#Mon Vieux Lucien
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Printemps 1924, Hylewood, Canada (14/14)
Outre cela, les enfants vont bien. Les petites grandissent. Lola est entrée à l’école cette année. Moi-même je ne me fais plus tout jeune, mais ça me fait du bien d’être entouré de tant de jeunesse, ça vivifie. Lucien est adulte désormais, même si entre nous, il fait encore grand enfant. Travailler va lui faire du bien, il n’y a rien de tel que le terrain pour acquérir de l’expérience, et j’espère que cela le fera grandir un peu. Je voudrais qu’à partir de l’année prochain, ce soit lui qui reprennent nos correspondances. J’étais à peine plus vieux que lui quand mon père m’a demandé de le faire, ça le responsabilisera. Je continuerai à vous faire passer des nouvelles par son biais, et je crois que ma femme a manifesté la volonté de continuer à correspondre avec la vôtre. Ce n’est donc pas un « adieux », c’est un « à tantôt ».
Votre bien dévoué,
J. Le Bris
[Transcription] Marie LeBris : C’est moi ou tu joues plus mal qu’avant ? Agathon LeBris : Je ne joue pas plus mal, je travaille ma technique. Ça sonne moche pour l’instant parce que je ne suis pas habitué. Sur le long terme, ça sonnera mieux. Marie LeBris : Ça me casse les oreilles. Je préfère comment tu jouais avant. Jules LeBris : Joue autre chose que du jazz !! Tu ne joues plus que ça, tous les morceaux se ressemblent. Lucien LeBris : Moi, j’aime bien ! Ça bouge !
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Eugénie Bernard#Lucien Le Bris#Marie Le Bris III#Agathon Le Bris#Dolorès LeBris#Layla Bahar#Gizelle LeBris
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Lucien Ganiayre - Lettre d’accompagnement au poème publié par la N.R.F. en 1933
Lucien Saint-Nexans Étudiant d’anglais, 22 ans.
J’ai lu, il y a quelques temps, l’annonce de votre enquête dans la N.R.F. J’ai alors rassemblé quelques feuilles froissées, exhumées des poches de vieux habits. J’ai recopié ces vers et à tout hasard je vous les envoie, car, si j’ai bien compris, le but de votre enquête est, non pas de découvrir un génie poétique ignoré, mais de constater le sort de la poésie en France de nos jours. J’attends avec intérêt le résultat de cette initiative et je suis curieux de savoir si quelques-uns de mes amis vous enverront leurs poèmes. Leurs poèmes que je n’ai jamais lus mais dont je sais l’existence soigneusement cachée par pudeur ou par sottise. C’est une chose très curieuse que cette dissimulation des seuls sentiments qui pourraient nous faire honneur à nous les jeunes gens qui sommes si sévèrement jugés. J’ai souvent rêvé d’être introduit dans un de ces cénacles si sympathiques qui existaient au siècle dernier et existent peut-être encore à Paris, ou des jeunes gens se réunissaient pour échanger leurs enthousiasmes littéraires.
Je vous envoie ces quelques poèmes. Je n’ai aucune idée de ce qu’ils peuvent valoir. Je ne les ai lus à personne. Parfois, au hasard d’une solitude accidentelle, un élan m’entraîne à griffonner quelques vers sur un sentiment qui m’occupe.
Je ne serai jamais un grand poète. Je n’en ai ni l’espoir, ni, hélas, l’ambition. Et surtout, surtout, je ne parviens pas à trouver ma personnalité. J’aime trop de choses. J’aime tout. Toute la vie, la vie multiple, vivante, brève. J’aime le sport, la lecture, le flirt, l’amitié, j’aime le farniente et le travail. Ce qu’il y a de plus difficile au monde, c’est de choisir. Je ne sais ce que je préfère d’une randonnée en auto avec de joyeux compagnons ou d’une journée passée avec un livre de Giraudoux. Je dis Giraudoux. J’aurais pu dire Proust ou Mauriac ou Balzac. Je me désespère de mon manque de personnalité.
Peut-on vraiment s’appeler un poète lorsqu’on prend tant de plaisir à fréquenter les dancings ? Peut-on oser aimer le Cimetière Marin, lorsque l’on éprouve une réelle joie à voir un film même médiocre ?
Mais je serais parfaitement heureux, sans ces sortes de crises, de plus en plus fréquentes ou je me trouve si désemparé si incomplet. À ces moments je n’aime rien. Rien ne m’émeut, ne me fait envie. Tout me paraît difficile, impossible, tout est flou et lointain, je n’ai plus de désirs. Je suis incomplet même dans mon désespoir. Si je reste seul, mes pensées tombent vite dans un gouffre sans fond ni échos, intolérable. Si je vie la vie quotidienne, présente, minutieuse, j’entends crier un remords. Le remords de gâcher quelque chose, l’humiliation d’être étroit, bas, animal, le remords de détruire stupidement de la beauté. Mais quelle beauté ?
Je ne sais à qui j’envoie ces confidences et cet anonymat seul me décide à les écrire. Elles sont gauches, ce sont les premières.
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6 DECEMBRE 2023
Programme décembriste.
6 décembre = Saint Col du Fémur : un petit poème pour se mettre en jambes ? Forme libre, longueur maximale 5 ou 6 vers, sérieux s’abstenir.
Se haussait du col, Mais il s’est cassé la gole. Fumé, le fémur ! Mon fémur Fait le mur Je murmure C’est cassé ? C’est bien fait ! Les coureurs Font le col Du Fémur À grands coups De pédale. C’est un col Casse-pattes, Ce Fémur ! Au Col du Fémur, Raymond Poulidor bascule, Se casse la jambe.
1°) Expérimentation (5-10 minutes) : Poème bouture (recette de Lucien Suel) (un lien vers une courte émission de radio : https://urlz.fr/oHcf)
Au verso du mode d'emploi, le texte à bouturer :
Quelques essais d'abord :
Et en temps réel :
2°) Bouts rimés pour un dizain (10 minutes) : L’automne est là. Ce sera le thème du petit poème dont voici les couples de mots à la rime : niveau/cerveau, mensonge/éponge, vêtements/sarments, punaise/fournaise, procès/succès.
L’automne est là, c’est un succès. La pluie va noyer la punaise, Un assassinat sans procès, Et l’été n’est plus qu’un mensonge. Les feuilles mortes, les sarments, Seront brûlés dans la fournaise. Il faut changer de vêtements, J’ai la tête comme une éponge, Et j’ai beau fouiller mon cerveau, Mon texte n’est pas au niveau. L’été s’en va comme un mensonge : Le sol gorgé comme une éponge Recrache l’eau sous les sarments, La pluie trempe les vêtements. En août on avait la fournaise, On a novembre et la punaise ! À l’été faisons un procès Pour qu’il revienne avec succès. Mais j’ai trop d’eau dans le cerveau, Je vais couler au caniveau.
3°) Partie de cartes rapide (5-10 minutes) : Écrire avec vocabulaire limité. On fera vivre une brève partie de cartes entre amis, mais sans utiliser un seul verbe, conjugué, ou à l’infinitif, ou au participe.
Belote ou tarot ? Pour des petites mains, belote à trente-deux cartes. Distribution par le plus jeune, avec un vieux pour partenaire et un assistant pour les conseils à l’oreille. Et en cas de difficulté ou d’erreur, pas de conseil, mais intervention, et commentaire en fin de levée. Et voilà ! Quatre atouts maîtres, quatre levées. Les trois as restants, le dix de pique, quatre autres plis ! Partie de champion et félicitations ! Mais pas d’aigreur, de grâce ! Pas de gros mots, pas d’insinuations du genre « jeu de cocu » ou bien « tricheur ». Sinon, balade à pieds en punition. Et pas d’embrouille, hein ?
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Gazette n°550 mercredi 2 octobre 2023 inspirée par “Contes à rebours” de Denis
UN SI VIEUX RÊVE “...10” — Michael, tu te rappelles qu’on avait parié. — Parié quoi, Neil ? Il y a trois hommes... trois êtres humains dans ce petit habitacle, face au ciel bleu de Floride. Ça fait des mois qu’ils s’entraînent pour ce voyage. Un voyage imaginé depuis des siècles. Déjà Lucien de Samosate, vers 180 de notre ère, avait imaginé un peuple sur notre satellite naturel. Un peuple en guerre. “...9, ignition of engines” — Que tu ne serais pas de cette mission. Michael esquisse un sourire. — Le 11 devient mon chiffre fétiche... c’est Jim qui doit l’avoir mauvaise. — Ce pauvre Jim ! s’exclame Buzz. — Il sera quand même de la 13 ! Tous les trois se regardent, pensifs. — Oui... treize... “...8” Il y a tant d’histoires de voyages dans la Lune : tout d’abord le poème d’Orlando Furioso, “L’arioste” en 1516[1], puis l’ouvrage de Johannes Kepler en 1634 et celui de Savinien de Cyrano de Bergerac, en 1657, et ce jusqu’au livre de René Barjavel en 1962. “...7” — Le président devrait nous appeler ? demande Buzz. — Au téléphone ? sourit rigolard, Neil. Un grand rire secoue les trois compères. — Faudra attendre le vingt-cinquième siècle avant qu’il y ait un téléphone dans l’espace, dit plus sérieusement Michael. — Faut voir... il y a même pas cent ans, Otto Lilienthal ne faisait que sauter de sa colline ! — Je sais bien Niel, mais le progrès doit avoir des limites. “...6” — Regarde où on est ! Dans un truc qui pèse plus de trois mille tonnes, avec un carburant hautement inflammable et là, dans nos sièges, on s’apprête à rejoindre l’objet des rêves de nos ancêtres. “...5 ...4 ...3 ...2” — Serrez les fesses ! “...1” — Fin du compte à rebours !... À nous la Lune, crie Michael. “...0, all engines operational” Épinac, le 2 octobre 2023 Pour les amateurs, petite bibliographie d’ouvrages sur le Voyage dans la Lune : 1516, Orlando Furioso, L’Arioste. 1634, Johannes Kepler, Le Songe ou l’Astronomie lunaire. 1638, Francis Godwin, L’homme dans la lune, ou Le voyage chimérique fait au monde de la Lune nouvellement découvert. 1657, Savinien de Cyrano de Bergerac, Histoire comique des États et Empires de la Lune. 1783, Cornélie Wouters de Vassé, Le char volant, ou voyage dans la Lune. 1785, Rudolf Erich Raspe, Les aventures du baron de Münchhausen. 1791, Louis Abel Beffroy de Reigny, Nicodème dans la Lune, ou la Révolution pacifique. 1857, Alexandre Dumas, Un voyage à la Lune. 1875, Arnold Mortier, Le Voyage dans la Lune. 1892, Arthur de Ville D’Avray, Voyage dans la Lune avant 1900. 1901, Herbert George Wells, Les premiers hommes dans la Lune. 1928, Otto Willi Gail, Un voyage dans la Lune. 1958, Robert Heinlein, Le jeune homme et l’espace. 1962, René Barjavel, Colomb de la Lune. Merci à ceux-là : Michael Collins, Buzz Aldrin et Neil Armstrong.
