#musique inspirée
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akamotormusic-blog · 1 year ago
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(akamotoRmusic)
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art-vortex · 10 months ago
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(via Coussin avec l'œuvre « "Symphonic Sounds: Baroque Inspired Music Poster" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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doloresdamaniez · 3 months ago
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Fr: Metropolis. Peinture inspirée du style de la propagande russe, mais aussi de deux films de Metropolis, le premier de 1927 et de l'animé de 2001, avec lesquels j'ai grandi. Cela reste l'un de mes films préférés en termes de visuels et de musique. Travail réalisé à l'encre de couleur et à l'encre de Chine.
Eng: Metropolis. Painting inspired by the style of Russian propaganda, but also by two Metropolis films, the first from 1927 and the animated one from 2001, which I grew up with. It remains one of my favorite films in terms of visuals and music. Work done with colored ink and Indian ink.
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chapeau-cowboy · 2 months ago
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À quoi ressemblait la vie d’un cow-boy ?
Ah, la vie de cow-boy ! C’est un mythe qui fascine encore aujourd’hui, des films western de John Wayne aux romans inspirants de l’époque. Mais qu'en était-il vraiment ? Entre l’image romancée du cow-boy des western classiques et la réalité plus terre-à-terre, découvrons ensemble à quoi ressemblait la vie d’un cow-boy.
Une journée dans la vie d’un cow-boy
Le cow-boy typique passait ses journées dans les grands espaces du Far West, travaillant sur des ranchs pour s’occuper du bétail. La journée commençait tôt, souvent avant le lever du soleil, avec des tâches comme le rassemblement des troupeaux ou la vérification des clôtures. Travailler dans le canyon ou les prairies demandait une équitation habile et une endurance à toute épreuve.
Les chevauchées fantastiques étaient fréquentes, avec des trajets qui pouvaient durer des heures pour trouver de l’eau ou surveiller les bovins. La selle et le chapeau de cow-boy étaient des accessoires indispensables, offrant protection et style dans un environnement rude.
Les défis de la vie de cow-boy
Contrairement à l'image du cow-boy dans les films américains, la vie réelle était souvent difficile et monotone. Les cow-boys travaillaient jusqu'à 20 heures par jour, en se protégeant non seulement des prédateurs mais aussi des tempêtes et des bousculades nocturnes. Les salaires étaient modestes, oscillant entre 25 et 40 dollars par mois, malgré le dur labeur.
Les rassemblements de printemps et d'automne étaient des moments cruciaux. Les cow-boys marquaient les veaux, castraient les bêtes, et préparaient le bétail pour les longues conduites vers les villes de l'élevage de bétail. Ces chemins comme la piste Chisholm étaient souvent semés d'embûches et de risques.
La diversité des cow-boys
L'image du cow-boy blanc et solitaire est largement véhiculée dans les western modernes, mais la réalité était beaucoup plus diverse. Au Texas, par exemple, un tiers des cow-boys étaient afro-américains ou mexico-américains. La répartition raciale variait selon les régions, et chaque cow-boy apportait sa propre histoire et ses compétences à ce métier exigeant.
Les équipements et la tenue vestimentaire
La tenue d’un cow-boy était avant tout fonctionnelle. Des bottes hautes, un chapeau de cow-boy pour se protéger du soleil, et des vêtements robustes étaient essentiels. Les éperons et le lariat faisaient aussi partie de l’équipement standard. En effet, le cow-boy devait être prêt à affronter tous les éléments de la nature tout en gérant le cheptel et les bovins.
Vie sociale et culturelle
Le cow-boy vivait dans un monde où les relations sociales étaient souvent aussi rudes que le travail lui-même. Les soirées dans les saloon étaient un moment de détente, parfois accompagné de danses country et de musique. Cependant, la vie en ville n’était pas sans conflits. Les portraits des cow-boys variaient entre l’image du héros courageux et celle du voyou de la frontière.
L'héritage du cow-boy
Malgré la rudesse de la vie de cow-boy, le métier a laissé une empreinte durable dans la culture américaine. Les récits de cow-boys ont inspiré des films westerns, des bandes dessinées comme Lucky Luke, et même des festivals de country. Le cow-boy est devenu un symbole de liberté et d’indépendance, même si la réalité était parfois bien différente de la légende.
En conclusion, la vie d’un cow-boy était loin d’être une simple aventure à cheval dans les grandes plaines américaines. C’était un métier exigeant, souvent sous-estimé, mais toujours empreint d’un esprit de liberté et de courage. Que ce soit en équitation western ou en rodéo, le cow-boy continue de captiver notre imagination et de définir une partie importante de l’histoire de l’Ouest américain.
FAQ : À quoi ressemblait la vie d’un cow-boy ?
1. Qu'est-ce qu'un cow-boy exactement ?
Un cow-boy est un ouvrier agricole spécialisé dans l’élevage du bétail, principalement dans les vastes espaces du Far West américain. Contrairement aux images romantiques véhiculées par les films et les romans, les cow-boys étaient souvent des travailleurs mal payés, engagés dans des tâches épuisantes et difficiles. Le terme cow-boy est apparu au début des années 1830 au Texas et désignait à l'origine des pillards de bétail avant d'être attribué aux ouvriers agricoles après la Guerre de Sécession.
2. Quelle était la vie quotidienne d'un cow-boy ?
La vie quotidienne d'un cow-boy était centrée autour des grands rassemblements de bétail et des longues conduites vers les marchés. Les journées étaient marquées par des heures de travail intenses, souvent jusqu’à 20 heures par jour. Les cow-boys s'occupaient de tâches variées telles que marquer les veaux, castrer les animaux et gérer les troupeaux. Ils faisaient face à des défis comme les conditions climatiques extrêmes, les prédateurs et les bêtes sauvages.
3. Quels étaient les défis majeurs auxquels les cow-boys étaient confrontés ?
Les cow-boys faisaient face à de nombreux défis, notamment :
Conditions climatiques extrêmes : chaleur brûlante, froid intense et tempêtes.
Risques liés au bétail : bétail errant, bousculades nocturnes et attaques de prédateurs.
Travail difficile : tâches lourdes et salissantes avec des salaires souvent bas.
4. Les cow-boys étaient-ils tous des hommes blancs ?
Non, loin de là ! Bien que les cow-boys les plus connus dans les récits populaires soient souvent décrits comme blancs, la réalité était beaucoup plus diverse. Au Texas, par exemple, environ un tiers des cow-boys étaient afro-américains ou mexico-américains. La répartition raciale variait considérablement selon les régions.
5. Comment les cow-boys étaient-ils perçus à l'époque ?
Les perceptions des cow-boys étaient très variées. Certains les voyaient comme des aventuriers courageux et loyaux, tandis que d'autres les décrivaient comme des voyous sans foi ni loi. Les descriptions négatives venaient souvent de ceux qui les observaient en ville après une longue période sur les sentiers, tandis que ceux qui passaient du temps dans les pâturages les voyaient comme des travailleurs acharnés et courageux.
6. Quelle était la tenue vestimentaire typique d'un cow-boy ?
La tenue des cow-boys variait en fonction du climat et du terrain. Les éléments essentiels comprenaient :
Chapeau de cow-boy : large pour se protéger du soleil.
Chemise et pantalon : souvent en flanelle pour la chaleur.
Bottes à éperons : pour faciliter l'équitation et le travail avec le bétail.
Gilet et ceinture : pour porter des outils comme les cordes et les révolvers.
7. Les cow-boys utilisaient-ils des armes à feu ?
Oui, mais leur usage était souvent exagéré dans les récits populaires. Les cow-boys portaient des révolvers et des pistolets, mais la plupart d'entre eux n'étaient pas particulièrement habiles avec ces armes. Dans la réalité, les armes étaient principalement utilisées pour se défendre plutôt que pour des duels spectaculaires.
8. Comment la vie des cow-boys a-t-elle évolué avec le temps ?
Avec la clôture des pâturages et l'expansion des voies ferrées dans les années 1890, le cow-boy classique a commencé à disparaître. Le travail est devenu plus structuré et les grandes entreprises ont remplacé les petits ranchs. Cependant, l'image du cow-boy romantique perdure dans les films, les livres et les festivals western.
9. Quelle est l'héritage des cow-boys aujourd'hui ?
Aujourd'hui, l'esprit des cow-boys continue de vivre dans la culture populaire, les festivals western et les événements comme les rodéos. Les valeurs d'indépendance, de courage et de travail acharné associées aux cow-boys sont encore célébrées, et leur image reste un symbole emblématique de l'Ouest américain.
