#Les grandes oubliées
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Les Grandes oubliées. Pourquoi l’Histoire a effacé les femmes, Titiou Lecocq
Première incursion pour moi dans les sciences-humaines, et DAMN !
« Les femmes ont fait l'histoire, elles ont régné, elles ont gouverné, combattu, elles ont milité, écrit, crié parfois. Elles n'ont jamais été les spectatrices d'un monde que les hommes dirigeaient. Ça, c'est une fable historique. Même quand elles ont été exclues des sphères de pouvoir, elles ont continué à résister. C'est aussi cela, notre histoire commune. Et l'histoire des femmes, ce n'est pas que l'histoire des femmes. C'est également la vôtre, messieurs. Vous êtes, vous aussi, les descendants de ces femmes qu'on a oubliées et réduites au silence. »
Je sors de ma lecture des Grandes oubliées avec le cerveau en compote et un goût d’injustice. Je connaissais Titou Lecocq de nom, je défendais déjà ses ouvrages à la librairie et encore plus celui-ci, et j’ai enfin pris le temps de le lire. Je sais pas pourquoi, je pensais avoir compris qu’on allait nous parler des femmes oubliées, genre les inventeuses, les autrices, etc. (Désolée !) En fait, pas du tout, enfin, si, mais pas tellement. C’est l’histoire des femmes. Point.
Des femmes dans l’Histoire. Vous saviez que les femmes pendant la Préhistoire n’étaient pas enfermées dans les grottes avec l’éducation des marmots, mais qu’elles chassaient, cueillaient et peignaient aussi ? Et que tout le monde s’occupait des enfants ? Et que les femmes pendant l’Antiquité avaient (aussi) un rite de passage à l’âge adulte qui consistait à se déguiser en ourses, sacrifier une chèvre et courir nues ? Et qu’au Moyen Âge, les femmes régnaient, étaient autrices, enlumineuses, bardes, chevaleresses, bâtisseuses de cathédrales et j’en passe ? Et que la chasse aux sorcières du XVIe siècle vient des hommes du clergé qui… quoi d’ailleurs ? avaient peur des femmes ? Et que c’est sévère parti en cacahouètes avec les Lumières et Napoléon ?
Encore un autre exemple hyper parlant (pour moi), désolée l’extrait est un peu long :
« Il faut également parler d'Émilienne Moreau-Évrard. Sacrée femme, Émilienne. Elle est née en 1898 dans le Pas-de-Calais. Elle habite dans la ville de Loos, près de Lille, et veut être institutrice quand éclate la Première Guerre mondiale. Loos est occupée par les Allemands, et Émilienne décide d'organiser dans une cave une école clandestine pour les enfants. Elle a 17 ans. En septembre 1915, alors que les Écossais attaquent pour reprendre la ville, elle va à leur rencontre pour leur donner les positions des troupes allemandes. Puis, avec un médecin écossais, elle organise dans sa propre maison un poste de secours et y soigne les blessés de l'assaut. Ensuite, je cite sa fiche biographique sur le site de l'ordre du Mérite : ‘‘Pour sauver un soldat anglais pris sous la mitraille, elle n'hésite pas à sortir de chez elle, armée de grenades, et parvient, avec l'aide de quelques soldats anglais, à mettre hors d'état de nuire deux soldats alle-mands, embusqués dans une maison voisine. Un peu plus tard, alors que la maison est cernée, elle se saisit d'un révol ver et abat à travers la porte deux fantassins ennemis.’’ »
Comment diable est-ce qu’après avoir passé 15 ans de ma vie à vivre juste à côté de Loos je n’entends parler de cette femme que maintenant ?????
Bon, je m’arrête là avec les exemples, mais vous voyez le topo : Titiou Lecocq nous invite à nous pencher et à redécouvrir l’Histoire des femmes, et comment on les a invisibilisées, réduites au silence et oubliées. Le tout en s’appuyant sur des exemples concrets et des travaux d’historiennes et de quelques historiens. C’est hyper hyper intéressant, j’ai appris énormément de choses et mon cerveau a surchauffé. J’ai adoré. J’ai mis du temps à me pencher dessus, mais alors je ne regrette absolument pas ! J’avais aussi peur que, étant un ouvrage de sciences-humaines, ce soit incompréhensible et/ou compliqué à lire comme des articles universitaires, mais pas du tout ! C’est hyper fluide, très bien écrit, bien construit, et abordé presque comme une histoire. C’est un grand coup de cœur inattendu ! Et maintenant j’ai très envie de lire son dernier ouvrage Le couple et l’argent 👀
05/11/2023 - 11/11/2023
#livres#books#livre#book#sciences humaines#littérature féministe#féminisme#titiou lecocq#les grandes oubliées#les grandes oubliées pourquoi l’histoire a effacé les femmes#éditions l’iconoclaste#coup de cœur#coup de cœur littéraire
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An amazing read for women, men, and everyone in-between. I read this book in 24h. Despite the heavy topic, it's very humoristic. I wished it had been longer. I don't know if an English version exists, but it's needed!