[1] Considéré comme le premier roman de science-fiction... ou “proto-fiction”.
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Additionnés
Chez Judith Melka et Philippe Peignier / Chai Julip / Sant-Geniès-de- Fontedit / Saint-Chinian / 10 hectare
Ju-----------------------------------------------------------------------lip
elle à Paris ---------------------------------------- ----------lui en Corse
attirée par les Beaux Arts-------------------------------fonce en 2CV
noue des amitiés durables---------------aide son père à la vigne
devient soprano----------------------------qui l’a apprise d’un bref
mal à l’aise sur scène--------------------------passage en Algérie
ce ne doit pas être mon rêve-------------avant c’était plutôt lait
plutôt celui de ma--------------------------et beurre du côté de ma
famille pied-noire-----------------------------------------famille lorraine
Judith décide-------------------------------------------Philippe décide
la cuisine gastronomique--------------------l’aviation côté chasse
d’avoir des enfants-------------------------------d’avoir des enfants
puis monte des restaurants------------------puis le moyen courrier
écrit des livres de recettes--------------------change de compagnie
devient conseillère culinaire------------------continue de voler
monte des évènements--------------------------------toujours en l’air
ça marche------------------------------------------ça sent l’atterrissage
le covid arrête tout-------------------------------------le maintien au sol
c’est le moment------------------------------------le moment de quoi
de réaliser ce rêve---------------------------------d’accord mais lequel
celui du faire du vin---------------------------------------si tu vas par là
ce qui m’intéresse c’est le chai--------je t’accompagne au végétal
son exigence------------------------------------la suspension du temps
dès lors-- tout peux s’aligner -- se compléter--- s’additionner-- les envies --- les souvenirs ---- les vieux copains plasticiens qui feront les étiquettes -- les copains musiciens qui viendront en résidence --- les enfants qui sont grands voire très grands -- “Essaie d’additionner tes vies” me disait ma mère observe Ju --- c’est comme ça qu’on arrive au pays du vin--- Narbonne -- Béziers --- immensité viticole depuis la pax romana--- qu’on déniche en plein village une maison vigneronne -- vaste chai en rez-de-chaussée - appartement spacieux juste au-dessus --- miraculeusement associée à dix hectares de vieilles vignes -- dix hectares d’un seul tenant - mamelon serti de garrigue ---- parangon d’une parcelle nommée Safer--- Safer comme Société d’Aménagement Foncier et d’Établissement Rural --- qui l’a dégagée dans les hauteurs pour protéger les vignerons des inondations- fléau par ici récurrent--- ---on y monte--- on progresse ---- en 2CV-- et il n’est pas sûr que Philippe ait jamais envie d’amorcer la descente --- je suis tellement bien-- tellement absorbé par le travail que j’oublie souvent de déjeuner ---- la phrase de Lip me rappelle un propos de Thomas Fabian --- ex Château d’Esther ---dix jours plus tôt --- j’étais pris par l’observation de la vigne--- j’y retournais le soir--- mais je n’étais pas débordé-- j’aimais ça ------ pour moi- les preuves s’accumoncellent--- quelle qu’aient été les vies d’avant-- travailler le sol - les météores --- les astres ----a minima les courses du soleil--- les excréments--- les pollens ----- les mycorhizes--- les phéromones----- les muscles ---- les pampres ----- revenir à l’attention--constante-- globale--- c’est nouer des interrelations si nombreuses--- que ceux qui s’y risquent sont vite absorbés ---- deviennent le lieu où ils agissent et sont agit par ce lieu qui devient eux----- entrépuisement et entrerégénération ----une expérience qui est celle d’Orphée---- dans son cortège---- dans sa vigne--- dans l’amour et la perte fulgurante d’une hamadryade ------ c’est ce que nous sommes en train d’énoncer dans le cercle de Rhapsode quand - s’échappe une phrase chantée---- c’est la voix de Judith---- Judith en son chai --- qui offrira ensuite la tournée complète des cuvées Julip ..... Rosie (Syrah Grenache Carignan - dessin de Francis Hauser)--- Ariel (100% Cinsault --- dessin Anne Deleporte)---- Betty (100% Grenache; dessin Lucien Petit)---- Leïla (Syrah Grenache Carignan Cinsault - dessin Jeannie Weissglass)----- Frida (100% Carignan - dessin Hakima El Djoudi)--- Jo (Syrah Carignan Grenache --- dessin Stephen Dean) : chacun dans sa tessiture -- l’expression de son schiste---- et -- ensemble--- une foule sentimentale----un chœur---
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« Questionnaire Louis-Ferdinand Céline »
Née le 11 décembre 1953, Hélène SCOTTO est psychologue clinicienne et musicothérapeute à la retraite.
– Comment avez-vous entendu parler de Céline ?
Par mon fils de trente ans, qui a absolument insisté pour que je lise le Voyage. J'avais chez moi une édition en livre de poche qui appartenait à mon père ; la couverture verdâtre m'avait toujours effrayée, avec une sorte de personnage somnambulique marchant les bras tendus, qui m'évoquait un évadé des camps de concentration... Quel choix de présentation ! De quoi faire fuir toute ma génération.
– Quel le premier livre de Céline que vous avez lu ?
Hé bien le Voyage.
– À quel âge ?
À ma grande honte, 64 ans...
– Qu'avez-vous ressenti à sa lecture ?
Un choc, comme beaucoup, pour l'humour tout en finesse et l'infinie tendresse qui sont en filigrane : une humanité sans bornes, chiens et chats compris, ce qui me touche très profondément.
– Quels sont les autres livres de Céline que vous avez lus ?
Mort à crédit, D'un château l'autre, Nord, Rigodon, Féerie pour une autre fois, Guignol's band, Les Beaux Draps, Entretiens avec le professeur Y, Casse-pipe.
– Qu'avez-vous ressenti à leur lecture ?
J'ai été embarquée dans les deux Grandes Histoires, que je connais si mal, moi qui suis un heureux bébé de l'après-guerre (guère après, mais ma jeunesse, ce sont les années 70, alors avant, bof) ; pourtant j'ai découvert tout récemment que mon père, tête de liste d'otages à Carry-le-Rouet à côté de Marseille, avait dû fuir dans le Lot-et-Garonne en raison de ses opinions affichées de communiste, comme beaucoup d'autres. Cela a eu des conséquences dramatiques pour ma famille, mais c'est une autre histoire... Céline me plonge de façon vivante dans cette époque si proche, qui me semblait si lointaine.
– Quel est le livre de Céline que vous appréciez le plus ?
Le Voyage, encore et toujours.
– Pourquoi ?
Il me fait pleurer souvent et me provoque souvent de vrais, vrais fous-rires, ce qui est très rare avec un livre, lorsqu'on est seul ! Il a des formules lapidaires qui sont tout à la fois poétiques, philosophiques, avec une économie de mots qui va droit au cœur.
– Quel est celui que vous appréciez le moins ?
Féerie pour une autre fois.
– Pourquoi ?
Ce livre est un marathon, je l'ai terminé à bout de souffle. Posologie pour le digérer correctement : trois pages par jour, sinon on finit en réa (mot à la mode). C'est tellement génial cependant de nous faire voltiger dans tous les sens, avec comme point d'ancrage le Jules gueulard qui lui, paradoxalement, tient debout sur ses moignons. Est-ce que quelqu'un a fait la liste de tous les sobriquets dont Céline l'affuble ? Trente peut-être ? Plus ?
– Comment définiriez-vous l’œuvre de Céline ?
Le plus haut monument de la littérature française, bien sûr. Il m'a dézingué tous les autres, qui m'ennuient, avec leur « bla bla », comme dirait Céline, alors j'attends la suite, en 2022 ?
– Comment définiriez-vous Céline ?
C'est Diogène réincarné, avec le parler vrai , la parrêsia !
– Selon vous, pour qui écrivait Céline ?
Pour ses alter egos en souffrance, les malades de l'âme, toujours sa vocation médicale. Pour les aider à évoluer et les secouer en même temps, comme un bon vieux maître zen qui vous file des coups de bâton si vous ne répondez pas assez vite à la question « Ceci est un bâton, ceci n'est pas un bâton, qu'est-ce que c'est ? » Céline aurait fait un bon maître zen !
– Que vous a apporté la lecture de Céline ?
Elle m'aide à vivre.
– Quel lecteur de Céline êtes-vous ?
J'ai été membre longtemps de l'association des Amis de Jean Giono et de son conseil d'administration ; j'ai fait pendant des années des lectures publiques de Giono, mis en scène une adaptation de La femme du boulanger, puis une pièce de théâtre de son ami Lucien Jacques. Ensuite, je me tape toute la « Rechêêêrche »… Avec entre les deux un petit Crime et châtiment pour me remettre les idées en place. Je me dis là c'est bon, plus rien ne peut t'arriver, mes pulsions de snobinarde s'apaisent. C'est alors que je croise Céline qui me dit que Giono est le « Rabindranathagoriste du poireau » ! Et il renchérit avec « Proust prout » ! Je fais quoi moi maintenant ? À part être écroulée de rire ! S'il avait dit « le Rabindranath Tagore français », passe encore ; mais ce « iste » ! Et « du poireau » ! Connaissant Giono, en plus, le poireau n'est pas là par hasard, si, si, je vous assure.
