#Le Vie en Pose
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FR Heyyy J'ai l'impression que ça fait un petit moment depuis que j'ai fait une illustration — les vacances d'été sont presque finies et je pensais que j'aurais été plus productive que ça, pour être franche ça me rend un peu triste haha Mais je suis quand même contente d'avoir pu faire cette illu! La pose vient de l'illu originale d'Araki "Let's Dance!" pour l'artbook JOJO A-GO!GO! (2000). Je me suis bien amusée avec la gouache et les marqueurs acryliques et je n'ai pas pu résister à l'envie d'ajouter du washi tape sur les bordures jsjs Je voudrais également donner quelques nouvelles sur l'avancée du doujin/big ass comic : j'ai commencé à bosser sur le 2ème batch (qui sera deux fois plus gros que le 1er sauf si je le coupe) — à la base je voulais le finir avant mon retour en cours (la semaine prochaine) mais j'ai beaucoup de mal à me motiver donc je vais y aller à mon rythme. Je donne des nouvelles relativement régulièrement en story Insta donc n'hésitez pas à aller voir si besoin. Je suis désolée si certains d'entre vous sont déçus, je sais que j'ai posté le 1er batch il y a 6 mois déjà, mais soyez assurés que je fais de mon mieux pour donner vie à ce projet 💖 _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
EN Heyyy I feel it's kinda been a while since I made a full illustration — summer break is almost over and I thought I would have been more productive than that, ngl it makes me a bit sad haha But I'm still happy I managed to do this piece! The pose is taken from Araki's original artwork "Let's Dance!" from the JOJO A-GO!GO! artbook (2000). I had some fun with gouache paint and acrylic markers and I couldn't resist adding some washi tape on the borders jsjs I also would like so give some news on the doujin/big ass comic: I've started working on the 2nd batch (which will be twice bigger than the 1st batch unless I cut it) — at first I wanted to finish it before the start of my classes (next week) but I've been really struggling getting myself motivated so I'll do it at my own pace. I give more news relatively regularly in my IG stories so feel free to check them out if you need it. I'm sorry if some of you are disappointed, I know I posted the 1st batch 6 months ago already, but rest assured that I'm doing my best to give this project life 💖
Reference:
#artists on tumblr#gouache#acrylic markers#jjba#jojos bizarre adventure#jojo's bizarre adventure#jojo no kimyou na bouken#jotaro kujo#jotawife#mrs kujo#jolynes mom#jolyne's mom#washi tape
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Je pose mon premier griffonage ici. Dessin fait pour le Arctober sur Instagram. J'ai absolument rien glandé de tout le mois pour ce défi mais je suis quand même sorti les doigts du _ pour Sevika, Sainte patrone de la loyauté. Elle est franchement trop sous côtée étant donné tout le (sale) travail qu'elle fait . Ils ne lui ont même pas fait sa backstory, sérieux ! J'espère qu'on la verra plus souvent dans la saison deux et surtout qu'elle restera en vie. On a déjà perdu le patron, faudrait pas la perdre elle aussi. 🥺
Désolée pour les anglophones, j'ai la flemme d'écrire en anglais.
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saga: Soumission & Domination 343
Enguerrand, Max et les autres
Après deux mois du nouvel arrangement (semaine chez Max, WE à la campagne) nos deux jeunots s'en tirent très bien. Max a à coeur de faire réussir Enguerrand et ce dernier met un point d'honneur à rattraper son " répétiteur ". Ils me tiennent au courant de chaque notes qu'ils ont comme le ferait je pense des petits frères. C'est d'ailleurs comme ça que tout mon petit monde les place.
Comme ils veulent continuer à s'entrainer avec nous 2x par semaine, ils se défoncent en cours et les autres soirs. D'autant plus qu'un autre début de soirée sert à leur " retrouvaille " avec Adam leur jeune lieutenant de police. Son cas est surveillé par DGSE afin qu'il puisse dormir tranquille. De toutes les manières le blockhaus n'apparait dans aucun rapport de police autre que celui de mon accident de voiture comme mon adresse personnelle. S'ils veulent pouvoir continuer comme cela, ils savent qu'ils doivent tenir la tête de leurs classes. C'est grâce à leurs bonnes notes qu'ils ont pu nous accompagner au sport d'hivers et ils n'ont pas regretté leurs soirées de bachotage. Ils ont profité de l'incident de janvier pour faire leurs coming-out auprès de leurs collègues du lycée. Auréolés de leur défense réussie contre les casseurs de PD, cela s'est très bien passé dans les deux lycées. Il est évident qu'on ne va pas traiter de " tantouse " un mec capable de vous étaler en quelques minutes ! Dans le cours d'Enguerrand, cela a même déclenché deux autres officialisations. Deux garçons de sa classe ont profité de l'ambiance de tolérance déclenchée par sa mésaventure pour sortir du placard et informer les potes qu'eux aussi s'intéressaient plus aux garçons qu'aux filles.
L'autre dimanche avec Ludovic nous sommes allés déjeuner chez ses parents. Les deux garçons étaient là bien sûr. Max est maintenant le 4ème fils de la maison. Ça fait plaisir à voir car chez les parents de max, c'est le cas d'Enguerrand. Côme était là aussi. Entouré de tous ces mâles leur mère doit lutter un peu pour faire admettre le point de vue féminin lors de certaines discussions. Mais je crois qu'au fond d'elle-même elle doit être heureuse de ne pas avoir de concurrence. Pour preuve que nous sommes tous aux petits soins pour elle. Là aussi les parents ont dû céder et laisser les garçons dormir ensemble. Je pense qu'après avoir " loupé " les problèmes de leur dernier, ils ont à coeur maintenant à ce qu'il tourne la page et que si cela passe par Max, alors ils acceptent. Alors que je me retrouve seul un moment avec eux deux, madame me tombe dans les bras, pour me remercier une nouvelle fois et me demander si ce qu'ils font pour Enguerrand est ce qu'il faut. J'ai 25ans et c'est à moi qu'il pose la question !! Je ne peux que réagir selon ma propre philosophie de vie. Elle se résume à " laisser les gens vivre leur vie selon l'orientation qu'ils veulent prendre ". Au pire je donne un coup de pouce aux copains. Donc je leur dis de le laisser gérer tant que ses résultats sont bons. Et je crois bien que c'est le cas non ? Madame me dit que depuis qu'il est avec Max il est remonté en tête de sa classe et n'en décolle plus. S'il termine l'année sur cette lancée, son dossier de sera pas entaché pour ses études supérieures. Je lui fais admettre que tout est bien alors !
