#Le Monde Vivant
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frnndlcs · 1 year ago
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Le Monde vivant, Eugène Green, 2003
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vincekris · 2 years ago
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Le Monde vivant - Eugène Green, 2003
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lilias42 · 5 months ago
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Petite BD sans prise de tête (et surtout un gag)
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Juste un petit gag que je trouvais marrant avec une fin mignonne, et Laeta, Pertinax et Simplex qui sont toujours les meilleurs conservi du monde qui s'entraident !
Je l'ai dessiné après avoir bien discuté de la BD Lore Olympus / Traditions d'Olympus avec Ladyniniane et un peu découvert cet univers et nom d'une aile, ce que ce truc sent mauvais ! Encore, pour l'art (au début), je n'ai pas grand chose à redire, c'est assez original (même si ça se détériore par la suite) mais bon, arriver à rendre tes "gentils" aussi antipathique, tout en faisant du perso de Zeus (soit un des pires connards de la mythologie grecque) un des personnages les plus attachants par accident bien malgré tous les efforts de l'autrice pour le rendre pire que tout (comme tous les autres méchants, ils ont l'air bien plus sympas que les "gentils" [juste la transformation de Menthé en vrai pot de menthe conscient... c'est juste horrible en fait]), c'est un sacré exploit.
L'idée est venue en voyant que pour combattre Cronos, roi des dieux et tyran enfermé depuis des siècles qu'Hadès a laissé s'échappé car il était triste que les fesses en formes de coeur de Perséphone ne soit plus sous ses yeux (vraie remarque de la BD et Hadès sexualise à ce point une fille de 19 ans qu'il vient de rencontrer, c'est aussi gênant que vous l'imaginer mais bon, apparemment, le film "Lolita est une grosse source d'aspiration de l'autrice alors, on ne s'étonne plus...), un des pouvoirs ultime de Perséphone était de... cracher des abeilles... ok on va appeler quelqu'un d'autres pour faire le boulot, n'importe qui sera plus compétent ! Et elle est aussi représenté comme ayant littéralement de vrais papillons qui tournent autour d'elle quand elle est gênée, manque plus que l'arc-en-ciel... c'est juste trop ridicule à ce niveau pour que je prenne cette histoire au sérieux (sauf l'histoire de Zeus, Menthé, Déméter et Thanatos qui ont l'air bien plus intéressantes).
Mais en voyant ça, je me suis demandé "comment réagirais un de tes personnages si des petits papillons volaient autour de lui ?" alors, je l'ai dessiné avec Laeta vu que ça collait un peu à ses pouvoirs (ça aurait aussi pu coller avec Siopelè [ma version de Maurice] qui est une sorcière dont les pouvoirs se basent sur la lumière alors, elle doit attirer les insectes de nuit avec ses fiertés) et les réactions de ses amis à ça, avec une fin qui donne une explication logique à ce phénomène pour qu'il s'arrête assez vite. Ce n'est pas vraiment canon mais, c'était amusant à dessiner !
#écriture de curieuse#dessin de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#c'était amusant de dessiner ça !#Laeta serait furieuse si elle avait une fierté pareille qui apparaissait elle trouverait ça ridicule et peu utile#Des fleurs poussent déjà de temps en temps dans ses cheveux elle a pas besoin de truc mignons en plus- une sorcière doit faire peur !#Simplex comprendrait surement assez vite qu'elle est excédée par ce phénomène et essayerait de trouver une solution#Il est toujours là pour Laeta et Pertinax alors ce serait le premier à venir la rassurer et tenter de trouver une solution#Pertinax est plus blasé on va dire et ne se laisse pas décontenancé alors il essaye ce qui lui semble être une explication logique#Et même si là c'est un gag je pense que ça a été le premier à sentir que Laeta était enceinte vérifie comme ça et lui annonce#(avec autant de pincettes et de subtilités il va droit au but)#vu qu'il ne manipule pas vraiment le sang il sent surtout son écoulement ou pour soigner ça passe avec sa sorcellerie#et il a repris le rôle de médecin une fois qu'il est rentré chez lui alors il a l'habitude de ce genre de manoeuvre#surtout que je le voie bien avoir une bonne intuition pour ce genre de chose à la manière de quelqu'un que je connais#Et Pertinax et Simplex seraient absolument le genre d'ami... conservi qui aideraient autant qu'ils peuvent Laeta#même en vivant dans d'autres peuples et que c'est pas forcément bien vu étant donné qu'ils sont étrangers#(ce n'est pas des cadeaux de naissance en famille mais des présents diplomatiques attention !)#Ne vous en faites pas vous aurez un jour un univers où vous pourrez assumer que vous êtes les meilleurs amis du monde#et que Pertinax et Simplex sont ensembles jusqu'au bout avec Laeta qui les soutient à fond
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luma-az · 2 years ago
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Miracles à plume
Défit d’écriture 30 jours pour écrire, 1er août 
Thème : vivantes/après la fin du monde
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Elle avance parmi les gravats, sans but. Un silence de mort plane sur l’endroit. Cette idée la fait pouffer toute seule. Un silence de mort. Ça, c’est une expression sacrément bien choisie, pas de doute.