– Comment l'attrait que vous avez pour Céline est-il perçu ?
Des amis proches, très gentils, très parisiens, très lettrés , me disent que c'est un horrible bonhomme, ce à quoi je réponds qu'il a payé, et j'en remets une couche avec l'excellente interview de Stéphane Zagdanski. Après, c'est leur problème, moi j'ai fait mon boulot, mais je continuerai à les bassiner.
– Cet attrait pour Céline vous a-t-il attiré des ennuis ?
Non, je vis dans un village des Hautes-Alpes de 300 habitants... Et je ne suis pas sur les réseaux sociaux.
– Quels sont les cinq ouvrages sur Céline qui ont le plus enrichi votre lecture ?
Je ne suis pas encore allée très loin : La vie de Céline de Frédéric Vitoux et son Bébert le chat, et je viens d'acheter Céline comix. Je suis abonnée au « Petit Célinien » et « Céline en phrases ». Je continue, j'en ai pris pour des années, bien fait pour moi !
– Que pensez-vous des adaptations (théâtrales, illustrées, cinématographiques…) de l'œuvre célinienne ?
J'ai vu le film d'Emmanuel Bourdieu avec Denis Lavant ; je l'ai trouvé trop caricatural, avec un Céline moche et hystérique, très réducteur.
– Quels sont les autres auteurs que vous lisez et appréciez ?
Pour le moment, j'ai en cours quatre pavés de l'américain Thomas Wolfe ; à cause de Céline j'ai été obligée de quitter la France, voir plus haut.
– Quelle question poseriez-vous à Céline si vous aviez la possibilité de le rencontrer ?
Aucune. Je lui foutrais la paix, je suis pleine de compassion pour lui, je me contenterais de le regarder, il est tellement beau, même vieux et tout cassé ; je crois que je chialerais trop.
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music recs? of any genre?
Oooooh my god oh Becca why would you torment me like this !!!!! Ilu ❤️
Let's see music recs any genre
Frank Turner, big Frank Turner fan sort of indie English punk but with a lot of variation and is just 100% top notch dude. Try- Sons of Liberty, If Ever I Stray, I Wanna Dance, Silent Key, Not Dead Yet, Sailor's Boots, The Road. Saw him live as my first concert ever and the man played a full 2 hour set without stopping he's the Wessex Energizer bunny.
Edith Piaf if you like feeling a bit cinematic and a whole lot of yearning on top of being existentially overwhelmed. You go from singing love songs to revolution era ballads to biblical hymns she is always worth the time and is the only time I force french on anyone. Try- Hymn A L'Amour, Padam Padam, Milord, Mon Vieux Lucien, Efin Printemps.
In the same vein Cab Calloway!!!! Get a nice mix of him going on Spotify and you'll get a lot of fantastic music of the era, like Duke Ellington, Billie Holiday, and their contemporaries. Great for a dinner night where you wanna vibe with some ghosts.
K.Flay is my go to for alternative pop punk rn cause she is amazing, lots of good songs, try Giver, Slow March, Nervous, and Blood in the Cut as an opening aperitif. The best of nineties/early 2000s white kid alternative and synthie r&b style vibes. She's also queer and amazing. She'll also lead you to Bishop Briggs who is equally fab.
Brandi Carlile!!!!! The lesbian counterpart to Orville Peck!!!! And if they ever to a duet together I think I will pass away, I will be fuckin decreased. All the best bits of old school johnny cash country music and the grit of great lyric writing and musical variation. Some songs are loud and sampling punk, others leaning hard into folk. Try - Raise Hell, Stranger At My Door, Hard Way Home, and Keep your Heart Young.
I have been struggling to listen to new music lately so these are not exactly revolutionary suggestions but I enjoy them all very much.
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Jacques Marin.
Filmografía
Cine
Años 1940-1950
1946 : Le Beau voyage de Louis Cuny - Un mauvais garçon
1948 : L'assassin est à l'écoute de Raoul André - le barman
1950 : Dieu a besoin des hommes de Jean Delannoy
1950 : Le Mystérieux colonel Barclay, cortometraje de Jacques Vilfrid
1951 : Seul dans Paris : de Hervé Bromberger un homme du village
1952 : Jeux interdits de René Clément - Georges Dollé
1952 : Nous sommes tous des assassins de André Cayatte
1953 : Quitte ou double de Robert Vernay - Lucien
1953 : Un jour comme les autres, cortometraje de Georges Rouquier - Pierrot
1954 : Faites-moi confiance de Gilles Grangier - Bob
1954 : Avant le déluge de André Cayatte - L'ouvrier à bicyclette
1954 : J'y suis... j'y reste de Maurice Labro
1954 : Papa, maman, la bonne et moi de Jean-Paul Le Chanois - Le voisin
1955 : Si Paris nous était conté de Sacha Guitry - Un gardien de prison
1955 : Papa, maman, ma femme et moi de Jean-Paul Le Chanois - Le garagiste
1955 : Ça va barder de John Berry
1955 : Sur le banc de Robert Vernay - Le policier qui court après La Hurlette et Carmen
1955 : Le Dossier noir de André Cayatte - Un policier
1955 : Les Évadés de Jean-Paul Le Chanois - Un prisonnier
1955 : French Cancan de Jean Renoir - Un homme dans la file d'attente
1955 : La Rue des bouches peintes de Robert Vernay - Le commissaire
1955 : Les Hommes en blanc de Ralph Habib
1955 : Gas-oil de Gilles Grangier - Le gendarme
1955 : L'Amant de lady Chatterley de Marc Allégret - Un homme du pub
1956 : Des gens sans importance de Henri Verneuil - Le routier qui fesse Clotilde
1956 : Marie-Antoinette de Jean Delannoy - Un crieur de journaux
1956 : Mon curé chez les pauvres d’Henri Diamant-Berger
1956 : Ces sacrées vacances de Robert Vernay - L'automobiliste
1956 : Le Sang à la tête de Gilles Grangier - L'agent de police
1956 : Paris, Palace Hôtel de Henri Verneuil - Le livreur de fleurs
1956 : La Traversée de Paris de Claude Autant-Lara Le patron du restaurant
1956 : Cette sacrée gamine de Michel Boisrond - Un gendarme
1956 : Reproduction interdite de Gilles Grangier
1957 : Le rouge est mis de Gilles Grangier - Un flic de garde
1957 : A Paris tous les deux - (Paris holiday) de Gerd Oswald.
1957 : Les femmes sont marrantes de André Hunebelle - Le taxi
1957 : Les Vendanges (The Vintage) de Jeffrey Hayden
1957 : Le Coin tranquille de Robert Vernay
1957 : Porte des Lilas de René Clair - L'inspecteur qui enquête sur le vol chez l'épicier
1957 : Une Parisienne de Michel Boisrond - Le motard
1957 : Montparnasse 19 de Jacques Becker - Le patron du café
1958 : Les Misérables de Jean-Paul Le Chanois : Le messager (dans la première époque)
1958 : La Tour, prends garde ! de Georges Lampin
1958 : Le Désordre et la Nuit de Gilles Grangier - Le garçon de café bavard
1958 : En cas de malheur de Claude Autant-Lara - Le réceptionniste du Trianon-Hôtel
1958 : Les Racines du ciel (Roots of Heaven) de John Huston - Cerisot
1958 : Le Miroir à deux faces de André Cayatte - Un professeur
1958 : Le Temps des œufs durs de Norbert Carbonnaux - Le pêcheur
1958 : Trois jours à vivre de Gilles Grangier : le gendarme
1958 : Les Tricheurs de Marcel Carné - Monsieur Félix
1958 : Madame et son auto de Robert Vernay - Monsieur Rouille
1958 : Le Joueur de Claude Autant-Lara
1959 : Archimède le clochard de Gilles Grangier - Mimile, un habitué du café
1959 : Rue des prairies de Denys de La Patellière - Monsieur Mauduis
1959 : Maigret et l'affaire Saint-Fiacre de Jean Delannoy - Albert, le chauffeur de la comtesse
1959 : Guinguette de Jean Delannoy - Albert
1959 : Drôles de phénomènes de Robert Vernay - L'inspecteur
1959 : Croquemitoufle ou Les Femmes des autres de Claude Barma - Le contrôleur
1959 : La Bête à l'affût de Pierre Chenal - Le contrôleur routier
1959 : Match contre la mort de Claude Bernard-Aubert.
Año 1960
1960 : Les Vieux de la vieille de Gilles Grangier - Le brigadier de gendarmerie dont la chaîne de vélo a sauté
1960 : La Française et l'Amour, sketch Le Mariage de René Clair - Le contrôleur
1960 : Drame dans un miroir (Crack in the Mirror) de Richard Fleischer - Le gardien
1960 : Pantalaska de Paul Paviot - Monsieur Tropman
1960 : Monsieur Suzuki de Robert Vernay
1960 : Vers l'extase de René Wheeler - Le boucher
1960 : Au cœur de la ville de Pierre Gautherin
1961 : Le Président de Henri Verneuil - Gaston, le chauffeur de car.
