#Le Livre du Voyage
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difunttichronicles · 4 months ago
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Le Livre du Voyage
Le Livre du Voyage, Bernard Werber PrĂ©sentationImaginez un livre qui serait comme un ami de papier. Imaginez un livre qui vous aide Ă  explorer votre propre esprit. Imaginez un livre qui vous entraĂźne vers le plus beau, le plus simple et le plus Ă©tonnant des voyages. Un voyage dans votre vie. Un voyage dans vos rĂȘves. Un voyage hors du temps. Ce livre vous le tenez entre vos

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miung-dreamer · 2 years ago
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aainaalyaa · 7 months ago
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“Oui, j'Ă©tais fugueuse, et j'Ă©tais tĂȘtue et fabuleuse - beaucoup d'autres filles verraient cela comme de l'assurance. Je ne l'ai fait qu'habillĂ©e comme un mannequin. Je n'ai pas abandonnĂ© l'Ă©cole. Contrairement Ă  beaucoup d'autres qui ont rĂ©ussi grĂące Ă  la sĂ©duction, Ă  la manipulation et Ă  la diffusion de l'information.
Ne commandez pas de champagne et cueillez du raisin pour le faire vous-mĂȘme!
— Mle. AainaA-Ridtz A R, Entre les Souffles, Biographie
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marionbulot · 1 year ago
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Wig ha wag, Samain approche... comme chaque annĂ©e, ce sera le moment de se raconter des histoires de fantĂŽmes auprĂšs du feu. Et en Bretagne, aux lĂ©gendes de l'Ankou, le passeur d'Ăąmes, de sortir du Yeun Elez pour venir s'y faufiler... L'occasion de vous prĂ©senter l'illustration de couverture que j’ai eu le plaisir de rĂ©aliser pour le dernier livre d’Erik L’Homme « le Grand Voyage » aux Ă©ditions Gallimard Jeunesse :)
RĂ©sumĂ© : "Une lĂ©gende bretonne raconte qu'Ă  la pĂ©riode d'Halloween le monde des vivants rencontre celui des morts, gardĂ© par le terrible Ankou. Victor, 12 ans, est prĂȘt Ă  tout risquer pour retrouver sa mĂšre disparue. Il entraĂźne ses amis Fanch et LĂ©onie dans un grand voyage dont personne n'est encore jamais revenu..."
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frenchlitclub · 2 months ago
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Voici les livres nominés par le groupe de lecteurs avancés pour le mois prochain:
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- Voyages dans la Lune, de Cyrano de Bergerac
- Cyrano de Bergerac, d'Edmond Rostang
- Le tour du monde en 80 jours, de Jules Verne
- Le monstre, de Camille Bodin
- La vagabonde, de Colette
Pour voter, rejoignez le club sur discord ici:
âšȘ Si vous dĂ©butez en lecture de littĂ©rature française, n'hĂ©sitez pas Ă  rejoindre le 2e groupe et Ă  faire des propositions de livres ! Aucune proposition n'a Ă©tĂ© faite pour Octobre jusqu'Ă  prĂ©sent.
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iranondeaira · 4 days ago
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2019
Je pense que nous sommes juste passés à cÎté de quelque chose de bien
Son amour pour moi avait fait ses cartons
Tout était soigneusement disposé, rangé dans les piÚces et les couloirs de sa mémoire ...
Des souvenirs, des moments, des instants, des photos ...
ÉparpillĂ©s partout sur le sol,
une vie , nos corps Ă  corps , la tempĂȘte qui nous avait encore plus soudĂ©s l’un Ă  l’autre et qui nous avait, ironie de la vie, au final sĂ©parĂ©s ... nos rĂȘves de balades, de voyages ... nos Ă©clats de rire, nos peurs, des chansons , nos quelques espaces tel un couple normal , nos prises de bec , nos fantasmes et nos jeux Ă©rotiques , nos quotidiens entremĂȘlĂ©s... nos pas de deux ...
Tout notre fouillis d’amour Ă©tait dĂ©sormais bien rangĂ©, empilĂ©, rĂ©pertoriĂ©, prĂȘt Ă  recevoir la poussiĂšre des annĂ©es ...
Je restais lĂ ... seul ... Ă  vouloir tout garder d’elle : sa force, son humanitĂ©, son romantisme, sa sincĂ©ritĂ©, sa sensibilitĂ©, son museau de petit lapin, sa chevelure , sa force Ă©rotique, sa sensualitĂ©... mes doigts gardaient en eux le contact de sa peau ... j’avais la mĂ©moire de son corps dans mes bras... son poids sur moi ...
nous nous Ă©tions tombĂ©s dessus ... la soudaine rencontre de deux Ăąmes et de deux corps, une cohĂ©sion inattendue qui se transforme parfois en terreur et en dĂ©tresse car elle libĂšre trop d’énergies inconnues ...
La pluie et le froid tombait sur ma vie, je contemplais l’ocĂ©an oĂč j’allais errer, la plage immense oĂč j’allais y chercher le petit grain de sable qu’elle disait ĂȘtre...
Me lever le matin dĂ©sormais sera avec un vide dans la poitrine, j’étais imprĂ©gnĂ© d’elle,ce n’était pas la force de gravitĂ© qui me maintenait au sol c’était elle; lĂ  oĂč elle Ă©tait je voulais ĂȘtre , respirer le mĂȘme air , bouger si elle bougeait ...
Il me restait mes chansons, mes livres, les petits vices de la vie comme disait le colonel Lawrence dans le dĂ©sert , de simples plaisirs tel le cafĂ© brulant Ă  l’odeur de cannelle, une douche brĂ»lante pour dĂ©nouer les muscles , courir ... m’enivrer le corps pour que l’esprit ne pense pas ... plus ... au-delĂ  des responsabilitĂ©s qui Ă©taient les miennes ...