Un silence des morts, même, pourrait-on dire.
Mais hé, tout le monde n’est pas mort, n’est-ce pas ? Elle elle est vivante. Le seul être vivant à des kilomètres à la ronde. Toute fraiche sortie de sa cave, pour découvrir qu’à la surface, il n’y avait plus rien. Enfin, il reste des traces de vie. D’une vie passée. Trépassée. Il reste des ruines. Des décombres. Des cadavres. Si on peut considérer ces restes calcinés comme des corps humains. Enfin, d’une certaine manière, c’est sans doute mieux comme ça.
Où va-t-elle aller maintenant ? Elle n’en sait rien. C’est ça le problème avec la fin du monde : ça concerne tout le monde. Et il ne reste rien…
Elle marche, parce que rester sur place serait intolérable.
Elle marche, parce qu’elle ne parvient pas à crier l’atrocité qui lui brûle les poumons, et que si elle était immobile elle finirait broyée par cette souffrance, par cette agonie. Et elle n’est pas restée en vie pour agoniser, n’est-ce pas ?
Marcher, c’est ce que font les vivants. Un pas après l’autre, et on recommence. Une petite silhouette qui se balance, si menue, tout au fond du paysage. Un pas après l’autre et on recommence.
Jusqu’à ce qu’elle entende un écho, un bruit qui n’est pas celui de ses propres pas, de son propre souffle. Un bruit qui ressemble à un… gloussement ?
Elle s’immobilise, toute ouïe, tendue comme un arc. Ça ne peut pas être son esprit qui lui joue des tours, non ? C’est forcément réel ? Quelque chose qui a gloussé ? Quelque chose qui glousse encore ? Qui lâche un soupir plaintif ? Qui est bien réel ? Qui est bien vivant ?
A pas de loup, elle se glisse plus près du bruit. Derrière les décombres, au-delà du spectre des rues, dans les jardins qui deviennent des terrains vagues, entre les bosquets remplis de ronce, elle trouve des poules. Une dizaine de poules, très vivantes, très bruyantes, très contentes visiblement que tout ce bazar soit terminé, et d’avoir trouvé une ouverture pour fuir leur improbable poulailler… Elles gloussent et caquètent, ou tous les autres bruits qui peuvent accompagner des gallinacées en pleine exploration, qui ont l’air très bavardes entre elles. La survivante n’a jamais vu de poule de si près, à la réflexion. Elle est absolument incapable de dire si les volailles ont l’air en bonne forme ou bouleversées par tout ce qui s’est passé. Et ça n’a aucune importance. Vivantes ! Elles sont vivantes, toutes, et toutes magnifiques et hilarantes, et douces, et belles, et absolument grandioses ! Dix petits miracles à plume qui viennent gentiment lui picorer les lacets, au cas où elle ait de quoi manger.
Elle va chercher. Pour ses nouvelles amies, ça c’est sûr, elle va chercher ! Quel but encourageant : nourrir les poules, abreuver les poules, abriter les poules, protéger les poules. Il y a tellement à faire ! Elles sont vivantes, elles doivent le rester.
Après tout, il faut prendre soin des miracles.
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shapelytimber · 1 year ago
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Calypso and the Pink Unicorn's pirate drag show !!!!!
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Wee john served so hard it should be illegal 16 dead countless injured, I am dead Calypso was so hot
Process (and my french rant on why I hate the choice of la vie en rose) below vvv
Final without the text
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Rough colors
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Sketch !
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Sorry english people, but what follows is too french an opinion to voice in english (I'll sum it up for u in the end <3)
Ok alors je suis désolé, Con o'Neill chante vraiment très bien ca n'a rien avoir avec sa performance, mais vraiment la vie en rose c pas possible. Le man est sur les champs Elysées a me vendre des tours Eiffel en plastique jpp- Franchement pipe et jambe de bois ca serai mieux passer. Ou les demons de minuit !!!!pourquoi pas les demon de minuit ?????? Chanson hyper connu française. Ok c moins cucu que la vie en rose, mais bonus point plus kinky (je pensais jamais decrire les demons de minuit comme etant kinky mais here we are-)
Ou juste n'importe quoi d'autre-
(And words of wisdom from my evil advisor @quijicroix : légende vivante (de Lorenzo) ça va avec tout. Ou une chanson triste de jul (pas bande organisée, tu peux pas ken dessus). Après tout le monde déteste la police ou nik le front national c les chansons les plus romantiques que je connaisse. Y a santiago aussi, avec le gros mat la. Les trois mâts, pour le steddyhands.)
Tout sauf la fucking vie en rose pitier (meme si, encore une fois, Con o'Neill la chante vraiment bien)
Welcome back english people ! To sum it up : la vie en rose is a french song for tourists that set up a fight or flight reaction in every native speaker. I'm glad people enjoyed this, but I cannot describe the cringe and disappointment I felt when they decided to have him sing this song- (even tho he sings it beautifully (which is part of the disappointment))
They are SO MUCH love songs in french, why this one.
