#Mew en new york
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aricastmblr · 9 months ago
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ChannelSuppasit X 13 feb. 2024 มารอให้กำลังใจทั้ง 2 หนุ่มกันเยอะ ๆ นะคะ 🤍
MEW TUL IN NYFW
MewTulxMichaelKors
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ChannelSuppasit X 13 feb.2024 ลุควันนี้เป็นยังไงบ้าง สมการรอคอยมั้ยคะ 🤍
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ChannelSuppasit X 13 feb. 2024 หล่อแพ็คคู่ 🤍
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ChannelSuppasit X 13 feb. 2024 ขอบคุณแฟน ๆ ทุกคนที่มาให้กำลังใจกันในวันนี้นะครับ 🤍
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the-monkey-ruler · 21 days ago
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Bling (2016) 机械西游
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Director: Li Jinghao / Wonjae Lee Screenwriter: Lee Kyung Ho / Chris Denk / Kim Hyun Joong / Saul Blinkoff / Sukhoon Choi Starring: Taylor Kitsch / Janet McCurdy / James Woods / Carla Gugino / Tom Green / Jon Heder / Jason Mewes / Jason Kravitz / Ash Boo Linkoff / Jim Brewer / Lex Long / Steve Kramer / Dave B. Michelmore Genre: Animation Country/Region of Production: South Korea / United States Language: English Date: 2016-03-03 (USA) Duration: 82 minutes IMDb: tt5161658 Type: Reimanging
Summary:
In a future where robots are commonplace, Sam is a lowly theme park mechanic in a robot theme park called RoboWorld in New York. He is in love with his girlfriend and childhood sweetheart Sue Widdington (who works as a reporter for channel six news) and wants to propose to her in a spectacular way with a bling ring on the upcoming Valentine's Day. He lives with 3 robots he built namely Kit, Okra and Wilmer who all want to be popular superheroes. After buying an expensive engagement ring for Sue, Sam and the trio witness the robbery of another expensive ring by famous supervillain Oscar and his robot henchman Victor. Apparently Oscar is madly in love with the mayor Catherine who is Sue's aunt who doesn't love him. He forces her to accept his proposal in her office but when it doesn't work he escapes with the help of Victor. Sam makes another spectacular plan to propose to Sue during the Valentine's Day parade. Oscar makes plans to force Catherine to accept his proposal by creating a giant robot (that has a head that resembles his) made from smaller robots disguised as ATMs that would destroy the city if she doesn't accept his proposal. He remakes the ring he stole into a remote control for all his robots including Victor. After planting the robots as ATMs in RoboWorld, he and Oscar bump into Sam and Sam mistakes Oscar's ring as his and tries to take it not knowing that his own ring is in his pocket. Victor takes the ring and the two supervillains drive off. Sam and his friends chase after them still convinced that Oscar took Sue's ring.
The chase leads into a dangerous confrontation with Victor and ends with the robot henchman endangering a school bus in a Cloud Road and running off with the ring. Sam and friends save the bus and get praised as heroes. They track Victor to Oscar's lair and steal the ring only for them to face Victor and Oscar's robots in a deadly confrontation. During the fight, Sam's friends realize that the ring belongs to Oscar but decides to help Sam escape so that he could propose to Sue. Sam escapes to propose to sue only to find out the ring is Oscar's. He stops and Sue becomes disappointed in him for not being able to propose and walks off. Dejected, Sam walks off sadly. meanwhile, Victor finds Sam's ring and gives it to Oscar and they both head off to the Valentine's Day parade with an army of robots. En route, Victor discovers that Oscar never really cared about him and only became a villain because of Catherine, so he rebels against him only to be fired and kicked out by Oscar. Feeling betrayed, Victor pledges revenge and meets Sam who gives him Oscar's ring sadly. At the Parade, Catherine is interviewed by Sue and Oscar appears and assembles his giant robot and discovers that the ring given to him by Victor is Sam's. Victor appears and declares he will destroy the city and that he no longer works for Oscar. He ascends into the giant robot and uses Oscar's ring to control it. Sue inspires Sam on TV to save the city and he and his friends rush off to defeat Victor. After a great battle, Sam tells Sue how much he loves her and creates a large plan to defeat Victor and the giant robot. With the help of the robots at RoboWorld and his friends Victor and the giant robot are finally defeated. Oscar is sent to jail but not before he tells Catherine he became a villain to impress her. Catherine who never really liked Sam tells him that he had finally become a great man worthy of Sue. Finally, Sam proposes to Sue with his own handmade ring to which she says yes, giving the movie a happy ending
Source: https://en.wikipedia.org/wiki/Bling_(film)
Link: https://tubitv.com/movies/100013160/bling
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rstvideo · 3 years ago
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Scans of the booklet given to Clerks viewers at the 1994 Cannes Film Festival. Transcriptions under the cut:
Fiche Artistique: Dante Hicks - Brian O’Halloran Randal - Jeff Anderson Veronica - Marilyn Ghigliotti Caitlin - Lisa Spoonauer Jay - Jason Mewes Silent Bob - Kevin Smith
Fiche Technique: Mise en scène - Kevin Smith Scenario - Kevin Smith Production - Scott Mosier, Kevin Smith Image - David Klein Musique - Scott Angley Montage - Kevin Smith, Scott Mosier
Synopsis: Le Quick Stop Groceries, une épicerie ordinaire du New Jersey. Pour son caissier, Dante Hicks, 22 ans, la vie y est tout sauf monotone: de midi à minuit défilent en vrac les clients de tout poil - râleurs et maniaques, cas sociaux, bavards impénitents, obsédés ou doux dingues. Serviable, Dante met un point d'honneur à les satisfaire, et s'attire les sarcasmes de son copain Randal, employé au vidéo-club voisin, qui se fait, lui, une joie d'insulter, de provoquer et d'humilier tous ceux qui s'aventurent dans sa boutique.
La fonction doit-elle dicter la conduite ? s'interrogent Dante et Randal. Les deux amis débattent régulièrement des sujets les plus divers, futiles ou graves: éthique professionelle, donc, mais aussi sens caché du 'Retour du Jedi', ambitions er perspectives d'avenir, pratiques sexuelles de leurs peties amis, conceptions de l'amour et de la fidélité, etc.
Mais il est des jours où la routine explose vraiment. Des jours où Dante est réveillé en catastrophe par son patron pour assurer un remplacement; des jours où le rideau de fer est coincé; où un représentant en chewing gum vient haranguer la clientèle et provoquer une émeute; où une ex infidèle mais inoubliable annonce dans le journal son prochain mariage; où il n'y a pas d'autre endroit pour jouer au hockey que le toit de l'épicerie; où un client s'enferme dans les toilettes avec une revue porno; où un inspecteur met des amendes pour avoir vendu des cigarettes à une fillette de quatre ans; où Veronica, la tendre petite amie, révèle qu'elle a eu une vie sexuelle passée bien remplie. Des jours où Dante se dit qu'il aurait décidément mieux fait de rester couché ...
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A propos de “Clerks” par Kevin Smith
L'équipe: Scott Mosier, David Klein, et moi nous sommes rencontrés à la Vancouver Film School. La seule raison pour laquelle je suis allé dans cette école est que la scolarité y est courte (neuf mois) et relativement bon marché (dix mille dollars). Mais personne de connu n'en est jamais sorti.
L'équipe du film comprenait une personne supplémentaire en plus de nous trois: mon ami Ed Hapstack, qui n'a jamias suivi aucun cours de cinéma, mais avait accés à des éclairages dont nous avions besoin.
Nous avons toujours pensé que nous réussirions à faire de 'Clerks' un long métrage, sans être sûrs qu'il serait distribué aux Etats-Unis, et encore moins à l'étranger! Nous pensions que nous pourrions toujours le sortir à New York en louant une salle, et qu'il attirerait suffisamment l'attention pour permettre le financement de notre film suivant.
Le Scénario: L'idée de CLERKS est venue après avoir travaillé six ans dans plusieurs épiceries, dont deuz ans dans celle que l'on voit dans le film. A ma connaissance, personne, avant CLERKS, n'avait fait de film sur une épicerie. Je savais que ça ne couterait pas beaucoup d'argent, et que le décor éltait intéressant visuellement. Après avoir lu le scénario, mes amis ont décidé d'y participer. Certains éléments viennent de ce que j'ai vécu dans les épiceries (le type et les oeufs. la femme et les litres de lait), mais j'ai dû évidement exagérer chacune des anecdotes pour les rendre plus drôles. Dans le film, les intertitres (dénouement, paradigme, etc.) servent de têtes de chapitre. Il n'y avait pas de véritable chronologie dans le scénario de CLERKS: une scène pouvait se terminer avaec Dante et Randal assis derrière le comptoir, et la suivante commencer de la même façon. Plutôt qu'avoir un faux raccord, nous avons préféré utiliser des intertitres. Nous avons choisi des 'grands' mots parce que nous pensions que cela garantirait au film d'être projeté sur les campus universitaires…
Personnages et Acteurs: Les deux personnages principaux, Dante et Randal, ont quelque chose de moi : Dante me ressemble assez, et Randal ressemble à celui que j'aimerais être.
Le prénom Dante vient de l'auteur de "La Divine Comédie". Le prénom Randal vient d'un livre de Stephen King, "The Stand", dans lequel se trouve un démon nommé Randal Flagg. Mon héros s'appelle Dante à cause de sa lente et métaphorique descente aux Enfers. Et l'autre s'appelle Randal parce que, comme son homonyme, il vient mettre la pagaille.
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Quand nous avons fait le casting, nouse sommes allés voir la troupe d'un petit théâtre d'une ville voisine. Et puis il y avait le personnage de Randal. Je pensais à l'origine le jouer moi-même, mais plus nous nous rapprochions du tournage, plus il était clair que je ne pourrais pas tout faire. Je me suis souvenu de l'audition que Jeff Anderson avait faite pour le rôle de Jay.
Je connais Jeff depuis le lycée, mais nous n'étions pas très proches. J'avias ma bande de copains, il avait la sienne. Comme il passait souvent au Quick Stop peu de temps avant le casting, je lui avais parlé des auditions, et il était venu. Je lui ai alors proposé qu'on fasse une lecture du script ensemble. A la fin, j'étais sûr qu'il pourrait jouer Randal. Il est assez cool dans la vie, mais il n'est pas du tout comme son personnage.
La philosophie de Randal? Celle que tous les jeunes aimeraient avoir, mais qu'ils n'ont pas! Il faut dire que dans la vie, tous les boulots ne sont pas aussi sympa que la vie au Quick Stop.
"Le Retour du Jedi": L'exégèse du RETOUR DU JEDI était quelque chose qui m'amusait: on examine rarement la trilogie de LA GUERRE DES ÉTOILES avec le soin qu'y met Randal - et on en discute encore plus rarement avec son humour. Mais mes deux prochains films auront aussi leurs propres théories sur le JEDI
Il y a effectivement une forme de cinéphilie qui prends les films comme un tout, sans sé'parer les films "d'art" des films commerciaux. Notre propre obsession de la "pop culture" rend la séparation entre les deux parfois très floue, nous poussant à éplucher les films commerciaux, tout en appréciant les films d'auteur pour de mauvaises raisons.
Leonardo, New Jersey: Leonardo est trop petit pour être une ville. C'est plus un village - trois feux rouges, une épicerie, une petite école. Ses habitants appartiennent à la classe moyenne, pas très aisée : des parents qui partent pour la journée au boulot, et leurs enfants qui font joujou avec la drogue. Bien qu'il n'y ait à Leonardo ni crime ni violence liès à la drogue, il n'est pas rare de voir le dealer du quartier au coin de la rue.
L'avenir: Mes duex prochains films devraiment être MALLRATS, une comédie pour Universal, et DOGMA, une satire du catholicisme, que j'espère faire pour Miramax.