Les frères reviennent me chercher pour me montrer leur chambre. Comme chez Max, la chambre a été modifiée. Deux grands lits pour un semblant de respectabilité, deux bureaux pour quand il y a à travailler. La vue sur la campagne est jolie même si ce n'est pas trop ma tasse de thé. Ils m'expliquent qu'ils n'utilisent qu'un seul des deux lits, ils n'aiment pas être trop loin l'un de l'autre. Déjà qu'ils ne sont pas dans le même lycée ! Max m'informe que l'an prochain il rejoindra celui d'Enguerrand, leurs parents sont d'accord. Et lui, il veut bien aller dans le privé si Enguerrand y est. Nous descendons rejoindre les autres. Les trois frères sont vraiment impressionnants quand ils sont ensemble. A trois stades de développement, nous avons quasiment le même mec sous les yeux. Ça me trouble d'autant plus que j'ai baisé avec les trois même si c'est celui du milieu que j'adore. Les deux autres sont trop beaux pour que je n'en profite pas quand l'occasion se présente. Max, lui, n'a d'yeux que pour le troisième. Même si je sais que Ludovic s'est " aventuré " en lui pendant la semaine de ski. Les parents sont inconscients de la beauté de leurs trois fils. Plus le temps passe et plus les deux gamins sont amoureux l'un de l'autre. Ça se voit même quand ils participent aux touzes post sport du blockhaus. Quand ils baisent chacun de leur côté, je les vois se chercher du regard et s'échanger des signes. Et ces soirs là ils sont rarement ensemble. Enguerrand s'est très vite aperçu qu'avec Max, il a un amour selon son coeur et ses besoins : la tendresse et l'exigence de son âge et l'acceptation du plaisir de le faire à plusieurs. J'aime bien ce qu'ils sont en train de devenir. Des hommes libres qui se soutiennent, qui acceptent ce qu'ils sont sans se prendre la tête, capable de marcher la tête haute sans honte de leurs choix. Le jugement de leurs 4 agresseurs les a envoyés en TIG (travaux d'Intérêt Général). Avec 18mois de sursis chacun. Je leur ai fait passer l'info par leur avocat que s'ils avaient le malheur de récidiver donc d'être obligés de faire leurs temps de prisons, ils seraient sûr d'apprécier la sodomie, simple et probablement double, avant la fin de leur séjour à l'ombre.
De toute manière Adam garde aussi un oeil sur eux. Lui est de plus en plus souvent avec nous. Le fait qu'il ne connaisse que ses collègues. Que ces derniers soient sympathique mais hétéros souvent avec des enfants en bas âge, font qu'il s'est rapproché de nous. Sauf problème d'horaire ou de réquisition, il est maintenant présent à tous nos entrainements. Il n'est pas dupe des co-activités de mes escorts. D'autant plus qu'à force de le voir et de s'entrainer ensemble, ils ne font plus trop attention à leurs conversations. J'ai fait un point avec lui. Il ne sait rien officiellement donc il n'a pas de rapport à faire ! Et puis, même s'il participe à nos touzes sans prioriser l'un ou l'autre (ses 21x6 sont bien appréciés), il est bien accro à nos 2 benjamins. Et il y a réciproque. Moi ça me va, avec lui je suis sûr qu'ils sont entre de bonnes mains. Ils sont respectés et se défoulent en toute sécurité, d'autant plus qu'ils font ça au premier étage du blockhaus.
Dernièrement, Max m'a demandé s'ils pouvaient emmener Adam au sous-sol. Et pas pour visiter la cave ! C'est vrai que depuis le WE du premier de l'an, ils connaissent l'endroit. Ils me disent qu'ils veulent voir si un plan domination le ferait kiffer. Je temporise. Notre Adam commence à se sentir chez lui, en famille. Il ne faudrait pas qu'en allant trop vite mes deux petits l'effraient et le fasse couper les ponts. On en discute et ils obtempèrent. Même s'ils ont vraiment envie, ils ne sont pas prêts à le perdre. Ils m'ont confié que de ce côté-là, quand il est avec eux seuls, il est ultraperformant. Il faut préciser qu'après la première fois, je n'enregistre plus leur chambre quand ils y sont tous les trois. Je suis donc obligé d'entendre leurs " confessions " pour savoir où ils en sont. J'apprends donc par leur intermédiaire que notre Adam est une véritable bombe sexuelle. Il cache donc son jeu lors des touzes ou alors ce sont les petits culs de nos benjamins qui lui font cet effet-là. Vu ce qu'ils me racontent, j'enregistre leur " nuit privée ". En effet depuis qu'ils sont en tête de leurs cours, ils peuvent passer la nuit complète au blockhaus. On dine ensemble avec le plus souvent Adam. C'est un moment détendu, même s'il règne une certaine tension sexuelle. Sans dévoiler les secrets du commissariat, Adam nous raconte les anecdotes amusantes qui sont arrivées dans la semaine. Mais vous comprenez bien que la soirée est courte. Ils nous quittent dès le dessert pris.
Je visionne avec Ludovic et PH le lendemain soir. On croirait un véritable film de Bel Ami. Les trois corps sont musclés imberbes et/ou épilés, celui d'Adam est plus épais soulignant sa maturité. Son sexe aussi est plus lourd, plus long et ses couilles plus grosses. Mais nos benjamins ne font pas honte. Quand leurs 18x5 sont bien raides, ils encadrent bien les 21x6 qui vont les enculer. En attendant nous avons droit à un festival de pipes. De celles destinées à batifoler de la langue autour du gland à celles, profondes et étouffantes qui font monter la pression. Si dans un premier temps, Adam laisse les deux jeunes se battre pour sucer sa bite, il participe vite au petit jeu. Ça fini en triangle en travers du lit. Adam suce Enguerrand qui suce Max qui ferme la boucle en avalant le gland du premier. Ils changent plusieurs fois et chacun s'est retrouvé à sucer les deux queues partenaires.
Ça vite glissé vers de la préparation de rondelle en ce qui concerne celles de Max et d'Enguerrand. Après ça été un vrai porno mais en direct sans arrêt. Adam les a faits se mettre en levrette, collés de l'épaule au bassin. Là, kpoté, il les a défoncés grave en alternance. Après avoir bien gémis tous les deux lors des premières pénétrations, on les voit se rouler des pelles pendant les assauts d'Adam. Ça bouge. Alors qu'Adam laboure Enguerrand, Max se glisse sous lui et enserre de ses jambes sa taille. Les deux trous sont maintenant superposés et Adam n'a qu'à plier un peu plus les genoux pour l'enfiler. Je passe en accéléré. Adam tient la distance ! Il jute une première fois sur le dos d'Enguerrand. Et là, on voit ce que nos deux petits voulaient nous dire. Il ne débande pas d'un millimètre. Ses 21cm restent gonflés de sang et il se fait faire une pipe à deux bouches le temps de reprendre son souffle. Max et Enguerrand sucent mais se lèchent le museau aussi. On devine quand ils se roulent une pelle avec le gland comme bonbon à se passer.
Puis le 2ème round commence. Là, si Adam reste le maitre du jeu et "l'enculeur en chef ", il couvre celui des deux qui encule l'autre. Je m'explique : il sodomise Max quand c'est Enguerrand qui se fait enculer et inversement. Des levrettes en série en face à face avec Adam dans le dos (et le cul) de celui du dessus, on le voit se mettre sur le dos, Mac s'assoir, de face, sur sa bite et Enguerrand enjamber ses abdos et venir se planter sur la queue de Max. il se penche et roule alors un patin à notre policier. C'est très chaud !! Là, ils jutent ensembles. La kpote a volé une nouvelle fois et c'est le dos de Max qui recueille son sperme alors que celui d'Enguerrand lui inonde ses abdos tablette et qu'on voit Max se vider au plus profond de son petit copain. Ça va faire 1h30 qu'ils baisent et ils bandent encore tous les trois ! Ils se videront une dernière fois avant de dormir uniquement à l'aide de leurs bouches. Et Adam n'est pas le dernier à sucer. Les 18cm disparaissent entièrement dans sa bouche et je vois mes petits fermer les yeux de plaisir. Plus de 2h non-stop !! Pas mal le trio. Ils disparaissent et reviennent encore humides de la douche. La vision de ces performances n'a pas été sans " dégâts " parmi nous. Difficile de ne pas bander devant cette baise. Tellement que nous nous sommes gentiment branlés pendant le " film ". Partiellement passé en accéléré, nous nous sommes jetés les uns sur les autres après une bonne heure de retenue. Ça nous a rappelé la position 1 sur le dos, 2 planté dessus et 3 face au premier à s'enculer sur la bite de 2. On l'a testée à nouveau dans les six configurations possibles. C'est trop bon de pouvoir galocher ton mec alors que ton autre mec l'encule et qu'il est en train de se limer sur ta bite !