J’avais essuyĂ© de trop nombreuses tempĂȘtes et traversĂ© assez de batailles pour savoir que l'amour Ă©tait presque une maladie, une notion issue des temps anciens, d'une Ă©poque oĂč le monde Ă©tait Ă  la fois plus jeune et plus sage.
Le chemin du jardin de mon cƓur en Ă©tait cachĂ©, perdu pour ne plus laisser une autre me sĂ©duire, me conquĂ©rir, s’installer dans ce lieu .
Elle était mon dernier amour ... celui que je cherchais depuis ... que ce mot avait planté ses racines en moi ...
Je ne sais pas si je pourrais
De nouveau tout recommencer
Elle aurait du mal la prochaine
A comprendre ce qui m’enchaüne
Une autre peau, une autre odeur, une autre personnalité ... changer de lit changer de corps ... à quoi bon ...
Il ne me restait plus qu’à plonger en moi-mĂȘme pour aller au bout de la douleur, espĂ©rer qu’avec le temps ... va ... je pourrais contenir la brĂ»lure de l’absence .
Comment l’évacuer de ma vie ... comment lui barrer le chemin de mes pensĂ©es... Cette petite chaĂźne en or, ce pull, cette derniĂšre bouteille de parfum qu’elle m’a ramenĂ© de voyage ... ces tout petits riens qui impitoyablement la faisaient surgir ... elle avait façonnĂ© une part de ma vie... sans doute bien plus grande qu’elle ne pouvait l’imaginer ... je pouvais parler d’intrication assurĂ©ment ... elle avait rĂ©ussi ce tour de force de s’immiscer partout ... elle avait Ă©tĂ© telle l’eau qui gĂšle dans le rocher et le fait Ă©clater ... elle Ă©tait allĂ©e lĂ  oĂč personne n’avait pu aller avant , elle avait mĂȘme rĂ©ussi Ă  apposer une fissure tout au fond ...
J’étais tel Narcisse devant la glace de la salle de bain Ă  chercher son image ... plus d’une fois l’idĂ©e que nous Ă©tions frĂšre et sƓur Ă©tait venue aux gens... elle Ă©tait non seulement mon Ăąme sƓur mais bien plus ... si j’étais nĂ© fille j’aurais aimĂ© ĂȘtre elle ...
Elle avait beau tenir mordicus que nous Ă©tions diffĂ©rents... je ne pouvais que sourire ... Ă  croire qu’elle essayait de se convaincre ... c’était sans doute ce qu’elle faisait d’ailleurs ... pour pouvoir se dĂ©tacher de moi ... Elle ne voyait pas que nos diffĂ©rences se reflĂ©taient ...
Pourquoi est-elle partie...
Elle disait qu’elle Ă©tait une sale gamine ... oui je crains qu’elle n’eut Ă©tĂ© lucide envers elle-mĂȘme ... bien qu’il m’en coĂ»te de le reconnaĂźtre ...
Les vides, les espaces entre les lignes, les non-réponses, les non-dits ... éparpillés dans nos échanges épistolaires quelque soit le support ... me laissent exsangue.
Je suis comme un marin devant l’ocĂ©an Ă  qui on reprocherait la tempĂȘte qu’il a traversĂ© ... elle n’a pas supportĂ© ... et la voilĂ  elle dans sa propre tempĂȘte et je sais au fond de moi que je ne peux rien faire ...
Certains chemins s’arpentent seul ... elle a fait des choix et les consĂ©quences la submergent ... nonobstant la peur desdites consĂ©quences, possibles ou probables , bien que ce que l’on dĂ©sire ou ce Ă  quoi on aspire se trouve juste de l’autre cĂŽtĂ© de la peur ... il y a aussi elle, elle avec elle-mĂȘme ... telle une lame de fond ... mais oui hĂ©las c’était bien une lame de fond de son passĂ© qui remontait ... dont je ne connaissais que trop bien la force ...
Elle avait aimĂ© celui que j’étais ...
J’aurais voulu ĂȘtre lui encore ... rester moi ... cet autre moi que je n’étais plus ... du moins plus complĂ©ment ... j’étais sorti de ma tempĂȘte et je pouvais dire qu’elle m’enveloppait comme un manteau que j’acceptais comme une Ă©vidence ... je savais que j’allais voyager en solitaire ... mais en y rĂ©flĂ©chissant je l’avais toujours Ă©tĂ©... quand Ă  elle, elle Ă©tait trop sauvage ... il lui fallait faire la paix avec elle-mĂȘme ... On ne pouvait rien changer au cours des choses; autant jeter des pierres Ă  la lune ...
je me sentais comme une maison qui se chercherait son fantĂŽme et qui l’avait trouvĂ© ... je me sentais hantĂ© de sa prĂ©sence ...
Quelle ironie , la vie redevenait supportable et se transformait en une chose qui mĂ©ritait d’ĂȘtre vĂ©cue avec passion, Ă©nergie et un espoir dont le plaisir ne dĂ©pendait plus de la simple fatalitĂ© ... et elle me laisse ... lĂ ... presque comme si elle avait Ă©tĂ© qu’un rĂȘve ...
Une vieille lĂ©gende raconte que quand les dieux veulent vous punir ils exaucent vos priĂšres ... je dĂ©sirais trouver celle qui me ferait toucher ce qui se cachait au sein des vieilles histoires telles Tristan et Iseut, Lancelot et GueniĂšvre ... mĂȘme malgrĂ© la morale des autres ...