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Notes de Production
CLERKS, l'éclat de rire de la Semaine de la Critique, du Sundance Film Festival 1994 et de la sélection New Directors/New Films du Museum of Modern Art, est le premier long métrage du scénariste-réalisateur Kevin Smith, 23 ans.
Le film a été réalisé en vingt et un jours pour un budget de 27.575 dollars. Outre l"écriture et la mise en scène, Smith en a assuré la production et le montage (en association avec Scott Mosier, qui fait également fonction d'ingénieur du son). La photo, en noir et blanc, est signée David Kein, un ancien condisciple de Smith et Mosier à la Vancouver Film School.
Le Charme Discret des Superettes: Les superettes, qui fleurissent depuis plusiers années avec un succès variable, sont souvent décriées. On leur reproche d'être exiguës, peu accueillantes, mal approvisionnées. Elles n'offrent, selon leurs détracteurs, des aliments qui flirtent dangereusement avec la DLC (date limite de consommation). De leurs caissiers, on n'attend guère qu'une chose: qu'ils sachent rendre la monnaie et ne houspillent pas le clientèle.
Mais pour Smith, un commerce comme celui0là peut être bien davantage qu'un lieu de passage anonyme pour cleints pressés. Le réalisateur de CLERKS parle en connaissance de cause: il a travaillé dès l'âge de dix-neuf ans au Quick Stop de Leonardo (New Jersey), et donne encore parfois un coup de main au patron:
"Le Quick Stop était comme un club. Tous mes copains y venaient. Ce n'était jamias une corvée y bosser".
Ce Magasin, semblable à des millions d'autres, ne fut pas seulement pour Smith une source de revenues, mais une source d'inspiration, avant de devenir le décor vendette de son premier film. Le réalisateur et Mosier installèrent aussi une table de montage dans le vidéo-club attenant et servirent consciencieusement les clients jusqu'à 22h30 avant de travailler au montage de CLERKS. Pour gagner du temps, ils allèrent jusqu'à dormir sur place, de sorte que Smith n'avait qu'un saut à faire pour ouvrir le Quick Stop à 6 h du matin.
La superette devint un studio pour plusiers comédiens en herbe et abrita l'idylle naissante de deux d'entre eux: Jeff Anderson (Randal) et Lisa Spoonauer (Caitlin), aujourd'hui fianceés.
"CLERKS est un film sur la consommation", explique son scénariste-réalisateur. Mais Dante et Randal, tout en ayant des appétits physiques parfaitement normaux, sont aussi d'intarissables parleurs, qui aiment à confronter leurs philosophie, leurs notions antagonistes de l'ordre et de la discipline. Ils symbolisent à leur maniére, et en toute inconscience, l'éternel combat du moi et du sur-moi.
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"Ce n'est pas parce que qu'on passe ses journées derrière une caisse enregistreuse qu'on est un idiot, poursuit le réalisateur. Mais y a des clients condescendants qui s'imaginent que c'est là toute votre vie, et que vous êtes incapable de faire autre chose."
Smith ne regrette pas les longues et harassantes journées passées au Quick Stop, un lieu qu'il apprit à aimer à l'instar de son héros :
"Je pense que Dante a besoin de ce magasin dont il a fait sa raison d'être et le fondement de sa vie. Je comprends cet attachement: ce lieu est vrai forum, on s'y sent libre de parler de tout et de rien, de délirer face aux clients, de discuter à perte de vue. Par pur plasir, mais aussi pour se rappeler qu'on est plus qu'un simple employé."
Smith voue aux deux héros de CLERKS une évidente affection:
"Dante et Randal suscitent une sympathie immédiate, d'une qualité rare. Il y a de l'amour dans ce film; il y a aussi l'amour de Dante pour sa petite amie, pour son passé et pour ce job.
Dès qu'il eut ébaunché le scénario de CLERKS, Smith déserta i'école de cinéma de Vancouver et retourna dans le New Jersey pour investir le reliquat de ses frais d;inscription dans le film.
"Dieu merci, Scott (Mosier) et David (Klein) achevèrent leur cursus. Le premier apprit ainsi tout ce qu'il était néccessaire de savoir en matière de photo, et le second eut le temps de devenir un as du montage."
Scott Angley, un ancien camarades d'études de Smith composa la partition pour guitare du film.
"Nous l'avons installé à la table de montage en lui indiquant les scènes où nous voulions de la musique. Mais nous étions trop fauchés pour lui fournir un transfert vidéo et il dut se contenter d'une dupli filmée à même l'écran de la table de montage."
Le Financement: Le financement de CLERKS provient de diverses sources, toutes inhabituelles. Après avoir engagé toutes ses économies, Smith obtint un crédit de 3000 dollars pour sa collection de comic-books, qu'il vendit ensuite, fascicule par fascicule, à son ami Walt Flanagan. Ce dernier réalisa la séquence d'animation qui ouvre le film et interpréta aussi plusiers rôles, dont celui du "vérificateur" d'oeufs.
En décembre 1992, une tempête de neige submergea la ville de Highlands où réside Smith. Cette catastrophe naturelle, survenant à un mois de début des prises de vues, aurait pu être fatale au film. Elle s'avéra, au contraire, un cadeau du ciel, car la Federal Emergency Management Agency remboursa très vite au réalisateur la perte de sa voiture. Ce dédommagement fut, bien sûr, aussitôt dans le méga-budget de CLERKS…
Les Interprètes: Smith découvrit deux de ses principaux acteurs, Brian O'Halloran (Dante) et Marilyn Ghigliotti (Veronica) durant les auditions, et Lisa Spoonauer (Caitlin) en visitant l'atelier d'art dramatique d'un collège voisin. Le réalisateur s'était initialement attribué le rôle de Randal, mais je compris vite que ce ne serait pas possible.
Jeff Anderson, un copain du lycée, qui n'avait encore jamias joué, vint à passer au Quick Stop. Smith lui a proposa d'auditionner pour le rôle de Jay, le dealer, puis lui demanda de lire Randal. "Il attaqua ce rôle bille en tête... et le décrocha sur le champ." Jason Mewes fut alors engagé pour interpréter Jay, tandis que Smith se réservait le rôle de son comparse, Silent Bob.
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Mosier, quand à lui, se chargea de plusiers petits rôles dont un jouer de hockey et "Boule-de-neige", le client qui déclenche la dispute entre Dante et sa petite amie.
Sarla et Tarlochen Thapar, propriétaires du Quick Stop et du vidéo-club, ont toujours cru en Smith et en son film: "Quand il est venu nous demander de l'engager, il nous a dit: Je me fiche de la paye, je veux travailler au vidéo-club. Et lorsque nous lui avons demandé pourquoi, il a rétourqué: Parce que j'ai l'intention de consacrer ma vie au cinéma."
C'est un garçon qui travaille très dur. A l'époque, il fermait la boutique à 22 h 30 et tournait jusqu'à 4 ou 5 du matin. Puis il assurait l'ouverture et travaillait encore quelques heures au magasin avant que Sarla ne le relève pour lui permettre de dormir quelques heures."
L'essentiel de CLERKS fut Réalisé durant les heures de fermeture du Quick Stop. Le match du hockey, qui constitue la principale séquence d'extérieurs, fut tourné sur la terrasse du magasin, et les intermèdes avec Jay et Silent Bob devant celui-ci.
"Le client ordinaire ne fait guère qu'un saut au Quick Stop et ne tient pas à se retrouver au milieu d'une vingtaine de personnes. Mais tout le village était derrière Kevin", observe Thapar.
"La chose la plus remarquable à propos de Leonardo, c'est qu'il se situe tout près de la Base Navale d'Earle et de son arsenal nucléaire. Si jamais les États-Unis étaient bombardés, le Quick Stop partirait en fumée. Mais, en attendant, il y aura toujours des gens pour vérifier les oeufs...", conclut gravement Kevin Smith.
...
Randal: Redites-moi le titre... La Mère: "Toutou casse-cou" L'enfant (dans les bras de sa mère): Toutou... La Mère: Elle l'adore... Randal: Visiblement. (au téléphone) Bonjour, ici RST Vidéo, numéro de client 4, 3, 5, 2. J'ai une commande. Il me faudrait les cassettes suivantes: "Murmures au vent", "Chacun pour soi", "mets-là où il faut pas", "Ramone-moi le tuyau", "Pines aux seins volume 8", "Bourre-moi", "Suceuses de cul", "Trois zobs et un cul fin", "Jute bien", "La cramouille gargouille", "Jute au cul 3", "Jute-moi dans les chausettes", "Zobs noirs, foutre blanc", "Folles de la bite, folles de la chatte", "Hommes seuls 2", "Chatte rose", "Bourre-moi tous les trous", ah oui, et c'était quoi déjà?
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Brian O'HALLORAN (Dante) qui joue depuis plusiers années dans des théâtres du New Jersey, sera prochainement à l'affiche du spectacle off-off-Braodway SEBONA, une histoire d'amour multi-raciale située en Afrique du Sud. Il habite Sayreville, dans le New Jersey.
Jeff ANDERSON (Randal) est ami avec Kevin Smith depuis lycée. Comédien novice, employé à l'AT & T, il vit à Atlantic Highlands (New Jersey), et envisage maintenant de devenir acteur.
Lisa SPOONAUER (Caitlin) suivait des cours d'art dramatique au Brookdale Community College lorsqu'elle fut engagée pour jouer l'"ex" de Dante dans CLERKS. Après avoir travaillé jusqu'à présent comme nurse, elle a décidé de se lancer dans une carrière d'actrice.
Marilyn GHIGLIOTTI (Veronica) se produit depuis quatre ans dans des théâtres régionaux. Elle a déjà joué à plusiers reprises avec Brian O'Halloran et interprétera bientôt sa soeur dans le spectacle off-off-Broadway SEBONA. Etablie à Sayreville (New Jersey), elle gagne sa vie comme figurante et comme coiffeuse.
Kevin SMITH (Scénariste-réalisateur-producteur) Kevin Smith est né et a grandi à Highlands (New Jersey) où il réside encore. Il séjourna pendant quatre mois à Vancouver Film School avant de commencer CLERKS. Smith a également étudié à l'Eugene Lang College de la New School for Social Research de Manhattan et au Collège de Brookdale (New Jersey). Il a travaillé au Quick Stop Groceries pendant quatre ans, et écrit actuellement son deuxième scénario.
Scott MOSIER (Producteur) Scott Mosier a suivit des cours de comédie et d'éciture à l'Orange Coast College et à l'UCLA Extension avant s'inscrire à la Vancouver Film School où il rencontra Smith. Co-producteur de CLERKS, il s'installa dans le New Jersey durant le tournage et travailla avec Smith au montage du film. Né dans l'état de Washington, Mosier a passé sa jeunesse en Californie at à Vancouver, et compte s'établir prochainement à New York.
David KLEIN (Directeur de la photographie) David Klein est un autre "ancien" de la Vancouver Film School qui fit le pèlerinage à Leonardo (New Jersey) pour assurer les prises de vues de CLERKS. Originaire de Nampa (Idaho), il continue à étudie la photo à l'Université de L'Idaho.
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Dante: Alors, t'as pris quoi comme film? "Le meilleur des duex"? Randal: Un porno hermaphrodite. Des nanas qui ont les deux sexes. Tu devrais voir ça : des belles nanas avec des bites plus gros que la mienne. Dante: Et t'as loué ça? Randal: J'aime m'instruire.
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blackpoliglota · 5 years ago
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🎶Música/Musique/音樂🎶
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A friend of mine went on Instagram a few weeks ago and asked her mutuals for international music suggestions.  Naturally, ya neighborhood Black linguist right here responded immediately... despite seeing the post at about 4am her time in Madrid 😭  After having given my friend the lengthy (... or not-so-lengthy) list of artists I listen to on the daily, I decided to make a post about this!  So without further ado, here is my list of artists I listen to, as well as some of my favorite songs by them!  Album titles are in parentheses after the song titles.  And feel free to click on any song title you’d like to listen to!