#Titiou Lecoq#books and reading#reading#book review#Les grandes oubliées#feminism#female oppression#sex based oppression#male privilege#sexism#history
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while i was without internet, i thought about my pkmn ocs again (especially the ones made for the once upon a time french rp on dA) and... gotta do Things.
so
what's a cool name for a dragon type trainer? (who's super cool and super badass and not much taller than 165 cm :D)
#pour ceux qui connaissent ledit rp ce perso est sensé être le bff de jin donc faut équilibrer l'un est un BIG dumbass goof donc l'autre doit#être l'opposé (il est à peine plus grand que la mère de jin et jin est GRAND)#jveux recycler le nom d'un oc que j'ai jamais utilisé genre aisling mais je saaiiis paaaas#c'est aussi le seule gym leader (avec le gamin de type vol) auquel j'avais pensé vu que les autres étaient destinés à être crées par les#membres du rp DONC Y'A DU BOULOT POUR BIBIIII#qui qui veut être un perso dans mon histoire ??? (bis après l'histoire FE que j'ai un peu oublié là lol)#(on s'occupe comme on peut)
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𝐓𝐚𝐤𝐞 𝐌𝐲 𝐇𝐚𝐧𝐝
ʚ charles leclerc x female reader
ʚ charles knows when he can’t escape the noise in his head, he can turn to you.
ʚ slight angst? mostly comfort fic<3
ʚ just needed a little comfort blurb today because my brain isn’t being so kind to me, so here we have it! i hope you enjoy
ʚ inspired by ‘what i was made for’ by billie eilish:)
It was as if you were waiting for the door to slam when Charles got home around one in the morning, the frustration boiling over as yet again he had a less than ideal race. Failed strategy after failed strategy you wondered just how much your boyfriend could really take, on the outside Charles put up a front, confident and neutral, but you knew deep down he held tidal waves of emotions from spilling over and taking him down with the current.
There was no slam, no cursing, just the soft click of the lock and the sound of the tap in the kitchen turning on. You reached for the bedside table and turned the light on, sitting up slightly, ready to envelope Charles into your arms, into the safety of your embrace. Listening closely to the footsteps that came down the hallway, once your eyes met his you could see just how exhausted he looked, how lost he seemed and it wasn’t long before his head was on your chest and your arms held him tightly to you.
“Oh my love….”
Your heart clenched painfully in your chest as your fingers ran up and down his back, the slight tremor in his breathing a sign he was finally letting out the emotions he tried so desperately to keep back
“Je crois que j’ai oublié comment être heureux..”
Hearing the slight crack in his tired voice was enough to line the bottom of your eyes with tears
“It’s okay to let yourself feel what you have to in order to relieve the pressure mon chère, I know this world has been testing you lately but I have no doubt in my mind that you will find that happiness again…no matter how long it takes…and i’ll be here to help you anyway I can..”
You paused
“Je ne veux pas te voir te perde Char”
“What was I made for…”
Your hands stopped moving on his back, sliding up to rest on his cheeks when he looked up at you, his eyes red and tired but nonetheless he still looked like your Charles…the Charles he felt slipping away
“You were made to shine your light on others cherie, you were made to love so fiercely with that heart of yours that has so much adoration for so many people. You were made to work your hardest like you do every second, for driving like your life depends on it each and every weekend you have a grand prix. You were made for me, to feel loved, to feel cherished, to feel special and to feel appreciated, not just by me but by your family, and I know they love you as much as I do…”
Leaning forward to press a kiss to his forehead you leaned your head against his
“You were not made to hide yourself away, you were not made to repress yourself and feel as low as you have been, and you were not made to be treated this way…but this is a bump in the road, a big one, but you’re stronger than that. I know the journey is not fun right now and your tired, but you’ll make it out…stronger than ever Charles.”
He remained silent for another moment before you said one last thing
“Tu étais fait pour être toi-même, tu étais fait pour être l'homme que tu es aujourd'hui. brillant, attentionné, plein d'amour, et l'homme le plus fort que je connaisse. tu surmonteras ce Charles, et je serai avec toi, tout au long du parcour.”
It wasn’t long before he was pressing a soft kiss to your lips, his arms bringing you into him, holding you as if he was afraid you’d turn to dust and disappear with the smallest of breezes. When he needed air from the constant torment of waves, you were his breath of fresh air, you were the calm in the storm, the cover in the rain, and for that he was grateful.
“Je t’aime…”
It was simple, and the only words he could get out without another onslaught of emotions and you were fine with that, because those words meant the most to you.
“I love you too Charles, more than you’ll ever know.”
Think I forgot, how to be happy, something i’m not, but something I can be…something I’ll wait for.