Si tu as d'autres questions sur la vie des cow-boys ou si tu souhaites explorer plus en détail cet univers fascinant, n'hésite pas à nous le faire savoir !
À voir aussi : D'où vient le nom "Cowboy" ?
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ditesdonc · 3 months ago
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Une lune bleue habite le Pays des couleurs
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L’air de rien – et avec presque rien – Adèle Ogier crée, avec sa compagnie L’Atelier du vent, des lieux et des moments profondément contemplatifs. Qu’on découvre le « Cocon », sorte de théâtre-musée mobile, léger et novateur, assurément atypique ; l’exposition « La Ménagerie graphique » qui accueille des œuvres choisies sur la thématique animalière ; le spectacle « Anima » qui émerge, comme un rêve d’oiseau, de ce monde de présences silencieuses ; ou encore l’exposition « L’Enfance de l’art », ouverte cet été à Brangues, on peut toucher la grande justesse, l’exigence et l’humilité de cette artiste aussi inspirée qu’ingénieuse. A la croisée de l’art et de l’artisanat, son chemin mêle sans hiérarchie ni a priori les métiers de la création. Peu importe les cases préexistantes et les étiquettes: sa case à elle est pleine de fenêtres et les murs, légers, laissent venir la lumière. Le vent passe, brouillant les cartes; et voilà un petit monde de merveilles.
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Quand nous venons voir ses créations, nous arrivons de notre quotidien souvent embarrassé, pressé; elle nous offre un sas, un seuil, où le temps ralentit. Une place pour l’étonnement. Elle nous plonge alors dans un univers récréé, rêvé si fort qu’il existe et vogue comme une arche de Noé sans déluge, sur fond de musique baroque et de ciel diamanté. Dans ce voyage vers le simple fait d’être présent au présent, où s’éprouvent la vitalité animale, la densité des éléments, la plénitude du regard, le mystère des questions majeures, on est ouvert à une expérience poétique au plus près de nous, là, simplement là, comme la voûte étoilée, qui brille pour toutes et tous, dans l’évidence de sa majesté. Akissi (le nom qu’Adèle prend pour signer ses tableaux) signifie en Côte d’Ivoire « fille née un lundi », jour de la Lune. Pourtant, au gré de ses croquis, de son spectacle, de ses scénographies, ce n’est pas dans un ailleurs mélancolique et lointain qu’elle souhaite nous emmener. Au contraire, Adèle-Akissi est comme la « lune bleue », plus proche et plus rayonnante : la poésie pure qui est son langage, son bain naturel, se veut terreau d’échange et de rencontre – avec les autres, avec soi –, renouant avec ce qui fait la part si précieuse de la vie : la beauté d’être.
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Pour découvrir son travail, n’hésitez pas à aller voir l’exposition en cours, avec Mélanie Bourlon (Espace Claudel-Stendhal, à Brangues) et, bien sûr, à consulter son site, qui répertorie tous les projets et travaux de sa compagnie, l’Atelier du vent
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ernestinee · 1 year ago
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J'ai reçu les scans de mes négatifs de Paris, Bruxelles et Amsterdam.
Alors Paris, j'en n'ai que deux qui me plaisent mais j'étais clairement pas inspirée, entre cette ville qui n'est pas faite pour moi, la météo maussade en février dernier et l'ado et son père qui ont passé la journée à s'engueuler, j'avais fait la plupart des photos avec mon tel, en particulier des tags, stickers, et aussi les peintures du musée d'Orsay. Il faut dire aussi que je ne connaissais pas encore le rendu du film que j'avais choisi (lomography color negative 35 mm en 400).
Bref j'avais bien aimé une vue sur un pont, et heu j'imagine que c'est le jardin des Tuileries, la deuxième photo.
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Il y a aussi eu deux sorties à Bruxelles avec ce même film, l'une lors du festival de cirque qui avait été annulé à cause de la pluie qui était tombée pile au mauvais moment, mais la pluie va si bien à Bruxelles que ça ne m'avait pas ennuyée. Ça n'avait ennuyé personne en fait, il ne faisait pas froid et les gens mangeaient en terrasse sous les parasols, c'était juste parfait comme ambiance. J'avais fait peu de photos, je m'étais concentrée sur des storys en cherchant à chaque fois une musique qui parle de pluie.
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Et l'autre sortie à Bruxelles était en juillet pour la fête nationale, il avait plu un peu le matin pour qu'on puisse parler de drache nationale, puis le soleil était revenu tranquillou et ça fait de beaux constrastes. La troisième photo, c'est un méga moules-frites.
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Puis sur ce film il y avait aussi une petite sortie au bois, toujours sous la pluie parce que c'est le seul moment où cet endroit a vraiment le calme et les couleurs qui me plaisent et le film donne un chouette rendu un peu forêt magique.
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D'ailleurs c'était un peu magique, cette fois-là.
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alain-keler · 8 months ago
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Paris, dimanche 3 mars 2024.
Carnaval des femmes, la fête des blanchisseuses de la mi-carême. Circuit en boucle, départ du Chatelet, le Marais. De la musique, de la dance, des boliviennes, musique d'Amérique latine. De la couleur (même si mes photos sont en noir & blanc) dans la grisaille de Paris, sous une pluie fine.
 "Le Carnaval des Femmes est inspiré par la Fête des Blanchisseuses, qui se célèbre à la mi-Carême, soit vingt et un jours après Mardi Gras. La Mi-Carême est une grande fête féminine et populaire, qui remonte au moins au XVIIIe siècle. À Paris, la corporation des blanchisseuses, féminine, populaire et laborieuse, travaillait dans les dizaines de lavoirs et bateaux-lavoirs. Elle était composée de personnes de condition très modeste, énergiques, faisant un travail physique et aimant s’amuser.
À la Mi-Carême, les blanchisseuses élisaient une reine et lui donnaient un écuyer. La reine soutenue par son écuyer se rendait dans le bateau (le bateau-lavoir), où des ménétriers (Ménestrel) l’attendaient. Elle ouvrait le bal. La danse durait jusqu’à cinq heures du soir ; la reine montait alors avec son écuyer dans un carrosse, et toute la bande suivait à pied, jusqu’à une guinguette pour s’y réjouir toute la nuit." 
Source https://www.evous.fr/Le-Careme,1181492.html
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papillondusublime · 1 day ago
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Mon cerveau: "Meuf, tu devrais t'organiser et t'occuper de tes responsabilités." Mon coeur: "Euh... Je crois que je vais plutôt passer des heures à écouter de la musique baroque parce que je viens juste de découvrir que Scarlatti, Bach et Handel sont nés la même année. D'ailleurs, j'ai une nouvelle obsession: Luce, la mascotte du Vatican inspirée par les dessins animés japonais! Tiens, et si on faisait un meme là-dessus? Et après, je vais lire de la science-fiction polonaise parce que je n'ai rien de mieux à faire que de procrastiner mdr"
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lilias42 · 17 days ago
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🏆- important/sentimental possessions
Pour Simplex, le Blaiddyd original!
Coucou ! Merci beaucoup pour la question sur Simplex ! :D Je suis contente qu'il te plaise !
Alors, il y a pas mal d'objets auxquels il tient et qui ont une grande importance symbolique pour lui, et son design est aussi très liés à celui de ses descendants.
Le premier auquel il penserait est son collier de tessère d'hospitalité en forme de main qu'il partage avec Laeta et Pertinax : deux d'entre elles sont celle qu'il partage avec eux pour qu'ils puissent venir chez lui, la troisième est celle qui lui permet d'aller sur le territoire de Pertinax, et la dernière permet la même chose sur celle de Laeta. Ce sont des éléments propres à sa culture mais, ses deux amis conservi ont imité cette tradition (même si la forme de la main est typique de chez eux et le mot écrit dessus est dans leur alphabet) pour lui dire qu'il peut mettre les pieds chez eux sans risque, tout en faisant de même entre eux (et à demi-mots qu'ils sont le bienvenu chez les uns et les autres, même s'ils le font toujours à mi-mots étant donné qu'ils restent de peuples différents qui risquent de redevenir ennemis et de s'affronter à nouveau).