Elle ne l’aime plus
C’est du passĂ©
N’en parlons plus
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valerielemercier · 5 months ago
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" Il arrive qu'un journal illustrĂ©, entrouvert il y a des annĂ©es, laisse en nous des traces aussi profondes qu'un grand livre ou qu'une rencontre mĂ©morable. À l'Ă©poque oĂč Life était l'hebdomadaire amĂ©ricain par excellence, dans un numĂ©ro tournĂ© probablement par une main nĂ©gligente ( toujours ce qu'on s'attendait Ă  voir : la guerre du Vietnam ou celle de CorĂ©e, mĂȘlĂ©e Ă  des vedettes de cinĂ©ma, du sport, ou de la politique du moment ), je tombai sur la derniĂšre page, rĂ©servĂ©e d'ordinaire Ă  la "photographie de la semaine", sans rĂ©fĂ©rence  aux Ă©vĂ©nements d'actualitĂ©, Ă©lue seulement pour ce que l'image prĂ©sentait  d'exceptionnel, de beau ou de saisissant. Cette fois, c'Ă©tait, en pleine page, un instantanĂ© de femme vue de dos. Une dame quelconque, un peu Ă©paisse, sans doute situĂ©e entre la quarantaine et la soixantaine, un manteau de voyage qu'on devinait beige, souliers de ville Ă  talons mi-haut, petit chapeau sĂ»rement achetĂ© dans un grand magasin, sac volumineux, serrĂ© sous le bras avec ce geste possessif qu'ont souvent les femmes un peu mĂ»res, et qui contenait Ă  n'en pas douter le porte-monnaie, quelques billets de banque, l'assurance-santĂ©, le portrait des enfants ou des petits-enfants, peut-ĂȘtre un de ces petits carrĂ©s de papier de soie imprĂ©gnĂ©s de produit chimique qui donnent Ă  l'AmĂ©ricain en voyage l'impression de s'ĂȘtre lavĂ© les mains. Une rombiĂšre amĂ©ricaine telle qu'on les rencontre, innombrables, dans les magasins de souvenirs et les restaurants convenablement bien cĂŽtĂ©s. Celle-ci Ă©tait debout devant une mer calme ; une vaguelette lĂ©chait le sable Ă  quelques mĂštres de ses souliers. Cette photographie prise sans doute au cours d'un petit voyage en Californie, par un mari ou un fils un peu en retrait sur la plage, avait eu les honneurs de la semaine parce que, l'instant qui suivit le dĂ©clic, une Ă©norme lame de fond emporta la femme, le chapeau du grand magasin, le manteau, le sac, les papiers d'identitĂ© avec les portraits des enfants ou des petits-enfants, en fait, toute une vie. Ce qui avait Ă©tĂ© une forme, une forme reconnaissable, chĂ©rie peut-ĂȘtre, ou dĂ©testĂ©e, ou l'objet pour les siens d'une tranquille indiffĂ©rence, tricotant ou jouant ou jouant au bridge, aimant la glace aux framboises, en parfaite santĂ© ou atteinte de varices ou peut-ĂȘtre d'un cancer au sein, et jusqu'aux accessoires et au tout-fait de la sociĂ©tĂ© de consommation, s'Ă©tait d'un seul coup amalgamĂ© Ă  la mer informe. Mrs Smith ( si c'Ă©tait son nom ), ou Jones, ou Hopkins, avait disparu dans le primordial et l'illimitĂ©. J'ai repensĂ© plusieurs fois Ă  elle. J'y pense encore. À l'heure qu'il est, je suis peut-ĂȘtre la seule personne sur la terre Ă  me souvenir qu'elle a Ă©tĂ©. " M. Yourcenar
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fieriframes · 9 months ago
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[Farewell vicious night. The Ancient Fire calls your name. The invisible spiral will always remember the responders to the Midnight Caller. The ones who write the stories. And to whom the stories go. Perhaps the eternal moon will rise again. Perhaps the darkness has reached its end.]
XIV - La Ville Invisible
AprĂšs ĂȘtre arrivĂ© au lieu oĂč se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquĂ©e lĂ  depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chantĂ© Ă  la porte ces paroles qui prĂ©cĂ©daient les tĂ©nĂšbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.
Des annĂ©es de mystĂšre m'avaient amenĂ© Ă  ce seul paragraphe. Un voyage oĂč, Ă  chaque Ă©tape du chemin, j'espĂ©rais une conclusion, mais j'ai reçu davantage de questions Ă  la place. Cette fois ne faisait pas exception.
Je l'ai rĂ©pĂ©tĂ© encore et encore dans mon esprit. C'Ă©tait enivrant. Ça ressemblait Ă  une incantation pour des esprits puissants, comme Ă©crit dans les livres. Mais les esprits ne sont jamais venus Ă  moi. MĂȘme mes rĂȘves avaient commencĂ© Ă  Ă©chapper Ă  ma mĂ©moire, comme l'amnĂ©sie dans une berceuse.
J'ai appris autant que possible sur la partie la plus significative du paragraphe : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus. Je fus Daphnis, habitant des bois, d’oĂč mon nom s’est Ă©levĂ© jusqu’aux cieux. Cette Ă©pitaphe qui apparaĂźt sur de nombreuses pierres tombales arcadiennes. Les origines mĂȘmes de l’expression Et In Arcadia Ego. Les mots qui ont prĂ©cĂ©dĂ© les tĂ©nĂšbres.
J'ai appelĂ© Mars Éditions encore et encore, personne ne rĂ©pondait. Je suis allĂ© au 12 Rue Jacob, mais l'enseigne au nĂ©on Ă©tait Ă©teinte et il n'y avait personne Ă  l'intĂ©rieur. J'ai appelĂ© The Library of Babel Ă  Londres oĂč j'ai acquis Nuit Sans Fin, sachant exactement Ă  quoi m'attendre. C'est-Ă -dire pas de rĂ©ponse.
Il me semblait que j'Ă©tais vraiment seul.
DĂšs le dĂ©but, on avait eu l’impression que quelqu’un, ou peut-ĂȘtre l’univers, essayait de parler sans voix. Si j'Ă©tais honnĂȘte avec moi-mĂȘme, aussi fou que ça puisse paraĂźtre, j'avais l'impression que Leonora elle-mĂȘme essayait de me dire quelque chose. Chaque fois que j’arrivais dans une impasse, j’avais l’impression de la laisser tomber.
