#Le Salon de musique
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jhfhmpobaancd · 3 months ago
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François Flameng "Esquisse pour le salon des Arts de l'HÎtel de Ville de Paris : La Musique"
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ВлаЎОслаĐČ Đ„ĐŸĐŽĐ°ŃĐ”ĐČоч "Đ“ĐŸŃŃ‚ŃŽ"
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akamotormusic-blog · 1 year ago
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(akamotoRmusic)
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contenteditor · 15 days ago
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đŸ‡©đŸ‡Ș Cet Ă©tĂ©, dĂ©couvrons l'incroyable hĂŽtel de Beauharnais, un joyau de style empire aujourd'hui rĂ©sidence de l'Ambassadeur d'Allemagne en France. Avec @allemagnediplo, nous vous ouvrons les portes de ses somptueux salons.   đŸŽ»A quelques pas du Salon des Quatre Saisons se trouve une piĂšce plus intime mais tout aussi somptueuse : le Salon de Musique. DĂ©corĂ© de peintures dans le style pompĂ©ien et d'attributs musicaux, le salon est une piĂšce d'un raffinement rare. Des couples d'oiseaux exotiques peints nous rappellent la Martinique natale de JosĂ©phine, tandis que des cygnes nous signifient, si un doute subsistait, que nous nous trouvons dans une rĂ©sidence impĂ©riale.   #hoteldebeauharnais #styleempire #paris #palace #interior #eugenedebeauharnais #ambassadedallemagne | by antoinebn
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from-derry · 9 months ago
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Voici enfin la tant attendue annexe de la vie quotidienne. C’est en rĂ©alitĂ© la premiĂšre partie de l’annexe concernant Derry et de ce fait l’une des plus importantes. Elle pose vraiment les bases du lore.
Quelques petites prĂ©cisions importantes avant d’entamer votre lecture :
- c’est un premier jet ! Compte tenu du nombres de questions qui trouvent leur rĂ©ponse dans cette annexe, nous la publions maintenant.
- Elle sera sujette Ă  changements, rĂ©organisation, ajouts jusqu’à l’ouverture du forum.
Vie quotidienne
La vie Ă  Derry est rĂ©solument tournĂ©e vers la survie de la communautĂ©. On organise le quotidien autour de tĂąches utiles, voire essentielles au bon fonctionnement gĂ©nĂ©ral. Il est attendu que tout le monde participe Ă  l’effort collectif.
Technologie :
L’eau courante et l'Ă©lectricitĂ© sont prĂ©sentes Ă  Derry, sans que personne n’en connaisse l’origine. 
Il n’existe aucun moyen de communiquer avec le reste du monde. Internet, le rĂ©seau tĂ©lĂ©phonique, la radio, rien ne semble fonctionner Ă  Derry. Parfois, si on joue avec les stations de radios, il peut vous sembler entendre des voix ou de la musique, mais c’est bien souvent trĂšs fugace. 
A l’intĂ©rieur de Derry, les communications par talkie-walkies fonctionnent, pour peu d’avoir du matĂ©riel fonctionnel. Chaque leader de groupe de la communautĂ© en possĂšde un qui permet de communiquer entre la ville et la maison en cas d’urgence. 
Il arrive que certains objets Ă©lectroniques s’animent seuls sans que personne n’y touche. Les lumiĂšres s’allument aussi parfois seules... ou s’éteignent. Les habitants ont pris l’habitude de l’ignorer. 
À Derry, l’utilisation des appareils Ă©lectriques modernes est assez alĂ©atoire. Parfois cela fonctionne, parfois pas du tout, sans qu’aucune logique ne se dĂ©marque. Il n’est pas toujours possible de recharger ces derniers. 
Nourriture et repas : 
Les habitants de Derry vivent en autonomie complĂšte et ne peuvent consommer que ce qu’ils trouvent ou produisent. Les Ă©pices se font rares, de mĂȘme que les sucreries, le cafĂ© ou tous vivres de la sorte. Les habitants produisent par contre de l’alcool artisanal, pas toujours trĂšs bon, mais efficace. Il est fait souvent Ă  partir de pomme de terre ou de maĂŻs. On y distille aussi de l’excellente eau de vie Ă  partir de la production de fruits. 
Au centre bourg, les repas sont traditionnellement servis au diner et il est de coutume d’aller manger le matin afin de partager avec le reste de la communautĂ©. En journĂ©e, le diner est ouvert Ă  tout le monde pour un cafĂ© ou une collation. Il est possible, pour les habitant·es du centre bourg de venir le soir prendre Ă  manger Ă  emporter pour celles et ceux qui ne cuisinent pas. 
A la maison commune, les repas sont pris en commun et prĂ©parĂ©s Ă  tour de rĂŽle par les rĂ©sident·es selon un calendrier prĂ©-Ă©tabli. Il n’est pas obligĂ© de manger ensemble, mais les repas sont souvent partagĂ©s entre la cuisine, la salle Ă  manger et le salon en fonction des conversations. 
Locomotion :
S’il y a des voitures Ă  Derry, on ne trouve pas d’essence autre que celui provenant des vĂ©hicules Ă©chouĂ©s dans la ville. On s’y dĂ©place principalement Ă  pied ou Ă  vĂ©lo. Les vĂ©hicules fonctionnels sont rĂ©servĂ©s aux urgences. 
Santé et hygiÚne :
L’accĂšs aux mĂ©dicaments est aussi strictement rĂ©gulĂ©. Ces derniers sont une denrĂ©e particuliĂšrement rare. Il arrive parfois Ă  un habitant chanceux de dĂ©couvrir au hasard de ses promenades une trousse de secours. Pour la majoritĂ© des soins, il faut compter sur le savoir collectif qui se transmet au fil des gĂ©nĂ©rations et de la formation des nouveaux soignants. Les produits d’hygiĂšne et de soin sont principalement produits par les herboristes. 
Saison et rythme de vie :
La vie de Derry est principalement dictĂ©e par les saisons et l’heure Ă  laquelle le soleil tombe. Ainsi, la pĂ©riode hivernale est plus morne que l’étĂ©. Les sociabilitĂ©s se font et se dĂ©font au fur et Ă  mesure des saisons. 
