#Louise-Joséphine Sarazin de Belmont

[lux-vitae]

The Roman Theater at Taormina by Louise-Joséphine Sarazin de Belmont (1828)

[empirearchives]

Paris, vu des hauteurs du Père Lachaise

Tombstone in Père Lachaise Cemetery, in Paris. Antoine-Jean Gros' tombstone is represented in the center of the painting. Gros was one of Napoleon’s portraitists and the pioneer of French Romanticism.

Artist: Louise-Joséphine Sarazin de Belmont

c. 1842-1859

[illustratus]

Ruins in an Italian Landscape by Louise-Joséphine Sarazin de Belmont

[clairity-org]

Louise Joséphine Sarazin de Belmont, View of the Falls at Tivoli, ca. 1826, Oil on canvas, 11/21/23 #legionofhonor by Sharon Mollerus

[pintoras]

Louise-Joséphine Sarazin de Belmont (French, 1790 - 1870): A Grotto with Castel Gandolfo Beyond (1826) (via Sotheby's)

[joseandrestabarnia]

El teatro romano de Taormina, 1828

Artistas / Creadores: Louise-Joséphine Sarazin de Belmont (francesa, 1790-1870)

Medio: óleo sobre papel sobre lienzo

Dimensiones: total: 43,2 x 59,7 cm, enmarcado: 55,9 x 71,8 x 5,1 cm

Línea De Crédito: Donación de Frank Anderson Trapp

Número De Acceso: 2004.166.33

Información e imagen de la web de la National Gallery of Art de Washington.

[cheminer-poesie-cressant]

(Louise-Joséphine Sarazin de Belmont, Paris vu des hauteurs du Père-Lachaise, 1842,1859, musée des Augustins, Toulouse)

(petite scène de la ville quotidienne, XLIV, la vue antique)  

vue renouvelée sur les tours de Notre Dame au milieu d’une petite allée tortueuse et isolée de la colline du Père-Lachaise, comme une promenade dans un antique rêvé ; une vue séculaire rappelant celle des gravures du XVIIIème siècle, car ici les arbres cachent encore le moderne des siècles récents ; une petite fenêtre hors du temps saisi par le regard et le hasard, une vue rare et précieuse, celle que pouvait observer un Balzac qui repose au carrefour que termine cette allée, une vue qui rappelle son Paris désormais disparu

© Pierre Cressant

(lundi 3 décembre 2012)

[deepartnature]

True to Nature: Open-Air Painting in Europe 1780–1870

“In this unique exhibition, explore the inventive ways artists in the 18th and 19th centuries recorded fleeting moments in nature, capturing the effects of light, drama, and atmosphere first-hand in the open air. The exhibition unites for the first time more than 100 oil sketches from the remarkable collections of The Foundation Custodia in Paris, The National Gallery of Art in Washington, and The Fitzwilliam Museum in Cambridge, together with a distinguished private collection of sketches, never before seen in public. Featuring works by artists including John Constable, Jean-Baptiste-Camille Corot, J.M.W. Turner, Edgar Degas and Louise-Joséphine Sarazin de Belmont, the thrill of these painters’ encounters with nature is palpable in their highly skilled, rapidly painted sketches. ...”

The Fitzwilliam Museum (Video)

Storm at Handeck, Alexandre Calame.

[earphonesaremysalvation]

Through the Lens: Providence

Through the Lens: Providence

Brown University, Providence, RI, USA

A moment of silence for Blueno, who was taken from us too soon.

“Cesar Augusto”

Rhode Island School of Design Museum, Providence, RI, USA

Pablo Picasso “Seated Woman with a Book”

Claude Monet “The Basin at Argenteuil”

Thomas Lawrence “Portrait of Lady Sarah Ingestre”

Louise Joséphine Sarazin de Belmont “A View of Paris from the Louvre”

Hubert Robert…

[arsamissa]

"View of Saint-Pol-de-Léon" Louise Joséphine Sarazin De Belmont Oil on canvas, - Private collection

[jbrasseul]

Augustins, suite

La halte forcée, 1855, Alexandre Antigna. Détail

Le tableau représente une misère noire, au milieu du XIXe siècle, une famille de six enfants et un grand-père forcée à l’arrêt dans le froid et le dénuement.