Cette ultime impasse n’a fait qu’intensifier mon intĂ©rĂȘt pour cette phrase latine particuliĂšre et tout ce qui l’accompagnait. J'ai plongĂ© non seulement dans le monde de l'Ă©popĂ©e romaine et de la mythologie celtique, mais aussi dans celui de Leonora et d'autres artistes surrĂ©alistes. Livres, expositions, cours du soir, documentaires, tout ce que je pouvais trouver.
Je dois admettre que le rayon de ce nouvel intĂ©rĂȘt s'est Ă©largi de jour en jour et j'ai dĂ©couvert de nouvelles avenues et de nouveaux mystĂšres Ă  explorer. Remedios Varo, Dorothea Tanning, NoĂ«mi Manser, Kati Horna, Hilma af Klint, Julia Soboleva ont tous transformĂ© ma vie en un rĂȘve ambulant et ont ajoutĂ© une touche de magie Ă  ma façon de penser et de voir le monde. Comme si mes yeux s'Ă©taient ouverts sur “l'autre Paris”, l'invisible, les passages secrets entre les couches.
MalgrĂ© cela, Leonora ne m'a jamais quittĂ©. J'ai une obligation envers elle que je n'ai pas remplie. Je ne sais pas quand, je ne sais pas comment, mais j'espĂšre plus que tout qu'un jour je pourrai rĂ©pondre Ă  l'appel. Que si je peux enfin ĂȘtre lĂ  pour elle. Pour son esprit. Pour jouer mon rĂŽle. Il y a une raison pour laquelle elle m'a trouvĂ©, mais je ne la connais pas encore.
En attendant, je la garde dans ma vie. Dans mes rĂȘves, en cette nuit sans fin. 𑁍
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coquelicoq · 4 months ago
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j'ai l'intention de lire tout ces livres un jour ou l'autre, l'ordre seulement est en question.
il y a une réponse incorrecte et c'est du cÎté de chez swann. j'ai déjà lu les trois mousquetaires et madame bovary, mais seulement en anglais. j'ai regardé le film hiroshima mon amour, et j'ai lu quelque poÚmes des fleurs du mal. quant au reste, je n'en connais pas grand'chose.
you can vote in this if you don't speak french btw. roman=novel, scénario=screenplay, poésie=poetry, piÚce de théùtre=play, dictionnaire des synonymes=thesaurus, ouvrage de référence=reference work, roman-mémoire=autobiographical novel
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cecileguillard · 2 years ago
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Le 19 avril prochain paraßtra mon premier livre de cuisine, aux cÎtés de la trÚs inspirante Sonia Ezgulian aux éditions Flammarion : Le goût de l'imprévu !
A la maniÚre d'un carnet de voyage, partez avec nous à Lyon, Agde, SÚte et Port-En-Bessin, pour une aventure riche en rencontres et en découvertes culinaires...
Tout est une affaire de liens, de sensations et d'émotions : vous le découvrirez à la lecture !
Sonia sera en dédicace à Paris le 15 avril au salon du livre de cuisine ancien et moderne ( parc Georges Brassens Paris 15), Le 21 avril chez Arance Sicilyon (Lyon 7e) de 16h à 18h
D'autres dates Ă  suivre !
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lerefugedeluza · 6 months ago
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Pour moi, lire et voyager sont synonymes, on plonge dans un livre comme on plonge dans l'inconnu, comme on visite un nouvel endroit : plein d'apprĂ©hension mais surtout dĂ©bordant de joie. Dans mon coeur, les voyages et la littĂ©rature sont liĂ©s et j'aimerais, Ă  travers cette vidĂ©o, vous donner envie de lire. J'espĂšre qu'aprĂšs avoir vu mes images et Ă©coutĂ© mes mots, vous aurez envie de faire, comme moi, un tour du monde littĂ©raire ♡ Bon voyage & Ă  trĂšs bientĂŽt pour de nouvelles aventures !
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codumofr · 2 months ago
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Le Bento ou Ô-Bento est un repas traditionnel au Japon consommĂ© dans une boĂźte. Le trait le plus caractĂ©ristique de ce repas traditionnel est la “Bento Banko” qui est la boĂźte contenante en soit, le repas. Ce nom pourrait ĂȘtre grossiĂšrement traduit par “Gamelles”. En elle-mĂȘme, la boĂźte n’est apparue que durant l’époque Azuchi-Momoyama, s’étalant de 1568 Ă  1600. Cette pĂ©riode, courte, est dominĂ©e par une Ă©cole d’art du nom de Kano (Kano-Ha) fondĂ©e par Kano Masanobu, Peintre en chef du Shogunat Ashigaka. LaĂŻque et professionnelle, cette Ă©cole d’art perdura jusqu'au vingtiĂšme siĂšcle oĂč l’atelier devenu intenable dĂ©clina et disparut progressivement. Ainsi, le repas est traditionnellement consommĂ© durant la pĂ©riode de l’Hanami oĂč les Cerisiers du Japon perdent leurs feuilles ou bien durant une cĂ©rĂ©monie du thĂ©. Ce n’est qu’avec la rĂ©cente popularitĂ© de la cuisine Japonaise et ainsi, l’extension de cette derniĂšre dans le monde entier que le mot “Bento” est devenu le terme quasi-universel pour dĂ©signer les repas Ă  emporter Japonais. Nous retrouvons la consommation de telle prĂ©paration, mais avec un nom de boĂźte diffĂ©rent durant l’ùre Heian, pĂ©riode particuliĂšrement riche en termes de culture et d’art, s’étalant de 794 Ă  1185. Ainsi, lors de l’Osechi Ryori, repas du Nouvel An Japonais, le repas est dans une boĂźte du nom de “Jubako”. Se composant Ă  l’origine d’un plat mijotĂ© avec du SakĂ© ou de la Sauce Soja du nom “Nimono” accompagnĂ© de LĂ©gumes, Fruits de Mers, Poissons ou bien de Tofu. Au fil du temps et de l’évolution de la sociĂ©tĂ©, une variĂ©tĂ© plus grande plats ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©e pour l’Osechi Ryori et donc, les “BoĂźtes Jubako” se sont aussi dĂ©veloppĂ©es. Nous pouvons ainsi retrouver : l’Ichi-no-Ju composĂ© de mets se mariant avec une consommation de SakĂ© ; le Ni-no-Ju composĂ© de plats dit “Yakimono” et “Sunomono”, respectivement signifiant de la nourriture cuite Ă  la grille et de la nourriture marinĂ©e ; le San-no-Ju qui est un repas avec des produits provenant de la Mer ou de la Montagne ; le Yo-no-Ju composĂ© de plats mijotĂ©s et le Go-no-Ju qui est une boĂźte laissĂ© vide, symbolisant ainsi le besoin de bonheur qui devrait prendre place dans la boĂźte et donc le besoin de ce dernier.