#rueswrites#ruesanswers#ruesanons<3#ruesasks#charles leclerc fanfic#charles leclerc x reader#charles leclerc x you#charles leclerc x wife reader#charles leclerc x female reader#charles leclerc x y/n#charles leclerc x girlfriend reader#charles leclerc fluff#charles leclerc#charles leclerc f1#formula 1 fanfic#formula 1 masterlist#formula 1
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Tant bien que mal
Ils sont marrants les êtres
Vous tout comme moi
Moi tout comme vous
Et c’est pas du théâtre c’est la vie c’est partout
Ils sont marrants les êtres
En entrant chez les autres il y en a qui tombent bien il y en a qui tombent mal
A celui qui tombe bien on dit
Vous tombez bien et on lui offre à boire et une chaise où s’asseoir
A celui qui tombe mal personne ne lui dit rien
Ils sont marrants les êtres qui tombent chez les uns qui tombent chez les autres ils sont marrants les êtres
Celui qui tombe mal une fois la porte au nez retombe dans l’escalier et l’autre passe dessus à grandes enjambées
Quand il regagne la rue après s’être relevé il passe inaperçu oublié effacé
La pluie tombe sur lui et tombe aussi la nuit
Ils sont marrants les êtres
Ils tombent ils tombent toujours ils tombent comme la nuit et se lèvent comme le jour.
- Jacques Prévert
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine.
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir.
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse.
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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Il existe des êtres d’exception, des âmes silencieuses, Guidées non par les mots, mais par une intuition pure. Ils lisent dans les silences comme dans des poèmes, Déchiffrent les fissures que l’on dissimule, Et reconnaissent la lumière vacillante dans l’obscurité. Ceux-là ne s’arrêtent pas aux façades polies, Ils traversent les murs que nous dressons pour nous protéger. Ils devinent les blessures que le temps n’a su guérir, Les tempêtes apaisées qui grondent encore en secret. Ces âmes rares sont des phares dans la nuit, Des éclats de vérité dans un monde d’apparences. Elles n’offrent pas des réponses, mais une présence, Un refuge discret où l’on peut déposer ses fardeaux. Elles arrivent sans bruit, Quand l’espoir lui-même semble s’être enfui, Et avec un regard, une parole, Elles rappellent que nous ne sommes jamais invisibles. À vous, les âmes qui voient vraiment, Ceux qui ressentent avant de comprendre, Vous êtes les gardiens des cœurs oubliés, Les tisseurs de liens invisibles dans le grand chaos du monde.
Adam Yazan
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"petit tips pour les anonymes, si vous assumez pas suffisamment vos propos pour les poster avec votre compte, c’est probablement que vous devriez les garder pour vous." Non c'est juste que tes potes et toi avez fait une profession du fait de tourner en ridicule et d'aggro les gens qui leur parlent ouvertement, confonds pas tout. C'pas psq les gens veulent pas que vous veniez vous acharner sur eux leurs fo et leurs potes pendant 5 ans qu'ils sont pas en accord avec leur opinion. C'pas psq des gens qui vous connaissent pas veulent pas deal avec vous que c'est eux le problème.
Et si on veut parler en anonyme tu vas faire quoi ? J'viens avec un post anon rien que pour te mettre ça dans la tronche : me semble que des meufs t'ont dit de pas parler sur leur projet et que t'as répondu grosso modo que tu fais ce que tu veux. Donc les anon font ce qu'ils veulent ? :)
Ah et pour ton "ouin ouin violence bouh regardez vous avez deux poids deux mesures" : j'peux pas t'aider comme le tone policing est interdit ! Mince alors. Mais t'es drôle quand tu insistes sur le fait que personne n'a à te dicter comment parler puis que tu sors une quote de comment t'estimes que X aurait dû te répondre avant de reblog Y pour te plaindre de son parler de banlieusarde. C'est pas comme si ça fait 4 ans que 90% des gens qui vous lisent vous disent que vous filez de l'anxiété à tout le monde et que vous êtes agressifs et que vous rendez impersonnelle et malveillante une cause juste, et que vous en aviez rien à taper.
Comme t'as dit t'es une bad bitch qui emmerde tout le monde donc vas-y relève-toi mdrrrrrr t'as soudain oublié ta street cred dans le marécage où tes potes ont laissé leurs neurones quand ils ont ficha qu'un post débat poli était trop long et trop complexe pour eux.
Bon étant donné que tout semble tourner autour du « vous » et du « nous » je vais donc en faire de même. Et vu que vous avez tous pris le temps de lire 5k d’une autre personne, vous prendrez certainement le temps de lire les miens n’est-ce pas?
Vous êtes super rapides à brandir la croix et la bannière pour défendre les gens sur des multitudes de sujets tels que la santé mentale, l’accessibilité, le plagiat et autres, mais quand c’est des personnes racisées qui expriment leur lassitude face à une discrimination qu’ils subissent (et donc un mal-être qu’ils ressentent, parce que c’est bien de ça dont on parle, c’est pas un débat ou l’un a tort et l’autre raison c’est un constat fait par des gens qui partagent leurs plaintes et vous votre réponse à ça c’est de les fustiger encore plus) là y’a plus aucune tentative de compréhension parce que vous êtes visiblement tellement étranglés par votre propre conscience que vous le prenez personnellement.