1961 : Le cave se rebiffe de Gilles Grangier - L'inspecteur Larpin, de la police mondaine
1961 : Le Général ennemi (The Ennemy General) de George Sherman - Marceau
1961 : Le Grand Risque (The Big Gamble) de Richard Fleischer - L'employé de l'hôtel
1961 : Arrêtez les tambours de Georges Lautner - L'épicier
1961 : Le Monocle noir de Georges Lautner - Trochu
1961 : La Pendule à Salomon de Vicky Ivernel
1962 : Le Gentleman d'Epsom de Gilles Grangier - Raoul, le boucher turfiste
1962 : Gigot, le clochard de Belleville (Gigot) de Gene Kelly - Jean
1962 : Le Couteau dans la plaie de Anatole Litvak - Le commissaire
1962 : La Belle des îles (Tiara Tahiti) de Ted Kotcheff - Desmoulins
1962 : Portrait-robot de Paul Paviot
1963 : Charade de Stanley Donen - L'inspecteur Édouard Grandpierre
1963 : Le Glaive et la Balance de André Cayatte - Un gendarme
1963 : Méfiez-vous, mesdames de André Hunebelle
1963 : Le Poulet, cortometraje de Claude Berri
1964 : Le Train de John Frankenheimer y Bernard Farrel - Jacques, le chef de gare de Rive-Reine
1964 : La Vie conjugale (version Françoise) d’André Cayatte
1964 : Vacances pour Yvette (Vacaciones para Yvette) de José-Maria Forque
1965 : Fantômas se déchaîne de André Hunebelle - L'agent de police ferroviaire
1965 : Humour noir, sketch La Bestiole de Claude Autant-Lara
1965 : Les Bons Vivants, sketch La Fermeture de Gilles Grangier - L'acquéreur du mobilier de la maison close
1966 : Comment voler un million de dollars (How to steal a million) de William Wyler - Le gardien-chef du musée
1966 : Paris au mois d'août de Pierre Granier-Deferre - Bouvreuil
1966 : Les Centurions (Lost Command) de Mark Robson - Le maire coléreux à qui on prend son hélicoptère
1966 : Le Plus Vieux Métier du monde, sketch Aujourd'hui de Claude Autant-Lara - L'agent de police
1966 : La Vingt-cinquième Heure de Henri Verneuil - Le soldat chez Dubrosco
1968 : La Motocyclette (The Girl on a Motorcycle) de Jack Cardiff - Le pompiste
1968 : L'Homme à la Buick de Gilles Grangier - Un déménageur
1969 : La Nuit du lendemain (The Night of the Following Day) de Hubert Cornfield y Richard Boone - Le patron du café
1969 : La Fiancée du pirate de Nel.
Año 1970
1970 : Hello, Goodbye (Hello Goodbye) de Jean Negulesco
1970 : Darling Lili (Darling Lili) de Blake Edwards - Le major Duval
1971 : Mourir d'aimer de André Cayatte - Le correspondant
1971 : Le drapeau noir flotte sur la marmite de Michel Audiard - Antoine Simonet, chef de train S.N.C.F
1971 : Jo de Jean Girault - Andrieux, un policier chercheur
1971 : Le Cinéma de papa de Claude Berri - L'acteur jouant le chef de gare
1971 : Le Petit Matin de Jean-Gabriel Albicocco - La Bouhère
1973 : Shaft contre les trafiquants d'hommes (Shaft in Africa) de John Guillermin - L'inspecteur Cusset
1973 : Mais où est donc passée la septième compagnie ? de Robert Lamoureux - L'épicier français collaborateur
1974 : L'Île sur le toit du monde (Island at the Top of the World) de Robert Stevenson - Le capitaine Brieux
1974 : Les murs ont des oreilles de Jean Girault - Lucas
1974 : Vos gueules, les mouettes ! de Robert Dhéry - Le porte-bannière
1974 : Les "S" pions (S.P.Y.S) d’Irvin Kershner - Lafayette
1974 : Impossible... pas français de Robert Lamoureux - Dussautoy
1975 : Bons baisers de Hong Kong d’Yvan Chiffre - Le gradé de la police
1975 : Opération Lady Marlène de Robert Lamoureux - Le bistrot
1975 : Flic Story de Jacques Deray - Le patron de l'auberge de Saint-Rémy
1975 : Catherine et compagnie de Michel Boisrond - Le patron de l'agence de location de voitures
1976 : Marathon Man (Marathon Man) de John Schlesinger - Leclerc
1976 : L'Année sainte de Jean Girault - Moreau, le gardien de prison
1976 : Le Jour de gloire de Jacques Besnard - Le patron du bistrot
1977 : Le mille-pattes fait des claquettes de Jean Girault - L'inspecteur de police
1977 : La Coccinelle à Monte-Carlo (Herbie Goes to Monte-Carlo) de Vincent McEveety - L'inspecteur Bouchet
1978 : L'Horoscope de Jean Girault - J.L. Beauché
1978 : La Grande cuisine (Who Is Killing the Great Chefs of Europe?) de Ted Kotcheff - Masseret
1978 : Général... nous voilà ! de Jacques Besnard - Mac Goland
1979 : Grandison d’Achim Kurz.
Años 1980 - 1990
1981 : Ach du lieber Harry de Jean Girault - Un haut dignitaire
1982 : Te marre pas .. c'est pour rire ! de Jacques Besnard - Albert, le chauff.
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Il a très bien parlé, buvons à sa santé... (vieille chanson à boire. C’est une ''échanson'', si on veut !)
Il est 19 heures 58, ce mardi 24 novembre 2020. La France, en apnée, comme assommée, attend la parole divine (?) en fredonnant du Barbara : ''Dis... quand rouvriras-tu ?''. Jamais autant de gens (37,6 millions la dernière fois, un record ! Faut-il qu'on s'ennuie, confinés !) n'ont été suspendus à l'apparition d'aucun des dieux, demi-dieux et tyranneaux qui ont parsemé l'histoire de l'humanité. Aucune apparition de la Vierge Marie, pourtant réputée sympa et attentive aux vrais besoins des hommes (c'est-à-dire aucun de ceux dont parlent nos politiciens dans leurs discours...) n'a jamais été attendue, de pied ou d'écran ferme et à une heure précise, pas plus, dans un tout autre registre, que la Pythie de Delphes se faisait voir chez les grecs, ou pas plus que ses suivants (les célèbres ''enfants de Pythie'') n'ont atteint de tels scores, alors que tous avaient, eux, des choses à dire !
Le Figaro de ce matin (j'écris ces mots mardi, évidemment, donc 'hier'' pour qui les lira) titrait ''Emmanuel Macron veut déconfiner à petits pas''. Désireux d'apporter une quelquechose tribution , j'ai sollicité l'aide du grand linguiste et sémiologue Alain Bentolilla, originaire de Relizane et (donc ?) toujours de bon conseil. Ce ''Saint Alain Chrysostome'' (= Bouche d'or) –si j'ose !-- m'a proposé trois ''sorties par le haut'' possibles pour ce ''déconfiner à petits pas'' : une, finement, en version abrégée : ''déconner'', une en version ''d'agrégé'' : ''déconfinailler'', et une troisième en version Philippe Etchebest : ''déconfiturer''. Pourquoi trois ? Eh ! bien parce que je ne voudrais pas que l'inoxydable ''secrétaire éternelle de l'Académie française'' (son titre officiel dit ''perpétuelle''), Madame Carrère d'Encausse tique !
L'expérience précédente ne peut, en effet, être décrite que comme ''tout, sauf un succès'', tout le monde le reconnaît. Et pourtant... rappelez-vous... C'était hier, c'est il y a une éternité, c'était... le 3 juillet 2020 : un Emmanuel Macron au mieux de sa forme et au pire de la nôtre nous cocoriquait aux oreilles que la star du déconfinement, que dis-je : Môssieu Déconfinement soi-même, faisait à la France le don de sa personne (tu parles d'un cadeau ! Quoi que..., c'est vrai qu’ il n'est vraiment personne !). La Présidence n'avait pas de mots pour exprimer l'admiration du club des Enarques (SAR-très-L) devant la réussite de Castex-Omphale –qui avait tissé sa toile et brandi son fuseau pour mettre en déroute le covid, défait en rase campagne (tu parles -bis, ou ter) à grands coups de Castetx sur la tronche...
Cinq petits mois plus tard, il ne reste de cette ‘’légende d'espiègles’’ que la dure vérité : c'est le covid qui avait gagné. Et par KO, encore ! Devant ce casse-tête, le pauvre Castex, pourtant auteur ''talentueur'' d'un des plus grands chefs d’œuvres de la littérature française (je veux parler du ''best seller'' inoubliable ''La ligne de chemin de fer de Perpignan à Villefranche'' (sous-titre : ''Prélude à la ligne de Cerdagne''), a été ramené dans ses 22 mètres, ce qui, pour un ‘‘has been rugbyman’’, est l'humiliation suprême. En se repassant le film de ce premier déconfiturement, comment ne pas penser à ces lignes de Lucien de Samosate, de son vrai nom Λουκιανὸς ὁ Σαμοσατεύς , (qu'on aurait vu entre 120 et 180 AD, chez les grecs) : dans son Comment il faut écrire l'histoire, ce rhéteur rieur racontait : ''Tandis qu'Omphale, couverte de la peau du lion de Némée, tenait la massue, Héraclès, habillé en femme, travaillait la laine, et souffrait qu'Omphale lui donnât quelquefois de petits soufflets avec sa pantoufle''... On peut rêver, généraliser, personnaliser, imaginer, ou en rire... Après tout, nous sommes au pays de la liberté de penser et de dire, comme me le disait avant-hier le réalisateur de ''Hold-Up'' !
C'est dans cet état d'esprit, et parce que je dois en parler demain dans ce Blog (même pour la parole ‘’divine’’ (?)... trop, c'est trop) que je me suis installé pas trop confortablement (les 2 fois précédentes, il m'avait endormi !) devant mon récepteur que, depuis que Delphine Ernotte détruit la télé d'Etat, j'ai mis en RTT. Mais on ne fait pas toujours ce qu'on aimerait faire... Je me suis senti en communion avec les 30 ou 40 millions de français qui attendent, espèrent et prient (''à chacun selon ses capacités'', disait Marx –pas Groucho, l'autre !) en attendant que s’arrête ce re-confinement... qui a commencé pile après que la courbe d'extension des maux liés à ce maudit covid ne commence à baisser un bon coup ! (c’est de la scoumoune !).
Compte-rendu : ce même mardi 24 novembre, mais il est 20 heures 27, et la sixième ‘’adresse’’ est terminée. Une impression générale, d’abord ? Un discours de bureaucrate ou de comptable ! Au lieu de 1 km et 1 heure, on va avoir droit, généreusement à 20 km et 3 heures (ça va être fastoche à vérifier !). Encore plus absurde : les églises rouvrent, mais avec 30 personnes (NDLR : ce qui veut dire, en bon français : ‘’restent fermées’’). Dit autrement, le dimanche, mon réveil sonnera à 5 heures et je ferai la queue dans le froid, au ‘’touche-touche’’ avec d’autres vieux malheureux prêts à défier prudence, sagesse et santé. Et il faudra qu’on s’estime heureux si cette chasse aux 30 places ne dégénère pas en pugilat, ici ou là !