Le temps d’activitĂ© ne s’organise pas en horaire de bureau, mais en fonction des besoins ou de la demande. Certains rĂŽles sont plus demandeurs que d’autres. A quelques exceptions comme le travail d'Ă©levage, il est rare qu’on occupe toute la journĂ©e son poste, c’est plus souvent en demi journĂ©e qu’on s'organise. 
Moeurs générales :
Derry vit coupĂ©e du monde et de son Ă©volution gĂ©nĂ©rale. L’arrivĂ©e de nouveaux habitants dans la ville donne toujours la mesure du temps qui est passĂ©, plus que n’importe quelle technologie devenue obsolĂšte. On peut Ă©valuer le temps vĂ©cu Ă  Derry Ă  la mentalitĂ© de chacun·e. 
Talisman :
Il est de coutume d’accrocher prĂšs de l’entrĂ©e principale un talisman. Celui-ci est gravĂ© dans le bois, la pierre ou dans un bout de poterie. On y reproduit des symboles dont personne ne connaĂźt le sens exact. La croyance est qu’il empĂȘchent les crĂ©atures de passer par l’entrĂ©e protĂ©gĂ©e. On ignore s’ils ont un vĂ©ritable effet. Personne Ă  Derry ne sait qui a trouvĂ© ou inventĂ© les talismans, mais ils sont en place depuis toujours, semble-t-il. Personne ne s’est risquĂ© Ă  sortir avec un talisman autour du cou la nuit pour s’assurer qu’ils Ă©taient rĂ©ellement efficaces. Difficiles Ă  reproduire, ils s'abĂźment rapidement, se brisent assez souvent lorsqu’on fait cuire la poterie et trouver des pierres suffisamment grosses et non friables pour les graver est souvent compliquĂ©. Ils sont donc rares et considĂ©rĂ©s comme prĂ©cieux. 
Sanctions :
Il n’existe pas de lois Ă  proprement parler Ă  Derry, outre la convention du partage des biens. Les shĂ©rifs des annĂ©es passĂ©es ont nĂ©anmoins instaurĂ© deux sanctions. 
Construite devant l’ancienne poste, il y a une boite oĂč l’on enferme les habitants durant une nuit pour les punir d’un petit dĂ©lit. Ceux-ci sont laissĂ©s Ă  l’apprĂ©ciation du shĂ©rif en place. De mĂ©moire actuelle, la boite n’a pas Ă©tĂ© utilisĂ©e. Les crimes (comme le meurtre) sont punis par le bannissement - cela Ă©quivaut Ă  une peine de mort puisque sans talisman, personne ne survit longtemps dans les bois entourant Derry.  
Cachettes :
Dans les rares cas oĂč l’on se retrouve dehors Ă  la nuit tombĂ©e, il existe quelques cachettes connues des habitants. D’un confort rudimentaire, elles ne sont Ă  investir qu’en cas d’extrĂȘme urgence et ne garantissent pas une aussi bonne protection que les habitations.  
Confort de vie :
De nombreux objets du quotidien en dehors de Derry manquent ou se font rares. Le plus souvent, c’est le systĂšme dĂ©brouille qui prime. On recycle beaucoup, on reprise Ă©normĂ©ment et on tire les machines jusqu'Ă  ce qu'elles rendent l'Ăąme.
Armement :
Les armes Ă  feu sont interdites Ă  Derry, du moins en principe. Il y en a quelques unes Ă  dispositions chez le ShĂ©rif et sous contrĂŽle d’Isidro Ă  la maison commune, mais il est admis que sauf raisons particuliĂšres il n’est pas autorisĂ© d’en possĂ©der. Bien sĂ»r, il est toujours possible de contourner la rĂšgle et d’en dissimuler mais si on dĂ©couvre la vĂ©ritĂ©, gare aux consĂ©quences. 
Relations centre-bourg / maison commune :
Les relations entre la maison commune et le Centre-bourg sont dans l’ensemble plutĂŽt bonnes. L’ouverture de la maison commune a laissĂ© nĂ©anmoins des traces dans la mĂ©moire de Derry que l’on peut retrouver aujourd’hui. Les habitant·es de la maison commune ont tendance Ă  rester ensemble, si bien que lorsqu’ils descendent en ville dans les lieux communs, on peut ressentir une sorte de rĂ©serve mĂątinĂ©e de mĂ©fiance. Les habitant·es du Centre-bourg ont toujours l’impression artificielle qu’on vient piquer dans leur garde-manger. C’est notamment grĂące au chassĂ©-croisĂ© des activitĂ©s dans les diffĂ©rentes communautĂ©s que l’ambiance reste agrĂ©able malgrĂ© tout.
Éducation :  
La ville compte trĂšs peu d'enfants, l'Ă©cole ne possĂšde donc qu'une classe unique. On y apprend Ă  lire, Ă©crire, compter ainsi que les connaissances pratiques pour survivre au quotidien Ă  Derry, comme faire son savon, planter des graines, raccommoder ses vĂȘtements, etc. 
Animaux :
On trouve quelques animaux à Derry et plusieurs cas de figure. Certains sont arrivés avec leur propriétaire dans la ville. Certains apparaissent de façon inconnue. Il est possible de les attraper et de tenter de les domestiquer. Le bétail est assez limité : quelques vaches, quelques chÚvres, quelques cochons, quelques poules. 
 Concernant le gibier, on trouve principalement de petits animaux sauvages : lapins, oiseaux, liĂšvre, faisan, etc. Le grand gibier existe mais se fait plus rare. Il faut souvent s’enfoncer loin dans les bois pour le dĂ©busquer et cela n’est pas sans risque. 
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cendres-et-volcans · 2 months ago
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J'entends les bruits de l'appartement d'a cÎté, de la musique et des voix, des rires aussi mais pas tant que ça.
Je connais ces lieux, la disposition des piÚces ou leur résonnance, je sais qu'en se penchant au balcon on peut voir le lac.
Je sais que l'on chante dans la cuisine et que l'on danse dans le salon.
Avant, moi aussi j'Ă©tais dans ce salon, les pieds sur la table basse, partie prenante de la centrifugeuse.
Aujourd'hui j'entends et je visualise et je redoute plus encore les silences.
