (senza contare i mari). Più di metà degli umani - 54%, (proiezione 2030 =70%) si concentra e sporca le aree urbane, che occupano tra 1% e 3% della superficie. Siamo 'na caccola.
Giusto per mettere in prospettiva il nostro impatto sul Pianeta rispetto a quello del Pianeta su di noi: circa 75.00 anni or sono - su scala geologica vale qualche minuto - gli effetti sull'atmosfera di una singola massiva eruzione vulcanica, ridussero l'intera popolazione mondiale di Sapiens a più o meno un migliaio di individui.
Certo, sporcate di meno ma finitela con tutta 'sta arroganza protagonista da adolescenti insicuri gretini.
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"C’est une procédure inhabituelle. Vendredi 19 juillet, le collectif No JO 2030 dépose une demande en caducité auprès du Comité international olympique (CIO). Dans ce courrier, que Mediapart a pu consulter, les opposant·es à la tenue des Jeux olympiques (JO) d’hiver dans les Alpes demandent au CIO de considérer la candidature française comme caduque, c’est-à-dire périmée. [...]
Ils dénoncent l’illégalité de la candidature française, qui aurait dû, selon eux, faire l’objet d’un débat public, compte tenu des impacts des aménagements sur les écosystèmes. Et alertent sur les destructions environnementales et les dégâts climatiques que causeraient ces Jeux dans le milieu désormais très vulnérable de la montagne française.
« Cette candidature est dans une impasse. Il faut en sortir par le haut : on efface tout et on recommence », dit Pierre Janot, membre du collectif, élu au conseil régional et avocat de métier. [...]
C’est au nom du climat et de l’impératif écologique que le skieur de fond Stéphane Passeron s’oppose aux JO de 2030 dans les Alpes. Athlète de haut niveau, membre de l’équipe de France pendant vingt ans, puis entraîneur de l’équipe de France de ski nordique handisport aux JO de Vancouver en 2010, il est aujourd’hui moniteur dans la vallée du Champsaur. Il fait partie de la délégation qui demande à être entendue par le CIO et explique à Mediapart pourquoi il appelle à en finir avec les grands événements sportifs et culturels.
Mediapart : Que demandez-vous au Comité international olympique ?
Stéphane Passeron : On demande le retrait de la candidature de la France. Elle n’est simplement pas soutenable au vu des finances, au vu du climat, au vu de la situation politique, et au vu du déni démocratique. On n’a jamais demandé l’avis de personne. Renaud Muselier a été élu à la région Paca pour faire barrage au Rassemblement national. On a tous voté pour lui, y compris à gauche et chez les écolos. Et il lance une candidature aux Jeux olympiques sans demander l’avis d’aucun parti de gauche. Alors que sans nous, il ne serait pas président de la région, ce serait le RN.
On s’adresse au CIO pour que le comité se rende compte qu’il y a un problème en France. Parce qu’ils n’arrêtent pas de dire au CIO que tout va bien, que tous les Français veulent ces Jeux olympiques. Alors que de nombreux sondages indiquent que ce n’est pas vrai. Et on veut expliquer aux Français que les montagnes s’effondrent et que donc, on n’en est plus à faire ce genre d’événement.
Pourquoi les JO d’hiver sont-ils incompatibles avec la situation climatique selon vous ?
En juin, en Isère, juste à côté de la barre des Écrins, un vieux village, La Bérarde, a disparu sous les cailloux. La pluie, ajoutée à la fonte des neiges, a formé un lac sous un glacier qui a craqué et est venu raser le village. Ce hameau était très connu parce que c’est un lieu de départ d’escalade. C’est l’un de ces moments où, quand on nous demande pourquoi on ne veut plus de JO, on répond : regardez autour de vous, tout s’effondre.