Il y a également ses vêtements qui symbolisent son ouverture aux autres peuples, ainsi que faire le lien avec Dimitri. Si on se fie à Strabon, les hommes du sud de l'Espagne actuelle s'habillait tout en noir pour leur tunique longue et leur saie / sayon en utilisant surement la laine noire de leurs moutons, c'est les femmes qui portaient des habits plus colorés mais, si la tunique de Simplex est noir, son sayon est bleu profond / bleu roi, avec des franges au bout (comme on les fait chez Laeta) des motifs typiques du peuple de Pertinax (étant donné qu'il est inspiré des pictes, ce serait dans le style des pierres pictes et ce genre de motifs), afin de rappeler ses conservi (note : penser à le dessiner avec son sayon déplié un jour...).
De plus, avec cette palette de couleur et ses cheveux blonds, cela permet de marquer son lien de parenté avec Dimitri étant donné qu'il se ressemble beaucoup à part leur couleur de peau, Simplex étant noir comme un duscurien étant donné que les Fhirdiad sont originaires de Duscur (car dans les dents les racistes du jeu et pour montrer les liens entre les différents pays actuels). De mémoire, quand j'avais écrit le moment où Simplex perd son oeil gauche, c'était aussi pour faire un lien avec Dimitri qui est borgne, ainsi que pour renforcer le lien entre sa famille et celle des Fraldarius vu que Pertinax lui a donné le sien pour le remplacer, officiellement pour ne pas risquer que Simplex soit moins écouter à cause de son infirmité, en son fort intérieur par amour pour lui (même si Simplex et Laeta ont bien compris, même s'ils ne le disent pas pour ne pas rendre ça trop réel). J'avais choisi celui de gauche car, c'est celui que Dimitri a encore, là où son oeil arraché symbolise la pire période de sa vie et qu'il se perd dans sa vengeance, même s'il finit par retrouver ses esprits et le bon chemin grâce à ses amis et ses proches, comme Simplex, Pertinax et Laeta ont toujours été là les uns pour les autres.
Enfin, l'objet le plus important et symbolique pour lui est la première flute qu'il a fabriqué, en perçant un os creux trouvé pendant qu'il gardait les poule, (raison pour laquelle il a une flute, c'est un instrument relativement facile à fabriquer avec les moyens du bord), et qu'il a toujours gardé. Il a même été enterré avec sa flute tellement elle était importante pour lui. Elle n'est pas très bien faite, elle fait un bruit un peu bizarre et pas forcément agréable mais, c'est sa toute première possession, la première chose qui est vraiment à lui alors que même sa propre vie ne lui appartient pas, et ce qui lui a donné plus de force pour tenir malgré les mauvais traitements qu'il subit, puis c'est devenu un lien avec ses meilleurs amis conservi au monde étant donné qu'ils sont tous les trois passionnés de musique. Je pense que s'il arrivait à l'époque du jeu avec eux, la première chose qu'ils feraient après avoir retrouvé leur famille respective, ce serait de s'intéresser à la musique actuelle, surtout que découvrir le présent et leur famille actuelle les inspireraient surement beaucoup.
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au-jardin-de-mon-coeur · 9 months ago
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Une tasse de café sur un fond musical, voilà deux ingrédients pour démarrer sa journée en toute sérénité. On se laisse rapidement emporter par le vent jusqu'au plus haut des cieux...!
Cette reprise très inspirée est une véritable pépite, c'est du grand art !
Une musique parfaitement ciselée, flûte planante mais qui en même temps dit quelque chose de cohérent en réponse à la chanson. Le style jazzy renforce ce côté léger qu'emporte le vent.
Je sens le vent dans mes cheveux emporter avec lui, les tracas de la vie...
#au-jardin-de-mon-coeur
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maneki-art · 1 month ago
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Swing Macabre jour 3
(english under French and picture)
Jour 3:
Swing Macabre, à l’origine, devait être un film d’étudiant en 3D (si j’avais réussi à passer l’étape zéro : Oser présenter le scénar aux professeurs de Supinfocom. Je me suis dégonflée, j’avoue).
Et devant la grande folie qu’allait être une foule entière de squelettes, j’ai très vite décidé une chose : Ils auront tous la même tête /corps. Ce serait déjà ça de moins à modéliser.
La différence entre eux se serait faite par les accessoires (les habits de François, les linceuls de la Dame Blanche et des Deuillants, les instruments de musiques ou outils des autres squelettes, etc) mais aussi et surtout par leur façon de bouger.
J’ai déjà mentionné que les squelettes de Swing Macabre sont lourdement inspirés des Transis, les gisants médiévaux représentés fortement décatis, plus ou moins rendus à l’état de squelettes avec quelques tendons et un peu de peau (et parfois des boyaux qui pendouillent, mais je me suis dit que ce serait peut-être un peu too much sur ce coup). Bien entendu, les Danse Macabre, fresque ou gravure du Moyen Age et de la Renaissance sont aussi une source d’inspiration.
Pour finir, après pas mal de recherches et de croquis avec des planches anatomiques, j’ai aussi décidé que pour ma santé mentale, les squelettes seront grandement SIMPLIFIES.
(Suite demain !)
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Day  3:
Swing Macabre, originally, was supposed to be a student short in 3D (if I had managed step 0: submitting the script to Supinfocom’s teacher. I admit it: I chickened out)
And, realizing the insanity that was going to be an entire mob of skeletons, I quickly decided one thing: they all will be identical, bodies and faces. I will only need to sculpt it once.
The differences would have been in their accessories (François’s clothes, the White Lady and the Mourners’ shrouds, musical instruments or tools for the other skeletons, etc), but also, body languages.
I already mentioned that Swing Macabre’s skeletons are heavily inspired by the Transis, medieval recumbent effigies depicted quite decayed, more or less rendered as skeletons with a few sinews and a bit of skin (and sometimes guts still hanging out but I thought it would be a bit too much).
Of course, the Dance Macabre, as fresco or engraving from the Middle Age or Renaissance are also an inspiration.
But, in the end, after a lot of research and sketches based on anatomical art, I also decided, for my mental health, that the skeletons will be very SIMPLIFIED.
(Come back tomorrow)
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art-vortex · 1 year ago
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(via T-shirt classique « "Electronic Vibes: A Melodic Background" » par Art-Vortex-fr)
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jpbjazz · 4 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
CHICO FREEMAN, L’EXPLORATEUR
"My goal is to explore new worlds, and I don't want to be limited by categories. I don't want to be told that I can't go into other categories. The only limitations I place on myself are the limitations I place on my own imagination. And within that realm, there are none."
- Chico Freeman
Né le 17 juillet 1949 à Chicago, dans les Illinois, Earl Lavon ‘’Chico’’ Freeman Jr. est issu d’une famille de musiciens. Fils du légendaire saxophoniste ténor Von Freeman, Freeman est aussi le neveu du guitariste George Freeman et du batteur Bruz Freeman. Chico avait d’abord commencé par prendre des cours de piano lorsque son frère Everett avait découvert une série d’instruments au sous-sol de la maison familiale, dont une trompette. Freeman expliquait: ‘’One time, my brother and I went searching in the basement through my dad’s old Navy stuff that he’d packed away. We found a trumpet and a saxophone. My brother took the saxophone and I took the trumpet. When my dad told the story he would say the sounds we made were “bleep” and “blat” because we were trying to play something. Anyway, he came down and saw the mess we made. Because of that, I ended up joining the school band on trumpet. At the same time I was singing in groups, trying to sound like the Drifters and Motown, things like that. The Temptations were my all-time favorite group, so I kept joining singing groups all through grammar and high school.’’
Décrivant ses débuts dans la musique, Freeman avait poursuivi:
‘’When I was young we had lots of kids on my block. We had one family with fifteen kids, which was great because you hardly had to leave the block to play. During summer, my dad would have rehearsals. He had the piano in the living room, so when on the front porch you could sit and actually look inside the house through the window and see the piano. I remember seeing people like Leroy Vinnegar, Malachi Favors and Andrew Hill. Other Chicago musicians would come and play with the Freeman Brothers band. The band included my uncle George on guitar and my uncle Bruz on drums. They’d set up in the living room and have a rehearsal. We’d have all the windows open because we didn’t have air conditioning and they would start playing. Within minutes, the front porch was filled with kids; we’d have a big party outside with all my friends. The funny thing is, Richard Davis, the bass player, lived across the street from us, and down the street was Frank Leslie, whose auntie was Abbey Lincoln from Chicago. There was always somebody famous hanging around the house. I was just used to musicians coming over. It was really fun. They were just people that I knew as a kid, with my brother and two sisters at the time. That’s what my dad did. My mom took me to the Regal Theater when I was five––it was kind of like the Apollo of Chicago. She took me to see my dad play with Miles Davis, and that was the band with Coltrane, “Cannonball” and Paul Chambers. I remember him standing next to Miles and Coltrane, playing. I’ll never forget that; I can see it clear as day. Ironically, John Coltrane died on my birthday, so there’s kind of a connection there that’s really unique.’’