Et puisqu’on parle de comptabilité, il n’y a pas eu moyen d’échapper à la séquence habituelle des chiffres plus ou moins significatifs, suivie des autres séquences de remerciements et d’auto-congratulations : ‘’Nous avons vaincu’’, ‘’le confinement a gagné’’ (lire ci-dessus !) et donc, ‘’On garde l’Ausweis... Restez chez vous... Aérez toutes les 1 h 58 ou 2 h 03. Car, toujours très personnalisé, ‘’le virus circule encore dans l’hexagone’’ (donc pas en France ? ça, c’est une bonne nouvelle !). Mais (il le redira 5 fois) tout l’équilibre de la nation ne dépend que de l’atteinte des 5000,00 cas /jour et des 2500,00 entrées en réa /jour. Ce qui compte, c’est le nombre exact
Côté ‘’nouvelles’’ (sous réserve de ces deux couperets), on a le strict minimum pour les magasins ‘’ex-inutiles’’ : comme pour les cultes, lorsque des critères sont absurdes, ils sont inapplicables ou n’ont aucun sens. On se souvient de la vieille recette ‘’si vous voulez être respectés, soyez respectable’’. Pour ceux qui n’ont pas su convaincre, on va leur donner des sous (motus sur ‘’qui va payer la dette et comment’’), mais s’il pense que ces pauvres gens au bord du désespoir vont le suivre dans ses raisonnements technocratiques (non pas ‘’à en mourir’’, comme d’habitude, mais, ce coup-ci, ‘’à (les) tuer’’), je crois qu’il se trompe. Ce soir, je n’aimerais pas être dans l’une des catégories qu’il comprend (sic !) qu’il entend (sic !), dont il sait les problèmes, etc.. mais qu’il assume (sans risque et sans danger)
Il assume, peut être, mais il menace : voilà la 3 ème vague et le 3 ème confinement si nous ne portons pas le masque à la maison, si nous ne nous lavons pas les mains (à quel niveau est tombée sa ‘’République’’ ! Aux détails les plus sordides ! C’est pitoyable !). Et il croit nous rassurer en psittacisant sa séquence ‘’bouillie pour chats’’ méthodologique ‘’tester, alerter, protéger, soigner’’... ce qui n’a aucun sens, opérationnellement, pour le citoyen lambda que je suis ! Exemple : ‘’Un jeune, une solution’’... et passez, muscade : ‘’Allez sur l’appli !’’ Mes pauvres petits-enfants !
En conclusion, il est dans sa bulle et il entend bien y rester. Le bobard du ‘’sauver les vies’’ prend l’eau de toutes parts (la seule différence : on meurt d’autre chose !), mais il s’y accroche comme le naufragé à sa bouée... Et je crains fort que tant qu’il n’arrivera pas à allumer un brin d’humanité au fond de son regard glacial... sa crédibilité ne fera pas le petit bond en avant dont la France a tellement besoin. Et n’oubliez pas votre Ausweis, quand vous allez du salon à la salle à manger !
H-Cl.
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Dans un nouvel essai qui fera date, le philosophe revisite l'Antiquité romaine pour y puiser une morale face au nihilisme contemporain. L'occasion d'évoquer avec lui la vie, la mort, le courage, l'impossibilité de débattre en France, Emmanuel Macron, le mouvement des «gilets jaunes» et le spectre de la Révolution française...
Dans les premières pages de Sagesse, votre nouveau livre, vous faites revivre Pompéi au point que le lecteur se retrouve plongé dans l'Antiquité romaine. D'où vous vient votre passion pour cette période?
De ma rencontre avec Lucien Jerphagnon quand je suis arrivé à l'université de Caen. Il a été mon professeur de philosophie antique et m'a subjugué avec un cours sur Lucrèce. J'ai alors suivi des cours d'histoire romaine et d'archéologie antique afin de mieux entrer dans ce monde-là. C'était il y a plus de quarante ans…
À travers ce livre, vous opposez une philosophie théorique grecque et une philosophie pratique romaine. Vous vous placez résolument du côté de Rome. Pourquoi?
Parce que le lignage grec a triomphé avec le judéo-christianisme, qui est un idéalisme forcené puisqu'il tient pour plus vrai ce qui n'existe pas, un ciel habité plutôt que ce qui existe. La philosophie allemande domine le paysage philosophique depuis l'idéalisme kantien jusqu'à la phénoménologie heideggérienne. Elle a accouché du déconstructionnisme via le structuralisme, la forme ultime de l'idéalisme. Ce lignage accouche de professeurs qui ne pensent la discipline que dans la transmission incestueuse à des disciples soumis dans l'Institution. Le vocabulaire hypertechnique qui exclut le non-initié sert de signe de reconnaissance à la tribu et permet en même temps d'éloigner les gueux - auxquels je m'adressais à l'Université populaire de Caen.
Rome n'aspire pas à faire des professeurs, c'est-à-dire des sophistes et des rhéteurs, des dialecticiens et des casuistes, mais des hommes sages dans leur vie quotidienne. La sagesse pratique est l'objectif romain alors que celui des Grecs est très souvent l'art philosophique pour l'art.
Le débat intellectuel en France est-il confisqué par les héritiers d'une philosophie grecque désincarnée? Leur goût pour l'abstraction explique-t-il la difficulté de débattre?
- Crédits photo : AFP JOEL SAGET/AFP
Non, ce qui explique la difficulté de débattre en France, c'est l'importance que joue la Révolution française dans l'imaginaire intellectuel français. 1793, la Terreur, le gouvernement révolutionnaire, le tribunal du même nom et Robespierre ont fait de la guillotine l'horizon rhétorique de prédilection du «gauchisme culturel», pour utiliser une expression de Jean-Pierre Le Goff, qui est le lot commun de l'intelligentsia française - y compris si souvent à «droite».
Vous opposez également la morale du courage de la civilisation gréco-romaine à la morale du pathos de la civilisation judéo-chrétienne, que vous comparez à un immense «pleuroir»…
Dans un chapitre, je propose une philosophie du rire et des larmes et constate qu'à Rome on pleure, certes, mais qu'on ne pleurniche pas comme saint Augustin. Voyez Les Confessions: Augustin n'arrête pas de «chialer» comme aurait dit mon vieux maître Lucien Jerphagnon. Même chose avec sa mère, qui est une fontaine…
La vertu des vertus chez les Romains c'est le courage, elle oblige donc à faire face, à faire front - donc à ne pas pleurer. Chez les premiers chrétiens, la vertu des vertus est le martyre: mais quel courage y a-t-il à mourir quand on croit qu'à l'issue de ce sacrifice on va retrouver ses morts et Dieu pour l'éternité? Voilà pourquoi le christianisme chérit la mort et pleure de joie à l'idée d'une vie éternelle en compagnie de Dieu.
N'avez-vous pas tendance à noircir le christianisme? Notre civilisation n'a-t-elle pas aussi produit de grandes choses?
Ne me faites pas dire le contraire: bien sûr que oui! Je suis athée, mais un athée chrétien parce que je ne peux éviter d'être un pur produit du judéo-christianisme y compris dans mon athéisme! La première formulation concrète de l'athéisme provient du curé Meslier, au début du XVIIIe siècle et, au siècle suivant, la première charge philosophique la plus destructive contre le christianisme vient de Nietzsche qui était fils, petit-fils de pasteur et lui-même destiné à l'être.
Vous qui détestez la corrida, vous allez jusqu'à faire l'éloge des combats de gladiateurs. Pourquoi?
La gladiature n'est connue que par le péplum ou la peinture de péplum qui donne l'impulsion au cinéma - je songe à Gérôme, que j'adore. Et le cinéma, ici comme ailleurs, parvient à imposer une fiction en lieu et place de la réalité. Le péplum est un art chrétien avec des Romains méchants qui persécutent les gentils chrétiens avant que le méchant légionnaire ne trouve le chemin de Jésus via une belle et gentille esclave qui le convertit à l'amour. Pour ce faire, le Romain doit être sanguinaire, barbare. Et quoi de mieux, pour étayer cette fiction, que d'instrumentaliser la gladiature?
«Je crois en effet que le courage est la vertu des vertus et que chacun, là où il est, doit en manifester»
Or, elle obéit à des règles du jeu très précises, avec un arbitre: avez-vous jamais vu l'arbitre dans un péplum? Jamais. La gladiature, sport populaire, permet aux Romains de mettre en scène ce qu'ils chérissent le plus: le courage. La mort n'en est pas forcément l'issue. Quant à la corrida, elle propose de faire de la souffrance animale un spectacle, c'est indéfendable. L'histoire de la gladiature est longue et ses règles ont changé. Rite religieux au départ, pur spectacle ensuite, elle finit par être un genre de sport et finit dépravée avec certains empereurs qui étaient eux-mêmes dépravés - je songe à Commode, le fils, hélas, de Marc Aurèle. Sous l'empire, les gladiateurs sont volontaires, professionnels. Ils ne meurent pas toujours, peuvent arrêter de combattre et devenir entraîneurs. Et puis, on ne le dit jamais, il y avait aussi des femmes gladiatrices!
On a le sentiment que vous vous identifiez à la figure du gladiateur, à son courage…
Je crois en effet que le courage est la vertu des vertus et que chacun, là où il est, doit en manifester. Le philosophe le devrait aussi, lui plus qu'un autre puisqu'il fait profession de vertu.
- Crédits photo : ,
Votre livre ressemble à un manuel pratique de sagesse où vous tentez de répondre à différentes questions que tout le monde se pose pour mieux vivre. On devine cependant que certaines vous hantent peut-être aujourd'hui plus que d'autres notamment après votre AVC: «Comment vieillir?» ou encore «Comment mourir?»…
C'est un livre de partage et de transmission. Pour ma part, j'ai vécu assez de choses, deuils et maladies, âge et expériences, pour n'être plus à l'heure de la réflexion mais à celle du partage des acquis de la réflexion. Après Décadence, qui racontait le fissurage de notre civilisation, j'ai reçu beaucoup de courrier me demandant: «Et on fait quoi maintenant?» J'ai eu à cœur d'écrire ce livre pour expliquer comment on pouvait vivre concrètement au pied d'un volcan, quelle morale était possible afin de vivre et de mourir debout.