On ne peut plus faire de grands événements comme ça, au vu de la situation climatique mondiale, que ce soit la Coupe du monde de foot ou même le Tour de France, avec ses 2 500 voitures, ses dix hélicoptères et ses trois avions. Il y a une problématique entre nos constats environnementaux et nos choix de société. Le sport est hyper impactant au niveau environnemental. [...]
Le Vercors n’avait pas eu de neige de l’hiver. La Transjurassienne, qui est une épreuve de ski de fond très connue, a été annulée. Il n’y a plus de neige. Et on ne peut pas dire que c’est une surprise puisque le Giec [Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat – ndlr] nous l’annonce depuis longtemps. J’habite une toute petite vallée. Tous nos sentiers de randonnée ont été abîmés et il y en a même qui ont disparu. Il y a un refuge au fond de la vallée : la piste pour y accéder a sauté. En bas de la vallée, ça fait deux ou trois fois cette année qu’il y a eu un énorme éboulement qui nous a coupés de l’extérieur, parce que ça dégèle au mois de janvier maintenant.
Il n’y a plus que les grosses stations qui arrivent à s’en sortir, celles qui sont très hautes. En bas, les stations sont toutes à la neige artificielle. Cela a un coût énergétique et financier monstrueux. Pour les dernières épreuves de la Coupe du monde au Grand-Bornand, en Haute-Savoie, il a fallu transporter la neige avec des camions. Parce qu’il n’y avait pas un gramme de neige. Et c’est là qu’ils veulent faire les Jeux olympiques ?
Ne suffirait-il pas que les JO de 2030 s’adaptent et s’organisent dans ces stations de haute montagne, là où il y a encore de la neige ?
C’est ce qu’ils feront pour les sports alpins, qui n’utiliseront peut-être pas de la neige artificielle. Mais il y a tous les autres sujets : le CO2, les infrastructures à construire. Ils imaginent faire une 2x2 voies dans la vallée de la Durance pour monter sur Briançon, vu qu’ils y prévoient un pôle freeride et snowboard. Il y aura aussi des canons à neige, des parkings, des hélicoptères.
Ils disent qu’ils utilisent 95 % des infrastructures existantes, mais le tremplin de saut de Courchevel n’a plus la bonne longueur, il faut tout refaire. À Nice, ils ont prévu de faire une patinoire de 13 000 spectateurs sur un terrain où il était prévu de construire des logements sociaux. [...]
Et en plus, ils vont être hyper pressés, parce qu’on est déjà en 2024, et que les JO d’hiver, c’est en 2030. Ils ont cinq ans pour tout construire. Ça va être un délire. Mais le plus grave, c’est que ça nous empêche de faire de la résilience.
Pourquoi ?
Parce qu’ils font croire à la population qu’on peut continuer comme avant. Alors que non, on ne peut plus. C’est juste ça. Et c’est là où ça dépasse le cadre de ces Jeux olympiques. [...]
Pensez-vous qu’il faut abandonner l’idée des JO d’hiver?
Pas que les JO d’hiver : il faut abandonner les grands événements. Je vous raconte une anecdote. En 2010, je suis dans l’avion qui m’emmène à Vancouver, aux Jeux olympiques.
J’avais fait ma carrière de skieur et j’étais devenu entraîneur de l’équipe de France en handisport. Dans ma tête, ça travaillait déjà. Je commençais à n’être pas bien. J’avançais dans une autre direction. Je retapais une maison dans le Champsaur en me disant que j’allais venir me mettre au vert parce que le monde va mal. Mais, en même temps, je ne lâchais pas le morceau. Et dans l’avion qui m’emmène, ils mettent sur le petit écran le film d’Al Gore [ancien vice-président des États-Unis – ndlr], Une vérité qui dérange. Et là, le clash. Je me suis dit que j’emmènerai l’équipe aux JO, car je suis quelqu’un qui tient sa parole, mais que le lendemain j’arrêterai et je ne prendrai plus l’avion.