Bon mais à l'analyse, les nuits de nos trois deux amis et frère, sont bien de l'ordre du chaud de chez chaud ! Je comprends mieux les petits yeux qu'ils ont le lendemain matin au petit déjeuner ! Adam me dit qu'il doit broder une histoire de meuf pour ses collègues pour expliquer sa tête. Mais il en a l'habitude depuis le temps. Il bénit pour cela les films de boule hétéro. Avec PH on se distribue les deux benjamins à laisser à leurs lycées. Moi je me charge d'Enguerrand c'est sur mon chemin pour l'école de commerce alors que Max ne fait faire qu'un tout petit détour à PH. Il m'a dit que les premières fois où je l'ai déposé devant le portail, ses potes lui avaient demandé si j'étais son mec. Ils ont même ajouté que si c'était le cas, il s'était trouvé le bon vu la caisse que j'avais.
Il les a traités de désaxés, comme s'il pouvait faire ça pour mon fric. Moi je lui dis de laisser tomber. Soit c'est des amis et ils s'en foutent soit s'en sont pas et il n'a rien à faire de leurs commentaires. Il est d'accord avec moi. Quand il sort de la 300SLS, il se fait siffler mais c'est par une meuf ! Il la voit. Du coup il fait le tour de la voiture ouvre ma portière et me roule un patin. Surpris je n'ai pas le temps de réagir qu'il se redresse et se retourne avec juste un signe de la main. J'ai juste le temps de lui dire de bosser avant qu'il ne passe le portail. Il me téléphone le soir même pour me dire que ç'avait jasé dans tout le lycée. Au moins ils avaient eu quelque chose à parler ! Je le traite d'idiot mais derrière lui j'entends Max hurler de rire. Il ajoute que la prochaine fois il fait le coup à PH pour égaliser les scores. Ils se sont bien trouvés ces deux-là ! C'est aussi ce que pensent mes deux amours PH et Ludovic. Ce dernier est aussi très content que Max soit Max. Je veux dire par là un garçon bien et qui aime son frère sincèrement surtout.
Et moi je sais " combien " ils s'aiment. Et comme ils ne s'enferment pas dans leur petit monde s'est une chose qui peut durer. Tous deux ont fait leurs " conneries " avant de se rencontrer (même si celles d'Enguerrand étaient plus gratinées), ils trouvent dans leur relation une stabilité et avec nous autres le grain de folie qui les empêche de tomber dans la routine. J'allais oublier Adam, leur petit " bonus ".
Jardinier
pluie tropicale
New Zealand
having an argument
~~
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NOTE DE LECTURE : L'intranquille monsieur Pessoa. Barral. 2024
Nicolas Barral nous propose un très très beau roman graphique autour de la biographie du grand poète Fernando Pessoa (1888-1935). Ici, le récit, les images et les couleurs sont d'une infinie sensibilité. Alors que le poète se meurt, rongé par l'alcool, nous suivons un jeune journaliste chargé d'écrire sa nécrologie. Nous découvrons en même temps que lui L'intranquille monsieur Pessoa, sa personnalité discrète et maladive, mais aussi ses multiples personnalités incarnées par ses hétéronymes que le dessin rend visibles. C'est aussi un magnifique album qui pose la question de l'engagement total dans une oeuvre. Pessoa a-t-il finalement choisi d'écrire plutôt que de vivre ? Or ainsi il a vécu mille vies et pour l'éternité. "Au fond, m'aurait-il dit, la littérature n'est-elle pas la preuve que la vie ne suffit pas ?" dit en préambule le jeune journaliste qui n'osa pas l'aborder, mais nous permet à nous lecteurs d'aborder un peu l'écrivain métamorphe, avec parfois un petit papillon voletant autour de lui, comme une métaphore de son étrangeté, et l'écriture un symptôme de son mal-être.
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Parfois, dans la vie, il est essentiel de savoir s’éloigner, de prendre un peu de recul pour mieux comprendre les choses. Cela te permet de laisser les jours passer, de laisser les souvenirs s’estomper, et de mieux voir ce qui reste vraiment. Ce n’est pas fuir, c’est se donner le temps de réfléchir et de comprendre ce qui est vraiment important. Un peu de distance, un moment de silence, suffisent pour clarifier des relations ou des situations qui semblaient solides. Et tu sais quoi ? Parfois, c'est seulement après cette pause que tu découvres qui est réellement là pour toi, et qui n’était qu’une illusion, un mirage qui te faisait croire qu’il était important. Alors, dis-moi, qui sera là pour toi quand les choses deviendront difficiles ? Quand les vents souffleront fort et que l’obscurité s’installera dans tes journées ? Qui tendra la main ? Et surtout, qui partira en oubliant tout ? Prendre du recul, ce n’est pas fuir, c’est offrir à ton âme un peu de répit. C’est regarder les choses en face, sans filtre, et apprendre à distinguer ce qui compte vraiment de ce qui est juste passager. Certains souvenirs s'effacent avec la distance, et certains espoirs s’éteignent peu à peu. Mais ceux qui restent, malgré le temps, sont les véritables trésors, ceux qui t’aident à avancer. Ceux-là sont des diamants authentiques. Alors, je te pose la question : as-tu déjà pris du recul pour mieux comprendre ce qui est précieux pour toi ? Parfois, c'est dans cet éloignement qu’on trouve la clarté et les réponses que tu cherches. Ce n'est pas un adieu, c'est un chemin vers ce qui est vraiment important. Et toi, as-tu déjà pris le temps de faire une pause pour voir les choses sous un autre angle ?