» LIRE AUSSI - L'écriture, la mort, les médias, la politique: les confidences du philosophe Michel Onfray
Vous avez malheureusement eu l'occasion de méditer ces questions ces derniers mois…
Mon premier pépin de santé date de 1988, un infarctus. Il y a eu ensuite un accident cardiaque, puis deux AVC: j'ai eu longuement le temps de me faire un avis sur la question! J'ai perdu ma compagne d'un cancer qui a duré treize ans, mon père est mort dans mes bras, je ne crains ni la vieillesse ni la mort. La suite dira si je persiste dans cette sérénité.
«J'ai eu à cœur d'écrire ce livre pour expliquer comment on pouvait vivre concrètement au pied d'un volcan, quelle morale était possible afin de vivre et de mourir debout»
Vous tentez également de répondre à la question de l'engendrement. Ne regrettez-vous jamais de ne pas avoir eu d'enfants? Pourquoi?
Je ne regrette pas du tout. J'aime les enfants et n'ai jamais voulu leur offrir une vie dans un monde où les prospérités vont si souvent au vice et les malheurs à la vertu. Je n'avais envie ni d'éduquer au vice, si souvent payant, ni d'écarter la vertu, tellement souvent peu payée de retour.
Vous aviez prévu l'effondrement de Macron. Avez-vous tout de même été surpris par le mouvement des «gilets jaunes»?
- Crédits photo : AFP JOEL SAGET/AFP
Je sais, depuis mon enfance dans un milieu pauvre, la misère induite par la paupérisation, qui s'avère inséparable du capitalisme libéral. Je savais aussi que le virage libéral du Parti socialiste en 1983 et son ralliement au marché avec une accélération causée par l'État maastrichtien en 1992 aggravait les choses. Je savais inéluctable la manifestation de cette colère et l'ai beaucoup écrit depuis une vingtaine d'années. Je n'ai donc pas été surpris par la fronde mais par les formes prises par cette insurrection.
Ce peuple qui s'est soulevé a longtemps été absent des écrans radars médiatique et politique. Vous réjouissez-vous de le voir sortir de son invisibilité?
Totalement! J'ai écrit tout de suite sur le site de ma web télévision et, jusqu'à ce jour, combien ce peuple que j'avais appelé old school dans un entretien au Figaro et qui m'avait valu les insultes de la presse maastrichtienne, était le mien. Ce qui me réjouit plus que tout, c'est que ce mouvement révèle, au sens photographique du terme, l'état critique de notre société : on voit désormais comment fonctionne la presse connivente, qu'elle soit privée ou d'État - elle est de toute façon subventionnée par le contribuable - pour imposer la loi de l'État maastrichtien ; on voit combien des journalistes, des éditocrates et un grand nombre d'intellectuels, de «chercheurs» ou d'universitaires, eux aussi payés par l'État, sont connivents avec le pouvoir ; on voit combien le ministère de l'Intérieur, l'Élysée, Matignon, les communicants du Château n'ont pas reculé devant les moyens les moins démocratiques, donc les plus bas, pour bâillonner un peuple qui a faim: insultes, mépris, désinformation, attaques ad hominem, instrumentalisation, donc banalisation, de l'antisémitisme, du racisme, de l'homophobie, du fascisme, tabassages, mutilations (de terribles photos sur le net en témoignent), arrestations policières, filatures et arrestation de Julien Coupat ou d'Éric Drouet… La France, patrie des droits de l'homme? Je crois que Macron a considérablement abîmé l'image de la France dans le monde en très peu de temps.
Doit-on aller vers plus de démocratie directe pour sortir de cette crise démocratique?
«Je crois que Macron a considérablement abîmé l'image de la France dans le monde en très peu de temps.»
C'est toute la thèse de Décoloniser les provinces: je crois à un socialisme libertaire qui n'a rien à voir avec le socialisme de droite des socialistes et des libéraux maastrichtiens ou avec le socialisme des barbelés cher au cœur des robespierristes de tout poil. C'est celui de Proudhon, qui met la liberté au-dessus de tout et suppose un communalisme libertaire à même d'en finir avec le jacobinisme et le centralisme parisien. Pareille organisation est autogestionnaire, elle part de la base, elle instaure la démocratie directe avec des élus révocables grâce au mandat impératif.
» LIRE AUSSI - Michel Onfray: «Je suis viscéralement un rat des champs»
- Crédits photo : ,
Elle refuse la violence et tout ce qui s'avère liberticide. L'État n'y est pas un instrument de coercition jacobin mais la garantie girondine du fonctionnement vraiment décentralisé de la démocratie - c'est dans Théorie de la propriété de Proudhon. Cette option politique n'a jamais triomphé dans l'histoire parce qu'elle a toujours eu en face d'elle des violents liberticides de droite et de gauche. Encore aujourd'hui, ils sont là, embusqués.
Vous avez souvent dénoncé la dimension totalitaire de la Révolution française. Les violences de certains «gilets jaunes» ne vous inquiètent-elles pas?
Si, bien sûr. J'ai beaucoup lu et je lis beaucoup sur la Révolution française. Et je ne vois que trop le parallèle. Je relis ces temps-ci les pages que Taine consacre aux premières semaines de la Révolution française. Le mépris que Macron oppose depuis plus d'un mois à cette parole de gens qui veulent du pain se double d'arrogance et de morgue, de suffisance et d'autoritarisme, de propagande et de coups bas: c'est la bonne recette pour en arriver au sang. Or, une fois le premier sang versé, plus rien n'est susceptible d'être contenu.
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Virée a la mer du sud
Une envie de moto (et d'huîtres ;-) ), ça vous prends comme une envie de pisser oréveil ! Allez, hop ! Un grand café, un p'tit road et gazzz !
Première étape, soigneusement chouazie, "Chez Lucien", pour une séance dégustation et rêverie... le clapotis de l'eau, le cliquetis des bateaux...
Deuxième étape, l'île de Berder, on n'y accède qu'à marée basse et... à pied ! Je passe mon chemin et continue ma route 😄
Troisième étape, le vieux pont suspendu, et sa vue... et c'est bô ! On s'casse !
Et retour maison, le ciel s'obscurci dangereusement... grain en vue ! temps breton 😄
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Printemps 1918, Al Simhara, Égypte (8/20)
L’organisation de la cérémonie me donna l'occasion de recontacter de vieux amis, que je souhaitais inviter. C’est ainsi que j’obtins des nouvelles de Heather, la veuve de feu le Capitaine Delacroix, qui est aussi l’infirmière à qui je dois ma vie sauve. Elle est rentrée chez elle à Vancouver où elle a ouvert un institut destiné aux orphelins de guerre. Elle me fit part de ses regrets de ne pas pouvoir assister à la cérémonie à si bref préavis, mais nous envoya une élégante couronne de fleurs en tissus en guise de cadeau de mariage.
[Transcription] Earnest Simmon : Ce mariage est une chance pour nos deux familles. En associant nos fortunes, toi et moi, nous allons pouvoir bâtir un empire. Louise Le Bris : Je n’y compterais pas trop si j’étais toi, et je continuerais d’investir sur mon bien propre. Earnest Simmon : Qu’est-ce que tu entends par là ? Louise Le Bris : C’est Lucien qui va hériter, pas moi, et très honnêtement, c’est mieux comme ça. Je n’ai pas envie d’hériter des dettes. Earnest Simmon : Des dettes ? Louise Le Bris : Les Le Bris n’ont plus d’argent. Mon père ne travaille pas, il gaspille toute la fortune amassée par Grand-Père dans ses voyages. Louise Le Bris : *s’étire* Nous gagnons bien quelques dividendes par les élevages Le Bris, qui sont administrés par notre grand-oncle, et il y a sa pension d’invalidité, mais cela n’est pas suffisant pour couvrir toutes ses dépenses. C’est pour cela que ni Marie, ni Agathon ne sont pas en pension. Earnest Simmon : Je ne le savais pas. Louise Le Bris : De toute manière, avec la fortune de ta famille, on sera largement à l’abri du besoin.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Louise Le Bris II#Marie Le Bris III#Agathon Le Bris#Earnest Simmon#Auguste Le Bris#Joseph Bernard#Heather Delacroix
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UN DINER SOUS LE SIGNE DU SPORT https://youtu.be/C5yEq1yQt3k Lucien Cheval : Allô j'écoute François Pignon : Lucien ? Tu vas bien ? C'est François. Lucien Cheval : Alors comment il va ce soir monsieur l'Auxerrois ? François Pignon : D'abord je suis pas Auxerrois, ensuite c'est pas encore perdu hein. Lucien Cheval : C'est pas perdu ? Ah ah, écoutez-le, le con, il se prend deux buts dans les cinq premières minutes et il dit que c'est pas encore perdu, ah ah, c'est des guignols les Auxerrois ! Des p’tites bites ! Des jean-foutre ! François Pignon : Ah oui ? Et qui s'est fait déchirer la semaine dernière à Bordeaux, c'est Auxerre peut-être ? Dans le cul l'OM dans le cul-ul-ul, dans le cul ! Lucien Cheval : Va te faire foutre, tiens ! François Pignon : Toi aussi, va te faire foutre ! [Il raccroche]. Oh, mais quel connard ce type, ... Oh, allez l'OM hé ... aux chiottes l'OM ! aux chiottes l'OM ! aux chiottes l'OM ! aux chiottes l'OM ... haha, ... quel connard ... François Pignon : [Remarquant les regards froids de Pierre et Juste] ... je le rappelle ... Juste Leblanc : [à Pierre] Non mais il est hors concours celui-là ... Pierre Brochant : C'est comme ça depuis une heure, ça n'arrête pas. François Pignon : C'est pas grave je vous dit, j'le rappelle, on s'engueule tout le temps, on s'adore ... Lucien Cheval : [Laisse sonner plusieurs fois le téléphone volontairement] ... Pignon ? ... François Pignon : Lucien ? Je te rappelle parce que j'ai un service à te demander. Lucien Cheval : D'accord, mais à une seule condition. François Pignon : Laquelle ? Lucien Cheval : C'est que tu cries "aaallez l'OM !" François Pignon : [paniqué, il fait signe qu'il peut pas le faire] Juste Leblanc : Eh bien allez-y mon vieux ! "Aaallez l'OM, Aaallez l'OM ..." [Pierre l'accompagne] ... François Pignon : C'est vraiment pour vous que je le fais, Pierre ... [à Lucien] Allez l'OM !. Lucien Cheval : Oh toi tu dois avoir quelque chose de sérieux à me demander Francis Huster, Thierry Lhermitte, Jacques Villeret, Daniel Prevost, Le Dîner de cons (1998), écrit par Francis Veber. #culturejaiflash https://www.instagram.com/p/CRQwJuuFQlm/?utm_medium=tumblr
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« Enfin l’été bien Calais sur la plage »
Alors que je me trouvais sur la ligne 5 du Métro parisien, à la station Gare du Nord, mes yeux sont tombés sur une affiche de style rétro vantant « Calais la Plage ».