Inspiré par l’oeuvre de Miles Davis, et plus particulièrement par l’album Kind of Blue (1959), Freeman avait commencé à apprendre la trompette. Freeman explique comment il avait découvert Davis:
‘’Then I got excited when I discovered Miles’ Kind of Blue album. I thought it was great and remember taking the record to the classical trumpet player. I thought he’d be thrilled about it, but he was a harsh critic of Miles and said, “Oh, he doesn’t play in tune; he’s cracking a lot of notes.” You know, for him, Miles wasn’t “great”—I was crushed. [laughs] I did like this guy, but I couldn’t get Miles out of my head as far as the trumpet. His sound and his choice of notes just got to me. It was going to be very hard for me to be original, because there were no other trumpet players I found on a high enough level for me. So, instead, for two weeks I practiced tenor sax. That was it for me––I realized I should’ve been playing the saxophone years earlier.’’
Son père achetant très peu de disques car il ne désirait pas que son fils soit trop influencé et puisse développer son propre style, Freeman avait poursuivi son apprentissage avec un de ses amis. Il poursuivait:
‘’Then I went to one of my friend’s, Soji Adebayo (Anthony Porter’s) house––his father had an incredible wall-to-wall jazz collection in his living room. The funny thing was, this introduced me to the music of Charles Mingus, Eric Dolphy and guys like that. Later on I was introduced to Coltrane’s music, even though I already knew of Coltrane when I saw my dad playing with him. But it was Soji and his father who really pulled me to the records, because my dad didn’t have a lot of records––he was practicing all of the time and not really listening to music. When you’re growing up listening and learning to play and really getting into it, you do a lot of listening. But once you start playing and the artist in you kicks in, you do less listening because you’re trying to be original and don’t want to be too overly influenced. I think that’s where my dad was at that point. I’m sure he kept up with what things people were doing, but he was about being an original, so he didn’t buy a lot of records. I didn’t grow up in my house listening to them. The audience has the time to sit back and listen to those kinds of recordings. Artists have to shape their craft and forge their voice.’’
On ignore souvent qu’avant d’adopter le saxophone, Freeman avait d’abord voulu être chanteur. Il précisait: ‘’Having all this music around me did create a desire to be in the industry, but at first I wanted to do it as a singer. In grammar school, I was always in the talent shows and school plays and concerts, and I sang in the choir. I started taking piano lessons when I was five.’’ Très bon à l’école, Freeman avait décroché une bourse pour aller étudier les mathématiques à l’Université Northwestern en 1967. Décrivant son séjour à Northwestern, Freeman avait précisé:
‘’I received a scholarship to Northwestern in mathematics because I was good at math. That’s how I got into Northwestern. My life took a big change when I got there. I joined the marching band. They wanted you to have some kind of athletic endeavor and, surprisingly, the marching band was considered athletic, so I joined. The other interesting thing was I played basketball. In the marching band I played trumpet, and because it was a Big Ten school and I got to do a lot of traveling. We’d march during halftime at football games, so that was fun! Then I decided I was going to go into computer programing as well. They gave you two directions you could go in mathematics: the more practical direction as an engineer or a similar career, or a more theoretical route. I got excited over the theoretical things because that was stuff that ultimately shaped the future of space travel and other things. Mathematics is far ahead of science. Science discovers areas that will become future uses for mathematics, but science is still behind math. I was actually recruited by the space program. They wanted me to come down and join them at Cape Canaveral and work when I graduated. Because I was in programing, IBM tried to recruit me as well, and another company at that time, Data Control. Three companies were romancing me.’’
En plus d’avoir joué de la trompette dans le groupe de jazz de l’université, Freeman s’était joint aux jam sessions de son père au club Betty Lou's de Chicago. Freeman avait commencé à s’intéresser au saxophone ténor durant son année junior à l’université. Passionné par son nouvel instrument, Freeman avait commencé à pratiquer de huit à dix heures par jour jusqu’à ce qu’il soit suffisamment sûr de ses capacités pour occuper une place dans la section des saxophones. Après avoir assuré son poste avec le groupe, Freeman avait abandonné ses études en mathématiques et s’était inscrit au programme de musique. Freeman avait obtenu un diplôme en musique 1972, avec une spécialisation en saxophone, en trompette et en piano. Freeman explique comment il avait décidé d’abandonner les mathématiques en faveur de la musique:
‘’The music bug bit me. And with Fred’s encouragement, I decided to go into the music school. I joined the band on trumpet—a concert band, not the marching band. I wanted to transfer into the School of Music at Northwestern, but I did keep a minor in mathematics. In music education, you had to learn something about each instrument so you could teach it. I was in the woodwind class. I picked the alto saxophone because it was available. One-quarter of the class was playing the alto just to learn about it, and I really liked it. I had to give the horn back at the end of the class, and when I was putting it back in the closet I saw a tenor saxophone in there. It was spring break, so I asked the teacher if I could take the tenor home for the next two weeks and play it. Everyone else in the class was going to Florida, but I decided to stay in Evanston and practice ten to twelve hours every day. The tenor sax just seemed like it was my voice.’’
Déterminer à faire carrière comme saxophoniste, Freeman était allé voir le directeur du groupe de l’université et lui avait demandé la permission de laisser tomber la trompette pour le saxophone. Freeman poursuivait:
‘’After the two weeks I went to the concert band director and said, “I’d like to join the concert band.” His name was Tex Suthers—he was from Texas or something—and looked at me like I was crazy. He said, “You’re already in the band.” I said, “Yeah, but I want to join the band on saxophone.” He looked at me again and said, “How long have you been playing saxophone?” I said, “Two weeks.” He got really angry! He said, “Are you crazy? This is Northwestern University—these people have been playing for years and you think you can come here in two weeks…?!”  And blah, blah, blah. Oh, he just really went off on me. I wasn’t sure if he was angry or maybe he had a little racism in him, but he wasn’t happy. I told him, “You’re right, but the truth is you have to give me an audition. You can say no, but you can’t deny me the audition.”  He agreed and I auditioned. And, to his surprise, I passed the audition. He was shocked, and I joined the band on tenor saxophone. Of course, now I’m in the school and my instrument is saxophone, so I have to join a saxophone quartet. I studied with a teacher named Fred Hemke—great guy. Rico even named a reed after him: the Hemke Reed for soprano. So I began playing classical music on tenor and then one day I went down to see my dad.’’ (à l’époque, Von ne savait pas encore que son fils avait abandonné la trompette pour le saxophone).
C’est durant ses études à Northwestern que Freeman était entré en contact avec l’Association for the Advancement of Creative Musicians (AACM) pour la première fois. Freeman expliquait:
‘’After I graduated, Fred told Adegoke and me about Muhal, so we went down to join the AACM. I started attending the AACM School of Music and studying composition and music with Muhal. I became a part of his big band and met George Lewis, Anthony Braxton, Amina Claudine Meyers, Gerald Donovan, Donald Myrick, Louis Satterfield and Michael Harris, who ultimately became the horn section for Earth, Wind & Fire. I got involved playing blues, fusion with Kestutis Stanciauskas, who led the band Street Dancer. I was playing everything I could. I met Buddy Guy and played with Jesus Wayne, and we opened for Earth, Wind & and Fire. I was having a great time. I was also finishing up my degree at Northwestern in music education and had to choose where to do my student teaching. Willie Pickens was teaching at Phillips High School, so I went down there and became his student. I watched my dad play with Willie and his friends, Jodie Christian and John Young.’’