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Je repensais à je ne sais pas trop quoi. En fait, je n'arrive pas vraiment à savoir pourquoi j'avais ce sentiment. C'est de la nostalgie je crois. Ou peut-être un regain d'intérêt qui cause du manque. J'ai l'impression d'avoir connu peu de monde et encore moins d'avoir vraiment connu, viscéralement je veux dire. J'ai parlé à beaucoup de gens mais en réalité je n'ai jamais vraiment échangé et plongé dans l'univers de beaucoup de personnes. Des fois, ça me peine ce défaut de profondeur et pourtant, c'est quelque chose qui m'effraie parce que c'est fatiguant de bien connaître quelqu'un. C'est sûrement pour ça que j'ai jamais trop su mettre des points finaux, ni développer des relations de malade. Je me suis rarement éprise d'un être, sans parler forcément d'amour ou de sentiments amoureux, je veux dire, j'ai rarement eu une réelle appétence. Peut-être que le seul qui a bénéficié d'un intérêt et d'une curiosité sans faille c'est mon ex. J'avais ce besoin de me nourrir de lui, nourrir dans le sens toujours plus en apprendre sur lui, pas le vider de son énergie comme un parasite. Autrement, les autres personnes qui ont compté et comptent toujours ont eu une évolution linéaire de mon investissement. Peut-être que c'est parce que j'ai senti que j'avais le temps, je savais que ça durerait et que je pouvais prendre le temps de les connaître et de laisser la vie faire. J'avais sûrement trop peur de perdre mon ex pour le laisser filer avec des parts d'ombre, pour ne pas rassasier instantanément mon envie complète de lui, pour ne pas interférer avec le cours normal des choses. J'ai toujours été une personne bizarrement sociable, je ne vais jamais volontairement vers les gens mais ne suis pas fermée à ce qu'ils viennent à ma rencontre. Je ne crois pas avoir été timide dans ma vie, je suis capable de parler avec beaucoup de personnes très différentes et sans réelle difficulté. Pour autant, je ne noue jamais d'attaches. J'ai cette idée que les relations prennent du temps et de l'énergie et que si j'agrandis mon cercle, je pourrai encore moins subvenir aux attentes de ceux déjà là. Par peur d'être défaillante, je m'efface assez tôt dans la relation pour ne pas donner envie qu'on s'investisse avec moi. Le pire, c'est qu'il peut m'arriver de feindre l'étonnement ou l'incompréhension face à ça. J'ai appris, une personne importante après l'autre, à isoler leur impact sur moi. L'impact étant différent pour chaque personne, je pense que c'est adéquat de parler d'apprentissage. Ça fait des années que je me protège de la souffrance potentielle des autres car je me dis que je n'ai pas les épaules pour ça. Je me retrouve quelques fois à suffoquer parce que j'ai créé ma solitude. Je l'ai bâtie avec de grandes et erronées certitudes. C'est vrai que c'est très calme parce que je ne laisse presque aucune personne de mon entourage affecter moi, mes émotions et mes safe places. Je ne sais pas si ça fait de moi une très bonne amie ou partenaire au final. Puis, si je manque d'intérêt c'est en réponse au manque d'intérêt flagrant que le monde reflète à mon égard. Pourtant on ne donne pas à hauteur qu'on reçoit, ça se saurait si c'était une condition sine qua non. D'autant plus que ça pose une question importante : alors qui doit donner envie à qui ? Qui doit commencer en premier pour stimuler l'autre ? Les gens pensent sûrement de la même manière que moi, leur intérêt est décuplé grâce à la valorisation des autres. On ne vit que par ce prisme. À fois triste et à la fois rien de plus humain. Je me sens mortellement seule et il est peut-être temps de m'incriminer dans cette pensée.
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critiques sur les personnages toxiques petit tw, mention d'abus, viols, génocide
première différenciation à faire entre ceux qui sont anti-personnage toxique parce qu'ils ne veulent pas en écrire, pas en lire, pas en voir et ceux qui n'ont rien contre en fiction tant que certaines atrocités ne sont pas romantisées/défendues corps et âme IRL
une différence très importante que les pro-choix du rp, qu'on parle sujet de rp à style de personnages, aiment foutre dans une même catégorie alors que l'un et l'autre n'ont rien à voir, c'est le jour et nuit
les gens qui ne veulent pas en voir, laissez les entre eux dans la bulle rose-bonbon d'un monde imaginaire qu'ils veulent parfait et rempli de bonnes intentions, ils ne font de mal à personne, ça ne devient problématique que lorsqu'ils cherchent à vous dicter ce que vous avez ou non le droit de jouer INRP dans vos sujets.
passons aux gens qui n'ont rien contre les personnages toxiques, tant que les comportements toxiques ne soient pas validés, justifiés, défendu et romantisés par les rpgistes qui les jouent in real life
on peut très bien accepter que vous jouer des personnages manipulateurs, violents, des violeurs aux pervers narcissiques, on est tous là dans un petit monde fictif et si vous avez des partenaires rp, ou même un forum où un tel personnage a sa place, faites vous plaisirs !
ce qui passe moins, c'est quand vous défendez les actions de votre personnage (on le répète, toxique) sur une cb, sur discord, sur des conversations privées. l'écrire mais ne pas avoir conscience que c'est des actes intolérables, en rire ensuite parce que quand on vous fait savoir que vous allez trop loin vous nous dites que c'est que de la fiction alors que ça fait dix minutes que vous expliquez à qui veux l'entendre que certains abus sont pardonnables dû au vécu ou sont de la faute de la victime ET qu'on interprète très bien que c'est ce que vous pensez IRL, non, ça, ça pose problème
quelques exemples récent ; sur un discord d'un forum ou 2 rpgistes expliquent aux autres que le personnage A ayant dit non à un rapport intime n'a pas été violé par le personnage B parce qu'en fait c'était un doute, pas une décision et le personnage B avait compris cela (précision, le contenu du rp, c'était non je ne veux pas mais j'ose plus dire non sinon il ne voudra plus de moi et l'autre personnage menace effectivement que c'est du c*l ou la rupture...) et ça arrive toujours irl, des gens qui disent non mais qui veulent pas vraiment dire non / sur une cb ; une rpgiste nous explique que c'est normal que son personnage (f) se soit prise une droite, elle n'avait qu'à se taire quand son mec le lui a demandé et puis irl on sait tous que nous les femmes parfois on est hystérique et que de mieux qu'une baffe pour nous calmer..
il faut vous réveiller, c'est quand des propos pareils sont tenu hors rp qu'on s'énerve, parce qu'encore si votre personnage il y croit, c'est ce que vous écrivez, OKAY, on connaît tous des gens qui vivent de mauvaises situations et qui arrivent encore à se dire que c'est eux le problème, parfois on a été / est de ces gens-là, alors que votre personnage FICTIF défends de telles actions dans vos sujets, pourquoi pas, c'est triste, on espère qu'iel va évoluer, ouvrir les yeux, mais c'est dans vos sujets !
lire que vous, la personne derrière l'écran, justifie de telles actions parce que vous tenez absolument à prendre en compte les circonstances qui permettent donc d'excuser certains abus, fictif ou dans la vraie vie, NON
À AUCUN MOMENT il est acceptable de défendre des comportements toxiques, bien souvent au détriment de la/es victime/s. une personne n'est pas l'autre, ce que vous avez surmonté ou non, ce que vous avez pardonné ou non, c'est pas un sentiment universel que toutes les victimes d'abus ressentent pareil ! vous êtes pas chez vous, privé entre potes. vous êtes sur des CB, des discords de forums où tout le monde peut vous lire, il n'y a pas beaucoup de mineurs mais il y en a ET surtout, une victime n'en est pas une autre, je me prends en exemple, j'ai subis des abus et je sais parfaitement les lire, les regarder à la télévision, je ne jouerais jamais un mec qui tape ses proches ou qui viole de gens mais je sais jouer un big bad qui veut tuer tout le monde, pour autant je n'ai pas envie de lire sur la cb qu'un personnage en ayant violé un autre est pas un méchant, qu'il a un horrible passé et que c'est donc pas de sa faute qu'il a fait ça à l'autre personnage, parce que non seulement je dois gerber mais en plus je m'inquiète de vos situations irl
non, sérieusement, si on vous fait mettre des trigger warnings dans vos profils et sujets, c'est pas pour voir la brigade défense des actions de personnages toxiques sur les CB et discord, SURTOUT s'il est clair comme de l'eau de roche que c'est ce que vous pensez IRL
#cdg forum rpg#forum rp#sujets et cb#un jour je vais apprendre à faire des drafts#pour bien assembler le tout pour que ça fasse joli et bien pensé#mais je suis le genre de personnes qui écrit ce qui lui vient en live#c'est pas toujours clair but you get the point
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Automne 1930 - Champs-les-Sims
2/4
Mais tu ne me la feras pas à moi. Ton espèce de déni me prouve sans doute que j'avais raison d'avoir des soupçons sur ta soupirante, d'autant plus que ma question était assez innocente. Dommage pour toi. Tu sais, j'ai passé des années avec un frère qui a tenté de me jurer sur tous les saints qu'il pouvait connaître qu'il n'a jamais essayé de courtiser notre bonne. Je connais ce genre de réaction sur le bout des doigts.