Vu que vous n'avez à priori pas dotés de suffisamment d'empathie pour parvenir à saisir les nuances d’une situation quand elle ne s’applique pas à votre propre personne : s’offusquer qu’on fasse des généralités (statistiquement correctes, j’insiste encore) sur les membres d’une communauté c’est du même niveau que les hommes qui s’offusquent quand des femmes témoignent de l’oppression qu’elles subissent et dégainent leur #notallmen. Là c’est pareil. On a pas dit qu’absolument toutes les personnes qui jouaient des fcs blancs sur ce forum ou d’autres étaient des racistes, mais si vous n’aviez absolument rien à vous reprocher ça vous serait passé au dessus de la tête et vous auriez pas été violentés au point de faire des amalgames comme si on avait sous entendu que vous étiez des nazis. La preuve étant qu’on a même pas qualifié quiconque de raciste, ce raccourci vous l’avez fait vous même comme des grands ce qui ne fait que prouver davantage que vous êtes au courant de la problématique que cette constatation de sur-représentation blanche représente. Vous êtes en train de vous empaler tout seuls sur votre épée mais vous préférez blâmer le forgeron.
En fait vous êtes tellement aveuglés par votre désir de diabolisation de nos personnages que tous vos arguments se focalisent sur notre façon de parler et/ou de ne pas parler plutôt que sur le message qu’on porte. Vous avez des œillères tellement phénoménales que vous préférez par exemple ignorer que si, on a répondu au long message qui ne comportait que des affabulations et de la réthorique fantasmagorique qui reposait sur de la spéculation totale. Tout ce qu’on dit vous trouvez un moyen de l’interpréter et de le tordre pour concorder au moule de votre vision étriquée de la situation et vu que vous avez l’air d’avoir des soucis d’ordre interpersonnels avec nous vous préférez ne pas chercher à comprendre ce qu’on dit mais plutôt trouver un moyen de nous le renvoyer à la gueule.
La vérité elle est très simple, on est face à une situation où on a constaté un manque de représentation dans les fcs des forums, et la réponse qu’on a reçu c’est « traitez nous pas de nazis vilains harceleurs haineux ». Un grand écart tellement prodigieux qu’il en ferait faire pâlir les plus grands gymnastes de ce monde.
On est tous d’accord je l’espère sur le postulat que le racisme c’est pas bien, donc pourquoi est-ce que vous cherchez à nuancer le propos uniquement quand la responsabilité de son existence vous incombe aussi? Au lieu de saisir l’occasion de vous remettre en question et d’œuvrer positivement pour faire de cette communauté un espace davantage bienveillant comme vous semblez tant le désirer vous préférez sacrifier ça au prix de votre défense. Quel égoïsme et autocentrisme tragique.
En tout cas ne te fais pas de soucis pour nous, on se porte tous très bien mentalement, on notera tout du moins la rapidité avec laquelle tu es venue te réjouir et fanfaronner d’un potentiel mal-être de notre part. L’attention portée au mental des gens c’est à sens unique comme toujours mais heureusement on est solides à ce niveau là parce qu’on est profondément convaincus de la noblesse de nos propos et de ce qu’on défend. Les difficultés de l’un ne l’emportent pas sur celle des autres, vous ne savez à priori pas grand chose non plus de ce qu’on vit ni qui on est, mais étant donné qu’on ne pollue pas nos paroles avec des informations d'ordre de l'intime on n’y prête pas attention. Si vous êtes fragiles mentalement et souffrez d’anxiété, j'en suis désolée pour vous mais ça n'a pas sa place dans la discussion et avant tout ça ne vous dispense pas d’être tenus responsables de vos propos et actions lorsque ceux-ci sont de nature discutable. Si vous proférez des propos virulents et invalidants, on vous répondra avec la même énergie parce que jusqu’à preuve du contraire le droit de se défendre ne vous est pas exclusivement réservé, et soudainement vous vous plaignez en disant que ça vous agresse? J’suis au regret de vous annoncer qu’il fallait pas laisser votre bouche écrire un chèque que votre cul est pas apte à encaisser.
Maintenant que ça c’est fait, je te réponds aux critiques envers moi et moi seule. Par rapport au sujet de ma critique vis à vis de l’anonymat, oui vous faites ce vous voulez, et moi j’ai pareillement le droit d’exprimer mon avis sur la question. C’est ce que j’arrête pas de dire depuis le début mais vu qu’encore une fois vous préférez comprendre ce que vous voulez je vais continuer à radoter.