Ce n’est qu’au dĂ©but du huitiĂšme siĂšcle qu’un livre d’histoire compile diffĂ©rentes notes oĂč sont dĂ©crits des gens transportant du “Hoshi”, riz cuit Ă  la vapeur et sĂ©chĂ© dans le but d’ĂȘtre utilisĂ© comme repas portable lors de voyages plus ou moins longs. Les Japonais ne prenaient que deux repas par jour jusqu’à la fin du dix-septiĂšme siĂšcle et les deux repas Ă©taient un simple petit-dĂ©jeuner et un dĂźner. Ce n’est qu’au milieu de l’Époque Edo s’étalant de 1600 Ă  1868 que les trois repas par jour se gĂ©nĂ©ralisent grĂące Ă  l’introduction des lampes Ă  huile et de leur lumiĂšre au niveau du dĂ©but du dix-huitiĂšme siĂšcle. Ainsi, la durĂ©e d’éveil et d’activitĂ© des travailleurs s’étalant, ils devinrent quasiment nĂ©cessaires d'apporter un repas du soir pour pouvoir tenir la cadence. Les agriculteurs de cette Ă©poque remplissaient d’aliments tels que du Riz d’Orge ou des Prunes SalĂ©es des rĂ©cipients en bois courbĂ© du nom de “Menpa” et les emportaient avec eux au travail. Excellents pour absorber l'humiditĂ© et assurer la ventilation, ces rĂ©cipients permettaient donc de conserver les repas frais et dĂ©licieux mĂȘme lorsqu’ils avaient refroidi. Toutefois, pour les travaux de plus grosse nĂ©cessitĂ©, un “Oke” qui est un grand seau de bois traditionnel Ă©tait rempli de boulettes de riz et d’un plat d’accompagnement du nom “d’Okazu” et servait donc pour un repas collectif. Pour les pĂȘcheurs, le travail en mer Ă©tant moins facile Ă  terme de nourriture, ils apportent une quantitĂ© de riz mesurais dans une unitĂ© correspondante Ă  une tasse japonaise d’environ 180 millilitres de riz, cette unitĂ© est le “Go” et ils en apportent en mer 7 go de Riz. Une quantitĂ© d'environ 1260 millilitres de Riz. Ce riz Ă©tait entreposĂ© dans une boĂźte Ă  deux Ă©tages fabriquĂ©e en CyprĂšs Japonais du nom de “Funabento” et l’accompagnement (Okazu) est dans ce cas du poisson pĂ©chĂ© par le pĂ©cheur lui-mĂȘme. Le Funabento n'avait pas qu’une utilisation de transport de repas, mais pouvait aussi servir de bouĂ©e de sauvetage pour les pĂȘcheurs tombĂ©s Ă  l’eau, de seau lorsqu’il est nĂ©cessaire d'Ă©coper le bateau lors de fuite d’eau. Pour finir, le rĂŽle du “Bento” n’avait pas qu’une dimension pratique et fournisseur d’énergie aux travailleurs. On peut le retrouver utilisĂ© dans l’agrĂ©ment d’occasions spĂ©ciales d’elle que le Hanami (Coutume traditionnelle japonaise d'apprĂ©cier la beautĂ© des fleurs.) et Ă©tĂ© Ă  l’époque rĂ©servĂ© aux nobles et aux samouraĂŻs. Ce n’est qu’au milieu de l’époque Edo (1603 Ă  1867) que la pratique se dĂ©veloppera et atteindra les couches populaires. À cette Ă©poque, le repas classique du Bento Ă©tait des Onigiris en Ă©tant enroulĂ©e dans des feuilles de bambou et ce n’est que pendant l’ùre Taisho, qu’une Ă©volution significative sera faite. Les BoĂźtes d’Aluminium de par leurs apparences argentĂ©es et de sa facilitĂ© de nettoyage devient un symbole de luxe.
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aainaalyaa · 11 months ago
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Un vĂ©ritable ami est celui qui apprend, aprĂšs d'innombrables batailles, que ce qui reste Ă  l'extĂ©rieur (le monde) est le reflet de la durĂ©e de la bataille (en soi-mĂȘme) doit durer pour que l'on finisse par s'asseoir cĂŽte Ă  cĂŽte sans dire un mot et ĂȘtre en paix.
Puis la structure (la lucidité) est clarifiée, et le monde change.
On ne se bat jamais contre l'autre dans le monde extĂ©rieur et proclame sa soumission Ă  Dieu — la relation de l'un avec l'autre reflĂšte sa relation avec Dieu.