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selidren · 6 months ago
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Printemps 1920 - Champs-les-Sims
2/5
Pour changer de sujet (je pense que vous avez saisi que mon mari peut ĂȘtre compliquĂ© sur de nombreux points), je n'ai pu m'empĂȘcher de rire de la mĂ©saventure de votre fils. Il devait se sentir penaud quand vous l'avez rĂ©primandĂ©, il n'est guĂšre charitable de calomnier les souffreteux, ils ont bien d'autres choses dont se soucier sans qu'un jeune adolescent n'amĂšne les torches et les fourches. Que voulez-vous ? C'est une jeune gĂ©nĂ©ration passionnĂ©e. Ces dames dont vous me parlez ont cependant l'air adorable. Si elles ont demandĂ© Ă  emprunter la photographie, cela ne m'Ă©tonnerait pas qu'elles aient perdu un fils Ă  la guerre. J'imagine que cela suffit pour s'en rendre sĂ©vĂšrement malade.
J'ai fortement pensĂ© Ă  vous ces derniers temps. Selon Madame EugĂ©nie, il fut un temps oĂč Monsieur Auguste parlait Ă  notre famille des anglais qui s'installent Ă  Hylewood, et que les questions Ă©voquant francophones et anglophones sont parfois tendus au Canada. Chez moi aussi, ces maudits anglais ont dĂ©clenchĂ© un incident diplomatique !
Il y a peu de temps, un jeune gallois (Ă  ce qu'il semble, je ne peux me vanter de savoir diffĂ©rencier un gallois d'un anglais ou d'un Ă©cossais), s'est prĂ©sentĂ© chez une jeune veuve, Anne BarthĂ©lĂ©my (ses relations font que nous la connaissons pas le biais de Jeanne, la soeur de Jules). La pauvre jeune femme a perdu son mari en 1916, et il se trouve que le nouveau venu, Monsieur Norton, dis n'avoir eu sa vie sauve que grĂące Ă  son mari. Il a mis un moment Ă  la retrouver, et s'est mis Ă  la disposition de la jeune femme, affirmant qu'il devait bien cela Ă  l'homme qui avait donnĂ© sa vie pour sauver la sienne. Il est arrivĂ© avec de nombreux cadeaux venus du Royaume-Uni et d'AmĂ©rique, et parmi tous ces cadeaux, il y avait des enregistrements magnĂ©tiques de chansons amĂ©ricaines pour tĂ©lĂ©graphones. Ces enregistrements ont fait le tour du village. Je ne sais pas Madame BarthĂ©lĂ©my va laisser Monsieur Norton la courtiser encore longtemps, mais en tous cas, la musique l'a sĂ©duite. L'enregistrement est donc arrivĂ© chez nous et a beaucoup plu aux filles. Un certain Monsieur Gershwin, Ă  ce qu'il parait, qui commence Ă  devenir trĂšs populaire aux Etats-Unis. Peut-ĂȘtre est-il dĂ©jĂ  connu au Canada ?
Il a en revanche moins plu Ă  Madame EugĂ©nie qui se plaint d'une invasion de tuniques rouges dans son salon. Cela pourrait prĂȘter Ă  sourire si elle n'avait pas, par ce biais, ramenĂ© ses vieilles obsessions et perturbĂ© encore une fois mes enfants.
Transcription :
Eugénie « Que faites-vous jeunes filles ? »
SĂ©lĂšne « Tante Juliette nous a appris la valse la derniĂšre fois qu’elle est venue. »
Arsinoé « Nous nous sommes dit que ce serait intéressant de pratiquer un peu pour ne pas perdre le peu que nous avons assimilé. »
EugĂ©nie « Ce n’est pas prĂ©cisĂ©ment une musique adaptĂ©e Ă  la valse. Qu’est-ce d’ailleurs ? »
SĂ©lĂšne « De la musique amĂ©ricaine. Je ne me souviens plus du nom de l’artiste. Ils l’ont jouĂ© chez les Hurelle la semaine derniĂšre, c’est un cadeau d’un anglais je crois. »
EugĂ©nie « Mmh
 Et de quoi ça parle ? »
Arsinoé « Pas la moindre idée. »
Eugénie « Jeunes filles, si vous souhaitez pratiquer la valse, il faut une musique adaptée. Changez immédiatement. »
EugĂ©nie « VoilĂ  qui est mieux. D’ailleurs, comment cette satanĂ©e musique s’est retrouvĂ©e en ta possession jeune fille ? »
SĂ©lĂšne « Et bien l’anglais l’a jouĂ© Ă  Anne pour essayer de l’égayer un peu. »
Eugénie « Oh oui, pauvre enfant. »
ArsinoĂ© « Puis La petite LĂ©one l’a entendue. Elle en a parlĂ© Ă  Simon Ă  l’école, qui a eu envie de l’écouter. Il l’a fait Ă©couter Ă  la mĂšre et Ă  sa grand-mĂšre aussi. »
Eugénie « Jeanne a apprécié ? »
SélÚne « Je ne sais pas. »
EugĂ©nie « Ah
 SĂ©lĂšne, tiens donc tes grandes jambes plus droites et suis le rythme ! »
SĂ©lĂšne « Mais c’est si lent ! »
EugĂ©nie « C’est normal, il faut commencer lentement. Redresse toi donc un peu ! Seigneur, on dirait ton pĂšre quand il a commencĂ© Ă  marcher ! »
Arsinoé « Aïe ! »
SélÚne « Oh mince, je suis désolée ! Tu as mal ? »
Eugénie « Que tu es maladroite ! »
ArsinoĂ© « Non, ça va. C’est n’est pas si grave. »
EugĂ©nie « Tu es encore bien trop maladroite pour danser avec ta sƓur, SĂ©lĂšne. Je demanderai Ă  tes cousins de te donner des leçons. En attendant, demande donc Ă  ClĂ©opĂątre de venir, elle sera plus Ă  mĂȘme de danser. C’est une enfant qui, Ă  dĂ©faut d’ĂȘtre convenable, a un indĂ©niable sens de l’élĂ©gance. »
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lesmisscraper · 1 year ago
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That evening, Cosette was alone in the drawing-room. In order to get rid of her ennui, she had opened her piano-organ, and had begun to sing, accompanying herself the while, the chorus from Euryanthe: "Hunters astray in the wood!" which is probably the most beautiful thing in all the sphere of music. When she had finished, she remained wrapped in thought.
Le soir, Cosette Ă©tait seule dans le salon. Pour se dĂ©sennuyer, elle avait ouvert son piano-orgue et elle s’était mise Ă  chanter, en s’accompagnant, le chƓur d’Euryanthe : Chasseurs Ă©garĂ©s dans les bois ! qui est peut-ĂȘtre ce qu’il y a de plus beau dans toute la musique. Quand elle eut fini, elle demeura pensive.