Je pense que tout grand événement, même les grands concerts de rock et les grands festivals, il faut le questionner. Ce sont des tonnes de watts dépensées à chaque fois. Si on ne fait pas entrer dans les têtes des gens qu’on ne peut pas continuer comme ça, on n’y arrivera pas. Le groupe Shaka Ponk a décidé d’arrêter ces tournées. Ça commence à bouger un peu chez les sportifs aussi. [...]
J’ai passé des super moments à faire des événements comme la Coupe du monde. Je ne dis pas que ce n’était pas bien. Je ne vais jamais dire que ce n’est pas génial, les JO. J’y étais, je vois l’ambiance, l’adrénaline que j’ai eue au départ d’une Coupe du monde. C’était des moments extraordinaires. Mais juste, on ne peut plus continuer et je le dis de manière très triste.
Le déni, il est partout. C’est très dur. Aujourd’hui [jour de l’interview, mercredi 17 juillet – ndlr], il y avait le Tour de France qui passait à Gap. Les gens y vont car ils peuvent toucher du bout des doigts un truc exceptionnel. J’entends, je le comprends, je l’ai ressenti, je l’ai vécu. Mais juste, on ne peut plus. Si vous aimez vos enfants, si vous aimez la vie, il va falloir arrêter ça, c’est tout.
Jade Lindgaard
#upthebaguette#whatthefrance#french#france#en français#french side of tumblr#ecology#olympics#winter olympics#pollution#biodiversity destruction#climate emergency#bee tries to talk
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La commentatrice politique néerlandaise, Eva Vlaardingerbroek :
« Les mondialistes non élus utilisent l'excuse de "réduire les émissions d'azote" pour fermer l'industrie agricole mondiale, ne laissant pas aux gens d'autre choix que de manger des insectes et de la viande cultivée en laboratoire, sous la bannière de l'Agenda 2030 de l'ONU.
« Les gens derrière cela veulent établir un gouvernement mondial unique, un "Nouvel Ordre Mondial", dans lequel ils décident de ce que nous mangeons, quand nous mangeons, où nous voyageons, quand nous voyageons, qui nous rencontrons et sur quoi nous sommes autorisés à dépenser notre argent.
« Fondamentalement, le contrôle de chaque aspect de notre vie.
« Ils ne veulent pas que nous mangions des aliments qui nous rendent forts. Ils veulent que nous mangions de la viande synthétique créée par Bill Gates. Ils veulent que nous mangions des insectes, ils veulent que nous buvions du lait de soja, afin que nous soyons faibles et obéissants, et que nous fassions ce qu'ils disent. »
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Le Nouvel Ordre Mondial frappe à nouveau. Ursula Von Der Leyen s'engage à « vacciner plus de 500 millions d'enfants » avec Bill Gates.
« Je suis heureux de m’engager à verser 290 millions de dollars à Gavi, l’alliance pour les vaccins. Avec Gavi, nous avons pour objectif de vacciner ces enfants d’ici 2030… »
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IL BANGLADESH È IL PRIMO PAESE A DEBELLARE LA LEISHMANIOSI
Il Bangladesh è diventato il primo Paese al mondo ad essere ufficialmente libero dalla leishmaniosi viscerale, malattia comunemente nota come kala-azar.
Nel 2005, Bangladesh, India e Nepal (che insieme rappresentavano il 70% del carico globale della malattia) hanno lanciato un’iniziativa per l’eliminazione del kala-azar. Questi sforzi sono stati accompagnati da un quadro strategico regionale incentrato sulla diagnosi precoce, la gestione completa dei casi, la gestione integrata dei vettori, la sorveglianza della malattia, la mobilitazione sociale e la ricerca operativa.