Dans une autre entrevue, Freeman avait précisé:
‘’It’s interesting, because that’s the time I met Fred Anderson. Adegoke Steve Colson, Neil Tesser and I were in school together at Northwestern. Adegoke and I met Fred, and he sort of took us under his wing there in Evanston. He started a chapter of the AACM up there, and that’s how I met Billy Brimfield, Hamid Drake and Gene Anderson, Fred’s son. We used to hang at Fred’s and he’d play Charlie Parker records. Sometimes we would spend the night and sleep on the floor after listening to music, playing and practicing on the weekends or whenever. The three of us started a band, Life and Death Situation, and we had a drummer named Anthony (Tony) Boykins. Adegoke was on piano and I was playing trumpet, but I also began playing saxophone at that time. I was starting to take trips to the South Side to hang with my dad at the jam sessions. I’d just go down there and listen to Clifford Jordan, Sonny Rollins and John Stubblefield. They would come into the Jazz Showcase, and if they had time they’d hang out with my dad at the jam sessions. I met a lot of people down there and would hang out at the sessions with Jesse Taylor and Jordan, you know, Chicago guys who were in town. That’s when I started really getting into it.’’
Parallèlement à ses études, Freeman avait également joué avec des groupes de blues, de R & B et de pop. Il avait également étudié la composition avec le pianiste d’avant-garde Muhal Richard Abrams. C’est en travaillant avec Abrams que Freeman avait décidé de former ses propres groupes. Freeman ecpliquait:
‘’Muhal encouraged it. I studied composition with Muhal; I also took Composition at Northwestern. I had Music Theory with this guy Carlin–– Neil Tesser was in that class. I always had an interest in writing my own music, even when I was studying piano. I made some attempts––I wrote one song for this girl I had a crush on. I was a romantic! [laughs]. Muhal had a strong influence on me. I studied with him at AACM and I’d also go to his house where he had a piano in the basement. That’s when he introduced me to the music of historical people like James P. Johnson and others. I didn’t know anything about those guys. They were very influential to Muhal, so it was amazing for me to hear them. He did a lot of what Fred did for me—taking me back to Charlie Parker. But Muhal took me back and showed me compositions and how they wrote them. He had his own system of writing, which I adopted. I had music that I wanted to play so I would start my own band. The best way to get your music played was to create your own group and circumstances. It’s always been my way, even when I got to New York.’’
Après avoir décroché son diplôme à Northwestern, Freeman était devenu professeur à l’école de l’AACM. Le rôle de l’école était d’aider les jeunes musiciens à présenter et à faire la promotion de leur propre musique en empruntant des moyens non traditionnels. Tout en enseignant au niveau élémentaire et intermédiaire, Freeman avait poursuivi ses propres études à la Governor's State University où il avait obtenu une maîtrise en composition et en théorie musicale. Freeman se produisait avec le Governor's State Jazz Band dans le cadre de l’Intercollegiate Jazz Festival à South Bend, en Indiana, lorsqu’il avait remporté les prix de meilleur soliste et de meilleur saxophoniste. Sa victoire lui avait également donné la chance de faire une tournée au Brésil avec le groupe gagnant du festival en 1976.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Même s’il avait été exposé au jazz dès son plus jeune âge, Freeman avait amorcé sa carrière dans les clubs de Chicago en accompagnant des artistes de blues comme Memphis Slim et Lucky Carmichael. Freeman avait fait ses débuts sur disque en avril 1975 sur Rising, le second album du groupe Streetdancer, dirigé par le bassiste Kestutis Stanciauskas.
En septembre 1976, Freeman avait publié un premier album comme leader intitulé Morning Prayer. L’album avait été enregistré avec un septet comprenant Freeman au saxophone ténor et soprano, à la flûte et à la flûte de pan, Henry Threadgill au saxophone alto et baryton et à la flûte, Douglas Ewart à la flûte, Muhal Richard Abrams au piano, Cecil McBee à la contrebasse, Steve McCall à la batterie et Ben Montgomery aux percussions. L’album comprenait trois compositions de Freeman: ‘’Morning Prayer’’, ’’Pepe's Samba’’ et ‘’Like The Kind Of Peace It Is.’’
Freeman s’était installé à New York en 1977. Il précisait:
‘’I had a little bit of preparation. After I graduated school I went to a concert/club in Evanston, Illinois where Charles Mingus was playing. I remember seeing Charles and he had Don Pullen in his band, Danny Richmond on drums, Jack Walrath on trumpet and George Adams on saxophone. Mingus was one of the first people my friend had introduced me to so I went there and just wanted to play with Mingus. I went up to Charles and said, “Mr. Mingus, could I please sit in with you?” He said, “Yes, it’s okay with me, but you have to ask George.” I thought, You know. He’s respectful, I was impressed. I went up to George Adams and said, “Mr. Adams, sir. Could I please sit in with you? Mr. Mingus said it’s okay if it’s alright with you.” George said, “Yeah, sure, come on.” I get in there and I’m hoping that Mingus is going to play the blues or something. He pulls out one of his compositions, which seems like it spans five music stands. [laughs] Afterwards, I was happy and thanked George and went to talk to Mingus. He was sitting in his chair and I said, “Thank you, Mr. Mingus. I really appreciate it,” I started to walk away and he said, “Hey. You should come to New York. We play Boomers every Saturday. When you get there, look me up.” That gave me a little bit of courage for the future.’’
Décrivant ses débuts à New York, Freeman avait commenté:
‘’I had great success in New York. I played with Sun Ra, then joined Elvin Jones and recorded with him. I also played with Jack DeJohnette’s Special Edition for five years. I played with McCoy Tyner as well for 5 years. Elvin gave me my first record. I then met Bob Cummings with India Navigation, and then hooked up with Don Pullen again and became part of Don Pullen’s band, Warriors. I later started the band The Leaders, and Don Pullen was the first piano player of that band, along with Don Cherry on trumpet, Arthur Blythe on alto saxophone, Cecil McBee on bass and Famadou Don Moye on drums. I got a chance to work with all my heroes, of the John Coltrane Quartet including Reggie Workman. The only person I didn’t get to work with was Jimmy Garrison because he had already passed away.’’
Freeman avait été très influencé par Jones ainsi que par le pianiste McCoy Tyner. Il précisait:
‘’Elvin was a great influence, and to this day he’s my favorite all-time drummer. The way he plays behind the beat is so relaxed. He never rehearsed, so it was a completely different thing. In Chicago, the guys were always rehearsing. When I got to Elvin I was thinking, Man, we should be rehearsing. I even tried to influence Elvin and asked him when we were going to have rehearsal. He just looked at me and I thought I was going to get fired. [rires] Elvin taught me a lot and shocked me and changed my viewpoint about things, and so did McCoy.’’
À New York, Freeman s’était produit avec de grands noms du jazz comme Elvin Jones, Sun Ra, Jack DeJohnette, le big band de Sam Rivers, Mickey Bass, John Stubblefield, Cecil McBee et Don Pullen. Il avait également dirigé ses propres groupes, ce qui l’avait aidé à développer son propre style.
L’année 1977 avait une année très productive pour Freeman et avait donné lieu à la publication de quatre albums. Il avait d’abord enregistré Chico, un album plutôt ambitieux qui comprenait essentiellement une suite en trois mouvements de vingt-quatre minutes intitulée ‘’Moments’’, un duo avec le contrebassiste Cecil McBee et une improvisation de seize minutes intitulée Merger qui mettait en vedette McBeee, Abrams, McCall et le percussionniste Tito Sampa. En juin de la même année, Freeman avait publié l’album No Time Left avec un quartet qui comprenait Jay Hoggard au vibraphone, Rick Rozie à la basse et Don Moye à la batterie. On retrouvait sur l’album deux autres compositions de longue durée: No Time Left et Uhmla. Le même mois, Freeman avait publié Beyond the Rain, avec un quintet qui incluait Hilton Ruiz au piabo et Elvin Jones à la batterie. Enfin, en septembre 1977, Freeman avait publié ce qui était sans doute un de ses meilleurs albums, Kings of Mali, avec un quintet qui comprenait Hoggard au vibraphone, Anthony Davis au piano, McBee à la contrebasse et Moye à la batterie. Fidèle à son habitude, l’album comprenait quatre longues compositions de Freeman. Poursuivant sur sa lancée, Freeman avait publié l’album The Outside Within en 1978, qui comprenait une longue composition de dix-neuf minutes de McBee intitulée ‘’The Undercurrent.’’ L’album avait été enregistré avec un quartet formé de John Hicks au piano, de McBee à la contrebasse et de Jack De Johnette à la batterie. L’album avait remporté le prix de l’album de l’année décervé par le magazine Stereo Review. Freeman avait enchaîné en octobre de la même année avec Spirit Sensitive, un album de ballades qui avait été enregistré avec un quartet composé de Hicks, McBee et Moye.