Vol. 4, Book 5, Chapter 2.
youtube
And it's that song Cosette played and sang, <Der JĂ€gerchor> in the original title.
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So she sang this one during that part?
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detournementsmineurs · 5 days ago
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Le “Salon de Musique" d'un ancien hĂŽtel particulier du quartier Saint-Michel (circa 1745) installĂ© dans le parcours des Collections Permanentes du MusĂ©e Carnavalet, Le Marais, Paris, novembre 2024.
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bttf-rpg · 10 months ago
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ANNEXE UNE
Le contexte de Back to the Future fait que nos personnages ne vivent pas tout Ă  fait dans le mĂȘme monde que nous. Certains objets font encore partie de leur quotidien, alors que nous, on ne les a plus vu depuis de longues annĂ©es. Cette annexe est lĂ  pour te rafraĂźchir un peu la mĂ©moire !
📌 ARCADE La salle d'arcade regroupent divers jeux comme des jeux d’arcade, des flippers, des baby-foots, des tables d'air hockey, des machines attrape-jouet ainsi que des billards. Les jeux vidĂ©os sont les Ă©lĂ©ments les plus populaires, qui plaisent aussi bien aux plus jeunes qu'aux adultes de Mariposa. La salle est souvent bruyante, les bruits Ă©lectroniques se mĂȘlent aux claquements du hockey et des boules de billard. Il ne fait pas trĂšs clair dans le lieu, mais les nĂ©ons de diffĂ©rentes couleurs vous placent dans une atmosphĂšre unique.
📌 ROLLER RINK Ici, vous pouvez faire du roller en salle, sur un plancher lisse et glissant, sur fond de musiques disco. Venez vous dĂ©hancher, vous amuser entre ami·e·s ou tester des figures artistiques avec vos patins aux pieds. Le roller rink est un lieu agrĂ©able et divertissant, ouvert Ă  tout le monde.
📌 VIDEO STORE Au vidĂ©o store, vous pouvez louer des films pour les ramener chez vous et les regarder dans votre salon. Comme Ă  la bibliothĂšque, vous pouvez les garder un certain temps avant de devoir les ramener et gare Ă  vous si vous ĂȘtes en retard ! Ils n'ont pas tout, mais presque, et si un film vous intĂ©resse vous pouvez demander Ă  ce qu'il soit commandĂ© pour vous. Les films sont classĂ©s par genre Ă  l'intĂ©rieur du magasin et sachez que le vidĂ©o store de Mariposa commence Ă  se moderniser un peu : quelques DVD se mĂȘlent aux VHS ! Mais si ce sont ces derniĂšres que vous empruntez, n'oubliez pas de les rembobiner avant de les rendre si vous ne souhaitez pas payer de supplĂ©ment.
📌 CONSOLE ATARI, NINTENDO 64, COLECOVISION Si la salle d'arcade a du succĂšs, n'oubliez pas non plus que les jeux Ă  domicile se multiplient ! Ici, pas de connection avec des joueur·euse·s qui viennent de l'autre bout du monde, vous jouez dans votre salon, en solo ou en duo, en circuit fermĂ©. Pac-Man, Donkey Kong ou Tetris 64 n'auront plus de secret pour vous. Avec un peu de chance, vos voisin·e·s vous Ă©changerons peut-ĂȘtre leurs cartouches de jeux contre d'autres.
📌 TÉLÉPHONE FIXE Objet phare de toutes les maisons : le tĂ©lĂ©phone fixe. Celui-ci est branchĂ© Ă  une prise, parfois directement accrochĂ© au mur. Le fil reliant le combinĂ© au socle ne permet pas Ă  l'utilisateur·rice de se dĂ©placer dans la maison en discutant. Non non, vous devez rester sur place, debout ou assis·e si le fil est assez long pour cela.
📌 BOÎTE VOCALE Si vous ne rĂ©pondez pas au tĂ©lĂ©phone, votre correspondant·e arrivera sur votre rĂ©pondeur. Iel laissera sĂ»rement un message en vous demandant de lea rappeler. Écouter vos messages en rentrant chez vous aprĂšs une longue journĂ©e est un rituel quotidien. Le choix vous appartient, cependant, de recontacter ou non les personnes qui ont cherchĂ© Ă  vous joindre.
📌 TÉLÉPHONE CELLULAIRE NON INTELLIGENT Quelques personnes Ă  Mariposa se dĂ©placent peut-ĂȘtre avec un smartphone dont ils n'ont pas l'utilitĂ©, mais la plupart des gens ont un tĂ©lĂ©phone cellulaire de base. Le genre de modĂšle qu'on peut faire tomber de quatre Ă©tages et qui n'aura pas une Ă©gratignure, mais Ă  part rĂ©pondre aux appels et Ă  quelques sms, il ne peut pas faire grand-chose. Si vous ĂȘtes chanceux, vous aurez peut-ĂȘtre le jeu Snake dessus.
📌 BIPEUR Aussi appelĂ© pagette, le bipeur vous permet de recevoir un message oĂč que vous soyez. Ça ne sera pas aussi dĂ©taillĂ© qu'un sms, Ă©videmment, puisque vous n'aurez comme information que le numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone de la personne qui veut vous joindre, et un court message textuel. De plus, le bipeur ne peut que recevoir des messages. Si vous voulez en envoyer un Ă  votre tour, il vous faudra passer par le tĂ©lĂ©phone. L'intĂ©rĂȘt du bipeur est que la zone de couverture est bien plus grande que pour les sms, et dans une zone sans rĂ©seau comme Mariposa, mieux vaut un bipeur pour vous assurer que le message arrive.
📌 CABINE TÉLÉPHONIQUE Si vous oubliez votre cellulaire ou bipeur Ă  la maison, votre derniĂšre chance pour appeler quelqu'un reste la cabine tĂ©lĂ©phonique. À 25 cent l'appel, vous pouvez composer le numĂ©ro de qui vous voulez, mais attention de bien vous en souvenir. À Mariposa, au moins, on se souvient encore du numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone de ses proches, c'est peut-ĂȘtre le seul avantage.