Mon message avait pas pour but de « chouiner », il avait pour but de retourner le principal argument qui est employé depuis le début de cette histoire pour dévaloriser nos paroles et décrédibiliser l’importance de notre revendication étant : vous êtes violents, et même si on est d’accords on cautionne pas. Le fait étant que là y’a de la violence réelle et tangible qui a été proférée mais j’vois personne en aller de son petit texte et rebloguer en masse pour exprimer oh combien ça le remue de voir de l’agressivité. Étrange phénomène. Ça prouve bien que le problème de notre soit-disant violence il est épidermique et que le cœur de vos reproches envers nous est lui bien viscéral.
La vérité c’est qu’à la fin de la journée c’est chacun avec sa propre conscience et vu la virulence avec laquelle vous défendez et justifiez votre caractère j’ai l’impression que la vôtre est bien bien lourde. J’ai jamais dit que j’étais une bad bitch, jamais mentionné la moindre street cred mais merci pour le compliment, et tu sais quoi pour te remercier c’est ton jour de chance j’emmerde pas tout le monde mais j’vais mettre un point d’honneur à t’emmerder toi tout particulièrement, des bisous.
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Le château des Milandes en Dordogne, ancienne propriété de l’artiste est aujourd’hui le lieu de mémoire consacré à la vie de Joséphine Baker et à son univers personnel.
Le château des Milandes reçoit plus de 200 000 visiteurs par an
On découvre en consultant la brochure de présentation des lieux que le château des Milandes est une propriété privée. Mis en vente en 1968 après la déconfiture de sa propriétaire, le château est aujourd’hui la propriété d’Angélique de Saint-Exupéry qui s’emploie depuis plus de vingt ans à restaurer les lieux et surtout à faire vivre l’hommage à son illustre ancienne propriétaire, Joséphine Baker. Étonnant pourtant qu’en son temps, le général de Gaulle, grand ami de Joséphine Baker, l’ancienne résistante et soutien du général en mai 68, n’ait pas demandé aux services de l’État de préserver ce lieu de vie vendu à l’encan, devenu par la suite lieu de mémoire oublié de la République…
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On n'a pas invité nos grand-parents, oncles tantes et tout le tintouin à notre mariage, parce qu'on était 30 et qu'on préférait avoir nos amis.
Donc la mère de Cyprien lui a mis la pression genre 'faut que tu le dises à ta grand-mère, elle va pas être contente, t'es son petit fils préféré et le premier blabla' donc quand Cyprien a appelé sa grand-mère pour lui dire, il a dit 'mais on fêtera ça ensemble plus tard ne t'inquiètes pas', sous entendu on fera un repas tranquille (ce qu'on pensait tous les deux)
Moi j'ai oublié cette histoire, mais pas la mère ni la grand-mère, et du coup il y a un repas d'organisé pour célébrer notre mariage, 11 mois après, avec non pas 10 personnes mais au moins 30 !!!! Dont pleins que j'aime pas.
Et là, la grand-mère elle veut une pièce montée, mais mamie même à notre mariage y en avait pas. Et la mère de Cyprien lui a dit en justifiant ça par 'Ah non mais c'était un mariage de campagne' mais mdr ça veut dire quoi ? J'ai rien contre la campagne mais là ça sonne pas bien
Bref, le 3 août je remets ma robe de mariée et Cyprien son costume pour un truc dont aucun de nous n'a envie. Et en plus elle me demande ce qu'on fait au menu mais écoute tu vas t'entretenir avec ton fils parce que perso je suis déjà mariée, j'ai déjà fait la fête et le repas avec les gens que j'aime.
#Vous voulez venir ?#Apparemment c'est unlimited en ce qui concerne les invités#Puisque sa mère rajoute des gens tout le temos#Yes je suis aigrie#J'ai envie de rien#Tout le monde me saoule#Je vais retourner faire des rando ça ira mieux
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Je ne changerai jamais mes amis fantastiques, ma vie merveilleuse, ma famille bien-aimée pour des cheveux moins gris ou un ventre plus plat. En vieillissant, je suis devenue plus amicale envers moi-même et moins critique envers moi-même.Je suis devenu mon ami…Je ne me blâme pas d'avoir mangé des biscuits supplémentaires, de ne pas avoir fait le lit ou d'avoir raté quelque chose de stupide dont je n'avais pas besoin. J'ai le droit d'être désordonnée, d'être extravagante. J'ai vu beaucoup de chers amis quitter ce monde trop tôt, avant de réaliser la grande liberté du vieillissement Qui m'en voudra si je décide de lire ou de jouer sur mon ordinateur jusqu'à quatre heures du matin et de dormir jusqu'à midi? Qui me critiquera de rester au lit ou devant la télé aussi longtemps que je le souhaite. Je vais danser avec ces merveilleux tubes des années 60 70 et 80 et si en même temps je veux pleurer pour un amour perdu …Si je veux, je marcherai le long de la plage en short trop allongé sur un corps en décomposition et plongerai dans les vagues avec abandon, malgré le regard pénalisant des autres . Ils vieilliront également. Je sais que parfois j'oublie, mais il y a des choses dans la vie qui devraient aussi être oubliées. Je me souviens des choses importantes. Bien sûr, au fil des ans, mon cœur s'est brisé. Mais les cœurs brisés nous donnent force, compréhension et compassion. Un cœur qui n'a jamais souffert est immaculé et stérile et ne connaîtra jamais la joie d'être imparfait. J'ai la chance d'avoir vécu assez longtemps pour avoir mes cheveux gris et mon rire juvénile gravés à jamais dans les sillons profonds de mon visage. Beaucoup n'ont jamais ri, beaucoup sont morts avant que leurs cheveux ne deviennent argentés.