PS : at this point (ep7) I don't know why Stede is still bothering with Ed "I'm hitting the banks didn't tell him which one" teach, when Izzy hands is right there ????? Sir please open your eyes
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newmic · 2 years ago
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jamie-007 · 3 months ago
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Je te souhaite assez....! 🙏✨
Récemment, j'ai entendu une mère et sa fille converser dans leurs derniers moments ensemble à l'aéroport alors que le départ de la fille avait été annoncé.
Debout près de la porte de sécurité, elles se sont embrassées et la Mère a dit :
"Je t'aime et je te souhaite assez. "
La fille a répondu : "Maman, notre vie ensemble a été plus que suffisante. Ton amour est tout ce dont j'ai toujours eu besoin. Je te souhaite assez aussi, maman." Elles se sont embrassées et la fille est partie.
La mère s'est approchée de la fenêtre où je m'étais assise. Debout là, je pouvais voir qu'elle voulait et avait besoin de pleurer.
J'ai essayé de ne pas m'immiscer dans sa vie privée, mais elle m'a approchée en me demandant : « Avez-vous déjà dit au revoir à quelqu'un sachant que ce serait pour toujours ?
"Oui, je l'ai fait", répondis-je. "Pardonnez-moi de demander, mais pourquoi est-ce un au revoir pour toujours ? "
"Je suis vieille et elle vit si loin. J'ai des défis à relever et la réalité est que le prochain retour sera pour mes funérailles », a-t-elle déclaré.
Quand vous lui disiez au revoir, je vous ai entendu dire : "Je te souhaite assez. " Puis-je demander ce que cela signifie ? "
Elle commença à sourire. « C'est un vœu qui a été transmis par d'autres générations. Mes parents le disaient à tout le monde. "
Elle s'est arrêtée un moment et a levé les yeux comme si elle essayait de s'en souvenir en détail et elle a souri encore plus.
« Quand nous avons dit « Je te souhaite assez », nous voulions que l'autre personne ait une vie remplie de juste assez de bonnes choses pour la soutenir ». Puis se tournant vers moi, elle a partagé ce qui suit, en le récitant de mémoire,
« Je vous souhaite assez de soleil pour garder votre attitude lumineuse.
Je vous souhaite assez de pluie pour apprécier davantage le soleil.
Je te souhaite assez de bonheur pour garder ton esprit vivant.
Je vous souhaite assez de douleur pour que les plus petites joies de la vie paraissent beaucoup plus grandes.
Je vous souhaite assez de gains pour satisfaire votre désir.
Je vous souhaite assez de perte pour apprécier tout ce que vous possédez.
Je vous souhaite assez de bonjour pour vous faire passer le dernier au revoir. "
Elle s'est alors mise à pleurer et s'est éloignée.
Ils disent qu'il faut une minute pour trouver une personne spéciale. Une heure pour l'apprécier, Une journée pour l'aimer et toute une vie pour l'oublier. ✨🌟💝
Bob Perks
La Numérologie de Maud
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leschosesetlesfantomes · 3 days ago
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De 2024, je ne me souviens pas vraiment. Un voile d'oubli est passé sur mes souvenirs. C'est surtout que je n'en ai pas créé beaucoup, des souvenirs. J'ai passé beaucoup de temps les yeux dans le vague. J'ai peu aimé, peu touché, peu ouvert les poumons sur les montagnes ou les paumes sur le vivant. J'ai peu existé. J'ai été un petit insecte écrasé au fond d'un lit aux draps sales.
Ma maladie est une maladie de société. Elle est le reflet d'un monde qui s'affaisse de jour en jour. Elle est la bête noire du progrès et de l'accélération. J'ai un corps-tampon qui s'imbibe petit à petit du pourrissement du monde. Une fois que le tampon est saturé, plus rien ne peut y pénétrer, ni les mots, ni la vision, ni l'équilibre. Il faut alors l'abandonner dans un coin, ne plus y toucher, attendre longtemps qu'il se répare. Très longtemps.
Je me suis réparée toute seule. Avec un fil d'encre bleu qui traînait dans mes tiroirs d'adolescente. J'ai tissé et retissé pour colmater la faille par laquelle je m'échappais. Je suis désormais étanche. Jusqu'à la prochaine tempête.
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lounesdarbois · 1 month ago
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Gustave Doré dessine les ouvriers de Londres
Les commentaires les plus profonds sur l'Angleterre sont l'œuvre de Français. Jules Vallès, Céline, Morand, Hippolyte Taine et bien d'autres ont compris ce pays et ses mœurs comme si c'étaient les leurs. Nul n'est prophète en son pays. Le grand peintre figuratif de l'ère victorienne est le français James Tissot, mais c'est Gustave Doré qui demeure avec son album de 1872 London a pilgrimage, le principal sociologue par le dessin de l'envers du décor d'une société au sommet de son empire sur le monde.
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Tout français qui assume sa sensibilité d'artiste, une fois introduit dans les centres décisifs de Londres est un enfant dans un magasin de jouets. Pour visualiser ce qu'était cette ville en 1872 il faut d'abord imaginer son fleuve large comme quatre fois la Seine. Une eau verte et grise battue par les vents, vaste comme la mer. Sur cette étendue avancent à pleines voiles des bateaux de toutes tailles, dans toutes les directions, penchés sur l'eau par la force du vent, des myriades de bateaux qui vont chacun leur chemin, et d'autres amarrés par grappes ensemble ça et là au hasard, immobiles avec leurs gréements nus, chaque rive garnie de colonnes de navires au mouillage alignés par dizaines comme des voitures au péage. Si bien qu'en levant le regard sur ce paysage dantesque ce sont des centaines de bateaux qui apparaissent, et qui deviennent des milliers de bateaux jusqu'à l'horizon.