📌 JOURNAUX PAPIERS Le monde extĂ©rieur arrive tous les jours sur le pas de la porte, livrĂ©e avec bonne humeur dans la sacoche des camelots. Ces livreur·euse·s de journaux amĂšnent les nouvelles du reste du pays, voire mĂȘme du monde, et c'est sans doute un peu plus fiable que les nouvelles de la station de radio locale ou de la tĂ©lĂ©vision grĂ©sillante. Pas de service le dimanche ou les jours fĂ©riĂ©s cependant.
📌 TÉLÉVISEUR Pas d'Ă©cran plan ou de rĂ©solution 4K, dans les maisons de Mariposa ce sont les oreilles de lapin qui dĂ©corent les salons. En effet, les tĂ©lĂ©viseurs sont gros, encombrants et il faut parfois taper un bon coup dessus lorsque l'Ă©cran ne diffuse que de la neige. On vous assure cependant que vous pourrez regarder vos films.
📌 MAGNÉTOSCOPE ENREGISTREUR Si une Ă©mission de tĂ©lĂ© vous intĂ©resse, ou que vous voulez revoir encore et encore un film qui passe, la seule solution est de passer par votre magnĂ©toscope. Sur une cassette VHS vierge, vous pouvez enregistrer un programme, que vous soyez ou non devant votre tĂ©lĂ©viseur. Eh oui, on est quand mĂȘme un peu moderne Ă  Mariposa : vous avez la possibilitĂ© de programmer votre enregistreur. Pratique si vous n'ĂȘtes pas lĂ  quand passe votre feuilleton prĂ©fĂ©rĂ©.
📌 WALKMAN OU DISCMAN L'ancĂȘtre des mp3, mp4, qui mĂȘme eux nous semblent datĂ©s aujourd'hui. Puisque les smartphones n'existent pas et que le streaming de musique n'a pas encore atteint Mariposa, le walkman est le meilleur ami de tous·tes celleux qui veulent se promener en musique. Vous y insĂ©rez votre cassette audio ou votre CD, vous branchez votre casque, et vous voilĂ  en route !
📌 APPAREIL PHOTO JETABLE Les appareils photo numĂ©riques ? TrĂšs peu pour vous !  Entendre le clic familier des appareils photo jetables est bien plus satisfaisant, et ainsi vous avez la surprise, une fois que vous amenez les photos Ă  dĂ©velopper, de savoir si elles sont rĂ©ussies ou non. Avec cette mĂ©thode, pas de seconde chance, votre clichĂ© devra ĂȘtre parfait dĂšs la premiĂšre tentative. Pour avoir vos photographies, vous pouvez vous rendre au supermarchĂ© de Mariposa, chez un photographe ou, pour les plus audacieux, transformez votre salle de bain en studio.
📌 POLAROIDS Pour celleux qui ne veulent pas attendre que leurs photos soient dĂ©veloppĂ©es, les Polaroids sont un bon compromis. Vous appuyez sur le bouton, et la photo sort quasi-instantanĂ©ment. Attendez quelques minutes que l'image apparaisse et voilĂ , admirez votre Ɠuvre ! Vous pouvez emporter votre Polaroid n'importe oĂč et semer sur votre passage plein de petites photos carrĂ©s.
📌 BONBONS À 25 ¹ Faire ses courses relĂšve de la corvĂ©e pour certaines personnes, mais les machines Ă  bonbons sont le petit rĂ©confort d'aprĂšs l'effort. Une piĂšce de 25 cents dans la fente, et votre bonbon tombe entre vos mains. Avouez-le, vous avez souvent craquĂ© quand vous Ă©tiez enfant, mais il n'y a aucune raison d'arrĂȘter.
📌 ARGENT Adieu les cartes de crĂ©dits ! À Mariposa, elles ne sont pas acceptĂ©es partout et il faut donc toujours avoir du liquide sur soi. Ne pensez mĂȘme pas Ă  payer avec votre tĂ©lĂ©phone portable ou une montre intelligente, on vous regardera avec des yeux ronds.
📌 VALEUR MONÉTAIRE Si l'inflation se fait sentir partout ailleurs, Mariposa est dans une petite bulle protĂ©gĂ©e. Ça ne veut pas dire que tout le monde roule sur l'or ou qu'il est facile de boucler ses fins de mois, mais les gens se rendent bien compte que les prix sont plus doux ici. Peut-ĂȘtre est-ce d'ailleurs une raison pour rester en ville.
📌 DISTRIBUTEUR DE CIGARETTES On en trouve encore un ou deux en ville, mais il faut bien avouer que les distributeur de cigarettes ne sont plus aussi populaires qu'ils l'Ă©taient il y a une vingtaine d'annĂ©e. Les habitant·e·s fument un peu moins et c'est tant mieux, mais pour celleux qui continuent, sachez que vous pouvez acheter vos cigarettes Ă  l'unitĂ© ou en paquet dans quelques recoins de la ville.
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cheminer-poesie-cressant · 1 year ago
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source : @cheminer-poesie-cressant​
Il fallait voir le monde par ses ouvertures invisibles, ces parfums qui nous transportent vers d'autres jardins, ces autres jardins qui closent ce qui s’achĂšve pour ouvrir des suites, ces musiques qui nous font dĂ©couvrir le dĂ©tail d'intĂ©rieurs remarquables, l'invitation au salon des grandes Ăąmes, l'aprĂšs des images familiĂšres.
© Pierre Cressant
(dimanche 23 juillet 2006)
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verver · 22 days ago
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Épisode 9
Le lendemain, Gabin se tenait devant la fenĂȘtre du salon, sa cigarette lui brĂ»lait les doigts, il restait immobile, l'air absent de toutes pensĂ©es.
Il s'assit sur le canapĂ©, puis vĂ©rifia son sac de voyage remplit de ses derniĂšres emplettes. Gabin vĂ©rifia encore une fois ses papiers d'identitĂ©. Tout Ă©tait en ordre , il Ă©tait prĂȘt Ă  partir, il n'avait plus qu'Ă  poser les charges d'explosif, bien rĂ©parties il ne resterait plus grand chose de cet appartement. Il Ă©tait content de son dernier repas , il l'avait dĂ©gustĂ© avec ferveur, il savait que c'etait sa derniĂšre tranche de foie avant de tout faire pĂ©ter.