SPANISH 🇵🇷🇨🇱🇨🇺
Calle 13 🇵🇷
I first came across Calle 13 through Shakira’s song “Gordita” from her album Sale El Sol waaaaaay back in 2010, but it wouldn’t be until my senior year in college (2019) when I started listening to their stuff.  Now I listen to literally ALL of their songs, but some of my favorites are:
“Latinoamerica” Feat. Totó La Momposina, Maria Rita y Susana baca (Entre Los Que Quieran)
“Digo Lo Que Pienso” (Entre Los Que Quieran)
“Muerte en Hawaii” (Entre Los Que Quieran)
“Todo Se Mueve” Feat. Seun Keti (Entre Los Que Quieran)
“El Aguante” (MultiViral)
“Multi_Viral” Feat. Kamilya Jubran, Tom Morello y Julian Assange (MultiViral)
“Cuando los Pies Besan el Piso” (MultiViral)
“Los Idiotas” (MultiViral)
“Perseguido” Feat. Biga Ranx (MultiViral)
“Que Lloren” (Los De Atrás Vienen Conmigo)
“Gringo Latin Funk” (Los De Atrás Vienen Conmigo)
“La Perla” Feat. Rubén Blades y La Chilinga (Los De Atrás Vienen Conmigo)
“Fiesta de Locos” (Los De Atrás Vienen Conmigo)
Residente 🇵🇷
One half of the act Calle 13, Residente made his solo career debut in 2017 with his self-titled album, the album that actually reintroduced me to Calle 13 in 2019.  Residente also has several released singles here and there, some of which being products of collaborations with Bad Bunny and others.  Here are some of my favorites from him:
“Guerra” (Residente)
“Apocalíptico” (Residente)
“Dagombas en Tamale” (Residente)
“Somos Anormales” (Residente)
“El Futuro Es Nuestro” (Residente)
“Bellacoso” Feat. Bad Bunny (Bellacoso - Single)
“Cántalo” w/ Ricky Martin y Bad Bunny (Cántalo - Single)
“René” (René - Single)
Danay Suárez 🇨🇺
In my last semester at my college I took a class called Afro-Latin History, a class I wish I found out about much sooner than I did.  That class seriously had me questioning my choice in major... IN MY LAST SEMESTER!!!  Seriously, EASILY one of the best classes I’ve taken in my entire life, no exaggeration.  ANYWAY (getting of topic, my bad 😅), in one class we were discussing a book called Negro Soy Yo (= Black I Am)  in which the author (Marc D. Perry) relates how hip-hop and rap are used to explore Cuba’s racial structure alignment and how it shifts along with the state’s change from a revolutionary socialist state to one functioning under capitalism.  Being inspired from such an interesting read, I decided to look for more Afro-Cuban musicians to listen to.  Next thing I know, I have Danay Suárez playing in my ear.  My favorite songs from her are:
”Closer Now” Feat. The Idan Raichel Project (Palabras Manuales)
“Integridad” Feat. Stephen Marley (Palabras Manuales)
“Yo Aprendi” (Polvo De La Humanidad)
“Las Bala” Feat. El B. (Palabras Manuales)
Ana Tijoux 🇨🇱
It’s thanks to 2 of my college friends that I learned about Ana Tijoux.  This Chilean rapera (= rapper) came to Scripps – one of the Claremont colleges; I went to Pomona – to give a talk about how she uses her music to communicate her political views (trash talking capitalism... my kind of political view) and to promote social justice, to keep it short and sweet.  These are my favorites from Ana Tijoux:
“1977” (1977)
“Somos Sur” Feat. Shadia Mansour (Vengo)
“Vengo” (Vengo)
“Antipatriarca” (Vengo)
“Creo en Ti” Feat. Juanito Ayala (Vengo)
“Oulala” (1977)
“Cacerolazo” (Cacerolazo - Single)
“Antifa Dance” (Antifa Dance - Single)
Ibeyi 🇨🇺(🇫🇷)
Now discovering Ibeyi happened completely randomly... through a targeted Facebook video placed on my timeline.  It was their music video of the song “Me Voy” featuring Mala Rodriguez that appeared.  No long story here: I watched it, became intrigued, looked them up to find that they’re *AFRO-CUBAN (and French) artists, became more intrigued, searched for and listened to more of their music, and ultimately fell in love with their sound.  The way their voices are so in sync with each other is ethereal; together they sound celestial!  Some of my favorites from them are:
“Me Voy” Feat. Mala Rodriguez (Ash)
“I Carried This for Years” (Ash)
“Deathless” Feat. Kamasi Washington (Ash)
“River” (Ibeyi)
“Behind the Curtain” (Ibeyi)
French 🇧🇪
Stromae 🇧🇪
I can’t exactly remember how I came across Stromae... I believe it was through a childhood friend of mine??  I know for a fact that she did mention him to me at some point before I started actually listening to his songs, but I’m not sure if it was via those conversations how I became motivated to give his music a try 🤔 Either way, I ended liking his music enough to listen to it constantly!  Here’s what kept me listening to Stromae:
“Papaoutai” (Racine Carrée)
OOOOOOOH I JUST REMEMBERED!!! 😃😃😃 It was through Pentatonix’s arrangement of his song “Papaoutai”!  I found myself loving their version and became curious of where they found this song to arrange.  Okay, back to the list:
“bâtard” (Racine Carrée)
“tous les mêmes” (Racine Carrée)
“carmen” (Racine Carrée)
“avf” (Racine Carrée)
“Dodo” (Cheese)
“Peace or Violence” (Cheese)
“Je Cours” (Cheese)
Portuguese 🇧🇷🇧🇷🇧🇷
Flavia Coelho 🇧🇷
I can’t thank God (and app developers) enough for an app like Shazam; if it wasn’t for this magical app, I wouldn’t have found out about Flavia Coelho.  By pure circumstance, I heard her song “Na Favela” on the radio while taking an uber to somewhere while back in college (sometime during senior year) in Southern California (MAN do I miss being out there 😭).  Fast forward to right after graduation, where I find myself in New York City: I'm out here for my college’s glee club tour, for which we had evening performances and free time during the day.  One day, I decided to go running in Central Park, and part of my preparation for any run consists of finding the right music to run to.  Normally I go with fast-paced, up-beat, arrogant rap stuff, but decided that I wanted this run to be an easy-going, enjoyable one – a run in which I’m not trying to improve my pace.  “What better music to listen to than Flavia Coelho’s,” I think.  Plus, it gave me an excuse (and plenty of time) to listen to an artist I recently discovered at the time.  Thanks to the run, I found a few favorite songs by her:
“Na favela” (Sonho Real)
“Se ligue” (Sonho Real)
“Paraiso” (Sonho Real)
“Por Cima” (Mundo Meu)
“Quer Vadiar” (Sonho Real)
“Leidi” (Sonho Real)
“Pai de Santo” (Mundo Meu)
I couldn’t find a more aurally-polished version of the song on youtube, so apologies!
“O Dom” (Mundo Meu)
Sergio Mendes 🇧🇷
Ooooh the great Sergio Mendes.  To be completely honest, there’s not much I can say about him except that I know he’s one of Brazil’s greatest and world-renown musicians... and that I came across him through the Wii game Samba de Amigos.  I couldn’t tell y’all how bad I wanted that game when I was 11... GOOD LORDT, WHEN I was ELEVEN!?  GOODNESS, how time passes! 😱 ANYWAY, there was one song I always played on that game called “Magalenha”.  At the time I didn’t know it was a Sergio Mendes song – when I looked it up, the artist that kept coming up was someone named Bellini and Mendoça do Rio.  So what happens next?  Well of course I download the song (FOR FREE and illegally thanks to L*mew*re... rip) and conduct even further research on those two artists I first found.  All of this searching would ultimately lead me down a web hole that led me to Sergio Mendes.  I admittedly have not listened to enough of his stuff, but here are a few that I currently fancy:
“Fanfarra” Feat. Alceu Do Cavaco (Brasileiro)
“Magalenha” (Brasileiro)
“What is This?” (Brasileiro)
“Simbora” Feat. Carlinhos Brown (Magic)
“Samba de Roda” Feat. Aila Menezes & Gracinha Leporace (Magic)
“One Nation” Feat. Carlinhos Brown (Magic)
“Mas Que Nada” (Mas Que Nada)
Carlinhos Brown 🇧🇷
It’s thanks to Sergio that I came across Carlinhos Brown... now how exactly did I find out about Senhor (=Mr.) Brown through Senhor Mendes, I'm not sure; there were so many opportunities for this to have happened!  I mean, if you take a look at all of Sergio’s music, you’ll find LOADS of collaborations between him and Carlinhos Brown.  Also, bruh, I thought I loved Sergio’s stuff when I stumbled upon it... sorry Sergio, but my love for you doesn’t hold a candle to my LOVE for Carlinhos Brown!  Here are some of my favorites that I still listen to (and futilely try to dance the samba to... can someone teach me please??) on a regular basis:
“Afroascendente” (Marabô)
I couldn’t this song on youtube, so if y’all are subscribed to any music streaming services, look it up on there.  Apologies!
“Vidacarnaval” (Marabô)
“Carlito Marron” (Carlinhos Brown E Carlito Marron)
“Fofoqueira” (Mixturada Brasileira)
“Mixturação” Feat. Ivete Sangalo (Mixturada Brasileira)
“Ói Pra Cá” Feat. Filhos de Gandhy (Ói Pra Cá - Single)
“Mulemba Xangóla” in collaboration w/ Bonga & Marisa Monte (Onda Sonora: Red Hot + Lisbon)
“Ô Vida” Feat. Nina de Freitas (Rio 2: Music From The Motion Picture)
“Sapo Cai” Feat. Mikael Mutti (Rio: Music From The Motion Picture)
Emicida 🇧🇷
Another Afro-descended artist doing his thing, Emicida is one of my favorite types of artists: a conscious rapper.  I know this by looking up translations of his songs... cause ya girl ain’t got NO understanding of Portuguese to be listening to songs and be like “oooh that was clever!” like she does with Calle 13... BUT I’’L GET THERE, THIS I SWEAR!!!  Emicida is still fairly new to me; I found his stuff thanks to Ibeyi (from the Spanish section above).  Regardless, I still have few songs from him I listen to often:
“Libre” Feat. Ibeyi (AmarElo)
“Principia” Feat. Pastor Henrique Vieira, Fabiana Cozza & Pastoras do Rosário (AmarElo)
“Eminência Parda” Feat. Jé Santiago, Papillon & Dona Onete (AmarElo)
“AmarElo (Sample: Sujeito de Sorte - Belchior)” Feat. Majur & Pablo Vittar (AmarElo)
“Hacia El Amor” Feat. Ibeyi (Hacia El Amor - Single)
Japanese 🇯🇵🇯🇵🇯🇵
OOP, what’s that I hear?  It’s ANIME TIME!!!  LOL jk... BUT to be fair, I say this because literally all of the Japanese songs that I listen to come from a bunch of anime series I’ve seen throughout the past 10 years.  So yeah, get ready to experience a bit of my weeb years, heh heh.  I’m gonna categorize the songs by anime series title instead of by artist name:
Fullmetal Alchemist 🦾🙏🏾⚡️
“Melissa” by Porno Graffiti (Porno Graffiti’s Best Blues)
“Ready Steady Go!” by L’arc-En-Ciel (Smile)
“Rewrite” by Asian Kung-Fu Generation (Sol-fa)
“Period” by CHEMISTRY (Chemistry 2001-2011)
“Uso” by SID (SID 10th Anniversary BEST)
“Let It Out” by Miho Fukuhara
“Shunkan SENTIMENTAL” by Scandal (Temptation Box)
 Bleach 🗡💀
“*~Asterisk~” by Orange Range (Natural)
“D-tecnoLife” by UVERworld (Neo Sound Best)
“Ichirin no Hana” by High and Mighty Color
“Alones” by Aqua Times (Darekanochijoue)
“After Dark” by Asian Kung-Fu Generation (World World World)
“Chu-Bura” by Kelun (Kelun)
“Shoujo S” by Scandal (Scandal Show)
“Animarossa” by Prono Graffiti (Trigger)
“chAngE” by Miwa
“Ranbu no Melody” by SID (Ranbu No Melody)
“BLUE” by ViViD (INFINITY)
“Harukaze” by Scandal (Scandal)
“Tsumasaki” by ORESKABAND (ORESKABAND)
“Gallop” by Pe’zmoku
“Haruka Kanata” by UNLIMITS 
Soul Eater 💀🎃⛓🗡
“Resonance” by T.M. Revolution
“Papermoon” by Tommy heavely6
“I Wanna Be” by Stance Punks
“Bakusou Yume Uta” by Diggy-MO’ (DX 10th Anniversary All This Time 2008-2018)
“Strength.” by Abingdon Boys School (ABINGDON ROAD)
Kill La Kill 🗡✂️👙
“Sirius” by Eir Aoi
“Ambiguous” by GARNiDELiA (Ambiguous - Single)
“Gomen ne, Iiko ja Irarenai” by Miku Sawai
“Sanbika” by Eir Aoi
Annnnd DONE!  Congrats on making it through this SUPER long post!  Again, this is some of the music in other languages I listen to on a regular basis; you can click on any of the song titles to listen to them in their entirety if you’d like.  Also, if any of y’all have any recommendations on what I should listen to – especially if it’s in Mandarin or French, considering a Mandarin section is nonexistent and the French section is just sad compared to the others 😭 –please reach out!  I’d love to hear what you guys listen to, so let’s start up a little music exchange, yeah?  Cool.  Here’s to finally finishing this post that’s taken me EONS to complete!