Et sur chaque rive de ce fleuve s'étend une ville, et dans cette ville voici une population de travailleurs qui circule, qui entre et sort des bâtiments, une colonie humaine innombrable qui fourmille sous tous costumes, uniformes, fardeaux, qui est là dans les rues bondées, dans les étages, par les fenêtres, sur les quais, sur les bateaux. Partout la vie, le travail, l'avenir.
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De 1560 à 1960, quatre siècles ont nourri Londres la chétive, à la petite cuillère. Cette cuillère fut l'arrivage continuel des navires coloniaux chargés de marchandises, régime qui fortifia un corps entier, développant les muscles l'un après l'autre. Les quais. Les hangars. Une Venise rationalisée. La ville était creusée de rues aquatiques garnies d'installations inventées pour fluidifier le trafic des bateaux : débarcadères douaniers, entrepôts étanches, péniches grutières, corderies, leviers sur pivot hydraulique, tourelles de mâtage, guichets d'examen d'échantillons, stations de pesage, zones de tri, wagonnets de transbordement. Des quais longs comme des routes, les hangars les plus hauts jamais vus, des murailles de 10 mètres pour empêcher les voleurs d'attenter au trésor de l'Angleterre. Et pour servir ces équipements était la foule immense des travailleurs prolétaires de tous âges, avec leur famille.
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Peu d'hommes ont ce don du témoignage exact. Pascal l'avait pour la condition humaine, Doré pour les sociétés vivantes. Ses illustrations de Dante et des Fables sont connues. Son art culmine dans son Pèlerinage à Londres au moment où cette ville était le premier port du monde, le convecteur de millions de tonnes de marchandises par jour. C'est cette accumulation du capital par l'accumulation de marchandise qui engendra en ce même endroit à la fois Rotschild et Marx, le keynésianisme et Mosley, Charles Darwin et John Wesley, les Lords du commerce et les cockneys manutentionnaires. Tous les contraires, toutes les dualités radicales se sont forgées ici sans pourtant se heurter jamais. Extériorisant sur le continent ses contradictions comme un corps fiévreux sue pour guérir, l'Angleterre n'était plus la proie d'aucun trouble interne majeur depuis Cromwell, deux siècles auparavant.
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Le cœur du monde bat calmement. Cette scène de déjeuner à Epsom, improvisé sur les calèches arrêtées au milieu des foules allant et venant, le rappelle. Chaque visage y est comme la nuance amusante et spéciale d'un type physique général. Amusantes jeunes femmes tête couverte dans leur chale de laine, gracieux attelages, chevaux comme des cygnes à l'encolure courbée. Mais pour qu'une seule de ces dames en leur maison georgienne capitonnée de tapisseries afghanes, puisse prendre son thé indien dans une tasse Wedgwood, il a fallu que se lèvent aux aurores des milliers d'ouvriers, de porteurs, de sherpas, de soldats, de matelots. Des hommes payés pour trouver, acheminer, façonner, sécuriser, entreposer. Doré rend justice à ces hommes.
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Observez ces portefaix qui ploient sous leur fardeau. Il s'agit de ballots de thé du Sri-Lanka, de sacs de sucre de Jamaïque, de rouleaux de tapis d'Iran, de caissons de marmelades d'Égypte, de piles de peaux de bêtes du Canada, de tonneaux de vin cuit du Portugal, de mille articles nouveaux dont la nouvelle bourgeoisie raffole. D'autres navires arrivent chaque jour d'Australie, de Fidji, de Singapour. Ces hommes en vident les cales puis les chargent à nouveau de laine, de gin, de houblon avant que ces cargos reprennent la mer vers l'Inde, la Chine, la Tanzanie.
Londres est une grande roue et ce rude prolétariat est attelé à ses rayons. La rotation continue qu'ils impriment projette le surplus au dehors et attire les nutriments à l'intérieur, force giratoire véloce en son pourtour et tranquille en son centre. Le cœur du monde bat son rythme.
Londres serait restée une banale cité-pirate comme l'ont été Tyr, Nhatrang, Alger ou Istanbul à certaines époques, si elle n'avait pris le parti de retravailler les matières premières obtenues à l'étranger en des produits manufacturés à vendre. En cela Amsterdam avait précédé Londres dans le grand idéal colonial d'une ville européenne à la fois enracinée dans son monde propre et irriguée de ce que le monde alentour offre de meilleur (l'exact contraire d'aujourd'hui). Idéal assez fort pour partir fonder outre-mer d'autres Londres: Singapour, Hongkong, Sydney.
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Ces hommes se laissent pousser la barbe et rasent la moustache, précepte religieux observé encore de nos jours par les Amish et les Salafi.