Gabin se souvint soudainement du soir oĂč ils avaient fait l'amour sous une porte cochĂšre, c'Ă©tait Ă  l'initiative d'Amelie, il avait cĂšdĂ© volontiers Ă  ses dĂ©sirs. Ils avaient beaucoup rit en aperçevant les camĂ©ras au-dessus de leurs tĂȘtes.
En pensant Ă  cette soirĂ©e, il plaçait tranquillement ses charges explosives , il en plaça deux sur le congĂ©lateur oĂč se trouvait le corps d'Amelie.
Il se servit un verre de vodka.
- nous-y voilà ! une page de tournée ! grogna t-il
- Ă  l'avenir ! dit-il en levant un verre Ă  nouveau remplit
C'Ă©tait en novembre denier, ils avaient louĂ© une maison pour quelques jours, arrivĂ©s lĂ -bas, trempĂ©s par la pluie, Gabin se souvient que le maquillage d'Amelie coulait sur ses joues ce qui lui donnait un air sauvage. Gabin se souvient trĂšs bien qu'il s'Ă©tait demandĂ© si elle allait lui arracher ses vĂȘtements, le gifler, le fouetter, ses phantasmes tournaient en boucle Ă  cet instant lĂ .
Amelie l'avait plaqué contre un mur et dit:
- je t'aime
Sans qu'il comprenne comment il se retrouva Allongé avec son amie au-dessus de lui , elle avait jouit en criant, il s'en souvenait trÚs bien.
Ils étaient restés l'un contre l'autre, haletant, il lui avait caressé les cheveux en lui murmurant des mots doux à l'oreille.
- Tu es heureuse ? avait-il demandé
- Hum ! ouĂŻ peut-ĂȘtre
- ne me dit pas non ! ...
Amelie sourit en Ă©cartant une mĂšche de son oeil
- idiot ! rétorqua t-elle
C'est pendant ce sĂ©jour qu'il avait pris la dĂ©cision de l'empoisonner quand ils reviendraient. Il n'Ă©tait pas sĂ»r d'elle et il savait qu'il manquait de confiance en lui. Il ne voulait plus ĂȘtre quittĂ©, alors il agirait.
Je vais te montrer une de mes vidéos que j'ai apporté lui avait dit Gabin avant de l'embrasser.
Elle s'était enveloppée dans une couverture et s'était installée devant le poste.
Gabin l'avait trouvĂ© trĂšs belle, il avait prĂ©parĂ© un plateau pour eux deux. Il expliqua rapidement que c'Ă©tait l'histoire du dragon, de la femme du dragon avec une tĂȘte de vampire.
Sur l'écran, la ville apparue toute illuminée, la musique étrange annonçait le dragon arrivant de loin, il se dirigea vers la cathédrale, il dépassa un grand pilier puis traversa une esplanade pour entrer dans l'édifice. Le monument est tellement haut qu'il donne l'impression de toucher le ciel.
Un homme surgit de l'ombre , il grimpa sur le dragon puis il lui transperça le dos en lui assenant des coups d'épée.
Le dragon dans un sursaut le fit tomber.
A ce moment lĂ , Gabin pensa Ă  sa mĂšre, Ă©tant sĂ»r que le dragon c'Ă©tait elle. Petit il sentait les muscles de sa mĂšre quand elle le serrait trĂšs fort. Elle lui transmettait certainement ses dĂ©sirs, son amour. Il se rappelle qu'il Ă©touffait dans ses bras lĂ  . il aurait aimĂ© ĂȘtre Ă  la place de l'homme sortit de l'ombre mais Ă  l'Ă©poque il Ă©tait trop petit.
Un autre personnage assistait au loin Ă  la scĂšne mais on le distinguait trĂšs mal.
La vidéo avait connu un succÚs d'estime , elle était virale sur le net. Grùce à ce court métrage, Gabin eût une certaine reconnaissance.
Ils restÚrent affalés devant la télé.
- le tatouage du dragon ça vient de là ? demanda Amelie
- Oui...
Et il avait rajouté :
- ça me rapporte du fric et j'y tiens c'est sentimental
- j'ai aimé ton film dit Amelie
Gabin se souvint qu'il était parti dans ses pensées.
Il ne voulait pas ĂȘtre quittĂ©, il tenait Ă  elle comme Ă  la prunelle de ses yeux , tout mais pas cela alors quand ils reviendraient il l'endormirait pour toujours.
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contenteditor · 15 days ago
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đŸ‡©đŸ‡Ș Cet Ă©tĂ©, dĂ©couvrons l'incroyable hĂŽtel de Beauharnais, un joyau de style empire aujourd'hui rĂ©sidence de l'Ambassadeur d'Allemagne en France. Avec @allemagnediplo, nous vous ouvrons les portes de ses somptueux salons.   đŸŽ»A quelques pas du Salon des Quatre Saisons se trouve une piĂšce plus intime mais tout aussi somptueuse : le Salon de Musique. DĂ©corĂ© de peintures dans le style pompĂ©ien et d'attributs musicaux, le salon est une piĂšce d'un raffinement rare. Des couples d'oiseaux exotiques peints nous rappellent la Martinique natale de JosĂ©phine, tandis que des cygnes nous signifient, si un doute subsistait, que nous nous trouvons dans une rĂ©sidence impĂ©riale.   #hoteldebeauharnais #styleempire #paris #palace #interior #eugenedebeauharnais #ambassadedallemagne | by antoinebn
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shamanluna-radio-prog · 10 months ago
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#Aurelien favere
Auteur compositeur interprĂšte, musicien multi-instrumentiste, il termine en 2013 son 1er album intitulĂ© « D’une Autre Galaxie » qu'il signe sous le nom de Shamanluna. AprĂšs des Ă©tudes de piano classique, AurĂ©lien FavĂšre Ă©tudie Ă  L’IMFP, Ă©cole de Jazz de Salon de Provence en France et revient en Guadeloupe en 2001 pour y composer.
La musique d'Aurélien FavÚre est inclassable, son univers est bien a lui, planant, psychédélique, progressif, relaxant, poétique, libérateur, hypnotique, mystérieux et shamanique, aux couleurs lumineuses délirantes.
Fusion de différents styles: rock progressif, ambiance, new wave, electro, classique, chill out, instrumental et musique de film.