乾杯 (gān bēi)! 🥂
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newyorkcityrpg · 5 years ago
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Comment s’inscrire ?
Comment s’inscrire sur le rpg ? C’est très simple ! Pour cela, il vous faudra vous rendre sur MeWe et de suivre le compte suivant :
NEW YORK CITY > https://mewe.com/i/newyorkcity 
Une fois que vous aurez suivi le compte, et que celui-ci vous aura bien accepté, vous aurez deux autres choses à faire pour compléter votre inscription :
 Envoyer par MP votre présentation au compte New York pour que nous puissions vous répertorier sur le tumblr !
 Et coller également dans un post sur MeWe votre présentation et ensuite, le mettre en vedette sur votre journal.
Voici le formulaire de présentation qui est assez simple !
Nom et Prénom :
Âge :
Lieu et date de naissance :
Emploi :
Statut relationnel : Orientation : Statut financier :
Traits de caractère :
Anecdotes personnages :
Avatar :
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shmosnet2 · 5 years ago
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Critics’ Claws Are Out for ‘Cats’: A Roundup of Reviews
Critics’ Claws Are Out for ‘Cats’: A Roundup of Reviews
The trailer sent shock waves through the internet this summer. Now that they’ve seen it, what do critics have to say about the new big-screen adaptation?
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Jason Derulo as Rum Tum Tugger in “Cats.”Credit...Universal Pictures, via Associated Press When the first “Cats” trailer dropped in July, the internet convulsed with revulsion and awe. People were unprepared for the digital fur technology that was unleashed in the two-minute spectacle. “If this messed up world doesn’t kill us first, ‘Cats’ will clearly finish the job when it opens on Dec. 20,” Garrett Martin of Paste Magazine wrote. And with the release of the film this week, a similar tide of panic, confusion and anger has flooded the American psyche — or at least the psyches of those who have been exposed to the feature-length film that some fear they cannot unsee. As of Thursday night, the movie had a 34 on the film review site Metacritic, a score based on the generally unfavorable reviews of 43 critics. It registered at 20 percent on Rotten Tomatoes, which offered this bit of punditry: “Despite its fur-midable cast, this ‘Cats’ adaptation is a clawful mistake that will leave most viewers begging to be put out of their mew-sery.” Critics have complained that the stress of viewing the movie has triggered migraines and the urge to throw shoes at the screen. And yet, others have found they can’t look away. Alex Cranz of Gizmodo said she saw sights no human should see: “I have been processing this movie for the last 24 hours trying to understand anything as terrifying and visceral a train wreck as ‘Cats.’ You have to see ‘Cats.’” The New York Times film critic Manohla Dargis said that “a doctoral thesis could be written on how this misfire sputtered into existence, though there’s nothing new about the movies’ energetic embrace of bad taste.” Among the many deliciously catty lines in her review — please read it here — was a description of Judi Dench’s Old Deuteronomy as “a Yoda-esque fluff ball with a huge ruff who brings to mind the Cowardly Lion en route to a drag ball as Queen Elizabeth I.” The claws are out across the internet. We’ve gathered a few of the sharpest lines for your reading pleasure.
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From left, Danny Collins as Mungojerrie, Taylor Swift as Bombalurina and Naoimh Morgan as Rumpleteazer.Credit...Universal Pictures Better Left Onstage Was adapting Andrew Lloyd Webber’s Tony Award-winning musical, which enjoyed decades of fame and profit around the world, a mistake? For many, the answer was yes. “‘Cats’ turns the most vacuous stage musical of the 1980s into a big-screen litter box for the hammiest of stars to unload into,” Peter Howell of The Toronto Star wrote. The headline of his one-and-a-half-star review: ‘Cats’ is a dog — a big, dumb, loud one.” The original stage show was marketed as a musical for the masses, Kevin Fallon noted in a critique for The Daily Beast. “Because it is legitimately insane, it made an entire generation of people think they hated musical theater. Wait ’til they see this movie!”
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Idris Elba as Macavity, left, and Francesca Hayward as Victoria.Credit...Universal Pictures, via Associated Press ‘A Horror and an Endurance Test’ Among the chief complaints about “Cats” — the stage musical as well as the film — is the lack of a story line. Justin Chang of The Los Angeles Times described it as “a movie in which making sense was the very last priority” and summed up the plot as “Les Meowsérables.” He continued: For the most part, “Cats” is both a horror and an endurance test, a dispatch from some neon-drenched netherworld where the ghastly is inextricable from the tedious. Every so often it does paws — ahem, pause — to rise to the level of a self-aware hoot. “Unless you’re on strong mind-altering substances while you’re watching the film, you will either be baffled or bored by this pseudo-religious nonsense,” Nicholas Barber of the BBC wrote in his two-star review. Peter Debruge, Variety’s chief film critic, said the director Tom Hooper’s “outlandishly tacky interpretation seems destined to become one of those once-in-a-blue-moon embarrassments that mars the résumés of great actors” and “trips up the careers of promising newcomers.” What’s Up With the Fur? One of the main draws of the film was supposedly the special effects to crossbreed feline and human anatomies using a technique called “digital fur technology.” The effects, however, have been most kindly described as “creepy.” “Millions of dollars and thousands of hours have been sunk into making the cats in ‘Cats’ look like hypertrichotic mutants from the Uncanny Valley Of Dr. Moreau, with tails and furry faces and hairless human fingers and toes,” Ignatiy Vishnevetsky wrote for The AV Club. “Their proportions in relation to the sets seem all wrong.” David Rooney of The Hollywood Reporter offered this reminder to those who watched the trailer: If you recoiled back then at the sight of British acting royalty with their faces stuck onto little furry bodies, or even just the jarring image of cats with human breasts, chances are you’ll still be covering your eyes and peering in a profoundly disturbed state through the gaps between your fingers at the finished film. At least until boredom sets in. Not Safe for Children “Anyone who takes small children to this movie is setting them up for winged-monkey levels of night terrors,” Ty Burr of The Boston Globe wrote. “I truly believe our divided nation can be healed and brought together as one by ‘Cats’ — the musical, the movie, the disaster,” he said. “In other news, my eyes are burning. Oh God, my eyes.” Matt Goldberg, writing for Collider, nodded to the onscreen sexual tension: But if it wasn’t enough to make the cats horny (why are they so horny), Hooper also feels the need to make it gross by having them dig through trash and play up their animal instincts. “Cats” always feels like it’s two seconds away from turning into a furry orgy in a dumpster. That’s the energy you have to sit with for almost two hours. Slate’s headline was succinct: “The ‘Cats’ Movie Is a Void of Horny Confusion.” Put It Out of Its Misery Tyler Coates of Wired said the film was “awful”: It has been a while since a big-budget, star-packed studio film has felt like such a disaster from start to finish. Befuddling, confusing, deeply ugly, and incredibly un-fun, I surely won’t be the only critic to recommend ‘Cats’ be put down immediately. What has for decades been something of a pop culture joke is now an even more wackadoo entertainment event. It’s almost as if Hooper and company were tasked with making the worst movie they could conceive of, that it was one epic troll — that could be the nicest thing I could say about it, that they have achieved something. ‘Not That Bad!’ “I realize that critique won’t be used in Cats’ advertising campaign,” Mara Reinstein of Us Weekly wrote. “But the musical does indeed have its merits — and is not nearly as disastrous as you feared.” Richard Lawson of Vanity Fair also showed mercy and described the film as “an ugly stray who smells bad and should not be invited into your home, certainly.” “And yet it is its own kind of living creature, worthy of at least some basic compassion.”
https://ift.tt/34Kq2g2 . Foreign Articles December 20, 2019 at 03:45PM
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solenelanza · 5 years ago
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You’re Bringing Me Down ? Not my words but the one of LCD Soundsystem. Astonishing on stage by the way. To this passive-aggressive love letter to New York, does Lilly Allen step up with a love song for London ? Maybe not that easy to adopt it these times.
Mais tu me déprimes. Ce n’est pas de moi mais de LCD Soundsystem. D’ailleurs si époustouflant sur scène. Si sa déclaration d’amour à New York est si passive – aggressive, Lily Allen a-t-elle réhabilité le genre avec LDN ? Peut-être un peu plus difficile à accepter ces derniers jours. 
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Modern Life is rubbish. I am just reporting that again from the Blur‘s creation. Brexit and settled status asked us to … settle our relationship with the city. As a « London you don’t love me anymore but what about me ? » Maybe because, after the first years of passionate story with the city, life brings you to a crossroad in this love story. The French and European girl that I have had to step down a bit for this La Vie en rose vision of the WTF London City. And because in terms of « rose », I am more la vie en rosé, I needed a little help from my friends. To get a good overview I went to the picturesque West called Notting Hill in good company for a new tour of the city. 
« La vie moderne, c’est de la camelote. » C’est pas moi, c’est de Blur. Le Brexit et la demande de settled status a dû régler pas mal de questions notamment : la relation à continuer ou pas avec la ville. Un ultimatum à établir avec un pays qui a pris la décision d’une rupture de façon unilatérale. Comme s’il fallait faire le bilan après les premières années de passion. La Française et Européenne qui sommeille en moi a dû alors enlever ses lunettes roses dans une cité quelque peu désorientée. Et comme les Français sont plutôt rosés que roses, je ne pouvais que partager cette réflexion avec les miens. Et pour avoir une vision générale du cas, il fallait bien ce pittoresque Ouest autrement appelé Notting Hill pour que la compagnie fasse un tour bien particulier des lieux. 
    Solene: Dress by Zapa -Earing by Accessorize– Necklace by Tatty Devine– Shoes by Lacoste
She used to Smile and then wanted to Fuck you. Lily Allen tends to be more media-friendly to promote her new album or lifestyle. But the musician is part of the wall of fame as well, adding the fact that she is the god-daughter-in-law of the legendary Joe Strummer. This indie girl tends to answer her god father in dancing LDN. Three letters for a big story, the one of the city with pros and cons, the ups and downs of a city you chose to live in.