Avant de te parler d'Antoine, un mot sur mon plus jeune frère, Jean-François, qui a commencé ses études d'égyptologie. Papa est ravi bien sur, et ils s'échangent des courriers très régulièrement. Ce serait mentir que te dire que je ne suis pas jalouse, comme a essayé de le faire Antoine avec son visage rouge pivoine et sa mâchoire contractée.
Transcription :
Aurore « C’est bon ? Tu te sens mieux ? »
Marc-Antoine « Pas vraiment. Je pense que ça va prendre du temps pour que je m’en remette. Je n’en reviens pas que ça me touche encore alors que ça va faire plus d’un an. »
Aurore « On ne peut jamais vraiment dire combien de temps durera un deuil. »
Marc-Antoine « Il a fallu à peine quelques mois à Noé pour faire le sien. Qu’est-ce qui ne va pas chez moi ? »
Aurore « Tout va très bien chez toi. Tu es juste plus sensible que les autres. Et je croyais que tu avais dit qu’il était interdit de te comparer à tes frères et sœurs ? »
Marc-Antoine « Quand c’est moi, ça ne compte pas. J’ai encore bien le droit de me déprécier à l’envie non ? »
Aurore « Pas si ça doit te mettre dans de tels états. Ecoute, dis toi que je suis là quand tu en as besoin. Et je suis certaine que tu pourrais en parler à ta sœur, elle n’est pas du genre à frapper un homme à terre. »
Marc-Antoine « Donc, je suis un homme à terre... »
Aurore « Bon sang, Antoine ! Tu es impossible ! »
Marc-Antoine « Merci Aurore. Sincèrement. Je… je ne sais pas comment j’aurai pu tenir sans toi. »
Aurore « Tu te serais probablement effondré, comme la plupart des gens. »
Marc-Antoine « Il n’y a pas à dire, tu sais comment parler à mon égo. Avec toi, il y a peu de chances que j’attrape un jour la grosse tête. »
Aurore « Tu sais très bien ce que je veux dire ! Il n’y a pas de honte à reconnaître qu’on a du chagrin et qu’on est malheureux. J’aimerai simplement que tu comprennes qu’il n’y a pas qu’à moi que tu peux te confier. Je ne compte pas être ta béquille jusqu’à la fin de ma vie ! »
Marc-Antoine « Alors, ça veut dire que tu refuserais de m’épouser ? »
Aurore « Bien sur que non ! Je serais folle de ne pas vouloir t’épouser ! »
Marc-Antoine « Oui, j’ai beau être un homme à terre, effondré par le chagrin, je n’en reste pas moins un homme politique issu d’une famille fortunée… Un bon parti malgré tout. »
Aurore « Mais, comment ose-tu… quel sens de l’humour ! J’en reste ébahie à chaque jour qui passe ! »
Marc-Antoine « Très bien, alors pourquoi voudrais-tu m’épouser ? »
Aurore « Certainement pas par vénalité. On n’épouse pas un communiste par vénalité, même si il est riche. Ce simple état de fait pose déjà des questions assez pertinentes, mais passons... »
Marc-Antoine « Alors ? J’attends. »
Aurore « Tu es plutôt bel homme pour commencer. Et comme dirais ma grand-mère, tu as la tête pas trop mal faite. »
Marc-Antoine « Jusque là mon portrait est déjà plus flatteur. »
Aurore « Tu as une quantité effarante d’émotions. »
Marc-Antoine « Oh... »
Aurore « Et c’est tout à ton honneur. Je n’aime pas les hommes qui ressemblent à des pains de glace. Tu as aussi un don pour me taquiner et me faire tourner en bourrique. Tu es d’une fidélité sans bornes, et je ne parles pas de ta grande patience. Et je dois également avouer que si on pourrait penser le contraire, ta dévotion envers ta famille a quelque chose de beau et d’attirant. Tu me donnes envie d’en faire partie. »
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Été 1925, Hylewood, Canada (4/4)
Je relis ce que tu m’écris sur ta reprise de l’entreprise familiale. Tu me dis que tu n’es pas prête. Ton oncle ne s’est-il pas assuré que tu connaisses toutes les ficelles du métier ? Il travaille pour vos vignobles depuis son enfance. Avec une telle carrière, c’est attendu qu’il souhaite se mettre en retrait. Tu parles de ton oncle avec beaucoup d’admiration, tu sais que tu peux te fier à ses jugements. Et s’il juge que tu es prête, étant donné sa connaissance aiguë du métier, c’est que tu l’es sûrement. La question de ta capacité étant écartée, demande-toi : est-ce réellement ce que tu veux faire ? Maman me dit que vous êtes riches. Avec votre fortune, tu serais sûrement en mesure de payer quelqu’un pour gérer vos affaires à ta place. Le vrai bénéfice de la fortune, c’est qu’elle donne le choix. En fin de compte, ta grand-mère, ton oncle, tout le monde te donne l’impression que ce choix, tu ne l’as pas. Mais tu l’as. Ton père a fait le choix de refuser cette vie pour suivre ses passions. Tu m’écris l’envie que tu ressens quand tu vois toute ta famille, tes frères et tes sœurs, suivre leur voies et leurs désirs. Mais, si je peux me permettre… Et toi, Noé ? Que souhaites-tu ?
Tu écris que tu ne sais pas ce que cela veut dire que d’être adulte. En vérité, cela ne veut rien dire du tout. Être adulte, c’est la plus subtile des hypocrisies. On nous le présente comme le triomphe de la maturité, du contrôle, comme l’abdication de tout ce qui rend la vie délectable, comme la complaisance dans la morne discipline du quotidien et de la respectabilité. Ça serait plier son esprit aux conventions, brider ses désirs, étouffer ses rêves sous les impératifs du devoir, les sacrifier sur l’autel de la sagesse factice. On nous parle de responsabilité, mais quel mot effroyablement ennuyeux ! Mon père n’a jamais tenu une responsabilité de sa vie ; il s’enthousiasme à l’idée de l’Égypte comme ma petite sœur s’enthousiasme des cônes de neige de la foire ; doit-on dire qu’il n’est pas adulte ?
Je crois, Noé, que tu te poses tellement de question sur ce qui pourrait être, que tu en oublies de vivre. En cela, je suis plus enfant que toi. Quand je pêche le doré jaune, les deux pieds dans la rivière, je ne pense plus aux cargos, et aux contrats et aux chèques à encaisser. Je pense à ma ligne et je pense au soleil sur ma peau. C’est probablement ce que tu ressens quand tu es avec ton Jean. Puis je retourne à mes cargos de charbon, mais je ne suis pas angoissé. Je sais que je ne ferai pas cela toute ma vie, et je me sens tranquille. Toi, Noé, tu es tellement accaparée par tout cela que tu en oublies de vivre. Ça t’obsède, ça te poursuit partout, et dès que tu trouves un échappatoire, tu te précipites dedans pour ne pas te confronter à cette question que tout le monde semble - avec la plus grande bienveillance - t’empêcher de te poser : que souhaites-tu faire de ta vie ? Je te la pose, mais je n’attends aucune réponse. D’ailleurs, tu n’en auras peut-être aucune avant des années. On est jeunes, on a le temps de se tromper et de changer d’avis. Regarde, cette année, notre ancienne bonne, Mlle Carreau, a démissionné parce qu’elle a été recrutée pour le tournage d’un film. Elle a notre âge. Elle s’est rendue compte que cette vie ne lui plaisait pas, et elle en a changé.