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mel-et-ses-histoires · 1 year ago
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Je me faisais la rĂ©flexion que j'avais du mal Ă  apprĂ©hender les sections "porno apprĂ©ciĂ© par les femmes" dans les sites de cul. Au sens oĂč d'un point de vue commercial je comprend l'idĂ©e et les avantages d'avoir ce type de catĂ©gorie, mais en pratique d'une part j'ai l'impression que le contenue est le mĂȘme ? (ou avec juste une musique de salon en fond ?) et d'autre part je me demande vraiment comment est construite/justifiĂ©e cette catĂ©gorie, il y a t'il suffisamment de compte payant dĂ©clarĂ© fĂ©minin qui sĂ©lectionnent ce type de contenue ou bien ces contenues sont d'entrĂ©e mis dans cette catĂ©gorie ?
D'autant que des rĂ©alisateurs et rĂ©alisatrices qui se disent "je vais crĂ©er un contenu Ă  destination d'un public fĂ©minin" ça existe mais la aussi ca pose pleins de questions : c'est quoi les attentes d'un public feminin, comment on se figue en pratique ces attentes, comment le public lui mĂȘme colle Ă  ces attentes en y Ă©tant exposĂ© ?
Bref je me posais des questions.
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leblogdemarinaetjeanmarie · 2 months ago
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SAMEDI 28 SEPTEMBRE 2024 (Billet 1 / 4)
Le week-end dernier nous Ă©tions en Haute-Vienne, plus prĂ©cisĂ©ment Ă  Fromental, un bourg de 512 Ăąmes, pour fĂȘter les 400 ans du chĂąteau qui appartenait aux parents de Marina et dont son jeune frĂšre, Bertrand (de G.), a hĂ©ritĂ© (un devoir de mĂ©moire et un choix sentimental, connaissant l'importance des charges et des contraintes que cela entraĂźnait...).
Le ComitĂ© des FĂȘtes de la Mairie a profitĂ© des JournĂ©es du Patrimoine pour organiser autour de cet anniversaire toute une sĂ©rie d’animations dans le bourg, dont, en collaboration bien sĂ»r avec Bertrand et son Ă©pouse Christine, pour la premiĂšre fois la visite du rez-de-chaussĂ©e du chĂąteau.
Dans le grand couloir, la salle Ă  manger et le salon, ont Ă©tĂ© installĂ©s des panneaux sur lesquels ont Ă©tĂ© accrochĂ©s des fiches, des blasons et des reproductions de portraits racontant (plus ou moins) l’histoire de tous les chĂątelains qui se sont succĂ©dĂ©s dans ces lieux jusqu’à aujourd’hui. Le long du parcours, quelques mannequins habillĂ©s Ă  la mode d’autrefois, positionnĂ©s ici ou lĂ , contribuaient au dĂ©paysement.
Les recherches historiques et la scĂ©nographie ont Ă©tĂ© effectuĂ©es et conçue par MichĂšle D., la PrĂ©sidente du ComitĂ© des FĂȘtes de la Mairie et le couple, avec des moyens certes limitĂ©s mais qui, semble-t-il, tout au long du WE, malgrĂ© une mĂ©tĂ©o loin d’ĂȘtre idĂ©ale, ont intĂ©ressĂ© 246 visiteurs le samedi et 225 le dimanche de 14h30 Ă  17h (selon les derniers chiffres communiquĂ©s par Manu, notre niĂšce et fille de Bertrand, qui Ă©tait chargĂ©e de les compter Ă  leur arrivĂ©e).
Quelques membres de la famille sont venus donner un coup de main, nous en faisions partie.
En dehors de ces visites, il y a eu deux troupes folkloriques qui se sont dĂ©placĂ©es entre la place de la Mairie et la cour du chĂąteau, des comĂ©diens qui ont jouĂ© des saynĂštes en patois, un trio qui a interprĂ©tĂ© des airs mĂ©diĂ©vaux dans l’église voisine (inscrite elle aussi Ă  l’inventaire des Monuments Historiques) et, trĂšs belle idĂ©e de la part de MichĂšle, une trentaine de villageois, de tous Ăąges, ont Ă©tĂ© habillĂ©s en costume d’époque et se sont baladĂ©s tout au long de ces deux journĂ©es sur les lieux oĂč se dĂ©roulaient ces diffĂ©rentes animations, parfois prĂ©cĂ©dĂ©s de deux cavaliĂšres
 Effet garanti !
Un grand moment a Ă©tĂ© la Messe dimanche matin Ă  10h30. Christine, qui a fait toute sa carriĂšre dans le monde de la musique, avait fait venir une formation de 6 musiciens. Ils ont jouĂ© durant l’Office des airs baroques et, dans l’aprĂšs-midi, donnĂ© des sĂ©ries de mini-concerts, toujours dans l’église Ă  cause du mauvais temps - autrement il Ă©tait prĂ©vu qu’ils jouent dans la cour du chĂąteau.
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Un chĂąteau au demeurant bien gardĂ© et une Dame bien protĂ©gĂ©e si l’on en juge par la tenue du preux Chevalier (voir ci-dessus) au pied de l’enceinte extĂ©rieure.
Pour conclure, ce fut pour nous un week-end intense (avec 3 nuits trĂšs fraĂźches
 dans ces grandes maisons, cela fait partie du « charme » des lieux đŸ„¶), historique mais aussi familial. Quel bonheur ces moments de partage, dont des petits dĂ©jeuners, dĂ©jeuners et dĂźners avec frĂšre, sƓur, beaux-frĂšres, belles-sƓurs, niĂšce (1), neveux (2) et petits-neveux (4)
 dans la piĂšce la plus agrĂ©able et la plus chargĂ©e de souvenirs de la maison : la cuisine et sa belle cheminĂ©e !!!
Nous Ă©tions 22 dimanche pour le dĂ©jeuner (imaginez le travail de la maĂźtresse de maison
). A la table des chĂątelains, les musiciens qui se sont produits Ă  la Messe et un descendant d’une des familles qui ont habitĂ© les lieux puis, autour d’une table derriĂšre, notre belle-sƓur, notre beau-frĂšre, une niĂšce et son mari, 2 neveux et la compagne de l’un d’entre eux, les 4 enfants mangeant dans une petite piĂšce attenante.ÂČ
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selidren · 5 months ago
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Printemps 1921 - Champs-les-Sims
2/10
Elle passe presque tout son temps avec Adelphe par la mĂȘme occasion. J'avais peur qu'elle ne le gĂȘne, mais il m'a assurĂ© qu'elle Ă©tait au contraire une Ă©lĂšve aussi sĂ©rieuse qu'indispensable. Quelque part, il est touchant de voir cet hĂ©ritage se perpĂ©tuer Ă  son travers. D'ailleurs, savez vous que cette correspondance entre les familles de nos Ă©poux dure depuis plus de cent ans ? J'ai bien du mal Ă  me le figurer.