L’interaction entre la couleur et la mélodie était le thème de l’album Peaceful Heart Gentle Spirit. Publié en mars 1980, l’album avait été enregistré avec un octet comprenant James Newton à la flûte, Kenny Kirkland au piano, Jay Hoggard au vibraphone, au violoncelle et à la contrebasse. On retrouvait sur l’album d’anciennes compositions de Freeman en plus de ses nouvelles créations Peaceful Heart Gentle Spirit et Nina's Song Dance.
Adoptant une approche néo-traditionnaliste, Freeman avait publié en juin 1980 l’album The Search avec un groupe composé du pianiste Kenny Barron, de McBee à la contrebasse, de Hoggard au vibaphone, de Billy Hart à la batterie, de Nana Vasconcelos aux percussions et de Val Eley au chant. Publié en octobre 1981, l’album Destiny's Dance mettait en vedette le trompettiste Wynton Marsalis et le vibraphoniste Bobby Hutcherson. L’album avait été suivi par Tradition in Transition (septembre 1982), Tangents (en janvier 1984 avec le chanteur Bobby McFerrin, les saxophonistes John Purcell et Steve Coleman) et The Pied Piper (en septembre 1984 avec de nouveau Purcell au saxophone et Elvin Jones à la batterie). En octobre 1987, Freeman avait également publié Lord Riff And Me, un album en quintet mettant en vedette George Cables au piano, McBee à la contrebasse et Billy Hart à la batterie.
Freeman, qui est aussi professeur, avait fait des lectures pour Jazz in the Classroom  de 1980 à 1989. Freeman a aussi donné des cours d’improvisation dans le cadre du programme de jazz et de musique contemporaine de la New School University de New York en 1999.
Il a également siégé sur des comités du National Endowment for the Arts de 1979 à 1982. En juin 1982, Freeman avait également participé à un concert au Lincoln Center avec les The Young Lions, un groupe qui comprenait plusieurs artistes émergents des années 1980 comme Wynton Marsalis, Paquito D'Rivera, Kevin Eubanks, Bobby McFerrin et Anthony Davis. Le groupe avait éventuellement enregistré un album qui comprenait une composition de quatorze minutes de Freeman intitulée "Whatever Happened to the Dream Deferred.’’
En 1989, Freeman avait formé un groupe tout-étoile appelé The Leaders. Le sextet comprenait des musiciens sommités du jazz comme Kirk Lightsey au piano, Lester Bowie à la trompette, Arthur Blythe au saxophone alto, l’incontournable Cecil McBee à la contrebasse et Famadou Don Moye à la batterie et aux percussions. Dans le cadre du concert, Freeman avait joué du saxophone ténor, du saxophone soprano et de la clarinette. Freeman avait enregistré cinq albums avec le groupe: Mudfoot (juin 1986), Out Here Like This (février 1987), Unforeseen Blessings (décembre 1988), Slipping and Sliding (1994) et Spirits Alike (2007).
Toujours en 1989, Freeman avait formé un groupe de jazz-fusion appelé Brainstorm. Symbiose de pop-jazz, de musique du monde et de hip hop, le groupe, qui était composé de Delmar Brown aux claviers et au chant,  de Chris Walker à la basse, de Norman Hedman aux percussions et d’Archie Walker à la batterie, avait enregistré trois albums: The Mystical Dreamer (mai 1989), Sweet Explosion (avril 1990) et Threshold (1993). 
ÉVOLUTION RÉCENTE
Au début des années 1990, Freeman avait participé à plusieurs publicités télévisées, notamment pour les entreprises Burger King et Polaroid.
Dans le cadre du 150e anniversaire de l’invention du saxophone par Adolphe Sax en 1991, Freeman avait également fait partie du groupe Roots, qui regroupait d’autres saxophonistes émérites comme Nathan Davis, Benny Golson, Sam Rivers, Arthur Blythe. La section rythmique était composée de Don Pullen au piano, de Buster Williams à la contrebasse et de Winard Harper à la batterie. Le groupe avait enregistré quatre albums: Salutes the Saxophone, un hommage à John Coltrane, Dexter Gordon, Sonny Rollins et Lester Young (octobre 1991), Stablemates (décembre 1992), Say Something (1995) et For Diz & Bird (2000). Le meilleur album de Freeman dans les années 1990 était probablement Focus (mai 1994), qui avait été enregistré avec un quintet composé de George Cables au piano et d’Arthur Blythe au saxophone alto.
En 1998, Freeman avait également entrepris une carrière de producteur en collaborant à la publication de l’album NightSong d’Arthur Blythe. Il avait aussi travaillé sur des pièces de théâtre avec le dramaturge Ntozake Shange et le danseur de claquettes Savion Glover.
Au début des années 2000, Freeman s’était installé en Europe et avait commencé à expérimenter avec différents musiciens et avec différentes cultures. Comme Freeman l’avait expliqué lui-même: “As much as I’ve travelled and on the road playing with such masters as McCoy Tyner, Elvin Jones, Jack DeJohnette, Sam Rivers, Sun Ra, Dizzy Gillespie and so many jazz greats, as well as leading my own groups including founding “The Leaders” and the group “Roots,” an inner voice was telling me, you need to go to another level both musically and personally. You need to work with other musicians from different cultures and create new avenues of expression.’’
En 2002, Freeman avait été choisi parmi plus de deux cents candidats et était devenu un des vingt artistes à participer à la création d’une installation multimédia à Engine 27, une salle de concert expérimentale de  New York. Durant la même période, Freeman avait également formé le groupe Guataca, un ensemble afro-cubain qui jouait une musique influencée par les rythmes latins, les traditions africaines et le  hip-hop. Le groupe était composé de Hilton Ruiz au piano, de Ruben Rodriguez à la basse, de Yoron Israel à la batterie et de Giovanni Hidalgo aux congas et aux percussions. Le groupe avait publié l’album Oh, By the Way en 2001. Comme on pouvait le lire sur le site officiel de Freeman, "What I did with this album is utilize elements of jazz, R&B, and hip-hop on an Afro-Cuban basis, with a flamenco and middle-eastern flavor.’’
Après avoir passé près de douze ans en Europe, Freeman était retourné à New York anxieux de reprendre sa collaboration avec des musiciens américains. Il expliquait:
‘’I lived in Europe approximately twelve years––went to Greece then moved to Switzerland. Even though I am back in the States and living in New York, I still have my place in Switzerland, but my main focus is being in New York. I moved back because I wanted to bring all of the playing and traveling experiences I’ve had over the years back to the States with me and get back to my roots and incorporate it all together into my playing again. I also miss playing with American musicians. I really wanted to play again with American drummers, bass players, rhythm sections and wanted to reconnect with the blues and some of the other cultural staples music here has given to the world. I felt it was time to come back to my roots again. Since I’ve been back, the changes I’ve noticed in the music scene are good, particularly with the musicians themselves. I’ve noticed there are more females in music that can really play. I’ve also noticed musicians are more inclusive in general—black and white players are playing together much more than they did before I left. I also see so many gifted young players. We’ve lost a lot of great musicians and I just find it unfortunate because some of the young musicians won’t have the opportunity to apprentice from the bandstand like I was able to do with Elvin Jones, McCoy Tyner, Art Blakey and others. I hope I can supply some part of that by being back home.’’
En 2010, Freeman avait publié l’album The Essence of Silence, qui avait été suivi en 2012 d’une collaboration avec le batteur Elvin Jones intitulée Elvin: The Elvin Jones Project. Ce dernier album avait été enregistré avec une section rythmique composée de George Cables au piano, de Lonnie Plaxico à la contrebasse et de Winard Harper à la batterie. Le saxophoniste Joe Lovano avait également participé à deux pièces de l’album. Le groupe interprétait un répertoire souvent associé à Jones. Le batteur avait commencé à collaborer avec Freeman peu après qu’il se soit installé à New York en 1976. En 1978, Jones avait également produit le troisième album de Freeman comme leader, Beyond The Rain sur étiquette Contemporary Records. 