En vieillissant, il est plus facile d'être positif. Vous vous souciez moins de ce que les autres pensent. Je ne me remets plus en question. J'ai gagné le droit de faire des erreurs. Donc, pour répondre à votre question, j'aime être vieux. J'aime la personne que je suis devenue. Je ne vivrai pas éternellement, mais tant que je serai encore là, je ne perdrai pas de temps à regretter ce qui a pu être ou à s'inquiéter de ce qui sera. Et si je le veux, je mangerai un dessert tous les jours. Avec du Champagne.
Que notre amitié ne soit jamais séparée, car elle vient du cœur !
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Tu vois mon enfant chérie, je poursuis mon chemin.
Je vieillis, il paraît que c'est comme ça "la vie", que l'on change tout doucement, avec le temps...
Enfin du moins c'est ce que l'on nous apprend.
Je vois bien les rides sur mon visage, les sillons creusés par mes vécus et mes souffrances.
Pourtant en moi, et c'est étrange, je ne vieillis pas vraiment.
Je suis comme toi mon enfant intérieur, je ris, je vis, je joue car je ressens tellement ta présente à mes côtés.
Tu me rappelles à chaque instant que je suis éternité dans ma passion à aimer, à créer, à m'émerveiller.
Alors, pour toi qui brille d'une
joyeuse légèreté, je continue de voir la vie comme un grand jeu où j'ai à cœur de m'amuser.
Je souhaite que tu sois fière de moi, mon enfant intérieur que je continue de choyer.
Et pardon pour toutes les fois où je t'ai oubliée.
Désormais je t'écoute me transmettre ta force de vie.
Désormais je te donne ma sagesse qui t'apaise.
Jamais plus nous ne serons séparés car nous sommes à nous deux une magnifique lumière d'éternité.
Brigitte BIANCONI ✨️
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J'ai ENCORE oublié le prénom de la meuf de Jimmy dans Better Call Saul, c'est fou j'adore ce perso mais son blaze me sort systématiquement de la tête et à chaque fois je mets des jours à m'en souvenir (parce que je suis une grande fille avec un cerveau et j'ai pas besoin de Google ok ?)
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💫 Le Québec pleure ⚜️
Ce soir, c’est tout le Québec qui regarde le ciel pour voir passer cette étoile filante. Notre cowboy fringant est tombé au combat. Notre grand frère nous a quitté. Le repos du guerrier.
Il s’est battu jusqu’au bout de ses forces. A notre tour maintenant de reprendre le flambeau et de s’assurer qu’il ne soit jamais oublié.
Sympathies et tout mon amour à sa famille, ses proches, ses amis… nous tous!
Bon voyage Karl. Merci pour tout!
instagram
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Bilan d'écriture 2024 ✨
Bonne année, toute le monde, qu'elle soit pleine d'espoir bien nécessaire et de douceur !
C'est l'heure du bilan d'écriture, qui est donc ultra positif.
D'abord, un point décembre, j'ai fini sur un mois productif à quasi 23 000 mots, éparpillés sur le Soulmate UA Genshin et du Star Wars par bouts, je n'étais pas très concentrée, mais j'ai avancé un peu sur tout, c'est déjà ça !
En 2024, je m'étais encore une fois inscrite au défi @gywo, en m'engageant sur 150 000 mots annuels, un total que j'ai explosé en écrivant 265 295 mots. On ne va pas se mentir, ça fait un peu année outlier that shouldn't be counted, mais je me suis quand même ré-engagée sur 200 000 mots.
Les mots, c'est bien, mais comme l'année dernière, c'est surtout la joie d'écrire qui est à retenir, surtout pendant cette année compliquée sur pleins de plan, personnels autant que géopolitiques.
C'est l'heure des stats ! Tous ces mots, ça veut dire quoi ?
C'est 137 548 mots et 13 fics de publiés, la très grande majorité dans le fandom Star Wars qui m'aura pris par la gorge par surprise cette année. Ils m'ont demandé 183 846 de premiers/second jets.
Les 81 449 restants sont éparpillés sur 13 projets, certains ayant plus de chances d'être oubliés que d'autres 😬
Mon mois le plus productif a été avril avec 40 067 mots, je sais pas ce que j'avais bouffé, écrits sur 25 jours. Le mois durant lequel j'ai passé le plus de jours, c'est mai, avec 28 jours. Le mois le moins productif a été novembre avec 1041 sur une seule journée... Mais une journée productive on va dire ?