Réponds-moi vite. Je t’embrasse affectueusement. Ton cousin,
Lucien LeBris
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A mes enfants
Vous êtes comme moi. Chaque année, mes enfants me posent la même question. Après avoir pensé à ça, j'ai décidé de leur donner ma vraie réponse : Qu'est-ce que je veux pour Noël ? Je te veux. Je veux que tu continues de venir à la maison, je veux que tu me poses des questions, me demandes conseil, mon avis, mon aide. Je veux que tu discutes de tes problèmes, discutes de la vie, peu importe. Que tu me parles de tes projets, de tes rêves, de tes buts. Que tu me parles de ton travail, de tes soucis, de ta femme. Je veux que tu continues à partager ta vie avec moi. Viens te moquer de moi, ou rire de moi, je m'en fiche. T'entendre rire, c'est de la musique pour moi. J'ai passé une partie de ma vie à t'élever du mieux que je le pouvais avec ce que j'avais. Et je ne me vante pas, mais j'ai fait du bon boulot. Maintenant, donne-moi le temps de m'asseoir et d'admirer mon travail, je suis plutôt fière de ça. Je veux que tu aies une belle vie; pour toi et ta famille, et même qu'elle soit plus belle encore que la mienne. Moi, j'ai les choses dont j'ai besoin. Je veux te voir heureux et en bonne santé. Quand tu me demandes ce que je veux pour Noël, je dis "rien" : je te veux.
Est-ce trop demander de venir me voir. Je veux que cette porte soit entrouverte pour que je puisse t'apercevoir où entendre tes pas. Et une fois quelle se referme quelle nous absorbent pour un moment tendre rien que nous un petit moment
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Utilisation du terme IRL
Ça fait un moment que je réfléchis à chaque fois que je vois le terme IRL dans les postes ou même sur les forums. Et je me demande si en 2024 c'est toujours bien de l'utiliser ? C'est surtout une question, un post : pourquoi je me pose ces questions avec ce terme. Et vous, qu'en pensez-vous ? IRL = In real life. Je me demande, le loisir que l'on fait donc le rpg ne fait-il pas parti de notre vie réelle ? Moi je dirais que oui, il en fait parti. Que ce soit anodin dans notre vie, un petit temps accordé pendant le reste d'une journée ou un investissement plus grand. Ça reste réel. Les gens avec qui on partage ce loisir sont tout aussi réel. Oui nous sommes sur un ordinateur/téléphone, mais ça ne rend pas le tout moins réel. Lorsqu'on prend compte de cela, est-ce que le terme IRL est encore legit ? C'est ce que je me demande. Parce que parfois j'ai l'impression que certaine personne utilise se terme pour se décharger comme si le loisir n'était pas réel. Pourtant, c'est pareil comme si on faisait un sport ou autre, on y met de notre temps, de notre cœur, de nos idées, seulement on est pas seuls-es dans tout cela. C'est comme une équipe sportive, y'a une communauté, des gens derrières. Et même si je prône le temps qu'on doit s'accorder à nous mêmes, le temps qu'on a besoin de souffler ou tout autre chose. Doit-on mettre de côté les forums sous prétexte que ce n'est pas l'IRL ? Pour moi, ce qui rentrerait pas dans le volet IRL c'est surtout nos univers, nos personnages, le volet « internet », mais sinon tout le reste c'est réel. Je ne suis pas en train de dire que j'ai la réponse à cette question, et j'aimerais bien vos avis sur le sujet. Car dès que je vois des messages parlant de vécus ou d'expériences, je me demande toujours : les gens le feraient-iels si on voyait ce loisir comme quelque chose d'entier ? et non en prenant pour acquis que parce qu'on n'est pas face à ces personnes ça n'est pas réel ? Avec ce message, je ne cherche pas à lancer un débat ou me faire jeter la pierre ! Ce n'est qu'un questionnement que je partage. Toutefois, je remarque que depuis que je fais attention à ne plus utiliser ce terme, je me sens plus légère. Je vois différemment certaine chose, je fais attention aux autres, attention à moi et plus encore, et si ce simple message peut aider d'autres personnes, alors c'est tout ce qui compte 💕
NOTA BENE : Ce post ne cautionne aucunement l'agissement de certains ! Ouais je préfère prévenir, je ne suis pas okay avec tout ce qui arrive dans la commu ! Je le poste pour se questionner pas cautionner !
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L’ascience c’est ici la macabre mise en scène où deux ministres emmasqués du groin prennent la pose et font mine de piquouzer une femme enceinte pour fourguer un produit génique expérimental frauduleusement appelé "vaccin"…💀
«Le spectacle est l’image morte de la vie.» (Debord)
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Chaque geste de notre vie peut devenir bonheur
L'avez-vous déjà remarqué, nous sommes toujours
En attente du résultat d'un acte, d'un événement,
projetés vers l'avenir, les yeux rivés sur l'aboutissement,
sur l'arrivée,
En attente d'autre chose, de quelqu'un d'autre,
de mieux, d'ailleurs...
J'escalade la montagne en ne songeant
qu'à ce que je verrai du sommet.
Je me dépêche de lire le livre pour en savoir plus,
pour connaître la suite,
Toujours la suite, toujours plus avant.
Je pose la question :
"Comment est-ce que ça se termine ?"
J'attends le train, je ne vis pas.
Je suis tendue vers l'arrivée du train,
le cou tendu vers le tournant où il va apparaître.
"Il arrive ? Il arrive ?
" Et bien sûr, une fois dans le train,
je n'ai qu'une hâte : arriver !
Au travail, j'attends la pause,
la fin fin de la journée,
le week-end, les vacances, la retraite...
Quand j'aurai rencontré l'âme-soeur...",
"Quand les enfants seront grands", "
Ah, si j'étais libre",
"Quand j'aurai de l'argent", "
"Quand j'aurai déménagé", "
"Quand j'habiterai à la campagne",
"Quand j'aurai le temps...",
Ou alors, c'est
"Ah, si j'avais su...",
"Avant c'était mieux !",
"Ah, quand il/elle était là !".
Et finalement, je ne vis pas et les années passent. Le compte à rebours a commencé et je ne savoure toujours pas la vie précieuse qui m'est offerte à chaque seconde, la douceur de l'air dans mes poumons, sur mon visage, les yeux de l'inconnu(e) qui me croise, la colline si vivante devant moi, la danse des nuages, un après-midi de repos, la chaleur de ma couverture, un toit sur ma tête, les clins d'oeil du soleil...
Hier en faisant le ménage, j'ai pris conscience pour la première fois que j'mais faire le ménage
Et chaque acte est devenu un véritable plaisir :
laver les vitres, jeter de vieux journaux, de vieux livres, faire le vide...
Chaque geste de notre vie est/peut/va devenir bonheur, Chaque instant, chaque seconde (ou presque !),
ne serait-ce que respirer...
Alex, L'Âme et le Coeur
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saga: Soumission & Domination 362
Espagne 2015-4 : Javier et Arturo
Quand nous arrivons, Javier est là, accompagné d'un jeune mec. Ils sont encore habillés quand la triplette passe sa frustration en déboulant comme des fous, à poil et qu'ils sautent dans l'eau attrapant au passage le jeune homme.