— Mle. AainaA-Ridtz A R, Les Sables du Temps
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selidren · 24 days ago
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Automne 1927 - Champs-les-Sims
5/5
Quand tu me parles de tes sĂ©jours Ă  Kingston puis de ta visite de MontrĂ©al, j'ai l'impression que tu as une sorte de vie mondaine. J'aimerai bien voyager un peu un jour. Le nom de MontrĂ©al a quelque chose de trĂšs Ă©vocateur pour moi et j'ai demandĂ© Ă  Ange de me ramener un livre illustrĂ© de Paris la prochaine fois qu'il ira y faire un sĂ©jour. Pour revenir sur la question du français au Canada, j'en ai discutĂ© avec Grand-MĂšre, et elle m'assure que c'est dĂ©jĂ  un sujet qu'Ă©voquait ton grand-pĂšre autrefois avec ma grand-tante LucrĂšce. Je pense qu'il devait ĂȘtre aussi rĂ©voltĂ© que toi. Je suis assez surprise de toutes ces rĂšgles, mais Ă©tant française et francophone, je ne sais pas ce que c'est que de parler une langue minoritaire dans son propre pays.
Je suis Ă©galement surprise que Grand-MĂšre se rappelle du contenu d'une lettre vieille de plus de trente ans. Je pense qu'Ă©tant donnĂ© son Ăąge, c'est une sorte de miracle que cela arrive si tard, mais elle montre de plus en plus de problĂšmes de mĂ©moire et elle est parfois dĂ©sorientĂ©e. Oncle Adelphe a voulu se montrer rassurant, mais je vois bien qu'il est aussi inquiet que moi. Il lui arrive mĂȘme de descendre en chemise de nuit Ă  prĂ©sent. Tante Rose m'a bien assurĂ© que la EugĂ©nie Le Bris d'autrefois se serait coupĂ© un bras plutĂŽt que de franchir le seuil de sa chambre ainsi vĂȘtue et elle se souvient bien des remontrances quand elle faisait de mĂȘme. Grand-MĂšre va avoir cent-sept ans cette annĂ©e. En revanche, elle n'a rien perdu de son caractĂšre opiniĂątre ni de son sens aigu de l'observation.
J'espĂšre que tes affaires se porteront comme tu le souhaites. Je voulais simplement que tu saches que je suis lĂ  pour t'aider au besoin.
Avec mon amitié,
Noé
P.S. Je viens de relire la premiĂšre question que tu me poses. Non, ma cousine n'a pas la moindre idĂ©e de ce qui m'est arrivĂ©. Comme tout le monde, elle croit que les jumelles sont d'Ange. Anna est rousse, mais c'est un trait commun chez les Le Bris. Je ne pense pas que ça vaille le coup de briser sa propre vie en lui en parlant, sachant qu'elle attend leur premier enfant (il s'agissait alors d'une fausse alerte). Oncle Adelphe veille au grain, le faire suivre partout oĂč il va, afin d'Ă©pargner Ă  sa fille la moindre infidĂ©litĂ©. Je sais que tu ne penses pas Ă  mal, mais j'aimerais Ă  l'avenir que tu Ă©vites de parler de lui, car c'est une blessure qui me fait toujours atrocement souffrir et que je prĂ©fĂ©rerais oublier une bonne fois pour toutes pour me consacrer Ă  mon entreprise, mon mari et mes filles.
Transcription :
EugĂ©nie « Qu’attends-tu mon garçon ? »
Marc-Antoine « Rien de particulier. Vous ne deviez pas aller vous reposer ? »
EugĂ©nie « C’est ce que j’ai dit oui. Mais je me disais peut-ĂȘtre que tu pourrais monter avec moi et me faire la lecture pendant que je me repose. Tu es dĂ©sƓuvrĂ© et tu erres sans but depuis un moment, au moins tu seras occupĂ©. »
Marc-Antoine « Vous avez peur que je m’ennuie ? »
EugĂ©nie « Non, tu as toujours trouvĂ© de quoi occuper tes mains et ton esprit. Mais ces derniers temps, j’ai remarquĂ© que tu importunais souvent Mademoiselle Laroche. Elle a son travail Ă  accomplir et tu lui fais perdre du temps. »
Marc-Antoine « Je n’avais pas l’impression d’ĂȘtre Ă  ce point dans ses pattes. »
EugĂ©nie « Et pourtant si, alors tu vas monter avec moi et me lire quelques chapitres du livre de ta sƓur. Et quand tu auras fini, nous lirons un peu la Bible tous les deux. »
Marc-Antoine « La Bible ? »
EugĂ©nie « Oui, le Chant de Salomon. Cela fait longtemps que je ne l’ai lu et je pense que tu pourrais en tirer quelques enseignements fort Ă  propos. »
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lesdamesmures · 8 months ago
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ScĂšne 1 "Une femme mure sur la plage"
DĂ©jĂ  presque une annĂ©e Ă©coulĂ©e depuis ces vacances passĂ©es chez mes parents dans le sud-ouest de la France. C’était en pleine saison au mois d'aoĂ»t, je me souviens encore des senteurs et sensations d’aller courir chaque matin avant d’aller piquer une tĂȘte dans l’ocĂ©an pour conclure cette activitĂ© de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mĂ©moire comme des moments marquants de la vie oĂč tout est calme, oĂč on ressent la sĂ©rĂ©nitĂ© du prĂ©sent, oĂč la vie semble sans contraintes. 
J’avais passĂ© l’ñge de passer des vacances chez mes parents mais cette annĂ©e lĂ  les voyages Ă©taient encore limitĂ©s et j’avais Ă  coeur de voir mes parents aprĂšs cette pĂ©riode surrĂ©aliste oĂč la moitiĂ© de la planĂšte avait passĂ© plusieurs mois confinĂ©e. Ce virus COVID-19 qui a touchĂ© tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupĂ© de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances d’étĂ© se rĂ©duisaient Ă  des distances accessibles en train ou en voiture, les vols Ă  l’autre bout de bout monde encore dĂ©conseillĂ©s.
J'aimais me lever tÎt pour aller courir, profiter de la fraßcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques. 