J’avais déjà vu cette affiche sur Facebook mais j’ai été un peu surprise de la retrouver à Paris et puis finalement, je me suis dit :
- C’est normal à Gare du Nord
En effet, c’est dans cette gare qu’on peut prendre un train pour Calais et faire le trajet en 1H30 comme nous le vante la SNCF.
En réalité, ce n’était pas une seule affiche vantant Calais mais six panneaux, tout le long du même quai de la ligne 5, quand on vient de la gare de l’Est et qu’on se dirige vers la gare du Nord. Je n’étais d’ailleurs pas la seule à les photographier tant ils sont beaux et attirent l’œil.
affiche datant du début du XX° siècle vantant les charmes de Calais. Il fallait, à l’époque, 3h40 pour venir en train de Paris.
Oublions Calais meurtrie
Ah ! Calais, cette ville qui avait jusqu’à présent une si mauvaise image.
Cette ville meurtrie par la fermeture des usines de tulle et dont la vie précisément était calée (sans jeu de mot) sur les congés de la dentelle.
Cette ville abandonnée par les Anglais par la faute du Brexit et du Covid. C’est pourtant la plus anglaise des villes françaises avec ses maisons à bow-windows et elle est surtout la seule ville française à posséder une église de style Tudor, construite pendant l’occupation anglaise qui a duré de 1347 à 1558. C’est dans cette église Notre Dame que se sont dits « oui », il y a tout juste cent ans, le grand général et la petite calaisienne.
Cette ville qui attire comme un aimant, depuis déjà plus de 20 ans, les migrants désireux de s’installer Outre-Manche.
Cette ville bunkérisée par de très hauts grillages dès qu’on approche de lieux sensibles comme les zones d’embarquement maritimes et ferroviaires.
Quelques moments de gloire
Calais avait déjà eu son heure de gloire, il y a bientôt 30 ans, grâce à la construction et à l’ouverture du Tunnel sous la Manche.
Et six ans plus tard, en l’an 2000, ce fut la consécration des footballeurs du CRUFC qui sont arrivés en finale de la coupe de France de football.
La plage de Calais vue du restaurant L’Aquar’aile, en juin 2020
Calais retrouve une nouvelle jeunesse
La ville de Calais vient d’être classée quatrième ville moyenne de France où il fait bon télétravailler dans un premier classement établi pour le magazine Le Point. Elle le doit à son bon déploiement de la fibre, à sa position stratégique non loin de trois grandes capitales : Londres, Bruxelles et Paris qu’il est possible de rallier en train entre 1h et 1h30 et d’une grande métropole, Lille qui se situe à trente minutes de Calais. Calais dispose aussi de la gratuité du transport. Et il est possible de s’évader le soir après le travail ou le week-end en bord de mer à l’instar de nombreux calaisiens.
affiche en vente à l’Office de Tourisme de Calais
Et la généalogie dans tout cela ?
Eugène DEQUIDT, le plus jeune frère de mon arrière-grand-père Emile DEQUIDT, après des études au séminaire, a trouvé un emploi de clerc de notaire, en 1887, à Calais. Un an plus tard, il épousait une jeune calaisienne, Marie BAYARD.
Mon père m’avait plusieurs fois raconté l’anecdote du mariage d’Eugène à Calais auquel avaient été conviés ses sept frères qui étaient de grands et forts gaillards. Après la cérémonie de mariage, ils ont été invités dans un des plus chics restaurants de Calais (son nom n’est pas passé à la postérité) mais les petites portions soignées et bien présentées ne suffisaient pas à nourrir les frères DEQUIDT et ils ont profité d’un entracte au cours du repas pour se jeter sur un steak-frites dans une brasserie, non loin de là où ils se trouvaient.
Après avoir passé un an dans une étude notariale, Eugène est devenu caissier, puis chef de contentieux et gérant chez Monsieur CORNOIS qui possédait un grand magasin du nom de « L’Epargne du Travail ». Il y a passé cinq ans puis de 1893 à 1896,il a été gérant du « Crédit Calaisien », un syndicat de commerçants.
Fort de ces diverses expériences notamment dans les domaines commerciaux et bancaires, Eugène DEQUIDT crée, en 1896, un grand magasin à l’enseigne « A Jeanne d’Arc », situé au 35, 37 et 39 boulevard La Fayette. On y vendait de tout, des meubles, des vêtements, toutes sortes de tissus et de toiles, des machines à coudre, des parapluies, des voitures d’enfants. Une succursale s’est ouverte au 33 boulevard Gambetta.
Les marchandises pouvaient se payer au comptant mais aussi sur abonnement, c’est-à-dire à crédit.
annonce du 25 février 1898 parue dans le Grand écho du Nord
Les affaires ont prospéré jusqu’au début de la première guerre mondiale où la loi du 5 août 1914 accordant un moratoire aux citoyens présents sous les drapeaux de même qu’aux prisonniers de guerre, aux blessés, aux tués et même aux mobilisés à l’arrière, créa un énorme manque de trésorerie et entraîna la faillite.
Eugène et son épouse ont eu cinq filles et un garçon. Ce fils, Maurice DEQUIDT, est né à Calais le 23 décembre 1890.
Lorsque j’étais adolescente, j’ai cherché dans l’annuaire des Postes s’il y avait encore des descendants de cette branche DEQUIDT à Calais. J’ai appelé Maurice DEQUIDT qui a confirmé que son père était bien le fils d’Alexis DEQUIDT et de Reine AMMEUX. Il nous a invités à venir le rencontrer dans son appartement du boulevard La Fayette. Je crois me rappeler qu’il portait un blazer bleu marine. C’était un vieux monsieur très distingué. Il nous a offert un verre de Porto à boire. Il nous a d’ailleurs dit qu’il avait été marchand de vins et de champagnes. Il est décédé une dizaine d’années plus tard, à l’âge de 90 ans.
Un champion d’escrime
Dans sa jeunesse, Maurice était sûrement un bel homme. Sa fiche matricule nous indique qu’il avait les yeux bleus, les cheveux châtains clairs, le visage long, une grande bouche et un nez moyen. Il était élancé et mesurait 1m78.
Maurice DEQUIDT a pratiqué l’escrime durant de longues années. Dans « La vie sportive du Nord et du Pas de Calais et l’Union sportive réunies » du 6 juin 1914, il est fait mention de sa participation au premier championnat d’épée de la Fédération d’escrime du Nord.
Durant la première guerre mondiale, alors qu’il combattait sur le front et a eu deux citations à l’ordre de sa division et à l’ordre de son régiment, Maurice a eu la douleur de perdre sa sœur aînée Marguerite en 1917 puis sa mère, le 28 novembre 1918.
En 1921, il participe au tournoi d’Amiens où il se classe 12° sur 40, selon le Figaro du 30 octobre 1921. On trouve à la deuxième place un certain… Jacques VENDROUX, calaisien comme Maurice qui deviendra le futur maire de Calais du 3 octobre 1944 au 30 novembre 1945 puis de 1959 à 1969.
Pour toute rencontre internationale, il était nécessaire de posséder une licence internationale d’amateur accordée par la Fédération Internationale d’Escrime. En 1922, on trouve Jacques VENDROUX au N° 54 et Maurice DEQUIDT au N° 55.
Ils s’entraînaient à la salle LABORDERIE (du nom de leur maître d’armes).
En août 1923, Maurice DEQUIDT se classe premier au tournoi régional d’escrime de Malo les Bains
Selon le Grand écho du Nord de la France du 15 avril 1924, Maurice DEQUIDT a pris la première place lors du championnat d’escrime du Nord-Pas de Calais qui s’est déroulé la veille à Arras. Il devient donc non seulement champion du Nord mis il obtient aussi sa qualification pour les Jeux Olympiques qui devaient se dérouler à Paris, durant l’été. Il devient à nouveau champion fédéral d’épée en avril 1926. Il était également l’un des vice-présidents de la Fédération d’Escrime du Nord.
En 1927, lors du challenge des fédérations provinciales, épreuve d’épée par équipe de quatre tireurs, Maurice DEQUIDT sera le capitaine de la fédération d’escrime du Nord, selon le Nord Maritime du 4 juin 1927.
Le dimanche 28 avril 1929, il a remporté le championnat du Nord d’épée, comme nous le relate le Grand écho du Nord de la France du lendemain. Il a également représenté la Fédération du Nord avec deux lillois lors des championnats de France amateurs de 1929.
Selon le Nord Maritime du 26 août 1929, il figure parmi les meilleures lames du Nord, du Pas de Calais et de l’Est engagées dans le Grand Challenge National d’épée individuel d’amateurs qui se déroule dans la salle d’armes Jean BART de Malo. Le journal du lendemain nous apprend que Maurice DEQUIDT s’est classé deuxième sur quarante épéistes. Il a obtenu 8 victoires et 9 touches.