Kala-azar, la forma più grave di leishmaniosi, è una malattia mortale causata dalla Leishmania un parassita trasmesso attraverso la puntura di insetti infetti che colpisce prevalentemente le comunità rurali più fragili. Nel corso degli anni, gli sforzi di ricerca e sviluppo, coordinati dall’OMS, insieme ad altri partner tra cui il governo del Regno Unito e la Fondazione Bill & Melinda Gates, hanno portato all’introduzione di strumenti come il test immunocromatografico rapido rK39 e terapie come la miltefosina che hanno svolto un ruolo fondamentale nel consentire la diagnosi precoce e il trattamento nelle comunità remote. “Il Bangladesh è il primo Paese ad eliminare due malattie tropicali trascurate nello stesso anno, dopo aver convalidato con successo l’eliminazione della filariosi linfatica come problema di salute pubblica nel maggio 2023”, ha osservato Ibrahima Socé Fall, direttore del Programma globale sulle malattie tropicali trascurate dell’OMS.
Ad oggi, 50 paesi hanno eliminato almeno una malattia tropicale trascurata, in linea con l’obiettivo della road map dell’OMS di far sì che 100 paesi raggiungano questo traguardo entro il 2030.
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Fonte: Organizzazione Mondiale della Sanità; foto di Kelly
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Coupe du monde 2030..Agadir s’y apprête bellement
Saoudi El Amalki // Dans le cadre des préparatifs de la coupe du monde de football 2030 qu’organise le Maroc, en compagnie de l’Espagne et du Portugal, les ministres de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit et du Budget, Faouzi Lakjâa, président de la FRMF, se sont rendus récemment à Agadir en vue de superviser le dossier de la capitale du Souss en ce qui concerne la tenue du plus prestigieux…
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<< Ghost in the shell <End of line>
Depuis Octobre 1991, Masamune Shirow pose LES QUESTIONS du 21ème siècle :
Qu’est-ce qui distingue l’être humain d’un robot pensant ayant conscience de son existence ?
Qu’est-ce qui fait la spécificité de la pensée humaine ?
Que peut-on considérer comme « être vivant » ?
Où se situe la frontière entre le corps et l’esprit ?
Must return to the Grid <End of line>
Simply build & build simply.
#rse #esg #ressourceshumaines #philosophie #politique #economiecirculaire #circuitcourt #slasher #punk #managementfrugal #zeitgeist #mettle #etymologie
guillaumehannafo®d
Synopsis (Wikipédia)
Ghost in the Shell est un manga futuriste, de type cyberpunk, se déroulant aux alentours des années 2030.
La trame principale du manga est la traque d’un cybercriminel connu sous le nom du « Marionnettiste » (le Puppet Master). Ce cybercriminel prend le contrôle de l’esprit (« ghost ») d’un humain par l’intermédiaire du Réseau numérique mondial.
Alors que l’enquête progresse, la section 9 finit par découvrir que le criminel n’est pas une personne physique, mais une intelligence artificielle immatérielle, ayant acquis pour la première fois au monde une conscience.
Le désir du Marionnettiste, qui a réussi à s’incarner dans un corps androïde, est de se reproduire. Il ne souhaite pas se dupliquer comme un simple virus (toujours identique et donc vulnérable) mais bien donner naissance à une nouvelle forme de vie. C’est pourquoi il sollicite l'aide de Kusanagi pour fusionner leurs ghosts (l’équivalent de l’âme et de l’esprit) et, ainsi, créer un être nouveau et unique.
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Un barile di petrolio, 140 kg, oggi vale di 68$, contiene l'energia equivalente di 10.000 kg di batterie della Tesla, che valgono 200.000$.
Lo sapevate?
Solo un gruppo politicamente ingenuo, come la classe media occidentale, può credere che i banchieri internazionali globalisti e gli amministratori delle aziende che implementano l'agenda 2030, agiscono per salvare il pianeta.
Salvare il pianeta o dividersi la torta? I finanziamenti per le politiche green degli ultimi anni sono dell'ordine di grandezza dei trilioni di dollari nei pesi occidentali. Tra chi viene divisa la torta di questi finanziamenti e con quale meccanismo?