Depuis quelques jours j’avais remarquĂ© cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait prĂ©fĂ©rer la tranquillitĂ© avant l'arrivĂ©e de la foule. La 1Ăšre fois que je l’avais aperçu, Ă©tant seul sur la plage avec elle, je me disais qu’elle m'avait obligatoirement remarquĂ©. Je me souviens comme si c’était hier, je voulais me rafraichir aprĂšs mon footing matinal, je n’avais pas rĂ©sistĂ© Ă  l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'Ă©tais Ă©tonnĂ© de voir cette femme seule Ă  cette heure, comme si elle commençait sa journĂ©e de plage, installĂ©e sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraĂźcheur
Elle lisait et avait tournĂ© la tĂȘte en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posĂ© mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraĂźche. Je lui tournais le dos, elle Ă©tait installĂ© Ă  une 20aine de mĂštre plus haut sur la plage, je n'avais pas osĂ© me retourner mais bien qu'Ă©tant allongĂ©e sur le ventre, tournant le dos Ă  la mer, j’avais imaginĂ© qu’elle avait tournĂ© la tĂȘte pour me regarder me dĂ©vĂȘtir avant de plonger en boxer dans l’eau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journĂ©e. Quand je revenais vers le bord, elle avait changĂ© de position, assise sur sa serviette, le regard plongĂ© dans son livre mais elle s'Ă©tait retournĂ©e, peut-ĂȘtre pour profiter de l'ocĂ©an et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour lĂ , je revenais tous les matins, Ă  la mĂȘme heure, espĂ©rant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarquĂ© que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'Ă©tais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'Ă©tait pas le genre de femme qu’on aborde facilement. C'Ă©tait l'impression qu'elle me donnait. 
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnĂ©s, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignĂ©e. MalgrĂ© le soleil estival, sa peau Ă  peine hĂąlĂ©e, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dĂ» arriver depuis peu. Un dĂ©tail avait captĂ© mon attention plus particuliĂšrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin d’elle, elle n’était pas grosse mais des formes qui s’arrondissent avec les annĂ©es de maniĂšre plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle s’était levĂ©e pour aller se baigner, son fessier m’avait captivĂ©, il Ă©tait large, charnu et marquĂ© par les annĂ©es tout en Ă©tant trĂšs agrĂ©able au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de maniĂšre trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rĂȘver surtout chez une femme mure. J'avais remarquĂ© cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassĂ© le matin Ă  la mĂȘme heure, elle Ă©tait lĂ  au mĂȘme endroit. Depuis je m'Ă©tais calĂ© sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa prĂ©sence qui agrĂ©mentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en mĂȘme temps qu'elle, toujours au mĂȘme endroit, un peu en retrait Ă  quelques 10aines de mĂštre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son dĂ©cors, l'habituer Ă  ma prĂ©sence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habituĂ© de la mĂȘme plage, Ă  la mĂȘme heure. Comme pour partager cette discrĂšte complicitĂ© et la rassurer de ma prĂ©sence Ă  quelques mĂštres d'elle. Pour vivre ce moment, Ă  la surprise de mes parents, j’avais pris cette habitude de me lever tĂŽt tous les matins, pour profiter de ce moment privilĂ©giĂ© qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de l’ocĂ©an calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osĂ© aller me baigner en mĂȘme temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle Ă©tait en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indĂ©finiment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait Ă  ma prĂ©sence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle Ă©tait lĂ , entre 7h30 et 7h45, l'heure oĂč les gens dormaient encore, oĂč l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'Ă©tais lĂ  en espĂ©rant la retrouver Ă  la mĂȘme place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder Ă  part un simple bonjour mais elle Ă©tait trop loin pour lui parler et je n’osais pas aller l’aborder et pour quelle raison d’ailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressĂ©e. Je m’encourageais en me disant que je devrais aller me baigner en mĂȘme temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la tempĂ©rature de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de crĂ©er un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle Ă©tait ouverte Ă  la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un dĂ©fi Ă  relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espĂ©rais que l’initiative vienne d’elle, considĂ©rant que mon Ăąge ne me permettait pas d’aborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hĂ©sitais Ă  me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agrĂ©mentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirĂ©es. J’étais troublĂ© en pensant Ă  elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par rĂ©veiller mon sexe au point de me caresser en Ă©chafaudent des plans que je savais pertinemment irrĂ©alisables mais ces rĂȘves Ă©rotiques Ă©taient des plus agrĂ©ables. J’essayais de l’imaginer, telle que je l’avais vu, je me remĂ©morais rĂ©guliĂšrement ce moment qui m’avait marquĂ© et Ă©mu : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager. 
Ce matin encore en la voyant nager, je me rĂ©signais, me promettant que demain j'irai me baigner en mĂȘme temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me dĂ©tendais en gagnant ce nouveau dĂ©lais. Elle nageait Ă  quelques mĂštres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me rĂ©jouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce dĂ©cors qu'elle garderait en tĂȘte comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensĂ©es en journĂ©e. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que j’étais arrivĂ© je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tĂŽt. Il m'arrivait de parcourir les lieux oĂč les touristes se promenaient, j’avais mĂȘme fait le tour du marchĂ© en matinĂ©e, espĂ©rant la croiser, me demandant qui elle Ă©tait, si elle Ă©tait seule, en couple, avec sa famille, des amis mais Ă©tant seule chaque matin je l’imaginais seule. 