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Et ce manutentionnaire de troisième étage de hangar de Millwall, arc-bouté sur son palan à 12 mètres au-dessus du sol, pour l'attirer dans la chambre de stockage, n'est-il pas là, présent devant nous? Gustave Doré a su voir l'extraordinaire dans l'ordinaire de son époque.
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Doré dessine non pas la foule dépareillée, bordéleuse et rapace que nous coudoyons de nos jours mais un peuple au travail. Un peuple physique, religieux, pauvre, heureux, un peuple chantant, varié, et blanc (albe, albinos, "Albion"). L'Angleterre est la synthèse de l'Europe, l'estuaire de la Tamise a tamisé les hommes du continent venus remonter son courant, et ce fleuve est le déduit filtrant du continent dont il n'a gardé que le suc, d'où cette grammaire simplifiée qui est la partie visible, audible, de soubassements plus profonds.
Londres est le pèlerinage continuel des européens initié par le peuple français dès 1066, et quelque ennemi que l'on puisse être de ses Whigs, des cruelles manœuvres de son Foreign Office, de l'Intelligence Service activateur de guerres, de ses Churchill bouffis et autres donneurs d'ordre par téléphone, un Français peut regarder Londres comme une partie de lui-même enfuie ailleurs il y a longtemps. L'expatriation ressemble parfois au remembrement, ou au souvenir (to remember).
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Les professeurs gauchistes nous ont rebattu les oreilles avec la notion d'exploitation du travailleur. Le style crayonné et grisaillant de Doré semble parfois forcer le trait en ce sens. Pourtant sommes-nous mieux ou moins biens lotis que ces bougres dessinés par Gustave Doré? Il a dépeint tout ce dont nous manquons aujourd'hui. Un peuple autour de soi, nombreux, cohérent. Du travail assuré. Dix enfants par foyer. Le mouvement, l'entraide, l'action concrète sur les choses. Gustave Doré montre la vie vivante comme nous ne l'avons jamais vue. Elle a existé. Autant d'éléments impensables en nos temps d'abstraction et de dépeuplement qui n'en finissent plus. Rappelons que depuis 30 ans un Français peut à peine trouver du travail dans son propre pays, ou se marier avec une femme de chez lui, ou enfanter, ou acheter un foyer décent. Les rues sont vides, les villages morts, les gens éteints, et pour chaque Français qui se tient bien dix hyènes venues de l'enfer convoitent son pain, son travail, sa maison, sa femme, sa voiture, son argent.
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Revoyons la richesse objective des travailleurs pauvres de 1872, cent fois plus substantielle que notre fausse monnaie actuelle. Richesse d'enfants nombreux, abondance d'avenir meilleur, profusion de chansons de marins et de territoire à soi, ressources de bon sens paysan et de religion stable. Le moindre immeuble accueillait dix familles blondes autour d'un feu sous une marmite suspendue. Un simple manutentionnaire avait un logement comprenant sous-sol, étage et grenier, il était père de sept enfants et la vie portait tout cela. À bien y regarder, la pauvreté d'hier est un luxe aujourd'hui. Ces prolétaires logeaient en plein centre-ville dans des maisons individuelles avec jardinet. On les voit manger des huîtres chaque jour, le plat du pauvre. Ils circulent en confiance dans des rues à eux. Ces joies devenues payantes sont aujourd'hui des privilèges de millionnaires.
Dieu a voulu des inégalités, pas des injustices. Gustave Doré montre en 1872 une société très inégalitaire et assez juste. La société actuelle est à la fois égalitaire et injuste. Que le tout-venant s'installe chez vous à égalité avec vous comporte une note d'obscènité en plus du degré d'extrême injustice. Le pouvoir le sait, le veut. Tout est là.
Pour accomplir un travail très physique la classe ouvrière se sélectionnait elle-même dans la partie la plus saine du peuple. Elle avait l'éthique du travail bien fini, la fierté de sa maîtrise physique, technique, d'outils de production d'importance vitale pour la survie commune. L'Angleterre a tôt choyé ce précieux capital humain: maisons individuelles, viande abondante, premiers systèmes d'entraide mutuelle pour les accidentés. Il y eut un Proudhon anglais un peu plus tardif que le nôtre, ce fut William Morris.
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Que reste-t-il de ce peuple ouvrier aujourd'hui ? Il reste la Culture. Tout d'abord leurs clubs de football, montés à partir de 1868. West Ham United pour les ouvriers des forges et l'emblème des deux marteaux croisés, Millwall Football Club pour les manutentionnaires des docks de Millwall, Arsenal FC pour les fondeurs de canons etc. Tout le mouvement skinhead, l'esthétique Fred Perry, Ben Sherman, butcher coat, gingham shirt, et avant eux les Black Shirts, les Teddy boys, les Mods, et tant de chansons, tout cela provient de l'héritage ouvrier d'une période légendaire. Londres est la seule ville connue où le prolétariat fut producteur d'une Culture. C'est un fruit involontaire et magnifique d'une Monarchie chrétienne donné aux pauvres: la stabilité. Au contraire la république soi-disant française, avec ses neuf révolutions et guerres par siècle a sadiquement forcé l'extinction d'un peuple notoirement plus beau que l'anglais.