Les projets de l'année en cours, c'est de finir le Soulmate UA Genshin, déjà. Dans mes projets Star Wars, j'ai Les Voies Parallèles, un petit bonus aux Voies au sujet des jumeaus ; Springbreak qui me tue à petit feu ; l'UA Qui-Gon Lives qui m'est revenu sans prévenir ce dernier mois et a bien avancé ; le projet Beauty and the Beast, un UA qui se passe après la série Obi-Wan Kenobi ; la Dinluke qui suit De l'Espoir.
Enfin, j'aimerais re-consacrer du temps à mon projet original Hallmark Movie !
J'ai du taff XD
Et si vous êtes venus jusqu'ici, des bouts de fics de plusieurs projets à venir :
Genshin Impact, Soulmate UA :
(Période de leurs études).
Un an plus tard, lors d'une soirée tardive à réviser dans le Foyer de Daena, Kaveh céda à l'épuisement et posa la tête sur son livre. De là, il voyait parfaitement le profil d'Alhaitham, de trois quarts, ce petit pli entre les sourcils qu'il avait malgré lui quand il devait faire un effort de réflexion. L'éclairage à la lampe adoucissait ses traits. Le cœur de Kaveh s'emballa un peu, un tout petit peu.
— Est-ce que tu as une âme sœur ? demanda-t-il tout bas.
Cette question avait été rhétorique, même pas faite pour être entendue. Mais le phono-isolateur d'Alhaitham ne devait pas être enclenché, car il tourna tout de suite les yeux vers lui. Kaveh avait fini par gagner gain de cause, au sujet de l'esthétique - Alhaitham avait prétendu que c'était pour qu'il arrête de le fatiguer, Kaveh avait traduit que c'était pour lui faire plaisir. C'était une première étape sur le chemin ardu qui s'annonçait pour lui faire voir l'intérêt de la beauté, mais c'était déjà ça. Il était particulièrement fier de ce travail, même si, certes, cela avait quelque peu compliqué la tâche d'y incorporer tous les éléments nécessaires.
Kaveh avait pris du retard sur son propre projet pour y arriver, mais peu importait ! Il aurait été hors de question qu'il laisse Alhaitham se promener avec un arceau noir sur la tête.
— Oui, répondit Alhaitham.
Avec un pincement au coeur qu'il nierait jusqu'à sa mort, Kaveh se redressa.
— Pas moi.
*
Star Wars, Les Voies Parallèles :
Le ton monta très vite, le ton montait toujours très vite entre Leia et Anakin, deux forces de la nature qui s'entrechoquaient. Parce que les talents de diplomate de l'une disparaissaient complètement face à l'autre et que ce dernier acceptait très mal qu'elle grandisse, qu'elle ait grandi ; parce que Leia cherchait désespérément à le rendre fier et qu'Anakin voulait pouvoir encore la bercer dans ses bras.
Obi-Wan avait appris à les laisser se hurler dessus, du moins jusqu'à ce que... Il jeta un regard à Luke qui s'était rembruni après un « Tu ne sais pas ce que tu veux » d'Anakin qui répondait à un « Je fais ce que je veux et je me fiche de ton opinion » de Leia.
L'adolescent posa sa tasse d'un geste brusque sur la table.
— Papa. Leia.
Sa voix n'était pas monté du tout, mais sa présence dans la Force brûlait tout ce qu’elle touchait. Son père et sa sœur s'interrompirent d'un coup, se tournèrent vers lui, prêts à lui présenter leurs excuses pour ne pas avoir à se demander pardon l'un à l'autre.
Souvent, Obi-Wan regrettait que Luke soit devenu le vaisseau entre eux, leur voix à tous les deux. C'était injuste, même s'il avait endossé le rôle avec sa bonne volonté habituelle. Obi-Wan aurait dû l'inviter à sortir de l'appartement avec lui, à laisser le père et la fille se débrouiller, mais la situation exigeait malheureusement de lui une autre intervention.
— Leia, dit-il, puis-je discuter avec toi un instant ?
*
Star Wars, Springbreak :
La T8-Ex était un petit vaisseau de transport habitable de seize mètres, à la puissance acceptable pour son genre, et surtout relativement maniable. Et elle le serait encore plus une fois qu'Anakin aurait l'occasion de s'y attaquer. L'espace, rentabilisé au maximum, lui permettait d'exécuter des kata lents tant que son sabre laser n'était pas allumé.
Dans l'ensemble, un bon petit appareil.
Un silence terrible y régnait, R2 était sur son pod de charge, et la vibration de l'hyperespace ne comptait pas. Si Anakin se posait et étendait sa perception, il réussirait peut-être à sentir la présence d'autres vies dans la Force, mais c'était désagréable, les distances changeant constamment lui faisait l'effet d'un grésillement.
Te voilà seul.
Sans rien ni personne pour le surveiller, dans un vaisseau spatial pouvant parcourir plus d'une semaine de voyage en hyperespace sans avoir besoin d'être rechargé. La galaxie était à sa portée.