Elle est passée de Smile à Fuck You. Lilly Allen est à présent bien plus copine avec les médias (peut-être parce qu’elle est en promotion.) Mais la musicienne fait partie des légendes de la musique british, peut-être que le fait qu’elle soit la filleule de Joe Strummer n’arrange rien. La damoisellle estampillée indé faite-elle une réponse au London Calling de parrain avec LDN ? Trois lettres pour une belle histoire, celle de la ville avec ses supporters et des détracteurs, ses hauts et ses bas, après tout y vivre est un choix. 
    Paris, ville de l’amour certes… mais aussi celle des pigeons ? Et Londres ? Notre amie Lily a bien mis en images la pollution, la violence inter-générationnelle et masculine dans son clip. Mais, par souci de réalisme, un petit lifting s’imposait pour surfer avec la brillante Outfitteuze entre les clichés et les images d’Epinal de Londres.
Paris, city of love but also place to be for pigeons. What about London ? Lily was into male and infantile violence, urban disillusion and pollution issues as main issues of her music video. We have to refresh this vision with the English wonderful stereotypes. The shining Outfitteuze and I turned into directors and creators of our London lives. 
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Kelly: Hat by Asos – Body by Topshop– Skirt by Olive Clothing – Shoes by Nasty Gal
Before the shooting session I had to make a stop at Rough Trade, first London shop. Well because vinyl records still spin me round and – what a coincidence and a tough one- the music video started there. Between the The Kinks Are the Village Green Preservation Society and Nevermind the Bollocks, my fingers couldn’t make their mind up. Who won ? The sound of the 90s music, as I was so judgmental facing the What’s the Song of Morning Glory, taking care of Modern Life is Rubbish in my back. The tune was good, the journey could start, going past places to feel or ignore current affairs.
Avant le shooting, un arrêt à Rough Trade, première du nom à Londres, était obligatoire. D’abord parce que les vinyls me font toujours tourner la tête, mais aussi, quel heureux hasard, car c’était le début du fameux clip originel. Et entre l’album des Kinks et celui des Sex Pistols, le digging, oui c’est le nom de cette pratique, n’était pas evident. Ma préférence est évidemment allée à la BritPop peu convaincue par Oasis mais bien un peu trop attentionnée avec Blur. Comme la musique était bonne, la visite pouvait commencer entre idéalisation de lieux et black out sur certains points noirs. 
    The former newbies we used to be followed the popular Portobello Road, not to repicture Paddington, Notting Hill or any romantic British creations, but to nudge the alternative picture of the area. Well that is not necessary true as our first stop for St Luke’s Mews, famous for its flourish houses and Penning romantic story thanks to Love Actually. Actually it is the paradise for young flourishing instagramers, well it was, because locals are not the best fans of this #TrendTopic.
Les anciennes nouvelles venues ont donc suivi Portobello Road, pas du tout pour refaire un énième cliché de Paddington, Coup de Foudre à Notting Hill ou autre films à l’eau de rose, mais pour frôler l’épiderme plus naturel du coin. Une balade à St Luke’s Mews, QG de Keira Knightley dans Love Actually, était des plus étonnants mais plus que compréhensibles depuis que les instragrammeuses y ont élu domicile, au grand damne des riverains.
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Him : Jeans & T Shirt by Levi’s – Shirt by Edwin – Shoes by Loake -Watch by Seiko
That’s the fun path, because, slip out from the Gay Pride, a cheery woman can meet an angry naysayer. In the news we heard (oh boy) about the lesbian couple on the night bus. So, is it the true London ? Agressive ? Controversial ? Depends, what do you know about the city ? Is the rent so expensive ? Well so many London lovers come to the city dreaming of a spacious loft in lovely West but end up in a 3 roommate tiny place, at least, not far from the Grenfell Tower.
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He: Shirt by Bonobo –Pants by Primark- Shoes by Dr. Martens- Watch by Swatch – Bag by Quimper 
She: Shirt by Pull and Bear – Shoes by Clark’s – Jacket by Lewin – Hat by ASOS – Suitcase by Manoukian 
Mais même, dans cette promenade vers la ruée aux likes, une jeune fille échappée de la Gay Pride peut très bien rencontrer un amateur du drapeau LGBT. L’histoire du couple homosexuel molesté est après tout encore frais dans les esprits. Est-ce donc là ton Londres à toi ? Violent et virulent ? Connaissez-vous la ville ? Les loyers hors de prix? Bon certains, nombreux sont venus à Londres en rêvant d’un 3 pièces à Portobello Road et finissent à l’étroit dans une colocation … conviviale à deux pas de la sinistre Grenfell Tower.
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A: Pants by Primark – Shoes & Hat by H&M – Jacket by Camaieu – Top by Topshop
He: Shoes by Barker – Pants  & Top by H&M – Watch by Fitbit
Meanwhile, dawn was up and professional afterworks turn into alcohol orgy, a question is raised : what is this magical feeling that transforms damned reality into myth ? Lily was given a ring by someone she was about to meet. Who ? Madness would say : It must be love. Even if some messages can give you a big smile, the wake-up call is sometimes very hard. And the question is : “do you take London as your official house for the better or for the worse, for the richest time or for the poorest ?” Oh London, Yes I do. Sun is in the sky, I don’t want to be anywhere else.
Et alors que le crépuscule montre le bout de son nez, transformant le moindre afterwork en simple … orgie, une question reste en suspend : quel est donc ce sentiment cabalistique qui transforme l’impitoyable vérité en contes de fées ? Lily Allen avait reçu un coup de fil au début du clip. Mais de qui ? Françoise Hardy dirait que c’est le temps de l’amour. Même si certains messages ont le bon goût de faire traîner un sourire sur les lèvres, le réveil aux réalités peut être sévère. Alors à la question : « voulez-vous prendre Londres comme logis pour l’occuper dans le bonheur comme dans les épreuves ? » La réponse est oui. Le soleil brille, reviendras-tu bientôt ? C’est mon village au vert cottage !
Texts: Solène L. Models : A.-N.-A.-H.-E.- Model + Editing: Kelly Model + Pictures by ©Alice Menguy
Pour d’autres histoires musicales à Londres, suivez-moi ou contactez-moi 😉
London, I Love You But…  You're Bringing Me Down ? Not my words but the one of LCD Soundsystem. Astonishing on stage by the way.
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gillespialfredoe01806ld · 6 years ago
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Justin Timberlake Slashes Price of N.Y.C. Penthouse to $6.3 Million — See Inside
Justin Timberlake is trying to say “bye, bye, bye” to his N.Y.C. penthouse, and he has reduced the price of the home yet again.
The “Say Something” singer first listed the 2,598-square-foot apartment in March for $7.995 million, but has dropped the price four times over seven months, for a total reduction of $1.5 million. According to TMZ, Timberlake first reduced the price of the property by 1 million last spring. Street Easy’s price history denotes that cut happened in two separate $500,000 increments. Then, in July, he slashed the asking price by another $245,000, bringing it down to $6.75 million.
Now, after yet another $400,000 price reduction, the three-bedroom, three-and-a-half-bathroom abode is listed for $6.35 million with Jared Seligman and Evan Danzig of Stribling & Associates.
A representative for Stribling declined PEOPLE’s request for comment on the price reductions.
RELATED: Mariska Hargitay and Peter Hermann List 6-Story N.Y.C. Townhouse for $11 Million—See Inside
According to Realtor.com, Timberlake and his wife Jessica Biel, who share son Silas, 3, are co-owners of the home, which was first purchased in 2010 for $6.57 million.
Located on the top floor of the Soho Mews, a luxury building in New York City’s Soho neighborhood, the home features a sleek, modern kitchen with granite countertops and a Sub-Zero refrigerator and wine storage.
WATCH THIS: Justin Timberlake Reveals He Weighs in on Jessica Biel’s Footwear Purchases: ‘I Love Women’s Shoes’
Inside the sprawling master suite, the en-suite bath has a freestanding tub, a frameless glass-enclosed shower and a double vanity. The property also boasts ample outdoor space, with an 853-square-foot wraparound and terrace with citywide views surrounding the floor.
RELATED: Justin Bieber Rents $100,000-Per-Month Home in L.A. After Secret Marriage to Hailey Baldwin: Source
Timberlake’s home is also situated in a doorman building with a concierge, an attached parking garage with a private entrance, an on-site gym and fitness center and a private garden.
from DIYS https://ift.tt/2Jd7TOP
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fracturedrealityhq-blog · 6 years ago
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¡Felicidades MEW! Has concluido exitosamente la primera fase, has sido aceptada para asumir la identidad de PETER PARKER mejor conocido como SPIDERMAN. Esperamos la cuenta en 24 horas o menos. ¡El mundo te necesita!
Información OOC. Nombre del mun: Mew País: México Nivel de actividad: 7-8 Password: Tengo antojo de pizza. ¿Algún comentario?: Nope
Información IC.
Su nombre es Peter Parker pero es mejor conocido como Spiderman aunque es parecido a Tom Holland
Breve biografía: Peter Benjamin Parker nació en Queens, New York, desde la temprana edad de cuatro años quedó huérfano y al cuidado de sus tíos: Ben y May Parker, donde vivió tranquilamente hasta sus quince años, edad en la que su vida cambió por completo al ser mordido por una araña radioactiva en un viaje de campo a las Industrias Oscorp.
La picadura le otorgó poderes parecidos a los de una araña los cuales decidió usar para defender a las personas bajo el alias de “Spiderman” después de que su Tío Ben fuese asesinado por un asaltante.
Seis meses después, frente a la puerta de Peter, aparece Tony Stark, quien lo recluta para la guerra civil entre los Vengadores y le da un traje nuevo el cual más tarde descubre contiene mucha más tecnología de la que pensó, entre ellas un AL a quien nombró Karen.
Después de que Peter regresara a Queens (con todo y traje nuevo) continúa con sus actividades normales de estudiante y  su vida secreta como Spiderman, se mantiene en un perfil bajo deteniendo asaltantes de vehículos, regresando bicicletas y dando indicaciones a turistas, pero al mismo tiempo deseando más, deseando ser parte de los Vengadores.
Ansioso por probarse a sí mismo, Peter sigue la pista de traficantes de armas las cuales tenían tecnología alienígena. Detiene a su líder Adrian Toomes, también conocido como Buitre, de robar tecnología de la Torre Stark, estrellando un avión en Coney Island en el proceso.
Gracias a esto logra ganarse el respeto de Ironman, quien le ofrece un puesto entre los Vengadores el cual Peter termina rechazando, con el argumento de que alguien tiene que proteger a la gente que no puede defenderse por sí misma.  
De esta manera, Peter continúa siendo el vigilante enmascarado de Queens, también conocido como “El amigable vecino Spiderman.”
Breve personalidad: Puntos fuertes: Peter es un joven inteligente, decidido, carismático y valiente, tiene un fuerte código moral ya que basa sus acciones en la frase “Un gran poder conlleva una gran responsabilidad” Puntos débiles: Peter llega a ser ingenuo e impresionable, a pesar de ser inteligente no siempre piensa bien las cosas antes de actuar, es impulsivo y llega a ser muy terco si se lo propone.
Poderes: • Trepar muros • Súper fuerza • Súper Agilidad • Sentidos agudizados • Sentido arácnido
Detalles curiosos:
• El arma principal de Peter son sus lanza-telarañas, las cuales fabricó él mismo y más tarde fueron mejorados por Tony Stark.
•Comúnmente Peter no suele usar sus puños, no suelta golpes a menos que sea absolutamente necesario. Sus ataques se basan en trucos con telarañas y patadas para desequilibrar al enemigo, si llega a golpear a alguien lo hace midiendo su fuerza por miedo de lastimar severamente a alguien.
• Su Tía May descubrió su identidad secreta después de que Peter rechazara el puesto en losVengadores.
• Peter es muy cercano a Doctor Strange, considera a Stephen su segundo mentor.    