Cléo est aux anges depuis qu'un mensuel a accepté de publier une de ses nouvelles. Elle ne m'en a pas vraiment parlé avant d'avoir reçu sa réponse, et depuis, elle a exigé que tout le monde lise son texte. Il est trÚs bon, mais aprÚs tout je suis sa mÚre, donc je n'ai pas un avis trÚs objectif. Elle est plus que jamais décidée à devenir "femme de lettres" (ce sont ses mots) et s'imagine déjà en train de fumer dans de grands salons parisiens en écoutant de la musique américaine (ce sont encore ses mots). Notre SélÚne est plus discrÚte, mais comme promis nous lui avons trouvé un professeur de tennis. Un monsieur portugais, Silvio Bragança, bien sous tous rapports, qui vient de s'installer à Séraincourt. Il vient en train trois fois pas semaines pour lui enseigner, sous le regarde vigilant de Madame Eugénie bien entendu. Il a gagné plusieurs grands tournois quand il était plus jeune et il se consacre désormais à enseigner son art.
Transcription :
Arsinoé « Alors, par quoi dois-je commencer ? »
Adelphe « Je ne sais pas vraiment, je me disais que tu pourrais observer mon travail et celui des ouvriers pour commencer. Je ne suis pas professeur aprÚs tout. »
ArsinoĂ© « D’accord. Il faudra aller visiter les vignes ? »
Adelphe « Bien sĂ»r. Je te montrerai nos variĂ©tĂ©s, il faudra apprendre Ă  les reconnaĂźtre et Ă  apprendre Ă  les tailler, tu commenceras comme vigneronne en somme. Quoi que
 je ne sais pas si ce sera encore pertinent longtemps. »
Arsinoé « Et pourquoi ? »
Adelphe « Nous avons de plus en plus de machines et les ouvriers font dĂ©jĂ  la majeure partie du travail. Je ne sais pas si toi, d’ici quelques annĂ©es, tu descendras encore aux vignes pendant la vendange. Étant donnĂ© notre modĂšle de production, tu auras bien d’autres choses Ă  faire. »
ArsinoĂ© « Mais vous ne disiez pas qu’il est important qu’un chef soit compĂ©tent pour avoir lĂ©gitimitĂ© Ă  organiser ses troupes ? »
Adelphe « J’ai dit cela moi ? Peut-ĂȘtre bien
 Je le pense, mais l’objectif est de rester dans la course et garder une longueur d’avance sur la concurrence. C’est en autre pour cela que nous ne faisons plus de foulage traditionnel. »
ArsinoĂ© « Vous voulez dire qu’il faut sans doute que je connaisse mieux les machines que l’agriculture en elle-mĂȘme. »
Adelphe « Exact. Je passe moi-mĂȘme bien plus de temps Ă  faire de la mĂ©canique et de la paperasse qu’autrefois. Peut-ĂȘtre serait-il opportun que je t’enseigne en premier lieu la comptabilitĂ© en dĂ©finitive... »
ArsinoĂ© « Je peux tout apprendre, tout ce que vous jugerez nĂ©cessaire. Et je pense que vous pourrez m’enseigner la pratique aux vendanges. »
Adelphe « Savais-tu qu’autrefois, toutes les femmes de la famille faisaient les vendanges ? »
ArsinoĂ© « Vraiment ? MĂȘme Grand-MĂšre ? »
Adelphe « Ah non. Elle s’était la seule exception. Ainsi que ma tante LucrĂšce, car elle avait une santĂ© fragile. Mais mes autres tantes s’y sont mises, ainsi que ma mĂšre, et tes propres tantes, mĂȘme si c’était occasionnel. »
ArsinoĂ© « Alors pourquoi arrĂȘter ? Vous en parlez comme d’une sorte de tradition. »
Adelphe « Ton grand-pĂšre n’aimait pas vraiment cela. Il avait sa fiertĂ©, il prĂ©fĂ©rais payer des saisonniers. Mais il ne pouvait rien refuser Ă  ta grand-mĂšre. Quand elle est tombĂ©e malade, il est devenu beaucoup plus sĂ©vĂšre et s’en Ă©tait fini. »
ArsinoĂ© « J’aurai bien aimĂ© la connaĂźtre. Comment Ă©tait-elle ? »
Adelphe « C’était une femme incroyablement douce et gentille. Elle m’a Ă©levĂ© comme son propre fils. Je pense qu’elle aurait adorĂ© te connaĂźtre, toi ainsi que tous ses petit-enfants. »
ArsinoĂ© « J’imagine. Et si nous allions tous aux vendanges cet automne ? ClĂ©o risque de rouspĂ©ter, mais si tout le monde y va, elle suivra. »
Adelphe « C’est une bonne idĂ©e. Nous pourrions faire venir tes cousines aussi, elles seraient ravies. »
ArsinoĂ© « Alexandre viendrait ? Je sais que c’est compliquĂ© entre vous. »
Adelphe « Comment tu
 peu importe. Je n’en sais rien. Il accepte de me parler mais si la proposition vient de moi je ne sais absolument pas comment il rĂ©agira. »
ArsinoĂ© « De toute façon, c’est moi qui m’occuperai d’organiser tout cela. C’est mon rĂŽle aprĂšs tout. Oh, et Oncle Adelphe ! J’ai oubliĂ© de vous dire que je me suis beaucoup entraĂźnĂ© Ă  taper Ă  la machine. Selon Maman, je suis une trĂšs bonne dactylographe. »
Adelphe « Merveilleux. Pour tout t’avouer, je n’ai jamais Ă©tĂ© douĂ© avec cette machine infernale. Mais tu es sur de vouloir tout organiser ? Absolument tout ? »
Arsinoé « Bien entendu. De toute façon vous allez me montrer comment faire. »
Adelphe « Encore une fois, quel enthousiasme ! Tu es bien consciente que tu n’as rien Ă  me prouver, n’est-ce pas ? »
ArsinoĂ© « J’ai tout Ă  vous prouver mon Oncle ! »
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