Il pourrait partir, s'il le voulait.
Et qu'est-ce que tu ferais ? Qu'est-ce que tu ferais, Anakin Skywalker ?
Tant de choses, en réalité. Pilote ou mécanicien sur tous les vaisseaux possible et imaginables, mercenaire. Il ferait un excellent récupérateur.
Il pourrait aussi chasser tous ceux qui restaient du règne de Palpatine. Pénétrer dans les centres de détention où les procès s'éternisaient et régler le problème d'un coup de sabre. Eux, et ceux qui s'étaient échappés, qui s'étaient fait discrets, ceux qui avaient soutenu en toute « légalité », et restaient sénateur de leur planète, ceux qui avaient retourné leur veste à la dernière seconde.
Anakin connaissait leur nom à tous.
Il se demanda combien de temps il faudrait à l'Ordre pour lui envoyer Obi-Wan aux trousses.
Combien de temps il faudrait à Obi-Wan pour laisser tout ce qu'il faisait et venir le chercher lui-même.
Il était presque tenté de le tester.
*
Star Wars, UA Qui-Gon Lives :
Son com sonna dans sa ceinture, et la voix de Maître Qui-Gon en sortit tout de suite.
— Bonjour, Obi-Wan.
— Bonjour, Maître. J'ai cru comprendre que vous étiez revenu de Sarka 6. J'espère que la mission s'est bien passée.
— À une destruction de speeder près. Quand tu le verras, peux-tu rappeler à Anakin qu'il est attendu en cours de diplomatie ossatienne dans une demi-heure ?
Obi-Wan haussa les sourcils, Anakin fit mine de vomir.
— Je n'y manquerai pas, dit Obi-Wan en indiquant d'un air sévère la direction générale des salles de classe.
L’adolescent leva les yeux au ciel.
— Je te remercie.
— File, intima Obi-Wan quand Qui-Gon eut raccroché. Je ne te couvrirai pas.
— L'adelphe de lignée de Ferus l'aurait couvert.
— Ferus est le premier padawan de la chevalière Tachi, alors tu n'en sais rien du tout. File !
File, mima Anakin avec une grimace avant de partir au petit trot.
*
Star Wars, Beauty and the Beast :
Comme sortit de nulle part, une silhouette immense, noire surgit dans le couloir. Elle dégageait un froid glacial, un tourbillon de désespoir et de rage qui aspirait tout. Luke hoqueta et cacha le visage dans le cou d'Obi-Wan.
Celui-ci le serra encore plus fort contre lui, se demandant déjà comment il allait sortir son sabre laser et se battre alors qu'il avait un enfant dans les bras.
La créature portait une étrange armure d'un noir aussi profond que la Force qui tourbillonnait de colère autour de lui. Ce n'était pas le premier utilisateur du Côté Obscur qu'Obi-Wan croisait, loin de là. Ce n'était même pas le premier Sith, loin de là non plus. Mais il y avait quelque chose chez celui-ci, quelque chose qui le saisissait aux tripes, le glaçait jusqu'à la moelle de ses os.
Tous les enfants se turent.
— Obi-Wan Kenobi, prononça l'Inquisiteur lentement d'une voix caverneuse, déformée, et avec un plaisir perturbant.
— Vous avez l'avantage, répondit Obi-Wan d'un ton léger, je crains ne pas être en mesure de vous identifier.
Il y eut un silence. Autour de l'Inquisiteur, la Force se déchaîna soudain, tous les meubles et les esclavagistes se soulevèrent, puis retombèrent dans un bruit de fracas. Obi-Wan sentit quatre des cinq esclavagistes mourir, un bleu soudain qui s'effaça aussi vite qu'il était arrivé.
Les enfants se remirent à hurler en s'accrochant à ses jambes de toute leur force.
— Chut, chut, intima Obi-Wan, désarmé, cherchant dans son usage rouillé de la Force un moyen de les réconforter, de les faire taire.
Qui savait de quoi l'Inquisiteur était capable ? Un coup de ce sabre laser au goût de sang sur sa langue et ils seraient tous morts avant même qu'Obi-Wan ait pu faire quoi que ce soit.
Qu'est-ce que tu veux faire ? Qu'est-ce que tu peux faire ? Inutile, impuissant.
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Text
Baldwin IV of Jerusalem
La suite d'hier, cette fois-ci avec les romans et doc en anglais. Ainsi que les bandes dessinées et une surprise en français.😄
Toujours exhaustive.
Romans :
Doc historique :
Si vous ne pouvez lire qu'un seul livre je vous le conseille. Comme Pierre Aubé, c'est une référence.
(Je l'ai oublié hier,c'est ma très grande faute 😅)
Bandes-dessinées autour des croisades mais qui évoque Baudouin IV :
Surprise :
La biographie de Saladin qui est l'une des meilleures que j'ai eu le plaisir de lire, avec celle de Baudouin.
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