Le Romantisme, grande passion française, est un mouvement étrange qui active chez l'artiste la nostalgie d'une époque qu'il n'a pas connu. En célébrant l'Angleterre Gustave Doré chante en réalité la France et elle seule, les notes de ce qu'elle aurait pu être, les accords encore muets de ses potentiels sous cloche. Quand nous passons la Manche pour voir dans les stades soixante mille gaillards chanter des airs anciens debouts les bras en croix nous n'avons d'émotion que pour notre pays à nous. C'est de moi que je parle. J'ai la nostalgie de Montorgueil Sport contre Louvre-FC, de Villette Abattoir contre AS-Vincennes, et du tournoi des quinze clubs franciliens remporté par les Flèches Noires de Paris devant cent mille Dupont-Dubois qui chantaient dans les graves "Rien de rien, non je ne regrette rien". Nostalgie de ce qui n'a pas été porte en soi le monde à venir qui veut être.
Si Gustave Doré a le mieux dessiné Londres c'est qu'il faut être extérieur à l'objet pour le bien voir. De la même façon, c'est un étranger, l'anglophone David Crosby qui a le mieux chanté notre Carillon de Vendôme, mélodie du Moyen-Age, complainte émue des villages restés fidèles au royaume de France envahi, réduit à portion congrue. Que reste-t-il à ce Dauphin si gentil? Orléans, Beaugency, Notre Dame de Cléry, Vendôme, Vendôme. Elle ferait une très belle chanson de stade, en canon, dans les graves.
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moncoeurestatoimonamour · 10 days ago
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Lorsque le soleil descend lentement derrière l’horizon, les couleurs orangées s’étendent sur le Vercors, ma maison. La lumière, douce et chaude, se déploie lentement à travers les montagnes, illuminant les crêtes et les vallées d’un éclat magique. C’est comme si la nature elle-même, dans sa grandeur silencieuse, offrait un tableau vivant, où chaque nuance du ciel semblait vouloir raconter une histoire d’amour, d’émotion et de beauté. Le cœur du Vercors bat au rythme de ces couchers de soleil, comme une promesse d’éternité. Les montagnes, majestueuses et intemporelles, enveloppent mon âme dans un cocon de sérénité, tandis que les couleurs orangées, telles des flammes douces, réchauffent l’atmosphère. L’air frais du soir mêlé à la chaleur de la lumière crée une harmonie parfaite, un équilibre subtil entre le monde intérieur et extérieur. La femme, elle aussi, semble se fondre dans ce paysage : ses yeux brillent à la lueur de ce ciel enflammé, son cœur palpite dans l’immensité tranquille de ce lieu. Elle est, tout comme le Vercors, un symbole de force et de beauté, calme et sauvage à la fois. Le soir, dans cette lumière orangée, elle incarne cette beauté pure, ce lien sacré entre l’amour et la nature. Le Vercors, ma maison, est bien plus qu’un simple lieu. C’est le reflet de mon âme, de mes émotions, de mon cœur qui bat au rythme de ce paysage. Les couleurs du soir, la chaleur douce de l’orange, l’amour et la beauté se mêlent pour dessiner un tableau parfait, celui d’un monde où l’on se sent à la fois tout petit et infiniment grand.
Vercors / France 🇫🇷
Photo ©️LM
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au-jardin-de-mon-coeur · 5 months ago
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C'est le temps de la cueillette....le temps de l'amour...
Grimpons sur l'échelle du monde, et sans plus tarder, cueillons sur l'arbre de vie, les nombreux fruits de l'amour, pour les répandre sur la terre des vivants...
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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photos-de-france · 5 days ago
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La source du Par, Chaudes-Aigues, Cantal, début du 20e siècle.
La source du Par est réputée pour être la source la plus chaude de France métropolitaine, avec une température à l'émergence comprise entre 81 et 82,5 °C. Le nom "Par" provient du verbe "parer", qui signifie nettoyer ou préparer. Autrefois, les habitants utilisaient cette eau chaude pour épiler les porcs après l'abattage, ainsi que pour nettoyer les pieds et têtes de veau, et dégraisser la laine de mouton. Dès 1332, Chaudes-Aigues a mis en place l'un des premiers systèmes de chauffage urbain par géothermie au monde. L'eau chaude de la source du Par était canalisée pour chauffer les habitations, un réseau ingénieux qui témoignait de l'usage précoce des ressources géothermiques par la communauté locale.
Au début du XXᵉ siècle, la source du Par continuait d'être un élément central de la vie à Chaudes-Aigues. Les habitants bénéficiaient de ses eaux chaudes pour le chauffage domestique et les usages culinaires, perpétuant ainsi des traditions séculaires. Aujourd'hui, la source du Par demeure un témoignage vivant de l'histoire thermale de la région et continue d'attirer l'attention pour ses caractéristiques uniques.
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aurevoirmonty · 2 months ago
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« On demande aux Blancs du monde entier de rendre des comptes pour des actes commis des siècles avant leur naissance. Pourtant, les 8.000 Pakistanais vivant à Rotherham ne sont en aucun cas tenus responsables des crimes et des viols perpétrés contre 1.500 fillettes blanches de la ville, ni des intimidations exercées sur les familles des victimes pour les réduire au silence, bien que ces actes aient été commis par des membres de leur communauté. »
Keith Woods, écrivain et ethno-nationaliste irlandais.