Info OOC: Este personaje perteneciente al universo MARVEL está OCUPADO por MEW/ MÉXICO y esta mayormente basado en UNIVERSO CINEMATOGRÁFICO DE MARVEL
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aricastmblr · 9 months ago
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see you MichaelKors this evening ⛄️😆
ready! michaelkors
soon michaelkors
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melbynews-blog · 7 years ago
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Karl Marx: Vier Ausstellungen in seiner Geburtsstadt Trier
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Karl Marx: Vier Ausstellungen in seiner Geburtsstadt Trier
  Karl Marx: Vier Ausstellungen in seiner Geburtsstadt Trier
Von Marianne Arens 24. Mai 2018
Karl-Marx-Statue, Wu Weishan 2018 (Geschenk der Volksrepublik China an die Stadt Trier)
Karl Marx-Ausstellungen in Trier (5.Mai – 21.Oktober 2018): Rheinisches Landesmuseum: „Leben. Werk. Zeit“ Stadtmuseum Simeonsstift: „Stationen eines Lebens“ Museum Karl-Marx-Haus: „Von Trier in die Welt“ Museum am Dom: „LebensWert Arbeit“
In Trier würdigen gleich vier verschiedene Museen den 200. Geburtstag des größten Sohns der Stadt, Karl Marx, mit einer Ausstellung. Ihretwegen lohnt sich trotz Vorbehalten ein Besuch der alten Moselstadt.
„Man kann ohne Übertreibung sagen, dass Marx auf dem Gebiet der Philosophie, der Ökonomie, der Geschichtsschreibung, der Gesellschaftstheorie und der Politik die bedeutendste Gestalt der Neuzeit ist“, erklärte David North am 1. Mai. „Kein anderer Denker hatte einen so großen, bleibenden und fortschrittlichen Einfluss auf die Entwicklung des gesellschaftlichen Bewusstseins der großen Masse der Menschheit und auf ihren Kampf gegen Unterdrückung und Ausbeutung.“
Karl Marx, Bronze, um 1950 (geschaffen von Karl-Jean Longuet, seinem Urenkel)
Die Besucher der Trierer Ausstellungen spüren und würdigen offensichtlich diese Bedeutung von Marx und seine Aktualität für heute. Das belegen die kurzen Kommentare, die alle Besucher beim Verlassen des Rheinischen Landesmuseums aufschreiben können, um auszudrücken, was Marx für sie bedeutet:
„Ein Freund“, „Einer, der mir Bewusstheit vermittelt – DANKE!“, „Mein Vorbild“, „Er ist wieder da!“, „Un communiste plein d’idées modernes en 2018“, „Ein Denker“, „Ein politischer Flüchtling“, „The Greatest Interpreter of Reality ever!“, „cool“, „Marx steht für die Menschheit“, „Wir sind Karl Marx“, „Eine mutige Persönlichkeit“, „(Leider) SEHR aktuell!“, „Ein Mensch, der uns die Augen öffnen kann“, „Freiheitskämpfer“, „Befreier der Menschheit“, „Ein Vorreiter“, „Ein Vordenker – denken wir auch selbst?“ ��Denken, Erkennen, Handeln – Fortschritt“, „Es lebe die Revolution!“ – lautet eine kleine Auswahl von hunderten ähnlichen Kommentaren.
Um es vorweg zu sagen: Diesem Besucheranspruch wird das Ausstellungsprogramm in Trier nicht gerecht. In allen vier Museen wird Karl Marx zwar als bedeutende Persönlichkeit des 19. Jahrhunderts gewürdigt, aber die Ausstellungsmacher reduzieren ihn konsequent auf den Journalisten und Ökonomen. Sie ignorieren bewusst seine Rolle als sozialistischer Revolutionär, wie auch die große und wachsende Bedeutung, die der Marxismus für die aktuellen politischen Kämpfe hat. Das wohl meistangeführte Zitat von Marx lautet, er habe betont, er sei selbst „kein Marxist“.
Dieses Zitat hat auch Bundespräsident Frank-Walter Steinmeier (SPD), Schirmherr der Ausstellungen, in seinem „Grußwort“ bemüht: Marx selbst habe „stets verneint, Marxist zu sein“. Steinmeier fügte hinzu: „Auch wissen wir inzwischen, dass Marx‘ Prognose zur Revolutionsdynamik historisch nicht eintraf.“ – Beides ist falsch. Die Ausstellung selbst widerlegt Steinmeiers Aussage und beweist (wo immer sie an die Dinge ehrlich herangeht) die enorme „Revolutionsdynamik“ der historischen Entwicklung.
Friedrich Engels, Bronze, Gerhard Thieme, 1970 (Copyright Karl-Marx-Landesausstellung 2018, Trier)
Was das vielzitierte, angebliche Marx-Zitat betrifft, so distanziert es Marx von Pseudomarxisten, und nicht von seiner eigenen Lehre. Es stammt in Wirklichkeit von Friedrich Engels, der sich 1890 in einem Brief über die „Studenten, Literaten und andere junge, deklassierte Bürgerliche“ auslässt, die sieben Jahre nach Marxens Tod ohne jede Kenntnis seiner Theorien in die Partei drängten. Engels schrieb: „Diese Herren machen alle in Marxismus, aber sie gehören zu der Sorte (…) von denen Marx sagte: ‚Alles was ich weiß, ist, dass ich kein Marxist bin!‘ Und wahrscheinlich würde er von diesen Herren das sagen, was Heine von seinen Nachahmern sagte: ‚Ich habe Drachen gesät und Flöhe geerntet‘.“ (MEW, Bd. 37, S.450)
Allerdings ist aus den Ausstellungen alles verbannt, was heute noch politisch brisant sein könnte und was Besucher und junge Arbeiter dazu anregen könnte, ihren eigenen Kampf gegen das archaische, spätkapitalistische Profitsystem im größeren historischen Zusammenhang zu verstehen. Insbesondere wurden die Pariser Kommune von 1871 und die Lehren, die Karl Marx daraus zog, in den hintersten Winkel verbannt und verfälscht. Völlig unterschlagen wird die Rolle, die Marx und Engels für das enorme Heranwachsen der SPD zur ersten marxistischen Massenpartei der Welt spielten.
„Die schlesischen Weber“, Carl Wilhelm Hübner, 1844 (Copyright Karl-Marx-Landesausstellung 2018, Trier)
Dennoch sind die Ausstellungen interessant und sehenswert. Das gilt vor allem für die zwei zusammengehörigen Ausstellungen im Rheinischen Landesmuseum und im Simeonsstift. Sie befassen sich mit der Epoche von 1835 bis etwa 1867, als der erste Band des Hauptwerks „Das Kapital“ erschien.
Die Zeitspanne umfasst den schlesischen Weberaufstand (1844), den „Vormärz‘“ und die 1848-er Revolutionen, den „Kommunistenprozess zu Köln“ und den Staatsstreich Louis Bonapartes von 1852, bis hin zum Krimkrieg (1853–56) und der Börsenkrise in New York (1857). Zu dieser Epoche werden hunderte Exponate gezeigt, welche die Entwicklung dieser Ereignisse historisch anschaulich beleuchten. Dazu werden die Originalausgaben der wichtigsten Werke präsentiert, in denen Marx, bzw. Marx und Engels zusammen, die Ereignisse aufgriffen, erläuterten und die Lehren daraus zogen.
Zum Weberaufstand von 1844 gibt es einen Heimwebstuhl, Garnwaagen und Handspindeln, dazu das große Wandbild „Die schlesischen Weber“ von Carl Wilhelm Hübner, von dem Engels sagte, es sei „wirksamer als hundert Flugschriften“. Daneben prangt Heinrich Heines „Weberlied“ von 1845 („Im düsteren Auge keine Träne …“ – „Deutschland, wir weben dein Leichentuch!“). Weitere Gemälde zeigen den bärtigen „Arbeiterkopf“ (Adolph von Menzel, 1844), ein etwa dreizehnjähriges Mädchen am Webstuhl („La nena obrera“) und vieles mehr.
„La nena obrera“, Joan Planella i Rodriguez, 1885 (Copyright Karl-Marx-Landesausstellung 2018, Trier)
In diese Epoche fallen die Auseinandersetzung mit Hegel und Feuerbach und der Beginn der engen Zusammenarbeit von Marx mit Friedrich Engels. Dessen erstes Werk „Die Lage der arbeitenden Klasse in England“, liegt in Originalausgabe aus, ebenso Karl Marxens Antwort auf Pierre-Joseph Proudhon, „Das Elend der Philosophie“.Zu sehen sind weiter ein Ölportrait Proudhons von Gustave Courbet, Zensurakten des Geheimen preußischen Staatsarchivs gegen Marxens Rheinische Zeitung, sowie eine Reihe von Karikaturen.
Eine Lithographie von 1843 zeigt „Karl Marx als rheinischen Prometheus“, an eine Druckmaschine gekettet und gepiesackt von einem gekrönten preußischen Adler. Auf einem Ölbild von Wilhelm Kleinenbroich („Rekruten vor der Schenke“, 1843) sieht man junge Männer, welche herausfordernd die verbotene Rheinische Zeitung hochhalten.
Auch die 1848er Revolution wird höchst anschaulich in Szene gesetzt. Eine interaktive Graphik veranschaulicht die Ausbreitung der Revolution von Paris über den Badischen Aufstand, München, Wien, Prag, Berlin, bis nach Venedig und Rom. Die Ausstellung zeigt die ersten Daguerreotypien (frühe Fotographien) von den Barrikaden im Juni 1848 in der Rue Saint-Maur in Paris.
Eindrucksvoll ist die „einzige noch erhaltene handschriftliche Seite des Kommunistischen Manifests“ von 1847/48, die wie andere Dokumente aus dem Internationalen Institut für Sozialgeschichte in Amsterdam stammt. „Mögen die herrschenden Klassen vor einer kommunistischen Revolution zittern“, heißt es dort. „Die Proletarier haben nichts in ihr zu verlieren als ihre Ketten. Sie haben eine Welt zu gewinnen. Proletarier aller Länder, vereinigt euch!“
„Karl Marx als rheinischer Prometheus“, Lithographie nach W. Kleinenbroich, 1843
Von der bürgerlichen Revolution bis ins Mark erschüttert, lässt der preußische König Friedrich Wilhelm IV. am 18. März 1848 eine 10.000-köpfige Menge mit Waffengewalt vom Schlossplatz zu Berlin vertreiben. Über 200 bleiben auf der Strecke. Ein sprechendes Bild dazu ist Adolph Menzels „Aufbahrung der Märzgefallenen auf den Stufen des Deutschen Doms“. Die Ausstellung zeigt auch Waffen und Uniformen aus der damaligen Zeit, darunter ein so genanntes „Kartätschengeschoss“, wie es gegen die Menge eingesetzt wurde.
Über den Dokumenten des Kommunistenprozesses zu Köln, einschließlich der Verteidigungsschrift von Karl Marx, prangt die Schrift: „Die Presse hat aber nicht nur das Recht, sie hat die Pflicht, die Herren Volksrepräsentanten aufs Genaueste zu überwachen.“ Dieses Zitat hat, wie praktisch alle Marx-Zitate in den Ausstellungen, heute wieder brandaktuelle Relevanz: Man denke nur an den Fall Julian Assange.
Marx und andere Oppositionelle mussten das Land verlassen, ihre Zeitungen wurden verboten. Zu sehen ist die letzte Ausgabe der Neuen Rheinischen Zeitung vom 19. Mai 1848 – vollständig in Rot gedruckt! Daneben seltene und damals verborgen gehaltene Bilder aus der Zeit, z.B. ein Gemälde von Honoré Daumier, das politische Flüchtlinge zeigt, die nach 1848 Paris verlassen müssen, um nicht nach Cayenne deportiert zu werden.