Freeman a enregistré une douzaine d’albums sous son nom au cours de sa carrière, dont Morning Prayer (1976), The Outside Within (1978), Spirit Sensitive (1979), No Time Left (1979), Peaceful Heart Gentle Spirit (1980), Freeman & Freeman (enregistré avec son père Von en 1981), Destiny's Dance (1981), Tradition in Transition (1982) et The Search (1982). Le dernier album de Freeman intitulé Spoken Into Existence (2015) explorait différents styles musicaux du hip hop au funk en passant par le  le bebop, le blues et intégrait même des mélodies d’origine africaine et asiatique. Il expliquait:
“First comes expression, and when you find yourself in need of being able to express more, you develop the technique in order to accomplish that objective.” Très influencé par le saxophoniste ténor Gene Ammons, Freeman avait ajouté: ‘’One of my favorite saxophone players is Gene Ammons. Boy, he can play a slow blues. Everybody could play slow blues in Chicago back then, and so could I, but I had never recorded a slow blues. I thought, Wow. I can’t believe I never did that. I didn’t realize this at first. So, all the other things were kind of personal things I wanted to do and say with Spoken Into Existence. That’s kind of the significance of the title.’’
Musicien polyvalent et très éclectique, Freeman s’est produit et a enregistré dans une grande variété de styles, de la musique latine au jazz traditionnel en passant par le bebop, le hard bop, le free jazz, le R & B, le jazz-fusion et le blues. Comme Freeman l’avait expliqué sur son internet: "My goal is to explore new worlds, and I don't want to be limited by categories. I don't want to be told that I can't go into other categories. The only limitations I place on myself are the limitations I place on my own imagination. And within that realm, there are none." Éternel explorateur, Freeman avait aussi fait plusieurs tournéesen Europe, au Japon, en Australie, au Moyen-Orient et en Extrême-Orient. Toujours prêt à découvrir de nouvelles réalités et à de nouvelles musiques, Freeman avait précisé:
‘’I wanted to see what it was like to live in a place and see how people are when they don’t know you— when you are a part of the landscape. Sometimes we get special treatment, which is nice and I enjoy it, but I wanted to see what it was like if they don’t know you. I also wanted to experience other kinds of music. I went to Spain and played with gypsy musicians and had the opportunity to play with Paco de Lucia, the great Spanish guitarist. I got to play with Andrea Bocelli and went to North Africa, Morocco and Algeria. In Morocco, I played with Ghanaian musicians and also participated in a festival where everybody played with everybody. I played in Hungary with this great Hungarian gypsy musician, Miklos Lukacs, who played this instrument I had never heard of, the cimbalom, which is incredible. I went to the Baltic countries and heard some of the clarinet players and their folk music. I went to Australia and met some aboriginal musicians.’’
Multi-instrumentiste, Freeman jouait à la fois des saxophones ténor et soprano, de la flûte et de la clarinette basse.
Au cours de sa carrière, Freeman avait enregistré et joué avec les plus grands noms du jazz comme Wynton et Branford Marsalis, Hank Jones, Bobby Hutcherson, Charles Mingus, Dizzy Gillespie, Cecil McBee, Lester Bowie, Kirk Lightsey, John Hicks, Mal Waldron, Famadou Don Moye, Arthur Blythe, Billy Hart, Chucho Valdes, Freddie Cole, Joe Henderson, Chaka Khan, Tomasz Stanko, Art Blakey, Celia Cruz, Paquito D'Rivera, Roy Haynes, Kevin Eubanks, Paco de Lucia, Jack DeJohnette, McCoy Tyner, Elvin Jones, Bobby McFerrin, son père Von Freeman, Anthony Davis, Sun Ra, Sam Rivers, Don Pullen, Arturo Sandoval, Machito, Celia Cruz, Giovanni Hidalgo, Paulinho DaCosta, Nana Vasconcelos, Ray Barretto, Eddie Palmieri, Paquito D’Rivera et Tito Puente. Il avait aussi accompagné de grandes vedettes de la musique pop comme Earth, Wind & Fire, The Eurythmics, Michael Jackson, Jackie Wilson, The Temptations, The Isley Brothers, The Four Tops et Sting.
Père de cinq filles, Freeman avait composé une chanson pour chacune d’entre elles.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique.
 SOURCES:
‘’Chico Freeman.’’ All About Jazz, 2023.
‘’Chico Freeman.’’ Wikipedia, 2023.
‘’Chico Freeman Biography.’’ Net Industries, 2023.
‘’Chico Freeman in his own words.’’ Chicago Jazz Magazine, 2023.
SCARUFFI, Piero. ‘’Chico Freeman.’’ Piero Scaruffi, 2006.
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havaforever · 3 months ago
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EMILIA PEREZ - Le film spectacle 3.0, improbable de Audiard.
Sublime et impressionnant, malgré le fait que rien ne devrait fonctionner dans ce mélange de telenovela/thriller/film de cartel/comédie musicale aux accents baroques.
Emilia Pérez réussit un superbe numéro d'équilibriste constant dans cette histoire librement inspirée d'un fait réel (un narcos qui fait sa transition) jamais dans le grotesque, jamais dans le pathos.
La réussite de cet ovni cinématographique, tient au fait que dès la superbe introduction, Jacques Audiard renouvelle sa mise en scène en proposant une recherche constante dans la forme, en particulier via les divers numéros musicaux (excellentes musique de Camille et chorégraphies de Damien Jalet) qui proposent littéralement des idées jamais vues au cinéma auparavant dans le genre.
Audiard décrit cela comme un opéra, mais Emilia Pérez ne verse jamais dans le classicisme ample ou grandiloquent, restant toujours à hauteur de ses personnages.
Et il faut le dire, le trio d'actrices (Zoe Saldaña, Selena Gomez et Karla Sofia Gascòn) est réellement savoureux, portant fièrement l'ensemble jusqu'à un final aux proportions tragiques extrêmement bien filmées. On se croirait presque (complètement) dans un mélange incongru d'Almodòvar, Michael Mann ou Bob Fosse, supportée par l'incroyable sophistication de la mise en scène.
NOTE 17/20 - Touts les critiques qui descendent ce film sont justifiées, mais il reste un film hors du commun, puissant, sur violent comme d'hab, mais percutant et jouissif.
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soletear · 3 months ago
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tag game du rpg
règles du jeu:créer un nouveau billet en copiant-collant les questions ci-dessous, y répondre, puis tagger d'autres rpgistes !
depuis combien de temps fais-tu du rp? — j'ai un peu du mal à compter et établir une durée parce que j'ai une mauvaise mémoire, mais je dirais une dizaine d'années... et seulement 5 ans sur forum.
quel était le premier personnage que tu as créé? — le tout premier je ne m'en souviens plus du tout, c'était sur une simulation de vie mais en rp, bref. mon premier perso sur un forum c'était Elvira quelque-chose (faut pas me demander de me souvenir des noms de famille...) et c'était une chasseuse de vampires !
quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — j'aimais beaucoup nina dobrev (la faute à tvd), puis mila kunis, bella hadid et zendaya. parce que oui, je jouais que des femmes à l'époque.
y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — les univers post-apocalyptiques (ça dépend en réalité du contexte, je suis certaine que certains peuvent être géniaux) et dès qu'il y a des zombies. ça, c'est vraiment un gros non pour moi, ça ne m'attire pas du tout (mais j'ai eu le courage d'essayer pour faire plaisir à un ancien partenaire, je n'ai même pas fini ma fiche de présentation). et harry potter, pour des raisons évidentes de boycott de l'autrice.
quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — comment me détacher du enemies to lovers qui hantent mes nuits et mes journées. je suis très fan de ce lien, de cette incompréhension initiale entre les deux, puis du moment où ils réalisent que finalement, de la haine à l'amour il n'y a qu'un pas, et l'acception de leurs défauts mutuels. j'aime aussi beaucoup les familles brisées, avec des liens complexes où l'amour se mêle à la frustration et la rancoeur. et plus globalement, tous les liens nuancés.
dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — je suis plutôt team réel. j'adore la fantasy, mais j'ai souvent du mal à y rester et à évoluer parce que ce sont des contextes qui me demandent plus d'énergie pour me plonger dans le personnage et les détails de l'univers. cependant si je devais choisir un fandom, ça sera shadow and bone parce que j'ai vraiment adoré la série et que je reste fan des grishas.
un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — reprendre pas forcément parce qu'une fois que je mets les personnages au placard, ils y restent... mais j'ai adoré jouer un personnage bipolaire inspirée de rue dans euphoria, elle était chaotique et authentique. je ne m'ennuyais jamais, ni en rp, ni en sms. elle était parfaite dans son imperfection.
y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — je sais pas trop, je ne pense pas. en général, j'essaye toujours de varier les plaisirs parce que je n'aime pas avoir des personnalités trop proches les uns des autres, auquel cas je me mélange les pinceaux. donc au final, j'essaye toujours de trouver des archétypes différents.
y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — au tout début de mon aventure rpgique, j'ai lu beaucoup de despentes et sa plume m'a beaucoup aidée à façonner la mienne. même si je l'ai perdu pendant ma pause avant de rejoindre les forums. pour les personnages, en général, je m'inspire surtout des séries, des films, et des musiques qui m'entourent. parfois des livres aussi, mais c'est curieusement plus rare.
une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — j'ai récemment lu Blue sisters de Coco Mellors, et bien que j'ai trouvé le livre un peu long (les chapitres sont interminables), j'ai beaucoup aimé découvrir ces trois soeurs en prise avec l'addiction. j'ai trouvé leur histoire et leur combat vraiment touchants !