Le journal L’Action Française du 27 août 1930, nous relate que Maurice figurait dans la finale des amateurs du tournoi d’épée d’Anvers sans nous donner précisément son classement.
En juillet 1932, Maurice DEQUIDT, capitaine de l’équipe d’épéistes de la Fédération du Nord représentant la France remporte le Grand Prix d’Ostende contre des équipes d’Angleterre, de Hollande et de Belgique, comme nous le relate le Grand écho du Nord de la France du 24 juillet 1932. Maurice avait également terminé premier dans l’épreuve individuelle, lors du challenge Nestor GODIN, le mois précédent. C’est aussi l’année où il a gagné le challenge MAEGHT.
En mai 1933, Maurice remporte le tournoi de Douai en individuel mais aussi en équipe.
l’équipe de la salle LABORDERIE, le 27 février 1933, Maurice DEQUIDT est tout à droite.
Maurice occupe également des postes d’organisateur ou d’arbitrage. Lors du championnat régional d’épée, il est président des éliminatoires selon le Figaro du 15 mai 1933. Lors du challenge Lucien GAUDIN qui se déroule au Touquet, en juillet 1933, Maurice est l’un des six présidents de jurys. Il est également président de jury lors du tournoi d’épée de la salle Jean BART à Malo, en août 1933.
Le Grand écho du Nord de la France, dans son édition du 26 mars 1934, nous laisse entrevoir que Maurice DEQUIDT a entamé une carrière d’arbitre international. Ce journal qualifie Maurice d’arbitre officiel de la Fédération sans préciser s’il s’agit de la Fédération régionale ou nationale.
C’est à ce moment-là, précisément le 22 octobre 1934, qu’il épouse une jeune-fille de 24 ans, Andrée DEHAESE, alors qu’il est âgé de 43 ans. Ils n’ont pas eu d’enfants et je ne l’ai pas rencontrée lors de ma visite chez Maurice et il n’en a fait aucune allusion. Et pour cause, leur mariage a été dissous par le Tribunal de la Seine en date du 30 septembre 1961. Cela, sans doute à la demande d’Andrée, car l’année suivante, le 14 avril 1962, elle épouse un publiciste et éditeur, originaire de Fouquières-lès-Lens mais vivant à Paris.
En avril 1936, Maurice participait, à Lille, au challenge amical entre la salle GUILLERMIN de Lille et la salle LABORDERIE de Calais où il s’entraînait. Les deux clubs ont terminé à égalité mais les Calaisiens l’ont emporté car ils avaient 11 touches de moins que les Lillois.
La salle LABORDERIE a été créée en 1894. Elle se composait de deux salles. Celle d’hiver, située au coeur du vieux Calais au 17 de la rue Leveux était utilisée d’octobre à mai. La salle d’été ouvrait avec la saison des bains de mer, elle occupait le centre d’un parc, en bord de mer. (extrait de La Vie au Grand Air du 15 novembre 1898)
En 1938, Maurice remportait le tournoi organisé pour les 25 ans de la Fédération d’escrime du Nord, il avait alors quarante-huit ans. Sa carrière sportive s’est probablement arrêtée à l’aube de la seconde guerre mondiale.
Il existe une autre branche DEQUIDT à Calais. Jules DEQUIDT qui était né à Saint-Omer, s’est marié à Calais, quinze jours avant Eugène DEQUIDT. Il a ouvert un magasin de droguerie, peintures et papiers-peints au 227 boulevard La Fayette et il avait une entreprise de peintures. Son père et son grand-père étaient originaires de Ghyvelde et il faut remonter à la sixième génération pour trouver un ancêtre originaire de Cassel. Je n’ai pas trouvé de lien entre nos deux branches mais elles ont sûrement un même couple d’ancêtres communs.
Un autre DEQUIDT, Charles, né à Bourbourg-Campagne, qui était aussi peintre en bâtiments est venu s’installer à Calais, à l’approche de la cinquantaine, à la toute fin du XIX° siècle mais pour l’instant, je n’ai pas trouvé de parenté avec moi.
Sources :
Retronews :
Le Figaro du 30.10.1921 :
https://www.retronews.fr/journal/le-figaro-1854-/30-octobre-1921/104/620491/6?from=%2Fsearch%23allTerms%3D%2522maurice%2520dequidt%2522%26sort%3Dscore%26publishedBounds%3Dfrom%26indexedBounds%3Dfrom%26page%3D1%26searchIn%3Dall%26total%3D26&index=19
Le Nord Maritime du 18.08.1927
https://www.retronews.fr/journal/le-nord-maritime/18-aout-1927/1151/4109101/4?from=%2Fsearch%23allTerms%3D%2522maurice%2520dequidt%2522%26sort%3Dscore%26publishedBounds%3Dfrom%26indexedBounds%3Dfrom%26page%3D1%26searchIn%3Dall%26total%3D26&index=23
Le Nord Maritime du 28.08.1928
https://www.retronews.fr/journal/le-nord-maritime/28-aout-1928/1151/4109091/3?from=%2Fsearch%23allTerms%3D%2522maurice%2520dequidt%2522%26sort%3Dscore%26publishedBounds%3Dfrom%26indexedBounds%3Dfrom%26page%3D1%26searchIn%3Dall%26total%3D26&index=13
le Nord Maritime du 15.11.1928
https://www.retronews.fr/journal/le-nord-maritime/15-novembre-1928/1151/4108731/4?from=%2Fsearch%23allTerms%3D%2522maurice%2520dequidt%2522%26sort%3Dscore%26publishedBounds%3Dfrom%26indexedBounds%3Dfrom%26page%3D1%26searchIn%3Dall%26total%3D26&index=7
le Nord Maritime du 26.08.1929
https://www.retronews.fr/journal/le-nord-maritime/26-aout-1929/1151/4107885/2?from=%2Fsearch%23allTerms%3D%2522maurice%2520dequidt%2522%26sort%3Dscore%26publishedBounds%3Dfrom%26indexedBounds%3Dfrom%26page%3D1%26searchIn%3Dall%26total%3D26&index=7
le Nord Maritime du 27.08.1929
https://www.retronews.fr/journal/le-nord-maritime/27-aout-1929/1151/4107883/4?from=%2Fsearch%23allTerms%3D%2522maurice%2520dequidt%2522%26sort%3Dscore%26publishedBounds%3Dfrom%26indexedBounds%3Dfrom%26page%3D1%26searchIn%3Dall%26total%3D26&index=2
l’Action Française du 27.08.1930
https://www.retronews.fr/journal/l-action-francaise/27-aout-1930/4/504527/4?from=%2Fsearch%23allTerms%3D%2522maurice%2520dequidt%2522%26sort%3Dscore%26publishedBounds%3Dfrom%26indexedBounds%3Dfrom%26page%3D1%26searchIn%3Dall%26total%3D26&index=5
le Figaro du 15.05.1933
https://www.retronews.fr/journal/le-figaro-1854-/15-mai-1933/104/625417/5?from=%2Fsearch%23allTerms%3D%2522maurice%2520dequidt%2522%26sort%3Dscore%26publishedBounds%3Dfrom%26indexedBounds%3Dfrom%26page%3D1%26searchIn%3Dall%26total%3D26&index=17
le Figaro du 12.07.1933
https://www.retronews.fr/journal/le-figaro-1854-/12-juillet-1933/104/625283/5?from=%2Fsearch%23allTerms%3D%2522maurice%2520dequidt%2522%26sort%3Dscore%26publishedBounds%3Dfrom%26indexedBounds%3Dfrom%26page%3D1%26searchIn%3Dall%26total%3D26&index=22
le Figaro du 24.08.1933
https://www.retronews.fr/journal/le-figaro-1854-/24-aout-1933/104/625349/6?from=%2Fsearch%23allTerms%3D%2522maurice%2520dequidt%2522%26sort%3Dscore%26publishedBounds%3Dfrom%26indexedBounds%3Dfrom%26page%3D1%26searchIn%3Dall%26total%3D26&index=20
Gallica : : Le Grand écho du Nord de la France du 28 aoüt 1923
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k47593473/f5.item.r=dequidt.zoom
Gallica : Le Grand écho du Nord de la France du 26 mars 1934
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k47644297/f7.item.r=%22maurice%20dequidt%22.zoom
Gallica : Le Grand écho du Nord de la France du 26 avril 1926
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k47603999/f3.item.r=dequidt.zoom
Gallica : Le Grand écho du Nord de la France du 9 juin 1927
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4760721q/f2.item.r=dequidt.zoom
Gallica : Le Grand écho du Nord de la France du 6 avril 1936
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4765166s/f7.item.r=dequidt.zoom
Gallica : Le Grand écho du Nord de la France du 26 mai 1933
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4764128s/f4.item.r=dequidt.zoom
Gallica : Le Grand écho du Nord de la France du 30 août 1937
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4765659c/f7.item.r=dequidt.zoom
Gallica : Le Grand écho du Nord de la France du 24 juillet 1932
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4763738x/f4.item.r=dequidt.zoom
Gallica : La Croix du Nord du 28 juin 1938
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k50597062/f5.item.r=dequidt.zoom
Gallica: La Vie au Grand Air du 15 novembre 1898
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3200672m/f7.item.r=%22salle%20laborderie%22
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Edith Piaf - récital 1961 Live Olympia
A1 Les Mots D'Amour Written-By – C. Dumont*, M. Rivgauche*
A2 Les Flons-Flons Du Bal Written-By – C. Dumont*, M. Vaucaire*
A3 T'Es L'Homme Qu'Il Me Faut Written-By – C. Dumont*, E. Piaf*
A4 Mon Dieu Written-By – C. Dumont*, M. Vaucaire*
A5 Mon Vieux Lucien Written-By – C. Dumont*, M. Rivgauche*
B1 La Ville Inconnue Written-By – C. Dumont*, M. Vaucaire*
B2 Non, Je Ne Regrette Rien Written-By – C. Dumont*, M. Vaucaire*
B3 La Belle Histoire D'Amour Written-By – C. Dumont*, E. Piaf*
B4 Les Blouses Blanches Written-By – M. Monnot*, M. Rivgauche*
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Mon vieux lucien, poem and drawing 1973 © Patti Smith
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