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de dĂ©couvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je l’avais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui Ă©tait cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivĂ©e des touristes. Jusque lĂ , je n’avais pas osĂ© quitter la plage en mĂȘme temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer Ă  ses yeux pour un dragueur de plage en quĂȘte d’aventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait Ă  pied, Ă  vĂ©lo ou  en voiture mais je commençais Ă  Ă©chafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-ĂȘtre venir un peu avant 7h30 pour voir d'oĂč elle venait ? peut-ĂȘtre attendre d'ĂȘtre hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journĂ©e mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en mĂȘme temps qu'elle. Je me sentais presque rassurĂ© d’obtenir ce dĂ©lais tout en redoutant qu’elle ne vienne plus et disparaisse Ă  jamais sans avoir rien tentĂ© ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain Ă©tait un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. J’angoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai ratĂ© l'occasion de l'aborder. Je m'arrĂȘtais un moment, j'hĂ©sitais entre me changer les idĂ©es en allant voir un copain et continuer Ă  errer dans les alentours de la plage en espĂ©rant la croiser. Je me sentais comme un dĂ©tective privĂ© Ă  la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquĂȘte.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (ScĂšne 2 le 21 mars 2024 Ă  06h00)
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alexar60 · 1 year ago
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La lumiĂšre sous la porte
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Les livres ont une grande place dans mon cƓur. J’aime les lire, les toucher, les sentir. J’aime les exposer, voir leur couverture mĂȘme si je ne les ai pas encore lus. J’aime les livres mais Ă  trop en acheter, ils prennent de la place. J’en ai stockĂ© dans des cartons, qui Ă  leur tour, se sont imposĂ©s dans mon petit appartement. Je ne savais plus quoi en faire. Pas question de m’en dĂ©barrasser.
J’ai eu cette idĂ©e aprĂšs avoir visitĂ© Amsterdam. A mon retour de voyage, j’ai rĂ©alisĂ© qu’une pile de livres ressemblait beaucoup aux maisons hollandaises. Du coup, je me suis amusĂ© Ă  crĂ©er des rues, utilisant chaque bouquin pour faire une maison ou un petit immeuble de deux Ă©tages. Avec diffĂ©rents papiers, j’ai dessinĂ© puis dĂ©coupĂ© des portes et des fenĂȘtres. Je me suis appliquĂ© Ă  dĂ©corer de volets, des rideaux ainsi que des dormants et des impostes de portes. Je confectionnais des toits Ă  l’aide de carton.
Chaque dos de livre devenait l’entrĂ©e d’une maison ou la devanture d’un vieux magasin Je me suis tellement appliquĂ© que mes amis furent fascinĂ©s par mon travail. Ils parlaient d’Ɠuvre d’art. Ils me proposĂšrent d’exposer car d’aprĂšs eux, mon talent devrait ĂȘtre connu. Au dĂ©but, trop mĂ©fiant et voulant Ă©viter de participer Ă  un diner de cons, je me contentais de donner une seconde vie Ă  des livres que j’ai tant aimĂ©s lire. Cependant, j’eus un tel succĂšs que je dus me rĂ©signer Ă  accepter leur proposition. DĂšs lors, aprĂšs avoir exposĂ© dans une galerie, je me suis mis Ă  vendre des piles de livres dĂ©corĂ©s et refaits en petites rues.
Je garde mes prĂ©fĂ©rĂ©s dans une bibliothĂšque particuliĂšre. En effet, elle ne contient que des livres dĂ©corĂ©s. Chaque Ă©tagĂšre reprĂ©sente une rue. J’ai mĂȘme ajoutĂ© quelques petits pavĂ©s devant les livres pour donner un cĂŽtĂ© plus rĂ©aliste aux maisons. J’aime les observer le soir avant d’aller me coucher. Parce qu’elles ont une apparence fĂ©erique et j’imagine des habitants vivre dedans. Je les imagine en train de marcher, ouvrir les fenĂȘtres ou les portes et vivre paisiblement ; une mĂ©nagĂšre Ă  la fenĂȘtre Ă©tendant un drap, un homme rentrant du boulot.
Un jour, en les admirant de nouveau, je remarquais quelque-chose d’étrange. Sur le moment, je pensais Ă  un reflet liĂ© Ă  la lumiĂšre de mon salon. Mais en approchant, je dĂ©couvris de la lumiĂšre sous une porte. C’était une porte dĂ©corĂ©e et collĂ©e par mes soins, comment de la lumiĂšre pouvait apparaitre ? Je pris le livre, l’ouvris mais ne constatais rien de particulier entre les pages qui se dĂ©pliaient correctement. DĂšs lors, je replaçais le livre et retournais Ă  mes occupations. En Ă©teignant la lampe de la salle, je constatais un petit fil lumineux sous cette mĂȘme porte. La lumiĂšre Ă©tait rĂ©apparue !
Je ne savais son origine. Je pouvais prendre le bouquin, l’ouvrir, le secouer, tourner les pages. Rien n’y faisait, dĂšs que je le rangeais, la lumiĂšre rĂ©apparaissait. Je cognais de l’index sur la porte ; bien entendu, personne ne rĂ©pondit, personne n’ouvrit.
C’était Ă©trange que de voir cette lumiĂšre sous cette porte fictive. Tous les soirs, je constatais qu’elle apparaissait pour disparaitre uniquement au lever du jour. Je passais les semaines suivantes Ă  surveiller cette anomalie, d’autant qu’elle Ă©tait la seule porte Ă  laisser passer de la lumiĂšre. MĂȘme la fenĂȘtre en plastique, collĂ©e au dos de ce livre ne montrait rien.
J’aurais pu me dĂ©barrasser du livre, le vendre ou simplement le donner. NĂ©anmoins, ma curiositĂ© insistait Ă  surveiller ce phĂ©nomĂšne. Je regardais donc ce livre, dont je ne me souvenais plus de l’histoire, laisser passer cet Ă©trange trait de lumiĂšre. Et puis, je dĂ©couvris de la lumiĂšre sous la porte d’un autre recueil. Hier soir, la lumiĂšre traversait la fenĂȘtre, comme si quelqu’un habitait dans ce livre.
J’ai doucement frappĂ© Ă  la fenĂȘtre et Ă  la porte. Je n’ai vu personne, pas de petit bonhomme ou autre farfadet magique. Je suis restĂ© bĂȘtement Ă  observer cette lumiĂšre qui scintillait dans le noir. Mais ce soir, je dĂ©poserai quelque-chose devant ce livre. Un petit morceau de pain ou, une demi-fraise, histoire de sympathiser. En espĂ©rant que la porte s’ouvre et qu’il y ait un habitant.
Alex@r60 – aoĂ»t 2023
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