« Les fugitifs (ou les émigrants) », Honoré Daumier, 1857 (Copyright Karl-Marx-Landesausstellung 2018, Trier)
Im Zusammenhang mit der Entstehung des „Kapitals“, Marxens Hauptwerk, tritt mit Dampfmaschine, Eisenbahn, Fotographie und Telegraph-Kabelnetz die Industrialisierung rasant auf den Plan. Bergwerke, Stahlhütten und Fabriken wie die Borsig-Werke in Berlin und die Krupp’schen Gussstahlwerke in Essen kontrastieren mit beredten Zeugnissen der Massenverarmung, Kinderarbeit, Verwahrlosung, Verkrüppelung und von Unfällen im Bergwerk oder in der Fabrik.
Im Jahr 1967 erscheint „Das Kapital. Kritik der politischen Ökonomie. Band 1“. Ihm wird ein ganzer Saal gewidmet. Weiter sind Artikel zu sehen, die Marx für die New York Daily Tribune verfasste. Die moderne Technik revolutioniert auch das Journalistenwesen, und mit dem Telegraph können Nachrichten in wenigen Minuten übermittelt werden.
Anschaulich dokumentieren die ausgestellten Originaldokumente Marxens Arbeitsweise. Beispiele aus seinen insgesamt 220 Notizbüchern enthalten neben Text in seiner kleinen, dichten Schrift auch Zeichnungen, mathematische Formeln, Tabellen, Skizzen, Statistiken und eingeklebte Zeitungsausschnitte. Ein Notizbuch trägt den Titel „Book of the Crisis“ und behandelt ausführlich die Börsenkrise, die 1857 in New York ausbricht.
All das ist anschaulich und interessant dargestellt.
Umso größer die Enttäuschung, dass an dieser Stelle die detaillierte Präsentation gleichsam abbricht. Über die letzten Jahre bis zu Marxens Tod im März 1883 gibt es nur vereinzelte, ärmliche Spuren. Vor allem die Pariser Kommune von 1871 wird in die hinterste, dunkelste Ecke verbannt. Manch ein Besucher wird sie glatt übersehen. Sie wird nur mit drei (!) Exponaten gewürdigt: Einer Lithographie von Edouard Manet, „La Barricade“ von 1871, einer Allegorie der Kommune von Théophile-Alexandre Steinlen, die 1885 entstand, sowie mit einem Exemplar von Marxens „Bürgerkrieg in Frankreich“ hinter Glas. Das ist alles.
Es kommt noch schlimmer: Im Kommentar an der Wand steht außer den Daten der Kommune (18. März – 28. Mai 1871) zunächst eine falsche Zahl von 17.000 Opfern. In Wirklichkeit wurden über 30.000 Menschen von der Konterrevolution hingemetzelt. Dann heißt es lapidar, Karl Marx habe „ungeachtet der Gräueltaten der Kommunarden“ in der Pariser Kommune den Beginn der Revolution gesehen.
Die Ausstellungsmacher wiederholen hier die Gräuelpropaganda der damaligen Konterrevolution, gegen die Marx eine seiner wortgewaltigsten Schriften verfasst hat. Nur zwei Tage nach der blutigen Niederschlagung der Kommune publizierte der Generalrat der Internationalen Arbeiterassoziation unter dem Titel „Der Bürgerkrieg in Frankreich“ eine Würdigung aus Marxens Hand. Friedrich Engels schrieb 1891, dass darin „die geschichtliche Bedeutung der Pariser Kommune in kurzen, kräftigen, aber so scharfen und vor allem so wahren Zügen dargestellt ist, wie dies in der gesamten massenhaften Literatur über den Gegenstand nie wieder erreicht worden“.
„Le Capital“, Karl Marx, Titelseite mit Widmung von 1872 für „mon ami Lissagaray“
Mit unverhülltem Zorn schildert Marx den Verrat der französischen Bourgeoisie und ihres Führers Adolphe Thiers – „ein Meister kleiner Staatsschufterei, ein Virtuose des Meineids und Verrats, ausgelernt in allen den niedrigen Kriegslisten, heimtückischen Kniffen und gemeinen Treulosigkeiten des parlamentarischen Parteikampfs“ –, die Paris lieber an die preußische Armee auslieferten, als es durch die bewaffneten Arbeiter verteidigen zu lassen.
Marx begrüßte die Kommune als ersten Versuch des Proletariats, die Macht zu übernehmen, und verteidigte sie bedingungslos. Die Kommune war, so Marx, „die wahre Vertreterin aller gesunden Elemente der französischen Gesellschaft, und daher die wahrhaft nationale Regierung“, und gleichzeitig war sie, „als eine Arbeiterregierung, als der kühne Vorkämpfer der Befreiung der Arbeit, im vollen Sinn des Worts international“.
In scharfen Worten verurteilt Marx die rücksichtslose Welle der Gewalt, mit der die französische Bourgeoisie im Bündnis mit Bismarck die Kommune im Blut ertränkte, und verteidigt die revolutionären Maßnahmen, mit denen sich die Kommunarden widersetzten: „Dieser ganze Verleumdungschor, den die Ordnungspartei in ihren Blutfesten nie verfehlt, gegen ihre Schlachtopfer anzustimmen, beweist bloß, dass der heutige Bourgeois sich für den rechtmäßigen Nachfolger des ehemaligen Feudalherrn ansieht, der jede Waffe, in seiner eignen Hand, für gerechtfertigt hielt gegenüber dem Plebejer, während irgendwelche Waffe in der Hand des Plebejers von vornherein ein Verbrechen ausmachte.“
An einer andern Stelle in der Ausstellung heißt es, Marx habe seit seiner Emigration aus Deutschland 1849 bis zum Lebensende „arm und politisch resigniert“ in London gelebt. Diese Version der Geschichte wird besonders in der taz kolportiert, deren Marx-Jubiläumsausgabe überall in Trier ausliegt. Dort betont Ulrike Hermann, das „Proletariat“ (das sie als Marxens „dialektische Erfindung“ und „idealistische Kopfgeburt“ bezeichnet) habe als „Treiber der Geschichte“ versagt: „Es kam anders als von Marx erwartet: Die Proletarier schüttelten nicht ihre Ketten ab, die Revolution scheiterte in ganz Europa. Spätestens ab Juli 1849 saßen die Monarchen überall wieder fest auf ihrem Thron (…) Marx war Realist. Er ging ins Londoner Exil und erwartete fortan nicht mehr, dass es zu einer neuen Revolution in Europa kommen würde.“
Zu dieser Sichtweise passt natürlich weder die Pariser Kommune von 1871 noch ihre Reflektion in der Arbeit von Marx und Engel oder die Auswirkungen, die sie auf die Sozialdemokratie hatte. In Wirklichkeit war der alte Marx alles andere als ein resignierter, politisch isolierter Greis. Wie Peter Schwarz in seiner Kritik am ZDF-Dokudrama „Karl Marx – der deutsche Prophet“ betont, blieb er seinen revolutionären Grundsätzen bis zum Lebensende treu und konnte noch erleben, wie die Ideen, die er und Engels unter großen Entbehrungen ausgearbeitet hatten, die Massen ergriffen und zur materiellen Kraft wurden.
Das Marx-Programm in Trier umfasst noch zwei weitere Partner-Ausstellungen: eine im Museum am Dom und die andere in Marxens Geburtshaus an der Brückenstraße. Im Grundsatz sind sie sich alle einig, dass Marx eine zerrissene Figur des 19. Jahrhunderts gewesen sei und kaum oder gar keine Relevanz für das 20., geschweige denn für das 21. Jahrhundert habe.
Die Ausstellung des Bistums Trier „LebensWert Arbeit“ im Museum am Dom ist fast zum Lachen. Sie stellt dem Kommunisten Karl Marx den Jesuiten Oswald von Nell-Breuning, Nestor der katholischen Soziallehre und Berater mehrerer deutscher Nachkriegsregierungen, entgegen. Ihm ist ein ganzer Raum gewidmet. Allerdings präsentiert diese katholische Ausstellung auch die verheerenden Auswirkungen der globalen kapitalistischen Anarchie. Diese werden von mehreren heutigen Künstlern ohne Scheuklappen in Szene gesetzt. Dazu gehört zum Beispiel das meisterhafte Foto Kai Löffelbeins aus Ghana: „Waste export to Africa“, das von Unicef zum Foto des Jahres 2011 erklärt wurde.
„Ghana: Waste export to Africa“, Kai Löffelbein, 2011, aus der Reihe „Ctrl-X, a topography of e-waste“ (Copyright Karl-Marx-Landesausstellung 2018, Trier)
Am stärksten von bürgerlichen Vorurteilen überlagert ist die Ausstellung im Karl-Marx-Haus, das der SPD-nahen Friedrich-Ebert-Stiftung gehört. Sie trägt den Titel: „Von Trier in die Welt. Karl Marx, seine Ideen und ihre Wirkung bis heute.“ Die Ausstellungsmacher gehen so weit, Karl Marx als Zeugen gegen den Kommunismus aufzurufen. So lautet eine Überschrift zu Dissidenten in der Sowjetunion und der DDR wie Andrej Sacharow und Robert Havemann: „Mit Karl Marx gegen den Kommunismus“.
Das ist gleich doppelt falsch. Erstens wandten sich Sacharow und Havemann nicht gegen den Kommunismus, sondern gegen dessen Totengräber, den Stalinismus. Und zweitens waren beide weniger Marxisten als bürgerliche Liberale.
Auch in dieser Ausstellung beginnt die Fälschung mit der Unterdrückung der Pariser Kommune. Sie kommt praktisch nur in einem Nebensatz vor, und die Oktoberrevolution von 1917 wird als „Putsch“ bezeichnet. Über Lenin heißt es: „Lenin konstruiert seinen eigenen ‚Marx‘ und spitzt seine Thesen zu, um den Umsturz in Russland zu begründen.“ Ein Schaubild über Russland im Jahr 1917 trägt den Titel: „Von der Revolution zum Putsch“, und der Kommentar dazu lautet: „Ende des Jahres putschen sich Lenin und die Bolschewiki in der Oktoberrevolution an die Macht. Sie schrecken dabei nicht vor Gewalt und Terror zurück.“
Im Gegensatz dazu werden die deutschen Sozialdemokraten als besonnene Politiker dargestellt, welche die Gewalt abgelehnt und sich für „Demokratie“ entschieden hätten: „Die einen gehen den Weg in die Diktatur, die anderen setzen auf die parlamentarische Demokratie.“
Verschwiegen wird die Rolle, welche die SPD 1918/19 bei der Niederschlagung der proletarischen Revolution in Deutschland spielte. Die SPD-Regierung von Friedrich Ebert und seinem „Bluthund“ Gustav Noske verbündete sich damals mit der Obersten Heeresleitung und mobilisierte die Freikorps, um revolutionäre Arbeiter und Soldaten zu terrorisieren und ihre Führer, Rosa Luxemburg und Karl Liebknecht, zu ermorden. Die SPD ist dafür verantwortlich, dass 1919 die Revolution in Deutschland erschlagen und in Russland isoliert wurde. Mit der Mobilisierung der Freikorps, aus denen die Sturmabteilung (SA) der Nazis hervorging, legten sie den Grundstein für den späteren Aufstieg Hitlers. Hätte Marx noch gelebt, er hätte Ebert und Noske nicht weniger scharf gegeißelt als Adolphe Thiers.
Davon natürlich kein Wort in der Ausstellung des SPD-eigenen Karl-Marx-Hauses zu Trier. Die Schau repräsentiert das ideologische Weltbild der heutigen Regierungs- und Staats-Politiker, die als Teil der Berliner Großen Koalition eine Politik der Kriege und des Sozialkahlschlags verfolgen. Für sie war Lenin der erste unter vielen machtgierigen Putschisten, die den „Marxismus-Leninismus“ angeblich zur Rechtfertigung ihrer „kommunistischen Diktaturen“ erfunden haben. Folgerichtig wird im Karl-Marx-Haus kein Unterschied zwischen „Kommunismus“ und „Stalinismus“ gemacht. Lenin steht in einer Reihe mit Stalin, Mao und Pol Pot. Leo Trotzki, der wohl größte Marxist des 20. Jahrhunderts, kommt so gut wie gar nicht vor.