Javier sort vite de ses vêtements juste au cas où ils reviendraient le chercher !
J'explique à Marc et Hervé le pourquoi de leur excitation. Arturo (le nouveau) nage maintenant, nu, avec la triplette. Je repêche avec PH les vêtements qui flottent et pousse jusqu'à la lingerie les mettre au sèche-linge.
Paco ramène l'apéro et je le vois apprécier que Jesus soit revenu. Entre deux verres, les plagistes se dessalent dans la piscine. Et nous finissons tous dans l'eau, un verre à la main. Insidieusement, par les passages répétés sous l'eau, entre nos jambes (soit disant pour jouer) de nos plus jeunes avec Arturo qu'ils ont dévoyé, la température de nos corps monte. Nos sangs aussi semblent avoir des velléités d'expansion et je m'aperçois que je ne suis pas le seul à bander ferme. On les laisse faire et bientôt on se retrouve tous à poil, les maillots flottant entre deux eaux. On sort de l'eau et entre le léger vent chaud et les frottements, on sèche vite.
Pendant l'apéritif, nous avons appris qui était Arturo. Il fait fonction d'assistant auprès de Javier qui l'a récupéré auprès du pole-emploi local. Au départ il l'avait embauché comme homme toute main pour faire des petits travaux à son agence (peinture et bricolage). Puis ils sont passés aux travaux à la maison ! J'imagine bien Arturo le bleu de travail ouvert sur sa poitrine imberbe !! Depuis ils ne se quittent plus. Et comme il avait commencé une formation vente, Javier envisage même de le réinscrire en formation par alternance.
En attendant, il n'est pas farouche le gamin (18ans quand même). Au milieu de notre triplette, il se donne à fond dans la pipe. Petit format, dans les 1,75m musclé mais léger 55Kg, il est plutôt passif (info Javier). Extérieurement il est brun de poil mais imberbe avec une peau bronzé du plus bel effet. Elle est légèrement plus claire sur les fesses ce qui me fait dire qu'en hivers il reste hâlé.
Je devine qu'il y a plus que cela entre eux. J'isole Javier pour savoir le fin mot de l'histoire, je suis curieux, on ne me refera pas ! En fait, c'est le fils d'une connaissance mais néanmoins " gros con " qui l'a foutu à la porte quand il avait appris que son rejeton était homo. Sans ressource, ce dernier acceptait tous les tafs même manuels qu'il pouvait trouver. Et non, il n'avait pas encore fait la pute quand Javier l'avait récupéré !
Comme il connait la filiale espagnole de notre société pour avoir été approvisionneur en clients, je lui propose d'y faire taffer son protégé. Il refuse gentiment et me dit qu'ils n'ont pas besoin. Il gagne très bien sa vie, le salaire qu'il verse à Arturo est quasiment de l'argent de poche puisqu'ils vivent ensemble. Et côté sexe, il ne l'empêche pas de faire ce qu'il veut comme je peux le voir.
Je me retourne et vois l'animal planté sur les 22cm de mon Marc. On en rit et partons à la recherche d'un plan nous aussi.
Je rejoins João qui entreprend Max et Enguerrand en même temps. Il a besoin d'aide ! J'attrape mon beau-frère, il va pour se débattre et voit que c'est moi qui le ceinture à la taille. Rotation, il pose ses lèvre sur les miennes, me souffle un " ça te dirait qu'on se fasse un truc tous les deux ". Avant de m'entrainer dans la villa et leur chambre.
Nous faisons l'amour lentement. Chacun prend soin de maîtriser la montée du plaisir de son partenaire. A ce petit jeu, il est très doué. Quand on est trop proche de jouir, on s'arrête. Dans une de nos " pause ", il me dit qu'il est trop content que je les ai emmenés ici. Il n'en pouvait plus des camps scouts et de la ferme, même si quand ses frères y sont il est content et surtout quand toute sa nouvelle " famille " s'y réuni.
Lors d'une autre, il se presse contre moi et je sens des larmes tomber sur ma peau. Je le serre plus fort, embrasse le front qui est à ma portée avant de relever son menton, de le fixer dans les yeux et de poser doucement mes lèvres sur les siennes. Juste un baiser, pas de pelle, je sens que ce n'est pas le moment. Je devine qu'il se fait un mauvais flash-back. Il vient doucement à se confier. Avec ma façon très personnelle d'aborder les choses, je m'étais imaginé qu'il avait tourné la page et que XX de XXX n'était plus qu'une expérience qui aurait pu être meilleure. Mais ce n'est pas complètement son cas. Je le laisse venir. Alors que ses larmes coulent encore, il m'assure être très heureux avec Max et Nathan. Qu'il ne pouvait avoir de meilleurs amis et amants. C'est juste que de temps en temps, ça remontait sans crier gare et il ne voulait pas les souler avec ça. Surtout pendant les vacances. Il ne savait pas pourquoi, si c'était un mot, une attitude mais il revoyait des scènes avec XX et il avait mal.
Je reste à l'écoute. Il est couché contre moi, sa tête au creux de mon épaule et nous regardons le plafond. Il me parle du suicide. Du nombre de fois où il a failli se foutre en l'air, des méthodes qu'il avait même envisagé : fusil de chasse, accident de la route volontaire, même le train.
C'est noir mais il faut que ça sorte ! Il m'explique que c'était surtout après qu'il se soit fait enculer par toute la bande qu'il pensait à ça. Au tout départ, il avait cru que XX avait quelques sentiments pour lui et que c'était par jalousie envers sa soeur que ce dernier l'avait " pris ". Mais rapidement il avait ouvert les yeux et dès ce moment il s'était tellement senti une sous-merde, que ça marronnait dans sa tête. Il ajoute qu'il n'aurait probablement pas eu le courage de passer l'été. Bon l'autoflagellation et l'auto-complaisance dans la noirceur à ses limites. Je le secoue le fait basculer sur moi et lui roule un patin. Sa queue réagit au quart de tour et colle la mienne qui n'avait pas ramollie. Il a besoin de confiance en lui, bon je vais le laisser m'enculer, sans lui dire.
Petit 69, je lui mange la bite et la rondelle en alternance et lui demande de me faire pareil. Il me travaille bien l'anneau et entre régulièrement 1 bon cm de langue dedans. Je le pompe en faisant attention à ne pas aller trop loin.
Je le plaque dos sur le lit, mes mains maintiennent ses poignets alors que j'enjambe son bassin et que je recule pour dresser sa bite contre mon sillon. Je me penche, lui roule un patin et en jouant du bassin me plante ses 19cm dans l'oignon. Ma bouche étouffe son cri. Je me l'enfonce bien profond et ressent le petit coup de bassin qu'il ne peut retenir et qui propulse ses derniers mm dans mon cul.
Je décolle ma bouche de la sienne et lui demande si ça va. Les yeux brillants, il me dit que je suis trop bon (et il y met plus que le cul dans cette assertion). Je lui dis de se laisser faire et déploie toute mon expérience à lui faire l'amour. J'utilise toutes les variations possibles lors de ma chevauchée. Le travail compressif de ma rondelle que je module différemment selon que je rythme " au pas " ou " au galop " le met sur orbite.