Tutti questi finanziamenti pubblici vanni a società private selezionate dalle tecnocrazie internazionali proprio a questo scopo, in conformità degli obiettivi di “sviluppo sostenibile” delle Nazioni Unite.
Questo è un elenco di “obiettivi umanitari” che vanno dall’abolizione della fame alla pace nel mondo, alla giustizia e all’uguaglianza di genere adottati dalle NU nel 2015 nell’ambito dell’agenda 2030.
In realtà, e in pratica, gli obiettivi di sviluppo sostenibile assegnano il flusso di investimenti globali e di prestiti bancari con trattamenti preferenziali ai governi e alle società in base alla loro conformità ai criteri ambientali, sociali e di governo (ESG).
Ora nonostante il marchio delle NU, questi sono formulati e imposti dai gestori patrimoniali più potenti e ricchi al mondo: Blackrock, Vanguard e State Street.
Questi gruppi detengono insieme il 20% delle azioni, e quindi il potere e il governo, sulle 500 più grandi società della Borsa di NY. Nati per salvare il pianeta dallo sfruttamento da società predatorie, gli obiettivi di sviluppo sostenibile sono progettati pe aumentare il monopolio delle ricche economie occidentali e le multinazionali in grado di soddisfare i loro criteri. Nel farlo, gli obiettivi di sviluppo sostenibile hanno creato il quadro finanziario per l’acquisto della quota di emissioni assegnata dalle NU in crediti di carbonio che è uno dei meccanismi basati sul mercato scritti nel protocollo pratico di Kyoto. In pratica questo significa che, al fine di compensare i loro obblighi di raggiungere gli obiettivi sulle emissioni dei paese più ricchi, le aziende, e persino gli individui, possono acquistare e vendere crediti di C dei paesi più poveri.
Poiché le emissioni di CO2 sono ovviamente il risultato di una maggiore produzione, il mercato dei crediti è un meccanismo per aumentare la disuguaglianza tra aziende-nazioni ricche e quelle povere. I paesi in via di sviluppo sono così carichi di debiti nei confronti di organizzazioni finanziarie come la Banca mondiale e il Fondo Monetario Internazionale, al fine di raggiungere gli obiettivi di sviluppo sostenibile. Coloro che non sono in grado di restituire i prestiti, attraverso tasse e tagli alla spesa pubblica, saranno costretti a cedere le loro risorse naturali ai loro creditori.
Fortunato Nardelli
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La prochaine Conférence Mondiale des Radiocommunications (CMR-23) porteront notamment sur l’éventuelle réaffectation des bandes de fréquences actuellement utilisées pour diffuser la TNT. La pérennité de cette dernière n’est donc pas assurée au-delà de l’année 2030 et de l’engagement des Etats Européens à la maintenir en activité jusqu’à ce terme.
Faut-il militer pour sa prolongation ? D’un point de vue historique, la TNT aura eu le mérite de faire entrer la télévision dans l’ère de l’audiovisuel élargie
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Solo lo 0,5 per cento dell'acqua sulla Terra è utilizzabile come acqua dolce, e il cambiamento climatico riduce l'accumulo di acqua terrestre di un centimetro ogni anno.
Sono dati dell'Agenzia dell'Onu per la meteorologia che avverte: nel 2050 cinque miliardi di persone avranno problemi di accesso a risorse idriche. Significa che, secondo le stime del Water Grabbing Observatory, nel 2030 il 47 per cento della popolazione mondiale vivrà in zone a elevato stress idrico, che si traduce in elevatissimo stress sociale.
#world water day#giornata mondiale dell'acqua#acqua#spreco#cambiamento climatico#risorse idriche#ilblogdellestorie
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Roma sta letteralmente consumandosi nel marciume. Il marciume dell'immondizia che produce ogni giorno e che il Comune non è più in grado di smaltire; e il marciume del suo sottosuolo che provoca ogni giorno l'apertura di voragini che né il Comune e nemmeno i Municipi sono in grado di riempire e aggiustare.