☞ je tag: j'arrive un peu après la bataille du coup vous avez peut-être déjà été tou.te.s tagué.e.s donc faites le si vous en avez envie et puis c'est tout 🫶🏼
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rosesinvalley · 3 months ago
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Ciseaux Fanzine
Des fanzines queer mais pas que…
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Pourquoi pas interviewer des acteurs du DIY ?
J’ai rencontré Ophélie au Salon « DIE or DIY » en décembre 2021, une autre fanzineuse posée à coté de mon stand. Nous avons donc pris le temps de discuter, échanger nos fanzines et ça a accroché.
Le caractère éclectique et du genre LGBT / Queer m’a interpellé ainsi que le style punkzine à l’ancienne. Elle a donc susciter ma curiosité sur son travail de longue haleine et je lui ai proposé une interview. 
Elle m’a aussi appris le mot « DYKE »  qui n’est pas dans le contexte une lame de roche magmatique à vous de chercher.
Elle a posé avec un tee shirt RIV qui lui va à ravir dans la thématique Cult of ride. Merci !!!
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Peux-tu présenter « Les Ciseaux Fanzine » ?
« Les Ciseaux Fanzine », c’est un ensemble de fanzines autour des thématiques féministes et queer et de façon plus générale, sur la culture, le cinéma, la littérature, la musique avec parfois un humour décalé.
J’utilise le terme « queer », signifiant à l’origine « bizarre », « inadapté », pour désigner une identité, une culture et une communauté aussi qui remet en question les genres et une société dans laquelle le patriarcat est le modèle dominant. Pour moi, c’est un terme avec un sens politique qui sous-entend un certain engagement. Se revendiquer « queer » revient à politiser sa sexualité en remettant en question la société dans laquelle cette dernière doit/essaie de s’épanouir. Être « queer », c’est remettre en question les injonctions genrées de notre société. 
J’ai choisi le format du fanzine à l’ère du numérique car j’aime énormément l’objet livre et la liberté qu’offre ce moyen d’autoédition (mise en page, distribution, thèmes, écriture etc.) à travers le DIY et j’adore aussi l’esthétique « punk ».
Quand et pourquoi avoir commencé à écrire ?
Vers l’âge de 10-11 ans j’ai commencé à écrire mes premiers textes et des sortes de fanzines. Je créais mes propres magazines de A à Z. J’avais envie de partager des articles, des illustrations, des jeux, et surtout un objet « livre ». J’étais fascinée par cet objet et par l’univers de l’édition. J’aimais l’idée d’être libre, d’illustrer mes propres histoires et de les partager. Je me réfugiais aussi dans l’écriture pour réfléchir aux premières attirances, à une identité en construction. La fiction permettait davantage de libertés, on ose davantage écrire ce que l’on a peur de dire. Ainsi, mon premier « roman » racontait une histoire d’amour entre deux ados. C’était une sorte de refuge.
Tes ources d’inspiration ? Pour qui ?
J’ai toujours été inspirée par la culture féministe et lesbienne. J’avais lu Mémoires d’une jeune fille rangée de Simone de Beauvoir en 3ème. C’était un peu complexe mais je l’avais dévoré avec passion. Dans la bibliothèque familiale, vers l’âge de 16 ans je suis tombée sur Claudine à l’école de Colette et ce fut une révélation. J’ai ensuite imprimé les poèmes de Sappho traduits par Renée Vivien puis les poèmes d’amour lesbien de Renée Vivien elle-même. J’ai ensuite découvert, via internet, d’autres artistes, auteures, réalisatrices lesbiennes et féministes. Et j’ai eu envie d’écrire pour partager toutes ces découvertes car souvent c’étaient des femmes peu connues du grand public. J’avais envie de partager ces références dans les cultures féministe et lesbienne. Ado, j’aurais aimé tomber sur un fanzine me présentant toutes ces icônes inspirantes. C’est vrai qu’à présent il y a les séries et les influenceuses des réseaux sociaux…
Le public visé est principalement les femmes, les personnes queer mais en réalité, il est important que chacun·e se sente concerné·e et curieux·se de toute cette culture pour déconstruire les préjugés et vivre dans une société plus inclusive et donc égalitaire. On revient ici à l’idée d’engagement liée au terme « queer ».
Tu as de multiples facettes parfois satirique puis poétique dans ton écriture ?
Documentaires, poétiques et parfois satiriques, il y a un peu de tout dans mes fanzines. La tonalité peut varier parfois d’une page à l’autre. J’ai une petite préférence pour la poésie pour la beauté du mot et des images.
Concernant l’aspect satirique, l’idée est de faire bouger les lignes, d’heurter le lecteur ou la lectrice pour le/la faire sortir de sa zone de confort et réfléchir…
Le Statut LGBT revendiqué ? Vulve féministe ? Sororité ? Explique nous?
Oui, je revendique le statut d’artiste LGBT+, queer même, parfois lesbien-queer. C’est vrai qu’il y a beaucoup de termes mais les sexualités et cultures liées à ces identités sont elles-mêmes extrêmement variées. Je ne me reconnais pas dans la culture « mainstream » très hétéronormée avec un humour qui repose très souvent sur des stéréotypes sexistes ou de genres qui, moi, ne me font pas vraiment rire, sur des rapports de domination homme/femme dans lesquels je ne me reconnais pas, et avec lesquels je suis en désaccord. Et comme je le disais plus haut, je me définis également comme une artiste queer dans le sens où je souhaite également lutter pour déconstruire les clichés de genre et faire exister, rayonner, grâce à mes mots, mes collages, mes dessins les cultures LGBT+ trop souvent écartées.
Plus que « vulve féministe », je n’avais encore jamais entendu cette expression, je dirai « clitoris féministe » car cet organe a trop longtemps été mis à part, oublié volontairement. Actuellement on en entend beaucoup parler, il était temps !
Et oui pour la sororité. C’est un mot extrêmement important dont encore certaines personnes méconnaissent encore l’existence. Il existe une fraternité dans notre société que l’on trouve presque naturelle, inconsciemment. Une union masculine est quelque chose de communément admis que l’on n’interroge jamais (on le voit bien au travail ou dans les émissions de télé-réalité ou de divertissement qui reflètent merveilleusement bien notre société). Tandis que la moindre union de femmes est immédiatement vue comme une dangereuse coalition à détruire le plus rapidement possible… car ce serait le signe d’un « féminisme » contre les hommes… Il y a un vrai problème sociétal à ce niveau-là. Une peur et un rejet des unions de femmes. Insister sur la sororité est pour moi un chemin vers l’égalité de tous, hommes, femmes, personnes non-binaires. Dans un idéal d’adelphité, terme sans dimension genrée.
La Place des femmes dans la société actuelle ? les femmes sont-elles biens dans leurs corps ?
Non, je ne pense pas que la plupart des femmes soient si bien dans leurs corps. C’est d’ailleurs encore une chose difficilement acceptée car cela passe pour un discours « victimisant ». Mais c’est un fait : le corps des femmes est encore trop souvent instrumentalisé, commenté et sexualisé dans tous les domaines. Dans le monde du ride, par exemple, on voit encore trop de meufs hyper sexualisées vs des mecs en t-shirts et pantalons larges… A quel moment on fait du skate ou du bmx en string et soutif ?!
Tu as fait un fanzine spécial Roller Derby, rider pour toi cela épanoui la femme ? Que penses-tu de notre  fanzine Cult of ride justement ?
Vous la retrouverez dans les salons DIY et les fanzinothèques lyonnaises comme Café Rosa ou La luttine ainsi que sur Etsy.
Et son univers sur instagram.
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