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mrsines · 4 months ago
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Petite fête
à la demande de @babythere j’espère que ça plaira 😇
6« Wow, vous avez l'air... incroyable. »
Lilia X reader
Tout le monde s’en était sorti vivant de la route, et c’était une très bonne chose. L’atmosphère était remplie de soulagement et de joie. Billy, débordant d’énergie, avait envie de fêter cet événement. Avec un sourire charmeur, il avait supplié Agatha, insistant sur l’importance de célébrer leur chance.
"Allez, Agatha, ce serait tellement bien de le faire chez toi !" avait-il dit, ses yeux pétillants d’excitation.
Après de très longues heures de supplication, Agatha, finalement convaincue par l’enthousiasme de Billy, avait accepté. La nouvelle avait rapidement circulé, et tous s’étaient mis en tête de s’habiller pour l’occasion. Les préparatifs allaient bon train : les lumières scintillantes étaient accrochées, et la musique douce flottait dans l'air, créant une ambiance festive.
Les invités étaient tous présents, parés de leurs plus beaux atours, riant et discutant joyeusement. Chacun avait fait un effort, des robes élégantes aux costumes bien taillés, tous semblaient ravis d’être là. Pourtant, une ombre planait sur cette fête : Reader n’était pas encore arrivée.
Lilia était assise sur le canapé, les coussins moelleux l'entourant comme une étreinte réconfortante. Ses pensées vagabondaient, se heurtant à l'inquiétude qui s'était installée dans son esprit. "Où est donc passée Reader ?" se demandait-elle, le regard fixé sur la porte, espérant la voir entrer à tout moment. Le bruit des rires et des conversations joyeuses des autres invités résonnait autour d'elle, mais elle se sentait déconnectée, perdue dans ses réflexions.
C'est alors que Billy s'approcha et s'assit à côté d'elle, son sourire habituel illuminant son visage. Il remarqua immédiatement l'air préoccupé de Lilia.
"Hé, Lilia," commença-t-il, sa voix douce et rassurante, "ne t'inquiète pas. Reader va bientôt arriver, j'en suis sûr."
Lilia tourna lentement la tête vers lui, ses yeux se posant sur son ami. Elle lui offrit un sourire, bien que légèrement hésitant.
"Je sais, Billy," répondit-elle, sa voix trahissant une pointe d'anxiété. "C'est juste que… je me demande ce qui lui prend tant de temps."
Billy observa Lilia, son regard plein de compréhension. "Peut-être qu'elle a eu un contretemps," suggéra-t-il, tentant de la rassurer.
Lilia se laissa aller à un léger rire, appréciant le soutien de son ami. "Tu as raison, comme toujours," répondit-elle, un peu plus à l'aise.
Elle se redressa et observa la pièce, se laissant emporter par l'énergie de la fête, tout en gardant un œil sur la porte, espérant apercevoir Reader.
Reader était enfin arrivée, et elle avait l'air éblouissante dans son pantalon rouge qui épousait parfaitement ses formes, mettant en valeur son allure dynamique. Son haut noir, simple mais élégant, ajoutait une touche de sophistication à sa tenue.
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En la voyant entrer dans la pièce, Billy ne put s'empêcher de sourire, ses yeux s'illuminant de joie et d'admiration. Reader, réalisant qu'elle avait attiré l'attention de tous, s'approcha avec une petite moue d'excuse.
"Désolée pour le retard," dit-elle, sa voix douce mais pleine d'énergie, presque comme une mélodie qui résonnait dans l'air.
Lilia, qui observait Reader avec admiration, ne pouvait s'empêcher de la trouver tout simplement magique. Elle se sentit submergée par l'émotion, ses mots peinant à sortir. Après un moment de silence, elle réussit à articuler, le cœur battant :
"Wow, tu as l'air… incroyable." Ses mots, chargés de sincérité, firent briller les yeux de Reader, qui ne pouvait cacher son bonheur.
Reader rougit délicatement, un sourire timide se dessinant sur son visage. "Merci, Lilia," répondit-elle en s'asseyant à côté de son amie, leurs épaules se frôlant. "Je peux dire la même chose pour toi, cette couleur te va vraiment bien."
Lilia se sentit flattée, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres. Elle jeta un coup d'œil à son propre haut, un doux rose qui contrastait avec le rouge flamboyant de Reader.
"C'est gentil de ta part," dit-elle, le cœur léger.
Les deux amies échangèrent un regard complice, conscientes que leur complicité ne faisait que grandir au fil des instants partagés, créant un moment inoubliable rempli de rires et de complicité.
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white-assassin · 7 months ago
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Français
[ANNONCE – MOMENTS PROJECT, LANCEMENT] (English below)
Aujourd’hui, et après un long moment d’absence, je suis fière de vous annoncer le lancement de mon plus gros projet de fanfiction à ce jour >w<
Quatre issues, deux camps, une histoire ; la vôtre.