Roma è una città che in materia di degrado urbano sembra giunta a un punto di non ritorno. Non ha più un verde pubblico degno di questo nome, il suo sistema di trasporto è da tempo collassato, l'arredo urbano è andato a farsi benedire, i servizi sociali agonizzano.
A scanso di equivoci e onde evitare una sfilza di commenti su Raggi o Marino, su Gualtieri o Alemanno, dico subito che la questione è antica e ormai prescinde tranquillamente da questa o quella giunta comunale, dai governi di centrodestra o da quelli di centrosinistra. E poco mi interessano i commenti che leggo ogni tanto scritti da intellettuali di area prestati all'amministrazione romana nel corso degli anni: ogni volta leggo nei loro scritti concetti sensati ma avverto al tempo stesso una distanza abissale tra il loro sentire e la realtà del vissuto quotidiano, mio e della miriade di persone che abita questa metropoli.
Roma è ridotta così anche perché è praticamente in bancarotta. E' sommersa dai debiti: 12 miliardi di euro nel 2019 che non credo siano diminuiti. Di quei 12 miliardi di debito calcolati nel 2019, quasi la metà era stata accumulata prima del 2001. Un buco nero.
Comprendo il senso del tentativo della Giunta di Gualtieri di candidare Roma per l'EXPO del 2030: con i soldi dell'EXPO si potrebbero mettere a posto un po' di cose, compiere alcuni lavori non più procastinabili, aggiustare qualcosa. Al 2030 mancano però sette anni e ci sono candidature molto più forti. Dubito inoltre che la macchina amministrativa romana - i suoi manager, i suoi burocrati, i suoi quadri - sia in grado di gestire e portare a buon fine l'operazione. Per farlo ci vuole sostegno, consenso, credibilità, tutte cose che in questo momento latitano.
Qualche giorno fa, parlando dello stato del pianeta con Lanfranco Caminiti, è emerso un concetto: la "lenta apocalisse". La catastrofe ambientale che ci sta distruggendo ha esattamente questa forma di "lenta apocalisse". Quello che sta accadendo a Roma - che è una città unica non solo per meriti storici ma anche per la sua fragilità - penso abbia a che fare con la "lenta apocalisse". Roma non è l'unica metropoli mondiale a fare i conti con un modello di sviluppo semplicemente insostenibile, ma a Roma tutto è più accentuato.
Non sono un urbanista, di molte cose so veramente poco, ma tra le cose più sensate che ho letto ci sono quelle scritte a suo tempo da Walter Tocci e tutto, sempre, rimandava al modello di sviluppo scelto da Roma nel corso dei decenni e che si è trascinato fino a oggi. Un modello suicida, fallimentare.
C'è ancora tempo per rimediare? Sono pessimista.
Stamane al mio risveglio mi sono affacciato sulla voragine che si è aperta un mese fa proprio di fronte alle mie finestre. E' rimasta lì, aperta, e lo resterà a lungo: settimane, forse mesi. La strada è stata chiusa al traffico, sono state compiute delle ispezioni, la conclusione è che per oltre 20 metri il sottosuolo è friabile, compromesso, e che occorreranno lavori complessi. Tutta Roma Nord, dalla Cassia alla Balduina, lungo i rilievi di Monte Mario, si è riempita in questi mesi di voragini, quasi tutte ancora aperte e in attesa di interventi. Un gentile ingegnere del Comune (non sono sempre gentili e nemmeno disponibili a dare spiegazioni: prevale un certo nervosismo) mi ha spiegato che questo fenomeno diffuso ha almeno un paio di ragioni: una ragione riguarda il suolo di questa zona, da sempre interessato da fenomeni carsici, l'altro è legato al clima, mesi di siccità e poi violente piogge improvvise. "Ha presente i castelli di sabbia quando la sabbia è troppo asciutta e non è più cementata dalle giuste dosi di acqua e umidità? Succede esattamente questo, diventano fragili, si sgretolano". Non molto rassicurante.
