Sur le rivage de la Mer Morte ayez l'esprit d'observateur et remarquez les cubes de sel. En raison de la géométrie de la liaison chimique du sel la surface est exposée à la même concentration en sel, le cube augmente de façon symétrique. Pour rappel, la Mer Morte est un lac salé, sa salinité est ~ de 27,5 % en sachant que la moyenne de l'eau de mer est entre 2 et 4%
On the shore of the Dead Sea, be observant and notice the salt cubes. Due to the geometry of the chemical bond of the salt, the surface is exposed to the same salt concentration, the cube increases symmetrically. As a reminder, the Dead Sea is a salt lake, its salinity is ~ 27.5% knowing that the average sea water is between 2 and 4%
Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 55000 photos (nouveau compte approximatif. On se rapproche du présent !). 2015....
Marseille, en été. Mon trajet (ici dans le désordre chronologique) pour aller voir le feu d’artifice du 14 Juillet. On voit le Monument aux Morts en Mer du Palais du Pharo , le port de la Joliette et la tour CMA-CGM , le fanal du Fort Saint-Jean et la Corniche donnant sur le Massif de Marseilleveyre.
Les choses ont dû se passer ainsi. D’abord, le ciel a pris une teinte plus bleue chaque minute. Vénus est apparue à l’est, juste avant que le soleil commence à poindre au-dessus de l’horizon. Au sol, la rosée est montée en vapeurs qu’on ne percevait que par la délicate vibration de l’air. En bas, au village, une première fenêtre s’est éclairée. Un coq a chanté.
Puis la terre a tremblé et la montagne a grondé.
Un nuage s’est formé au sommet. Il s’est répandu en bouffées successives d’un jaune vif. Le vol des oiseaux qui l’ont traversé s’est arrêté brusquement et ils se sont écrasés au sol.
Le rugissement de la terre a déboulé sur le flanc de la montagne. Au village, une deuxième fenêtre s’est éclairée. Ce fut la dernière. Tout juste derrière le son, le nuage a envahi les rues. Le ciel s’est obscurci. Il est tombé sur les habitants.
Une rivière de fin du monde a commencé à couler vers la mer. Avec les glaces du sommet, la roche des pentes et le feu de la terre, elle charriait autant de chaos que de boue. Elle a noyé, écrasé et incinéré les arbres, les routes et les maisons. Aucune construction humaine ou même divine ne lui a résisté.
Quand, enfin, la rivière a atteint la mer, une vapeur acide s’est levée. Une enveloppe de cendres soufrées s’est étendue sur la région. Le magma a cherché à se figer, les bêtes ont cherché à fuir et les hommes ont cherché l’espoir. Tous ont trouvé la mort.
Je suis arrivé avec un groupe de secouristes très tôt… le lendemain.
La mer avait préservé la vie, mais dans les profondeurs seulement. Plus agiles, les poissons avaient fui loin du rivage. Mais, les quelques créatures qui y avaient été piégées souffraient. Bien peu avaient survécu, aucune n’était indemne.
On le voyait dès l’entrée dans le port. L’eau s’était remplie de métamorphoses grouillantes. Des formes gélatineuses s’agglutinaient en amas difformes. Des tumeurs violacées se gonflaient sur des corps à demi conscients flottant à la dérive. Des filaments s’étiraient comme des coiffures de gorgones pour capturer le peu qui aurait échappé au cataclysme.
Sur le rivage, on sentait comme un relent de mue, un mélange de sueur rance et de pelage brulé. Des corps détrempés, à peine reconnaissables, se décomposaient sur une terre fumante. La plage de galets était jonchée de carapaces de crustacés chassés d’une eau devenue trop chaude. Ils étaient venus se réfugier à l’air qu’ils avaient cru libre.
J’ai regardé au-dessus de nous. Le ciel prenait une teinte plus bleue chaque minute. Vénus est apparue à l’est, juste avant que le soleil commence à poindre au-dessus de l’horizon. Au sol, la rosée est montée en vapeurs qu’on ne percevait que par la délicate vibration de l’air. Aucune lumière ne venait du village. Aucun coq n’a chanté.