Ein einziges Bild zeigt Trotzki. Es trägt den gehässigen Kommentar: „Lenin und Leo Trotzki, hier 1920 am Jahrestag der Oktoberrevolution, verkehren die ‚Diktatur des Proletariats‘ in ihr Gegenteil. Bei den Bolschewiki ist diese nicht mehr eine revolutionäre Übergangsphase, sondern ein Herrschaftssystem. Die Minderheit einer Parteielite herrscht über die Mehrheit.“
Was Leo Trotzki 1939 über die „von den Ideen der Bourgeoisie durchdrungenen Wissenschaftler“ schrieb – sie seien, verglichen mit Karl Marx, „auf dem Gebiet der Soziologie nur hoffnungslose Scharlatane“ –, das ist für diese Ausstellungsmacher noch zu gut. Im Karl-Marx-Haus zeigen sie sich als bewusste und offene Geschichtsfälscher.
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jbgdc3 · 7 years ago
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p.16: Tate Modern. Jenny Baker, 2017
p.19, 20-21, 22, 24, 25, 26: Alex Eagle Studio. Jenny Baker, 2017
p.39, 40-41, 42, 47, 48-49: Barbican Estate. Jenny Baker 2017
p.66, 69, 71, 72, 73, 74, 75: Tate Modern. Jenny Baker, 2017
p.77, 78, 80, 81, 82, 86, 87: No. 1 Opal Mews, NW6. Jenny Baker, 2017
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p.166, 167, 168-169, 170-171, 172: Women’s High Fashion, Liberty of London. Jenny Baker 2017
p.176, 177: Homeware floor, Liberty of London. Jenny Baker, 2017
p.257, 262-263, 264, 270-271: Loewe ‘This is Home’ pop up, Liberty of London. Jenny Baker, 2017
p.315, 316, 317, 318, 319, 320, 321: Foley Street Apartment, Soho. Jenny Baker, 2017
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p.258, 260, 261, 269: Loewe, This is Home. http://www.loewe.com/eur/en/lifestyle/loewe-this-is-home
p.272, 275, 276, 277: Dartmouth Park, Mark Lewis Interiors. Rory Gardiner. http://rory-gardiner.com http://www.marklewisinteriordesign.com/dartmouth-park/
p.278, 279, 280, 281, 282, 283, 285: Hoxton Square, Mark Lewis Interiors. Rory Gardiner. http://rory-gardiner.com http://www.marklewisinteriordesign.com/hoxton-square/
p.286: Barber and Osgerby Studio. http://designapplause.com/events/fairs/barber-and-osgerby-design-tableware-collection-thats-not-a-collection/45689/
p.290: Honda by Map. Barber and Osgerby. http://mapprojectoffice.com/work/honda/
p.290, 291: Knoll Sofa Collection, Barber and Osgerby. https://www.architonic.com/en/product/knoll-international-sofa-collection-by-edward-barber-jay-osgerby-sofa/1247195
p.292: Hotaru Buoy Pendant for Ozeki, Barber and Osgerby. Mark Whitfield. http://www.markwhitfieldphotography.com/interiors.html p. 293: Hotaru Buoy Pendant Sketch, Barber and Osgerby. http://www.stockholmsmassan.se/press/pressreleases/2016/1/this-years-guest-of-honour--edward-barber---jay-osgerby--create-a-triptych-installation-at-stockholm-furniture---light-fair
p.296, 297, 298: Tibbo collection for Dedon. Barber and Osgerby. http://barberosgerby.com/projects/view/tibbo
p.301, 302-303, 308, 309: Ahm House, Jorn Utzon. The Modern House. Tim Crocker. http://www.timcrocker.co.uk http://www.themodernhouse.com/sales-list/ahm-house/
p.322: Jaint, Emil Dervish. http://emildervish.com https://www.behance.net/gallery/43717735/JAINT
p.325, 326, 328, 329, 331: Fontanb, Emil Dervish. http://emildervish.com https://www.behance.net/gallery/41562119/fontanb
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halsteadproperty · 8 years ago
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Eye Candy of the Day: Brand New Townhouse with Parking
51 South 4th Street, AKA 6 Wythe Lane is a stunning brand new single family home spanning approximately 4,454SF of interior living space over five incredible floors. It is the final remaining available home of the highly sought after Wythe Lane Townhouses. The home features 4 bedrooms, 3 full bathrooms, one powder room, a finished full height basement, underground garage parking adjacent to the basement, a private garden, and a private roof deck with expansive views. Oversized windows, high ceilings on every floor, and the finest design and craftsmanship distinguish the home from virtually any other townhouse in Brooklyn.
A private mews, Wythe Lane, runs behind the townhouse garden, providing a distinctive entryway for welcoming guests into the home. Discreet road access is also available via the private underground garage and a street entrance is available on South 4th Street.
The lower level of the home offers an incredible space with double height ceilings perfect for a media room, gym, or studio, half bathroom, full size laundry room, storage, and adjacent access to the private underground parking. Heading upstairs, the first floor offers an additional powder room, dining area, mint condition open kitchen with an oversized island, and state of the art appliances which flow seamlessly into the outdoor kitchen in the garden.
The second floor of the home offers an enormous full floor living room with gas fireplace and ample space for entertaining. The third and fourth floors each feature two bedrooms, with two full bathrooms on the third floor and one en-suite master bathroom on the top floor. Finally, the large private rooftop offers expansive views south to Williamsburg Bridge and north looking towards Williamsburg and Long Island City.
The interior design of 6 Wythe Lane embraces clean lines and open spaces allowing the warm palette of materials and natural flow of light to come to the forefront. The exposed concrete ceilings display the grain of the rugged wooden planks used to form them - a reference to the industrial past of this part of Williamsburg. Every material used-including the wood, steel and concrete-flows continuously between the interior and exterior spaces; a recurrent theme throughout Wythe Lane. Crafted in a striking mix of water-struck coal-fired bricks, gunmetal-gray stainless steel, and exposed board-form concrete, the townhouses of Wythe Lane and their signature verdant trellises make a noteworthy addition to the neighborhood.
Williamsburg is a true melting pot of gastronomy, music and culture that stands at the forefront of the New York creative community. The Wythe Lane Townhouses are ideally situated a few blocks away from Broadway, one of the main arteries of Williamsburg, offering many of the most interesting and critically acclaimed restaurants and bars including Diner, Marlow & Sons, and historic Peter Luger.
To learn more about this sophisticated and modern home, click here.
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mundo-bichero · 8 years ago
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EEUU: Ahora los gatos podran tomar vino y brindar con sus dueños
Es al menos lo que ocurre en EEUU, donde dos empresas compiten en el mercado de vino para gatos y en menor medida para perros. El producto se vende en botellas en miniatura con nombres como Pinot Meow o Mew Champagne. Se trata de la última manifestación de una tendencia creciente de dueños de mascotas que tratan a los animales como personas.
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Hace un par de años sorprendieron los bares de gatos, cuya finalidad es la de sentarse a comer o tomar algo mientras se intima con los felinos que están allí a la espera de ser adoptados.
La tendencia nació en Japón y luego se trasladó a algunas ciudades vanguardistas como Nueva York y Oakland.
Dando una vuelta más de tuerca a esto, dos empresas estadounidense sacaron al mercado sus vinos para gatos e incluso se acusan entre si de robarse las ideas y copiarse los productos.
La empresa que introdujo el producto al mercado, la Apollo Peak, se autodenomina "la primera bodega para gatos", y ya le reprocha a su primer competidor, Pet Winery, de de ser sólo una  copia.
Ahora, ¿cómo es esto del vino para gatos? ¿Pueden los felinos tomar alcohol?
Claro que no. Estos “vinos” son en realidad brebajes que contienen una especie de aceite de hierba gatera, esa que estimula las feromonas felinas y que plantamos en nuestros hogares , aunque en este caso es líquida, consigna el diario The New York Times.    
Lo que a simple vista puede parecer un absurdo y un snobismo de estos tiempos, -en el que las mascotas pueden llevar collares de Dolce&Gabbana, ropa de diseño, pasear en bolsos confeccionados por Louis Vuitton,  es en realidad un signo de algo mucho más profundo.      
La falta de tiempo, de ganas de conectarse con otras personas, de ceder especicios y de perder independencia al formar una familia, hacen que el ser humano termine sintiéndose solo y termine humanizando a las mascotas para llenar esos vacíos.    
Tal es así tanto a Apollo Peak como Pet Winery hicieron promociones de descuentos para el último Día de San Valentín, ambas con nombres divertidos para sus productos.
Por 11.95 dólares (179,38 pesos) se podía comprar una botella "Fluffy" (Peluche) de 8 onzas de Cabernet o el "Pinot Meow" (Pinot Miau) de Apollo Peak, con sede en Denver.
O por 14.95 (230, 19 pesos) conseguir 12 onzas de "Meow & Chandon", de Pet Winery, asentada en Fort Myers, Florida.
Según consigna el diario, comprobó en una degustación de estos vinos en un coffee cat (café de gatos), que los animales que estaban allí para ser adoptados no se mostraron muy interasados en tomar el brebaje pero, en cambio, el producto pegó entre sus clientes.    
Para Savannah Thrasher, de 23 años, una médica que visitaba el Cat Town Café en Oackland, el vino gatuno“es lo más” y opinó que sería bueno si pudiera disfrutarlo con su gato.
Brandon Zavala, de 32 años,  el director ejecutivo de Apollo Peak, comenzó con el producto hace dos años tras reflexionar sobre el papel que tienen las mascotas en casa.    
......"Una mascota es más bien un amigo, un compañero de cuarto o un miembro de la familia... ¿Por qué sólo les damos agua?", se preguntó.
Zavala, quien primero vendió comida para  mascotas, llamó inicialmente “aperitivo  a su producto y después se dio cuenta que la clave para que se hiciera viral era la de bautizarlo como “vino para gatos”.    
Cuenta que las remolachas orgánicas de California le proporcionan el colorante, mietras que la esencia de la hierba gatera proviene de las elevaciones más altas de Colorado.
Sus pequeñas botellas de vino se venden en línea y en 200 tiendas, incluyendo T. J. Maxx y Marshalls.
Zavala impregna sus productos con refranes como "Making Cats Great Again", un juego con el slogan de campaña del presidente Donald Trump, y #whydrinkalone (#porquétomarsolos).
En tanto, en julio de 2016, Taryn Nahm, de 31 años, una ex vendedora de publicidad, y su novio, Kai Pfretzschner, de 37 años, químico, fundaron la compañía de vinos para gatos, Pet Winery.
Su lema: "Bebidas originales para mascotas". Sus vinos, también presentado en botellas diminutas, se venden online y en 40 tiendas.
Nahm admite que su compañía Apollo Peak no llega a ser dueña total del mercado" pero destaca tienen sus recetas innovadoras como la de ponerle “aceite de salmón a la esencia de hierba gatera".
Intrigado por saber qué tipo de gatos prefirieron el "vino", el periodista le pidió a Ann Dunn, la fundadora de Cat Town Café, que le permitiera realizar un "focus group felino" con seis gatos muy inquietos y una docena más interesado en dormir largas siestas que en probar refrescos líquidos.
Hubo una sorpresa: sólo a un gato, un blanco y negro llamado Dickie, le gustó la bebida. Bebió un sorbo y se puso feliz. Otros gatos siguieron dando vueltas por los cubículos ignorando la propuesta y apenas uno se interesó por un instante.
En cambio, los clientes amantes de los gatos -aun después de ver que a los animales no les gustaban los vinos- quedaron impresionados con los productos.
En ese sentido,  Zavala aseguró "lo bueno de la idea es la de tener vino para tomar junto a nuestra mascota y no cómo sabe para el gato."
Em definitiva, los vinos para gatos son la última manifestación de una tendencia creciente de dueños de mascotas que tratan a los animales como personas.
FUENTE: www.telam.com.ar
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