(more…)

[empirearchives]

Evidence of Napoleon’s awareness of the concept of vampires

(Tombstone in Père Lachaise Cemetery, by Louise-Joséphine Sarazin de Belmont)

“They [vampires] even confronted Napoleon during his reign, as exemplified by an anecdote from the early nineteenth century about Napoleon’s reaction to a story about a strange man named Rafin who disappeared every night into Père-Lachaise Cemetery only to reappear in the morning: when Napoleon heard the this, he reputedly asked if Rafin was “a vampire” (Mozzani 1988: 212-14). Certainly, the general population across Europe at the turn of the nineteenth century found them of interest, especially as their literary place began to take hold.”

Source: Lynn, Michael R. “Wonders Never Cease: Werewolves, Vampires, and Other Curiosities in Early Modern France.” Critical and Historical Studies on the Preternatural, vol. 12 no. 1, 2023, p. 27-54.

[illustratus]

View of the Castello di San Giuliano, near Trapani, Sicily

by Louise-Joséphine Sarazin de Belmont

[jbrasseul]

Le musée des beaux arts à San Francisco est une réplique du palais de la Légion d’honneur à Paris. Il date de 1924 et on le doit à une famille ayant fait sa fortune dans le sucre, Alma et Adolph Spreckels. A l’extérieur Jeanne d’Arc côtoie le Cid Campeador, et à l’entrée Rodin figure en majesté. La richesse du musée est à la hauteur de celle de la ville. Tout ça se trouve dans le parc Lincoln, au bout ouest de San Francisco, près de Land’s End, avec des aperçus superbes sur le Golden Gate. Le site du musée.

Leçon de golf

Jeanne d’Arc

Le Cid

Expo

Le penseur de Rodin

On peut commencer par une période charnière, autour de 1800, au moment de la Révolution et de l’Empire, puis la Restauration, quand David était le grand peintre et que le romantisme s’affirmait.

Une des filles jumelles du peintre, Laure Emilie Félicité David, baronne Meunier, en 1812

Charles Quint, Van Dyck, revu par Géricault, 1815

Tivoli, par Louise Sarazin de Belmont, 1826

David, La bonne aventure, 1824

Delacroix, portrait de Ch. de Verninac, 1826

Gérard, La leçon de musique, 1799

Goya, portrait de Ramon de Posada y Soto, 1801

Le baron Gérard, élève de David, “le peintre des rois, le roi des peintres”, donne ici le portrait de la comtesse de Morel-Vindé et sa fille au piano, en 1799. Delacroix peint son neveu, Charles de Verninac, diplomate, mort à 30 ans à New York après un long voyage à travers les Amériques : parti de Toulon, il passe le cap Horn, devient consul à Valparaiso, rentre par l’isthme de Panama (pas encore un canal à l’époque) où il contracte la fièvre jaune… Goya peint un compatriote, notable et auteur (sur les questions économiques), mort en 1815, Ramón de Posada y Soto. Louise Joséphine Sarazin de Belmont, peintre aujourd’hui oubliée, vit les deux empires, entre 1800 et 1870, y est célèbre pour ses paysages, et représente ici un aspect de la fameuse ville italienne, Tivoli, en 1826. Géricault enfin, peint le grand empereur de la chrétienté, deux siècles et demi avant son époque, d’après un tableau de Van Dyck. Extrême en tout, l’auteur du Radeau de la Méduse, meurt en 1824 à 33 ans de ses excès.

Le moteur de recherches du musée, très pratique. Le tableau représenté en exergue est une partie de l’oeuvre de Thomas Anschutz, 1880, “The Ironworkers’ noontime“. Inspiré d’une fresque du Parthénon, mais vu comme une critique de l’industrialisation.

Legion of Honor Le musée des beaux arts à San Francisco est une réplique du palais de la Légion d'honneur…