Comme une tour qui s’effondre sur ses résidents, comme une fusée qui explose avec ses passagers, c’était une pure horreur. C’était de toute beauté!
Le premier roman d’Eliot Ruffel nous entraîne sur la côte normande où deux adolescents passent l’été à tuer le temps. Max et Lou inventent des jeux, parmi lesquels aurait pu figurer celui-ci : essayer de définir ce qu’est un ennui mortel.
En deux mots
Max et Lou se sont rencontrés au lycée. L’année scolaire terminée, ils tuent le temps dans leur port normand en buvant des bières et en s’inventant des jeux futiles ou dangereux. Ils regardent le ferry rejoindre l’Angleterre, leurs familles respectives se confronter à la violence et aux problèmes, font la connaissance de Noé, une jeune fille pas plus bavarde qu’eux. Mais bientôt…
jsp trop, y'avait un truc a propos d'être biologist et je regardais les oiseaux et j'allais back and forth de l'école dans un tuktuk
plus tard on voulais voir Buckingham palace près de la plage (jsp pq) mais on était coincé dehors avec les guards très sympa toute la nuit
on est rentrés dans l'hôtel, et somehowww y'avait un truc ou des assassins nous poursuivait, même dans une ambulance
dans un autre rêve, on a pris un bateau illegally pour des vacances, puis y'avait un roller coaster sur une île magnifique et j'y étais avec adri et h.
Horrible accident sur l'autoroute 90 : deux personnes brûlées vives dans la nouvelle voiture de sport hybride Ferrari
Deux hommes d’âge moyen ont été tués dans un accident de voiture samedi matin sur l’autoroute 90, dans la région de la mer Morte. Ils conduisaient une nouvelle voiture hybride Ferrari 296 GTB d’un demi-million de dollars lorsque le conducteur, pour une raison inconnue, a perdu le contrôle à pleine vitesse.
La voiture s’est renversée et a pris feu, le conducteur et le passager sont morts dans…
Sylvain Josset - En sentant la mort venir revoir la mer
Revoir la merEn sentant la mort venir revoir la merJ’ai laissé la porte du cimetière ouverte, j’ai pris la place du haut près d’un soleil du matin et d’une vierge sans bras, je m’accommode d’un faux marbre qui ressemble à une richesse dévergondée, je prends l’écart dû à un rang marginal, devant moi un horizon qui sent les fleurs de pissenlits, devant moi une plaine dont quelques loups foulent…
Les prochaines vacances à la mer morte. A savoir que l'on ne peut pas nager mais seulement flotter. C'est une conséquence de la forte salinité de l'eau et de la masse volumique du sel. The next holiday at the Dead Sea. You should know that you cannot swim, only float. This is a consequence of the high salinity of the water and the density of the salt
🇫🇷 #FIREPODCAST N.34 Écoutez notre VidéoPodcast et c'est toujours #120joursencénacle avec P. Baldo Alagna @padrebaldo.dj : Matthieu 25, 43 : Prions pour ceux qui ont décidé des normes qui n'aident pas et tuent les migrants !🔥
Dans son nouveau roman Claire Conruyt raconte le séjour d'une mère et de ses enfants sur une île de l'Adriatique. Un dernier séjour qui est aussi une quête spirituelle, un adieu à l'enfance, une fuite éperdue.
En deux mots
Le ferry va accoster sur l’île de Sjena, baignée par l’Adriatique. Ce dernier voyage vers la terre des origines a aussi, pour Pierre et Orphée, tout d’une quête impossible, tenter de sauver leur mère qui sombre vers la folie. Alors, ils s’accrochent à leurs rêves.
Ma note
★★★ (bien aimé)
Ma chronique
Où es-tu Bérénice?
Dans son nouveau roman Claire Conruyt raconte le séjour d’une…