Le condizioni meteo le conosciamo: mesi senza una goccia, poi nubifragi, poi caldo africano. E' il cambiamento climatico. Dunque Roma Nord è tutta un proliferare di voragini che il Comune e i Municipi non riescono a chiudere. Non ci sono i soldi, non ci sono i mezzi, il personale non basta.
Dopo aver fatto queste considerazioni sono uscito in strada per gettare l'immondizia. Giù all'angolo (nella mia strada, chiusa al traffico, i mezzi AMA non possono più entrare e hanno spostato i cassonetti all'incrocio) c'era una montagna di immondizia per terra: umido, secco, indifferenziata, plastica, un nugolo di mosche, una puzza da svenire. Lì l'AMA non passa da almeno un paio di giorni. Aggiungo che tra i romani (i cittadini) e la raccolta differenziata non c'è mai stata una gran sintonia: una parte la fa, un'altra parte se ne fotte e si rifiuta persino di ricorrere al servizio che il Comune offre per i rifiuti ingombranti, per cui televisori rotti, materassi, aspirapolvere finiscono a lato dei cassonetti. Sono gli stessi che imputano ai rom la causa dei rifiuti per terra: una bugia colossale. Siccome questo in cui abito è uno di quei quartieri di Roma Nord borghese che da sempre vota a destra, l'idea che la sporcizia, la puzza e lo schifo lo abbiano investito in pieno mi consola un po' (ma non più di tanto): la lenta apocalisse romana non guarda in faccia a nessuno e non si pone problemi di censo.
Comunque sia le cose stanno così e non miglioreranno. AMA e ATAC (ma mettiamoci pure ACEA) continueranno a essere l'emblema di questa catastrofe urbana, con i loro manager pagati a peso d'oro e prima o poi faranno il botto: una parte dei servizi saranno privatizzati (anche questi, come i manager, a peso d'oro), e si finirà per costituire delle belle "bad company" in cui far confluire debiti e un po' di personale in esubero.
L'apocalisse lenta ha sempre dei risvolti sociali di una certa rilevanza e questo vale anche per una grande metropoli allo sfascio. Non metto più piede in un grande parco pubblico dopo che mi sono ritrovato addosso una zecca e immagino che i cinghiali se la passino abbastanza bene. I parrocchetti verdi, la specie aviaria nextGen, stanno soppiantando passeri, merli e corvi, e i gabbiani sono molto felici, grassi e impigriti da tutta quell'immondizia a disposizione. Lungo le balze di Monte Mario, tra il verde che nessuno più ripulisce, nascono ogni tanto tendopoli di sventurati; tra qualche mese sgombereranno ma nessuno provvederà a ripulire e lì si accumulerà nuova immondizia (succede così da anni). Sono molto grato ai migranti africani che ogni tanto ripuliscono la strada dalle erbacce che crescono anche fino a un metro da terra e ogni volta che compaiono li ringrazio e lascio un obolo generoso: è lavoro quello, ma nessuno li regolarizzerà mai, anzi.
Parrocchetti e gabbiani, cinghiali e zecche, voragini e frane, puzza e mandrie infinite di turisti inebetiti: la nostra distopia è già qui, in questo presente. Un mondo marcio.