Je serre les genoux contre son torse et roule sur le côté. Comme ça, sans qu'il ait déculé, il se retrouve au-dessus mes jambes autour de ses reins. Je les attrape aux plis des genoux et écarte bien pour lui laisser toute latitude à m'enculer. Il se redresse sur ses genoux, soulevant mon bassin sous lequel il glisse un oreiller. Et là mon " petit frère " se déchaine. Il me défonce le cul comme un fou, tapant son bassin contre mes fesses à chaque pénétration. Il ralentit, je sens qu'il veut un truc mais n'ose pas me le demander. Je suis sûr que c'est une levrette. Je le repousse et me tourne à 4 pattes. J'entends derrière moi un merci en même temps qu'il se réintroduit en moi. Là, accroché à mes hanches, il me lime royalement. Quelques contractions de ma rondelle et il largue la purée. Je le bloque en moi le temps qu'il se vide et continue à serrer alors qu'il sort. Moi j'ai rempli ma paume et alors que je vais pour lécher mon sperme, il me tire le bras pour en avaler un max. je récupère le reste et un peu plus en allant le chercher entre ses dents.
Le répit est bref. Max et Nathan nous ont retrouvés et sautés dessus. Ils veulent savoir pourquoi on s'était isolé alors qu'ils partagent tout tous les 3.
Malgré les gestes de dénégation d'Enguerrand, j'explique à ses deux amours que notre ami commun avait eu un passage à vide. Max voit tout de suite de quoi il retourne alors que Nathan ne réalise qu'après. Enguerrand se fait copieusement engueuler, comme quoi ils sont là pour lui, même quand il est mal. Il ajoute qu'il est temps qu'ils me laissent tranquille, que j'en ai déjà fait assez pour eux.
Là je les interromps. Je leur dis que je leur serais toujours dispo et que je préfère qu'ils viennent me voir plutôt qu'ils fassent une connerie. Je les engueulerais certainement mais je les aiderais dans tous les cas.
Max s'excuse qu'il n'avait pas voulu m'écarter en disant cela, juste qu'il voulait qu'Enguerrand sache que s'ils avaient tous les trois le même âge, il pouvait quand même s'appuyer sur eux deux.
On se câline un moment tous les 4 jusqu'à l'arrivé des miens, PH, Ludovic et Ernesto. Du coup ça repart en sexe !! Cette fois je profite des culs et ma bite s'enfonce à tour de rôle dans chacun de ceux de notre triplette. Mes amours aussi profitent des petits jeunes qui ne demandent que ça. Enguerrand se réserve quand même pour accueillir mon sperme au fond de lui. Je me termine en labourant son petit trou en levrette, tirant vers moi sa tête en arrière pour qu'on se roule une pelle. Nathan, couché sous mon petit beau-frère avale sa production alors qu'il se fait défoncer par Ernesto. Nous sommes découverts par Marc qui nous cherchait. Le diner nous attendait ! Retour sur la terrasse en maillots. Arturo est content de nous revoir, ça faisait un moment qu'il n'était entouré que de " vieux " !
Max lui demande combien de fois il s'était fait enculer. De but en blanc, ça surprend notre invité qui bafouille un 2 ou 3. Rires de Javier qui nous dit que comme ils lui sont tous passés dessus sauf Jesus, c'est plutôt 5 qu'il faut compter. Là, Marc annonce 6 car il l'a pris deux fois.
Arturo rougi sous son bronzage. Il se défend d'être une pute. Nathan l'entoure de ses bras et dit qu'il est juste un mec qui aime baiser c'est tout, comme nous tous ici.
Il a bien résumé la situation.
La paëlla Valencienne est très réussie et il ne reste pas un grain de riz quand nous en avons terminée avec elle. Paco est ravi de ça !
C'est vers 3h du matin que nous nous endormons un peu partout.
Le grand soleil me réveille. Je suis sur un des matelas de la piscine, dans mes bras se trouvent les deux frères, Ludovic et Enguerrand. Je me glisse pour aller prendre un café et voir où sont les autres. Debout je me retourne. Enguerrand a rejoint Ludovic et se love en cuillère contre son ventre.
La maison est encore muette. A la cuisine Paco me sert un café à réveiller un mort ! Mais ça fait du bien. Tout bas il me demande si tout va bien. Il me dit qu'heureusement que Marc et Hervé sont là, sinon Jesus l'aurait mis sur les rotules. Il ajoute que ça fait un moment qu'il n'était pas tombé sur un assoiffé de sexe comme lui.
Mug en main, je fais le tour de la villa. Personne dans le séjour, coups d'oeil dans les chambres, ils sont tous là en ordres dispersés. Romain n'est pas avec João, PH et Ernesto sont dispersés, l'un avec Hervé l'autre avec Jaime. Je vois ce qu'avais voulu dire Paco quand je surprends Jesus en train de pomper les 22cm de Marc !! Il me fait un clin d'oeil et lève le pouce. Je lui fais signe de continuer, je connais mon homme et sais qu'il adore ce genre de retour à la réalité.
Sur la terrasse, Enguerrand est réveillé et je le vois en train de s'enfiler la bite en érection matinale de son frère. Il me fait bander ce con !
Je me couche derrière Ludovic et lui enfile ma bite. Là, notre " tanche de jambon " (prise en sandwich, faut suivre un peu !) se réveille. Il voit avec qui il baise et nous traite d'obsédés. Il n'empêche qu'il ne se dérobe pas et que tous les trois nous jouissons pour la première fois de la journée.
On se déboite juste alors qu'arrive le reste de la triplette et mes escorts. Ils apportent café, jus d'oranges fraichement pressées plus du pain frais. On petit déjeune avant d'aller se laver.
Les jours qui suivent durant cette première semaine seront du même style. Jaime a pris pension à la villa tout comme Jesus. Les autres : les hollandais et Rubén passent de temps à autre. Arvid nous a demandé si on pouvait l'héberger nos deux dernières semaines. Il trouve l'ambiance de la villa démentielle et kiff les baises inopinées.
La " plage " commence à repérer le petit groupe que nous formons. Lorsque les rabatteurs de boites descendent distribuer leurs flyers, canons dans leurs maillots de bains sexys, ils nous convient tous. On doit être le seul groupe homogène en âge, musculature et maillots remplis de la plage.
Nous acceptons une soirée qui promet d'être chaude dans la boite dont les rabatteurs qui nous ont démarchés étaient plus beaux.
Jardinier
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Des sensations et des mystères
Je pose mon stylo où mes doigts et mon esprit sont engourdis. Je reviens à moi. L’espace rétréci de la page blanche s’ouvre à nouveau. Ma nuque est douloureuse. Je m’étire, les coudes en arrière. Je quitte ma feuille pour aller vers d’autres feuilles. Je me lève et me dirige vers l’extérieur.
Il y a le jardin, là devant moi. Tout est là. La porte se referme et j’avance dans la lumière et la chaleur. Là me parviennent immédiatement les odeurs florales, le bruissement des insectes affairés et le doux balancement des plantes. Je pose mon regard à l’ombre. Un papillon reste immobile sur une feuille étalée, elle-même sur une tige élancée. Il y a quelque chose qui attire plus haut, plus loin encore. Quelque chose de la vie. Je pose mon doigt sur une hampe vert tendre pour découvrir une coccinelle à l’abri.
Tout est dit de l’harmonie et de la magie. Dans le silence, les noms savants des fleurs me reviennent eux aussi. Podranea rocasoliana. Isotoma axillaris. Cistus albidus. Et je suis à ma place. Juste là, avant de revenir à l’écriture. Encore et encore. Puisque c’est ma nature.
/ Fabienne PASSAMENT. 2024 Atelier d'écriture d'après Monique Wittig
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Quand c'est beau, ne te pose aucune question, attrape l'instant, vole-le à la vie et transforme le en souvenir.
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