Deux mois. C’est le temps qui s’est écoulé depuis ce terrible soir où le Q.G. militaire de Central s’est effondré, emportant Roy et Alphonse, qui y avaient foncé tête baissée au secours d’Edward, kidnappé par les homonculi. Depuis lors, Riza n’a plus revu aucun d’entre eux. On les dit « portés disparus » ; « supposés morts », même. Mais la soldate, elle, est convaincue du contraire : elle en est sûre, elle l’a aperçu au milieu de ce paysage désolé, Edward est bel et bien vivant… et toujours aux mains de l’ennemi.
Pour le sauver et espérer retrouver les deux disparus, Riza va devoir se retrousser les manches et remonter la piste des miettes de pain que l’alchimiste a laissées dans son sillage. Mais la chose n’est pas pour plaire à tout le monde : dans l’ombre, des forces qui la dépassent sont à l’œuvre et n’entendent pas de cette oreille que la jeune femme cherche à leur arracher la pièce maîtresse de leur plan…
Embarquez pour une aventure épique de plus de 360 000 mots ! Basée sur le Pride!Ed ending du jeu BlueBird’s Illusion, cette fanfiction, dont vous serez le héros, vous placera tour à tour dans la peau des personnages de l’un et l’autre des camps, avec à la clef, quatre fins possibles. Tous vos choix auront une incidence sur la fin de l’histoire et conduiront à des scènes inédites !
Réussirez-vous à sauver Edward ? Retrouverez-vous les disparus ? Arrêterez-vous les homonculi, ou bien servirez-vous leurs plans et condamnerez-vous Amestris et ses habitants à une fin tragique ? Toutes ces questions ont leurs réponses ; celles-ci sont entre vos mains.
Découvrez Moments dès le 3 octobre prochain !!!
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English
Today, after a long absence, I’m proud to announce the launch of my biggest fanfiction project to date >w<
Four endings, two factions, one story; yours.
Two months. That’s how long it’s been since that dreadful night when Central’s military headquarters collapsed, taking Roy and Alphonse with it after they rushed headlong to rescue Edward, who had been kidnapped by the homunculi. Since that terrible day, Riza hasn’t seen any of them. They are said to be ‘missing’; even ‘presumed dead.’ But Riza is convinced otherwise: she’s certain she saw the boy amidst that desolate landscape. Edward is very much alive… and still in the hands of the enemy.
To save him and hopefully find the two missing men, Riza will have to roll up her sleeves and follow the breadcrumbs the alchemist has left in his wake. But it won't be easy: in the shadows, dark forces are at work and won’t allow the young woman to snatch the key piece of their plan from them…
Embark on an epic adventure of over 360,000 words! Based on the Pride!Ed ending of the BlueBird’s Illusion game, this choose-your-own-adventure fanfiction allows you to experience the story from the perspectives of characters in both factions, leading to four possible endings. All your choices will impact the story’s outcome and lead to unique scenes!
Will you manage to save Edward? Will you find Roy and/or Al? Will you stop the homunculi, or will you serve their plans and doom Amestris and its inhabitants to a tragic end? The answers to all these questions are in your hands!
Discover “Moments”, starting on October 3rd!!!
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deathlesssaints · 1 month ago
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DEAR LITTLE BIRD
inspiration : gossip girl pour les secrets. outer banks pour le côté nuits d'été avec les potes.
Le soleil brûle les épaules des rêveurs, tandis que les rires des insouciants résonnent dans les rues animées. L'océan attire ceux qui cherchent l’évasion, tandis que les vans caressent le macadam brûlant, en quête de nouveaux horizons. Tout semble paisible, idyllique, comme si le bonheur avait trouvé refuge ici-bas.
Mais, au creux de cette prétendue sérénité, Gossip susurre son venin. Aucun secret ne résiste à l’œil aiguisé de l’inconnue, celle que personne ne connaît mais dont tout le monde parle. Et pourtant, les habitants refusent de se laisser abattre. Chaque jour est une célébration. Malheurs et bonheurs s’entrelacent, et la vie continue, vibrante et imparfaite, au rythme de ce paysage aux allures éternelles.
Informations supplémentaires
Dear Little Bird est un forum qui se joue sur Twitter. La mise en main est simple et rapide. L'administratif se fait sur Discord! La ville de Crestbird est une ville fictive, entre le petit patelin et la grande ville, c'est un coin bien connu et réputé sans avoir l'allure des grandes capitales ou encore les villes populaires. Tout est fait pour que chacun.e y trouve sa place ! Le forum est ouvert depuis longtemps, a connu des changements au niveau de l'administration, de la ville, du contexte, mais le forum tient bon et reste vivant. On vous le présente aujourd'hui dans l'espoir que certain.es d'entre vous craqueront, même si nous savons très bien que la manière alternative aux forums dits "classiques" peut être intimidante ! Mais promis, membres comme administratrices, seront là pour vous guider à travers vos découvertes. ♡ Pour nous rejoindre, c'est ici : DISCORD DLB
Vous pouvez aussi venir me voir en DM si vous avez besoin de plus d'explications ou si vous avez des questions dans l'ensemble. Je suis à 100% disponible pour vous répondre et vous aider ♡
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