Peter Freeman, Facebook
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Toronto, 1er février 2049+ L'inspecteur de police regardait les quatre cadavres sur les tables d'autopsie : une étudiante, un cuisinier, une avocate et un peintre en bâtiment. Quatre personnes que rien, en apparence, ne semblait relier. Toustes originaires de milieux différents, mais toustes mort·te·s d'un arrêt cardiaque à la même heure alors qu'iels étaient chez elleux, un casque de réalité virtuelle, très à la mode depuis des années, sur la tête. Les expert·te·s informatiques venaient tout juste de l'informer de la découverte récente d'un lien entre les défunts : un jeu indépendant baptisé "One For All". Connu pour offrir une expérience de vie virtuelle unique en son genre et permettant à ses utilisateur·ice·s d'éprouver toutes sortes de sensations plus vraies que nature telles que la douleur, la faim, le plaisir ou encore la peur pour sa vie, One For All, semblait avoir intégré une fonctionnalité supplémentaire que personne n'avait jusqu'à maintenant découverte. Derrière l'offre alléchante et bien réelle d'un monde dans lequel tout est possible, un monde dans lequel la seconde chance est permise, se cachait en réalité une règle gardée secrète : si le personnage incarné venait à perdre toutes ses vies, alors, saon joueur·se périrait aussi. Ainsi, les quatre personnes étendues face à l'inspecteur étaient pareilles à quelque Icar moderne, à avoir voulu voler trop près du soleil, iels en avaient payé le prix fort.
Le détective lisait maintenant le descriptif du jeu sur l'une des nombreuses plateformes le proposant au téléchargement. "Êtes-vous prêt à découvrir qui vous êtes vraiment ? One For All vous offre la chance d'être qui vous désirez, sans limites. Gloire et pouvoir aux plus fort·e·s, les restes et la mort pour les plus faibles." Dans ce jeu, pas d'offre premium risquant de favoriser les plus riches, chacun·e devrait faire ses preuves comme les autres. Son rapport finalement terminé, l'inspecteur le fit remonter jusqu'au chef du département de la Police, qui avec un sourire, lui annonça qu'il délirait, qu'un simple jeu vidéo ne pouvait pas être la cause du décès. L'affaire fut classée. Du moins officiellement, car ces quatre mort·te·s qui n'étaient pas les premier·ère·s, ne furent pas non plus les dernier·ère·s et si tout avait commencé sur des bêta-testeur·se·s sur les premières versions, de plus en plus de joueur·se·s lambdas étaient concerné·e·s. Aujourd'hui One For All est sous surveillance et si son aspect meurtrier en est la cause principale, ce n'est pas la seule car l'addiction générée par le jeu, souvent démesurée, est également particulièrement inquiétante voir elle-même mortelle.
Alors, allez-vous télécharger le jeu, mettre votre casque et vous joindre à l'aventure ?
Petite Chronologie : 2019 - Première Pandémie mondiale. Elle dure 2 ans et montre les faiblesses des différents systèmes politiques. 2030 - Seconde Pandémie mondiale. Elle dure 2 ans et prouve que les gouvernements n'ont pas appris de leurs erreurs. Les citoyen·ne·s, au contraire, semblent rapidement prendre les bonnes décisions pour endiguer l'épidémie par elleux-mêmes. 2034 - Création du HUB, évolution d'internet, permettant de vivre une expérience immersive grâce à la réalité virtuelle. 2041 - Troisième Pandémie mondiale. Elle dure une seule année, mais est excessivement meurtrière, emportant 30% de la population mondiale. Elle créer un gouffre entre les pays et les peuples. 2047 - Lancement de la version Alpha du jeu One For All. Les joueur·se·s sont bloqué·e·s dans le jeu et ne peuvent pas en sortir. Celleux qui meurent à l'intérieur meurent également IRL. Les survivant·e·s sont déconnecté·e·s de force un an après, juste avant l'ouverture du OFA pour toustes. Les joueur·se·s ayant été déplacé·e·s par les développeur·se·s et ayant été porté·e·s disparu·e·s reviennent d'entre les morts. Décembre 2048 - Lancement de OFA. Accessible à toustes, en téléchargement sur bien des plateformes. L'engouement est présent et le jeu prend vite de l'ampleur ! Février 2049 - Mois actuel du forum.
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